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En toute simplicité ...

ÉP44. Se révéler à soi-même

ÉP44. Se révéler à soi-même

1h04 |02/03/2025|

16

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Description

Quand les signes confirment que nous sommes au bon endroit, au bon moment. ✨


Dans cet épisode profondément introspectif, je partage avec toi comment mes souvenirs de vie antérieure ont eu un impact direct sur mon parcours dans cette vie-ci. Dès l’enfance, j’ai ressenti une connexion forte avec une existence passée, une vie d’Amérindienne où j’incarnais une femme puissante et connectée à la nature. Mais en grandissant, on m’a demandé de me taire, de mettre de côté ce savoir intérieur… jusqu’à ce que la vie me pousse à me reconnecter à cette vérité.


À travers mes expériences et mes enseignements, je t’explique comment nos vies passées influencent nos défis et nos choix actuels, et comment j’ai appris à embrasser pleinement cette sagesse pour avancer avec force et authenticité.

As-tu déjà ressenti un lien profond avec un passé que tu ne peux expliquer ? Cet épisode est pour toi.


Au plaisir de vous faire découvrir mon monde intérieur, en espérant qu’il vous en inspire.
Avec Amour,
Karine Turcotte


Vous pouvez me suivre: https://www.facebook.com/profile.php?id=61557736540965&mibextid=LQQJ4d

