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En toute simplicité ...

ÉP46. La peur d’avancer : écouter son ressenti et oser dire non.

ÉP46. La peur d’avancer : écouter son ressenti et oser dire non.

48min |17/03/2025|

23

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Description

Cette semaine, je te partage une prise de conscience essentielle : savoir reconnaître et respecter sa zone de génie. À travers mon expérience de supervision en coaching, j’ai appris à poser mes limites, à écouter mon intuition et à oser dire non quand quelque chose ne résonne pas avec moi.


Sortir de sa zone de confort, ce n’est pas se forcer à tout faire, mais savoir où est notre vraie puissance. Dans cet épisode, je t’explique pourquoi il est essentiel de choisir les bonnes opportunités et de s’entourer des bonnes personnes pour avancer avec confiance.


🌿 Tu ressens des blocages qui t’empêchent d’avancer ? Cet épisode est fait pour toi. ✨


📢 Écoute, partage et viens me dire ce que tu en penses ! 💬

Au plaisir de vous faire découvrir mon monde intérieur, en espérant qu’il vous en inspire.

Avec Amour,
Karine Turcotte


Vous pouvez me suivre: https://www.facebook.com/profile.php?id=61557736540965&mibextid=LQQJ4d


Facebook: Karine Turcotte 



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur mon podcast « En toute simplicité » . Je suis Karine Turcotte, accompagnatrice holistique, et à chaque semaine, je t'invite à découvrir les histoires que j'ai vécues, à te faire voyager à des réflexions profondes issues de mon parcours. À travers mes expériences terrestres, je te guide pour explorer le monde spirituel et comprendre que, malgré nos chemins uniques, partageons tous des émotions similaires, que tu cherches des réponses, de la motivation ou une nouvelle vision, En Toute Simplicité est là pour t'inspirer et t'accompagner dans ton chemin vers une vie plus épanouie et lumineuse. Bienvenue dans mon monde ! Allô, allô, j'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon podcast En Toute Simplicité. Épisode 46. J'espère que tu vas bien. Aujourd'hui, j'ai envie de te parler de la peur d'avancer. Cette semaine, j'ai finalisé ma formation de coaching holistique et mardi, j'avais... ma supervision, dont je devais faire un coaching à quelqu'un que je ne connaissais pas et qui j'allais être supervisée par les coéquipières que j'avais et ma prof. J'étais dans un état intérieur où est-ce que... Au départ, quand j'ai pris cette formation cet automne, j'avais des peurs, j'avais des craintes, j'avais des doutes, que je me disais, bof, je ne suis pas assez intelligente pour faire cette formation-là. Je ne suis pas assez ci, je ne suis pas assez ça. Pourquoi que je ferais ci ? Pourquoi que je ferais ça ? Ça, c'est le petit démon qui, à l'intérieur de nous, essaye de prendre parole, mais qui... Moi, je lui ai fait face à ce que... petit démon là je me suis dit je m'en fous je le fais paraître il arrivera ce qui arrivera j'ai le ressenti à l'intérieur de moi que je le sens je le dois je me dois d'aller vers ce chemin pour aller chercher cette formation de coaching holistique, mais qui, c'est pas mal plus qu'une formation, c'est un cheminement de croissance personnelle qui m'a apporté vraiment quelque chose de grand à l'intérieur de moi, vraiment. Ça m'a permis vraiment d'évoluer, de grandir, de me déprogrammer d'anciennes croyances limitantes. ça m'a apporté à aller chercher mes besoins. Quels sont mes besoins ? Ça m'a fait travailler sur justement beaucoup, vraiment beaucoup, beaucoup de choses qui, pendant six mois de temps, on était vraiment supervisé de façon à ce qu'on aille en profondeur à l'intérieur de soi et qu'on soit un coach exceptionnel. Et... C'est une vie qui est très, très professionnelle, a été un mentor pour moi, donc je me sentais en confiance et c'est ça que ça me prenait. Parce qu'en me sentant en confiance, c'est pour cette raison que j'ai décidé de, malgré mes peurs, malgré mes doutes, mon stress, mon anxiété, mes craintes de dire que je m'engage à devenir une coach, bien... Ça m'a apporté à avoir confiance parce que je savais que j'allais avoir une personne, un mentor qui allait m'aider à devenir cette personne six mois après qui, je ne m'attendais pas à être autant, je dirais, différente. Ma façon de travailler, ma façon de penser, ma façon de m'exprimer, ma façon de... quand je suis en travail de coaching, c'est de laisser la responsabilité totalement à mon client. C'est d'être un miroir à mon client et ça je trouve ça du génie parce que en fait tellement réaliser des choses et on réalise, même nous, moi je l'ai vécu, je l'ai expérimenté parce qu'on se coachait l'un et l'autre et ça vient décortiquer à l'intérieur de soi, c'est incroyable. Ce que ça a fait, c'est que mardi, j'avais justement ma supervision de mon examen pour passer et lundi, j'étais vraiment dans un état vraiment anxieuse, dans un état où je ne me sentais pas en confiance. Et c'est fou parce que j'ai compris quelque chose. J'avais une personnalité d'homme dont on m'avait apporté pour me préparer. Et ma mentor Sylvie, elle me dit, tu vas recevoir un homme qui a 58 ans, c'est côté professionnel. Et là, mon corps a réagi tout de suite. Il y a eu quelque chose qui a fait comme, elle est un peu là. qui, moi, pour aider cette personne-là à l'apporter professionnellement parlant à ou à ce qu'il veut ? Là, je me suis descendue en doute encore plus parce que là, je me disais « Hey, tu sais, moi, j'ai 43 ans. Oui, j'ai une entreprise en toilettage. Oui, j'ai une entreprise en coaching, mais moi, je suis qui à 43 ans ? » Pas nécessairement l'expérience dont le monsieur monsieur qui a 58 ans, mais à l'intérieur de moi, il y avait quelque chose qui ça me disait que non, je ne peux pas le faire, ce monsieur-là. Je ne me sens pas légitime de le faire. Je ne me sens pas à ma place de le faire parce que, tu sais, dans le coaching, on a toutes nos forces. On a vraiment toutes nos force ce qui veut dire que il y en a des coachs qui vont être en force en relation d'aide il y en a d'autres qui vont être en force par rapport avec une perte de poids il y en a d'autres qui vont avoir la force de professionnellement parlant il y en a d'autres qui ça va être au niveau financier il y a plusieurs coachs mais il faut que tu trouves ta branche il faut que tu trouves toi c'est quoi ton génie c'est quoi c'est quoi qui Pau, c'est quoi qui... C'est quoi le thème pour être capable d'apporter ton client à ce qu'il se sente vraiment en confiance ? Ça, c'est extrêmement important parce que si tu es à te dire que moi, je suis coach en relation d'aide, mais qui est auprès des femmes, puis on me demande de faire un coaching de couple, mais ça ne l'est pas, mon génie, ça. Pourquoi ? j'irais me forcer à peut-être pour faire du cash, peut-être pour essayer une expérience, ou peut-être me prouver à moi-même que je peux, que je suis capable. Non. Ce qui était vraiment important, c'est que... c'est qu'à l'intérieur de soi, il faut que tu trouves la force que tu portes à l'intérieur de toi, ton expertise. Et là, quand à l'intérieur de moi, Sylvie me parlait de cet homme-là, dans mon bas de ventre, ce n'était pas du stress que je ressentais. Ce n'était pas... C'est plus que ça. Il y avait mon corps qui me disait, c'est même prouvé qu'au niveau du cœur, le cœur reconnaît avant la tête. Et c'est ça qui s'est passé avec moi. Je sentais que je devais dire, moi je ne me sens pas dans le génie de faire un coaching à mon petit monsieur. Ça ne fit pas, ça ne marchait pas, il y avait quelque chose qui ne fonctionnait pas. Et à la dernière minute, j'ai dit... J'ai demandé, j'ai osé demander. Je me connais avant la formation de coaching, je m'aurais fermé la boîte et j'aurais pris notre petit monsieur. Mais là, j'ai dit à Sylvie, ma mentor, je me sens pas experte à le coacher professionnellement par là. C'est pas ma notoriété, c'est pas mon expertise. J'ai demandé, c'est-tu possible que... je change parce que il y a de quoi à l'intérieur de moi qui ne s'affite pas. Je ne me sens pas légitime de le coacher. Et là, ça a fait en sorte qu'au début, je me sentais comme un peu coupable. Mais j'ai réalisé qu'en disant ça... Ça mettait en même temps ma niche, mes limites. Une niche, dans le fond, c'est que tu visualises le genre de client, le genre de clientèle que tu veux attirer. Et en faisant... en sorte que je décidais, je mettais un pied au devant pour sortir de ma zone de confort et de demander est-ce que c'est possible que je change celui que je vais coacher parce que je ne me sens pas à l'aise, bien, ça m'a montré que dans la vie, on ne peut pas tout faire. On ne peut pas tout faire. Il y a des psychologues. il y a des travailleurs sociaux, il y a des médecins, il y a des physiothérapeutes, il y a des naturopathes, il y a des herboristes. Il faut savoir mettre son œuvre dans sa force. Tu sais, c'est comme ces exemples-là. tu travailles comme secrétaire et que là, ton boss te demande, « Moi, j'aimerais ça que tu fasses ma comptabilité. » Mais tu n'es pas à l'aise. Et là, par peur de parler ou d'exprimer ou de déplaire, tu vas dire, « OK, mais cette comptabilité-là va te prendre deux semaines. » Et tu vas être encore déçu parce que... que ce n'est pas ton expertise, tes secrétaires. Si, par exemple, tu es professeur, je vais dire de maths, et qu'on te demande, par exemple, de prendre le poste de directeur pendant un mois de temps. Oui, peut-être que ça va te tarder, mais en même temps, il y a une partie de toi qui sort de ta zone parce que tu ne connais pas nécessairement toutes les lois de ce que demande la commission scolaire. Et que là, à l'intérieur... de toi, en tant que prof, on va dire de math, bien, oui, tu vas peut-être te débrouiller, mais ça va prendre double temps. Puis, tu n'aimeras pas ça parce que ce n'est pas ton expertise d'être prof de math, d'être directeur, excuse. Il faut apprendre à mettre ses limites. Il ne faut pas avoir peur de ce que l'autre va passer, ce que l'autre va dire. Si je dis non, ça va. va passer que je suis pas une bonne. Si je dis oui, ben la personne va comme « Hey, c'est cool, t'es vraiment hot, hey merci ! » Fait que là, l'autre personne va se décharger de responsabilité. Mais ça peut apporter encore plus de troubles parce qu'en fait... tu peux encore plus fucker la patente qu'on va dire en bon québécois. Mais c'est pour dire que si, à exemple, moi j'aurais pris la décision de coacher le monsieur, qui c'était d'abord ? côté professionnel et que lui me parle de sa situation professionnelle et que moi je la porte dans un état où est-ce que je le mêle encore plus. Bien, ce n'est pas mieux parce qu'en tant que coach, je me dois justement de démêler. Je me dois d'aider cette personne à ce qu'elle comprenne sa propre situation. Oui, j'irais peut-être plus... pu arriver. Mais, vu que ce n'est pas mon expertise, je ne le sentais pas intérieurement. Ça a fait en sorte que je me suis mis au-devant et dit non, moi je ne veux pas le faire. Et j'étais fière de moi parce que, justement, j'ai pris position de dire non. C'est comme quand quelqu'un me demande, comme cette semaine, il y a une personne qui m'appelle et qui me demande, j'aimerais ça te rencontrer. J'ai tombé cet hiver et j'ai des problèmes de dos. Mais moi, mon expertise, je ne suis pas ostéopathe, je ne suis pas chiro, je ne suis pas physio. Et là, je lui ai dit, bien oui, je pourrais t'aider énergiquement. mais pour l'instant, ce n'est pas moi que tu as besoin. Tu as besoin de voir un ostéopathe, tu as besoin de voir un chiro, tu as besoin de voir un physio, tu as besoin peut-être même d'aller, si ce n'est pas fait, à l'hôpital. Cette personne-là, moi, si je l'aurais prise, c'est plate à dire, mais ça vient nous siphonner énergiquement parce qu'on n'a pas de fun. Il n'y a pas de fun quand on fait quelque chose qui n'est pas de notre... expertise il ya pas de fun du tout parce que à l'intérieur de toi tu essaies de te prouver à toi même mais qu'en fait c'est que tu perds ton temps tu perds ton énergie et là tu dis j'aurais donc dû dire non J'aurais donc dû ne pas prendre cette personne-là ou ce dossier-là ou cette situation-là ou cette responsabilité. C'est pour ça qu'il faut apprendre à laisser tomber ses doutes, laisser tomber son insécurité, laisser tomber ses peurs. Il faut prendre position à l'intérieur de soi parce que sinon, c'est à nous-mêmes qu'on se blesse. C'est à nous-mêmes qu'on se fait du mal. Et ça finit que... énergiquement, vibratoirement, parce que notre taux vibratoire n'est pas dans sa pleine puissance, et mon client le ressent. J'ai eu à vivre ces expériences-là dans le passé en étant à accompagner des clients qui, je ne prenais pas nécessairement le temps de leur demander, quel est ton besoin pour venir me rencontrer ? Et ça faisait en sorte qu'énergiquement parlant... spirituellement, je n'allais pas où est-ce que je voulais aller parce que mon client n'était pas prêt à aller vers là. Fait que moi, j'étais déçue parce que, à quelque part, j'ai perdu mon temps. J'étais déçue parce qu'à quelque part, je n'avais pas été où ce qui est mon génie, où ce qui est mon intelligence, où ce qui est ma force, où ce qui est ma puissance. Et ça, ça fait qu'énergiquement, le client le sent, moi je le sens. et ça fait que c'est une énergie qui est basse en fréquence vibratoire et il n'y a pas de plaisir, il n'y a pas de fun. Et ça, pour moi, je me suis jurée que je ne voulais plus revivre ça. Mais là, d'être devant cette mentor qui, pour moi, professionnellement parlant, elle m'impressionne parce qu'elle est vraiment, pour moi, une femme de haut calibre sur le plan coaching que j'ose. prendre position et lui dire non, je ne veux pas le faire, ça a fait qu'à l'intérieur de moi, il y a eu une certitude qui s'est installée, il y a eu une droiture, il y a eu une confiance. Et elle m'a dit, c'est parfait Karine, on va t'en apporter un autre, ça va être génial. Et même qu'elle m'a dit, on va te faire rencontrer un jeune homme de 25 ans, dont ce jeune homme part dans deux semaines en voyage et il est... hyper stressée. Juste le mot stressée, moi j'étais déjà dans une mer d'infini de possibilités pour me permettre d'être dans mon génie, d'être dans mon intelligence parce que ça, ça, ça me parle de tout ce qui est les émotions, le stress, l'anxiété, l'angoisse, la colère, la frustration, tout ce qui est les émotions. Ça, ça me parle. Ça, ça me fait triper. Là, j'étais à l'intérieur de moi dans un état où est-ce que, oh wow, c'est bien hot. Et je me sentais en confiance. Mon énergie a switché. Intérieurement, ça s'est fait tout seul. C'est fou parce que mon corps était réceptif quand c'était l'homme de 58 ans. Donc, je ne me sentais pas en confiance parce que... Je sentais qu'à l'intérieur de moi, ce n'était pas fait pour moi, parce que je ne suis pas coach professionnel pour l'instant. Ce n'est pas ma force. Peut-être un jour, mais pour l'instant, non. Ma force, c'est les émotions. Ça fait des années et des années qu'émotionnellement, la vie m'enseigne. J'ai fait des chocs émotifs, autant positifs que négatifs. Je me suis retrouvée à vivre des situations émotionnelles de fou. Moi, j'ai toujours su, j'ai toujours entendu de la part d'un mérindien qu'un chaman, avant tout, il faut qu'il vive ses émotions pour être capable d'avoir de la bienveillance auprès de son prochain ou d'avoir de la compassion. C'est comme exemple, un chaman, dans les débuts des années tranquilles, tout ce qui est... les plantes, ils l'ont essayé. Ils l'ont pas shooté à son prochain sans savoir quels étaient les effets. Bien, c'est la même chose pour moi. Moi, je me dois avant tout d'intégrer. Ça a toujours fait partie de ma vie. Si c'est pas intégré à moi-même, si je l'ai pas intégré, si je l'ai pas goûté, si je l'ai pas touché, si je l'ai pas vécu, ça marche pas. Je peux pas. C'est comme exactement les mêmes... les produits naturels que je vends de modère. Je peux pas vendre un produit si je le connais pas. Je peux pas te vendre un produit qui est en lien avec les hormones qu'à moi-même je l'ai pas essayé. Ça marche pas. Tu peux pas. Pour moi, c'est... Ça ne rentre pas et ça, c'est moi ça. Il y a peut-être qu'il y en a d'autres qui sont capables de le faire et c'est correct. Je n'ai pas de jugement là-dessus. C'est vraiment parfait. Mais moi, ça a toujours été « il faut que je l'essaye avant » parce qu'il faut que je sache quel effet ça fait. Émotionnellement, quand on me dit que c'est un jeune homme de 25 ans qui était hyper stressé parce qu'il lui restait deux semaines avant de partir pour la Rive-Zélande pendant un an de temps, moi, j'étais déjà dans mon génie. Je savais déjà. dans ma créativité, où est-ce que j'allais l'apporter pour le questionner. Et là, quand j'ai reçu ce jeune homme, j'étais vraiment... Au début, oui, j'étais stressée parce que le fait qu'on me supervise, le fait que Sylvie m'observe avec cinq autres femmes, je t'avoue que