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Demain N'attend Pas

65- Simon Bernard, naviguer contre le plastique avec Plastic Odyssey

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35min |17/11/2023
Play
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35min |17/11/2023
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Description

😹 On a tous vu des images de plastiques flottant à la surface de l’eau. Le fameux 7ùme continent
 

đŸ˜± Mais, savez-vous que ce plastique flottant ne reprĂ©sente que 1% des plastiques qui sont dans les ocĂ©ans ? 

đŸ„¶ Le reste de ce qui est dĂ©versĂ©, les 99% restant, se dĂ©sintĂšgre en microplastiques au fond de l’eau, dĂ©gradant la faune et la flore marine et aboutissant aussi dans nos estomacs via les poissons que nous mangeons
 Et bien sĂ»r, il est impossible d’imaginer ramasser ces millions de tonnes de microplastiques
 

 

Que faut-il faire alors ???

🙌He bien, il faut prendre le problĂšme Ă  sa source. Il faut couper le robinet, nous dĂ©shabituer des plastiques Ă  usage unique et dĂ©velopper des solutions de recyclage en particulier dans les pays Ă  plus faible niveau de vie qui n’ont pas de solution de ramassage efficace. 

 

đŸ’ȘC’est le dĂ©fi auquel s’attelle SIMON BERNARD avec son navire-laboratoire, PLASTIC ODYSSEY.

 

🌎Parti en mer il y a un an maintenant, le bateau a prĂ©vu de faire 30 escales sur trois continents, l'Afrique, l'AmĂ©rique du Sud et l'Asie, lĂ  oĂč le plus gros de la pollution se concentre.

A chaque arrĂȘt, les Ă©quipes de Plastic Odyssey sensibilisent les populations, montrent que ces dĂ©chets peuvent ĂȘtre valorisĂ©s et recyclĂ©s avant qu’ils n’arrivent dans la mer et identifient et soutiennent des solutions locales low tech / low budget qui peuvent ĂȘtre dĂ©ployĂ©es.

 

Dans cet Ă©pisode de Demain N'attend Pas :

  • đŸŽ€Simon nous raconte pourquoi et comment il s’est lancĂ© Ă  corps perdu dans ce dĂ©fi Ă  25 ans, alors qu’il Ă©tait tout juste diplĂŽmĂ© de l’Ecole Nationale de la Marine.
  • đŸŽ€Il nous parle avec beaucoup d’humilitĂ© de son expĂ©rience d’entrepreneur social et de sa capacitĂ© Ă  fĂ©dĂ©rer Ă©quipe et budget autour d’un projet ambitieux. 
  • đŸŽ€Et il partage sa joie de rencontrer des entrepreneurs qui s’attachent Ă  trouver des solutions pour recycler ou substituer du plastique dans tous les pays oĂč le navire s’arrĂȘte. A l’écouter, on sent que les solutions sont entre nos mains


🎧Je vous laisse avec Simon Bernard, pour un Ă©pisode lumineux, empreint d’aventure, de dĂ©termination et de pragmatisme, au service d’une cause qui nous concerne tous.

Pour suivre Simon :

Quelques références évoquées dans l'épisodes : 

POUR ME SUIVRE :Delphine Darmon | LinkedIn et Demain n'attend pas : administrateur de la Page LinkedIn | LinkedIn  


POUR ME SOUTENIR :
Et comme toujours, si le podcast vous plait,   

- vous pouvez vous abonner sur l’application de podcasts que vous prĂ©fĂ©rez (Apple podcast, Spotify, Deezer
) , 

- le partager en cliquant sur les 3 points,  

- laisser un avis 5 Ă©toiles ou un commentaire sur l’application iTunes 

- me laisser votre adresse email pour recevoir la newsletter : abonnement à la newsletter - Demain n'attend pas (demainnattendpas.fr) 

- et en parler autour de vous (vive le bouche-à-oreille), 

Ca m’aide vraiment ! Bonne Ă©coute ! 

Et pour cet Ă©pisode, merci Ă  :

- Julie Da Costa, qui m'accompagne avec ses doigts de fée sur les réseaux sociaux
- Clara Ernoult, pour une post-prod sans pareil       

Description

😹 On a tous vu des images de plastiques flottant à la surface de l’eau. Le fameux 7ùme continent
 

đŸ˜± Mais, savez-vous que ce plastique flottant ne reprĂ©sente que 1% des plastiques qui sont dans les ocĂ©ans ? 

đŸ„¶ Le reste de ce qui est dĂ©versĂ©, les 99% restant, se dĂ©sintĂšgre en microplastiques au fond de l’eau, dĂ©gradant la faune et la flore marine et aboutissant aussi dans nos estomacs via les poissons que nous mangeons
 Et bien sĂ»r, il est impossible d’imaginer ramasser ces millions de tonnes de microplastiques
 

 

Que faut-il faire alors ???

🙌He bien, il faut prendre le problĂšme Ă  sa source. Il faut couper le robinet, nous dĂ©shabituer des plastiques Ă  usage unique et dĂ©velopper des solutions de recyclage en particulier dans les pays Ă  plus faible niveau de vie qui n’ont pas de solution de ramassage efficace. 

 

đŸ’ȘC’est le dĂ©fi auquel s’attelle SIMON BERNARD avec son navire-laboratoire, PLASTIC ODYSSEY.