Facebook: Karine Turcotte 



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur mon podcast « En toute simplicité » . Je suis Karine Turcotte, accompagnatrice holistique, et à chaque semaine, je t'invite à découvrir les histoires que j'ai vécues, à te faire voyager à des réflexions profondes issues de mon parcours. À travers mes expériences terrestres, je te guide pour explorer le monde spirituel et comprendre que, malgré nos chemins uniques, Partageons tous des émotions similaires. Que tu cherches des réponses, de la motivation ou une nouvelle vision, En Toute Simplicité est là pour t'inspirer et t'accompagner dans ton chemin vers une vie plus épanouie et lumineuse. Bienvenue dans mon monde ! Allô, allô ! J'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon épisode 44 en Toute Simplicité. C'est particulier parce qu'à matin, je te partage que mon conjoint a 44 ans exactement aujourd'hui et je suis à l'épisode 44. Pour moi, ça, c'est un signe que je suis exactement au bon moment, au bon endroit. En plus, avec le chiffre 44, le chiffre des anges, donc je suis en train de réaliser en ce moment où est-ce que je suis assis dans ma salle de soins. qu'il y a un ange sur mon bord de fenêtre. C'est-tu pas génial ? 44, en plus, c'est l'équilibre. Terre, eau, feu, air. C'est nord, sud, est, ouest. Et ce qui est vraiment encore plus ancré dans mon quotidien, c'est que ce matin, j'ai préparé la cohorte numéro 2. en méditation qui va être en lien avec les éléments. Donc, pour moi, tous ces signes-là ont vraiment, vraiment une signification. Tu sais, moi, je le vis au quotidien, ce que je suis. Je ne suis pas à jouer un rôle. J'intègre. Ma spiritualité, 24 heures sur 24. Ce qui veut dire que je vibre spirituellement dans mon intégrité, de qui je suis. Je te dirais que ça n'a pas toujours été de cette façon-là, mais j'ai appris. J'ai appris avec le temps que, justement... Plus que je m'alignais dans qui je suis et plus que ça avait un impact dans mon quotidien. Ça avait vraiment encore plus de crédibilité parce que je montre qui je suis réellement dans la couleur de mon âme. Ça m'a apporté aujourd'hui à vous parler... J'ai eu une dame qui m'a écrit sur Messenger parce qu'elle avait commencé à écouter mes podcasts. Et elle était fascinée de voir qu'avec ce qu'elle entendait de quand j'étais petite fille, 3 ans, dont je parlais de ma vie antérieure de la mer Indienne... Et je fais une parenthèse, un matin, j'ai eu un homme qui m'a envoyé un vidéo qui est en lien avec des histoires dont ça passe à la radio. Et il y a une femme qui parle de son expérience avec son fils, dont son fils était en train de... de faire de la cuisine avec sa mère. Et tout bonnement, l'enfant de 5 ans, il dit à sa mère, « Tu t'en souviens-tu quand j'étais dans une autre vie, dont j'étais avec une autre maman ? » Et il disait que dans le fond, le petit gars, qu'il avait eu un accident par rapport avec l'huile à friteuse ou je ne sais pas trop quoi. Puis il a dit qu'il est décédé et qu'il est revenu ici auprès de sa nouvelle maman. Et là, la mère était comme un peu « Ah oui, OK » . Ta maman avait l'air être gentille parce qu'il était à dire comment qu'elle était. Pour lui, c'était de l'évidence. Et moi, ce qui est drôle, c'est qu'un matin, je voulais absolument parler de ça. Moi, un matin, j'étais partie, j'étais mindée à « faut que je parle » suite à la question que j'ai reçue cette semaine de cette dame qui me disait, qui me demandait « mais Karine, Est-ce que tes parents t'ont aidé suite à ça de ce que tu parlais quand tu étais enfant ? Si tu n'as pas écouté mes débuts de podcast, quand j'étais enfant, dès l'âge de 3 ans, je disais à mes parents, vous en souvenez-vous quand j'étais grande, que j'étais une Amérindienne, que j'avais des longs cheveux, dont je leur expliquais comment que je jouais avec des jeux de fléchettes, que j'étais... très grande, que je transportais du bois, je vivais dans la forêt. Fait que pour moi, c'était vraiment, vraiment comme si c'était hier. Quand t'es enfant, tu fais pas la différence si c'est hier ou aujourd'hui ou si c'est demain. Parce que le temps n'existe pas pour un enfant de 0 à 8 ans. L'enfant intègre son petit corps et accepte. son intégration ici sur cette terre, accepte son incarnation pour qu'il puisse grandir à développer sa mission. Ce qui fait que moi, de zéro à huit ans, j'étais vraiment dans le souvenir, quand j'étais petite, que j'étais vraiment dans un souvenir où est-ce que je suis. Je le verbalisais jusqu'à temps qu'on me dise que t'as-tu fini de compter des mensonges, t'as-tu fini de compter des menteries, ça se peut pas, t'as un monde imaginaire pas possible. Tu sais, c'était toutes des choses de même qui étaient dites, mais qu'en réalité, pour moi, c'était là. Je comprenais pas pourquoi que les gens étaient à me dire que j'étais menteuse. Je comprenais pas pourquoi que les gens me comprenaient pas. Et ça finissait que, oui, je continuais d'en parler, mais j'étais à un moment donné déçue parce que je n'avais pas les réponses à mes questions. Je n'avais pas de la part de mes parents dont c'était le reflet de confiance que je pouvais avoir dans ma vie. Je ne pouvais pas avoir les réponses, mais tu sais, je ne peux pas leur en vouloir parce qu'ils n'étaient pas là, ils n'étaient pas rendus là. C'était pas un sujet de discussion pour eux autres qui était normal. Fait que ce que ça a fait, c'est que, à mes 8 ans, j'ai décidé d'arrêter d'en parler. J'ai décidé de vraiment me concentrer à, OK, là je suis à mes 8 ans, je vais à l'école, il faut que j'apprenne à m'intégrer auprès des amis, parce que j'en parlais aussi auprès de mes amis quand j'étais à maternelle. Je disais des choses à une de mes amies, donc c'est ça qui est merveilleux. Suite au podcast, elle écoutait mes podcasts et elle m'est revenue et elle m'a dit, « Karine, je me souviens tellement de ce que tu disais quand on était assis ensemble sur une petite table et qu'on dessinait. » Fait que j'essayais d'ouvrir une petite porte pour voir s'il n'y avait pas quelqu'un qui pouvait me dire, « Hey, oui, Karine, ou, ah oui, je me souviens, ou, tu sais. » qu'il y ait quelque chose à élaborer suite au sujet que moi je portais. Oui, j'avais une cousine, Mélanie, qui j'étais vraiment à lui dire et elle m'encouragait et elle me questionnait. Je te dirais même que c'était la seule qui était à vraiment prendre le sujet au sérieux. Et ça l'a apporté justement à ce qu'elle comprenne mes démarches au fil des années qu'elle a vues vraiment que Je ne disais pas n'importe quoi. Et le fait que j'aille arrêter d'en parler à mes parents, ce n'est pas que je n'avais plus confiance en eux autres. C'est qu'en fait, c'était pour me protéger de moi. Parce que j'étais tannée, qu'on me dise que j'étais menteuse. J'étais tannée d'être dans le néant. Et j'ai mis ça de côté à partir de mes 8 ans. jusqu'à ce que je découvre les bibliothèques. Les bibliothèques à l'école, les bibliothèques, vraiment pour moi, c'était à partir de l'adolescence. Ou est-ce que, tu sais, en plus dans les années 80, on sentait qu'il n'y avait pas Internet, il n'y avait pas de Wi-Fi, il n'y avait rien de ça. Fait que c'était, tu te débrouilles avec ce que t'as. Et moi, j'étais à vivre dans un petit endroit où est-ce que c'était pas nécessairement, comment je pourrais dire, développé par rapport à ça. J'avais pas non plus des parents qui pouvaient être sujets à... parler, exprimer de spiritualité parce que mes parents étaient à être concentrés au niveau du travail. C'était plus la religion catholique, comme tout le monde. Mais quand il y avait quelqu'un qui parlait, qui osait parler, qui avait, mettons, vu ou entendu, qui aurait une histoire de... fantômes dans une maison, ou d'esprits dans une maison, ou que la magie pouvait exister, ou que... Ça, ça me fascinait, parce que là, c'était comme, oh, ils viennent de parler d'un sujet dont moi, je le sais qu'il y a quelque chose qui se passe à l'intérieur de moi et qui ça m'intéresse donc. Et je me souviens qu'à un moment donné, il y avait eu un monsieur qui était venu chez mes parents. et qui avait parlé d'un livre. Donc, dans ce livre-là, je me rappelle peu du titre, je le sais qu'il existe encore, je sais qu'il y avait le mot sacré, ou géométrie sacrée, fleur de vie, en tout cas, il faudrait que je le retrouve, mais ce monsieur-là m'avait expliqué qu'il y avait des choses qui étaient dites, dont ce qui était en lien avec les dimensions, ce qui était en lien avec les... Tout ce qui était le monde spirituel, là, j'étais fascinée, mais fascinée au point que fallait que je trouve ce livre-là. Et ce livre est venu à moi après X années, donc je l'ai dévoré, parce que pour moi, c'était tellement du bonbon de lire ça. C'était comme si, enfin, je rentre dans mon univers. Enfin, il y a quelqu'un qui me comprend. Tu sais, j'aurais dû pas... triper un peu, moi, d'avoir dans mes années 80 Internet. J'aurais-tu un peu vraiment triper. On s'entend, là, pour moi, ça aurait été, là, un paradis. Vraiment. Et ça, ça l'a fait que, justement, le livre qui était notre Internet, pour moi, était une mène d'or. Je l'ai mangé, ce livre-là. Et c'est à partir de là que j'ai tombé en amour avec les livres, parce qu'ils me nourrissaient. Les livres m'apportaient des mots dont je pouvais déposer dans mon cœur sans que j'aie à les juger. Tu sais, un livre, c'est quand on... c'est notre âme qui exprime au travers des mots. Et pour moi, l'auteur était quelqu'un qui... je pouvais le respecter et je savais qu'il me respectait en... déposant ces mots, qui aient pris du temps pour déposer ces mots, pour moi c'était d'un amour inconditionnel, vraiment, sérieusement. Pour moi, c'était un partage de temps, d'amour, d'enseignement qui, à partir de là, je me suis mise à dévorer les livres de tout ce qui était la spiritualité. vraiment, j'avais à peu près, c'était à partir de 12-13 ans ou est-ce que, j'avais pas les réponses à mes questions avec mes parents, mais j'avais découvert les livres, eux, pouvaient m'apporter vraiment les mots, les réponses à mes questions, tout, tout. Ça, ça a duré, là, quand j'étais enceinte de mes enfants, tu peux même pas t'imaginer, j'ai... toutes lu les livres à la bibliothèque, à Amkwi, de tout ce qui était la spiritualité, j'ai mangé les livres. Sérieusement, là, je me souviens, je m'astisais avec ma bédaine de 30 semaines et plus parce que, en plus, c'était ma façon de m'assire parce que j'étais une fille qui était très, très en mouvement. J'aimais être en mouvement, mais là, c'était un... « coucouning » pour moi. C'était un moment de bonheur où est-ce que c'était mon enseignement. Et mon âme, c'est ça qui est drôle parce que chaque enseignement que je recevais, c'est comme si j'étais prête à les recevoir. Parce que si, exemple, j'aurais lu un livre d'un tel auteur deux mois avant, je n'aurais pas été prête à recevoir ces mots-là. Ma conscience n'aurait pas été prête à recevoir ces enseignements si ça aurait été deux mois avant et même que si ça aurait été dans deux mois après. Parce que tout était d'une perfection d'alignement sur le plan de l'âme. C'est là que ça m'a appris justement à... Va chercher tes réponses de par toi-même, Karine. Ne te fie pas aux gens pour avoir des réponses, c'est leurs expériences qui vont t'apporter leurs réponses. Ce qui fait que c'est pour ça que je me suis ouverte à le monde du livre, parce que moi, quand j'ouvrais un livre, c'était mon enseignement, c'était une connexion avec l'auteur, avec ses mots, avec ses paroles, c'était... Un temps dimensionnel dont tout s'arrêtait autour de moi, et c'est encore de même aujourd'hui, mais de façon différente parce que je peux maintenant aller chercher mes réponses en les recevant par la vie, en les recevant par les rêves, en les recevant par mes enseignements, par mes accompagnements, parce que je me suis ouverte encore plus. à moi, à ce qui est l'anal akashique, à ma source. On a tout à l'intérieur de soi. C'est juste qu'ici, avec notre mental, on s'arrête. Et quand on est prise à ce que notre mental nous contrôle, c'est là qu'il manque une connexion. C'est là qu'il manque un fil. de connexion. Et ça, moi, j'ai compris ça au fil du temps. En étant à aller auprès des gens, donc, ces gens me faisaient vivre des expériences de connexion avec mon cœur encore plus à ce que j'intègre réellement qui je suis. Je me souviens, ça a commencé avec notre sorcier de la région, M. Poirier. Ou est-ce que lui m'a connectée vraiment à ce que je reprenne à mes 16 ans exactement ? Ou est-ce que j'avais perdu mon grand-papa suite à un AVC ? Donc, je l'entendais, je le sentais, je le ressentais qu'il était auprès de moi par les rêves. Et ça, ça me fascinait parce que je savais que grand-papa, il... Il reprenait, comment je pourrais dire ça ? Parce que quand j'étais enfant et que j'allais chez eux, je lui parlais de mes vies antérieures. Et lui, grand-papa, du côté maternel, comme il était beaucoup axé sur la religion catholique, même, je t'avoue, qu'il voulait devenir un curé. Et je remercie grand-maman. qu'il n'a pas voulu parce qu'elle l'a rencontré avant qu'il quitte, parce qu'il avait pris le choix de devenir curé. On s'entend-tu que je remercie tellement la vie, avec tout ce qui se passe au niveau catholique ? Vraiment, sérieusement, je n'entrerai pas là-dedans, mais je ne rentrerai pas là-dedans. Ce qui fait que je remercie vraiment la vie parce que ça l'a fait. un très bon grand-papa rempli de sagesse et c'est lui qui m'a enseigné à aimer les animaux, à les respecter, à les traiter avec amour et douceur. Aujourd'hui, je l'honore de son enseignement parce que je le sais que je me suis rapprochée de lui en venant ici, dans cette vie-ci, parce que la mérindienne que j'étais, était à respecter tout le vivant. Pour moi, j'avais besoin d'avoir des personnes autour de moi qui étaient dans cette même mentalité pour que je puisse continuer à être qui je suis dans une évolution modernisée. Ce qui fait que je l'honore vraiment, je le remercie vraiment. C'est ce qui a fait que quand je me suis réintégrée à mes 16 ans, de me reconnecter. Je le sais que quand grand-papa était dans le monde spirituel, décédé, de l'autre côté du voile, c'est lui qui m'a ramenée dans le chemin de qui j'étais. Parce que mes grands-parents... Mes parents, le monde autour de moi, m'ont fait une programmation dont c'était « tu ne peux pas être comme tu es dans ce monde, dans cette vie familiale, parce qu'on a peur de toi, parce qu'on a de la difficulté à savoir si c'est vrai ou si c'est faux parce qu'on n'a pas de preuves. » On n'a pas de preuves scientifiques. Et ça, c'est ça qui fait peur, en fait, parce que c'est un monde magique. C'est un monde où est-ce qu'on pourrait dire du n'importe quoi. Mais ça, on le sait de toute façon. On le sait si c'est du n'importe quoi ou si c'est vrai, parce que quand c'est du n'importe quoi, c'est pas intègre. Il n'y a pas de crédibilité, c'est pas droit, c'est pas structuré. Mais quand c'est vrai... Parce que moi, ça m'arrive de parler avec des gens, ça m'arrive de parler avec des enfants, et je le sais, je le sens qu'il y a une vérité dans ce qu'ils disent, comme qu'il y en a d'autres dont j'ai eu à avoir affaire et qui avaient des problèmes, je dirais, des problèmes mentaux, dans le sens que la schizophrénie, oui, ça fait partie de... L'ouverture, mais, ça en est rendu un peu comme trop. Et là, ça vient que ça l'apporte à un certain délire parce qu'il n'y a rien qui se tient, parce qu'ils sont trop dans des dimensions astrales où est-ce que, justement, ils sont infectés par ce qui est des énergies négatives autour d'eux. Fait qu'on le sent. Moi, je le sais, je le sens, il y a quelque chose qui se passe quand la personne me le dit vrai par rapport avec ses expériences. Il y en a d'autres aussi qui vont essayer d'impressionner. Ça, on le sait tout de suite. Ce qui fait qu'à partir de mes 16 ans, je me suis encore plus intégrée. C'est comme si la vie, dans le fond, disait, OK, là, Karine, t'as assez lu de livres de 12-16 ans. Là, il faut que tu rentres dans le monde, dans le vrai monde avec tes enseignements. Et là, on va t'enseigner. On va t'enseigner, mais il faut qu'en tant qu'élève, tu te dois de passer des niveaux. Et c'est exactement ça qui s'est passé. J'ai eu à passer des niveaux, donc ça a commencé avec grand-papa. Je lui ai permis, justement, d'entrer en contact avec moi suite après son décès. Et par la suite, il m'a guidée, justement, à être auprès de gens. Donc, ces gens-là m'ont aidé, m'ont apporté, m'ont enseigné, m'ont fait élever mon taux vibratoire, m'ont permis de me déprogrammer de mémoire émotionnelle dans cette vie-ci qui était en lien avec ceux et celles autour de moi dont ils n'acceptaient pas qui j'étais. Et ça ne leur faisait pas. Fait que moi, ça ne m'appartenait pas en fait parce que si la personne n'avait pas... à quelque part, ce n'était pas mon problème. Mais en même temps, je lui permettais à cette personne-là, à ce qu'elle s'ouvre spirituellement, à ce qu'elle puisse ouvrir sa conscience, à ce qu'elle puisse vraiment voir que il n'y a pas juste des restements qui existent. Il existe un monde au-delà de ce qu'on peut imaginer. Et ça, ça m'a apporté vraiment à rencontrer des belles personnalités, des belles personnes. Et comme ça m'a apporté aussi à des personnes dont j'ai vu qu'il y en a qui se disent d'être des sorciers, qui se disent d'être des chamanes, qui se disent d'être si, oui, on les est toutes. Mais ce qu'on porte à l'intérieur de soi, est-ce que c'est sain ou pas ? Ça, c'est une autre question. Parce que dans la vie, il y a l'ombre et la lumière. Et il y a des personnes qui profitent de la situation pour utiliser, pour prendre, pour écraser notre pouvoir. Et ce, moi, je l'ai déjà vécu, donc, quand j'étais dans la vie antérieure. La mère indienne, qui était une femme puissante, qui était en connexion avec la nature, qui avait un don de soi, qui était l'amour. Et que les hommes autour de moi ne voulaient pas que moi je sois une chamane, ne voulaient pas que je sois cette femme forte et puissante sur le plan énergétique pour aider mon prochain. C'est pour ça que j'ai vécu à me faire rejeter de ce village amérindien pour que je me retrouve vraiment exclue et esclave. Et c'était de cette façon-là qu'il m'écrasait, qu'il me mettait vraiment la main sur la tête, comme je pouvais le voir, en voulant dire « tu te tais » . C'est nous les hommes, c'est nous qui contrôlons, c'est nous qui possédons la vérité. Et ce mois, je me suis rabaissée. Ça m'apporte à te raconter, dans ma vie d'aujourd'hui, quand je me suis mise à entrer encore plus en force dans le monde des animaux. J'ai eu une personne qui, même deux, qui m'ont vraiment apporté à m'écraser, à voler mon pouvoir, à me dire que tu rentres dans ce domaine-là, tu ne connais rien, dans le monde du toilettage, à me dire, tu ne connais rien, tu commences. Tu es qui, toi, pour nous dire ça ? Qu'est-ce qui te fait dire ça ? Qu'est-ce qui te fait dire ça ? « Prends ! Pourquoi tu t'en vas dans le domaine des animaux ? » Et là, je ressentais qu'il y avait de l'envie, qu'il y avait de la jalousie, qu'il y avait de l'escroquerie, dans le sens que je commençais à voir que, oh, OK, moi, je suis dans un élan de me réaliser à ce que je puisse apporter le beau, le bien et le bon auprès des animaux. Mais à côté, j'ai des gens qui viennent m'écraser par l'envie, par la jalousie, qui me compétitionnent, qui me font du coup de coude. Là, j'étais dans un état où est-ce que dans mon intérieur, la programmation que j'avais de la vie antérieure de la mère indienne, ça me ramenait à dire « Ouais, Karine, t'es qui toi ? Tu viens de rentrer dans le monde du toilettage, tu viens de rentrer dans le monde des chevaux, tu te prends pour qui ? » T'as pas d'affaire à commencer à travailler énergiquement sur les animaux. Faire du toilettage, c'est tu t'ondes, tu coupes les griffes, puis tu donnes aux clients, c'est fini. Non, moi c'est pas ça que je veux. Moi ce que je veux dans le monde du toilettage, c'est de prendre l'animal, c'est de l'intégrer dans mon monde, parce que mon entreprise, c'est mon âme. Mon âme est tellement dans une grande dimension que j'ai besoin de l'exploiter. J'ai besoin à ce que les gens viennent à moi pour que je les enveloppe de mes ailes et que d'avec mes mains, je puisse apporter l'amour que mon cœur veut pour ces animaux-là, parce que je les aime, ces animaux-là. Sérieusement, là, moi, je suis une folle alliée des animaux, là. Sérieux, là, j'ai un amour inconditionnel, tu ne peux même pas t'imaginer. Quand je regarde une vidéo, là, je ne suis même pas capable de voir des animaux souffrir. Je ne suis pas capable. Mon chum, des fois, il arrive et il me demande « Hey, check ça ! » Non, non, non, oublie ça, c'est un animal. Il dit « Non, mais il arrive. » Non, je ne suis pas capable, ça me rentre dedans. C'est comme si là, ça me met à l'envers, mon esprit reste avec ça dans ma tête. Je suis d'une fragilité émotionnelle incroyable quand on parle d'animaux. Et là, moi, ça m'apporte à la création de mon entreprise dans le monde du toilettage. Et j'ai des gens autour de moi qui me rentrent dedans, mais j'en ai d'autres qui me fleurissent, qui me nourrissent. J'en ai d'autres, c'est comme, hé Karine, t'es tellement à ta place. Je veux toi absolument qu'il fasse mon chien, mon chat, je veux pas personne d'autre. J'aimerais ça que tu, tu sais, le monde me disait ça, j'aimerais ça que ce soit toi. Avant que je rentre vraiment dans le métier, j'avais déjà un horaire de fête. Et ça, moi, ça montrait que j'étais à la bonne place. Mais plus que ça allait, puis plus que j'avais une personne qui me rentrait tout le temps dedans. Soit par le plagiat, j'ai vécu extrêmement beaucoup de plagiat, soit par des mots, soit par des entendus d'une personne qui avait dit ça sur moi, soit aussi de me faire même jusqu'à suivre pour faire écouter mes conférences. Et là, c'était du vrai délire, c'était du vrai bordel, parce que je me disais, « Ouais, c'est vrai, tu sais, je devrais peut-être prendre moins de place. » Mais moi, là, quand je suis passionnée, je suis excité. Quand je suis excitée, je veux tout offrir, plein d'amour. C'est comme la joie, le bonheur. J'adore ça. J'aime nourrir autour de moi de par l'amour qui vit. Parce que ça vient de mon âme, ça vient du plus profond de mon être. Et ce que j'ai trouvé à faire, parce que je trouvais que je dérangeais beaucoup, c'est que je me suis têt, vraiment. Je me suis mis dans un petit coin et j'ai dit, OK, là, je ne fais plus de publicité. Je ne montre plus qu'est-ce que je fais. Je ne parle pas de ce que je dis. Je vais être juste en contact avec mon client. Je vais vraiment être dans mon petit cocon, dans ma petite niche à chiens, dans mon micro salon de toilettage, dans mon endroit où est-ce que... Je me sentais en sécurité. C'était de cette façon-là que j'avais plus de plagiat en me taisant. Je n'avais plus rien qui venait de l'extérieur, qui venait me toucher, qui venait me blesser, ou qui venait me voler mes idées, ou qui venait vraiment prendre mes mots. Ça ne me dérange pas que j'inspire les gens. Au contraire, j'adore ça. Mais fais-le d'une façon où est-ce que ça va être honnête pour moi et pour toi. C'est ça la différence. C'est ça que j'ai compris, moi. Quand c'est malsain, c'est là que moi, j'ai un détecteur. Parce que dans la vie antérieure, les