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EmpowerCast

En 5 étapes, transforme tes regrets en clarté - EmpowerCast - EP.51

En 5 étapes, transforme tes regrets en clarté - EmpowerCast - EP.51

20min |15/10/2025
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En 5 étapes, transforme tes regrets en clarté - EmpowerCast - EP.51

En 5 étapes, transforme tes regrets en clarté - EmpowerCast - EP.51

20min |15/10/2025
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Description

📍 Et si ton passé n’était pas vraiment derrière toi ?


Tu avances dans la vie, tu développes ton activité, tu fais des choix… Et pourtant, il y a parfois un petit “et si” qui refait surface. Subtilement. Inlassablement.

Et si j’étais resté dans ce poste ?
Et si j’avais osé ce projet ?
Et si j’avais écouté mon intuition au lieu de suivre la voie tracée ?


Ces “et si” ne sont pas juste des pensées nostalgiques.

Ce sont souvent des freins invisibles. Ils épuisent ton énergie mentale, t’empêchent de t’engager pleinement dans le présent, ou minent ta confiance en toi sans que tu comprennes pourquoi.


Dans cet épisode, je t’invite à les regarder en face — non pas pour ressasser le passé, mais pour t’en libérer.


🎧 Au programme :
✅ Les 5 signes que tes “et si” t’empoisonnent plus que tu ne le crois
✅ Pourquoi ton cerveau crée ces scénarios alternatifs… et s’en sert pour t’empêcher d’avancer
✅ Comment transformer tes regrets latents en carburant de clarté et de puissance
✅ Des exemples concrets pour sortir du flou et reprendre le lead sur ton présent

Ce n’est pas ton passé qui te freine. C’est ce que tu continues d’en porter inconsciemment. Il est temps d’intégrer tes choix, même les plus douloureux, pour retrouver toute ton énergie.


💡 Tu veux aller plus loin que l’écoute ?
Rejoins le Grand Atelier Élévation d’octobre.

Ensemble, on pacifie tes chemins non empruntés et on transforme le poids du passé en vision alignée. Une transformation collective puissante t’y attend.

👉 Je m’inscris à l’atelier : https://cecile.lrt-consulting.ovh/atelier


💬 Tu veux en parler avec d’autres leaders qui vivent les mêmes tiraillements ?
Rejoins la communauté EmpowerGroupe sur Telegram :
🔗 https://t.me/+mFTecVAHK8hhMzQ0


📬 Et pour recevoir chaque semaine une dose de clarté et de stratégie alignée, abonne-toi à l'EmpowerMail, ma newsletter :
🔗 https://cecile.lrt-consulting.ovh/newsletter2


🎤 À noter dans ton agenda :
Je serai présente à l’événement “Je pilote mon activité” le 31 octobre à 8h30, chez AGORA Guiers (Pont-de-Beauvoisin-73). Si tu veux apprendre à pitcher ton activité et me rencontrer, c’est l’occasion rêvée !


✨ Tes “et si” ne sont pas là pour te hanter. Ils sont là pour te parler. Pour te rappeler ce qui compte. Pour t’inviter à reprendre le lead.

🎧 Prends un moment pour écouter. Et demande-toi :
👉 Et si ce “et si” était une boussole, pas un boulet ?

keep shining.




La parole aux auditeurs !

Si tu veux m'aider à te préparer des épisodes qui te soient utiles, dis-moi de quoi tu as besoin ici.

