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#8 L'étrange mort de la favorite qui a marqué la Cité royale de Loches racontée par Jean-François Thull cover
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Dans le secret des châteaux

#8 L'étrange mort de la favorite qui a marqué la Cité royale de Loches racontée par Jean-François Thull

#8 L'étrange mort de la favorite qui a marqué la Cité royale de Loches racontée par Jean-François Thull

20min |30/08/2024
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Description

Lieu de résidence des rois, prison, tombeau… Comme de nombreux châteaux, la Cité royale de Loches a connu plusieurs vies. Celle d’un château apprécié des rois de France, celle d’une maison d’arrêt où l’on emprisonnait des condamnés de droit commun, et celle d’une renaissance par la redécouverte de son patrimoine. Et surtout d’un personnage hors du commun qui a marqué l’histoire : Agnès Sorel. Une femme belle et vive, assassiné dans sa vingtaine, dont la sépulture n’a peut-être pas encore livré tous les secrets.


Si la Cité royale de Loches vaut le détour, autant pour sa ville, longtemps placée sous la protection du roi, que pour son château, « écartelé » entre son donjon et le logis royal, elle le mérite aussi pour toutes les histoires qui en ont imprégné les murs. Les rois qui y séjournaient y ont laissé leur marque, mais pas seulement. Gravés dans la pierre, on trouve encore des graffitis qui témoignent de son passé de prison, après qu’il a été saisi par l’État à la Révolution. Les derniers détenus ont d’ailleurs pour ainsi dire croisé les premiers visiteurs, puisque c’est le gardien de prison qui « à ses heures faisait aussi des visites guidées », les premières organisées sur le site, précise Jean-François Thull.


A l’époque, ce guide improvisé préférait inventer la légende d’une salle des tortures - qui n’a jamais existé au château - plutôt que d’évoquer la vie et la mort mystérieuse de la première favorite « officielle » d’un roi de France. C’est pourtant bien le passage d’Agnès Sorel qui frappe le plus à Cité royale de Loches aujourd’hui. Sa sépulture y repose désormais en paix, après quelques péripéties. Après avoir notamment confirmé, à l’occasion d’une ouverture du tombeau en 2005, que la jeune femme aussi admirée que jalousée, avait été assassinée.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Lieu de résidence des rois, prison, tombeau… Comme de nombreux châteaux, la Cité royale de Loches a connu plusieurs vies. Celle d’un château apprécié des rois de France, celle d’une maison d’arrêt où l’on emprisonnait des condamnés de droit commun, et celle d’une renaissance par la redécouverte de son patrimoine. Et surtout d’un personnage hors du commun qui a marqué l’histoire : Agnès Sorel. Une femme belle et vive, assassiné dans sa vingtaine, dont la sépulture n’a peut-être pas encore livré tous les secrets.


Si la Cité royale de Loches vaut le détour, autant pour sa ville, longtemps placée sous la protection du roi, que pour son château, « écartelé » entre son donjon et le logis royal, elle le mérite aussi pour toutes les histoires qui en ont imprégné les murs. Les rois qui y séjournaient y ont laissé leur marque, mais pas seulement. Gravés dans la pierre, on trouve encore des graffitis qui témoignent de son passé de prison, après qu’il a été saisi par l’État à la Révolution. Les derniers détenus ont d’ailleurs pour ainsi dire croisé les premiers visiteurs, puisque c’est le gardien de prison qui « à ses heures faisait aussi des visites guidées », les premières organisées sur le site, précise Jean-François Thull.


A l’époque, ce guide improvisé préférait inventer la légende d’une salle des tortures - qui n’a jamais existé au château - plutôt que d’évoquer la vie et la mort mystérieuse de la première favorite « officielle » d’un roi de France. C’est pourtant bien le passage d’Agnès Sorel qui frappe le plus à Cité royale de Loches aujourd’hui. Sa sépulture y repose désormais en paix, après quelques péripéties. Après avoir notamment confirmé, à l’occasion d’une ouverture du tombeau en 2005, que la jeune femme aussi admirée que jalousée, avait été assassinée.


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Si la Cité royale de Loches vaut le détour, autant pour sa ville, longtemps placée sous la protection du roi, que pour son château, « écartelé » entre son donjon et le logis royal, elle le mérite aussi pour toutes les histoires qui en ont imprégné les murs. Les rois qui y séjournaient y ont laissé leur marque, mais pas seulement. Gravés dans la pierre, on trouve encore des graffitis qui témoignent de son passé de prison, après qu’il a été saisi par l’État à la Révolution. Les derniers détenus ont d’ailleurs pour ainsi dire croisé les premiers visiteurs, puisque c’est le gardien de prison qui « à ses heures faisait aussi des visites guidées », les premières organisées sur le site, précise Jean-François Thull.


A l’époque, ce guide improvisé préférait inventer la légende d’une salle des tortures - qui n’a jamais existé au château - plutôt que d’évoquer la vie et la mort mystérieuse de la première favorite « officielle » d’un roi de France. C’est pourtant bien le passage d’Agnès Sorel qui frappe le plus à Cité royale de Loches aujourd’hui. Sa sépulture y repose désormais en paix, après quelques péripéties. Après avoir notamment confirmé, à l’occasion d’une ouverture du tombeau en 2005, que la jeune femme aussi admirée que jalousée, avait été assassinée.


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Lieu de résidence des rois, prison, tombeau… Comme de nombreux châteaux, la Cité royale de Loches a connu plusieurs vies. Celle d’un château apprécié des rois de France, celle d’une maison d’arrêt où l’on emprisonnait des condamnés de droit commun, et celle d’une renaissance par la redécouverte de son patrimoine. Et surtout d’un personnage hors du commun qui a marqué l’histoire : Agnès Sorel. Une femme belle et vive, assassiné dans sa vingtaine, dont la sépulture n’a peut-être pas encore livré tous les secrets.


Si la Cité royale de Loches vaut le détour, autant pour sa ville, longtemps placée sous la protection du roi, que pour son château, « écartelé » entre son donjon et le logis royal, elle le mérite aussi pour toutes les histoires qui en ont imprégné les murs. Les rois qui y séjournaient y ont laissé leur marque, mais pas seulement. Gravés dans la pierre, on trouve encore des graffitis qui témoignent de son passé de prison, après qu’il a été saisi par l’État à la Révolution. Les derniers détenus ont d’ailleurs pour ainsi dire croisé les premiers visiteurs, puisque c’est le gardien de prison qui « à ses heures faisait aussi des visites guidées », les premières organisées sur le site, précise Jean-François Thull.


A l’époque, ce guide improvisé préférait inventer la légende d’une salle des tortures - qui n’a jamais existé au château - plutôt que d’évoquer la vie et la mort mystérieuse de la première favorite « officielle » d’un roi de France. C’est pourtant bien le passage d’Agnès Sorel qui frappe le plus à Cité royale de Loches aujourd’hui. Sa sépulture y repose désormais en paix, après quelques péripéties. Après avoir notamment confirmé, à l’occasion d’une ouverture du tombeau en 2005, que la jeune femme aussi admirée que jalousée, avait été assassinée.


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