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ALTIS FM - 2 MINUTES SUR RELACHEMENT MUSCULAIRE ET YEUX FERMES cover
PANORAMA, 45 MINUTES POUR S'INFILTRER, PREPARATION MENTALE POUR TOUS, L'ECHIQUIER DES IDEES, LA DERNIERE PREUVE, 99.1, 30 MINUTES AVEC...

ALTIS FM - 2 MINUTES SUR RELACHEMENT MUSCULAIRE ET YEUX FERMES

ALTIS FM - 2 MINUTES SUR RELACHEMENT MUSCULAIRE ET YEUX FERMES

01min |01/12/2025|

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Description

1. Réduction des distractions sensorielles

Fermer les yeux coupe immédiatement la majeure partie des stimuli visuels, ce qui libère le cerveau d’environ 30 à 50 % de sa charge de traitement visuel.

Cette diminution des informations externes permet de canaliser plus efficacement l’attention sur le souffle, sans être parasité par les mouvements, les couleurs ou les formes de l’environnement.


2. Renforcement de l’interoception

Privé du visuel, le système nerveux oriente son attention vers les sensations internes : le va-et-vient du diaphragme, le flux d’air dans les narines, l’expansion de la cage thoracique.

Cette sensibilité accrue au corps favorise une prise de conscience fine de chaque phase respiratoire, condition essentielle pour affiner le contrôle du souffle.


3. Activation du système parasympathique

La coupure des inputs visuels contribue à un basculement plus net vers le mode « repos et digestion » du système nerveux autonome. En l’absence de sollicitations extérieures, le rythme cardiaque ralentit naturellement et les muscles se détendent, renforçant le sentiment de calme associé à la respiration lente et profonde.


4. Économie de ressources cérébrales et attentionnelles

En tant qu’êtres essentiellement visuels (85 % de nos informations sensorielles), nos aires corticales dédiées au traitement visuel sont très consommatrices d’énergie.

Les fermer allège cette demande métabolique et libère des capacités cognitives pour la régulation du souffle et la concentration intérieure. Comment la relaxation différentielle de Jacobson optimise le travail respiratoire


La relaxation différentielle, issue de la méthode de Jacobson, consiste à relâcher activement tous les muscles non indispensables lorsqu’on réalise un mouvement ou un effort.

Appliquée à la respiration, elle vise à :

• Utiliser uniquement les muscles respiratoires (diaphragme, intercostaux)

• Relâcher les accessoire : trapèzes, muscles cervicaux, épaules, mâchoire

• Réduire la dépense énergétique périphérique et centrale

• Accroître l’amplitude respiratoire libre de toute tension parasite

• Diminuer la stimulation nerveuse liée aux tensions musculaires inutiles


En pratique, on prend conscience des zones de crispation (nuque, épaules, visage), on les détend volontairement avant chaque inspiration, puis on laisse le diaphragme et les muscles costaux piloter le mouvement sans résistance.

Le résultat est une respiration plus ample, moins laborieuse et plus régulière, qui renforce la relaxation générale du corps et de l’esprit. Pistes complémentaires

• Intégrer un balayage corporel avant la séance pour repérer les points de tension subsistants.

• Associer une légère visualisation (par exemple : imaginer l’air comme une vague montante et descendante) pour renforcer le lien interoceptif.

• Surveiller le relâchement de la mâchoire et du pourtour des yeux à chaque cycle respiratoire : ce sont des indicateurs clés de la détente globale.






Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

1. Réduction des distractions sensorielles

Fermer les yeux coupe immédiatement la majeure partie des stimuli visuels, ce qui libère le cerveau d’environ 30 à 50 % de sa charge de traitement visuel.

Cette diminution des informations externes permet de canaliser plus efficacement l’attention sur le souffle, sans être parasité par les mouvements, les couleurs ou les formes de l’environnement.