ça... ça m'a stressée. Je t'avoue que ça, c'était comme à l'école. On est mis dans un... Ça, pour moi, c'est quelque chose qu'il faut que je règle, dans le sens que... Quand je suis évaluée, ça m'apporte des traumas du passé. Mais j'ai commencé à y travailler parce que, justement, avant que je reçoive mon coaching, j'ai commencé à faire du EFT. Et je me faisais de l'inversion psychologique pour être capable, justement, de ne pas me laisser impressionner par... Cette évaluation-là. Parce que j'avais confiance en moi, j'avais confiance en ce que j'avais étudié depuis six mois, j'avais confiance en mon expertise, j'avais confiance en ce que j'avais appris. Et quand j'ai rentré en contact avec le jeune homme, je l'ai apporté dans un état où est-ce que... Je lui posais des questions pour qu'il se mette à analyser, pour qu'il analyse et qu'il observe à l'intérieur de lui comment il se sent, pour que, comment il se sent, qu'il regarde vraiment en lui, c'est quoi les outils qu'il peut aller chercher pour surpasser son stress. Et ça, ça a fait que j'étais vraiment fière de moi parce que je sais que j'ai fait vivre un apex. Un apex, dans le fond, c'est vraiment une inversion psychologique. C'est vraiment un saut quantique. C'est un état d'être où est-ce que tu fais, « Ok, là, je comprends. Ok, oui, c'est ça. » Fait que tu laisses de l'espace à ton client, tu laisses du silence. Pour être capable à ce que mon client soit dans un état de réflexion et que cette réflexion-là soit positive. Parce que c'est lui seul qui avait la réponse à ces questions. Moi, je suis un miroir. Et en étant un miroir, ça permet justement à ce que cette personne-là réalise que... Pourquoi je mets tant d'importance que ça au stress ? Qu'est-ce qui me stresse dans la vie ? Et là, je lui ai dit, il est 13-2 semaines. Si, mettons, on faisait une échelle qui, plus qu'on monte, plus que tu te rapproches vers ton... ton voyage, mais qui, à chaque fois, à chaque jour, tu fais un petit pot, une bouchée, de dire, OK, ça me reste, à la fin de ça, je bosse ça. On passe une autre journée, je bosse ça. Tu sais, pour qu'à la fin... que tout soit fait dans son cas à lui. Il voulait en plus voir des amis avant de partir. Il y avait une surcharge de préparation, il y avait une surcharge d'amitié à rencontrer avant de partir pour un an. Et juste le fait de lui donner des outils, juste le fait de se mettre au devant et qu'il laisse sa peur de côté pour y faire face. Parce que c'est de sortir quand même de sa peur. sa zone de confort. Parce que quand on fait un pas, on sort de sa zone de confort. Quand on fait deux pas, on vient carrément de sortir de sa zone de confort pour rentrer dans le monde de l'inconnu. Et c'est dans l'inconnu que ça fait peur. Parce que si on est moindrement insécure et qu'on ne sait pas ce qui va se passer. au troisième pas, là on peut être dans la peur, là on peut être dans « qu'est-ce qui va m'arriver ? » Parce que si on est programmé que notre mère nous a tout le temps protégés, que notre mère nous a tout le temps surprotégés, et qu'on essaye de sortir de sa zone de protection, bien ça demande beaucoup de courage et d'avoir quelqu'un. qui nous tient par la main pour aller de l'avant, ça, ça aide extrêmement. Ça aide parce que ça permet à ce que la personne puisse faire les pas et de se diriger vers l'inconnu, mais que cet inconnu-là apporte à des belles opportunités, apporte à des beaux trips, à des expériences qui nous font grandir. qui nous font fructifier. Et c'est ce qui m'est arrivé. Quand j'ai commencé ma formation coaching, ça a le fait que, pour moi, c'était un nouveau défi. Parce que je devais sortir de ma zone de confort totale. Je ne connaissais pas nécessairement ça, le coaching. Il y a toutes sortes de coaching, mais un vrai coach ne te dit pas quoi folle. Un vrai coach te guide à ce que tu trouves tes propres réflexions. à ce que tu trouves toi-même, tes propres responsabilités. Et ça, ça met en confiance, ça met en responsabilité ta propre vie. Et ça, c'est génial. Il n'y a rien de plus beau que de mettre son client dans sa propre responsabilité, mais en étant à ses côtés. Et c'est comme ça que moi, je me suis sentie quand... Je me suis retrouvée à côté de Sylvie. Je savais que je pouvais lui faire confiance. Elle, en tant que mentor, je le savais que je pouvais avoir confiance en cette femme parce que je me sentais en confiance. Je me sentais prise par la main et que je pouvais, en tant que femme, savoir que cette femme-là était là pour m'aider, qu'elle était là pour me guider. Mais sans prendre mes responsabilités. Et quand j'ai fait mardi ma sphérision, c'était le 11 de mars. Et je le savais qu'il y avait quelque chose le 11 de mars. J'écrivais sur mon cahier le 11 de mars. Mais j'étais comme, voyons, c'est quoi qu'il y a le 11 de mars ? Il y a quelque chose. Je n'étais pas capable de trouver. Quand je suis partie dans ma tiny house pour aller faire mon coaching en supervision, j'avais un paquet de cartes où est-ce que je m'en ai sorti une. Et sur cette carte, il y avait un papillon bleu. Et ce papillon bleu, c'était écrit « ancêtre » . Et ça disait que... Nos ancêtres, ils sont présents auprès de nous, à nous soutenir, à nous supporter. Peu importe ce qu'on fait ici terrestrement, c'était vraiment un beau texte, mais moi, dans ma tête, j'allume. On est le 11 mars et c'est la fête à ma grand-maman, ma grand-maman maternelle. Et là, à l'intérieur de moi... Il y a eu une confiance qui s'est grandie, mais encore tellement plus parce que je le savais que j'étais supportée par l'énergie de ma grand-mère. Et je le sais qu'en étant à ce que ce soit la journée de sa fête, j'avais une foi que j'allais passer mon examen au la même. Ça, ça a fait en sorte qu'il y a eu une harmonisation qui s'est créée à l'intérieur de moi et tous les doutes, la peur, l'insécurité, tout a tombé parce que je me souvenais dans le passé tout le chemin que j'ai marché, donc j'en étais fière. Et c'est là que ma fierté a pris la place pour effacer la peur, pour effacer le doute, pour effacer les craintes. J'ai inversé psychologiquement mon petit démon intérieur qui me mettait dans « Ouais, mais là, tu seras pas capable de faire ci. Ouais, mais là, tu seras pas capable de faire ça. T'aurais pas dû changer. Peut-être que tu vas pas nier quelqu'un, une personnalité qui va être peut-être pire que l'homme professionnellement parlant. » tout ce qui était autour de moi qui m'entourait, en ayant tout ce qui était autour de moi et qui m'enveloppait. Et je savais que la base de ce coaching-là, c'était l'amour. Et c'est ce qui a fait que j'ai coaché le jeune homme pour l'apporter dans un état où il allait être totalement en confiance avec lui. Et Sylvie, ma coach, m'a fait réaliser que justement... Ce que j'avais fait, c'était un coaching vraiment d'exception. Elle m'a écrit que j'étais ultra humaine, que j'étais ultra sensible, ultra émotionnelle, ultra spirituelle. Ça, ça m'a vraiment touchée vraiment beaucoup parce que ça me montrait que j'étais exactement à la bonne place émotionnellement parlant parce que ça, c'est ma force, les émotions. J'adore travailler avec tout ce qui est les émotions qui sont rattachées au niveau du corps humain, qui sont rattachées au niveau de l'âme, qui sont rattachées au niveau spirituel, psychologique. J'adore ça. Et ce qui est encore plus hot, vraiment, c'est que j'avais, en finissant ma formation de coaching holistique, j'avais en tête... d'aller me chercher une formation, donc ça allait renforcer mon travail émotionnel pour accompagner mes clients. Et j'ai fait une demande la semaine d'avant pour, ça je le garde en secret, j'ai fait une demande parce que c'est en lien avec l'école, et la journée même que j'ai eu ma supervision, que j'ai passé mon examen, j'ai reçu, peut-être deux heures après, un email qui me disait que j'étais acceptée cet automne à une école dont ça fait cinq ans que je le visualise. Mais alors, je me disais tout le temps, il faut que j'aille chercher ma certification de coaching avant tout, pour être crédible, parce que moi, professionnellement parlant, Pour moi, c'est d'une importance pour être capable d'aller vers encore plus loin. Tout ce qui est au niveau centre de femmes, tout ce qui est peut-être jusqu'à même aller jusqu'au centre des femmes battues. J'aimerais vraiment ça aller là, d'aller peu importe dans des organismes pour aider les personnes en difficulté émotionnelle. Parce que je sais que ces personnes-là, ils ont... des difficultés à parler, à exprimer, à verbaliser. Et ça, moi, là, je me souviens quand j'étais petite, quand j'avais à poser mille et une questions, on m'a là rapprochée, ça. Arrête de poser des questions, Karine. Arrête de poser des questions, Karine. Bien, aujourd'hui, c'est qui qui pose des questions encore ? Bien, c'est moi. Parce que je le sais que... ma force, c'est de poser des questions parce qu'en posant des questions, ça apporte à mon client à ce que c'est vrai, je n'avais pas pensé à ça moi. C'est vrai, je n'avais pas vu ça de même. Et ça, ça fait que cet automne, je vais commencer une formation qui va m'apporter à un diplôme dont je vais être capable d'aller plus au niveau gouvernemental. Ça, vraiment, je veux. Ça fait des années-lumière que je dis, moi, un jour, je vais travailler dans le monde, des organismes gouvernementaux, peu importe, parce qu'il y a un besoin qui est là. Émotionnellement, on le voit, on le sent, on le ressent que les gens ne vont pas tout bien, émotionnellement. Et de toute façon... Les émotions, on va en avoir toujours. On va toujours avoir des émotions. Tu travailles sur tes peurs. Ça se peut que tu n'aies plus peur. Parle-toi de l'eau. Mais ça se peut que deux semaines après, que tu aies la chienne de ta vie et que tu vois un chien qui court après et qui te mord une fesse. Je dis ça de même, mais c'est pour te dire que l'émotion, il va toujours m'avoir. Et mon but, justement, c'est d'apporter les gens à ce qu'ils soient dans un état émotionnel de maîtrise. D'être capable de dire, moi... Je suis maître de ma vie et je ne me laisse pas accaparer par les émotions négatives qui m'apportent dans une basse fréquence vibratoire, qui m'apportent dans un état d'être où est-ce que je ne suis pas bien. Ça, je ne veux pas ça. Parce que justement, on s'enfade. On n'est comme pas d'énergie. On n'a pas de vie. On ne se sent pas bien. Fait que moi, je veux être dans un état où est-ce que... Je veux être une mentor. Je veux être cette mentor de femme qui va travailler sur les émotions. En allant chercher des outils, mais des outils puissants. Ils mettent en lumière directement mon client. Ça va être à suivre, ça va commencer ma formation cet automne, j'en ai pour un an. Et je le sais que cette formation-là va extrêmement... m'aider à moi aussi. Parce que, comme je te dis, aujourd'hui, ça va bien, mais ça se peut que demain, émotionnellement, je vive une émotion et que j'ai de la difficulté à vivre cette émotion-là, parce que là, remonter à la surface un trauma, un choc, une blessure, une trahison, peu importe. Fait que mon but, c'est d'être vraiment dans cette notoriété-là pour aider, tu sais, même les personnes qui ont des problèmes de santé. Tu sais. Ceux qui sont dans le cancer, ceux qui sont malades, à quelque part, ceux qui sont malades, c'est qu'émotionnellement, ils ont vécu des émotions dont ça a été refoulé sur le plan de l'âme et l'âme a été directement nature dans l'esprit, dans l'esprit, dans le corps, le corps et ainsi de suite. C'est pour ça que moi, je me vois vraiment être capable de... de aider mon prochain à ce qu'il puisse être le maître de ses émotions et c'est là que je réalise en étant à faire le métier de toilettage j'ai appris à aiguiser auprès de l'animal parce que l'animal n'exprime pas ses émotions on le ressent fait que moi quand j'étais devant mon petit client en coaching lors de ma supervision ben je le sentais d'où fallait que j'aille Puis même à la fin, quand les femmes m'ont parlé, qui m'ont dit, moi j'aurais été, quand ils ont dit, j'ai peur d'aller vers les gens, bien moi je ne le sentais pas. Ce n'est pas là qu'il fallait aller. En allant, j'ai peur d'aller auprès des gens, c'est qu'on était déjà dans le voyage. Et on devait commencer à la base, deux semaines avant qu'ils partent en voyage. Quand je vais travailler sur lui pendant ces deux semaines, Avant de partir pour son voyage, il va développer une confiance. Il va développer une fierté. Et tout ça peut faire la différence pour après, quand il va être dans son voyage. Parce qu'il va être tellement fier de lui. Il va être tellement dans une haute fréquence vibratoire que ça va faire en sorte qu'il va être porté à aller vers les gens. Et sa fréquence vibratoire, dont elle va être élevée, il va attirer des belles personnes. Fait que si j'avais été directement dans son voyage de la peur d'aller vers les autres, Je sautais une étape. Puis c'était l'étape la plus importante, c'était de se préparer avant de partir. Parce que ça, ça fait toute une différence. Parce que c'est exemple. Toi, mettons, t'as peur d'évoluer dans ton métier, t'as pas d'estime de toi. Mais moi, je te dirais, fais quelque chose que tu sors quand même de ta zone de confort. Va faire du cheval. T'as jamais fait de cheval, fais du cheval. Je te jure, je te... promets qu'en faisant du cheval, tu vas sortir de ta zone de confort et quand tu vas aller travailler, ça va être du génie parce que ta confiance, tu vas l'avoir développée à l'intérieur de toi et là, tu vas prendre les reins de ta vie et quand tu vas commencer à travailler sur quelque chose que tu ne connais pas, tu vas être tellement confiance à l'intérieur de toi que tout va se faire tout seul. Ça, c'est ta feuille. Si mettons, tu as quelque chose, tu n'as pas confiance en toi, Va à l'extrémité faire quelque chose qui te sort de ta zone de confort. Va prendre des cours de danse. Va prendre des cours de piscine. Va faire des cours de gym. Peu importe, sors de ta zone de confort. Et tout ça va faire en sorte que ça va développer totalement une confiance en toi. Et l'estime va augmenter. Cette estime-là va faire toute une différence. Et ça, c'est magique. Ça, sérieusement, ça marche. À coup sûr. Je l'ai essayé. Je l'ai expérimenté et je peux te rassurer que vraiment, ça marche. J'espère que mon podcast t'a parlé. J'espère que ça t'a apporté à des réflexions, à des compréhensions, à peut-être te faire quelque chose que, ah, ça, ça m'aide, ah oui, c'est vrai, ça. Peu importe. Ou peut-être que ça te fait penser à quelqu'un d'autre. Je t'invite à le partager. Peu importe. J'ai des super de beaux commentaires. J'ai des retours. Je suis vraiment... wow, ça me touche, je dirais pas assez, mais ça me touche tout le temps d'avoir un petit coucou, hey j'ai écouté ton podcast 26 ça m'a fait tellement réaliser des affaires j'aimerais ça te rencontrer pour que tu m'ailles assis ou à ça ça apporte à des belles réflexions à des belles discussions j'adore, vraiment sérieusement, tu sais, le podcast justement, ça en est un enfant, c'est tout j'avais peur de mettre un pied au devant Qu'est-ce qui m'a apporté à aller au-devant ? Bien, justement, j'ai rencontré l'équipe de podcast. Voyons, je ne me rappelle même plus du nom, désolée. Mais c'est Marco Bernard. Et ça m'a apporté justement un mentor. Il connaît ça, lui, le podcast. Ça fait good ! J'ai quelqu'un à côté de moi qui m'accompagne. Toi, qui pourrait t'accompagner pour te sortir de... ton stress, de ta peur, de ton doute, de ton angoisse, de ton anxiété. Tu sais, ça peut être même un moment donné, j'avais une de mes clientes qui était ici en soins linguistiques et elle devait aller parler avec un de ses ex pour régler des choses. Je lui ai dit, dis-moi quand tu vas aller parler à cette personne-là et je vais être en prière avec toi. Je vais t'accompagner. Je vais mettre ma main sur ton épaule pour que tu sens la confiance que « Je suis là avec toi. » Et cette personne-là, ça lui a mis la confiance. Et elle est allée parler à son ex. Et tout s'est bien déroulé parce qu'elle se sentait épaulée. C'est important, ça. Tu sais, l'inconnu fait peur. En faisant de cette façon, en étant aidée par qui que ce soit, de par son expertise, ça fait toute la différence. Sérieusement. Il faut juste trouver la bonne personne. Parce que si, mettons, tu ne prends pas la bonne personne, bien là, ça peut te rendre pire. Ce n'est pas mieux. On ne veut pas rendre pire. On ne veut pas traumatiser. On ne veut pas apporter à ce que ça foire. On veut que ça aille vraiment bien. Fait que je te souhaite une belle continuité. Si tu as envie de partager, crie-moi. Dictaphone-moi. Ça va me faire plaisir. Sur mon Messenger, Karine Turcotte, ou la Nature Coach Holistique, Karine Turcotte sur Facebook. même sur Instagram, ça va me faire énormément plaisir. J'adore ça. Vraiment, vraiment, j'apprécie. Je te souhaite une belle continuité et je te dis à la prochaine !

