Speaker #0Nos vêtements ont des lents surnoms. Ils ont des révélateurs des mécanismes inconscients. Pourtant, on a appris à se protéger derrière une image, façonnée par des filtres, des applications et des technologies qui nous éloignent de la réalité. On a appris aussi à se cacher et s'effacer, en refusant par exemple un compliment par modestie, crainte d'être jugé des prétentieux. On a appris à rester discret pour ne pas faire des bruits. et ne pas attirer l'attention. Trop souvent, nous nous associons les styles et l'image à l'élite ou à une forme de supériorité. Oublions qu'il est avant tout un moyen d'expression de soi. Pour ce début d'année, embarquez avec moi à la découverte de la subtilité des vêtements de l'humain pour aller bien au-delà des apparences. Bonjour et bienvenue dans le podcast Révélez votre essence par les vêtements Je m'appelle Marielle Kiroga, je suis coach en images holistiques. J'ai créé et développé la méthode L'Homme Bleu. C'est une approche holistique dont les conseils en images qui travaillent les styles et l'image dans sa globalité. Le coaching en images holistiques. Chaque lundi, je vous partage un épisode pour reconnecter avec votre essence et la faire rayonner à travers les vêtements. Si cela vous parle, je vous invite à vous abonner. rejoindre ma communauté, partager ces épisodes à vos proches qui en auront besoin, si quel est ce bon note et un commentaire si vous souhaitez soutenir le podcast. Bonjour et bienvenue dans ce premier podcast de l'année où je vais vous parler de ce sujet qui me tient à cœur parce que c'est la base de ce que je enseigne, de ce que je transmets à travers ma méthode Diamant Bleu. donc la méthode holistique dans le conseil en images que j'ai développé déjà il y a quelques années et que je donne forme aussi de plus en plus et chaque année. Aujourd'hui, je vais vous parler de ces sujets qui ont à voir avec toutes les croyances que nous avons reçues par rapport à l'image, toutes les croyances aussi que je reçois quand j'échange avec différentes personnes, qu'ils soient des clients, qu'ils soient des personnes intéressées. dans ce que je propose, qu'il soit avec des amis, des entrepreneurs ou tout simplement mon entourage, mon réseau. Et souvent, on a appris que l'image, elle va être associée à une sorte de supériorité en général. Je vois beaucoup comment les gens, ils vont avoir un peu peur de se montrer parce qu'en fonction des cultures, donc là en France, dans la culture, Ce n'est pas bien de se montrer, ce n'est pas bien d'être justement prétentieux ou se montrer supérieur que les autres. Donc ça fait que d'une certaine façon, on va avoir tendance à rester plutôt humble ou bien dans ces concepts de rester discret. Le fait d'être humble aussi va être associé à rester discret, à rester un peu dans l'anonymat, pas se montrer beaucoup. Donc c'est une culture qui va amener la plupart des gens à avoir cette crainte, cette peur de se montrer. Et aujourd'hui, dans cette ère actuelle, nous sommes en 2025 aujourd'hui, et depuis déjà des années, on sait que des plus en plus, à travers les réseaux sociaux, à travers la web, on doit se montrer. un peu plus. Et là, je reprends un peu ma culture, ma culture sud-américaine dans laquelle l'image pour nous, contrairement à ce que j'ai pu vivre ici en France, elle est complètement différente au niveau de la perception. En Bolivie, j'ai grandi dans une culture dans laquelle l'image et la beauté sont très valorisées et d'une certaine façon, un peu trop. Je me souviens que depuis toute petite, on va toujours faire des concours des Miss, concours des Si, concours des Sa, savoir qui est la plus belle. Et c'est vrai qu'on va être un peu plus éduqués à mettre en valeur notre image, à utiliser aussi certains outils des beautés pour se montrer. Et là, je vais jusqu'à la mairie d'une heure. dans lesquelles l'aspect branding, l'aspect de ces montrées, c'est très répandu parce que là-bas, pareil, ça va être associé à une forme de reconnaissance, de réussite, d'être justement quelqu'un qui se démarque, quelqu'un qui est mémorable, quelqu'un