undefined cover
undefined cover
Comment j'ai trouvé ma voie en renonçant à suivre mes passions ? cover
Comment j'ai trouvé ma voie en renonçant à suivre mes passions ? cover
Damien P. [PRODUCTIZED GURU]

Comment j'ai trouvé ma voie en renonçant à suivre mes passions ?

Comment j'ai trouvé ma voie en renonçant à suivre mes passions ?

38min |19/04/2024
Play
undefined cover
undefined cover
Comment j'ai trouvé ma voie en renonçant à suivre mes passions ? cover
Comment j'ai trouvé ma voie en renonçant à suivre mes passions ? cover
Damien P. [PRODUCTIZED GURU]

Comment j'ai trouvé ma voie en renonçant à suivre mes passions ?

Comment j'ai trouvé ma voie en renonçant à suivre mes passions ?

38min |19/04/2024
Play

Description

Choisir un métier, une carrière ou une compétence à développer c'est effrayant. J'ai longtemps douté.

En lisant les grands esprits, ils répètent tous la même chose : trouve un domaine dans lequel tu as des aptitudes, sinon tu n'y arriveras pas.

Voilà la solution qui m'a permis de résoudre cette énigme.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • #0

    Ok, j'espère que tu vas bien. Ça faisait un petit moment que je n'avais pas fait de podcast et on va reprendre avec le choix d'une carrière, d'un métier ou d'une compétence à développer. C'est choisir sa voie, on pourrait dire. J'ai beaucoup étudié ce sujet, j'ai beaucoup galéré, j'ai beaucoup stressé. Et même encore récemment, je suis vraiment en plein dedans et j'en ressors avec plus de clarté. avec un chemin, la direction dans laquelle je veux aller. Je te recommande de t'en parler aussi un petit peu de mon projet pour la suite de cette chaîne. Et j'aimerais arriver avec une petite idée simple pour t'aiguiller sur le bon chemin dans ta vie. Parce qu'effectivement, il y a un million de possibilités. Je me demandais à moi-même, est-ce que je veux faire un marketing ? À un moment donné, j'étais parti dans le... J'ai commencé d'ailleurs, j'avais 16 ans, le DJing, peut-être, même 15 ans, peut-être. DJing, j'étais convaincu d'être DJ pro, un peu illusoire mais bref. Ensuite je suis parti dans la formation DJ, ensuite je suis parti dans le marketing pour les infopreneurs comme beaucoup. J'ai arrêté pendant un certain temps, ça quelques années, pour me lancer dans la programmation de SaaS, parce que j'ai un background d'informaticien. Très vite j'ai abandonné et je suis revenu dans le marketing et aujourd'hui... je suis un petit peu en train de faire un film entre marketing et code, tu vas voir, je vais t'en parler tout à l'heure, mais donc du coup, tu vois, tu as ce doute, tu peux partir dans plein plein plein plein de directions, et tu dis, mais est-ce que c'est la bonne direction pour moi ? Et il y a un truc encore plus effrayant, parce qu'un truc que j'aime beaucoup faire, c'est écouter les grands esprits de cette planète, nous expliquer quels sont leurs principes sur lesquels ils opèrent, et un truc qui revient systématiquement chez ces grands esprits, qui c'est que... si tu choisis un domaine dans lequel tu n'as pas d'aptitude, que ce soit naturel ou non, je pense que c'est un mélange des deux, tu es sûr de ne pas y arriver, tu es sûr d'avoir une carrière misérable. Donc en gros, tu es là, tu es face à toute cette incommensurable incertitude de choix, de multiplicité de choix, et d'un autre côté on dit, attention, si tu choisis mal, c'est galère. Et c'est un des plus gros, gros, gros, gros, gros problème, un des plus gros regrets de la plupart des gens dans le monde professionnel, c'est d'avoir choisi la mauvaise carrière, c'est d'avoir choisi le mauvais job, le mauvais métier, d'avoir pris la mauvaise décision. comment on évite de prendre cette mauvaise décision ? Comment on fait en sorte de se retrouver là où on doit être ? C'est ça finalement la question. Le problème, c'est que tu n'as pas le contexte. Aujourd'hui, tu te dis, ok, parce qu'on n'est pas forcément très bon à s'évaluer, genre est-ce que je suis bon là-dedans ou pas ? On a tendance à croire que oui. Genre, quand j'ai commencé le business, il y a des années, j'étais convaincu d'être extraordinaire, j'étais vraiment extrêmement doué, plus que Warren Buffett peut-être. Voilà, j'étais vraiment tout grand, tout puissant. alors même que je n'avais pas encore de résultats, on parle de ça en 2011, 2012, 2013, j'étais quand même convaincu d'avoir la science infuse et j'expliquais à tout le monde. Et en fait, quand je prenais du recul, je regardais mes résultats, que je faisais des... En 2012, sur mon premier business, je faisais des lancements à 1000, 2000 euros le lancement et j'étais convaincu d'être un génie du business, alors qu'en réalité, si on comparait mes résultats à ce que je pensais, on était très très loin de la vérité. Donc... on commence par, quelles sont nos aptitudes, quelles sont nos forces, tu vois, et donc, pour moi, je sais aujourd'hui que l'art de communiquer, tout ce qui est persuasion, c'est pas une de mes forces. Ce n'est pas une de mes forces. C'est-à-dire que je peux, j'ai eu des amis, je citerai notre ami Jean-Loup Lebrun, que beaucoup connaissent, si tu me suis, tu le connais probablement, qui lui est extrêmement bon en communication, il sera bien meilleur que moi. Il présentera mieux, il sera plus avenant, il aura l'air plus sympathique que moi, parce que c'est quelqu'un qui est très doué avec la langue, et il est fait pour ce truc-là. Il adore écrire. Moi, je ne suis pas spécialement fan de l'écriture. Tu vois, si je dois me poser devant un texte, on dirait que comment je formule ça pour donner aux gens envie de le lire ? En fait, ça me gonfle, tu vois. Tu écoutes ce podcast, il n'a pas été organisé pour capter l'attention. d'accord ? Ce que j'aime faire en revanche, c'est penser, c'est chercher des concepts qui peuvent changer ma vie. Tu vois, c'est apprendre les bons modèles que je peux ensuite implémenter dans ma vie, mettre à jour les systèmes, optimiser ces systèmes, gagner du temps. C'est ça que j'aime faire, tu vois. Et ce qui m'amène en fait à mon petit frémorque pour décider de sa carrière et c'est un peu spécial, il faut avoir la foi et Steve Jobs nous donne un premier indice, il nous dit Quand il fait son discours à Stanford, il parle de connecter les points rétrospectivement. Connect the dots backward. Et il dit, vous devez avoir la foi, parce que vous ne pouvez pas les connecter en avant, vous pouvez seulement les connecter en arrière. Ce qu'il a voulu dire par là, c'est que tu choisis une première chose, puis une deuxième, puis une troisième, puis une quatrième, puis une cinquième, et un jour, par hasard... tu te rends compte que les différents choix que tu as faits convergent vers une opportunité. Dans le cas de Steve Jobs, c'était Apple. Et tu vois, il y avait la calligraphie, on le connaît, la calligraphie, l'informatique. Et tout a convergé vers la création du premier Mac. Et lui, quand on parle de milliardaires, il y a énormément de chances aussi qui sont... qui sont en jeu, c'est des gens qui sont énormément travailleurs, extrêmement intelligents et extrêmement chanceux à la fois. Donc c'est des anomalies complètes. Mais n'empêche que cette idée de connecter rétrospectivement les points, elle fait sens. Le problème c'est que tu vois, tu peux voir que le premier point devant toi. Et donc tu sais pas les 10, 15, 20 points. nécessaires, des points décisionnels dans ta vie qui vont faire qu'à un moment donné, tout va converger vers cette opportunité que tu ne vois pas encore. Et tu peux essayer d'y réfléchir pendant des années, tu ne la trouveras pas en fait. Parce que le monde est beaucoup trop complexe et il y a beaucoup trop de choses que tu ne sais pas que tu ne sais pas pour pouvoir faire cet exercice. Donc, comment on fait face à cet océan d'incertitude ? Déjà, la première chose qu'on peut se poser comme question, c'est quelqu'un qui regrette et quelqu'un qui regrette d'avoir pris la mauvaise carrière, pourquoi il le regrette ? C'est quoi la raison fondamentale de son regret ? Et c'est quasiment toujours la même. Cette raison, c'est qu'il n'aime pas ce qu'il fait. Ce qu'il fait, c'est des trucs qu'il déteste. Et donc la réponse à ça, c'est de dire, finalement, on ne sait pas si on va devenir riche. On peut prendre des décisions qui vont augmenter les chances de devenir riche, très riche. Mais ça reste toujours une probabilité qui est contre nous. C'est que tu aies envie ou pas d'y croire à ça, c'est la réalité. Les chances, alors peut-être un million si vraiment tu te donnes les moyens, ça reste globalement accessible aujourd'hui, de moins en moins. Par contre, 10 millions, 100 millions, 1 milliard, là on augmente, on arrive vraiment de plus en plus vers de la chance. Les probabilités sont vraiment contre toi. C'est-à-dire qu'en gros, tu vas faire un pari toute ta vie. En tout cas, les 10 prochaines années, tu vas bosser comme un monstre. et au bout il n'y aura probablement rien tu vois si je dis tu vas bosser tous les jours 15h pendant 10 ans et tu as une chance sur 10 de gagner 100 000 ça demande du courage. Donc, on n'en est pas là. Moi, en tout cas, ce n'est pas mon objectif dans ma vie. Ce qui m'intéresse, ce n'est pas forcément de gagner énormément d'argent. Ce qui m'intéresse, moi, c'est de faire un truc que j'aime et d'avoir suffisamment à la banque pour couler des jours heureux et sans trop de... Enfin, de minimiser les risques, tu vois. Je n'ai pas besoin de vivre dans un manoir, ça ne m'intéresse pas. Je préfère avoir une marge de sécurité dix fois supérieure à ce qui est nécessaire et puis avoir une vie sereine. comme ça je peux me concentrer au quotidien à faire ce que j'aime, parce que tu vois le truc c'est ça c'est que plus tu augmentes tes possessions matérielles plus ce que tu dois faire pour conserver ces possessions matérielles ça va être dans les actions que tu fais dans ton quotidien et si tu vis dans un manoir mais que derrière t'es misérable à faire un truc que t'aimes pas pour avoir ce manoir, à quoi ça sert ? Si en revanche tu vis dans une petite maison, même un appartement qui est confortable sans être extravagant mais que derrière tu passes tes journées à faire des choses que tu kiffes c'est quoi le meilleur scénario ? Ce qui m'amène à ma petite solution, c'est tout bête, mais en fait ça demande de la foi, comme dit Steve Jobs, c'est qu'on ne pouvait pas connecter les points en avant, il vous faut avoir la foi, appeler ça comme vous voulez, la foi, le karmage, plus sa citation que ça, ce qu'il nous mais il faut avoir la foi, et pour ça tu suis ta curiosité. C'est-à-dire que tu vas chercher Je ne parle pas de passion. Attention, entendons-nous. Suivre sa passion, c'est un mauvais conseil. Parce qu'il est très peu applicable. C'est quoi la passion ? La passion, finalement, c'est quand tu as fait suffisamment de fois une chose que tu aimes, ça se renforce. Ça, c'est le principe de punition et récompense, au conditionnement opérant. Je fais l'activité A, j'ai du plaisir à le faire, ça renforce mon envie de faire l'activité A, etc. Et donc, tu crées une boucle. Et en fait, plus tu augmentes ton expertise, plus ça devient facile de faire l'activité et d'obtenir des résultats. Au début, ça demande beaucoup d'efforts, tu as peu de résultats, mais plus tu avances, moins ça demande d'efforts pour plus de résultats. Et donc du coup, tu as ce renforcement positif qui fait que tu deviens de plus en plus passionné par ce que tu fais. Maintenant, je ne peux pas te parler de ça, je suis en train de parler de curiosité. C'est-à-dire ce qui naturellement attire ton attention. Qu'est-ce que tu as envie d'apprendre ? Qu'est-ce que tu as envie de consommer ? Qu'est-ce que tu as envie de bricoler ? il y a une citation, je ne sais plus exactement comment elle va, c'est les technologies de demain sont les hobbies de week-end des gens intelligents C'est-à-dire que, par exemple, la crypto-monnaie, celui qui a inventé la crypto-monnaie, qui qu'ils sont, on ne sait pas vraiment, c'était sûrement un de ses hobbies à côté, il n'a jamais pensé que ça donnerait ça, mais il a kiffé inventer ce truc. Et c'est souvent le cas. c'est des gens qui ont vraiment des hobbies et ils bricolent avec des technologies et tout d'un coup ces technologies elles deviennent intéressantes ils lèvent des fonds ils lancent un truc et donc suivre ta curiosité c'est ça c'est qu'est-ce qui attire ton attention qu'est-ce que tu fais naturellement tu vois moi je me suis par exemple rendu compte et j'ai résisté à ça pendant longtemps, que rédiger des contenus, c'est pas le truc qui attire mon attention. Je vais pas passer toute la journée à rédiger du contenu en mode Ouais, c'est génial, c'est génial. Je déteste pas parler de mes trucs, comment j'ai fait ce podcast. Je trouve ça sympathique. Mais comme je t'ai dit avant, reformuler 40 fois le contenu pour qu'il soit le plus engageant possible, ce qui est basiquement le marketing, d'accord ? C'est pas ce qui m'attire le plus. Je le fais, j'en souffre pas, je le fais, c'est ok, mais ce que je vais naturellement faire toute la journée, sans y penser, c'est d'optimiser mes procédures. Alors, il y a beaucoup de monde qui va dire Ah, putain, ça c'est chiant, franchement, c'est quand même mieux de rédiger du contenu. Ok, ben tu vois, moi, ce que je kiffe, c'est optimiser mes process. Pourquoi ? Parce que derrière, je gagne du temps. Si je peux faire le même truc en une heure plutôt qu'en une semaine, tu vois, le truc, il est là. Et comme j'ai déjà une bonne connaissance en informatique, en programmation, et que mon cerveau, il est naturellement câblé comme ça, j'ai cette curiosité de Ah tiens, là, je peux gagner deux heures. parce que moi je suis un gros flemmard de base je suis pas Alex Ormosi je suis pas en mode hard work 40h par jour je connais d'ailleurs personne dans mon entourage qui est comme ça d'accord, je le vois plein sur internet mais en vrai finalement ils sont pas si bref il y a combien d'heures effectivement vraiment, travailler dans ta journée ça c'est une autre question mais je doute qu'il y ait vraiment des gens qui travaillent 80 heures par semaine de manière effective. Moi, je vois, là, j'ai bossé ce matin, j'ai édité des contenus. Je serais incapable de faire ça l'après-midi. Donc, ça va être des choses comme ce podcast et d'autres tâches plus légères. Je vais expérimenter un petit peu avec l'IA. Je suis en train d'apprendre ça, mais même là, c'est déjà presque un peu lourd comme job. Bref, ce que je veux dire, c'est que moi, je suis un flemmard et j'aime. optimiser mon temps. Parce que, tu vois, moins d'inputs pour plus d'outputs, physiquement. Travailler moins, gagner plus. Je veux dire, qui n'aime pas cette idée ? Donc, je suis vraiment passionné par ça et j'aime ce côté hors. Genre, pourquoi je ferais un truc qu'une machine peut faire à ma place ? J'aime mettre en place les process, j'aime moins les exécuter. Donc au début, il faut faire les deux. Mais je suis vraiment dans ma tête, c'est je construis une machine qui peut se passer de moi. Moi, c'est vraiment ça mon objectif. Et quand tu es dans de l'info business, le problème, c'est que l'info business, il ne peut pas se passer de toi vraiment, parce que si tu crées du contenu, c'est la tête du fondateur, la tête du créateur, qui est mise en avant, et on achète parce que c'est ta tête, justement. Donc comment on retire le fondateur sans retirer la tête du fondateur ? On peut générer la tête d'Eclair, mais ça reste encore un petit peu... Par contre, c'est pas noir ou blanc, on peut supprimer la majorité du travail du créateur en l'automatisant ou en le délégant. C'est pour ça qu'il y a des ghostwriters. avec l'IA maintenant aujourd'hui, et ça, ça m'intéresse. Moi, j'appelle ça industrialiser le contenu. Et là, tu te dis, ouais, machin, le contenu, ça ne s'industrialise pas. Approche artisan, j'entends, et c'est une approche qui est tout à fait honorable. Et si c'est ça que tu kiffes pendant ta journée, fais-le. Maintenant, si ce que tu kiffes, c'est de travailler moins et gagner plus, ce n'est pas forcément un mindset qui va te servir. Un mindset qui va plus te servir, c'est le mindset de Andy Varol, qui lui, basiquement, il a industrialisé l'art. et donc le but c'était de pouvoir c'est un des mecs je crois un des 5 mecs qui a le plus produit d'art dans le monde je vais te dire un chiffre je suis pas sûr de ce chiffre mais je crois que 10 à 20% des oeuvres d'art vendues c'est Andy Warhol tu vois pour te dire à quel point le mec a été ultra productif parce qu'il a industrialisé l'art il a une manière de faire de l'art qui pouvait être répliqué, donc lui il trouvait les idées, et une fois que l'idée était faite, il y avait un processus, que je ne pourrais pas vous expliquer en détail, de production qui faisait qu'il pouvait à l'échelle reproduire ces tableaux. Bref, et donc, ça, ça m'intéresse. Parce que ça, c'est penser comme un entrepreneur. D'ailleurs, tu prends... C'est la différence entre un inventeur et un entrepreneur. L'inventeur, ça va être Nikola Tesla, qui va inventer l'ampoule électrique. Et l'entrepreneur, ça va être Thomas Edison, qui va rendre l'ampoule électrique viable. Parce qu'après, on dit, Thomas Edison, il a inventé l'ampoule électrique. Non, non, c'est pas lui. Il y a Nikola Tesla, il y en a d'autres qui avaient inventé des versions des ampoules électriques. Ce qu'il a fait, Edison, c'est qu'il a trouvé... Une version viable, économiquement. de l'ampoule électrique. Et il a appris un système de distribution à l'échelle. C'est pour ça que c'est Edison qu'on connaît en tant qu'inventeur d'ampoule électrique, parce que c'est lui qui l'a rendu mainstream, cette idée. D'accord ? Cette invention. Mais il n'a pas inventé l'ampoule incandescente. Ça, c'est pas vrai. Pourtant, c'est lui qui récolte le gros délire. Il y a Tesla qui est mort dans la misère. Pourtant, Tesla était probablement un plus grand inventeur que Edison. Donc, il y a une leçon, là, derrière. Il y a une notion de productivité. Il y a une notion... justement de mettre en place des machines tu vois il y a celui qui est l'artiste et l'industriel moi je suis plus un industriel j'aime aussi le côté artiste, j'ai été DJ dans la musique mais tu regardes encore une fois dans la musique c'est un excellent exemple on dévie un peu sur le podcast mais je vais revenir ça donne un peu de substance et de contexte mais tu prends les plus grands DJ producteurs les plus connus qu'est-ce qu'ils font ? il y a des banques de samples, des banques d'échantillons audio ils vont chercher les échantillons audio et ils créent un son avec. Genre, tu as une mélodie déjà préenregistrée. J'ai eu vu des David Guetta et compagnie qui reprennent l'enregistrement exact et qui t'en sortent un son. Ils rajoutent des bases dessus, ils te sortent un son derrière. Et c'est pas qu'on produit la mélodie, mais le truc est devenu un carton. J'ai eu joué des sons. et plus tard quand j'achetais des banques de son je retrouvais dans la banque de son l'échantillon original je dis putain en fait c'est de l'arnaque j'ai un son en tête mais j'ai plus le titre de guetta notamment et tout est comme ça il y a celui qui invente et il y a celui qui industrialise le truc tu prends sur les réseaux sociaux c'est la même chose celui qui a le plus de vues qu'est-ce qu'il fait il va chez les petits créateurs qui sortent des bons contenus ils prennent les idées des petits créateurs et ils balancent ça sur leur canal de distribution qui amène bien plus de trafic. Parce que c'est des industriels, en fait. Donc, si je suis en train de te dire qu'il faut devenir un industriel, je suis en train de te dire qu'il y a un spectre... d'un côté les artistes, de l'autre côté les industriels, et tu choisis en fait sur ce spectre, est-ce que tu veux être le petit artisan, le petit boulanger qui fait son pain ? Ce qui est complètement ok, je veux dire, encore une fois, parce que le but c'est de suivre ta curiosité, de suivre ce qui t'inspire naturellement, et si c'est rien de prendre un chemin qui potentiellement peut te rapporter beaucoup plus d'argent, si tu détestes ce chemin-là, comme je disais avant, c'est la grande maison, le grand manoir, mais t'es misérable dedans. ou alors tu deviens un artisan. Moi, ce que j'aime, c'est le côté industriel. C'est-à-dire comment je peux produire des contenus de très haute qualité tout en m'extrayant du processus au maximum. Que ça me prenne, genre j'ai une idée, en cinq minutes, je griffonne l'idée et ensuite je balance ça dans mon process et il y a les contenus de l'autre côté qui sortent. d'accord ? Par en une heure, je peux produire une semaine de contenu, tu vois ? Et sans avoir des contenus rédigés façon chat GPT, tu vois, de merde, tu vois ? Parce que les contenus génériques, ça va juste faire du mal à ta marque. Donc, ce n'est pas l'idée. c'est au contraire d'avoir des idées encore plus qualitatives. Vu que j'ai du temps pour trouver ces idées, derrière, j'augmente la qualité. il y a une production. C'est tout un challenge que je suis en train de mettre en place. Moi, c'est vraiment ce truc. que je kiffe, tu vois, et comme ça je te donne quand je suis ma curiosité, j'en reviens finalement à cette idée de... qui m'a tout bu de souffle à force de ramener ma science, ce qui est... et j'en viens à cette idée d'optimiser mon temps, d'industrialiser de mettre en place des machines, si tu me suis depuis un moment tu entends souvent ces thèmes récurrents qui reviennent et je suis là en fait les infobusiness, le problème c'est qu'on est piégé dedans, on travaille dans son infobusiness et moi j'ai envie de travailler sur mon infobusiness le problème c'est que c'est des trop petits business pour engager des grosses équipes pour pouvoir faire un exit et en plus il n'y a pas de valorisation, une faible valorisation sur ce genre de business vu que le fondateur est indispensable pour que le système y tourne donc comment je peux faire en sorte de m'extraire du système au maximum, avec les ressources actuelles, avec un petit business comme ça, qui génère même pas... C'est un business qui génère 200 000, 300 000 par an. C'est compliqué d'avoir un CEO avec toute une C-suite, et puis des mecs en dessous. Je veux dire, tu vas manger du pain à la fin de la semaine. comment faire ça avec les outils actuels, avec l'IA, avec le no-code, etc. Éventuellement, une ou deux personnes, mais avoir un business qui est extrêmement lean, qui est extrêmement toute petite équipe. D'ailleurs, je suis convaincu