Description

Cette semaine, je te partage une prise de conscience essentielle : savoir reconnaître et respecter sa zone de génie. À travers mon expérience de supervision en coaching, j’ai appris à poser mes limites, à écouter mon intuition et à oser dire non quand quelque chose ne résonne pas avec moi.


Sortir de sa zone de confort, ce n’est pas se forcer à tout faire, mais savoir où est notre vraie puissance. Dans cet épisode, je t’explique pourquoi il est essentiel de choisir les bonnes opportunités et de s’entourer des bonnes personnes pour avancer avec confiance.


🌿 Tu ressens des blocages qui t’empêchent d’avancer ? Cet épisode est fait pour toi. ✨


📢 Écoute, partage et viens me dire ce que tu en penses ! 💬

Au plaisir de vous faire découvrir mon monde intérieur, en espérant qu’il vous en inspire.

Avec Amour,
Karine Turcotte


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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur mon podcast « En toute simplicité » . Je suis Karine Turcotte, accompagnatrice holistique, et à chaque semaine, je t'invite à découvrir les histoires que j'ai vécues, à te faire voyager à des réflexions profondes issues de mon parcours. À travers mes expériences terrestres, je te guide pour explorer le monde spirituel et comprendre que, malgré nos chemins uniques, partageons tous des émotions similaires, que tu cherches des réponses, de la motivation ou une nouvelle vision, En Toute Simplicité est là pour t'inspirer et t'accompagner dans ton chemin vers une vie plus épanouie et lumineuse. Bienvenue dans mon monde ! Allô, allô, j'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon podcast En Toute Simplicité. Épisode 46. J'espère que tu vas bien. Aujourd'hui, j'ai envie de te parler de la peur d'avancer. Cette semaine, j'ai finalisé ma formation de coaching holistique et mardi, j'avais... ma supervision, dont je devais faire un coaching à quelqu'un que je ne connaissais pas et qui j'allais être supervisée par les coéquipières que j'avais et ma prof. J'étais dans un état intérieur où est-ce que... Au départ, quand j'ai pris cette formation cet automne, j'avais des peurs, j'avais des craintes, j'avais des doutes, que je me disais, bof, je ne suis pas assez intelligente pour faire cette formation-là. Je ne suis pas assez ci, je ne suis pas assez ça. Pourquoi que je ferais ci ? Pourquoi que je ferais ça ? Ça, c'est le petit démon qui, à l'intérieur de nous, essaye de prendre parole, mais qui... Moi, je lui ai fait face à ce que... petit démon là je me suis dit je m'en fous je le fais paraître il arrivera ce qui arrivera j'ai le ressenti à l'intérieur de moi que je le sens je le dois je me dois d'aller vers ce chemin pour aller chercher cette formation de coaching holistique, mais qui, c'est pas mal plus qu'une formation, c'est un cheminement de croissance personnelle qui m'a apporté vraiment quelque chose de grand à l'intérieur de moi, vraiment. Ça m'a permis vraiment d'évoluer, de grandir, de me déprogrammer d'anciennes croyances limitantes. ça m'a apporté à aller chercher mes besoins. Quels sont mes besoins ? Ça m'a fait travailler sur justement beaucoup, vraiment beaucoup, beaucoup de choses qui, pendant six mois de temps, on était vraiment supervisé de façon à ce qu'on aille en profondeur à l'intérieur de soi et qu'on soit un coach exceptionnel. Et... C'est une vie qui est très, très professionnelle, a été un mentor pour moi, donc je me sentais en confiance et c'est ça que ça me prenait. Parce qu'en me sentant en confiance, c'est pour cette raison que j'ai décidé de, malgré mes peurs, malgré mes doutes, mon stress, mon anxiété, mes craintes de dire que je m'engage à devenir une coach, bien... Ça m'a apporté à avoir confiance parce que je savais que j'allais avoir une personne, un mentor qui allait m'aider à devenir cette personne six mois après qui, je ne m'attendais pas à être autant, je dirais, différente. Ma façon de travailler, ma façon de penser, ma façon de m'exprimer, ma façon de... quand je suis en travail de coaching, c'est de laisser la responsabilité totalement à mon client. C'est d'être un miroir à mon client et ça je trouve ça du génie parce que en fait tellement réaliser des choses et on réalise, même nous, moi je l'ai vécu, je l'ai expérimenté parce qu'on se coachait l'un et l'autre et ça vient décortiquer à l'intérieur de soi, c'est incroyable. Ce que ça a fait, c'est que mardi, j'avais justement ma supervision de mon examen pour passer et lundi, j'étais vraiment dans un état vraiment anxieuse, dans un état où je ne me sentais pas en confiance. Et c'est fou parce que j'ai compris quelque chose. J'avais une personnalité d'homme dont on m'avait apporté pour me préparer. Et ma mentor Sylvie, elle me dit, tu vas recevoir un homme qui a 58 ans, c'est côté professionnel. Et là, mon corps a réagi tout de suite. Il y a eu quelque chose qui a fait comme, elle est un peu là. qui, moi, pour aider cette personne-là à l'apporter professionnellement parlant à ou à ce qu'il veut ? Là, je me suis descendue en doute encore plus parce que là, je me disais « Hey, tu sais, moi, j'ai 43 ans. Oui, j'ai une entreprise en toilettage. Oui, j'ai une entreprise en coaching, mais moi, je suis qui à 43 ans ? » Pas nécessairement l'expérience dont le monsieur monsieur qui a 58 ans, mais à l'intérieur de moi, il y avait quelque chose qui ça me disait que non, je ne peux pas le faire, ce monsieur-là. Je ne me sens pas légitime de le faire. Je ne me sens pas à ma place de le faire parce que, tu sais, dans le coaching, on a toutes nos forces. On a vraiment toutes nos force ce qui veut dire que il y en a des coachs qui vont être en force en relation d'aide il y en a d'autres qui vont être en force par rapport avec une perte de poids il y en a d'autres qui vont avoir la force de professionnellement parlant il y en a d'autres qui ça va être au niveau financier il y a plusieurs coachs mais il faut que tu trouves ta branche il faut que tu trouves toi c'est quoi ton génie c'est quoi c'est quoi qui Pau, c'est quoi qui... C'est quoi le thème pour être capable d'apporter ton client à ce qu'il se sente vraiment en confiance ? Ça, c'est extrêmement important parce que si tu es à te dire que moi, je suis coach en relation d'aide, mais qui est auprès des femmes, puis on me demande de faire un coaching de couple, mais ça ne l'est pas, mon génie, ça. Pourquoi ? j'irais me forcer à peut-être pour faire du cash, peut-être pour essayer une expérience, ou peut-être me prouver à moi-même que je peux, que je suis capable. Non. Ce qui était vraiment important, c'est que... c'est qu'à l'intérieur de soi, il faut que tu trouves la force que tu portes à l'intérieur de toi, ton expertise. Et là, quand à l'intérieur de moi, Sylvie me parlait de cet homme-là, dans mon bas de ventre, ce n'était pas du stress que je ressentais. Ce n'était pas... C'est plus que ça. Il y avait mon corps qui me disait, c'est même prouvé qu'au niveau du cœur, le cœur reconnaît avant la tête. Et c'est ça qui s'est passé avec moi. Je sentais que je devais dire, moi je ne me sens pas dans le génie de faire un coaching à mon petit monsieur. Ça ne fit pas, ça ne marchait pas, il y avait quelque chose qui ne fonctionnait pas. Et à la dernière minute, j'ai dit... J'ai demandé, j'ai osé demander. Je me connais avant la formation de coaching, je m'aurais fermé la boîte et j'aurais pris notre petit monsieur. Mais là, j'ai dit à Sylvie, ma mentor, je me sens pas experte à le coacher professionnellement par là. C'est pas ma notoriété, c'est pas mon expertise. J'ai demandé, c'est-tu possible que... je change parce que il y a de quoi à l'intérieur de moi qui ne s'affite pas. Je ne me sens pas légitime de le coacher. Et là, ça a fait en sorte qu'au début, je me sentais comme un peu coupable. Mais j'ai réalisé qu'en disant ça... Ça mettait en même temps ma niche, mes limites. Une niche, dans le fond, c'est que tu visualises le genre de client, le genre de clientèle que tu veux attirer. Et en faisant... en sorte que je décidais, je mettais un pied au devant pour sortir de ma zone de confort et de demander est-ce que c'est possible que je change celui que je vais coacher parce que je ne me sens pas à l'aise, bien, ça m'a montré que dans la vie, on ne peut pas tout faire. On ne peut pas tout faire. Il y a des psychologues. il y a des travailleurs sociaux, il y a des médecins, il y a des physiothérapeutes, il y a des naturopathes, il y a des herboristes. Il faut savoir mettre son œuvre dans sa force. Tu sais, c'est comme ces exemples-là. tu travailles comme secrétaire et que là, ton boss te demande, « Moi, j'aimerais ça que tu fasses ma comptabilité. » Mais tu n'es pas à l'aise. Et là, par peur de parler ou d'exprimer ou de déplaire, tu vas dire, « OK, mais cette comptabilité-là va te prendre deux semaines. » Et tu vas être encore déçu parce que... que ce n'est pas ton expertise, tes secrétaires. Si, par exemple, tu es professeur, je vais dire de maths, et qu'on te demande, par exemple, de prendre le poste de directeur pendant un mois de temps. Oui, peut-être que ça va te tarder, mais en même temps, il y a une partie de toi qui sort de ta zone parce que tu ne connais pas nécessairement toutes les lois de ce que demande la commission scolaire. Et que là, à l'intérieur... de toi, en tant que prof, on va dire de math, bien, oui, tu vas peut-être te débrouiller, mais ça va prendre double temps. Puis, tu n'aimeras pas ça parce que ce n'est pas ton expertise d'être prof de math, d'être directeur, excuse. Il faut apprendre à mettre ses limites. Il ne faut pas avoir peur de ce que l'autre va passer, ce que l'autre va dire. Si je dis non, ça va. va passer que je suis pas une bonne. Si je dis oui, ben la personne va comme « Hey, c'est cool, t'es vraiment hot, hey merci ! » Fait que là, l'autre personne va se décharger de responsabilité. Mais ça peut apporter encore plus de troubles parce qu'en fait... tu peux encore plus fucker la patente qu'on va dire en bon québécois. Mais c'est pour dire que si, à exemple, moi j'aurais pris la décision de coacher le monsieur, qui c'était d'abord ? côté professionnel et que lui me parle de sa situation professionnelle et que moi je la porte dans un état où est-ce que je le mêle encore plus. Bien, ce n'est pas mieux parce qu'en tant que coach, je me dois justement de démêler. Je me dois d'aider cette personne à ce qu'elle comprenne sa propre situation. Oui, j'irais peut-être plus... pu arriver. Mais, vu que ce n'est pas mon expertise, je ne le sentais pas intérieurement. Ça a fait en sorte que je me suis mis au-devant et dit non, moi je ne veux pas le faire. Et j'étais fière de moi parce que, justement, j'ai pris position de dire non. C'est comme quand quelqu'un me demande, comme cette semaine, il y a une personne qui m'appelle et qui me demande, j'aimerais ça te rencontrer. J'ai tombé cet hiver et j'ai des problèmes de dos. Mais moi, mon expertise, je ne suis pas ostéopathe, je ne suis pas chiro, je ne suis pas physio. Et là, je lui ai dit, bien oui, je pourrais t'aider énergiquement. mais pour l'instant, ce n'est pas moi que tu as besoin. Tu as besoin de voir un ostéopathe, tu as besoin de voir un chiro, tu as besoin de voir un physio, tu as besoin peut-être même d'aller, si ce n'est pas fait, à l'hôpital. Cette personne-là, moi, si je l'aurais prise, c'est plate à dire, mais ça vient nous siphonner énergiquement parce qu'on n'a pas de fun. Il n'y a pas de fun quand on fait quelque chose qui n'est pas de notre... expertise il ya pas de fun du tout parce que à l'intérieur de toi tu essaies de te prouver à toi même mais qu'en fait c'est que tu perds ton temps tu perds ton énergie et là tu dis j'aurais donc dû dire non J'aurais donc dû ne pas prendre cette personne-là ou ce dossier-là ou cette situation-là ou cette responsabilité. C'est pour ça qu'il faut apprendre à laisser tomber ses doutes, laisser tomber son insécurité, laisser tomber ses peurs. Il faut prendre position à l'intérieur de soi parce que sinon, c'est à nous-mêmes qu'on se blesse. C'est à nous-mêmes qu'on se fait du mal. Et ça finit que... énergiquement, vibratoirement, parce que notre taux vibratoire n'est pas dans sa pleine puissance, et mon client le ressent. J'ai eu à vivre ces expériences-là dans le passé en étant à accompagner des clients qui, je ne prenais pas nécessairement le temps de leur demander, quel est ton besoin pour venir me rencontrer ? Et ça faisait en sorte qu'énergiquement parlant... spirituellement, je n'allais pas où est-ce que je voulais aller parce que mon client n'était pas prêt à aller vers là. Fait que moi, j'étais déçue parce que, à quelque part, j'ai perdu mon temps. J'étais déçue parce qu'à quelque part, je n'avais pas été où ce qui est mon génie, où ce qui est mon intelligence, où ce qui est ma force, où ce qui est ma puissance. Et ça, ça fait qu'énergiquement, le client le sent, moi je le sens. et ça fait que c'est une énergie qui est basse en fréquence vibratoire et il n'y a pas de plaisir, il n'y a pas de fun. Et ça, pour moi, je me suis jurée que je ne voulais plus revivre ça. Mais là, d'être devant cette mentor qui, pour moi, professionnellement parlant, elle m'impressionne parce qu'elle est vraiment, pour moi, une femme de haut calibre sur le plan coaching que j'ose. prendre position et lui dire non, je ne veux pas le faire, ça a fait qu'à l'intérieur de moi, il y a eu une certitude qui s'est installée, il y a eu une droiture, il y a eu une confiance. Et elle m'a dit, c'est parfait Karine, on va t'en apporter un autre, ça va être génial. Et même qu'elle m'a dit, on va te faire rencontrer un jeune homme de 25 ans, dont ce jeune homme part dans deux semaines en voyage et il est... hyper stressée. Juste le mot stressée, moi j'étais déjà dans une mer d'infini de possibilités pour me permettre d'être dans mon génie, d'être dans mon intelligence parce que ça, ça, ça me parle de tout ce qui est les émotions, le stress, l'anxiété, l'angoisse, la colère, la frustration, tout ce qui est les émotions. Ça, ça me parle. Ça, ça me fait triper. Là, j'étais à l'intérieur de moi dans un état où est-ce que, oh wow, c'est bien hot. Et je me sentais en confiance. Mon énergie a switché. Intérieurement, ça s'est fait tout seul. C'est fou parce que mon corps était réceptif quand c'était l'homme de 58 ans. Donc, je ne me sentais pas en confiance parce que... Je sentais qu'à l'intérieur de moi, ce n'était pas fait pour moi, parce que je ne suis pas coach professionnel pour l'instant. Ce n'est pas ma force. Peut-être un jour, mais pour l'instant, non. Ma force, c'est les émotions. Ça fait des années et des années qu'émotionnellement, la vie m'enseigne. J'ai fait des chocs émotifs, autant positifs que négatifs. Je me suis retrouvée à vivre des situations émotionnelles de fou. Moi, j'ai toujours su, j'ai toujours entendu de la part d'un mérindien qu'un chaman, avant tout, il faut qu'il vive ses émotions pour être capable d'avoir de la bienveillance auprès de son prochain ou d'avoir de la compassion. C'est comme exemple, un chaman, dans les débuts des années tranquilles, tout ce qui est... les plantes, ils l'ont essayé. Ils l'ont pas shooté à son prochain sans savoir quels étaient les effets. Bien, c'est la même chose pour moi. Moi, je me dois avant tout d'intégrer. Ça a toujours fait partie de ma vie. Si c'est pas intégré à moi-même, si je l'ai pas intégré, si je l'ai pas goûté, si je l'ai pas touché, si je l'ai pas vécu, ça marche pas. Je peux pas. C'est comme exactement les mêmes... les produits naturels que je vends de modère. Je peux pas vendre un produit si je le connais pas. Je peux pas te vendre un produit qui est en lien avec les hormones qu'à moi-même je l'ai pas essayé. Ça marche pas. Tu peux pas. Pour moi, c'est... Ça ne rentre pas et ça, c'est moi ça. Il y a peut-être qu'il y en a d'autres qui sont capables de le faire et c'est correct. Je n'ai pas de jugement là-dessus. C'est vraiment parfait. Mais moi, ça a toujours été « il faut que je l'essaye avant » parce qu'il faut que je sache quel effet ça fait. Émotionnellement, quand on me dit que c'est un jeune homme de 25 ans qui était hyper stressé parce qu'il lui restait deux semaines avant de partir pour la Rive-Zélande pendant un an de temps, moi, j'étais déjà dans mon génie. Je savais déjà. dans ma créativité, où est-ce que j'allais l'apporter pour le questionner. Et là, quand j'ai reçu ce jeune homme, j'étais vraiment... Au début, oui, j'étais stressée parce que le fait qu'on me supervise, le fait que Sylvie m'observe avec cinq autres femmes, je t'avoue que ça... ça m'a stressée. Je t'avoue que ça, c'était comme à l'école. On est mis dans un... Ça, pour moi, c'est quelque chose qu'il faut que je règle, dans le sens que... Quand je