Description
Oubliez les podcasts bien rangés autour d'une table ! Dans cet épisode, on brise les codes et on vit le moment présent avec mes deux plus vieilles amies. Anecdotes, éclats de rires et confidences improvisées, rien n’est prévu… et c’est ça qui rend le voyage si unique. Prêts à plonger dans une conversation qui respire la spontanéité ? Vous n’en ressortirez pas tout à fait les mêmes. 😉
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Oui les gars, premier épisode de Digression, on est là, donc je vous préviens, il y a pas mal de choses à revoir, mais soyez un peu prudents, notamment le petit petit info, pour ne pas passer par fait, mais on est là,
c'est parti le studio. Digression, nous sommes actuellement avec Harmonie, une de mes plus anciennes amies, et dans un lieu assez atypique, je dois le dire, puisque actuellement nous sommes devant un des bâtiments les plus connus de la franc-maçonnerie à Paris. Et du coup, ce podcast est dédié à la franc-maçonnerie.
La franc-maçonnerie, c'est quelque chose d'un peu obscur, un peu mystique. Et avec les premières recherches qu'on a pu voir, être en franc-maçonnerie, c'est participer sur le plan symbolique à la construction du temple universel de l'humanité afin de contribuer à son émancipation, dont le but est de rendre l'homme meilleur sans pour autant lui dicter une façon de s'améliorer. Donc là, en fait, si vous voulez, on a checké des personnes sortir de ce bâtiment-là. Et notre but, notre mission, c'est d'aller les rencontrer, sans pour autant les déranger, etc. Parce que là, on est vraiment dans un bar. On s'est posé devant ce lieu et on a demandé à un serveur qui nous a dit un peu les premières esquisses de ce que c'était. Mais notre mission, un peu, c'est de voir ce que c'est, quoi. Alors, Faïza, c'est totalement inédit ce genre de discussion. C'est vrai qu'on a des légendes urbaines, qu'est-ce que sont les francs-maçons, etc. Des têtes pensantes, comme on dit. C'est vrai que j'étais hyper étonnée de savoir qu'on était posé dans un bar face à un musée de la maçonnerie française, qui s'appelle d'ailleurs Grand Orient de France. Ils ont monté des drapeaux européens et français, donc il y a deux drapeaux. Bévitré, ça ressemble un peu à un bâtiment de bureau. Comme on pourrait les trouver dans le quartier BNF. Je ne sais pas si vous voyez Bévitré, Gris, on les voit, il y a des bureaux, enfin voilà, qui ne dit rien, qui sont un musée. Et c'est vrai que les pensées qu'on a, la franc-maçonnerie, c'est des sujets un peu mystiques, les gens d'urbaines, qu'est-ce que c'est, qui sont ces gens ? Quel est leur travail ? Quelle est leur façon de penser ? Quelle est leur mission en fait ? Et c'est vrai que de ce que j'ai pu entendre, c'est que tu as une partie de l'élite qui est partie, mais tu as aussi des gens qu'on va dire célèbres, des politiciens évidemment, des sportifs, des athlètes, etc. En fait, c'est un monde assez obscur où tu te dis mais qu'est-ce qu'ils font quoi ? Là tu vois en face de moi, il y a des gens en... Costa Crava qui sort, Crane des Garmis parce qu'il y a un certain... C'est pas des Jeannots quoi, c'est pas des Jeannots. Faisa va en expédition, moi je continue de raconter un peu mes façons de penser. C'est un peu les légendes urbaines où tu te dis, mais de quoi il parle quoi ? Parce qu'on apprend des choses dans les livres, on apprend des choses dans l'école, on apprend des choses dans les médias alternatifs, on apprend des choses de différentes façons. Mais on a l'impression que ce qu'ils disent, c'est quelque chose d'assez secret, d'assez, je ne sais pas, mystique. Même si c'est quelque chose d'institutionnel, on sait que c'est des gens normaux, mais il y a cette façon de voir les choses où tu dis que c'est quelque chose de pas du tout connu, pas du tout discuté, que ce soit dans nos sphères, dans les écoles, etc. C'est quand même très intéressant, quoi. Donc voilà.
Lors de ce podcast, nous sommes allés à la rencontre de certains formations en leur posant quelques questions, néanmoins par souci de protéger leur identité. On ne les a pas enregistrées de vive voix, donc on fera des petits feedbacks à chacune de nos interactions avec eux.
Hola, du coup il y a Faiza qui est revenue vers moi, elle a eu la chance et le plaisir de rencontrer des personnes qui travaillent au Grand Orient de France, poser quelques questions pour dire un peu ce qu'on sentit et du coup je laisse la parole à Faizou.
Ouais du coup bah écoutez déjà d'une je vois beaucoup d'hommes, j'ai vu zéro femme, après ce qui est bien c'est que les personnes à qui j'ai... communiquer son hétéroclite, c'est à dire qu'il y a eu un homme noir et un homme blanc. Le premier monsieur m'a dit que son père tenait une galerie juste en face ici, qui s'appelle la photo industrielle, où il s'occupait de cadrer des images, donc faire les cadres des images. Lui étant petit, il a toujours vu ce bâtiment qui est vraiment assez atypique. Il m'a dit qu'en fait, son père, il demandait à son père quel était ce bâtiment et qu'un jour, il lui a dit, vas-y, rentre. Et qu'il a rencontré des gens comme ça et qu'au fur et à mesure, il a pu s'introduire autant dans la franc-maçonnerie. Et la deuxième personne avec qui j'ai pu communiquer fait partie de la chambre des métiers de l'artisanat et était en Réunion. Ah oui, j'ai dit dur ça ! Et il m'a dit qu'ils étaient en réunion actuellement et il m'invitait concrètement à venir visiter le musée. Et je lui ai dit que quand je venais, j'allais demander auprès de cette personne pour qu'il me fasse la visite personnellement. Donc clairement, je pense que je vais le faire parce que...
Est-ce que tu as pu avoir des infos un peu de ce qui se faisait ?
Beaucoup de timidité. Après, j'ai quand même parlé de mysticisme. Après, j'ai parlé beaucoup de mysticisme. autour de ce qui se tramait et elle était plutôt ouverte et m'a dit qu'en fait en soit les informations on pouvait les avoir sur google de ce lieu de cet endroit et qu'il y avait concrètement un musée donc on pouvait s'instruire aussi sur le sujet mais après tout avec un sourire au coin des lèvres et beaucoup d'humour et donc du coup bah pourquoi pas rendre visite à donc comme je le répète le nom du lieu s'appelle le grand orient de france avec deux drapeaux donc le drapeau européen et français et ils étaient en réunion donc je pense discuter d'une certaine politique autour du métier de l'artisanat. On a encore vu il y a quelques instants des gens sortir de cet immeuble. Donc à tout moment si d'autres personnes sortent, pourquoi pas Harmonie, à vous d'aller à la chasse aux infos.
