Speaker #1Hello mes poupées, j'espère que vous allez bien, on se retrouve pour un épisode qui me tient énormément à cœur, puisque là je vais vous parler de mon histoire, de ce que j'ai vécu, et ça va vous permettre en fait de voir la dépendance affective à travers un autre regard, pas le vôtre, pas celui de la personne en fait qui est pleinement concernée, mais vraiment à travers d'une personne qui va subir la dépendance affective de quelqu'un d'autre. Parce qu'on pense que... on est l'unique victime dans l'histoire qu'on est la seule personne à ressentir un mal-être alors qu'en fait, autour de vous, il y a plein de personnes qui souffrent. Il y a en effet celle qui est dépendante affective mais en fait, très souvent, elle devient aussi toxique pour les autres qui l'entourent. En fait, ta dépendance affective va déteindre, va avoir une incidence sur tout le monde autour de toi. Sur tes amis, sur ta famille et sur ton chéri, etc. Tu n'es pas la seule à souffrir, c'est ce que tu penses. Et donc du coup, j'ai vraiment envie de te montrer un autre regard à travers ça. Parce que moi j'ai toujours tout fait pour ne pas être dépendante affective. Des fois j'avais des comportements naturels qui pouvaient pousser légèrement à le sous-entendre. Mais j'ai tellement voulu... Et souhaiter du plus profond de mon cœur de ne jamais être comme ma mère. D'être dans cette dépendance qui te dévaste en fait. Qui est une terrible souffrance. Que en fait je me suis créé un mindset, je me suis créé une force. Vraiment je me sens un peu comme une guerrière en mode non. Vraiment tu vois c'est non je ne veux pas être comme ça. Parce que je sais à quel point ça fait mal. pour la personne qui le vit, pour la personne qui le subit aussi, donc c'est-à-dire tous les gens qui sont autour. Et aussi parce qu'en fait, l'ayant vécu moi, enfin, ayant vu ma mère, et puis ça a eu aussi... En fait, je vais vous raconter un petit peu des scènes, comme ça vous allez sans doute mieux comprendre. Mais comme j'ai vu ma mère en souffrir et que ça a eu une incidence sur moi, je veux pas... que vous reproduisez ça avec vos enfants, votre fille et si vous arrivez à casser ça, la dépendance affective ben en fait c'est toutes les générations futures qui vont être impactées et libérées en fait parce qu'en fait votre manière d'agir avec votre fille avec vos enfants et ben ça va, vos enfants vont faire la même chose, généralement on fait quoi ? On reproduit ce qu'on a vécu moi heureusement, je les dis non J'ai tellement souffert de ça, je ne veux pas être comme ça. C'est une miette, c'est terminé. Et donc je suis ravie finalement, même si j'en ai beaucoup souffert de la dépendance affective de ma mère, d'avoir vécu tout ça parce que sans doute que, enfin pas sans doute, c'est pas non plus, mais je veux dire que si je ne l'avais pas vécu de l'autre côté en fait, bah peut-être que je serais tombée dedans. Donc de toute façon je pense que rien n'arrive par hasard. Et qu'il faut remercier chaque expérience de la vie. Et je crois au fait qu'on ne choisit pas nos parents par hasard. Je sais que, sans doute, pour certains, vous allez les détester pour X raisons. Mais en vrai, s'ils n'avaient pas été comme ça, peut-être que vous n'auriez pas pris conscience de ça. Vous n'auriez pas été comme ça. Et je peux vous dire que j'ai fait du chemin pour vous dire ça. Parce que, putain, j'ai été malheureuse aussi. Vraiment, j'ai beaucoup souffert. J'ai senti une solitude malade dans ma vie. vraiment j'ai quand t'es fille unique que t'as ta mère qui tu vois j'ai le terme là c'est assez dur mais qui t'abandonne d'une certaine manière putain t'es doublement seule quoi c'est quand même assez pesant en fait t'as personne qui est là pour toi alors je te dis ça mais bien évidemment que ma mère était là pour ben finalement pas financièrement mais je veux dire elle m'a toujours très bien amie et matériellement en fait elle m'a bien nourrie elle a vraiment pris soin de moi, je faisais du sport En vrai, c'est une femme qui est tendre, qui a beaucoup d'amour, qui est généreuse, qui a une main incroyable sur le cœur. Mais elle a tellement que... Enfin, je ne demandais pas de choisir quand tu étais jeune, mais je veux dire, j'ai eu l'impression, moi, d'avoir... Alors, je sais aujourd'hui que oui, l'amour est infini, qu'on en a pour tout le monde, que ce n'est pas en mode part de gâteau, chacun a une part, etc. Mais là, ce que je ressentais à l'époque, et parfois ça peut aussi m'arriver encore, parce qu'elle est toujours dépendante affective après 30 ans ou plus, c'est que j'avais l'impression d'avoir une part infime qu'elle attribuait. Enfin pardon, je ne vais pas parler en ce moment, je suis très fatiguée. Elle avait beaucoup d'amour, enfin elle a beaucoup d'amour pour ses compagnons. Et en fait pour sa fille, c'est au détriment. Elle n'a