suis évaluée, ça m'apporte des traumas du passé. Mais j'ai commencé à y travailler parce que, justement, avant que je reçoive mon coaching, j'ai commencé à faire du EFT. Et je me faisais de l'inversion psychologique pour être capable, justement, de ne pas me laisser impressionner par... Cette évaluation-là. Parce que j'avais confiance en moi, j'avais confiance en ce que j'avais étudié depuis six mois, j'avais confiance en mon expertise, j'avais confiance en ce que j'avais appris. Et quand j'ai rentré en contact avec le jeune homme, je l'ai apporté dans un état où est-ce que... Je lui posais des questions pour qu'il se mette à analyser, pour qu'il analyse et qu'il observe à l'intérieur de lui comment il se sent, pour que, comment il se sent, qu'il regarde vraiment en lui, c'est quoi les outils qu'il peut aller chercher pour surpasser son stress. Et ça, ça a fait que j'étais vraiment fière de moi parce que je sais que j'ai fait vivre un apex. Un apex, dans le fond, c'est vraiment une inversion psychologique. C'est vraiment un saut quantique. C'est un état d'être où est-ce que tu fais, « Ok, là, je comprends. Ok, oui, c'est ça. » Fait que tu laisses de l'espace à ton client, tu laisses du silence. Pour être capable à ce que mon client soit dans un état de réflexion et que cette réflexion-là soit positive. Parce que c'est lui seul qui avait la réponse à ces questions. Moi, je suis un miroir. Et en étant un miroir, ça permet justement à ce que cette personne-là réalise que... Pourquoi je mets tant d'importance que ça au stress ? Qu'est-ce qui me stresse dans la vie ? Et là, je lui ai dit, il est 13-2 semaines. Si, mettons, on faisait une échelle qui, plus qu'on monte, plus que tu te rapproches vers ton... ton voyage, mais qui, à chaque fois, à chaque jour, tu fais un petit pot, une bouchée, de dire, OK, ça me reste, à la fin de ça, je bosse ça. On passe une autre journée, je bosse ça. Tu sais, pour qu'à la fin... que tout soit fait dans son cas à lui. Il voulait en plus voir des amis avant de partir. Il y avait une surcharge de préparation, il y avait une surcharge d'amitié à rencontrer avant de partir pour un an. Et juste le fait de lui donner des outils, juste le fait de se mettre au devant et qu'il laisse sa peur de côté pour y faire face. Parce que c'est de sortir quand même de sa peur. sa zone de confort. Parce que quand on fait un pas, on sort de sa zone de confort. Quand on fait deux pas, on vient carrément de sortir de sa zone de confort pour rentrer dans le monde de l'inconnu. Et c'est dans l'inconnu que ça fait peur. Parce que si on est moindrement insécure et qu'on ne sait pas ce qui va se passer. au troisième pas, là on peut être dans la peur, là on peut être dans « qu'est-ce qui va m'arriver ? » Parce que si on est programmé que notre mère nous a tout le temps protégés, que notre mère nous a tout le temps surprotégés, et qu'on essaye de sortir de sa zone de protection, bien ça demande beaucoup de courage et d'avoir quelqu'un. qui nous tient par la main pour aller de l'avant, ça, ça aide extrêmement. Ça aide parce que ça permet à ce que la personne puisse faire les pas et de se diriger vers l'inconnu, mais que cet inconnu-là apporte à des belles opportunités, apporte à des beaux trips, à des expériences qui nous font grandir. qui nous font fructifier. Et c'est ce qui m'est arrivé. Quand j'ai commencé ma formation coaching, ça a le fait que, pour moi, c'était un nouveau défi. Parce que je devais sortir de ma zone de confort totale. Je ne connaissais pas nécessairement ça, le coaching. Il y a toutes sortes de coaching, mais un vrai coach ne te dit pas quoi folle. Un vrai coach te guide à ce que tu trouves tes propres réflexions. à ce que tu trouves toi-même, tes propres responsabilités. Et ça, ça met en confiance, ça met en responsabilité ta propre vie. Et ça, c'est génial. Il n'y a rien de plus beau que de mettre son client dans sa propre responsabilité, mais en étant à ses côtés. Et c'est comme ça que moi, je me suis sentie quand... Je me suis retrouvée à côté de Sylvie. Je savais que je pouvais lui faire confiance. Elle, en tant que mentor, je le savais que je pouvais avoir confiance en cette femme parce que je me sentais en confiance. Je me sentais prise par la main et que je pouvais, en tant que femme, savoir que cette femme-là était là pour m'aider, qu'elle était là pour me guider. Mais sans prendre mes responsabilités. Et quand j'ai fait mardi ma sphérision, c'était le 11 de mars. Et je le savais qu'il y avait quelque chose le 11 de mars. J'écrivais sur mon cahier le 11 de mars. Mais j'étais comme, voyons, c'est quoi qu'il y a le 11 de mars ? Il y a quelque chose. Je n'étais pas capable de trouver. Quand je suis partie dans ma tiny house pour aller faire mon coaching en supervision, j'avais un paquet de cartes où est-ce que je m'en ai sorti une. Et sur cette carte, il y avait un papillon bleu. Et ce papillon bleu, c'était écrit « ancêtre » . Et ça disait que... Nos ancêtres, ils sont présents auprès de nous, à nous soutenir, à nous supporter. Peu importe ce qu'on fait ici terrestrement, c'était vraiment un beau texte, mais moi, dans ma tête, j'allume. On est le 11 mars et c'est la fête à ma grand-maman, ma grand-maman maternelle. Et là, à l'intérieur de moi... Il y a eu une confiance qui s'est grandie, mais encore tellement plus parce que je le savais que j'étais supportée par l'énergie de ma grand-mère. Et je le sais qu'en étant à ce que ce soit la journée de sa fête, j'avais une foi que j'allais passer mon examen au la même. Ça, ça a fait en sorte qu'il y a eu une harmonisation qui s'est créée à l'intérieur de moi et tous les doutes, la peur, l'insécurité, tout a tombé parce que je me souvenais dans le passé tout le chemin que j'ai marché, donc j'en étais fière. Et c'est là que ma fierté a pris la place pour effacer la peur, pour effacer le doute, pour effacer les craintes. J'ai inversé psychologiquement mon petit démon intérieur qui me mettait dans « Ouais, mais là, tu seras pas capable de faire ci. Ouais, mais là, tu seras pas capable de faire ça. T'aurais pas dû changer. Peut-être que tu vas pas nier quelqu'un, une personnalité qui va être peut-être pire que l'homme professionnellement parlant. » tout ce qui était autour de moi qui m'entourait, en ayant tout ce qui était autour de moi et qui m'enveloppait. Et je savais que la base de ce coaching-là, c'était l'amour. Et c'est ce qui a fait que j'ai coaché le jeune homme pour l'apporter dans un état où il allait être totalement en confiance avec lui. Et Sylvie, ma coach, m'a fait réaliser que justement... Ce que j'avais fait, c'était un coaching vraiment d'exception. Elle m'a écrit que j'étais ultra humaine, que j'étais ultra sensible, ultra émotionnelle, ultra spirituelle. Ça, ça m'a vraiment touchée vraiment beaucoup parce que ça me montrait que j'étais exactement à la bonne place émotionnellement parlant parce que ça, c'est ma force, les émotions. J'adore travailler avec tout ce qui est les émotions qui sont rattachées au niveau du corps humain, qui sont rattachées au niveau de l'âme, qui sont rattachées au niveau spirituel, psychologique. J'adore ça. Et ce qui est encore plus hot, vraiment, c'est que j'avais, en finissant ma formation de coaching holistique, j'avais en tête... d'aller me chercher une formation, donc ça allait renforcer mon travail émotionnel pour accompagner mes clients. Et j'ai fait une demande la semaine d'avant pour, ça je le garde en secret, j'ai fait une demande parce que c'est en lien avec l'école, et la journée même que j'ai eu ma supervision, que j'ai passé mon examen, j'ai reçu, peut-être deux heures après, un email qui me disait que j'étais acceptée cet automne à une école dont ça fait cinq ans que je le visualise. Mais alors, je me disais tout le temps, il faut que j'aille chercher ma certification de coaching avant tout, pour être crédible, parce que moi, professionnellement parlant, Pour moi, c'est d'une importance pour être capable d'aller vers encore plus loin. Tout ce qui est au niveau centre de femmes, tout ce qui est peut-être jusqu'à même aller jusqu'au centre des femmes battues. J'aimerais vraiment ça aller là, d'aller peu importe dans des organismes pour aider les personnes en difficulté émotionnelle. Parce que je sais que ces personnes-là, ils ont... des difficultés à parler, à exprimer, à verbaliser. Et ça, moi, là, je me souviens quand j'étais petite, quand j'avais à poser mille et une questions, on m'a là rapprochée, ça. Arrête de poser des questions, Karine. Arrête de poser des questions, Karine. Bien, aujourd'hui, c'est qui qui pose des questions encore ? Bien, c'est moi. Parce que je le sais que... ma force, c'est de poser des questions parce qu'en posant des questions, ça apporte à mon client à ce que c'est vrai, je n'avais pas pensé à ça moi. C'est vrai, je n'avais pas vu ça de même. Et ça, ça fait que cet automne, je vais commencer une formation qui va m'apporter à un diplôme dont je vais être capable d'aller plus au niveau gouvernemental. Ça, vraiment, je veux. Ça fait des années-lumière que je dis, moi, un jour, je vais travailler dans le monde, des organismes gouvernementaux, peu importe, parce qu'il y a un besoin qui est là. Émotionnellement, on le voit, on le sent, on le ressent que les gens ne vont pas tout bien, émotionnellement. Et de toute façon... Les émotions, on va en avoir toujours. On va toujours avoir des émotions. Tu travailles sur tes peurs. Ça se peut que tu n'aies plus peur. Parle-toi de l'eau. Mais ça se peut que deux semaines après, que tu aies la chienne de ta vie et que tu vois un chien qui court après et qui te mord une fesse. Je dis ça de même, mais c'est pour te dire que l'émotion, il va toujours m'avoir. Et mon but, justement, c'est d'apporter les gens à ce qu'ils soient dans un état émotionnel de maîtrise. D'être capable de dire, moi... Je suis maître de ma vie et je ne me laisse pas accaparer par les émotions négatives qui m'apportent dans une basse fréquence vibratoire, qui m'apportent dans un état d'être où est-ce que je ne suis pas bien. Ça, je ne veux pas ça. Parce que justement, on s'enfade. On n'est comme pas d'énergie. On n'a pas de vie. On ne se sent pas bien. Fait que moi, je veux être dans un état où est-ce que... Je veux être une mentor. Je veux être cette mentor de femme qui va travailler sur les émotions. En allant chercher des outils, mais des outils puissants. Ils mettent en lumière directement mon client. Ça va être à suivre, ça va commencer ma formation cet automne, j'en ai pour un an. Et je le sais que cette formation-là va extrêmement... m'aider à moi aussi. Parce que, comme je te dis, aujourd'hui, ça va bien, mais ça se peut que demain, émotionnellement, je vive une émotion et que j'ai de la difficulté à vivre cette émotion-là, parce que là, remonter à la surface un trauma, un choc, une blessure, une trahison, peu importe. Fait que mon but, c'est d'être vraiment dans cette notoriété-là pour aider, tu sais, même les personnes qui ont des problèmes de santé. Tu sais. Ceux qui sont dans le cancer, ceux qui sont malades, à quelque part, ceux qui sont malades, c'est qu'émotionnellement, ils ont vécu des émotions dont ça a été refoulé sur le plan de l'âme et l'âme a été directement nature dans l'esprit, dans l'esprit, dans le corps, le corps et ainsi de suite. C'est pour ça que moi, je me vois vraiment être capable de... de aider mon prochain à ce qu'il puisse être le maître de ses émotions et c'est là que je réalise en étant à faire le métier de toilettage j'ai appris à aiguiser auprès de l'animal parce que l'animal n'exprime pas ses émotions on le ressent fait que moi quand j'étais devant mon petit client en coaching lors de ma supervision ben je le sentais d'où fallait que j'aille Puis même à la fin, quand les femmes m'ont parlé, qui m'ont dit, moi j'aurais été, quand ils ont dit, j'ai peur d'aller vers les gens, bien moi je ne le sentais pas. Ce n'est pas là qu'il fallait aller. En allant, j'ai peur d'aller auprès des gens, c'est qu'on était déjà dans le voyage. Et on devait commencer à la base, deux semaines avant qu'ils partent en voyage. Quand je vais travailler sur lui pendant ces deux semaines, Avant de partir pour son voyage, il va développer une confiance. Il va développer une fierté. Et tout ça peut faire la différence pour après, quand il va être dans son voyage. Parce qu'il va être tellement fier de lui. Il va être tellement dans une haute fréquence vibratoire que ça va faire en sorte qu'il va être porté à aller vers les gens. Et sa fréquence vibratoire, dont elle va être élevée, il va attirer des belles personnes. Fait que si j'avais été directement dans son voyage de la peur d'aller vers les autres, Je sautais une étape. Puis c'était l'étape la plus importante, c'était de se préparer avant de partir. Parce que ça, ça fait toute une différence. Parce que c'est exemple. Toi, mettons, t'as peur d'évoluer dans ton métier, t'as pas d'estime de toi. Mais moi, je te dirais, fais quelque chose que tu sors quand même de ta zone de confort. Va faire du cheval. T'as jamais fait de cheval, fais du cheval. Je te jure, je te... promets qu'en faisant du cheval, tu vas sortir de ta zone de confort et quand tu vas aller travailler, ça va être du génie parce que ta confiance, tu vas l'avoir développée à l'intérieur de toi et là, tu vas prendre les reins de ta vie et quand tu vas commencer à travailler sur quelque chose que tu ne connais pas, tu vas être tellement confiance à l'intérieur de toi que tout va se faire tout seul. Ça, c'est ta feuille. Si mettons, tu as quelque chose, tu n'as pas confiance en toi, Va à l'extrémité faire quelque chose qui te sort de ta zone de confort. Va prendre des cours de danse. Va prendre des cours de piscine. Va faire des cours de gym. Peu importe, sors de ta zone de confort. Et tout ça va faire en sorte que ça va développer totalement une confiance en toi. Et l'estime va augmenter. Cette estime-là va faire toute une différence. Et ça, c'est magique. Ça, sérieusement, ça marche. À coup sûr. Je l'ai essayé. Je l'ai expérimenté et je peux te rassurer que vraiment, ça marche. J'espère que mon podcast t'a parlé. J'espère que ça t'a apporté à des réflexions, à des compréhensions, à peut-être te faire quelque chose que, ah, ça, ça m'aide, ah oui, c'est vrai, ça. Peu importe. Ou peut-être que ça te fait penser à quelqu'un d'autre. Je t'invite à le partager. Peu importe. J'ai des super de beaux commentaires. J'ai des retours. Je suis vraiment... wow, ça me touche, je dirais pas assez, mais ça me touche tout le temps d'avoir un petit coucou, hey j'ai écouté ton podcast 26 ça m'a fait tellement réaliser des affaires j'aimerais ça te rencontrer pour que tu m'ailles assis ou à ça ça apporte à des belles réflexions à des belles discussions j'adore, vraiment sérieusement, tu sais, le podcast justement, ça en est un enfant, c'est tout j'avais peur de mettre un pied au devant Qu'est-ce qui m'a apporté à aller au-devant ? Bien, justement, j'ai rencontré l'équipe de podcast. Voyons, je ne me rappelle même plus du nom, désolée. Mais c'est Marco Bernard. Et ça m'a apporté justement un mentor. Il connaît ça, lui, le podcast. Ça fait good ! J'ai quelqu'un à côté de moi qui m'accompagne. Toi, qui pourrait t'accompagner pour te sortir de... ton stress, de ta peur, de ton doute, de ton angoisse, de ton anxiété. Tu sais, ça peut être même un moment donné, j'avais une de mes clientes qui était ici en soins linguistiques et elle devait aller parler avec un de ses ex pour régler des choses. Je lui ai dit, dis-moi quand tu vas aller parler à cette personne-là et je vais être en prière avec toi. Je vais t'accompagner. Je vais mettre ma main sur ton épaule pour que tu sens la confiance que « Je suis là avec toi. » Et cette personne-là, ça lui a mis la confiance. Et elle est allée parler à son ex. Et tout s'est bien déroulé parce qu'elle se sentait épaulée. C'est important, ça. Tu sais, l'inconnu fait peur. En faisant de cette façon, en étant aidée par qui que ce soit, de par son expertise, ça fait toute la différence. Sérieusement. Il faut juste trouver la bonne personne. Parce que si, mettons, tu ne prends pas la bonne personne, bien là, ça peut te rendre pire. Ce n'est pas mieux. On ne veut pas rendre pire. On ne veut pas traumatiser. On ne veut pas apporter à ce que ça foire. On veut que ça aille vraiment bien. Fait que je te souhaite une belle continuité. Si tu as envie de partager, crie-moi. Dictaphone-moi. Ça va me faire plaisir. Sur mon Messenger, Karine Turcotte, ou la Nature Coach Holistique, Karine Turcotte sur Facebook. même sur Instagram, ça va me faire énormément plaisir. J'adore ça. Vraiment, vraiment, j'apprécie. Je te souhaite une belle continuité et je te dis à la prochaine !

