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Elixir de confiance - Confiance en soi

83 : Quand t'apprends une mauvaise nouvelle et que ta vie change du jour au lendemain

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44min |29/08/2024
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Description

Y a 3 mois, je me mariais et d'ici quelques semaines, je vais me faire opérer...


En 2017, on m'a découvert une tumeur au cerveau... (que j'avais traité) et aujourd'hui elle est revenue faire parlé d'elle, a doublé de volume et la situation est bien plus préoccupante car j'ai en plus un oedeme cérébral.


Dans cet épisode, je te partage ma réaction à cette nouvelle épreuve... mes peurs, mes questionnements et mes prises de conscience...

On fait un focus sur la santé car y a rien de plus important !! Oui oui je pèse mes mots.


Je pense que cet épisode devrait grandement te faire réfléchir 😜 et t'aider à relativiser par rapport à ta propre situation ^^.


💥Il est temps que toi aussi tu te fasses en priorité et cet épisode devrait te servir de coup de pied au 🍑.


~~~~~~~~~~~~


💥Mes services :


🎁 JE T'OFFRE un guide d'une grande valeur pour te libérer de tes blessures du passé qui impactent tes relations et t'empêchent d'être heureuse. 🎁


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👉 Retrouve moi sur Instagram et vient papoter :)


Bisousss ❤️




Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur Éviteurs de Confiance, le podcast qui redonne le pouvoir aux femmes en vous aidant à reprendre conscience en vous, pour enfin vous épanouir pleinement dans votre vie et dans vos relations. J'ai tué 8 ans car il m'a mis sur une idée de chaque femme à s'aimer et trouver la clé du bonheur en elle pour pouvoir créer des relations plus saines et plus sereines sans soublier. Pensez également à vous abonner et si l'épisode vous a plu à mettre un 5 étoiles, vous êtes venu trouver des pouces.

  • Speaker #1

    Bonjour mes élixirs, ça fait longtemps que je ne suis pas venue vous faire un épisode de podcast. Je reviens vers vous avec pas mal de messages à vous témoigner. Ça va être sans doute un épisode qui va être un petit peu remuant. peut-être pour vous aussi au niveau de l'écoute et pour moi pour le faire parce que je reviens pas forcément avec des bonnes nouvelles mais derrière tout ce que j'ai à vous dire même si ça risque d'être un peu tristouné j'ai vraiment des... belles choses à vous partager donc écoutez jusqu'au bout même si ça va pas être l'épisode le plus oufissime en mode pompe et l'up on va pas être là dessus en mode wouhou ça va être un petit peu triste ouais je pense enfin en tout cas pour moi je reviens pas en hyper grande forme j'ai des problèmes de santé que je vais vous partager et voilà j'ai plein de leçons enfin je tire plein de leçons leçon de ce qui vient de se passer et que j'ai envie de vous partager. Alors pour vous expliquer, je ne sais pas si vous allez tomber dessus comme ça ou si vous me suivez sur Instagram. En tout cas c'est pour vous raconter un petit peu mon histoire. Si vous voulez en 2017, on m'a découvert une tumeur au cerveau. Ouais je rentre direct dedans là, je ne suis pas passée par 40 milliards de chemin, de toute façon je ne sais pas faire. Et donc du coup voilà, on m'a trouvé une tumeur au cerveau, ce qui s'appelle en fait un méningium. Et c'est en fait une espèce de boule qui se crée au niveau de la méninge, donc entre le crâne et le cerveau. Et en fait c'est une boule qui peut grossir plus ou moins vite selon la gravité et l'agressivité en fait de la tumeur. Il y a différents stades. Et donc du coup, moi, clairement, je ne suis pas au stade 1 puisque je viens de récidiver. Je suis au stade 2, au minimum 2 en tout cas. Je ne pense pas que ce soit métastasé, je serais peut-être dans un état plus gravissime que ça. Donc voilà. Bon, je ne sais vraiment pas expliquer, c'est un truc de ouf. Mais bon. Donc voilà, en fait, pour reprendre un petit peu. Donc en 2017, on me trouve une tumeur, je fais de la radio. radiothérapie, c'est-à-dire qu'on m'envoie des rayons d'une grosse charge pour me brûler la tumeur pour éviter qu'elle grossisse, donc ma boule elle était arrivée jusqu'à 3 cm comment je l'ai eue et comment je m'en suis rendue compte, c'est que j'avais des problèmes de mémorisation c'est vrai que je retiens pas les noms c'est un petit peu je vais dans une ville, 3 mois plus tard je vais avoir un gros bug et ne plus me souvenir et donc du coup, voilà il y a quelques minutes Quelques problèmes de mémorisation. Bon, ça m'inquiétait. Donc, j'avais fait un IRM à ce moment-là. Et c'est là où on m'avait trouvé ça. Et en fait, le truc aussi, c'est que... Et ça, j'ai envie de vous faire passer ce message-là aussi de votre côté. Parce que c'est hyper important. Quand on ne tombe pas le nez dedans, on ne sait pas. Et pourtant, c'est gravissime pour les femmes. C'est faites attention aux hormones que vous prenez. C'est-à-dire que les pilules, c'est de la grosse merde en boîte. moi donc j'en ai pris à l'époque je pense non pas pendant, ouais si je crois pendant bien une dizaine d'années et en fait comme j'ai de l'endométriose on m'avait fait passer sous une pilule à base de progestérone tu sais c'est celle qui te coupe les qui te coupe les règles en fait pour éviter de souffrir en endométriose parce que quand t'as tes règles ça crée une inflammation et ça peut t'amener plein de douleurs donc en fait on m'avait donné cette pilule et en fait cette pilule à base de progestérone et on a eu plusieurs qui ont été déclarées comme ultra mauvaises pour la santé et qui créent en fait ces tumeurs au cerveau. Donc attention les filles, si vous avez des maux de tête ou si vous prenez des pilules à base de progestérone, allez faire un gros check sur internet pour regarder si ça n'a pas été déclaré comme pouvant créer des méningiomes. Parce que ça fait des dégâts derrière. Donc faites attention à votre santé. Et donc tout ça pour dire que, donc voilà, on m'a trouvé une boule qui avait grossi jusqu'à 3 cm, je me la suis fait traiter par Gamma Knife, je sais pas si il y en a qui, à tout hasard, s'il y a des personnes qui m'écoutent et qui ont vécu la même chose, venez en discuter avec moi, ça me fera super plaisir de pouvoir partager tout ça. Du coup voilà, j'avais fait ça, donc c'était censé être brûlé, terminé, terminé, et puis après derrière j'avais en fait d'autres IRM une fois par an à faire. pour voir si ça n'allait pas grossir. Et donc l'année d'après, deux ans après et trois ans après, j'ai fait mes IRM. J'ai été hyper carrée et ça avait réduit. Et donc là, moi j'ai sauté de joie en mode alléluia, ça y est, c'est bon, c'est terminé, tout ça c'est derrière moi. Et puis je suis tombée enceinte de mon deuxième enfant il y a un an et demi, enfin un peu plus d'un an et demi du coup. Et puis du coup, je n'avais pas fait l'IRM. à ce moment-là, de contrôle, et puis je me suis dit, c'est bon, ça y est, j'ai plus rien, c'est terminé, ça me saoule. Et j'avais été, j'ai pas le terme là, mais en mode, voilà, j'avais traité ça par-dessus la jambe en me disant, mais non, c'est bon. Je sais pas si au fond de moi, j'avais une petite voix qui disait, non, il y a peut-être quelque chose, et puis t'as trop peur de mettre vraiment le nez dedans, dans le sens où... Où tu sens qu'il y a quelque chose et du coup, tu ne le traites pas. Je ne sais pas, franchement, je me trouve n'importe quelle excuse. Mais pour le coup, je ne me suis pas priorisée en fait. Et c'est là où on va parler de ça. Bon, je continue un petit peu la suite de l'histoire. Et puis, je reviendrai sur les leçons que j'en tire et que je te partage. Voilà, ça c'était en 2017. Je me l'ai fait brûler, ça marche bien. Et là en fait, cet été, ça fait trois mois. que je commence à avoir des mal de tête, un peu par-ci, un petit peu par-là. Et puis en fait, là, ça faisait un mois que ça commençait à s'accélérer, où tous les jours j'avais mal à la tête, jusqu'à que ça prenne 24 heures du matin au soir. J'avais la tête qui allait exploser, où en fait je ne me reconnaissais plus. J'avais l'impression d'être une sorte de légume en mode... Puis moi, je ne sais pas si ça vous le fait, mais quand je suis malade... J'ai le monde qui s'écroule sur mon dos, je deviens toute voûtée. Et là, je sens que ça ne va pas. Mon mental, il n'y a plus de mental. Il n'y a plus de mental. J'ai toujours du mental, mais je veux dire, vraiment, mon corps prend le dessus. Il me montre que ça ne va pas. Il se recrouve vive sur lui. Et là, je me dis, ça ne sent vraiment pas bon. Et donc, du coup, j'ai eu des grosses crises de mal de tête, tout ça. Et puis, il s'avère qu'en France, en fait, quand tu as des problèmes de santé, on ne te prend pas comme ça. En mode, si tu n'es pas à deux doigts de clamser, tu attends, en fait, parce que tout est pris. Enfin, il y a un monde de fous, tout le monde a des problèmes de santé. Et donc, du coup, il a fallu un mois et encore. Je pense que c'est parce que j'avais déjà un ménagium et aussi parce que j'étais à Dijon. Parce qu'à Marseille, il fallait six mois pour faire un IRM. Mais moi, six mois plus tard, là, je clame C. C'est pas compliqué. Donc bon, bref, un mois de supplice quand même, où je me suis vraiment plus sentie moi-même, en mode, déjà des pertes de mémoire, enfin encore plus. Et en fait, je sais pas si t'avais capté ou si j'ai coupé, mais je sais que les derniers épisodes de podcast que j'ai fait, j'avais des gros bugs, et j'ai toujours des gros bugs, dans le sens où... où en fait je parle et d'un coup je dis oh merde je sais plus où j'en suis je pense que c'est grandement lié à mon problème là actuellement et d'ailleurs je trouve que ça va un ou quoique pas officiel mais quand même un petit peu mieux, un peu moins d'absence comme ça, qu'est-ce que je suis en train de te dire, là ça fait 9 minutes, c'est pas encore trop arrivé, donc voilà je ressentais des gros maux de tête plus des absences etc et ça qui m'a donné envie de je me suis dit non non il y a quelque chose qui ne va pas donc vite je vais faire un IRM et donc du coup nous voilà il y a un peu moins d'une semaine où je vais faire mon IRM et là le neurologue, le médecin en charge qui me demande à me voir là je me dis oh punaise c'est normalement tu fais ton IRM on te dit oui oui on va vous donner le compte rendu merci ciao Et là, quand on te dit oui, et c'était la première fois, parce que j'en ai fait des IRM auparavant, et on m'avait déclaré ça, mais là, je crois qu'on était sur un stade au-dessus, où du coup, ben voilà, ils voulaient me parler, et donc il s'avère que ça a été... t'imagines même pas, quoi. Quand tu penses que c'est terminé. que ton combat, parce que franchement, ça avait été hyper difficile la première fois quand j'avais fait faire les rayons. Enfin, franchement, c'est une opération qui est vraiment atroce parce que t'es endormi que localement. Donc juste, en fait, si tu veux, on va te fixer un casque dans le crâne à vif où on te fait juste des piqûres au nez, mais on te visse, vraiment. Comme quand tu vises dans un mur, là, on te visse sur ton crâne pour ensuite pouvoir prendre les mesures et envoyer une charge de rayons. Donc c'est hyper traumatisant, donc je pensais que tout ça c'était derrière moi, et quand là on me dit, donc le médecin vient me voir en me disant, ben votre méningiome a doublé, donc il est passé de 3 centi... enfin il avait diminué en plus à l'époque, de 2,5 centimètres à quasiment 6 centimètres, donc une boule dans ta tête de 6 centimètres qui pousse, et en plus de ça vous avez un œdème cérébral, c'est-à-dire que ben en fait... Comme, bon après je suis pas médecin donc je vais hyper mal expliquer je pense, je pense que vous en tapez le coquillard, mais juste pour expliquer un peu, c'est que le cerveau n'est pas extensible en fait. Donc quand il y a une boule qui pousse, ben ça pousse les parois et en fait ça crée une pression, et c'est cette pression qui me faisait énormément mal à la tête et qui est dangereuse en fait. Et en plus qui a poussé une partie de... c'est là où c'est trop glauque. un bout de mon cerveau, enfin, dans un endroit qui ne devrait pas l'être. Et donc, c'est ça qui a commencé à un peu tous les inquiéter. Donc là, c'est assez urgent ce que j'ai. Et donc, en gros, je suis vraiment en pleine attente. Là, j'ai pris rendez-vous, j'ai rendez-vous le 15 septembre avec mon neurochirurgien que j'avais vu à l'époque pour voir qu'est-ce qu'on fait. Bon, je pense qu'il y a de grandes chances que je me fasse opérer. Et cette fois-ci, que je fasse la vraie opération, quoi. Le truc bien, bien hardos, en mode, on t'ouvre la tête en deux. Et je peux te dire que je suis en grand, grand flip, quoi. Quand tu vois, tu touches ta tête, là. Comme si on devait couper ton os en deux, quoi. Me dire, putain, je vais me faire ouvrir le crâne. Ça me... Je suis sûre que tu dois faire une salte. Tu m'écoutes, là. Mais, ouais, franchement, ça me... C'est hyper stressant en plus, ben voilà, après c'est hyper humain aussi, mais ben t'as envie de te rassurer, enfin tu te rassures sans... Tu te fais du mal et à la fois t'as envie de te faire du bien en regardant sur internet, et quand tu vois risque des opérations, parce que voilà, on est quand même dans le cerveau quoi, tu touches le moindre truc, le moindre nerf, ben ça y est, tu ne ressens plus rien, tu ne sens plus rien, tu ne vois plus rien, enfin ça y est c'est... C'est chaud, il peut se passer le moindre truc. Surtout que moi, où il est basé, mon méningiome, j'ai un gros risque hémorragique. Du coup, je ne sais pas s'il va vouloir m'opérer ou pas. Là, ce n'est plus possible normalement de faire de la radiothérapie comme j'avais fait à l'époque, à moins qu'il enlève une partie qui reste moins de 3 cm pour envoyer une charge de rayon. Mais sinon, là, aujourd'hui, j'ai l'impression que c'est soit opération, soit on attend si ça s'aggrave encore. plus, je sais pas trop ce qu'il va me dire mais comme il voulait me voir en urgence je me dis que ça pue l'opération ouais c'est assez chaud bref, voilà je t'ai raconté dans 13 minutes l'histoire de de Jom et ben ouais je suis en flip en fait surtout des conséquences c'est le truc où c'est un peu comme, bon et encore c'est un peu différent du coeur quand tu te fais opérer T'as certes des possibilités de mourir, mais en dehors de ça, tu peux faire des AVC, tu peux... Et puis, ben voilà, tu sais pas en fait comment tu vas te réveiller, quoi. Est-ce que tu vas avoir toutes les mêmes facultés physiques et mentales qu'auparavant ? J'ai eu l'immense chance de tomber sur des témoignages où il y avait des personnes qui disaient qu'elles... s'était réveillée, tétraplégique, enfin le pire quoi bon bref finir de se raconter tout ça, donc voilà ce qui me fait flipper actuellement, je suis pas bien j'ai peur j'ai mal au coeur je pense à mes enfants j'ai pas du tout envie de les laisser j'ai surtout pas envie de me retrouver comme ça en fait être piégée dans un corps où tu perds des sens enfin non quoi Même si, voilà, je sais que l'être humain est capable de tout et qu'il s'adapte hyper bien. Non, c'est rien, quoi. Ouais, ça me fait chier parce que je pensais vraiment avoir enduré déjà pas mal de choses dans ma vie pour mon jeune âge. Et finalement, en fait, ça continue. Mais bon, je pense que si on voit ça, c'est que Dieu se dit que je suis capable de gérer. Sans doute, je pense que, en effet... Si je n'avais pas cette fameuse mentalité, tu vois, je me dis très souvent que ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts et je cherche tellement à toujours me développer personnellement que peut-être que Dieu se dit, je vais lui envoyer encore un paquet de choses dans la tronche. Elle est forte, mais encore, encore, encore. Ce serait bien de me laisser un peu en paix quand même. Bon, enfin bref. Donc voilà, donc maintenant que je t'ai raconté ça, je voudrais te raconter en fait l'erreur que j'ai faite et que j'aimerais que surtout, surtout tu ne reproduises pas, c'est que tu sais, et c'est mon créneau aussi de te dire que depuis très longtemps, je te dis oui, il faut te prioriser, pense à toi, pense à toi, pense à toi, et je pense à moi. Tout ce que je te dis, je le fais. Par contre, là aujourd'hui, je me rends compte. que je ne l'ai pas fait à 100%. Si vraiment je pensais à moi, moi en premier, peut-être, je ne sais pas, que je n'en serais pas là. En tout cas, je n'aurais pas atteint le dème qui est le moment un peu trop tard où ça a trop poussé dans ma tête. Donc j'ai été trop laxiste en fait avec moi-même. Pourquoi ? Parce que j'ai privilégié d'autres choses. C'est-à-dire que... Je ne sais pas si c'est une excuse ou pas, mais pour moi, le travail, c'est très important. Et enfin, avant, quand j'étais toute très jeune, j'avais une quinzaine d'années, je voulais être hôtesse de l'air et j'avais une ambition débordante. Enfin, moi, j'étais en mode, bon, j'avais ce côté, j'ai envie d'être hôtesse de l'air, mais aussi, j'ai envie d'être une businesswoman, j'en veux. Je ne dirais pas que j'avais les dents qui riaient par terre, mais en tout cas, je sais que j'avais vraiment envie de réussir dans ma vie professionnelle. Après, je me suis un petit peu perdue en chemin, je ne savais pas trop quoi faire de ma vie. Enfin voilà, j'avais fait des études, j'ai un bac plus 5, mais j'ai fait deux ans de commerce. Après je me suis dit, oh j'aime pas trop, ça me saoule. J'ai fait un an d'événementiel, là je me suis dit, ouais je kiffe, par contre travailler le soir, etc. Et puis tu ne gagnes pas forcément bien au vu de toutes les horaires que tu fais. Je me suis dit, oh pénible, et puis surtout je ne trouvais pas en fait dans ce domaine-là, parce que... peu bouché. Et puis après, je suis partie dans les ressources humaines. Donc là, j'ai kiffé, mais les seuls postes ouverts à moi, c'était pas forcément ceux qui me plaisaient le plus, qui étaient dans le domaine du recrutement. Et puis donc là, j'ai un petit peu perdu ma flamme de réussir dans la vie pro. C'était je travaille surtout pour gagner de l'argent et me faire plaisir. Et puis après, quand je me suis dit, enfin, non, en fait, c'est le coaching que je vais parce qu'il y avait déjà des années que... auparavant où je m'y étais intéressée, mais voilà, je m'étais mis des limites en mode tu es trop jeune, 23 ans pour être coach, qu'est-ce que tu vas apprendre la vie à des personnes qui sont plus âgées que toi, et puis finalement, c'est revenu, quand j'avais, je crois, 28 ans, quelque chose comme ça, où là je me suis lancée dans le coaching, et donc là maintenant ça a vraiment pris une dimension supplémentaire, où en fait, Quand je me suis lancée là-dedans, j'adore tellement de 1, le coaching, le développement personnel, et puis de 2, tout ce qui est lié au business. Cette fierté qu'on peut ressentir quand on crée quelque chose, c'est comme si tu fais pousser une plante, tu l'arroses tous les jours, tu prends soin d'elle et puis tu vois qu'elle grandit, elle grandit, mais c'est tellement beau. Et du coup, moi, c'est un petit peu pareil en mode... C'est mon petit bébé, c'est mon petit bébé, mon petit business, mais en fait qui me permet d'avoir la vie que je veux, c'est-à-dire de profiter de mes enfants, d'être là à la maison, d'aller les chercher, de les récupérer quand ils sont malades, d'être là. On part en vacances parce que mon chéri du coup il est fonctionnaire et du coup il a deux mois et demi de vacances et de pouvoir faire ça, c'est fou. Et donc du coup, j'ai tellement... Je me suis investie corps et âme en mode il n'y a plus rien qui compte à côté. Mais comme je me suis dit mon entreprise, c'est moi en fait. Si je privilégie mon entreprise, je me privilégie moi. Mais en fait, non. J'ai quand même omis une partie. C'est-à-dire que tout ce qui pouvait me détourner de passer du temps dans mon entreprise en mode aller faire un IRM, donc perdre deux heures de ma journée, ben non. En fait, je préférais me donner les moyens de faire grandir mon entreprise, d'avoir des clientes, etc. Et donc c'est là où j'ai foiré. Parce que du coup, et même si je vais encore plus loin et que je suis la plus honnête possible avec vous et avec moi, j'ai même privilégié mon travail. Mais pour moi, c'est tellement plus qu'un travail en fait. Je le vois pas forcément comme ça, mais j'ai quand même privilégié mon travail à... Je sais pas si je dirais à mes enfants, parce que tout ça, c'est pour eux que je l'ai fait. En plus d'avoir cette fierté... égoïstement pour moi, de me dire putain je suis capable de faire ça mais j'ai aussi fait pour qu'on continue d'avoir ce train de vie là que j'adore qui est oufissime mais en tout cas voilà même faire du sport j'avais tendance à je me forçais quand même parce que j'avais pas envie d'être de peser 10 kilos parce que je bouffe on peut dire que franchement j'adore manger et c'est vraiment mon dada je prends un plaisir de malade là dedans Je sais pas si je mange mes émotions, mais en tout cas... En tout cas, ouais, bon, bref, la bouffe chez moi, c'est sacré. Et donc, du coup, il fallait quand même que je fasse un peu du sport. Surtout quand tu travailles de chez toi et que tu bouges pas trop ton cul. C'est quand même important de faire une petite activité. Et j'ai quand même tendance, des fois, à dire Ah non, allez, encore une heure, je travaille. Parce que t'as cette punaise de culpabilité, en fait, quand t'es à ton compte, c'est incroyable. Il faut vraiment le