Speaker #0Bienvenue sur Élixre de Confiance, le podcast qui redonne le pouvoir aux femmes en vous aidant à reprendre confiance en eux, pour enfin vous épanouir pleinement dans votre vie et dans vos relations. Je vous dis ici qu'il y a une mission à déléger chaque femme à s'aimer et trouver la clé du bonheur en elle, pour pouvoir créer de relations plus saines et plus sereines sans soulever. Pensez également à vous abonner si l'épisode vous a plu, à mettre un 5 étoiles, vous êtes une trouvaillée. Hello mes poupées ! Alors ça, c'est un épisode de la mort que j'adore. Comment se créer un mental de guerrière ? Parce que oui, moi je veux que vous ayez un mental de guerrière et aussi que vous sachiez l'entretenir. C'est un peu, c'est comme la confiance en soi, ça se travaille, ça se maintient et c'est juste hyper important. C'est important que tu te sentes solide dans la vie parce qu'il y a tellement... de choses que l'on ne contrôle pas, tellement d'événements, tellement de choses aussi qui peuvent nous affaiblir d'une certaine manière, vraiment nous atteindre. Je pense que dans tous les cas, ça nous atteint. Dès qu'il se passe quelque chose, on est des êtres humains avec des émotions et des attentes et plein de choses. Par contre, c'est important de savoir réagir et vraiment de le faire dans une intention de, allez putain, c'est la merde, je continue, je l'y vais à fond, je me dépasse et pas je me laisse submerger et je me prends une rafale de vagues dans la tête je suis en train de boire la tasse et puis je fais rien pour m'en sortir. Non, moi là ce que j'ai envie, c'est que vous ayez vraiment ce mental qui va vous servir et non pas qui va vous desservir. Parce que c'est ton mental qui va t'amener là où tu veux. J'imagine comme tout le monde, on a tous des projets des objectifs de vie ou des choses qu'on... dont on se souhaite. Moi, ce que je vous souhaite à toutes, c'est vraiment d'être heureuse, d'être épanouie, de kiffer la vie, d'être bien, que vous soyez seule ou que vous soyez accompagnée, que vous vous sentiez accomplie et que vous vous sentiez vraiment hyper bien dans votre peau, vraiment en paix avec vous-même, en mode, ok, j'ai plein de qualités, ok, j'ai des défauts, des imperfections et je suis ok avec vous. Avec tout ça, je me sens bien, à l'aise. Et ça, pour moi, c'est gagné. Donc c'est quoi un mental de guerrière ? C'est vraiment ce mental où tu vas te sentir indestructible, forte, puissante, où tu te dis en fait que rien n'est impossible, rien n'est inaccessible, que peu importe ce qu'il se passe, tu arriveras toujours à rebondir. Et quelque chose que je veux ajouter, et qui est vraiment important, parce qu'il y en a beaucoup, Ce qui fait cet amalgame, c'est ce n'est pas parce que tu es une guerrière que tu n'as peur de rien. Tu as peur, mais tu y vas quand même. Il y a beaucoup de femmes qui pensent que ce qui fait d'elles des femmes fortes, confiantes, c'est le fait de ne plus avoir peur. J'ai beaucoup entendu ça. Non, moi j'ai pas confiance en moi parce que j'ai peur. Ben oui, mais en fait, ce que là je veux vous dire c'est que tout le monde a peur. On est des êtres humains, on a un égo, et c'est normal. Par contre, ce qui va faire la différence entre une nana qui a confiance en elle, qui a un mental d'acier, et quelqu'un qui a une basse estime d'elle-même, par exemple, c'est le fait que, du coup, elle va se laisser bouffer par ses peurs, et elle va s'arrêter là. Donc moi, ce que je veux vous amener aussi, c'est d'apprendre à dépasser vos peurs. Tiens, je vais vous expliquer ça, je ne l'avais pas noté. Hop, dépasser ses peurs, comment le faire ? Je suis partie sur... sur d'autres choses, mais c'est hyper intéressant ça. Ok. Donc voilà, une fois que ça, je l'ai dit, déjà, vous pouvez décompresser, c'est pas parce que t'as peur, que tu manques de confiance en toi, ça n'a rien à voir. Alors, bref, déjà, posons le cadre, c'est quoi, donc, une