que l'avenir avec l'IA, c'est des micro-équipes. On a Sam Altman qui parlait du business milliardaire à une personne. Bon, ça n'annonce pas forcément des belles choses en termes de redistribution économique. L'autre part est tout à l'extrême, le 1% qui possède le 90% des ressources. Bientôt, on sera à peu près à 5% qui possède le 50%, un truc comme ça. Je crois que ça n'aime plus, je crois que... Bref. Et donc, du coup, avec l'IA, ça va s'accentuer. Ça veut dire que les pauvres gagneront de moins en moins et les riches de plus en plus. On est sur un trend qui a quelques centaines d'années déjà. et voilà, c'est comme ça, mais bref donc du coup tu sais mieux d'être du bon côté du bon côté du truc et donc moi vraiment je suis passionné par cette idée de pourquoi engager quelqu'un si je peux déléguer ça à la machine et avoir une micro équipe et avoir un système qui tourne et qui génère beaucoup de résultats avec très très peu de monde et très très peu d'efforts tu vois je déteste faire trois fois la même chose je préfère ensuite dire ok, une fois que j'ai compris le truc ça devient mieux et j'automatise donc j'en suis devenu cette idée du productiseux de gourou parce que l'anglais c'est rigolo productiseux donc le gourou productisé en français c'est à dire de standardiser un business de formation et de pouvoir s'en défaire et travailler dessus plutôt que dedans c'est à dire il me faut une heure par semaine pour rédiger mes contenus sur les réseaux sociaux tourner mon potias etc une à deux heures et donc du coup je pourrais stacker en une semaine de boulot une année de contenu tu vois à l'extrême je ferais peut-être pas ça une fois par année parce qu'il y a quand même des changements à anticiper mais genre si tu tous les quarters tu fais tes contenus tu prends quelques jours par quarter pour faire tes contenus et ensuite t'as tout ton temps derrière pour apprendre des trucs parce que le problème c'est ça c'est que moi j'aime me plonger très profondément dans un seul sujet penser ce sujet et voilà, le truc c'est quand t'es coincé dans un sujet et que tu dois créer du contenu quotidiennement en termes de créativité c'est compliqué parce que tu vas toujours parler du même sujet pendant longtemps mais souvent t'as peu de choses à dire sur ce que t'apprends, parce qu'il n'y a pas beaucoup d'informations qui sont importantes et du coup tu vas en parler pendant longtemps bref, c'est un petit peu le dilemme que j'ai et donc moi j'aime me concentrer sur un truc et même pas avoir besoin de penser à créer du contenu je dis ok là j'apprends ce truc, pas pour créer du contenu, pas pour en parler aux autres comme fait la majorité, j'apprends ce sujet et à peine j'ai suivi la formation je sors du contenu sur le sujet, non ça m'intéresse pas, moi ce qui m'intéresse c'est d'apprendre le sujet pour moi, comme si je n'avais pas de contenu à créer. J'apprends le truc parce que je veux l'implémenter, parce que je veux le pratiquer, parce que je veux en tirer des bénéfices. Et une fois que j'ai mis en place un système, une fois que j'ai compris, une fois que j'ai acquis la compétence, même une petite compétence, des fondamentaux, à ce moment-là, je dis, ben voilà, j'ai bricolé avec ça pendant quelques centaines, milliers d'heures, voilà ce que j'ai appris, voilà ce que j'ai mis en place, si ça t'intéresse quelqu'un, c'est ici. Et j'aime cette approche, justement, des phases, une phase créative, une phase d'implémentation. apprentissage, implémentation, résolution, et être majoritairement dans cette phase de résolution la plupart du temps, et une fois que je suis sorti de cette phase, je prends un moment de pause, et j'évacue toutes mes idées, et là du coup j'ai une machine qui me permet de sortir mes idées. Et donc du coup je travaille sur mon business, parce que quand tu es dans une phase de résolution, d'apprentissage, d'implémentation, tu mets en place des systèmes qui tournent pour toi. Voilà, donc moi c'est ça qu'il me parle. Comme ça j'en profite pour te parler de la direction que je prends avec cette chaîne, ce podcast, donc Productizot Guru. Et donc pour en arriver à ça, j'ai suivi ma curiosité. J'ai passé, ça fait une année et demie, tu me suis depuis un moment, tu verras, je tourne un petit peu en rond, je reviens, je repars, je suis instable. Parce que justement, volontairement, j'expérimentais, j'essayais d'écouter ma curiosité. C'est un travail qui prend du temps et qui n'est jamais vraiment terminé en fait. d'accord ? Et là, chaque fois tu sais, je t'ai dans le doute. Tu sais, si t'as déjà ce truc, tu commences un truc, tu doutes. Puis tu recommences autre chose, puis tu doutes. Puis tu recommences autre chose, puis tu doutes. Et on te dit fixe-toi sur un truc et va dans cette direction. Ça c'est un conseil, un mauvais conseil à mon avis. Tu sais, parce qu'il faut pas changer de niche toutes les trois semaines. C'est vrai et c'est faux en même temps. Ça dépend tout dans quelle phase tu es. Parce que si tu choisis encore une fois une niche et que tu forces, mais qu'en fait ça t'intéresse pas vraiment, que tu fais juste ça pour les résultats et que t'es pressé, bah si tu veux des résultats rapides, tu vas te forcer à faire un truc que tu aimes pas. Et après derrière, t'as le mec qui te dit Hard work, hard work, il bosse 12 heures par jour, machin, alors que lui-même il bosse 12 heures par jour parce qu'il kiffe une grande partie de ce qu'il fait. Mais que s'il kiffait pas ce qu'il faisait, qu'il forçait, comme il te dit de forcer sur le truc que tu fais pas kiffer, lui-même il arriverait pas à bosser 12 heures par jour. Sauf quelques exceptions de la nature éventuellement. Mais tu vois ce que je veux dire ? Donc... Oui, il y a de la merde à faire, il y a des trucs qui ne vont pas te perdre dans tous les métiers. Par contre, si le cœur de ce que tu poursuis, ça ne t'inspire pas, ça ne te donne pas envie de te lever le matin pour changer les choses, sans forcément leur changer le monde, mais j'entends, tu vois, moi, cette idée de faire un exit sur les infos business, en mode de travailler sur son business, me productiser, tu vois, productiser de gros. ça ça m'inspire vraiment parce que c'est ce que je fais depuis des années naturellement et je passe quand j'ai du temps libre pour m'amuser je fais ça, je dis qu'est-ce que je peux automatiser qu'est-ce que je peux simplifier comment je peux faire en sorte que le business puisse se passer un peu plus de moi j'ai ces questions en tête je n'ai pas des questions du style quel contenu je peux créer tu vois, de temps en temps j'ai un contenu, une idée qui me vient donc je rédige, mais souvent ma tête elle est sur le côté opérationnel donc je pourrais forcer dans le sens agence, marketing, etc mais en même temps, tu moi je suis plus stratégie, si tu as déjà pris un consulting avec moi, on va surtout parler de la stratégie. Stratégie est développer les idées, mais... édiger les contenus en tant que tel, faire de la copie et correction, c'est pas quelque chose que je fais parce que je suis pas naturellement bon là-dedans et je suis convaincu que c'est pas là où je peux apporter le plus. Par contre, quand il s'agit de prioriser, de créer des stratégies, d'opérationnaliser, mettre en place les systèmes, là, je suis là. Et je kiffe faire ça. Je peux passer des heures sur le business d'un de mes clients pour dire, tiens, on peut gagner 3 heures par semaine, là, on peut gagner 1 heure, là, on peut gagner 20 minutes. et ça je kiffe faire ça donc j'ai suivi ma curiosité d'accord et j'ai expérimenté et après le truc c'est que moi je suis quelqu'un qui suis polymath j'ai un coeur de généraliste j'aime et c'est une bonne chose parce que être entrepreneur c'est mieux d'être généraliste que spécialiste le spécialiste c'est de la connerie en bas donc on expérimente les différents connect de dot, t'expérimentes tu vois, Jobs il s'est mis à la calligraphie il s'est simplement pointé au cours qui suscitait sa curiosité sans savoir ce qu'il allait faire après, calligraphie je sais pas si ça me servira un jour, j'en ai aucune idée mais j'aime faire ça, donc du coup le jour où il y a une opportunité qui se pointe qui nécessite la calligraphie ce qui était le cas avec Apple ben bam, tu vois donc comment tu concrètement je vais te donner une petite piste pour pour t'aider à t'orienter un truc tout con, analyse tes contenus préférés pourquoi quand tu tombes sur un contenu qui t'attire vraiment là encore récemment je tombais sur un contenu j'ai plus le titre, je peux vite faire une recherche hum voilà Si vous regardez sur YouTube, c'est un peu bizarre. SXSW Billion Dollar Teams. The future of an AI-powered workforce SXSW 2024. Je pense que si tu tapes SXSW 2024, Billion Dollar, tu trouves. Du coup, ça, c'est un contenu qui m'attire beaucoup. Ça parle exactement de ce qui m'intéresse. tu vois des petites équipes automatisées avec l'IA, le paradigme du travail est cassé le paradigme c'est d'être un généraliste créatif, etc. framework A, c'est-à-dire créer des agents, des micros, tu vois, des agents comme des microservices, c'est-à-dire qu'on a un agent, un agent IA qui fait un truc très spécifique, puis ensuite, on les coordonne entre eux pour qu'ils discutent entre eux, pour qu'ils te sortent, par exemple, t'as une équipe d'IA qui te permet de rédiger un launch email, du coup, t'as différents IA qui s'occupent de la stratégie, un d'analyser les chiffres, un troisième de trouver les idées, faire la hotline, un quatrième de rédiger les emails, etc. du coup ils discutent entre eux et après il y a d'autres IA qui servent à coordonner qui doit faire quoi, où c'est que je redirige lui tend lui doit corriger les textes, donc maintenant qu'on a rédigé les emails on l'envoie j'aime faire ça parce que ça colle avec cette idée de productiser le gourou bref, et là c'est là où je veux en venir, c'est que quand tu trouves un contenu qui aspire ton attention essaie de comprendre pourquoi, qu'est-ce qui derrière ça peut t'apporter, qu'est-ce que tu penses que cette idée peut t'apporter Et ça t'aidera à comprendre la cause qui t'inspire. Moi derrière, comme encore une fois, l'idée de retirer du temps de travail, moins d'inputs pour plus d'outputs, et de le faire vraiment gagner du temps, automatiser, ça, ça me parle énormément. C'est ça. tu commenceras à noter des thèmes. Tu vois, chez moi, c'est les machines, encore une fois. Pense en machines, les modèles mentaux aussi, parce que c'est finalement identifier les quelques connaissances intemporelles qui m'apportent la majorité des résultats, parce que j'ai pas envie d'apprendre 40 000 jours, juste apprendre les quelques choses, les quelques éléments qui me permettront de me resservir encore et encore de ces connaissances pour faire un maximum de trucs. J'aime ça, tu vois. Ça pourrait très bien être la communication, ça pourrait être le tricot, qu'est-ce qu'on le type de contenu que tu consommes et pourquoi ? C'est le pourquoi qui est important. Derrière, qu'est-ce qui t'attire ? Regarde aussi ton historique. YouTube ou Google Chrome. Tu slalomantes les choses un peu exotiques. Si t'as pas supprimé correctement ton historique. Et derrière, tu vas chercher les... les contenus vraiment qui t'ont parlé de plus, les meilleurs livres que t'as lus aussi et tu te poses cette question pourquoi ça m'intéresse, qu'est-ce qui m'amène qu'est-ce que je peux en retirer comme bénéfice apparemment, dans ma tête c'est quoi le bénéfice que j'en tire pourquoi ça m'attire ce truc là est-ce qu'il y a aussi des choses qui t'attirent même sans raison genre tu te dis ok j'aime juste cette idée j'aime les belles choses, donc je suis attiré par le design parce que je trouve qu'un beau site internet ça me fait me sentir d'une telle façon tu vois, donc peut-être que le design c'est quelque chose qui me parle et puis tu vas avoir plusieurs centres d'intérêt. Il ne faut pas essayer de trouver un seul centre d'intérêt. Moi, je ne suis pas en soi intéressé par l'IA. Je suis intéressé par l'idée d'automatiser un business. grâce au code, grâce à l'IA, mais j'aime aussi le côté communication, même si ce n'est pas ma plus grande force. J'aime apprendre, j'aime mettre en forme mes idées, les packager d'une manière à ce que d'autres personnes puissent s'en servir. J'aime ce principe de créer des frameworks, de modéliser. Tu vois ? Donc j'ai plusieurs centres d'intérêt comme ça. et en m'intéressant à ces différentes choses, même si je ne sais pas comment je vais pouvoir m'en servir aujourd'hui exactement, je m'intéresse quand même à ce truc-là. Donc ça prend du temps qui est indirectement corrélé à... à tes résultats, parce que tu apprends un truc, tu te dis, mais Jobs qui apprend la calligraphie, il ne sait pas pourquoi, d'accord ? Mais tout d'un coup, un jour, tu vas trouver une opportunité qui va rassembler une bonne partie de ces choses-là, et là, bingo, non seulement tu auras les compétences, tu seras uniquement qualifié, il y aura peu de personnes comme toi qualifiées qui auront cette combinaison de compétences atypiques, parce que comme tu suis ta curiosité, et tu es authentique, il n'y en a pas deux comme toi, il n'y a pas deux personnes qui ont les mêmes centres d'intérêt, et donc du coup, en suivant tes centres d'intérêt, par défaut, tu te crées un portfolio de compétences qui sont propres à toi, qui sont alignées à tes aptitudes parce que tu peux te concentrer toute la journée sur ces choses donc tu kiffes les faire, donc tu développes la compétence parce qu'au final c'est ça le plus important si tu as un talent pour un truc que tu n'aimes pas faire tu ne vas pas réussir à le développer, mieux vaut de prendre un truc où tu as moins de talent mais une curiosité sans fond pour le sujet. Donc là, à ce moment-là, tu vas pouvoir le développer et devenir excellent. Et quand tu combines plusieurs de ces curiosités ensemble et que tu trouves un sweet spot, une intersection de plusieurs de ces compétences, tu te retrouves uniquement, tu es unique sur le marché ou quasi unique, donc tu es rare et de valeur. Et à ce moment-là, tu es difficile à déloger. Tu vois ? Le problème, c'est que pour trouver ce sweet spot, il te faut la perspective. Et pour avoir la perspective, il te faut apprendre ses compétences. Donc le truc c'est aussi de ne pas apprendre des compétences que tu détestes pour faire de l'argent, pour vivre dans un manoir. Le truc c'est de suivre ta curiosité pour apprendre les compétences que tu kiffes, pour te retrouver qualifié, pas uniquement qualifié mais qualifié comme une des seules personnes dans ce sujet là. Comme ça, si on a besoin de ce truc en particulier dans cette niche là, c'est vers toi qu'on vient, parce que c'est toi le meilleur, parce que tu kiffes faire ce truc là et que c'est très difficile de rivaliser avec toi parce que tu passes 10-12 heures par jour là-dessus parce que tu kiffes ce sujet. C'est ça le grand secret en fait. et est-ce que si tu suis ta curiosité pendant des années, forcément tu vas devenir millionnaire, faire beaucoup d'argent, non c'est ça le truc qui fait peur, c'est que peut-être tu vas avoir des intérêts qui vont te faire gagner modestement ta vie mais comme je dis encore, c'est la grande question, est-ce que tu veux vivre dans un manoir à faire des choses que tu détestes ou est-ce que tu veux vivre dans une maison modeste dans un endroit modeste à faire des choses que tu kiffes ça c'est une décision que je dois prendre c'est toi qui prends cette décision je pense qu'il y a un meilleur chemin maintenant à toi de décider et et donc peut-être que suivre ta curiosité c'est en même temps le truc qui te fera gagner beaucoup d'argent donc dans ce cas là, banco mais est-ce que gagner beaucoup d'argent c'est vraiment ce qui est important parce que finalement pourquoi on veut gagner beaucoup d'argent, c'est pour avoir atteint un certain état interne d'accord ? on veut atteindre un objectif externe pour se sentir d'une certaine manière, et quand on atteint cet objectif on se rend compte que cet objectif ne génère pas l'état interne désiré et donc qu'est-ce qu'on fait ? on cherche un autre objectif à l'extérieur, alors qu'en fait le truc vient plutôt de l'intérieur, c'est comment tu remplis ta journée, comment tu perçois tu te perçois toi, comment tu perçois les autres c'est ça qui va changer ton état interne donc finalement devenir riche ou pas c'est secondaire ce qui est important c'est de faire des choses qui t'inspirent, que tu kiffes. Faire des choses que tu aimes avec des gens que tu aimes, dans un corps sain. santé, relation et puis contribution j'aime bien ce terme contribution c'est plus penser en termes d'utilité qu'est-ce que je veux contribuer à faire pour les autres parce que quand tu es à curiosité tu te dis en même temps comment je peux faire en sorte que ce que j'apprends ça peut aider les autres et c'est là où si tu cherches le bonheur cherche à être utile est-ce que c'est plus agréable de donner ou de recevoir un cadeau quand tu offres, quand tu commences à avoir des enfants ou des neveux, nièces tu offres un cadeau, tu vois le plaisir que t'as donné ce cadeau est bien plus grand que celui de recevoir un cadeau on est conçu comme ça donc être utile c'est ce qui chercher à rendre les autres heureux c'est ce qui nous permet d'être heureux c'est un peu cliché mais c'est extrêmement vrai et je terminerai sur la citation de Naval Ravikant qui nous dit trouver ce qui a l'air d'être un jeu pour vous et du travail pour les autres c'est cette intersection entre les deux pour toi c'est un jeu mais c'est du travail pour les autres si c'est un jeu pour tout le monde c'est difficile à monétiser go Netflix c'est un peu un jeu pour tout le monde c'est un série rap pour tout le monde regarder Netflix, comment tu veux vendre cette compétence tu vas dire, je suis excellent à regarder des séries et tu essaies de vendre ça à quelqu'un t'es pas tellement utile alors que dès qu'il y a une notion de travail il y a une notion de produire quelque chose et donc d'être utile pour quelqu'un et c'est réussir à être utile à l'échelle qui te permet de gagner plus d'argent voilà donc suive sa curiosité et sa curiosité finalement c'est qu'est-ce qui absorbe ton attention qu'est-ce que tu pourrais faire toute la journée et pas voir passer les heures regarde déjà dans ton quotidien il y a déjà des choses que tu fais et qui t'absorbe et tu vois pas passer les heures et qui a l'air d'être du travail pour les autres aussi enfin qui est du travail pour les autres mais pas pour toi tu vois moi typiquement opérationnel optimiser mes process c'est un truc je perds le fil du temps quand je fais ça pourtant pour beaucoup de monde c'est s'ils pourraient s'en débarrasser ils le feraient avec plaisir j'adore faire ça donc comment je peux monétiser ça Productives de gourou ça va être mon focus probablement les prochaines années j'ai dit ça plusieurs fois ces derniers temps donc je dis probablement parce que justement je suis un petit peu à ta tente en tous les sens j'essaie, je lance des différentes offres je regarde ce qui me plaît, ce qui me plaît pas mais là ce truc est avec moi depuis deux mois et ça m'intéresse beaucoup de comment je peux t'aider finalement à automatiser 80-90% de tes actions quotidiennes dans ton business pour que tu puisses te concentrer sur la partie créative. Il y a aussi cette notion pour moi de pouvoir travailler sur papier, d'automatiser pour se libérer de la technologie. C'est un petit peu bizarre. C'est utiliser la technologie pour s'en débarrasser. La plupart des gens, ils sont toute la journée la tête derrière leur écran. je ne sais pas, moi je trouve quand même bien plus aggrave comme mode de vie, genre si tu peux te poser un café avec un stylo, un crayon et un bloc-notes et puis un livre papier et que tu te mets à penser à tes idées, tu rédiges tes outlines et ensuite tu tournes un contenu face caméra mais donc du coup tu peux peut-être aller quelques heures par semaine où tu es sur l'ordinateur pour faire l'édition et encore tu peux trouver d'autres outils du style freewriter pour écrire hors écran et donc tu es très très peu derrière un écran ce qui te permet d'être plus connu que la réalité. Je ne sais pas si tu as remarqué, quand tu es derrière un écran, tu es absorbé par ces pixels, par ce carré, et tu fais abstraction de la réalité. Alors que quand tu es en train de lire un bouquin, tu es... dans la réalité. Je ne sais pas comment expliquer. C'est comme si tu avais déjà vu le film Trône peut-être, quand le mec se fait numériser dans l'ordinateur. J'ai un peu cette impression genre, seul le monde numérique existe quand je suis derrière un ordinateur. Par contre, dès que je suis derrière un papier, un crayon, enfin, un bloc-notes et un crayon avec un livre papier, je ne suis pas absorbé dans ce monde façon Trône. Je suis dans la vraie vie et ce que je suis en train de regarder fait partie de la vraie vie, fait partie du décor, fait partie de... Et j'ai un état d'esprit qui est très différent et et plus concentré. Du coup, j'aime cette idée d'utiliser la technologie pour ne pas avoir à l'utiliser. Donc, faire levier sur la technologie pour qu'elle travaille à ma place. Si tu peux rédiger le brouillon de ce contenu plutôt que moi passer une demi-heure derrière l'écran, si je peux le faire avec ChatGPT en 30 secondes, et ensuite, je peux seulement faire l'édition à partir d'un free writer, tester des écrans ink, un peu comme sur les Kindle, sauf que tu peux écrire. Il y a aussi les Remarkables 2 avec un clavier. Je vais tester ces options. et donc du coup je peux éventuellement faire ça, j'ai pas ce même sentiment derrière ces écrans que derrière un écran d'ordinateur bref, ça pour te dire exit de l'infopreneur productiser le gourou, moi c'est un truc qui me parle la question c'est toi maintenant, qu'est-ce qui te parle tu vois, et je terminerai encore une fois sur un petit dernier mot, c'est que c'est un exercice qui peut prendre des mois ne force surtout pas, expérimente laisse incuber, t'as le chemin qui va se révéler progressivement, parce que si tu forces, tu vas stresser tu auras peur de mal choisir et tu vas tourner en rond. Et c'est une parole d'expert de tournage en rond qui te dit ça. Donc, suit ta curiosité. Ne cherche pas à être rentable pour l'instant. Cherche à identifier des choses qui attirent naturellement ta curiosité. Et ensuite, tu verras comment monétiser ça. Je vous souhaite une magnifique On se retrouve dans un prochain podcast. Salut !