vivre pour le croire. Je sais qu'il y a pas mal d'entrepreneuses aussi qui me suivent, donc ils vont comprendre ce que je suis en train de dire, mais tu as cette culpabilité quand tu ne travailles pas, quand tu prends des vacances, quand tu es en repos, de te dire punaise, mais tu dois encore en faire, en faire, en faire, en faire, parce que tu n'as pas atteint ton objectif, tu n'en es pas là encore, tu n'arrives pas à en vivre complètement. Il y avait des mois où il n'y avait pas de soucis, où c'était bon, et d'autres mois, c'était un peu plus creux. L'entrepreneuriat, c'est dur. C'est vraiment pas simple et tu te fous une pression. incroyable. Donc t'as pas de patron mais en fait tu es ta propre patronne et tu t'auto-flagelles. Donc même si je promeux le fait de prendre soin de soi, d'avoir un discours bienveillant et c'est ce que je fais, mais il y avait quand même une partie de moi qui disait t'en fais pas assez, tu dois en faire plus, cravache encore, t'y es pas. Et donc du coup, tout ce qui me détournait qui... Voilà. Prendre du temps pour moi, je ne le faisais pas forcément. Même lire des lectures, par exemple, j'allais lire des livres, mais que pour le développement personnel, pour me faire grandir au niveau de mes connaissances, pour vous en fait. Et donc, toujours la tête dans le guidon. Dès que j'avais un moment, genre même, je me brossais les dents, j'écoutais un podcast, soit pour des connaissances coaching, soit pour business. Du coup, ça ne s'arrêtait pas. Jamais, jamais mon cerveau était en pause. Donc, quand tu as en plus une vie de famille, que tu dois t'occuper de tes enfants, que tu donnes tout ton temps libre, du coup, pour eux, et que quand ce n'est pas ça, c'est que du travail, ce n'est pas génial. Donc, voilà mon erreur. Et en fait, il n'y a rien de plus important que la santé. Vraiment. Parce qu'en fait, tu n'es capable de rien, tu vois. Là, j'ai procrastiné d'aller me faire un pauvre IRM qui allait me prendre deux heures. Bon, c'est parce que je n'ai pas les piqûres. Putain, je déteste. ça là, je sais pas, ils te font mal là, quand ils te font le cathéter, donc bon, j'avoue que je suis un peu une poule mouillée là-dessus, et donc du coup, et ben voilà, j'ai procrastiné deux heures, et aujourd'hui, ben ça se trouve que si je me fais opérer, je vais être ramollot pendant trois mois ou plus, ou il y a des personnes qui mettent un an avant de se retrouver, mais j'espère que je serai pas comme ça, parce que je ne peux pas. Je peux pas, c'est... Bon, je peux pas, après on fait comme on peut, hein, mais... J'aime trop ce que je fais et j'ai tellement à vous apporter. Et puis, ouais, égoïstement, quoi. J'aime aider, je sais pas. Bref, du coup, voilà. En fait, c'est comme, tu sais, le pas cher coûte cher. J'aime beaucoup dire ça. Ou des fois, tu vas dire, oui, allez, j'achète un truc à Wish. Bon, moi, j'aime pas Wish, mais je sais que des personnes vont faire ça en mode, je sais pas, une lampe torche. Je dis n'importe quoi. à 2 balles, et puis finalement, ils se disent qu'ils font des économies plutôt que de la payer 10 balles, sauf qu'en fait, 3 mois plus tard... Elle tombe en panne. Et là, tu dois en racheter une autre et tu te dis, bon, du coup, je vais quand même prendre une mieux que ça. Ben voilà, le pas cher coûte cher. C'est un petit peu pareil là, au niveau de la santé. C'est que, moi, je pensais gagner du temps en mode deux heures pour un pauvre IRM. Et puis, finalement, je vais peut-être perdre des mois de ma vie. Je ne sais pas. Donc, attention à ça. On a l'impression qu'on y gagne, alors que non. En fait, il n'y a tellement rien de plus important que sa santé. C'est... Parce que là, si je suis en convalescence, après, une fois que je me fais opérer, je ne vais pas vraiment pouvoir être là pour avoir toute l'énergie possible pour mes enfants. Donc non, quoi. Donc voilà, il n'y a que... Et puis de toute façon, je l'avais déjà compris qu'il n'y avait rien de plus important que la santé. Parce que quand tu tapes un pauvre petit rhume, ou tu es au bout de ta vie quand tu es éternue une vingtaine de fois... Tu te rends bien compte que la vie est belle quand t'es pas malade. Et là, encore une fois, je me dis que tout tourne autour de ta santé. Parce que quand t'es fatiguée, t'as pas le moral, ça va pas. Donc vraiment, si je peux te dire, si aujourd'hui t'es pas à jour sur des examens ou quoi que ce soit, où tu ressens que... Tu ne te fais pas passer en priorité. Et c'est pour ça que tu vois dans la relation de couple, là je vais faire un petit switch, mais si tu es le genre de nana à faire passer ton mec en premier, mais non, arrête ça de suite quoi. C'est, il n'y a personne d'autre de plus importante que toi. Arrête de faire passer les autres. C'est en te faisant passer, c'est aussi rendre service à l'autre en fait, que de te faire passer en priorité. C'est vraiment tes mères Teresa et que tu fais tout pour les autres. Dis-toi que prendre soin de toi, C'est prendre soin des autres. Et puis c'est le cas, dans tous les cas. Ouais, c'est vraiment hyper important de te privilégier. Donc aujourd'hui, le fait... Bah tu vois, j'ai appelé l'épisode de podcast... Enfin je pense que je vais le laisser comme ça, mais en tout cas, voilà, je suis partie sur le premier jour du reste de ma vie, parce que j'ai toujours dit que je me faisais prioriser, qu'il était hors de question, notamment par exemple dans les relations amoureuses, de faire passer l'autre en premier, d'accepter des miettes... de me laisser traiter comme une merde par qui que ce soit. Donc ça, c'est totalement vrai et ça le restera à vitam aeternam. Je m'aime trop pour me laisser pourrir ou manipuler ou quoi que ce soit par quelqu'un. Par contre, la chose que je ne faisais pas, c'est que du coup, je faisais passer mon travail avant. Et en fait, non, ton travail n'a pas à passer avant. ta santé avant ton bien-être aujourd'hui. Et je sais, je me le suis déjà dit, on ne travaille pas pour vivre. Non, non, c'est pas ça. On ne vit pas pour... Voilà, c'est ça. On ne vit pas pour travailler. On n'a pas à dédier notre vie au travail. Mais en fait, j'y voyais tellement une... Enfin, pour moi, c'était le temps de... Mais non, en fait, ça ne sert à rien tout ça. Donc là, qu'est-ce que ça va changer pour moi ? C'est qu'aujourd'hui... Je vais plus jamais, je vais mettre ma santé de côté en disant qu'il y a d'autres choses qui sont plus importantes que ça, parce que non, c'est pas le cas. On doit œuvrer nos choix en rapport avec notre santé. Si on n'a pas de santé, il n'y a plus rien, point barre. Il n'y a pas à aller plus loin, on n'est pas là pour les autres, on n'est pas présent pour eux. Et après, voilà, là ce que je vais faire, c'est qu'en plus maintenant, si je me fais opérer, je vais devenir une grosse p***. plaît en fait. Bon, c'est un peu horrible. Là, tu dois te dire, mais non, ne dis pas ça. Non, je... Allez, je retire. Mais c'est vrai que je vais être un petit peu... Voilà, si je peux rien faire pendant plusieurs jours, voire plusieurs mois, je vais te faire un petit boulet, quoi. Enfin, un gentil petit boulet, mais qu'on soit honnête aussi avec soi-même. Donc, est-ce que je l'aurais rendu service ? Non. Je me suis rendue à moi non plus, parce que, ben voilà, il y a des risques derrière l'opération. Donc en fait, il n'y a rien de bon à faire tout ça. Mais bon, des fois, il faut mettre son nez dans le caca pour comprendre. Donc voilà. Aujourd'hui, j'ai vraiment envie... Et c'est bien parce qu'en fait, je me dis encore plus, il n'y a tellement que le bien-être dans la vie qui compte que je suis tellement heureuse d'avoir choisi ce métier-là de coach pour pouvoir vous aider à vous sentir mieux dans votre vie.

  • Speaker #0

    à vous revaloriser, à vous prioriser. Maintenant, j'ai encore plus vous botter le train avec ça. Je peux vous le dire quand t'es sur moi. Et à vous aimer, quoi. Vraiment. Un acte d'amour envers soi-même. Tu vois, un des messages aussi que j'ai envie de te faire passer, c'est qu'on a beau être entouré, avoir de la famille, avoir des amis qui nous aiment, etc. Mais quand tu vis un moment comme ça, t'es seule avec tes doutes, t'es seule avec tes peurs, alors oui, Tes proches vont partager tes peurs, mais ils n'arriveront jamais à se mettre à ta place. Toi, si là, on me dit, dans 15 jours, tu te fais opérer, je vais passer 15 jours à cogiter, mais comme une malade. Et je vais passer 15 jours à flipper, parce que si après, j'ai des séquelles mentales ou physiques, c'est moi. Les gens, eux, ils vont continuer leur vie, ils vont continuer d'être dans leur... peau, avec leur bonne santé, etc. Et c'est toi en fait qui... Voilà, il t'arrive quoi que ce soit au niveau de ta santé, c'est toi qui subis. Les autres continuent leur vie. C'est pour ça que c'est important de vraiment prendre soin de soi, d'arrêter de prioriser les autres. Tout le monde doit se prioriser lui-même en fait. On a la responsabilité de soi-même. Et c'est pour ça que quand je te dis oui, personne n'est responsable de ton bonheur, tu es la seule responsable de ton bonheur comme. de ton malheur d'ailleurs, c'est pour ça quoi. Là, quand on va m'envoyer, quand je vais être à l'hôpital et qu'on va m'envoyer une dose pour m'anesthésier et qu'on va m'ouvrir le crâne en deux, je serai toute seule là. Toute seule à être en flip, à stresser comme une malade, à être tétanisée et toi, je ne sais pas si tu t'es déjà fait opérer, si tu as déjà vécu ce truc, mais je me rappelle quand j'avais fait la... la radiothérapie, j'avais vécu tout ça aussi et c'est pour ça que c'est tellement important en fait de créer une belle relation avec soi-même et qu'il n'y a rien de plus important dans la vie que de s'aimer d'avoir une bonne estime de se valoriser, d'avoir confiance en soi de tout ça quoi et moi si tu te sens à des kilomètres de ça et que tu sens que t'as vraiment une faille là-dessus et que t'as envie d'améliorer ta santé de toute façon une fois que je vais savoir qu'est-ce que qui va en être pour moi si je me fais opérer ou pas, mais quoi qu'il en soit, de toute façon, jamais je vais vous quitter, vous abandonner, mais c'est qu'une question de temps, mais je vais relancer mes programmes, que ce soit en individuel ou le coaching de groupe que j'avais décidé de lancer, mais on va faire ça ensemble, quoi. C'est tellement important. Donc prenez soin de vous, vraiment les filles. C'est rien de plus important. Et puis ne donnez pas votre vie pour quelqu'un. Ne donnez pas votre temps, tout votre temps, ne donnez pas tout votre énergie, tous vos sentiments, tout votre amour propre, ses noms, tout ça, vraiment. Priorise-toi, tu es la personne la plus importante du monde. Tu ne peux pas t'occuper des autres si tu n'arrives pas à t'occuper de toi-même. Si tu es mal dans ta peau, tu n'auras jamais autant d'énergie à donner aux autres. Bon, je pense que je vais m'arrêter là. Ah oui, juste peut-être avant de terminer. Parce que j'avais des grandes questions un petit peu existentielles qui me venaient. Du coup là, qu'est-ce que je me suis dit ? Et puis pour t'expliquer un petit peu la suite, dans 15 jours, je vais en savoir plus avec le neurochirurgien, qu'est-ce qu'on fait. Et donc du coup là, je me suis dit en fait... Bon, je te fais cet épisode de podcast parce que j'adore vraiment ça. Donc, je me suis dit qu'au niveau de mon entreprise, je vais vraiment me re... Je ne suis pas une grande fan de création de contenu, là, vous faire des posts ou faire... J'ai fait pas mal de mèmes dernièrement. Alors oui, ça vous fait rire, tout ça, mais ce n'est pas non plus digne d'une immense valeur, contrairement à mes épisodes de podcast où vraiment on passe 30, 50 minutes ensemble où là, vous ressentez toute même énergie et que j'ai vraiment des... gros messages à vous faire passer donc du coup je vais vraiment m'axer sur que des choses que j'aime faire, mon focus aujourd'hui c'est moi, c'est plus mon entreprise tout ça je le mets entre parenthèses si vous avez envie d'être coaché, donc là pour le moment comme je sais pas trop qu'est-ce qu'il va en être si je me fais opérer ou pas je mets en pause les coachings de groupe ça c'est sûr individuelle, il faut être... J'avais dit que j'arrêtais les coachings à l'heure au mois de septembre, sauf que il y a eu une nouvelle... Ce n'était pas prévu que la tumeur vienne faire coucou. Donc du coup, j'adapte. Ce qui est sûr, c'est que je peux, si vous avez des besoins temporaires, vous vous dites aujourd'hui, vous n'avez pas forcément d'années. besoin d'un accompagnement long, genre peut-être du one-shot pour vous faire du bien, pour vous rebooster, besoin d'un petit coup d'énergie, tout ça, ça c'est ok, venez discuter avec moi et puis on s'organise une séance. Pour les coachings individuels, c'est à voir, il faudra juste être flexible si jamais, tout ça. Donc ça, j'en parle un peu moins et les coachings de groupe, c'est à dire, Ça, c'est en stand-by. Mais du coup, voilà, ce que je vais faire, c'est que je vais surtout créer des épisodes de podcast parce que je kiffe ça. Et venir en story aussi, je vais vous faire des coucous, des petits messages, même si je ne vais pas être tous les jours. Je n'ai plus envie de me foutre cette pression-là. Et puis, discuter en privé. Là, par contre, là-dessus, avec grand plaisir. Venez me donner de vos nouvelles, si vous avez envie de discuter, tout ça, d'échanger, de partager, avec grand plaisir. Donc voilà pour la suite, qu'est-ce qu'il en est ? J'ai aussi une newsletter, je ne sais pas si vous êtes au courant, sur comment guérir de ses blessures, notamment la blessure d'abandon, tout ça, vous pouvez le télécharger, c'est un micro-programme. que je vous offre gratuitement, qui m'a pris des heures et des heures de travail et qui est d'une immense valeur. Et en même temps, ça nous permet aussi de garder le lien. Là, j'ai arrêté d'envoyer des newsletters, je n'ai pas forcément la foi. Mais en tout cas, dès que j'aurai des messages à vous faire passer, enfin pas des messages à vous faire passer, mais dire que coucou, ça y est, ça arrive, je relance mes programmes ou des choses comme ça. au moins vous serez dans ma base de données et vous recevrez mes mails donc n'hésitez pas à télécharger le programme sur les blessures et puis voilà sinon on communiquera je vais essayer peut-être une à quatre fois par mois je ne sais pas comment ça va se passer mais de vous faire des épisodes de podcast parce que j'ai tellement de choses À faire pour vous aussi. Ah oui, voilà, j'ai perdu le truc. Mais du coup, aujourd'hui, quelles sont les questions un petit peu existentielles que j'ai en tête et qui sont importantes pour vous ? J'ai voulu me définir à travers mon métier en me disant je suis capable de réussir, de faire quelque chose, de monter quelque chose de mes propres mains. Et aujourd'hui, en fait, je suis en mode, ok, donc si j'enlève le travail de ma vie, Parce qu'aujourd'hui, j'ai vraiment envie de me consacrer qu'à moi, au plaisir. au bien-être, et vraiment me faire passer moi en priorité, et pas mon job, et pas tout le reste, ben qui suis-je, en fait ? Et donc c'est une question, ça, que j'ai envie de te partager, c'est qui es-tu en dehors de ton travail ? Parce que je sais qu'on est quand même nombreuses, malgré tout, et je pensais que j'étais pas là-dedans, à me définir de par mon travail, mais en fait, moi, j'ai une partie de moi qui avait envie de se définir à travers sa réussite, de se dire qu'elle était capable de des... tout un tas de monde et de faire pousser un petit bébé même si j'ai deux enfants mais faire j'avais envie d'avoir cette fierté là de réussir professionnellement et si je ne réussissais pas si je sais pas demain je suis plus apte, on sait pas qui suis-je ? Et je pense que c'est important de se définir par différentes choses y'a pas, tu vois y'a des personnes qui vont se définir uniquement à travers leur relation amoureuse Ah bah quand elles sont en couple, c'est là où elles vont se donner beaucoup plus de valeur. Ah je vaux la peine, ah je suis aimée, ah je suis importante. Et en fait non, c'est pour ça que c'est important de se définir à travers tout un tas de choses, parce que quand il y a quelque chose qui foire, tu sais, tu peux te raccrocher à autre chose. Et donc tu vas te raccrocher, par exemple tu vois, moi là, le côté professionnel, j'ai plus envie. Enfin j'ai plus envie. J'ai envie de faire mes séances de coaching, mais j'ai pas envie de passer du temps à créer du contenu ou des choses comme ça. en dehors du podcast, parce que le podcast, ça me fait vraiment ultra kiffer. Mais c'est vrai que le business, c'est beaucoup, beaucoup de travail. Et donc, du coup, qui es-tu quand le travail, par exemple, ça foire ? Mais même si t'es salarié, tu vois, imagine, ça va pas, ou tu te sens pas bien, ou tu te fais harceler, ou quoi que ce soit. Qui es-tu ? À quoi est-ce que tu peux te raccrocher, en fait, quand tu n'as pas ça ? Ou quand des fois, tu sais, t'as un stade de ta vie où tu sais plus où t'en es, tu sais plus ce que tu veux, tu sais plus ce que t'aimes, tu sais plus ce que t'as envie de faire dans la vie, bah qu'est-ce qui se passe ? À quoi est-ce que tu te raccroches ? Et c'est pour ça que c'est important d'avoir là, du coup, d'autres piliers, en fait. Bah ça va être peut-être une famille solide qui va être là pour toi, ça va être des amis aussi qui vont être présents. Et si t'as pas les amis, bah il faut peut-être aller en chercher, tu vois ? Il y a tout un tas de piliers. Comme ça. Le sport, par exemple, c'est ultra important. Les loisirs fondamentaux. Ouais, les loisirs sont fondamentaux. Et donc, pareil, il n'y a pas que les relations amoureuses qui sont importantes. Ah bah si, moi j'ai un mec dans ma vie, alors j'ai tout. Non, pas du tout. Il faut avoir une bonne santé, avoir de l'argent aussi. Parce que, oui, l'argent ne fait pas le bonheur, mais il y contribue. Moi, là, si j'avais la possibilité, j'irais me faire un voyage de ouf. Bon, j'ai des enfants et j'ai envie de profiter avec eux et que là, on n'a pas forcément le temps pour. Et puis surtout qu'on va devoir faire des économies si je ne travaille pas pendant un petit temps, je ne sais pas trop. Mais bon, bref. Donc, du coup, voilà. Qui es-tu en dehors de chaque sphère de ta vie, en fait, où tu accordes de l'importance ? Et est-ce que tu as d'autres choses à te raccrocher ? Ça, je pense que c'est vraiment important. Et tu vois, là aussi, je me suis dit, ok, aujourd'hui, du coup, je décide de faire une parenthèse au niveau de mon travail. Je ne sais pas combien de temps ça va durer, peut-être 15 jours, peut-être un mois, peut-être trois mois ou plus, je ne sais pas. En tout cas, quoi qu'il en soit, si jamais je mets ça de côté, à quoi est-ce que je veux dédier mon temps ? Et en plus... problématique supplémentaire, c'est que du coup, comme je vais je mets mon activité en parenthèse, je vais pas forcément gagner de l'argent. Normalement, je vais faire des mois à zéro, sauf si vous me contactez pour faire des séances individuelles ou d'ailleurs j'ai mon programme Renaissance sur la rupture amoureuse si jamais ça vous intéresse à travers ma masterclass qui est en promo. Donc allez-y. Voilà, allez. Voilà, c'est un super programme. pour vous aider à faire votre deuil de votre relation. Et donc, si aujourd'hui, imaginons, je ne gagne plus du tout d'argent, qu'est-ce que je vais faire de mon temps ? Je n'ai pas du tout envie de passer ma vie devant la télé, c'est bien sympa, mais qu'est-ce que je peux faire ? Et c'est ça aussi qui est intéressant de se poser la question, c'est si je n'avais plus d'argent, qu'est-ce que je ferais ? aussi, à quoi est-ce que je peux d'aider mon temps, comment je peux prendre du plaisir ok, ben j'aime lire, qu'est-ce que j'ai envie de lire j'ai envie d'écrire des choses qui, voilà, vont pas forcément coûter trop cher, ah ben et si je me mettais à une activité artistique, si je me mettais au coloriage ou au chant à la danse, enfin, il y a tellement de choses et je pense que aujourd'hui c'est vraiment important de se recentrer sur soi et donc toi fais-le aussi, qu'est-ce que tu aimes concrètement dans la vie qu'est-ce que si tu es Et je pense que t'as même pas besoin d'attendre d'être dans ma situation, genre d'arriver au pied du mur un petit peu pour te poser ces questions-là. Au contraire, je t'encourage vraiment à le faire maintenant. C'est, bah là aujourd'hui, si tu remettais vraiment le focus sur toi, qu'est-ce que tu ferais ? À quoi est-ce que t'aimerais dédier ton temps ? Même, tu vois, commencer doucement, tu vois. Et si je dédiais une heure de ma... allez, une ou deux heures de ma semaine à quelque chose que j'ai envie de tester. Juste un test, tu vois, pas forcément... plonger corps et âme dans une nouvelle activité mais déjà testée et ça je pense que c'est important bon voilà écoute ma beauté, mon élixir j'espère que cet épisode t'a plu si t'as envie de m'écrire sur Instagram mes messages sont ouverts je suis là pour toi et puis si t'as une histoire quoi que ce soit, me partager des questions avec grand plaisir je suis là, je te fais des gros bisous Et je dis à bientôt pour un nouvel épisode. Et surtout, surtout, surtout, prends soin de toi. Prends soin de ta santé et aime-toi. Je t'embrasse.

Description

Y a 3 mois, je me mariais et d'ici quelques semaines, je vais me faire opérer...