jamais priorisé sa fille. Elle met toujours en avant l'amour. Le fait de passer du temps avec son conjoint. Et puis s'il lui en reste ou s'il est occupé, c'est beaucoup ça. Et bien du coup là... elle a du temps pour sa fille et ça ça a été tellement dévastateur pour moi de ressentir tout ça c'est comme tu vois les selles et peut-être tu vas te reconnaître et je suis navrée sans être navrée parce que moi ce que je veux c'est que tu prennes confiance de tout ça mais tu vois quand t'as des amis autour de toi et en fait que tu souhaites juste passer tout ton temps avec ton mec et que tu n'as plus de temps pour tes amis que toi tout ce que tu vois c'est ton mec ton mec ton mec Mais tu peux pas faire ça en fait. Abandonne pas les autres juste pour ton mec. Oui l'amour c'est important. Oui certaines vont dire oui mais on construit pas une famille avec ses copines. Non mais on t'a pas dit de passer 7 jours sur 7 avec tes copines. Mais passer une soirée ou une fois tous les 15 jours ou une fois par mois une super soirée avec tes amis. Ça va pas te tuer en fait. Et donc du coup, je vais essayer de revenir un petit peu, de faire un fil au niveau des relations pour éviter de trop me perdre, pour déjà vous raconter. Et peut-être que vous allez vous voir à travers le comportement de ma mère. Et bon, on verra bien en tout cas. En tout cas, si vous avez envie, après l'épisode de podcast, de me faire part de tout ce que vous avez ressenti, de comment vous avez vécu. cet épisode, est-ce qu'il y a eu des prises de conscience ? Enfin, franchement, j'apprécierais énormément et pour moi, ce serait gagné, quoi, parce que je pense vraiment que... Eh ben, je savais pas que ça allait être un épisode qui allait m'émouvoir autant. Ah, ça va être compliqué, cet épisode. C'est quand je me sens autant émue comme ça que je me dis, ouais, en fait, je me suis pas trompée de métier, quoi. Ouais, c'est... Ok, alors, donc du coup, donc moi j'étais, donc mes parents se sont séparés quand j'avais 5 ans. Je ne suis pas du tout le genre de fille à dire, oh là là, mon père, le prince charmant, il est incroyable. Malheureusement, je n'ai pas connu ça. Je n'ai pas eu une super belle relation avec mon père. C'est un homme qui est quand même plutôt froid, qui est très auto-centré. Et voilà. qui ne s'est pas forcément aimé. Ça fait trois ans qu'il ne t'a pas vu. Il va juste claquer une bise tranquille. Il n'est pas du tout chaleureux, mais alors, rien au monde. Et puis c'est lui, juste lui. Il a des vieilles habitudes de vieux. Ça fait des années et des années qu'il joue au tiercé. Et là, pour mon mariage, il a quand même osé me dire Ah, il n'y a pas un PMU à côté de chez toi ? Il n'y a pas un PMU ? On se voit un jour et demi en un an et tu vas aller faire un PMU ? Enfin, tu vois, c'est particulier, quoi. C'est vraiment lui, son truc, sa bulle, tout ça. Bref, donc avec ma mère, ça n'a jamais été l'amour fou. Aujourd'hui, elle me dit que... Je ne sais pas si elle l'a vraiment aimé. Voilà, je... Elle me l'a dit aussi, elle avait envie de se marier, elle avait envie d'avoir un homme. Et puis, du coup, ben voilà, c'est... Il est bien, il est beau. C'est un bel homme qui était musclé, qui avait une bonne situation, il faisait le même métier. Il s'habitait dans un plaid, donc il n'y avait pas non plus 20 milliards de possibilités si tu avais envie de construire quelque chose avec quelqu'un. Et je pense que ça joue aussi. Donc bref, je ne la vois pas du tout épanouie avec lui. Puis même elle quand elle me le dit, il passait trois semaines sans se parler. Moi quand il se faisait la gueule, il ne me parlait plus non plus. Enfin, c'était... Ouais, bon, pas très très particulier, donc moi en vrai, bon, j'en ai pris conscience que plus tard, parce que quand t'as 6 ans et que tes parents se séparent, t'es au fond du gouffre, mais aujourd'hui, mais Dieu merci, parce que sinon, ça aurait été encore plus compliqué que ce que ça ne l'a été. Et donc du coup, après ça, elle s'est mise avec un homme qui s'appelle Alain, qui était juste un enfer sur pattes, un monstre. pareil, je ne sais pas pourquoi elle a le malheur de trouver des mecs qui sont auto-centrés, qui ne pensent qu'à leur tronche. Mais en fait, tu vois, là, en y pensant, ça ne m'étonne pas du tout, parce qu'elle, elle est tellement dans la générosité d'être toujours pour l'autre. De toute façon, elle veut tellement bien faire, parce que voilà, elle veut que son homme, il reste là et surtout ne tourne pas le regard, tu vois. Et bien en fait, le fait, enfin, un homme ne pourrait pas s'intéresser à elle si elle était différente, en fait, dans le sens où, Pas ces hommes-là, je veux dire. Elle a besoin... Enfin, je ne sais pas comment exprimer le truc, mais je veux dire que comme elle, elle met les hommes sur un piédestal, qu'elle est hyper généreuse, lui, il lui