femme, ça marche aussi pour les hommes, hein, mais comme je m'adresse pas à eux, on s'en fout, donc, qu'est-ce qu'une femme qui a un mental de guerrière ? C'est une femme qui prend sa vie en main. Comme ça, en fait, le fait que je pose celle-là, ça va te permettre de te dire C'est-à-dire, ok, ben en fait, non, j'ai un mental de fou, ou, ah ouais, j'ai encore quelques kilomètres à parcourir, ou peut-être que je suis à des centaines de mètres, je m'en approche ou pas, et de pouvoir un petit peu jauger où est-ce que vous en êtes. Bon, je reprends. Donc c'est une femme qui prend sa vie en main, qui ose, qui prend la responsabilité de sa vie. C'est-à-dire qu'elle ne se met pas en mode victime, en mode, oh là là, mais moi, de toute façon... c'est pas de ma faute, je serai malheureuse toute ma vie, enfin voilà, vraiment, le mode Calimero, non. Elle est actrice de sa vie. Et elle n'est pas passive. Du coup, c'est-à-dire qu'elle n'attend pas que les choses lui viennent, lui tombent du ciel, que les choses, elles changent par magie. Non, elle prend sa vie en main. Elle ose, ok, moi, je veux ça. J'ai tel objectif, j'ai tel cap, et maintenant, je vais tout faire pour y arriver. Ça, c'est la nana qui a un mental de guerrière. Et donc, elle n'accuse personne de son malheur. Vraiment, elle va prendre ses responsabilités. Parce que, par exemple, dans ta vie amoureuse, il se peut... Je sais pas si tu es en couple ou pas, bon bref, tu imagines le truc. Il y a beaucoup de femmes qui sont malheureuses dans leur relation amoureuse et qui disent, ouais mais de toute façon c'est à cause de lui, non mais il me fait ci, il me fait ça, et n'est n'est n'est. Du coup tu fais porter la responsabilité de ton malheur à quelqu'un d'autre que toi. Sauf que moi ce que j'ai envie de te rappeler, c'est que si tu es dans cette situation-là, tu as ta part de responsabilité. Quand tu acceptes des choses de quelqu'un et que tu essuies, que tu pardonnes, que tu les t'aimes, que tu... tu ne dis rien, que tu n'oses pas t'affirmer par peur de le perdre par exemple, là, du coup, tu es en mode victime, en mode passive. Parce que c'est toi qui acceptes le comportement de quelqu'un. S'il y a quelqu'un qui ne respecte pas tes limites, qui te traite mal, qui te manque de respect, tu as ta part de responsabilité là-dedans. Parce que tu acceptes la situation. Tu ne dis rien ou alors... Tu ne marques pas assez le coup. Ou tout simplement, j'estime moi que quand vraiment on est foncièrement malheureuse dans sa relation amoureuse, et je l'ai vécu, à un moment donné, il faut prendre sa vie en main et se dire est-ce que je veux de ça toute ma vie ? Est-ce que j'ai envie de rester comme ça pendant dix ans avec quelqu'un comme ça ? Mais le problème c'est que voilà, quand on manque d'estime de soi, du coup on pense qu'on le mérite, qu'on ne mérite pas mieux, On ne trouvera pas mieux. Non. Tu viens me voir en coaching et je vais te montrer ce que tu peux avoir et je vais te faire prendre conscience de ta valeur parce que ça, je ne veux pas l'accepter. Ok ? Ok, bon, ça c'est dit. La femme qui a confiance en elle, elle va se poser les bonnes questions. Aujourd'hui, on est dans un monde où les choses, elles vont hyper vite. Voilà, métro, boulot, dodo, on enchaîne les journées. C'est un peu comme la bouffe. Moi, j'ai tendance à faire ça. C'est que parfois, je me fous un film et en fait, je ne sais même pas ce que j'aime. je m'incurgite, juste je kiffe le moment parce que j'adore manger devant la télé et puis une fois que c'est fini, mon plat je me dis, putain j'ai déjà mangé fait chier mon moment, le plaisir est déjà passé et là je vais rebouffer encore et encore et en fait c'est un petit peu comme ça dans la vie de tous les jours c'est qu'on enchaîne les journées on va bien ou on va pas bien mais en fait on se pose pas de questions, on se pose pas de vraies questions on va même pas s'introspecter parce qu'on sait que