hommes qui me mettaient la main sur ma taille pour m'écraser, bien, c'est ces hommes-là que je me suis connectée. C'est avec ces hommes-là que j'ai compris qu'il faut que je les détecte de façon à ce que, OK, quand je détecte ça, c'est dans le sein, il faut que je me tasse de là pour encore plus ouvrir ma lumière. Et en même temps, dans cette vie-ci, quand j'étais à vivre avec cette personnalité qui m'enviait, qui me jalousait, qui m'écrasait, qui m'intimidait, qui me compétitionnait, ça m'apportait à détecter que c'était malsain, encore là, parce que cette personne-là, ces personnes-là avaient peur de moi. En mettant la main sur ma tête, c'était, il me faisait peur. Et j'ai embarqué là-dedans. J'ai vraiment embarqué là-dedans. Comme je suis dans le monde naturel, j'aime les animaux, j'aime les plantes, j'aime les arbres, j'aime la vie, tout ce qui est le monde vivant, tout ce qui a un âme. Moi, un arbre a un âme. La fleur, elle a un âme pour moi. Ça fait dix ans. Et plus que j'ai suivi mon cours en naturopathie et phytothérapie. Et dernièrement, je me suis affiliée avec une compagnie dont les produits, je les utilisais depuis un certain temps. Et j'étais en plus à chercher des produits pour permettre. à aider mon prochain lors de consultation. J'étais à la recherche vraiment d'une communauté où est-ce qu'on était tous inspirants, qu'on s'élève en puissance, tout le monde ensemble. J'avais même fait dans mon vision board une photo où est-ce qu'on est beaucoup de personnes et qu'on se tient toutes par la main, mais pas par la main, sous forme de la main sur l'avant-bras et l'autre personne met sa main sur l'avant-bras. Je pense que c'est de cette façon-là que les hommes de guerre se tiennent pour se soutenir. C'est vraiment une façon pour dire qu'on se soutient, mais de façon vraiment honnête. Et moi, j'avais mis ça en photo sur mon vision board. Et cet automne, même je dirais l'été passé, en 2024, j'étais vraiment à la recherche d'une communauté où est-ce que j'allais me louer avec eux autres en tant que naturopathe. Parce que, encore là, j'avais reçu une lettre d'une fédération dont ils me contrôlaient. Ils m'exigeaient des choses. Pour moi, ça m'exigeait... Tu viens de me perdre. C'est comme si tu me contrôles, tu viens de me perdre. Parce que ça me ramène à ma vie antérieure. Rentre pas là-dedans, parce que moi j'ai une clé de sécurité qui va faire que, oh ok, toi tu m'apportes là, c'est bien une valeur, moi je prends un autre chemin. Et ça, ça m'a apporté à découvrir une autre naturopathe qui est dans le domaine de la santé. Et mon cœur me disait d'aller auprès de cette personne-là et c'était extrêmement fort. Et j'ai suivi mon intuition, je suis allée vers elle pour qu'elle m'aide en me coachant côté entraînement et aussi côté alimentaire. Et cette personne-là, c'est elle qui m'a fait découvrir les produits, les produits que j'utilise qui sont les produits modères. Et je me suis intéressée à leur côté très naturel. Tout ce qui... le collagène, tout ce qui est magnésium, vitamine D, les multivitamines. Je les ai découvertes, je les ai essayées, je les ai expérimentées, je les ai intégrées dans mon être. Et ça, ça m'a donné le goût justement d'entrer dans cet univers avec ces femmes dont il y a une naturopathe comme moi, il y a une pharmacienne, il y a une professeure. Il y a une gardienne d'enfants. Il y a des femmes dont j'ai appris à les découvrir, mais elles sont d'une... Je n'ai pas de mots. Elles sont tellement inspirantes. On est un groupe de femmes où est-ce qu'on s'élève toutes ensemble. Et ça, moi, je suis rentrée avec vraiment des jugements à moi-même parce que, dans le fond, c'est une compagnie. qui est en lien en vente de réseaux marketing, MLM. Ça, moi, c'était comme j'avais des jugements par rapport avec ça, par rapport dans le passé, j'étais tannée dans le feuille retannée. Et au fil du temps, j'ai réalisé qu'on s'en va tout dans le réseau de marketing. C'est plate à dire, mais tout ce qui est au niveau commercial, c'est en train de s'écrouler, veut, veut pas. C'est plate, mais c'est comme ça. C'est la société qui veut ça. On le voit. Tout ce qui est les petits commerces, la société écrase ces petits commerces. J'ai peut-être un jugement, j'ai peut-être quelque chose que je dis en ce moment qui ne te plaît pas ou peu importe, mais on le voit qu'il n'y a pas les petites entreprises. C'est les grosses entreprises qui rentrent dans le marché. Et en plus, avec l'économie, les gens vont vouloir économiser. Ils vont vouloir... prendre beaucoup plus un café qui va valoir une pièce versus un café dans un endroit artisanal où est-ce qu'il va valoir 5 pièces. Moi, je vais avoir envie de 5 pièces parce que je sais ce que je bois. Ce qui fait que c'est ce qui m'a apporté justement à, ok, là Karine, les produits, tu les as essayés, tu les as vraiment intégrés, tu sais de ce que tu parles, tu sais ce que tu peux. apporter à ton client et à ta cliente, c'est pour ça que j'ai embarqué. Parce que je savais que ces femmes-là allaient m'aider à vraiment me déprogrammer dans mes croyances du passé. Puis ça, c'est vraiment quelque chose qu'on doit apprendre. Parce que si tu as une programmation qui est encore dans les croyances du passé, bien, il faut que tu apprennes à faire des mises à l'eau. C'est ce que j'ai compris. Il faut que je laisse tomber mon orgueil. Il faut que je me pardonne. Il faut que je m'ouvre. à ce qui s'en vient, parce qu'on s'entend que nos jeunes, c'est eux autres l'avenir. Et ce qu'ils ont dans leurs mains, les jeunes, un téléphone. Et tout se passe par un téléphone. Fait que, c'est pour ça que j'ai accepté de dire, je me dois de, si je veux, me rapprocher des jeunes. Parce que moi, mon but, là, tu sais, je te parle de modère, je te parle de vie antérieure, je te parle d'animaux, c'est tout un mélange, mais c'est qu'en fait, ça a tout un lien. C'est l'âme. C'est le cœur de ce que je te raconte, c'est l'âme. L'âme, elle, ce qu'elle a besoin, c'est l'amour. Ce qu'elle a besoin, c'est d'être bien dans le corps physique. Fait que si ton corps physique ne va pas bien, n'a pas une bonne santé, ton âme va se détériorer parce que tu n'auras pas une belle fréquence énergétique à vibrer, parce que ton corps va souffrir. Énergiquement, ton âme va aller apporter à ton corps physique l'énergie pour survivre. Et là, ça fait que moi, je travaille avec corps, âme, esprit, émotion, cœur. Pour permettre à ce que, en passant par corps, âme, esprit, émotion, qu'on puisse aller dans notre cœur et vraiment être dans la plus belle des alignements. Nord-sud, est-ouest, corps, âme, esprit, émotion, terre, eau, feu, air. Ce qui fait que moi, en étant bien centré, je le sais que je suis dans un alignement. Et en étant allée chercher ces produits-là, ça m'a permis vraiment d'être encore plus à offrir à mon client pour qu'il ait un corps en santé. Mais ce qui est fou, c'est que je suis en train de vivre exactement la même situation quand je suis rentrée dans le monde du toilettage. Ouais ! Je vis la même chose de la compétition, de la génosie, de l'envie, du plagiat, qui fait en sorte que je me suis assise et j'ai observé, j'ai analysé la situation dont la vie est en train de me montrer. Et c'est là que ça me dit, Karine, souviens-toi, dans la vie antérieure, quand tu étais amérindienne, on t'a écrasé. On t'a humilié. On t'a mis la main sur la tête pour que tu restes écrasé le plus bas possible à la terre et que tu ne dises rien. Ensuite de ça, tu es arrivé ici sur cette terre en tant qu'enfant. Tu étais à dire ta puissance, à exprimer ce qui tu étais. On t'a mis la main sur la bouche pour que tu arrêtes d'exprimer, pour que tu ne nous fasses pas honte. On t'a mis la main sur la bouche pour que tu te taises. Je me suis têt, comme dans la mer Indienne. Je me suis croisée, j'étais une esclave. Ce qui fait que là, en étant enfant, je me suis têt, je me suis arrêtée, je me suis retournée vers moi-même en gardant les messages que je recevais. Par la suite, j'ai avancé, Il y en a eu d'autres expériences, mais celle les plus importantes, les artères, beaucoup plus importantes, ce sont elles que je te parle. Quand j'ai commencé en toilettage, on m'a mis la main sur la tête, vraiment. Et là, ça m'a fait ding, ding, ding dans ma tête, dans mon cœur, dans mon être. Soit que je me levais ou soit que je m'écrasais. Je me suis écrasée. Je me suis... en plus. J'avais une programmation d'une main sur la bouche et j'avais une programmation d'une main sur la tête. Ce qui fait qu'on me tenait au sol avec la jalousie, avec l'envie, avec tout ce qu'il y en a. Et là, avec mon intégration de produits naturels que j'ai mis en cours, avec mes accompagnements de coaching holistique, donc je vis de part. de ce que je peux observer, de ce que je peux voir, de ce que même j'entends, je vis la même situation d'écrasement. Je vis la même situation de la mère indienne, de l'enfant de 8 ans, de la fille de 35 ans en toilettage, et là, 43 ans. Mais là, en m'étant amassée... En étant à voir que c'est assez, c'est pas vrai que je vais me mettre une main sur la tête, une main sur la bouche pour que je me taise, pour que je m'écrase, pour que je me fasse écraser. Là, ça, c'est un enseignement de la vie, là. C'est ça que j'ai réalisé encore. Et là, j'ai dit, là, c'est assez. Je vais prendre position à l'intérieur de moi. Je vais prendre ma place. Et tous ceux et celles qui sont autour de moi, qui me voient et qui peuvent ressentir une certaine jalousie ou une certaine envie, ça ne m'appartient pas. Ça ne m'appartient pas parce qu'en fait, moi je suis rendue à un autre niveau, c'est d'aider mon prochain. avec la couleur que je vibre à l'intérieur de moi. Et mon service que j'offre, c'est pour faire le bon, le bien et le beau autour de moi. Parce que je le sais que si je conseille à la personne à ce qu'elle prenne du collagène, à ce qu'elle prenne du zinc, à ce qu'elle prenne du safran, à ce qu'elle prenne de la vitamine D, à ce qu'elle prenne de la multivitamine, c'est parce qu'elle en a besoin. C'est un besoin au corps. pour que le corps soit en pleine floraison et que le corps qui fleurisse ouvre l'âme et que l'âme reflète l'amour de l'être humain. C'est ça, ma mission. C'est totalement ça. Fait que si la personne autour de moi, elle m'envie, elle me jalouse, c'est parce que c'est un enseignement pour moi qui me montre qu'Arine reflète encore. plus ta puissance, parce que ta puissance, c'est de faire le bien, le bon et le beau autour de toi, pour ton prochain, pour apporter l'amour qui vibre, ta passion qui vibre, pour aider l'âme à ce qu'elle puisse être bien avec son corps physique. Et c'est ça qui je trouve dommage, parce qu'on a toute notre propre lumière, on a toute notre programmation. On a tout ce qu'il faut à l'intérieur de soi, ça ne sert à rien de prendre ce que l'autre a côté fait. Oui, ça peut inspirer, mais vas-y à ta couleur, vas-y avec ce qui te reflète, vas-y avec ton âme, vas-y avec ton corps, avec ton cœur, avec ton essence même. C'est ça qui fait que ça donne de la crédibilité et les gens le sentent, les gens le savent. les gens leur ressentent que c'est c'est de ta conscience que ça devient c'est ça que moi aujourd'hui dans le ici et maintenant quand j'ai vu il y a x semaines que je commençais à revivre la même situation que dans mon passé par les trois expériences que j'ai vécues dans mes gros artères, là, je me suis dit, c'est assez. Dans le fond, c'est un enseignement de la vie, donc ça me montre que je suis exactement à la bonne place. Et c'est fou ce que je dois dire, mais suite à ça, quand j'ai décidé de prendre ma place, ça m'a apporté à faire des ventes de fou. Pour moi, c'était wow ! J'ai passé vraiment... À Silver, à Gold, en l'espace de X, là tu vas dire, c'est quoi ça ? C'est des rats, en fait. Puis moi, ça, ça n'a pas d'importance. Moi, ce qui est important, c'est que je le sais, que le monde voit que ce que j'offre comme service, c'est parce que c'est, que je le sais, que c'est bon pour son corps. Je le sais que cette personne-là... va avoir un produit de qualité pour sa santé. Moi, c'était clair, honnête et précis que tout ce qui est en lien, exemple avec le maquillage ou tout le kit, ça, ce n'est pas pour moi. Je ne rentre pas là-dedans. De toute façon, cette compagnie-là, pour l'instant, il n'y en a pas. Je ne sais pas s'il va en avoir, mais pour l'instant, il n'y en a pas. Et encore là, ce n'est pas quelque chose qui, pour moi, pour moi, c'est superficiel. Et je suis au... Aucune maman ne jugeait sur elle seule. Ma propre fille fait de l'esthétique, puis je l'annule. Sérieusement, si tu verrais son bureau d'esthétique dans sa chambre, c'est de toute beauté. Je l'annule parce que je la trouve belle dans ce qu'elle est, parce que c'est son essence. Moi, je ne me vois pas commencer à me mettre du rouge à lèvres. Je n'ai jamais fait ça de ma vie. Pour moi, ce n'est pas moi. Mais par contre... Les produits pour la santé, c'est moi. Tu sais, j'ai plein de gens qui m'écrivent, « Carine, ma fille, elle vit des gros problèmes menstruels. Qu'est-ce que tu lui conseilles ? » OK, telle huile essentielle, ça, ça, ça. Tu peux lui donner ça. Tu y frottes le ventre avec ça un petit peu. Tu vois, ça va aider. Ensuite de ça, un bol de tisane avec de la camomille pour qu'elle puisse être un petit peu relaxée, anti-inflammatoire. Tu sais, je n'utilise pas juste les produits modèles, aucun mal. Je te dirais même que j'ai une bibliothèque parce que j'ai étudié en aromathérapie, en herboristerie. J'ai étudié en zoonocosmétologie pour les chiens. J'ai étudié en naturopathie. J'ai étudié en phytothérapie. J'ai étudié en chamanisme. J'ai étudié... il y en a plein d'autres. J'ai des livres en homéopathie aussi. J'adore travailler avec ça. J'adore travailler avec les fleurs de bac. J'adore travailler avec les petites granules. Ma petite chamane qui travaille avec moi en toilettage la semaine passée, elle me dit, je l'appelle de même parce que je trouve qu'elle a de la petite chamane, elle est trop mignonne. Elle me dit, j'ai mal au ventre et en plus, full hémorragie. Je suis allée chercher une petite homéopathie, ça n'a pas pris une heure. Elle n'avait plus d'hémorragie. Parce que moi aussi, j'ai appris à expérimenter de par ma propre santé. Et c'est ce qui fait que ça, ça me passionne, ça me fascine, ça m'apporte dans un univers où est-ce que c'est incroyablement beau parce que c'est moi. Et enfin, je peux me dévoiler au grand jour. Et c'est ça qui fait que c'est tellement magique parce que les gens le sentent, ils le savent, ça se dégage, ça se vibre. Même tu dois le ressentir, je te parle et je suis... passionnée, si tu me verrais les bras dans les airs, c'est comme si je te voyais devant moi, puis que je te parle de, ben c'est ça, c'est moi ça, c'est moi. Fait que les gens dont j'ai eu à vivre des situations difficiles, je les remercie, je les honore, parce que la mère indienne qui était dans la vie antérieure, avec ces hommes-là qui m'ont écrasé, je les honore, je les remercie. Mes parents, qui ne savaient pas quoi me dire. Je les honore. Je les honore parce qu'ils m'ont apporté à être curieuse. Ensuite de ça, les personnes qui m'ont jalousée dans le monde du toilettage, je les remercie parce que c'est bientôt ma neuvième année que je suis en toilettage et je sais que j'apporte à mes chouchous d'amour. Je le sais et ils me font tellement du bien aussi. Je les aime tellement profondément. Je sais que ceux et celles qui m'ont écrasée dans ce monde-là, je les remercie parce qu'ils m'ont montré que je suis vraiment à ma bonne place. Et aujourd'hui, le fait que j'ai vécu encore là, face avec les produits en naturopathie dont je vends, ceux et celles qui ont essayé de me rentrer dedans ou me compétitionner ou me plagier, bien, je le sais que je suis véritablement à ma bonne place. Parce que c'est moi. Moi, j'ai la bibliothèque dans mon univers pour te parler des produits naturels. J'ai dans ma bibliothèque intérieure la capacité de t'aider à t'intégrer à l'intérieur de toi pour que tu ailles chercher ta véritable amour, ta véritable connexion sur le plan de l'âge. la bibliothèque à l'intérieur de moi pour t'aider à aller déprogrammer émotionnellement une émotion qui, cette émotion, t'empêche d'être libre. Et c'est ce qui fait que je suis intègre à moi-même et je le sens. Je me suis révélée à moi-même. Tout simplement. Et c'est ça que j'ai envie à ce que les gens se révèlent à eux-mêmes. Ce qui est merveilleux, c'est que j'ai fait un défi 21 jours, 21 questions pour 21 piastres. Le 21 février, comme par hasard, il n'y avait rien de prévu. Tout s'est orchestré dans une synchronicité parfaitement incroyable. Et avec ces 21 questions, je vois les partages que mes 41 femmes font et c'est de toute beauté. Ils me envoient des messages dont ils réalisent qui elles sont. Qui elles sont véritablement, ces femmes-là qui ne parlent pas, qui se taisent, qui sont écrasées dans leurs relations amicales, familiales, amoureuses, peu importe. Bien, moi, je sais les reconnaître parce que j'ai passé par là. Et c'est ce qui fait que je veux que ces femmes-là se lèvent debout comme moi, qu'on se prenne tous par la main et qu'en se prenant tous par la main, on change en puissance à devenir ces femmes intègres et authentiques et qu'on puisse émerger l'amour inconditionnel qu'on vibre à l'intérieur de nous. Et je vous le dis, tout ça va changer dans le sens que le jour que tu vas intégrer ton amour inconditionnel... Tu vas changer tout le monde autour de toi. Tu vas changer ton conjoint, ta conjointe. Tu vas changer tes enfants. Tu vas changer ta famille. Tu vas changer tes amis. Tu vas changer dans ton monde de travail. Tout se fait naturellement. Vraiment. Et tu l'enseignes inconsciemment à ton monde autour de toi. Parce que moi, en l'ayant programmé à l'intérieur de moi, je te le dis, c'est véritablement vrai. Même moi, je suis un peu flabbergastée, je dois dire. Quand, il y a deux semaines, que j'ai fait du EFT pour faire l'inversion psychologique, de dire, je suis à ma place dans toute mon intégrité et ma crédibilité. Je suis à ma place dans le ici et maintenant et j'honore qui je suis. Mon fils a un travail dont... Il n'était pas nécessairement dans l'acceptation de travailler où est-ce qu'il est, parce qu'il ne se sentait pas légitime de travailler à cet endroit-là. C'est ça qui est particulier. Tu sais, des fois, on ne sait pas d'où ça vient, mais c'est toutes des programmations transgénérationnelles. cellulaire. Et là, on se parlait, puis ils disaient, c'est sûr que moi, je m'en vais de là, oublie ça. Moi, j'ai dit, tu sais, t'es super bonne. Même les patrons viennent te voir pour te dire que t'es super bonne. Prends-le, tu sais. C'est de l'enseignement, ça, que tu reçois. Tu sais, t'as le droit de recevoir des bons mots. Ouais, mais là, tu sais, j'étais gênée, là. Tu sais, les autres entendaient autour de moi, puis j'étais quasiment gênée, mais là, tu sais, c'était comme... Je n'ai pas à sentir dans le mal-être de recevoir des bons mots, des commentaires de leur part qui montrent que justement, tu fleuris leurs entreprises. Accepte, ils sont reconnaissants, prends-le. Et là, moi, en ayant fait le travail sur moi, d'accepter qui je suis. de prendre ma place cette semaine, il vient me voir, puis il dit, ouais, mais, il dit, tu sais, on s'avait parlé l'autre jour, là, il dit que j'étais pas sûre de peut-être rester là, ou que j'allais peut-être aller me chercher un autre emploi, ou ailleurs, ou n'importe, mais il dit, je pense que là, je me sens vraiment à ma place, là, genre, ouais, il dit, sérieux, il dit, oui, oui, puis il dit, même, il dit, la superviseure est venue me voir, puis... Elle n'arrivait pas à quel point que, justement, je comprenais vite que, supposément, que ça prend genre deux mois avant que quelqu'un intègre vraiment le travail. Puis il dit, là, ça fait deux jours que je suis là, puis je suis laissée seule, puis ça a l'air que j'ai tout compris les pitons. Oui, mais tu as le droit de tout comprendre les pitons. Puis là, il me dit, oui, c'est ça. Il dit, on dirait qu'il dit, c'est drôle, il dit, ça m'intéresse de rester à cette entreprise-là. Il dit, que je sois ailleurs. Oser le mouk-mouk, il dit, ou ailleurs dans une autre entreprise, il dit, si je ne suis pas bien en dedans de moi, il dit, ça ne sert à rien que j'aille chercher ailleurs, je ne serais pas plus mieux dans une autre entreprise que présentement. Là, je la regarde, je dis, oh my God, tu es vraiment en train de réaliser ça toi ? Elle dit, oui, vraiment, puis même, j'ai entendu dire qu'ils pouvaient me former aussi pour qu'il y ait une évolution dans le travail, pour que même j'aille plus dessous. Là, je la regarde et je me dis « Oh my God, ce que j'ai fait comme travail sur moi, lui, il a eu l'impact parce que j'ai donné le droit d'être qui il est. J'ai donné le droit de ne pas se minoriser. Au contraire ! » ouvre tes épaules, puis sois fier de toi, mon homme. Ouvre-toi les épaules, puis go. Puis tu sais, ça, le monde pourrait dire, « Ah, gars, il est hautain ou il est arrogant. » Mais ça, il y a une différence. Il y a une différence de fierté à l'intérieur de soi. Puis quand on le fait humblement, là, il y a vraiment une différence. Fait que c'est pour t'expliquer que, avec mon fils, il y a eu un cheminement qui s'est fait inconsciemment. Et ça a commencé par moi. Et ça, je le sais que j'ai transformé sa vie en travaillant sur moi. J'espère que ça t'a inspiré. J'espère que je t'ai permis de comprendre des choses par rapport à ce que je viens de te raconter, avec mon histoire. Il faut que tu saches que, présentement, je suis totalement en paix avec ce que j'ai. exprimer avec tous ceux et celles qui m'ont fait vivre des émotions sur tous les plans. Je les honore, je les remercie, je les prie, je les bénis. Tout ça par l'enseignement de ma grand-maman Rita, qui m'a enseigné à ne pas garder la méchanceté en soi, parce que C'est à nous-mêmes qu'on se fait du mal. Et quand on se fait du mal à nous-mêmes, c'est là qu'on se désaligne de notre mission de vie. Et ce que j'ai appris, c'est à me centrer sur moi-même et de réaliser ma mission et d'en être inspirante. Et surtout, en me révélant à moi-même, c'est que je n'ai plus à me faire aimer par qui que ce soit. Parce que je n'ai plus rien à prouver. Parce que je n'ai pas rien à prouver. Ce que je veux, ce que je désire maintenant, c'est d'être dans ma mission de faire du bien, du beau et du bon autour de moi. Et quand je reçois des commentaires de personnes dont ils ont eu à vivre une expérience, soit en méditation, soit en défi 21 jours, soit en soins heuristiques, soit en coaching, et qui me disent que Karine a changé ma vie, Mais en fait, j'ai pas changé la vie. J'étais juste... Non, pas que j'étais juste. J'étais apportée ce que je pouvais t'y offrir, de ce qui venait de ma bibliothèque, de mon anal akashique, de ce que je porte, tout simplement. Fait que j'ai juste envie d'être... une immense bibliothèque pour que je puisse offrir à l'être humain, à l'animal, à la plante, à l'arbre, à l'eau, à la rivière, à l'air, au feu, à tous ces éléments ici qui sont du vivant. J'ai juste envie d'apporter ce que je peux offrir comme don de soi. Fait que je te souhaite que tu te révèles à toi-même. Vraiment, sincèrement, en toute honnêteté. Je te dis belle continuité, prends soin de toi et je te fais un gros canon.