Merci !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Il y a des décisions qu'on a prises il y a 5, 10, 20 ans, des bifurcations qu'on a choisies ou subies. Et pourtant même des années plus tard, il y a un petit « et si » qui reste tapis là. Pas toujours bruyant, mais toujours présent. Et si j'étais restée dans ce job ? Et si j'avais écouté mon intuition ? Et si j'avais osé ? Ou au contraire si j'avais ralenti ? Ces « et si » ne sont pas juste des pensées nostalgiques qui peuvent vraiment devenir des freins invisibles à notre pleine présence, à notre alignement et à notre paix intérieure. Et aujourd'hui, je voulais partager avec toi 5 signes très concrets, très simples aussi. Des signes que ce « et si » te hante peut-être plus que tu ne le crois. Et surtout qu'il est peut-être temps de l'écouter pour mieux t'en libérer. Allez, bonne écoute ! Bienvenue dans un Powercast, le podcast qui réveille ton pouvoir intérieur. Si tu es entrepreneur et que tu refuses de sacrifier ton authenticité et tes valeurs au nom du succès, alors tu es au bon endroit. Je suis Cécile Simonin, consultante et coach, posturologue, maître Reiki et apprentie chaman. Après plus de 20 ans en entreprise internationale, donc 15 ans management et 8 ans comité de direction, j'accompagne aujourd'hui celles et ceux qui veulent reprendre le lead sur leur entreprise et leur vie sans s'éputer ni se trahir. Mon approche ? Te guider vers ta vie triple R, celle qui te ressemble, te ressource et te respecte. Si tu veux que la réussite de ton business devienne l'expression de ta mission et non plus celle de ton sacrifice, alors rejoins-moi. Ensemble, nous allons transformer le monde. Est-ce que tu as déjà eu ce moment ? Tu es en pleine réunion, ou sous la douche, ou même en train de préparer le dîner, et là, sans prévenir, une question surgit. Et si j'avais pris l'autre voie ? Il y a des décisions qu'on a prises il y a des années, des bifurcations qu'on a choisies ou subies, et pourtant, même maintenant, il y a toujours ce petit « et si » qui reste tapis là. Il n'est pas toujours bruyant, mais il est toujours présent. Et si j'étais restée dans ce job ? Et si j'avais écouté mon intuition ? Tu l'as sûrement déjà remarqué, ces hessis, ils ne sont pas juste des pensées qui passent et qui s'évaporent. Ils peuvent vraiment devenir des freins invisibles à ta paix intérieure, à ta sérénité. Moi j'ai longtemps porté un hessi lourd comme une pierre dans mon sac. Et si j'avais continué dans la voie corporelle classique ? Et si j'avais pu me forcer encore quelques mois à rester dans ce poste qui ne me convenait pas pour attendre des jours meilleurs ? Et si j'avais gardé cette sécurité, ce statut, cette reconnaissance ? Suivi ce chemin tout tracé. Et si j'avais été capable de me moquer du fait que l'on respecte ou pas mes valeurs ? Et si j'étais moins entière ? Et si j'étais restée tranquillement à ma place ? Pendant des mois, j'ai observé mes anciens collègues vivre leur vie tranquille, de mon point de vue, et moi, j'avais choisi de tout quitter pour créer ma propre voie. Certains jours, je me demandais si j'avais passé une erreur monumentale, si j'avais pas gâché quelque chose de précieux. qui s'appelle la sécurité financière. Et c'est que le jour où j'ai accepté de regarder ce « et si » en face, de comprendre ce qui me disait vraiment, que j'ai pu reprendre le litre sur ma vie. Et c'est exactement ce dont on va parler aujourd'hui. Parce que tant que tu n'as pas fait la paix avec ces chemins non empruntés, petit clin d'œil à Florence, ils créent des boucles de pensée qui gaspillent ton énergie. Aujourd'hui, je vais partager avec toi 5 signes très concrets, des signes que... Cette boucle mentale, ce « et si » te hante peut-être plus que tu ne le crois et surtout qu'il est peut-être temps de l'écouter pour mieux le libérer. Alors on y va. Le premier signe, c'est celui-là. Tu ressens un pincement quand tu repenses à une décision clé de ta vie. Tu vois ce que je veux dire ? Ce petit truc dans la poitrine, pas forcément de la douleur franche, mais un inconfort, une tension, comme si quelque chose n'était pas complètement digéré. Ça peut être un job que tu as refusé à l'époque parce que ça te semblait trop risqué. Une relation amoureuse que tu as quittée parce que le timing n'était pas le bon ? Une idée entrepreneuriale peut-être que tu as mis de côté parce que c'était pas raisonnable ? Un pays où tu aurais pu t'installer mais tu as préféré rester, certainement pour une bonne raison. Je me souviens d'une cliente qui m'a dit un jour « Chaque fois que je vois une femme lancer sa boîte sur LinkedIn, j'ai mal au ventre. » Pas de la jalousie, juste un pincement comme une aigreur. Et en creusant, on a découvert qu'elle avait eu une opportunité il y a 8 ans. de devenir associé dans une start-up. Elle avait dit non, par peur, parce qu'elle pensait que c'était trop risqué pour sa famille, parce que ses enfants étaient encore petits, parce que, enfin, tu vois, toutes ces bonnes raisons, quoi. Et depuis, elle regardait les autres entreprendre avec ce mélange étrange de fascination et de regret. Si tu ressens ça, c'est normal. Ton cerveau déteste l'ambiguïté et les décisions non résolues, donc il va garder en mémoire ces bifurcations comme des dossiers en attente de traitement. Et à chaque fois que quelque chose dans ton présent va te rappeler cette décision, boum, le pincement revient. Et tu sais ce que je pense ? Je pense qu'on a appris à ignorer ces pincements, à les balayer, à laisser du passé, maintenant il faut avancer. Mais un pincement, ce n'est pas juste du passé, c'est une information précieuse sur ce qui compte encore pour toi aujourd'hui. Peut-être que ce pincement te dit, hé, il y a une valeur, un rêve, une partie de toi que tu as mis de côté et qui attend toujours. Alors demande-toi, quelle décision me provoque encore ce pincement ? Et qu'est-ce que ce pincement essaie de me dire aujourd'hui ? Et d'ailleurs, si tu sens que ce pincement, il a besoin d'être exploré un peu plus en profondeur, j'ai une bonne nouvelle pour toi, parce que le Grand Atelier Élévation du mois d'octobre va justement explorer ces chemins non empruntés. On va les regarder en face, les comprendre, et surtout être enfin serein avec notre passé. Je te mets toutes les infos en description, dans les notes de l'épisode, si tu veux nous rejoindre. Il est encore temps si tu écoutes l'épisode dès sa sortie. Le deuxième signe, c'est quoi ? C'est que tu te refais le film dans ta tête avec toutes les alternatives. Tu sais, à ce moment où tu te surprends à imaginer. Alors si j'étais restée salariée, aujourd'hui je serais probablement directeur régional, j'aurais une belle voiture de fonction, peut-être que j'aurais pu acheter une résidence secondaire, ou à l'inverse. Si j'étais partie vivre à Bali comme j'en avais envie, je serais peut-être prof de yoga maintenant et je me réveillerais face à la mer. C'est ce qu'on appelle la pensée contre-factuelle. Ton cerveau adore ça. Il adore construire des réalités parallèles. C'est comme si t'avais une Ferrari dans la tête, mais au lieu de rouler sur la route d'aujourd'hui, elle tournait encore en circuit fermé sur ton passé. Mais attention, il y a une nuance cruciale ici. Ces scénarios alternatifs, il n'y a pas de mal à les faire. S'ils t'apaisent... Par exemple, tu te dis « ouais ok, j'aurais pu faire ça, mais je suis contente d'être là où je suis » , alors tout va bien. C'est juste que ton cerveau explore et il intègre. Mais si ces scénarios sont plutôt du genre à créer de l'agitation en toi, si t'en ressens frustré, amer, avec l'impression d'avoir raté quelque chose, alors là c'est un signe clair que tu n'as pas encore fait la paix avec eux. Et je vais te dire un truc, j'ai passé des mois à rejouer mes scénarios alternatifs. Alors si j'étais restée en CDI, Si j'avais monté cette boîte avec 7 associés, etc. etc. Et tu sais ce que j'ai compris ? Ces scénarios, c'était une fuite. Une façon de ne pas affronter ma réalité présente. Parce que c'est plus facile de fantasmer sur ce qui aurait pu être que de construire ce qui peut être maintenant. Finalement, c'est aussi une forme de procrastination. Pendant que je pense à ce qui aurait pu être, eh ben j'agis pas pour construire un ce qui va être à la hauteur de mes désirs. Est-ce que toi aussi tu te refais les films parfois ? Ce scénario alternatif que tu rejoues, il t'apaise ou il t'agace ? Et qu'est-ce que ça dit de ce que tu veux vraiment aujourd'hui ? Si tu veux sortir de ce cycle mental et transformer ces scénarios en clarté, c'est exactement ce qu'on va faire ensemble dans le prochain Grand Atelier. En octobre, on travaille spécifiquement sur ces chemins non empruntés pour que tu puisses enfin être en paix avec tes choix passés et te projeter sereinement dans ton futur. Alors passons au signe numéro 3 maintenant, et celui-là il est vicieux. Tu te compares à ceux qui ont pris l'autre option. Tu es stuante sur LinkedIn, cet ancien collègue qui a gravi les échelons, qui est devenu directeur général. Tu regardes les photos de vacances de ton ex qui a refait sa vie et qui a l'air tellement heureux. Tu observes cette personne qui a lancé la boîte que toi t'as pas osé créer. Tu vas même jusqu'à lui dire qu'elle a volé ton idée. Et dans ta tête, tu te juges. Lui il a réussi, moi j'ai pris le mauvais chemin, ou à l'inverse. Moi j'ai réussi, mais à quel prix ? Tu pourrais être tranquille aujourd'hui. Ce que tu fais en fait, c'est projeter. Tu projettes sur ces personnes une réalité fantasmée. Parce que tu ne vois que la surface. Tu ne vois pas leurs doutes, leurs nuits blanches, leurs sacrifices. Tu ne vois pas leur « et si » à eux aussi. Je te donne un exemple. J'ai un ami qui a quitté le salariat pour devenir consultant indépendant. Pendant deux ans, il a regardé ses anciens collègues avec un mélange de nostalgie Et de jugement, oui, on peut dire ça comme ça. Eux, au moins, ils ont la sécurité, ils ont des congés payés, ils ont une routine. et puis un jour il a déjeuné et que l'un d'entre eux. Et tu sais ce que le gars lui a dit ? « Mec, je t'envis tellement, toi au moins t'es libre. Moi je suis en burn-out, je compte les jours jusqu'à la retraite. » Les deux avaient fantasmé la vie de l'autre et les deux portaient un « et si » . Voici ce que moi je crois profondément. La comparaison, c'est le vol de ta propre joie. Tant que tu regarderas la vie des autres pour valider ou invalider tes propres choix, tu ne seras jamais en paix. Parce que tu ne te compares pas vraiment à eux, tu te compares à une version fantasmée de ce que tu aurais pu être. Et cette version-là, elle n'existe pas, elle n'a jamais existé pour personne. Alors si tu te demandais maintenant, sur qui est-ce que je projette mon « et si » ? Et qu'est-ce que je fantasme vraiment chez cette personne ? Est-ce que c'est son chemin que j'envis ? Ou une qualité, une valeur que... À ce moment-là, je pourrais bien incarner moi aussi sur mon propre chemin. Et oui, rappelle-toi que tu es co-créateur de ta vie, tu en fais ce que tu veux. On arrive au quatrième signé, c'est peut-être le plus insidieux. Tu n'arrives pas à t'engager pleinement dans ton présent. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que tu lances des projets, mais tu les gardes en mode test. Tu te lances dans une relation, mais tu gardes une petite distance. Tu prends des décisions mais tu te laisses toujours une porte de sortie. Pourquoi ? Parce qu'inconsciemment tu as peur de refaire une erreur. Ton cerveau a enregistré que choisir c'est risquer de se tromper. Alors il te maintient dans une zone de demi-engagement. Pas assez pour vraiment échouer mais pas assez pour vraiment réussir non plus. Et ça ressemble à quoi concrètement ? Bah par exemple, t'as une idée de reconversion mais tu restes dans ton job actuel, au cas où. Tu veux développer ton business, mais tu dilues ton énergie sur 10 projets à la fois. Ah, celui-là, il me fait mal, il sent le véhicule. Tu dis oui à des opportunités, mais sans vraiment y croire à fond. T'as du mal à dire « c'est ça que je veux » parce que tu as peur de te fermer les portes. Moi, ça m'a longtemps bloquée. Après avoir quitté le salariat, j'ai passé des mois à papillonner. Un peu de coaching, un peu de posturologie, un peu de formation, un peu de conseils. Je me disais que je diversifiais, parce que oui, il y en a toujours des bonnes... façon de justifier ce qu'on fait, t'as remarqué ? En réalité, j'avais juste peur de choisir. J'avais peur de m'engager à fond dans une direction et de me tromper. C'est comme si je suivais à la fois mon plan A, mon plan B et mon plan C. Et c'est vraiment que le jour où j'ai accepté de dire « Ok, j'ai peut-être fait des erreurs dans le passé, mais ça ne définit pas mes choix futurs que j'ai pu reprendre le lead et construire vraiment. » Ça m'a amenée à réorganiser mon activité, et c'est pas si vieux puisque je l'ai fait cet été, il y a quelques mois. J'ai fait en sorte de me laisser du temps pour ce que j'avais le plus envie de développer. Et oui, ça veut dire prendre un risque, mais ça veut dire aussi prendre le risque de réussir dans ce que j'ai vraiment envie de développer. C'est un choix, encore une fois. Et je vais te dire quelque chose qui va peut-être te secouer un peu, mais ne pas choisir, c'est aussi un choix. C'est le choix de la tiédeur, le choix de la sécurité à court terme et de l'insatisfaction à long terme. Parce que la vie triple R, elle ne se construit pas dans l'hésitation, elle se construit dans l'engagement, dans le oui plein et entier. Et il sera toujours temps de changer de chemin si vraiment c'est pas le bon, mais là c'est faire appel à la confiance que ce chemin-là, quel que soit l'aboutissement, il t'apportera quelque chose. Quelque chose qui fera de toi une autre personne qui sera plus à même de réussir encore mieux sur un autre chemin, quoi qu'il arrive. Alors demande-toi. Qu'est-ce que je risque vraiment à choisir à fond, ici et maintenant ? Et qu'est-ce que je perds à rester dans la demi-mesure ? Et on va terminer avec le cinquième signe, celui qui est le plus révélateur. Tu n'arrives pas à raconter ton parcours sans te justifier. Quelqu'un te demande ce que tu fais dans la vie et tu réponds « Bah alors moi maintenant je fais du développement personnel, mais avant j'étais dans la finance, tu vois. » J'ai fait une grande école, j'ai bossé 10 ans dans la banque, et puis après j'ai eu envie de donner plus de sens. Enfin, t'as compris quoi. Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi tu ressens le besoin de justifier ton virage ? Comme si changer de voie c'était suspect. Comme si ton parcours, il devait absolument suivre une ligne droite pour être valide. La vérité c'est que tu ne te justifies pas pour les autres, tu te justifies pour toi-même. Parce qu'une partie de toi n'a pas encore validé ce choix. Une partie de toi a encore besoin de se prouver que tu as eu raison. J'ai une cliente qui pendant nos premières séances commençait toujours par me raconter tout son CV. Comme pour montrer qu'avant elle avait été quelqu'un. Qu'elle n'était pas juste une coach parmi tant d'autres. Et un jour je lui ai demandé, pourquoi tu as besoin de me prouver ça ? Et là il y a eu un silence. Elle a fondu en larmes, parce qu'elle venait de comprendre qu'elle se justifiait depuis trois ans, qu'elle n'avait jamais vraiment honoré son virage, qu'elle portait son passé à la fois comme un étendard, mais aussi comme un boulet. Moi ce que je crois, c'est que ton parcours, il n'a pas besoin d'être linéaire pour être cohérent. Chaque virage, chaque choix, même ceux qui te semblent un peu erratiques, t'ont construit. Ils font partie de ton histoire unique et ils contribuent à ce que tu es aujourd'hui. Et l'abondance, la vraie, elle vient pas d'un parcours parfait. D'ailleurs, je sais même pas ce que ça pourrait être un parcours parfait. Elle vient d'un alignement profond entre qui tu es à chaque instant, ce que tu as vécu et où tu veux aller. Alors si toi aussi t'as tendance à te justifier, essaie de savoir à qui est-ce que j'essaie de prouver que j'ai eu raison. Et qu'est-ce qui se passerait si j'assumais pleinement mon parcours avec tous ces virages ? Avant de te laisser, j'ai envie qu'on récapitule ensemble. Donc on a vu 5 signes très concrets que ton « et si » te hante peut-être plus que tu ne le crois. Le premier, c'est que tu ressens un pincement en pensant à une décision clé. Le deuxième, c'est que tu revises souvent des scénarios alternatifs dans ta tête, genre « je me refais le film » . Le troisième, c'est que tu te compares à ceux qui ont pris l'autre chemin, ceux que toi tu n'as pas pris, parce qu'on ne peut pas être partout. Le quatrième, c'est que tu hésites à t'engager pleinement dans ton présent et que ça se manifeste de plein de façons, comme on l'a vu. Et le cinquième, c'est que tu as du mal à raconter ton parcours sans te justifier avec ce que tu as fait avant et tout ça. Ces signes, c'est des petites alarmes. Ils montrent que ton passé, il n'est pas mauvais, il est juste en attente d'être reconnu et surtout intégré. Parce que ton « et si » n'est pas là pour te pourrir la vie, il est là pour te parler, pour te dire « hé, il y a un truc important ici » . Soit une valeur, soit un rêve ou une partie de toi qui mérite d'être écoutée. Et je vais te dire quelque chose que j'aurais vraiment aimé entendre il y a quelques années. Faire la paix avec tes « et si » c'est pas valider ou invalider tes choix passés. C'est accepter que chaque choix t'a amené exactement là où tu devais être pour devenir qui tu es aujourd'hui. Peut-être que tu as « raté » des opportunités, peut-être que tu as pris des mauvais virages. Mais peut-être aussi que tes virages t'ont appris des choses que tu ne pouvais apprendre nulle part ailleurs. Alors aujourd'hui, je te laisse avec cette question. Et si ce « et si » n'était pas là pour te hanter, mais pour te guider ? Et si au lieu de le fuir, tu prenais le temps de l'écouter vraiment ? De comprendre ce qu'il te dit, sur ce qui compte pour toi, sur ce que tu veux récarner à partir de maintenant ? Et si tu t'es reconnu dans deux ou trois signes, je t'invite vraiment à prendre un moment pour toi, pas pour ressasser mais pour intégrer, pour apprendre à vivre avec tous ces chemins non empruntés et en faire un carburant pour ton présent. Et si tu veux en parler, tu peux rejoindre l'Empower Group pour partager ce que cet épisode a réveillé pour toi. J'adore échanger avec vous sur ces sujets, le lien du groupe, il est dans les notes du podcast. Et surtout si tu sens que tu as besoin d'un espace pour faire vraiment ce travail en profondeur, Rejoins-nous dans les grands ateliers Élévation. Ce mois-ci, on se consacre justement à ces chemins non empruntés pour que tu puisses être enfin serein avec ton passé et libérer toute ton énergie pour ton présent. C'est un moment puissant de transformation collective et j'adorerais t'y retrouver. Toutes les infos sont en description et dans les notes du podcast. Et puis, dernière information à propos de notre partenaire Agouragui, tu sais, le tiers lieu de référence pour l'avant-pays savoyard et les vagues du Dauphiné, celui qui te... Donne plein de ressources que ce soit au niveau économique ou culturel ou encore social. Le 31 octobre, note bien, il y a une rencontre pour les solopreneurs à 8h30 chez Agouraguet Pont de Beauvoisin sur le thème « Je pilote mon activité » et là tu vas apprendre à pitcher ton activité. Et puis j'y serai, si tu veux me rencontrer, c'est l'occasion. Sur ce, aujourd'hui je te dis, tes hésites ne sont pas tes ennemis, les chemins non empruntés ne sont pas des regrets, ils sont des invitations à vivre encore. plus pleinement et peut-être à récupérer ce chemin-là. Pensez. Et puis on n'est pas keep shining. Merci d'avoir écouté cet épisode. On se retrouve la semaine prochaine pour une nouvelle aventure. Depuis début 2023, j'accompagne des entrepreneurs, coachs et dirigeants qui refusent de choisir entre réussite et authenticité, entre bien-être et performance. Si toi aussi tu ressens cet appel à te créer ce que j'appelle une vie triple R qui te ressemble, te ressource et te respecte, Alors, rejoins ma communauté. Inscris-toi à Lempower Mail, ma newsletter hebdomadaire. Chaque semaine, tu recevras des stratégies concrètes, des outils exclusifs et des réflexions pour réveiller ton pouvoir intérieur et enfin reprendre le lead sur ton entreprise et ta vie. Tu trouveras le lien en description. J'ai hâte de poursuivre ce voyage avec toi.