si on va gratter un petit peu, peut-être que ça sent pas bon. Si t'écoutes cet épisode, c'est que tu vas être une guerrière. C'est que tu vas être une femme forte. Donc du coup, va falloir se poser des questions un petit peu. Faut le but d'enlever. Je le répète souvent parce que je crois que c'est ma devise. On n'est pas là pour subir. On est là pour kiffer. Et si tu veux kiffer, à un moment donné, il faut se poser les bonnes questions. Il faut faire le point sur sa vie actuelle, sur ses envies, sur ses souhaits, où est-ce que l'on en est. Au niveau du curseur, Hors de l'épanouissement, je viens de te sortir un truc. Où est-ce que j'en suis ? Est-ce que je suis satisfaite de ma vie aujourd'hui ? Ou est-ce que, punaise, est-ce que je me sens mal ? J'en ai marre. Et si tu en as marre, parce que, en fait, tu vas éviter de te poser des questions pour pas en arriver à cette prise de conscience-là qui fait chier, quoi. Parce qu'une fois que tu te le dis, là, c'est encore plus de ta responsabilité de faire quelque chose pour t'en sortir. Mais, tu es une winner. Oui, tu es une sainte. Et donc du coup, pose-toi ces questions et arrête de faire l'autruche. Non mais tout va bien, non mais c'est pas si grave, non mais bon il voulait pas dire ça, non mais... Non, bon on se pose les bonnes questions et on avance. Direction le bonheur. Ensuite elle va se dire, elle sait que quoi qu'il se passe, elle est armée pour faire face. On peut compter sur elle. Et ça, mais c'est... Tu dois être ta meilleure amie. Tu dois être ton meilleur partenaire de vie. Tu te dois ça. À toi-même, à tes parents, à la lignée des femmes. C'est hyper important que tu te sentes bien dans ta peau, quoi. C'est presque un béaba. Et je ne comprends pas encore pourquoi on ne l'enseigne pas à l'école. Je crois que je vais aller faire une lettre au président. pour dire non non mais c'est pas possible quoi c'est la confiance en soi être bien dans sa peau c'est ça doit être un objectif de vie quoi, vraiment donc elle se dit que elle peut compter sur elle que elle rebondira elle ira de l'avant même si ça lui coûte des heures à pleurer ou je sais pas quoi peu importe comme je l'ai dit en fait En fait, une femme forte, c'est pas une femme qui ne pleure jamais, qui n'a pas d'émotions, qui est froide, en mode coupée des émotions. Je l'ai cru à un moment donné, il y a de nombreuses années, surtout avant de me lancer en coaching, j'étais Non, mais moi je suis une femme forte, je pleure pas. Et en fait, non. Au contraire. Aujourd'hui, je pense vraiment qu'une femme forte, c'est une femme aussi qui accepte ses émotions, qui ose les vivre, qui ose plonger dedans, vraiment en mode... Ouais, je sais pas, j'ai l'image d'une sirène qui saute. Et qui dit, bon allez, boum, j'y vais dedans, je vais bien bouffer la merde. Je vais ressentir tout ce qu'il y a à ressentir, même si c'est dur, ça fait mal, mais après, une fois que c'est passé, c'est passé. Et ça me permet de tourner la page une bonne fois pour toutes. Moi, je suis plus du genre, j'arrache le sparadrap d'un coup, plutôt que j'y vais tout doucement. Je ne sais pas vous, au niveau de votre épilation, comment vous faites ? Oui, ça part très loin dans cet épisode. Mais genre, moi, je me fais le, comment on dit ? la lèvre du haut j'aime pas dire la moustache mais vous avez compris quoi, je me fais tout moi-même et donc du coup, je parle bien du visage qu'on soit d'accord est-ce que, je sais pas si tu le fais ou si tu vas chez les céticiennes bon bref, peu importe, en tout cas les céticiennes elles sont celles qui décident mais elles te font ça d'un coup est-ce que toi t'es du genre à le faire tout doucement, moi franchement je suis là, je fais mes yeux, je fais 3 2, 1, toujours rien bon allez on repart bon bref, j'arrache le cou d'un coup ferme et je pense que dans la C'est quand même vraiment pas mal ça. Moi je préfère en tout cas que ça aille vite plutôt que ça dure