Description

Quand les signes confirment que nous sommes au bon endroit, au bon moment. ✨


Dans cet épisode profondément introspectif, je partage avec toi comment mes souvenirs de vie antérieure ont eu un impact direct sur mon parcours dans cette vie-ci. Dès l’enfance, j’ai ressenti une connexion forte avec une existence passée, une vie d’Amérindienne où j’incarnais une femme puissante et connectée à la nature. Mais en grandissant, on m’a demandé de me taire, de mettre de côté ce savoir intérieur… jusqu’à ce que la vie me pousse à me reconnecter à cette vérité.


À travers mes expériences et mes enseignements, je t’explique comment nos vies passées influencent nos défis et nos choix actuels, et comment j’ai appris à embrasser pleinement cette sagesse pour avancer avec force et authenticité.

As-tu déjà ressenti un lien profond avec un passé que tu ne peux expliquer ? Cet épisode est pour toi.


Au plaisir de vous faire découvrir mon monde intérieur, en espérant qu’il vous en inspire.
Avec Amour,
Karine Turcotte


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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur mon podcast « En toute simplicité » . Je suis Karine Turcotte, accompagnatrice holistique, et à chaque semaine, je t'invite à découvrir les histoires que j'ai vécues, à te faire voyager à des réflexions profondes issues de mon parcours. À travers mes expériences terrestres, je te guide pour explorer le monde spirituel et comprendre que, malgré nos chemins uniques, Partageons tous des émotions similaires. Que tu cherches des réponses, de la motivation ou une nouvelle vision, En Toute Simplicité est là pour t'inspirer et t'accompagner dans ton chemin vers une vie plus épanouie et lumineuse. Bienvenue dans mon monde ! Allô, allô ! J'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon épisode 44 en Toute Simplicité. C'est particulier parce qu'à matin, je te partage que mon conjoint a 44 ans exactement aujourd'hui et je suis à l'épisode 44. Pour moi, ça, c'est un signe que je suis exactement au bon moment, au bon endroit. En plus, avec le chiffre 44, le chiffre des anges, donc je suis en train de réaliser en ce moment où est-ce que je suis assis dans ma salle de soins. qu'il y a un ange sur mon bord de fenêtre. C'est-tu pas génial ? 44, en plus, c'est l'équilibre. Terre, eau, feu, air. C'est nord, sud, est, ouest. Et ce qui est vraiment encore plus ancré dans mon quotidien, c'est que ce matin, j'ai préparé la cohorte numéro 2. en méditation qui va être en lien avec les éléments. Donc, pour moi, tous ces signes-là ont vraiment, vraiment une signification. Tu sais, moi, je le vis au quotidien, ce que je suis. Je ne suis pas à jouer un rôle. J'intègre. Ma spiritualité, 24 heures sur 24. Ce qui veut dire que je vibre spirituellement dans mon intégrité, de qui je suis. Je te dirais que ça n'a pas toujours été de cette façon-là, mais j'ai appris. J'ai appris avec le temps que, justement... Plus que je m'alignais dans qui je suis et plus que ça avait un impact dans mon quotidien. Ça avait vraiment encore plus de crédibilité parce que je montre qui je suis réellement dans la couleur de mon âme. Ça m'a apporté aujourd'hui à vous parler... J'ai eu une dame qui m'a écrit sur Messenger parce qu'elle avait commencé à écouter mes podcasts. Et elle était fascinée de voir qu'avec ce qu'elle entendait de quand j'étais petite fille, 3 ans, dont je parlais de ma vie antérieure de la mer Indienne... Et je fais une parenthèse, un matin, j'ai eu un homme qui m'a envoyé un vidéo qui est en lien avec des histoires dont ça passe à la radio. Et il y a une femme qui parle de son expérience avec son fils, dont son fils était en train de... de faire de la cuisine avec sa mère. Et tout bonnement, l'enfant de 5 ans, il dit à sa mère, « Tu t'en souviens-tu quand j'étais dans une autre vie, dont j'étais avec une autre maman ? » Et il disait que dans le fond, le petit gars, qu'il avait eu un accident par rapport avec l'huile à friteuse ou je ne sais pas trop quoi. Puis il a dit qu'il est décédé et qu'il est revenu ici auprès de sa nouvelle maman. Et là, la mère était comme un peu « Ah oui, OK » . Ta maman avait l'air être gentille parce qu'il était à dire comment qu'elle était. Pour lui, c'était de l'évidence. Et moi, ce qui est drôle, c'est qu'un matin, je voulais absolument parler de ça. Moi, un matin, j'étais partie, j'étais mindée à « faut que je parle » suite à la question que j'ai reçue cette semaine de cette dame qui me disait, qui me demandait « mais Karine, Est-ce que tes parents t'ont aidé suite à ça de ce que tu parlais quand tu étais enfant ? Si tu n'as pas écouté mes débuts de podcast, quand j'étais enfant, dès l'âge de 3 ans, je disais à mes parents, vous en souvenez-vous quand j'étais grande, que j'étais une Amérindienne, que j'avais des longs cheveux, dont je leur expliquais comment que je jouais avec des jeux de fléchettes, que j'étais... très grande, que je transportais du bois, je vivais dans la forêt. Fait que pour moi, c'était vraiment, vraiment comme si c'était hier. Quand t'es enfant, tu fais pas la différence si c'est hier ou aujourd'hui ou si c'est demain. Parce que le temps n'existe pas pour un enfant de 0 à 8 ans. L'enfant intègre son petit corps et accepte. son intégration ici sur cette terre, accepte son incarnation pour qu'il puisse grandir à développer sa mission. Ce qui fait que moi, de zéro à huit ans, j'étais vraiment dans le souvenir, quand j'étais petite, que j'étais vraiment dans un souvenir où est-ce que je suis. Je le verbalisais jusqu'à temps qu'on me dise que t'as-tu fini de compter des mensonges, t'as-tu fini de compter des menteries, ça se peut pas, t'as un monde imaginaire pas possible. Tu sais, c'était toutes des choses de même qui étaient dites, mais qu'en réalité, pour moi, c'était là. Je comprenais pas pourquoi que les gens étaient à me dire que j'étais menteuse. Je comprenais pas pourquoi que les gens me comprenaient pas. Et ça finissait que, oui, je continuais d'en parler, mais j'étais à un moment donné déçue parce que je n'avais pas les réponses à mes questions. Je n'avais pas de la part de mes parents dont c'était le reflet de confiance que je pouvais avoir dans ma vie. Je ne pouvais pas avoir les réponses, mais tu sais, je ne peux pas leur en vouloir parce qu'ils n'étaient pas là, ils n'étaient pas rendus là. C'était pas un sujet de discussion pour eux autres qui était normal. Fait que ce que ça a fait, c'est que, à mes 8 ans, j'ai décidé d'arrêter d'en parler. J'ai décidé de vraiment me concentrer à, OK, là je suis à mes 8 ans, je vais à l'école, il faut que j'apprenne à m'intégrer auprès des amis, parce que j'en parlais aussi auprès de mes amis quand j'étais à maternelle. Je disais des choses à une de mes amies, donc c'est ça qui est merveilleux. Suite au podcast, elle écoutait mes podcasts et elle m'est revenue et elle m'a dit, « Karine, je me souviens tellement de ce que tu disais quand on était assis ensemble sur une petite table et qu'on dessinait. » Fait que j'essayais d'ouvrir une petite porte pour voir s'il n'y avait pas quelqu'un qui pouvait me dire, « Hey, oui, Karine, ou, ah oui, je me souviens, ou, tu sais. » qu'il y ait quelque chose à élaborer suite au sujet que moi je portais. Oui, j'avais une cousine, Mélanie, qui j'étais vraiment à lui dire et elle m'encouragait et elle me questionnait. Je te dirais même que c'était la seule qui était à vraiment prendre le sujet au sérieux. Et ça l'a apporté justement à ce qu'elle comprenne mes démarches au fil des années qu'elle a vues vraiment que Je ne disais pas n'importe quoi. Et le fait que j'aille arrêter d'en parler à mes parents, ce n'est pas que je n'avais plus confiance en eux autres. C'est qu'en fait, c'était pour me protéger de moi. Parce que j'étais tannée, qu'on me dise que j'étais menteuse. J'étais tannée d'être dans le néant. Et j'ai mis ça de côté à partir de mes 8 ans. jusqu'à ce que je découvre les bibliothèques. Les bibliothèques à l'école, les bibliothèques, vraiment pour moi, c'était à partir de l'adolescence. Ou est-ce que, tu sais, en plus dans les années 80, on sentait qu'il n'y avait pas Internet, il n'y avait pas de Wi-Fi, il n'y avait rien de ça. Fait que c'était, tu te débrouilles avec ce que t'as. Et moi, j'étais à vivre dans un petit endroit où est-ce que c'était pas nécessairement, comment je pourrais dire, développé par rapport à ça. J'avais pas non plus des parents qui pouvaient être sujets à... parler, exprimer de spiritualité parce que mes parents étaient à être concentrés au niveau du travail. C'était plus la religion catholique, comme tout le monde. Mais quand il y avait quelqu'un qui parlait, qui osait parler, qui avait, mettons, vu ou entendu, qui aurait une histoire de... fantômes dans une maison, ou d'esprits dans une maison, ou que la magie pouvait exister, ou que... Ça, ça me fascinait, parce que là, c'était comme, oh, ils viennent de parler d'un sujet dont moi, je le sais qu'il y a quelque chose qui se passe à l'intérieur de moi et qui ça m'intéresse donc. Et je me souviens qu'à un moment donné, il y avait eu un monsieur qui était venu chez mes parents. et qui avait parlé d'un livre. Donc, dans ce livre-là, je me rappelle peu du titre, je le sais qu'il existe encore, je sais qu'il y avait le mot sacré, ou géométrie sacrée, fleur de vie, en tout cas, il faudrait que je le retrouve, mais ce monsieur-là m'avait expliqué qu'il y avait des choses qui étaient dites, dont ce qui était en lien avec les dimensions, ce qui était en lien avec les... Tout ce qui était le monde spirituel, là, j'étais fascinée, mais fascinée au point que fallait que je trouve ce livre-là. Et ce livre est venu à moi après X années, donc je l'ai dévoré, parce que pour moi, c'était tellement du bonbon de lire ça. C'était comme si, enfin, je rentre dans mon univers. Enfin, il y a quelqu'un qui me comprend. Tu sais, j'aurais dû pas... triper un peu, moi, d'avoir dans mes années 80 Internet. J'aurais-tu un peu vraiment triper. On s'entend, là, pour moi, ça aurait été, là, un paradis. Vraiment. Et ça, ça l'a fait que, justement, le livre qui était notre Internet, pour moi, était une mène d'or. Je l'ai mangé, ce livre-là. Et c'est à partir de là que j'ai tombé en amour avec les livres, parce qu'ils me nourrissaient. Les livres m'apportaient des mots dont je pouvais déposer dans mon cœur sans que j'aie à les juger. Tu sais, un livre, c'est quand on... c'est notre âme qui exprime au travers des mots. Et pour moi, l'auteur était quelqu'un qui... je pouvais le respecter et je savais qu'il me respectait en... déposant ces mots, qui aient pris du temps pour déposer ces mots, pour moi c'était d'un amour inconditionnel, vraiment, sérieusement. Pour moi, c'était un partage de temps, d'amour, d'enseignement qui, à partir de là, je me suis mise à dévorer les livres de tout ce qui était la spiritualité. vraiment, j'avais à peu près, c'était à partir de 12-13 ans ou est-ce que, j'avais pas les réponses à mes questions avec mes parents, mais j'avais découvert les livres, eux, pouvaient m'apporter vraiment les mots, les réponses à mes questions, tout, tout. Ça, ça a duré, là, quand j'étais enceinte de mes enfants, tu peux même pas t'imaginer, j'ai... toutes lu les livres à la bibliothèque, à Amkwi, de tout ce qui était la spiritualité, j'ai mangé les livres. Sérieusement, là, je me souviens, je m'astisais avec ma bédaine de 30 semaines et plus parce que, en plus, c'était ma façon de m'assire parce que j'étais une fille qui était très, très en mouvement. J'aimais être en mouvement, mais là, c'était un... « coucouning » pour moi. C'était un moment de bonheur où est-ce que c'était mon enseignement. Et mon âme, c'est ça qui est drôle parce que chaque enseignement que je recevais, c'est comme si j'étais prête à les recevoir. Parce que si, exemple, j'aurais lu un livre d'un tel auteur deux mois avant, je n'aurais pas été prête à recevoir ces mots-là. Ma conscience n'aurait pas été prête à recevoir ces enseignements si ça aurait été deux mois avant et même que si ça aurait été dans deux mois après. Parce que tout était d'une perfection d'alignement sur le plan de l'âme. C'est là que ça m'a appris justement à... Va chercher tes réponses de par toi-même, Karine. Ne te fie pas aux gens pour avoir des réponses, c'est leurs expériences qui vont t'apporter leurs réponses. Ce qui fait que c'est pour ça que je me suis ouverte à le monde du livre, parce que moi, quand j'ouvrais un livre, c'était mon enseignement, c'était une connexion avec l'auteur, avec ses mots, avec ses paroles, c'était... Un temps dimensionnel dont tout s'arrêtait autour de moi, et c'est encore de même aujourd'hui, mais de façon différente parce que je peux maintenant aller chercher mes réponses en les recevant par la vie, en les recevant par les rêves, en les recevant par mes enseignements, par mes accompagnements, parce que je me suis ouverte encore plus. à moi, à ce qui est l'anal akashique, à ma source. On a tout à l'intérieur de soi. C'est juste qu'ici, avec notre mental, on s'arrête. Et quand on est prise à ce que notre mental nous contrôle, c'est là qu'il manque une connexion. C'est là qu'il manque un fil. de connexion. Et ça, moi, j'ai compris ça au fil du temps. En étant à aller auprès des gens, donc, ces gens me faisaient vivre des expériences de connexion avec mon cœur encore plus à ce que j'intègre réellement qui je suis. Je me souviens, ça a commencé avec notre sorcier de la région, M. Poirier. Ou est-ce que lui m'a connectée vraiment à ce que je reprenne à mes 16 ans exactement ? Ou est-ce que j'avais perdu mon grand-papa suite à un AVC ? Donc, je l'entendais, je le sentais, je le ressentais qu'il était auprès de moi par les rêves. Et ça, ça me fascinait parce que je savais que grand-papa, il... Il reprenait, comment je pourrais dire ça ? Parce que quand j'étais enfant et que j'allais chez eux, je lui parlais de mes vies antérieures. Et lui, grand-papa, du côté maternel, comme il était beaucoup axé sur la religion catholique, même, je t'avoue, qu'il voulait devenir un curé. Et je remercie grand-maman. qu'il n'a pas voulu parce qu'elle l'a rencontré avant qu'il quitte, parce qu'il avait pris le choix de devenir curé. On s'entend-tu que je remercie tellement la vie, avec tout ce qui se passe au niveau catholique ? Vraiment, sérieusement, je n'entrerai pas là-dedans, mais je ne rentrerai pas là-dedans. Ce qui fait que je remercie vraiment la vie parce que ça l'a fait. un très bon grand-papa rempli de sagesse et c'est lui qui m'a enseigné à aimer les animaux, à les respecter, à les traiter avec amour et douceur. Aujourd'hui, je l'honore de son enseignement parce que je le sais que je me suis rapprochée de lui en venant ici, dans cette vie-ci, parce que la mérindienne que j'étais, était à respecter tout le vivant. Pour moi, j'avais besoin d'avoir des personnes autour de moi qui étaient dans cette même mentalité pour que je puisse continuer à être qui je suis dans une évolution modernisée. Ce qui fait que je l'honore vraiment, je le remercie vraiment. C'est ce qui a fait que quand je me suis réintégrée à mes 16 ans, de me reconnecter. Je le sais que quand grand-papa était dans le monde spirituel, décédé, de l'autre côté du voile, c'est lui qui m'a ramenée dans le chemin de qui j'étais. Parce que mes grands-parents... Mes parents, le monde autour de moi, m'ont fait une programmation dont c'était « tu ne peux pas être comme tu es dans ce monde, dans cette vie familiale, parce qu'on a peur de toi, parce qu'on a de la difficulté à savoir si c'est vrai ou si c'est faux parce qu'on n'a pas de preuves. » On n'a pas de preuves scientifiques. Et ça, c'est ça qui fait peur, en fait, parce que c'est un monde magique. C'est un monde où est-ce qu'on pourrait dire du n'importe quoi. Mais ça, on le sait de toute façon. On le sait si c'est du n'importe quoi ou si c'est vrai, parce que quand c'est du n'importe quoi, c'est pas intègre. Il