Description

📍 Et si ton passé n’était pas vraiment derrière toi ?


Tu avances dans la vie, tu développes ton activité, tu fais des choix… Et pourtant, il y a parfois un petit “et si” qui refait surface. Subtilement. Inlassablement.

Et si j’étais resté dans ce poste ?
Et si j’avais osé ce projet ?
Et si j’avais écouté mon intuition au lieu de suivre la voie tracée ?


Ces “et si” ne sont pas juste des pensées nostalgiques.

Ce sont souvent des freins invisibles. Ils épuisent ton énergie mentale, t’empêchent de t’engager pleinement dans le présent, ou minent ta confiance en toi sans que tu comprennes pourquoi.


Dans cet épisode, je t’invite à les regarder en face — non pas pour ressasser le passé, mais pour t’en libérer.


🎧 Au programme :
✅ Les 5 signes que tes “et si” t’empoisonnent plus que tu ne le crois
✅ Pourquoi ton cerveau crée ces scénarios alternatifs… et s’en sert pour t’empêcher d’avancer
✅ Comment transformer tes regrets latents en carburant de clarté et de puissance
✅ Des exemples concrets pour sortir du flou et reprendre le lead sur ton présent

Ce n’est pas ton passé qui te freine. C’est ce que tu continues d’en porter inconsciemment. Il est temps d’intégrer tes choix, même les plus douloureux, pour retrouver toute ton énergie.


💡 Tu veux aller plus loin que l’écoute ?
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🎤 À noter dans ton agenda :
Je serai présente à l’événement “Je pilote mon activité” le 31 octobre à 8h30, chez AGORA Guiers (Pont-de-Beauvoisin-73). Si tu veux apprendre à pitcher ton activité et me rencontrer, c’est l’occasion rêvée !


✨ Tes “et si” ne sont pas là pour te hanter. Ils sont là pour te parler. Pour te rappeler ce qui compte. Pour t’inviter à reprendre le lead.

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👉 Et si ce “et si” était une boussole, pas un boulet ?