encore et encore. J'aime pas que les choses elles traînent. Donc voilà. Ensuite une femme forte. Oui donc ça je l'ai dit. J'ai enchaîné rapidement. Donc c'est une femme qui accepte ses émotions, qui sait les gérer et qui reprend le dessus avec son mental. C'est-à-dire qu'elle va vivre ses expériences, elle va... Ouais c'est une expérience. Elle va vivre ses émotions Elle va les comprendre, elle va les analyser, elle va... comprendre le message qu'il y a derrière l'émotion, parce que sachez que les émotions, elles ne sont pas là pour rien, elles ont un message, et le message, c'est un besoin qui n'est pas satisfait lorsque l'on parle d'une émotion dite un peu négative. Quand tu es dans la joie, ça veut dire que le besoin, il est satisfait. Quand tu es triste, en colère, déçu, frustré, etc., ça veut dire qu'il y a un besoin insatisfait derrière. Donc, c'est aller creuser tout ça, aller se poser ces questions. Et puis... Allez, satisfaire ses besoins. C'est pas, ah bah en fait j'ai remarqué que j'avais besoin de ça, et puis ça s'arrête là, bah non, derrière on enchaîne. Et quand tu as répondu à ton besoin, tu vas voir la différence, comment tu te sens. Et là, tu prends ta vie en main. Et là, t'as un mental de gagnante qui va de l'avant, tu vois. Et donc tout à l'heure, j'avais cette idée-là, une guerrière, elle est capable de dépasser ses peurs. Ah oui, mon truc c'était quoi ? Je me disais, comment est-ce que... On dépasse ses peurs, ouais. En fait, je vais aller là-dessus. Donc, je fais une aparté là-dessus. En fait, je suis sortie du paragraphe. Donc, comment est-ce qu'on dépasse ses peurs ? Tout simplement en travaillant sur son mental. C'est vraiment, en fait, c'est de l'auto-coaching quand on est avec soi-même. C'est sûr que c'est plus difficile quand on est tout seul que lorsqu'on se fait coacher, par exemple, ou lorsqu'on est avec des amis, peu importe. Donc, on va dire qu'on est tout seul face à une peur. Qu'est-ce qu'on fait ? Eh bien, là... on va se rassurer. En fait, c'est bien d'imaginer le pire. Si tu imagines le pire, parce que je sais qu'il y a un tas de nanas qui sont pur scénario catastrophe. Donc si le scénario catastrophe arrive, qu'est-ce que je fais ? Ok, c'est la merde, il s'est passé ça, ça et ça. Ok, quelles ressources j'ai en moi pour aller de l'avant ? Si jamais il se passe ça, qu'est-ce que je fais ? Et en fait, le fait de réfléchir à ça, ça permet d'atténuer... la peur, parce qu'en fait il y a de la peur lorsque il y a de l'inconnu C'est souvent quand je ne sais pas ce qui va se passer. Genre, je viens de me faire quitter, j'ai trop peur de finir seule. Ok, tu as peur parce qu'en fait tu ne sais pas de quoi demain est fait. Mais si tu commences à te dire, ok, je vais faire ça, ça et ça de mon temps. Je vais mettre ça en place. J'en peux plus de mon boulot, du coup je vais me lancer dans un bilan de compétences. Et voilà, le fait de mettre des actions en place, de remplir en fait cette zone inconnue, ça permet direct de se détendre et aussi donc de se rappeler les ressources face aux difficultés que l'on peut avoir. Et puis après, il y a tout cet auto-coaching, donc de travailler. sur les croyances qu'on peut avoir, parce qu'on est rempli de croyances, où on se dit, non mais, je sais pas, je serai jamais heureuse, parce qu'on est toujours tombé que sur des bouffons. Exemple, je dis des bouffons, mais ça se trouve, c'est des mecs très bien avec Donana, enfin bon, vous avez compris. C'est un petit peu pour rire. Mais on va dire avec des mecs pas cool, qui vous ont pas forcément bien traité, c'est ça que je voulais dire. Et du coup, vous vous dites je serai jamais heureuse. Bon, ça, on est clairement dans une croyance, et dans une fausse croyance, parce que dès qu'il y a du toujours ou du jamais, c'est faux de suite. On sait très bien que la vie est remplie de surprises, de choses très belles, et que personne n'est capable de mettre sa