Alors je suis partie à l'aventure, bon je suis assez timide. Heureusement qu'il y a du vin en moi, il y a du Faiza en moi. Donc je suis partie à l'aventure et j'ai demandé qu'est-ce que c'est par curiosité. Et il a été assez timide au début. Faiza il était en mode... J'ai pas trop le temps. Je lui ai demandé si vous aviez deux minutes pour m'expliquer ce que c'est. Je suis assez curieuse, je connais pas trop. C'est vrai qu'il y a beaucoup de... Il me dit il n'y a pas de deux minutes. Mais j'ai dit alors trente secondes s'il vous plaît. Et il me dit, c'est vrai qu'il y a beaucoup de fantasmes autour de la franc-maçonnerie, et il me dit qu'en fait c'est des personnes, c'est une association déjà, c'est une association de personnes avec des convictions différentes, des métiers différents, qui se réunissent pour parler, penser, et non pas pour confronter ses idées, mais pour entendre l'autre. Donc c'est un peu un discours de tolérance, où l'idée n'est pas de convaincre l'autre, n'est pas d'avoir un impact forcément. mais d'entendre ce qu'ils se disent. Donc en gros, grosso modo, ils me disaient que c'était un espace assez... C'était le terme tolérance La non-tolérance n'a pas lieu d'être, le discours de haine n'a pas lieu d'être. Donc c'est quelque chose qu'on n'entend pas forcément de nos jours en fait. Et d'ailleurs, oui, c'est vrai qu'il y a beaucoup de caucasiens hommes. Après, on ne va pas voir les genres sexuels, l'orientation sexuelle, etc. Mais c'est vrai qu'il y a beaucoup d'hommes blancs. D'ailleurs, pour rebondir sur ça, j'ai fini par dire que c'est vrai qu'il y avait beaucoup d'hommes. Où sont les femmes ? Il me dit s'il y en a et il me montre. Il y avait deux femmes à ce moment-là qui sortaient de ce bâtiment-là du Grand Orient de Paris. Et la femme répond oui, on est là. Donc, ça fait plaisir qu'il y a quand même, vous voyez, des choses en mode. OK, il y a quand même une représentation féminine. C'est quand même très important. Et sinon en fait ce qu'il m'explique c'est que c'est des personnes en fait qui se réunissent avec des convictions différentes, des religions différentes, qui réfléchissent et en fait le but c'est d'entendre l'autre et je lui demande, du coup c'est un débat ouvert, et il me dit que non on n'est pas dans le débat en fait. On ne va pas parler de quelque chose que quelqu'un a dit pour convaincre, pour expliquer juste on entend et voilà quoi. Et du coup, je lui demande est-ce qu'il y a un impact finalement sur quelque chose et il me dit qu'en fait non. C'est une association en fait. Ils appellent ça une association parce que c'est pas de l'État etc. Même s'ils ont un musée apparemment. Mais voilà, c'est une association de personnes qui se réunissent autour d'idées, de convictions différentes etc. Il date de 300 ans, il m'a dit. Et qui a beaucoup de fantasmes, c'est vrai. Je suis parmi ces gens-là qui fantasment un peu la franc-maçonnerie, qu'est-ce que c'est ? C'est une secte etc. Et en fait, il a un peu, en gros, enlevé le brouillard de ce sujet. Enfin, en fait, c'est un mec normal. Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire, Faisa, mais c'est un mec normal. Franchement, vous le voyez dans le train, tu dis, il est prof.
Depuis tout à l'heure, en fait, on voit des hommes vraiment autant cheveux de riches. Je ne sais pas si vous vous rappelez de ce compte Facebook. Mais aussi beaucoup de gens qui, limite, ressemblent à José Bové.
Clairement. Et là, c'est vrai que la tranche d'âge, elle est plutôt 50 ans, 40-50 ans. Donc en gros, je lui ai demandé quels sont les critères pour y rentrer. Et je lui ai demandé est-ce qu'un étudiant pouvait rentrer. Il m'a dit oui, totalement. Donc, à mon avis, il y a quand même des critères en mode, ouais, il faut quand même, tu as un minimum d'études, un minimum de jugeote, un minimum de connaissances historiques, etc. pour pouvoir te tenir en face de quelqu'un et parler. Mais au-delà de ça, il n'y a pas de critères précis.
Voici la fin de la première étape de l'épisode 1 de Tigration. Tigration avec Hermosy, c'est exceptionnel, ils utilisent Soirée entre les girls en tournant. Et pourquoi c'est que c'était la fin ? Et bien non, il n'y en a plus, il y en a encore, on a fait ce boudreau de Genzio. Voici étape 2 de The Grand Degree Piot avec Manon Rezenberg. Et là encore, on est sur l'opinion.
Donc, on est sur l'idrétion avec Manon Rezenberg, qui est une de mes plus vieilles amies de ma vie, puisqu'on s'est connues à l'âge de 2 ans et demi, entrée en maternelle, Dominique, Benji, la base. les gens de la base. Donc voilà, pour vous, Manon.
Bonjour à tous. Donc là, juste pour vous expliquer la situation, avec Faiza Boudi, on ne s'est pas vus depuis presque 6 mois, 8 mois. Le temps passe vite. Et donc là, on s'est rejoints à La Défense. Et on va à La Défense. Et puis là, on voit quoi ? On sort de Taïk. Et en fait, coïncidence de ouf, c'est Faiza Boudi qui m'a fait connaître Taïk quand on allait dans une soirée. dans le 7-7. Elle m'avait fait, écoutez, elle m'avait dit, suivra celui-là, cet artiste, il va percer. Et en fait, il perce, il fait des, il fait des, bah là, défense aréna. Et donc là, on est devant le concert et on se dit, on voit tous ces jeunes-là complètement qui font la queue depuis 14 heures et on se dit, mais meuf, imagine, on y va. Mais tu sais quoi, on se rejoint dans un bar, on va boire une bière et on verra ce que l'avenir nous réserve. Là, on est là, on boit une bière et en fait, on voit revente, il y a des places. C'est pas on est là, on n'a pas nos cartes bleues, on retrouve nos cartes bleues, on se fait un compte, on retrouve nos cartes d'identité et là, en fait, on a des places. Géraldo, nous avons dû des places. On ne sait pas si c'est bon, si c'est pas bon. Je ne vous cache pas, dans 20 minutes, vous allez savoir que si on se fait recale du concert, c'est archi drôle. Si par contre, vous nous voyez twerker en train d'être au concert de Taïk, écoutez-nous bien parce que franchement, il y a moyen qu'on s'en jaille bien. Oui, il y a moyen qu'on rentre chacune chez nous, je ne vous cache pas. Et donc là on est là, on a commandé des shots Tekpaf, elle me redit l'ordre sel, tequila, citron. Je vous cache pas, j'avais oublié la jeunesse, le travail, les transports, on oublie. Et puis là, je suis là, j'ai enchaîné barquette de frites, bière, Tekpaf.
Et épisode suivant,
vous saurez.
Petit update, du coup on a réussi à rentrer, alors que Manon... Son billet, il était déjà scanné, donc Géraldo, FDP. Et ouais, en fait, son billet était déjà scanné. Donc Géraldo a voulu nous douiller. FDP ? Sauf que, bah, vas-y, vous connaissez votre pote Feiza. Il a réussi à rentrer, hein.
Eh, bah, je te cache pas, je me suis collée à ma pote Feiza et on est rentrés. Et là, t'as vu que je vais te voir. Mais je cherche la porte 409, j'attends.
Alors, déjà, est-ce qu'on va le voir ? Je ne sais pas, parce qu'on est vraiment, apparemment, sur le côté-côté. Je vous dis... de moins en moins de monde là où on marche. Un mec, il fait le ménage. Du coup, on est vraiment loin, je pense. Regarde, il n'y a personne.
On va rien du tout m'en parler d'entendre.
Bon, on est au concert, les mecs.
Incroyable. Il y a des flammes, il y a de la fumée, incroyable.
Il y a des danseurs, vraiment taïques, mon gars sûr. Bravo, ok.
On vous laisse enjailler un peu.
Ben non,
c'est incroyable.