de qui on va se rappeler tout le temps. Donc tout ça pour cette introduction, pour vous dire qu'en fait... La culture dans laquelle on vit, les croyances que nous avons, la famille où nous avons grandi, notre entourage, vont créer cette vision sur l'image et sur les styles, sur la beauté, sur la féminité aussi. Et là, l'idée de ce podcast, c'est de pouvoir revenir à comment les vêtements, justement, peuvent être des révélateurs. des mécanismes inconscients, comment est-ce qu'on arrive à utiliser l'image pour montrer qui nous sommes à l'intérieur tout en utilisant ces techniques vestimentaires, ces techniques estilistiques pour pouvoir communiquer au mieux avec l'extérieur mais en n'oubliant pas qui nous sommes. Et puis le premier moment où j'ai développé ce métier C'était déjà il y a très longtemps quand je me suis rendu compte que je voulais devenir coach en images ou conseillère en images et que j'ai commencé à faire mes études dans ce métier. Ça a été en 2014 avec une académie de mannequinat que je gérais en Bolivie, dans laquelle, comme moi, j'ai commencé l'entreprenariat, j'ai commencé à faire des productions des photos des modes. Donc, j'adorais toujours la mode, ça a toujours été quelque chose qui me plaisait, le fait de s'habiller d'une façon à utiliser les vêtements comme une sorte de création, de créativité pour moi, c'est ça qui m'a permis d'être passionnée dans ce métier parce que les vêtements, le maquillage, la coiffure, pour moi c'était une sorte d'art en fait, ça a toujours été le cas et depuis toute petite, moi j'ai toujours aimé l'art. Et je me rappelle aussi que quand j'étais toute petite, je jouais avec mes poupées, avec mes barbies, en les changeant les vêtements. Et j'adorais faire ça, je pouvais passer des heures à faire ça. Et quand j'ai commencé l'entrepreneuriat en 2012, en Bolivie, j'ai commencé avec les productions des photos des modes. Ensuite, je suis allée justement avec cette académie des mannequinats, dans laquelle il y avait une personne qui ne se sentait pas... qui appartenaient pas à les stéréotypes de femmes mannequins en tout cas qu'on peut voir à la télé et les magazines tout ça. Et je l'ai accepté dans mon académie parce que pour moi il n'y avait pas de stéréotypes. Et donc ce que je voyais autour d'autres filles qui étaient dans la classe, comment on la regardait un peu comme des petits canards qui n'étaient pas... qui n'est pas très beau, on va dire entre guillemets, parce qu'elle était assez belle, en tout cas. Et lorsqu'on a fait la première présentation du défilé de mode, donc elle, elle a aussi passé par la coiffure, le maquillage et tout ce qui a à voir avec les défilés. Et la première fois, quand on a fait tout ça, en fait, tout le monde l'a regardé et tout le monde l'a trouvé belle. Et surtout, pour moi, ce qui a été plus particulier, c'est que... Elle a repris une assurance qui n'est pas cessée d'exister. Et en même temps, dans cette déclic que j'ai eu à travers elle, je me suis vue à moi-même, à l'âge de 23 ans, dans lequel moi aussi je manquais beaucoup d'estime de moi, et avec du maquillage, une coiffure, une robe, une jolie robe, je me suis retrouvée belle, et depuis j'ai repris la confiance en moi. Et ça n'a pas arrêté. Et donc, ça m'a fait penser à moi à travers cette anecdote. Et c'est là où j'ai découvert que je voulais faire le conseil en images. Ensuite, les circonstances et tout, tout s'est passé au niveau professionnel, personnel. Et aujourd'hui, j'ai voulu vraiment... Je me disais toujours, ok, la beauté, c'est quoi en vrai ? Pour être honnête avec vous, moi, depuis toute petite, on m'a toujours dit que j'étais belle. Néanmoins, pour moi, qu'on me dise belle, ce n'était pas plus que ça. Parce que je savais que les gens voyaient mon physique, l'extérieur, mais ils ne voyaient pas que j'étais à l'intérieur. Et pour moi, ça a toujours été un... Une espèce de lutte, je dirais, au fil du temps, parce que je voyais comment les gens venaient vers moi par ses physiques, par cette beauté extérieure, mais qui n'allaient pas plus loin, à regarder