En 2017, on m'a découvert une tumeur au cerveau... (que j'avais traité) et aujourd'hui elle est revenue faire parlé d'elle, a doublé de volume et la situation est bien plus préoccupante car j'ai en plus un oedeme cérébral.


Dans cet épisode, je te partage ma réaction à cette nouvelle épreuve... mes peurs, mes questionnements et mes prises de conscience...

On fait un focus sur la santé car y a rien de plus important !! Oui oui je pèse mes mots.


Je pense que cet épisode devrait grandement te faire réfléchir 😜 et t'aider à relativiser par rapport à ta propre situation ^^.


💥Il est temps que toi aussi tu te fasses en priorité et cet épisode devrait te servir de coup de pied au 🍑.


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💥Mes services :


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Bisousss ❤️




Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur Éviteurs de Confiance, le podcast qui redonne le pouvoir aux femmes en vous aidant à reprendre conscience en vous, pour enfin vous épanouir pleinement dans votre vie et dans vos relations. J'ai tué 8 ans car il m'a mis sur une idée de chaque femme à s'aimer et trouver la clé du bonheur en elle pour pouvoir créer des relations plus saines et plus sereines sans soublier. Pensez également à vous abonner et si l'épisode vous a plu à mettre un 5 étoiles, vous êtes venu trouver des pouces.

  • Speaker #1

    Bonjour mes élixirs, ça fait longtemps que je ne suis pas venue vous faire un épisode de podcast. Je reviens vers vous avec pas mal de messages à vous témoigner. Ça va être sans doute un épisode qui va être un petit peu remuant. peut-être pour vous aussi au niveau de l'écoute et pour moi pour le faire parce que je reviens pas forcément avec des bonnes nouvelles mais derrière tout ce que j'ai à vous dire même si ça risque d'être un peu tristouné j'ai vraiment des... belles choses à vous partager donc écoutez jusqu'au bout même si ça va pas être l'épisode le plus oufissime en mode pompe et l'up on va pas être là dessus en mode wouhou ça va être un petit peu triste ouais je pense enfin en tout cas pour moi je reviens pas en hyper grande forme j'ai des problèmes de santé que je vais vous partager et voilà j'ai plein de leçons enfin je tire plein de leçons leçon de ce qui vient de se passer et que j'ai envie de vous partager. Alors pour vous expliquer, je ne sais pas si vous allez tomber dessus comme ça ou si vous me suivez sur Instagram. En tout cas c'est pour vous raconter un petit peu mon histoire. Si vous voulez en 2017, on m'a découvert une tumeur au cerveau. Ouais je rentre direct dedans là, je ne suis pas passée par 40 milliards de chemin, de toute façon je ne sais pas faire. Et donc du coup voilà, on m'a trouvé une tumeur au cerveau, ce qui s'appelle en fait un méningium. Et c'est en fait une espèce de boule qui se crée au niveau de la méninge, donc entre le crâne et le cerveau. Et en fait c'est une boule qui peut grossir plus ou moins vite selon la gravité et l'agressivité en fait de la tumeur. Il y a différents stades. Et donc du coup, moi, clairement, je ne suis pas au stade 1 puisque je viens de récidiver. Je suis au stade 2, au minimum 2 en tout cas. Je ne pense pas que ce soit métastasé, je serais peut-être dans un état plus gravissime que ça. Donc voilà. Bon, je ne sais vraiment pas expliquer, c'est un truc de ouf. Mais bon. Donc voilà, en fait, pour reprendre un petit peu. Donc en 2017, on me trouve une tumeur, je fais de la radio. radiothérapie, c'est-à-dire qu'on m'envoie des rayons d'une grosse charge pour me brûler la tumeur pour éviter qu'elle grossisse, donc ma boule elle était arrivée jusqu'à 3 cm comment je l'ai eue et comment je m'en suis rendue compte, c'est que j'avais des problèmes de mémorisation c'est vrai que je retiens pas les noms c'est un petit peu je vais dans une ville, 3 mois plus tard je vais avoir un gros bug et ne plus me souvenir et donc du coup, voilà il y a quelques minutes Quelques problèmes de mémorisation. Bon, ça m'inquiétait. Donc, j'avais fait un IRM à ce moment-là. Et c'est là où on m'avait trouvé ça. Et en fait, le truc aussi, c'est que... Et ça, j'ai envie de vous faire passer ce message-là aussi de votre côté. Parce que c'est hyper important. Quand on ne tombe pas le nez dedans, on ne sait pas. Et pourtant, c'est gravissime pour les femmes. C'est faites attention aux hormones que vous prenez. C'est-à-dire que les pilules, c'est de la grosse merde en boîte. moi donc j'en ai pris à l'époque je pense non pas pendant, ouais si je crois pendant bien une dizaine d'années et en fait comme j'ai de l'endométriose on m'avait fait passer sous une pilule à base de progestérone tu sais c'est celle qui te coupe les qui te coupe les règles en fait pour éviter de souffrir en endométriose parce que quand t'as tes règles ça crée une inflammation et ça peut t'amener plein de douleurs donc en fait on m'avait donné cette pilule et en fait cette pilule à base de progestérone et on a eu plusieurs qui ont été déclarées comme ultra mauvaises pour la santé et qui créent en fait ces tumeurs au cerveau. Donc attention les filles, si vous avez des maux de tête ou si vous prenez des pilules à base de progestérone, allez faire un gros check sur internet pour regarder si ça n'a pas été déclaré comme pouvant créer des méningiomes. Parce que ça fait des dégâts derrière. Donc faites attention à votre santé. Et donc tout ça pour dire que, donc voilà, on m'a trouvé une boule qui avait grossi jusqu'à 3 cm, je me la suis fait traiter par Gamma Knife, je sais pas si il y en a qui, à tout hasard, s'il y a des personnes qui m'écoutent et qui ont vécu la même chose, venez en discuter avec moi, ça me fera super plaisir de pouvoir partager tout ça. Du coup voilà, j'avais fait ça, donc c'était censé être brûlé, terminé, terminé, et puis après derrière j'avais en fait d'autres IRM une fois par an à faire. pour voir si ça n'allait pas grossir. Et donc l'année d'après, deux ans après et trois ans après, j'ai fait mes IRM. J'ai été hyper carrée et ça avait réduit. Et donc là, moi j'ai sauté de joie en mode alléluia, ça y est, c'est bon, c'est terminé, tout ça c'est derrière moi. Et puis je suis tombée enceinte de mon deuxième enfant il y a un an et demi, enfin un peu plus d'un an et demi du coup. Et puis du coup, je n'avais pas fait l'IRM. à ce moment-là, de contrôle, et puis je me suis dit, c'est bon, ça y est, j'ai plus rien, c'est terminé, ça me saoule. Et j'avais été, j'ai pas le terme là, mais en mode, voilà, j'avais traité ça par-dessus la jambe en me disant, mais non, c'est bon. Je sais pas si au fond de moi, j'avais une petite voix qui disait, non, il y a peut-être quelque chose, et puis t'as trop peur de mettre vraiment le nez dedans, dans le sens où... Où tu sens qu'il y a quelque chose et du coup, tu ne le traites pas. Je ne sais pas, franchement, je me trouve n'importe quelle excuse. Mais pour le coup, je ne me suis pas priorisée en fait. Et c'est là où on va parler de ça. Bon, je continue un petit peu la suite de l'histoire. Et puis, je reviendrai sur les leçons que j'en tire et que je te partage. Voilà, ça c'était en 2017. Je me l'ai fait brûler, ça marche bien. Et là en fait, cet été, ça fait trois mois. que je commence à avoir des mal de tête, un peu par-ci, un petit peu par-là. Et puis en fait, là, ça faisait un mois que ça commençait à s'accélérer, où tous les jours j'avais mal à la tête, jusqu'à que ça prenne 24 heures du matin au soir. J'avais la tête qui allait exploser, où en fait je ne me reconnaissais plus. J'avais l'impression d'être une sorte de légume en mode... Puis moi, je ne sais pas si ça vous le fait, mais quand je suis malade... J'ai le monde qui s'écroule sur mon dos, je deviens toute voûtée. Et là, je sens que ça ne va pas. Mon mental, il n'y a plus de mental. Il n'y a plus de mental. J'ai toujours du mental, mais je veux dire, vraiment, mon corps prend le dessus. Il me montre que ça ne va pas. Il se recrouve vive sur lui. Et là, je me dis, ça ne sent vraiment pas bon. Et donc, du coup, j'ai eu des grosses crises de mal de tête, tout ça. Et puis, il s'avère qu'en France, en fait, quand tu as des problèmes de santé, on ne te prend pas comme ça. En mode, si tu n'es pas à deux doigts de clamser, tu attends, en fait, parce que tout est pris. Enfin, il y a un monde de fous, tout le monde a des problèmes de santé. Et donc, du coup, il a fallu un mois et encore. Je pense que c'est parce que j'avais déjà un ménagium et aussi parce que j'étais à Dijon. Parce qu'à Marseille, il fallait six mois pour faire un IRM. Mais moi, six mois plus tard, là, je clame C. C'est pas compliqué. Donc bon, bref, un mois de supplice quand même, où je me suis vraiment plus sentie moi-même, en mode, déjà des pertes de mémoire, enfin encore plus. Et en fait, je sais pas si t'avais capté ou si j'ai coupé, mais je sais que les derniers épisodes de podcast que j'ai fait, j'avais des gros bugs, et j'ai toujours des gros bugs, dans le sens où... où en fait je parle et d'un coup je dis oh merde je sais plus où j'en suis je pense que c'est grandement lié à mon problème là actuellement et d'ailleurs je trouve que ça va un ou quoique pas officiel mais quand même un petit peu mieux, un peu moins d'absence comme ça, qu'est-ce que je suis en train de te dire, là ça fait 9 minutes, c'est pas encore trop arrivé, donc voilà je ressentais des gros maux de tête plus des absences etc et ça qui m'a donné envie de je me suis dit non non il y a quelque chose qui ne va pas donc vite je vais faire un IRM et donc du coup nous voilà il y a un peu moins d'une semaine où je vais faire mon IRM et là le neurologue, le médecin en charge qui me demande à me voir là je me dis oh punaise c'est normalement tu fais ton IRM on te dit oui oui on va vous donner le compte rendu merci ciao Et là, quand on te dit oui, et c'était la première fois, parce que j'en ai fait des IRM auparavant, et on m'avait déclaré ça, mais là, je crois qu'on était sur un stade au-dessus, où du coup, ben voilà, ils voulaient me parler, et donc il s'avère que ça a été... t'imagines même pas, quoi. Quand tu penses que c'est terminé. que ton combat, parce que franchement, ça avait été hyper difficile la première fois quand j'avais fait faire les rayons. Enfin, franchement, c'est une opération qui est vraiment atroce parce que t'es endormi que localement. Donc juste, en fait, si tu veux, on va te fixer un casque dans le crâne à vif où on te fait juste des piqûres au nez, mais on te visse, vraiment. Comme quand tu vises dans un mur, là, on te visse sur ton crâne pour ensuite pouvoir prendre les mesures et envoyer une charge de rayons. Donc c'est hyper traumatisant, donc je pensais que tout ça c'était derrière moi, et quand là on me dit, donc le médecin vient me voir en me disant, ben votre méningiome a doublé, donc il est passé de 3 centi... enfin il avait diminué en plus à l'époque, de 2,5 centimètres à quasiment 6 centimètres, donc une boule dans ta tête de 6 centimètres qui pousse, et en plus de ça vous avez un œdème cérébral, c'est-à-dire que ben en fait... Comme, bon après je suis pas médecin donc je vais hyper mal expliquer je pense, je pense que vous en tapez le coquillard, mais juste pour expliquer un peu, c'est que le cerveau n'est pas extensible en fait. Donc quand il y a une boule qui pousse, ben ça pousse les parois et en fait ça crée une pression, et c'est cette pression qui me faisait énormément mal à la tête et qui est dangereuse en fait. Et en plus qui a poussé une partie de... c'est là où c'est trop glauque. un bout de mon cerveau, enfin, dans un endroit qui ne devrait pas l'être. Et donc, c'est ça qui a commencé à un peu tous les inquiéter. Donc là, c'est assez urgent ce que j'ai. Et donc, en gros, je suis vraiment en pleine attente. Là, j'ai pris rendez-vous, j'ai rendez-vous le 15 septembre avec mon neurochirurgien que j'avais vu à l'époque pour voir qu'est-ce qu'on fait. Bon, je pense qu'il y a de grandes chances que je me fasse opérer. Et cette fois-ci, que je fasse la vraie opération, quoi. Le truc bien, bien hardos, en mode, on t'ouvre la tête en deux. Et je peux te dire que je suis en grand, grand flip, quoi. Quand tu vois, tu touches ta tête, là. Comme si on devait couper ton os en deux, quoi. Me dire, putain, je vais me faire ouvrir le crâne. Ça me... Je suis sûre que tu dois faire une salte. Tu m'écoutes, là. Mais, ouais, franchement, ça me... C'est hyper stressant en plus, ben voilà, après c'est hyper humain aussi, mais ben t'as envie de te rassurer, enfin tu te rassures sans... Tu te fais du mal et à la fois t'as envie de te faire du bien en regardant sur internet, et quand tu vois risque des opérations, parce que voilà, on est quand même dans le cerveau quoi, tu touches le moindre truc, le moindre nerf, ben ça y est, tu ne ressens plus rien, tu ne sens plus rien, tu ne vois plus rien, enfin ça y est c'est... C'est chaud, il peut se passer le moindre truc. Surtout que moi, où il est basé, mon méningiome, j'ai un gros risque hémorragique. Du coup, je ne sais pas s'il va vouloir m'opérer ou pas. Là, ce n'est plus possible normalement de faire de la radiothérapie comme j'avais fait à l'époque, à moins qu'il enlève une partie qui reste moins de 3 cm pour envoyer une charge de rayon. Mais sinon, là, aujourd'hui, j'ai l'impression que c'est soit opération, soit on attend si ça s'aggrave encore. plus, je sais pas trop ce qu'il va me dire mais comme il voulait me voir en urgence je me dis que ça pue l'opération ouais c'est assez chaud bref, voilà je t'ai raconté dans 13 minutes l'histoire de de Jom et ben ouais je suis en flip en fait surtout des conséquences c'est le truc où c'est un peu comme, bon et encore c'est un peu différent du coeur quand tu te fais opérer T'as certes des possibilités de mourir, mais en dehors de ça, tu peux faire des AVC, tu peux... Et puis, ben voilà, tu sais pas en fait comment tu vas te réveiller, quoi. Est-ce que tu vas avoir toutes les mêmes facultés physiques et mentales qu'auparavant ? J'ai eu l'immense chance de tomber sur des témoignages où il y avait des personnes qui disaient qu'elles... s'était réveillée, tétraplégique, enfin le pire quoi bon bref finir de se raconter tout ça, donc voilà ce qui me fait flipper actuellement, je suis pas bien j'ai peur j'ai mal au coeur je pense à mes enfants j'ai pas du tout envie de les laisser j'ai surtout pas envie de me retrouver comme ça en fait être piégée dans un corps où tu perds des sens enfin non quoi Même si, voilà, je sais que l'être humain est capable de tout et qu'il s'adapte hyper bien. Non, c'est rien, quoi. Ouais, ça me fait chier parce que je pensais vraiment avoir enduré déjà pas mal de choses dans ma vie pour mon jeune âge. Et finalement, en fait, ça continue. Mais bon, je pense que si on voit ça, c'est que Dieu se dit que je suis capable de gérer. Sans doute, je pense que, en effet... Si je n'avais pas cette fameuse mentalité, tu vois, je me dis très souvent que ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts et je cherche tellement à toujours me développer personnellement que peut-être que Dieu se dit, je vais lui envoyer encore un paquet de choses dans la tronche. Elle est forte, mais encore, encore, encore. Ce serait bien de me laisser un peu en paix quand même. Bon, enfin bref. Donc voilà, donc maintenant que je t'ai raconté ça, je voudrais te raconter en fait l'erreur que j'ai faite et que j'aimerais que surtout, surtout tu ne reproduises pas, c'est que tu sais, et c'est mon créneau aussi de te dire que depuis très longtemps, je te dis oui, il faut te prioriser, pense à toi, pense à toi, pense à toi, et je pense à moi. Tout ce que je te dis, je le fais. Par contre, là aujourd'hui, je me rends compte. que je ne l'ai pas fait à 100%. Si vraiment je pensais à moi, moi en premier, peut-être, je ne sais pas, que je n'en serais pas là. En tout cas, je n'aurais pas atteint le dème qui est le moment un peu trop tard où ça a trop poussé dans ma tête. Donc j'ai été trop laxiste en fait avec moi-même. Pourquoi ? Parce que j'ai privilégié d'autres choses. C'est-à-dire que... Je ne sais pas si c'est une excuse ou pas, mais pour moi, le travail, c'est très important. Et enfin, avant, quand j'étais toute très jeune, j'avais une quinzaine d'années, je voulais être hôtesse de l'air et j'avais une ambition débordante. Enfin, moi, j'étais en mode, bon, j'avais ce côté, j'ai envie d'être hôtesse de l'air, mais aussi, j'ai envie d'être une businesswoman, j'en veux. Je ne dirais pas que j'avais les dents qui riaient par terre, mais en tout cas, je sais que j'avais vraiment envie de réussir dans ma vie professionnelle. Après, je me suis un petit peu perdue en chemin, je ne savais pas trop quoi faire de ma vie. Enfin voilà, j'avais fait des études, j'ai un bac plus 5, mais j'ai fait deux ans de commerce. Après je me suis dit, oh j'aime pas trop, ça me saoule. J'ai fait un an d'événementiel, là je me suis dit, ouais je kiffe, par contre travailler le soir, etc. Et puis tu ne gagnes pas forcément bien au vu de toutes les horaires que tu fais. Je me suis dit, oh pénible, et puis surtout je ne trouvais pas en fait dans ce domaine-là, parce que... peu bouché. Et puis après, je suis partie dans les ressources humaines. Donc là, j'ai kiffé, mais les seuls postes ouverts à moi, c'était pas forcément ceux qui me plaisaient le plus, qui étaient dans le domaine du recrutement. Et puis donc là, j'ai un petit peu perdu ma flamme de réussir dans la vie pro. C'était je travaille surtout pour gagner de l'argent et me faire plaisir. Et puis après, quand je me suis dit, enfin, non, en fait, c'est le coaching que je vais parce qu'il y avait déjà des années que... auparavant où je m'y étais intéressée, mais voilà, je m'étais mis des limites en mode tu es trop jeune, 23 ans pour être coach, qu'est-ce que tu vas apprendre la vie à des personnes qui sont plus âgées que toi, et puis finalement, c'est revenu, quand j'avais, je crois, 28 ans, quelque chose comme ça, où là je me suis lancée dans le coaching, et donc là maintenant ça a vraiment pris une dimension supplémentaire, où en fait, Quand je me suis lancée là-dedans, j'adore tellement de 1, le coaching, le développement personnel, et puis de 2, tout ce qui est lié au business. Cette fierté qu'on peut ressentir quand on crée quelque chose, c'est comme si tu fais pousser une plante, tu l'arroses tous les jours, tu prends soin d'elle et puis tu vois qu'elle grandit, elle grandit, mais c'est tellement beau. Et du coup, moi, c'est un petit peu pareil en mode... C'est mon petit bébé, c'est mon petit bébé, mon petit business, mais en fait qui me permet d'avoir la vie que je veux, c'est-à-dire de profiter de mes enfants, d'être là à la maison, d'aller les chercher, de les récupérer quand ils sont malades, d'être là. On part en vacances parce que mon chéri du coup il est fonctionnaire et du coup il a deux mois et demi de vacances et de pouvoir faire ça, c'est fou. Et donc du coup, j'ai tellement... Je me suis investie corps et âme en mode il n'y a plus rien qui compte à côté. Mais comme je me suis dit mon entreprise, c'est moi en fait. Si je privilégie mon entreprise, je me privilégie moi. Mais en fait, non. J'ai quand même omis une partie. C'est-à-dire que tout ce qui pouvait me détourner de passer du temps dans mon entreprise en mode aller faire un IRM, donc perdre deux heures de ma journée, ben non. En fait, je préférais me donner les moyens de faire grandir mon entreprise, d'avoir des clientes, etc. Et donc c'est là où j'ai foiré. Parce que du coup, et même si je vais encore plus loin et que je suis la plus honnête possible avec vous et avec moi, j'ai même privilégié mon travail. Mais pour moi, c'est tellement plus qu'un travail en fait. Je le vois pas forcément comme ça, mais j'ai quand même privilégié mon travail à... Je sais pas si je dirais à mes enfants, parce que tout ça, c'est pour eux que je l'ai fait. En plus d'avoir cette fierté... égoïstement pour moi, de me dire putain je suis capable de faire ça mais j'ai aussi fait pour qu'on continue d'avoir ce train de vie là que j'adore qui est oufissime mais en tout cas voilà même faire du sport j'avais tendance à je me forçais quand même parce que j'avais pas envie d'être de peser 10 kilos parce que je bouffe on peut dire que franchement j'adore manger et c'est vraiment mon dada je prends un plaisir de malade là dedans Je sais pas si je mange mes émotions, mais en tout cas... En tout cas, ouais, bon, bref, la bouffe chez moi, c'est sacré. Et donc, du coup, il fallait quand même que je fasse un peu du sport. Surtout quand tu travailles de chez toi et que tu bouges pas trop ton cul. C'est quand même important de faire une petite activité. Et j'ai quand même tendance, des fois, à dire Ah non, allez, encore une heure, je travaille. Parce que t'as cette punaise de culpabilité, en fait, quand t'es à ton compte, c'est incroyable. Il faut vraiment le vivre pour le croire. Je sais qu'il y a pas mal d'entrepreneuses aussi qui me suivent, donc ils vont comprendre ce que je suis en train de dire, mais tu as cette culpabilité quand tu ne travailles pas, quand tu prends des vacances, quand tu es en repos, de te dire punaise, mais tu dois encore en faire, en faire, en faire, en faire, parce que tu n'as pas atteint ton objectif, tu n'en es pas là encore, tu n'arrives pas à en vivre complètement. Il y avait des mois où il n'y avait pas de soucis, où c'était bon, et d'autres mois, c'était un peu plus creux. L'entrepreneuriat, c'est dur. C'est vraiment pas simple et tu te fous une pression. incroyable. Donc