Coucou le premier épisode de la suite de la participation de Harmonique Et Manon, je vous souhaite une très bonne fin de semaine, en tout cas les idées de qui ? Et puis on se retrouve la semaine prochaine pour de nouvelles aventures Bisous
Description
Oubliez les podcasts bien rangés autour d'une table ! Dans cet épisode, on brise les codes et on vit le moment présent avec mes deux plus vieilles amies. Anecdotes, éclats de rires et confidences improvisées, rien n’est prévu… et c’est ça qui rend le voyage si unique. Prêts à plonger dans une conversation qui respire la spontanéité ? Vous n’en ressortirez pas tout à fait les mêmes. 😉
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Oui les gars, premier épisode de Digression, on est là, donc je vous préviens, il y a pas mal de choses à revoir, mais soyez un peu prudents, notamment le petit petit info, pour ne pas passer par fait, mais on est là,
c'est parti le studio. Digression, nous sommes actuellement avec Harmonie, une de mes plus anciennes amies, et dans un lieu assez atypique, je dois le dire, puisque actuellement nous sommes devant un des bâtiments les plus connus de la franc-maçonnerie à Paris. Et du coup, ce podcast est dédié à la franc-maçonnerie.
La franc-maçonnerie, c'est quelque chose d'un peu obscur, un peu mystique. Et avec les premières recherches qu'on a pu voir, être en franc-maçonnerie, c'est participer sur le plan symbolique à la construction du temple universel de l'humanité afin de contribuer à son émancipation, dont le but est de rendre l'homme meilleur sans pour autant lui dicter une façon de s'améliorer. Donc là, en fait, si vous voulez, on a checké des personnes sortir de ce bâtiment-là. Et notre but, notre mission, c'est d'aller les rencontrer, sans pour autant les déranger, etc. Parce que là, on est vraiment dans un bar. On s'est posé devant ce lieu et on a demandé à un serveur qui nous a dit un peu les premières esquisses de ce que c'était. Mais notre mission, un peu, c'est de voir ce que c'est, quoi. Alors, Faïza, c'est totalement inédit ce genre de discussion. C'est vrai qu'on a des légendes urbaines, qu'est-ce que sont les francs-maçons, etc. Des têtes pensantes, comme on dit. C'est vrai que j'étais hyper étonnée de savoir qu'on était posé dans un bar face à un musée de la maçonnerie française, qui s'appelle d'ailleurs Grand Orient de France. Ils ont monté des drapeaux européens et français, donc il y a deux drapeaux. Bévitré, ça ressemble un peu à un bâtiment de bureau. Comme on pourrait les trouver dans le quartier BNF. Je ne sais pas si vous voyez Bévitré, Gris, on les voit, il y a des bureaux, enfin voilà, qui ne dit rien, qui sont un musée. Et c'est vrai que les pensées qu'on a, la franc-maçonnerie, c'est des sujets un peu mystiques, les gens d'urbaines, qu'est-ce que c'est, qui sont ces gens ? Quel est leur travail ? Quelle est leur façon de penser ? Quelle est leur mission en fait ? Et c'est vrai que de ce que j'ai pu entendre, c'est que tu as une partie de l'élite qui est partie, mais tu as aussi des gens qu'on va dire célèbres, des politiciens évidemment, des sportifs, des athlètes, etc. En fait, c'est un monde assez obscur où tu te dis mais qu'est-ce qu'ils font quoi ? Là tu vois en face de moi, il y a des gens en... Costa Crava qui sort, Crane des Garmis parce qu'il y a un certain... C'est pas des Jeannots quoi, c'est pas des Jeannots. Faisa va en expédition, moi je continue de raconter un peu mes façons de penser. C'est un peu les légendes urbaines où tu te dis, mais de quoi il parle quoi ? Parce qu'on apprend des choses dans les livres, on apprend des choses dans l'école, on apprend des choses dans les médias alternatifs, on apprend des choses de différentes façons. Mais on a l'impression que ce qu'ils disent, c'est quelque chose d'assez secret, d'assez, je ne sais pas, mystique. Même si c'est quelque chose d'institutionnel, on sait que c'est des gens normaux, mais il y a cette façon de voir les choses où tu dis que c'est quelque chose de pas du tout connu, pas du tout discuté, que ce soit dans nos sphères, dans les écoles, etc. C'est quand même très intéressant, quoi. Donc voilà.
Lors de ce podcast, nous sommes allés à la rencontre de certains formations en leur posant quelques questions, néanmoins par souci de protéger leur identité. On ne les a pas enregistrées de vive voix, donc on fera des petits feedbacks à chacune de nos interactions avec eux.
Hola, du coup il y a Faiza qui est revenue vers moi, elle a eu la chance et le plaisir de rencontrer des personnes qui travaillent au Grand Orient de France, poser quelques questions pour dire un peu ce qu'on sentit et du coup je laisse la parole à Faizou.
Ouais du coup bah écoutez déjà d'une je vois beaucoup d'hommes, j'ai vu zéro femme, après ce qui est bien c'est que les personnes à qui j'ai... communiquer son hétéroclite, c'est à dire qu'il y a eu un homme noir et un homme blanc. Le premier monsieur m'a dit que son père tenait une galerie juste en face ici, qui s'appelle la photo industrielle, où il s'occupait de cadrer des images, donc faire les cadres des images. Lui étant petit, il a toujours vu ce bâtiment qui est vraiment assez atypique. Il m'a dit qu'en fait, son père, il demandait à son père quel était ce bâtiment et qu'un jour, il lui a dit, vas-y, rentre. Et qu'il a rencontré des gens comme ça et qu'au fur et à mesure, il a pu s'introduire autant dans la franc-maçonnerie. Et la deuxième personne avec qui j'ai pu communiquer fait partie de la chambre des métiers de l'artisanat et était en Réunion. Ah oui, j'ai dit dur ça ! Et il m'a dit qu'ils étaient en réunion actuellement et il m'invitait concrètement à venir visiter le musée. Et je lui ai dit que quand je venais, j'allais demander auprès de cette personne pour qu'il me fasse la visite personnellement. Donc clairement, je pense que je vais le faire parce que...
Est-ce que tu as pu avoir des infos un peu de ce qui se faisait ?
Beaucoup de timidité. Après, j'ai quand même parlé de mysticisme. Après, j'ai parlé beaucoup de mysticisme. autour de ce qui se tramait et elle était plutôt ouverte et m'a dit qu'en fait en soit les informations on pouvait les avoir sur google de ce lieu de cet endroit et qu'il y avait concrètement un musée donc on pouvait s'instruire aussi sur le sujet mais après tout avec un sourire au coin des lèvres et beaucoup d'humour et donc du coup bah pourquoi pas rendre visite à donc comme je le répète le nom du lieu s'appelle le grand orient de france avec deux drapeaux donc le drapeau européen et français et ils étaient en réunion donc je pense discuter d'une certaine politique autour du métier de l'artisanat. On a encore vu il y a quelques instants des gens sortir de cet immeuble. Donc à tout moment si d'autres personnes sortent, pourquoi pas Harmonie, à vous d'aller à la chasse aux infos.