faut une sorte de... Au vu du comportement de... Des comportements de ces mecs, il leur faut une groupie. Tu vois, quelqu'un qui les prône, qui les met en avant, qui les valorise. Et ma mère, et c'est bien aussi de le faire, je ne dis pas, mais c'est ça, c'est beau. Franchement, c'est beau de valoriser son homme. Mais le problème, c'est qu'elle, elle se valorise, elle le valorise au détriment d'elle-même. C'est vraiment, je te mets... C'est des hommes qui ont une soif de reconnaissance. Tout ce qu'elle a choisi, ils ont ce besoin-là. Donc, de toute façon, on ne se met pas avec n'importe qui. Ce n'est pas par hasard. C'est que chaque personne vient combler un truc chez nous. Et c'est ça qui crée aussi, parfois, cette dépendance. Même si, bizarrement, tu vois, tous les hommes qu'elle a choisis, elle qui est dépendante affective, n'ont pas apprécié sa dépendance. Bon, de toute façon, de manière générale, à part où vous pouvez être très perturbés mentalement, mais les hommes n'aiment pas les femmes qui sont dépendantes. Ils aiment, en fait, d'une certaine manière, de se sentir adulées, de se sentir aimées, de se sentir valorisées, mais... Le côté je te pète les bonbons à cause de ma dépendance affective, parce que oui, c'est ça, à ça ça ne plaît pas, ça ça saoule. Donc de toute façon il y a toujours un revers de la médaille, mais en tout cas sachez que la dépendance affective, elle détruit 80% des couples. C'est une des premières causes de rupture. Donc c'est vraiment important d'aller à la racine, d'aller la travailler. Cette foutue dépendance affective parce que c'est vraiment un poison. C'est un poison. Pour toi, pour l'autre, pour tout le monde. Vraiment, tout ce qui t'entoure, c'est un poison. Donc il faut vraiment la réguler au maximum. Parfois, la dépendance affective, ça peut en devenir un trait de personnalité. Et donc ça peut être compliqué à gérer. Mais en tout cas, ça se retravaille. Il faut aller défaire toutes les croyances, changer le regard que tu portes sur toi, enfin... Bon, de toute façon, j'ai fait d'autres épisodes de podcast que tu peux aller voir si jamais ça t'intéresse, ce sujet de dépendance affective. T'as le numéro... l'épisode numéro 28, 29, 30, 43, qui parle de la dépendance affective. Et... voilà. Donc, du coup... Je reviens un petit peu à mes moutons. Donc, bon, mon père, pas un homme ouf. L'autre, c'était encore un plus gros monstre. Et en fait, moi, j'en ai terriblement voulu à ma mère de voir à quel point c'était un homme odieux et de rien faire. De vraiment avoir ce comportement-là de soumise. Tu vois, j'aurais tellement voulu avoir une mère qui... Le mec, il me forçait, il me laissait à table jusqu'à 3h, 3h30 de l'après-midi. Il me forçait, mais au point d'en être violent aussi, quoi. Mourir la bouche de force, enfin, parce que j'ai toujours détesté la viande. Et ma mère, en fait, faisait en cachette. Ça, c'était mignon, entre guillemets, mais elle n'aurait même pas dû à le faire, en fait. Tu n'es pas mon père, tu n'as rien à me dire. Et donc, du coup, en fait... De se sentir toute petite alors que c'était elle, ma mère, qui devait tenir les rênes, en fait. C'est elle qui décide ce qu'elle veut faire avec sa fille. Et là, de laisser un homme que je détestais, en plus de ça, j'en ai terriblement voulu, en fait. Et en plus de ça, qu'elle était à présent, que c'était toujours les hommes. Et en fait, j'ai jamais forcément aimé ça. Elle est en adoration. Elle vénère. Vraiment, j'ai ce sentiment-là quand elle regarde un homme. Là, tu te diras, mais la chaleur... C'est pas de la jalousie quand je sens ça. En fait, je trouve ça triste parce que j'aimerais que... elle s'honore davantage elle en fait et je pense que chaque être humain, homme, femme doit d'abord s'aimer vraiment soi-même se mettre en valeur, enfin se valoriser prendre soin de soi d'abord pour pouvoir prendre soin des autres en fait, on n'est pas en relation pour s'oublier c'est pas soit je suis en couple je suis en train je mets mon homme sur un piédestal, je fais tout pour lui, et moi je m'oublie, et par contre quand je suis célibataire, ah bah là je prends du temps pour moi, mais non en fait, tout peut se faire en parallèle, c'est pas soit l'un soit l'autre, et puis ça crée vraiment des relations qui sont hyper malsaines de faire ça, non c'est une relation saine, c'est je suis bien dans ma peau, je suis bien avec moi-même, je soigne ce qui est à soigner à l'intérieur de moi, je prends soin de moi. Je remplis aussi mon réservoir d'amour, c'est-à-dire que je me traite bien, que je me valorise, que je me choisis. Et puis, en parallèle de ça, je traite aussi bien mon partenaire. Mais c'est pas en mode, je fais tout pour mon mec et puis je fais plus rien pour moi, quoi. C'est pas possible. Et donc, ben voilà, après il y a eu... Donc cet homme, ça s'est terminé avec ma