Speaker #0Nous souhaitons la bienvenue. Donc nous remercions Dieu pour sa protection encore au milieu de nous. Nous sommes déplacés pour Mulhouse. Moi je suis rentré hier soir, tard, mais nos bien-aimés Gérard, Fredo, Maletou et Bibi sont en... En ce moment, à Mulhouse, ils vont prendre le chemin de retour tout à l'heure. Ils auront passé un bon moment là-bas hier, à l'église. Et nous rendons grâce à Dieu pour ce qu'il est en train de faire au milieu de nous. Nous bénissons Dieu. Dieu est en train de mettre des choses sur pied dans l'église. Entre autres, notre site internet est en train de voir le jour et nous bénissons Dieu pour le travail qui est en train d'être fait, par l'équipe qui est constituée et les choses sont en train d'avancer. Que Dieu soit béni. Amen. Et cet après-midi, nous allons partager un thème que le Seigneur a mis dans mon cœur. pour nous nourrir. Et c'est comment Dieu se révèle à son peuple, comment Dieu s'est révélé à son peuple. Et en parcourant la Bible, on peut se rendre compte que Dieu se révèle à son peuple ou aux hommes et femmes qu'il a choisis par ses œuvres, par ses... ses capacités, par ses qualités, dans les situations que les uns et les autres peuvent vivre. Donc, à proprement parler, les hommes découvrent Dieu dans la marche avec Dieu et au fur et à mesure qu'ils voient les caractéristiques de Dieu, ils définissent Dieu comme étant tel ou tel. C'est dans ce sens que dans le livre de Genèse 22, Abraham a qualifié Dieu de celui qui pourvoit. Il a vécu une situation extraordinaire. Dieu lui avait demandé de lui offrir son fils qu'il aimait, l'unique. Et au moment où il fallait mettre la main sur son fils qui était déjà ligoté, qui était sur l'autel, l'ange de l'éternel lui a dit... Non, ne touche pas ton fils. Et quand Abraham se retournait, il avait vu qu'il y avait un bélier qui avait été placé par Dieu pour qu'il puisse offrir le bélier à la place de son fils. Et après cela, Abraham a dit que Dieu est celui qui pourvoit car à la montagne de l'éternel, il sera pourvu. Donc il a... expérimenté Dieu comme étant celui qui pourvoit. Et les Juifs dans l'appellation de Dieu, parce que bon, ça c'est pas le thème de notre enseignement ce matin, le nom de Dieu qui, on a défini Yahvé, Dieu, quand Dieu avait écrit son nom sur les tables, c'était si on veut Dieu. faire une analogie avec notre alphabet, c'est Y-H-W-H. Non, en fait, c'était un nom qui n'avait pas de voile, donc c'était compliqué à prononcer. Donc, c'était... Après, il y a eu l'évolution, parce que l'alphabet hébraïque n'avait pas de voile. Et après, ils se sont dit, après plusieurs années, qu'ils commençaient à perdre un peu... le fil de leur culture religieuse. Et les scribes avaient décidé, et les rabbins, d'essayer d'apporter quelques modifications pour que le peuple puisse retenir la loi. Et ils avaient décidé, donc, de mettre des voyelles pour qu'on puisse lire la parole et qu'on puisse la garder. Mais puisque dans la parole de Dieu, Dieu avait dit qu'il n'y avait personne qui ne devait ôter. ni ajouter un seul Ausha, ils étaient coincés eux-mêmes, ils ont dit, qu'est-ce qu'ils vont faire ? Ils ont décidé de mettre des petits points qui... Après concertation des petits points qui allaient symboliser des voyelles pour qu'on puisse lire parce que le texte original en hébreu n'avait pas de voyelle. Donc c'était quand même compliqué. Et donc, ils avaient laissé l'original et au-dessus, ils ont ajouté les symboles qui signifiaient des voyelles. Et c'est pour ça que le nom de Dieu qui est YHWH qui se prononce Yahvé qu'on prononce comme ça aujourd'hui et qui a eu des dérivations qui a atteint jusqu'à Jehovah qui est une un peu une aberration parce que c'est en voulant prononcer Yahvé justement que l'un des scribes d'un pape je sais plus lequel en voulant prononcer ce nom là a dit Jehovah Et puis c'est resté Jéhovah, ce que les témoins de Jéhovah ont pris aujourd'hui, disant que le nom de Dieu c'est Jéhovah. Et ils ont changé partout où il y avait, ils ont mis Jéhovah. En fait, à l'origine, ça vient d'un pape catholique qui n'avait pas su... Bref, ce n'est pas le thème de notre enseignement ce matin. Mais nous voyons ici qu'Abraham a découvert Dieu comme un Dieu qui pouvait. Il était dans une situation difficile. Une situation insurmontable et Dieu a pourvu. Il a donc dit que Jéhovah est Yahvé et Yahvé Jireh, ce qui veut dire Dieu qui pourvoit. Après, nous avons vu que, nous pouvons voir que dans le livre d'Exode 15, du verset 23 au verset 26, On découvre une autre qualité de Dieu. Le peuple d'Israël découvre une autre qualité de Dieu. Et on va l'appeler de cette qualité-là. Donc là, nous verrons bien que quand on dit Yahvé Jiré, ce n'est pas le nom de Dieu. Mais c'est une caractéristique, une capacité qu'on a découvert en lui, que c'était le Jéhovah qui pourvoit. Dans Exode 15, À partir du verset 23, on découvre une autre facette de notre Dieu. Le peuple est dans le désert, après la traversée de la mer Rouge, ils n'ont pas d'eau, ils marchent dans le désert et ils rencontrent des eaux qui amaraient. Mais seulement ces Ausha étaient amères. Et Dieu, le peuple, cria