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Merci !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Il y a des décisions qu'on a prises il y a 5, 10, 20 ans, des bifurcations qu'on a choisies ou subies. Et pourtant même des années plus tard, il y a un petit « et si » qui reste tapis là. Pas toujours bruyant, mais toujours présent. Et si j'étais restée dans ce job ? Et si j'avais écouté mon intuition ? Et si j'avais osé ? Ou au contraire si j'avais ralenti ? Ces « et si » ne sont pas juste des pensées nostalgiques qui peuvent vraiment devenir des freins invisibles à notre pleine présence, à notre alignement et à notre paix intérieure. Et aujourd'hui, je voulais partager avec toi 5 signes très concrets, très simples aussi. Des signes que ce « et si » te hante peut-être plus que tu ne le crois. Et surtout qu'il est peut-être temps de l'écouter pour mieux t'en libérer. Allez, bonne écoute ! Bienvenue dans un Powercast, le podcast qui réveille ton pouvoir intérieur. Si tu es entrepreneur et que tu refuses de sacrifier ton authenticité et tes valeurs au nom du succès, alors tu es au bon endroit. Je suis Cécile Simonin, consultante et coach, posturologue, maître Reiki et apprentie chaman. Après plus de 20 ans en entreprise internationale, donc 15 ans management et 8 ans comité de direction, j'accompagne aujourd'hui celles et ceux qui veulent reprendre le lead sur leur entreprise et leur vie sans s'éputer ni se trahir. Mon approche ? Te guider vers ta vie triple R, celle qui te ressemble, te ressource et te respecte. Si tu veux que la réussite de ton business devienne l'expression de ta mission et non plus celle de ton sacrifice, alors rejoins-moi. Ensemble, nous allons transformer le monde. Est-ce que tu as déjà eu ce moment ? Tu es en pleine réunion, ou sous la douche, ou même en train de préparer le dîner, et là, sans prévenir, une question surgit. Et si j'avais pris l'autre voie ? Il y a des décisions qu'on a prises il y a des années, des bifurcations qu'on a choisies ou subies, et pourtant, même maintenant, il y a toujours ce petit « et si » qui reste tapis là. Il n'est pas toujours bruyant, mais il est toujours présent. Et si j'étais restée dans ce job ? Et si j'avais écouté mon intuition ? Tu l'as sûrement déjà remarqué, ces hessis, ils ne sont pas juste des pensées qui passent et qui s'évaporent. Ils peuvent vraiment devenir des freins invisibles à ta paix intérieure, à ta sérénité. Moi j'ai longtemps porté un hessi lourd comme une pierre dans mon sac. Et si j'avais continué dans la voie corporelle classique ? Et si j'avais pu me forcer encore quelques mois à rester dans ce poste qui ne me convenait pas pour attendre des jours meilleurs ? Et si j'avais gardé cette sécurité, ce statut, cette reconnaissance ? Suivi ce chemin tout tracé. Et si j'avais été capable de me moquer du fait que l'on respecte ou pas mes valeurs ? Et si j'étais moins entière ? Et si j'étais restée tranquillement à ma place ? Pendant des mois, j'ai observé mes anciens collègues vivre leur vie tranquille, de mon point de vue, et moi, j'avais choisi de tout quitter pour créer ma propre voie. Certains jours, je me demandais si j'avais passé une erreur monumentale, si j'avais pas gâché quelque chose de précieux. qui s'appelle la sécurité financière. Et c'est que le jour où j'ai accepté de regarder ce « et si » en face, de comprendre ce qui me disait vraiment, que j'ai pu reprendre le litre sur ma vie. Et c'est exactement ce dont on va parler aujourd'hui. Parce que tant que tu n'as pas fait la paix avec ces chemins non empruntés, petit clin d'œil à Florence, ils créent des boucles de pensée qui gaspillent ton énergie. Aujourd'hui, je vais partager avec toi 5 signes très concrets, des signes que... Cette boucle mentale, ce « et si » te hante peut-être plus que tu ne le crois et surtout qu'il est peut-être temps de l'écouter pour mieux le libérer. Alors on y va. Le premier signe, c'est celui-là. Tu ressens un pincement quand tu repenses à une décision clé de ta vie. Tu vois ce que je veux dire ? Ce petit truc dans la poitrine, pas forcément de la douleur franche, mais un inconfort, une tension, comme si quelque chose n'était pas complètement digéré. Ça peut être un job que tu as refusé à l'époque parce que ça te semblait trop risqué. Une relation amoureuse que tu as quittée parce que le timing n'était pas le bon ? Une idée entrepreneuriale peut-être que tu as mis de côté parce que c'était pas raisonnable ? Un pays où tu aurais pu t'installer mais tu as préféré rester, certainement pour une bonne raison. Je me souviens d'une cliente qui m'a dit un jour « Chaque fois que je vois une femme lancer sa boîte sur LinkedIn, j'ai mal au ventre. » Pas de la jalousie, juste un pincement comme une aigreur. Et en creusant, on a découvert qu'elle avait eu une opportunité il y a 8 ans. de devenir associé dans une start-up. Elle avait dit non, par peur, parce qu'elle pensait que c'était trop risqué pour sa famille, parce que ses enfants étaient encore petits, parce que, enfin, tu vois, toutes ces bonnes raisons, quoi. Et depuis, elle regardait les autres entreprendre avec ce mélange étrange de fascination et de regret. Si tu ressens ça, c'est normal. Ton cerveau déteste l'ambiguïté et les décisions non résolues, donc il va garder en mémoire ces bifurcations comme des dossiers en attente de traitement. Et à chaque fois que quelque chose dans ton présent va te rappeler cette décision, boum, le pincement revient. Et tu sais ce que je pense ? Je pense qu'on a appris à ignorer ces pincements, à les balayer, à laisser du passé, maintenant il faut avancer. Mais un pincement, ce n'est pas juste du passé, c'est une information précieuse sur ce qui compte encore pour toi aujourd'hui. Peut-être que ce pincement te dit, hé, il y a une valeur, un rêve, une partie de toi que tu as mis de côté et qui attend toujours. Alors demande-toi, quelle décision me provoque encore ce pincement ? Et qu'est-ce que ce pincement essaie de me dire aujourd'hui ? Et d'ailleurs, si tu sens que ce pincement, il a besoin d'être exploré un peu plus en profondeur, j'ai une bonne nouvelle pour toi, parce que le Grand Atelier Élévation du mois d'octobre va justement explorer ces chemins non empruntés. On va les regarder en face, les comprendre, et surtout être enfin serein avec notre passé. Je te mets toutes les infos en description, dans les notes de l'épisode, si tu veux nous rejoindre. Il est encore temps si tu écoutes l'épisode dès sa sortie. Le deuxième signe, c'est quoi ? C'est que tu te refais le film dans ta tête avec toutes les alternatives. Tu sais, à ce moment où tu te surprends à imaginer. Alors si j'étais restée salariée, aujourd'hui je serais probablement directeur régional, j'aurais une belle voiture de fonction, peut-être que j'aurais pu acheter une résidence secondaire, ou à l'inverse. Si j'étais partie vivre à Bali comme j'en avais envie, je serais peut-être prof de yoga maintenant et je me réveillerais face à la mer. C'est ce qu'on appelle la pensée contre-factuelle. Ton cerveau adore ça. Il adore construire des réalités parallèles. C'est comme si t'avais une Ferrari dans la tête, mais au lieu de rouler sur la route d'aujourd'hui, elle tournait encore en circuit fermé sur ton passé. Mais attention, il y a une nuance cruciale ici. Ces scénarios alternatifs, il n'y a pas de mal à les faire. S'ils t'apaisent... Par exemple, tu te dis « ouais ok, j'aurais pu faire ça, mais je suis contente d'être là où je suis » , alors tout va bien. C'est juste que ton cerveau explore et il intègre. Mais si ces scénarios sont plutôt du genre à créer de l'agitation en toi, si t'en ressens frustré, amer, avec l'impression d'avoir raté quelque chose, alors là c'est un signe clair que tu n'as pas encore fait la paix avec eux. Et je vais te dire un truc, j'ai passé des mois à rejouer mes scénarios alternatifs. Alors si j'étais restée en CDI, Si j'avais monté cette boîte avec 7 associés, etc. etc. Et tu sais ce que j'ai compris ? Ces scénarios, c'était une fuite. Une façon de ne pas affronter ma réalité présente. Parce que c'est plus facile de fantasmer sur ce qui aurait pu être que de construire ce qui peut être maintenant. Finalement, c'est aussi une forme de procrastination. Pendant que je pense à ce qui aurait pu être, eh ben j'agis pas pour construire un ce qui va être à la hauteur de mes désirs. Est-ce que toi aussi tu te refais les films parfois ? Ce scénario alternatif que tu rejoues, il t'apaise ou il t'agace ? Et qu'est-ce que ça dit de ce que tu veux vraiment aujourd'hui ? Si tu veux sortir de ce cycle mental et transformer ces scénarios en clarté, c'est exactement ce qu'on va faire ensemble dans le prochain Grand Atelier. En octobre, on travaille spécifiquement sur ces chemins non empruntés pour que tu puisses enfin être en paix avec tes choix passés et te projeter sereinement dans ton futur. Alors passons au signe numéro 3 maintenant, et celui-là il est vicieux. Tu te compares à ceux qui ont pris l'autre option. Tu es stuante sur LinkedIn, cet ancien collègue qui a gravi les échelons, qui est devenu directeur général. Tu regardes les photos de vacances de ton ex qui a refait sa vie et qui a l'air tellement heureux. Tu observes cette personne qui a lancé la boîte que toi t'as pas osé créer. Tu vas même jusqu'à lui dire qu'elle a volé ton idée. Et dans ta tête, tu te juges. Lui il a réussi, moi j'ai pris le mauvais chemin, ou à l'inverse. Moi j'ai réussi, mais à quel prix ? Tu pourrais être tranquille aujourd'hui. Ce que tu fais en fait, c'est projeter. Tu projettes sur ces personnes une réalité fantasmée. Parce que tu ne vois que la surface. Tu ne vois pas leurs doutes, leurs nuits blanches, leurs sacrifices. Tu ne vois pas leur « et si » à eux aussi. Je te donne un exemple. J'ai un ami qui a quitté le salariat pour devenir consultant indépendant. Pendant deux ans, il a regardé ses anciens collègues avec un mélange de nostalgie Et de jugement, oui, on peut dire ça comme ça. Eux, au moins, ils ont la sécurité, ils ont des congés payés, ils ont une routine. et puis un jour il a déjeuné et que l'un d'entre eux. Et tu sais ce que le gars lui a dit ? « Mec, je t'envis tellement, toi au moins t'es libre. Moi je suis en burn-out, je compte les jours jusqu'à la retraite. » Les deux avaient fantasmé la vie de l'autre et les deux portaient un « et si » . Voici ce que moi je crois profondément. La comparaison, c'est le vol de ta propre joie. Tant que tu regarderas la vie des autres pour valider ou invalider tes propres choix, tu ne seras jamais en paix. Parce que tu ne te compares pas vraiment à eux, tu te compares à une version fantasmée de ce que tu aurais pu être. Et cette version-là, elle n'existe pas, elle n'a jamais existé pour personne. Alors si tu te demandais maintenant, sur qui est-ce que je projette mon « et si » ? Et qu'est-ce que je fantasme vraiment chez cette personne ? Est-ce que c'est son chemin que j'envis ? Ou une qualité, une valeur que... À ce moment-là, je pourrais bien incarner moi aussi sur mon propre chemin. Et oui, rappelle-toi que tu es co-créateur de ta vie, tu en fais ce que tu veux. On arrive au quatrième signé, c'est peut-être le plus insidieux. Tu n'arrives pas à t'engager pleinement dans ton présent. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que tu lances des projets, mais tu les gardes en mode test. Tu te lances dans une relation, mais tu gardes une petite distance. Tu prends des décisions mais tu te laisses toujours une porte de sortie. Pourquoi ? Parce qu'inconsciemment tu as peur de refaire une erreur. Ton cerveau a enregistré que choisir c'est risquer de se tromper. Alors il te maintient dans une zone de demi-engagement. Pas assez pour vraiment échouer mais pas assez pour vraiment réussir non plus. Et ça ressemble à quoi concrètement ? Bah par exemple, t'as une idée de reconversion mais tu restes dans ton job actuel, au cas où. Tu veux développer ton business, mais tu dilues ton énergie sur 10 projets à la fois. Ah, celui-là, il me fait mal, il sent le véhicule. Tu dis oui à des opportunités, mais sans vraiment y croire à fond. T'as du mal à dire « c'est ça que je veux » parce que tu as peur de te fermer les portes. Moi, ça m'a longtemps bloquée. Après avoir quitté le salariat, j'ai passé des mois à papillonner. Un peu de coaching, un peu de posturologie, un peu de formation, un peu de conseils. Je me disais que je diversifiais, parce que oui, il y en a toujours des bonnes... façon de justifier ce qu'on fait, t'as remarqué ? En réalité, j'avais juste peur de choisir. J'avais peur de m'engager à fond dans une direction et de me tromper. C'est comme si je suivais à la fois mon plan A, mon plan B et mon plan C. Et c'est vraiment que le jour où j'ai accepté de dire « Ok, j'ai peut-être fait des erreurs dans le passé, mais ça ne définit pas mes choix futurs que j'ai pu reprendre le lead et construire vraiment. » Ça m'a amenée à réorganiser mon activité, et c'est pas si vieux puisque je l'ai fait cet été, il y a quelques mois. J'ai fait en sorte de me laisser du temps pour ce que j'avais le plus envie de développer. Et oui, ça veut dire prendre un risque, mais ça veut dire aussi prendre le risque de réussir dans ce que j'ai vraiment envie de développer. C'est un choix, encore une fois. Et je vais te dire quelque chose qui va peut-être te secouer un peu, mais ne pas choisir, c'est aussi un choix. C'est le choix de la tiédeur, le choix de la sécurité à court terme et de l'insatisfaction à long terme. Parce que la vie triple R, elle ne se construit pas dans l'hésitation, elle se construit dans l'engagement, dans le oui plein et entier. Et il sera toujours temps de changer de chemin si vraiment c'est pas le bon, mais là c'est faire appel à la confiance que ce chemin-là, quel que soit l'aboutissement, il t'apportera quelque chose. Quelque chose qui fera de toi une autre personne qui sera plus à même de réussir encore mieux sur un autre chemin, quoi qu'il arrive. Alors demande-toi. Qu'est-ce que je risque vraiment à choisir à fond, ici et maintenant ? Et qu'est-ce que je perds à rester dans la demi-mesure ? Et on va terminer avec le cinquième signe, celui qui est le plus révélateur. Tu n'arrives pas à raconter ton parcours sans te justifier. Quelqu'un te demande ce que tu fais dans la vie et tu réponds « Bah alors moi maintenant je fais du développement personnel, mais avant j'étais dans la finance, tu vois. » J'ai fait une grande école, j'ai bossé 10 ans dans la banque, et puis après j'ai eu envie de donner plus de sens. Enfin, t'as compris quoi. Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi tu ressens le besoin de justifier ton virage ? Comme si changer de voie c'était suspect. Comme si ton parcours, il devait absolument suivre une ligne droite pour être valide. La vérité c'est que tu ne te justifies pas pour les autres, tu te justifies pour toi-même. Parce qu'une partie de toi n'a pas encore validé ce choix. Une partie de toi a encore besoin de se prouver que tu as eu raison. J'ai une cliente qui pendant nos premières séances commençait toujours par me raconter tout son CV. Comme pour montrer qu'avant elle avait été quelqu'un. Qu'elle n'était pas juste une coach parmi tant d'autres. Et un jour je lui ai demandé, pourquoi tu as besoin de me prouver ça ? Et là il y a eu un silence. Elle a fondu en larmes, parce qu'elle venait de comprendre qu'elle se justifiait depuis trois ans, qu'elle n'avait jamais vraiment honoré son virage, qu'elle portait son passé à la fois comme un étendard, mais aussi comme un boulet. Moi ce que je crois, c'est que ton parcours, il n'a pas besoin d'être linéaire pour être cohérent. Chaque virage, chaque choix, même ceux qui te semblent un peu erratiques, t'ont construit. Ils font partie de ton histoire unique et ils contribuent à ce que tu es aujourd'hui. Et l'abondance, la vraie, elle vient pas d'un parcours parfait. D'ailleurs, je sais même pas ce que ça pourrait être un parcours parfait. Elle vient d'un alignement profond entre qui tu es à chaque instant, ce que tu as vécu et où tu veux aller. Alors si toi aussi t'as tendance à te justifier, essaie de savoir à qui est-ce que j'essaie de prouver que j'ai eu raison. Et qu'est-ce qui se passerait si j'assumais pleinement mon parcours avec tous ces virages ? Avant de te laisser, j'ai envie qu'on récapitule ensemble. Donc on a vu 5 signes très concrets que ton « et si » te hante peut-être plus que tu ne le crois. Le premier, c'est que tu ressens un pincement en pensant à une décision clé. Le deuxième, c'est que tu revises souvent des scénarios alternatifs dans ta tête, genre « je me refais le film » . Le troisième, c'est que tu te compares à ceux qui ont pris l'autre chemin, ceux que toi tu n'as pas pris, parce qu'on ne peut pas être partout. Le quatrième, c'est que tu hésites à t'engager pleinement dans ton présent et que ça se manifeste de plein de façons, comme on l'a vu. Et le cinquième, c'est que tu as du mal à raconter ton parcours sans te justifier avec ce que tu as fait avant et tout ça. Ces signes, c'est des petites alarmes. Ils montrent que ton passé, il n'est pas mauvais, il est juste en attente d'être reconnu et surtout intégré. Parce que ton « et si » n'est pas là pour te pourrir la vie, il est là pour te parler, pour te dire « hé, il y a un truc important ici » . Soit une valeur, soit un rêve ou une partie de toi qui mérite d'être écoutée. Et je vais te dire quelque chose que j'aurais vraiment aimé entendre il y a quelques années. Faire la paix avec tes « et si » c'est pas valider ou invalider tes choix passés. C'est accepter que chaque choix t'a amené exactement là où tu devais être pour devenir qui tu es aujourd'hui. Peut-être que tu as « raté » des opportunités, peut-être que tu as pris des mauvais virages. Mais peut-être aussi que tes virages t'ont appris des choses que tu ne pouvais apprendre nulle part ailleurs. Alors aujourd'hui, je te laisse avec cette question. Et si ce « et si » n'était pas là pour te hanter, mais pour te guider ? Et si au lieu de le fuir, tu prenais le temps de l'écouter vraiment ? De comprendre ce qu'il te dit, sur ce qui compte pour toi, sur ce que tu veux récarner à partir de maintenant ? Et si tu t'es reconnu dans deux ou trois signes, je t'invite vraiment à prendre un moment pour toi, pas pour ressasser mais pour intégrer, pour apprendre à vivre avec tous ces chemins non empruntés et en faire un carburant pour ton présent. Et si tu veux en parler, tu peux rejoindre l'Empower Group pour partager ce que cet épisode a réveillé pour toi. J'adore échanger avec vous sur ces sujets, le lien du groupe, il est dans les notes du podcast. Et surtout si tu sens que tu as besoin d'un espace pour faire vraiment ce travail en profondeur, Rejoins-nous dans les grands ateliers Élévation. Ce mois-ci, on se consacre justement à ces chemins non empruntés pour que tu puisses être enfin serein avec ton passé et libérer toute ton énergie pour ton présent. C'est un moment puissant de transformation collective et j'adorerais t'y retrouver. Toutes les infos sont en description et dans les notes du podcast. Et puis, dernière information à propos de notre partenaire Agouragui, tu sais, le tiers lieu de référence pour l'avant-pays savoyard et les vagues du Dauphiné, celui qui te... Donne plein de ressources que ce soit au niveau économique ou culturel ou encore social. Le 31 octobre, note bien, il y a une rencontre pour les solopreneurs à 8h30 chez Agouraguet Pont de Beauvoisin sur le thème « Je pilote mon activité » et là tu vas apprendre à pitcher ton activité. Et puis j'y serai, si tu veux me rencontrer, c'est l'occasion. Sur ce, aujourd'hui je te dis, tes hésites ne sont pas tes ennemis, les chemins non empruntés ne sont pas des regrets, ils sont des invitations à vivre encore. plus pleinement et peut-être à récupérer ce chemin-là. Pensez. Et puis on n'est pas keep shining. Merci d'avoir écouté cet épisode. On se retrouve la semaine prochaine pour une nouvelle aventure. Depuis début 2023, j'accompagne des entrepreneurs, coachs et dirigeants qui refusent de choisir entre réussite et authenticité, entre bien-être et performance. Si toi aussi tu ressens cet appel à te créer ce que j'appelle une vie triple R qui te ressemble, te ressource et te respecte, Alors, rejoins ma communauté. Inscris-toi à Lempower Mail, ma newsletter hebdomadaire. Chaque semaine, tu recevras des stratégies concrètes, des outils exclusifs et des réflexions pour réveiller ton pouvoir intérieur et enfin reprendre le lead sur ton entreprise et ta vie. Tu trouveras le lien en description. J'ai hâte de poursuivre ce voyage avec toi.