t'as pas de patron mais en fait tu es ta propre patronne et tu t'auto-flagelles. Donc même si je promeux le fait de prendre soin de soi, d'avoir un discours bienveillant et c'est ce que je fais, mais il y avait quand même une partie de moi qui disait t'en fais pas assez, tu dois en faire plus, cravache encore, t'y es pas. Et donc du coup, tout ce qui me détournait qui... Voilà. Prendre du temps pour moi, je ne le faisais pas forcément. Même lire des lectures, par exemple, j'allais lire des livres, mais que pour le développement personnel, pour me faire grandir au niveau de mes connaissances, pour vous en fait. Et donc, toujours la tête dans le guidon. Dès que j'avais un moment, genre même, je me brossais les dents, j'écoutais un podcast, soit pour des connaissances coaching, soit pour business. Du coup, ça ne s'arrêtait pas. Jamais, jamais mon cerveau était en pause. Donc, quand tu as en plus une vie de famille, que tu dois t'occuper de tes enfants, que tu donnes tout ton temps libre, du coup, pour eux, et que quand ce n'est pas ça, c'est que du travail, ce n'est pas génial. Donc, voilà mon erreur. Et en fait, il n'y a rien de plus important que la santé. Vraiment. Parce qu'en fait, tu n'es capable de rien, tu vois. Là, j'ai procrastiné d'aller me faire un pauvre IRM qui allait me prendre deux heures. Bon, c'est parce que je n'ai pas les piqûres. Putain, je déteste. ça là, je sais pas, ils te font mal là, quand ils te font le cathéter, donc bon, j'avoue que je suis un peu une poule mouillée là-dessus, et donc du coup, et ben voilà, j'ai procrastiné deux heures, et aujourd'hui, ben ça se trouve que si je me fais opérer, je vais être ramollot pendant trois mois ou plus, ou il y a des personnes qui mettent un an avant de se retrouver, mais j'espère que je serai pas comme ça, parce que je ne peux pas. Je peux pas, c'est... Bon, je peux pas, après on fait comme on peut, hein, mais... J'aime trop ce que je fais et j'ai tellement à vous apporter. Et puis, ouais, égoïstement, quoi. J'aime aider, je sais pas. Bref, du coup, voilà. En fait, c'est comme, tu sais, le pas cher coûte cher. J'aime beaucoup dire ça. Ou des fois, tu vas dire, oui, allez, j'achète un truc à Wish. Bon, moi, j'aime pas Wish, mais je sais que des personnes vont faire ça en mode, je sais pas, une lampe torche. Je dis n'importe quoi. à 2 balles, et puis finalement, ils se disent qu'ils font des économies plutôt que de la payer 10 balles, sauf qu'en fait, 3 mois plus tard... Elle tombe en panne. Et là, tu dois en racheter une autre et tu te dis, bon, du coup, je vais quand même prendre une mieux que ça. Ben voilà, le pas cher coûte cher. C'est un petit peu pareil là, au niveau de la santé. C'est que, moi, je pensais gagner du temps en mode deux heures pour un pauvre IRM. Et puis, finalement, je vais peut-être perdre des mois de ma vie. Je ne sais pas. Donc, attention à ça. On a l'impression qu'on y gagne, alors que non. En fait, il n'y a tellement rien de plus important que sa santé. C'est... Parce que là, si je suis en convalescence, après, une fois que je me fais opérer, je ne vais pas vraiment pouvoir être là pour avoir toute l'énergie possible pour mes enfants. Donc non, quoi. Donc voilà, il n'y a que... Et puis de toute façon, je l'avais déjà compris qu'il n'y avait rien de plus important que la santé. Parce que quand tu tapes un pauvre petit rhume, ou tu es au bout de ta vie quand tu es éternue une vingtaine de fois... Tu te rends bien compte que la vie est belle quand t'es pas malade. Et là, encore une fois, je me dis que tout tourne autour de ta santé. Parce que quand t'es fatiguée, t'as pas le moral, ça va pas. Donc vraiment, si je peux te dire, si aujourd'hui t'es pas à jour sur des examens ou quoi que ce soit, où tu ressens que... Tu ne te fais pas passer en priorité. Et c'est pour ça que tu vois dans la relation de couple, là je vais faire un petit switch, mais si tu es le genre de nana à faire passer ton mec en premier, mais non, arrête ça de suite quoi. C'est, il n'y a personne d'autre de plus importante que toi. Arrête de faire passer les autres. C'est en te faisant passer, c'est aussi rendre service à l'autre en fait, que de te faire passer en priorité. C'est vraiment tes mères Teresa et que tu fais tout pour les autres. Dis-toi que prendre soin de toi, C'est prendre soin des autres. Et puis c'est le cas, dans tous les cas. Ouais, c'est vraiment hyper important de te privilégier. Donc aujourd'hui, le fait... Bah tu vois, j'ai appelé l'épisode de podcast... Enfin je pense que je vais le laisser comme ça, mais en tout cas, voilà, je suis partie sur le premier jour du reste de ma vie, parce que j'ai toujours dit que je me faisais prioriser, qu'il était hors de question, notamment par exemple dans les relations amoureuses, de faire passer l'autre en premier, d'accepter des miettes... de me laisser traiter comme une merde par qui que ce soit. Donc ça, c'est totalement vrai et ça le restera à vitam aeternam. Je m'aime trop pour me laisser pourrir ou manipuler ou quoi que ce soit par quelqu'un. Par contre, la chose que je ne faisais pas, c'est que du coup, je faisais passer mon travail avant. Et en fait, non, ton travail n'a pas à passer avant. ta santé avant ton bien-être aujourd'hui. Et je sais, je me le suis déjà dit, on ne travaille pas pour vivre. Non, non, c'est pas ça. On ne vit pas pour... Voilà, c'est ça. On ne vit pas pour travailler. On n'a pas à dédier notre vie au travail. Mais en fait, j'y voyais tellement une... Enfin, pour moi, c'était le temps de... Mais non, en fait, ça ne sert à rien tout ça. Donc là, qu'est-ce que ça va changer pour moi ? C'est qu'aujourd'hui... Je vais plus jamais, je vais mettre ma santé de côté en disant qu'il y a d'autres choses qui sont plus importantes que ça, parce que non, c'est pas le cas. On doit œuvrer nos choix en rapport avec notre santé. Si on n'a pas de santé, il n'y a plus rien, point barre. Il n'y a pas à aller plus loin, on n'est pas là pour les autres, on n'est pas présent pour eux. Et après, voilà, là ce que je vais faire, c'est qu'en plus maintenant, si je me fais opérer, je vais devenir une grosse p***. plaît en fait. Bon, c'est un peu horrible. Là, tu dois te dire, mais non, ne dis pas ça. Non, je... Allez, je retire. Mais c'est vrai que je vais être un petit peu... Voilà, si je peux rien faire pendant plusieurs jours, voire plusieurs mois, je vais te faire un petit boulet, quoi. Enfin, un gentil petit boulet, mais qu'on soit honnête aussi avec soi-même. Donc, est-ce que je l'aurais rendu service ? Non. Je me suis rendue à moi non plus, parce que, ben voilà, il y a des risques derrière l'opération. Donc en fait, il n'y a rien de bon à faire tout ça. Mais bon, des fois, il faut mettre son nez dans le caca pour comprendre. Donc voilà. Aujourd'hui, j'ai vraiment envie... Et c'est bien parce qu'en fait, je me dis encore plus, il n'y a tellement que le bien-être dans la vie qui compte que je suis tellement heureuse d'avoir choisi ce métier-là de coach pour pouvoir vous aider à vous sentir mieux dans votre vie.

  • Speaker #0

    à vous revaloriser, à vous prioriser. Maintenant, j'ai encore plus vous botter le train avec ça. Je peux vous le dire quand t'es sur moi. Et à vous aimer, quoi. Vraiment. Un acte d'amour envers soi-même. Tu vois, un des messages aussi que j'ai envie de te faire passer, c'est qu'on a beau être entouré, avoir de la famille, avoir des amis qui nous aiment, etc. Mais quand tu vis un moment comme ça, t'es seule avec tes doutes, t'es seule avec tes peurs, alors oui, Tes proches vont partager tes peurs, mais ils n'arriveront jamais à se mettre à ta place. Toi, si là, on me dit, dans 15 jours, tu te fais opérer, je vais passer 15 jours à cogiter, mais comme une malade. Et je vais passer 15 jours à flipper, parce que si après, j'ai des séquelles mentales ou physiques, c'est moi. Les gens, eux, ils vont continuer leur vie, ils vont continuer d'être dans leur... peau, avec leur bonne santé, etc. Et c'est toi en fait qui... Voilà, il t'arrive quoi que ce soit au niveau de ta santé, c'est toi qui subis. Les autres continuent leur vie. C'est pour ça que c'est important de vraiment prendre soin de soi, d'arrêter de prioriser les autres. Tout le monde doit se prioriser lui-même en fait. On a la responsabilité de soi-même. Et c'est pour ça que quand je te dis oui, personne n'est responsable de ton bonheur, tu es la seule responsable de ton bonheur comme. de ton malheur d'ailleurs, c'est pour ça quoi. Là, quand on va m'envoyer, quand je vais être à l'hôpital et qu'on va m'envoyer une dose pour m'anesthésier et qu'on va m'ouvrir le crâne en deux, je serai toute seule là. Toute seule à être en flip, à stresser comme une malade, à être tétanisée et toi, je ne sais pas si tu t'es déjà fait opérer, si tu as déjà vécu ce truc, mais je me rappelle quand j'avais fait la... la radiothérapie, j'avais vécu tout ça aussi et c'est pour ça que c'est tellement important en fait de créer une belle relation avec soi-même et qu'il n'y a rien de plus important dans la vie que de s'aimer d'avoir une bonne estime de se valoriser, d'avoir confiance en soi de tout ça quoi et moi si tu te sens à des kilomètres de ça et que tu sens que t'as vraiment une faille là-dessus et que t'as envie d'améliorer ta santé de toute façon une fois que je vais savoir qu'est-ce que qui va en être pour moi si je me fais opérer ou pas, mais quoi qu'il en soit, de toute façon, jamais je vais vous quitter, vous abandonner, mais c'est qu'une question de temps, mais je vais relancer mes programmes, que ce soit en individuel ou le coaching de groupe que j'avais décidé de lancer, mais on va faire ça ensemble, quoi. C'est tellement important. Donc prenez soin de vous, vraiment les filles. C'est rien de plus important. Et puis ne donnez pas votre vie pour quelqu'un. Ne donnez pas votre temps, tout votre temps, ne donnez pas tout votre énergie, tous vos sentiments, tout votre amour propre, ses noms, tout ça, vraiment. Priorise-toi, tu es la personne la plus importante du monde. Tu ne peux pas t'occuper des autres si tu n'arrives pas à t'occuper de toi-même. Si tu es mal dans ta peau, tu n'auras jamais autant d'énergie à donner aux autres. Bon, je pense que je vais m'arrêter là. Ah oui, juste peut-être avant de terminer. Parce que j'avais des grandes questions un petit peu existentielles qui me venaient. Du coup là, qu'est-ce que je me suis dit ? Et puis pour t'expliquer un petit peu la suite, dans 15 jours, je vais en savoir plus avec le neurochirurgien, qu'est-ce qu'on fait. Et donc du coup là, je me suis dit en fait... Bon, je te fais cet épisode de podcast parce que j'adore vraiment ça. Donc, je me suis dit qu'au niveau de mon entreprise, je vais vraiment me re... Je ne suis pas une grande fan de création de contenu, là, vous faire des posts ou faire... J'ai fait pas mal de mèmes dernièrement. Alors oui, ça vous fait rire, tout ça, mais ce n'est pas non plus digne d'une immense valeur, contrairement à mes épisodes de podcast où vraiment on passe 30, 50 minutes ensemble où là, vous ressentez toute même énergie et que j'ai vraiment des... gros messages à vous faire passer donc du coup je vais vraiment m'axer sur que des choses que j'aime faire, mon focus aujourd'hui c'est moi, c'est plus mon entreprise tout ça je le mets entre parenthèses si vous avez envie d'être coaché, donc là pour le moment comme je sais pas trop qu'est-ce qu'il va en être si je me fais opérer ou pas je mets en pause les coachings de groupe ça c'est sûr individuelle, il faut être... J'avais dit que j'arrêtais les coachings à l'heure au mois de septembre, sauf que il y a eu une nouvelle... Ce n'était pas prévu que la tumeur vienne faire coucou. Donc du coup, j'adapte. Ce qui est sûr, c'est que je peux, si vous avez des besoins temporaires, vous vous dites aujourd'hui, vous n'avez pas forcément d'années. besoin d'un accompagnement long, genre peut-être du one-shot pour vous faire du bien, pour vous rebooster, besoin d'un petit coup d'énergie, tout ça, ça c'est ok, venez discuter avec moi et puis on s'organise une séance. Pour les coachings individuels, c'est à voir, il faudra juste être flexible si jamais, tout ça. Donc ça, j'en parle un peu moins et les coachings de groupe, c'est à dire, Ça, c'est en stand-by. Mais du coup, voilà, ce que je vais faire, c'est que je vais surtout créer des épisodes de podcast parce que je kiffe ça. Et venir en story aussi, je vais vous faire des coucous, des petits messages, même si je ne vais pas être tous les jours. Je n'ai plus envie de me foutre cette pression-là. Et puis, discuter en privé. Là, par contre, là-dessus, avec grand plaisir. Venez me donner de vos nouvelles, si vous avez envie de discuter, tout ça, d'échanger, de partager, avec grand plaisir. Donc voilà pour la suite, qu'est-ce qu'il en est ? J'ai aussi une newsletter, je ne sais pas si vous êtes au courant, sur comment guérir de ses blessures, notamment la blessure d'abandon, tout ça, vous pouvez le télécharger, c'est un micro-programme. que je vous offre gratuitement, qui m'a pris des heures et des heures de travail et qui est d'une immense valeur. Et en même temps, ça nous permet aussi de garder le lien. Là, j'ai arrêté d'envoyer des newsletters, je n'ai pas forcément la foi. Mais en tout cas, dès que j'aurai des messages à vous faire passer, enfin pas des messages à vous faire passer, mais dire que coucou, ça y est, ça arrive, je relance mes programmes ou des choses comme ça. au moins vous serez dans ma base de données et vous recevrez mes mails donc n'hésitez pas à télécharger le programme sur les blessures et puis voilà sinon on communiquera je vais essayer peut-être une à quatre fois par mois je ne sais pas comment ça va se passer mais de vous faire des épisodes de podcast parce que j'ai tellement de choses À faire pour vous aussi. Ah oui, voilà, j'ai perdu le truc. Mais du coup, aujourd'hui, quelles sont les questions un petit peu existentielles que j'ai en tête et qui sont importantes pour vous ? J'ai voulu me définir à travers mon métier en me disant je suis capable de réussir, de faire quelque chose, de monter quelque chose de mes propres mains. Et aujourd'hui, en fait, je suis en mode, ok, donc si j'enlève le travail de ma vie, Parce qu'aujourd'hui, j'ai vraiment envie de me consacrer qu'à moi, au plaisir. au bien-être, et vraiment me faire passer moi en priorité, et pas mon job, et pas tout le reste, ben qui suis-je, en fait ? Et donc c'est une question, ça, que j'ai envie de te partager, c'est qui es-tu en dehors de ton travail ? Parce que je sais qu'on est quand même nombreuses, malgré tout, et je pensais que j'étais pas là-dedans, à me définir de par mon travail, mais en fait, moi, j'ai une partie de moi qui avait envie de se définir à travers sa réussite, de se dire qu'elle était capable de des... tout un tas de monde et de faire pousser un petit bébé même si j'ai deux enfants mais faire j'avais envie d'avoir cette fierté là de réussir professionnellement et si je ne réussissais pas si je sais pas demain je suis plus apte, on sait pas qui suis-je ? Et je pense que c'est important de se définir par différentes choses y'a pas, tu vois y'a des personnes qui vont se définir uniquement à travers leur relation amoureuse Ah bah quand elles sont en couple, c'est là où elles vont se donner beaucoup plus de valeur. Ah je vaux la peine, ah je suis aimée, ah je suis importante. Et en fait non, c'est pour ça que c'est important de se définir à travers tout un tas de choses, parce que quand il y a quelque chose qui foire, tu sais, tu peux te raccrocher à autre chose. Et donc tu vas te raccrocher, par exemple tu vois, moi là, le côté professionnel, j'ai plus envie. Enfin j'ai plus envie. J'ai envie de faire mes séances de coaching, mais j'ai pas envie de passer du temps à créer du contenu ou des choses comme ça. en dehors du podcast, parce que le podcast, ça me fait vraiment ultra kiffer. Mais c'est vrai que le business, c'est beaucoup, beaucoup de travail. Et donc, du coup, qui es-tu quand le travail, par exemple, ça foire ? Mais même si t'es salarié, tu vois, imagine, ça va pas, ou tu te sens pas bien, ou tu te fais harceler, ou quoi que ce soit. Qui es-tu ? À quoi est-ce que tu peux te raccrocher, en fait, quand tu n'as pas ça ? Ou quand des fois, tu sais, t'as un stade de ta vie où tu sais plus où t'en es, tu sais plus ce que tu veux, tu sais plus ce que t'aimes, tu sais plus ce que t'as envie de faire dans la vie, bah qu'est-ce qui se passe ? À quoi est-ce que tu te raccroches ? Et c'est pour ça que c'est important d'avoir là, du coup, d'autres piliers, en fait. Bah ça va être peut-être une famille solide qui va être là pour toi, ça va être des amis aussi qui vont être présents. Et si t'as pas les amis, bah il faut peut-être aller en chercher, tu vois ? Il y a tout un tas de piliers. Comme ça. Le sport, par exemple, c'est ultra important. Les loisirs fondamentaux. Ouais, les loisirs sont fondamentaux. Et donc, pareil, il n'y a pas que les relations amoureuses qui sont importantes. Ah bah si, moi j'ai un mec dans ma vie, alors j'ai tout. Non, pas du tout. Il faut avoir une bonne santé, avoir de l'argent aussi. Parce que, oui, l'argent ne fait pas le bonheur, mais il y contribue. Moi, là, si j'avais la possibilité, j'irais me faire un voyage de ouf. Bon, j'ai des enfants et j'ai envie de profiter avec eux et que là, on n'a pas forcément le temps pour. Et puis surtout qu'on va devoir faire des économies si je ne travaille pas pendant un petit temps, je ne sais pas trop. Mais bon, bref. Donc, du coup, voilà. Qui es-tu en dehors de chaque sphère de ta vie, en fait, où tu accordes de l'importance ? Et est-ce que tu as d'autres choses à te raccrocher ? Ça, je pense que c'est vraiment important. Et tu vois, là aussi, je me suis dit, ok, aujourd'hui, du coup, je décide de faire une parenthèse au niveau de mon travail. Je ne sais pas combien de temps ça va durer, peut-être 15 jours, peut-être un mois, peut-être trois mois ou plus, je ne sais pas. En tout cas, quoi qu'il en soit, si jamais je mets ça de côté, à quoi est-ce que je veux dédier mon temps ? Et en plus... problématique supplémentaire, c'est que du coup, comme je vais je mets mon activité en parenthèse, je vais pas forcément gagner de l'argent. Normalement, je vais faire des mois à zéro, sauf si vous me contactez pour faire des séances individuelles ou d'ailleurs j'ai mon programme Renaissance sur la rupture amoureuse si jamais ça vous intéresse à travers ma masterclass qui est en promo. Donc allez-y. Voilà, allez. Voilà, c'est un super programme. pour vous aider à faire votre deuil de votre relation. Et donc, si aujourd'hui, imaginons, je ne gagne plus du tout d'argent, qu'est-ce que je vais faire de mon temps ? Je n'ai pas du tout envie de passer ma vie devant la télé, c'est bien sympa, mais qu'est-ce que je peux faire ? Et c'est ça aussi qui est intéressant de se poser la question, c'est si je n'avais plus d'argent, qu'est-ce que je ferais ? aussi, à quoi est-ce que je peux d'aider mon temps, comment je peux prendre du plaisir ok, ben j'aime lire, qu'est-ce que j'ai envie de lire j'ai envie d'écrire des choses qui, voilà, vont pas forcément coûter trop cher, ah ben et si je me mettais à une activité artistique, si je me mettais au coloriage ou au chant à la danse, enfin, il y a tellement de choses et je pense que aujourd'hui c'est vraiment important de se recentrer sur soi et donc toi fais-le aussi, qu'est-ce que tu aimes concrètement dans la vie qu'est-ce que si tu es Et je pense que t'as même pas besoin d'attendre d'être dans ma situation, genre d'arriver au pied du mur un petit peu pour te poser ces questions-là. Au contraire, je t'encourage vraiment à le faire maintenant. C'est, bah là aujourd'hui, si tu remettais vraiment le focus sur toi, qu'est-ce que tu ferais ? À quoi est-ce que t'aimerais dédier ton temps ? Même, tu vois, commencer doucement, tu vois. Et si je dédiais une heure de ma... allez, une ou deux heures de ma semaine à quelque chose que j'ai envie de tester. Juste un test, tu vois, pas forcément... plonger corps et âme dans une nouvelle activité mais déjà testée et ça je pense que c'est important bon voilà écoute ma beauté, mon élixir j'espère que cet épisode t'a plu si t'as envie de m'écrire sur Instagram mes messages sont ouverts je suis là pour toi et puis si t'as une histoire quoi que ce soit, me partager des questions avec grand plaisir je suis là, je te fais des gros bisous Et je dis à bientôt pour un nouvel épisode. Et surtout, surtout, surtout, prends soin de toi. Prends soin de ta santé et aime-toi. Je t'embrasse.

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Description

Y a 3 mois, je me mariais et d'ici quelques semaines, je vais me faire opérer...


En 2017, on m'a découvert une tumeur au cerveau... (que j'avais traité) et aujourd'hui elle est revenue faire parlé d'elle, a doublé de volume et la situation est bien plus préoccupante car j'ai en plus un oedeme cérébral.


Dans cet épisode, je te partage ma réaction à cette nouvelle épreuve... mes peurs, mes questionnements et mes prises de conscience...

On fait un focus sur la santé car y a rien de plus important !! Oui oui je pèse mes mots.


Je pense que cet épisode devrait grandement te faire réfléchir 😜 et t'aider à relativiser par rapport à ta propre situation ^^.


💥Il est temps que toi aussi tu te fasses en priorité et cet épisode devrait te servir de coup de pied au 🍑.