main à couper, de se dire non, bien sûr que je serai malheureuse toute ma vie, et je mets mon bras à couper. Bah non, on espère bien sûr au fond que ça va bouger. Et si on se bouge, ça bouge. Quand on bouge soi-même, il y a tout notre environnement qui bouge. Donc, qu'est-ce que je fais avec mon mental ? Je l'entretiens. J'arrête de me dire que je suis nulle, que je ne suis pas assez, que je n'y arriverai jamais, que je ne suis pas capable. On arrête avec tout ce blabla qui ne sert à rien. Parce qu'à quoi ça te sert de te parler de cette manière ? À rien. Donc... on est là si je suis capable si parce que si tu te dis ça et que tu n'y crois pas encore une fois tu viens me voir et je vais te montrer tout ce dont tu es capable dans ta vie ça tu peux te le dire toi ok, non moi je ne suis pas capable et bien pose toi cette question qu'est-ce que tu as déjà fait de bien dans ta vie de quoi es-tu fière et donc entretenir ce mental moi avant, à l'époque quand je passais des entretiens d'embauche ou quand je fais des choses qui sont challenges je suis là en mode je me mets je suis une warrior dans ma tête je suis capable, je vais y arriver certes ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas de doute bien sûr je me dis peut-être que je vais me foirer notamment quand je parle en public par exemple que je déteste ça et pour autant je suis là Ok, je focalise mon attention sur le positif. Vraiment, parce que sinon, on se met à crouler. C'est vraiment ce truc de, qu'est-ce que je fais ? Est-ce que je décide de voir le vert à moitié vide ou à moitié plein ? Est-ce que je vois blanc ou est-ce que je vois noir ? Donc, c'est toi qui décides de là où tu... C'est toi qui choisis, voilà. C'est vraiment un choix qui décide là où tu mets ton attention. Sur ce qu'il te manque ou sur ce que tu as. en plus. Tu vois par exemple là, quand je parle sur des épisodes de podcast ou je sais que j'ai pas une super éloquence de la nana qui parle ultra bien c'est quelque chose que j'envis chez les gens et je le travaille, c'est pour ça que je me mets de plus en plus à par exemple faire des podcasts où j'essaye de faire de trame pour me forcer à parler de manière fluide, etc et plus je le fais, mieux je me sens et tu vois d'ailleurs je perds le fil, etc C'est vrai, mais pour te dire que je sais que j'ai des forces, je sais que j'ai des faiblesses, voilà, comme je l'ai dit là, je me perds, ou encore, c'est des pertes à moitié de mémoire, ou en mode, qu'est-ce que je viens de dire, je ne sais plus. Et en fait, qu'est-ce que je fais quand je prends la parole comme ça ? Il y a une fois, j'ai parlé devant 400 nanas, bon, c'était certes en ligne, donc ça faisait beaucoup, beaucoup moins flipper. Mais pour autant, je peux te dire que je me suis... laver le cerveau avant de me lancer parce que j'étais le cœur qui bat à mort et pourtant je voulais le faire pour me prouver que j'étais capable parce que je sais que cette fierté après avoir fait les choses c'est c'est génial et donc quand je me challenge comme ça je fais des trucs qui me... à moitié qui m'en presque malade parce que je suis pas une anna extravertie je suis quand même assez introvertie et bon bref et donc du coup est-ce que je vais me dire non mais de toute façon Jessica Tu vas avoir des gros blancs, tu vas oublier ce que tu dis. tu vas bégayer à moitié, où est-ce que je me dis, allez, tu as un message à faire passer, tu vas y arriver, voilà, tu vas faire passer des émotions, tu vas faire ci, tu vas... Voilà, je vais me focaliser sur le positif, sur mes forces. Et donc ça, c'est important que tu le fasses. Bon, allez, on enchaîne. Du coup, comment est-ce qu'on fait pour avoir un mental de guerrière ? Alors, comment est-ce qu'on fait pour avoir un mental de guerrière ? Déjà, on fait de son passé une force. C'est-à-dire que j'entends tellement de femmes dire que oui, mais si elles sont comme ça, c'est à cause de leur passé. Mais