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Description

📍 Et si ton passé n’était pas vraiment derrière toi ?


Tu avances dans la vie, tu développes ton activité, tu fais des choix… Et pourtant, il y a parfois un petit “et si” qui refait surface. Subtilement. Inlassablement.

Et si j’étais resté dans ce poste ?
Et si j’avais osé ce projet ?
Et si j’avais écouté mon intuition au lieu de suivre la voie tracée ?


Ces “et si” ne sont pas juste des pensées nostalgiques.

Ce sont souvent des freins invisibles. Ils épuisent ton énergie mentale, t’empêchent de t’engager pleinement dans le présent, ou minent ta confiance en toi sans que tu comprennes pourquoi.


Dans cet épisode, je t’invite à les regarder en face — non pas pour ressasser le passé, mais pour t’en libérer.


🎧 Au programme :
✅ Les 5 signes que tes “et si” t’empoisonnent plus que tu ne le crois
✅ Pourquoi ton cerveau crée ces scénarios alternatifs… et s’en sert pour t’empêcher d’avancer
✅ Comment transformer tes regrets latents en carburant de clarté et de puissance
✅ Des exemples concrets pour sortir du flou et reprendre le lead sur ton présent

Ce n’est pas ton passé qui te freine. C’est ce que tu continues d’en porter inconsciemment. Il est temps d’intégrer tes choix, même les plus douloureux, pour retrouver toute ton énergie.


💡 Tu veux aller plus loin que l’écoute ?
Rejoins le Grand Atelier Élévation d’octobre.

Ensemble, on pacifie tes chemins non empruntés et on transforme le poids du passé en vision alignée. Une transformation collective puissante t’y attend.

👉 Je m’inscris à l’atelier : https://cecile.lrt-consulting.ovh/atelier


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🎤 À noter dans ton agenda :
Je serai présente à l’événement “Je pilote mon activité” le 31 octobre à 8h30, chez AGORA Guiers (Pont-de-Beauvoisin-73). Si tu veux apprendre à pitcher ton activité et me rencontrer, c’est l’occasion rêvée !


✨ Tes “et si” ne sont pas là pour te hanter. Ils sont là pour te parler. Pour te rappeler ce qui compte. Pour t’inviter à reprendre le lead.

🎧 Prends un moment pour écouter. Et demande-toi :
👉 Et si ce “et si” était une boussole, pas un boulet ?

keep shining.




La parole aux auditeurs !

Si tu veux m'aider à te préparer des épisodes qui te soient utiles, dis-moi de quoi tu as besoin ici.