 

🌎Parti en mer il y a un an maintenant, le bateau a prĂ©vu de faire 30 escales sur trois continents, l'Afrique, l'AmĂ©rique du Sud et l'Asie, lĂ  oĂč le plus gros de la pollution se concentre.

A chaque arrĂȘt, les Ă©quipes de Plastic Odyssey sensibilisent les populations, montrent que ces dĂ©chets peuvent ĂȘtre valorisĂ©s et recyclĂ©s avant qu’ils n’arrivent dans la mer et identifient et soutiennent des solutions locales low tech / low budget qui peuvent ĂȘtre dĂ©ployĂ©es.

 

Dans cet Ă©pisode de Demain N'attend Pas :

  • đŸŽ€Simon nous raconte pourquoi et comment il s’est lancĂ© Ă  corps perdu dans ce dĂ©fi Ă  25 ans, alors qu’il Ă©tait tout juste diplĂŽmĂ© de l’Ecole Nationale de la Marine.
  • đŸŽ€Il nous parle avec beaucoup d’humilitĂ© de son expĂ©rience d’entrepreneur social et de sa capacitĂ© Ă  fĂ©dĂ©rer Ă©quipe et budget autour d’un projet ambitieux. 
  • đŸŽ€Et il partage sa joie de rencontrer des entrepreneurs qui s’attachent Ă  trouver des solutions pour recycler ou substituer du plastique dans tous les pays oĂč le navire s’arrĂȘte. A l’écouter, on sent que les solutions sont entre nos mains


🎧Je vous laisse avec Simon Bernard, pour un Ă©pisode lumineux, empreint d’aventure, de dĂ©termination et de pragmatisme, au service d’une cause qui nous concerne tous.

Pour suivre Simon :

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Et pour cet Ă©pisode, merci Ă  :

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- Clara Ernoult, pour une post-prod sans pareil       

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😹 On a tous vu des images de plastiques flottant à la surface de l’eau. Le fameux 7ùme continent
 

đŸ˜± Mais, savez-vous que ce plastique flottant ne reprĂ©sente que 1% des plastiques qui sont dans les ocĂ©ans ? 

đŸ„¶ Le reste de ce qui est dĂ©versĂ©, les 99% restant, se dĂ©sintĂšgre en microplastiques au fond de l’eau, dĂ©gradant la faune et la flore marine et aboutissant aussi dans nos estomacs via les poissons que nous mangeons
 Et bien sĂ»r, il est impossible d’imaginer ramasser ces millions de tonnes de microplastiques
 

 

Que faut-il faire alors ???

🙌He bien, il faut prendre le problĂšme Ă  sa source. Il faut couper le robinet, nous dĂ©shabituer des plastiques Ă  usage unique et dĂ©velopper des solutions de recyclage en particulier dans les pays Ă  plus faible niveau de vie qui n’ont pas de solution de ramassage efficace. 

 

đŸ’ȘC’est le dĂ©fi auquel s’attelle SIMON BERNARD avec son navire-laboratoire, PLASTIC ODYSSEY.

 

🌎Parti en mer il y a un an maintenant, le bateau a prĂ©vu de faire 30 escales sur trois continents, l'Afrique, l'AmĂ©rique du Sud et l'Asie, lĂ  oĂč le plus gros de la pollution se concentre.

A chaque arrĂȘt, les Ă©quipes de Plastic Odyssey sensibilisent les populations, montrent que ces dĂ©chets peuvent ĂȘtre valorisĂ©s et recyclĂ©s avant qu’ils n’arrivent dans la mer et identifient et soutiennent des solutions locales low tech / low budget qui peuvent ĂȘtre dĂ©ployĂ©es.

 

Dans cet Ă©pisode de Demain N'attend Pas :

  • đŸŽ€Simon nous raconte pourquoi et comment il s’est lancĂ© Ă  corps perdu dans ce dĂ©fi Ă  25 ans, alors qu’il Ă©tait tout juste diplĂŽmĂ© de l’Ecole Nationale de la Marine.
  • đŸŽ€Il nous parle avec beaucoup d’humilitĂ© de son expĂ©rience d’entrepreneur social et de sa capacitĂ© Ă  fĂ©dĂ©rer Ă©quipe et budget autour d’un projet ambitieux. 
  • đŸŽ€Et il partage sa joie de rencontrer des entrepreneurs qui s’attachent Ă  trouver des solutions pour recycler ou substituer du plastique dans tous les pays oĂč le navire s’arrĂȘte. A l’écouter, on sent que les solutions sont entre nos mains


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đŸ˜± Mais, savez-vous que ce plastique flottant ne reprĂ©sente que 1% des plastiques qui sont dans les ocĂ©ans ? 

đŸ„¶ Le reste de ce qui est dĂ©versĂ©, les 99% restant, se dĂ©sintĂšgre en microplastiques au fond de l’eau, dĂ©gradant la faune et la flore marine et aboutissant aussi dans nos estomacs via les poissons que nous mangeons
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  • đŸŽ€Et il partage sa joie de rencontrer des entrepreneurs qui s’attachent Ă  trouver des solutions pour recycler ou substituer du plastique dans tous les pays oĂč le navire s’arrĂȘte. A l’écouter, on sent que les solutions sont entre nos mains


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