~~~~~~~~~~~~


💥Mes services :


🎁 JE T'OFFRE un guide d'une grande valeur pour te libérer de tes blessures du passé qui impactent tes relations et t'empêchent d'être heureuse. 🎁


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👉 Programme Rupture amoureuse pour essuyer tes larmes, retrouver ta joie de vivre, tourner la page et te reconstruire en BEAUTE.


👉 Retrouve moi sur Instagram et vient papoter :)


Bisousss ❤️




Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur Éviteurs de Confiance, le podcast qui redonne le pouvoir aux femmes en vous aidant à reprendre conscience en vous, pour enfin vous épanouir pleinement dans votre vie et dans vos relations. J'ai tué 8 ans car il m'a mis sur une idée de chaque femme à s'aimer et trouver la clé du bonheur en elle pour pouvoir créer des relations plus saines et plus sereines sans soublier. Pensez également à vous abonner et si l'épisode vous a plu à mettre un 5 étoiles, vous êtes venu trouver des pouces.

  • Speaker #1

    Bonjour mes élixirs, ça fait longtemps que je ne suis pas venue vous faire un épisode de podcast. Je reviens vers vous avec pas mal de messages à vous témoigner. Ça va être sans doute un épisode qui va être un petit peu remuant. peut-être pour vous aussi au niveau de l'écoute et pour moi pour le faire parce que je reviens pas forcément avec des bonnes nouvelles mais derrière tout ce que j'ai à vous dire même si ça risque d'être un peu tristouné j'ai vraiment des... belles choses à vous partager donc écoutez jusqu'au bout même si ça va pas être l'épisode le plus oufissime en mode pompe et l'up on va pas être là dessus en mode wouhou ça va être un petit peu triste ouais je pense enfin en tout cas pour moi je reviens pas en hyper grande forme j'ai des problèmes de santé que je vais vous partager et voilà j'ai plein de leçons enfin je tire plein de leçons leçon de ce qui vient de se passer et que j'ai envie de vous partager. Alors pour vous expliquer, je ne sais pas si vous allez tomber dessus comme ça ou si vous me suivez sur Instagram. En tout cas c'est pour vous raconter un petit peu mon histoire. Si vous voulez en 2017, on m'a découvert une tumeur au cerveau. Ouais je rentre direct dedans là, je ne suis pas passée par 40 milliards de chemin, de toute façon je ne sais pas faire. Et donc du coup voilà, on m'a trouvé une tumeur au cerveau, ce qui s'appelle en fait un méningium. Et c'est en fait une espèce de boule qui se crée au niveau de la méninge, donc entre le crâne et le cerveau. Et en fait c'est une boule qui peut grossir plus ou moins vite selon la gravité et l'agressivité en fait de la tumeur. Il y a différents stades. Et donc du coup, moi, clairement, je ne suis pas au stade 1 puisque je viens de récidiver. Je suis au stade 2, au minimum 2 en tout cas. Je ne pense pas que ce soit métastasé, je serais peut-être dans un état plus gravissime que ça. Donc voilà. Bon, je ne sais vraiment pas expliquer, c'est un truc de ouf. Mais bon. Donc voilà, en fait, pour reprendre un petit peu. Donc en 2017, on me trouve une tumeur, je fais de la radio. radiothérapie, c'est-à-dire qu'on m'envoie des rayons d'une grosse charge pour me brûler la tumeur pour éviter qu'elle grossisse, donc ma boule elle était arrivée jusqu'à 3 cm comment je l'ai eue et comment je m'en suis rendue compte, c'est que j'avais des problèmes de mémorisation c'est vrai que je retiens pas les noms c'est un petit peu je vais dans une ville, 3 mois plus tard je vais avoir un gros bug et ne plus me souvenir et donc du coup, voilà il y a quelques minutes Quelques problèmes de mémorisation. Bon, ça m'inquiétait. Donc, j'avais fait un IRM à ce moment-là. Et c'est là où on m'avait trouvé ça. Et en fait, le truc aussi, c'est que... Et ça, j'ai envie de vous faire passer ce message-là aussi de votre côté. Parce que c'est hyper important. Quand on ne tombe pas le nez dedans, on ne sait pas. Et pourtant, c'est gravissime pour les femmes. C'est faites attention aux hormones que vous prenez. C'est-à-dire que les pilules, c'est de la grosse merde en boîte. moi donc j'en ai pris à l'époque je pense non pas pendant, ouais si je crois pendant bien une dizaine d'années et en fait comme j'ai de l'endométriose on m'avait fait passer sous une pilule à base de progestérone tu sais c'est celle qui te coupe les qui te coupe les règles en fait pour éviter de souffrir en endométriose parce que quand t'as tes règles ça crée une inflammation et ça peut t'amener plein de douleurs donc en fait on m'avait donné cette pilule et en fait cette pilule à base de progestérone et on a eu plusieurs qui ont été déclarées comme ultra mauvaises pour la santé et qui créent en fait ces tumeurs au cerveau. Donc attention les filles, si vous avez des maux de tête ou si vous prenez des pilules à base de progestérone, allez faire un gros check sur internet pour regarder si ça n'a pas été déclaré comme pouvant créer des méningiomes. Parce que ça fait des dégâts derrière. Donc faites attention à votre santé. Et donc tout ça pour dire que, donc voilà, on m'a trouvé une boule qui avait grossi jusqu'à 3 cm, je me la suis fait traiter par Gamma Knife, je sais pas si il y en a qui, à tout hasard, s'il y a des personnes qui m'écoutent et qui ont vécu la même chose, venez en discuter avec moi, ça me fera super plaisir de pouvoir partager tout ça. Du coup voilà, j'avais fait ça, donc c'était censé être brûlé, terminé, terminé, et puis après derrière j'avais en fait d'autres IRM une fois par an à faire. pour voir si ça n'allait pas grossir. Et donc l'année d'après, deux ans après et trois ans après, j'ai fait mes IRM. J'ai été hyper carrée et ça avait réduit. Et donc là, moi j'ai sauté de joie en mode alléluia, ça y est, c'est bon, c'est terminé, tout ça c'est derrière moi. Et puis je suis tombée enceinte de mon deuxième enfant il y a un an et demi, enfin un peu plus d'un an et demi du coup. Et puis du coup, je n'avais pas fait l'IRM. à ce moment-là, de contrôle, et puis je me suis dit, c'est bon, ça y est, j'ai plus rien, c'est terminé, ça me saoule. Et j'avais été, j'ai pas le terme là, mais en mode, voilà, j'avais traité ça par-dessus la jambe en me disant, mais non, c'est bon. Je sais pas si au fond de moi, j'avais une petite voix qui disait, non, il y a peut-être quelque chose, et puis t'as trop peur de mettre vraiment le nez dedans, dans le sens où... Où tu sens qu'il y a quelque chose et du coup, tu ne le traites pas. Je ne sais pas, franchement, je me trouve n'importe quelle excuse. Mais pour le coup, je ne me suis pas priorisée en fait. Et c'est là où on va parler de ça. Bon, je continue un petit peu la suite de l'histoire. Et puis, je reviendrai sur les leçons que j'en tire et que je te partage. Voilà, ça c'était en 2017. Je me l'ai fait brûler, ça marche bien. Et là en fait, cet été, ça fait trois mois. que je commence à avoir des mal de tête, un peu par-ci, un petit peu par-là. Et puis en fait, là, ça faisait un mois que ça commençait à s'accélérer, où tous les jours j'avais mal à la tête, jusqu'à que ça prenne 24 heures du matin au soir. J'avais la tête qui allait exploser, où en fait je ne me reconnaissais plus. J'avais l'impression d'être une sorte de légume en mode... Puis moi, je ne sais pas si ça vous le fait, mais quand je suis malade... J'ai le monde qui s'écroule sur mon dos, je deviens toute voûtée. Et là, je sens que ça ne va pas. Mon mental, il n'y a plus de mental. Il n'y a plus de mental. J'ai toujours du mental, mais je veux dire, vraiment, mon corps prend le dessus. Il me montre que ça ne va pas. Il se recrouve vive sur lui. Et là, je me dis, ça ne sent vraiment pas bon. Et donc, du coup, j'ai eu des grosses crises de mal de tête, tout ça. Et puis, il s'avère qu'en France, en fait, quand tu as des problèmes de santé, on ne te prend pas comme ça. En mode, si tu n'es pas à deux doigts de clamser, tu attends, en fait, parce que tout est pris. Enfin, il y a un monde de fous, tout le monde a des problèmes de santé. Et donc, du coup, il a fallu un mois et encore. Je pense que c'est parce que j'avais déjà un ménagium et aussi parce que j'étais à Dijon. Parce qu'à Marseille, il fallait six mois pour faire un IRM. Mais moi, six mois plus tard, là, je clame C. C'est pas compliqué. Donc bon, bref, un mois de supplice quand même, où je me suis vraiment plus sentie moi-même, en mode, déjà des pertes de mémoire, enfin encore plus. Et en fait, je sais pas si t'avais capté ou si j'ai coupé, mais je sais que les derniers épisodes de podcast que j'ai fait, j'avais des gros bugs, et j'ai toujours des gros bugs, dans le sens où... où en fait je parle et d'un coup je dis oh merde je sais plus où j'en suis je pense que c'est grandement lié à mon problème là actuellement et d'ailleurs je trouve que ça va un ou quoique pas officiel mais quand même un petit peu mieux, un peu moins d'absence comme ça, qu'est-ce que je suis en train de te dire, là ça fait 9 minutes, c'est pas encore trop arrivé, donc voilà je ressentais des gros maux de tête plus des absences etc et ça qui m'a donné envie de je me suis dit non non il y a quelque chose qui ne va pas donc vite je vais faire un IRM et donc du coup nous voilà il y a un peu moins d'une semaine où je vais faire mon IRM et là le neurologue, le médecin en charge qui me demande à me voir là je me dis oh punaise c'est normalement tu fais ton IRM on te dit oui oui on va vous donner le compte rendu merci ciao Et là, quand on te dit oui, et c'était la première fois, parce que j'en ai fait des IRM auparavant, et on m'avait déclaré ça, mais là, je crois qu'on était sur un stade au-dessus, où du coup, ben voilà, ils voulaient me parler, et donc il s'avère que ça a été... t'imagines même pas, quoi. Quand tu penses que c'est terminé. que ton combat, parce que franchement, ça avait été hyper difficile la première fois quand j'avais fait faire les rayons. Enfin, franchement, c'est une opération qui est vraiment atroce parce que t'es endormi que localement. Donc juste, en fait, si tu veux, on va te fixer un casque dans le crâne à vif où on te fait juste des piqûres au nez, mais on te visse, vraiment. Comme quand tu vises dans un mur, là, on te visse sur ton crâne pour ensuite pouvoir prendre les mesures et envoyer une charge de rayons. Donc c'est hyper traumatisant, donc je pensais que tout ça c'était derrière moi, et quand là on me dit, donc le médecin vient me voir en me disant, ben votre méningiome a doublé, donc il est passé de 3 centi... enfin il avait diminué en plus à l'époque, de 2,5 centimètres à quasiment 6 centimètres, donc une boule dans ta tête de 6 centimètres qui pousse, et en plus de ça vous avez un œdème cérébral, c'est-à-dire que ben en fait... Comme, bon après je suis pas médecin donc je vais hyper mal expliquer je pense, je pense que vous en tapez le coquillard, mais juste pour expliquer un peu, c'est que le cerveau n'est pas extensible en fait. Donc quand il y a une boule qui pousse, ben ça pousse les parois et en fait ça crée une pression, et c'est cette pression qui me faisait énormément mal à la tête et qui est dangereuse en fait. Et en plus qui a poussé une partie de... c'est là où c'est trop glauque. un bout de mon cerveau, enfin, dans un endroit qui ne devrait pas l'être. Et donc, c'est ça qui a commencé à un peu tous les inquiéter. Donc là, c'est assez urgent ce que j'ai. Et donc, en gros, je suis vraiment en pleine attente. Là, j'ai pris rendez-vous, j'ai rendez-vous le 15 septembre avec mon neurochirurgien que j'avais vu à l'époque pour voir qu'est-ce qu'on fait. Bon, je pense qu'il y a de grandes chances que je me fasse opérer. Et cette fois-ci, que je fasse la vraie opération, quoi. Le truc bien, bien hardos, en mode, on t'ouvre la tête en deux. Et je peux te dire que je suis en grand, grand flip, quoi. Quand tu vois, tu touches ta tête, là. Comme si on devait couper ton os en deux, quoi. Me dire, putain, je vais me faire ouvrir le crâne. Ça me... Je suis sûre que tu dois faire une salte. Tu m'écoutes, là. Mais, ouais, franchement, ça me... C'est hyper stressant en plus, ben voilà, après c'est hyper humain aussi, mais ben t'as envie de te rassurer, enfin tu te rassures sans... Tu te fais du mal et à la fois t'as envie de te faire du bien en regardant sur internet, et quand tu vois risque des opérations, parce que voilà, on est quand même dans le cerveau quoi, tu touches le moindre truc, le moindre nerf, ben ça y est, tu ne ressens plus rien, tu ne sens plus rien, tu ne vois plus rien, enfin ça y est c'est... C'est chaud, il peut se passer le moindre truc. Surtout que moi, où il est basé, mon méningiome, j'ai un gros risque hémorragique. Du coup, je ne sais pas s'il va vouloir m'opérer ou pas. Là, ce n'est plus possible normalement de faire de la radiothérapie comme j'avais fait à l'époque, à moins qu'il enlève une partie qui reste moins de 3 cm pour envoyer une charge de rayon. Mais sinon, là, aujourd'hui, j'ai l'impression que c'est soit opération, soit on attend si ça s'aggrave encore. plus, je sais pas trop ce qu'il va me dire mais comme il voulait me voir en urgence je me dis que ça pue l'opération ouais c'est assez chaud bref, voilà je t'ai raconté dans 13 minutes l'histoire de de Jom et ben ouais je suis en flip en fait surtout des conséquences c'est le truc où c'est un peu comme, bon et encore c'est un peu différent du coeur quand tu te fais opérer T'as certes des possibilités de mourir, mais en dehors de ça, tu peux faire des AVC, tu peux... Et puis, ben voilà, tu sais pas en fait comment tu vas te réveiller, quoi. Est-ce que tu vas avoir toutes les mêmes facultés physiques et mentales qu'auparavant ? J'ai eu l'immense chance de tomber sur des témoignages où il y avait des personnes qui disaient qu'elles... s'était réveillée, tétraplégique, enfin le pire quoi bon bref finir de se raconter tout ça, donc voilà ce qui me fait flipper actuellement, je suis pas bien j'ai peur j'ai mal au coeur je pense à mes enfants j'ai pas du tout envie de les laisser j'ai surtout pas envie de me retrouver comme ça en fait être piégée dans un corps où tu perds des sens enfin non quoi Même si, voilà, je sais que l'être humain est capable de tout et qu'il s'adapte hyper bien. Non, c'est rien, quoi. Ouais, ça me fait chier parce que je pensais vraiment avoir enduré déjà pas mal de choses dans ma vie pour mon jeune âge. Et finalement, en fait, ça continue. Mais bon, je pense que si on voit ça, c'est que Dieu se dit que je suis capable de gérer. Sans doute, je pense que, en effet... Si je n'avais pas cette fameuse mentalité, tu vois, je me dis très souvent que ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts et je cherche tellement à toujours me développer personnellement que peut-être que Dieu se dit, je vais lui envoyer encore un paquet de choses dans la tronche. Elle est forte, mais encore, encore, encore. Ce serait bien de me laisser un peu en paix quand même. Bon, enfin bref. Donc voilà, donc maintenant que je t'ai raconté ça, je voudrais te raconter en fait l'erreur que j'ai faite et que j'aimerais que surtout, surtout tu ne reproduises pas, c'est que tu sais, et c'est mon créneau aussi de te dire que depuis très longtemps, je te dis oui, il faut te prioriser, pense à toi, pense à toi, pense à toi, et je pense à moi. Tout ce que je te dis, je le fais. Par contre, là aujourd'hui, je me rends compte. que je ne l'ai pas fait à 100%. Si vraiment je pensais à moi, moi en premier, peut-être, je ne sais pas, que je n'en serais pas là. En tout cas, je n'aurais pas atteint le dème qui est le moment un peu trop tard où ça a trop poussé dans ma tête. Donc j'ai été trop laxiste en fait avec moi-même. Pourquoi ? Parce que j'ai privilégié d'autres choses. C'est-à-dire que... Je ne sais pas si c'est une excuse ou pas, mais pour moi, le travail, c'est très important. Et enfin, avant, quand j'étais toute très jeune, j'avais une quinzaine d'années, je voulais être hôtesse de l'air et j'avais une ambition débordante. Enfin, moi, j'étais en mode, bon, j'avais ce côté, j'ai envie d'être hôtesse de l'air, mais aussi, j'ai envie d'être une businesswoman, j'en veux. Je ne dirais pas que j'avais les dents qui riaient par terre, mais en tout cas, je sais que j'avais vraiment envie de réussir dans ma vie professionnelle. Après, je me suis un petit peu perdue en chemin, je ne savais pas trop quoi faire de ma vie. Enfin voilà, j'avais fait des études, j'ai un bac plus 5, mais j'ai fait deux ans de commerce. Après je me suis dit, oh j'aime pas trop, ça me saoule. J'ai fait un an d'événementiel, là je me suis dit, ouais je kiffe, par contre travailler le soir, etc. Et puis tu ne gagnes pas forcément bien au vu de toutes les horaires que tu fais. Je me suis dit, oh pénible, et puis surtout je ne trouvais pas en fait dans ce domaine-là, parce que... peu bouché. Et puis après, je suis partie dans les ressources humaines. Donc là, j'ai kiffé, mais les seuls postes ouverts à moi, c'était pas forcément ceux qui me plaisaient le plus, qui étaient dans le domaine du recrutement. Et puis donc là, j'ai un petit peu perdu ma flamme de réussir dans la vie pro. C'était je travaille surtout pour gagner de l'argent et me faire plaisir. Et puis après, quand je me suis dit, enfin, non, en fait, c'est le coaching que je vais parce qu'il y avait déjà des années que... auparavant où je m'y étais intéressée, mais voilà, je m'étais mis des limites en mode tu es trop jeune, 23 ans pour être coach, qu'est-ce que tu vas apprendre la vie à des personnes qui sont plus âgées que toi, et puis finalement, c'est revenu, quand j'avais, je crois, 28 ans, quelque chose comme ça, où là je me suis lancée dans le coaching, et donc là maintenant ça a vraiment pris une dimension supplémentaire, où en fait, Quand je me suis lancée là-dedans, j'adore tellement de 1, le coaching, le développement personnel, et puis de 2, tout ce qui est lié au business. Cette fierté qu'on peut ressentir quand on crée quelque chose, c'est comme si tu fais pousser une plante, tu l'arroses tous les jours, tu prends soin d'elle et puis tu vois qu'elle grandit, elle grandit, mais c'est tellement beau. Et du coup, moi, c'est un petit peu pareil en mode... C'est mon petit bébé, c'est mon petit bébé, mon petit business, mais en fait qui me permet d'avoir la vie que je veux, c'est-à-dire de profiter de mes enfants, d'être là à la maison, d'aller les chercher, de les récupérer quand ils sont malades, d'être là. On part en vacances parce que mon chéri du coup il est fonctionnaire et du coup il a deux mois et demi de vacances et de pouvoir faire ça, c'est fou. Et donc du coup, j'ai tellement... Je me suis investie corps et âme en mode il n'y a plus rien qui compte à côté. Mais comme je me suis dit mon entreprise, c'est moi en fait. Si je privilégie mon entreprise, je me privilégie moi. Mais en fait, non. J'ai quand même omis une partie. C'est-à-dire que tout ce qui pouvait me détourner de passer du temps dans mon entreprise en mode aller faire un IRM, donc perdre deux heures de ma journée, ben non. En fait, je préférais me donner les moyens de faire grandir mon entreprise, d'avoir des clientes, etc. Et donc c'est là où j'ai foiré. Parce que du coup, et même si je vais encore plus loin et que je suis la plus honnête possible avec vous et avec moi, j'ai même privilégié mon travail. Mais pour moi, c'est tellement plus qu'un travail en fait. Je le vois pas forcément comme ça, mais j'ai quand même privilégié mon travail à... Je sais pas si je dirais à mes enfants, parce que tout ça, c'est pour eux que je l'ai fait. En plus d'avoir cette fierté... égoïstement pour moi, de me dire putain je suis capable de faire ça mais j'ai aussi fait pour qu'on continue d'avoir ce train de vie là que j'adore qui est oufissime mais en tout cas voilà même faire du sport j'avais tendance à je me forçais quand même parce que j'avais pas envie d'être de peser 10 kilos parce que je bouffe on peut dire que franchement j'adore manger et c'est vraiment mon dada je prends un plaisir de malade là dedans Je sais pas si je mange mes émotions, mais en tout cas... En tout cas, ouais, bon, bref, la bouffe chez moi, c'est sacré. Et donc, du coup, il fallait quand même que je fasse un peu du sport. Surtout quand tu travailles de chez toi et que tu bouges pas trop ton cul. C'est quand même important de faire une petite activité. Et j'ai quand même tendance, des fois, à dire Ah non, allez, encore une heure, je travaille. Parce que t'as cette punaise de culpabilité, en fait, quand t'es à ton compte, c'est incroyable. Il faut vraiment le vivre pour le croire. Je sais qu'il y a pas mal d'entrepreneuses aussi qui me suivent, donc ils vont comprendre ce que je suis en train de dire, mais tu as cette culpabilité quand tu ne travailles pas, quand tu prends des vacances, quand tu es en repos, de te dire punaise, mais tu dois encore en faire, en faire, en faire, en faire, parce que tu n'as pas atteint ton objectif, tu n'en es pas là encore, tu n'arrives pas à en vivre complètement. Il y avait des mois où il n'y avait pas de soucis, où c'était bon, et d'autres mois, c'était un peu plus creux. L'entrepreneuriat, c'est dur. C'est vraiment pas simple et tu te fous une pression. incroyable. Donc t'as pas de patron mais en fait tu es ta propre patronne et tu t'auto-flagelles. Donc même si je promeux le fait de prendre soin de soi, d'avoir un discours bienveillant et c'est ce que je fais, mais il y avait quand même une partie de moi qui disait t'en fais pas assez, tu dois en faire plus, cravache encore, t'y es pas. Et donc du coup, tout ce qui me détournait qui... Voilà. Prendre du temps pour moi, je ne le faisais pas forcément. Même lire des lectures, par exemple, j'allais lire des livres, mais que pour le développement personnel, pour me faire grandir au niveau de mes connaissances, pour vous en fait. Et donc, toujours la tête dans le guidon. Dès que j'avais un moment, genre même, je me brossais les dents, j'écoutais un podcast, soit pour des connaissances coaching, soit pour business. Du coup, ça ne s'arrêtait pas. Jamais, jamais mon cerveau était en pause. Donc, quand tu as en plus une vie de famille, que tu dois t'occuper de tes enfants, que tu donnes tout ton temps libre, du coup, pour eux, et que quand ce n'est pas ça, c'est que du travail, ce n'est pas génial. Donc, voilà mon erreur. Et en fait, il n'y a rien de plus important que la santé. Vraiment. Parce qu'en fait, tu n'es capable de rien, tu vois. Là, j'ai procrastiné d'aller me faire un pauvre IRM qui allait me prendre deux heures. Bon, c'est parce que je n'ai pas les piqûres. Putain, je déteste. ça là, je sais pas, ils te font mal là, quand ils te font le cathéter, donc bon, j'avoue que je suis un peu une poule mouillée là-dessus, et donc du coup, et ben voilà, j'ai procrastiné deux heures, et aujourd'hui, ben ça se trouve que si je me fais opérer, je vais être ramollot pendant trois mois ou plus, ou il y a des personnes qui mettent un an avant de se retrouver, mais j'espère que je serai pas comme ça, parce que je ne peux pas. Je peux pas, c'est... Bon, je peux pas, après on fait comme on peut, hein, mais... J'aime trop ce que je fais et j'ai tellement à vous apporter. Et puis, ouais, égoïstement, quoi. J'aime aider, je sais pas. Bref, du coup, voilà. En fait, c'est comme, tu sais, le pas cher coûte cher. J'aime beaucoup dire ça. Ou des fois, tu vas dire, oui, allez, j'achète un truc à Wish. Bon, moi, j'aime pas Wish, mais je sais que des personnes vont faire ça en mode, je sais pas, une lampe torche. Je dis n'importe quoi. à 2 balles, et puis finalement, ils se disent qu'ils font des économies plutôt que de la payer 10 balles, sauf qu'en fait, 3 mois plus tard... Elle tombe en panne. Et là, tu dois en racheter une autre et tu te dis, bon, du coup, je vais quand même prendre une mieux que ça. Ben voilà, le pas cher coûte cher. C'est un petit peu pareil là, au niveau de la santé. C'est que, moi, je pensais gagner du temps en mode deux heures pour un pauvre IRM. Et puis, finalement, je vais peut-être perdre des mois de ma vie. Je ne sais pas. Donc, attention à ça. On a l'impression qu'on y gagne, alors que non. En fait, il n'y a tellement rien de plus important que sa santé. C'est... Parce que là, si je suis en convalescence, après, une fois que je me fais opérer, je ne vais pas vraiment pouvoir être là pour avoir toute l'énergie possible pour mes enfants. Donc non, quoi. Donc voilà, il n'y a que... Et puis de toute façon, je l'avais déjà compris qu'il n'y avait rien de plus important que la santé. Parce que quand tu tapes un pauvre petit rhume, ou tu es au bout de ta vie quand tu es éternue une vingtaine de fois... Tu te rends bien compte que la vie est belle quand t'es pas malade. Et là, encore une fois, je me dis que tout tourne autour de ta santé. Parce que quand t'es fatiguée, t'as pas le moral, ça va pas. Donc vraiment, si je peux te dire, si aujourd'hui t'es pas à jour sur des examens ou quoi que ce soit, où tu ressens que... Tu ne te fais pas passer en priorité. Et c'est pour ça que tu vois dans la relation de couple, là je vais faire un petit switch, mais si tu es le genre de nana à faire passer ton mec en premier, mais non, arrête ça de suite quoi. C'est, il n'y a personne d'autre de plus importante que toi. Arrête de faire passer les autres. C'est en te faisant passer, c'est aussi rendre service à l'autre en fait, que de te faire passer en priorité. C'est vraiment tes mères Teresa et que tu fais tout pour les autres. Dis-toi que prendre soin de toi, C'est prendre soin des autres. Et puis c'est le cas, dans tous les cas. Ouais, c'est vraiment hyper important de te privilégier. Donc aujourd'hui, le fait... Bah tu vois, j'ai appelé l'épisode de podcast... Enfin je pense que je vais le laisser comme ça, mais en tout cas, voilà, je suis partie sur le premier jour du reste de ma vie, parce que j'ai toujours dit que je me faisais prioriser, qu'il était hors de question, notamment par exemple dans les relations amoureuses, de faire passer l'autre en premier, d'accepter des miettes... de me laisser traiter comme une merde par qui que ce soit. Donc ça, c'est totalement vrai et ça le restera à vitam aeternam. Je m'aime trop pour me laisser pourrir ou manipuler ou quoi que ce soit par quelqu'un. Par contre, la chose que je ne faisais pas, c'est que du coup, je faisais passer mon travail avant. Et en fait, non, ton travail n'a pas à passer avant. ta santé avant ton bien-être aujourd'hui. Et je sais, je me le suis déjà dit, on ne travaille pas pour vivre. Non, non, c'est pas ça. On ne vit pas pour... Voilà, c'est ça. On ne vit pas pour travailler. On n'a pas à dédier notre vie au travail. Mais en fait, j'y voyais tellement une... Enfin, pour moi, c'était le temps de... Mais non, en fait, ça ne sert à rien tout ça. Donc là, qu'est-ce que ça va changer pour moi ? C'est qu'aujourd'hui... Je vais plus jamais, je vais mettre ma santé de côté en disant qu'il y a d'autres choses qui sont plus importantes que ça, parce que non, c'est pas le cas. On doit œuvrer nos choix en rapport avec notre santé. Si on n'a pas de santé, il n'y a plus rien, point barre. Il n'y a pas à aller plus loin, on n'est pas là pour les autres, on n'est pas présent pour eux. Et après, voilà, là ce que je vais faire, c'est qu'en plus maintenant, si je me fais opérer, je vais devenir une grosse p***. plaît en fait. Bon, c'est un peu horrible. Là, tu dois te dire, mais non, ne dis pas ça. Non, je... Allez, je retire. Mais c'est vrai que je vais être un petit peu... Voilà, si je peux rien faire pendant plusieurs jours, voire plusieurs mois, je vais te faire un petit boulet, quoi. Enfin, un gentil petit boulet, mais qu'on soit honnête aussi avec soi-même. Donc, est-ce que je l'aurais rendu service ? Non. Je me suis rendue à moi non plus, parce que, ben voilà, il y a des risques derrière l'opération. Donc en fait, il n'y a rien de bon à faire tout ça. Mais bon, des fois, il faut mettre son nez dans le caca pour comprendre. Donc voilà. Aujourd'hui, j'ai vraiment envie... Et c'est bien parce qu'en fait, je me dis encore plus, il n'y a tellement que le bien-être dans la vie qui compte que je suis tellement heureuse d'avoir choisi ce métier-là de coach pour pouvoir vous aider à vous sentir mieux dans votre vie.