mère quand j'avais 12 ans. Il l'a quitté et là ça a été une... La révolution dans ma tête, ça a été une joie, un sentiment de liberté comme c'est la première fois que je l'ai vraiment vécu. Je me suis sentie bien libre et ça y est, j'allais pouvoir être libre d'être moi-même parce que j'avais le droit de ne rien faire. Et j'étais mal. Et donc du coup, après, ma mère a connu d'autres partenaires et puis moi j'ai grandi, donc j'ai encore plus conscientisé tout ça. Et ce que je n'ai pas dit, c'est que ma mère est très très très jalouse. En fait, dès que j'avais le plus jeune âge, quand elle s'est mise avec ce fameux Alain, quand j'avais 6-7 ans, elle me prenait avec elle pour aller l'espionner. Elle faisait une heure de route parce que lui, il allait retrouver son ex-femme parce qu'il avait deux filles avec elle qu'il voyait pendant les vacances scolaires, tout ça. Et donc du coup, elle m'amenait, on allait faire le... comment on dit ? On allait, bon bref, le surveiller pour voir s'il n'allait pas la tromper avec son ex-femme. Et ça, je m'en rappelle encore où on faisait les gays en fait. Et est-ce que tu penses que c'est sain de faire ça ? Comment, quel impact tu penses que ça peut avoir sur ta fille, sur ta future fille ? De voir en fait, de la mettre, eh bien évidemment que tu ne penses pas à ça quand tu es là-dedans, mais je veux dire... Là, moi, le but, c'est que je te montre un petit peu, que je te fasse prendre conscience des choses. Donc, quelle incidence ça peut avoir, en fait, sur ta fille, ta future fille, quand tu fais ce genre d'action-là ? Qu'est-ce que ça lui apprend sur la vie ? Qu'en fait, on ne peut pas avoir confiance en les autres. Tu ne peux même pas avoir confiance en ton propre amoureux avec qui, normalement, tu es censé être solide, quoi. Enfin, être...... Ils nouaient un peu l'un avec l'autre. Et quand tu la mets dans cette zone d'insécurité, imagine après qu'est-ce que ça crée chez l'autre, quoi. Ouais, franchement, c'est pas facile, quoi. Donc voilà, j'ai vraiment béni là-dedans, dans ces insécurités-là, dans cette jalousie maladive, parce que ma mère est jalouse maladive. C'est-à-dire que, par exemple... Donc après j'avais une vingtaine, 22, 23, un truc comme ça, 23 ans. Et en fait on avait une seule voiture pour deux et elle voulait que je l'accompagne. Elle était gentille, elle me laissait sa voiture. Et donc elle voulait que je l'accompagne chez son amoureux du moment là, qui était bipolaire. Bon je dis pas que les bipolaires n'ont pas le droit à l'amour, pas du tout, mais c'était vraiment une relation qui était très très très compliquée. Je me demande si elle a eu un jour une relation facile en fait. C'est ça le problème quand t'es dans la dépendance affective, quand t'as une faible estime de toi, c'est que t'attires soit des monstres, soit des mecs toxiques. D'où le travail qu'on fait en accompagnement ensemble, quoi, pour que, vraiment, t'aies un mec digne de ce nom, quoi. Bon, en tout cas, cet homme, il était quand même sympa, hein. Il était sympa, mais... Ah oui, du coup, je pense, tout ce qui me vient en tête. Ma mère était terriblement, donc, jalouse des autres femmes, des ex, et de moi. C'est-à-dire que je n'avais pas le droit, avec cet homme-là, de m'habiller comme je voulais. En fait, elle a senti que cet homme me regardait. Et je les sentis aussi. Et donc du coup, il était hors de question. Comme je n'avais pas le droit de m'asseoir à l'arrière, parce que lui, à un moment donné, en fait, j'étais en plus avec mon mec de l'époque, il s'était venu nous chercher, on était allés faire une croisière, et du coup, je ne sais pas pourquoi, lui s'était mis derrière, et moi, je ne sais pas pourquoi, peut-être l'ai c'est voulu. Ou pour qu'il ait plus de place pour ses jambes, enfin bref, j'en sais rien. J'allais me mettre à l'arrière, elle m'a regardée d'un regard. T'as pas le terrain de te mettre derrière, je te préviens. Vraiment, j'ai vraiment la jalouse. Et moi, je n'y pouvais rien de ressentir tout ça. C'était affreux, vraiment. Et donc ouais, ce que je te disais au début, j'étais partie sur autre chose. C'est que cet homme, il faisait souvent venir chez lui une femme de ménage. Et cette femme de ménage, qui est arrivée à 17h, 18h, je ne me rappelle plus trop, et bien du coup, ma mère devait aller regarder, checker, ou même être là, plutôt, au cas où il puisse se passer quelque chose, qu'il puisse se taper la femme de ménage. C'est chaud quand même. Et puis, il faut aller voir la tête de la femme de ménage. Enfin, tranquille, quoi. Autant, tu as une grosse bonasse, tu sais. Une belle brune, voluptueuse, belle blonde. Enfin, ok, mais là, elle n'était vraiment pas jojou. Enfin, tranquille, quoi. Ce n'est pas la petite fille au père. Petite jupe, voilà. Enfin, vraiment, en fait, ma mère, elle a peur de tout le monde. Et même