Merci !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Il y a des décisions qu'on a prises il y a 5, 10, 20 ans, des bifurcations qu'on a choisies ou subies. Et pourtant même des années plus tard, il y a un petit « et si » qui reste tapis là. Pas toujours bruyant, mais toujours présent. Et si j'étais restée dans ce job ? Et si j'avais écouté mon intuition ? Et si j'avais osé ? Ou au contraire si j'avais ralenti ? Ces « et si » ne sont pas juste des pensées nostalgiques qui peuvent vraiment devenir des freins invisibles à notre pleine présence, à notre alignement et à notre paix intérieure. Et aujourd'hui, je voulais partager avec toi 5 signes très concrets, très simples aussi. Des signes que ce « et si » te hante peut-être plus que tu ne le crois. Et surtout qu'il est peut-être temps de l'écouter pour mieux t'en libérer. Allez, bonne écoute ! Bienvenue dans un Powercast, le podcast qui réveille ton pouvoir intérieur. Si tu es entrepreneur et que tu refuses de sacrifier ton authenticité et tes valeurs au nom du succès, alors tu es au bon endroit. Je suis Cécile Simonin, consultante et coach, posturologue, maître Reiki et apprentie chaman. Après plus de 20 ans en entreprise internationale, donc 15 ans management et 8 ans comité de direction, j'accompagne aujourd'hui celles et ceux qui veulent reprendre le lead sur leur entreprise et leur vie sans s'éputer ni se trahir. Mon approche ? Te guider vers ta vie triple R, celle qui te ressemble, te ressource et te respecte. Si tu veux que la réussite de ton business devienne l'expression de ta mission et non plus celle de ton sacrifice, alors rejoins-moi. Ensemble, nous allons transformer le monde. Est-ce que tu as déjà eu ce moment ? Tu es en pleine réunion, ou sous la douche, ou même en train de préparer le dîner, et là, sans prévenir, une question surgit. Et si j'avais pris l'autre voie ? Il y a des décisions qu'on a prises il y a des années, des bifurcations qu'on a choisies ou subies, et pourtant, même maintenant, il y a toujours ce petit « et si » qui reste tapis là. Il n'est pas toujours bruyant, mais il est toujours présent. Et si j'étais restée dans ce job ? Et si j'avais écouté mon intuition ? Tu l'as sûrement déjà remarqué, ces hessis, ils ne sont pas juste des pensées qui passent et qui s'évaporent. Ils peuvent vraiment devenir des freins invisibles à ta paix intérieure, à ta sérénité. Moi j'ai longtemps porté un hessi lourd comme une pierre dans mon sac. Et si j'avais continué dans la voie corporelle classique ? Et si j'avais pu me forcer encore quelques mois à rester dans ce poste qui ne me convenait pas pour attendre des jours meilleurs ? Et si j'avais gardé cette sécurité, ce statut, cette reconnaissance ? Suivi ce chemin tout tracé. Et si j'avais été capable de me moquer du fait que l'on respecte ou pas mes valeurs ? Et si j'étais moins entière ? Et si j'étais restée tranquillement à ma place ? Pendant des mois, j'ai observé mes anciens collègues vivre leur vie tranquille, de mon point de vue, et moi, j'avais choisi de tout quitter pour créer ma propre voie. Certains jours, je me demandais si j'avais passé une erreur monumentale, si j'avais pas gâché quelque chose de précieux. qui s'appelle la sécurité financière. Et c'est que le jour où j'ai accepté de regarder ce « et si » en face, de comprendre ce qui me disait vraiment, que j'ai pu reprendre le litre sur ma vie. Et c'est exactement ce dont on va parler aujourd'hui. Parce que tant que tu n'as pas fait la paix avec ces chemins non empruntés, petit clin d'œil à Florence, ils créent des boucles de pensée qui gaspillent ton énergie. Aujourd'hui, je vais partager avec toi 5 signes très concrets, des signes que... Cette boucle mentale, ce « et si » te hante peut-être plus que tu ne le crois et surtout qu'il est peut-être temps de l'écouter pour mieux le libérer. Alors on y va. Le premier signe, c'est celui-là. Tu ressens un pincement quand tu repenses à une décision clé de ta vie. Tu vois ce que je veux dire ? Ce petit truc dans la poitrine, pas forcément de la douleur franche, mais un inconfort, une tension, comme si quelque chose n'était pas complètement digéré. Ça peut être un job que tu as refusé à l'époque parce que ça te semblait trop risqué. Une relation amoureuse que tu as quittée parce que le timing n'était pas le bon ? Une idée entrepreneuriale peut-être que tu as mis de côté parce que c'était pas raisonnable ? Un pays où tu aurais pu t'installer mais tu as préféré rester, certainement pour une bonne raison. Je me souviens d'une cliente qui m'a dit un jour « Chaque fois que je vois une femme lancer sa boîte sur LinkedIn, j'ai mal au ventre. » Pas de la jalousie, juste un pincement comme une aigreur. Et en creusant, on a découvert qu'elle avait eu une opportunité il y a 8 ans. de devenir associé dans une start-up. Elle avait dit non, par peur, parce qu'elle pensait que c'était trop risqué pour sa famille, parce que ses enfants étaient encore petits, parce que, enfin, tu vois, toutes ces bonnes raisons, quoi. Et depuis, elle regardait les autres entreprendre avec ce mélange étrange de fascination et de regret. Si tu ressens ça, c'est normal. Ton cerveau déteste l'ambiguïté et les décisions non résolues, donc il va garder en mémoire ces bifurcations comme des dossiers en attente de traitement. Et à chaque fois que quelque chose dans ton présent va te rappeler cette décision, boum, le pincement revient. Et tu sais ce que je pense ? Je pense qu'on a appris à ignorer ces pincements, à les balayer, à laisser du passé, maintenant il faut avancer. Mais un pincement, ce n'est pas juste du passé, c'est une information précieuse sur ce qui compte encore pour toi aujourd'hui. Peut-être que ce pincement te dit, hé, il y a une valeur, un rêve, une partie de toi que tu as mis de côté et qui attend toujours. Alors demande-toi, quelle décision me provoque encore ce pincement ? Et qu'est-ce que ce pincement essaie de me dire aujourd'hui ? Et d'ailleurs, si tu sens que ce pincement, il a besoin d'être exploré un peu plus en profondeur, j'ai une bonne nouvelle pour toi, parce que le Grand Atelier Élévation du mois d'octobre va justement explorer ces chemins non empruntés. On va les regarder en face, les comprendre, et surtout être enfin serein avec notre passé. Je te mets toutes les infos en description, dans les notes de l'épisode, si tu veux nous rejoindre. Il est encore temps si tu écoutes l'épisode dès sa sortie. Le deuxième signe, c'est quoi ? C'est que tu te refais le film dans ta tête avec toutes les alternatives. Tu sais, à ce moment où tu te surprends à imaginer. Alors si j'étais restée salariée, aujourd'hui je serais probablement directeur régional, j'aurais une belle voiture de fonction, peut-être que j'aurais pu acheter une résidence secondaire, ou à l'inverse. Si j'étais partie vivre à Bali comme j'en avais envie, je serais peut-être prof de yoga maintenant et je me réveillerais face à la mer. C'est ce qu'on appelle la pensée contre-factuelle. Ton cerveau adore ça. Il adore construire des réalités parallèles. C'est comme si t'avais une Ferrari dans la tête, mais au lieu de rouler sur la route d'aujourd'hui, elle tournait encore en circuit fermé sur ton passé. Mais attention, il y a une nuance cruciale ici. Ces scénarios alternatifs, il n'y a pas de mal à les faire. S'ils t'apaisent... Par exemple, tu te dis « ouais ok, j'aurais pu faire ça, mais je suis contente d'être là où je suis » , alors tout va bien. C'est juste que ton cerveau explore et il intègre. Mais si ces scénarios sont plutôt du genre à créer de l'agitation en toi, si t'en ressens frustré, amer, avec l'impression d'avoir raté quelque chose, alors là c'est un signe clair que tu n'as pas encore fait la paix avec eux. Et je vais te dire un truc, j'ai passé des mois à rejouer mes scénarios alternatifs. Alors si j'étais restée en CDI, Si j'avais monté cette boîte avec 7 associés, etc. etc. Et tu sais ce que j'ai compris ? Ces scénarios, c'était une fuite. Une façon de ne pas affronter ma réalité présente. Parce que c'est plus facile de fantasmer sur ce qui aurait pu être que de construire ce qui peut être maintenant. Finalement, c'est aussi une forme de procrastination. Pendant que je pense à ce qui aurait pu être, eh ben j'agis pas pour construire un ce qui va être à la hauteur de mes désirs. Est-ce que toi aussi tu te refais les films parfois ? Ce scénario alternatif que tu rejoues, il t'apaise ou il t'agace ? Et qu'est-ce que ça dit de ce que tu veux vraiment aujourd'hui ? Si tu veux sortir de ce cycle mental et transformer ces scénarios en clarté, c'est exactement ce qu'on va faire ensemble dans le prochain Grand Atelier. En octobre, on travaille spécifiquement sur ces chemins non empruntés pour que tu puisses enfin être en paix avec tes choix passés et te projeter sereinement dans ton futur. Alors passons au signe numéro 3 maintenant, et celui-là il est vicieux. Tu te compares à ceux qui ont pris l'autre option. Tu es stuante sur LinkedIn, cet ancien collègue qui a gravi les échelons, qui est devenu directeur général. Tu regardes les photos de vacances de ton ex qui a refait sa vie et qui a l'air tellement heureux. Tu observes cette personne qui a lancé la boîte que toi t'as pas osé créer. Tu vas même jusqu'à lui dire qu'elle a volé ton idée. Et dans ta tête, tu te juges. Lui il a réussi, moi j'ai pris le mauvais chemin, ou à l'inverse. Moi j'ai réussi, mais à quel prix ? Tu pourrais être tranquille aujourd'hui. Ce que tu fais en fait, c'est projeter. Tu projettes sur ces personnes une réalité fantasmée. Parce que tu ne vois que la surface. Tu ne vois pas leurs doutes, leurs nuits blanches, leurs sacrifices. Tu ne vois pas leur « et si » à eux aussi. Je te donne un exemple. J'ai un ami qui a quitté le salariat pour devenir consultant indépendant. Pendant deux ans, il a regardé ses anciens collègues avec un mélange de nostalgie Et de jugement, oui, on peut dire ça comme ça. Eux, au moins, ils ont la sécurité, ils ont des congés payés, ils ont une routine. et puis un jour il a déjeuné et que l'un d'entre eux. Et tu sais ce que le gars lui a dit ? « Mec, je t'envis tellement, toi au moins t'es libre. Moi je suis en burn-out, je compte les jours jusqu'à la retraite. » Les deux avaient fantasmé la vie de l'autre et les deux portaient un « et si » . Voici ce que moi je crois profondément. La comparaison, c'est le vol de ta propre joie. Tant que tu regarderas la vie des autres pour valider ou invalider tes propres choix, tu ne seras jamais en paix. Parce que tu ne te compares pas vraiment à eux, tu te compares à une version fantasmée de ce que tu aurais pu être. Et cette version-là, elle n'existe pas, elle n'a jamais existé pour personne. Alors si tu te demandais maintenant, sur qui est-ce que je projette mon « et si » ? Et qu'est-ce que je fantasme vraiment chez cette personne ? Est-ce que c'est son chemin que j'envis ? Ou une qualité, une valeur que... À ce moment-là, je pourrais bien incarner moi aussi sur mon propre chemin. Et oui, rappelle-toi que tu es co-créateur de ta vie, tu en fais ce que tu veux. On arrive au quatrième signé, c'est peut-être le plus insidieux. Tu n'arrives pas à t'engager pleinement dans ton présent. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que tu lances des projets, mais tu les gardes en mode test. Tu te lances dans une relation, mais tu gardes une petite distance. Tu prends des décisions mais tu te laisses toujours une porte de sortie. Pourquoi ? Parce qu'inconsciemment tu as peur de refaire une erreur. Ton cerveau a enregistré que choisir c'est risquer de se tromper. Alors il te maintient dans une zone de demi-engagement. Pas assez pour vraiment échouer mais pas assez pour vraiment réussir non plus. Et ça ressemble à quoi concrètement ? Bah par exemple, t'as une idée de reconversion mais tu restes dans ton job actuel, au cas où. Tu veux développer ton business, mais tu dilues ton énergie sur 10 projets à la fois. Ah, celui-là, il me fait mal, il sent le véhicule. Tu dis oui à des opportunités, mais sans vraiment y croire à fond. T'as du mal à dire « c'est ça que je veux » parce que tu as peur de te fermer les portes. Moi, ça m'a longtemps bloquée. Après avoir quitté le salariat, j'ai passé des mois à papillonner. Un peu de coaching, un peu de posturologie, un peu de formation, un peu de conseils. Je me disais que je diversifiais, parce que oui, il y en a toujours des bonnes... façon de justifier ce qu'on fait, t'as remarqué ? En réalité, j'avais juste peur de choisir. J'avais peur de m'engager à fond dans une direction et de me tromper. C'est comme si je suivais à la fois mon plan A, mon plan B et mon plan C. Et c'est vraiment que le jour où j'ai accepté de dire « Ok, j'ai peut-être fait des erreurs dans le passé, mais ça ne définit pas mes choix futurs que j'ai pu reprendre le lead et construire vraiment. » Ça m'a amenée à réorganiser mon activité, et c'est pas si vieux puisque je l'ai fait cet été, il y a quelques mois. J'ai fait en sorte de me laisser du temps pour ce que j'avais le plus envie de développer. Et oui, ça veut dire prendre un risque, mais ça veut dire aussi prendre le risque de réussir dans ce que j'ai vraiment envie de développer. C'est un choix, encore une fois. Et je vais te dire quelque chose qui va peut-être te secouer un peu, mais ne pas choisir, c'est aussi un choix. C'est le choix de la tiédeur, le choix de la sécurité à court terme et de l'insatisfaction à long terme. Parce que la vie triple R, elle ne se construit pas dans l'hésitation, elle se construit dans l'engagement, dans le oui plein et entier. Et il sera toujours temps de changer de chemin si vraiment c'est pas le bon, mais là c'est faire appel à la confiance que ce chemin-là, quel que soit l'aboutissement, il t'apportera quelque chose. Quelque chose qui fera de toi une autre personne qui sera plus à même de réussir encore mieux sur un autre chemin, quoi qu'il arrive. Alors demande-toi. Qu'est-ce que je risque vraiment à choisir à fond, ici et maintenant ? Et qu'est-ce que je perds à rester dans la demi-mesure ? Et on va terminer avec le cinquième signe, celui qui est le plus révélateur. Tu n'arrives pas à raconter ton parcours sans te justifier. Quelqu'un te demande ce que tu fais dans la vie et tu réponds « Bah alors moi maintenant je fais du développement personnel, mais avant j'étais dans la finance, tu vois. » J'ai fait une grande école, j'ai bossé 10 ans dans la banque, et puis après j'ai eu envie de donner plus de sens. Enfin, t'as compris quoi. Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi tu ressens le besoin de justifier ton virage ? Comme si changer de voie c'était suspect. Comme si ton parcours, il devait absolument suivre une ligne droite pour être valide. La vérité c'est que tu ne te justifies pas pour les autres, tu te justifies pour toi-même. Parce qu'une partie de toi n'a pas encore validé ce choix. Une partie de toi a encore besoin de se prouver que tu as eu raison. J'ai une cliente qui pendant nos premières séances commençait toujours par me raconter tout son CV. Comme pour montrer qu'avant elle avait été quelqu'un. Qu'elle n'était pas juste une coach parmi tant d'autres. Et un jour je lui ai demandé, pourquoi tu as besoin de me prouver ça ? Et là il y a eu un silence. Elle a fondu en larmes, parce qu'elle venait de comprendre qu'elle se justifiait depuis trois ans, qu'elle n'avait jamais vraiment honoré son virage, qu'elle portait son passé à la fois comme un étendard, mais aussi comme un boulet. Moi ce que je crois, c'est que ton parcours, il n'a pas besoin d'être linéaire pour être cohérent. Chaque virage, chaque choix, même ceux qui te semblent un peu erratiques, t'ont construit. Ils font partie de ton histoire unique et ils contribuent à ce que tu es aujourd'hui. Et l'abondance, la vraie, elle vient pas d'un parcours parfait. D'ailleurs, je sais même pas ce que ça pourrait être un parcours parfait. Elle vient d'un alignement profond entre qui tu es à chaque instant, ce que tu as vécu et où tu veux aller. Alors si toi aussi t'as tendance à te justifier, essaie de savoir à qui est-ce que j'essaie de prouver que j'ai eu raison. Et qu'est-ce qui se passerait si j'assumais pleinement mon parcours avec tous ces virages ? Avant de te laisser, j'ai envie qu'on récapitule ensemble. Donc on a vu 5 signes très concrets que ton « et si » te hante peut-être plus que tu ne le crois. Le premier, c'est que tu ressens un pincement en pensant à une décision clé. Le deuxième, c'est que tu revises souvent des scénarios alternatifs dans ta tête, genre « je me refais le film » . Le troisième, c'est que tu te compares à ceux qui ont pris l'autre chemin, ceux que toi tu n'as pas pris, parce qu'on ne peut pas être partout. Le quatrième, c'est que tu hésites à t'engager pleinement dans ton présent et que ça se manifeste de plein de façons, comme on l'a vu. Et le cinquième, c'est que tu as du mal à raconter ton parcours sans te justifier avec ce que tu as fait avant et tout ça. Ces signes, c'est des petites alarmes. Ils montrent que ton passé, il n'est pas mauvais, il est juste en attente d'être reconnu et surtout intégré. Parce que ton « et si » n'est pas là pour te pourrir la vie, il est là pour te parler, pour te dire « hé, il y a un truc important ici » . Soit une valeur, soit un rêve ou une partie de toi qui mérite d'être écoutée. Et je vais te dire quelque chose que j'aurais vraiment aimé entendre il y a quelques années. Faire la paix avec tes « et si » c'est pas valider ou invalider tes choix passés. C'est accepter que chaque choix t'a amené exactement là où tu devais être pour devenir qui tu es aujourd'hui. Peut-être que tu as « raté » des opportunités, peut-être que tu as pris des mauvais virages. Mais peut-être aussi que tes virages t'ont appris des choses que tu ne pouvais apprendre nulle part ailleurs. Alors aujourd'hui, je te laisse avec cette question. Et si ce « et si » n'était pas là pour te hanter, mais pour te guider ? Et si au lieu de le fuir, tu prenais le temps de l'écouter vraiment ? De comprendre ce qu'il te dit, sur ce qui compte pour toi, sur ce que tu veux récarner à partir de maintenant ? Et si tu t'es reconnu dans deux ou trois signes, je t'invite vraiment à prendre un moment pour toi, pas pour ressasser mais pour intégrer, pour apprendre à vivre avec tous ces chemins non empruntés et en faire un carburant pour ton présent. Et si tu veux en parler, tu peux rejoindre l'Empower Group pour partager ce que cet épisode a réveillé pour toi. J'adore échanger avec vous sur ces sujets, le lien du groupe, il est dans les notes du podcast. Et surtout si tu sens que tu as besoin d'un espace pour faire vraiment ce travail en profondeur, Rejoins-nous dans les grands ateliers Élévation. Ce mois-ci, on se consacre justement à ces chemins non empruntés pour que tu puisses être enfin serein avec ton passé et libérer toute ton énergie pour ton présent. C'est un moment puissant de transformation collective et j'adorerais t'y retrouver. Toutes les infos sont en description et dans les notes du podcast. Et puis, dernière information à propos de notre partenaire Agouragui, tu sais, le tiers lieu de référence pour l'avant-pays savoyard et les vagues du Dauphiné, celui qui te... Donne plein de ressources que ce soit au niveau économique ou culturel ou encore social. Le 31 octobre, note bien, il y a une rencontre pour les solopreneurs à 8h30 chez Agouraguet Pont de Beauvoisin sur le thème « Je pilote mon activité » et là tu vas apprendre à pitcher ton activité. Et puis j'y serai, si tu veux me rencontrer, c'est l'occasion. Sur ce, aujourd'hui je te dis, tes hésites ne sont pas tes ennemis, les chemins non empruntés ne sont pas des regrets, ils sont des invitations à vivre encore. plus pleinement et peut-être à récupérer ce chemin-là. Pensez. Et puis on n'est pas keep shining. Merci d'avoir écouté cet épisode. On se retrouve la semaine prochaine pour une nouvelle aventure. Depuis début 2023, j'accompagne des entrepreneurs, coachs et dirigeants qui refusent de choisir entre réussite et authenticité, entre bien-être et performance. Si toi aussi tu ressens cet appel à te créer ce que j'appelle une vie triple R qui te ressemble, te ressource et te respecte, Alors, rejoins ma communauté. Inscris-toi à Lempower Mail, ma newsletter hebdomadaire. Chaque semaine, tu recevras des stratégies concrètes, des outils exclusifs et des réflexions pour réveiller ton pouvoir intérieur et enfin reprendre le lead sur ton entreprise et ta vie. Tu trouveras le lien en description. J'ai hâte de poursuivre ce voyage avec toi.