Description

Choisir un métier, une carrière ou une compétence à développer c'est effrayant. J'ai longtemps douté.

En lisant les grands esprits, ils répètent tous la même chose : trouve un domaine dans lequel tu as des aptitudes, sinon tu n'y arriveras pas.

Voilà la solution qui m'a permis de résoudre cette énigme.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • #0

    Ok, j'espère que tu vas bien. Ça faisait un petit moment que je n'avais pas fait de podcast et on va reprendre avec le choix d'une carrière, d'un métier ou d'une compétence à développer. C'est choisir sa voie, on pourrait dire. J'ai beaucoup étudié ce sujet, j'ai beaucoup galéré, j'ai beaucoup stressé. Et même encore récemment, je suis vraiment en plein dedans et j'en ressors avec plus de clarté. avec un chemin, la direction dans laquelle je veux aller. Je te recommande de t'en parler aussi un petit peu de mon projet pour la suite de cette chaîne. Et j'aimerais arriver avec une petite idée simple pour t'aiguiller sur le bon chemin dans ta vie. Parce qu'effectivement, il y a un million de possibilités. Je me demandais à moi-même, est-ce que je veux faire un marketing ? À un moment donné, j'étais parti dans le... J'ai commencé d'ailleurs, j'avais 16 ans, le DJing, peut-être, même 15 ans, peut-être. DJing, j'étais convaincu d'être DJ pro, un peu illusoire mais bref. Ensuite je suis parti dans la formation DJ, ensuite je suis parti dans le marketing pour les infopreneurs comme beaucoup. J'ai arrêté pendant un certain temps, ça quelques années, pour me lancer dans la programmation de SaaS, parce que j'ai un background d'informaticien. Très vite j'ai abandonné et je suis revenu dans le marketing et aujourd'hui... je suis un petit peu en train de faire un film entre marketing et code, tu vas voir, je vais t'en parler tout à l'heure, mais donc du coup, tu vois, tu as ce doute, tu peux partir dans plein plein plein plein de directions, et tu dis, mais est-ce que c'est la bonne direction pour moi ? Et il y a un truc encore plus effrayant, parce qu'un truc que j'aime beaucoup faire, c'est écouter les grands esprits de cette planète, nous expliquer quels sont leurs principes sur lesquels ils opèrent, et un truc qui revient systématiquement chez ces grands esprits, qui c'est que... si tu choisis un domaine dans lequel tu n'as pas d'aptitude, que ce soit naturel ou non, je pense que c'est un mélange des deux, tu es sûr de ne pas y arriver, tu es sûr d'avoir une carrière misérable. Donc en gros, tu es là, tu es face à toute cette incommensurable incertitude de choix, de multiplicité de choix, et d'un autre côté on dit, attention, si tu choisis mal, c'est galère. Et c'est un des plus gros, gros, gros, gros, gros problème, un des plus gros regrets de la plupart des gens dans le monde professionnel, c'est d'avoir choisi la mauvaise carrière, c'est d'avoir choisi le mauvais job, le mauvais métier, d'avoir pris la mauvaise décision. comment on évite de prendre cette mauvaise décision ? Comment on fait en sorte de se retrouver là où on doit être ? C'est ça finalement la question. Le problème, c'est que tu n'as pas le contexte. Aujourd'hui, tu te dis, ok, parce qu'on n'est pas forcément très bon à s'évaluer, genre est-ce que je suis bon là-dedans ou pas ? On a tendance à croire que oui. Genre, quand j'ai commencé le business, il y a des années, j'étais convaincu d'être extraordinaire, j'étais vraiment extrêmement doué, plus que Warren Buffett peut-être. Voilà, j'étais vraiment tout grand, tout puissant. alors même que je n'avais pas encore de résultats, on parle de ça en 2011, 2012, 2013, j'étais quand même convaincu d'avoir la science infuse et j'expliquais à tout le monde. Et en fait, quand je prenais du recul, je regardais mes résultats, que je faisais des... En 2012, sur mon premier business, je faisais des lancements à 1000, 2000 euros le lancement et j'étais convaincu d'être un génie du business, alors qu'en réalité, si on comparait mes résultats à ce que je pensais, on était très très loin de la vérité. Donc... on commence par, quelles sont nos aptitudes, quelles sont nos forces, tu vois, et donc, pour moi, je sais aujourd'hui que l'art de communiquer, tout ce qui est persuasion, c'est pas une de mes forces. Ce n'est pas une de mes forces. C'est-à-dire que je peux, j'ai eu des amis, je citerai notre ami Jean-Loup Lebrun, que beaucoup connaissent, si tu me suis, tu le connais probablement, qui lui est extrêmement bon en communication, il sera bien meilleur que moi. Il présentera mieux, il sera plus avenant, il aura l'air plus sympathique que moi, parce que c'est quelqu'un qui est très doué avec la langue, et il est fait pour ce truc-là. Il adore écrire. Moi, je ne suis pas spécialement fan de l'écriture. Tu vois, si je dois me poser devant un texte, on dirait que comment je formule ça pour donner aux gens envie de le lire ? En fait, ça me gonfle, tu vois. Tu écoutes ce podcast, il n'a pas été organisé pour capter l'attention. d'accord ? Ce que j'aime faire en revanche, c'est penser, c'est chercher des concepts qui peuvent changer ma vie. Tu vois, c'est apprendre les bons modèles que je peux ensuite implémenter dans ma vie, mettre à jour les systèmes, optimiser ces systèmes, gagner du temps. C'est ça que j'aime faire, tu vois. Et ce qui m'amène en fait à mon petit frémorque pour décider de sa carrière et c'est un peu spécial, il faut avoir la foi et Steve Jobs nous donne un premier indice, il nous dit Quand il fait son discours à Stanford, il parle de connecter les points rétrospectivement. Connect the dots backward. Et il dit, vous devez avoir la foi, parce que vous ne pouvez pas les connecter en avant, vous pouvez seulement les connecter en arrière. Ce qu'il a voulu dire par là, c'est que tu choisis une première chose, puis une deuxième, puis une troisième, puis une quatrième, puis une cinquième, et un jour, par hasard... tu te rends compte que les différents choix que tu as faits convergent vers une opportunité. Dans le cas de Steve Jobs, c'était Apple. Et tu vois, il y avait la calligraphie, on le connaît, la calligraphie, l'informatique. Et tout a convergé vers la création du premier Mac. Et lui, quand on parle de milliardaires, il y a énormément de chances aussi qui sont... qui sont en jeu, c'est des gens qui sont énormément travailleurs, extrêmement intelligents et extrêmement chanceux à la fois. Donc c'est des anomalies complètes. Mais n'empêche que cette idée de connecter rétrospectivement les points, elle fait sens. Le problème c'est que tu vois, tu peux voir que le premier point devant toi. Et donc tu sais pas les 10, 15, 20 points. nécessaires, des points décisionnels dans ta vie qui vont faire qu'à un moment donné, tout va converger vers cette opportunité que tu ne vois pas encore. Et tu peux essayer d'y réfléchir pendant des années, tu ne la trouveras pas en fait. Parce que le monde est beaucoup trop complexe et il y a beaucoup trop de choses que tu ne sais pas que tu ne sais pas pour pouvoir faire cet exercice. Donc, comment on fait face à cet océan d'incertitude ? Déjà, la première chose qu'on peut se poser comme question, c'est quelqu'un qui regrette et quelqu'un qui regrette d'avoir pris la mauvaise carrière, pourquoi il le regrette ? C'est quoi la raison fondamentale de son regret ? Et c'est quasiment toujours la même. Cette raison, c'est qu'il n'aime pas ce qu'il fait. Ce qu'il fait, c'est des trucs qu'il déteste. Et donc la réponse à ça, c'est de dire, finalement, on ne sait pas si on va devenir riche. On peut prendre des décisions qui vont augmenter les chances de devenir riche, très riche. Mais ça reste toujours une probabilité qui est contre nous. C'est que tu aies envie ou pas d'y croire à ça, c'est la réalité. Les chances, alors peut-être un million si vraiment tu te donnes les moyens, ça reste globalement accessible aujourd'hui, de moins en moins. Par contre, 10 millions, 100 millions, 1 milliard, là on augmente, on arrive vraiment de plus en plus vers de la chance. Les probabilités sont vraiment contre toi. C'est-à-dire qu'en gros, tu vas faire un pari toute ta vie. En tout cas, les 10 prochaines années, tu vas bosser comme un monstre. et au bout il n'y aura probablement rien tu vois si je dis tu vas bosser tous les jours 15h pendant 10 ans et tu as une chance sur 10 de gagner 100 000 ça demande du courage. Donc, on n'en est pas là. Moi, en tout cas, ce n'est pas mon objectif dans ma vie. Ce qui m'intéresse, ce n'est pas forcément de gagner énormément d'argent. Ce qui m'intéresse, moi, c'est de faire un truc que j'aime et d'avoir suffisamment à la banque pour couler des jours heureux et sans trop de... Enfin, de minimiser les risques, tu vois. Je n'ai pas besoin de vivre dans un manoir, ça ne m'intéresse pas. Je préfère avoir une marge de sécurité dix fois supérieure à ce qui est nécessaire et puis avoir une vie sereine. comme ça je peux me concentrer au quotidien à faire ce que j'aime, parce que tu vois le truc c'est ça c'est que plus tu augmentes tes possessions matérielles plus ce que tu dois faire pour conserver ces possessions matérielles ça va être dans les actions que tu fais dans ton quotidien et si tu vis dans un manoir mais que derrière t'es misérable à faire un truc que t'aimes pas pour avoir ce manoir, à quoi ça sert ? Si en revanche tu vis dans une petite maison, même un appartement qui est confortable sans être extravagant mais que derrière tu passes tes journées à faire des choses que tu kiffes c'est quoi le meilleur scénario ? Ce qui m'amène à ma petite solution, c'est tout bête, mais en fait ça demande de la foi, comme dit Steve Jobs, c'est qu'on ne pouvait pas connecter les points en avant, il vous faut avoir la foi, appeler ça comme vous voulez, la foi, le karmage, plus sa citation que ça, ce qu'il nous mais il faut avoir la foi, et pour ça tu suis ta curiosité. C'est-à-dire que tu vas chercher Je ne parle pas de passion. Attention, entendons-nous. Suivre sa passion, c'est un mauvais conseil. Parce qu'il est très peu applicable. C'est quoi la passion ? La passion, finalement, c'est quand tu as fait suffisamment de fois une chose que tu aimes, ça se renforce. Ça, c'est le principe de punition et récompense, au conditionnement opérant. Je fais l'activité A, j'ai du plaisir à le faire, ça renforce mon envie de faire l'activité A, etc. Et donc, tu crées une boucle. Et en fait, plus tu augmentes ton expertise, plus ça devient facile de faire l'activité et d'obtenir des résultats. Au début, ça demande beaucoup d'efforts, tu as peu de résultats, mais plus tu avances, moins ça demande d'efforts pour plus de résultats. Et donc du coup, tu as ce renforcement positif qui fait que tu deviens de plus en plus passionné par ce que tu fais. Maintenant, je ne peux pas te parler de ça, je suis en train de parler de curiosité. C'est-à-dire ce qui naturellement attire ton attention. Qu'est-ce que tu as envie d'apprendre ? Qu'est-ce que tu as envie de consommer ? Qu'est-ce que tu as envie de bricoler ? il y a une citation, je ne sais plus exactement comment elle va, c'est les technologies de demain sont les hobbies de week-end des gens intelligents C'est-à-dire que, par exemple, la crypto-monnaie, celui qui a inventé la crypto-monnaie, qui qu'ils sont, on ne sait pas vraiment, c'était sûrement un de ses hobbies à côté, il n'a jamais pensé que ça donnerait ça, mais il a kiffé inventer ce truc. Et c'est souvent le cas. c'est des gens qui ont vraiment des hobbies et ils bricolent avec des technologies et tout d'un coup ces technologies elles deviennent intéressantes ils lèvent des fonds ils lancent un truc et donc suivre ta curiosité c'est ça c'est qu'est-ce qui attire ton attention qu'est-ce que tu fais naturellement tu vois moi je me suis par exemple rendu compte et j'ai résisté à ça pendant longtemps, que rédiger des contenus, c'est pas le truc qui attire mon attention. Je vais pas passer toute la journée à rédiger du contenu en mode Ouais, c'est génial, c'est génial. Je déteste pas parler de mes trucs, comment j'ai fait ce podcast. Je trouve ça sympathique. Mais comme je t'ai dit avant, reformuler 40 fois le contenu pour qu'il soit le plus engageant possible, ce qui est basiquement le marketing, d'accord ? C'est pas ce qui m'attire le plus. Je le fais, j'en souffre pas, je le fais, c'est ok, mais ce que je vais naturellement faire toute la journée, sans y penser, c'est d'optimiser mes procédures. Alors, il y a beaucoup de monde qui va dire Ah, putain, ça c'est chiant, franchement, c'est quand même mieux de rédiger du contenu. Ok, ben tu vois, moi, ce que je kiffe, c'est optimiser mes process. Pourquoi ? Parce que derrière, je gagne du temps. Si je peux faire le même truc en une heure plutôt qu'en une semaine, tu vois, le truc, il est là. Et comme j'ai déjà une bonne connaissance en informatique, en programmation, et que mon cerveau, il est naturellement câblé comme ça, j'ai cette curiosité de Ah tiens, là, je peux gagner deux heures. parce que moi je suis un gros flemmard de base je suis pas Alex Ormosi je suis pas en mode hard work 40h par jour je connais d'ailleurs personne dans mon entourage qui est comme ça d'accord, je le vois plein sur internet mais en vrai finalement ils sont pas si bref il y a combien d'heures effectivement vraiment, travailler dans ta journée ça c'est une autre question mais je doute qu'il y ait vraiment des gens qui travaillent 80 heures par semaine de manière effective. Moi, je vois, là, j'ai bossé ce matin, j'ai édité des contenus. Je serais incapable de faire ça l'après-midi. Donc, ça va être des choses comme ce podcast et d'autres tâches plus légères. Je vais expérimenter un petit peu avec l'IA. Je suis en train d'apprendre ça, mais même là, c'est déjà presque un peu lourd comme job. Bref, ce que je veux dire, c'est que moi, je suis un flemmard et j'aime. optimiser mon temps. Parce que, tu vois, moins d'inputs pour plus d'outputs, physiquement. Travailler moins, gagner plus. Je veux dire, qui n'aime pas cette idée ? Donc, je suis vraiment passionné par ça et j'aime ce côté hors. Genre, pourquoi je ferais un truc qu'une machine peut faire à ma place ? J'aime mettre en place les process, j'aime moins les exécuter. Donc au début, il faut faire les deux. Mais je suis vraiment dans ma tête, c'est je construis une machine qui peut se passer de moi. Moi, c'est vraiment ça mon objectif. Et quand tu es dans de l'info business, le problème, c'est que l'info business, il ne peut pas se passer de toi vraiment, parce que si tu crées du contenu, c'est la tête du fondateur, la tête du créateur, qui est mise en avant, et on achète parce que c'est ta tête, justement. Donc comment on retire le fondateur sans retirer la tête du fondateur ? On peut générer la tête d'Eclair, mais ça reste encore un petit peu... Par contre, c'est pas noir ou blanc, on peut supprimer la majorité du travail du créateur en l'automatisant ou en le délégant. C'est pour ça qu'il y a des ghostwriters. avec l'IA maintenant aujourd'hui, et ça, ça m'intéresse. Moi, j'appelle ça industrialiser le contenu. Et là, tu te dis, ouais, machin, le contenu, ça ne s'industrialise pas. Approche artisan, j'entends, et c'est une approche qui est tout à fait honorable. Et si c'est ça que tu kiffes pendant ta journée, fais-le. Maintenant, si ce que tu kiffes, c'est de travailler moins et gagner plus, ce n'est pas forcément un mindset qui va te servir. Un mindset qui va plus te servir, c'est le mindset de Andy Varol, qui lui, basiquement, il a industrialisé l'art. et donc le but c'était de pouvoir c'est un des mecs je crois un des 5 mecs qui a le plus produit d'art dans le monde je vais te dire un chiffre je suis pas sûr de ce chiffre mais je crois que 10 à 20% des oeuvres d'art vendues c'est Andy Warhol tu vois pour te dire à quel point le mec a été ultra productif parce qu'il a industrialisé l'art il a une manière de faire de l'art qui pouvait être répliqué, donc lui il trouvait les idées, et une fois que l'idée était faite, il y avait un processus, que je ne pourrais pas vous expliquer en détail, de production qui faisait qu'il pouvait à l'échelle reproduire ces tableaux. Bref, et donc, ça, ça m'intéresse. Parce que ça, c'est penser comme un entrepreneur. D'ailleurs, tu prends... C'est la différence entre un inventeur et un entrepreneur. L'inventeur, ça va être Nikola Tesla, qui va inventer l'ampoule électrique. Et l'entrepreneur, ça va être Thomas Edison, qui va rendre l'ampoule électrique viable. Parce qu'après, on dit, Thomas Edison, il a inventé l'ampoule électrique. Non, non, c'est pas lui. Il y a Nikola Tesla, il y en a d'autres qui avaient inventé des versions des ampoules électriques. Ce qu'il a fait, Edison, c'est qu'il a trouvé... Une version viable, économiquement. de l'ampoule électrique. Et il a appris un système de distribution à l'échelle. C'est pour ça que c'est Edison qu'on connaît en tant qu'inventeur d'ampoule électrique, parce que c'est lui qui l'a rendu mainstream, cette idée. D'accord ? Cette invention. Mais il n'a pas inventé l'ampoule incandescente. Ça, c'est pas vrai. Pourtant, c'est lui qui récolte le gros délire. Il y a Tesla qui est mort dans la misère. Pourtant, Tesla était probablement un plus grand inventeur que Edison. Donc, il y a une leçon, là, derrière. Il y a une notion de productivité. Il y a une notion... justement de mettre en place des machines tu vois il y a celui qui est l'artiste et l'industriel moi je suis plus un industriel j'aime aussi le côté artiste, j'ai été DJ dans la musique mais tu regardes encore une fois dans la musique c'est un excellent exemple on dévie un peu sur le podcast mais je vais revenir ça donne un peu de substance et de contexte mais tu prends les plus grands DJ producteurs les plus connus qu'est-ce qu'ils font ? il y a des banques de samples, des banques d'échantillons audio ils vont chercher les échantillons audio et ils créent un son avec. Genre, tu as une mélodie déjà préenregistrée. J'ai eu vu des David Guetta et compagnie qui reprennent l'enregistrement exact et qui t'en sortent un son. Ils rajoutent des bases dessus, ils te sortent un son derrière. Et c'est pas qu'on produit la mélodie, mais le truc est devenu un carton. J'ai eu joué des sons. et plus tard quand j'achetais des banques de son je retrouvais dans la banque de son l'échantillon original je dis putain en fait c'est de l'arnaque j'ai un son en tête mais j'ai plus le titre de guetta notamment et tout est comme ça il y a celui qui invente et il y a celui qui industrialise le truc tu prends sur les réseaux sociaux c'est la même chose celui qui a le plus de vues qu'est-ce qu'il fait il va chez les petits créateurs qui sortent des bons contenus ils prennent les idées des petits créateurs et ils balancent ça sur leur canal de distribution qui amène bien plus de trafic. Parce que c'est des industriels, en fait. Donc, si je suis en train de te dire qu'il faut devenir un industriel, je suis en train de te dire qu'il y a un spectre... d'un côté les artistes, de l'autre côté les industriels, et tu choisis en fait sur ce spectre, est-ce que tu veux être le petit artisan, le petit boulanger qui fait son pain ? Ce qui est complètement ok, je veux dire, encore une fois, parce que le but c'est de suivre ta curiosité, de suivre ce qui t'inspire naturellement, et si c'est rien de prendre un chemin qui potentiellement peut te rapporter beaucoup plus d'argent, si tu détestes ce chemin-là, comme je disais avant, c'est la grande maison, le grand manoir, mais t'es misérable dedans. ou alors tu deviens un artisan. Moi, ce que j'aime, c'est le côté industriel. C'est-à-dire comment je peux produire des contenus de très haute qualité tout en m'extrayant du processus au maximum. Que ça me prenne, genre j'ai une idée, en cinq minutes, je griffonne l'idée et ensuite je balance ça dans mon process et il y a les contenus de l'autre côté qui sortent. d'accord ? Par en une heure, je peux produire une semaine de contenu, tu vois ? Et sans avoir des contenus rédigés façon chat GPT, tu vois, de merde, tu vois ? Parce que les contenus génériques, ça va juste faire du mal à ta marque. Donc, ce n'est pas l'idée. c'est au contraire d'avoir des idées encore plus qualitatives. Vu que j'ai du temps pour trouver ces idées, derrière, j'augmente la qualité. il y a une production. C'est tout un challenge que je suis en train de mettre en place. Moi, c'est vraiment ce truc. que je kiffe, tu vois, et comme ça je te donne quand je suis ma curiosité, j'en reviens finalement à cette idée de... qui m'a tout bu de souffle à force de ramener ma science, ce qui est... et j'en viens à cette idée d'optimiser mon temps, d'industrialiser de mettre en place des machines, si tu me suis depuis un moment tu entends souvent ces thèmes récurrents qui reviennent et je suis là en fait les infobusiness, le problème c'est qu'on est piégé dedans, on travaille dans son infobusiness et moi j'ai envie de travailler sur mon infobusiness le problème c'est que c'est des trop petits business pour engager des grosses équipes pour pouvoir faire un exit et en plus il n'y a pas de valorisation, une faible valorisation sur ce genre de business vu que le fondateur est indispensable pour que le système y tourne donc comment je peux faire en sorte de m'extraire du système au maximum, avec les ressources actuelles, avec un petit business comme ça, qui génère même pas... C'est un business qui génère 200 000, 300 000 par an. C'est compliqué d'avoir un CEO avec toute une C-suite, et puis des mecs en dessous. Je veux dire, tu vas manger du pain à la fin de la semaine. comment faire ça avec les outils actuels, avec l'IA, avec le no-code, etc. Éventuellement, une ou deux personnes, mais avoir un business qui est extrêmement lean, qui est extrêmement toute petite équipe. D'ailleurs, je suis convaincu que l'avenir avec l'IA, c'est des micro-équipes. On a Sam Altman qui parlait du business milliardaire à une personne. Bon, ça n'annonce pas forcément des belles choses en termes de redistribution économique. L'autre part est tout à l'extrême, le 1% qui possède le 90% des ressources. Bientôt, on sera à peu près à 5% qui possède le 50%, un truc comme ça. Je