  • Speaker #0

    à vous revaloriser, à vous prioriser. Maintenant, j'ai encore plus vous botter le train avec ça. Je peux vous le dire quand t'es sur moi. Et à vous aimer, quoi. Vraiment. Un acte d'amour envers soi-même. Tu vois, un des messages aussi que j'ai envie de te faire passer, c'est qu'on a beau être entouré, avoir de la famille, avoir des amis qui nous aiment, etc. Mais quand tu vis un moment comme ça, t'es seule avec tes doutes, t'es seule avec tes peurs, alors oui, Tes proches vont partager tes peurs, mais ils n'arriveront jamais à se mettre à ta place. Toi, si là, on me dit, dans 15 jours, tu te fais opérer, je vais passer 15 jours à cogiter, mais comme une malade. Et je vais passer 15 jours à flipper, parce que si après, j'ai des séquelles mentales ou physiques, c'est moi. Les gens, eux, ils vont continuer leur vie, ils vont continuer d'être dans leur... peau, avec leur bonne santé, etc. Et c'est toi en fait qui... Voilà, il t'arrive quoi que ce soit au niveau de ta santé, c'est toi qui subis. Les autres continuent leur vie. C'est pour ça que c'est important de vraiment prendre soin de soi, d'arrêter de prioriser les autres. Tout le monde doit se prioriser lui-même en fait. On a la responsabilité de soi-même. Et c'est pour ça que quand je te dis oui, personne n'est responsable de ton bonheur, tu es la seule responsable de ton bonheur comme. de ton malheur d'ailleurs, c'est pour ça quoi. Là, quand on va m'envoyer, quand je vais être à l'hôpital et qu'on va m'envoyer une dose pour m'anesthésier et qu'on va m'ouvrir le crâne en deux, je serai toute seule là. Toute seule à être en flip, à stresser comme une malade, à être tétanisée et toi, je ne sais pas si tu t'es déjà fait opérer, si tu as déjà vécu ce truc, mais je me rappelle quand j'avais fait la... la radiothérapie, j'avais vécu tout ça aussi et c'est pour ça que c'est tellement important en fait de créer une belle relation avec soi-même et qu'il n'y a rien de plus important dans la vie que de s'aimer d'avoir une bonne estime de se valoriser, d'avoir confiance en soi de tout ça quoi et moi si tu te sens à des kilomètres de ça et que tu sens que t'as vraiment une faille là-dessus et que t'as envie d'améliorer ta santé de toute façon une fois que je vais savoir qu'est-ce que qui va en être pour moi si je me fais opérer ou pas, mais quoi qu'il en soit, de toute façon, jamais je vais vous quitter, vous abandonner, mais c'est qu'une question de temps, mais je vais relancer mes programmes, que ce soit en individuel ou le coaching de groupe que j'avais décidé de lancer, mais on va faire ça ensemble, quoi. C'est tellement important. Donc prenez soin de vous, vraiment les filles. C'est rien de plus important. Et puis ne donnez pas votre vie pour quelqu'un. Ne donnez pas votre temps, tout votre temps, ne donnez pas tout votre énergie, tous vos sentiments, tout votre amour propre, ses noms, tout ça, vraiment. Priorise-toi, tu es la personne la plus importante du monde. Tu ne peux pas t'occuper des autres si tu n'arrives pas à t'occuper de toi-même. Si tu es mal dans ta peau, tu n'auras jamais autant d'énergie à donner aux autres. Bon, je pense que je vais m'arrêter là. Ah oui, juste peut-être avant de terminer. Parce que j'avais des grandes questions un petit peu existentielles qui me venaient. Du coup là, qu'est-ce que je me suis dit ? Et puis pour t'expliquer un petit peu la suite, dans 15 jours, je vais en savoir plus avec le neurochirurgien, qu'est-ce qu'on fait. Et donc du coup là, je me suis dit en fait... Bon, je te fais cet épisode de podcast parce que j'adore vraiment ça. Donc, je me suis dit qu'au niveau de mon entreprise, je vais vraiment me re... Je ne suis pas une grande fan de création de contenu, là, vous faire des posts ou faire... J'ai fait pas mal de mèmes dernièrement. Alors oui, ça vous fait rire, tout ça, mais ce n'est pas non plus digne d'une immense valeur, contrairement à mes épisodes de podcast où vraiment on passe 30, 50 minutes ensemble où là, vous ressentez toute même énergie et que j'ai vraiment des... gros messages à vous faire passer donc du coup je vais vraiment m'axer sur que des choses que j'aime faire, mon focus aujourd'hui c'est moi, c'est plus mon entreprise tout ça je le mets entre parenthèses si vous avez envie d'être coaché, donc là pour le moment comme je sais pas trop qu'est-ce qu'il va en être si je me fais opérer ou pas je mets en pause les coachings de groupe ça c'est sûr individuelle, il faut être... J'avais dit que j'arrêtais les coachings à l'heure au mois de septembre, sauf que il y a eu une nouvelle... Ce n'était pas prévu que la tumeur vienne faire coucou. Donc du coup, j'adapte. Ce qui est sûr, c'est que je peux, si vous avez des besoins temporaires, vous vous dites aujourd'hui, vous n'avez pas forcément d'années. besoin d'un accompagnement long, genre peut-être du one-shot pour vous faire du bien, pour vous rebooster, besoin d'un petit coup d'énergie, tout ça, ça c'est ok, venez discuter avec moi et puis on s'organise une séance. Pour les coachings individuels, c'est à voir, il faudra juste être flexible si jamais, tout ça. Donc ça, j'en parle un peu moins et les coachings de groupe, c'est à dire, Ça, c'est en stand-by. Mais du coup, voilà, ce que je vais faire, c'est que je vais surtout créer des épisodes de podcast parce que je kiffe ça. Et venir en story aussi, je vais vous faire des coucous, des petits messages, même si je ne vais pas être tous les jours. Je n'ai plus envie de me foutre cette pression-là. Et puis, discuter en privé. Là, par contre, là-dessus, avec grand plaisir. Venez me donner de vos nouvelles, si vous avez envie de discuter, tout ça, d'échanger, de partager, avec grand plaisir. Donc voilà pour la suite, qu'est-ce qu'il en est ? J'ai aussi une newsletter, je ne sais pas si vous êtes au courant, sur comment guérir de ses blessures, notamment la blessure d'abandon, tout ça, vous pouvez le télécharger, c'est un micro-programme. que je vous offre gratuitement, qui m'a pris des heures et des heures de travail et qui est d'une immense valeur. Et en même temps, ça nous permet aussi de garder le lien. Là, j'ai arrêté d'envoyer des newsletters, je n'ai pas forcément la foi. Mais en tout cas, dès que j'aurai des messages à vous faire passer, enfin pas des messages à vous faire passer, mais dire que coucou, ça y est, ça arrive, je relance mes programmes ou des choses comme ça. au moins vous serez dans ma base de données et vous recevrez mes mails donc n'hésitez pas à télécharger le programme sur les blessures et puis voilà sinon on communiquera je vais essayer peut-être une à quatre fois par mois je ne sais pas comment ça va se passer mais de vous faire des épisodes de podcast parce que j'ai tellement de choses À faire pour vous aussi. Ah oui, voilà, j'ai perdu le truc. Mais du coup, aujourd'hui, quelles sont les questions un petit peu existentielles que j'ai en tête et qui sont importantes pour vous ? J'ai voulu me définir à travers mon métier en me disant je suis capable de réussir, de faire quelque chose, de monter quelque chose de mes propres mains. Et aujourd'hui, en fait, je suis en mode, ok, donc si j'enlève le travail de ma vie, Parce qu'aujourd'hui, j'ai vraiment envie de me consacrer qu'à moi, au plaisir. au bien-être, et vraiment me faire passer moi en priorité, et pas mon job, et pas tout le reste, ben qui suis-je, en fait ? Et donc c'est une question, ça, que j'ai envie de te partager, c'est qui es-tu en dehors de ton travail ? Parce que je sais qu'on est quand même nombreuses, malgré tout, et je pensais que j'étais pas là-dedans, à me définir de par mon travail, mais en fait, moi, j'ai une partie de moi qui avait envie de se définir à travers sa réussite, de se dire qu'elle était capable de des... tout un tas de monde et de faire pousser un petit bébé même si j'ai deux enfants mais faire j'avais envie d'avoir cette fierté là de réussir professionnellement et si je ne réussissais pas si je sais pas demain je suis plus apte, on sait pas qui suis-je ? Et je pense que c'est important de se définir par différentes choses y'a pas, tu vois y'a des personnes qui vont se définir uniquement à travers leur relation amoureuse Ah bah quand elles sont en couple, c'est là où elles vont se donner beaucoup plus de valeur. Ah je vaux la peine, ah je suis aimée, ah je suis importante. Et en fait non, c'est pour ça que c'est important de se définir à travers tout un tas de choses, parce que quand il y a quelque chose qui foire, tu sais, tu peux te raccrocher à autre chose. Et donc tu vas te raccrocher, par exemple tu vois, moi là, le côté professionnel, j'ai plus envie. Enfin j'ai plus envie. J'ai envie de faire mes séances de coaching, mais j'ai pas envie de passer du temps à créer du contenu ou des choses comme ça. en dehors du podcast, parce que le podcast, ça me fait vraiment ultra kiffer. Mais c'est vrai que le business, c'est beaucoup, beaucoup de travail. Et donc, du coup, qui es-tu quand le travail, par exemple, ça foire ? Mais même si t'es salarié, tu vois, imagine, ça va pas, ou tu te sens pas bien, ou tu te fais harceler, ou quoi que ce soit. Qui es-tu ? À quoi est-ce que tu peux te raccrocher, en fait, quand tu n'as pas ça ? Ou quand des fois, tu sais, t'as un stade de ta vie où tu sais plus où t'en es, tu sais plus ce que tu veux, tu sais plus ce que t'aimes, tu sais plus ce que t'as envie de faire dans la vie, bah qu'est-ce qui se passe ? À quoi est-ce que tu te raccroches ? Et c'est pour ça que c'est important d'avoir là, du coup, d'autres piliers, en fait. Bah ça va être peut-être une famille solide qui va être là pour toi, ça va être des amis aussi qui vont être présents. Et si t'as pas les amis, bah il faut peut-être aller en chercher, tu vois ? Il y a tout un tas de piliers. Comme ça. Le sport, par exemple, c'est ultra important. Les loisirs fondamentaux. Ouais, les loisirs sont fondamentaux. Et donc, pareil, il n'y a pas que les relations amoureuses qui sont importantes. Ah bah si, moi j'ai un mec dans ma vie, alors j'ai tout. Non, pas du tout. Il faut avoir une bonne santé, avoir de l'argent aussi. Parce que, oui, l'argent ne fait pas le bonheur, mais il y contribue. Moi, là, si j'avais la possibilité, j'irais me faire un voyage de ouf. Bon, j'ai des enfants et j'ai envie de profiter avec eux et que là, on n'a pas forcément le temps pour. Et puis surtout qu'on va devoir faire des économies si je ne travaille pas pendant un petit temps, je ne sais pas trop. Mais bon, bref. Donc, du coup, voilà. Qui es-tu en dehors de chaque sphère de ta vie, en fait, où tu accordes de l'importance ? Et est-ce que tu as d'autres choses à te raccrocher ? Ça, je pense que c'est vraiment important. Et tu vois, là aussi, je me suis dit, ok, aujourd'hui, du coup, je décide de faire une parenthèse au niveau de mon travail. Je ne sais pas combien de temps ça va durer, peut-être 15 jours, peut-être un mois, peut-être trois mois ou plus, je ne sais pas. En tout cas, quoi qu'il en soit, si jamais je mets ça de côté, à quoi est-ce que je veux dédier mon temps ? Et en plus... problématique supplémentaire, c'est que du coup, comme je vais je mets mon activité en parenthèse, je vais pas forcément gagner de l'argent. Normalement, je vais faire des mois à zéro, sauf si vous me contactez pour faire des séances individuelles ou d'ailleurs j'ai mon programme Renaissance sur la rupture amoureuse si jamais ça vous intéresse à travers ma masterclass qui est en promo. Donc allez-y. Voilà, allez. Voilà, c'est un super programme. pour vous aider à faire votre deuil de votre relation. Et donc, si aujourd'hui, imaginons, je ne gagne plus du tout d'argent, qu'est-ce que je vais faire de mon temps ? Je n'ai pas du tout envie de passer ma vie devant la télé, c'est bien sympa, mais qu'est-ce que je peux faire ? Et c'est ça aussi qui est intéressant de se poser la question, c'est si je n'avais plus d'argent, qu'est-ce que je ferais ? aussi, à quoi est-ce que je peux d'aider mon temps, comment je peux prendre du plaisir ok, ben j'aime lire, qu'est-ce que j'ai envie de lire j'ai envie d'écrire des choses qui, voilà, vont pas forcément coûter trop cher, ah ben et si je me mettais à une activité artistique, si je me mettais au coloriage ou au chant à la danse, enfin, il y a tellement de choses et je pense que aujourd'hui c'est vraiment important de se recentrer sur soi et donc toi fais-le aussi, qu'est-ce que tu aimes concrètement dans la vie qu'est-ce que si tu es Et je pense que t'as même pas besoin d'attendre d'être dans ma situation, genre d'arriver au pied du mur un petit peu pour te poser ces questions-là. Au contraire, je t'encourage vraiment à le faire maintenant. C'est, bah là aujourd'hui, si tu remettais vraiment le focus sur toi, qu'est-ce que tu ferais ? À quoi est-ce que t'aimerais dédier ton temps ? Même, tu vois, commencer doucement, tu vois. Et si je dédiais une heure de ma... allez, une ou deux heures de ma semaine à quelque chose que j'ai envie de tester. Juste un test, tu vois, pas forcément... plonger corps et âme dans une nouvelle activité mais déjà testée et ça je pense que c'est important bon voilà écoute ma beauté, mon élixir j'espère que cet épisode t'a plu si t'as envie de m'écrire sur Instagram mes messages sont ouverts je suis là pour toi et puis si t'as une histoire quoi que ce soit, me partager des questions avec grand plaisir je suis là, je te fais des gros bisous Et je dis à bientôt pour un nouvel épisode. Et surtout, surtout, surtout, prends soin de toi. Prends soin de ta santé et aime-toi. Je t'embrasse.