Description

📍 Et si ton passé n’était pas vraiment derrière toi ?


Tu avances dans la vie, tu développes ton activité, tu fais des choix… Et pourtant, il y a parfois un petit “et si” qui refait surface. Subtilement. Inlassablement.

Et si j’étais resté dans ce poste ?
Et si j’avais osé ce projet ?
Et si j’avais écouté mon intuition au lieu de suivre la voie tracée ?


Ces “et si” ne sont pas juste des pensées nostalgiques.

Ce sont souvent des freins invisibles. Ils épuisent ton énergie mentale, t’empêchent de t’engager pleinement dans le présent, ou minent ta confiance en toi sans que tu comprennes pourquoi.


Dans cet épisode, je t’invite à les regarder en face — non pas pour ressasser le passé, mais pour t’en libérer.


🎧 Au programme :
✅ Les 5 signes que tes “et si” t’empoisonnent plus que tu ne le crois
✅ Pourquoi ton cerveau crée ces scénarios alternatifs… et s’en sert pour t’empêcher d’avancer
✅ Comment transformer tes regrets latents en carburant de clarté et de puissance
✅ Des exemples concrets pour sortir du flou et reprendre le lead sur ton présent

Ce n’est pas ton passé qui te freine. C’est ce que tu continues d’en porter inconsciemment. Il est temps d’intégrer tes choix, même les plus douloureux, pour retrouver toute ton énergie.


💡 Tu veux aller plus loin que l’écoute ?
Rejoins le Grand Atelier Élévation d’octobre.

Ensemble, on pacifie tes chemins non empruntés et on transforme le poids du passé en vision alignée. Une transformation collective puissante t’y attend.

👉 Je m’inscris à l’atelier : https://cecile.lrt-consulting.ovh/atelier


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🎤 À noter dans ton agenda :
Je serai présente à l’événement “Je pilote mon activité” le 31 octobre à 8h30, chez AGORA Guiers (Pont-de-Beauvoisin-73). Si tu veux apprendre à pitcher ton activité et me rencontrer, c’est l’occasion rêvée !


✨ Tes “et si” ne sont pas là pour te hanter. Ils sont là pour te parler. Pour te rappeler ce qui compte. Pour t’inviter à reprendre le lead.

🎧 Prends un moment pour écouter. Et demande-toi :
👉 Et si ce “et si” était une boussole, pas un boulet ?

keep shining.




La parole aux auditeurs !

Si tu veux m'aider à te préparer des épisodes qui te soient utiles, dis-moi de quoi tu as besoin ici.