n'y a pas de crédibilité, c'est pas droit, c'est pas structuré. Mais quand c'est vrai... Parce que moi, ça m'arrive de parler avec des gens, ça m'arrive de parler avec des enfants, et je le sais, je le sens qu'il y a une vérité dans ce qu'ils disent, comme qu'il y en a d'autres dont j'ai eu à avoir affaire et qui avaient des problèmes, je dirais, des problèmes mentaux, dans le sens que la schizophrénie, oui, ça fait partie de... L'ouverture, mais, ça en est rendu un peu comme trop. Et là, ça vient que ça l'apporte à un certain délire parce qu'il n'y a rien qui se tient, parce qu'ils sont trop dans des dimensions astrales où est-ce que, justement, ils sont infectés par ce qui est des énergies négatives autour d'eux. Fait qu'on le sent. Moi, je le sais, je le sens, il y a quelque chose qui se passe quand la personne me le dit vrai par rapport avec ses expériences. Il y en a d'autres aussi qui vont essayer d'impressionner. Ça, on le sait tout de suite. Ce qui fait qu'à partir de mes 16 ans, je me suis encore plus intégrée. C'est comme si la vie, dans le fond, disait, OK, là, Karine, t'as assez lu de livres de 12-16 ans. Là, il faut que tu rentres dans le monde, dans le vrai monde avec tes enseignements. Et là, on va t'enseigner. On va t'enseigner, mais il faut qu'en tant qu'élève, tu te dois de passer des niveaux. Et c'est exactement ça qui s'est passé. J'ai eu à passer des niveaux, donc ça a commencé avec grand-papa. Je lui ai permis, justement, d'entrer en contact avec moi suite après son décès. Et par la suite, il m'a guidée, justement, à être auprès de gens. Donc, ces gens-là m'ont aidé, m'ont apporté, m'ont enseigné, m'ont fait élever mon taux vibratoire, m'ont permis de me déprogrammer de mémoire émotionnelle dans cette vie-ci qui était en lien avec ceux et celles autour de moi dont ils n'acceptaient pas qui j'étais. Et ça ne leur faisait pas. Fait que moi, ça ne m'appartenait pas en fait parce que si la personne n'avait pas... à quelque part, ce n'était pas mon problème. Mais en même temps, je lui permettais à cette personne-là, à ce qu'elle s'ouvre spirituellement, à ce qu'elle puisse ouvrir sa conscience, à ce qu'elle puisse vraiment voir que il n'y a pas juste des restements qui existent. Il existe un monde au-delà de ce qu'on peut imaginer. Et ça, ça m'a apporté vraiment à rencontrer des belles personnalités, des belles personnes. Et comme ça m'a apporté aussi à des personnes dont j'ai vu qu'il y en a qui se disent d'être des sorciers, qui se disent d'être des chamanes, qui se disent d'être si, oui, on les est toutes. Mais ce qu'on porte à l'intérieur de soi, est-ce que c'est sain ou pas ? Ça, c'est une autre question. Parce que dans la vie, il y a l'ombre et la lumière. Et il y a des personnes qui profitent de la situation pour utiliser, pour prendre, pour écraser notre pouvoir. Et ce, moi, je l'ai déjà vécu, donc, quand j'étais dans la vie antérieure. La mère indienne, qui était une femme puissante, qui était en connexion avec la nature, qui avait un don de soi, qui était l'amour. Et que les hommes autour de moi ne voulaient pas que moi je sois une chamane, ne voulaient pas que je sois cette femme forte et puissante sur le plan énergétique pour aider mon prochain. C'est pour ça que j'ai vécu à me faire rejeter de ce village amérindien pour que je me retrouve vraiment exclue et esclave. Et c'était de cette façon-là qu'il m'écrasait, qu'il me mettait vraiment la main sur la tête, comme je pouvais le voir, en voulant dire « tu te tais » . C'est nous les hommes, c'est nous qui contrôlons, c'est nous qui possédons la vérité. Et ce mois, je me suis rabaissée. Ça m'apporte à te raconter, dans ma vie d'aujourd'hui, quand je me suis mise à entrer encore plus en force dans le monde des animaux. J'ai eu une personne qui, même deux, qui m'ont vraiment apporté à m'écraser, à voler mon pouvoir, à me dire que tu rentres dans ce domaine-là, tu ne connais rien, dans le monde du toilettage, à me dire, tu ne connais rien, tu commences. Tu es qui, toi, pour nous dire ça ? Qu'est-ce qui te fait dire ça ? Qu'est-ce qui te fait dire ça ? « Prends ! Pourquoi tu t'en vas dans le domaine des animaux ? » Et là, je ressentais qu'il y avait de l'envie, qu'il y avait de la jalousie, qu'il y avait de l'escroquerie, dans le sens que je commençais à voir que, oh, OK, moi, je suis dans un élan de me réaliser à ce que je puisse apporter le beau, le bien et le bon auprès des animaux. Mais à côté, j'ai des gens qui viennent m'écraser par l'envie, par la jalousie, qui me compétitionnent, qui me font du coup de coude. Là, j'étais dans un état où est-ce que dans mon intérieur, la programmation que j'avais de la vie antérieure de la mère indienne, ça me ramenait à dire « Ouais, Karine, t'es qui toi ? Tu viens de rentrer dans le monde du toilettage, tu viens de rentrer dans le monde des chevaux, tu te prends pour qui ? » T'as pas d'affaire à commencer à travailler énergiquement sur les animaux. Faire du toilettage, c'est tu t'ondes, tu coupes les griffes, puis tu donnes aux clients, c'est fini. Non, moi c'est pas ça que je veux. Moi ce que je veux dans le monde du toilettage, c'est de prendre l'animal, c'est de l'intégrer dans mon monde, parce que mon entreprise, c'est mon âme. Mon âme est tellement dans une grande dimension que j'ai besoin de l'exploiter. J'ai besoin à ce que les gens viennent à moi pour que je les enveloppe de mes ailes et que d'avec mes mains, je puisse apporter l'amour que mon cœur veut pour ces animaux-là, parce que je les aime, ces animaux-là. Sérieusement, là, moi, je suis une folle alliée des animaux, là. Sérieux, là, j'ai un amour inconditionnel, tu ne peux même pas t'imaginer. Quand je regarde une vidéo, là, je ne suis même pas capable de voir des animaux souffrir. Je ne suis pas capable. Mon chum, des fois, il arrive et il me demande « Hey, check ça ! » Non, non, non, oublie ça, c'est un animal. Il dit « Non, mais il arrive. » Non, je ne suis pas capable, ça me rentre dedans. C'est comme si là, ça me met à l'envers, mon esprit reste avec ça dans ma tête. Je suis d'une fragilité émotionnelle incroyable quand on parle d'animaux. Et là, moi, ça m'apporte à la création de mon entreprise dans le monde du toilettage. Et j'ai des gens autour de moi qui me rentrent dedans, mais j'en ai d'autres qui me fleurissent, qui me nourrissent. J'en ai d'autres, c'est comme, hé Karine, t'es tellement à ta place. Je veux toi absolument qu'il fasse mon chien, mon chat, je veux pas personne d'autre. J'aimerais ça que tu, tu sais, le monde me disait ça, j'aimerais ça que ce soit toi. Avant que je rentre vraiment dans le métier, j'avais déjà un horaire de fête. Et ça, moi, ça montrait que j'étais à la bonne place. Mais plus que ça allait, puis plus que j'avais une personne qui me rentrait tout le temps dedans. Soit par le plagiat, j'ai vécu extrêmement beaucoup de plagiat, soit par des mots, soit par des entendus d'une personne qui avait dit ça sur moi, soit aussi de me faire même jusqu'à suivre pour faire écouter mes conférences. Et là, c'était du vrai délire, c'était du vrai bordel, parce que je me disais, « Ouais, c'est vrai, tu sais, je devrais peut-être prendre moins de place. » Mais moi, là, quand je suis passionnée, je suis excité. Quand je suis excitée, je veux tout offrir, plein d'amour. C'est comme la joie, le bonheur. J'adore ça. J'aime nourrir autour de moi de par l'amour qui vit. Parce que ça vient de mon âme, ça vient du plus profond de mon être. Et ce que j'ai trouvé à faire, parce que je trouvais que je dérangeais beaucoup, c'est que je me suis têt, vraiment. Je me suis mis dans un petit coin et j'ai dit, OK, là, je ne fais plus de publicité. Je ne montre plus qu'est-ce que je fais. Je ne parle pas de ce que je dis. Je vais être juste en contact avec mon client. Je vais vraiment être dans mon petit cocon, dans ma petite niche à chiens, dans mon micro salon de toilettage, dans mon endroit où est-ce que... Je me sentais en sécurité. C'était de cette façon-là que j'avais plus de plagiat en me taisant. Je n'avais plus rien qui venait de l'extérieur, qui venait me toucher, qui venait me blesser, ou qui venait me voler mes idées, ou qui venait vraiment prendre mes mots. Ça ne me dérange pas que j'inspire les gens. Au contraire, j'adore ça. Mais fais-le d'une façon où est-ce que ça va être honnête pour moi et pour toi. C'est ça la différence. C'est ça que j'ai compris, moi. Quand c'est malsain, c'est là que moi, j'ai un détecteur. Parce que dans la vie antérieure, les hommes qui me mettaient la main sur ma taille pour m'écraser, bien, c'est ces hommes-là que je me suis connectée. C'est avec ces hommes-là que j'ai compris qu'il faut que je les détecte de façon à ce que, OK, quand je détecte ça, c'est dans le sein, il faut que je me tasse de là pour encore plus ouvrir ma lumière. Et en même temps, dans cette vie-ci, quand j'étais à vivre avec cette personnalité qui m'enviait, qui me jalousait, qui m'écrasait, qui m'intimidait, qui me compétitionnait, ça m'apportait à détecter que c'était malsain, encore là, parce que cette personne-là, ces personnes-là avaient peur de moi. En mettant la main sur ma tête, c'était, il me faisait peur. Et j'ai embarqué là-dedans. J'ai vraiment embarqué là-dedans. Comme je suis dans le monde naturel, j'aime les animaux, j'aime les plantes, j'aime les arbres, j'aime la vie, tout ce qui est le monde vivant, tout ce qui a un âme. Moi, un arbre a un âme. La fleur, elle a un âme pour moi. Ça fait dix ans. Et plus que j'ai suivi mon cours en naturopathie et phytothérapie. Et dernièrement, je me suis affiliée avec une compagnie dont les produits, je les utilisais depuis un certain temps. Et j'étais en plus à chercher des produits pour permettre. à aider mon prochain lors de consultation. J'étais à la recherche vraiment d'une communauté où est-ce qu'on était tous inspirants, qu'on s'élève en puissance, tout le monde ensemble. J'avais même fait dans mon vision board une photo où est-ce qu'on est beaucoup de personnes et qu'on se tient toutes par la main, mais pas par la main, sous forme de la main sur l'avant-bras et l'autre personne met sa main sur l'avant-bras. Je pense que c'est de cette façon-là que les hommes de guerre se tiennent pour se soutenir. C'est vraiment une façon pour dire qu'on se soutient, mais de façon vraiment honnête. Et moi, j'avais mis ça en photo sur mon vision board. Et cet automne, même je dirais l'été passé, en 2024, j'étais vraiment à la recherche d'une communauté où est-ce que j'allais me louer avec eux autres en tant que naturopathe. Parce que, encore là, j'avais reçu une lettre d'une fédération dont ils me contrôlaient. Ils m'exigeaient des choses. Pour moi, ça m'exigeait... Tu viens de me perdre. C'est comme si tu me contrôles, tu viens de me perdre. Parce que ça me ramène à ma vie antérieure. Rentre pas là-dedans, parce que moi j'ai une clé de sécurité qui va faire que, oh ok, toi tu m'apportes là, c'est bien une valeur, moi je prends un autre chemin. Et ça, ça m'a apporté à découvrir une autre naturopathe qui est dans le domaine de la santé. Et mon cœur me disait d'aller auprès de cette personne-là et c'était extrêmement fort. Et j'ai suivi mon intuition, je suis allée vers elle pour qu'elle m'aide en me coachant côté entraînement et aussi côté alimentaire. Et cette personne-là, c'est elle qui m'a fait découvrir les produits, les produits que j'utilise qui sont les produits modères. Et je me suis intéressée à leur côté très naturel. Tout ce qui... le collagène, tout ce qui est magnésium, vitamine D, les multivitamines. Je les ai découvertes, je les ai essayées, je les ai expérimentées, je les ai intégrées dans mon être. Et ça, ça m'a donné le goût justement d'entrer dans cet univers avec ces femmes dont il y a une naturopathe comme moi, il y a une pharmacienne, il y a une professeure. Il y a une gardienne d'enfants. Il y a des femmes dont j'ai appris à les découvrir, mais elles sont d'une... Je n'ai pas de mots. Elles sont tellement inspirantes. On est un groupe de femmes où est-ce qu'on s'élève toutes ensemble. Et ça, moi, je suis rentrée avec vraiment des jugements à moi-même parce que, dans le fond, c'est une compagnie. qui est en lien en vente de réseaux marketing, MLM. Ça, moi, c'était comme j'avais des jugements par rapport avec ça, par rapport dans le passé, j'étais tannée dans le feuille retannée. Et au fil du temps, j'ai réalisé qu'on s'en va tout dans le réseau de marketing. C'est plate à dire, mais tout ce qui est au niveau commercial, c'est en train de s'écrouler, veut, veut pas. C'est plate, mais c'est comme ça. C'est la société qui veut ça. On le voit. Tout ce qui est les petits commerces, la société écrase ces petits commerces. J'ai peut-être un jugement, j'ai peut-être quelque chose que je dis en ce moment qui ne te plaît pas ou peu importe, mais on le voit qu'il n'y a pas les petites entreprises. C'est les grosses entreprises qui rentrent dans le marché. Et en plus, avec l'économie, les gens vont vouloir économiser. Ils vont vouloir... prendre beaucoup plus un café qui va valoir une pièce versus un café dans un endroit artisanal où est-ce qu'il va valoir 5 pièces. Moi, je vais avoir envie de 5 pièces parce que je sais ce que je bois. Ce qui fait que c'est ce qui m'a apporté justement à, ok, là Karine, les produits, tu les as essayés, tu les as vraiment intégrés, tu sais de ce que tu parles, tu sais ce que tu peux. apporter à ton client et à ta cliente, c'est pour ça que j'ai embarqué. Parce que je savais que ces femmes-là allaient m'aider à vraiment me déprogrammer dans mes croyances du passé. Puis ça, c'est vraiment quelque chose qu'on doit apprendre. Parce que si tu as une programmation qui est encore dans les croyances du passé, bien, il faut que tu apprennes à faire des mises à l'eau. C'est ce que j'ai compris. Il faut que je laisse tomber mon orgueil. Il faut que je me pardonne. Il faut que je m'ouvre. à ce qui s'en vient, parce qu'on s'entend que nos jeunes, c'est eux autres l'avenir. Et ce qu'ils ont dans leurs mains, les jeunes, un téléphone. Et tout se passe par un téléphone. Fait que, c'est pour ça que j'ai accepté de dire, je me dois de, si je veux, me rapprocher des jeunes. Parce que moi, mon but, là, tu sais, je te parle de modère, je te parle de vie antérieure, je te parle d'animaux, c'est tout un mélange, mais c'est qu'en fait, ça a tout un lien. C'est l'âme. C'est le cœur de ce que je te raconte, c'est l'âme. L'âme, elle, ce qu'elle a besoin, c'est l'amour. Ce qu'elle a besoin, c'est d'être bien dans le corps physique. Fait que si ton corps physique ne va pas bien, n'a pas une bonne santé, ton âme va se détériorer parce que tu n'auras pas une belle fréquence énergétique à vibrer, parce que ton corps va souffrir. Énergiquement, ton âme va aller apporter à ton corps physique l'énergie pour survivre. Et là, ça fait que moi, je travaille avec corps, âme, esprit, émotion, cœur. Pour permettre à ce que, en passant par corps, âme, esprit, émotion, qu'on puisse aller dans notre cœur et vraiment être dans la plus belle des alignements. Nord-sud, est-ouest, corps, âme, esprit, émotion, terre, eau, feu, air. Ce qui fait que moi, en étant bien centré, je le sais que je suis dans un alignement. Et en étant allée chercher ces produits-là, ça m'a permis vraiment d'être encore plus à offrir à mon client pour qu'il ait un corps en santé. Mais ce qui est fou, c'est que je suis en train de vivre exactement la même situation quand je suis rentrée dans le monde du toilettage. Ouais ! Je vis la même chose de la compétition, de la génosie, de l'envie, du plagiat, qui fait en sorte que je me suis assise et j'ai observé, j'ai analysé la situation dont la vie est en train de me montrer. Et c'est là que ça me dit, Karine, souviens-toi, dans la vie antérieure, quand tu étais amérindienne, on t'a écrasé. On t'a humilié. On t'a mis la main sur la tête pour que tu restes écrasé le plus bas possible à la terre et que tu ne dises