des animaux, elle est jalouse. puisque là ils ont un chien mais quand il oui quand Oliya du coup elle s'appelle comme ça lèche son maître entre guillemets oh là là cata cata c'est la mais tu sais que j'ai déjà senti ça j'ai eu un sentiment aussi de jalousie avec mon chat parce que c'était constamment le mec il la caresse il la caresse et toi alors donc je comprends un petit peu mais voilà on est pas sûr euh le même ratio. Donc voilà, j'ai commencé un petit peu à comprendre. Et donc du coup, ma mère, ça a toujours été... Par exemple, quand j'avais 18 ans, 17 ans même, en fait, elle partait le soir à 18 heures direct après son travail et elle revenait le lendemain à 7h30 histoire de se préparer et hop, elle repartait au travail. Et en fait, c'était ça. C'est qu'il n'y avait aucun moment pour moi. C'était son mec, son mec, son mec. Peu importe le mec avec qui elle était, c'est toujours ça. Et un truc, par contre, qui m'a fait vraiment, grandement souffrir, c'est que bon, après, on avait chacune son appartement, tout ça, et moi, j'avais envie de voir, je ne sais pas, un après-midi, ma mère, un samedi après, tu vois, alors qu'elle vivait avec son mec. Et en fait, ben non. Les week-ends et les soirées, c'est consacré à son mec. Elle ne va rien faire d'autre. sauf si lui a prévu quelque chose sans elle. Là, oui, mais tu te sens quand même vachement comme une coup de secours. Et ça, en fait, je suis en est terriblement voulue. Genre, on pouvait faire des choses, mais à quatre. C'est-à-dire avec nos mecs. Mais non, en fait, moi, je veux juste être avec toi, aller passer un moment, faire... Je ne sais pas, viens un soir, on va quelque part. Non, non. Comme si c'était du temps perdu. Il y a aussi ce truc, c'est qu'elle est tellement jalouse, qu'elle a peur de plein de choses. C'est qu'elle a peur qu'il aille voir quelqu'un d'autre. Et donc du coup, elle ne fait rien. C'est son mec, son mec. Et en fait là, tu vois, par exemple, son mec, il est maintenant depuis un peu moins d'un an. Il est DJ, il se produit à droite à gauche. Donc lui, ça le met en lumière, tu vois. Et ça, elle a eu beaucoup, beaucoup de mal à l'accepter. Maintenant, bon, ben, il lui a donné cette mission, où du coup, ben, il la rejoint, et je pense que ça lui fait du bien aussi, parce que ma mère a un terrible besoin de reconnaissance. Tout le monde en a besoin, mais encore une fois, il faut jauger, quoi. Question de curseur. Et donc du coup, bon bah voilà, maintenant elle est un petit peu sur le devant de la scène, mais elle l'accompagne partout, ils sont non-stop ensemble, et jamais elle voudra faire un truc sans lui. Et ça, mais déjà je trouve que c'est la mort du couple. Tu peux pas faire ça, tu peux pas... Putain mais le mec, même mon mec il me l'a déjà dit, il me dit mais je pourrais jamais être avec ta mère en fait. C'est... toujours lui coller au bas, ce qui va rien faire. Genre il va dire oui, je vais aller chercher le pain, ah ben je viens avec toi. Mais punaise, c'est pas possible, laisse respirer quoi. Et le nombre de fois où ils sont disputés, je sais pas comment ils font pour être encore ensemble, c'est une catastrophe quoi. Pour moi c'est pas sain de vivre dans le contrôle de tout, de tout analyser, de voir toujours le pire, D'être dans une jalousie à ce point-là. Et ma mère est vraiment dépendante affective. C'est-à-dire que, bon ben là, il se voit H24. Mais même en se voyant H24, si lui, il part deux heures entre midi et deux, ou je ne sais pas quoi, ou quand il travaillait, il fallait qu'il lui envoie des messages. Et des messages, elle s'en fout de savoir comment ça va. C'est, je dis moi que tu m'aimes. Et ils n'en peuvent plus. Et moi, je peux comprendre, quoi. C'est épouvantable. Vraiment. Donc, bon, voilà, là j'ai essayé un peu de te peindre, j'ai des milliards de choses à raconter, mais ça fait déjà 27 minutes, je vais pas non plus t'assommer de mon histoire perso. Mais donc du coup, voilà, pour te dire que j'ai énormément souffert en fait de la dépendance affective, de voir que ma mère elle met toujours les hommes, n'importe qui, sur des pédestals, qu'elle s'oublie complètement, qu'elle est soumise, qu'elle s'adapte en fait. Tout ce que ces hommes aiment, elle aime. Genre, il était à fond dans la couterie. country, elle s'est mise à fond dans la country. En fait, elle peut pas avoir sa propre activité. Je lui dis, mais mets-toi, va faire de la... Comment on dit ? Bon, de la piscine. C'est pas la piscine, l'autre terme. De l'aquabike. Non, de l'aquagym. Voilà, l'aquagym. Va faire de l'aquagym et tout. Ça va être trop bien. Ben non, ben non. Elle va pas faire quelque chose parce que lui, il va en profiter pour faire sa vie, en fait. Et elle ne veut pas. qu'il fasse sa vie sans elle. En fait, je pense qu'elle a trop peur qu'il prenne du bon temps sans elle, que du coup, c'est