Alors je suis partie à l'aventure, bon je suis assez timide. Heureusement qu'il y a du vin en moi, il y a du Faiza en moi. Donc je suis partie à l'aventure et j'ai demandé qu'est-ce que c'est par curiosité. Et il a été assez timide au début. Faiza il était en mode... J'ai pas trop le temps. Je lui ai demandé si vous aviez deux minutes pour m'expliquer ce que c'est. Je suis assez curieuse, je connais pas trop. C'est vrai qu'il y a beaucoup de... Il me dit il n'y a pas de deux minutes. Mais j'ai dit alors trente secondes s'il vous plaît. Et il me dit, c'est vrai qu'il y a beaucoup de fantasmes autour de la franc-maçonnerie, et il me dit qu'en fait c'est des personnes, c'est une association déjà, c'est une association de personnes avec des convictions différentes, des métiers différents, qui se réunissent pour parler, penser, et non pas pour confronter ses idées, mais pour entendre l'autre. Donc c'est un peu un discours de tolérance, où l'idée n'est pas de convaincre l'autre, n'est pas d'avoir un impact forcément. mais d'entendre ce qu'ils se disent. Donc en gros, grosso modo, ils me disaient que c'était un espace assez... C'était le terme tolérance La non-tolérance n'a pas lieu d'être, le discours de haine n'a pas lieu d'être. Donc c'est quelque chose qu'on n'entend pas forcément de nos jours en fait. Et d'ailleurs, oui, c'est vrai qu'il y a beaucoup de caucasiens hommes. Après, on ne va pas voir les genres sexuels, l'orientation sexuelle, etc. Mais c'est vrai qu'il y a beaucoup d'hommes blancs. D'ailleurs, pour rebondir sur ça, j'ai fini par dire que c'est vrai qu'il y avait beaucoup d'hommes. Où sont les femmes ? Il me dit s'il y en a et il me montre. Il y avait deux femmes à ce moment-là qui sortaient de ce bâtiment-là du Grand Orient de Paris. Et la femme répond oui, on est là. Donc, ça fait plaisir qu'il y a quand même, vous voyez, des choses en mode. OK, il y a quand même une représentation féminine. C'est quand même très important. Et sinon en fait ce qu'il m'explique c'est que c'est des personnes en fait qui se réunissent avec des convictions différentes, des religions différentes, qui réfléchissent et en fait le but c'est d'entendre l'autre et je lui demande, du coup c'est un débat ouvert, et il me dit que non on n'est pas dans le débat en fait. On ne va pas parler de quelque chose que quelqu'un a dit pour convaincre, pour expliquer juste on entend et voilà quoi. Et du coup, je lui demande est-ce qu'il y a un impact finalement sur quelque chose et il me dit qu'en fait non. C'est une association en fait. Ils appellent ça une association parce que c'est pas de l'État etc. Même s'ils ont un musée apparemment. Mais voilà, c'est une association de personnes qui se réunissent autour d'idées, de convictions différentes etc. Il date de 300 ans, il m'a dit. Et qui a beaucoup de fantasmes, c'est vrai. Je suis parmi ces gens-là qui fantasment un peu la franc-maçonnerie, qu'est-ce que c'est ? C'est une secte etc. Et en fait, il a un peu, en gros, enlevé le brouillard de ce sujet. Enfin, en fait, c'est un mec normal. Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire, Faisa, mais c'est un mec normal. Franchement, vous le voyez dans le train, tu dis, il est prof.
Depuis tout à l'heure, en fait, on voit des hommes vraiment autant cheveux de riches. Je ne sais pas si vous vous rappelez de ce compte Facebook. Mais aussi beaucoup de gens qui, limite, ressemblent à José Bové.
Clairement. Et là, c'est vrai que la tranche d'âge, elle est plutôt 50 ans, 40-50 ans. Donc en gros, je lui ai demandé quels sont les critères pour y rentrer. Et je lui ai demandé est-ce qu'un étudiant pouvait rentrer. Il m'a dit oui, totalement. Donc, à mon avis, il y a quand même des critères en mode, ouais, il faut quand même, tu as un minimum d'études, un minimum de jugeote, un minimum de connaissances historiques, etc. pour pouvoir te tenir en face de quelqu'un et parler. Mais au-delà de ça, il n'y a pas de critères précis.
Voici la fin de la première étape de l'épisode 1 de Tigration. Tigration avec Hermosy, c'est exceptionnel, ils utilisent Soirée entre les girls en tournant. Et pourquoi c'est que c'était la fin ? Et bien non, il n'y en a plus, il y en a encore, on a fait ce boudreau de Genzio. Voici étape 2 de The Grand Degree Piot avec Manon Rezenberg. Et là encore, on est sur l'opinion.
Donc, on est sur l'idrétion avec Manon Rezenberg, qui est une de mes plus vieilles amies de ma vie, puisqu'on s'est connues à l'âge de 2 ans et demi, entrée en maternelle, Dominique, Benji, la base. les gens de la base. Donc voilà, pour vous, Manon.
Bonjour à tous. Donc là, juste pour vous expliquer la situation, avec Faiza Boudi, on ne s'est pas vus depuis presque 6 mois, 8 mois. Le temps passe vite. Et donc là, on s'est rejoints à La Défense. Et on va à La Défense. Et puis là, on voit quoi ? On sort de Taïk. Et en fait, coïncidence de ouf, c'est Faiza Boudi qui m'a fait connaître Taïk quand on allait dans une soirée. dans le 7-7. Elle m'avait fait, écoutez, elle m'avait dit, suivra celui-là, cet artiste, il va percer. Et en fait, il perce, il fait des, il fait des, bah là, défense aréna. Et donc là, on est devant le concert et on se dit, on voit tous ces jeunes-là complètement qui font la queue depuis 14 heures et on se dit, mais meuf, imagine, on y va. Mais tu sais quoi, on se rejoint dans un bar, on va boire une bière et on verra ce que l'avenir nous réserve. Là, on est là, on boit une bière et en fait, on voit revente, il y a des places. C'est pas on est là, on n'a pas nos cartes bleues, on retrouve nos cartes bleues, on se fait un compte, on retrouve nos cartes d'identité et là, en fait, on a des places. Géraldo, nous avons dû des places. On ne sait pas si c'est bon, si c'est pas bon. Je ne vous cache pas, dans 20 minutes, vous allez savoir que si on se fait recale du concert, c'est archi drôle. Si par contre, vous nous voyez twerker en train d'être au concert de Taïk, écoutez-nous bien parce que franchement, il y a moyen qu'on s'en jaille bien. Oui, il y a moyen qu'on rentre chacune chez nous, je ne vous cache pas. Et donc là on est là, on a commandé des shots Tekpaf, elle me redit l'ordre sel, tequila, citron. Je vous cache pas, j'avais oublié la jeunesse, le travail, les transports, on oublie. Et puis là, je suis là, j'ai enchaîné barquette de frites, bière, Tekpaf.
Et épisode suivant,
vous saurez.
Petit update, du coup on a réussi à rentrer, alors que Manon... Son billet, il était déjà scanné, donc Géraldo, FDP. Et ouais, en fait, son billet était déjà scanné. Donc Géraldo a voulu nous douiller. FDP ? Sauf que, bah, vas-y, vous connaissez votre pote Feiza. Il a réussi à rentrer, hein.
Eh, bah, je te cache pas, je me suis collée à ma pote Feiza et on est rentrés. Et là, t'as vu que je vais te voir. Mais je cherche la porte 409, j'attends.
Alors, déjà, est-ce qu'on va le voir ? Je ne sais pas, parce qu'on est vraiment, apparemment, sur le côté-côté. Je vous dis... de moins en moins de monde là où on marche. Un mec, il fait le ménage. Du coup, on est vraiment loin, je pense. Regarde, il n'y a personne.
On va rien du tout m'en parler d'entendre.
Bon, on est au concert, les mecs.
Incroyable. Il y a des flammes, il y a de la fumée, incroyable.
Il y a des danseurs, vraiment taïques, mon gars sûr. Bravo, ok.
On vous laisse enjailler un peu.
Ben non,
c'est incroyable.