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Description

Cette semaine, je te partage une prise de conscience essentielle : savoir reconnaître et respecter sa zone de génie. À travers mon expérience de supervision en coaching, j’ai appris à poser mes limites, à écouter mon intuition et à oser dire non quand quelque chose ne résonne pas avec moi.


Sortir de sa zone de confort, ce n’est pas se forcer à tout faire, mais savoir où est notre vraie puissance. Dans cet épisode, je t’explique pourquoi il est essentiel de choisir les bonnes opportunités et de s’entourer des bonnes personnes pour avancer avec confiance.


🌿 Tu ressens des blocages qui t’empêchent d’avancer ? Cet épisode est fait pour toi. ✨


📢 Écoute, partage et viens me dire ce que tu en penses ! 💬

Au plaisir de vous faire découvrir mon monde intérieur, en espérant qu’il vous en inspire.

Avec Amour,
Karine Turcotte


Vous pouvez me suivre: https://www.facebook.com/profile.php?id=61557736540965&mibextid=LQQJ4d


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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur mon podcast « En toute simplicité » . Je suis Karine Turcotte, accompagnatrice holistique, et à chaque semaine, je t'invite à découvrir les histoires que j'ai vécues, à te faire voyager à des réflexions profondes issues de mon parcours. À travers mes expériences terrestres, je te guide pour explorer le monde spirituel et comprendre que, malgré nos chemins uniques, partageons tous des émotions similaires, que tu cherches des réponses, de la motivation ou une nouvelle vision, En Toute Simplicité est là pour t'inspirer et t'accompagner dans ton chemin vers une vie plus épanouie et lumineuse. Bienvenue dans mon monde ! Allô, allô, j'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon podcast En Toute Simplicité. Épisode 46. J'espère que tu vas bien. Aujourd'hui, j'ai envie de te parler de la peur d'avancer. Cette semaine, j'ai finalisé ma formation de coaching holistique et mardi, j'avais... ma supervision, dont je devais faire un coaching à quelqu'un que je ne connaissais pas et qui j'allais être supervisée par les coéquipières que j'avais et ma prof. J'étais dans un état intérieur où est-ce que... Au départ, quand j'ai pris cette formation cet automne, j'avais des peurs, j'avais des craintes, j'avais des doutes, que je me disais, bof, je ne suis pas assez intelligente pour faire cette formation-là. Je ne suis pas assez ci, je ne suis pas assez ça. Pourquoi que je ferais ci ? Pourquoi que je ferais ça ? Ça, c'est le petit démon qui, à l'intérieur de nous, essaye de prendre parole, mais qui... Moi, je lui ai fait face à ce que... petit démon là je me suis dit je m'en fous je le fais paraître il arrivera ce qui arrivera j'ai le ressenti à l'intérieur de moi que je le sens je le dois je me dois d'aller vers ce chemin pour aller chercher cette formation de coaching holistique, mais qui, c'est pas mal plus qu'une formation, c'est un cheminement de croissance personnelle qui m'a apporté vraiment quelque chose de grand à l'intérieur de moi, vraiment. Ça m'a permis vraiment d'évoluer, de grandir, de me déprogrammer d'anciennes croyances limitantes. ça m'a apporté à aller chercher mes besoins. Quels sont mes besoins ? Ça m'a fait travailler sur justement beaucoup, vraiment beaucoup, beaucoup de choses qui, pendant six mois de temps, on était vraiment supervisé de façon à ce qu'on aille en profondeur à l'intérieur de soi et qu'on soit un coach exceptionnel. Et... C'est une vie qui est très, très professionnelle, a été un mentor pour moi, donc je me sentais en confiance et c'est ça que ça me prenait. Parce qu'en me sentant en confiance, c'est pour cette raison que j'ai décidé de, malgré mes peurs, malgré mes doutes, mon stress, mon anxiété, mes craintes de dire que je m'engage à devenir une coach, bien... Ça m'a apporté à avoir confiance parce que je savais que j'allais avoir une personne, un mentor qui allait m'aider à devenir cette personne six mois après qui, je ne m'attendais pas à être autant, je dirais, différente. Ma façon de travailler, ma façon de penser, ma façon de m'exprimer, ma façon de... quand je suis en travail de coaching, c'est de laisser la responsabilité totalement à mon client. C'est d'être un miroir à mon client et ça je trouve ça du génie parce que en fait tellement réaliser des choses et on réalise, même nous, moi je l'ai vécu, je l'ai expérimenté parce qu'on se coachait l'un et l'autre et ça vient décortiquer à l'intérieur de soi, c'est incroyable. Ce que ça a fait, c'est que mardi, j'avais justement ma supervision de mon examen pour passer et lundi, j'étais vraiment dans un état vraiment anxieuse, dans un état où je ne me sentais pas en confiance. Et c'est fou parce que j'ai compris quelque chose. J'avais une personnalité d'homme dont on m'avait apporté pour me préparer. Et ma mentor Sylvie, elle me dit, tu vas recevoir un homme qui a 58 ans, c'est côté professionnel. Et là, mon corps a réagi tout de suite. Il y a eu quelque chose qui a fait comme, elle est un peu là. qui, moi, pour aider cette personne-là à l'apporter professionnellement parlant à ou à ce qu'il veut ? Là, je me suis descendue en doute encore plus parce que là, je me disais « Hey, tu sais, moi, j'ai 43 ans. Oui, j'ai une entreprise en toilettage. Oui, j'ai une entreprise en coaching, mais moi, je suis qui à 43 ans ? » Pas nécessairement l'expérience dont le monsieur monsieur qui a 58 ans, mais à l'intérieur de moi, il y avait quelque chose qui ça me disait que non, je ne peux pas le faire, ce monsieur-là. Je ne me sens pas légitime de le faire. Je ne me sens pas à ma place de le faire parce que, tu sais, dans le coaching, on a toutes nos forces. On a vraiment toutes nos force ce qui veut dire que il y en a des coachs qui vont être en force en relation d'aide il y en a d'autres qui vont être en force par rapport avec une perte de poids il y en a d'autres qui vont avoir la force de professionnellement parlant il y en a d'autres qui ça va être au niveau financier il y a plusieurs coachs mais il faut que tu trouves ta branche il faut que tu trouves toi c'est quoi ton génie c'est quoi c'est quoi qui Pau, c'est quoi qui... C'est quoi le thème pour être capable d'apporter ton client à ce qu'il se sente vraiment en confiance ? Ça, c'est extrêmement important parce que si tu es à te dire que moi, je suis coach en relation d'aide, mais qui est auprès des femmes, puis on me demande de faire un coaching de couple, mais ça ne l'est pas, mon génie, ça. Pourquoi ? j'irais me forcer à peut-être pour faire du cash, peut-être pour essayer une expérience, ou peut-être me prouver à moi-même que je peux, que je suis capable. Non. Ce qui était vraiment important, c'est que... c'est qu'à l'intérieur de soi, il faut que tu trouves la force que tu portes à l'intérieur de toi, ton expertise. Et là, quand à l'intérieur de moi, Sylvie me parlait de cet homme-là, dans mon bas de ventre, ce n'était pas du stress que je ressentais. Ce n'était pas... C'est plus que ça. Il y avait mon corps qui me disait, c'est même prouvé qu'au niveau du cœur, le cœur reconnaît avant la tête. Et c'est ça qui s'est passé avec moi. Je sentais que je devais dire, moi je ne me sens pas dans le génie de faire un coaching à mon petit monsieur. Ça ne fit pas, ça ne marchait pas, il y avait quelque chose qui ne fonctionnait pas. Et à la dernière minute, j'ai dit... J'ai demandé, j'ai osé demander. Je me connais avant la formation de coaching, je m'aurais fermé la boîte et j'aurais pris notre petit monsieur. Mais là, j'ai dit à Sylvie, ma mentor, je me sens pas experte à le coacher professionnellement par là. C'est pas ma notoriété, c'est pas mon expertise. J'ai demandé, c'est-tu possible que... je change parce que il y a de quoi à l'intérieur de moi qui ne s'affite pas. Je ne me sens pas légitime de le coacher. Et là, ça a fait en sorte qu'au début, je me sentais comme un peu coupable. Mais j'ai réalisé qu'en disant ça... Ça mettait en même temps ma niche, mes limites. Une niche, dans le fond, c'est que tu visualises le genre de client, le genre de clientèle que tu veux attirer. Et en faisant... en sorte que je décidais, je mettais un pied au devant pour sortir de ma zone de confort et de demander est-ce que c'est possible que je change celui que je vais coacher parce que je ne me sens pas à l'aise, bien, ça m'a montré que dans la vie, on ne peut pas tout faire. On ne peut pas tout faire. Il y a des psychologues. il y a des travailleurs sociaux, il y a des médecins, il y a des physiothérapeutes, il y a des naturopathes, il y a des herboristes. Il faut savoir mettre son œuvre dans sa force. Tu sais, c'est comme ces exemples-là. tu travailles comme secrétaire et que là, ton boss te demande, « Moi, j'aimerais ça que tu fasses ma comptabilité. » Mais tu n'es pas à l'aise. Et là, par peur de parler ou d'exprimer ou de déplaire, tu vas dire, « OK, mais cette comptabilité-là va te prendre deux semaines. » Et tu vas être encore déçu parce que... que ce n'est pas ton expertise, tes secrétaires. Si, par exemple, tu es professeur, je vais dire de maths, et qu'on te demande, par exemple, de prendre le poste de directeur pendant un mois de temps. Oui, peut-être que ça va te tarder, mais en même temps, il y a une partie de toi qui sort de ta zone parce que tu ne connais pas nécessairement toutes les lois de ce que demande la commission scolaire. Et que là, à l'intérieur... de toi, en tant que prof, on va dire de math, bien, oui, tu vas peut-être te débrouiller, mais ça va prendre double temps. Puis, tu n'aimeras pas ça parce que ce n'est pas ton expertise d'être prof de math, d'être directeur, excuse. Il faut apprendre à mettre ses limites. Il ne faut pas avoir peur de ce que l'autre va passer, ce que l'autre va dire. Si je dis non, ça va. va passer que je suis pas une bonne. Si je dis oui, ben la personne va comme « Hey, c'est cool, t'es vraiment hot, hey merci ! » Fait que là, l'autre personne va se décharger de responsabilité. Mais ça peut apporter encore plus de troubles parce qu'en fait... tu peux encore plus fucker la patente qu'on va dire en bon québécois. Mais c'est pour dire que si, à exemple, moi j'aurais pris la décision de coacher le monsieur, qui c'était d'abord ? côté professionnel et que lui me parle de sa situation professionnelle et que moi je la porte dans un état où est-ce que je le mêle encore plus. Bien, ce n'est pas mieux parce qu'en tant que coach, je me dois justement de démêler. Je me dois d'aider cette personne à ce qu'elle comprenne sa propre situation. Oui, j'irais peut-être plus... pu arriver. Mais, vu que ce n'est pas mon expertise, je ne le sentais pas intérieurement. Ça a fait en sorte que je me suis mis au-devant et dit non, moi je ne veux pas le faire. Et j'étais fière de moi parce que, justement, j'ai pris position de dire non. C'est comme quand quelqu'un me demande, comme cette semaine, il y a une personne qui m'appelle et qui me demande, j'aimerais ça te rencontrer. J'ai tombé cet hiver et j'ai des problèmes de dos. Mais moi, mon expertise, je ne suis pas ostéopathe, je ne suis pas chiro, je ne suis pas physio. Et là, je lui ai dit, bien oui, je pourrais t'aider énergiquement. mais pour l'instant, ce n'est pas moi que tu as besoin. Tu as besoin de voir un ostéopathe, tu as besoin de voir un chiro, tu as besoin de voir un physio, tu as besoin peut-être même d'aller, si ce n'est pas fait, à l'hôpital. Cette personne-là, moi, si je l'aurais prise, c'est plate à dire, mais ça vient nous siphonner énergiquement parce qu'on n'a pas de fun. Il n'y a pas de fun quand on fait quelque chose qui n'est pas de notre... expertise il ya pas de fun du tout parce que à l'intérieur de toi tu essaies de te prouver à toi même mais qu'en fait c'est que tu perds ton temps tu perds ton énergie et là tu dis j'aurais donc dû dire non J'aurais donc dû ne pas prendre cette personne-là ou ce dossier-là ou cette situation-là ou cette responsabilité. C'est pour ça qu'il faut apprendre à laisser tomber ses doutes, laisser tomber son insécurité, laisser tomber ses peurs. Il faut prendre position à l'intérieur de soi parce que sinon, c'est à nous-mêmes qu'on se blesse. C'est à nous-mêmes qu'on se fait du mal. Et ça finit que... énergiquement, vibratoirement, parce que notre taux vibratoire n'est pas dans sa pleine puissance, et mon client le ressent. J'ai eu à vivre ces expériences-là dans le passé en étant à accompagner des clients qui, je ne prenais pas nécessairement le temps de leur demander, quel est ton besoin pour venir me rencontrer ? Et ça faisait en sorte qu'énergiquement parlant... spirituellement, je n'allais pas où est-ce que je voulais aller parce que mon client n'était pas prêt à aller vers là. Fait que moi, j'étais déçue parce que, à quelque part, j'ai perdu mon temps. J'étais déçue parce qu'à quelque part, je n'avais pas été où ce qui est mon génie, où ce qui est mon intelligence, où ce qui est ma force, où ce qui est ma puissance. Et ça, ça fait qu'énergiquement, le client le sent, moi je le sens. et ça fait que c'est une énergie qui est basse en fréquence vibratoire et il n'y a pas de plaisir, il n'y a pas de fun. Et ça, pour moi, je me suis jurée que je ne voulais plus revivre ça. Mais là, d'être devant cette mentor qui, pour moi, professionnellement parlant, elle m'impressionne parce qu'elle est vraiment, pour moi, une femme de haut calibre sur le plan coaching que j'ose. prendre position et lui dire non, je ne veux pas le faire, ça a fait qu'à l'intérieur de moi, il y a eu une certitude qui s'est installée, il y a eu une droiture, il y a eu une confiance. Et elle m'a dit, c'est parfait Karine, on va t'en apporter un autre, ça va être génial. Et même qu'elle m'a dit, on va te faire rencontrer un jeune homme de 25 ans, dont ce jeune homme part dans deux semaines en voyage et il est... hyper stressée. Juste le mot stressée, moi j'étais déjà dans une mer d'infini de possibilités pour me permettre d'être dans mon génie, d'être dans mon intelligence parce que ça, ça, ça me parle de tout ce qui est les émotions, le stress, l'anxiété, l'angoisse, la colère, la frustration, tout ce qui est les émotions. Ça, ça me parle. Ça, ça me fait triper. Là, j'étais à l'intérieur de moi dans un état où est-ce que, oh wow, c'est bien hot. Et je me sentais en confiance. Mon énergie a switché. Intérieurement, ça s'est fait tout seul. C'est fou parce que mon corps était réceptif quand c'était l'homme de 58 ans. Donc, je ne me sentais pas en confiance parce que... Je sentais qu'à l'intérieur de moi, ce n'était pas fait pour moi, parce que je ne suis pas coach professionnel pour l'instant. Ce n'est pas ma force. Peut-être un jour, mais pour l'instant, non. Ma force, c'est les émotions. Ça fait des années et des années qu'émotionnellement, la vie m'enseigne. J'ai fait des chocs émotifs, autant positifs que négatifs. Je me suis retrouvée à vivre des situations émotionnelles de fou. Moi, j'ai toujours su, j'ai toujours entendu de la part d'un mérindien qu'un chaman, avant tout, il faut qu'il vive ses émotions pour être capable d'avoir de la bienveillance auprès de son prochain ou d'avoir de la compassion. C'est comme exemple, un chaman, dans les débuts des années tranquilles, tout ce qui est... les plantes, ils l'ont essayé. Ils l'ont pas shooté à son prochain sans savoir quels étaient les effets. Bien, c'est la même chose pour moi. Moi, je me dois avant tout d'intégrer. Ça a toujours fait partie de ma vie. Si c'est pas intégré à moi-même, si je l'ai pas intégré, si je l'ai pas goûté, si je l'ai pas touché, si je l'ai pas vécu, ça marche pas. Je peux pas. C'est comme exactement les mêmes... les produits naturels que je vends de modère. Je peux pas vendre un produit si je le connais pas. Je peux pas te vendre un produit qui est en lien avec les hormones qu'à moi-même je l'ai pas essayé. Ça marche pas. Tu peux pas. Pour moi, c'est... Ça ne rentre pas et ça, c'est moi ça. Il y a peut-être qu'il y en a d'autres qui sont capables de le faire et c'est correct. Je n'ai pas de jugement là-dessus. C'est vraiment parfait. Mais moi, ça a toujours été « il faut que je l'essaye avant » parce qu'il faut que je sache quel effet ça fait. Émotionnellement, quand on me dit que c'est un jeune homme de 25 ans qui était hyper stressé parce qu'il lui restait deux semaines avant de partir pour la Rive-Zélande pendant un an de temps, moi, j'étais déjà dans mon génie. Je savais déjà. dans ma créativité, où est-ce que j'allais l'apporter pour le questionner. Et là, quand j'ai reçu ce jeune homme, j'étais vraiment... Au début, oui, j'étais stressée parce que le fait qu'on me supervise, le fait que Sylvie m'observe avec cinq autres femmes, je t'avoue que ça... ça m'a stressée. Je t'avoue que ça, c'était comme à l'école. On est mis dans un... Ça, pour moi, c'est