crois que ça n'aime plus, je crois que... Bref. Et donc, du coup, avec l'IA, ça va s'accentuer. Ça veut dire que les pauvres gagneront de moins en moins et les riches de plus en plus. On est sur un trend qui a quelques centaines d'années déjà. et voilà, c'est comme ça, mais bref donc du coup tu sais mieux d'être du bon côté du bon côté du truc et donc moi vraiment je suis passionné par cette idée de pourquoi engager quelqu'un si je peux déléguer ça à la machine et avoir une micro équipe et avoir un système qui tourne et qui génère beaucoup de résultats avec très très peu de monde et très très peu d'efforts tu vois je déteste faire trois fois la même chose je préfère ensuite dire ok, une fois que j'ai compris le truc ça devient mieux et j'automatise donc j'en suis devenu cette idée du productiseux de gourou parce que l'anglais c'est rigolo productiseux donc le gourou productisé en français c'est à dire de standardiser un business de formation et de pouvoir s'en défaire et travailler dessus plutôt que dedans c'est à dire il me faut une heure par semaine pour rédiger mes contenus sur les réseaux sociaux tourner mon potias etc une à deux heures et donc du coup je pourrais stacker en une semaine de boulot une année de contenu tu vois à l'extrême je ferais peut-être pas ça une fois par année parce qu'il y a quand même des changements à anticiper mais genre si tu tous les quarters tu fais tes contenus tu prends quelques jours par quarter pour faire tes contenus et ensuite t'as tout ton temps derrière pour apprendre des trucs parce que le problème c'est ça c'est que moi j'aime me plonger très profondément dans un seul sujet penser ce sujet et voilà, le truc c'est quand t'es coincé dans un sujet et que tu dois créer du contenu quotidiennement en termes de créativité c'est compliqué parce que tu vas toujours parler du même sujet pendant longtemps mais souvent t'as peu de choses à dire sur ce que t'apprends, parce qu'il n'y a pas beaucoup d'informations qui sont importantes et du coup tu vas en parler pendant longtemps bref, c'est un petit peu le dilemme que j'ai et donc moi j'aime me concentrer sur un truc et même pas avoir besoin de penser à créer du contenu je dis ok là j'apprends ce truc, pas pour créer du contenu, pas pour en parler aux autres comme fait la majorité, j'apprends ce sujet et à peine j'ai suivi la formation je sors du contenu sur le sujet, non ça m'intéresse pas, moi ce qui m'intéresse c'est d'apprendre le sujet pour moi, comme si je n'avais pas de contenu à créer. J'apprends le truc parce que je veux l'implémenter, parce que je veux le pratiquer, parce que je veux en tirer des bénéfices. Et une fois que j'ai mis en place un système, une fois que j'ai compris, une fois que j'ai acquis la compétence, même une petite compétence, des fondamentaux, à ce moment-là, je dis, ben voilà, j'ai bricolé avec ça pendant quelques centaines, milliers d'heures, voilà ce que j'ai appris, voilà ce que j'ai mis en place, si ça t'intéresse quelqu'un, c'est ici. Et j'aime cette approche, justement, des phases, une phase créative, une phase d'implémentation. apprentissage, implémentation, résolution, et être majoritairement dans cette phase de résolution la plupart du temps, et une fois que je suis sorti de cette phase, je prends un moment de pause, et j'évacue toutes mes idées, et là du coup j'ai une machine qui me permet de sortir mes idées. Et donc du coup je travaille sur mon business, parce que quand tu es dans une phase de résolution, d'apprentissage, d'implémentation, tu mets en place des systèmes qui tournent pour toi. Voilà, donc moi c'est ça qu'il me parle. Comme ça j'en profite pour te parler de la direction que je prends avec cette chaîne, ce podcast, donc Productizot Guru. Et donc pour en arriver à ça, j'ai suivi ma curiosité. J'ai passé, ça fait une année et demie, tu me suis depuis un moment, tu verras, je tourne un petit peu en rond, je reviens, je repars, je suis instable. Parce que justement, volontairement, j'expérimentais, j'essayais d'écouter ma curiosité. C'est un travail qui prend du temps et qui n'est jamais vraiment terminé en fait. d'accord ? Et là, chaque fois tu sais, je t'ai dans le doute. Tu sais, si t'as déjà ce truc, tu commences un truc, tu doutes. Puis tu recommences autre chose, puis tu doutes. Puis tu recommences autre chose, puis tu doutes. Et on te dit fixe-toi sur un truc et va dans cette direction. Ça c'est un conseil, un mauvais conseil à mon avis. Tu sais, parce qu'il faut pas changer de niche toutes les trois semaines. C'est vrai et c'est faux en même temps. Ça dépend tout dans quelle phase tu es. Parce que si tu choisis encore une fois une niche et que tu forces, mais qu'en fait ça t'intéresse pas vraiment, que tu fais juste ça pour les résultats et que t'es pressé, bah si tu veux des résultats rapides, tu vas te forcer à faire un truc que tu aimes pas. Et après derrière, t'as le mec qui te dit Hard work, hard work, il bosse 12 heures par jour, machin, alors que lui-même il bosse 12 heures par jour parce qu'il kiffe une grande partie de ce qu'il fait. Mais que s'il kiffait pas ce qu'il faisait, qu'il forçait, comme il te dit de forcer sur le truc que tu fais pas kiffer, lui-même il arriverait pas à bosser 12 heures par jour. Sauf quelques exceptions de la nature éventuellement. Mais tu vois ce que je veux dire ? Donc... Oui, il y a de la merde à faire, il y a des trucs qui ne vont pas te perdre dans tous les métiers. Par contre, si le cœur de ce que tu poursuis, ça ne t'inspire pas, ça ne te donne pas envie de te lever le matin pour changer les choses, sans forcément leur changer le monde, mais j'entends, tu vois, moi, cette idée de faire un exit sur les infos business, en mode de travailler sur son business, me productiser, tu vois, productiser de gros. ça ça m'inspire vraiment parce que c'est ce que je fais depuis des années naturellement et je passe quand j'ai du temps libre pour m'amuser je fais ça, je dis qu'est-ce que je peux automatiser qu'est-ce que je peux simplifier comment je peux faire en sorte que le business puisse se passer un peu plus de moi j'ai ces questions en tête je n'ai pas des questions du style quel contenu je peux créer tu vois, de temps en temps j'ai un contenu, une idée qui me vient donc je rédige, mais souvent ma tête elle est sur le côté opérationnel donc je pourrais forcer dans le sens agence, marketing, etc mais en même temps, tu moi je suis plus stratégie, si tu as déjà pris un consulting avec moi, on va surtout parler de la stratégie. Stratégie est développer les idées, mais... édiger les contenus en tant que tel, faire de la copie et correction, c'est pas quelque chose que je fais parce que je suis pas naturellement bon là-dedans et je suis convaincu que c'est pas là où je peux apporter le plus. Par contre, quand il s'agit de prioriser, de créer des stratégies, d'opérationnaliser, mettre en place les systèmes, là, je suis là. Et je kiffe faire ça. Je peux passer des heures sur le business d'un de mes clients pour dire, tiens, on peut gagner 3 heures par semaine, là, on peut gagner 1 heure, là, on peut gagner 20 minutes. et ça je kiffe faire ça donc j'ai suivi ma curiosité d'accord et j'ai expérimenté et après le truc c'est que moi je suis quelqu'un qui suis polymath j'ai un coeur de généraliste j'aime et c'est une bonne chose parce que être entrepreneur c'est mieux d'être généraliste que spécialiste le spécialiste c'est de la connerie en bas donc on expérimente les différents connect de dot, t'expérimentes tu vois, Jobs il s'est mis à la calligraphie il s'est simplement pointé au cours qui suscitait sa curiosité sans savoir ce qu'il allait faire après, calligraphie je sais pas si ça me servira un jour, j'en ai aucune idée mais j'aime faire ça, donc du coup le jour où il y a une opportunité qui se pointe qui nécessite la calligraphie ce qui était le cas avec Apple ben bam, tu vois donc comment tu concrètement je vais te donner une petite piste pour pour t'aider à t'orienter un truc tout con, analyse tes contenus préférés pourquoi quand tu tombes sur un contenu qui t'attire vraiment là encore récemment je tombais sur un contenu j'ai plus le titre, je peux vite faire une recherche hum voilà Si vous regardez sur YouTube, c'est un peu bizarre. SXSW Billion Dollar Teams. The future of an AI-powered workforce SXSW 2024. Je pense que si tu tapes SXSW 2024, Billion Dollar, tu trouves. Du coup, ça, c'est un contenu qui m'attire beaucoup. Ça parle exactement de ce qui m'intéresse. tu vois des petites équipes automatisées avec l'IA, le paradigme du travail est cassé le paradigme c'est d'être un généraliste créatif, etc. framework A, c'est-à-dire créer des agents, des micros, tu vois, des agents comme des microservices, c'est-à-dire qu'on a un agent, un agent IA qui fait un truc très spécifique, puis ensuite, on les coordonne entre eux pour qu'ils discutent entre eux, pour qu'ils te sortent, par exemple, t'as une équipe d'IA qui te permet de rédiger un launch email, du coup, t'as différents IA qui s'occupent de la stratégie, un d'analyser les chiffres, un troisième de trouver les idées, faire la hotline, un quatrième de rédiger les emails, etc. du coup ils discutent entre eux et après il y a d'autres IA qui servent à coordonner qui doit faire quoi, où c'est que je redirige lui tend lui doit corriger les textes, donc maintenant qu'on a rédigé les emails on l'envoie j'aime faire ça parce que ça colle avec cette idée de productiser le gourou bref, et là c'est là où je veux en venir, c'est que quand tu trouves un contenu qui aspire ton attention essaie de comprendre pourquoi, qu'est-ce qui derrière ça peut t'apporter, qu'est-ce que tu penses que cette idée peut t'apporter Et ça t'aidera à comprendre la cause qui t'inspire. Moi derrière, comme encore une fois, l'idée de retirer du temps de travail, moins d'inputs pour plus d'outputs, et de le faire vraiment gagner du temps, automatiser, ça, ça me parle énormément. C'est ça. tu commenceras à noter des thèmes. Tu vois, chez moi, c'est les machines, encore une fois. Pense en machines, les modèles mentaux aussi, parce que c'est finalement identifier les quelques connaissances intemporelles qui m'apportent la majorité des résultats, parce que j'ai pas envie d'apprendre 40 000 jours, juste apprendre les quelques choses, les quelques éléments qui me permettront de me resservir encore et encore de ces connaissances pour faire un maximum de trucs. J'aime ça, tu vois. Ça pourrait très bien être la communication, ça pourrait être le tricot, qu'est-ce qu'on le type de contenu que tu consommes et pourquoi ? C'est le pourquoi qui est important. Derrière, qu'est-ce qui t'attire ? Regarde aussi ton historique. YouTube ou Google Chrome. Tu slalomantes les choses un peu exotiques. Si t'as pas supprimé correctement ton historique. Et derrière, tu vas chercher les... les contenus vraiment qui t'ont parlé de plus, les meilleurs livres que t'as lus aussi et tu te poses cette question pourquoi ça m'intéresse, qu'est-ce qui m'amène qu'est-ce que je peux en retirer comme bénéfice apparemment, dans ma tête c'est quoi le bénéfice que j'en tire pourquoi ça m'attire ce truc là est-ce qu'il y a aussi des choses qui t'attirent même sans raison genre tu te dis ok j'aime juste cette idée j'aime les belles choses, donc je suis attiré par le design parce que je trouve qu'un beau site internet ça me fait me sentir d'une telle façon tu vois, donc peut-être que le design c'est quelque chose qui me parle et puis tu vas avoir plusieurs centres d'intérêt. Il ne faut pas essayer de trouver un seul centre d'intérêt. Moi, je ne suis pas en soi intéressé par l'IA. Je suis intéressé par l'idée d'automatiser un business. grâce au code, grâce à l'IA, mais j'aime aussi le côté communication, même si ce n'est pas ma plus grande force. J'aime apprendre, j'aime mettre en forme mes idées, les packager d'une manière à ce que d'autres personnes puissent s'en servir. J'aime ce principe de créer des frameworks, de modéliser. Tu vois ? Donc j'ai plusieurs centres d'intérêt comme ça. et en m'intéressant à ces différentes choses, même si je ne sais pas comment je vais pouvoir m'en servir aujourd'hui exactement, je m'intéresse quand même à ce truc-là. Donc ça prend du temps qui est indirectement corrélé à... à tes résultats, parce que tu apprends un truc, tu te dis, mais Jobs qui apprend la calligraphie, il ne sait pas pourquoi, d'accord ? Mais tout d'un coup, un jour, tu vas trouver une opportunité qui va rassembler une bonne partie de ces choses-là, et là, bingo, non seulement tu auras les compétences, tu seras uniquement qualifié, il y aura peu de personnes comme toi qualifiées qui auront cette combinaison de compétences atypiques, parce que comme tu suis ta curiosité, et tu es authentique, il n'y en a pas deux comme toi, il n'y a pas deux personnes qui ont les mêmes centres d'intérêt, et donc du coup, en suivant tes centres d'intérêt, par défaut, tu te crées un portfolio de compétences qui sont propres à toi, qui sont alignées à tes aptitudes parce que tu peux te concentrer toute la journée sur ces choses donc tu kiffes les faire, donc tu développes la compétence parce qu'au final c'est ça le plus important si tu as un talent pour un truc que tu n'aimes pas faire tu ne vas pas réussir à le développer, mieux vaut de prendre un truc où tu as moins de talent mais une curiosité sans fond pour le sujet. Donc là, à ce moment-là, tu vas pouvoir le développer et devenir excellent. Et quand tu combines plusieurs de ces curiosités ensemble et que tu trouves un sweet spot, une intersection de plusieurs de ces compétences, tu te retrouves uniquement, tu es unique sur le marché ou quasi unique, donc tu es rare et de valeur. Et à ce moment-là, tu es difficile à déloger. Tu vois ? Le problème, c'est que pour trouver ce sweet spot, il te faut la perspective. Et pour avoir la perspective, il te faut apprendre ses compétences. Donc le truc c'est aussi de ne pas apprendre des compétences que tu détestes pour faire de l'argent, pour vivre dans un manoir. Le truc c'est de suivre ta curiosité pour apprendre les compétences que tu kiffes, pour te retrouver qualifié, pas uniquement qualifié mais qualifié comme une des seules personnes dans ce sujet là. Comme ça, si on a besoin de ce truc en particulier dans cette niche là, c'est vers toi qu'on vient, parce que c'est toi le meilleur, parce que tu kiffes faire ce truc là et que c'est très difficile de rivaliser avec toi parce que tu passes 10-12 heures par jour là-dessus parce que tu kiffes ce sujet. C'est ça le grand secret en fait. et est-ce que si tu suis ta curiosité pendant des années, forcément tu vas devenir millionnaire, faire beaucoup d'argent, non c'est ça le truc qui fait peur, c'est que peut-être tu vas avoir des intérêts qui vont te faire gagner modestement ta vie mais comme je dis encore, c'est la grande question, est-ce que tu veux vivre dans un manoir à faire des choses que tu détestes ou est-ce que tu veux vivre dans une maison modeste dans un endroit modeste à faire des choses que tu kiffes ça c'est une décision que je dois prendre c'est toi qui prends cette décision je pense qu'il y a un meilleur chemin maintenant à toi de décider et et donc peut-être que suivre ta curiosité c'est en même temps le truc qui te fera gagner beaucoup d'argent donc dans ce cas là, banco mais est-ce que gagner beaucoup d'argent c'est vraiment ce qui est important parce que finalement pourquoi on veut gagner beaucoup d'argent, c'est pour avoir atteint un certain état interne d'accord ? on veut atteindre un objectif externe pour se sentir d'une certaine manière, et quand on atteint cet objectif on se rend compte que cet objectif ne génère pas l'état interne désiré et donc qu'est-ce qu'on fait ? on cherche un autre objectif à l'extérieur, alors qu'en fait le truc vient plutôt de l'intérieur, c'est comment tu remplis ta journée, comment tu perçois tu te perçois toi, comment tu perçois les autres c'est ça qui va changer ton état interne donc finalement devenir riche ou pas c'est secondaire ce qui est important c'est de faire des choses qui t'inspirent, que tu kiffes. Faire des choses que tu aimes avec des gens que tu aimes, dans un corps sain. santé, relation et puis contribution j'aime bien ce terme contribution c'est plus penser en termes d'utilité qu'est-ce que je veux contribuer à faire pour les autres parce que quand tu es à curiosité tu te dis en même temps comment je peux faire en sorte que ce que j'apprends ça peut aider les autres et c'est là où si tu cherches le bonheur cherche à être utile est-ce que c'est plus agréable de donner ou de recevoir un cadeau quand tu offres, quand tu commences à avoir des enfants ou des neveux, nièces tu offres un cadeau, tu vois le plaisir que t'as donné ce cadeau est bien plus grand que celui de recevoir un cadeau on est conçu comme ça donc être utile c'est ce qui chercher à rendre les autres heureux c'est ce qui nous permet d'être heureux c'est un peu cliché mais c'est extrêmement vrai et je terminerai sur la citation de Naval Ravikant qui nous dit trouver ce qui a l'air d'être un jeu pour vous et du travail pour les autres c'est cette intersection entre les deux pour toi c'est un jeu mais c'est du travail pour les autres si c'est un jeu pour tout le monde c'est difficile à monétiser go Netflix c'est un peu un jeu pour tout le monde c'est un série rap pour tout le monde regarder Netflix, comment tu veux vendre cette compétence tu vas dire, je suis excellent à regarder des séries et tu essaies de vendre ça à quelqu'un t'es pas tellement utile alors que dès qu'il y a une notion de travail il y a une notion de produire quelque chose et donc d'être utile pour quelqu'un et c'est réussir à être utile à l'échelle qui te permet de gagner plus d'argent voilà donc suive sa curiosité et sa curiosité finalement c'est qu'est-ce qui absorbe ton attention qu'est-ce que tu pourrais faire toute la journée et pas voir passer les heures regarde déjà dans ton quotidien il y a déjà des choses que tu fais et qui t'absorbe et tu vois pas passer les heures et qui a l'air d'être du travail pour les autres aussi enfin qui est du travail pour les autres mais pas pour toi tu vois moi typiquement opérationnel optimiser mes process c'est un truc je perds le fil du temps quand je fais ça pourtant pour beaucoup de monde c'est s'ils pourraient s'en débarrasser ils le feraient avec plaisir j'adore faire ça donc comment je peux monétiser ça Productives de gourou ça va être mon focus probablement les prochaines années j'ai dit ça plusieurs fois ces derniers temps donc je dis probablement parce que justement je suis un petit peu à ta tente en tous les sens j'essaie, je lance des différentes offres je regarde ce qui me plaît, ce qui me plaît pas mais là ce truc est avec moi depuis deux mois et ça m'intéresse beaucoup de comment je peux t'aider finalement à automatiser 80-90% de tes actions quotidiennes dans ton business pour que tu puisses te concentrer sur la partie créative. Il y a aussi cette notion pour moi de pouvoir travailler sur papier, d'automatiser pour se libérer de la technologie. C'est un petit peu bizarre. C'est utiliser la technologie pour s'en débarrasser. La plupart des gens, ils sont toute la journée la tête derrière leur écran. je ne sais pas, moi je trouve quand même bien plus aggrave comme mode de vie, genre si tu peux te poser un café avec un stylo, un crayon et un bloc-notes et puis un livre papier et que tu te mets à penser à tes idées, tu rédiges tes outlines et ensuite tu tournes un contenu face caméra mais donc du coup tu peux peut-être aller quelques heures par semaine où tu es sur l'ordinateur pour faire l'édition et encore tu peux trouver d'autres outils du style freewriter pour écrire hors écran et donc tu es très très peu derrière un écran ce qui te permet d'être plus connu que la réalité. Je ne sais pas si tu as remarqué, quand tu es derrière un écran, tu es absorbé par ces pixels, par ce carré, et tu fais abstraction de la réalité. Alors que quand tu es en train de lire un bouquin, tu es... dans la réalité. Je ne sais pas comment expliquer. C'est comme si tu avais déjà vu le film Trône peut-être, quand le mec se fait numériser dans l'ordinateur. J'ai un peu cette impression genre, seul le monde numérique existe quand je suis derrière un ordinateur. Par contre, dès que je suis derrière un papier, un crayon, enfin, un bloc-notes et un crayon avec un livre papier, je ne suis pas absorbé dans ce monde façon Trône. Je suis dans la vraie vie et ce que je suis en train de regarder fait partie de la vraie vie, fait partie du décor, fait partie de... Et j'ai un état d'esprit qui est très différent et et plus concentré. Du coup, j'aime cette idée d'utiliser la technologie pour ne pas avoir à l'utiliser. Donc, faire levier sur la technologie pour qu'elle travaille à ma place. Si tu peux rédiger le brouillon de ce contenu plutôt que moi passer une demi-heure derrière l'écran, si je peux le faire avec ChatGPT en 30 secondes, et ensuite, je peux seulement faire l'édition à partir d'un free writer, tester des écrans ink, un peu comme sur les Kindle, sauf que tu peux écrire. Il y a aussi les Remarkables 2 avec un clavier. Je vais tester ces options. et donc du coup je peux éventuellement faire ça, j'ai pas ce même sentiment derrière ces écrans que derrière un écran d'ordinateur bref, ça pour te dire exit de l'infopreneur productiser le gourou, moi c'est un truc qui me parle la question c'est toi maintenant, qu'est-ce qui te parle tu vois, et je terminerai encore une fois sur un petit dernier mot, c'est que c'est un exercice qui peut prendre des mois ne force surtout pas, expérimente laisse incuber, t'as le chemin qui va se révéler progressivement, parce que si tu forces, tu vas stresser tu auras peur de mal choisir et tu vas tourner en rond. Et c'est une parole d'expert de tournage en rond qui te dit ça. Donc, suit ta curiosité. Ne cherche pas à être rentable pour l'instant. Cherche à identifier des choses qui attirent naturellement ta curiosité. Et ensuite, tu verras comment monétiser ça. Je vous souhaite une magnifique On se retrouve dans un prochain podcast. Salut !