Merci !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Il y a des décisions qu'on a prises il y a 5, 10, 20 ans, des bifurcations qu'on a choisies ou subies. Et pourtant même des années plus tard, il y a un petit « et si » qui reste tapis là. Pas toujours bruyant, mais toujours présent. Et si j'étais restée dans ce job ? Et si j'avais écouté mon intuition ? Et si j'avais osé ? Ou au contraire si j'avais ralenti ? Ces « et si » ne sont pas juste des pensées nostalgiques qui peuvent vraiment devenir des freins invisibles à notre pleine présence, à notre alignement et à notre paix intérieure. Et aujourd'hui, je voulais partager avec toi 5 signes très concrets, très simples aussi. Des signes que ce « et si » te hante peut-être plus que tu ne le crois. Et surtout qu'il est peut-être temps de l'écouter pour mieux t'en libérer. Allez, bonne écoute ! Bienvenue dans un Powercast, le podcast qui réveille ton pouvoir intérieur. Si tu es entrepreneur et que tu refuses de sacrifier ton authenticité et tes valeurs au nom du succès, alors tu es au bon endroit. Je suis Cécile Simonin, consultante et coach, posturologue, maître Reiki et apprentie chaman. Après plus de 20 ans en entreprise internationale, donc 15 ans management et 8 ans comité de direction, j'accompagne aujourd'hui celles et ceux qui veulent reprendre le lead sur leur entreprise et leur vie sans s'éputer ni se trahir. Mon approche ? Te guider vers ta vie triple R, celle qui te ressemble, te ressource et te respecte. Si tu veux que la réussite de ton business devienne l'expression de ta mission et non plus celle de ton sacrifice, alors rejoins-moi. Ensemble, nous allons transformer le monde. Est-ce que tu as déjà eu ce moment ? Tu es en pleine réunion, ou sous la douche, ou même en train de préparer le dîner, et là, sans prévenir, une question surgit. Et si j'avais pris l'autre voie ? Il y a des décisions qu'on a prises il y a des années, des bifurcations qu'on a choisies ou subies, et pourtant, même maintenant, il y a toujours ce petit « et si » qui reste tapis là. Il n'est pas toujours bruyant, mais il est toujours présent. Et si j'étais restée dans ce job ? Et si j'avais écouté mon intuition ? Tu l'as sûrement déjà remarqué, ces hessis, ils ne sont pas juste des pensées qui passent et qui s'évaporent. Ils peuvent vraiment devenir des freins invisibles à ta paix intérieure, à ta sérénité. Moi j'ai longtemps porté un hessi lourd comme une pierre dans mon sac. Et si j'avais continué dans la voie corporelle classique ? Et si j'avais pu me forcer encore quelques mois à rester dans ce poste qui ne me convenait pas pour attendre des jours meilleurs ? Et si j'avais gardé cette sécurité, ce statut, cette reconnaissance ? Suivi ce chemin tout tracé. Et si j'avais été capable de me moquer du fait que l'on respecte ou pas mes valeurs ? Et si j'étais moins entière ? Et si j'étais restée tranquillement à ma place ? Pendant des mois, j'ai observé mes anciens collègues vivre leur vie tranquille, de mon point de vue, et moi, j'avais choisi de tout quitter pour créer ma propre voie. Certains jours, je me demandais si j'avais passé une erreur monumentale, si j'avais pas gâché quelque chose de précieux. qui s'appelle la sécurité financière. Et c'est que le jour où j'ai accepté de regarder ce « et si » en face, de comprendre ce qui me disait vraiment, que j'ai pu reprendre le litre sur ma vie. Et c'est exactement ce dont on va parler aujourd'hui. Parce que tant que tu n'as pas fait la paix avec ces chemins non empruntés, petit clin d'œil à Florence, ils créent des boucles de pensée qui gaspillent ton énergie. Aujourd'hui, je vais partager avec toi 5 signes très concrets, des signes que... Cette boucle mentale, ce « et si » te hante peut-être plus que tu ne le crois et surtout qu'il est peut-être temps de l'écouter pour mieux le libérer. Alors on y va. Le premier signe, c'est celui-là. Tu ressens un pincement quand tu repenses à une décision clé de ta vie. Tu vois ce que je veux dire ? Ce petit truc dans la poitrine, pas forcément de la douleur franche, mais un inconfort, une tension, comme si quelque chose n'était pas complètement digéré. Ça peut être un job que tu as refusé à l'époque parce que ça te semblait trop risqué. Une relation amoureuse que tu as quittée parce que le timing n'était pas le bon ? Une idée entrepreneuriale peut-être que tu as mis de côté parce que c'était pas raisonnable ? Un pays où tu aurais pu t'installer mais tu as préféré rester, certainement pour une bonne raison. Je me souviens d'une cliente qui m'a dit un jour « Chaque fois que je vois une femme lancer sa boîte sur LinkedIn, j'ai mal au ventre. » Pas de la jalousie, juste un pincement comme une aigreur. Et en creusant, on a découvert qu'elle avait eu une opportunité il y a 8 ans. de devenir associé dans une start-up. Elle avait dit non, par peur, parce qu'elle pensait que c'était trop risqué pour sa famille, parce que ses enfants étaient encore petits, parce que, enfin, tu vois, toutes ces bonnes raisons, quoi. Et depuis, elle regardait les autres entreprendre avec ce mélange étrange de fascination et de regret. Si tu ressens ça, c'est normal. Ton cerveau déteste l'ambiguïté et les décisions non résolues, donc il va garder en mémoire ces bifurcations comme des dossiers en attente de traitement. Et à chaque fois que quelque chose dans ton présent va te rappeler cette décision, boum, le pincement revient. Et tu sais ce que je pense ? Je pense qu'on a appris à ignorer ces pincements, à les balayer, à laisser du passé, maintenant il faut avancer. Mais un pincement, ce n'est pas juste du passé, c'est une information précieuse sur ce qui compte encore pour toi aujourd'hui. Peut-être que ce pincement te dit, hé, il y a une valeur, un rêve, une partie de toi que tu as mis de côté et qui attend toujours. Alors demande-toi, quelle décision me provoque encore ce pincement ? Et qu'est-ce que ce pincement essaie de me dire aujourd'hui ? Et d'ailleurs, si tu sens que ce pincement, il a besoin d'être exploré un peu plus en profondeur, j'ai une bonne nouvelle pour toi, parce que le Grand Atelier Élévation du mois d'octobre va justement explorer ces chemins non empruntés. On va les regarder en face, les comprendre, et surtout être enfin serein avec notre passé. Je te mets toutes les infos en description, dans les notes de l'épisode, si tu veux nous rejoindre. Il est encore temps si tu écoutes l'épisode dès sa sortie. Le deuxième signe, c'est quoi ? C'est que tu te refais le film dans ta tête avec toutes les alternatives. Tu sais, à ce moment où tu te surprends à imaginer. Alors si j'étais restée salariée, aujourd'hui je serais probablement directeur régional, j'aurais une belle voiture de fonction, peut-être que j'aurais pu acheter une résidence secondaire, ou à l'inverse. Si j'étais partie vivre à Bali comme j'en avais envie, je serais peut-être prof de yoga maintenant et je me réveillerais face à la mer. C'est ce qu'on appelle la pensée contre-factuelle. Ton cerveau adore ça. Il adore construire des réalités parallèles. C'est comme si t'avais une Ferrari dans la tête, mais au lieu de rouler sur la route d'aujourd'hui, elle tournait encore en circuit fermé sur ton passé. Mais attention, il y a une nuance cruciale ici. Ces scénarios alternatifs, il n'y a pas de mal à les faire. S'ils t'apaisent... Par exemple, tu te dis « ouais ok, j'aurais pu faire ça, mais je suis contente d'être là où je suis » , alors tout va bien. C'est juste que ton cerveau explore et il intègre. Mais si ces scénarios sont plutôt du genre à créer de l'agitation en toi, si t'en ressens frustré, amer, avec l'impression d'avoir raté quelque chose, alors là c'est un signe clair que tu n'as pas encore fait la paix avec eux. Et je vais te dire un truc, j'ai passé des mois à rejouer mes scénarios alternatifs. Alors si j'étais restée en CDI, Si j'avais monté cette boîte avec 7 associés, etc. etc. Et tu sais ce que j'ai compris ? Ces scénarios, c'était une fuite. Une façon de ne pas affronter ma réalité présente. Parce que c'est plus facile de fantasmer sur ce qui aurait pu être que de construire ce qui peut être maintenant. Finalement, c'est aussi une forme de procrastination. Pendant que je pense à ce qui aurait pu être, eh ben j'agis pas pour construire un ce qui va être à la hauteur de mes désirs. Est-ce que toi aussi tu te refais les films parfois ? Ce scénario alternatif que tu rejoues, il t'apaise ou il t'agace ? Et qu'est-ce que ça dit de ce que tu veux vraiment aujourd'hui ? Si tu veux sortir de ce cycle mental et transformer ces scénarios en clarté, c'est exactement ce qu'on va faire ensemble dans le prochain Grand Atelier. En octobre, on travaille spécifiquement sur ces chemins non empruntés pour que tu puisses enfin être en paix avec tes choix passés et te projeter sereinement dans ton futur. Alors passons au signe numéro 3 maintenant, et celui-là il est vicieux. Tu te compares à ceux qui ont pris l'autre option. Tu es stuante sur LinkedIn, cet ancien collègue qui a gravi les échelons, qui est devenu directeur général. Tu regardes les photos de vacances de ton ex qui a refait sa vie et qui a l'air tellement heureux. Tu observes cette personne qui a lancé la boîte que toi t'as pas osé créer. Tu vas même jusqu'à lui dire qu'elle a volé ton idée. Et dans ta tête, tu te juges. Lui il a réussi, moi j'ai pris le mauvais chemin, ou à l'inverse. Moi j'ai réussi, mais à quel prix ? Tu pourrais être tranquille aujourd'hui. Ce que tu fais en fait, c'est projeter. Tu projettes sur ces personnes une réalité fantasmée. Parce que tu ne vois que la surface. Tu ne vois pas leurs doutes, leurs nuits blanches, leurs sacrifices. Tu ne vois pas leur « et si » à eux aussi. Je te donne un exemple. J'ai un ami qui a quitté le salariat pour devenir consultant indépendant. Pendant deux ans, il a regardé ses anciens collègues avec un mélange de nostalgie Et de jugement, oui, on peut dire ça comme ça. Eux, au moins, ils ont la sécurité, ils ont des congés payés, ils ont une routine. et puis un jour il a déjeuné et que l'un d'entre eux. Et tu sais ce que le gars lui a dit ? « Mec, je t'envis tellement, toi au moins t'es libre. Moi je suis en burn-out, je compte les jours jusqu'à la retraite. » Les deux avaient fantasmé la vie de l'autre et les deux portaient un « et si » . Voici ce que moi je crois profondément. La comparaison, c'est le vol de ta propre joie. Tant que tu regarderas la vie des autres pour valider ou invalider tes propres choix, tu ne seras jamais en paix. Parce que tu ne te compares pas vraiment à eux, tu te compares à une version fantasmée de ce que tu aurais pu être. Et cette version-là, elle n'existe pas, elle n'a jamais existé pour personne. Alors si tu te demandais maintenant, sur qui est-ce que je projette mon « et si » ? Et qu'est-ce que je fantasme vraiment chez cette personne ? Est-ce que c'est son chemin que j'envis ? Ou une qualité, une valeur que... À ce moment-là, je pourrais bien incarner moi aussi sur mon propre chemin. Et oui, rappelle-toi que tu es co-créateur de ta vie, tu en fais ce que tu veux. On arrive au quatrième signé, c'est peut-être le plus insidieux. Tu n'arrives pas à t'engager pleinement dans ton présent. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que tu lances des projets, mais tu les gardes en mode test. Tu te lances dans une relation, mais tu gardes une petite distance. Tu prends des décisions mais tu te laisses toujours une porte de sortie. Pourquoi ? Parce qu'inconsciemment tu as peur de refaire une erreur. Ton cerveau a enregistré que choisir c'est risquer de se tromper. Alors il te maintient dans une zone de demi-engagement. Pas assez pour vraiment échouer mais pas assez pour vraiment réussir non plus. Et ça ressemble à quoi concrètement ? Bah par exemple, t'as une idée de reconversion mais tu restes dans ton job actuel, au cas où. Tu veux développer ton business, mais tu dilues ton énergie sur 10 projets à la fois. Ah, celui-là, il me fait mal, il sent le véhicule. Tu dis oui à des opportunités, mais sans vraiment y croire à fond. T'as du mal à dire « c'est ça que je veux » parce que tu as peur de te fermer les portes. Moi, ça m'a longtemps bloquée. Après avoir quitté le salariat, j'ai passé des mois à papillonner. Un peu de coaching, un peu de posturologie, un peu de formation, un peu de conseils. Je me disais que je diversifiais, parce que oui, il y en a toujours des bonnes... façon de justifier ce qu'on fait, t'as remarqué ? En réalité, j'avais juste peur de choisir. J'avais peur de m'engager à fond dans une direction et de me tromper. C'est comme si je suivais à la fois mon plan A, mon plan B et mon plan C. Et c'est vraiment que le jour où j'ai accepté de dire « Ok, j'ai peut-être fait des erreurs dans le passé, mais ça ne définit pas mes choix futurs que j'ai pu reprendre le lead et construire vraiment. » Ça m'a amenée à réorganiser mon activité, et c'est pas si vieux puisque je l'ai fait cet été, il y a quelques mois. J'ai fait en sorte de me laisser du temps pour ce que j'avais le plus envie de développer. Et oui, ça veut dire prendre un risque, mais ça veut dire aussi prendre le risque de réussir dans ce que j'ai vraiment envie de développer. C'est un choix, encore une fois. Et je vais te dire quelque chose qui va peut-être te secouer un peu, mais ne pas choisir, c'est aussi un choix. C'est le choix de la tiédeur, le choix de la sécurité à court terme et de l'insatisfaction à long terme. Parce que la vie triple R, elle ne se construit pas dans l'hésitation, elle se construit dans l'engagement, dans le oui plein et entier. Et il sera toujours temps de changer de chemin si vraiment c'est pas le bon, mais là c'est faire appel à la confiance que ce chemin-là, quel que soit l'aboutissement, il t'apportera quelque chose. Quelque chose qui fera de toi une autre personne qui sera plus à même de réussir encore mieux sur un autre chemin, quoi qu'il arrive. Alors demande-toi. Qu'est-ce que je risque vraiment à choisir à fond, ici et maintenant ? Et qu'est-ce que je perds à rester dans la demi-mesure ? Et on va terminer avec le cinquième signe, celui qui est le plus révélateur. Tu n'arrives pas à raconter ton parcours sans te justifier. Quelqu'un te demande ce que tu fais dans la vie et tu réponds « Bah alors moi maintenant je fais du développement personnel, mais avant j'étais dans la finance, tu vois. » J'ai fait une grande école, j'ai bossé 10 ans dans la banque, et puis après j'ai eu envie de donner plus de sens. Enfin, t'as compris quoi. Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi tu ressens le besoin de justifier ton virage ? Comme si changer de voie c'était suspect. Comme si ton parcours, il devait absolument suivre une ligne droite pour être valide. La vérité c'est que tu ne te justifies pas pour les autres, tu te justifies pour toi-même. Parce qu'une partie de toi n'a pas encore validé ce choix. Une partie de toi a encore besoin de se prouver que tu as eu raison. J'ai une cliente qui pendant nos premières séances commençait toujours par me raconter tout son CV. Comme pour montrer qu'avant elle avait été quelqu'un. Qu'elle n'était pas juste une coach parmi tant d'autres. Et un jour je lui ai demandé, pourquoi tu as besoin de me prouver ça ? Et là il y a eu un silence. Elle a fondu en larmes, parce qu'elle venait de comprendre qu'elle se justifiait depuis trois ans, qu'elle n'avait jamais vraiment honoré son virage, qu'elle portait son passé à la fois comme un étendard, mais aussi comme un boulet. Moi ce que je crois, c'est que ton parcours, il n'a pas besoin d'être linéaire pour être cohérent. Chaque virage, chaque choix, même ceux qui te semblent un peu erratiques, t'ont construit. Ils font partie de ton histoire unique et ils contribuent à ce que tu es aujourd'hui. Et l'abondance, la vraie, elle vient pas d'un parcours parfait. D'ailleurs, je sais même pas ce que ça pourrait être un parcours parfait. Elle vient d'un alignement profond entre qui tu es à chaque instant, ce que tu as vécu et où tu veux aller. Alors si toi aussi t'as tendance à te justifier, essaie de savoir à qui est-ce que j'essaie de prouver que j'ai eu raison. Et qu'est-ce qui se passerait si j'assumais pleinement mon parcours avec tous ces virages ? Avant de te laisser, j'ai envie qu'on récapitule ensemble. Donc on a vu 5 signes très concrets que ton « et si » te hante peut-être plus que tu ne le crois. Le premier, c'est que tu ressens un pincement en pensant à une décision clé. Le deuxième, c'est que tu revises souvent des scénarios alternatifs dans ta tête, genre « je me refais le film » . Le troisième, c'est que tu te compares à ceux qui ont pris l'autre chemin, ceux que toi tu n'as pas pris, parce qu'on ne peut pas être partout. Le quatrième, c'est que tu hésites à t'engager pleinement dans ton présent et que ça se manifeste de plein de façons, comme on l'a vu. Et le cinquième, c'est que tu as du mal à raconter ton parcours sans te justifier avec ce que tu as fait avant et tout ça. Ces signes, c'est des petites alarmes. Ils montrent que ton passé, il n'est pas mauvais, il est juste en attente d'être reconnu et surtout intégré. Parce que ton « et si » n'est pas là pour te pourrir la vie, il est là pour te parler, pour te dire « hé, il y a un truc important ici » . Soit une valeur, soit un rêve ou une partie de toi qui mérite d'être écoutée. Et je vais te dire quelque chose que j'aurais vraiment aimé entendre il y a quelques années. Faire la paix avec tes « et si » c'est pas valider ou invalider tes choix passés. C'est accepter que chaque choix t'a amené exactement là où tu devais être pour devenir qui tu es aujourd'hui. Peut-être que tu as « raté » des opportunités, peut-être que tu as pris des mauvais virages. Mais peut-être aussi que tes virages t'ont appris des choses que tu ne pouvais apprendre nulle part ailleurs. Alors aujourd'hui, je te laisse avec cette question. Et si ce « et si » n'était pas là pour te hanter, mais pour te guider ? Et si au lieu de le fuir, tu prenais le temps de l'écouter vraiment ? De comprendre ce qu'il te dit, sur ce qui compte pour toi, sur ce que tu veux récarner à partir de maintenant ? Et si tu t'es reconnu dans deux ou trois signes, je t'invite vraiment à prendre un moment pour toi, pas pour ressasser mais pour intégrer, pour apprendre à vivre avec tous ces chemins non empruntés et en faire un carburant pour ton présent. Et si tu veux en parler, tu peux rejoindre l'Empower Group pour partager ce que cet épisode a réveillé pour toi. J'adore échanger avec vous sur ces sujets, le lien du groupe, il est dans les notes du podcast. Et surtout si tu sens que tu as besoin d'un espace pour faire vraiment ce travail en profondeur, Rejoins-nous dans les grands ateliers Élévation. Ce mois-ci, on se consacre justement à ces chemins non empruntés pour que tu puisses être enfin serein avec ton passé et libérer toute ton énergie pour ton présent. C'est un moment puissant de transformation collective et j'adorerais t'y retrouver. Toutes les infos sont en description et dans les notes du podcast. Et puis, dernière information à propos de notre partenaire Agouragui, tu sais, le tiers lieu de référence pour l'avant-pays savoyard et les vagues du Dauphiné, celui qui te... Donne plein de ressources que ce soit au niveau économique ou culturel ou encore social. Le 31 octobre, note bien, il y a une rencontre pour les solopreneurs à 8h30 chez Agouraguet Pont de Beauvoisin sur le thème « Je pilote mon activité » et là tu vas apprendre à pitcher ton activité. Et puis j'y serai, si tu veux me rencontrer, c'est l'occasion. Sur ce, aujourd'hui je te dis, tes hésites ne sont pas tes ennemis, les chemins non empruntés ne sont pas des regrets, ils sont des invitations à vivre encore. plus pleinement et peut-être à récupérer ce chemin-là. Pensez. Et puis on n'est pas keep shining. Merci d'avoir écouté cet épisode. On se retrouve la semaine prochaine pour une nouvelle aventure. Depuis début 2023, j'accompagne des entrepreneurs, coachs et dirigeants qui refusent de choisir entre réussite et authenticité, entre bien-être et performance. Si toi aussi tu ressens cet appel à te créer ce que j'appelle une vie triple R qui te ressemble, te ressource et te respecte, Alors, rejoins ma communauté. Inscris-toi à Lempower Mail, ma newsletter hebdomadaire. Chaque semaine, tu recevras des stratégies concrètes, des outils exclusifs et des réflexions pour réveiller ton pouvoir intérieur et enfin reprendre le lead sur ton entreprise et ta vie. Tu trouveras le lien en description. J'ai hâte de poursuivre ce voyage avec toi.

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