non. Mais c'est pas ça, la sérénité. Et un homme a besoin de respirer. Vraiment. Et toi aussi, en fait, tu as besoin de respirer. C'est pas juste pour lui, on fait pas les choses pour lui, en fait, on fait les choses pour soi, en tant qu'être humain. Tu en as besoin, en fait, de penser à toi, de te considérer. Parce que quand tu prends pas de temps pour toi, en fait, qu'est-ce que tu renvoies comme message à ton cerveau ? c'est que t'en vaux pas la peine. Et ça, ça fait pas du bien à ton ego, en fait, à l'estime que tu es toi-même, quoi. Si t'as toujours besoin d'un mec, ben non, en fait. Donc, voilà, ma mère a toujours eu besoin d'un homme pour se sentir bien. Vraiment, je l'ai vue dans des états catastrophiques à cause du compagnon du moment. Et parce qu'en fait, elle, toute sa vie tourne autour du mec. C'est-à-dire que si le mec part, il n'y a plus rien. Sa vie devient fade, parce qu'en fait, c'est lui qui va égayer sa vie. C'est lui qui va mettre du kiff dans sa vie. Sans lui, sa vie, elle est morose. Alors qu'en vrai, quand elle est pleinement s'y bat à terre, ce n'est pas le cas, elle va toujours arriver à s'occuper, elle est à fond. Mais je veux dire, elle est en couple. Quand elle est en couple, elle se coupe tellement de tout le monde. C'est déjà, elle éloigne pas mal d'amis parce que si jamais ses amis sont trop belles, il n'y a pas question. Elle s'est disputée avec pas mal d'amis à cause de ça. Donc pareil, ça c'est pas génial. Donc voilà, elle s'oublie constamment, etc. Et puis, bon bref. Donc voilà, au niveau de mon enfance, qu'est-ce que j'ai vécu. Et du coup, on va passer à quel est l'impact, en fait, qu'est-ce que ça a changé dans mes relations amoureuses. Je pense, pour être vraiment sincère avec toi, c'est que...
Speaker #0En fait, je les nourris une colère énorme contre les hommes, en mode, mais en fait, ils me piquent ma maman, quoi. Moi, j'ai plus rien, j'ai plus... j'ai personne avec moi. Et à cause de toi, ben, elles s'occupent pas vraiment de moi, quoi. Et du coup, j'ai une énorme colère envers les hommes. Et en plus de ça, je me disais, mais elles leur donnent tout leur temps, et en plus, ils la font du mal. Ils lui font du mal, parce que... Elle n'est même pas heureuse dans ses relations amoureuses. C'est tellement... Elle vit avec la passion. Donc, il y a besoin de... Toujours ces relations très toxiques, des hauts, des bas. Ah ben, en fait, oui, elle vibre. Mais, en fait, il y a tellement de chaos, de disputes, etc. C'est qu'elle tombe très, très bas. Et donc, je la voyais donner tout son temps à ses hommes. Parce que c'est ça qui est le plus malheureux. J'en ai plein aussi. Des clientes ou des amis qui offrent tout, qui donnent leur vie, qui donnent leur temps pour des hommes avec lesquels elles ne sont même pas épanouies, qui les traitent comme des chiens pourris. Et moi, ça m'a toujours... Wow ! Non, en fait, ce n'est pas ça. La vie, ce n'est pas moins t'en fais pour moi, plus je t'en donne. Ben non. Et en fait, ma mère, elle cherchait tellement à avoir l'amour. de ses partenaires, qu'elle en donnait toujours plus. Encore et encore, à tout faire, à toujours vouloir renvoyer une image parfaite d'elle, pour qu'il n'y ait aucun reproche à lui faire. C'est... Ouais. Ben, en fait, c'est, oui, toujours à... Bon, je l'ai déjà dit tout à l'heure, quoi. À les valoriser un maximum, à s'oublier elles, à répondre à leurs attentes, à répondre à leurs besoins, à vivre pour eux. si lui il claque des doigts, hop, elle fait, elle est là, elle est présente, elle est à sa dispo, et elle va rien faire d'autre. Mais en fait ça c'est pas, c'est tellement pas attirant, c'est, l'homme il a quand même aussi besoin qu'on lui rappelle parfois, ou de savoir qu'on n'est pas à sa merci, et qu'il peut nous perdre aussi, qu'il y a d'autres personnes qui sont intéressées, mais si toute ta vie tourne autour d'une seule personne, je dis pas d'être dans la manipulation, de chercher à le faire flipper, ni quoi que ce soit, mais... Si tu sors jamais, par exemple, l'homme, ton homme, il peut pas voir que tu te fais mater. Sauf que t'inquiète pas que ça fait du bien, ça. Là, tu dis, ah oui, en fait, ça te pousse à faire plus d'efforts. Ça attise, ça crée de l'envie, ça crée du manque. Enfin, franchement, c'est hyper bon quand c'est ça, comme ça, à faire. Donc, qu'est-ce que ça a changé ? Donc, voilà, que j'avais une rage contre les hommes. Et en fait, cette colère... faisait que, alors toi, t'as pas à te dire à me manquer de respect, toi, c'est pas toi, du coup moi j'étais beaucoup plus dans mon énergie masculine, en mode, c'est moi qui suis dans le contrôle, c'est moi qui dirige, c'est moi, est-ce que j'étais un peu une commandante, je sais pas, parce que j'avais pas non plus, j'avais quand même des mecs dignes de ce nom, mais en tout cas, moi j'étais vraiment, je