Share

Embed

You may also like

Description

Choisir un métier, une carrière ou une compétence à développer c'est effrayant. J'ai longtemps douté.

En lisant les grands esprits, ils répètent tous la même chose : trouve un domaine dans lequel tu as des aptitudes, sinon tu n'y arriveras pas.

Voilà la solution qui m'a permis de résoudre cette énigme.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • #0

    Ok, j'espère que tu vas bien. Ça faisait un petit moment que je n'avais pas fait de podcast et on va reprendre avec le choix d'une carrière, d'un métier ou d'une compétence à développer. C'est choisir sa voie, on pourrait dire. J'ai beaucoup étudié ce sujet, j'ai beaucoup galéré, j'ai beaucoup stressé. Et même encore récemment, je suis vraiment en plein dedans et j'en ressors avec plus de clarté. avec un chemin, la direction dans laquelle je veux aller. Je te recommande de t'en parler aussi un petit peu de mon projet pour la suite de cette chaîne. Et j'aimerais arriver avec une petite idée simple pour t'aiguiller sur le bon chemin dans ta vie. Parce qu'effectivement, il y a un million de possibilités. Je me demandais à moi-même, est-ce que je veux faire un marketing ? À un moment donné, j'étais parti dans le... J'ai commencé d'ailleurs, j'avais 16 ans, le DJing, peut-être, même 15 ans, peut-être. DJing, j'étais convaincu d'être DJ pro, un peu illusoire mais bref. Ensuite je suis parti dans la formation DJ, ensuite je suis parti dans le marketing pour les infopreneurs comme beaucoup. J'ai arrêté pendant un certain temps, ça quelques années, pour me lancer dans la programmation de SaaS, parce que j'ai un background d'informaticien. Très vite j'ai abandonné et je suis revenu dans le marketing et aujourd'hui... je suis un petit peu en train de faire un film entre marketing et code, tu vas voir, je vais t'en parler tout à l'heure, mais donc du coup, tu vois, tu as ce doute, tu peux partir dans plein plein plein plein de directions, et tu dis, mais est-ce que c'est la bonne direction pour moi ? Et il y a un truc encore plus effrayant, parce qu'un truc que j'aime beaucoup faire, c'est écouter les grands esprits de cette planète, nous expliquer quels sont leurs principes sur lesquels ils opèrent, et un truc qui revient systématiquement chez ces grands esprits, qui c'est que... si tu choisis un domaine dans lequel tu n'as pas d'aptitude, que ce soit naturel ou non, je pense que c'est un mélange des deux, tu es sûr de ne pas y arriver, tu es sûr d'avoir une carrière misérable. Donc en gros, tu es là, tu es face à toute cette incommensurable incertitude de choix, de multiplicité de choix, et d'un autre côté on dit, attention, si tu choisis mal, c'est galère. Et c'est un des plus gros, gros, gros, gros, gros problème, un des plus gros regrets de la plupart des gens dans le monde professionnel, c'est d'avoir choisi la mauvaise carrière, c'est d'avoir choisi le mauvais job, le mauvais métier, d'avoir pris la mauvaise décision. comment on évite de prendre cette mauvaise décision ? Comment on fait en sorte de se retrouver là où on doit être ? C'est ça finalement la question. Le problème, c'est que tu n'as pas le contexte. Aujourd'hui, tu te dis, ok, parce qu'on n'est pas forcément très bon à s'évaluer, genre est-ce que je suis bon là-dedans ou pas ? On a tendance à croire que oui. Genre, quand j'ai commencé le business, il y a des années, j'étais convaincu d'être extraordinaire, j'étais vraiment extrêmement doué, plus que Warren Buffett peut-être. Voilà, j'étais vraiment tout grand, tout puissant. alors même que je n'avais pas encore de résultats, on parle de ça en 2011, 2012, 2013, j'étais quand même convaincu d'avoir la science infuse et j'expliquais à tout le monde. Et en fait, quand je prenais du recul, je regardais mes résultats, que je faisais des... En 2012, sur mon premier business, je faisais des lancements à 1000, 2000 euros le lancement et j'étais convaincu d'être un génie du business, alors qu'en réalité, si on comparait mes résultats à ce que je pensais, on était très très loin de la vérité. Donc... on commence par, quelles sont nos aptitudes, quelles sont nos forces, tu vois, et donc, pour moi, je sais aujourd'hui que l'art de communiquer, tout ce qui est persuasion, c'est pas une de mes forces. Ce n'est pas une de mes forces. C'est-à-dire que je peux, j'ai eu des amis, je citerai notre ami Jean-Loup Lebrun, que beaucoup connaissent, si tu me suis, tu le connais probablement, qui lui est extrêmement bon en communication, il sera bien meilleur que moi. Il présentera mieux, il sera plus avenant, il aura l'air plus sympathique que moi, parce que c'est quelqu'un qui est très doué avec la langue, et il est fait pour ce truc-là. Il adore écrire. Moi, je ne suis pas spécialement fan de l'écriture. Tu vois, si je dois me poser devant un texte, on dirait que comment je formule ça pour donner aux gens envie de le lire ? En fait, ça me gonfle, tu vois. Tu écoutes ce podcast, il n'a pas été organisé pour capter l'attention. d'accord ? Ce que j'aime faire en revanche, c'est penser, c'est chercher des concepts qui peuvent changer ma vie. Tu vois, c'est apprendre les bons modèles que je peux ensuite implémenter dans ma vie, mettre à jour les systèmes, optimiser ces systèmes, gagner du temps. C'est ça que j'aime faire, tu vois. Et ce qui m'amène en fait à mon petit frémorque pour décider de sa carrière et c'est un peu spécial, il faut avoir la foi et Steve Jobs nous donne un premier indice, il nous dit Quand il fait son discours à Stanford, il parle de connecter les points rétrospectivement. Connect the dots backward. Et il dit, vous devez avoir la foi, parce que vous ne pouvez pas les connecter en avant, vous pouvez seulement les connecter en arrière. Ce qu'il a voulu dire par là, c'est que tu choisis une première chose, puis une deuxième, puis une troisième, puis une quatrième, puis une cinquième, et un jour, par hasard... tu te rends compte que les différents choix que tu as faits convergent vers une opportunité. Dans le cas de Steve Jobs, c'était Apple. Et tu vois, il y avait la calligraphie, on le connaît, la calligraphie, l'informatique. Et tout a convergé vers la création du premier Mac. Et lui, quand on parle de milliardaires, il y a énormément de chances aussi qui sont... qui sont en jeu, c'est des gens qui sont énormément travailleurs, extrêmement intelligents et extrêmement chanceux à la fois. Donc c'est des anomalies complètes. Mais n'empêche que cette idée de connecter rétrospectivement les points, elle fait sens. Le problème c'est que tu vois, tu peux voir que le premier point devant toi. Et donc tu sais pas les 10, 15, 20 points. nécessaires, des points décisionnels dans ta vie qui vont faire qu'à un moment donné, tout va converger vers cette opportunité que tu ne vois pas encore. Et tu peux essayer d'y réfléchir pendant des années, tu ne la trouveras pas en fait. Parce que le monde est beaucoup trop complexe et il y a beaucoup trop de choses que tu ne sais pas que tu ne sais pas pour pouvoir faire cet exercice. Donc, comment on fait face à cet océan d'incertitude ? Déjà, la première chose qu'on peut se poser comme question, c'est quelqu'un qui regrette et quelqu'un qui regrette d'avoir pris la mauvaise carrière, pourquoi il le regrette ? C'est quoi la raison fondamentale de son regret ? Et c'est quasiment toujours la même. Cette raison, c'est qu'il n'aime pas ce qu'il fait. Ce qu'il fait, c'est des trucs qu'il déteste. Et donc la réponse à ça, c'est de dire, finalement, on ne sait pas si on va devenir riche. On peut prendre des décisions qui vont augmenter les chances de devenir riche, très riche. Mais ça reste toujours une probabilité qui est contre nous. C'est que tu aies envie ou pas d'y croire à ça, c'est la réalité. Les chances, alors peut-être un million si vraiment tu te donnes les moyens, ça reste globalement accessible aujourd'hui, de moins en moins. Par contre, 10 millions, 100 millions, 1 milliard, là on augmente, on arrive vraiment de plus en plus vers de la chance. Les probabilités sont vraiment contre toi. C'est-à-dire qu'en gros, tu vas faire un pari toute ta vie. En tout cas, les 10 prochaines années, tu vas bosser comme un monstre. et au bout il n'y aura probablement rien tu vois si je dis tu vas bosser tous les jours 15h pendant 10 ans et tu as une chance sur 10 de gagner 100 000 ça demande du courage. Donc, on n'en est pas là. Moi, en tout cas, ce n'est pas mon objectif dans ma vie. Ce qui m'intéresse, ce n'est pas forcément de gagner énormément d'argent. Ce qui m'intéresse, moi, c'est de faire un truc que j'aime et d'avoir suffisamment à la banque pour couler des jours heureux et sans trop de... Enfin, de minimiser les risques, tu vois. Je n'ai pas besoin de vivre dans un manoir, ça ne m'intéresse pas. Je préfère avoir une marge de sécurité dix fois supérieure à ce qui est nécessaire et puis avoir une vie sereine. comme ça je peux me concentrer au quotidien à faire ce que j'aime, parce que tu vois le truc c'est ça c'est que plus tu augmentes tes possessions matérielles plus ce que tu dois faire pour conserver ces possessions matérielles ça va être dans les actions que tu fais dans ton quotidien et si tu vis dans un manoir mais que derrière t'es misérable à faire un truc que t'aimes pas pour avoir ce manoir, à quoi ça sert ? Si en revanche tu vis dans une petite maison, même un appartement qui est confortable sans être extravagant mais que derrière tu passes tes journées à faire des choses que tu kiffes c'est quoi le meilleur scénario ? Ce qui m'amène à ma petite solution, c'est tout bête, mais en fait ça demande de la foi, comme dit Steve Jobs, c'est qu'on ne pouvait pas connecter les points en avant, il vous faut avoir la foi, appeler ça comme vous voulez, la foi, le karmage, plus sa citation que ça, ce qu'il nous mais il faut avoir la foi, et pour ça tu suis ta curiosité. C'est-à-dire que tu vas chercher Je ne parle pas de passion. Attention, entendons-nous. Suivre sa passion, c'est un mauvais conseil. Parce qu'il est très peu applicable. C'est quoi la passion ? La passion, finalement, c'est quand tu as fait suffisamment de fois une chose que tu aimes, ça se renforce. Ça, c'est le principe de punition et récompense, au conditionnement opérant. Je fais l'activité A, j'ai du plaisir à le faire, ça renforce mon envie de faire l'activité A, etc. Et donc, tu crées une boucle. Et en fait, plus tu augmentes ton expertise, plus ça devient facile de faire l'activité et d'obtenir des résultats. Au début, ça demande beaucoup d'efforts, tu as peu de résultats, mais plus tu avances, moins ça demande d'efforts pour plus de résultats. Et donc du coup, tu as ce renforcement positif qui fait que tu deviens de plus en plus passionné par ce que tu fais. Maintenant, je ne peux pas te parler de ça, je suis en train de parler de curiosité. C'est-à-dire ce qui naturellement attire ton attention. Qu'est-ce que tu as envie d'apprendre ? Qu'est-ce que tu as envie de consommer ? Qu'est-ce que tu as envie de bricoler ? il y a une citation, je ne sais plus exactement comment elle va, c'est les technologies de demain sont les hobbies de week-end des gens intelligents C'est-à-dire que, par exemple, la crypto-monnaie, celui qui a inventé la crypto-monnaie, qui qu'ils sont, on ne sait pas vraiment, c'était sûrement un de ses hobbies à côté, il n'a jamais pensé que ça donnerait ça, mais il a kiffé inventer ce truc. Et c'est souvent le cas. c'est des gens qui ont vraiment des hobbies et ils bricolent avec des technologies et tout d'un coup ces technologies elles deviennent intéressantes ils lèvent des fonds ils lancent un truc et donc suivre ta curiosité c'est ça c'est qu'est-ce qui attire ton attention qu'est-ce que tu fais naturellement tu vois moi je me suis par exemple rendu compte et j'ai résisté à ça pendant longtemps, que rédiger des contenus, c'est pas le truc qui attire mon attention. Je vais pas passer toute la journée à rédiger du contenu en mode Ouais, c'est génial, c'est génial. Je déteste pas parler de mes trucs, comment j'ai fait ce podcast. Je trouve ça sympathique. Mais comme je t'ai dit avant, reformuler 40 fois le contenu pour qu'il soit le plus engageant possible, ce qui est basiquement le marketing, d'accord ? C'est pas ce qui m'attire le plus. Je le fais, j'en souffre pas, je le fais, c'est ok, mais ce que je vais naturellement faire toute la journée, sans y penser, c'est d'optimiser mes procédures. Alors, il y a beaucoup de monde qui va dire Ah, putain, ça c'est chiant, franchement, c'est quand même mieux de rédiger du contenu. Ok, ben tu vois, moi, ce que je kiffe, c'est optimiser mes process. Pourquoi ? Parce que derrière, je gagne du temps. Si je peux faire le même truc en une heure plutôt qu'en une semaine, tu vois, le truc, il est là. Et comme j'ai déjà une bonne connaissance en informatique, en programmation, et que mon cerveau, il est naturellement câblé comme ça, j'ai cette curiosité de Ah tiens, là, je peux gagner deux heures. parce que moi je suis un gros flemmard de base je suis pas Alex Ormosi je suis pas en mode hard work 40h par jour je connais d'ailleurs personne dans mon entourage qui est comme ça d'accord, je le vois plein sur internet mais en vrai finalement ils sont pas si bref il y a combien d'heures effectivement vraiment, travailler dans ta journée ça c'est une autre question mais je doute qu'il y ait vraiment des gens qui travaillent 80 heures par semaine de manière effective. Moi, je vois, là, j'ai bossé ce matin, j'ai édité des contenus. Je serais incapable de faire ça l'après-midi. Donc, ça va être des choses comme ce podcast et d'autres tâches plus légères. Je vais expérimenter un petit peu avec l'IA. Je suis en train d'apprendre ça, mais même là, c'est déjà presque un peu lourd comme job. Bref, ce que je veux dire, c'est que moi, je suis un flemmard et j'aime. optimiser mon temps. Parce que, tu vois, moins d'inputs pour plus d'outputs, physiquement. Travailler moins, gagner plus. Je veux dire, qui n'aime pas cette idée ? Donc, je suis vraiment passionné par ça et j'aime ce côté hors. Genre, pourquoi je ferais un truc qu'une machine peut faire à ma place ? J'aime mettre en place les process, j'aime moins les exécuter. Donc au début, il faut faire les deux. Mais je suis vraiment dans ma tête, c'est je construis une machine qui peut se passer de moi. Moi, c'est vraiment ça mon objectif. Et quand tu es dans de l'info business, le problème, c'est que l'info business, il ne peut pas se passer de toi vraiment, parce que si tu crées du contenu, c'est la tête du fondateur, la tête du créateur, qui est mise en avant, et on achète parce que c'est ta tête, justement. Donc comment on retire le fondateur sans retirer la tête du fondateur ? On peut générer la tête d'Eclair, mais ça reste encore un petit peu... Par contre, c'est pas noir ou blanc, on peut supprimer la majorité du travail du créateur en l'automatisant ou en le délégant. C'est pour ça qu'il y a des ghostwriters. avec l'IA maintenant aujourd'hui, et ça, ça m'intéresse. Moi, j'appelle ça industrialiser le contenu. Et là, tu te dis, ouais, machin, le contenu, ça ne s'industrialise pas. Approche artisan, j'entends, et c'est une approche qui est tout à fait honorable. Et si c'est ça que tu kiffes pendant ta journée, fais-le. Maintenant, si ce que tu kiffes, c'est de travailler moins et gagner plus, ce n'est pas forcément un mindset qui va te servir. Un mindset qui va plus te servir, c'est le mindset de Andy Varol, qui lui, basiquement, il a industrialisé l'art. et donc le but c'était de pouvoir c'est un des mecs je crois un des 5 mecs qui a le plus produit d'art dans le monde je vais te dire un chiffre je suis pas sûr de ce chiffre mais je crois que 10 à 20% des oeuvres d'art vendues c'est Andy Warhol tu vois pour te dire à quel point le mec a été ultra productif parce qu'il a industrialisé l'art il a une manière de faire de l'art qui pouvait être répliqué, donc lui il trouvait les idées, et une fois que l'idée était faite, il y avait un processus, que je ne pourrais pas vous expliquer en détail, de production qui faisait qu'il pouvait à l'échelle reproduire ces tableaux. Bref, et donc, ça, ça m'intéresse. Parce que ça, c'est penser comme un entrepreneur. D'ailleurs, tu prends... C'est la différence entre un inventeur et un entrepreneur. L'inventeur, ça va être Nikola Tesla, qui va inventer l'ampoule électrique. Et l'entrepreneur, ça va être Thomas Edison, qui va rendre l'ampoule électrique viable. Parce qu'après, on dit, Thomas Edison, il a inventé l'ampoule électrique. Non, non, c'est pas lui. Il y a Nikola Tesla, il y en a d'autres qui avaient inventé des versions des ampoules électriques. Ce qu'il a fait, Edison, c'est qu'il a trouvé... Une version viable, économiquement. de l'ampoule électrique. Et il a appris un système de distribution à l'échelle. C'est pour ça que c'est Edison qu'on connaît en tant qu'inventeur d'ampoule électrique, parce que c'est lui qui l'a rendu mainstream, cette idée. D'accord ? Cette invention. Mais il n'a pas inventé l'ampoule incandescente. Ça, c'est pas vrai. Pourtant, c'est lui qui récolte le gros délire. Il y a Tesla qui est mort dans la misère. Pourtant, Tesla était probablement un plus grand inventeur que Edison. Donc, il y a une leçon, là, derrière. Il y a une notion de productivité. Il y a une notion... justement de mettre en place des machines tu vois il y a celui qui est l'artiste et l'industriel moi je suis plus un industriel j'aime aussi le côté artiste, j'ai été DJ dans la musique mais tu regardes encore une fois dans la musique c'est un excellent exemple on dévie un peu sur le podcast mais je vais revenir ça donne un peu de substance et de contexte mais tu prends les plus grands DJ producteurs les plus connus qu'est-ce qu'ils font ? il y a des banques de samples, des banques d'échantillons audio ils vont chercher les échantillons audio et ils créent un son avec. Genre, tu as une mélodie déjà préenregistrée. J'ai eu vu des David Guetta et compagnie qui reprennent l'enregistrement exact et qui t'en sortent un son. Ils rajoutent des bases dessus, ils te sortent un son derrière. Et c'est pas qu'on produit la mélodie, mais le truc est devenu un carton. J'ai eu joué des sons. et plus tard quand j'achetais des banques de son je retrouvais dans la banque de son l'échantillon original je dis putain en fait c'est de l'arnaque j'ai un son en tête mais j'ai plus le titre de guetta notamment et tout est comme ça il y a celui qui invente et il y a celui qui industrialise le truc tu prends sur les réseaux sociaux c'est la même chose celui qui a le plus de vues qu'est-ce qu'il fait il va chez les petits créateurs qui sortent des bons contenus ils prennent les idées des petits créateurs et ils balancent ça sur leur canal de distribution qui amène bien plus de trafic. Parce que c'est des industriels, en fait. Donc, si je suis en train de te dire qu'il faut devenir un industriel, je suis en train de te dire qu'il y a un spectre... d'un côté les artistes, de l'autre côté les industriels, et tu choisis en fait sur ce spectre, est-ce que tu veux être le petit artisan, le petit boulanger qui fait son pain ? Ce qui est complètement ok, je veux dire, encore une fois, parce que le but c'est de suivre ta curiosité, de suivre ce qui t'inspire naturellement, et si c'est rien de prendre un chemin qui potentiellement peut te rapporter beaucoup plus d'argent, si tu détestes ce chemin-là, comme je disais avant, c'est la grande maison, le grand manoir, mais t'es misérable dedans. ou alors tu deviens un artisan. Moi, ce que j'aime, c'est le côté industriel. C'est-à-dire comment je peux produire des contenus de très haute qualité tout en m'extrayant du processus au maximum. Que ça me prenne, genre j'ai une idée, en cinq minutes, je griffonne l'idée et ensuite je balance ça dans mon process et il y a les contenus de l'autre côté qui sortent. d'accord ? Par en une heure, je peux produire une semaine de contenu, tu vois ? Et sans avoir des contenus rédigés façon chat GPT, tu vois, de merde, tu vois ? Parce que les contenus génériques, ça va juste faire du mal à ta marque. Donc, ce n'est pas l'idée. c'est au contraire d'avoir des idées encore plus qualitatives. Vu que j'ai du temps pour trouver ces idées, derrière, j'augmente la qualité. il y a une production. C'est tout un challenge que je suis en train de mettre en place. Moi, c'est vraiment ce truc. que je kiffe, tu vois, et comme ça je te donne quand je suis ma curiosité, j'en reviens finalement à cette idée de... qui m'a tout bu de souffle à force de ramener ma science, ce qui est... et j'en viens à cette idée d'optimiser mon temps, d'industrialiser de mettre en place des machines, si tu me suis depuis un moment tu entends souvent ces thèmes récurrents qui reviennent et je suis là en fait les infobusiness, le problème c'est qu'on est piégé dedans, on travaille dans son infobusiness et moi j'ai envie de travailler sur mon infobusiness le problème c'est que c'est des trop petits business pour engager des grosses équipes pour pouvoir faire un exit et en plus il n'y a pas de valorisation, une faible valorisation sur ce genre de business vu que le fondateur est indispensable pour que le système y tourne donc comment je peux faire en sorte de m'extraire du système au maximum, avec les ressources actuelles, avec un petit business comme ça, qui génère même pas... C'est un business qui génère 200 000, 300 000 par an. C'est compliqué d'avoir un CEO avec toute une C-suite, et puis des mecs en dessous. Je veux dire, tu vas manger du pain à la fin de la semaine. comment faire ça avec les outils actuels, avec l'IA, avec le no-code, etc. Éventuellement, une ou deux personnes, mais avoir un business qui est extrêmement lean, qui est extrêmement toute petite équipe. D'ailleurs, je suis convaincu que l'avenir avec l'IA, c'est des micro-équipes. On a Sam Altman qui parlait du business milliardaire à une personne. Bon, ça n'annonce pas forcément des belles choses en termes de redistribution économique. L'autre part est tout à l'extrême, le 1% qui possède le 90% des ressources. Bientôt, on sera à peu près à 5% qui possède le 50%, un truc