vraiment la beauté que je pouvais avoir à l'intérieur de moi. Et à un moment donné, je me suis dit, ok, je veux que les gens me voient comme je suis en réalité, comme ce que je suis à l'intérieur. Et c'est là où ma quête spirituelle, ma quête intérieure a commencé. Depuis que tu es très jeune aussi, mais avec cette prise de conscience où la beauté, elle peut se transparaître, elle peut venir de l'intérieur vers l'extérieur. Et c'est là où, justement, aujourd'hui, je me retrouve avec des personnes qui m'écrivent, qui échangent avec moi, et qui, au départ, vont toutes et tous aussi avoir cette croyance sur l'image par... parce qu'on voit en fait, parce qu'on a appris l'avant-après, les relooking, de montrer une personne qui ne se met pas du tout en valeur et puis lui transformer et qu'elle se voit, waouh ! Et faire le fait, waouh ! Et tout ça qu'on voit dans les reality shows depuis des années, depuis très longtemps et qui sont devenus très à la mode. Et donc aujourd'hui, les conciliants en images aussi, ils vont montrer cet avant-après. Moi, je suis la seule qui va... pas faire ça parce que justement pour moi il y a au-delà de ça dans mon domaine et pendant mes cours, pendant mes formations ce que j'ai appris ce que je disais à mes élèves aussi quand j'étais en Bolivie avec mon organisme de formation c'est que le jour où on trouvera, où on fera que la personne à qui on accompagne il se reconnaisse devant le miroir Ce sera le jour où on a fait bien notre boulot. Et pour moi, c'est vraiment ça en fait. C'est l'effet waouh, l'effet de se voir, de se trouver belle pour un moment donné, pour une soirée, pour un événement, pour n'importe quelle occasion. Cet effet waouh qui est génial, qui nous fait sentir bien, qui aide à l'estime de soi, l'amour de soi et tout ça. Il peut être éphémère ou il peut être... d'une manière à rester toute la vie. Et moi, c'est ce que j'essaie de vous amener, de faire comprendre que l'image n'est pas simplement un jeu de maquillage, de coiffure, des vêtements qui vont venir rendre exubérante, rendre waouh à une personne. Si la personne déjà, elle ne se reconnaît pas avec cette image, tenu avec cette image qu'on est en train de lui proposer, déjà là ça va pas le faire. Si la personne elle se reconnaît, c'est-à-dire qu'en se voyant elle se sent bien, elle se voit bien et elle veut rester avec cette sensation de wow pour le reste de sa vie, ça c'est ok. Et là, lors justement des échanges avec les personnes qui sont dans mon entourage, je remarque certaines croyances dont j'aimerais vous parler dans ce podcast qui peuvent vous aider à comprendre surtout comment les vêtements deviennent ces révélateurs des mécanismes inconscients. Là par exemple j'ai eu récemment une masterclass, donc la masterclass vous pouvez la faire si jamais une fois par mois avec moi, dans laquelle je coach d'une manière, c'est une masterclass personnalisée, c'est une masterclass privée, dans laquelle j'amène à découvrir mon approche, cette notion holistique qui passe par l'énergie des vêtements, qui passe par la reconnexion à soi à travers les vêtements. Et donc c'est lors d'une masterclass avec cinq personnes uniquement. Donc je travaille vraiment personnalisé à un tarif qui est juste exceptionnel. Donc je vous laisse de toute façon les liens pour pouvoir découvrir ça avec moi et déjà aller vers cette connaissance holistique du vêtement. Donc là pour revenir à ça, justement je reçois des commentaires en mode Par exemple, il y a des personnes qui vont acheter beaucoup de vêtements par peur de manquer. Et là, ça se révèle dans différents domaines de sa vie, la peur de manquer, des personnes qui en général vont chercher cette stabilité, qui sont d'une personnalité souvent, je ne dis pas que tout le monde, mais souvent d'une personnalité assez structurée, organisée, carrée, pragmatique aussi un peu, et ça n'empêche pas qu'ils sont très sensibles évidemment, mais qui vont à la recherche d'une stabilité. Et donc, c'est des choses, des personnes qui vont aussi vers la simplicité, vers tout ce qui est concret, tout ce qui est