me laisse pas faire. Je me fais respecter coûte que coûte parce que j'ai tellement vu ma mère se faire manquer de respect et se manquer de respect à elle-même. Du coup, ma valeur numéro une, c'est le respect. Le respect de soi, le respect des autres. Et ça, c'est vraiment primordial. Et donc, je trouve que quand on s'oublie, quand on fait passer l'autre en premier, on se manque de respect à soi-même. En fait, je ne vois tellement pas le fait d'être altruiste comme la plus grande des valeurs. Pour moi, tu ne peux pas aider les autres si tu n'es pas bien toi-même dans ta peau. Tu n'as pas cet espace mental. Donc quand tu te fais du bien à toi, tu te fais du bien à l'autre. Et tu ne peux pas constamment donner, tu dois aussi apprendre à recevoir. Bon, je me suis encore divaguée. Donc, le fait que moi, ça a énormément aussi entaché le lien que j'avais avec ma mère. Puisque du coup, en fait, ma mère qui pour moi devait me protéger, devait être là pour moi, devait me soutenir. Très souvent, comme elle faisait, elle plaçait ses hommes en priorité, elle n'avait pas de temps pour moi. Donc du coup, ça m'a énormément déçue. L'avantage quand même, c'est que j'ai réussi à me construire seule. Je ne sais même pas comment j'ai fait, parce que vraiment, je pense que c'est grâce au développement personnel, de me dire mais quelle femme j'ai envie d'être. Qu'est-ce que je veux faire de ma vie en fait ? Moi je veux être fière de moi. Je veux avoir un bon poste, un bon boulot, etc. Et donc du coup je savais qu'il fallait que je compte que sur moi. Je n'avais pas besoin qu'on me pousse derrière. Et je me disais tellement, ok là ma vie elle ne m'appelait pas forcément. Je me sens seule, je me sens malheureuse, même si j'avais énormément d'amis. Mais heureusement ça m'a bien tenu ça. Ça a bien compensé, ça a quand même bien aidé, même si rien ne remplace l'amour maternel et paternel, parce qu'il n'y en avait pas du tout là pour le coup. Du coup, ça a quand même bien aidé, mais ça ne fait pas tout non plus. Bon je suis désolée, je vous parle avec ma fille sur moi, si vous entendez des petits bruits un peu chelous, c'est elle qui respire. Mais du coup j'avais cette colère par rapport aux hommes, je voulais absolument moi m'affirmer, toi tu ne manqueras pas de respect, etc. Et je pense que c'est ça qui a fait que du coup j'ai jamais subi mes relations amoureuses et je me suis toujours dit ok. Parce qu'en fait, je suis très exigeante avec moi-même et je suis très exigeante avec les autres. Et donc, je ne voulais pas n'importe quoi. Pour moi, je me suis toujours dit en tête, vu comme j'ai vu que ma mère avait subi ces relations, que moi, il en était hors de question. Que je n'allais pas subir, que je voulais choisir, que je voulais un mec digne de ce nom. Parce que quand toi, tu subis, ben... Après tes enfants aussi, ils subissent l'homme avec qui tu as décidé de faire un enfant aussi. Donc je voulais trouver une perle, tout simplement. Donc moi je me suis toujours dit, par exemple je sais que dans la dépendance affective, on est vraiment soi-même. C'est-à-dire qu'on veut tellement être aimé qu'on n'a toujours que le beau. Et sauf qu'en faisant ça, déjà tu prives l'autre d'une partie de ta personnalité, que toi tu penses qu'il n'aimerait pas alors que ça se trouve. il se dira finalement elle est comme moi donc pour moi il était hyper important que je puisse être moi-même en fait comment passer des années avec quelqu'un si t'es toujours en fait en train de marcher sur des oeufs d'être sur le qui-vive de calculer tout ce que tu dis parce que si tu dis une bêtise etc de calculer tes moindres faits et gestes mais c'est pas vivable tout ça donc je suis toujours partie du principe que Moi, je ne vais pas me laisser choisir. Je veux choisir. Je veux être fière de l'homme avec qui je suis. Et surtout, je ne veux pas se subir. Parce que passer un an, deux ans, trois ans avec quelqu'un avec qui tu es constamment en train de te fêter, non. Tu vois, derrière ça, il y a énormément de souffrance. C'est pourquoi est-ce que tu restes avec lui ? C'est parce que tu as peur d'être seule. En fait, tout ça, ça se travaille. Et puis c'est surtout l'image que tu peux avoir toi-même. Apprendre à vivre à travers soi et pas à travers le regard de l'autre, c'est hyper important. Donc voilà comment je suis devenue cette femme qui se place en priorité, qui se choisit, qui s'honore, qui se respecte, qui s'affirme, qui pose des limites, parce qu'en fait je ne voulais pas. déjà moi quand j'ai vu ma mère comment elle a subi, jamais de la vie je veux subir de la même manière et puis tout simplement aussi parce que je ne veux pas faire je ne veux pas inculper qui en fait c'est valeur, cette éducation à les enfants. Pour moi, non. Chacun doit prendre sa place, chacun doit l'avoir. Et puis je prône l'indépendance en