comme ça. Je crois que ça n'aime plus, je crois que... Bref. Et donc, du coup, avec l'IA, ça va s'accentuer. Ça veut dire que les pauvres gagneront de moins en moins et les riches de plus en plus. On est sur un trend qui a quelques centaines d'années déjà. et voilà, c'est comme ça, mais bref donc du coup tu sais mieux d'être du bon côté du bon côté du truc et donc moi vraiment je suis passionné par cette idée de pourquoi engager quelqu'un si je peux déléguer ça à la machine et avoir une micro équipe et avoir un système qui tourne et qui génère beaucoup de résultats avec très très peu de monde et très très peu d'efforts tu vois je déteste faire trois fois la même chose je préfère ensuite dire ok, une fois que j'ai compris le truc ça devient mieux et j'automatise donc j'en suis devenu cette idée du productiseux de gourou parce que l'anglais c'est rigolo productiseux donc le gourou productisé en français c'est à dire de standardiser un business de formation et de pouvoir s'en défaire et travailler dessus plutôt que dedans c'est à dire il me faut une heure par semaine pour rédiger mes contenus sur les réseaux sociaux tourner mon potias etc une à deux heures et donc du coup je pourrais stacker en une semaine de boulot une année de contenu tu vois à l'extrême je ferais peut-être pas ça une fois par année parce qu'il y a quand même des changements à anticiper mais genre si tu tous les quarters tu fais tes contenus tu prends quelques jours par quarter pour faire tes contenus et ensuite t'as tout ton temps derrière pour apprendre des trucs parce que le problème c'est ça c'est que moi j'aime me plonger très profondément dans un seul sujet penser ce sujet et voilà, le truc c'est quand t'es coincé dans un sujet et que tu dois créer du contenu quotidiennement en termes de créativité c'est compliqué parce que tu vas toujours parler du même sujet pendant longtemps mais souvent t'as peu de choses à dire sur ce que t'apprends, parce qu'il n'y a pas beaucoup d'informations qui sont importantes et du coup tu vas en parler pendant longtemps bref, c'est un petit peu le dilemme que j'ai et donc moi j'aime me concentrer sur un truc et même pas avoir besoin de penser à créer du contenu je dis ok là j'apprends ce truc, pas pour créer du contenu, pas pour en parler aux autres comme fait la majorité, j'apprends ce sujet et à peine j'ai suivi la formation je sors du contenu sur le sujet, non ça m'intéresse pas, moi ce qui m'intéresse c'est d'apprendre le sujet pour moi, comme si je n'avais pas de contenu à créer. J'apprends le truc parce que je veux l'implémenter, parce que je veux le pratiquer, parce que je veux en tirer des bénéfices. Et une fois que j'ai mis en place un système, une fois que j'ai compris, une fois que j'ai acquis la compétence, même une petite compétence, des fondamentaux, à ce moment-là, je dis, ben voilà, j'ai bricolé avec ça pendant quelques centaines, milliers d'heures, voilà ce que j'ai appris, voilà ce que j'ai mis en place, si ça t'intéresse quelqu'un, c'est ici. Et j'aime cette approche, justement, des phases, une phase créative, une phase d'implémentation. apprentissage, implémentation, résolution, et être majoritairement dans cette phase de résolution la plupart du temps, et une fois que je suis sorti de cette phase, je prends un moment de pause, et j'évacue toutes mes idées, et là du coup j'ai une machine qui me permet de sortir mes idées. Et donc du coup je travaille sur mon business, parce que quand tu es dans une phase de résolution, d'apprentissage, d'implémentation, tu mets en place des systèmes qui tournent pour toi. Voilà, donc moi c'est ça qu'il me parle. Comme ça j'en profite pour te parler de la direction que je prends avec cette chaîne, ce podcast, donc Productizot Guru. Et donc pour en arriver à ça, j'ai suivi ma curiosité. J'ai passé, ça fait une année et demie, tu me suis depuis un moment, tu verras, je tourne un petit peu en rond, je reviens, je repars, je suis instable. Parce que justement, volontairement, j'expérimentais, j'essayais d'écouter ma curiosité. C'est un travail qui prend du temps et qui n'est jamais vraiment terminé en fait. d'accord ? Et là, chaque fois tu sais, je t'ai dans le doute. Tu sais, si t'as déjà ce truc, tu commences un truc, tu doutes. Puis tu recommences autre chose, puis tu doutes. Puis tu recommences autre chose, puis tu doutes. Et on te dit fixe-toi sur un truc et va dans cette direction. Ça c'est un conseil, un mauvais conseil à mon avis. Tu sais, parce qu'il faut pas changer de niche toutes les trois semaines. C'est vrai et c'est faux en même temps. Ça dépend tout dans quelle phase tu es. Parce que si tu choisis encore une fois une niche et que tu forces, mais qu'en fait ça t'intéresse pas vraiment, que tu fais juste ça pour les résultats et que t'es pressé, bah si tu veux des résultats rapides, tu vas te forcer à faire un truc que tu aimes pas. Et après derrière, t'as le mec qui te dit Hard work, hard work, il bosse 12 heures par jour, machin, alors que lui-même il bosse 12 heures par jour parce qu'il kiffe une grande partie de ce qu'il fait. Mais que s'il kiffait pas ce qu'il faisait, qu'il forçait, comme il te dit de forcer sur le truc que tu fais pas kiffer, lui-même il arriverait pas à bosser 12 heures par jour. Sauf quelques exceptions de la nature éventuellement. Mais tu vois ce que je veux dire ? Donc... Oui, il y a de la merde à faire, il y a des trucs qui ne vont pas te perdre dans tous les métiers. Par contre, si le cœur de ce que tu poursuis, ça ne t'inspire pas, ça ne te donne pas envie de te lever le matin pour changer les choses, sans forcément leur changer le monde, mais j'entends, tu vois, moi, cette idée de faire un exit sur les infos business, en mode de travailler sur son business, me productiser, tu vois, productiser de gros. ça ça m'inspire vraiment parce que c'est ce que je fais depuis des années naturellement et je passe quand j'ai du temps libre pour m'amuser je fais ça, je dis qu'est-ce que je peux automatiser qu'est-ce que je peux simplifier comment je peux faire en sorte que le business puisse se passer un peu plus de moi j'ai ces questions en tête je n'ai pas des questions du style quel contenu je peux créer tu vois, de temps en temps j'ai un contenu, une idée qui me vient donc je rédige, mais souvent ma tête elle est sur le côté opérationnel donc je pourrais forcer dans le sens agence, marketing, etc mais en même temps, tu moi je suis plus stratégie, si tu as déjà pris un consulting avec moi, on va surtout parler de la stratégie. Stratégie est développer les idées, mais... édiger les contenus en tant que tel, faire de la copie et correction, c'est pas quelque chose que je fais parce que je suis pas naturellement bon là-dedans et je suis convaincu que c'est pas là où je peux apporter le plus. Par contre, quand il s'agit de prioriser, de créer des stratégies, d'opérationnaliser, mettre en place les systèmes, là, je suis là. Et je kiffe faire ça. Je peux passer des heures sur le business d'un de mes clients pour dire, tiens, on peut gagner 3 heures par semaine, là, on peut gagner 1 heure, là, on peut gagner 20 minutes. et ça je kiffe faire ça donc j'ai suivi ma curiosité d'accord et j'ai expérimenté et après le truc c'est que moi je suis quelqu'un qui suis polymath j'ai un coeur de généraliste j'aime et c'est une bonne chose parce que être entrepreneur c'est mieux d'être généraliste que spécialiste le spécialiste c'est de la connerie en bas donc on expérimente les différents connect de dot, t'expérimentes tu vois, Jobs il s'est mis à la calligraphie il s'est simplement pointé au cours qui suscitait sa curiosité sans savoir ce qu'il allait faire après, calligraphie je sais pas si ça me servira un jour, j'en ai aucune idée mais j'aime faire ça, donc du coup le jour où il y a une opportunité qui se pointe qui nécessite la calligraphie ce qui était le cas avec Apple ben bam, tu vois donc comment tu concrètement je vais te donner une petite piste pour pour t'aider à t'orienter un truc tout con, analyse tes contenus préférés pourquoi quand tu tombes sur un contenu qui t'attire vraiment là encore récemment je tombais sur un contenu j'ai plus le titre, je peux vite faire une recherche hum voilà Si vous regardez sur YouTube, c'est un peu bizarre. SXSW Billion Dollar Teams. The future of an AI-powered workforce SXSW 2024. Je pense que si tu tapes SXSW 2024, Billion Dollar, tu trouves. Du coup, ça, c'est un contenu qui m'attire beaucoup. Ça parle exactement de ce qui m'intéresse. tu vois des petites équipes automatisées avec l'IA, le paradigme du travail est cassé le paradigme c'est d'être un généraliste créatif, etc. framework A, c'est-à-dire créer des agents, des micros, tu vois, des agents comme des microservices, c'est-à-dire qu'on a un agent, un agent IA qui fait un truc très spécifique, puis ensuite, on les coordonne entre eux pour qu'ils discutent entre eux, pour qu'ils te sortent, par exemple, t'as une équipe d'IA qui te permet de rédiger un launch email, du coup, t'as différents IA qui s'occupent de la stratégie, un d'analyser les chiffres, un troisième de trouver les idées, faire la hotline, un quatrième de rédiger les emails, etc. du coup ils discutent entre eux et après il y a d'autres IA qui servent à coordonner qui doit faire quoi, où c'est que je redirige lui tend lui doit corriger les textes, donc maintenant qu'on a rédigé les emails on l'envoie j'aime faire ça parce que ça colle avec cette idée de productiser le gourou bref, et là c'est là où je veux en venir, c'est que quand tu trouves un contenu qui aspire ton attention essaie de comprendre pourquoi, qu'est-ce qui derrière ça peut t'apporter, qu'est-ce que tu penses que cette idée peut t'apporter Et ça t'aidera à comprendre la cause qui t'inspire. Moi derrière, comme encore une fois, l'idée de retirer du temps de travail, moins d'inputs pour plus d'outputs, et de le faire vraiment gagner du temps, automatiser, ça, ça me parle énormément. C'est ça. tu commenceras à noter des thèmes. Tu vois, chez moi, c'est les machines, encore une fois. Pense en machines, les modèles mentaux aussi, parce que c'est finalement identifier les quelques connaissances intemporelles qui m'apportent la majorité des résultats, parce que j'ai pas envie d'apprendre 40 000 jours, juste apprendre les quelques choses, les quelques éléments qui me permettront de me resservir encore et encore de ces connaissances pour faire un maximum de trucs. J'aime ça, tu vois. Ça pourrait très bien être la communication, ça pourrait être le tricot, qu'est-ce qu'on le type de contenu que tu consommes et pourquoi ? C'est le pourquoi qui est important. Derrière, qu'est-ce qui t'attire ? Regarde aussi ton historique. YouTube ou Google Chrome. Tu slalomantes les choses un peu exotiques. Si t'as pas supprimé correctement ton historique. Et derrière, tu vas chercher les... les contenus vraiment qui t'ont parlé de plus, les meilleurs livres que t'as lus aussi et tu te poses cette question pourquoi ça m'intéresse, qu'est-ce qui m'amène qu'est-ce que je peux en retirer comme bénéfice apparemment, dans ma tête c'est quoi le bénéfice que j'en tire pourquoi ça m'attire ce truc là est-ce qu'il y a aussi des choses qui t'attirent même sans raison genre tu te dis ok j'aime juste cette idée j'aime les belles choses, donc je suis attiré par le design parce que je trouve qu'un beau site internet ça me fait me sentir d'une telle façon tu vois, donc peut-être que le design c'est quelque chose qui me parle et puis tu vas avoir plusieurs centres d'intérêt. Il ne faut pas essayer de trouver un seul centre d'intérêt. Moi, je ne suis pas en soi intéressé par l'IA. Je suis intéressé par l'idée d'automatiser un business. grâce au code, grâce à l'IA, mais j'aime aussi le côté communication, même si ce n'est pas ma plus grande force. J'aime apprendre, j'aime mettre en forme mes idées, les packager d'une manière à ce que d'autres personnes puissent s'en servir. J'aime ce principe de créer des frameworks, de modéliser. Tu vois ? Donc j'ai plusieurs centres d'intérêt comme ça. et en m'intéressant à ces différentes choses, même si je ne sais pas comment je vais pouvoir m'en servir aujourd'hui exactement, je m'intéresse quand même à ce truc-là. Donc ça prend du temps qui est indirectement corrélé à... à tes résultats, parce que tu apprends un truc, tu te dis, mais Jobs qui apprend la calligraphie, il ne sait pas pourquoi, d'accord ? Mais tout d'un coup, un jour, tu vas trouver une opportunité qui va rassembler une bonne partie de ces choses-là, et là, bingo, non seulement tu auras les compétences, tu seras uniquement qualifié, il y aura peu de personnes comme toi qualifiées qui auront cette combinaison de compétences atypiques, parce que comme tu suis ta curiosité, et tu es authentique, il n'y en a pas deux comme toi, il n'y a pas deux personnes qui ont les mêmes centres d'intérêt, et donc du coup, en suivant tes centres d'intérêt, par défaut, tu te crées un portfolio de compétences qui sont propres à toi, qui sont alignées à tes aptitudes parce que tu peux te concentrer toute la journée sur ces choses donc tu kiffes les faire, donc tu développes la compétence parce qu'au final c'est ça le plus important si tu as un talent pour un truc que tu n'aimes pas faire tu ne vas pas réussir à le développer, mieux vaut de prendre un truc où tu as moins de talent mais une curiosité sans fond pour le sujet. Donc là, à ce moment-là, tu vas pouvoir le développer et devenir excellent. Et quand tu combines plusieurs de ces curiosités ensemble et que tu trouves un sweet spot, une intersection de plusieurs de ces compétences, tu te retrouves uniquement, tu es unique sur le marché ou quasi unique, donc tu es rare et de valeur. Et à ce moment-là, tu es difficile à déloger. Tu vois ? Le problème, c'est que pour trouver ce sweet spot, il te faut la perspective. Et pour avoir la perspective, il te faut apprendre ses compétences. Donc le truc c'est aussi de ne pas apprendre des compétences que tu détestes pour faire de l'argent, pour vivre dans un manoir. Le truc c'est de suivre ta curiosité pour apprendre les compétences que tu kiffes, pour te retrouver qualifié, pas uniquement qualifié mais qualifié comme une des seules personnes dans ce sujet là. Comme ça, si on a besoin de ce truc en particulier dans cette niche là, c'est vers toi qu'on vient, parce que c'est toi le meilleur, parce que tu kiffes faire ce truc là et que c'est très difficile de rivaliser avec toi parce que tu passes 10-12 heures par jour là-dessus parce que tu kiffes ce sujet. C'est ça le grand secret en fait. et est-ce que si tu suis ta curiosité pendant des années, forcément tu vas devenir millionnaire, faire beaucoup d'argent, non c'est ça le truc qui fait peur, c'est que peut-être tu vas avoir des intérêts qui vont te faire gagner modestement ta vie mais comme je dis encore, c'est la grande question, est-ce que tu veux vivre dans un manoir à faire des choses que tu détestes ou est-ce que tu veux vivre dans une maison modeste dans un endroit modeste à faire des choses que tu kiffes ça c'est une décision que je dois prendre c'est toi qui prends cette décision je pense qu'il y a un meilleur chemin maintenant à toi de décider et et donc peut-être que suivre ta curiosité c'est en même temps le truc qui te fera gagner beaucoup d'argent donc dans ce cas là, banco mais est-ce que gagner beaucoup d'argent c'est vraiment ce qui est important parce que finalement pourquoi on veut gagner beaucoup d'argent, c'est pour avoir atteint un certain état interne d'accord ? on veut atteindre un objectif externe pour se sentir d'une certaine manière, et quand on atteint cet objectif on se rend compte que cet objectif ne génère pas l'état interne désiré et donc qu'est-ce qu'on fait ? on cherche un autre objectif à l'extérieur, alors qu'en fait le truc vient plutôt de l'intérieur, c'est comment tu remplis ta journée, comment tu perçois tu te perçois toi, comment tu perçois les autres c'est ça qui va changer ton état interne donc finalement devenir riche ou pas c'est secondaire ce qui est important c'est de faire des choses qui t'inspirent, que tu kiffes. Faire des choses que tu aimes avec des gens que tu aimes, dans un corps sain. santé, relation et puis contribution j'aime bien ce terme contribution c'est plus penser en termes d'utilité qu'est-ce que je veux contribuer à faire pour les autres parce que quand tu es à curiosité tu te dis en même temps comment je peux faire en sorte que ce que j'apprends ça peut aider les autres et c'est là où si tu cherches le bonheur cherche à être utile est-ce que c'est plus agréable de donner ou de recevoir un cadeau quand tu offres, quand tu commences à avoir des enfants ou des neveux, nièces tu offres un cadeau, tu vois le plaisir que t'as donné ce cadeau est bien plus grand que celui de recevoir un cadeau on est conçu comme ça donc être utile c'est ce qui chercher à rendre les autres heureux c'est ce qui nous permet d'être heureux c'est un peu cliché mais c'est extrêmement vrai et je terminerai sur la citation de Naval Ravikant qui nous dit trouver ce qui a l'air d'être un jeu pour vous et du travail pour les autres c'est cette intersection entre les deux pour toi c'est un jeu mais c'est du travail pour les autres si c'est un jeu pour tout le monde c'est difficile à monétiser go Netflix c'est un peu un jeu pour tout le monde c'est un série rap pour tout le monde regarder Netflix, comment tu veux vendre cette compétence tu vas dire, je suis excellent à regarder des séries et tu essaies de vendre ça à quelqu'un t'es pas tellement utile alors que dès qu'il y a une notion de travail il y a une notion de produire quelque chose et donc d'être utile pour quelqu'un et c'est réussir à être utile à l'échelle qui te permet de gagner plus d'argent voilà donc suive sa curiosité et sa curiosité finalement c'est qu'est-ce qui absorbe ton attention qu'est-ce que tu pourrais faire toute la journée et pas voir passer les heures regarde déjà dans ton quotidien il y a déjà des choses que tu fais et qui t'absorbe et tu vois pas passer les heures et qui a l'air d'être du travail pour les autres aussi enfin qui est du travail pour les autres mais pas pour toi tu vois moi typiquement opérationnel optimiser mes process c'est un truc je perds le fil du temps quand je fais ça pourtant pour beaucoup de monde c'est s'ils pourraient s'en débarrasser ils le feraient avec plaisir j'adore faire ça donc comment je peux monétiser ça Productives de gourou ça va être mon focus probablement les prochaines années j'ai dit ça plusieurs fois ces derniers temps donc je dis probablement parce que justement je suis un petit peu à ta tente en tous les sens j'essaie, je lance des différentes offres je regarde ce qui me plaît, ce qui me plaît pas mais là ce truc est avec moi depuis deux mois et ça m'intéresse beaucoup de comment je peux t'aider finalement à automatiser 80-90% de tes actions quotidiennes dans ton business pour que tu puisses te concentrer sur la partie créative. Il y a aussi cette notion pour moi de pouvoir travailler sur papier, d'automatiser pour se libérer de la technologie. C'est un petit peu bizarre. C'est utiliser la technologie pour s'en débarrasser. La plupart des gens, ils sont toute la journée la tête derrière leur écran. je ne sais pas, moi je trouve quand même bien plus aggrave comme mode de vie, genre si tu peux te poser un café avec un stylo, un crayon et un bloc-notes et puis un livre papier et que tu te mets à penser à tes idées, tu rédiges tes outlines et ensuite tu tournes un contenu face caméra mais donc du coup tu peux peut-être aller quelques heures par semaine où tu es sur l'ordinateur pour faire l'édition et encore tu peux trouver d'autres outils du style freewriter pour écrire hors écran et donc tu es très très peu derrière un écran ce qui te permet d'être plus connu que la réalité. Je ne sais pas si tu as remarqué, quand tu es derrière un écran, tu es absorbé par ces pixels, par ce carré, et tu fais abstraction de la réalité. Alors que quand tu es en train de lire un bouquin, tu es... dans la réalité. Je ne sais pas comment expliquer. C'est comme si tu avais déjà vu le film Trône peut-être, quand le mec se fait numériser dans l'ordinateur. J'ai un peu cette impression genre, seul le monde numérique existe quand je suis derrière un ordinateur. Par contre, dès que je suis derrière un papier, un crayon, enfin, un bloc-notes et un crayon avec un livre papier, je ne suis pas absorbé dans ce monde façon Trône. Je suis dans la vraie vie et ce que je suis en train de regarder fait partie de la vraie vie, fait partie du décor, fait partie de... Et j'ai un état d'esprit qui est très différent et et plus concentré. Du coup, j'aime cette idée d'utiliser la technologie pour ne pas avoir à l'utiliser. Donc, faire levier sur la technologie pour qu'elle travaille à ma place. Si tu peux rédiger le brouillon de ce contenu plutôt que moi passer une demi-heure derrière l'écran, si je peux le faire avec ChatGPT en 30 secondes, et ensuite, je peux seulement faire l'édition à partir d'un free writer, tester des écrans ink, un peu comme sur les Kindle, sauf que tu peux écrire. Il y a aussi les Remarkables 2 avec un clavier. Je vais tester ces options. et donc du coup je peux éventuellement faire ça, j'ai pas ce même sentiment derrière ces écrans que derrière un écran d'ordinateur bref, ça pour te dire exit de l'infopreneur productiser le gourou, moi c'est un truc qui me parle la question c'est toi maintenant, qu'est-ce qui te parle tu vois, et je terminerai encore une fois sur un petit dernier mot, c'est que c'est un exercice qui peut prendre des mois ne force surtout pas, expérimente laisse incuber, t'as le chemin qui va se révéler progressivement, parce que si tu forces, tu vas stresser tu auras peur de mal choisir et tu vas tourner en rond. Et c'est une parole d'expert de tournage en rond qui te dit ça. Donc, suit ta curiosité. Ne cherche pas à être rentable pour l'instant. Cherche à identifier des choses qui attirent naturellement ta curiosité. Et ensuite, tu verras comment monétiser ça. Je vous souhaite une magnifique On se retrouve dans un prochain podcast. Salut !