Coucou le premier épisode de la suite de la participation de Harmonique Et Manon, je vous souhaite une très bonne fin de semaine, en tout cas les idées de qui ? Et puis on se retrouve la semaine prochaine pour de nouvelles aventures Bisous
Share
Embed
You may also like
Description
Oubliez les podcasts bien rangés autour d'une table ! Dans cet épisode, on brise les codes et on vit le moment présent avec mes deux plus vieilles amies. Anecdotes, éclats de rires et confidences improvisées, rien n’est prévu… et c’est ça qui rend le voyage si unique. Prêts à plonger dans une conversation qui respire la spontanéité ? Vous n’en ressortirez pas tout à fait les mêmes. 😉
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Oui les gars, premier épisode de Digression, on est là, donc je vous préviens, il y a pas mal de choses à revoir, mais soyez un peu prudents, notamment le petit petit info, pour ne pas passer par fait, mais on est là,
c'est parti le studio. Digression, nous sommes actuellement avec Harmonie, une de mes plus anciennes amies, et dans un lieu assez atypique, je dois le dire, puisque actuellement nous sommes devant un des bâtiments les plus connus de la franc-maçonnerie à Paris. Et du coup, ce podcast est dédié à la franc-maçonnerie.
La franc-maçonnerie, c'est quelque chose d'un peu obscur, un peu mystique. Et avec les premières recherches qu'on a pu voir, être en franc-maçonnerie, c'est participer sur le plan symbolique à la construction du temple universel de l'humanité afin de contribuer à son émancipation, dont le but est de rendre l'homme meilleur sans pour autant lui dicter une façon de s'améliorer. Donc là, en fait, si vous voulez, on a checké des personnes sortir de ce bâtiment-là. Et notre but, notre mission, c'est d'aller les rencontrer, sans pour autant les déranger, etc. Parce que là, on est vraiment dans un bar. On s'est posé devant ce lieu et on a demandé à un serveur qui nous a dit un peu les premières esquisses de ce que c'était. Mais notre mission, un peu, c'est de voir ce que c'est, quoi. Alors, Faïza, c'est totalement inédit ce genre de discussion. C'est vrai qu'on a des légendes urbaines, qu'est-ce que sont les francs-maçons, etc. Des têtes pensantes, comme on dit. C'est vrai que j'étais hyper étonnée de savoir qu'on était posé dans un bar face à un musée de la maçonnerie française, qui s'appelle d'ailleurs Grand Orient de France. Ils ont monté des drapeaux européens et français, donc il y a deux drapeaux. Bévitré, ça ressemble un peu à un bâtiment de bureau. Comme on pourrait les trouver dans le quartier BNF. Je ne sais pas si vous voyez Bévitré, Gris, on les voit, il y a des bureaux, enfin voilà, qui ne dit rien, qui sont un musée. Et c'est vrai que les pensées qu'on a, la franc-maçonnerie, c'est des sujets un peu mystiques, les gens d'urbaines, qu'est-ce que c'est, qui sont ces gens ? Quel est leur travail ? Quelle est leur façon de penser ? Quelle est leur mission en fait ? Et c'est vrai que de ce que j'ai pu entendre, c'est que tu as une partie de l'élite qui est partie, mais tu as aussi des gens qu'on va dire célèbres, des politiciens évidemment, des sportifs, des athlètes, etc. En fait, c'est un monde assez obscur où tu te dis mais qu'est-ce qu'ils font quoi ? Là tu vois en face de moi, il y a des gens en... Costa Crava qui sort, Crane des Garmis parce qu'il y a un certain... C'est pas des Jeannots quoi, c'est pas des Jeannots. Faisa va en expédition, moi je continue de raconter un peu mes façons de penser. C'est un peu les légendes urbaines où tu te dis, mais de quoi il parle quoi ? Parce qu'on apprend des choses dans les livres, on apprend des choses dans l'école, on apprend des choses dans les médias alternatifs, on apprend des choses de différentes façons. Mais on a l'impression que ce qu'ils disent, c'est quelque chose d'assez secret, d'assez, je ne sais pas, mystique. Même si c'est quelque chose d'institutionnel, on sait que c'est des gens normaux, mais il y a cette façon de voir les choses où tu dis que c'est quelque chose de pas du tout connu, pas du tout discuté, que ce soit dans nos sphères, dans les écoles, etc. C'est quand même très intéressant, quoi. Donc voilà.
Lors de ce podcast, nous sommes allés à la rencontre de certains formations en leur posant quelques questions, néanmoins par souci de protéger leur identité. On ne les a pas enregistrées de vive voix, donc on fera des petits feedbacks à chacune de nos interactions avec eux.
Hola, du coup il y a Faiza qui est revenue vers moi, elle a eu la chance et le plaisir de rencontrer des personnes qui travaillent au Grand Orient de France, poser quelques questions pour dire un peu ce qu'on sentit et du coup je laisse la parole à Faizou.
Ouais du coup bah écoutez déjà d'une je vois beaucoup d'hommes, j'ai vu zéro femme, après ce qui est bien c'est que les personnes à qui j'ai... communiquer son hétéroclite, c'est à dire qu'il y a eu un homme noir et un homme blanc. Le premier monsieur m'a dit que son père tenait une galerie juste en face ici, qui s'appelle la photo industrielle, où il s'occupait de cadrer des images, donc faire les cadres des images. Lui étant petit, il a toujours vu ce bâtiment qui est vraiment assez atypique. Il m'a dit qu'en fait, son père, il demandait à son père quel était ce bâtiment et qu'un jour, il lui a dit, vas-y, rentre. Et qu'il a rencontré des gens comme ça et qu'au fur et à mesure, il a pu s'introduire autant dans la franc-maçonnerie. Et la deuxième personne avec qui j'ai pu communiquer fait partie de la chambre des métiers de l'artisanat et était en Réunion. Ah oui, j'ai dit dur ça ! Et il m'a dit qu'ils étaient en réunion actuellement et il m'invitait concrètement à venir visiter le musée. Et je lui ai dit que quand je venais, j'allais demander auprès de cette personne pour qu'il me fasse la visite personnellement. Donc clairement, je pense que je vais le faire parce que...
Est-ce que tu as pu avoir des infos un peu de ce qui se faisait ?
Beaucoup de timidité. Après, j'ai quand même parlé de mysticisme. Après, j'ai parlé beaucoup de mysticisme. autour de ce qui se tramait et elle était plutôt ouverte et m'a dit qu'en fait en soit les informations on pouvait les avoir sur google de ce lieu de cet endroit et qu'il y avait concrètement un musée donc on pouvait s'instruire aussi sur le sujet mais après tout avec un sourire au coin des lèvres et beaucoup d'humour et donc du coup bah pourquoi pas rendre visite à donc comme je le répète le nom du lieu s'appelle le grand orient de france avec deux drapeaux donc le drapeau européen et français et ils étaient en réunion donc je pense discuter d'une certaine politique autour du métier de l'artisanat. On a encore vu il y a quelques instants des gens sortir de cet immeuble. Donc à tout moment si d'autres personnes sortent, pourquoi pas Harmonie, à vous d'aller à la chasse aux infos.