quelque chose qu'il faut que je règle, dans le sens que... Quand je suis évaluée, ça m'apporte des traumas du passé. Mais j'ai commencé à y travailler parce que, justement, avant que je reçoive mon coaching, j'ai commencé à faire du EFT. Et je me faisais de l'inversion psychologique pour être capable, justement, de ne pas me laisser impressionner par... Cette évaluation-là. Parce que j'avais confiance en moi, j'avais confiance en ce que j'avais étudié depuis six mois, j'avais confiance en mon expertise, j'avais confiance en ce que j'avais appris. Et quand j'ai rentré en contact avec le jeune homme, je l'ai apporté dans un état où est-ce que... Je lui posais des questions pour qu'il se mette à analyser, pour qu'il analyse et qu'il observe à l'intérieur de lui comment il se sent, pour que, comment il se sent, qu'il regarde vraiment en lui, c'est quoi les outils qu'il peut aller chercher pour surpasser son stress. Et ça, ça a fait que j'étais vraiment fière de moi parce que je sais que j'ai fait vivre un apex. Un apex, dans le fond, c'est vraiment une inversion psychologique. C'est vraiment un saut quantique. C'est un état d'être où est-ce que tu fais, « Ok, là, je comprends. Ok, oui, c'est ça. » Fait que tu laisses de l'espace à ton client, tu laisses du silence. Pour être capable à ce que mon client soit dans un état de réflexion et que cette réflexion-là soit positive. Parce que c'est lui seul qui avait la réponse à ces questions. Moi, je suis un miroir. Et en étant un miroir, ça permet justement à ce que cette personne-là réalise que... Pourquoi je mets tant d'importance que ça au stress ? Qu'est-ce qui me stresse dans la vie ? Et là, je lui ai dit, il est 13-2 semaines. Si, mettons, on faisait une échelle qui, plus qu'on monte, plus que tu te rapproches vers ton... ton voyage, mais qui, à chaque fois, à chaque jour, tu fais un petit pot, une bouchée, de dire, OK, ça me reste, à la fin de ça, je bosse ça. On passe une autre journée, je bosse ça. Tu sais, pour qu'à la fin... que tout soit fait dans son cas à lui. Il voulait en plus voir des amis avant de partir. Il y avait une surcharge de préparation, il y avait une surcharge d'amitié à rencontrer avant de partir pour un an. Et juste le fait de lui donner des outils, juste le fait de se mettre au devant et qu'il laisse sa peur de côté pour y faire face. Parce que c'est de sortir quand même de sa peur. sa zone de confort. Parce que quand on fait un pas, on sort de sa zone de confort. Quand on fait deux pas, on vient carrément de sortir de sa zone de confort pour rentrer dans le monde de l'inconnu. Et c'est dans l'inconnu que ça fait peur. Parce que si on est moindrement insécure et qu'on ne sait pas ce qui va se passer. au troisième pas, là on peut être dans la peur, là on peut être dans « qu'est-ce qui va m'arriver ? » Parce que si on est programmé que notre mère nous a tout le temps protégés, que notre mère nous a tout le temps surprotégés, et qu'on essaye de sortir de sa zone de protection, bien ça demande beaucoup de courage et d'avoir quelqu'un. qui nous tient par la main pour aller de l'avant, ça, ça aide extrêmement. Ça aide parce que ça permet à ce que la personne puisse faire les pas et de se diriger vers l'inconnu, mais que cet inconnu-là apporte à des belles opportunités, apporte à des beaux trips, à des expériences qui nous font grandir. qui nous font fructifier. Et c'est ce qui m'est arrivé. Quand j'ai commencé ma formation coaching, ça a le fait que, pour moi, c'était un nouveau défi. Parce que je devais sortir de ma zone de confort totale. Je ne connaissais pas nécessairement ça, le coaching. Il y a toutes sortes de coaching, mais un vrai coach ne te dit pas quoi folle. Un vrai coach te guide à ce que tu trouves tes propres réflexions. à ce que tu trouves toi-même, tes propres responsabilités. Et ça, ça met en confiance, ça met en responsabilité ta propre vie. Et ça, c'est génial. Il n'y a rien de plus beau que de mettre son client dans sa propre responsabilité, mais en étant à ses côtés. Et c'est comme ça que moi, je me suis sentie quand... Je me suis retrouvée à côté de Sylvie. Je savais que je pouvais lui faire confiance. Elle, en tant que mentor, je le savais que je pouvais avoir confiance en cette femme parce que je me sentais en confiance. Je me sentais prise par la main et que je pouvais, en tant que femme, savoir que cette femme-là était là pour m'aider, qu'elle était là pour me guider. Mais sans prendre mes responsabilités. Et quand j'ai fait mardi ma sphérision, c'était le 11 de mars. Et je le savais qu'il y avait quelque chose le 11 de mars. J'écrivais sur mon cahier le 11 de mars. Mais j'étais comme, voyons, c'est quoi qu'il y a le 11 de mars ? Il y a quelque chose. Je n'étais pas capable de trouver. Quand je suis partie dans ma tiny house pour aller faire mon coaching en supervision, j'avais un paquet de cartes où est-ce que je m'en ai sorti une. Et sur cette carte, il y avait un papillon bleu. Et ce papillon bleu, c'était écrit « ancêtre » . Et ça disait que... Nos ancêtres, ils sont présents auprès de nous, à nous soutenir, à nous supporter. Peu importe ce qu'on fait ici terrestrement, c'était vraiment un beau texte, mais moi, dans ma tête, j'allume. On est le 11 mars et c'est la fête à ma grand-maman, ma grand-maman maternelle. Et là, à l'intérieur de moi... Il y a eu une confiance qui s'est grandie, mais encore tellement plus parce que je le savais que j'étais supportée par l'énergie de ma grand-mère. Et je le sais qu'en étant à ce que ce soit la journée de sa fête, j'avais une foi que j'allais passer mon examen au la même. Ça, ça a fait en sorte qu'il y a eu une harmonisation qui s'est créée à l'intérieur de moi et tous les doutes, la peur, l'insécurité, tout a tombé parce que je me souvenais dans le passé tout le chemin que j'ai marché, donc j'en étais fière. Et c'est là que ma fierté a pris la place pour effacer la peur, pour effacer le doute, pour effacer les craintes. J'ai inversé psychologiquement mon petit démon intérieur qui me mettait dans « Ouais, mais là, tu seras pas capable de faire ci. Ouais, mais là, tu seras pas capable de faire ça. T'aurais pas dû changer. Peut-être que tu vas pas nier quelqu'un, une personnalité qui va être peut-être pire que l'homme professionnellement parlant. » tout ce qui était autour de moi qui m'entourait, en ayant tout ce qui était autour de moi et qui m'enveloppait. Et je savais que la base de ce coaching-là, c'était l'amour. Et c'est ce qui a fait que j'ai coaché le jeune homme pour l'apporter dans un état où il allait être totalement en confiance avec lui. Et Sylvie, ma coach, m'a fait réaliser que justement... Ce que j'avais fait, c'était un coaching vraiment d'exception. Elle m'a écrit que j'étais ultra humaine, que j'étais ultra sensible, ultra émotionnelle, ultra spirituelle. Ça, ça m'a vraiment touchée vraiment beaucoup parce que ça me montrait que j'étais exactement à la bonne place émotionnellement parlant parce que ça, c'est ma force, les émotions. J'adore travailler avec tout ce qui est les émotions qui sont rattachées au niveau du corps humain, qui sont rattachées au niveau de l'âme, qui sont rattachées au niveau spirituel, psychologique. J'adore ça. Et ce qui est encore plus hot, vraiment, c'est que j'avais, en finissant ma formation de coaching holistique, j'avais en tête... d'aller me chercher une formation, donc ça allait renforcer mon travail émotionnel pour accompagner mes clients. Et j'ai fait une demande la semaine d'avant pour, ça je le garde en secret, j'ai fait une demande parce que c'est en lien avec l'école, et la journée même que j'ai eu ma supervision, que j'ai passé mon examen, j'ai reçu, peut-être deux heures après, un email qui me disait que j'étais acceptée cet automne à une école dont ça fait cinq ans que je le visualise. Mais alors, je me disais tout le temps, il faut que j'aille chercher ma certification de coaching avant tout, pour être crédible, parce que moi, professionnellement parlant, Pour moi, c'est d'une importance pour être capable d'aller vers encore plus loin. Tout ce qui est au niveau centre de femmes, tout ce qui est peut-être jusqu'à même aller jusqu'au centre des femmes battues. J'aimerais vraiment ça aller là, d'aller peu importe dans des organismes pour aider les personnes en difficulté émotionnelle. Parce que je sais que ces personnes-là, ils ont... des difficultés à parler, à exprimer, à verbaliser. Et ça, moi, là, je me souviens quand j'étais petite, quand j'avais à poser mille et une questions, on m'a là rapprochée, ça. Arrête de poser des questions, Karine. Arrête de poser des questions, Karine. Bien, aujourd'hui, c'est qui qui pose des questions encore ? Bien, c'est moi. Parce que je le sais que... ma force, c'est de poser des questions parce qu'en posant des questions, ça apporte à mon client à ce que c'est vrai, je n'avais pas pensé à ça moi. C'est vrai, je n'avais pas vu ça de même. Et ça, ça fait que cet automne, je vais commencer une formation qui va m'apporter à un diplôme dont je vais être capable d'aller plus au niveau gouvernemental. Ça, vraiment, je veux. Ça fait des années-lumière que je dis, moi, un jour, je vais travailler dans le monde, des organismes gouvernementaux, peu importe, parce qu'il y a un besoin qui est là. Émotionnellement, on le voit, on le sent, on le ressent que les gens ne vont pas tout bien, émotionnellement. Et de toute façon... Les émotions, on va en avoir toujours. On va toujours avoir des émotions. Tu travailles sur tes peurs. Ça se peut que tu n'aies plus peur. Parle-toi de l'eau. Mais ça se peut que deux semaines après, que tu aies la chienne de ta vie et que tu vois un chien qui court après et qui te mord une fesse. Je dis ça de même, mais c'est pour te dire que l'émotion, il va toujours m'avoir. Et mon but, justement, c'est d'apporter les gens à ce qu'ils soient dans un état émotionnel de maîtrise. D'être capable de dire, moi... Je suis maître de ma vie et je ne me laisse pas accaparer par les émotions négatives qui m'apportent dans une basse fréquence vibratoire, qui m'apportent dans un état d'être où est-ce que je ne suis pas bien. Ça, je ne veux pas ça. Parce que justement, on s'enfade. On n'est comme pas d'énergie. On n'a pas de vie. On ne se sent pas bien. Fait que moi, je veux être dans un état où est-ce que... Je veux être une mentor. Je veux être cette mentor de femme qui va travailler sur les émotions. En allant chercher des outils, mais des outils puissants. Ils mettent en lumière directement mon client. Ça va être à suivre, ça va commencer ma formation cet automne, j'en ai pour un an. Et je le sais que cette formation-là va extrêmement... m'aider à moi aussi. Parce que, comme je te dis, aujourd'hui, ça va bien, mais ça se peut que demain, émotionnellement, je vive une émotion et que j'ai de la difficulté à vivre cette émotion-là, parce que là, remonter à la surface un trauma, un choc, une blessure, une trahison, peu importe. Fait que mon but, c'est d'être vraiment dans cette notoriété-là pour aider, tu sais, même les personnes qui ont des problèmes de santé. Tu sais. Ceux qui sont dans le cancer, ceux qui sont malades, à quelque part, ceux qui sont malades, c'est qu'émotionnellement, ils ont vécu des émotions dont ça a été refoulé sur le plan de l'âme et l'âme a été directement nature dans l'esprit, dans l'esprit, dans le corps, le corps et ainsi de suite. C'est pour ça que moi, je me vois vraiment être capable de... de aider mon prochain à ce qu'il puisse être le maître de ses émotions et c'est là que je réalise en étant à faire le métier de toilettage j'ai appris à aiguiser auprès de l'animal parce que l'animal n'exprime pas ses émotions on le ressent fait que moi quand j'étais devant mon petit client en coaching lors de ma supervision ben je le sentais d'où fallait que j'aille Puis même à la fin, quand les femmes m'ont parlé, qui m'ont dit, moi j'aurais été, quand ils ont dit, j'ai peur d'aller vers les gens, bien moi je ne le sentais pas. Ce n'est pas là qu'il fallait aller. En allant, j'ai peur d'aller auprès des gens, c'est qu'on était déjà dans le voyage. Et on devait commencer à la base, deux semaines avant qu'ils partent en voyage. Quand je vais travailler sur lui pendant ces deux semaines, Avant de partir pour son voyage, il va développer une confiance. Il va développer une fierté. Et tout ça peut faire la différence pour après, quand il va être dans son voyage. Parce qu'il va être tellement fier de lui. Il va être tellement dans une haute fréquence vibratoire que ça va faire en sorte qu'il va être porté à aller vers les gens. Et sa fréquence vibratoire, dont elle va être élevée, il va attirer des belles personnes. Fait que si j'avais été directement dans son voyage de la peur d'aller vers les autres, Je sautais une étape. Puis c'était l'étape la plus importante, c'était de se préparer avant de partir. Parce que ça, ça fait toute une différence. Parce que c'est exemple. Toi, mettons, t'as peur d'évoluer dans ton métier, t'as pas d'estime de toi. Mais moi, je te dirais, fais quelque chose que tu sors quand même de ta zone de confort. Va faire du cheval. T'as jamais fait de cheval, fais du cheval. Je te jure, je te... promets qu'en faisant du cheval, tu vas sortir de ta zone de confort et quand tu vas aller travailler, ça va être du génie parce que ta confiance, tu vas l'avoir développée à l'intérieur de toi et là, tu vas prendre les reins de ta vie et quand tu vas commencer à travailler sur quelque chose que tu ne connais pas, tu vas être tellement confiance à l'intérieur de toi que tout va se faire tout seul. Ça, c'est ta feuille. Si mettons, tu as quelque chose, tu n'as pas confiance en toi, Va à l'extrémité faire quelque chose qui te sort de ta zone de confort. Va prendre des cours de danse. Va prendre des cours de piscine. Va faire des cours de gym. Peu importe, sors de ta zone de confort. Et tout ça va faire en sorte que ça va développer totalement une confiance en toi. Et l'estime va augmenter. Cette estime-là va faire toute une différence. Et ça, c'est magique. Ça, sérieusement, ça marche. À coup sûr. Je l'ai essayé. Je l'ai expérimenté et je peux te rassurer que vraiment, ça marche. J'espère que mon podcast t'a parlé. J'espère que ça t'a apporté à des réflexions, à des compréhensions, à peut-être te faire quelque chose que, ah, ça, ça m'aide, ah oui, c'est vrai, ça. Peu importe. Ou peut-être que ça te fait penser à quelqu'un d'autre. Je t'invite à le partager. Peu importe. J'ai des super de beaux commentaires. J'ai des retours. Je suis vraiment... wow, ça me touche, je dirais pas assez, mais ça me touche tout le temps d'avoir un petit coucou, hey j'ai écouté ton podcast 26 ça m'a fait tellement réaliser des affaires j'aimerais ça te rencontrer pour que tu m'ailles assis ou à ça ça apporte à des belles réflexions à des belles discussions j'adore, vraiment sérieusement, tu sais, le podcast justement, ça en est un enfant, c'est tout j'avais peur de mettre un pied au devant Qu'est-ce qui m'a apporté à aller au-devant ? Bien, justement, j'ai rencontré l'équipe de podcast. Voyons, je ne me rappelle même plus du nom, désolée. Mais c'est Marco Bernard. Et ça m'a apporté justement un mentor. Il connaît ça, lui, le podcast. Ça fait good ! J'ai quelqu'un à côté de moi qui m'accompagne. Toi, qui pourrait t'accompagner pour te sortir de... ton stress, de ta peur, de ton doute, de ton angoisse, de ton anxiété. Tu sais, ça peut être même un moment donné, j'avais une de mes clientes qui était ici en soins linguistiques et elle devait aller parler avec un de ses ex pour régler des choses. Je lui ai dit, dis-moi quand tu vas aller parler à cette personne-là et je vais être en prière avec toi. Je vais t'accompagner. Je vais mettre ma main sur ton épaule pour que tu sens la confiance que « Je suis là avec toi. » Et cette personne-là, ça lui a mis la confiance. Et elle est allée parler à son ex. Et tout s'est bien déroulé parce qu'elle se sentait épaulée. C'est important, ça. Tu sais, l'inconnu fait peur. En faisant de cette façon, en étant aidée par qui que ce soit, de par son expertise, ça fait toute la différence. Sérieusement. Il faut juste trouver la bonne personne. Parce que si, mettons, tu ne prends pas la bonne personne, bien là, ça peut te rendre pire. Ce n'est pas mieux. On ne veut pas rendre pire. On ne veut pas traumatiser. On ne veut pas apporter à ce que ça foire. On veut que ça aille vraiment bien. Fait que je te souhaite une belle continuité. Si tu as envie de partager, crie-moi. Dictaphone-moi. Ça va me faire plaisir. Sur mon Messenger, Karine Turcotte, ou la Nature Coach Holistique, Karine Turcotte sur Facebook. même sur Instagram, ça va me faire énormément plaisir. J'adore ça. Vraiment, vraiment, j'apprécie. Je te souhaite une belle continuité et je te dis à la prochaine !