rien. Ensuite de ça, tu es arrivé ici sur cette terre en tant qu'enfant. Tu étais à dire ta puissance, à exprimer ce qui tu étais. On t'a mis la main sur la bouche pour que tu arrêtes d'exprimer, pour que tu ne nous fasses pas honte. On t'a mis la main sur la bouche pour que tu te taises. Je me suis têt, comme dans la mer Indienne. Je me suis croisée, j'étais une esclave. Ce qui fait que là, en étant enfant, je me suis têt, je me suis arrêtée, je me suis retournée vers moi-même en gardant les messages que je recevais. Par la suite, j'ai avancé, Il y en a eu d'autres expériences, mais celle les plus importantes, les artères, beaucoup plus importantes, ce sont elles que je te parle. Quand j'ai commencé en toilettage, on m'a mis la main sur la tête, vraiment. Et là, ça m'a fait ding, ding, ding dans ma tête, dans mon cœur, dans mon être. Soit que je me levais ou soit que je m'écrasais. Je me suis écrasée. Je me suis... en plus. J'avais une programmation d'une main sur la bouche et j'avais une programmation d'une main sur la tête. Ce qui fait qu'on me tenait au sol avec la jalousie, avec l'envie, avec tout ce qu'il y en a. Et là, avec mon intégration de produits naturels que j'ai mis en cours, avec mes accompagnements de coaching holistique, donc je vis de part. de ce que je peux observer, de ce que je peux voir, de ce que même j'entends, je vis la même situation d'écrasement. Je vis la même situation de la mère indienne, de l'enfant de 8 ans, de la fille de 35 ans en toilettage, et là, 43 ans. Mais là, en m'étant amassée... En étant à voir que c'est assez, c'est pas vrai que je vais me mettre une main sur la tête, une main sur la bouche pour que je me taise, pour que je m'écrase, pour que je me fasse écraser. Là, ça, c'est un enseignement de la vie, là. C'est ça que j'ai réalisé encore. Et là, j'ai dit, là, c'est assez. Je vais prendre position à l'intérieur de moi. Je vais prendre ma place. Et tous ceux et celles qui sont autour de moi, qui me voient et qui peuvent ressentir une certaine jalousie ou une certaine envie, ça ne m'appartient pas. Ça ne m'appartient pas parce qu'en fait, moi je suis rendue à un autre niveau, c'est d'aider mon prochain. avec la couleur que je vibre à l'intérieur de moi. Et mon service que j'offre, c'est pour faire le bon, le bien et le beau autour de moi. Parce que je le sais que si je conseille à la personne à ce qu'elle prenne du collagène, à ce qu'elle prenne du zinc, à ce qu'elle prenne du safran, à ce qu'elle prenne de la vitamine D, à ce qu'elle prenne de la multivitamine, c'est parce qu'elle en a besoin. C'est un besoin au corps. pour que le corps soit en pleine floraison et que le corps qui fleurisse ouvre l'âme et que l'âme reflète l'amour de l'être humain. C'est ça, ma mission. C'est totalement ça. Fait que si la personne autour de moi, elle m'envie, elle me jalouse, c'est parce que c'est un enseignement pour moi qui me montre qu'Arine reflète encore. plus ta puissance, parce que ta puissance, c'est de faire le bien, le bon et le beau autour de toi, pour ton prochain, pour apporter l'amour qui vibre, ta passion qui vibre, pour aider l'âme à ce qu'elle puisse être bien avec son corps physique. Et c'est ça qui je trouve dommage, parce qu'on a toute notre propre lumière, on a toute notre programmation. On a tout ce qu'il faut à l'intérieur de soi, ça ne sert à rien de prendre ce que l'autre a côté fait. Oui, ça peut inspirer, mais vas-y à ta couleur, vas-y avec ce qui te reflète, vas-y avec ton âme, vas-y avec ton corps, avec ton cœur, avec ton essence même. C'est ça qui fait que ça donne de la crédibilité et les gens le sentent, les gens le savent. les gens leur ressentent que c'est c'est de ta conscience que ça devient c'est ça que moi aujourd'hui dans le ici et maintenant quand j'ai vu il y a x semaines que je commençais à revivre la même situation que dans mon passé par les trois expériences que j'ai vécues dans mes gros artères, là, je me suis dit, c'est assez. Dans le fond, c'est un enseignement de la vie, donc ça me montre que je suis exactement à la bonne place. Et c'est fou ce que je dois dire, mais suite à ça, quand j'ai décidé de prendre ma place, ça m'a apporté à faire des ventes de fou. Pour moi, c'était wow ! J'ai passé vraiment... À Silver, à Gold, en l'espace de X, là tu vas dire, c'est quoi ça ? C'est des rats, en fait. Puis moi, ça, ça n'a pas d'importance. Moi, ce qui est important, c'est que je le sais, que le monde voit que ce que j'offre comme service, c'est parce que c'est, que je le sais, que c'est bon pour son corps. Je le sais que cette personne-là... va avoir un produit de qualité pour sa santé. Moi, c'était clair, honnête et précis que tout ce qui est en lien, exemple avec le maquillage ou tout le kit, ça, ce n'est pas pour moi. Je ne rentre pas là-dedans. De toute façon, cette compagnie-là, pour l'instant, il n'y en a pas. Je ne sais pas s'il va en avoir, mais pour l'instant, il n'y en a pas. Et encore là, ce n'est pas quelque chose qui, pour moi, pour moi, c'est superficiel. Et je suis au... Aucune maman ne jugeait sur elle seule. Ma propre fille fait de l'esthétique, puis je l'annule. Sérieusement, si tu verrais son bureau d'esthétique dans sa chambre, c'est de toute beauté. Je l'annule parce que je la trouve belle dans ce qu'elle est, parce que c'est son essence. Moi, je ne me vois pas commencer à me mettre du rouge à lèvres. Je n'ai jamais fait ça de ma vie. Pour moi, ce n'est pas moi. Mais par contre... Les produits pour la santé, c'est moi. Tu sais, j'ai plein de gens qui m'écrivent, « Carine, ma fille, elle vit des gros problèmes menstruels. Qu'est-ce que tu lui conseilles ? » OK, telle huile essentielle, ça, ça, ça. Tu peux lui donner ça. Tu y frottes le ventre avec ça un petit peu. Tu vois, ça va aider. Ensuite de ça, un bol de tisane avec de la camomille pour qu'elle puisse être un petit peu relaxée, anti-inflammatoire. Tu sais, je n'utilise pas juste les produits modèles, aucun mal. Je te dirais même que j'ai une bibliothèque parce que j'ai étudié en aromathérapie, en herboristerie. J'ai étudié en zoonocosmétologie pour les chiens. J'ai étudié en naturopathie. J'ai étudié en phytothérapie. J'ai étudié en chamanisme. J'ai étudié... il y en a plein d'autres. J'ai des livres en homéopathie aussi. J'adore travailler avec ça. J'adore travailler avec les fleurs de bac. J'adore travailler avec les petites granules. Ma petite chamane qui travaille avec moi en toilettage la semaine passée, elle me dit, je l'appelle de même parce que je trouve qu'elle a de la petite chamane, elle est trop mignonne. Elle me dit, j'ai mal au ventre et en plus, full hémorragie. Je suis allée chercher une petite homéopathie, ça n'a pas pris une heure. Elle n'avait plus d'hémorragie. Parce que moi aussi, j'ai appris à expérimenter de par ma propre santé. Et c'est ce qui fait que ça, ça me passionne, ça me fascine, ça m'apporte dans un univers où est-ce que c'est incroyablement beau parce que c'est moi. Et enfin, je peux me dévoiler au grand jour. Et c'est ça qui fait que c'est tellement magique parce que les gens le sentent, ils le savent, ça se dégage, ça se vibre. Même tu dois le ressentir, je te parle et je suis... passionnée, si tu me verrais les bras dans les airs, c'est comme si je te voyais devant moi, puis que je te parle de, ben c'est ça, c'est moi ça, c'est moi. Fait que les gens dont j'ai eu à vivre des situations difficiles, je les remercie, je les honore, parce que la mère indienne qui était dans la vie antérieure, avec ces hommes-là qui m'ont écrasé, je les honore, je les remercie. Mes parents, qui ne savaient pas quoi me dire. Je les honore. Je les honore parce qu'ils m'ont apporté à être curieuse. Ensuite de ça, les personnes qui m'ont jalousée dans le monde du toilettage, je les remercie parce que c'est bientôt ma neuvième année que je suis en toilettage et je sais que j'apporte à mes chouchous d'amour. Je le sais et ils me font tellement du bien aussi. Je les aime tellement profondément. Je sais que ceux et celles qui m'ont écrasée dans ce monde-là, je les remercie parce qu'ils m'ont montré que je suis vraiment à ma bonne place. Et aujourd'hui, le fait que j'ai vécu encore là, face avec les produits en naturopathie dont je vends, ceux et celles qui ont essayé de me rentrer dedans ou me compétitionner ou me plagier, bien, je le sais que je suis véritablement à ma bonne place. Parce que c'est moi. Moi, j'ai la bibliothèque dans mon univers pour te parler des produits naturels. J'ai dans ma bibliothèque intérieure la capacité de t'aider à t'intégrer à l'intérieur de toi pour que tu ailles chercher ta véritable amour, ta véritable connexion sur le plan de l'âge. la bibliothèque à l'intérieur de moi pour t'aider à aller déprogrammer émotionnellement une émotion qui, cette émotion, t'empêche d'être libre. Et c'est ce qui fait que je suis intègre à moi-même et je le sens. Je me suis révélée à moi-même. Tout simplement. Et c'est ça que j'ai envie à ce que les gens se révèlent à eux-mêmes. Ce qui est merveilleux, c'est que j'ai fait un défi 21 jours, 21 questions pour 21 piastres. Le 21 février, comme par hasard, il n'y avait rien de prévu. Tout s'est orchestré dans une synchronicité parfaitement incroyable. Et avec ces 21 questions, je vois les partages que mes 41 femmes font et c'est de toute beauté. Ils me envoient des messages dont ils réalisent qui elles sont. Qui elles sont véritablement, ces femmes-là qui ne parlent pas, qui se taisent, qui sont écrasées dans leurs relations amicales, familiales, amoureuses, peu importe. Bien, moi, je sais les reconnaître parce que j'ai passé par là. Et c'est ce qui fait que je veux que ces femmes-là se lèvent debout comme moi, qu'on se prenne tous par la main et qu'en se prenant tous par la main, on change en puissance à devenir ces femmes intègres et authentiques et qu'on puisse émerger l'amour inconditionnel qu'on vibre à l'intérieur de nous. Et je vous le dis, tout ça va changer dans le sens que le jour que tu vas intégrer ton amour inconditionnel... Tu vas changer tout le monde autour de toi. Tu vas changer ton conjoint, ta conjointe. Tu vas changer tes enfants. Tu vas changer ta famille. Tu vas changer tes amis. Tu vas changer dans ton monde de travail. Tout se fait naturellement. Vraiment. Et tu l'enseignes inconsciemment à ton monde autour de toi. Parce que moi, en l'ayant programmé à l'intérieur de moi, je te le dis, c'est véritablement vrai. Même moi, je suis un peu flabbergastée, je dois dire. Quand, il y a deux semaines, que j'ai fait du EFT pour faire l'inversion psychologique, de dire, je suis à ma place dans toute mon intégrité et ma crédibilité. Je suis à ma place dans le ici et maintenant et j'honore qui je suis. Mon fils a un travail dont... Il n'était pas nécessairement dans l'acceptation de travailler où est-ce qu'il est, parce qu'il ne se sentait pas légitime de travailler à cet endroit-là. C'est ça qui est particulier. Tu sais, des fois, on ne sait pas d'où ça vient, mais c'est toutes des programmations transgénérationnelles. cellulaire. Et là, on se parlait, puis ils disaient, c'est sûr que moi, je m'en vais de là, oublie ça. Moi, j'ai dit, tu sais, t'es super bonne. Même les patrons viennent te voir pour te dire que t'es super bonne. Prends-le, tu sais. C'est de l'enseignement, ça, que tu reçois. Tu sais, t'as le droit de recevoir des bons mots. Ouais, mais là, tu sais, j'étais gênée, là. Tu sais, les autres entendaient autour de moi, puis j'étais quasiment gênée, mais là, tu sais, c'était comme... Je n'ai pas à sentir dans le mal-être de recevoir des bons mots, des commentaires de leur part qui montrent que justement, tu fleuris leurs entreprises. Accepte, ils sont reconnaissants, prends-le. Et là, moi, en ayant fait le travail sur moi, d'accepter qui je suis. de prendre ma place cette semaine, il vient me voir, puis il dit, ouais, mais, il dit, tu sais, on s'avait parlé l'autre jour, là, il dit que j'étais pas sûre de peut-être rester là, ou que j'allais peut-être aller me chercher un autre emploi, ou ailleurs, ou n'importe, mais il dit, je pense que là, je me sens vraiment à ma place, là, genre, ouais, il dit, sérieux, il dit, oui, oui, puis il dit, même, il dit, la superviseure est venue me voir, puis... Elle n'arrivait pas à quel point que, justement, je comprenais vite que, supposément, que ça prend genre deux mois avant que quelqu'un intègre vraiment le travail. Puis il dit, là, ça fait deux jours que je suis là, puis je suis laissée seule, puis ça a l'air que j'ai tout compris les pitons. Oui, mais tu as le droit de tout comprendre les pitons. Puis là, il me dit, oui, c'est ça. Il dit, on dirait qu'il dit, c'est drôle, il dit, ça m'intéresse de rester à cette entreprise-là. Il dit, que je sois ailleurs. Oser le mouk-mouk, il dit, ou ailleurs dans une autre entreprise, il dit, si je ne suis pas bien en dedans de moi, il dit, ça ne sert à rien que j'aille chercher ailleurs, je ne serais pas plus mieux dans une autre entreprise que présentement. Là, je la regarde, je dis, oh my God, tu es vraiment en train de réaliser ça toi ? Elle dit, oui, vraiment, puis même, j'ai entendu dire qu'ils pouvaient me former aussi pour qu'il y ait une évolution dans le travail, pour que même j'aille plus dessous. Là, je la regarde et je me dis « Oh my God, ce que j'ai fait comme travail sur moi, lui, il a eu l'impact parce que j'ai donné le droit d'être qui il est. J'ai donné le droit de ne pas se minoriser. Au contraire ! » ouvre tes épaules, puis sois fier de toi, mon homme. Ouvre-toi les épaules, puis go. Puis tu sais, ça, le monde pourrait dire, « Ah, gars, il est hautain ou il est arrogant. » Mais ça, il y a une différence. Il y a une différence de fierté à l'intérieur de soi. Puis quand on le fait humblement, là, il y a vraiment une différence. Fait que c'est pour t'expliquer que, avec mon fils, il y a eu un cheminement qui s'est fait inconsciemment. Et ça a commencé par moi. Et ça, je le sais que j'ai transformé sa vie en travaillant sur moi. J'espère que ça t'a inspiré. J'espère que je t'ai permis de comprendre des choses par rapport à ce que je viens de te raconter, avec mon histoire. Il faut que tu saches que, présentement, je suis totalement en paix avec ce que j'ai. exprimer avec tous ceux et celles qui m'ont fait vivre des émotions sur tous les plans. Je les honore, je les remercie, je les prie, je les bénis. Tout ça par l'enseignement de ma grand-maman Rita, qui m'a enseigné à ne pas garder la méchanceté en soi, parce que C'est à nous-mêmes qu'on se fait du mal. Et quand on se fait du mal à nous-mêmes, c'est là qu'on se désaligne de notre mission de vie. Et ce que j'ai appris, c'est à me centrer sur moi-même et de réaliser ma mission et d'en être inspirante. Et surtout, en me révélant à moi-même, c'est que je n'ai plus à me faire aimer par qui que ce soit. Parce que je n'ai plus rien à prouver. Parce que je n'ai pas rien à prouver. Ce que je veux, ce que je désire maintenant, c'est d'être dans ma mission de faire du bien, du beau et du bon autour de moi. Et quand je reçois des commentaires de personnes dont ils ont eu à vivre une expérience, soit en méditation, soit en défi 21 jours, soit en soins heuristiques, soit en coaching, et qui me disent que Karine a changé ma vie, Mais en fait, j'ai pas changé la vie. J'étais juste... Non, pas que j'étais juste. J'étais apportée ce que je pouvais t'y offrir, de ce qui venait de ma bibliothèque, de mon anal akashique, de ce que je porte, tout simplement. Fait que j'ai juste envie d'être... une immense bibliothèque pour que je puisse offrir à l'être humain, à l'animal, à la plante, à l'arbre, à l'eau, à la rivière, à l'air, au feu, à tous ces éléments ici qui sont du vivant. J'ai juste envie d'apporter ce que je peux offrir comme don de soi. Fait que je te souhaite que tu te révèles à toi-même. Vraiment, sincèrement, en toute honnêteté. Je te dis belle continuité, prends soin de toi et je te fais un gros canon.