en fait, elles ne voient que le négatif. Alors qu'en fait, je suis certaine que derrière ce qu'elles ont vécu, enfin derrière ce que vous avez vécu, il y a de quoi en faire un joli cadeau et vraiment aussi avoir une sorte de bénédiction pour ça. Parce que ça fait... c'est vous en fait, ça vous a permis d'être vous, d'être unique, d'avoir des tonnes de choses à raconter, d'être cette femme extraordinaire. Et je pense vraiment que c'est hyper important de capitaliser sur ce qu'on a vécu, même si on s'en serait bien passé, même si on n'a pas eu l'enfance qu'on aurait voulu, si on a été énormément blessé, si aujourd'hui on a peur de ci ou de ça, c'est parce que dans notre enfance... qui a vécu ça. Moi, aujourd'hui, par exemple, par rapport à l'histoire que j'ai vécue, où mes parents sont séparés très jeunes, vers l'âge de 5 ans, ma mère a enchaîné les relations, elle a fait des très mauvais choix, elle était dépendante affective, c'était les hommes, les hommes, les hommes, et puis sa fille... ça avait beaucoup beaucoup moins d'importance où moi je me suis sentie hyper délaissée enfin ça a duré très très longtemps aujourd'hui j'en suis contente parce que peut-être que c'est ça aussi qui fait que j'ai décidé d'aider les femmes à se sentir tellement bien dans leur peau pour ne pas faire vivre ça à leur enfant parce que j'ai tellement vu sa souffrance aussi à travers sa manière de se comporter et que moi Elle m'a terriblement fait souffrir aussi. Que du coup, il n'y a rien sans rien en fait. Peut-être que je ne serais pas devenue coach. Peut-être que moi-même, si je n'avais pas vécu ça, si je n'avais pas vu ma mère comme un... C'est un peu horrible, mais bon. Comme un exemple à ne pas suivre. Peut-être que moi-même, j'aurais été dépendante affective si je n'avais pas eu cet exemple-là. Donc en fait, ça dépend. Dans la vie, tout est une question d'interprétation. Comment est-ce que je perçois les choses ? Est-ce que... J'en vois toujours... Est-ce que je vois uniquement le mal ou est-ce que j'en vois du positif ? Donc ça, c'est important, je pense, de choyer son passé, de se pardonner aussi pour des erreurs qu'on a faites, s'autoriser à aller de l'avant, s'autoriser à être heureuse, même si on s'est senti mal pendant de nombreuses années, si on ne s'est pas senti aimé ou quoi que ce soit, voir son passé comme un tremplin en fait. Pas comme une espèce de gouffre qui va venir t'aspirer dans le fin fond du méandre. Non, c'est un tremplin pour du mieux. Et après moi, je trouve que c'est important d'avoir cette mentalité-là aussi, c'est-à-dire d'avoir cette capacité à encaisser les épreuves, à encaisser la merde, parce que des fois, il faut le dire, on se sent pleinement dans la merde. Et en fait, d'avoir de la gratitude pour ça. Je l'ai déjà dit dans le podcast, mais pour celles qui ne l'auraient pas écouté par exemple, moi je suis partie en Australie, j'avais une vingtaine d'amis, et donc j'étais fille au père, et au bout de 15 jours dans une famille, cette famille décide en fait de me dire non non mais en fait ça va pas le faire, donc voilà en fait part. Donc là t'as 20 ans, t'as fait 20 000 bornes, t'étais censée passer 6 mois dans cette famille-là, et là tu te fais dégager. Ok, donc ça a été sûrement difficile à encaisser, enfin parce que ça faisait un petit peu peur quoi. Même si c'était pas forcément une famille très bienveillante. Mais je me rappelle très bien ce sentiment où en fait j'avais envie d'être dans la merde. C'est-à-dire que je voulais les enchaîner. Alors que sur le moment, c'est dur, bien sûr. Et je les ai enchaînés. Le Seigneur m'a entendu. Il a dit, t'inquiète-toi. On ne va pas se louper. Et en fait, pourquoi je voulais être dans la merde ? Je voulais me prouver que j'étais capable. Et c'est là où je te dis que tout est une question d'interprétation. Et surtout de faire de ce que tu vis une force. C'est-à-dire que même si c'est hyper dur. de dire