Description

Cette semaine, je te partage une prise de conscience essentielle : savoir reconnaître et respecter sa zone de génie. À travers mon expérience de supervision en coaching, j’ai appris à poser mes limites, à écouter mon intuition et à oser dire non quand quelque chose ne résonne pas avec moi.


Sortir de sa zone de confort, ce n’est pas se forcer à tout faire, mais savoir où est notre vraie puissance. Dans cet épisode, je t’explique pourquoi il est essentiel de choisir les bonnes opportunités et de s’entourer des bonnes personnes pour avancer avec confiance.


🌿 Tu ressens des blocages qui t’empêchent d’avancer ? Cet épisode est fait pour toi. ✨


📢 Écoute, partage et viens me dire ce que tu en penses ! 💬

Au plaisir de vous faire découvrir mon monde intérieur, en espérant qu’il vous en inspire.

Avec Amour,
Karine Turcotte


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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur mon podcast « En toute simplicité » . Je suis Karine Turcotte, accompagnatrice holistique, et à chaque semaine, je t'invite à découvrir les histoires que j'ai vécues, à te faire voyager à des réflexions profondes issues de mon parcours. À travers mes expériences terrestres, je te guide pour explorer le monde spirituel et comprendre que, malgré nos chemins uniques, partageons tous des émotions similaires, que tu cherches des réponses, de la motivation ou une nouvelle vision, En Toute Simplicité est là pour t'inspirer et t'accompagner dans ton chemin vers une vie plus épanouie et lumineuse. Bienvenue dans mon monde ! Allô, allô, j'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon podcast En Toute Simplicité. Épisode 46. J'espère que tu vas bien. Aujourd'hui, j'ai envie de te parler de la peur d'avancer. Cette semaine, j'ai finalisé ma formation de coaching holistique et mardi, j'avais... ma supervision, dont je devais faire un coaching à quelqu'un que je ne connaissais pas et qui j'allais être supervisée par les coéquipières que j'avais et ma prof. J'étais dans un état intérieur où est-ce que... Au départ, quand j'ai pris cette formation cet automne, j'avais des peurs, j'avais des craintes, j'avais des doutes, que je me disais, bof, je ne suis pas assez intelligente pour faire cette formation-là. Je ne suis pas assez ci, je ne suis pas assez ça. Pourquoi que je ferais ci ? Pourquoi que je ferais ça ? Ça, c'est le petit démon qui, à l'intérieur de nous, essaye de prendre parole, mais qui... Moi, je lui ai fait face à ce que... petit démon là je me suis dit je m'en fous je le fais paraître il arrivera ce qui arrivera j'ai le ressenti à l'intérieur de moi que je le sens je le dois je me dois d'aller vers ce chemin pour aller chercher cette formation de coaching holistique, mais qui, c'est pas mal plus qu'une formation, c'est un cheminement de croissance personnelle qui m'a apporté vraiment quelque chose de grand à l'intérieur de moi, vraiment. Ça m'a permis vraiment d'évoluer, de grandir, de me déprogrammer d'anciennes croyances limitantes. ça m'a apporté à aller chercher mes besoins. Quels sont mes besoins ? Ça m'a fait travailler sur justement beaucoup, vraiment beaucoup, beaucoup de choses qui, pendant six mois de temps, on était vraiment supervisé de façon à ce qu'on aille en profondeur à l'intérieur de soi et qu'on soit un coach exceptionnel. Et... C'est une vie qui est très, très professionnelle, a été un mentor pour moi, donc je me sentais en confiance et c'est ça que ça me prenait. Parce qu'en me sentant en confiance, c'est pour cette raison que j'ai décidé de, malgré mes peurs, malgré mes doutes, mon stress, mon anxiété, mes craintes de dire que je m'engage à devenir une coach, bien... Ça m'a apporté à avoir confiance parce que je savais que j'allais avoir une personne, un mentor qui allait m'aider à devenir cette personne six mois après qui, je ne m'attendais pas à être autant, je dirais, différente. Ma façon de travailler, ma façon de penser, ma façon de m'exprimer, ma façon de... quand je suis en travail de coaching, c'est de laisser la responsabilité totalement à mon client. C'est d'être un miroir à mon client et ça je trouve ça du génie parce que en fait tellement réaliser des choses et on réalise, même nous, moi je l'ai vécu, je l'ai expérimenté parce qu'on se coachait l'un et l'autre et ça vient décortiquer à l'intérieur de soi, c'est incroyable. Ce que ça a fait, c'est que mardi, j'avais justement ma supervision de mon examen pour passer et lundi, j'étais vraiment dans un état vraiment anxieuse, dans un état où je ne me sentais pas en confiance. Et c'est fou parce que j'ai compris quelque chose. J'avais une personnalité d'homme dont on m'avait apporté pour me préparer. Et ma mentor Sylvie, elle me dit, tu vas recevoir un homme qui a 58 ans, c'est côté professionnel. Et là, mon corps a réagi tout de suite. Il y a eu quelque chose qui a fait comme, elle est un peu là. qui, moi, pour aider cette personne-là à l'apporter professionnellement parlant à ou à ce qu'il veut ? Là, je me suis descendue en doute encore plus parce que là, je me disais « Hey, tu sais, moi, j'ai 43 ans. Oui, j'ai une entreprise en toilettage. Oui, j'ai une entreprise en coaching, mais moi, je suis qui à 43 ans ? » Pas nécessairement l'expérience dont le monsieur monsieur qui a 58 ans, mais à l'intérieur de moi, il y avait quelque chose qui ça me disait que non, je ne peux pas le faire, ce monsieur-là. Je ne me sens pas légitime de le faire. Je ne me sens pas à ma place de le faire parce que, tu sais, dans le coaching, on a toutes nos forces. On a vraiment toutes nos force ce qui veut dire que il y en a des coachs qui vont être en force en relation d'aide il y en a d'autres qui vont être en force par rapport avec une perte de poids il y en a d'autres qui vont avoir la force de professionnellement parlant il y en a d'autres qui ça va être au niveau financier il y a plusieurs coachs mais il faut que tu trouves ta branche il faut que tu trouves toi c'est quoi ton génie c'est quoi c'est quoi qui Pau, c'est quoi qui... C'est quoi le thème pour être capable d'apporter ton client à ce qu'il se sente vraiment en confiance ? Ça, c'est extrêmement important parce que si tu es à te dire que moi, je suis coach en relation d'aide, mais qui est auprès des femmes, puis on me demande de faire un coaching de couple, mais ça ne l'est pas, mon génie, ça. Pourquoi ? j'irais me forcer à peut-être pour faire du cash, peut-être pour essayer une expérience, ou peut-être me prouver à moi-même que je peux, que je suis capable. Non. Ce qui était vraiment important, c'est que... c'est qu'à l'intérieur de soi, il faut que tu trouves la force que tu portes à l'intérieur de toi, ton expertise. Et là, quand à l'intérieur de moi, Sylvie me parlait de cet homme-là, dans mon bas de ventre, ce n'était pas du stress que je ressentais. Ce n'était pas... C'est plus que ça. Il y avait mon corps qui me disait, c'est même prouvé qu'au niveau du cœur, le cœur reconnaît avant la tête. Et c'est ça qui s'est passé avec moi. Je sentais que je devais dire, moi je ne me sens pas dans le génie de faire un coaching à mon petit monsieur. Ça ne fit pas, ça ne marchait pas, il y avait quelque chose qui ne fonctionnait pas. Et à la dernière minute, j'ai dit... J'ai demandé, j'ai osé demander. Je me connais avant la formation de coaching, je m'aurais fermé la boîte et j'aurais pris notre petit monsieur. Mais là, j'ai dit à Sylvie, ma mentor, je me sens pas experte à le coacher professionnellement par là. C'est pas ma notoriété, c'est pas mon expertise. J'ai demandé, c'est-tu possible que... je change parce que il y a de quoi à l'intérieur de moi qui ne s'affite pas. Je ne me sens pas légitime de le coacher. Et là, ça a fait en sorte qu'au début, je me sentais comme un peu coupable. Mais j'ai réalisé qu'en disant ça... Ça mettait en même temps ma niche, mes limites. Une niche, dans le fond, c'est que tu visualises le genre de client, le genre de clientèle que tu veux attirer. Et en faisant... en sorte que je décidais, je mettais un pied au devant pour sortir de ma zone de confort et de demander est-ce que c'est possible que je change celui que je vais coacher parce que je ne me sens pas à l'aise, bien, ça m'a montré que dans la vie, on ne peut pas tout faire. On ne peut pas tout faire. Il y a des psychologues. il y a des travailleurs sociaux, il y a des médecins, il y a des physiothérapeutes, il y a des naturopathes, il y a des herboristes. Il faut savoir mettre son œuvre dans sa force. Tu sais, c'est comme ces exemples-là. tu travailles comme secrétaire et que là, ton boss te demande, « Moi, j'aimerais ça que tu fasses ma comptabilité. » Mais tu n'es pas à l'aise. Et là, par peur de parler ou d'exprimer ou de déplaire, tu vas dire, « OK, mais cette comptabilité-là va te prendre deux semaines. » Et tu vas être encore déçu parce que... que ce n'est pas ton expertise, tes secrétaires. Si, par exemple, tu es professeur, je vais dire de maths, et qu'on te demande, par exemple, de prendre le poste de directeur pendant un mois de temps. Oui, peut-être que ça va te tarder, mais en même temps, il y a une partie de toi qui sort de ta zone parce que tu ne connais pas nécessairement toutes les lois de ce que demande la commission scolaire. Et que là, à l'intérieur... de toi, en tant que prof, on va dire de math, bien, oui, tu vas peut-être te débrouiller, mais ça va prendre double temps. Puis, tu n'aimeras pas ça parce que ce n'est pas ton expertise d'être prof de math, d'être directeur, excuse. Il faut apprendre à mettre ses limites. Il ne faut pas avoir peur de ce que l'autre va passer, ce que l'autre va dire. Si je dis non, ça va. va passer que je suis pas une bonne. Si je dis oui, ben la personne va comme « Hey, c'est cool, t'es vraiment hot, hey merci ! » Fait que là, l'autre personne va se décharger de responsabilité. Mais ça peut apporter encore plus de troubles parce qu'en fait... tu peux encore plus fucker la patente qu'on va dire en bon québécois. Mais c'est pour dire que si, à exemple, moi j'aurais pris la décision de coacher le monsieur, qui c'était d'abord ? côté professionnel et que lui me parle de sa situation professionnelle et que moi je la porte dans un état où est-ce que je le mêle encore plus. Bien, ce n'est pas mieux parce qu'en tant que coach, je me dois justement de démêler. Je me dois d'aider cette personne à ce qu'elle comprenne sa propre situation. Oui, j'irais peut-être plus... pu arriver. Mais, vu que ce n'est pas mon expertise, je ne le sentais pas intérieurement. Ça a fait en sorte que je me suis mis au-devant et dit non, moi je ne veux pas le faire. Et j'étais fière de moi parce que, justement, j'ai pris position de dire non. C'est comme quand quelqu'un me demande, comme cette semaine, il y a une personne qui m'appelle et qui me demande, j'aimerais ça te rencontrer. J'ai tombé cet hiver et j'ai des problèmes de dos. Mais moi, mon expertise, je ne suis pas ostéopathe, je ne suis pas chiro, je ne suis pas physio. Et là, je lui ai dit, bien oui, je pourrais t'aider énergiquement. mais pour l'instant, ce n'est pas moi que tu as besoin. Tu as besoin de voir un ostéopathe, tu as besoin de voir un chiro, tu as besoin de voir un physio, tu as besoin peut-être même d'aller, si ce n'est pas fait, à l'hôpital. Cette personne-là, moi, si je l'aurais prise, c'est plate à dire, mais ça vient nous siphonner énergiquement parce qu'on n'a pas de fun. Il n'y a pas de fun quand on fait quelque chose qui n'est pas de notre... expertise il ya pas de fun du tout parce que à l'intérieur de toi tu essaies de te prouver à toi même mais qu'en fait c'est que tu perds ton temps tu perds ton énergie et là tu dis j'aurais donc dû dire non J'aurais donc dû ne pas prendre cette personne-là ou ce dossier-là ou cette situation-là ou cette responsabilité. C'est pour ça qu'il faut apprendre à laisser tomber ses doutes, laisser tomber son insécurité, laisser tomber ses peurs. Il faut prendre position à l'intérieur de soi parce que sinon, c'est à nous-mêmes qu'on se blesse. C'est à nous-mêmes qu'on se fait du mal. Et ça finit que... énergiquement, vibratoirement, parce que notre taux vibratoire n'est pas dans sa pleine puissance, et mon client le ressent. J'ai eu à vivre ces expériences-là dans le passé en étant à accompagner des clients qui, je ne prenais pas nécessairement le temps de leur demander, quel est ton besoin pour venir me rencontrer ? Et ça faisait en sorte qu'énergiquement parlant... spirituellement, je n'allais pas où est-ce que je voulais aller parce que mon client n'était pas prêt à aller vers là. Fait que moi, j'étais déçue parce que, à quelque part, j'ai perdu mon temps. J'étais déçue parce qu'à quelque part, je n'avais pas été où ce qui est mon génie, où ce qui est mon intelligence, où ce qui est ma force, où ce qui est ma puissance. Et ça, ça fait qu'énergiquement, le client le sent, moi je le sens. et ça fait que c'est une énergie qui est basse en fréquence vibratoire et il n'y a pas de plaisir, il n'y a pas de fun. Et ça, pour moi, je me suis jurée que je ne voulais plus revivre ça. Mais là, d'être devant cette mentor qui, pour moi, professionnellement parlant, elle m'impressionne parce qu'elle est vraiment, pour moi, une femme de haut calibre sur le plan coaching que j'ose. prendre position et lui dire non, je ne veux pas le faire, ça a fait qu'à l'intérieur de moi, il y a eu une certitude qui s'est installée, il y a eu une droiture, il y a eu une confiance. Et elle m'a dit, c'est parfait Karine, on va t'en apporter un autre, ça va être génial. Et même qu'elle m'a dit, on va te faire rencontrer un jeune homme de 25 ans, dont ce jeune homme part dans deux semaines en voyage et il est... hyper stressée. Juste le mot stressée, moi j'étais déjà dans une mer d'infini de possibilités pour me permettre d'être dans mon génie, d'être dans mon intelligence parce que ça, ça, ça me parle de tout ce qui est les émotions, le stress, l'anxiété, l'angoisse, la colère, la frustration, tout ce qui est les émotions. Ça, ça me parle. Ça, ça me fait triper. Là, j'étais à l'intérieur de moi dans un état où est-ce que, oh wow, c'est bien hot. Et je me sentais en confiance. Mon énergie a switché. Intérieurement, ça s'est fait tout seul. C'est fou parce que mon corps était réceptif quand c'était l'homme de 58 ans. Donc, je ne me sentais pas en confiance parce que... Je sentais qu'à l'intérieur de moi, ce n'était pas fait pour moi, parce que je ne suis pas coach professionnel pour l'instant. Ce n'est pas ma force. Peut-être un jour, mais pour l'instant, non. Ma force, c'est les émotions. Ça fait des années et des années qu'émotionnellement, la vie m'enseigne. J'ai fait des chocs émotifs, autant positifs que négatifs. Je me suis retrouvée à vivre des situations émotionnelles de fou. Moi, j'ai toujours su, j'ai toujours entendu de la part d'un mérindien qu'un chaman, avant tout, il faut qu'il vive ses émotions pour être capable d'avoir de la bienveillance auprès de son prochain ou d'avoir de la compassion. C'est comme exemple, un chaman, dans les débuts des années tranquilles, tout ce qui est... les plantes, ils l'ont essayé. Ils l'ont pas shooté à son prochain sans savoir quels étaient les effets. Bien, c'est la même chose pour moi. Moi, je me dois avant tout d'intégrer. Ça a toujours fait partie de ma vie. Si c'est pas intégré à moi-même, si je l'ai pas intégré, si je l'ai pas goûté, si je l'ai pas touché, si je l'ai pas vécu, ça marche pas. Je peux pas. C'est comme exactement les mêmes... les produits naturels que je vends de modère. Je peux pas vendre un produit si je le connais pas. Je peux pas te vendre un produit qui est en lien avec les hormones qu'à moi-même je l'ai pas essayé. Ça marche pas. Tu peux pas. Pour moi, c'est... Ça ne rentre pas et ça, c'est moi ça. Il y a peut-être qu'il y en a d'autres qui sont capables de le faire et c'est correct. Je n'ai pas de jugement là-dessus. C'est vraiment parfait. Mais moi, ça a toujours été « il faut que je l'essaye avant » parce qu'il faut que je sache quel effet ça fait. Émotionnellement, quand on me dit que c'est un jeune homme de 25 ans qui était hyper stressé parce qu'il lui restait deux semaines avant de partir pour la Rive-Zélande pendant un an de temps, moi, j'étais déjà dans mon génie. Je savais déjà. dans ma créativité, où est-ce que j'allais l'apporter pour le questionner. Et là, quand j'ai reçu ce jeune homme, j'étais vraiment... Au début, oui, j'étais stressée parce que le fait qu'on me supervise, le fait que Sylvie m'observe avec cinq autres femmes, je t'avoue que ça... ça m'a stressée. Je t'avoue que ça, c'était comme à l'école. On est mis dans un... Ça, pour moi, c'est quelque chose qu'il faut que je règle, dans le sens que... Quand je suis évaluée, ça m'apporte