clair. Et là, ces personnes-là, en général, vont avoir, et puis comme d'autres personnes aussi, cette peur de manquer. Et donc, du coup, on va accumuler beaucoup de vêtements. Ça peut être des différents t-shirts dans différents coloris, différents pulls aussi, différents coloris, tout ça. Et là, cette peur de manque, justement, ça amène à acheter énormément de vêtements et finalement, c'est retrouvé avec un dressing qui est juste extra grand et dans lequel on ne va pas utiliser tout le dressing. Donc, cette peur de manque qui fait qu'on achète, on achète, on achète, on achète et qu'on n'arrête pas d'acheter pour combler ces vides, en fait. Là, on vient de le vide. En général, les personnes qui ont cette peur de manquer au niveau vestimentaire, là je parle et je me recentre sur l'aspect vestimentaire qui est mon domaine d'expertise, c'est souvent ces révélateurs dans lesquels on a peur du vide, on a peur de rester seule. Et là, c'est là où ça se travaille en fait. C'est là où je travaille avec les personnes pour venir à la source. Qu'est-ce qui fait que je vais avoir... peur d'être seule, je vais avoir peur du vide et justement c'est pour ça que je vais avoir des mécanismes inconscients dont l'achat des vêtements par exemple pour que je ne manque pas. Et là quand on vient travailler plus en profondeur, quand on a peur de ce vide, quand on a peur du manque il y a souvent ce qui se révèle aussi, c'est une blessure de l'abandon. Et donc que Encore une fois, mon travail, il est assez profond, il va vraiment à la source de tout, comme vous pouvez le percevoir, et savoir ce qu'il y a eu vraiment, cette blessure de l'abandon. Et quand on va décortiquer encore plus, dans cette subtilité que j'adore, c'est, ok, quand on se sent abandonné, d'une certaine façon, peut-être pas aimé, l'idée c'est de pouvoir venir... embrasser et s'apporter de l'amour pour ne plus sentir ce vide. Le vide, il va transcrire souvent ce manque d'amour aussi. Donc là, je ne suis pas en train de faire un coaching, mais pour que vous puissiez vraiment voir la profondeur de ce qui peut arriver juste d'une façon de choisir, d'une façon d'avoir son dressing par exemple. Et c'est ça que j'adore dans ce que j'appelle l'holistique dans le conseil en images. Parce qu'on va vraiment en profondeur, de l'intérieur vers l'extérieur. Et c'est pour ça aussi que je voulais vous amener vers cet exemple. Je rencontre aussi beaucoup de personnes qui vont se protéger avec une image parfaite. Et là, c'était mon cas. Une personne que, pour ceux qui connaissent un peu mon histoire, j'ai fait du mannequinat en Bolivie. On extrait, je travaillais en salariat et je faisais un peu de mannequinat pour m'amuser tout simplement. Et à ce moment-là, je me rappelle qu'une fois que j'ai découvert cette estime de moi, que je me sentais power woman une fois que j'ai eu ce déclic de me retrouver belle à travers un petit relooking que je me suis fait moi-même, la confiance en moi s'est avérée assez forte et tout. On m'a repéré dans une académie de mannequinat et j'ai commencé un peu le mannequinat. Et je sais qu'à ce moment-là, je suis allée justement de l'autre extrême, du coup d'une personne qui ne s'aimait pas du tout, qui ne se mettait pas en valeur, donc je suis allée de l'autre extrême. Et là, je me suis rendue compte, justement plus tard évidemment, que je me protégeais avec l'image, parce que ma blessure à moi, c'était le rejet. Et donc... pour chercher cette reconnaissance, pour attirer l'attention, pour me démarquer et tout. J'utilisais une image assez forte et parfaite pour me protéger justement. Sauf que comme toute blessure, quand elle n'est pas traitée en profondeur, elle est très forte. Ça ne va pas régler le problème dans la totalité. Encore une fois, ça règle instantanément, donc d'une manière éphémère. Donc évidemment, j'attirais le regard et tous les compliments et tout ça. Mais une fois que c'était comblé, je me sentais toujours vide. Et c'est pour ça qu'aujourd'hui, pareil, quand on voit les personnes déjà des adolescentes jusqu'à... Tout le monde en fait, avec les