Description

Y a 3 mois, je me mariais et d'ici quelques semaines, je vais me faire opérer...


En 2017, on m'a découvert une tumeur au cerveau... (que j'avais traité) et aujourd'hui elle est revenue faire parlé d'elle, a doublé de volume et la situation est bien plus préoccupante car j'ai en plus un oedeme cérébral.


Dans cet épisode, je te partage ma réaction à cette nouvelle épreuve... mes peurs, mes questionnements et mes prises de conscience...

On fait un focus sur la santé car y a rien de plus important !! Oui oui je pèse mes mots.


Je pense que cet épisode devrait grandement te faire réfléchir 😜 et t'aider à relativiser par rapport à ta propre situation ^^.


💥Il est temps que toi aussi tu te fasses en priorité et cet épisode devrait te servir de coup de pied au 🍑.


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💥Mes services :


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Bisousss ❤️




Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur Éviteurs de Confiance, le podcast qui redonne le pouvoir aux femmes en vous aidant à reprendre conscience en vous, pour enfin vous épanouir pleinement dans votre vie et dans vos relations. J'ai tué 8 ans car il m'a mis sur une idée de chaque femme à s'aimer et trouver la clé du bonheur en elle pour pouvoir créer des relations plus saines et plus sereines sans soublier. Pensez également à vous abonner et si l'épisode vous a plu à mettre un 5 étoiles, vous êtes venu trouver des pouces.

  • Speaker #1

    Bonjour mes élixirs, ça fait longtemps que je ne suis pas venue vous faire un épisode de podcast. Je reviens vers vous avec pas mal de messages à vous témoigner. Ça va être sans doute un épisode qui va être un petit peu remuant. peut-être pour vous aussi au niveau de l'écoute et pour moi pour le faire parce que je reviens pas forcément avec des bonnes nouvelles mais derrière tout ce que j'ai à vous dire même si ça risque d'être un peu tristouné j'ai vraiment des... belles choses à vous partager donc écoutez jusqu'au bout même si ça va pas être l'épisode le plus oufissime en mode pompe et l'up on va pas être là dessus en mode wouhou ça va être un petit peu triste ouais je pense enfin en tout cas pour moi je reviens pas en hyper grande forme j'ai des problèmes de santé que je vais vous partager et voilà j'ai plein de leçons enfin je tire plein de leçons leçon de ce qui vient de se passer et que j'ai envie de vous partager. Alors pour vous expliquer, je ne sais pas si vous allez tomber dessus comme ça ou si vous me suivez sur Instagram. En tout cas c'est pour vous raconter un petit peu mon histoire. Si vous voulez en 2017, on m'a découvert une tumeur au cerveau. Ouais je rentre direct dedans là, je ne suis pas passée par 40 milliards de chemin, de toute façon je ne sais pas faire. Et donc du coup voilà, on m'a trouvé une tumeur au cerveau, ce qui s'appelle en fait un méningium. Et c'est en fait une espèce de boule qui se crée au niveau de la méninge, donc entre le crâne et le cerveau. Et en fait c'est une boule qui peut grossir plus ou moins vite selon la gravité et l'agressivité en fait de la tumeur. Il y a différents stades. Et donc du coup, moi, clairement, je ne suis pas au stade 1 puisque je viens de récidiver. Je suis au stade 2, au minimum 2 en tout cas. Je ne pense pas que ce soit métastasé, je serais peut-être dans un état plus gravissime que ça. Donc voilà. Bon, je ne sais vraiment pas expliquer, c'est un truc de ouf. Mais bon. Donc voilà, en fait, pour reprendre un petit peu. Donc en 2017, on me trouve une tumeur, je fais de la radio. radiothérapie, c'est-à-dire qu'on m'envoie des rayons d'une grosse charge pour me brûler la tumeur pour éviter qu'elle grossisse, donc ma boule elle était arrivée jusqu'à 3 cm comment je l'ai eue et comment je m'en suis rendue compte, c'est que j'avais des problèmes de mémorisation c'est vrai que je retiens pas les noms c'est un petit peu je vais dans une ville, 3 mois plus tard je vais avoir un gros bug et ne plus me souvenir et donc du coup, voilà il y a quelques minutes Quelques problèmes de mémorisation. Bon, ça m'inquiétait. Donc, j'avais fait un IRM à ce moment-là. Et c'est là où on m'avait trouvé ça. Et en fait, le truc aussi, c'est que... Et ça, j'ai envie de vous faire passer ce message-là aussi de votre côté. Parce que c'est hyper important. Quand on ne tombe pas le nez dedans, on ne sait pas. Et pourtant, c'est gravissime pour les femmes. C'est faites attention aux hormones que vous prenez. C'est-à-dire que les pilules, c'est de la grosse merde en boîte. moi donc j'en ai pris à l'époque je pense non pas pendant, ouais si je crois pendant bien une dizaine d'années et en fait comme j'ai de l'endométriose on m'avait fait passer sous une pilule à base de progestérone tu sais c'est celle qui te coupe les qui te coupe les règles en fait pour éviter de souffrir en endométriose parce que quand t'as tes règles ça crée une inflammation et ça peut t'amener plein de douleurs donc en fait on m'avait donné cette pilule et en fait cette pilule à base de progestérone et on a eu plusieurs qui ont été déclarées comme ultra mauvaises pour la santé et qui créent en fait ces tumeurs au cerveau. Donc attention les filles, si vous avez des maux de tête ou si vous prenez des pilules à base de progestérone, allez faire un gros check sur internet pour regarder si ça n'a pas été déclaré comme pouvant créer des méningiomes. Parce que ça fait des dégâts derrière. Donc faites attention à votre santé. Et donc tout ça pour dire que, donc voilà, on m'a trouvé une boule qui avait grossi jusqu'à 3 cm, je me la suis fait traiter par Gamma Knife, je sais pas si il y en a qui, à tout hasard, s'il y a des personnes qui m'écoutent et qui ont vécu la même chose, venez en discuter avec moi, ça me fera super plaisir de pouvoir partager tout ça. Du coup voilà, j'avais fait ça, donc c'était censé être brûlé, terminé, terminé, et puis après derrière j'avais en fait d'autres IRM une fois par an à faire. pour voir si ça n'allait pas grossir. Et donc l'année d'après, deux ans après et trois ans après, j'ai fait mes IRM. J'ai été hyper carrée et ça avait réduit. Et donc là, moi j'ai sauté de joie en mode alléluia, ça y est, c'est bon, c'est terminé, tout ça c'est derrière moi. Et puis je suis tombée enceinte de mon deuxième enfant il y a un an et demi, enfin un peu plus d'un an et demi du coup. Et puis du coup, je n'avais pas fait l'IRM. à ce moment-là, de contrôle, et puis je me suis dit, c'est bon, ça y est, j'ai plus rien, c'est terminé, ça me saoule. Et j'avais été, j'ai pas le terme là, mais en mode, voilà, j'avais traité ça par-dessus la jambe en me disant, mais non, c'est bon. Je sais pas si au fond de moi, j'avais une petite voix qui disait, non, il y a peut-être quelque chose, et puis t'as trop peur de mettre vraiment le nez dedans, dans le sens où... Où tu sens qu'il y a quelque chose et du coup, tu ne le traites pas. Je ne sais pas, franchement, je me trouve n'importe quelle excuse. Mais pour le coup, je ne me suis pas priorisée en fait. Et c'est là où on va parler de ça. Bon, je continue un petit peu la suite de l'histoire. Et puis, je reviendrai sur les leçons que j'en tire et que je te partage. Voilà, ça c'était en 2017. Je me l'ai fait brûler, ça marche bien. Et là en fait, cet été, ça fait trois mois. que je commence à avoir des mal de tête, un peu par-ci, un petit peu par-là. Et puis en fait, là, ça faisait un mois que ça commençait à s'accélérer, où tous les jours j'avais mal à la tête, jusqu'à que ça prenne 24 heures du matin au soir. J'avais la tête qui allait exploser, où en fait je ne me reconnaissais plus. J'avais l'impression d'être une sorte de légume en mode... Puis moi, je ne sais pas si ça vous le fait, mais quand je suis malade... J'ai le monde qui s'écroule sur mon dos, je deviens toute voûtée. Et là, je sens que ça ne va pas. Mon mental, il n'y a plus de mental. Il n'y a plus de mental. J'ai toujours du mental, mais je veux dire, vraiment, mon corps prend le dessus. Il me montre que ça ne va pas. Il se recrouve vive sur lui. Et là, je me dis, ça ne sent vraiment pas bon. Et donc, du coup, j'ai eu des grosses crises de mal de tête, tout ça. Et puis, il s'avère qu'en France, en fait, quand tu as des problèmes de santé, on ne te prend pas comme ça. En mode, si tu n'es pas à deux doigts de clamser, tu attends, en fait, parce que tout est pris. Enfin, il y a un monde de fous, tout le monde a des problèmes de santé. Et donc, du coup, il a fallu un mois et encore. Je pense que c'est parce que j'avais déjà un ménagium et aussi parce que j'étais à Dijon. Parce qu'à Marseille, il fallait six mois pour faire un IRM. Mais moi, six mois plus tard, là, je clame C. C'est pas compliqué. Donc bon, bref, un mois de supplice quand même, où je me suis vraiment plus sentie moi-même, en mode, déjà des pertes de mémoire, enfin encore plus. Et en fait, je sais pas si t'avais capté ou si j'ai coupé, mais je sais que les derniers épisodes de podcast que j'ai fait, j'avais des gros bugs, et j'ai toujours des gros bugs, dans le sens où... où en fait je parle et d'un coup je dis oh merde je sais plus où j'en suis je pense que c'est grandement lié à mon problème là actuellement et d'ailleurs je trouve que ça va un ou quoique pas officiel mais quand même un petit peu mieux, un peu moins d'absence comme ça, qu'est-ce que je suis en train de te dire, là ça fait 9 minutes, c'est pas encore trop arrivé, donc voilà je ressentais des gros maux de tête plus des absences etc et ça qui m'a donné envie de je me suis dit non non il y a quelque chose qui ne va pas donc vite je vais faire un IRM et donc du coup nous voilà il y a un peu moins d'une semaine où je vais faire mon IRM et là le neurologue, le médecin en charge qui me demande à me voir là je me dis oh punaise c'est normalement tu fais ton IRM on te dit oui oui on va vous donner le compte rendu merci ciao Et là, quand on te dit oui, et c'était la première fois, parce que j'en ai fait des IRM auparavant, et on m'avait déclaré ça, mais là, je crois qu'on était sur un stade au-dessus, où du coup, ben voilà, ils voulaient me parler, et donc il s'avère que ça a été... t'imagines même pas, quoi. Quand tu penses que c'est terminé. que ton combat, parce que franchement, ça avait été hyper difficile la première fois quand j'avais fait faire les rayons. Enfin, franchement, c'est une opération qui est vraiment atroce parce que t'es endormi que localement. Donc juste, en fait, si tu veux, on va te fixer un casque dans le crâne à vif où on te fait juste des piqûres au nez, mais on te visse, vraiment. Comme quand tu vises dans un mur, là, on te visse sur ton crâne pour ensuite pouvoir prendre les mesures et envoyer une charge de rayons. Donc c'est hyper traumatisant, donc je pensais que tout ça c'était derrière moi, et quand là on me dit, donc le médecin vient me voir en me disant, ben votre méningiome a doublé, donc il est passé de 3 centi... enfin il avait diminué en plus à l'époque, de 2,5 centimètres à quasiment 6 centimètres, donc une boule dans ta tête de 6 centimètres qui pousse, et en plus de ça vous avez un œdème cérébral, c'est-à-dire que ben en fait... Comme, bon après je suis pas médecin donc je vais hyper mal expliquer je pense, je pense que vous en tapez le coquillard, mais juste pour expliquer un peu, c'est que le cerveau n'est pas extensible en fait. Donc quand il y a une boule qui pousse, ben ça pousse les parois et en fait ça crée une pression, et c'est cette pression qui me faisait énormément mal à la tête et qui est dangereuse en fait. Et en plus qui a poussé une partie de... c'est là où c'est trop glauque. un bout de mon cerveau, enfin, dans un endroit qui ne devrait pas l'être. Et donc, c'est ça qui a commencé à un peu tous les inquiéter. Donc là, c'est assez urgent ce que j'ai. Et donc, en gros, je suis vraiment en pleine attente. Là, j'ai pris rendez-vous, j'ai rendez-vous le 15 septembre avec mon neurochirurgien que j'avais vu à l'époque pour voir qu'est-ce qu'on fait. Bon, je pense qu'il y a de grandes chances que je me fasse opérer. Et cette fois-ci, que je fasse la vraie opération, quoi. Le truc bien, bien hardos, en mode, on t'ouvre la tête en deux. Et je peux te dire que je suis en grand, grand flip, quoi. Quand tu vois, tu touches ta tête, là. Comme si on devait couper ton os en deux, quoi. Me dire, putain, je vais me faire ouvrir le crâne. Ça me... Je suis sûre que tu dois faire une salte. Tu m'écoutes, là. Mais, ouais, franchement, ça me... C'est hyper stressant en plus, ben voilà, après c'est hyper humain aussi, mais ben t'as envie de te rassurer, enfin tu te rassures sans... Tu te fais du mal et à la fois t'as envie de te faire du bien en regardant sur internet, et quand tu vois risque des opérations, parce que voilà, on est quand même dans le cerveau quoi, tu touches le moindre truc, le moindre nerf, ben ça y est, tu ne ressens plus rien, tu ne sens plus rien, tu ne vois plus rien, enfin ça y est c'est... C'est chaud, il peut se passer le moindre truc. Surtout que moi, où il est basé, mon méningiome, j'ai un gros risque hémorragique. Du coup, je ne sais pas s'il va vouloir m'opérer ou pas. Là, ce n'est plus possible normalement de faire de la radiothérapie comme j'avais fait à l'époque, à moins qu'il enlève une partie qui reste moins de 3 cm pour envoyer une charge de rayon. Mais sinon, là, aujourd'hui, j'ai l'impression que c'est soit opération, soit on attend si ça s'aggrave encore. plus, je sais pas trop ce qu'il va me dire mais comme il voulait me voir en urgence je me dis que ça pue l'opération ouais c'est assez chaud bref, voilà je t'ai raconté dans 13 minutes l'histoire de de Jom et ben ouais je suis en flip en fait surtout des conséquences c'est le truc où c'est un peu comme, bon et encore c'est un peu différent du coeur quand tu te fais opérer T'as certes des possibilités de mourir, mais en dehors de ça, tu peux faire des AVC, tu peux... Et puis, ben voilà, tu sais pas en fait comment tu vas te réveiller, quoi. Est-ce que tu vas avoir toutes les mêmes facultés physiques et mentales qu'auparavant ? J'ai eu l'immense chance de tomber sur des témoignages où il y avait des personnes qui disaient qu'elles... s'était réveillée, tétraplégique, enfin le pire quoi bon bref finir de se raconter tout ça, donc voilà ce qui me fait flipper actuellement, je suis pas bien j'ai peur j'ai mal au coeur je pense à mes enfants j'ai pas du tout envie de les laisser j'ai surtout pas envie de me retrouver comme ça en fait être piégée dans un corps où tu perds des sens enfin non quoi Même si, voilà, je sais que l'être humain est capable de tout et qu'il s'adapte hyper bien. Non, c'est rien, quoi. Ouais, ça me fait chier parce que je pensais vraiment avoir enduré déjà pas mal de choses dans ma vie pour mon jeune âge. Et finalement, en fait, ça continue. Mais bon, je pense que si on voit ça, c'est que Dieu se dit que je suis capable de gérer. Sans doute, je pense que, en effet... Si je n'avais pas cette fameuse mentalité, tu vois, je me dis très souvent que ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts et je cherche tellement à toujours me développer personnellement que peut-être que Dieu se dit, je vais lui envoyer encore un paquet de choses dans la tronche. Elle est forte, mais encore, encore, encore. Ce serait bien de me laisser un peu en paix quand même. Bon, enfin bref. Donc voilà, donc maintenant que je t'ai raconté ça, je voudrais te raconter en fait l'erreur que j'ai faite et que j'aimerais que surtout, surtout tu ne reproduises pas, c'est que tu sais, et c'est mon créneau aussi de te dire que depuis très longtemps, je te dis oui, il faut te prioriser, pense à toi, pense à toi, pense à toi, et je pense à moi. Tout ce que je te dis, je le fais. Par contre, là aujourd'hui, je me rends compte. que je ne l'ai pas fait à 100%. Si vraiment je pensais à moi, moi en premier, peut-être, je ne sais pas, que je n'en serais pas là. En tout cas, je n'aurais pas atteint le dème qui est le moment un peu trop tard où ça a trop poussé dans ma tête. Donc j'ai été trop laxiste en fait avec moi-même. Pourquoi ? Parce que j'ai privilégié d'autres choses. C'est-à-dire que... Je ne sais pas si c'est une excuse ou pas, mais pour moi, le travail, c'est très important. Et enfin, avant, quand j'étais toute très jeune, j'avais une quinzaine d'années, je voulais être hôtesse de l'air et j'avais une ambition débordante. Enfin, moi, j'étais en mode, bon, j'avais ce côté, j'ai envie d'être hôtesse de l'air, mais aussi, j'ai envie d'être une businesswoman, j'en veux. Je ne dirais pas que j'avais les dents qui riaient par terre, mais en tout cas, je sais que j'avais vraiment envie de réussir dans ma vie professionnelle. Après, je me suis un petit peu perdue en chemin, je ne savais pas trop quoi faire de ma vie. Enfin voilà, j'avais fait des études, j'ai un bac plus 5, mais j'ai fait deux ans de commerce. Après je me suis dit, oh j'aime pas trop, ça me saoule. J'ai fait un an d'événementiel, là je me suis dit, ouais je kiffe, par contre travailler le soir, etc. Et puis tu ne gagnes pas forcément bien au vu de toutes les horaires que tu fais. Je me suis dit, oh pénible, et puis surtout je ne trouvais pas en fait dans ce domaine-là, parce que... peu bouché. Et puis après, je suis partie dans les ressources humaines. Donc là, j'ai kiffé, mais les seuls postes ouverts à moi, c'était pas forcément ceux qui me plaisaient le plus, qui étaient dans le domaine du recrutement. Et puis donc là, j'ai un petit peu perdu ma flamme de réussir dans la vie pro. C'était je travaille surtout pour gagner de l'argent et me faire plaisir. Et puis après, quand je me suis dit, enfin, non, en fait, c'est le coaching que je vais parce qu'il y avait déjà des années que... auparavant où je m'y étais intéressée, mais voilà, je m'étais mis des limites en mode tu es trop jeune, 23 ans pour être coach, qu'est-ce que tu vas apprendre la vie à des personnes qui sont plus âgées que toi, et puis finalement, c'est revenu, quand j'avais, je crois, 28 ans, quelque chose comme ça, où là je me suis lancée dans le coaching, et donc là maintenant ça a vraiment pris une dimension supplémentaire, où en fait, Quand je me suis lancée là-dedans, j'adore tellement de 1, le coaching, le développement personnel, et puis de 2, tout ce qui est lié au business. Cette fierté qu'on peut ressentir quand on crée quelque chose, c'est comme si tu fais pousser une plante, tu l'arroses tous les jours, tu prends soin d'elle et puis tu vois qu'elle grandit, elle grandit, mais c'est tellement beau. Et du coup, moi, c'est un petit peu pareil en mode... C'est mon petit bébé, c'est mon petit bébé, mon petit business, mais en fait qui me permet d'avoir la vie que je veux, c'est-à-dire de profiter de mes enfants, d'être là à la maison, d'aller les chercher, de les récupérer quand ils sont malades, d'être là. On part en vacances parce que mon chéri du coup il est fonctionnaire et du coup il a deux mois et demi de vacances et de pouvoir faire ça, c'est fou. Et donc du coup, j'ai tellement... Je me suis investie corps et âme en mode il n'y a plus rien qui compte à côté. Mais comme je me suis dit mon entreprise, c'est moi en fait. Si je privilégie mon entreprise, je me privilégie moi. Mais en fait, non. J'ai quand même omis une partie. C'est-à-dire que tout ce qui pouvait me détourner de passer du temps dans mon entreprise en mode aller faire un IRM, donc perdre deux heures de ma journée, ben non. En fait, je préférais me donner les moyens de faire grandir mon entreprise, d'avoir des clientes, etc. Et donc c'est là où j'ai foiré. Parce que du coup, et même si je vais encore plus loin et que je suis la plus honnête possible avec vous et avec moi, j'ai même privilégié mon travail. Mais pour moi, c'est tellement plus qu'un travail en fait. Je le vois pas forcément comme ça, mais j'ai quand même privilégié mon travail à... Je sais pas si je dirais à mes enfants, parce que tout ça, c'est pour eux que je l'ai fait. En plus d'avoir cette fierté... égoïstement pour moi, de me dire putain je suis capable de faire ça mais j'ai aussi fait pour qu'on continue d'avoir ce train de vie là que j'adore qui est oufissime mais en tout cas voilà même faire du sport j'avais tendance à je me forçais quand même parce que j'avais pas envie d'être de peser 10 kilos parce que je bouffe on peut dire que franchement j'adore manger et c'est vraiment mon dada je prends un plaisir de malade là dedans Je sais pas si je mange mes émotions, mais en tout cas... En tout cas, ouais, bon, bref, la bouffe chez moi, c'est sacré. Et donc, du coup, il fallait quand même que je fasse un peu du sport. Surtout quand tu travailles de chez toi et que tu bouges pas trop ton cul. C'est quand même important de faire une petite activité. Et j'ai quand même tendance, des fois, à dire Ah non, allez, encore une heure, je travaille. Parce que t'as cette punaise de culpabilité, en fait, quand t'es à ton compte, c'est incroyable. Il faut vraiment le vivre pour le croire. Je sais qu'il y a pas mal d'entrepreneuses aussi qui me suivent, donc ils vont comprendre ce que je suis en train de dire, mais tu as cette culpabilité quand tu ne travailles pas, quand tu prends des vacances, quand tu es en repos, de te dire punaise, mais tu dois encore en faire, en faire, en faire, en faire, parce que tu n'as pas atteint ton objectif, tu n'en es pas là encore, tu n'arrives pas à en vivre complètement. Il y avait des mois où il n'y avait pas de soucis, où c'était bon, et d'autres mois, c'était un peu plus creux. L'entrepreneuriat, c'est dur. C'est vraiment pas simple et tu te fous une pression. incroyable. Donc t'as pas de patron mais en fait tu es ta propre patronne et tu t'auto-flagelles. Donc même si je promeux le fait de prendre soin de soi, d'avoir un discours bienveillant et c'est ce que je fais, mais il y avait quand même une partie de moi qui disait t'en fais pas assez, tu dois en faire plus, cravache encore, t'y es pas. Et donc du coup, tout ce qui me détournait qui... Voilà. Prendre du temps pour moi, je ne le faisais pas forcément. Même lire des lectures, par exemple, j'allais lire des livres, mais que pour le développement personnel, pour me faire grandir au niveau de mes connaissances, pour vous en fait. Et donc, toujours la tête dans le guidon. Dès que j'avais un moment, genre même, je me brossais les dents, j'écoutais un podcast, soit pour des connaissances coaching, soit pour business. Du coup, ça ne s'arrêtait pas. Jamais, jamais mon cerveau était en pause. Donc, quand tu as en plus une vie de famille, que tu dois t'occuper de tes enfants, que tu donnes tout ton temps libre, du coup, pour eux, et que quand ce n'est pas ça, c'est que du travail, ce n'est pas génial. Donc, voilà mon erreur. Et en fait, il n'y a rien de plus important que la santé. Vraiment. Parce qu'en fait, tu n'es capable de rien, tu vois. Là, j'ai procrastiné d'aller me faire un pauvre IRM qui allait me prendre deux heures. Bon, c'est parce que je n'ai pas les piqûres. Putain, je déteste. ça là, je sais pas, ils te font mal là, quand ils te font le cathéter, donc bon, j'avoue que je suis un peu une poule mouillée là-dessus, et donc du coup, et ben voilà, j'ai procrastiné deux heures, et aujourd'hui, ben ça se trouve que si je me fais opérer, je vais être ramollot pendant trois mois ou plus, ou il y a des personnes qui mettent un an avant de se retrouver, mais j'espère que je serai pas comme ça, parce que je ne peux pas. Je peux pas, c'est... Bon, je peux pas, après on fait comme on peut, hein, mais... J'aime trop ce que je fais et j'ai tellement à vous apporter. Et puis, ouais, égoïstement, quoi. J'aime aider, je sais pas. Bref, du coup, voilà. En fait, c'est comme, tu sais, le pas cher coûte cher. J'aime beaucoup dire ça. Ou des fois, tu vas dire, oui, allez, j'achète un truc à Wish. Bon, moi, j'aime pas Wish, mais je sais que des personnes vont faire ça en mode, je sais pas, une lampe torche. Je dis n'importe quoi. à 2 balles, et puis finalement, ils se disent qu'ils font des économies plutôt que de la payer 10 balles, sauf qu'en fait, 3 mois plus tard... Elle tombe en panne. Et là, tu dois en racheter une autre et tu te dis, bon, du coup, je vais quand même prendre une mieux que ça. Ben voilà, le pas cher coûte cher. C'est un petit peu pareil là, au niveau de la santé. C'est que, moi, je pensais gagner du temps en mode deux heures pour un pauvre IRM. Et puis, finalement, je vais peut-être perdre des mois de ma vie. Je ne sais pas. Donc, attention à ça. On a l'impression qu'on y gagne, alors que non. En fait, il n'y a tellement rien de plus important que sa santé. C'est... Parce que là, si je suis en convalescence, après, une fois que je me fais opérer, je ne vais pas vraiment pouvoir être là pour avoir toute l'énergie possible pour mes enfants. Donc non, quoi. Donc voilà, il n'y a que... Et puis de toute façon, je l'avais déjà compris qu'il n'y avait rien de plus important que la santé. Parce que quand tu tapes un pauvre petit rhume, ou tu es au bout de ta vie quand tu es éternue une vingtaine de fois... Tu te rends bien compte que la vie est belle quand t'es pas malade. Et là, encore une fois, je me dis que tout tourne autour de ta santé. Parce que quand t'es fatiguée, t'as pas le moral, ça va pas. Donc vraiment, si je peux te dire, si aujourd'hui t'es pas à jour sur des examens ou quoi que ce soit, où tu ressens que... Tu ne te fais pas passer en priorité. Et c'est pour ça que tu vois dans la relation de couple, là je vais faire un petit switch, mais si tu es le genre de nana à faire passer ton mec en premier, mais non, arrête ça de suite quoi. C'est, il n'y a personne d'autre de plus importante que toi. Arrête de faire passer les autres. C'est en te faisant passer, c'est aussi rendre service à l'autre en fait, que de te faire passer en priorité. C'est vraiment tes mères Teresa et que tu fais tout pour les autres. Dis-toi que prendre soin de toi, C'est prendre soin des autres. Et puis c'est le cas, dans tous les cas. Ouais, c'est vraiment hyper important de te privilégier. Donc aujourd'hui, le fait... Bah tu vois, j'ai appelé l'épisode de podcast... Enfin je pense que je vais le laisser comme ça, mais en tout cas, voilà, je suis partie sur le premier jour du reste de ma vie, parce que j'ai toujours dit que je me faisais prioriser, qu'il était hors de question, notamment par exemple dans les relations amoureuses, de faire passer l'autre en premier, d'accepter des miettes... de me laisser traiter comme une merde par qui que ce soit. Donc ça, c'est totalement vrai et ça le restera à vitam aeternam. Je m'aime trop pour me laisser pourrir ou manipuler ou quoi que ce soit par quelqu'un. Par contre, la chose que je ne faisais pas, c'est que du coup, je faisais passer mon travail avant. Et en fait, non, ton travail n'a pas à passer avant. ta santé avant ton bien-être aujourd'hui. Et je sais, je me le suis déjà dit, on ne travaille pas pour vivre. Non, non, c'est pas ça. On ne vit pas pour... Voilà, c'est ça. On ne vit pas pour travailler. On n'a pas à dédier notre vie au travail. Mais en fait, j'y voyais tellement une... Enfin, pour moi, c'était le temps de... Mais non, en fait, ça ne sert à rien tout ça. Donc là, qu'est-ce que ça va changer pour moi ? C'est qu'aujourd'hui... Je vais plus jamais, je vais mettre ma santé de côté en disant qu'il y a d'autres choses qui sont plus importantes que ça, parce que non, c'est pas le cas. On doit œuvrer nos choix en rapport avec notre santé. Si on n'a pas de santé, il n'y a plus rien, point barre. Il n'y a pas à aller plus loin, on n'est pas là pour les autres, on n'est pas présent pour eux. Et après, voilà, là ce que je vais faire, c'est qu'en plus maintenant, si je me fais opérer, je vais devenir une grosse p***. plaît en fait. Bon, c'est un peu horrible. Là, tu dois te dire, mais non, ne dis pas ça. Non, je... Allez, je retire. Mais c'est vrai que je vais être un petit peu... Voilà, si je peux rien faire pendant plusieurs jours, voire plusieurs mois, je vais te faire un petit boulet, quoi. Enfin, un gentil petit boulet, mais qu'on soit honnête aussi avec soi-même. Donc, est-ce que je l'aurais rendu service ? Non. Je me suis rendue à moi non plus, parce que, ben voilà, il y a des risques derrière l'opération. Donc en fait, il n'y a rien de bon à faire tout ça. Mais bon, des fois, il faut mettre son nez dans le caca pour comprendre. Donc voilà. Aujourd'hui, j'ai vraiment envie... Et c'est bien parce qu'en fait, je me dis encore plus, il n'y a tellement que le bien-être dans la vie qui compte que je suis tellement heureuse d'avoir choisi ce métier-là de coach pour pouvoir vous aider à vous sentir mieux dans votre vie.