donc vers Moïse, commençant à l'accuser, Moïse lui. Je retourne vers Dieu en disant, Seigneur, fais quelque chose parce que ce peuple que tu m'as donné a deux doigts de me lapider. Dieu lui montre donc un bois qu'il devrait jeter dans l'eau pour purifier l'eau. Et voilà ce qui se passe. On dit qu'ils arrivèrent à Mara, mais ils ne purent pas boire l'eau de Mara parce qu'elle était amère. D'où le nom de Mara qu'on lui donna. Le peuple murmura contre Moïse en disant, Que boirons-nous ? Moïse cria à l'Éternel et l'Éternel lui indiqua un certain bois qu'il jeta dans l'eau et l'eau devint douce. C'est là que l'Éternel donna au peuple des prescriptions et des ordonnances et ce fut là qu'il le mit à l'épreuve. Il dit si tu écoutes attentivement la voix de l'Éternel ton Dieu, si tu fais ce qui est droit à ses yeux, si tu prêtes l'oreille à ses commandements et si tu observes toutes ses prescriptions. Je ne t'infligerai aucune des maladies que j'ai infligées aux Égyptiens, car je suis l'Éternel qui te guérit. Donc c'est lui-même qui dit Moi, je suis le Dieu qui guérit. Et le peuple a dit Il est Jéhovah, Yahvé, Rapha. Donc ça, c'est une autre caractéristique qu'on a, que Dieu lui-même a définie aux Juifs, disant qu'il est celui qui va... qui les guérirait si jamais ils arrivent d'être malades, s'il y avait quelque chose qui n'allait pas dans leur santé, il est celui qui s'engage à être le Yahvé qui guérit. Dans le livre des juges, il fut un temps où le peuple avait désobéi à Dieu. Il avait désobéi à Dieu et Dieu les avait livrés aux Madianites qui venaient piller leur récolte lorsque ceux-ci avaient déjà travaillé durement. Ils venaient piller leur récolte et à ce temps-là, le peuple avait donc crié à Dieu. Et Dieu s'était souvenu de son alliance avec Israël, avec le peuple Israël. Il a choisi un homme qui s'appelait Gédéon et un ange fut envoyé pour lui dire, Lève-toi, vaillant héros, va délivrer ce peuple avec la force que je te donne. Alors, puisque Gédéon savait qu'on ne pouvait pas voir l'ange de Dieu et vivre, il s'est dit, Là, moi j'ai vu l'ange de Dieu, je vais mourir. Mais l'ange, Dieu lui a répondu, je suis le reste en paix, n'est-ce pas ? Je suis le Dieu de paix. Rien ne t'arrivera, va délivrer le peuple. Jus chapitre 6, à partir du verset 23, on voit comment Dieu et l'Éternel lui dit, sois en paix, ne crains point, tu ne mourras pas. Jérôme bâtit là un hôtel à l'Éternel et lui donna pour nom l'Éternel Paix. Il existe encore aujourd'hui à Ofra qui appartient à la famille d'Abiézer. Donc, Éternel Paix, c'est-à-dire, il y avait Shalom. C'est pour ça que vous savez, les Juifs, quand ils se rencontrent, c'est toujours Shalom, Shalom, Shalom, c'est-à-dire paix. Parce qu'ils se transmettent la paix parce que Dieu est un Dieu de paix. Notre Dieu, dans sa marche avec Israël, voulait démontrer à Israël que partout où il serait, il serait au milieu d'eux. Il va les accompagner, c'est pour ça que Moïse avait demandé à Dieu. Il avait dit à Dieu, mais moi je ne vais pas marcher, je ne peux pas conduire ce peuple. Il faut que toi-même, tu viennes marcher avec nous. Si tu ne viens marcher avec nous, moi je ne bougerai pas. L'Éternel avait donc dit à Moïse, Sois en paix, je viendrai moi-même marcher avec toi et je te donnerai du repos. Le Seigneur leur avait donné une flamme d'une nuée. Il les accompagnait pendant le jour et la colonne de feu pendant la nuit. Lorsque la colonne bougeait, le peuple bougeait. Lorsqu'elle s'arrêtait, le peuple s'arrêtait. Il était celui qui les conduisait. Il montrait qu'il était là. De telle sorte que... Le prophète Ézéchiel a dit un jour, dans le livre d'Ézéchiel, chapitre 48, verset 35, que Dieu était celui qui était au milieu d'eux. Dieu leur avait parlé ainsi en disant, je suis Yahvé qui est là, je suis là avec vous, je vous conduis et rien ne devrait vous arriver. Ézéchiel 48, 35. Il dit, donc, après qu'il ait parlé comme ça, il dit, et dès ce jour, le don de la ville sera l'éternel est ici. Donc, Dieu se manifestait pendant le temps de ce peuple-là pour lui faire comprendre qu'il était un Dieu qui était omni, non seulement omniprésent, mais il était avec eux partout où il devait. Il devait siéger, il devait résider. Donc Dieu est le Dieu qui est là. Il est le Dieu qui protège son peuple parce qu'il dit qu'il est du Yahvé-Nissé. Dans l'Exode de 17-15, on peut vérifier cela. Il est la bannière de son peuple. C'est lui qui les protège. Après, nous pouvons aussi voir que Dieu est celui qui est leur justice. Dieu leur dit cela. Jéhovah a cité nous le Dieu qui est la justice. Dans le livre de Psaume 23, nous voyons là le psaume que les gens aiment tellement. Nous voyons David qui dit L'éternel est mon berger Dieu s'était aussi révélé comme étant le berger de ce peuple-là. Et vous voyez que Dieu se révèle en nous par rapport à ce que nous sommes. Comme si Dieu était aujourd'hui. Si le peuple d'Israël découvrait Dieu, alors nous sommes, la Bible serait pleine d'analogies avec les téléphones portables, les tablettes et tout. Parce que Dieu nous parle dans un langage que nous devons comprendre. Si tu es ménager ou si tu es informaticien, Dieu