Blanca Li : "Nous avons besoin de temps d’égoïsme assumé" cover
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Désirs

Blanca Li : "Nous avons besoin de temps d’égoïsme assumé"

Blanca Li : "Nous avons besoin de temps d’égoïsme assumé"

25min |19/09/2018
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Au micro de Dalila Kerchouche, la chorégraphe Blanca Li raconte son enfance à Grenade, dans le berceau du flamenco, portée par l’énergie d’une mère entrepreneuse qui aurait rêvé de devenir danseuse. Elle explique la transformation de son corps et l’éveil de sa sensualité. Comment la danse lui a donné de l’assurance et lui a permis d’échapper aux diktats qui pèsent sur le corps des adolescentes, au culte de l’apparence et à la féminité standardisée. Fille de la post-Movida, elle décrit la folie créative et débridée des nuits madrilènes, ainsi que ses débuts dans le cabaret. Elle décrypte aussi l’érotisme électrique de la danse à deux, l’attraction des corps et la puissance sexuelle qui se dégage. Elle évoque la façon dont la danse contemporaine s’est libérée des stéréotypes et des rôles assignés aux danseuses. Elle analyse enfin la puissance libératrice de la danse, et la nécessité vitale pour les femmes de s’écouter, d’entretenir au quotidien des moments intimes à soi et à son corps, d’ « égoïsme assumé », pour gagner en confiance et en emporwerment.


Danseuse et chorégraphe, Blanca Li est née en à Grenade. Ancienne gymnaste, elle a été formée par Martha Graham à New York. Devenue la reine des nuits madrilène, elle s’installe à Pigalle en 1993 et crée sa propre compagnie. Proche des milieux de la mode et du cinéma, cette dancing queen inclassable a dirigé Beyoncé, dansé avec les Daft Punk, chorégraphié les films de Pédro Almodovar. Elle a fait swinguer les mannequins de Stella McCartney ou de Jean-Paul Gautier. A travers son spectacle Déesses et démones (2015), où elle danse sur la scène au Théâtre des Champs Elysées avec l’étoile du Bolchoï Maria Alexandrova, elle explore la féminité dans sa dimension plurielle : mythologique et numérique, glamour et androgyne, urbaine et primitive, disciplinée et sauvage. Après avoir fait danser des Robots (2016), et questionné notre dépendance actuelle aux nouvelles technologies, elle crée en 2017 à Chaillot une ode à la nature avec Solstice. Elle montre la beauté du monde, son énergie, sa fragilité, et notre relation organique aux éléments naturels. Solstice revient au Théâtre National de Chaillot du 8 au 15 novembre.


Vous pouvez écouter Désirs sur le site Madame Figaro, Apple PodcastSoundcloudSpotifyDeezerYouTube ou via son flux RSS.


Et suivre toute l’actualité de nos podcasts sur FacebookInstagram et Twitter


Désirs est proposé en partenariat avec Yves Saint Laurent Beauté. Pendant près de 40 ans, Monsieur Saint Laurent a mis son talent au service des femmes contribuant, à travers son œuvre, à leur émancipation. Dans son sillage, la beauté Yves Saint Laurent nourrit cette histoire d’amour avec les femmes en imposant des créations mues par l’audace, le désir, la jeunesse et l’avant-garde.

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Au micro de Dalila Kerchouche, la chorégraphe Blanca Li raconte son enfance à Grenade, dans le berceau du flamenco, portée par l’énergie d’une mère entrepreneuse qui aurait rêvé de devenir danseuse. Elle explique la transformation de son corps et l’éveil de sa sensualité. Comment la danse lui a donné de l’assurance et lui a permis d’échapper aux diktats qui pèsent sur le corps des adolescentes, au culte de l’apparence et à la féminité standardisée. Fille de la post-Movida, elle décrit la folie créative et débridée des nuits madrilènes, ainsi que ses débuts dans le cabaret. Elle décrypte aussi l’érotisme électrique de la danse à deux, l’attraction des corps et la puissance sexuelle qui se dégage. Elle évoque la façon dont la danse contemporaine s’est libérée des stéréotypes et des rôles assignés aux danseuses. Elle analyse enfin la puissance libératrice de la danse, et la nécessité vitale pour les femmes de s’écouter, d’entretenir au quotidien des moments intimes à soi et à son corps, d’ « égoïsme assumé », pour gagner en confiance et en emporwerment.


Danseuse et chorégraphe, Blanca Li est née en à Grenade. Ancienne gymnaste, elle a été formée par Martha Graham à New York. Devenue la reine des nuits madrilène, elle s’installe à Pigalle en 1993 et crée sa propre compagnie. Proche des milieux de la mode et du cinéma, cette dancing queen inclassable a dirigé Beyoncé, dansé avec les Daft Punk, chorégraphié les films de Pédro Almodovar. Elle a fait swinguer les mannequins de Stella McCartney ou de Jean-Paul Gautier. A travers son spectacle Déesses et démones (2015), où elle danse sur la scène au Théâtre des Champs Elysées avec l’étoile du Bolchoï Maria Alexandrova, elle explore la féminité dans sa dimension plurielle : mythologique et numérique, glamour et androgyne, urbaine et primitive, disciplinée et sauvage. Après avoir fait danser des Robots (2016), et questionné notre dépendance actuelle aux nouvelles technologies, elle crée en 2017 à Chaillot une ode à la nature avec Solstice. Elle montre la beauté du monde, son énergie, sa fragilité, et notre relation organique aux éléments naturels. Solstice revient au Théâtre National de Chaillot du 8 au 15 novembre.