Alors je suis partie à l'aventure, bon je suis assez timide. Heureusement qu'il y a du vin en moi, il y a du Faiza en moi. Donc je suis partie à l'aventure et j'ai demandé qu'est-ce que c'est par curiosité. Et il a été assez timide au début. Faiza il était en mode... J'ai pas trop le temps. Je lui ai demandé si vous aviez deux minutes pour m'expliquer ce que c'est. Je suis assez curieuse, je connais pas trop. C'est vrai qu'il y a beaucoup de... Il me dit il n'y a pas de deux minutes. Mais j'ai dit alors trente secondes s'il vous plaît. Et il me dit, c'est vrai qu'il y a beaucoup de fantasmes autour de la franc-maçonnerie, et il me dit qu'en fait c'est des personnes, c'est une association déjà, c'est une association de personnes avec des convictions différentes, des métiers différents, qui se réunissent pour parler, penser, et non pas pour confronter ses idées, mais pour entendre l'autre. Donc c'est un peu un discours de tolérance, où l'idée n'est pas de convaincre l'autre, n'est pas d'avoir un impact forcément. mais d'entendre ce qu'ils se disent. Donc en gros, grosso modo, ils me disaient que c'était un espace assez... C'était le terme tolérance La non-tolérance n'a pas lieu d'être, le discours de haine n'a pas lieu d'être. Donc c'est quelque chose qu'on n'entend pas forcément de nos jours en fait. Et d'ailleurs, oui, c'est vrai qu'il y a beaucoup de caucasiens hommes. Après, on ne va pas voir les genres sexuels, l'orientation sexuelle, etc. Mais c'est vrai qu'il y a beaucoup d'hommes blancs. D'ailleurs, pour rebondir sur ça, j'ai fini par dire que c'est vrai qu'il y avait beaucoup d'hommes. Où sont les femmes ? Il me dit s'il y en a et il me montre. Il y avait deux femmes à ce moment-là qui sortaient de ce bâtiment-là du Grand Orient de Paris. Et la femme répond oui, on est là. Donc, ça fait plaisir qu'il y a quand même, vous voyez, des choses en mode. OK, il y a quand même une représentation féminine. C'est quand même très important. Et sinon en fait ce qu'il m'explique c'est que c'est des personnes en fait qui se réunissent avec des convictions différentes, des religions différentes, qui réfléchissent et en fait le but c'est d'entendre l'autre et je lui demande, du coup c'est un débat ouvert, et il me dit que non on n'est pas dans le débat en fait. On ne va pas parler de quelque chose que quelqu'un a dit pour convaincre, pour expliquer juste on entend et voilà quoi. Et du coup, je lui demande est-ce qu'il y a un impact finalement sur quelque chose et il me dit qu'en fait non. C'est une association en fait. Ils appellent ça une association parce que c'est pas de l'État etc. Même s'ils ont un musée apparemment. Mais voilà, c'est une association de personnes qui se réunissent autour d'idées, de convictions différentes etc. Il date de 300 ans, il m'a dit. Et qui a beaucoup de fantasmes, c'est vrai. Je suis parmi ces gens-là qui fantasment un peu la franc-maçonnerie, qu'est-ce que c'est ? C'est une secte etc. Et en fait, il a un peu, en gros, enlevé le brouillard de ce sujet. Enfin, en fait, c'est un mec normal. Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire, Faisa, mais c'est un mec normal. Franchement, vous le voyez dans le train, tu dis, il est prof.
Depuis tout à l'heure, en fait, on voit des hommes vraiment autant cheveux de riches. Je ne sais pas si vous vous rappelez de ce compte Facebook. Mais aussi beaucoup de gens qui, limite, ressemblent à José Bové.
Clairement. Et là, c'est vrai que la tranche d'âge, elle est plutôt 50 ans, 40-50 ans. Donc en gros, je lui ai demandé quels sont les critères pour y rentrer. Et je lui ai demandé est-ce qu'un étudiant pouvait rentrer. Il m'a dit oui, totalement. Donc, à mon avis, il y a quand même des critères en mode, ouais, il faut quand même, tu as un minimum d'études, un minimum de jugeote, un minimum de connaissances historiques, etc. pour pouvoir te tenir en face de quelqu'un et parler. Mais au-delà de ça, il n'y a pas de critères précis.
Voici la fin de la première étape de l'épisode 1 de Tigration. Tigration avec Hermosy, c'est exceptionnel, ils utilisent Soirée entre les girls en tournant. Et pourquoi c'est que c'était la fin ? Et bien non, il n'y en a plus, il y en a encore, on a fait ce boudreau de Genzio. Voici étape 2 de The Grand Degree Piot avec Manon Rezenberg. Et là encore, on est sur l'opinion.
Donc, on est sur l'idrétion avec Manon Rezenberg, qui est une de mes plus vieilles amies de ma vie, puisqu'on s'est connues à l'âge de 2 ans et demi, entrée en maternelle, Dominique, Benji, la base. les gens de la base. Donc voilà, pour vous, Manon.
Bonjour à tous. Donc là, juste pour vous expliquer la situation, avec Faiza Boudi, on ne s'est pas vus depuis presque 6 mois, 8 mois. Le temps passe vite. Et donc là, on s'est rejoints à La Défense. Et on va à La Défense. Et puis là, on voit quoi ? On sort de Taïk. Et en fait, coïncidence de ouf, c'est Faiza Boudi qui m'a fait connaître Taïk quand on allait dans une soirée. dans le 7-7. Elle m'avait fait, écoutez, elle m'avait dit, suivra celui-là, cet artiste, il va percer. Et en fait, il perce, il fait des, il fait des, bah là, défense aréna. Et donc là, on est devant le concert et on se dit, on voit tous ces jeunes-là complètement qui font la queue depuis 14 heures et on se dit, mais meuf, imagine, on y va. Mais tu sais quoi, on se rejoint dans un bar, on va boire une bière et on verra ce que l'avenir nous réserve. Là, on est là, on boit une bière et en fait, on voit revente, il y a des places. C'est pas on est là, on n'a pas nos cartes bleues, on retrouve nos cartes bleues, on se fait un compte, on retrouve nos cartes d'identité et là, en fait, on a des places. Géraldo, nous avons dû des places. On ne sait pas si c'est bon, si c'est pas bon. Je ne vous cache pas, dans 20 minutes, vous allez savoir que si on se fait recale du concert, c'est archi drôle. Si par contre, vous nous voyez twerker en train d'être au concert de Taïk, écoutez-nous bien parce que franchement, il y a moyen qu'on s'en jaille bien. Oui, il y a moyen qu'on rentre chacune chez nous, je ne vous cache pas. Et donc là on est là, on a commandé des shots Tekpaf, elle me redit l'ordre sel, tequila, citron. Je vous cache pas, j'avais oublié la jeunesse, le travail, les transports, on oublie. Et puis là, je suis là, j'ai enchaîné barquette de frites, bière, Tekpaf.
Et épisode suivant,
vous saurez.
Petit update, du coup on a réussi à rentrer, alors que Manon... Son billet, il était déjà scanné, donc Géraldo, FDP. Et ouais, en fait, son billet était déjà scanné. Donc Géraldo a voulu nous douiller. FDP ? Sauf que, bah, vas-y, vous connaissez votre pote Feiza. Il a réussi à rentrer, hein.
Eh, bah, je te cache pas, je me suis collée à ma pote Feiza et on est rentrés. Et là, t'as vu que je vais te voir. Mais je cherche la porte 409, j'attends.
Alors, déjà, est-ce qu'on va le voir ? Je ne sais pas, parce qu'on est vraiment, apparemment, sur le côté-côté. Je vous dis... de moins en moins de monde là où on marche. Un mec, il fait le ménage. Du coup, on est vraiment loin, je pense. Regarde, il n'y a personne.
On va rien du tout m'en parler d'entendre.
Bon, on est au concert, les mecs.
Incroyable. Il y a des flammes, il y a de la fumée, incroyable.
Il y a des danseurs, vraiment taïques, mon gars sûr. Bravo, ok.
On vous laisse enjailler un peu.
Ben non,
c'est incroyable.