Description

Choisir un métier, une carrière ou une compétence à développer c'est effrayant. J'ai longtemps douté.

En lisant les grands esprits, ils répètent tous la même chose : trouve un domaine dans lequel tu as des aptitudes, sinon tu n'y arriveras pas.

Voilà la solution qui m'a permis de résoudre cette énigme.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • #0

    Ok, j'espère que tu vas bien. Ça faisait un petit moment que je n'avais pas fait de podcast et on va reprendre avec le choix d'une carrière, d'un métier ou d'une compétence à développer. C'est choisir sa voie, on pourrait dire. J'ai beaucoup étudié ce sujet, j'ai beaucoup galéré, j'ai beaucoup stressé. Et même encore récemment, je suis vraiment en plein dedans et j'en ressors avec plus de clarté. avec un chemin, la direction dans laquelle je veux aller. Je te recommande de t'en parler aussi un petit peu de mon projet pour la suite de cette chaîne. Et j'aimerais arriver avec une petite idée simple pour t'aiguiller sur le bon chemin dans ta vie. Parce qu'effectivement, il y a un million de possibilités. Je me demandais à moi-même, est-ce que je veux faire un marketing ? À un moment donné, j'étais parti dans le... J'ai commencé d'ailleurs, j'avais 16 ans, le DJing, peut-être, même 15 ans, peut-être. DJing, j'étais convaincu d'être DJ pro, un peu illusoire mais bref. Ensuite je suis parti dans la formation DJ, ensuite je suis parti dans le marketing pour les infopreneurs comme beaucoup. J'ai arrêté pendant un certain temps, ça quelques années, pour me lancer dans la programmation de SaaS, parce que j'ai un background d'informaticien. Très vite j'ai abandonné et je suis revenu dans le marketing et aujourd'hui... je suis un petit peu en train de faire un film entre marketing et code, tu vas voir, je vais t'en parler tout à l'heure, mais donc du coup, tu vois, tu as ce doute, tu peux partir dans plein plein plein plein de directions, et tu dis, mais est-ce que c'est la bonne direction pour moi ? Et il y a un truc encore plus effrayant, parce qu'un truc que j'aime beaucoup faire, c'est écouter les grands esprits de cette planète, nous expliquer quels sont leurs principes sur lesquels ils opèrent, et un truc qui revient systématiquement chez ces grands esprits, qui c'est que... si tu choisis un domaine dans lequel tu n'as pas d'aptitude, que ce soit naturel ou non, je pense que c'est un mélange des deux, tu es sûr de ne pas y arriver, tu es sûr d'avoir une carrière misérable. Donc en gros, tu es là, tu es face à toute cette incommensurable incertitude de choix, de multiplicité de choix, et d'un autre côté on dit, attention, si tu choisis mal, c'est galère. Et c'est un des plus gros, gros, gros, gros, gros problème, un des plus gros regrets de la plupart des gens dans le monde professionnel, c'est d'avoir choisi la mauvaise carrière, c'est d'avoir choisi le mauvais job, le mauvais métier, d'avoir pris la mauvaise décision. comment on évite de prendre cette mauvaise décision ? Comment on fait en sorte de se retrouver là où on doit être ? C'est ça finalement la question. Le problème, c'est que tu n'as pas le contexte. Aujourd'hui, tu te dis, ok, parce qu'on n'est pas forcément très bon à s'évaluer, genre est-ce que je suis bon là-dedans ou pas ? On a tendance à croire que oui. Genre, quand j'ai commencé le business, il y a des années, j'étais convaincu d'être extraordinaire, j'étais vraiment extrêmement doué, plus que Warren Buffett peut-être. Voilà, j'étais vraiment tout grand, tout puissant. alors même que je n'avais pas encore de résultats, on parle de ça en 2011, 2012, 2013, j'étais quand même convaincu d'avoir la science infuse et j'expliquais à tout le monde. Et en fait, quand je prenais du recul, je regardais mes résultats, que je faisais des... En 2012, sur mon premier business, je faisais des lancements à 1000, 2000 euros le lancement et j'étais convaincu d'être un génie du business, alors qu'en réalité, si on comparait mes résultats à ce que je pensais, on était très très loin de la vérité. Donc... on commence par, quelles sont nos aptitudes, quelles sont nos forces, tu vois, et donc, pour moi, je sais aujourd'hui que l'art de communiquer, tout ce qui est persuasion, c'est pas une de mes forces. Ce n'est pas une de mes forces. C'est-à-dire que je peux, j'ai eu des amis, je citerai notre ami Jean-Loup Lebrun, que beaucoup connaissent, si tu me suis, tu le connais probablement, qui lui est extrêmement bon en communication, il sera bien meilleur que moi. Il présentera mieux, il sera plus avenant, il aura l'air plus sympathique que moi, parce que c'est quelqu'un qui est très doué avec la langue, et il est fait pour ce truc-là. Il adore écrire. Moi, je ne suis pas spécialement fan de l'écriture. Tu vois, si je dois me poser devant un texte, on dirait que comment je formule ça pour donner aux gens envie de le lire ? En fait, ça me gonfle, tu vois. Tu écoutes ce podcast, il n'a pas été organisé pour capter l'attention. d'accord ? Ce que j'aime faire en revanche, c'est penser, c'est chercher des concepts qui peuvent changer ma vie. Tu vois, c'est apprendre les bons modèles que je peux ensuite implémenter dans ma vie, mettre à jour les systèmes, optimiser ces systèmes, gagner du temps. C'est ça que j'aime faire, tu vois. Et ce qui m'amène en fait à mon petit frémorque pour décider de sa carrière et c'est un peu spécial, il faut avoir la foi et Steve Jobs nous donne un premier indice, il nous dit Quand il fait son discours à Stanford, il parle de connecter les points rétrospectivement. Connect the dots backward. Et il dit, vous devez avoir la foi, parce que vous ne pouvez pas les connecter en avant, vous pouvez seulement les connecter en arrière. Ce qu'il a voulu dire par là, c'est que tu choisis une première chose, puis une deuxième, puis une troisième, puis une quatrième, puis une cinquième, et un jour, par hasard... tu te rends compte que les différents choix que tu as faits convergent vers une opportunité. Dans le cas de Steve Jobs, c'était Apple. Et tu vois, il y avait la calligraphie, on le connaît, la calligraphie, l'informatique. Et tout a convergé vers la création du premier Mac. Et lui, quand on parle de milliardaires, il y a énormément de chances aussi qui sont... qui sont en jeu, c'est des gens qui sont énormément travailleurs, extrêmement intelligents et extrêmement chanceux à la fois. Donc c'est des anomalies complètes. Mais n'empêche que cette idée de connecter rétrospectivement les points, elle fait sens. Le problème c'est que tu vois, tu peux voir que le premier point devant toi. Et donc tu sais pas les 10, 15, 20 points. nécessaires, des points décisionnels dans ta vie qui vont faire qu'à un moment donné, tout va converger vers cette opportunité que tu ne vois pas encore. Et tu peux essayer d'y réfléchir pendant des années, tu ne la trouveras pas en fait. Parce que le monde est beaucoup trop complexe et il y a beaucoup trop de choses que tu ne sais pas que tu ne sais pas pour pouvoir faire cet exercice. Donc, comment on fait face à cet océan d'incertitude ? Déjà, la première chose qu'on peut se poser comme question, c'est quelqu'un qui regrette et quelqu'un qui regrette d'avoir pris la mauvaise carrière, pourquoi il le regrette ? C'est quoi la raison fondamentale de son regret ? Et c'est quasiment toujours la même. Cette raison, c'est qu'il n'aime pas ce qu'il fait. Ce qu'il fait, c'est des trucs qu'il déteste. Et donc la réponse à ça, c'est de dire, finalement, on ne sait pas si on va devenir riche. On peut prendre des décisions qui vont augmenter les chances de devenir riche, très riche. Mais ça reste toujours une probabilité qui est contre nous. C'est que tu aies envie ou pas d'y croire à ça, c'est la réalité. Les chances, alors peut-être un million si vraiment tu te donnes les moyens, ça reste globalement accessible aujourd'hui, de moins en moins. Par contre, 10 millions, 100 millions, 1 milliard, là on augmente, on arrive vraiment de plus en plus vers de la chance. Les probabilités sont vraiment contre toi. C'est-à-dire qu'en gros, tu vas faire un pari toute ta vie. En tout cas, les 10 prochaines années, tu vas bosser comme un monstre. et au bout il n'y aura probablement rien tu vois si je dis tu vas bosser tous les jours 15h pendant 10 ans et tu as une chance sur 10 de gagner 100 000 ça demande du courage. Donc, on n'en est pas là. Moi, en tout cas, ce n'est pas mon objectif dans ma vie. Ce qui m'intéresse, ce n'est pas forcément de gagner énormément d'argent. Ce qui m'intéresse, moi, c'est de faire un truc que j'aime et d'avoir suffisamment à la banque pour couler des jours heureux et sans trop de... Enfin, de minimiser les risques, tu vois. Je n'ai pas besoin de vivre dans un manoir, ça ne m'intéresse pas. Je préfère avoir une marge de sécurité dix fois supérieure à ce qui est nécessaire et puis avoir une vie sereine. comme ça je peux me concentrer au quotidien à faire ce que j'aime, parce que tu vois le truc c'est ça c'est que plus tu augmentes tes possessions matérielles plus ce que tu dois faire pour conserver ces possessions matérielles ça va être dans les actions que tu fais dans ton quotidien et si tu vis dans un manoir mais que derrière t'es misérable à faire un truc que t'aimes pas pour avoir ce manoir, à quoi ça sert ? Si en revanche tu vis dans une petite maison, même un appartement qui est confortable sans être extravagant mais que derrière tu passes tes journées à faire des choses que tu kiffes c'est quoi le meilleur scénario ? Ce qui m'amène à ma petite solution, c'est tout bête, mais en fait ça demande de la foi, comme dit Steve Jobs, c'est qu'on ne pouvait pas connecter les points en avant, il vous faut avoir la foi, appeler ça comme vous voulez, la foi, le karmage, plus sa citation que ça, ce qu'il nous mais il faut avoir la foi, et pour ça tu suis ta curiosité. C'est-à-dire que tu vas chercher Je ne parle pas de passion. Attention, entendons-nous. Suivre sa passion, c'est un mauvais conseil. Parce qu'il est très peu applicable. C'est quoi la passion ? La passion, finalement, c'est quand tu as fait suffisamment de fois une chose que tu aimes, ça se renforce. Ça, c'est le principe de punition et récompense, au conditionnement opérant. Je fais l'activité A, j'ai du plaisir à le faire, ça renforce mon envie de faire l'activité A, etc. Et donc, tu crées une boucle. Et en fait, plus tu augmentes ton expertise, plus ça devient facile de faire l'activité et d'obtenir des résultats. Au début, ça demande beaucoup d'efforts, tu as peu de résultats, mais plus tu avances, moins ça demande d'efforts pour plus de résultats. Et donc du coup, tu as ce renforcement positif qui fait que tu deviens de plus en plus passionné par ce que tu fais. Maintenant, je ne peux pas te parler de ça, je suis en train de parler de curiosité. C'est-à-dire ce qui naturellement attire ton attention. Qu'est-ce que tu as envie d'apprendre ? Qu'est-ce que tu as envie de consommer ? Qu'est-ce que tu as envie de bricoler ? il y a une citation, je ne sais plus exactement comment elle va, c'est les technologies de demain sont les hobbies de week-end des gens intelligents C'est-à-dire que, par exemple, la crypto-monnaie, celui qui a inventé la crypto-monnaie, qui qu'ils sont, on ne sait pas vraiment, c'était sûrement un de ses hobbies à côté, il n'a jamais pensé que ça donnerait ça, mais il a kiffé inventer ce truc. Et c'est souvent le cas. c'est des gens qui ont vraiment des hobbies et ils bricolent avec des technologies et tout d'un coup ces technologies elles deviennent intéressantes ils lèvent des fonds ils lancent un truc et donc suivre ta curiosité c'est ça c'est qu'est-ce qui attire ton attention qu'est-ce que tu fais naturellement tu vois moi je me suis par exemple rendu compte et j'ai résisté à ça pendant longtemps, que rédiger des contenus, c'est pas le truc qui attire mon attention. Je vais pas passer toute la journée à rédiger du contenu en mode Ouais, c'est génial, c'est génial. Je déteste pas parler de mes trucs, comment j'ai fait ce podcast. Je trouve ça sympathique. Mais comme je t'ai dit avant, reformuler 40 fois le contenu pour qu'il soit le plus engageant possible, ce qui est basiquement le marketing, d'accord ? C'est pas ce qui m'attire le plus. Je le fais, j'en souffre pas, je le fais, c'est ok, mais ce que je vais naturellement faire toute la journée, sans y penser, c'est d'optimiser mes procédures. Alors, il y a beaucoup de monde qui va dire Ah, putain, ça c'est chiant, franchement, c'est quand même mieux de rédiger du contenu. Ok, ben tu vois, moi, ce que je kiffe, c'est optimiser mes process. Pourquoi ? Parce que derrière, je gagne du temps. Si je peux faire le même truc en une heure plutôt qu'en une semaine, tu vois, le truc, il est là. Et comme j'ai déjà une bonne connaissance en informatique, en programmation, et que mon cerveau, il est naturellement câblé comme ça, j'ai cette curiosité de Ah tiens, là, je peux gagner deux heures. parce que moi je suis un gros flemmard de base je suis pas Alex Ormosi je suis pas en mode hard work 40h par jour je connais d'ailleurs personne dans mon entourage qui est comme ça d'accord, je le vois plein sur internet mais en vrai finalement ils sont pas si bref il y a combien d'heures effectivement vraiment, travailler dans ta journée ça c'est une autre question mais je doute qu'il y ait vraiment des gens qui travaillent 80 heures par semaine de manière effective. Moi, je vois, là, j'ai bossé ce matin, j'ai édité des contenus. Je serais incapable de faire ça l'après-midi. Donc, ça va être des choses comme ce podcast et d'autres tâches plus légères. Je vais expérimenter un petit peu avec l'IA. Je suis en train d'apprendre ça, mais même là, c'est déjà presque un peu lourd comme job. Bref, ce que je veux dire, c'est que moi, je suis un flemmard et j'aime. optimiser mon temps. Parce que, tu vois, moins d'inputs pour plus d'outputs, physiquement. Travailler moins, gagner plus. Je veux dire, qui n'aime pas cette idée ? Donc, je suis vraiment passionné par ça et j'aime ce côté hors. Genre, pourquoi je ferais un truc qu'une machine peut faire à ma place ? J'aime mettre en place les process, j'aime moins les exécuter. Donc au début, il faut faire les deux. Mais je suis vraiment dans ma tête, c'est je construis une machine qui peut se passer de moi. Moi, c'est vraiment ça mon objectif. Et quand tu es dans de l'info business, le problème, c'est que l'info business, il ne peut pas se passer de toi vraiment, parce que si tu crées du contenu, c'est la tête du fondateur, la tête du créateur, qui est mise en avant, et on achète parce que c'est ta tête, justement. Donc comment on retire le fondateur sans retirer la tête du fondateur ? On peut générer la tête d'Eclair, mais ça reste encore un petit peu... Par contre, c'est pas noir ou blanc, on peut supprimer la majorité du travail du créateur en l'automatisant ou en le délégant. C'est pour ça qu'il y a des ghostwriters. avec l'IA maintenant aujourd'hui, et ça, ça m'intéresse. Moi, j'appelle ça industrialiser le contenu. Et là, tu te dis, ouais, machin, le contenu, ça ne s'industrialise pas. Approche artisan, j'entends, et c'est une approche qui est tout à fait honorable. Et si c'est ça que tu kiffes pendant ta journée, fais-le. Maintenant, si ce que tu kiffes, c'est de travailler moins et gagner plus, ce n'est pas forcément un mindset qui va te servir. Un mindset qui va plus te servir, c'est le mindset de Andy Varol, qui lui, basiquement, il a industrialisé l'art. et donc le but c'était de pouvoir c'est un des mecs je crois un des 5 mecs qui a le plus produit d'art dans le monde je vais te dire un chiffre je suis pas sûr de ce chiffre mais je crois que 10 à 20% des oeuvres d'art vendues c'est Andy Warhol tu vois pour te dire à quel point le mec a été ultra productif parce qu'il a industrialisé l'art il a une manière de faire de l'art qui pouvait être répliqué, donc lui il trouvait les idées, et une fois que l'idée était faite, il y avait un processus, que je ne pourrais pas vous expliquer en détail, de production qui faisait qu'il pouvait à l'échelle reproduire ces tableaux. Bref, et donc, ça, ça m'intéresse. Parce que ça, c'est penser comme un entrepreneur. D'ailleurs, tu prends... C'est la différence entre un inventeur et un entrepreneur. L'inventeur, ça va être Nikola Tesla, qui va inventer l'ampoule électrique. Et l'entrepreneur, ça va être Thomas Edison, qui va rendre l'ampoule électrique viable. Parce qu'après, on dit, Thomas Edison, il a inventé l'ampoule électrique. Non, non, c'est pas lui. Il y a Nikola Tesla, il y en a d'autres qui avaient inventé des versions des ampoules électriques. Ce qu'il a fait, Edison, c'est qu'il a trouvé... Une version viable, économiquement. de l'ampoule électrique. Et il a appris un système de distribution à l'échelle. C'est pour ça que c'est Edison qu'on connaît en tant qu'inventeur d'ampoule électrique, parce que c'est lui qui l'a rendu mainstream, cette idée. D'accord ? Cette invention. Mais il n'a pas inventé l'ampoule incandescente. Ça, c'est pas vrai. Pourtant, c'est lui qui récolte le gros délire. Il y a Tesla qui est mort dans la misère. Pourtant, Tesla était probablement un plus grand inventeur que Edison. Donc, il y a une leçon, là, derrière. Il y a une notion de productivité. Il y a une notion... justement de mettre en place des machines tu vois il y a celui qui est l'artiste et l'industriel moi je suis plus un industriel j'aime aussi le côté artiste, j'ai été DJ dans la musique mais tu regardes encore une fois dans la musique c'est un excellent exemple on dévie un peu sur le podcast mais je vais revenir ça donne un peu de substance et de contexte mais tu prends les plus grands DJ producteurs les plus connus qu'est-ce qu'ils font ? il y a des banques de samples, des banques d'échantillons audio ils vont chercher les échantillons audio et ils créent un son avec. Genre, tu as une mélodie déjà préenregistrée. J'ai eu vu des David Guetta et compagnie qui reprennent l'enregistrement exact et qui t'en sortent un son. Ils rajoutent des bases dessus, ils te sortent un son derrière. Et c'est pas qu'on produit la mélodie, mais le truc est devenu un carton. J'ai eu joué des sons. et plus tard quand j'achetais des banques de son je retrouvais dans la banque de son l'échantillon original je dis putain en fait c'est de l'arnaque j'ai un son en tête mais j'ai plus le titre de guetta notamment et tout est comme ça il y a celui qui invente et il y a celui qui industrialise le truc tu prends sur les réseaux sociaux c'est la même chose celui qui a le plus de vues qu'est-ce qu'il fait il va chez les petits créateurs qui sortent des bons contenus ils prennent les idées des petits créateurs et ils balancent ça sur leur canal de distribution qui amène bien plus de trafic. Parce que c'est des industriels, en fait. Donc, si je suis en train de te dire qu'il faut devenir un industriel, je suis en train de te dire qu'il y a un spectre... d'un côté les artistes, de l'autre côté les industriels, et tu choisis en fait sur ce spectre, est-ce que tu veux être le petit artisan, le petit boulanger qui fait son pain ? Ce qui est complètement ok, je veux dire, encore une fois, parce que le but c'est de suivre ta curiosité, de suivre ce qui t'inspire naturellement, et si c'est rien de prendre un chemin qui potentiellement peut te rapporter beaucoup plus d'argent, si tu détestes ce chemin-là, comme je disais avant, c'est la grande maison, le grand manoir, mais t'es misérable dedans. ou alors tu deviens un artisan. Moi, ce que j'aime, c'est le côté industriel. C'est-à-dire comment je peux produire des contenus de très haute qualité tout en m'extrayant du processus au maximum. Que ça me prenne, genre j'ai une idée, en cinq minutes, je griffonne l'idée et ensuite je balance ça dans mon process et il y a les contenus de l'autre côté qui sortent. d'accord ? Par en une heure, je peux produire une semaine de contenu, tu vois ? Et sans avoir des contenus rédigés façon chat GPT, tu vois, de merde, tu vois ? Parce que les contenus génériques, ça va juste faire du mal à ta marque. Donc, ce n'est pas l'idée. c'est au contraire d'avoir des idées encore plus qualitatives. Vu que j'ai du temps pour trouver ces idées, derrière, j'augmente la qualité. il y a une production. C'est tout un challenge que je suis en train de mettre en place. Moi, c'est vraiment ce truc. que je kiffe, tu vois, et comme ça je te donne quand je suis ma curiosité, j'en reviens finalement à cette idée de... qui m'a tout bu de souffle à force de ramener ma science, ce qui est... et j'en viens à cette idée d'optimiser mon temps, d'industrialiser de mettre en place des machines, si tu me suis depuis un moment tu entends souvent ces thèmes récurrents qui reviennent et je suis là en fait les infobusiness, le problème c'est qu'on est piégé dedans, on travaille dans son infobusiness et moi j'ai envie de travailler sur mon infobusiness le problème c'est que c'est des trop petits business pour engager des grosses équipes pour pouvoir faire un exit et en plus il n'y a pas de valorisation, une faible valorisation sur ce genre de business vu que le fondateur est indispensable pour que le système y tourne donc comment je peux faire en sorte de m'extraire du système au maximum, avec les ressources actuelles, avec un petit business comme ça, qui génère même pas... C'est un business qui génère 200 000, 300 000 par an. C'est compliqué d'avoir un CEO avec toute une C-suite, et puis des mecs en dessous. Je veux dire, tu vas manger du pain à la fin de la semaine. comment faire ça avec les outils actuels, avec l'IA, avec le no-code, etc. Éventuellement, une ou deux personnes, mais avoir un business qui est extrêmement lean, qui est extrêmement toute petite équipe. D'ailleurs, je suis convaincu que l'avenir avec l'IA, c'est des micro-équipes. On a Sam Altman qui parlait du business milliardaire à une personne. Bon, ça n'annonce pas forcément des belles choses en termes de redistribution économique. L'autre part est tout à l'extrême, le 1% qui possède le 90% des ressources. Bientôt, on sera à peu près à 5% qui possède le 50%, un truc comme ça. Je crois que ça n'aime