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Quand les signes confirment que nous sommes au bon endroit, au bon moment. ✨


Dans cet épisode profondément introspectif, je partage avec toi comment mes souvenirs de vie antérieure ont eu un impact direct sur mon parcours dans cette vie-ci. Dès l’enfance, j’ai ressenti une connexion forte avec une existence passée, une vie d’Amérindienne où j’incarnais une femme puissante et connectée à la nature. Mais en grandissant, on m’a demandé de me taire, de mettre de côté ce savoir intérieur… jusqu’à ce que la vie me pousse à me reconnecter à cette vérité.


À travers mes expériences et mes enseignements, je t’explique comment nos vies passées influencent nos défis et nos choix actuels, et comment j’ai appris à embrasser pleinement cette sagesse pour avancer avec force et authenticité.

As-tu déjà ressenti un lien profond avec un passé que tu ne peux expliquer ? Cet épisode est pour toi.


Au plaisir de vous faire découvrir mon monde intérieur, en espérant qu’il vous en inspire.
Avec Amour,
Karine Turcotte


Vous pouvez me suivre: https://www.facebook.com/profile.php?id=61557736540965&mibextid=LQQJ4d

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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur mon podcast « En toute simplicité » . Je suis Karine Turcotte, accompagnatrice holistique, et à chaque semaine, je t'invite à découvrir les histoires que j'ai vécues, à te faire voyager à des réflexions profondes issues de mon parcours. À travers mes expériences terrestres, je te guide pour explorer le monde spirituel et comprendre que, malgré nos chemins uniques, Partageons tous des émotions similaires. Que tu cherches des réponses, de la motivation ou une nouvelle vision, En Toute Simplicité est là pour t'inspirer et t'accompagner dans ton chemin vers une vie plus épanouie et lumineuse. Bienvenue dans mon monde ! Allô, allô ! J'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon épisode 44 en Toute Simplicité. C'est particulier parce qu'à matin, je te partage que mon conjoint a 44 ans exactement aujourd'hui et je suis à l'épisode 44. Pour moi, ça, c'est un signe que je suis exactement au bon moment, au bon endroit. En plus, avec le chiffre 44, le chiffre des anges, donc je suis en train de réaliser en ce moment où est-ce que je suis assis dans ma salle de soins. qu'il y a un ange sur mon bord de fenêtre. C'est-tu pas génial ? 44, en plus, c'est l'équilibre. Terre, eau, feu, air. C'est nord, sud, est, ouest. Et ce qui est vraiment encore plus ancré dans mon quotidien, c'est que ce matin, j'ai préparé la cohorte numéro 2. en méditation qui va être en lien avec les éléments. Donc, pour moi, tous ces signes-là ont vraiment, vraiment une signification. Tu sais, moi, je le vis au quotidien, ce que je suis. Je ne suis pas à jouer un rôle. J'intègre. Ma spiritualité, 24 heures sur 24. Ce qui veut dire que je vibre spirituellement dans mon intégrité, de qui je suis. Je te dirais que ça n'a pas toujours été de cette façon-là, mais j'ai appris. J'ai appris avec le temps que, justement... Plus que je m'alignais dans qui je suis et plus que ça avait un impact dans mon quotidien. Ça avait vraiment encore plus de crédibilité parce que je montre qui je suis réellement dans la couleur de mon âme. Ça m'a apporté aujourd'hui à vous parler... J'ai eu une dame qui m'a écrit sur Messenger parce qu'elle avait commencé à écouter mes podcasts. Et elle était fascinée de voir qu'avec ce qu'elle entendait de quand j'étais petite fille, 3 ans, dont je parlais de ma vie antérieure de la mer Indienne... Et je fais une parenthèse, un matin, j'ai eu un homme qui m'a envoyé un vidéo qui est en lien avec des histoires dont ça passe à la radio. Et il y a une femme qui parle de son expérience avec son fils, dont son fils était en train de... de faire de la cuisine avec sa mère. Et tout bonnement, l'enfant de 5 ans, il dit à sa mère, « Tu t'en souviens-tu quand j'étais dans une autre vie, dont j'étais avec une autre maman ? » Et il disait que dans le fond, le petit gars, qu'il avait eu un accident par rapport avec l'huile à friteuse ou je ne sais pas trop quoi. Puis il a dit qu'il est décédé et qu'il est revenu ici auprès de sa nouvelle maman. Et là, la mère était comme un peu « Ah oui, OK » . Ta maman avait l'air être gentille parce qu'il était à dire comment qu'elle était. Pour lui, c'était de l'évidence. Et moi, ce qui est drôle, c'est qu'un matin, je voulais absolument parler de ça. Moi, un matin, j'étais partie, j'étais mindée à « faut que je parle » suite à la question que j'ai reçue cette semaine de cette dame qui me disait, qui me demandait « mais Karine, Est-ce que tes parents t'ont aidé suite à ça de ce que tu parlais quand tu étais enfant ? Si tu n'as pas écouté mes débuts de podcast, quand j'étais enfant, dès l'âge de 3 ans, je disais à mes parents, vous en souvenez-vous quand j'étais grande, que j'étais une Amérindienne, que j'avais des longs cheveux, dont je leur expliquais comment que je jouais avec des jeux de fléchettes, que j'étais... très grande, que je transportais du bois, je vivais dans la forêt. Fait que pour moi, c'était vraiment, vraiment comme si c'était hier. Quand t'es enfant, tu fais pas la différence si c'est hier ou aujourd'hui ou si c'est demain. Parce que le temps n'existe pas pour un enfant de 0 à 8 ans. L'enfant intègre son petit corps et accepte. son intégration ici sur cette terre, accepte son incarnation pour qu'il puisse grandir à développer sa mission. Ce qui fait que moi, de zéro à huit ans, j'étais vraiment dans le souvenir, quand j'étais petite, que j'étais vraiment dans un souvenir où est-ce que je suis. Je le verbalisais jusqu'à temps qu'on me dise que t'as-tu fini de compter des mensonges, t'as-tu fini de compter des menteries, ça se peut pas, t'as un monde imaginaire pas possible. Tu sais, c'était toutes des choses de même qui étaient dites, mais qu'en réalité, pour moi, c'était là. Je comprenais pas pourquoi que les gens étaient à me dire que j'étais menteuse. Je comprenais pas pourquoi que les gens me comprenaient pas. Et ça finissait que, oui, je continuais d'en parler, mais j'étais à un moment donné déçue parce que je n'avais pas les réponses à mes questions. Je n'avais pas de la part de mes parents dont c'était le reflet de confiance que je pouvais avoir dans ma vie. Je ne pouvais pas avoir les réponses, mais tu sais, je ne peux pas leur en vouloir parce qu'ils n'étaient pas là, ils n'étaient pas rendus là. C'était pas un sujet de discussion pour eux autres qui était normal. Fait que ce que ça a fait, c'est que, à mes 8 ans, j'ai décidé d'arrêter d'en parler. J'ai décidé de vraiment me concentrer à, OK, là je suis à mes 8 ans, je vais à l'école, il faut que j'apprenne à m'intégrer auprès des amis, parce que j'en parlais aussi auprès de mes amis quand j'étais à maternelle. Je disais des choses à une de mes amies, donc c'est ça qui est merveilleux. Suite au podcast, elle écoutait mes podcasts et elle m'est revenue et elle m'a dit, « Karine, je me souviens tellement de ce que tu disais quand on était assis ensemble sur une petite table et qu'on dessinait. » Fait que j'essayais d'ouvrir une petite porte pour voir s'il n'y avait pas quelqu'un qui pouvait me dire, « Hey, oui, Karine, ou, ah oui, je me souviens, ou, tu sais. » qu'il y ait quelque chose à élaborer suite au sujet que moi je portais. Oui, j'avais une cousine, Mélanie, qui j'étais vraiment à lui dire et elle m'encouragait et elle me questionnait. Je te dirais même que c'était la seule qui était à vraiment prendre le sujet au sérieux. Et ça l'a apporté justement à ce qu'elle comprenne mes démarches au fil des années qu'elle a vues vraiment que Je ne disais pas n'importe quoi. Et le fait que j'aille arrêter d'en parler à mes parents, ce n'est pas que je n'avais plus confiance en eux autres. C'est qu'en fait, c'était pour me protéger de moi. Parce que j'étais tannée, qu'on me dise que j'étais menteuse. J'étais tannée d'être dans le néant. Et j'ai mis ça de côté à partir de mes 8 ans. jusqu'à ce que je découvre les bibliothèques. Les bibliothèques à l'école, les bibliothèques, vraiment pour moi, c'était à partir de l'adolescence. Ou est-ce que, tu sais, en plus dans les années 80, on sentait qu'il n'y avait pas Internet, il n'y avait pas de Wi-Fi, il n'y avait rien de ça. Fait que c'était, tu te débrouilles avec ce que t'as. Et moi, j'étais à vivre dans un petit endroit où est-ce que c'était pas nécessairement, comment je pourrais dire, développé par rapport à ça. J'avais pas non plus des parents qui pouvaient être sujets à... parler, exprimer de spiritualité parce que mes parents étaient à être concentrés au niveau du travail. C'était plus la religion catholique, comme tout le monde. Mais quand il y avait quelqu'un qui parlait, qui osait parler, qui avait, mettons, vu ou entendu, qui aurait une histoire de... fantômes dans une maison, ou d'esprits dans une maison, ou que la magie pouvait exister, ou que... Ça, ça me fascinait, parce que là, c'était comme, oh, ils viennent de parler d'un sujet dont moi, je le sais qu'il y a quelque chose qui se passe à l'intérieur de moi et qui ça m'intéresse donc. Et je me souviens qu'à un moment donné, il y avait eu un monsieur qui était venu chez mes parents. et qui avait parlé d'un livre. Donc, dans ce livre-là, je me rappelle peu du titre, je le sais qu'il existe encore, je sais qu'il y avait le mot sacré, ou géométrie sacrée, fleur de vie, en tout cas, il faudrait que je le retrouve, mais ce monsieur-là m'avait expliqué qu'il y avait des choses qui étaient dites, dont ce qui était en lien avec les dimensions, ce qui était en lien avec les... Tout ce qui était le monde spirituel, là, j'étais fascinée, mais fascinée au point que fallait que je trouve ce livre-là. Et ce livre est venu à moi après X années, donc je l'ai dévoré, parce que pour moi, c'était tellement du bonbon de lire ça. C'était comme si, enfin, je rentre dans mon univers. Enfin, il y a quelqu'un qui me comprend. Tu sais, j'aurais dû pas... triper un peu, moi, d'avoir dans mes années 80 Internet. J'aurais-tu un peu vraiment triper. On s'entend, là, pour moi, ça aurait été, là, un paradis. Vraiment. Et ça, ça l'a fait que, justement, le livre qui était notre Internet, pour moi, était une mène d'or. Je l'ai mangé, ce livre-là. Et c'est à partir de là que j'ai tombé en amour avec les livres, parce qu'ils me nourrissaient. Les livres m'apportaient des mots dont je pouvais déposer dans mon cœur sans que j'aie à les juger. Tu sais, un livre, c'est quand on... c'est notre âme qui exprime au travers des mots. Et pour moi, l'auteur était quelqu'un qui... je pouvais le respecter et je savais qu'il me respectait en... déposant ces mots, qui aient pris du temps pour déposer ces mots, pour moi c'était d'un amour inconditionnel, vraiment, sérieusement. Pour moi, c'était un partage de temps, d'amour, d'enseignement qui, à partir de là, je me suis mise à dévorer les livres de tout ce qui était la spiritualité. vraiment, j'avais à peu près, c'était à partir de 12-13 ans ou est-ce que, j'avais pas les réponses à mes questions avec mes parents, mais j'avais découvert les livres, eux, pouvaient m'apporter vraiment les mots, les réponses à mes questions, tout, tout. Ça, ça a duré, là, quand j'étais enceinte de mes enfants, tu peux même pas t'imaginer, j'ai... toutes lu les livres à la bibliothèque, à Amkwi, de tout ce qui était la spiritualité, j'ai mangé les livres. Sérieusement, là, je me souviens, je m'astisais avec ma bédaine de 30 semaines et plus parce que, en plus, c'était ma façon de m'assire parce que j'étais une fille qui était très, très en mouvement. J'aimais être en mouvement, mais là, c'était un... « coucouning » pour moi. C'était un moment de bonheur où est-ce que c'était mon enseignement. Et mon âme, c'est ça qui est drôle parce que chaque enseignement que je recevais, c'est comme si j'étais prête à les recevoir. Parce que si, exemple, j'aurais lu un livre d'un tel auteur deux mois avant, je n'aurais pas été prête à recevoir ces mots-là. Ma conscience n'aurait pas été prête à recevoir ces enseignements si ça aurait été deux mois avant et même que si ça aurait été dans deux mois après. Parce que tout était d'une perfection d'alignement sur le plan de l'âme. C'est là que ça m'a appris justement à... Va chercher tes réponses de par toi-même, Karine. Ne te fie pas aux gens pour avoir des réponses, c'est leurs expériences qui vont t'apporter leurs réponses. Ce qui fait que c'est pour ça que je me suis ouverte à le monde du livre, parce que moi, quand j'ouvrais un livre, c'était mon enseignement, c'était une connexion avec l'auteur, avec ses mots, avec ses paroles, c'était... Un temps dimensionnel dont tout s'arrêtait autour de moi, et c'est encore de même aujourd'hui, mais de façon différente parce que je peux maintenant aller chercher mes réponses en les recevant par la vie, en les recevant par les rêves, en les recevant par mes enseignements, par mes accompagnements, parce que je me suis ouverte encore plus. à moi, à ce qui est l'anal akashique, à ma source. On a tout à l'intérieur de soi. C'est juste qu'ici, avec notre mental, on s'arrête. Et quand on est prise à ce que notre mental nous contrôle, c'est là qu'il manque une connexion. C'est là qu'il manque un fil. de connexion. Et ça, moi, j'ai compris ça au fil du temps. En étant à aller auprès des gens, donc, ces gens me faisaient vivre des expériences de connexion avec mon cœur encore plus à ce que j'intègre réellement qui je suis. Je me souviens, ça a commencé avec notre sorcier de la région, M. Poirier. Ou est-ce que lui m'a connectée vraiment à ce que je reprenne à mes 16 ans exactement ? Ou est-ce que j'avais perdu mon grand-papa suite à un AVC ? Donc, je l'entendais, je le sentais, je le ressentais qu'il était auprès de moi par les rêves. Et ça, ça me fascinait parce que je savais que grand-papa, il... Il reprenait, comment je pourrais dire ça ? Parce que quand j'étais enfant et que j'allais chez eux, je lui parlais de mes vies antérieures. Et lui, grand-papa, du côté maternel, comme il était beaucoup axé sur la religion catholique, même, je t'avoue, qu'il voulait devenir un curé. Et je remercie grand-maman. qu'il n'a pas voulu parce qu'elle l'a rencontré avant qu'il quitte, parce qu'il avait pris le choix de devenir curé. On s'entend-tu que je remercie tellement la vie, avec tout ce qui se passe au niveau catholique ? Vraiment, sérieusement, je n'entrerai pas là-dedans, mais je ne rentrerai pas là-dedans. Ce qui fait que je remercie vraiment la vie parce que ça l'a fait. un très bon grand-papa rempli de sagesse et c'est lui qui m'a enseigné à aimer les animaux, à les respecter, à les traiter avec amour et douceur. Aujourd'hui, je l'honore de son enseignement parce que je le sais que je me suis rapprochée de lui en venant ici, dans cette vie-ci, parce que la mérindienne que j'étais, était à respecter tout le vivant. Pour moi, j'avais besoin d'avoir des personnes autour de moi qui étaient dans cette même mentalité pour que je puisse continuer à être qui je suis dans une évolution modernisée. Ce qui fait que je l'honore vraiment, je le remercie vraiment. C'est ce qui a fait que quand je me suis réintégrée à mes 16 ans, de me reconnecter. Je le sais que quand grand-papa était dans le monde spirituel, décédé, de l'autre côté du voile, c'est lui qui m'a ramenée dans le chemin de qui j'étais. Parce que mes grands-parents... Mes parents, le monde autour de moi, m'ont fait une programmation dont c'était « tu ne peux pas être comme tu es dans ce monde, dans cette vie familiale, parce qu'on a peur de toi, parce qu'on a de la difficulté à savoir si c'est vrai ou si c'est faux parce qu'on n'a pas de preuves. » On n'a pas de preuves scientifiques. Et ça, c'est ça qui fait peur, en fait, parce que c'est un monde magique. C'est un monde où est-ce qu'on pourrait dire du n'importe quoi. Mais ça, on le sait de toute façon. On le sait si c'est du n'importe quoi ou si c'est vrai, parce que quand c'est du n'importe quoi, c'est pas intègre. Il n'y a pas de crédibilité, c'est pas droit, c'est pas structuré. Mais quand c'est vrai... Parce que moi, ça m'arrive de parler avec des gens, ça m'arrive de parler avec des enfants, et je le sais, je le sens qu'il y a une vérité dans ce qu'ils disent, comme qu'il y en a d'autres dont j'ai eu à avoir affaire et qui avaient des problèmes, je dirais, des problèmes mentaux, dans le sens que la schizophrénie, oui, ça fait partie de... L'ouverture, mais, ça en est rendu un peu comme trop. Et là, ça vient que ça l'apporte à un certain délire parce qu'il n'y a rien qui se tient, parce qu'ils sont trop dans des dimensions astrales où est-ce que, justement, ils sont infectés par ce qui est des énergies négatives autour d'eux. Fait qu'on le sent. Moi, je le sais, je le sens, il y a quelque chose qui se passe quand la personne me le dit vrai par rapport avec ses expériences. Il y en a d'autres aussi qui vont essayer d'impressionner. Ça, on le sait tout de suite. Ce qui fait qu'à partir de mes 16 ans, je me suis encore plus intégrée. C'est comme si la vie, dans le fond, disait, OK, là, Karine, t'as assez lu de livres de 12-16 ans. Là, il faut que tu rentres dans le monde, dans le vrai monde avec tes enseignements. Et là, on va t'enseigner. On va t'enseigner, mais il faut qu'en tant qu'élève, tu te dois de passer des niveaux. Et c'est exactement ça qui s'est passé. J'ai eu à passer des niveaux, donc ça a commencé avec grand-papa. Je lui ai permis, justement, d'entrer en contact avec moi suite après son décès. Et par la suite, il m'a guidée, justement, à être auprès de gens. Donc, ces gens-là m'ont aidé, m'ont apporté, m'ont enseigné, m'ont fait élever mon taux vibratoire, m'ont permis de me déprogrammer de mémoire émotionnelle dans cette vie-ci qui était en lien avec ceux et celles autour de moi dont ils n'acceptaient pas qui j'étais. Et ça ne leur faisait pas. Fait que moi, ça ne m'appartenait pas en fait parce que si la personne n'avait pas... à quelque part, ce n'était pas mon problème. Mais en même temps, je lui permettais à cette personne-là, à ce qu'elle s'ouvre spirituellement, à ce qu'elle puisse ouvrir sa conscience, à ce qu'elle puisse vraiment voir que il n'y a pas juste des restements qui existent. Il existe un monde au-delà de ce qu'on peut imaginer. Et ça, ça m'a apporté vraiment à rencontrer des belles personnalités, des belles personnes. Et comme ça m'a apporté aussi à des personnes dont j'ai vu qu'il y en a qui se disent d'être des sorciers, qui se disent d'être des chamanes, qui se disent d'être si, oui, on les est toutes. Mais ce qu'on porte à l'intérieur de soi, est-ce que c'est sain ou pas ? Ça, c'est une autre question. Parce que dans la vie, il y a l'ombre et la lumière. Et il y a des personnes qui profitent de la situation pour utiliser, pour prendre, pour écraser notre pouvoir. Et ce, moi, je l'ai déjà vécu, donc, quand j'étais dans la vie antérieure. La mère indienne, qui était une femme puissante, qui était en connexion avec la nature, qui avait un don de soi, qui était l'amour. Et que les hommes autour de moi ne voulaient pas que moi je sois une chamane, ne voulaient pas que je sois cette femme forte et puissante sur le plan énergétique pour aider mon prochain. C'est pour ça que j'ai vécu à me faire rejeter de ce village amérindien pour que je me retrouve vraiment exclue et esclave. Et c'était de cette façon-là qu'il m'écrasait, qu'il me mettait vraiment la main sur la tête, comme je pouvais le voir, en voulant dire « tu te tais » . C'est nous les hommes, c'est nous qui contrôlons, c'est nous qui possédons la vérité. Et ce mois, je me suis rabaissée. Ça m'apporte à te raconter, dans ma vie d'aujourd'hui, quand je me suis mise à entrer encore plus en force dans le monde des animaux. J'ai eu une personne qui, même deux, qui m'ont vraiment apporté à m'écraser, à voler mon pouvoir, à me dire que tu rentres dans ce domaine-là, tu ne connais rien, dans le monde du toilettage, à me dire, tu ne connais rien, tu commences. Tu es qui, toi, pour nous dire ça ? Qu'est-ce qui te fait dire ça ? Qu'est-ce qui te fait dire ça ? « Prends ! Pourquoi tu t'en vas dans le domaine des animaux ? » Et là, je ressentais qu'il y avait de l'envie, qu'il y avait de la jalousie, qu'il y avait de l'escroquerie, dans le sens que je commençais à voir que, oh, OK, moi, je suis dans un élan de me réaliser à ce que je puisse apporter le beau, le bien et le bon auprès des animaux. Mais à côté, j'ai des gens qui viennent m'écraser par l'envie, par la jalousie, qui me compétitionnent, qui me font du coup de coude. Là, j'étais dans un état où est-ce que dans mon intérieur, la programmation que j'avais de la vie antérieure de la mère indienne, ça me ramenait à dire « Ouais, Karine, t'es qui toi ? Tu viens de rentrer dans le monde du toilettage, tu viens de rentrer dans le monde des chevaux, tu te prends pour qui ? » T'as pas d'affaire à commencer à travailler énergiquement sur les animaux. Faire du toilettage, c'est tu t'ondes, tu coupes les griffes, puis tu donnes aux clients, c'est fini. Non, moi c'est pas ça que je veux. Moi ce que je veux dans le monde du toilettage, c'est de prendre l'animal, c'est de l'intégrer dans mon monde, parce que mon entreprise, c'est mon âme. Mon âme est tellement dans une grande dimension que j'ai besoin de l'exploiter. J'ai besoin à ce que les gens viennent à moi pour que je les enveloppe de mes ailes et que d'avec mes mains, je puisse apporter l'amour que mon cœur veut pour ces animaux-là, parce que je les aime, ces animaux-là. Sérieusement, là, moi, je suis une folle alliée des animaux, là. Sérieux, là, j'ai un amour inconditionnel, tu ne peux même pas t'imaginer. Quand je regarde une vidéo, là, je ne suis même pas capable de voir des animaux souffrir. Je ne suis pas capable. Mon chum, des fois, il arrive et il me demande « Hey, check ça ! » Non, non, non, oublie ça, c'est un animal. Il dit « Non, mais il arrive. » Non, je ne suis pas capable, ça me rentre dedans. C'est comme si là, ça me met à l'envers, mon esprit reste avec ça dans ma tête. Je suis d'une fragilité émotionnelle incroyable quand on parle d'animaux. Et là, moi, ça m'apporte à la création de mon entreprise dans le monde du toilettage. Et j'ai des gens autour de moi qui me rentrent dedans, mais j'en ai d'autres qui me fleurissent, qui me nourrissent. J'en ai d'autres, c'est comme, hé Karine, t'es tellement à ta place. Je veux toi absolument qu'il fasse mon chien, mon chat, je veux pas personne d'autre. J'aimerais ça que tu, tu sais, le monde me disait ça, j'aimerais ça que ce soit toi. Avant que je rentre vraiment dans le métier, j'avais déjà un horaire de fête. Et ça, moi, ça montrait que j'étais à la bonne place. Mais plus que ça allait, puis plus que j'avais une personne qui me rentrait tout le temps dedans. Soit par le plagiat, j'ai vécu extrêmement beaucoup de plagiat, soit par des mots, soit par des entendus d'une personne qui avait dit ça sur moi, soit aussi de me faire même jusqu'à suivre pour faire