punaise j'ai réussi à dépasser ça mais je suis capable et en fait moi ça ces expériences là où je me suis retrouvée seule où en fait je pouvais compter que sur moi même bah ça m'a permis d'avoir une confiance en moi mais en béton alors que c'était la misère parce que ça n'a pas été la seule fois où je me suis fait Enfin, bon, il va falloir que je vous explique, parce que sinon je vous dirais, non mais la nana, elle se fait gérer de partout, il y a un problème avec elle. Donc bon, il y a eu cette première famille-là, mais voilà. Bon, je ne veux pas rentrer forcément dans les détails, mais de toute façon, ils m'ont bien escroqué. Enfin bref. Et donc, après, j'ai retenté, parce que moi je continue, parce que c'est quand même la troisième fois où j'étais au père. Une autre fois en Espagne, et ça a été... Je n'ai pas de chance en tant qu'au père. Je tombe toujours dans des familles hyper farfelues, mais vraiment chaud bouillant. et donc cette troisième fois tout se passe bien maison trop belle, piscine, voiture trop cool et en fait je leur dis trois semaines avant pour qu'ils puissent se retourner bon là-bas c'est un pays en Australie où c'est hyper facile de trouver des opères tu claques des doigts t'en as une nouvelle qui arrive et donc du coup j'avais prévenu trois semaines avant, je voulais pas le faire trop tôt parce que je me suis dit, ils vont le savoir, ils vont me dégager parce que ah bah voilà, pour anticiper et ça a été le cas, c'est à dire que une semaine après que je l'ai annoncé, bah il m'a dit bon bah voilà, merci, au revoir d'accord, donc je me suis retrouvée à la rue alors que je devais partir en fait en voyage à travers l'Australie donc en fait j'ai vraiment enchaîné, vraiment vraiment, presque je devrais faire un podcast sur mes histoires d'opères parce que c'est ça pourrait vraiment vous faire rire. Ensuite, c'est de positiver. Je sais qu'il y a tout un truc qui dit On n'est pas dans le monde des bisounours, il faut arrêter de positiver. Mais c'est quand même hyper important. Des fois, c'est bien. On a envie de bouffer la merde, de se dire C'est la merde, la merde, la merde. Ok. Mais à un moment donné, il faut quand même se dire qu'au bout du tunnel, il y a quand même de la lumière. Ça, c'est important de garder en tête qu'il y a de la lumière. Que ça va aller mieux. Que nos émotions, elles passent, elles ne durent pas. Que le meilleur reste à venir. On se dit que ça va aller mieux. Positiver, même si c'est difficile, même si tu ne te sens pas bien, ça va passer. Tu ne vas pas rester éternellement comme ça. Ensuite, on entretient sa confiance en soi. C'est-à-dire que la confiance en soi, c'est différent de l'amour de soi et l'image de soi. On est vraiment dans le fait de faire, de passer à l'action. Donc voilà, on se met des coups de pied au cul. On y va, on ose, même si ça nous coûte, on sort de sa zone de confort, même un tout petit peu. En fait, au début, on va à peine oser et puis après, au fur et à mesure, on va gagner en confiance. Donc ça, c'est important. Et c'est bien de célébrer ses réussites. Vraiment, la confiance en soi, elle se nourrit d'actions et de réussites, même microscopiques, mais un peu. Ensuite, il va falloir reconnaître ses points forts. Se dire, en fait, j'ai ça, ça, ça et ça. Je suis une femme bien parce que... Je mérite le bonheur, je mérite d'être heureuse en couple parce que voilà tout ce que je peux apporter dans une relation. Ensuite, on apprend à gérer ses émotions, son énergie. Les émotions, on ne se laisse pas... On peut, mais dans ce cas, c'est un choix. Vraiment, moi, je suis pour de se laisser submerger par ces émotions. On a envie de pleurer, on pleure, on a envie d'en rajouter, on en rajoute, mais en conscience, vraiment. Là où c'est pas ok, c'est quand on a perdu tout contrôle. Non, toi, tu es plus forte que tout, tu es plus forte que tes émotions. Et du coup, on fait en sorte de se faire du bien. Donc