va te parler en te donnant des exemples dans des domaines que tu vas comprendre le mieux. C'est pour ça que Jésus, quand il parlait, il donnait ses paraboles. Il parlait beaucoup des champs, il parlait beaucoup d'un cultivateur qui est sorti semer. Il parlait des poissons parce que c'était les activités qui couraient. Si Jésus venait se revenir aujourd'hui avec sa parole, nous parler, nous n'aurions pas les poissons et ceci. Nous aurions plutôt d'autres choses qui se passent aujourd'hui. David était un berger, c'est-à-dire qu'il s'occupait des brebis. Et il s'était rendu compte que c'était la chose qu'il maîtrisait le plus. Entre autres, il y avait aussi les lances-pierres. La musique aussi qui était un talent, parce que la plupart des bergers sont des musiciens. Ils étaient des musiciens, parce que comme ils restaient, non seulement ils étaient tout seuls à longueur de journée, les brebis qu'ils étaient en train de manger, ils avaient le temps d'affiner leur technique. de chant et de musique. Et en plus, donc, ils étaient tout le temps dans un conservatoire. Donc, David s'était rendu compte que... Mais il voyait comment il prenait soin de ces brebis-là. Il leur donnait à manger. Quand il y en avait qui étaient... Il s'était foulé la cheville. Il prenait soin d'eux. Mais il s'est rendu compte. Il s'est dit non, mais l'éternel est mon berger. C'est pas quelque chose qui est arrivé comme ça, mais c'est par rapport à son métier, par rapport à ce qu'il vivait. Donc... que le peuple d'Israël avait aussi cela parce qu'il s'était rendu compte que Dieu les conduisait, Dieu prenait soin d'eux. Donc, mais comment Dieu veut-il que nous le considérions ? Est-ce que Dieu veut que nous le considérions seulement comme l'éternel qui guérit ? L'éternel qui pouvoir quand on est dans le manquement ? L'éternel qui nous donne... qui nous rend justice, l'Éternel qui vient nous consoler, comment Dieu, parce que ça, c'est la facette que le peuple avait de Dieu. Le peuple savait que Dieu était celui qui devait les conduire. C'est pour ça que quand les Israélites voulaient aller à Ausha droite, ils allaient consulter Dieu pour dire, est-ce que je dois aller à gauche ou aller à droite ? Que dois-je faire ? Ils savaient que Dieu était celui-là qui pouvait. les conduire, qui pouvaient les guider. Mais comment Dieu veut-il ? Qu'est-ce que Dieu voulait révéler à ce peuple en se manifestant de la sorte ? Qu'est-ce qu'il voulait atteindre réellement lorsqu'il se manifestait au milieu d'eux ? Si nous lisons dans le livre de Matthieu, chapitre 6, là c'est Jésus qui commence à parler. Vous savez que Jésus, c'est la révélation parfaite de Dieu. Matthieu 6, Un jour, les disciples de Jésus lui demandent, parce qu'ils avaient constaté que Jésus priait tout le temps, et ils savaient aussi que Jean priait et que Jean-Baptiste avait enseigné à ses disciples comment prier. Et là, ils ont eu une question qui était louable. Ils ont dit au Seigneur, enseigne-nous à prier, comme Jean aussi l'a enseigné à ses disciples. Voilà ce que Jésus va leur dire dans le livre de Matthieu au chapitre... Mais ce n'est pas la prière qui nous intéresse, mais c'est vraiment le début de la prière qui nous intéresse. Matthieu 6 à partir du verset 9. Voici comment vous devez prier, notre Père qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié. Jésus commence l'enseignement de la prière en... en faisant comprendre à ses disciples que Dieu était leur Père. C'est extrêmement important. Parce que là, nous avons vu beaucoup de choses que Dieu a faites, qui ont valu aux Juifs de lui donner des noms, des caractéristiques. Le Seigneur, l'Éternel qui pouvoir, l'Éternel qui guérit, l'Éternel notre bannière, l'Éternel qui nous conduit, l'Éternel... Mais Jésus ne dit pas ici... notre pourvoyeur. Jésus ne dit pas celui qui nous garde. Jésus ne dit pas celui qui nous guérit. Il dit notre Père qui est aux cieux. C'est quand même frappant. Il ne donne pas une caractéristique parmi toutes celles que nous avons vues, mais il veut que nous puissions considérer Dieu comme notre Père. Dans le livre de Luc au chapitre 6, versets 35 à 36, Luc 6, 35 à 36. Mais aimez vos ennemis, faites du bien et prêtez sans rien espérer, et votre compense sera grande, et vous serez fils du Très-Haut, car il est bon pour les ingrats et pour les méchants. Soyez donc miséricordieux comme votre Père est miséricordieux. Jésus insiste dans... dans son enseignement face à ses disciples. Il veut vraiment inculquer à ses disciples la relation que vous avez définie avec Dieu depuis des années. Ce n'est pas cette relation-là que Dieu veut atteindre, vous l'avez atteinte. Dieu veut que vous puissiez comprendre et considérer qu'il est votre Père. Jésus ne veut pas établir une autre relation entre ses disciples et Dieu. Il veut leur faire comprendre que Dieu est votre Père. Il n'est pas seulement celui qui vous guérit. Oui, dans ses prérogatives, dans ce qu'il fait, il y a la guérison, il y a la protection, il y a le soin qu'il prend, il y a la nutrition, il y a tout cela. Mais il le fait, toutes ces choses-là, parce qu'il est votre Père. considérer que Dieu est