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Amos Hoffman, guitariste, oudiste et pionnier cover
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Deli Express

Amos Hoffman, guitariste, oudiste et pionnier

Amos Hoffman, guitariste, oudiste et pionnier

44min |14/06/2024
Play
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Description


De quoi joue notre invité ?

Patience, je vais vous le dévoiler dans un instant.

Ce qui est sûr, c’est qu’en plus de ses talents d’instrumentiste, Amos Hoffman est un aventurier dans l’âme !

Mais oui ! Il fallait forcément qu’il ait le goût de l’aventure pour qu’au début des années 90, il quitte sa terre natale, Israël, et aille tenter sa chance à New York, là où personne ne l’attendait.

Il avait une vingtaine d’années…Et ne le savait pas encore : ce départ vers l’Eldorado du jazz allait dessiner de nouveaux horizons, et ouvrir la voie à la myriade de musiciens israéliens qui ont depuis suivi son exemple.

Amos est donc aussi un pionnier. D’autant qu’il est parti au même moment que les contrebassistes Omer Avital et Avishai Cohen.

C’est d’ailleurs sur les albums d’Avishai qu’on a découvert ce guitariste, biberonné à Wes Montgomery et Kenny Burrell, et qui a aussi étudié en profondeur les traditions musicale du Moyen-Orient. Il s’exprime d’ailleurs aussi au oud !

C’est en trio et sur les deux instruments, qu’on retrouve Amos Hoffman avec un nouvel album, « Minor Operation », paru chez Jojo Records, et enregistré en trio, en compagnie de Lenny White, l’un des batteurs du Bitches Brew de Miles.

Il y a huit morceaux, principalement des compositions à lui, mais aussi deux standards, parmi lesquel « I Should Care ».

Ce répertoire, il le présente ce soir au Duc des Lombards, avec Darryl Hall à la contrebasse et Arnaud Dolmen à la batterie…

Les voici également tous les trois sur la scène du Deli Express.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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De quoi joue notre invité ?

Patience, je vais vous le dévoiler dans un instant.

Ce qui est sûr, c’est qu’en plus de ses talents d’instrumentiste, Amos Hoffman est un aventurier dans l’âme !

Mais oui ! Il fallait forcément qu’il ait le goût de l’aventure pour qu’au début des années 90, il quitte sa terre natale, Israël, et aille tenter sa chance à New York, là où personne ne l’attendait.

Il avait une vingtaine d’années…Et ne le savait pas encore : ce départ vers l’Eldorado du jazz allait dessiner de nouveaux horizons, et ouvrir la voie à la myriade de musiciens israéliens qui ont depuis suivi son exemple.

Amos est donc aussi un pionnier. D’autant qu’il est parti au même moment que les contrebassistes Omer Avital et Avishai Cohen.

C’est d’ailleurs sur les albums d’Avishai qu’on a découvert ce guitariste, biberonné à Wes Montgomery et Kenny Burrell, et qui a aussi étudié en profondeur les traditions musicale du Moyen-Orient. Il s’exprime d’ailleurs aussi au oud !

C’est en trio et sur les deux instruments, qu’on retrouve Amos Hoffman avec un nouvel album, « Minor Operation », paru chez Jojo Records, et enregistré en trio, en compagnie de Lenny White, l’un des batteurs du Bitches Brew de Miles.

Il y a huit morceaux, principalement des compositions à lui, mais aussi deux standards, parmi lesquel « I Should Care ».

Ce répertoire, il le présente ce soir au Duc des Lombards, avec Darryl Hall à la contrebasse et Arnaud Dolmen à la batterie…

Les voici également tous les trois sur la scène du Deli Express.


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Patience, je vais vous le dévoiler dans un instant.

Ce qui est sûr, c’est qu’en plus de ses talents d’instrumentiste, Amos Hoffman est un aventurier dans l’âme !

Mais oui ! Il fallait forcément qu’il ait le goût de l’aventure pour qu’au début des années 90, il quitte sa terre natale, Israël, et aille tenter sa chance à New York, là où personne ne l’attendait.

Il avait une vingtaine d’années…Et ne le savait pas encore : ce départ vers l’Eldorado du jazz allait dessiner de nouveaux horizons, et ouvrir la voie à la myriade de musiciens israéliens qui ont depuis suivi son exemple.

Amos est donc aussi un pionnier. D’autant qu’il est parti au même moment que les contrebassistes Omer Avital et Avishai Cohen.

C’est d’ailleurs sur les albums d’Avishai qu’on a découvert ce guitariste, biberonné à Wes Montgomery et Kenny Burrell, et qui a aussi étudié en profondeur les traditions musicale du Moyen-Orient. Il s’exprime d’ailleurs aussi au oud !

C’est en trio et sur les deux instruments, qu’on retrouve Amos Hoffman avec un nouvel album, « Minor Operation », paru chez Jojo Records, et enregistré en trio, en compagnie de Lenny White, l’un des batteurs du Bitches Brew de Miles.

Il y a huit morceaux, principalement des compositions à lui, mais aussi deux standards, parmi lesquel « I Should Care ».

Ce répertoire, il le présente ce soir au Duc des Lombards, avec Darryl Hall à la contrebasse et Arnaud Dolmen à la batterie…

Les voici également tous les trois sur la scène du Deli Express.


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Patience, je vais vous le dévoiler dans un instant.

Ce qui est sûr, c’est qu’en plus de ses talents d’instrumentiste, Amos Hoffman est un aventurier dans l’âme !

Mais oui ! Il fallait forcément qu’il ait le goût de l’aventure pour qu’au début des années 90, il quitte sa terre natale, Israël, et aille tenter sa chance à New York, là où personne ne l’attendait.

Il avait une vingtaine d’années…Et ne le savait pas encore : ce départ vers l’Eldorado du jazz allait dessiner de nouveaux horizons, et ouvrir la voie à la myriade de musiciens israéliens qui ont depuis suivi son exemple.

Amos est donc aussi un pionnier. D’autant qu’il est parti au même moment que les contrebassistes Omer Avital et Avishai Cohen.

C’est d’ailleurs sur les albums d’Avishai qu’on a découvert ce guitariste, biberonné à Wes Montgomery et Kenny Burrell, et qui a aussi étudié en profondeur les traditions musicale du Moyen-Orient. Il s’exprime d’ailleurs aussi au oud !

C’est en trio et sur les deux instruments, qu’on retrouve Amos Hoffman avec un nouvel album, « Minor Operation », paru chez Jojo Records, et enregistré en trio, en compagnie de Lenny White, l’un des batteurs du Bitches Brew de Miles.

Il y a huit morceaux, principalement des compositions à lui, mais aussi deux standards, parmi lesquel « I Should Care ».

Ce répertoire, il le présente ce soir au Duc des Lombards, avec Darryl Hall à la contrebasse et Arnaud Dolmen à la batterie…

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