réseaux sociaux, on va se faire des photos, on va mettre des filtres, on va mettre ci, on va mettre ça, pour montrer cette image de nous qui est attrayante mais en même temps qui a besoin, cette reconnaissance extérieure aussi d'une certaine façon. Et donc une fois qu'on a comblé ce besoin-là, finalement on se retrouve encore une fois avec ce vide intérieur. Donc l'image aussi quand elle devient un peu trop... en excès au niveau de la perfection, au niveau des sports, au niveau des Botox, au niveau d'un look qui est juste impeccable, etc. C'est une protection. Je ne dis pas que c'est mal. Et là, c'est vraiment important que vous qui écoutez mon podcast, je ne vais pas parler de c'est bien ou c'est mal. Ça, ce n'est pas mon truc. Mais ce que j'essaie de dire, c'est que... On a toujours... En fait, lorsqu'on va dans un extrême, là, on doit venir à l'équilibre. Et donc, dans cette quête, justement, de se sentir bien, puissante et tout, et qu'on aimerait bien montrer cette confiance en soi, parfois, on a tendance à aller dans l'extrême. C'est-à-dire qu'on va venir à montrer une image un peu dans le trop. Et c'est là où on perd l'équilibre. Donc, c'est pour ça que c'est... Très important de comprendre que l'image, elle peut aussi être une protection dans laquelle, ok, je me sens puissant, je me sens bien, je veux me montrer, mais je vais avoir tendance à aller dans le trop, c'est montrer aussi, pour couvrir justement des failles intérieures comme le manque d'amour aussi, comme le manque de reconnaissance, le manque de valorisation. Et ça, ça arrive souvent, et là je vais parler dans un autre podcast de ça, des femmes qui sont très belles, qui ont tout à l'extérieur ou même à l'intérieur, des femmes qu'on dit qu'elles sont exceptionnelles, mais qu'elles sont toujours seules et qui souffrent terriblement en amour. Et pareil, je vous parle parce que je n'ai pas ces par-là. Donc, tout ça pour vous dire que l'image, c'est aussi ces boucliers, en fait, qui nous protègent et d'une certaine façon, évidemment inconsciemment, quand on va creuser tout ça. Cette image qu'on a créée comme un bouclier, comme une armure, c'est parce qu'on a peur de souffrir à l'intérieur. Et donc, elle peut être très forte, cette image, mais on ne laisse pas accéder à notre cœur, en fait. Elle est très mentalisée, en fait. Elle est trop dans le mental. Elle est parfaite. Il n'y a rien qui sort de l'ordinaire. Il n'y a rien qui sort du cadre. Tout est parfait, en fait. pareil au niveau des sports, au niveau de tout ce que vous voulez, tout est parfait, mais ça reste superficiel, ça reste un bouclier. Donc c'est pour ça que l'intention c'est de venir à l'intérieur. Tout ce changement, et ça je l'avais parlé dans un podcast, c'est qu'on peut venir dans cet équilibre juste de l'extérieur vers l'intérieur ou de l'intérieur vers l'extérieur. Après, il y a aussi le fait de penser, de se cacher en fait avec l'image et de penser que justement il vaut mieux pas se montrer discrète et puis on va beaucoup juger les personnes qui le font. Ça, ça m'est arrivé, c'est-à-dire qu'on m'a beaucoup jugé par rapport à mon image des personnes qui ne se mettaient pas en valeur et qui me disaient que moi je faisais trop et des choses comme ça. Et donc justement pour se protéger aussi. Parce que parfois on se sent menacé aussi par quelqu'un qui va se montrer ou qui va se voir plus belle d'une certaine façon. Donc il y en a qui vont préférer rester dans l'anonymat, qui vont préférer rester dans la discrétion, qui ne se mettent pas en valeur tout simplement. Par toute cette culture, cette éducation qu'on a eue de ne pas se montrer, de rester discret, de rester un peu effacé parfois. Et donc là, c'est aussi de comprendre qu'est-ce qui se passe. Et moi, c'est mon boulot, c'est mon travail, justement, la psychologie de l'image. Qu'est-ce qui se passe dans la tête de ces personnes-là ? Pourquoi elles préfèrent se protéger avec des mots ? Les vêtements ne sont pas importants, l'image est superficielle, c'est montré où la beauté c'est mal. Et puis même, il y a des conseillères en