ça, c'est... On va se faire des petits plaisirs, on va prendre soin de soi, on va se prioriser. Ce qui est important aussi, c'est de faire du sport. Moi, quand je fais du sport, que je me muscle, que je me renforce, en fait vraiment, je pense que la guerrière, bon, en tout cas, moi ça m'aide. C'est-à-dire que quand je me sens solide physiquement, que je suis musclée et pas molle, j'ai encore plus confiance en moi. Et je pense que c'est un tout. C'est comme si, moi et mes exemples, genre tu te fais un super bon plat, on va dire, je sais pas... un poulet au curry et dont t'as fait une super sauce qui est trop bonne le cuit très bien cuit et par contre le poulet il est cru ben ça va pas ça veut dire que ton plat il est pas assez bon enfin il va pas être bon il est pas mangeable alors que tout le reste est bon ben là c'est pareil en fait vraiment il faut à la fois prendre soin de son mental mais aussi de son corps plus tu vas te renforcer physiquement, plus tu vas te sentir forte. Et le fait aussi que tu te dépasses au sport, que tu fasses des choses qui te font mal, parce que faire des squats, ça ne fait pas du bien, soulever des charges, ça ne fait pas du bien, ça fait mal, et bien en fait, tu apprends à ton corps à encaisser la douleur et à poursuivre quand même, à aller de l'avant. Et ensuite, quand tu te mates à la glace, tu fais, hum, ça commence à bien se dessiner, ah ben si, ah ben là... Tu vois la fierté que tu peux avoir. Et bien c'est pareil, pour le mental de guerrière, tu dois prendre soin des deux. Quand tu vas voir de quoi tu es capable quand tu entretiens ce mental... ça vaut tout l'or du monde tout simplement bon j'espère que cet épisode t'a plu si ça a révélé des besoins des blocages, des peurs, des difficultés où tu te dis non mais j'ai envie vraiment mais je m'en sens pas capable seule je sais pas comment faire je sais pas par quoi commencer je te mets tous les liens dans la description pour me contacter je propose des appels découvertes c'est à dire qu'on parle de ta situation, de ce que tu vis, de ce que tu voudrais. Et on voit s'il y a un feeling, parce que c'est hyper important, pour tout simplement que je t'aide à atteindre tes objectifs, qu'on crée une sorte d'alliance toutes les deux. Et donc du coup, on valide tout ça. Et puis après, let's go ! En tout cas, je te mets toutes les informations en bas sur mon programme, qui est juste ou-fi-sim. Franchement, j'ai des... retour de malade en mode tu mérites un Oscar ton accompagnement incroyable vous avez tous les avis sur ma page Instagram il y en a aussi sur ma page Google et Elixir de Confiance et même sur mon site internet vous pouvez aller voir, franchement c'est une dinguerie, surtout que là je me suis formée à une nouvelle pratique le breastwork et je fais tout ça pour vous, pour encore mieux vous accompagner Et je crée une transformation à 360 degrés, à la fois à travers votre mental et votre corps. C'est une technique de fou, le breastwork, où je peux dire vous allez reconnecter avec qui vous êtes, vous allez lâcher prise. Vous allez vous découvrir sous un nouvel angle et vous sentir encore plus puissante. Et d'ailleurs, venez bien toutes, vous restez abonnés ici. Enfin, abonnez-vous déjà à mon podcast. Abonnez-vous à ma page Instagram. Je lance entre aujourd'hui, enfin, du coup, vous allez avoir demain l'épisode. À la fin de la semaine, je programme une séance de breastwork de groupe avec des musiques endiablées où je vais vous faire respirer comme jamais ça va être le thème femme puissante, girl power 30 euros la séance ça va être ouf séance d'une heure et demie en groupe et vous allez vivre une véritable expérience restez connectés, dès que c'est fait que j'ai le lien, de toute façon je le mettrai sous l'épisode, voilà je vous embrasse très fort entretenez votre mental de guerrière oui, vous êtes des femmes fortes, vous l'êtes toutes vous devez juste vous autoriser à l'être