des traumas du passé. Mais j'ai commencé à y travailler parce que, justement, avant que je reçoive mon coaching, j'ai commencé à faire du EFT. Et je me faisais de l'inversion psychologique pour être capable, justement, de ne pas me laisser impressionner par... Cette évaluation-là. Parce que j'avais confiance en moi, j'avais confiance en ce que j'avais étudié depuis six mois, j'avais confiance en mon expertise, j'avais confiance en ce que j'avais appris. Et quand j'ai rentré en contact avec le jeune homme, je l'ai apporté dans un état où est-ce que... Je lui posais des questions pour qu'il se mette à analyser, pour qu'il analyse et qu'il observe à l'intérieur de lui comment il se sent, pour que, comment il se sent, qu'il regarde vraiment en lui, c'est quoi les outils qu'il peut aller chercher pour surpasser son stress. Et ça, ça a fait que j'étais vraiment fière de moi parce que je sais que j'ai fait vivre un apex. Un apex, dans le fond, c'est vraiment une inversion psychologique. C'est vraiment un saut quantique. C'est un état d'être où est-ce que tu fais, « Ok, là, je comprends. Ok, oui, c'est ça. » Fait que tu laisses de l'espace à ton client, tu laisses du silence. Pour être capable à ce que mon client soit dans un état de réflexion et que cette réflexion-là soit positive. Parce que c'est lui seul qui avait la réponse à ces questions. Moi, je suis un miroir. Et en étant un miroir, ça permet justement à ce que cette personne-là réalise que... Pourquoi je mets tant d'importance que ça au stress ? Qu'est-ce qui me stresse dans la vie ? Et là, je lui ai dit, il est 13-2 semaines. Si, mettons, on faisait une échelle qui, plus qu'on monte, plus que tu te rapproches vers ton... ton voyage, mais qui, à chaque fois, à chaque jour, tu fais un petit pot, une bouchée, de dire, OK, ça me reste, à la fin de ça, je bosse ça. On passe une autre journée, je bosse ça. Tu sais, pour qu'à la fin... que tout soit fait dans son cas à lui. Il voulait en plus voir des amis avant de partir. Il y avait une surcharge de préparation, il y avait une surcharge d'amitié à rencontrer avant de partir pour un an. Et juste le fait de lui donner des outils, juste le fait de se mettre au devant et qu'il laisse sa peur de côté pour y faire face. Parce que c'est de sortir quand même de sa peur. sa zone de confort. Parce que quand on fait un pas, on sort de sa zone de confort. Quand on fait deux pas, on vient carrément de sortir de sa zone de confort pour rentrer dans le monde de l'inconnu. Et c'est dans l'inconnu que ça fait peur. Parce que si on est moindrement insécure et qu'on ne sait pas ce qui va se passer. au troisième pas, là on peut être dans la peur, là on peut être dans « qu'est-ce qui va m'arriver ? » Parce que si on est programmé que notre mère nous a tout le temps protégés, que notre mère nous a tout le temps surprotégés, et qu'on essaye de sortir de sa zone de protection, bien ça demande beaucoup de courage et d'avoir quelqu'un. qui nous tient par la main pour aller de l'avant, ça, ça aide extrêmement. Ça aide parce que ça permet à ce que la personne puisse faire les pas et de se diriger vers l'inconnu, mais que cet inconnu-là apporte à des belles opportunités, apporte à des beaux trips, à des expériences qui nous font grandir. qui nous font fructifier. Et c'est ce qui m'est arrivé. Quand j'ai commencé ma formation coaching, ça a le fait que, pour moi, c'était un nouveau défi. Parce que je devais sortir de ma zone de confort totale. Je ne connaissais pas nécessairement ça, le coaching. Il y a toutes sortes de coaching, mais un vrai coach ne te dit pas quoi folle. Un vrai coach te guide à ce que tu trouves tes propres réflexions. à ce que tu trouves toi-même, tes propres responsabilités. Et ça, ça met en confiance, ça met en responsabilité ta propre vie. Et ça, c'est génial. Il n'y a rien de plus beau que de mettre son client dans sa propre responsabilité, mais en étant à ses côtés. Et c'est comme ça que moi, je me suis sentie quand... Je me suis retrouvée à côté de Sylvie. Je savais que je pouvais lui faire confiance. Elle, en tant que mentor, je le savais que je pouvais avoir confiance en cette femme parce que je me sentais en confiance. Je me sentais prise par la main et que je pouvais, en tant que femme, savoir que cette femme-là était là pour m'aider, qu'elle était là pour me guider. Mais sans prendre mes responsabilités. Et quand j'ai fait mardi ma sphérision, c'était le 11 de mars. Et je le savais qu'il y avait quelque chose le 11 de mars. J'écrivais sur mon cahier le 11 de mars. Mais j'étais comme, voyons, c'est quoi qu'il y a le 11 de mars ? Il y a quelque chose. Je n'étais pas capable de trouver. Quand je suis partie dans ma tiny house pour aller faire mon coaching en supervision, j'avais un paquet de cartes où est-ce que je m'en ai sorti une. Et sur cette carte, il y avait un papillon bleu. Et ce papillon bleu, c'était écrit « ancêtre » . Et ça disait que... Nos ancêtres, ils sont présents auprès de nous, à nous soutenir, à nous supporter. Peu importe ce qu'on fait ici terrestrement, c'était vraiment un beau texte, mais moi, dans ma tête, j'allume. On est le 11 mars et c'est la fête à ma grand-maman, ma grand-maman maternelle. Et là, à l'intérieur de moi... Il y a eu une confiance qui s'est grandie, mais encore tellement plus parce que je le savais que j'étais supportée par l'énergie de ma grand-mère. Et je le sais qu'en étant à ce que ce soit la journée de sa fête, j'avais une foi que j'allais passer mon examen au la même. Ça, ça a fait en sorte qu'il y a eu une harmonisation qui s'est créée à l'intérieur de moi et tous les doutes, la peur, l'insécurité, tout a tombé parce que je me souvenais dans le passé tout le chemin que j'ai marché, donc j'en étais fière. Et c'est là que ma fierté a pris la place pour effacer la peur, pour effacer le doute, pour effacer les craintes. J'ai inversé psychologiquement mon petit démon intérieur qui me mettait dans « Ouais, mais là, tu seras pas capable de faire ci. Ouais, mais là, tu seras pas capable de faire ça. T'aurais pas dû changer. Peut-être que tu vas pas nier quelqu'un, une personnalité qui va être peut-être pire que l'homme professionnellement parlant. » tout ce qui était autour de moi qui m'entourait, en ayant tout ce qui était autour de moi et qui m'enveloppait. Et je savais que la base de ce coaching-là, c'était l'amour. Et c'est ce qui a fait que j'ai coaché le jeune homme pour l'apporter dans un état où il allait être totalement en confiance avec lui. Et Sylvie, ma coach, m'a fait réaliser que justement... Ce que j'avais fait, c'était un coaching vraiment d'exception. Elle m'a écrit que j'étais ultra humaine, que j'étais ultra sensible, ultra émotionnelle, ultra spirituelle. Ça, ça m'a vraiment touchée vraiment beaucoup parce que ça me montrait que j'étais exactement à la bonne place émotionnellement parlant parce que ça, c'est ma force, les émotions. J'adore travailler avec tout ce qui est les émotions qui sont rattachées au niveau du corps humain, qui sont rattachées au niveau de l'âme, qui sont rattachées au niveau spirituel, psychologique. J'adore ça. Et ce qui est encore plus hot, vraiment, c'est que j'avais, en finissant ma formation de coaching holistique, j'avais en tête... d'aller me chercher une formation, donc ça allait renforcer mon travail émotionnel pour accompagner mes clients. Et j'ai fait une demande la semaine d'avant pour, ça je le garde en secret, j'ai fait une demande parce que c'est en lien avec l'école, et la journée même que j'ai eu ma supervision, que j'ai passé mon examen, j'ai reçu, peut-être deux heures après, un email qui me disait que j'étais acceptée cet automne à une école dont ça fait cinq ans que je le visualise. Mais alors, je me disais tout le temps, il faut que j'aille chercher ma certification de coaching avant tout, pour être crédible, parce que moi, professionnellement parlant, Pour moi, c'est d'une importance pour être capable d'aller vers encore plus loin. Tout ce qui est au niveau centre de femmes, tout ce qui est peut-être jusqu'à même aller jusqu'au centre des femmes battues. J'aimerais vraiment ça aller là, d'aller peu importe dans des organismes pour aider les personnes en difficulté émotionnelle. Parce que je sais que ces personnes-là, ils ont... des difficultés à parler, à exprimer, à verbaliser. Et ça, moi, là, je me souviens quand j'étais petite, quand j'avais à poser mille et une questions, on m'a là rapprochée, ça. Arrête de poser des questions, Karine. Arrête de poser des questions, Karine. Bien, aujourd'hui, c'est qui qui pose des questions encore ? Bien, c'est moi. Parce que je le sais que... ma force, c'est de poser des questions parce qu'en posant des questions, ça apporte à mon client à ce que c'est vrai, je n'avais pas pensé à ça moi. C'est vrai, je n'avais pas vu ça de même. Et ça, ça fait que cet automne, je vais commencer une formation qui va m'apporter à un diplôme dont je vais être capable d'aller plus au niveau gouvernemental. Ça, vraiment, je veux. Ça fait des années-lumière que je dis, moi, un jour, je vais travailler dans le monde, des organismes gouvernementaux, peu importe, parce qu'il y a un besoin qui est là. Émotionnellement, on le voit, on le sent, on le ressent que les gens ne vont pas tout bien, émotionnellement. Et de toute façon... Les émotions, on va en avoir toujours. On va toujours avoir des émotions. Tu travailles sur tes peurs. Ça se peut que tu n'aies plus peur. Parle-toi de l'eau. Mais ça se peut que deux semaines après, que tu aies la chienne de ta vie et que tu vois un chien qui court après et qui te mord une fesse. Je dis ça de même, mais c'est pour te dire que l'émotion, il va toujours m'avoir. Et mon but, justement, c'est d'apporter les gens à ce qu'ils soient dans un état émotionnel de maîtrise. D'être capable de dire, moi... Je suis maître de ma vie et je ne me laisse pas accaparer par les émotions négatives qui m'apportent dans une basse fréquence vibratoire, qui m'apportent dans un état d'être où est-ce que je ne suis pas bien. Ça, je ne veux pas ça. Parce que justement, on s'enfade. On n'est comme pas d'énergie. On n'a pas de vie. On ne se sent pas bien. Fait que moi, je veux être dans un état où est-ce que... Je veux être une mentor. Je veux être cette mentor de femme qui va travailler sur les émotions. En allant chercher des outils, mais des outils puissants. Ils mettent en lumière directement mon client. Ça va être à suivre, ça va commencer ma formation cet automne, j'en ai pour un an. Et je le sais que cette formation-là va extrêmement... m'aider à moi aussi. Parce que, comme je te dis, aujourd'hui, ça va bien, mais ça se peut que demain, émotionnellement, je vive une émotion et que j'ai de la difficulté à vivre cette émotion-là, parce que là, remonter à la surface un trauma, un choc, une blessure, une trahison, peu importe. Fait que mon but, c'est d'être vraiment dans cette notoriété-là pour aider, tu sais, même les personnes qui ont des problèmes de santé. Tu sais. Ceux qui sont dans le cancer, ceux qui sont malades, à quelque part, ceux qui sont malades, c'est qu'émotionnellement, ils ont vécu des émotions dont ça a été refoulé sur le plan de l'âme et l'âme a été directement nature dans l'esprit, dans l'esprit, dans le corps, le corps et ainsi de suite. C'est pour ça que moi, je me vois vraiment être capable de... de aider mon prochain à ce qu'il puisse être le maître de ses émotions et c'est là que je réalise en étant à faire le métier de toilettage j'ai appris à aiguiser auprès de l'animal parce que l'animal n'exprime pas ses émotions on le ressent fait que moi quand j'étais devant mon petit client en coaching lors de ma supervision ben je le sentais d'où fallait que j'aille Puis même à la fin, quand les femmes m'ont parlé, qui m'ont dit, moi j'aurais été, quand ils ont dit, j'ai peur d'aller vers les gens, bien moi je ne le sentais pas. Ce n'est pas là qu'il fallait aller. En allant, j'ai peur d'aller auprès des gens, c'est qu'on était déjà dans le voyage. Et on devait commencer à la base, deux semaines avant qu'ils partent en voyage. Quand je vais travailler sur lui pendant ces deux semaines, Avant de partir pour son voyage, il va développer une confiance. Il va développer une fierté. Et tout ça peut faire la différence pour après, quand il va être dans son voyage. Parce qu'il va être tellement fier de lui. Il va être tellement dans une haute fréquence vibratoire que ça va faire en sorte qu'il va être porté à aller vers les gens. Et sa fréquence vibratoire, dont elle va être élevée, il va attirer des belles personnes. Fait que si j'avais été directement dans son voyage de la peur d'aller vers les autres, Je sautais une étape. Puis c'était l'étape la plus importante, c'était de se préparer avant de partir. Parce que ça, ça fait toute une différence. Parce que c'est exemple. Toi, mettons, t'as peur d'évoluer dans ton métier, t'as pas d'estime de toi. Mais moi, je te dirais, fais quelque chose que tu sors quand même de ta zone de confort. Va faire du cheval. T'as jamais fait de cheval, fais du cheval. Je te jure, je te... promets qu'en faisant du cheval, tu vas sortir de ta zone de confort et quand tu vas aller travailler, ça va être du génie parce que ta confiance, tu vas l'avoir développée à l'intérieur de toi et là, tu vas prendre les reins de ta vie et quand tu vas commencer à travailler sur quelque chose que tu ne connais pas, tu vas être tellement confiance à l'intérieur de toi que tout va se faire tout seul. Ça, c'est ta feuille. Si mettons, tu as quelque chose, tu n'as pas confiance en toi, Va à l'extrémité faire quelque chose qui te sort de ta zone de confort. Va prendre des cours de danse. Va prendre des cours de piscine. Va faire des cours de gym. Peu importe, sors de ta zone de confort. Et tout ça va faire en sorte que ça va développer totalement une confiance en toi. Et l'estime va augmenter. Cette estime-là va faire toute une différence. Et ça, c'est magique. Ça, sérieusement, ça marche. À coup sûr. Je l'ai essayé. Je l'ai expérimenté et je peux te rassurer que vraiment, ça marche. J'espère que mon podcast t'a parlé. J'espère que ça t'a apporté à des réflexions, à des compréhensions, à peut-être te faire quelque chose que, ah, ça, ça m'aide, ah oui, c'est vrai, ça. Peu importe. Ou peut-être que ça te fait penser à quelqu'un d'autre. Je t'invite à le partager. Peu importe. J'ai des super de beaux commentaires. J'ai des retours. Je suis vraiment... wow, ça me touche, je dirais pas assez, mais ça me touche tout le temps d'avoir un petit coucou, hey j'ai écouté ton podcast 26 ça m'a fait tellement réaliser des affaires j'aimerais ça te rencontrer pour que tu m'ailles assis ou à ça ça apporte à des belles réflexions à des belles discussions j'adore, vraiment sérieusement, tu sais, le podcast justement, ça en est un enfant, c'est tout j'avais peur de mettre un pied au devant Qu'est-ce qui m'a apporté à aller au-devant ? Bien, justement, j'ai rencontré l'équipe de podcast. Voyons, je ne me rappelle même plus du nom, désolée. Mais c'est Marco Bernard. Et ça m'a apporté justement un mentor. Il connaît ça, lui, le podcast. Ça fait good ! J'ai quelqu'un à côté de moi qui m'accompagne. Toi, qui pourrait t'accompagner pour te sortir de... ton stress, de ta peur, de ton doute, de ton angoisse, de ton anxiété. Tu sais, ça peut être même un moment donné, j'avais une de mes clientes qui était ici en soins linguistiques et elle devait aller parler avec un de ses ex pour régler des choses. Je lui ai dit, dis-moi quand tu vas aller parler à cette personne-là et je vais être en prière avec toi. Je vais t'accompagner. Je vais mettre ma main sur ton épaule pour que tu sens la confiance que « Je suis là avec toi. » Et cette personne-là, ça lui a mis la confiance. Et elle est allée parler à son ex. Et tout s'est bien déroulé parce qu'elle se sentait épaulée. C'est important, ça. Tu sais, l'inconnu fait peur. En faisant de cette façon, en étant aidée par qui que ce soit, de par son expertise, ça fait toute la différence. Sérieusement. Il faut juste trouver la bonne personne. Parce que si, mettons, tu ne prends pas la bonne personne, bien là, ça peut te rendre pire. Ce n'est pas mieux. On ne veut pas rendre pire. On ne veut pas traumatiser. On ne veut pas apporter à ce que ça foire. On veut que ça aille vraiment bien. Fait que je te souhaite une belle continuité. Si tu as envie de partager, crie-moi. Dictaphone-moi. Ça va me faire plaisir. Sur mon Messenger, Karine Turcotte, ou la Nature Coach Holistique, Karine Turcotte sur Facebook. même sur Instagram, ça va me faire énormément plaisir. J'adore ça. Vraiment, vraiment, j'apprécie. Je te souhaite une belle continuité et je te dis à la prochaine !

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