Vous pouvez écouter Désirs sur le site Madame Figaro, Apple PodcastSoundcloudSpotifyDeezerYouTube ou via son flux RSS.


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Désirs est proposé en partenariat avec Yves Saint Laurent Beauté. Pendant près de 40 ans, Monsieur Saint Laurent a mis son talent au service des femmes contribuant, à travers son œuvre, à leur émancipation. Dans son sillage, la beauté Yves Saint Laurent nourrit cette histoire d’amour avec les femmes en imposant des créations mues par l’audace, le désir, la jeunesse et l’avant-garde.

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Au micro de Dalila Kerchouche, la chorégraphe Blanca Li raconte son enfance à Grenade, dans le berceau du flamenco, portée par l’énergie d’une mère entrepreneuse qui aurait rêvé de devenir danseuse. Elle explique la transformation de son corps et l’éveil de sa sensualité. Comment la danse lui a donné de l’assurance et lui a permis d’échapper aux diktats qui pèsent sur le corps des adolescentes, au culte de l’apparence et à la féminité standardisée. Fille de la post-Movida, elle décrit la folie créative et débridée des nuits madrilènes, ainsi que ses débuts dans le cabaret. Elle décrypte aussi l’érotisme électrique de la danse à deux, l’attraction des corps et la puissance sexuelle qui se dégage. Elle évoque la façon dont la danse contemporaine s’est libérée des stéréotypes et des rôles assignés aux danseuses. Elle analyse enfin la puissance libératrice de la danse, et la nécessité vitale pour les femmes de s’écouter, d’entretenir au quotidien des moments intimes à soi et à son corps, d’ « égoïsme assumé », pour gagner en confiance et en emporwerment.


Danseuse et chorégraphe, Blanca Li est née en à Grenade. Ancienne gymnaste, elle a été formée par Martha Graham à New York. Devenue la reine des nuits madrilène, elle s’installe à Pigalle en 1993 et crée sa propre compagnie. Proche des milieux de la mode et du cinéma, cette dancing queen inclassable a dirigé Beyoncé, dansé avec les Daft Punk, chorégraphié les films de Pédro Almodovar. Elle a fait swinguer les mannequins de Stella McCartney ou de Jean-Paul Gautier. A travers son spectacle Déesses et démones (2015), où elle danse sur la scène au Théâtre des Champs Elysées avec l’étoile du Bolchoï Maria Alexandrova, elle explore la féminité dans sa dimension plurielle : mythologique et numérique, glamour et androgyne, urbaine et primitive, disciplinée et sauvage. Après avoir fait danser des Robots (2016), et questionné notre dépendance actuelle aux nouvelles technologies, elle crée en 2017 à Chaillot une ode à la nature avec Solstice. Elle montre la beauté du monde, son énergie, sa fragilité, et notre relation organique aux éléments naturels. Solstice revient au Théâtre National de Chaillot du 8 au 15 novembre.


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Au micro de Dalila Kerchouche, la chorégraphe Blanca Li raconte son enfance à Grenade, dans le berceau du flamenco, portée par l’énergie d’une mère entrepreneuse qui aurait rêvé de devenir danseuse. Elle explique la transformation de son corps et l’éveil de sa sensualité. Comment la danse lui a donné de l’assurance et lui a permis d’échapper aux diktats qui pèsent sur le corps des adolescentes, au culte de l’apparence et à la féminité standardisée. Fille de la post-Movida, elle décrit la folie créative et débridée des nuits madrilènes, ainsi que ses débuts dans le cabaret. Elle décrypte aussi l’érotisme électrique de la danse à deux, l’attraction des corps et la puissance sexuelle qui se dégage. Elle évoque la façon dont la danse contemporaine s’est libérée des stéréotypes et des rôles assignés aux danseuses. Elle analyse enfin la puissance libératrice de la danse, et la nécessité vitale pour les femmes de s’écouter, d’entretenir au quotidien des moments intimes à soi et à son corps, d’ « égoïsme assumé », pour gagner en confiance et en emporwerment.


Danseuse et chorégraphe, Blanca Li est née en à Grenade. Ancienne gymnaste, elle a été formée par Martha Graham à New York. Devenue la reine des nuits madrilène, elle s’installe à Pigalle en 1993 et crée sa propre compagnie. Proche des milieux de la mode et du cinéma, cette dancing queen inclassable a dirigé Beyoncé, dansé avec les Daft Punk, chorégraphié les films de Pédro Almodovar. Elle a fait swinguer les mannequins de Stella McCartney ou de Jean-Paul Gautier. A travers son spectacle Déesses et démones (2015), où elle danse sur la scène au Théâtre des Champs Elysées avec l’étoile du Bolchoï Maria Alexandrova, elle explore la féminité dans sa dimension plurielle : mythologique et numérique, glamour et androgyne, urbaine et primitive, disciplinée et sauvage. Après avoir fait danser des Robots (2016), et questionné notre dépendance actuelle aux nouvelles technologies, elle crée en 2017 à Chaillot une ode à la nature avec Solstice. Elle montre la beauté du monde, son énergie, sa fragilité, et notre relation organique aux éléments naturels. Solstice revient au Théâtre National de Chaillot du 8 au 15 novembre.


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