images, des hommes ou des femmes. qui vont avoir peur de parler de l'image, de la beauté, parce que, évidemment, on croit que c'est superficiel. Donc, comme ils sont dans la spiritualité, ils vont avoir peur de dire qu'ils font du cancer en images ou qu'ils sont plus dans les styles. Donc, il y a ça aussi. Et finalement, je me dis, OK, les personnes qui vont se cacher d'une certaine façon derrière ces phrases de l'image n'est pas importante, il ne faut pas se montrer, il vaut mieux rester discret, il vaut mieux rester naturel. La question à poser, c'est est-ce que l'amour de soi qui est nourri, parce que souvent, les personnes qui vont penser comme ça, Il y a un manque d'amour aussi. Il y a un manque d'amour dans le fait qu'elles ne sont pas leur priorité, donc elles n'ont pas le temps pour se mettre en valeur, par exemple. Elles vont penser énormément aux autres et pas à elles ou à eux. Elles vont préférer, je ne sais pas, faire tout pour les autres. Donc, c'est des femmes souvent très dévouées pour les autres, mais qu'à la fin, elles ne sont pas leur priorité. Ils ne sont pas connectés avec leur féminité, ils ne sont pas connectés avec ce qui est essentiel en elles-mêmes. Elles vont développer, on va dire, toute la partie formation, toute la partie mentale et tout ce que vous voulez en fait. Mais la partie intérieure, l'essentiel, l'estime de soi, l'amour de soi, l'affirmation de soi, la valorisation aussi de soi n'est pas nourrie. Et donc c'est là... où justement, ce que je veux venir, c'est que, encore une fois, l'image et le style n'est pas une question d'apparence, c'est une question des subtils, comme je vous ai parlé, des blessures, ça peut être aussi des traumas, ça peut être aussi des croyances par rapport à comment est-ce qu'on a appris à être, qu'est-ce qu'on a appris sur l'image, sur la beauté, sur la féminité, mais surtout pour moi, Il y a aussi une question d'amour de soi. Lorsque nous, on va rejeter l'image, il y a une part de nous aussi qu'on rejette. C'est la même chose pour quelqu'un qui sait très bien s'habiller et se met en valeur. Lorsqu'elle va rejeter le fait d'utiliser des baskets et d'être sans maquillage par exemple, il y a une part d'elle aussi qu'elle rejette. Ce que je voudrais que vous compreniez, c'est qu'en fait, ce n'est pas l'un ou l'autre qui est bien, c'est tout simplement qu'est-ce que vous êtes en train de rejeter. Est-ce que vous êtes en train de rejeter une partie de vous qui vous montrait, qui peut se montrer, qui peut se mettre en valeur, qui peut être rayonnante, belle, et tout ce que vous avez envie d'être démontré ? Ou est-ce que vous êtes en train de rejeter une part de vous qui peut être dans la simplicité ? dans le côté décontracté. Et donc c'est là où on vient à comprendre en fait quelle part de nous on rejette et surtout quelle part de nous on doit nourrir. Est-ce que c'est plutôt l'extérieur pour me mettre en valeur, me montrer et tout ça ou c'est plutôt l'intérieur pour revenir à soi, pour revenir à nourrir mes besoins intérieurs pour ne pas attendre cette reconnaissance. Donc de cette façon, on vient justement dans cette subtilité de l'image, des vêtements, qui nous permettent d'aller voir au-delà de l'image, au-delà des apparences. J'espère que cet épisode vous a plu. Je vais développer plus ces sujets-là par rapport à l'image, la psychologie de l'image. N'hésitez pas à me poser des questions si vous en avez. Et dites-moi si vous avez d'autres croyances. que je pourrais développer lors des prochains podcasts pour qu'on puisse vraiment comprendre la magie des vêtements, la magie de l'image et comment est-ce que nous pouvons arriver à cette congruence, à cette cohérence entre l'intérieur et l'extérieur. Parce qu'il ne s'agit pas d'image, il ne s'agit pas d'un style, il s'agit de vous, d'être en fait qui vous êtes et le rendre visible. par ces outils qu'on trouve tous les jours dans nos dressings, les vêtements. Je vous souhaite une très belle journée, soirée, après-midi, en fonction du moment à laquelle vous écoutez ces podcasts. Et je vous dis à la prochaine !