votre père. Et vous savez, en préparant cet enseignement, j'ai moi-même beaucoup, beaucoup réconsidéré la position de Dieu dans ma vie. Je vous l'ai dit en toute honnêteté, parce que c'est extrêmement... Quand nous prions Dieu, nous avons une place que nous donnons à Dieu. Quand je suis dans le maintenant, je vais vraiment prier... En disant, Seigneur, c'est toi qui pourvois, tu es celui qui pourvois, l'or et l'argent t'appartiennent. Mais pourquoi Dieu fait ces choses lorsque nous le demandons ? Ce n'est pas pour être devant nous celui qui pourvoit. Ce n'est pas pour être devant nous celui qui nous protège. Seigneur, protège-moi quand je sors et quand je rentre. Non, mais Dieu veut que nous comprenions que ces choses qu'il fait, il les fait en qualité de... Père. Dieu veut que tu comprennes qu'il est ton père. Et quand je dis père, ce n'est pas père seulement avec le mot père. Quand Jésus parle de père, en fait, c'est père et mère compris. C'est père et mère parce que sinon on va dire que Dieu est un homme ou un homme. Non, Dieu n'a pas d'homme ou d'homme. Mais c'est pour nous représenter ce que ton père. C'est pour nous permettre de comprendre. C'est ce que... C'est l'exemple que Jésus pouvait prendre de plus pragmatique, de plus expressif, de nous montrer que le soin que nos parents prennent, le soin que ta maman prend pour toi, le soin que ton père, malgré que nous ne sommes pas bons, nous sommes méchants, Dieu prend soin de nous comme les parents prennent soin de nous. Dieu prend soin de toi. Dieu prend soin. de chacun d'entre nous, comme nous aussi, par exemple, ceux qui sont parents, nous prenons soin de nos enfants. Quand nous protégeons nos enfants, on ne nous supplie pas pour protéger l'enfant. Quand nous nourrissons nos enfants, nous nous demandons Mais qu'est-ce qu'ils vont manger ? Il n'y a pas une contrainte à cela, on le fait naturellement, c'est presque une obligation que nous nous imposons nous-mêmes. C'est la nature même qui nous impose cela. Donc quand Dieu... vient nous nourrir ou vient nous protéger, il ne le fait pas par pitié. En fait, c'est une obligation qui se donne à lui-même parce qu'il est notre père. Il faudrait que Dieu nous fasse comprendre cela. Parce que Dieu n'est pas quelqu'un que nous mettons à côté et avec qui nous pouvons composer. Mais Dieu, c'est ton père. Et si nous comprenons que Dieu est notre Père, il y a beaucoup de choses qui vont changer dans nos vies. Dieu est ton Père. Dieu n'est pas quelqu'un qui a pitié de toi, que tu vas supplier pour qu'il puisse agir. Jésus nous a dit que c'est notre Père. Les juifs disaient que Dieu est celui qui l'a conduit, qui l'a guéri. Mais Dieu, c'est notre Père. Imaginez une mère ou un père, lorsque vos enfants sont malades. Moi, je me... On perd du sommeil, on perd tout. On veut qu'ils puissent trouver la guérison. Si c'est la nuit, on va aux urgences. On n'a pas besoin de te prier d'eux. d'amener ton enfant, mais tu ne peux pas faire autrement. Ça te tient par là. Tu les amènes aux gens parce qu'il faut qu'ils puissent, n'est-ce pas, être bien. Et c'est comme ça, plus que cela même, que Dieu ressent quand nous sommes affectés, quand nous avons des situations qui ne tiennent pas. Il faudrait que tu le comprennes. Dieu n'est pas un voisin qui a pitié de toi, mais Dieu est ton père. La méconnaissance de cela nous amène à ne pas faire les choses comme il se doit. Et vous savez, depuis le commencement, Dieu voulait leur faire comprendre cela. Dieu voulait leur faire comprendre cela et il a même parlé par la bouche de ses prophètes. Dieu dit dans le livre de Psaume 103 au verset 13, Comme un père a compassion de ses fils, Dieu l'Éternel a compassion de ses fils. de toi, à avoir compassion de son fils. Mais ce n'est pas extraordinaire. Quand on a un autre fils ou une autre fille qui a 40 de fièvre, mais on n'est pas bien. Donc quand nous ne sommes pas bien, Dieu n'est pas bien. Ce ne sont pas nos prières qui le mettent en action. Ne crois pas que nous prions parce qu'il faut prier, mais ce n'est pas parce que tu pries que tu... est guéri, mais Dieu se met déjà en mouvement parce que tu n'es pas bien. Est-ce que nous avons besoin que nous, dès que nous savons, nous voyons nos enfants grelotés, ils ne sont pas bien, nous prenons directement la température, on voit qu'il est 38, tu restes là, tu ne vas pas rester là à attendre que ton fils te dise Mais maman, amène-moi à l'hôpital. Non, non, non. Si tu vas commencer à chercher toi-même, tu vas donner du Doliprane, tu vas, même si l'enfant ne te le demande pas, tu vas le faire. Et Dieu nous guérit même la plupart du temps. sans que nous n'ayons à lui demander de le faire. Dieu, c'est ton père. Dieu est celui qui prend soin de toi. Dans le livre de Deutéronome 1, verset 31, écoute ce que Dieu dit à Moïse pour que Moïse puisse le répéter à son peuple. Mais ils n'ont pas été attentifs. Ils ont vu le Dieu qui a purifié les eaux de Mara. Ils ont vu le Dieu qui a... ouvert la mer rouge. On voyait que c'est celui qui a crié les cieux et la terre. Il a ouvert la mer. C'est cette relation qui était restée. Mais dans le livre de Deutéronome 1, il