fait. De ne pas avoir toujours besoin de quelqu'un pour faire des choses, de vivre pour soi, de juste prendre du temps pour soi-même, le loin de tout le monde, c'est vraiment vraiment important. Et on n'a pas à s'écraser pour quelqu'un. Ça, c'est hors de question, quoi. L'autre ne vaut pas mieux que nous. L'autre n'a pas plus de valeur. Et je n'ai rien à... J'ai rien à prouver, en fait. Et moi, je n'ai pas plus de valeur en étant en couple que célibataire. Donc, avec ça... Je n'ai pas à me rabaisser, à tout accepter, à accepter l'inacceptable juste pour être en couple. Qu'est-ce que ça veut dire être en couple ? Si tu m'écoutes depuis longtemps, tu sais que ce qui est important dans la vie, ce n'est pas d'être en couple, ça ne veut rien dire. Ouais bon, d'être deux, marcher main dans la main, ok. Et alors, c'est juste d'être heureuse en fait. J'ai aussi une grande nouvelle, c'est que je lance mon tout premier programme de groupe et ça va être juste incroyable. Donc l'objectif c'est de sortir des relations toxiques, de dire définitivement bye bye et d'être enfin heureuse en amour. Donc on va travailler sur toi, sur ta relation à l'autre, sur la blessure d'abandon, sur... la dépendance affective, sur ton enfant intérieur qui s'est senti blessé. On va à la fois aller dans le passé, mais avec mes outils à moi, c'est-à-dire qui sont ultra puissants et où tu n'auras pas besoin de parler. Tout va se faire à travers ton corps grâce au breastwork. Et puis ensuite, en coaching, on va travailler sur le moment présent et sur l'avenir pour que tu retrouves... totalement confiance en toi, que tu te sentes bien dans ta peau, que tu te sentes fière de toi, que tu aies une bonne image de toi-même parce que ça pour moi c'est la base si t'as pas une bonne estime de toi c'est à dire que bah si tu penses que les autres sont mieux que toi que t'as rien à apporter vraiment à un homme que tu doutes constamment de toi, que tu te compares que les autres femmes sont mieux etc que euh Voilà, tu n'as pas conscience de ta valeur en fait, tout simplement que tu ne t'aimes pas, que tu n'oses pas, que tu ressens ta sainte de confort, en fait tu ne pourras pas être heureuse. Donc je base la grande partie de mon accompagnement sur l'estime de soi. Parce qu'une fois que tu sais ce que tu vaux, que tu as changé tout ton esprit, enfin pas ton esprit, tu as changé ta manière de penser sur toi, sur le monde, sur les hommes. Après, il y a tout qui change. Donc, on va travailler là-dessus. Tu vas retrouver, si tu regardes dans la description, je te mets toutes les informations sur le programme, le tarif, etc. Il va bouder. Donc, je ne le dis pas à autre voix. Là, je fais un tarif de lancement. C'est-à-dire qu'à la prochaine cohorte, au prochain groupe que j'ouvre, le prix augmente. Et dont la valeur finale sera de 1500. Enfin, 1497 euros bruts. Donc là, il a une très très très belle réduction. Donc c'est quelque chose qui t'intéresse. Regarde tout ce que ça va t'apporter. Si t'es partante ou si même tu doutes, tu sais pas trop, on se fait un appel ensemble. Ou tu vas me parler de ta situation, tu vas me dire où est-ce que tu en es dans la vie, qu'est-ce que tu veux, quelles sont tes attentes vis-à-vis du programme. Et une fois que... que j'ai tout ça en tête, je te dirais si c'est fait pour toi ou pas. Et puis après, c'est parti. Donc là, le programme va commencer. Il dure quatre mois et il va commencer à partir de fin août. J'ai déjà ouvert les premières inscriptions. J'ai déjà fait un appel découvert. Je prends uniquement six personnes. Je fais des petits groupes pour que vous ayez vraiment votre place, que vous vous sentiez à l'aise de parler et comptez sur moi pour que ce soit le cas. Ça va être juste incroyable. C'est un coaching de groupe, donc vous allez pouvoir vous booster, vous soutenir, voir que les autres vous ressemblent, que vous n'êtes pas la seule à être comme ça. Vous allez vous sentir beaucoup moins seule. Vous allez pouvoir vous épauler, vous booster les unes les autres pendant les challenges, parce qu'il n'y aura pas un challenge. De toute façon, je vais vous faire un épisode exprès pour vous expliquer concrètement ce que vous allez obtenir de ce programme. mais en tout cas si vous voulez réserver en avant-première et déjà venir discuter ensemble avec grand plaisir vous avez le lien en bio et je vous dis à très vite j'espère que l'épisode vous a plu pensez à le partager autour de vous ça peut faire du bien à beaucoup de personnes et puis si vous avez des moindres questions je suis là, vous pouvez me retrouver sur Instagram sur Elixir de Confiance mettez bien un 5 étoiles ça me permet de... de faire connaître mon podcast et d'aider un maximum de femmes. Gros gros bisous, prends soin de toi, et viens, on va dire ciao à la dépendance affective, et aux relations toxiques. Bisous !