Coucou le premier épisode de la suite de la participation de Harmonique Et Manon, je vous souhaite une très bonne fin de semaine, en tout cas les idées de qui ? Et puis on se retrouve la semaine prochaine pour de nouvelles aventures Bisous
Description
Oubliez les podcasts bien rangés autour d'une table ! Dans cet épisode, on brise les codes et on vit le moment présent avec mes deux plus vieilles amies. Anecdotes, éclats de rires et confidences improvisées, rien n’est prévu… et c’est ça qui rend le voyage si unique. Prêts à plonger dans une conversation qui respire la spontanéité ? Vous n’en ressortirez pas tout à fait les mêmes. 😉
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Oui les gars, premier épisode de Digression, on est là, donc je vous préviens, il y a pas mal de choses à revoir, mais soyez un peu prudents, notamment le petit petit info, pour ne pas passer par fait, mais on est là,
c'est parti le studio. Digression, nous sommes actuellement avec Harmonie, une de mes plus anciennes amies, et dans un lieu assez atypique, je dois le dire, puisque actuellement nous sommes devant un des bâtiments les plus connus de la franc-maçonnerie à Paris. Et du coup, ce podcast est dédié à la franc-maçonnerie.
La franc-maçonnerie, c'est quelque chose d'un peu obscur, un peu mystique. Et avec les premières recherches qu'on a pu voir, être en franc-maçonnerie, c'est participer sur le plan symbolique à la construction du temple universel de l'humanité afin de contribuer à son émancipation, dont le but est de rendre l'homme meilleur sans pour autant lui dicter une façon de s'améliorer. Donc là, en fait, si vous voulez, on a checké des personnes sortir de ce bâtiment-là. Et notre but, notre mission, c'est d'aller les rencontrer, sans pour autant les déranger, etc. Parce que là, on est vraiment dans un bar. On s'est posé devant ce lieu et on a demandé à un serveur qui nous a dit un peu les premières esquisses de ce que c'était. Mais notre mission, un peu, c'est de voir ce que c'est, quoi. Alors, Faïza, c'est totalement inédit ce genre de discussion. C'est vrai qu'on a des légendes urbaines, qu'est-ce que sont les francs-maçons, etc. Des têtes pensantes, comme on dit. C'est vrai que j'étais hyper étonnée de savoir qu'on était posé dans un bar face à un musée de la maçonnerie française, qui s'appelle d'ailleurs Grand Orient de France. Ils ont monté des drapeaux européens et français, donc il y a deux drapeaux. Bévitré, ça ressemble un peu à un bâtiment de bureau. Comme on pourrait les trouver dans le quartier BNF. Je ne sais pas si vous voyez Bévitré, Gris, on les voit, il y a des bureaux, enfin voilà, qui ne dit rien, qui sont un musée. Et c'est vrai que les pensées qu'on a, la franc-maçonnerie, c'est des sujets un peu mystiques, les gens d'urbaines, qu'est-ce que c'est, qui sont ces gens ? Quel est leur travail ? Quelle est leur façon de penser ? Quelle est leur mission en fait ? Et c'est vrai que de ce que j'ai pu entendre, c'est que tu as une partie de l'élite qui est partie, mais tu as aussi des gens qu'on va dire célèbres, des politiciens évidemment, des sportifs, des athlètes, etc. En fait, c'est un monde assez obscur où tu te dis mais qu'est-ce qu'ils font quoi ? Là tu vois en face de moi, il y a des gens en... Costa Crava qui sort, Crane des Garmis parce qu'il y a un certain... C'est pas des Jeannots quoi, c'est pas des Jeannots. Faisa va en expédition, moi je continue de raconter un peu mes façons de penser. C'est un peu les légendes urbaines où tu te dis, mais de quoi il parle quoi ? Parce qu'on apprend des choses dans les livres, on apprend des choses dans l'école, on apprend des choses dans les médias alternatifs, on apprend des choses de différentes façons. Mais on a l'impression que ce qu'ils disent, c'est quelque chose d'assez secret, d'assez, je ne sais pas, mystique. Même si c'est quelque chose d'institutionnel, on sait que c'est des gens normaux, mais il y a cette façon de voir les choses où tu dis que c'est quelque chose de pas du tout connu, pas du tout discuté, que ce soit dans nos sphères, dans les écoles, etc. C'est quand même très intéressant, quoi. Donc voilà.
Lors de ce podcast, nous sommes allés à la rencontre de certains formations en leur posant quelques questions, néanmoins par souci de protéger leur identité. On ne les a pas enregistrées de vive voix, donc on fera des petits feedbacks à chacune de nos interactions avec eux.
Hola, du coup il y a Faiza qui est revenue vers moi, elle a eu la chance et le plaisir de rencontrer des personnes qui travaillent au Grand Orient de France, poser quelques questions pour dire un peu ce qu'on sentit et du coup je laisse la parole à Faizou.
Ouais du coup bah écoutez déjà d'une je vois beaucoup d'hommes, j'ai vu zéro femme, après ce qui est bien c'est que les personnes à qui j'ai... communiquer son hétéroclite, c'est à dire qu'il y a eu un homme noir et un homme blanc. Le premier monsieur m'a dit que son père tenait une galerie juste en face ici, qui s'appelle la photo industrielle, où il s'occupait de cadrer des images, donc faire les cadres des images. Lui étant petit, il a toujours vu ce bâtiment qui est vraiment assez atypique. Il m'a dit qu'en fait, son père, il demandait à son père quel était ce bâtiment et qu'un jour, il lui a dit, vas-y, rentre. Et qu'il a rencontré des gens comme ça et qu'au fur et à mesure, il a pu s'introduire autant dans la franc-maçonnerie. Et la deuxième personne avec qui j'ai pu communiquer fait partie de la chambre des métiers de l'artisanat et était en Réunion. Ah oui, j'ai dit dur ça ! Et il m'a dit qu'ils étaient en réunion actuellement et il m'invitait concrètement à venir visiter le musée. Et je lui ai dit que quand je venais, j'allais demander auprès de cette personne pour qu'il me fasse la visite personnellement. Donc clairement, je pense que je vais le faire parce que...
Est-ce que tu as pu avoir des infos un peu de ce qui se faisait ?
Beaucoup de timidité. Après, j'ai quand même parlé de mysticisme. Après, j'ai parlé beaucoup de mysticisme. autour de ce qui se tramait et elle était plutôt ouverte et m'a dit qu'en fait en soit les informations on pouvait les avoir sur google de ce lieu de cet endroit et qu'il y avait concrètement un musée donc on pouvait s'instruire aussi sur le sujet mais après tout avec un sourire au coin des lèvres et beaucoup d'humour et donc du coup bah pourquoi pas rendre visite à donc comme je le répète le nom du lieu s'appelle le grand orient de france avec deux drapeaux donc le drapeau européen et français et ils étaient en réunion donc je pense discuter d'une certaine politique autour du métier de l'artisanat. On a encore vu il y a quelques instants des gens sortir de cet immeuble. Donc à tout moment si d'autres personnes sortent, pourquoi pas Harmonie, à vous d'aller à la chasse aux infos.
