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PANORAMA, 45 MINUTES POUR S'INFILTRER, PREPARATION MENTALE POUR TOUS, L'ECHIQUIER DES IDEES, LA DERNIERE PREUVE, 99.1, 30 MINUTES AVEC...

ALTIS FM - 2 MINUTES SUR FONDEMENTS RELAXATIONS

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01min |01/12/2025|

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01min |01/12/2025|

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Description

Les origines scientifiques de la relaxation remontent aux années 1920–1930.

Edmund Jacobson publie en 1929 sa méthode de relaxation progressive, conçue pour différencier tensions nécessaires et tensions parasites : il propose une « check-list » systématique des groupes musculaires, invitant à contracter puis relâcher volontairement chaque région pour réduire le tonus de repos et induire un état de calme mental.


En 1932, Johannes Heinrich Schultz formalise le training autogène : par des formules verbales évoquant lourdeur, chaleur et calme, il active le système parasympathique et engendre une réponse de relaxation physiologique comparable à celle observée lors du sommeil léger. Au fil des décennies, ces deux méthodes de référence ont suscité de nombreux prolongements :


- Relaxation psycho-tonique d’Ajuriaguerra (années 1950), axée sur l’intégration tonico-émotionnelle

- Sophrologie de Caycedo (1960), combinant exercice postural, visualisation et sonorités

- Relaxations à inductions variables de Sapir (1970), mettant l’accent sur l’imagerie multisensorielle

- Relaxation de Bergès (1980), centrée sur le schéma corporel et l’harmonie posturale


Sur le plan neurophysiologique, Michel Larroque montre que le tonus musculaire

– légère contraction soutenue par des influx nerveux

– reflète notre état mental et émotionnel.

Peur, stress et vigilance s’accompagnent d’une hypertonie globale ; sans relâchement volontaire, ce tonus résiduel empêche une récupération authentique.


Des relevés électromyographiques démontrent qu’une pratique régulière de relaxation diminue nettement le tonus de repos, réduit la consommation d’oxygène et fait basculer l’équilibre autonome vers une activité parasympathique apaisée : baisse du rythme cardiaque, de la pression artérielle et du métabolisme cellulaire.


Ces travaux établissent le lien intime entre esprit et corps :

- Une activation mentale produit une contraction musculaire involontaire.

- Une inhibition des contractions parasites (relâchement musculaire) génère un apaisement mental.


Au total, la relaxation s’appuie sur des fondements théoriques solides et validés : elle réduit le stress, améliore la récupération et prévient les troubles psychosomatiques, devenant un outil central pour la performance et le bien-être psychophysique.


Chaîne YOUTUBE: https://www.youtube.com/@ALTISFM


Site de la société ALTIS: https://group-altis.com/


Site de la Radio: https://altisfm.fr/


Instagram : https://www.instagram.com/altis_fmtv/


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Passion radio !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Les origines scientifiques de la relaxation remontent aux années 1920–1930.

Edmund Jacobson publie en 1929 sa méthode de relaxation progressive, conçue pour différencier tensions nécessaires et tensions parasites : il propose une « check-list » systématique des groupes musculaires, invitant à contracter puis relâcher volontairement chaque région pour réduire le tonus de repos et induire un état de calme mental.


En 1932, Johannes Heinrich Schultz formalise le training autogène : par des formules verbales évoquant lourdeur, chaleur et calme, il active le système parasympathique et engendre une réponse de relaxation physiologique comparable à celle observée lors du sommeil léger. Au fil des décennies, ces deux méthodes de référence ont suscité de nombreux prolongements :


- Relaxation psycho-tonique d’Ajuriaguerra (années 1950), axée sur l’intégration tonico-émotionnelle

- Sophrologie de Caycedo (1960), combinant exercice postural, visualisation et sonorités

- Relaxations à inductions variables de Sapir (1970), mettant l’accent sur l’imagerie multisensorielle

- Relaxation de Bergès (1980), centrée sur le schéma corporel et l’harmonie posturale


Sur le plan neurophysiologique, Michel Larroque montre que le tonus musculaire

– légère contraction soutenue par des influx nerveux

– reflète notre état mental et émotionnel.

Peur, stress et vigilance s’accompagnent d’une hypertonie globale ; sans relâchement volontaire, ce tonus résiduel empêche une récupération authentique.


Des relevés électromyographiques démontrent qu’une pratique régulière de relaxation diminue nettement le tonus de repos, réduit la consommation d’oxygène et fait basculer l’équilibre autonome vers une activité parasympathique apaisée : baisse du rythme cardiaque, de la pression artérielle et du métabolisme cellulaire.