dit, Puis au désert, où tu as vu que l'Éternel, ton Dieu, t'a porté comme un homme porte son fils. Dieu dit, Je vous ai porté comme un homme porterait son fils. J'avais moi. Moi, cette image est parlante parce que quand Kevin était tout petit, il arrivait que je puisse le porter parce qu'il courait beaucoup, il jouait beaucoup. Et puis, tous les soirs, on descendait, on courait, il jouait au foot. Et puis, quand il était fatigué complètement, il venait, il venait, il venait me dire, papa, porte-moi. Et donc, je le portais. Et on allait lui donner son bain, étant déjà complètement fatigué. Et Dieu nous porte comme ça. La Bible dit que Dieu, il leur dit que je vous ai porté comme un père porte son fils, comme une mère porte son fils. Parce que les mères portent, le père porte. C'est pour nous donner une image des parents qui prennent soin de leur enfant. Dieu voudrait que tu comprennes que c'est la même relation qu'il a envers toi. Ce n'est pas seulement la relation de celui-là qui a créé le ciel et la terre. Et qui peut agir lorsqu'on l'appelle au secours. Mais Dieu est ton père. Donc nous devons considérer cela dans notre relation avec l'autre. C'est que c'est mon père. Ce n'est pas seulement une relation de il est Dieu le créateur du ciel et de la terre mais c'est mon père. Quand je lui parle, je lui parle comme un fils parle à son père. Quand je lui, je peux lui... dire ce que je pense, je veux. Moi, je parle avec mes enfants, je parle pour leur avenir. Des fois, de temps en temps, ça ne me prend pas tellement beaucoup de minutes, je les appelle tous les jours à midi. J'appelle Anne-Sophie, j'appelle Kevin, et on échange ça a été aujourd'hui, qu'est-ce que tu penses ? Oui, ça se passe comme ça. J'appelle Cassie, mais Dieu veut que nous puissions parler, converser avec lui comme cela. Dieu est ton père. Et à partir du moment où tu sais que Dieu est ton père, ça change tout. dans les démarches que tu peux avoir. Mais regardez, cette semaine, je travaillais dans mon esprit. Je discutais encore ce matin, je discutais avec mon épouse pour l'avenir des enfants. Et eux, ils étaient tranquilles, ils ne le savaient même pas. Ils ne le savaient même pas. Je ne dis pas qu'on ne s'arrachait pas les cheveux, mais on s'est dit qu'on peut faire comme ça, qu'on va faire pour financer ça, on va voilà, voilà, voilà. Et j'ai échangé avec la banquière cette semaine pour les études. Mais eux, ils étaient tranquilles, ils n'ont pas ce problème. Mais Dieu est comme ça avec nous. Dieu m'a révélé cela, il m'a dit, regarde comment tu réfléchis pour tes enfants. Réactement, j'étais avec la banquière, on parlait, je lui disais ça, on peut financer ça, on peut financer ça, les études et tout. Et Dieu me disait, mais tu vois, toi tu te remplis la tête pour tes enfants, ils sont tranquilles là-bas, ils ne savent même pas si tu es en train de penser. Je suis comme ça pour toi. Donc, imaginons-nous ça. Donc, Dieu cherche à nous donner, il a des projets de paix et de bonheur pour chacun d'entre nous. Il veut nous donner un avenir qui est sûr, un avenir de joyeux Dieu. C'est pour ça que quand Jésus dit Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu et toutes ces choses vous seront données ce n'est pas comme... récompense, non, mais c'est parce que Dieu c'est ton père, quand tu habites ton enfant, quand tu lui donnes à manger mais tu ne fais rien d'extraordinaire c'est normal de prendre soin de ses enfants donc Dieu, c'est pour ça que Jésus dit ne vous cassez pas la tête c'est pas qu'on ne peut pas prier pour cela on lui rend grâce à Dieu, mais c'est parce que Dieu est obligé de le faire à partir du moment où tu te considères comme son enfant... Comprenez bien ce que je suis en train de dire. Dieu est obligé. Un père, les parents sont obligés de nourrir leurs enfants, de les protéger, de chercher à ce qu'ils aient. Les parents sont normaux. Je ne sais pas dire que... Il y a des parents à qui on doit supplier pour qu'ils puissent prendre soin de leurs enfants. On le trouve dans le monde. Pour payer ça pour ton fils, pour ta fille, on doit te faire des coups bêtes pour pouvoir... Mais les parents qui sont normaux, on n'a pas besoin de leur dire, prenez soin de vos enfants, cherchez du bien, essayez de réfléchir pour leur avenir. C'est normal. C'est normal. Donc Dieu, pour votre avenir, c'est normal de pouvoir chercher pendant que vous dormez. Lui, il est en train de chercher des voies et moyens pour pouvoir vous rendre heureux. Donc Dieu nous demande tout simplement de prendre conscience de cela, de nous comporter comme des enfants, de nous comporter pas comme des enfants, mais pas comme des sympathisants, ceux qui adhèrent à ce qu'il dit. Mais Dieu, c'est ton père. Je ne sais pas comment je peux expliquer cela, mais Dieu me met dans le cœur de vous dire que chacun puisse considérer, reconsidérer sa relation avec Dieu. comprendre que Dieu est son père. Il n'est pas le... Oui, il est tout-puissant. Il a créé le ciel et la terre. Mais lui, c'est ton père. Et quand on est avec son père, quand on lui parle, moi, quand mes enfants veulent me demander quelque chose, quand ils font ça à