Alors je suis partie à l'aventure, bon je suis assez timide. Heureusement qu'il y a du vin en moi, il y a du Faiza en moi. Donc je suis partie à l'aventure et j'ai demandé qu'est-ce que c'est par curiosité. Et il a été assez timide au début. Faiza il était en mode... J'ai pas trop le temps. Je lui ai demandé si vous aviez deux minutes pour m'expliquer ce que c'est. Je suis assez curieuse, je connais pas trop. C'est vrai qu'il y a beaucoup de... Il me dit il n'y a pas de deux minutes. Mais j'ai dit alors trente secondes s'il vous plaît. Et il me dit, c'est vrai qu'il y a beaucoup de fantasmes autour de la franc-maçonnerie, et il me dit qu'en fait c'est des personnes, c'est une association déjà, c'est une association de personnes avec des convictions différentes, des métiers différents, qui se réunissent pour parler, penser, et non pas pour confronter ses idées, mais pour entendre l'autre. Donc c'est un peu un discours de tolérance, où l'idée n'est pas de convaincre l'autre, n'est pas d'avoir un impact forcément. mais d'entendre ce qu'ils se disent. Donc en gros, grosso modo, ils me disaient que c'était un espace assez... C'était le terme tolérance La non-tolérance n'a pas lieu d'être, le discours de haine n'a pas lieu d'être. Donc c'est quelque chose qu'on n'entend pas forcément de nos jours en fait. Et d'ailleurs, oui, c'est vrai qu'il y a beaucoup de caucasiens hommes. Après, on ne va pas voir les genres sexuels, l'orientation sexuelle, etc. Mais c'est vrai qu'il y a beaucoup d'hommes blancs. D'ailleurs, pour rebondir sur ça, j'ai fini par dire que c'est vrai qu'il y avait beaucoup d'hommes. Où sont les femmes ? Il me dit s'il y en a et il me montre. Il y avait deux femmes à ce moment-là qui sortaient de ce bâtiment-là du Grand Orient de Paris. Et la femme répond oui, on est là. Donc, ça fait plaisir qu'il y a quand même, vous voyez, des choses en mode. OK, il y a quand même une représentation féminine. C'est quand même très important. Et sinon en fait ce qu'il m'explique c'est que c'est des personnes en fait qui se réunissent avec des convictions différentes, des religions différentes, qui réfléchissent et en fait le but c'est d'entendre l'autre et je lui demande, du coup c'est un débat ouvert, et il me dit que non on n'est pas dans le débat en fait. On ne va pas parler de quelque chose que quelqu'un a dit pour convaincre, pour expliquer juste on entend et voilà quoi. Et du coup, je lui demande est-ce qu'il y a un impact finalement sur quelque chose et il me dit qu'en fait non. C'est une association en fait. Ils appellent ça une association parce que c'est pas de l'État etc. Même s'ils ont un musée apparemment. Mais voilà, c'est une association de personnes qui se réunissent autour d'idées, de convictions différentes etc. Il date de 300 ans, il m'a dit. Et qui a beaucoup de fantasmes, c'est vrai. Je suis parmi ces gens-là qui fantasment un peu la franc-maçonnerie, qu'est-ce que c'est ? C'est une secte etc. Et en fait, il a un peu, en gros, enlevé le brouillard de ce sujet. Enfin, en fait, c'est un mec normal. Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire, Faisa, mais c'est un mec normal. Franchement, vous le voyez dans le train, tu dis, il est prof.
Depuis tout à l'heure, en fait, on voit des hommes vraiment autant cheveux de riches. Je ne sais pas si vous vous rappelez de ce compte Facebook. Mais aussi beaucoup de gens qui, limite, ressemblent à José Bové.
Clairement. Et là, c'est vrai que la tranche d'âge, elle est plutôt 50 ans, 40-50 ans. Donc en gros, je lui ai demandé quels sont les critères pour y rentrer. Et je lui ai demandé est-ce qu'un étudiant pouvait rentrer. Il m'a dit oui, totalement. Donc, à mon avis, il y a quand même des critères en mode, ouais, il faut quand même, tu as un minimum d'études, un minimum de jugeote, un minimum de connaissances historiques, etc. pour pouvoir te tenir en face de quelqu'un et parler. Mais au-delà de ça, il n'y a pas de critères précis.
Voici la fin de la première étape de l'épisode 1 de Tigration. Tigration avec Hermosy, c'est exceptionnel, ils utilisent Soirée entre les girls en tournant. Et pourquoi c'est que c'était la fin ? Et bien non, il n'y en a plus, il y en a encore, on a fait ce boudreau de Genzio. Voici étape 2 de The Grand Degree Piot avec Manon Rezenberg. Et là encore, on est sur l'opinion.
Donc, on est sur l'idrétion avec Manon Rezenberg, qui est une de mes plus vieilles amies de ma vie, puisqu'on s'est connues à l'âge de 2 ans et demi, entrée en maternelle, Dominique, Benji, la base. les gens de la base. Donc voilà, pour vous, Manon.
Bonjour à tous. Donc là, juste pour vous expliquer la situation, avec Faiza Boudi, on ne s'est pas vus depuis presque 6 mois, 8 mois. Le temps passe vite. Et donc là, on s'est rejoints à La Défense. Et on va à La Défense. Et puis là, on voit quoi ? On sort de Taïk. Et en fait, coïncidence de ouf, c'est Faiza Boudi qui m'a fait connaître Taïk quand on allait dans une soirée. dans le 7-7. Elle m'avait fait, écoutez, elle m'avait dit, suivra celui-là, cet artiste, il va percer. Et en fait, il perce, il fait des, il fait des, bah là, défense aréna. Et donc là, on est devant le concert et on se dit, on voit tous ces jeunes-là complètement qui font la queue depuis 14 heures et on se dit, mais meuf, imagine, on y va. Mais tu sais quoi, on se rejoint dans un bar, on va boire une bière et on verra ce que l'avenir nous réserve. Là, on est là, on boit une bière et en fait, on voit revente, il y a des places. C'est pas on est là, on n'a pas nos cartes bleues, on retrouve nos cartes bleues, on se fait un compte, on retrouve nos cartes d'identité et là, en fait, on a des places. Géraldo, nous avons dû des places. On ne sait pas si c'est bon, si c'est pas bon. Je ne vous cache pas, dans 20 minutes, vous allez savoir que si on se fait recale du concert, c'est archi drôle. Si par contre, vous nous voyez twerker en train d'être au concert de Taïk, écoutez-nous bien parce que franchement, il y a moyen qu'on s'en jaille bien. Oui, il y a moyen qu'on rentre chacune chez nous, je ne vous cache pas. Et donc là on est là, on a commandé des shots Tekpaf, elle me redit l'ordre sel, tequila, citron. Je vous cache pas, j'avais oublié la jeunesse, le travail, les transports, on oublie. Et puis là, je suis là, j'ai enchaîné barquette de frites, bière, Tekpaf.
Et épisode suivant,
vous saurez.
Petit update, du coup on a réussi à rentrer, alors que Manon... Son billet, il était déjà scanné, donc Géraldo, FDP. Et ouais, en fait, son billet était déjà scanné. Donc Géraldo a voulu nous douiller. FDP ? Sauf que, bah, vas-y, vous connaissez votre pote Feiza. Il a réussi à rentrer, hein.
Eh, bah, je te cache pas, je me suis collée à ma pote Feiza et on est rentrés. Et là, t'as vu que je vais te voir. Mais je cherche la porte 409, j'attends.
Alors, déjà, est-ce qu'on va le voir ? Je ne sais pas, parce qu'on est vraiment, apparemment, sur le côté-côté. Je vous dis... de moins en moins de monde là où on marche. Un mec, il fait le ménage. Du coup, on est vraiment loin, je pense. Regarde, il n'y a personne.
On va rien du tout m'en parler d'entendre.
Bon, on est au concert, les mecs.
Incroyable. Il y a des flammes, il y a de la fumée, incroyable.
Il y a des danseurs, vraiment taïques, mon gars sûr. Bravo, ok.
On vous laisse enjailler un peu.
Ben non,
c'est incroyable.
Coucou le premier épisode de la suite de la participation de Harmonique Et Manon, je vous souhaite une très bonne fin de semaine, en tout cas les idées de qui ? Et puis on se retrouve la semaine prochaine pour de nouvelles aventures Bisous
Share
Embed
You may also like