Ces travaux établissent le lien intime entre esprit et corps :

- Une activation mentale produit une contraction musculaire involontaire.

- Une inhibition des contractions parasites (relâchement musculaire) génère un apaisement mental.


Au total, la relaxation s’appuie sur des fondements théoriques solides et validés : elle réduit le stress, améliore la récupération et prévient les troubles psychosomatiques, devenant un outil central pour la performance et le bien-être psychophysique.


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Edmund Jacobson publie en 1929 sa méthode de relaxation progressive, conçue pour différencier tensions nécessaires et tensions parasites : il propose une « check-list » systématique des groupes musculaires, invitant à contracter puis relâcher volontairement chaque région pour réduire le tonus de repos et induire un état de calme mental.


En 1932, Johannes Heinrich Schultz formalise le training autogène : par des formules verbales évoquant lourdeur, chaleur et calme, il active le système parasympathique et engendre une réponse de relaxation physiologique comparable à celle observée lors du sommeil léger. Au fil des décennies, ces deux méthodes de référence ont suscité de nombreux prolongements :


- Relaxation psycho-tonique d’Ajuriaguerra (années 1950), axée sur l’intégration tonico-émotionnelle

- Sophrologie de Caycedo (1960), combinant exercice postural, visualisation et sonorités

- Relaxations à inductions variables de Sapir (1970), mettant l’accent sur l’imagerie multisensorielle

- Relaxation de Bergès (1980), centrée sur le schéma corporel et l’harmonie posturale


Sur le plan neurophysiologique, Michel Larroque montre que le tonus musculaire

– légère contraction soutenue par des influx nerveux

– reflète notre état mental et émotionnel.

Peur, stress et vigilance s’accompagnent d’une hypertonie globale ; sans relâchement volontaire, ce tonus résiduel empêche une récupération authentique.


Des relevés électromyographiques démontrent qu’une pratique régulière de relaxation diminue nettement le tonus de repos, réduit la consommation d’oxygène et fait basculer l’équilibre autonome vers une activité parasympathique apaisée : baisse du rythme cardiaque, de la pression artérielle et du métabolisme cellulaire.


Ces travaux établissent le lien intime entre esprit et corps :

- Une activation mentale produit une contraction musculaire involontaire.

- Une inhibition des contractions parasites (relâchement musculaire) génère un apaisement mental.


Au total, la relaxation s’appuie sur des fondements théoriques solides et validés : elle réduit le stress, améliore la récupération et prévient les troubles psychosomatiques, devenant un outil central pour la performance et le bien-être psychophysique.


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En 1932, Johannes Heinrich Schultz formalise le training autogène : par des formules verbales évoquant lourdeur, chaleur et calme, il active le système parasympathique et engendre une réponse de relaxation physiologique comparable à celle observée lors du sommeil léger. Au fil des décennies, ces deux méthodes de référence ont suscité de nombreux prolongements :


- Relaxation psycho-tonique d’Ajuriaguerra (années 1950), axée sur l’intégration tonico-émotionnelle

- Sophrologie de Caycedo (1960), combinant exercice postural, visualisation et sonorités

- Relaxations à inductions variables de Sapir (1970), mettant l’accent sur l’imagerie multisensorielle

- Relaxation de Bergès (1980), centrée sur le schéma corporel et l’harmonie posturale


Sur le plan neurophysiologique, Michel Larroque montre que le tonus musculaire

– légère contraction soutenue par des influx nerveux

– reflète notre état mental et émotionnel.

Peur, stress et vigilance s’accompagnent d’une hypertonie globale ; sans relâchement volontaire, ce tonus résiduel empêche une récupération authentique.


Des relevés électromyographiques démontrent qu’une pratique régulière de relaxation diminue nettement le tonus de repos, réduit la consommation d’oxygène et fait basculer l’équilibre autonome vers une activité parasympathique apaisée : baisse du rythme cardiaque, de la pression artérielle et du métabolisme cellulaire.


Ces travaux établissent le lien intime entre esprit et corps :

- Une activation mentale produit une contraction musculaire involontaire.

- Une inhibition des contractions parasites (relâchement musculaire) génère un apaisement mental.


Au total, la relaxation s’appuie sur des fondements théoriques solides et validés : elle réduit le stress, améliore la récupération et prévient les troubles psychosomatiques, devenant un outil central pour la performance et le bien-être psychophysique.


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