l'école, ils n'ont pas peur. Ils ont foi qu'ils vont recevoir ce qu'ils me demandent. Ils ont foi qu'ils vont recevoir ce qu'ils me demandent. Moi, c'est ma fille, Anto, ce matin, qui me disait, ce matin ou hier, elle me dit, papa, ici, il faut prendre rendez-vous avec le Dermat parce que j'ai quelque chose ici. Elle ne se pose pas. Est-ce que tu peux, elle me dit, il faut prendre. C'est normal. Et je disais à mon épouse, je lui ai dit, il faudrait qu'on prenne un rendez-vous pour le Dermat parce que Anto, il y a quelques petits... C'est normal. En fait, elle le disait naturellement parce que je dois le demander à mon père et il doit se débrouiller à trouver le rendez-vous. Donc, Dieu... fonctionne comme ça avec nous. Nous sommes ses enfants. Ne pensez pas que nous allons prier Dieu et par pitié, il va nous donner. Non, c'est ton père. C'est ton père. Et nous avons du mal parce que comme nous prions Dieu, nous venons prier comme si nous commandions quelque chose, comme si à force de ceci, il va avoir pitié du petit enfelin qui est là-bas au bout, qui n'a pas mangé, et il va... Il va lui accorder ce qu'il demande. Mais non, quand tu vas prier, tu vas demander à ton père. C'est pour ça que Jésus disait que, mais ne... Laissez venir les petits enfants parce que ceux qui ont une maladie de Rambouche, ils les ressemblent. Parce que quand ils viennent, ils n'ont pas d'a priori, ils n'ont pas de préjudice. Maman, j'ai faim. Où est la vie ? Est-ce qu'il y a quelque chose dans le contemporain ? Est-ce qu'il y a... Non, il ne réfléchit pas. Maman, j'ai faim. Où est la vie ? Donc, je riais hier quand nous étions en post-oral. Je discutais avec le pasteur Serge Bureau et on parlait des enfants qui ne mettent pas le frein sur les choses. Quand Cassie était plus petite et quand on nous demandait quelque chose, mon épouse et moi, on nous disait qu'on n'avait pas l'argent. Mais des fois, elle s'exclamait et me disait mais tu as la carte quand même ! Donc, elle avait 4 ans. Je disais au pasteur Serge Bureau qu'elle a déjà compris qu'il ne suffit pas d'avoir la carte. Quand on lui parle aujourd'hui, elle sait bien que la carte ne suffit pas. Il faut mettre quelque chose derrière. Mais c'est ça. Mais comment tu peux me dire qu'il n'y a pas ? On ne peut pas. On ne peut pas. Mais tu as la carte, papa. Tu n'as qu'à utiliser ta carte. Oui ? Les enfants sont comme ça. Et nous, nous sommes des enfants. Et Dieu aime ça. Quand tu viens vers Dieu, mais tu dois savoir que Dieu a la carte. Mais lui, il a une vraie carte. Divinité. Il a la carte illimitée. Il a une carte sans contact. C'est-à-dire qu'il n'a pas besoin de venir mettre la carte pour faire le code. Depuis le ciel, là-bas, il brandit sa carte. Là-bas, c'est une master, j'ai une carte maintenant. Et il, mais vous savez, et c'est ça. Vous savez que le président de la République, M. Macron, il a une carte, il a ce qu'on appelle une caisse noire. Il a une carte non-libide. Avec son église, il peut faire des achats, mais il ne change pas, c'est défini comme ça. Il ne peut pas chercher à... Il y a des gens qui contrôlent derrière. Ce n'est pas pour s'enrichir personnellement, mais tout ce dont il a besoin, il peut acheter avec ses parents. Donc Dieu est ton père. Redéfinis la relation avec Dieu. Arrête de pleurnicher comme si ce n'était pas pitié qu'il va. Tu n'es pas un... un orphelin qui est en train de pleurnicher. Tu n'es pas le fils du voisin qui vient là parce qu'il n'y a pas à manger. Tu viens chez ton père. Et parce qu'il est ton père, vous tous les parents là, quand la rentrée approche, vous commencez à vous poser des questions. Les cahiers des enfants, il faut qu'on fasse ceci, il faut qu'on fasse ceci, les vêtements sont devenus plus petits, il faut trois pantalons, il faut un manteau, il faut... C'est les parents, eux les enfants, ils sont tranquilles. Ils sont... tranquille, vous faites des listes. Dieu s'occupe de vous pareillement. Dieu s'occupe de vous pareillement. Et avant de revenir un peu, si nous voyons toutes ces caractéristiques que nous avons vu de Dieu, lorsque nous regardons attentivement la vie de Jésus-Christ, lorsque nous regardons par exemple dans le livre de Marc au chapitre 8. Nous voyons que du verset 1 au verset 9, Jésus, n'est-ce pas, multiplie les pains. Jésus était celui qui pouvoyait. Amen. Jésus était le pouvoyeur. Lorsqu'il était avec ses disciples, un jour même, il s'était passé quelque chose. Les Juifs avaient demandé à Jésus et à Pierre de pouvoir payer l'impôt du César. Jésus a dit à Pierre d'aller dans le fleuve à côté, de jeter l'hameçon et de trouver le premier poisson qu'il allait pêcher, qu'il allait l'ouvrir et qu'il allait prendre une pièce dedans et il allait payer pour lui et pour Pierre. Donc Jésus est celui qui pourvoyait. Il pourvoit encore Jésus. Dans le livre de Max Marc au chapitre 2, versets 1 à 9, on voit que Jésus est celui qui guérissait Jésus. La Bible dit que Jésus partait de ville, marchait de village en village. Il guérissait toutes sortes de maladies. Donc le Dieu que nous avons vu, Dieu, Yahvé, Rapha, Jésus est celui qui guérit. Et souvenez-vous qu'il a dit