plus, je crois que... Bref. Et donc, du coup, avec l'IA, ça va s'accentuer. Ça veut dire que les pauvres gagneront de moins en moins et les riches de plus en plus. On est sur un trend qui a quelques centaines d'années déjà. et voilà, c'est comme ça, mais bref donc du coup tu sais mieux d'être du bon côté du bon côté du truc et donc moi vraiment je suis passionné par cette idée de pourquoi engager quelqu'un si je peux déléguer ça à la machine et avoir une micro équipe et avoir un système qui tourne et qui génère beaucoup de résultats avec très très peu de monde et très très peu d'efforts tu vois je déteste faire trois fois la même chose je préfère ensuite dire ok, une fois que j'ai compris le truc ça devient mieux et j'automatise donc j'en suis devenu cette idée du productiseux de gourou parce que l'anglais c'est rigolo productiseux donc le gourou productisé en français c'est à dire de standardiser un business de formation et de pouvoir s'en défaire et travailler dessus plutôt que dedans c'est à dire il me faut une heure par semaine pour rédiger mes contenus sur les réseaux sociaux tourner mon potias etc une à deux heures et donc du coup je pourrais stacker en une semaine de boulot une année de contenu tu vois à l'extrême je ferais peut-être pas ça une fois par année parce qu'il y a quand même des changements à anticiper mais genre si tu tous les quarters tu fais tes contenus tu prends quelques jours par quarter pour faire tes contenus et ensuite t'as tout ton temps derrière pour apprendre des trucs parce que le problème c'est ça c'est que moi j'aime me plonger très profondément dans un seul sujet penser ce sujet et voilà, le truc c'est quand t'es coincé dans un sujet et que tu dois créer du contenu quotidiennement en termes de créativité c'est compliqué parce que tu vas toujours parler du même sujet pendant longtemps mais souvent t'as peu de choses à dire sur ce que t'apprends, parce qu'il n'y a pas beaucoup d'informations qui sont importantes et du coup tu vas en parler pendant longtemps bref, c'est un petit peu le dilemme que j'ai et donc moi j'aime me concentrer sur un truc et même pas avoir besoin de penser à créer du contenu je dis ok là j'apprends ce truc, pas pour créer du contenu, pas pour en parler aux autres comme fait la majorité, j'apprends ce sujet et à peine j'ai suivi la formation je sors du contenu sur le sujet, non ça m'intéresse pas, moi ce qui m'intéresse c'est d'apprendre le sujet pour moi, comme si je n'avais pas de contenu à créer. J'apprends le truc parce que je veux l'implémenter, parce que je veux le pratiquer, parce que je veux en tirer des bénéfices. Et une fois que j'ai mis en place un système, une fois que j'ai compris, une fois que j'ai acquis la compétence, même une petite compétence, des fondamentaux, à ce moment-là, je dis, ben voilà, j'ai bricolé avec ça pendant quelques centaines, milliers d'heures, voilà ce que j'ai appris, voilà ce que j'ai mis en place, si ça t'intéresse quelqu'un, c'est ici. Et j'aime cette approche, justement, des phases, une phase créative, une phase d'implémentation. apprentissage, implémentation, résolution, et être majoritairement dans cette phase de résolution la plupart du temps, et une fois que je suis sorti de cette phase, je prends un moment de pause, et j'évacue toutes mes idées, et là du coup j'ai une machine qui me permet de sortir mes idées. Et donc du coup je travaille sur mon business, parce que quand tu es dans une phase de résolution, d'apprentissage, d'implémentation, tu mets en place des systèmes qui tournent pour toi. Voilà, donc moi c'est ça qu'il me parle. Comme ça j'en profite pour te parler de la direction que je prends avec cette chaîne, ce podcast, donc Productizot Guru. Et donc pour en arriver à ça, j'ai suivi ma curiosité. J'ai passé, ça fait une année et demie, tu me suis depuis un moment, tu verras, je tourne un petit peu en rond, je reviens, je repars, je suis instable. Parce que justement, volontairement, j'expérimentais, j'essayais d'écouter ma curiosité. C'est un travail qui prend du temps et qui n'est jamais vraiment terminé en fait. d'accord ? Et là, chaque fois tu sais, je t'ai dans le doute. Tu sais, si t'as déjà ce truc, tu commences un truc, tu doutes. Puis tu recommences autre chose, puis tu doutes. Puis tu recommences autre chose, puis tu doutes. Et on te dit fixe-toi sur un truc et va dans cette direction. Ça c'est un conseil, un mauvais conseil à mon avis. Tu sais, parce qu'il faut pas changer de niche toutes les trois semaines. C'est vrai et c'est faux en même temps. Ça dépend tout dans quelle phase tu es. Parce que si tu choisis encore une fois une niche et que tu forces, mais qu'en fait ça t'intéresse pas vraiment, que tu fais juste ça pour les résultats et que t'es pressé, bah si tu veux des résultats rapides, tu vas te forcer à faire un truc que tu aimes pas. Et après derrière, t'as le mec qui te dit Hard work, hard work, il bosse 12 heures par jour, machin, alors que lui-même il bosse 12 heures par jour parce qu'il kiffe une grande partie de ce qu'il fait. Mais que s'il kiffait pas ce qu'il faisait, qu'il forçait, comme il te dit de forcer sur le truc que tu fais pas kiffer, lui-même il arriverait pas à bosser 12 heures par jour. Sauf quelques exceptions de la nature éventuellement. Mais tu vois ce que je veux dire ? Donc... Oui, il y a de la merde à faire, il y a des trucs qui ne vont pas te perdre dans tous les métiers. Par contre, si le cœur de ce que tu poursuis, ça ne t'inspire pas, ça ne te donne pas envie de te lever le matin pour changer les choses, sans forcément leur changer le monde, mais j'entends, tu vois, moi, cette idée de faire un exit sur les infos business, en mode de travailler sur son business, me productiser, tu vois, productiser de gros. ça ça m'inspire vraiment parce que c'est ce que je fais depuis des années naturellement et je passe quand j'ai du temps libre pour m'amuser je fais ça, je dis qu'est-ce que je peux automatiser qu'est-ce que je peux simplifier comment je peux faire en sorte que le business puisse se passer un peu plus de moi j'ai ces questions en tête je n'ai pas des questions du style quel contenu je peux créer tu vois, de temps en temps j'ai un contenu, une idée qui me vient donc je rédige, mais souvent ma tête elle est sur le côté opérationnel donc je pourrais forcer dans le sens agence, marketing, etc mais en même temps, tu moi je suis plus stratégie, si tu as déjà pris un consulting avec moi, on va surtout parler de la stratégie. Stratégie est développer les idées, mais... édiger les contenus en tant que tel, faire de la copie et correction, c'est pas quelque chose que je fais parce que je suis pas naturellement bon là-dedans et je suis convaincu que c'est pas là où je peux apporter le plus. Par contre, quand il s'agit de prioriser, de créer des stratégies, d'opérationnaliser, mettre en place les systèmes, là, je suis là. Et je kiffe faire ça. Je peux passer des heures sur le business d'un de mes clients pour dire, tiens, on peut gagner 3 heures par semaine, là, on peut gagner 1 heure, là, on peut gagner 20 minutes. et ça je kiffe faire ça donc j'ai suivi ma curiosité d'accord et j'ai expérimenté et après le truc c'est que moi je suis quelqu'un qui suis polymath j'ai un coeur de généraliste j'aime et c'est une bonne chose parce que être entrepreneur c'est mieux d'être généraliste que spécialiste le spécialiste c'est de la connerie en bas donc on expérimente les différents connect de dot, t'expérimentes tu vois, Jobs il s'est mis à la calligraphie il s'est simplement pointé au cours qui suscitait sa curiosité sans savoir ce qu'il allait faire après, calligraphie je sais pas si ça me servira un jour, j'en ai aucune idée mais j'aime faire ça, donc du coup le jour où il y a une opportunité qui se pointe qui nécessite la calligraphie ce qui était le cas avec Apple ben bam, tu vois donc comment tu concrètement je vais te donner une petite piste pour pour t'aider à t'orienter un truc tout con, analyse tes contenus préférés pourquoi quand tu tombes sur un contenu qui t'attire vraiment là encore récemment je tombais sur un contenu j'ai plus le titre, je peux vite faire une recherche hum voilà Si vous regardez sur YouTube, c'est un peu bizarre. SXSW Billion Dollar Teams. The future of an AI-powered workforce SXSW 2024. Je pense que si tu tapes SXSW 2024, Billion Dollar, tu trouves. Du coup, ça, c'est un contenu qui m'attire beaucoup. Ça parle exactement de ce qui m'intéresse. tu vois des petites équipes automatisées avec l'IA, le paradigme du travail est cassé le paradigme c'est d'être un généraliste créatif, etc. framework A, c'est-à-dire créer des agents, des micros, tu vois, des agents comme des microservices, c'est-à-dire qu'on a un agent, un agent IA qui fait un truc très spécifique, puis ensuite, on les coordonne entre eux pour qu'ils discutent entre eux, pour qu'ils te sortent, par exemple, t'as une équipe d'IA qui te permet de rédiger un launch email, du coup, t'as différents IA qui s'occupent de la stratégie, un d'analyser les chiffres, un troisième de trouver les idées, faire la hotline, un quatrième de rédiger les emails, etc. du coup ils discutent entre eux et après il y a d'autres IA qui servent à coordonner qui doit faire quoi, où c'est que je redirige lui tend lui doit corriger les textes, donc maintenant qu'on a rédigé les emails on l'envoie j'aime faire ça parce que ça colle avec cette idée de productiser le gourou bref, et là c'est là où je veux en venir, c'est que quand tu trouves un contenu qui aspire ton attention essaie de comprendre pourquoi, qu'est-ce qui derrière ça peut t'apporter, qu'est-ce que tu penses que cette idée peut t'apporter Et ça t'aidera à comprendre la cause qui t'inspire. Moi derrière, comme encore une fois, l'idée de retirer du temps de travail, moins d'inputs pour plus d'outputs, et de le faire vraiment gagner du temps, automatiser, ça, ça me parle énormément. C'est ça. tu commenceras à noter des thèmes. Tu vois, chez moi, c'est les machines, encore une fois. Pense en machines, les modèles mentaux aussi, parce que c'est finalement identifier les quelques connaissances intemporelles qui m'apportent la majorité des résultats, parce que j'ai pas envie d'apprendre 40 000 jours, juste apprendre les quelques choses, les quelques éléments qui me permettront de me resservir encore et encore de ces connaissances pour faire un maximum de trucs. J'aime ça, tu vois. Ça pourrait très bien être la communication, ça pourrait être le tricot, qu'est-ce qu'on le type de contenu que tu consommes et pourquoi ? C'est le pourquoi qui est important. Derrière, qu'est-ce qui t'attire ? Regarde aussi ton historique. YouTube ou Google Chrome. Tu slalomantes les choses un peu exotiques. Si t'as pas supprimé correctement ton historique. Et derrière, tu vas chercher les... les contenus vraiment qui t'ont parlé de plus, les meilleurs livres que t'as lus aussi et tu te poses cette question pourquoi ça m'intéresse, qu'est-ce qui m'amène qu'est-ce que je peux en retirer comme bénéfice apparemment, dans ma tête c'est quoi le bénéfice que j'en tire pourquoi ça m'attire ce truc là est-ce qu'il y a aussi des choses qui t'attirent même sans raison genre tu te dis ok j'aime juste cette idée j'aime les belles choses, donc je suis attiré par le design parce que je trouve qu'un beau site internet ça me fait me sentir d'une telle façon tu vois, donc peut-être que le design c'est quelque chose qui me parle et puis tu vas avoir plusieurs centres d'intérêt. Il ne faut pas essayer de trouver un seul centre d'intérêt. Moi, je ne suis pas en soi intéressé par l'IA. Je suis intéressé par l'idée d'automatiser un business. grâce au code, grâce à l'IA, mais j'aime aussi le côté communication, même si ce n'est pas ma plus grande force. J'aime apprendre, j'aime mettre en forme mes idées, les packager d'une manière à ce que d'autres personnes puissent s'en servir. J'aime ce principe de créer des frameworks, de modéliser. Tu vois ? Donc j'ai plusieurs centres d'intérêt comme ça. et en m'intéressant à ces différentes choses, même si je ne sais pas comment je vais pouvoir m'en servir aujourd'hui exactement, je m'intéresse quand même à ce truc-là. Donc ça prend du temps qui est indirectement corrélé à... à tes résultats, parce que tu apprends un truc, tu te dis, mais Jobs qui apprend la calligraphie, il ne sait pas pourquoi, d'accord ? Mais tout d'un coup, un jour, tu vas trouver une opportunité qui va rassembler une bonne partie de ces choses-là, et là, bingo, non seulement tu auras les compétences, tu seras uniquement qualifié, il y aura peu de personnes comme toi qualifiées qui auront cette combinaison de compétences atypiques, parce que comme tu suis ta curiosité, et tu es authentique, il n'y en a pas deux comme toi, il n'y a pas deux personnes qui ont les mêmes centres d'intérêt, et donc du coup, en suivant tes centres d'intérêt, par défaut, tu te crées un portfolio de compétences qui sont propres à toi, qui sont alignées à tes aptitudes parce que tu peux te concentrer toute la journée sur ces choses donc tu kiffes les faire, donc tu développes la compétence parce qu'au final c'est ça le plus important si tu as un talent pour un truc que tu n'aimes pas faire tu ne vas pas réussir à le développer, mieux vaut de prendre un truc où tu as moins de talent mais une curiosité sans fond pour le sujet. Donc là, à ce moment-là, tu vas pouvoir le développer et devenir excellent. Et quand tu combines plusieurs de ces curiosités ensemble et que tu trouves un sweet spot, une intersection de plusieurs de ces compétences, tu te retrouves uniquement, tu es unique sur le marché ou quasi unique, donc tu es rare et de valeur. Et à ce moment-là, tu es difficile à déloger. Tu vois ? Le problème, c'est que pour trouver ce sweet spot, il te faut la perspective. Et pour avoir la perspective, il te faut apprendre ses compétences. Donc le truc c'est aussi de ne pas apprendre des compétences que tu détestes pour faire de l'argent, pour vivre dans un manoir. Le truc c'est de suivre ta curiosité pour apprendre les compétences que tu kiffes, pour te retrouver qualifié, pas uniquement qualifié mais qualifié comme une des seules personnes dans ce sujet là. Comme ça, si on a besoin de ce truc en particulier dans cette niche là, c'est vers toi qu'on vient, parce que c'est toi le meilleur, parce que tu kiffes faire ce truc là et que c'est très difficile de rivaliser avec toi parce que tu passes 10-12 heures par jour là-dessus parce que tu kiffes ce sujet. C'est ça le grand secret en fait. et est-ce que si tu suis ta curiosité pendant des années, forcément tu vas devenir millionnaire, faire beaucoup d'argent, non c'est ça le truc qui fait peur, c'est que peut-être tu vas avoir des intérêts qui vont te faire gagner modestement ta vie mais comme je dis encore, c'est la grande question, est-ce que tu veux vivre dans un manoir à faire des choses que tu détestes ou est-ce que tu veux vivre dans une maison modeste dans un endroit modeste à faire des choses que tu kiffes ça c'est une décision que je dois prendre c'est toi qui prends cette décision je pense qu'il y a un meilleur chemin maintenant à toi de décider et et donc peut-être que suivre ta curiosité c'est en même temps le truc qui te fera gagner beaucoup d'argent donc dans ce cas là, banco mais est-ce que gagner beaucoup d'argent c'est vraiment ce qui est important parce que finalement pourquoi on veut gagner beaucoup d'argent, c'est pour avoir atteint un certain état interne d'accord ? on veut atteindre un objectif externe pour se sentir d'une certaine manière, et quand on atteint cet objectif on se rend compte que cet objectif ne génère pas l'état interne désiré et donc qu'est-ce qu'on fait ? on cherche un autre objectif à l'extérieur, alors qu'en fait le truc vient plutôt de l'intérieur, c'est comment tu remplis ta journée, comment tu perçois tu te perçois toi, comment tu perçois les autres c'est ça qui va changer ton état interne donc finalement devenir riche ou pas c'est secondaire ce qui est important c'est de faire des choses qui t'inspirent, que tu kiffes. Faire des choses que tu aimes avec des gens que tu aimes, dans un corps sain. santé, relation et puis contribution j'aime bien ce terme contribution c'est plus penser en termes d'utilité qu'est-ce que je veux contribuer à faire pour les autres parce que quand tu es à curiosité tu te dis en même temps comment je peux faire en sorte que ce que j'apprends ça peut aider les autres et c'est là où si tu cherches le bonheur cherche à être utile est-ce que c'est plus agréable de donner ou de recevoir un cadeau quand tu offres, quand tu commences à avoir des enfants ou des neveux, nièces tu offres un cadeau, tu vois le plaisir que t'as donné ce cadeau est bien plus grand que celui de recevoir un cadeau on est conçu comme ça donc être utile c'est ce qui chercher à rendre les autres heureux c'est ce qui nous permet d'être heureux c'est un peu cliché mais c'est extrêmement vrai et je terminerai sur la citation de Naval Ravikant qui nous dit trouver ce qui a l'air d'être un jeu pour vous et du travail pour les autres c'est cette intersection entre les deux pour toi c'est un jeu mais c'est du travail pour les autres si c'est un jeu pour tout le monde c'est difficile à monétiser go Netflix c'est un peu un jeu pour tout le monde c'est un série rap pour tout le monde regarder Netflix, comment tu veux vendre cette compétence tu vas dire, je suis excellent à regarder des séries et tu essaies de vendre ça à quelqu'un t'es pas tellement utile alors que dès qu'il y a une notion de travail il y a une notion de produire quelque chose et donc d'être utile pour quelqu'un et c'est réussir à être utile à l'échelle qui te permet de gagner plus d'argent voilà donc suive sa curiosité et sa curiosité finalement c'est qu'est-ce qui absorbe ton attention qu'est-ce que tu pourrais faire toute la journée et pas voir passer les heures regarde déjà dans ton quotidien il y a déjà des choses que tu fais et qui t'absorbe et tu vois pas passer les heures et qui a l'air d'être du travail pour les autres aussi enfin qui est du travail pour les autres mais pas pour toi tu vois moi typiquement opérationnel optimiser mes process c'est un truc je perds le fil du temps quand je fais ça pourtant pour beaucoup de monde c'est s'ils pourraient s'en débarrasser ils le feraient avec plaisir j'adore faire ça donc comment je peux monétiser ça Productives de gourou ça va être mon focus probablement les prochaines années j'ai dit ça plusieurs fois ces derniers temps donc je dis probablement parce que justement je suis un petit peu à ta tente en tous les sens j'essaie, je lance des différentes offres je regarde ce qui me plaît, ce qui me plaît pas mais là ce truc est avec moi depuis deux mois et ça m'intéresse beaucoup de comment je peux t'aider finalement à automatiser 80-90% de tes actions quotidiennes dans ton business pour que tu puisses te concentrer sur la partie créative. Il y a aussi cette notion pour moi de pouvoir travailler sur papier, d'automatiser pour se libérer de la technologie. C'est un petit peu bizarre. C'est utiliser la technologie pour s'en débarrasser. La plupart des gens, ils sont toute la journée la tête derrière leur écran. je ne sais pas, moi je trouve quand même bien plus aggrave comme mode de vie, genre si tu peux te poser un café avec un stylo, un crayon et un bloc-notes et puis un livre papier et que tu te mets à penser à tes idées, tu rédiges tes outlines et ensuite tu tournes un contenu face caméra mais donc du coup tu peux peut-être aller quelques heures par semaine où tu es sur l'ordinateur pour faire l'édition et encore tu peux trouver d'autres outils du style freewriter pour écrire hors écran et donc tu es très très peu derrière un écran ce qui te permet d'être plus connu que la réalité. Je ne sais pas si tu as remarqué, quand tu es derrière un écran, tu es absorbé par ces pixels, par ce carré, et tu fais abstraction de la réalité. Alors que quand tu es en train de lire un bouquin, tu es... dans la réalité. Je ne sais pas comment expliquer. C'est comme si tu avais déjà vu le film Trône peut-être, quand le mec se fait numériser dans l'ordinateur. J'ai un peu cette impression genre, seul le monde numérique existe quand je suis derrière un ordinateur. Par contre, dès que je suis derrière un papier, un crayon, enfin, un bloc-notes et un crayon avec un livre papier, je ne suis pas absorbé dans ce monde façon Trône. Je suis dans la vraie vie et ce que je suis en train de regarder fait partie de la vraie vie, fait partie du décor, fait partie de... Et j'ai un état d'esprit qui est très différent et et plus concentré. Du coup, j'aime cette idée d'utiliser la technologie pour ne pas avoir à l'utiliser. Donc, faire levier sur la technologie pour qu'elle travaille à ma place. Si tu peux rédiger le brouillon de ce contenu plutôt que moi passer une demi-heure derrière l'écran, si je peux le faire avec ChatGPT en 30 secondes, et ensuite, je peux seulement faire l'édition à partir d'un free writer, tester des écrans ink, un peu comme sur les Kindle, sauf que tu peux écrire. Il y a aussi les Remarkables 2 avec un clavier. Je vais tester ces options. et donc du coup je peux éventuellement faire ça, j'ai pas ce même sentiment derrière ces écrans que derrière un écran d'ordinateur bref, ça pour te dire exit de l'infopreneur productiser le gourou, moi c'est un truc qui me parle la question c'est toi maintenant, qu'est-ce qui te parle tu vois, et je terminerai encore une fois sur un petit dernier mot, c'est que c'est un exercice qui peut prendre des mois ne force surtout pas, expérimente laisse incuber, t'as le chemin qui va se révéler progressivement, parce que si tu forces, tu vas stresser tu auras peur de mal choisir et tu vas tourner en rond. Et c'est une parole d'expert de tournage en rond qui te dit ça. Donc, suit ta curiosité. Ne cherche pas à être rentable pour l'instant. Cherche à identifier des choses qui attirent naturellement ta curiosité. Et ensuite, tu verras comment monétiser ça. Je vous souhaite une magnifique On se retrouve dans un prochain podcast. Salut !

Share

Embed

You may also like