2. Renforcement de l’interoception

Privé du visuel, le système nerveux oriente son attention vers les sensations internes : le va-et-vient du diaphragme, le flux d’air dans les narines, l’expansion de la cage thoracique.

Cette sensibilité accrue au corps favorise une prise de conscience fine de chaque phase respiratoire, condition essentielle pour affiner le contrôle du souffle.


3. Activation du système parasympathique

La coupure des inputs visuels contribue à un basculement plus net vers le mode « repos et digestion » du système nerveux autonome. En l’absence de sollicitations extérieures, le rythme cardiaque ralentit naturellement et les muscles se détendent, renforçant le sentiment de calme associé à la respiration lente et profonde.


4. Économie de ressources cérébrales et attentionnelles

En tant qu’êtres essentiellement visuels (85 % de nos informations sensorielles), nos aires corticales dédiées au traitement visuel sont très consommatrices d’énergie.

Les fermer allège cette demande métabolique et libère des capacités cognitives pour la régulation du souffle et la concentration intérieure. Comment la relaxation différentielle de Jacobson optimise le travail respiratoire


La relaxation différentielle, issue de la méthode de Jacobson, consiste à relâcher activement tous les muscles non indispensables lorsqu’on réalise un mouvement ou un effort.

Appliquée à la respiration, elle vise à :

• Utiliser uniquement les muscles respiratoires (diaphragme, intercostaux)

• Relâcher les accessoire : trapèzes, muscles cervicaux, épaules, mâchoire

• Réduire la dépense énergétique périphérique et centrale

• Accroître l’amplitude respiratoire libre de toute tension parasite

• Diminuer la stimulation nerveuse liée aux tensions musculaires inutiles


En pratique, on prend conscience des zones de crispation (nuque, épaules, visage), on les détend volontairement avant chaque inspiration, puis on laisse le diaphragme et les muscles costaux piloter le mouvement sans résistance.

Le résultat est une respiration plus ample, moins laborieuse et plus régulière, qui renforce la relaxation générale du corps et de l’esprit. Pistes complémentaires

• Intégrer un balayage corporel avant la séance pour repérer les points de tension subsistants.

• Associer une légère visualisation (par exemple : imaginer l’air comme une vague montante et descendante) pour renforcer le lien interoceptif.

• Surveiller le relâchement de la mâchoire et du pourtour des yeux à chaque cycle respiratoire : ce sont des indicateurs clés de la détente globale.






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Cette diminution des informations externes permet de canaliser plus efficacement l’attention sur le souffle, sans être parasité par les mouvements, les couleurs ou les formes de l’environnement.


2. Renforcement de l’interoception

Privé du visuel, le système nerveux oriente son attention vers les sensations internes : le va-et-vient du diaphragme, le flux d’air dans les narines, l’expansion de la cage thoracique.

Cette sensibilité accrue au corps favorise une prise de conscience fine de chaque phase respiratoire, condition essentielle pour affiner le contrôle du souffle.


3. Activation du système parasympathique

La coupure des inputs visuels contribue à un basculement plus net vers le mode « repos et digestion » du système nerveux autonome. En l’absence de sollicitations extérieures, le rythme cardiaque ralentit naturellement et les muscles se détendent, renforçant le sentiment de calme associé à la respiration lente et profonde.


4. Économie de ressources cérébrales et attentionnelles

En tant qu’êtres essentiellement visuels (85 % de nos informations sensorielles), nos aires corticales dédiées au traitement visuel sont très consommatrices d’énergie.

Les fermer allège cette demande métabolique et libère des capacités cognitives pour la régulation du souffle et la concentration intérieure. Comment la relaxation différentielle de Jacobson optimise le travail respiratoire


La relaxation différentielle, issue de la méthode de Jacobson, consiste à relâcher activement tous les muscles non indispensables lorsqu’on réalise un mouvement ou un effort.