à ses disciples, tout pouvoir m'a été donné dans le ciel sur la terre. Allez ! par tout le monde entier, annoncer la bonne nouvelle à toute la création, celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé. Voici les miracles qui accompagneront tous ceux qui ont cru. Et dans ces miracles qu'il a dit, ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris. Jésus est celui qui guérit. Il représente le Jéhovah, le Yahvé, Rapha, Dieu qui guérit. Jésus guérit toutes sortes de maladies. Dans le livre de Jean 14, verset 27, on voit aussi que Jésus, c'est celui qui nous donne la paix. Jésus est celui qui donne la... La paix. Il disait, je vous laisse la paix, je vous donne ma paix, je ne vous la donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble point et ne s'alarme point. Dans Jéhovah Shalom, Yahvé Shalom, c'est Jésus donne la paix. Quelles que soient nos situations, quelle que soit ta position, Jésus te donne la paix. Il te donne la paix. Tu dois te tourner vers lui. Il a dit à ses disciples, je serai avec vous chaque jour jusqu'à la fin du monde. Il est le Jéhovah qui est, le Yahvé qui est ici. Jéhovah, Yahvé n'est ici. Jéhovah, la bannière. Jésus disait que je vous donne le pouvoir sur les serpents et les scorpions. Rien ne pourra vous nuire. Il sera là pour te protéger. Il sera là pour empêcher que les élevés ne puissent t'atteindre. Notre Jésus est celui qui nous accorde toutes ces choses-là. Il est notre justice, Jésus. Et il est l'éternel Jésus qui est notre berger. Dans le livre de Jean, au chapitre 10, verset 14, il se définit lui-même en disant, Je suis le bon berger. Amen ! Je suis le bon berger, je suis celui-là qui te conduira, qui t'orientera, qui va te diriger. Je suis le bon berger, le bon berger donne sa vie pour ses brebis. Donc quand David disait L'Éternel est mon berger c'était le symbole, le signe de ce Jésus qui est notre berger aujourd'hui. C'est lui qui nous guérit. C'est lui qui nous dirige, c'est lui qui nous montre le chemin. Donc nous avons en Jésus toutes les capacités de Dieu. Nous avons en Jésus toute la personnalité de Dieu. Le travail de Dieu se réalise pleinement en la personne de Jésus-Christ. Et donc c'est lui qui est notre Père, c'est lui qui est la tête de l'Église. Et Dieu veut que tu saches aujourd'hui que tu as un père. Un enfant qui a un père ne marche pas comme un enfant qui est orphelin. Je ne sais pas si vous avez déjà observé dans la vie. Vous avez un petit, celui qui est orphelin, il est craintif, il a peur. Celui qui a un père, quel que soit l'heure où il se trouve, quand il y a un danger, il vient, il s'approche de son père. Donc il y a un pasteur un jour qui nous a raconté une histoire. pour représenter vraiment la quiétude qu'un père apportait lorsqu'il était auprès de son enfant. Il y a un enfant, une jeune enfant qui avait pour père un pilote de ligne. Un jour, il était dans l'avion et puis il y avait des séquences, il y avait de la campagne. L'avion était en train vraiment d'être sécoué à gauche, à droite et tout. Et tout le monde dans l'avion était... était vraiment dans une frayeur extraordinaire comme les apôtres l'autre jour dans la barque. Et quand Jésus dormait, et la petite était avec sa tablette, et elle jouait. Elle jouait, elle jouait, mais tout le monde était là comme ça, chacun priait son Dieu. Et après, ça s'est calmé, les troubles sont calmés, et on a approché cet enfant pour lui dire, mais pourquoi toi tu tremblais pas ? Elle a dit non, mais parce que le pilote là, c'est mon père. Et donc, parfois, il me lance comme ça et il me rattrape. Donc, elle était habituée. Elle avait une assurance. Mais Dieu, c'est notre père. Un enfant qui est avec son père est dans la sécurité. Donc, on peut avoir perdu son père charnel, comme les nous autres comme ça, et plusieurs d'entre nous. Mais Dieu est notre père. Donc, je dois vraiment me représenter cela. Je dois vraiment voir le soin que je peux apporter à mes enfants, les encouragements que je peux apporter. Dieu est là pour nous consoler. Il est là pour nous conduire. Il est là pour nous orienter. Nous souffrons beaucoup parce que nous croyons que nous n'avons pas de paix, mais nous avons un Père à qui nous devons tout dire, toutes nos craintes. Dieu n'est pas celui qui va nous accompagner dans nos batailles. Lorsque nous sommes là, nous prions, Seigneur, aide-moi, aide-moi. Non, c'est mon Père, mon Père, viens, prends soin de ceci, je suis ton enfant. Prends cette situation-là et nous devons avoir la foi. Que Dieu s'occupe de nous comme un père s'occupe de ses enfants. Dieu est mon père. Il n'est pas seulement le Dieu qui guérit, le Dieu qui me donne à manger et je lui rends grâce. C'est une bonne chose, les enfants doivent être reconnaissants, puisque Dieu lui-même veut que nous soyons reconnaissants. Nous lui rendons grâce pour tout ce qu'il nous accorde. C'est naturel pour les parents de s'occuper des enfants, mais le merci n'est pas exclu. Dieu est donc notre Père et nous devons instaurer ou accepter cette relation qui est pour nous un privilège. Croire en cette relation-là, parce qu'il y a un problème. Nous pouvons confesser d'élève