  • Speaker #0

    à vous revaloriser, à vous prioriser. Maintenant, j'ai encore plus vous botter le train avec ça. Je peux vous le dire quand t'es sur moi. Et à vous aimer, quoi. Vraiment. Un acte d'amour envers soi-même. Tu vois, un des messages aussi que j'ai envie de te faire passer, c'est qu'on a beau être entouré, avoir de la famille, avoir des amis qui nous aiment, etc. Mais quand tu vis un moment comme ça, t'es seule avec tes doutes, t'es seule avec tes peurs, alors oui, Tes proches vont partager tes peurs, mais ils n'arriveront jamais à se mettre à ta place. Toi, si là, on me dit, dans 15 jours, tu te fais opérer, je vais passer 15 jours à cogiter, mais comme une malade. Et je vais passer 15 jours à flipper, parce que si après, j'ai des séquelles mentales ou physiques, c'est moi. Les gens, eux, ils vont continuer leur vie, ils vont continuer d'être dans leur... peau, avec leur bonne santé, etc. Et c'est toi en fait qui... Voilà, il t'arrive quoi que ce soit au niveau de ta santé, c'est toi qui subis. Les autres continuent leur vie. C'est pour ça que c'est important de vraiment prendre soin de soi, d'arrêter de prioriser les autres. Tout le monde doit se prioriser lui-même en fait. On a la responsabilité de soi-même. Et c'est pour ça que quand je te dis oui, personne n'est responsable de ton bonheur, tu es la seule responsable de ton bonheur comme. de ton malheur d'ailleurs, c'est pour ça quoi. Là, quand on va m'envoyer, quand je vais être à l'hôpital et qu'on va m'envoyer une dose pour m'anesthésier et qu'on va m'ouvrir le crâne en deux, je serai toute seule là. Toute seule à être en flip, à stresser comme une malade, à être tétanisée et toi, je ne sais pas si tu t'es déjà fait opérer, si tu as déjà vécu ce truc, mais je me rappelle quand j'avais fait la... la radiothérapie, j'avais vécu tout ça aussi et c'est pour ça que c'est tellement important en fait de créer une belle relation avec soi-même et qu'il n'y a rien de plus important dans la vie que de s'aimer d'avoir une bonne estime de se valoriser, d'avoir confiance en soi de tout ça quoi et moi si tu te sens à des kilomètres de ça et que tu sens que t'as vraiment une faille là-dessus et que t'as envie d'améliorer ta santé de toute façon une fois que je vais savoir qu'est-ce que qui va en être pour moi si je me fais opérer ou pas, mais quoi qu'il en soit, de toute façon, jamais je vais vous quitter, vous abandonner, mais c'est qu'une question de temps, mais je vais relancer mes programmes, que ce soit en individuel ou le coaching de groupe que j'avais décidé de lancer, mais on va faire ça ensemble, quoi. C'est tellement important. Donc prenez soin de vous, vraiment les filles. C'est rien de plus important. Et puis ne donnez pas votre vie pour quelqu'un. Ne donnez pas votre temps, tout votre temps, ne donnez pas tout votre énergie, tous vos sentiments, tout votre amour propre, ses noms, tout ça, vraiment. Priorise-toi, tu es la personne la plus importante du monde. Tu ne peux pas t'occuper des autres si tu n'arrives pas à t'occuper de toi-même. Si tu es mal dans ta peau, tu n'auras jamais autant d'énergie à donner aux autres. Bon, je pense que je vais m'arrêter là. Ah oui, juste peut-être avant de terminer. Parce que j'avais des grandes questions un petit peu existentielles qui me venaient. Du coup là, qu'est-ce que je me suis dit ? Et puis pour t'expliquer un petit peu la suite, dans 15 jours, je vais en savoir plus avec le neurochirurgien, qu'est-ce qu'on fait. Et donc du coup là, je me suis dit en fait... Bon, je te fais cet épisode de podcast parce que j'adore vraiment ça. Donc, je me suis dit qu'au niveau de mon entreprise, je vais vraiment me re... Je ne suis pas une grande fan de création de contenu, là, vous faire des posts ou faire... J'ai fait pas mal de mèmes dernièrement. Alors oui, ça vous fait rire, tout ça, mais ce n'est pas non plus digne d'une immense valeur, contrairement à mes épisodes de podcast où vraiment on passe 30, 50 minutes ensemble où là, vous ressentez toute même énergie et que j'ai vraiment des... gros messages à vous faire passer donc du coup je vais vraiment m'axer sur que des choses que j'aime faire, mon focus aujourd'hui c'est moi, c'est plus mon entreprise tout ça je le mets entre parenthèses si vous avez envie d'être coaché, donc là pour le moment comme je sais pas trop qu'est-ce qu'il va en être si je me fais opérer ou pas je mets en pause les coachings de groupe ça c'est sûr individuelle, il faut être... J'avais dit que j'arrêtais les coachings à l'heure au mois de septembre, sauf que il y a eu une nouvelle... Ce n'était pas prévu que la tumeur vienne faire coucou. Donc du coup, j'adapte. Ce qui est sûr, c'est que je peux, si vous avez des besoins temporaires, vous vous dites aujourd'hui, vous n'avez pas forcément d'années. besoin d'un accompagnement long, genre peut-être du one-shot pour vous faire du bien, pour vous rebooster, besoin d'un petit coup d'énergie, tout ça, ça c'est ok, venez discuter avec moi et puis on s'organise une séance. Pour les coachings individuels, c'est à voir, il faudra juste être flexible si jamais, tout ça. Donc ça, j'en parle un peu moins et les coachings de groupe, c'est à dire, Ça, c'est en stand-by. Mais du coup, voilà, ce que je vais faire, c'est que je vais surtout créer des épisodes de podcast parce que je kiffe ça. Et venir en story aussi, je vais vous faire des coucous, des petits messages, même si je ne vais pas être tous les jours. Je n'ai plus envie de me foutre cette pression-là. Et puis, discuter en privé. Là, par contre, là-dessus, avec grand plaisir. Venez me donner de vos nouvelles, si vous avez envie de discuter, tout ça, d'échanger, de partager, avec grand plaisir. Donc voilà pour la suite, qu'est-ce qu'il en est ? J'ai aussi une newsletter, je ne sais pas si vous êtes au courant, sur comment guérir de ses blessures, notamment la blessure d'abandon, tout ça, vous pouvez le télécharger, c'est un micro-programme. que je vous offre gratuitement, qui m'a pris des heures et des heures de travail et qui est d'une immense valeur. Et en même temps, ça nous permet aussi de garder le lien. Là, j'ai arrêté d'envoyer des newsletters, je n'ai pas forcément la foi. Mais en tout cas, dès que j'aurai des messages à vous faire passer, enfin pas des messages à vous faire passer, mais dire que coucou, ça y est, ça arrive, je relance mes programmes ou des choses comme ça. au moins vous serez dans ma base de données et vous recevrez mes mails donc n'hésitez pas à télécharger le programme sur les blessures et puis voilà sinon on communiquera je vais essayer peut-être une à quatre fois par mois je ne sais pas comment ça va se passer mais de vous faire des épisodes de podcast parce que j'ai tellement de choses À faire pour vous aussi. Ah oui, voilà, j'ai perdu le truc. Mais du coup, aujourd'hui, quelles sont les questions un petit peu existentielles que j'ai en tête et qui sont importantes pour vous ? J'ai voulu me définir à travers mon métier en me disant je suis capable de réussir, de faire quelque chose, de monter quelque chose de mes propres mains. Et aujourd'hui, en fait, je suis en mode, ok, donc si j'enlève le travail de ma vie, Parce qu'aujourd'hui, j'ai vraiment envie de me consacrer qu'à moi, au plaisir. au bien-être, et vraiment me faire passer moi en priorité, et pas mon job, et pas tout le reste, ben qui suis-je, en fait ? Et donc c'est une question, ça, que j'ai envie de te partager, c'est qui es-tu en dehors de ton travail ? Parce que je sais qu'on est quand même nombreuses, malgré tout, et je pensais que j'étais pas là-dedans, à me définir de par mon travail, mais en fait, moi, j'ai une partie de moi qui avait envie de se définir à travers sa réussite, de se dire qu'elle était capable de des... tout un tas de monde et de faire pousser un petit bébé même si j'ai deux enfants mais faire j'avais envie d'avoir cette fierté là de réussir professionnellement et si je ne réussissais pas si je sais pas demain je suis plus apte, on sait pas qui suis-je ? Et je pense que c'est important de se définir par différentes choses y'a pas, tu vois y'a des personnes qui vont se définir uniquement à travers leur relation amoureuse Ah bah quand elles sont en couple, c'est là où elles vont se donner beaucoup plus de valeur. Ah je vaux la peine, ah je suis aimée, ah je suis importante. Et en fait non, c'est pour ça que c'est important de se définir à travers tout un tas de choses, parce que quand il y a quelque chose qui foire, tu sais, tu peux te raccrocher à autre chose. Et donc tu vas te raccrocher, par exemple tu vois, moi là, le côté professionnel, j'ai plus envie. Enfin j'ai plus envie. J'ai envie de faire mes séances de coaching, mais j'ai pas envie de passer du temps à créer du contenu ou des choses comme ça. en dehors du podcast, parce que le podcast, ça me fait vraiment ultra kiffer. Mais c'est vrai que le business, c'est beaucoup, beaucoup de travail. Et donc, du coup, qui es-tu quand le travail, par exemple, ça foire ? Mais même si t'es salarié, tu vois, imagine, ça va pas, ou tu te sens pas bien, ou tu te fais harceler, ou quoi que ce soit. Qui es-tu ? À quoi est-ce que tu peux te raccrocher, en fait, quand tu n'as pas ça ? Ou quand des fois, tu sais, t'as un stade de ta vie où tu sais plus où t'en es, tu sais plus ce que tu veux, tu sais plus ce que t'aimes, tu sais plus ce que t'as envie de faire dans la vie, bah qu'est-ce qui se passe ? À quoi est-ce que tu te raccroches ? Et c'est pour ça que c'est important d'avoir là, du coup, d'autres piliers, en fait. Bah ça va être peut-être une famille solide qui va être là pour toi, ça va être des amis aussi qui vont être présents. Et si t'as pas les amis, bah il faut peut-être aller en chercher, tu vois ? Il y a tout un tas de piliers. Comme ça. Le sport, par exemple, c'est ultra important. Les loisirs fondamentaux. Ouais, les loisirs sont fondamentaux. Et donc, pareil, il n'y a pas que les relations amoureuses qui sont importantes. Ah bah si, moi j'ai un mec dans ma vie, alors j'ai tout. Non, pas du tout. Il faut avoir une bonne santé, avoir de l'argent aussi. Parce que, oui, l'argent ne fait pas le bonheur, mais il y contribue. Moi, là, si j'avais la possibilité, j'irais me faire un voyage de ouf. Bon, j'ai des enfants et j'ai envie de profiter avec eux et que là, on n'a pas forcément le temps pour. Et puis surtout qu'on va devoir faire des économies si je ne travaille pas pendant un petit temps, je ne sais pas trop. Mais bon, bref. Donc, du coup, voilà. Qui es-tu en dehors de chaque sphère de ta vie, en fait, où tu accordes de l'importance ? Et est-ce que tu as d'autres choses à te raccrocher ? Ça, je pense que c'est vraiment important. Et tu vois, là aussi, je me suis dit, ok, aujourd'hui, du coup, je décide de faire une parenthèse au niveau de mon travail. Je ne sais pas combien de temps ça va durer, peut-être 15 jours, peut-être un mois, peut-être trois mois ou plus, je ne sais pas. En tout cas, quoi qu'il en soit, si jamais je mets ça de côté, à quoi est-ce que je veux dédier mon temps ? Et en plus... problématique supplémentaire, c'est que du coup, comme je vais je mets mon activité en parenthèse, je vais pas forcément gagner de l'argent. Normalement, je vais faire des mois à zéro, sauf si vous me contactez pour faire des séances individuelles ou d'ailleurs j'ai mon programme Renaissance sur la rupture amoureuse si jamais ça vous intéresse à travers ma masterclass qui est en promo. Donc allez-y. Voilà, allez. Voilà, c'est un super programme. pour vous aider à faire votre deuil de votre relation. Et donc, si aujourd'hui, imaginons, je ne gagne plus du tout d'argent, qu'est-ce que je vais faire de mon temps ? Je n'ai pas du tout envie de passer ma vie devant la télé, c'est bien sympa, mais qu'est-ce que je peux faire ? Et c'est ça aussi qui est intéressant de se poser la question, c'est si je n'avais plus d'argent, qu'est-ce que je ferais ? aussi, à quoi est-ce que je peux d'aider mon temps, comment je peux prendre du plaisir ok, ben j'aime lire, qu'est-ce que j'ai envie de lire j'ai envie d'écrire des choses qui, voilà, vont pas forcément coûter trop cher, ah ben et si je me mettais à une activité artistique, si je me mettais au coloriage ou au chant à la danse, enfin, il y a tellement de choses et je pense que aujourd'hui c'est vraiment important de se recentrer sur soi et donc toi fais-le aussi, qu'est-ce que tu aimes concrètement dans la vie qu'est-ce que si tu es Et je pense que t'as même pas besoin d'attendre d'être dans ma situation, genre d'arriver au pied du mur un petit peu pour te poser ces questions-là. Au contraire, je t'encourage vraiment à le faire maintenant. C'est, bah là aujourd'hui, si tu remettais vraiment le focus sur toi, qu'est-ce que tu ferais ? À quoi est-ce que t'aimerais dédier ton temps ? Même, tu vois, commencer doucement, tu vois. Et si je dédiais une heure de ma... allez, une ou deux heures de ma semaine à quelque chose que j'ai envie de tester. Juste un test, tu vois, pas forcément... plonger corps et âme dans une nouvelle activité mais déjà testée et ça je pense que c'est important bon voilà écoute ma beauté, mon élixir j'espère que cet épisode t'a plu si t'as envie de m'écrire sur Instagram mes messages sont ouverts je suis là pour toi et puis si t'as une histoire quoi que ce soit, me partager des questions avec grand plaisir je suis là, je te fais des gros bisous Et je dis à bientôt pour un nouvel épisode. Et surtout, surtout, surtout, prends soin de toi. Prends soin de ta santé et aime-toi. Je t'embrasse.

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