Appliquée à la respiration, elle vise à :

• Utiliser uniquement les muscles respiratoires (diaphragme, intercostaux)

• Relâcher les accessoire : trapèzes, muscles cervicaux, épaules, mâchoire

• Réduire la dépense énergétique périphérique et centrale

• Accroître l’amplitude respiratoire libre de toute tension parasite

• Diminuer la stimulation nerveuse liée aux tensions musculaires inutiles


En pratique, on prend conscience des zones de crispation (nuque, épaules, visage), on les détend volontairement avant chaque inspiration, puis on laisse le diaphragme et les muscles costaux piloter le mouvement sans résistance.

Le résultat est une respiration plus ample, moins laborieuse et plus régulière, qui renforce la relaxation générale du corps et de l’esprit. Pistes complémentaires

• Intégrer un balayage corporel avant la séance pour repérer les points de tension subsistants.

• Associer une légère visualisation (par exemple : imaginer l’air comme une vague montante et descendante) pour renforcer le lien interoceptif.

• Surveiller le relâchement de la mâchoire et du pourtour des yeux à chaque cycle respiratoire : ce sont des indicateurs clés de la détente globale.






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1. Réduction des distractions sensorielles

Fermer les yeux coupe immédiatement la majeure partie des stimuli visuels, ce qui libère le cerveau d’environ 30 à 50 % de sa charge de traitement visuel.

Cette diminution des informations externes permet de canaliser plus efficacement l’attention sur le souffle, sans être parasité par les mouvements, les couleurs ou les formes de l’environnement.


2. Renforcement de l’interoception

Privé du visuel, le système nerveux oriente son attention vers les sensations internes : le va-et-vient du diaphragme, le flux d’air dans les narines, l’expansion de la cage thoracique.

Cette sensibilité accrue au corps favorise une prise de conscience fine de chaque phase respiratoire, condition essentielle pour affiner le contrôle du souffle.


3. Activation du système parasympathique

La coupure des inputs visuels contribue à un basculement plus net vers le mode « repos et digestion » du système nerveux autonome. En l’absence de sollicitations extérieures, le rythme cardiaque ralentit naturellement et les muscles se détendent, renforçant le sentiment de calme associé à la respiration lente et profonde.


4. Économie de ressources cérébrales et attentionnelles

En tant qu’êtres essentiellement visuels (85 % de nos informations sensorielles), nos aires corticales dédiées au traitement visuel sont très consommatrices d’énergie.

Les fermer allège cette demande métabolique et libère des capacités cognitives pour la régulation du souffle et la concentration intérieure. Comment la relaxation différentielle de Jacobson optimise le travail respiratoire


La relaxation différentielle, issue de la méthode de Jacobson, consiste à relâcher activement tous les muscles non indispensables lorsqu’on réalise un mouvement ou un effort.

Appliquée à la respiration, elle vise à :

• Utiliser uniquement les muscles respiratoires (diaphragme, intercostaux)

• Relâcher les accessoire : trapèzes, muscles cervicaux, épaules, mâchoire

• Réduire la dépense énergétique périphérique et centrale

• Accroître l’amplitude respiratoire libre de toute tension parasite

• Diminuer la stimulation nerveuse liée aux tensions musculaires inutiles


En pratique, on prend conscience des zones de crispation (nuque, épaules, visage), on les détend volontairement avant chaque inspiration, puis on laisse le diaphragme et les muscles costaux piloter le mouvement sans résistance.

Le résultat est une respiration plus ample, moins laborieuse et plus régulière, qui renforce la relaxation générale du corps et de l’esprit. Pistes complémentaires

• Intégrer un balayage corporel avant la séance pour repérer les points de tension subsistants.

• Associer une légère visualisation (par exemple : imaginer l’air comme une vague montante et descendante) pour renforcer le lien interoceptif.

• Surveiller le relâchement de la mâchoire et du pourtour des yeux à chaque cycle respiratoire : ce sont des indicateurs clés de la détente globale.






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