que Seigneur, tu es mon Père, mais dans notre intime, dans notre relation intime avec Dieu, nous ne nous comportons pas comme des enfants devant leur père. On se bat beaucoup parce que nous considérons que Dieu est une aigle. Quand nous sommes gentils, il vient nous donner le secours, il nous porte son secours. Nous le considérons seulement comme étant le Dieu qui a créé le ciel et la terre et qui peut avoir un regard favorable vis-à-vis de nous. Mais non, Dieu est ton père. Dieu est ton père et c'est un privilège pour toi. Tu dois croire en cette relation. Si tu ne te comportes pas envers Dieu comme un enfant, envers son père, tu auras du mal. Il ne nous porte pas dans ses bras par pitié, mais il nous porte par amour. Qui nourrit ses enfants ? Qui amène son enfant à l'hôpital par pitié ? Moi, je ne sais pas. Ton propre enfant, quand tu l'amènes à l'hôpital, c'est pas par pitié. Peut-être que tu peux avoir pitié de quelqu'un que tu ne connais pas dehors. Tu le vois en train de grenoter. Hier, je suis arrivé à la gare de Lyon vers 21h. J'ai été ému de compassion pour plusieurs personnes. Mais j'ai vu plus de 20 personnes qui dormaient dans la gare. J'ai dit, Seigneur. Ils avaient des couvertures, je ne sais pas. Depuis combien de temps, certains n'ont pas touché l'eau. Et j'ai dit, mais Seigneur, un jour ils sont nés et les familles ont été heureuses. Mais regarde Seigneur, qu'est-ce que c'est que ça ? J'étais attesté. Non, nos enfants, quand on les regarde, quand ça ne va pas, ce n'est pas la pitié qu'on a, mais on se sent touché nous-mêmes. Quand ton enfant a mal, mais tu crois que c'est ton... corps qui est affecté. Mais c'est ça avec Dieu. Donc Dieu ne vient pas te porter par pitié. Dieu vient te porter par amour. Il ne nous défend pas par pitié. Il est heureux de nous défendre. Il est heureux de le faire. Si notre fils ou notre fille est attaqué là, dehors là, c'est pas par pitié qu'on va aller plaider sa cause. Non. Mais c'est par devoir. On va dire mais c'est mon fils, il faut pas. Attention, il faut pas. qu'il puisse avoir mal. Il ne faut pas que tu puisses faire cela. Ne lui parle pas comme ça. Mais c'est ça qui se passe. Lorsque ça ne va pas, ou lorsque, à l'école, il y a d'autres élèves qui portent atteinte à votre enfant et qui vous le disent à la maison, mais vous venez à l'école étant remonté. Ce n'est pas parce que vous avez quitté votre enfant, mais c'est parce que c'est votre enfant que vous faites cela. Vous venez le... défendre parce que c'est votre enfant. Et quand Dieu vient nous défendre, quand Dieu vient nous rendre justice, c'est parce qu'il est notre Père. C'est pas par pitié qu'il le fait. Il ne pourvoit pas à nos besoins par pitié, mais il ne pourvoit pas amour parce que c'est notre Dieu. Ce n'est pas parce que nous avons tellement prié. Non, mais c'est normal. Nous pouvons lui dire On a besoin de cela. La Bible nous dit de nous ne vous inquiétez de rien, mais en toute chose, faites connaître vos besoins à Dieu par des prières, des supplications, avec l'action des grâces. Et la paix de Christ qui surpasse toute intelligence gardera vos corps et vos pensées en Jésus-Christ. Il est normal de lui dire, Seigneur, mon Père, j'ai besoin de ça. J'ai besoin de ceci, parce que ceci, parce que ceci. Même s'il le connaît, même s'il le sait. Et on doit le faire parce qu'on ne doit pas se dire, il aura pitié de moi et il va le faire. Non, il faut bien que ça change dans notre mentalité. Qu'on puisse comprendre que Dieu est notre Père. Et ce qu'il nous fait, il le fait par... amour et par devoir même parce que c'est un père pour nous il nous guérit par amour il ne nous guérit pas par pitié donc sache dans cet après midi que tu as un père qui t'aime dieu est ton père et il veut remplir tous ses devoirs de père dans ta vie mais accepte le accepte laisse ton père agir Des fois, les enfants, quand ils sont déjà ceci, on demande de faire ceci, ils refusent. Ils refusent, on peut refuser. Et nous sommes dans cette position-là la plupart du temps. Mais Dieu nous aime et il veut, il médite pour notre avenir, pour notre bien. Donc arrête de te lamenter. Arrête de croire que tu vas t'en sortir à force de te battre, à force de prier, à force de faire ceci. Regarde, le royaume fixe ton regard. sur le royaume des cieux. Et Dieu va s'occuper de toi, de toutes ces choses qui sont passagères. Donc nous devons conserver notre énergie pour des choses qui valent la peine. On ne va pas demander à un enfant de 10 ans d'aller travailler chez McDo pour se payer les vêtements. On ne va pas demander d'aller se débrouiller pour pouvoir s'acheter des cahiers. Non ! Mais Dieu se comprend comme ça. Nous, c'est ce que nous faisons avec Dieu. Nous voulons faire des choses que lui, Dieu, peut faire. Mais Dieu te dit ce matin, te dit cet après-midi qu'il est ton père. Il veut te faire du bien. Il veut que tu prennes conscience que ce n'est pas par pitié qu'il vient, qu'il vient accomplir tout ce qu'il fait dans ta vie. Mais c'est parce qu'il est ton père. Et tu dois accepter la chose. Restelle et rentre dans la joie parfaite qu'il a préparée pour toi. Dieu est notre Père.