écouter mes conférences. Et là, c'était du vrai délire, c'était du vrai bordel, parce que je me disais, « Ouais, c'est vrai, tu sais, je devrais peut-être prendre moins de place. » Mais moi, là, quand je suis passionnée, je suis excité. Quand je suis excitée, je veux tout offrir, plein d'amour. C'est comme la joie, le bonheur. J'adore ça. J'aime nourrir autour de moi de par l'amour qui vit. Parce que ça vient de mon âme, ça vient du plus profond de mon être. Et ce que j'ai trouvé à faire, parce que je trouvais que je dérangeais beaucoup, c'est que je me suis têt, vraiment. Je me suis mis dans un petit coin et j'ai dit, OK, là, je ne fais plus de publicité. Je ne montre plus qu'est-ce que je fais. Je ne parle pas de ce que je dis. Je vais être juste en contact avec mon client. Je vais vraiment être dans mon petit cocon, dans ma petite niche à chiens, dans mon micro salon de toilettage, dans mon endroit où est-ce que... Je me sentais en sécurité. C'était de cette façon-là que j'avais plus de plagiat en me taisant. Je n'avais plus rien qui venait de l'extérieur, qui venait me toucher, qui venait me blesser, ou qui venait me voler mes idées, ou qui venait vraiment prendre mes mots. Ça ne me dérange pas que j'inspire les gens. Au contraire, j'adore ça. Mais fais-le d'une façon où est-ce que ça va être honnête pour moi et pour toi. C'est ça la différence. C'est ça que j'ai compris, moi. Quand c'est malsain, c'est là que moi, j'ai un détecteur. Parce que dans la vie antérieure, les hommes qui me mettaient la main sur ma taille pour m'écraser, bien, c'est ces hommes-là que je me suis connectée. C'est avec ces hommes-là que j'ai compris qu'il faut que je les détecte de façon à ce que, OK, quand je détecte ça, c'est dans le sein, il faut que je me tasse de là pour encore plus ouvrir ma lumière. Et en même temps, dans cette vie-ci, quand j'étais à vivre avec cette personnalité qui m'enviait, qui me jalousait, qui m'écrasait, qui m'intimidait, qui me compétitionnait, ça m'apportait à détecter que c'était malsain, encore là, parce que cette personne-là, ces personnes-là avaient peur de moi. En mettant la main sur ma tête, c'était, il me faisait peur. Et j'ai embarqué là-dedans. J'ai vraiment embarqué là-dedans. Comme je suis dans le monde naturel, j'aime les animaux, j'aime les plantes, j'aime les arbres, j'aime la vie, tout ce qui est le monde vivant, tout ce qui a un âme. Moi, un arbre a un âme. La fleur, elle a un âme pour moi. Ça fait dix ans. Et plus que j'ai suivi mon cours en naturopathie et phytothérapie. Et dernièrement, je me suis affiliée avec une compagnie dont les produits, je les utilisais depuis un certain temps. Et j'étais en plus à chercher des produits pour permettre. à aider mon prochain lors de consultation. J'étais à la recherche vraiment d'une communauté où est-ce qu'on était tous inspirants, qu'on s'élève en puissance, tout le monde ensemble. J'avais même fait dans mon vision board une photo où est-ce qu'on est beaucoup de personnes et qu'on se tient toutes par la main, mais pas par la main, sous forme de la main sur l'avant-bras et l'autre personne met sa main sur l'avant-bras. Je pense que c'est de cette façon-là que les hommes de guerre se tiennent pour se soutenir. C'est vraiment une façon pour dire qu'on se soutient, mais de façon vraiment honnête. Et moi, j'avais mis ça en photo sur mon vision board. Et cet automne, même je dirais l'été passé, en 2024, j'étais vraiment à la recherche d'une communauté où est-ce que j'allais me louer avec eux autres en tant que naturopathe. Parce que, encore là, j'avais reçu une lettre d'une fédération dont ils me contrôlaient. Ils m'exigeaient des choses. Pour moi, ça m'exigeait... Tu viens de me perdre. C'est comme si tu me contrôles, tu viens de me perdre. Parce que ça me ramène à ma vie antérieure. Rentre pas là-dedans, parce que moi j'ai une clé de sécurité qui va faire que, oh ok, toi tu m'apportes là, c'est bien une valeur, moi je prends un autre chemin. Et ça, ça m'a apporté à découvrir une autre naturopathe qui est dans le domaine de la santé. Et mon cœur me disait d'aller auprès de cette personne-là et c'était extrêmement fort. Et j'ai suivi mon intuition, je suis allée vers elle pour qu'elle m'aide en me coachant côté entraînement et aussi côté alimentaire. Et cette personne-là, c'est elle qui m'a fait découvrir les produits, les produits que j'utilise qui sont les produits modères. Et je me suis intéressée à leur côté très naturel. Tout ce qui... le collagène, tout ce qui est magnésium, vitamine D, les multivitamines. Je les ai découvertes, je les ai essayées, je les ai expérimentées, je les ai intégrées dans mon être. Et ça, ça m'a donné le goût justement d'entrer dans cet univers avec ces femmes dont il y a une naturopathe comme moi, il y a une pharmacienne, il y a une professeure. Il y a une gardienne d'enfants. Il y a des femmes dont j'ai appris à les découvrir, mais elles sont d'une... Je n'ai pas de mots. Elles sont tellement inspirantes. On est un groupe de femmes où est-ce qu'on s'élève toutes ensemble. Et ça, moi, je suis rentrée avec vraiment des jugements à moi-même parce que, dans le fond, c'est une compagnie. qui est en lien en vente de réseaux marketing, MLM. Ça, moi, c'était comme j'avais des jugements par rapport avec ça, par rapport dans le passé, j'étais tannée dans le feuille retannée. Et au fil du temps, j'ai réalisé qu'on s'en va tout dans le réseau de marketing. C'est plate à dire, mais tout ce qui est au niveau commercial, c'est en train de s'écrouler, veut, veut pas. C'est plate, mais c'est comme ça. C'est la société qui veut ça. On le voit. Tout ce qui est les petits commerces, la société écrase ces petits commerces. J'ai peut-être un jugement, j'ai peut-être quelque chose que je dis en ce moment qui ne te plaît pas ou peu importe, mais on le voit qu'il n'y a pas les petites entreprises. C'est les grosses entreprises qui rentrent dans le marché. Et en plus, avec l'économie, les gens vont vouloir économiser. Ils vont vouloir... prendre beaucoup plus un café qui va valoir une pièce versus un café dans un endroit artisanal où est-ce qu'il va valoir 5 pièces. Moi, je vais avoir envie de 5 pièces parce que je sais ce que je bois. Ce qui fait que c'est ce qui m'a apporté justement à, ok, là Karine, les produits, tu les as essayés, tu les as vraiment intégrés, tu sais de ce que tu parles, tu sais ce que tu peux. apporter à ton client et à ta cliente, c'est pour ça que j'ai embarqué. Parce que je savais que ces femmes-là allaient m'aider à vraiment me déprogrammer dans mes croyances du passé. Puis ça, c'est vraiment quelque chose qu'on doit apprendre. Parce que si tu as une programmation qui est encore dans les croyances du passé, bien, il faut que tu apprennes à faire des mises à l'eau. C'est ce que j'ai compris. Il faut que je laisse tomber mon orgueil. Il faut que je me pardonne. Il faut que je m'ouvre. à ce qui s'en vient, parce qu'on s'entend que nos jeunes, c'est eux autres l'avenir. Et ce qu'ils ont dans leurs mains, les jeunes, un téléphone. Et tout se passe par un téléphone. Fait que, c'est pour ça que j'ai accepté de dire, je me dois de, si je veux, me rapprocher des jeunes. Parce que moi, mon but, là, tu sais, je te parle de modère, je te parle de vie antérieure, je te parle d'animaux, c'est tout un mélange, mais c'est qu'en fait, ça a tout un lien. C'est l'âme. C'est le cœur de ce que je te raconte, c'est l'âme. L'âme, elle, ce qu'elle a besoin, c'est l'amour. Ce qu'elle a besoin, c'est d'être bien dans le corps physique. Fait que si ton corps physique ne va pas bien, n'a pas une bonne santé, ton âme va se détériorer parce que tu n'auras pas une belle fréquence énergétique à vibrer, parce que ton corps va souffrir. Énergiquement, ton âme va aller apporter à ton corps physique l'énergie pour survivre. Et là, ça fait que moi, je travaille avec corps, âme, esprit, émotion, cœur. Pour permettre à ce que, en passant par corps, âme, esprit, émotion, qu'on puisse aller dans notre cœur et vraiment être dans la plus belle des alignements. Nord-sud, est-ouest, corps, âme, esprit, émotion, terre, eau, feu, air. Ce qui fait que moi, en étant bien centré, je le sais que je suis dans un alignement. Et en étant allée chercher ces produits-là, ça m'a permis vraiment d'être encore plus à offrir à mon client pour qu'il ait un corps en santé. Mais ce qui est fou, c'est que je suis en train de vivre exactement la même situation quand je suis rentrée dans le monde du toilettage. Ouais ! Je vis la même chose de la compétition, de la génosie, de l'envie, du plagiat, qui fait en sorte que je me suis assise et j'ai observé, j'ai analysé la situation dont la vie est en train de me montrer. Et c'est là que ça me dit, Karine, souviens-toi, dans la vie antérieure, quand tu étais amérindienne, on t'a écrasé. On t'a humilié. On t'a mis la main sur la tête pour que tu restes écrasé le plus bas possible à la terre et que tu ne dises rien. Ensuite de ça, tu es arrivé ici sur cette terre en tant qu'enfant. Tu étais à dire ta puissance, à exprimer ce qui tu étais. On t'a mis la main sur la bouche pour que tu arrêtes d'exprimer, pour que tu ne nous fasses pas honte. On t'a mis la main sur la bouche pour que tu te taises. Je me suis têt, comme dans la mer Indienne. Je me suis croisée, j'étais une esclave. Ce qui fait que là, en étant enfant, je me suis têt, je me suis arrêtée, je me suis retournée vers moi-même en gardant les messages que je recevais. Par la suite, j'ai avancé, Il y en a eu d'autres expériences, mais celle les plus importantes, les artères, beaucoup plus importantes, ce sont elles que je te parle. Quand j'ai commencé en toilettage, on m'a mis la main sur la tête, vraiment. Et là, ça m'a fait ding, ding, ding dans ma tête, dans mon cœur, dans mon être. Soit que je me levais ou soit que je m'écrasais. Je me suis écrasée. Je me suis... en plus. J'avais une programmation d'une main sur la bouche et j'avais une programmation d'une main sur la tête. Ce qui fait qu'on me tenait au sol avec la jalousie, avec l'envie, avec tout ce qu'il y en a. Et là, avec mon intégration de produits naturels que j'ai mis en cours, avec mes accompagnements de coaching holistique, donc je vis de part. de ce que je peux observer, de ce que je peux voir, de ce que même j'entends, je vis la même situation d'écrasement. Je vis la même situation de la mère indienne, de l'enfant de 8 ans, de la fille de 35 ans en toilettage, et là, 43 ans. Mais là, en m'étant amassée... En étant à voir que c'est assez, c'est pas vrai que je vais me mettre une main sur la tête, une main sur la bouche pour que je me taise, pour que je m'écrase, pour que je me fasse écraser. Là, ça, c'est un enseignement de la vie, là. C'est ça que j'ai réalisé encore. Et là, j'ai dit, là, c'est assez. Je vais prendre position à l'intérieur de moi. Je vais prendre ma place. Et tous ceux et celles qui sont autour de moi, qui me voient et qui peuvent ressentir une certaine jalousie ou une certaine envie, ça ne m'appartient pas. Ça ne m'appartient pas parce qu'en fait, moi je suis rendue à un autre niveau, c'est d'aider mon prochain. avec la couleur que je vibre à l'intérieur de moi. Et mon service que j'offre, c'est pour faire le bon, le bien et le beau autour de moi. Parce que je le sais que si je conseille à la personne à ce qu'elle prenne du collagène, à ce qu'elle prenne du zinc, à ce qu'elle prenne du safran, à ce qu'elle prenne de la vitamine D, à ce qu'elle prenne de la multivitamine, c'est parce qu'elle en a besoin. C'est un besoin au corps. pour que le corps soit en pleine floraison et que le corps qui fleurisse ouvre l'âme et que l'âme reflète l'amour de l'être humain. C'est ça, ma mission. C'est totalement ça. Fait que si la personne autour de moi, elle m'envie, elle me jalouse, c'est parce que c'est un enseignement pour moi qui me montre qu'Arine reflète encore. plus ta puissance, parce que ta puissance, c'est de faire le bien, le bon et le beau autour de toi, pour ton prochain, pour apporter l'amour qui vibre, ta passion qui vibre, pour aider l'âme à ce qu'elle puisse être bien avec son corps physique. Et c'est ça qui je trouve dommage, parce qu'on a toute notre propre lumière, on a toute notre programmation. On a tout ce qu'il faut à l'intérieur de soi, ça ne sert à rien de prendre ce que l'autre a côté fait. Oui, ça peut inspirer, mais vas-y à ta couleur, vas-y avec ce qui te reflète, vas-y avec ton âme, vas-y avec ton corps, avec ton cœur, avec ton essence même. C'est ça qui fait que ça donne de la crédibilité et les gens le sentent, les gens le savent. les gens leur ressentent que c'est c'est de ta conscience que ça devient c'est ça que moi aujourd'hui dans le ici et maintenant quand j'ai vu il y a x semaines que je commençais à revivre la même situation que dans mon passé par les trois expériences que j'ai vécues dans mes gros artères, là, je me suis dit, c'est assez. Dans le fond, c'est un enseignement de la vie, donc ça me montre que je suis exactement à la bonne place. Et c'est fou ce que je dois dire, mais suite à ça, quand j'ai décidé de prendre ma place, ça m'a apporté à faire des ventes de fou. Pour moi, c'était wow ! J'ai passé vraiment... À Silver, à Gold, en l'espace de X, là tu vas dire, c'est quoi ça ? C'est des rats, en fait. Puis moi, ça, ça n'a pas d'importance. Moi, ce qui est important, c'est que je le sais, que le monde voit que ce que j'offre comme service, c'est parce que c'est, que je le sais, que c'est bon pour son corps. Je le sais que cette personne-là... va avoir un produit de qualité pour sa santé. Moi, c'était clair, honnête et précis que tout ce qui est en lien, exemple avec le maquillage ou tout le kit, ça, ce n'est pas pour moi. Je ne rentre pas là-dedans. De toute façon, cette compagnie-là, pour l'instant, il n'y en a pas. Je ne sais pas s'il va en avoir, mais pour l'instant, il n'y en a pas. Et encore là, ce n'est pas quelque chose qui, pour moi, pour moi, c'est superficiel. Et je suis au... Aucune maman ne jugeait sur elle seule. Ma propre fille fait de l'esthétique, puis je l'annule. Sérieusement, si tu verrais son bureau d'esthétique dans sa chambre, c'est de toute beauté. Je l'annule parce que je la trouve belle dans ce qu'elle est, parce que c'est son essence. Moi, je ne me vois pas commencer à me mettre du rouge à lèvres. Je n'ai jamais fait ça de ma vie. Pour moi, ce n'est pas moi. Mais par contre... Les produits pour la santé, c'est moi. Tu sais, j'ai plein de gens qui m'écrivent, « Carine, ma fille, elle vit des gros problèmes menstruels. Qu'est-ce que tu lui conseilles ? » OK, telle huile essentielle, ça, ça, ça. Tu peux lui donner ça. Tu y frottes le ventre avec ça un petit peu. Tu vois, ça va aider. Ensuite de ça, un bol de tisane avec de la camomille pour qu'elle puisse être un petit peu relaxée, anti-inflammatoire. Tu sais, je n'utilise pas juste les produits modèles, aucun mal. Je te dirais même que j'ai une bibliothèque parce que j'ai étudié en aromathérapie, en herboristerie. J'ai étudié en zoonocosmétologie pour les chiens. J'ai étudié en naturopathie. J'ai étudié en phytothérapie. J'ai étudié en chamanisme. J'ai étudié... il y en a plein d'autres. J'ai des livres en homéopathie aussi. J'adore travailler avec ça. J'adore travailler avec les fleurs de bac. J'adore travailler avec les petites granules. Ma petite chamane qui travaille avec moi en toilettage la semaine passée, elle me dit, je l'appelle de même parce que je trouve qu'elle a de la petite chamane, elle est trop mignonne. Elle me dit, j'ai mal au ventre et en plus, full hémorragie. Je suis allée chercher une petite homéopathie, ça n'a pas pris une heure. Elle n'avait plus d'hémorragie. Parce que moi aussi, j'ai appris à expérimenter de par ma propre santé. Et c'est ce qui fait que ça, ça me passionne, ça me fascine, ça m'apporte dans un univers où est-ce que c'est incroyablement beau parce que c'est moi. Et enfin, je peux me dévoiler au grand jour. Et c'est ça qui fait que c'est tellement magique parce que les gens le sentent, ils le savent, ça se dégage, ça se vibre. Même tu dois le ressentir, je te parle et je suis... passionnée, si tu me verrais les bras dans les airs, c'est comme si je te voyais devant moi, puis que je te parle de, ben c'est ça, c'est moi ça, c'est moi. Fait que les gens dont j'ai eu à vivre des situations difficiles, je les remercie, je les honore, parce que la mère indienne qui était dans la vie antérieure, avec ces hommes-là qui m'ont écrasé, je les honore, je les remercie. Mes parents, qui ne savaient pas quoi me dire. Je les honore. Je les honore parce qu'ils m'ont apporté à être curieuse. Ensuite de ça, les personnes qui m'ont jalousée dans le monde du toilettage, je les remercie parce que c'est bientôt ma neuvième année que je suis en toilettage et je sais que j'apporte à mes chouchous d'amour. Je le sais et ils me font tellement du bien aussi. Je les aime tellement profondément. Je sais que ceux et celles qui m'ont écrasée dans ce monde-là, je les remercie parce qu'ils m'ont montré que je suis vraiment à ma bonne place. Et aujourd'hui, le fait que j'ai vécu encore là, face avec les produits en naturopathie dont je vends, ceux et celles qui ont essayé de me rentrer dedans ou me compétitionner ou me plagier, bien, je le sais que je suis véritablement à ma bonne place. Parce que c'est moi. Moi, j'ai la bibliothèque dans mon univers pour te parler des produits naturels. J'ai dans ma bibliothèque intérieure la capacité de t'aider à t'intégrer à l'intérieur de toi pour que tu ailles chercher ta véritable amour, ta véritable connexion sur le plan de l'âge. la bibliothèque à l'intérieur de moi pour t'aider à aller déprogrammer émotionnellement une émotion qui, cette émotion, t'empêche d'être libre. Et c'est ce qui fait que je suis intègre à moi-même et je le sens. Je me suis révélée à moi-même. Tout simplement. Et c'est ça que j'ai envie à ce que les gens se révèlent à eux-mêmes. Ce qui est merveilleux, c'est que j'ai fait un défi 21 jours, 21 questions pour 21 piastres. Le 21 février, comme par hasard, il n'y avait rien de prévu. Tout s'est orchestré dans une synchronicité parfaitement incroyable. Et avec ces 21 questions, je vois les partages que mes 41 femmes font et c'est de toute beauté. Ils me envoient des messages dont ils réalisent qui elles sont. Qui elles sont véritablement, ces femmes-là qui ne parlent pas, qui se taisent, qui sont écrasées dans leurs relations amicales, familiales, amoureuses, peu importe. Bien, moi, je sais les reconnaître parce que j'ai passé par là. Et c'est ce qui fait que je veux que ces femmes-là se lèvent debout comme moi, qu'on se prenne tous par la main et qu'en se prenant tous par la main, on change en puissance à devenir ces femmes intègres et authentiques et qu'on puisse émerger l'amour inconditionnel qu'on vibre à l'intérieur de nous. Et je vous le dis, tout ça va changer dans le sens que le jour que tu vas intégrer ton amour inconditionnel... Tu vas changer tout le monde autour de toi. Tu vas changer ton conjoint, ta conjointe. Tu vas changer tes enfants. Tu vas changer ta famille. Tu vas changer tes amis. Tu vas changer dans ton monde de travail. Tout se fait naturellement. Vraiment. Et tu l'enseignes inconsciemment à ton monde autour de toi. Parce que moi, en l'ayant programmé à l'intérieur de moi, je te le dis, c'est véritablement vrai. Même moi, je suis un peu flabbergastée, je dois dire. Quand, il y a deux semaines, que j'ai fait du EFT pour faire l'inversion psychologique, de dire, je suis à ma place dans toute mon intégrité et ma crédibilité. Je suis à ma place dans le ici et maintenant et j'honore qui je suis. Mon fils a un travail dont... Il n'était pas nécessairement dans l'acceptation de travailler où est-ce qu'il est, parce qu'il ne se sentait pas légitime de travailler à cet endroit-là. C'est ça qui est particulier. Tu sais, des fois, on ne sait pas d'où ça vient, mais c'est toutes des programmations transgénérationnelles. cellulaire. Et là, on se parlait, puis ils disaient, c'est sûr que moi, je m'en vais de là, oublie ça. Moi, j'ai dit, tu sais, t'es super bonne. Même les patrons viennent te voir pour te dire que t'es super bonne. Prends-le, tu sais. C'est de l'enseignement, ça, que tu reçois. Tu sais, t'as le droit de recevoir des bons mots. Ouais, mais là, tu sais, j'étais gênée, là. Tu sais, les autres entendaient autour de moi, puis j'étais quasiment gênée, mais là, tu sais, c'était comme... Je n'ai pas à sentir dans le mal-être de recevoir des bons mots, des commentaires de leur part qui montrent que justement, tu fleuris leurs entreprises. Accepte, ils sont reconnaissants, prends-le. Et là, moi, en ayant fait le travail sur moi, d'accepter qui je suis. de prendre ma place cette semaine, il vient me voir, puis il dit, ouais, mais, il dit, tu sais, on s'avait parlé l'autre jour, là, il dit que j'étais pas sûre de peut-être rester là, ou que j'allais peut-être aller me chercher un autre emploi, ou ailleurs, ou n'importe, mais il dit, je pense que là, je me sens vraiment à ma place, là, genre, ouais, il dit, sérieux, il dit, oui, oui, puis il dit, même, il dit, la superviseure est venue me voir, puis... Elle n'arrivait pas à quel point que, justement, je comprenais vite que, supposément, que ça prend genre deux mois avant que quelqu'un intègre vraiment le travail. Puis il dit, là, ça fait deux jours que je suis là, puis je suis laissée seule, puis ça a l'air que j'ai tout compris les pitons. Oui, mais tu as le droit de tout comprendre les pitons. Puis là, il me dit, oui, c'est ça. Il dit, on dirait qu'il dit, c'est drôle, il dit, ça m'intéresse de rester à cette entreprise-là. Il dit, que je sois ailleurs. Oser le mouk-mouk, il dit, ou ailleurs dans une autre entreprise, il dit, si je ne suis pas bien en dedans de moi, il dit, ça ne sert à rien que j'aille chercher ailleurs, je ne serais pas plus mieux dans une autre entreprise que présentement. Là, je la regarde, je dis, oh my God, tu es vraiment en train de réaliser ça toi ? Elle dit, oui, vraiment, puis même, j'ai entendu dire qu'ils pouvaient me former aussi pour qu'il y ait une évolution dans le travail, pour que même j'aille plus dessous. Là, je la regarde et je me dis « Oh my God, ce que j'ai fait comme travail sur moi, lui, il a eu l'impact parce que j'ai donné le droit d'être qui il est. J'ai donné le droit de ne pas se minoriser. Au contraire ! » ouvre tes épaules, puis sois fier de toi, mon homme. Ouvre-toi les épaules, puis go. Puis tu sais, ça, le monde pourrait dire, « Ah, gars, il est hautain ou il est arrogant. » Mais ça, il y a une différence. Il y a une différence de fierté à l'intérieur de soi. Puis quand on le fait humblement, là, il y a vraiment une différence. Fait que c'est pour t'expliquer que, avec mon fils, il y a eu un cheminement qui s'est fait inconsciemment. Et ça a commencé par moi. Et ça, je le sais que j'ai transformé sa vie en travaillant sur moi. J'espère que ça t'a inspiré. J'espère que je t'ai permis de comprendre des choses par rapport à ce que je viens de te raconter, avec mon histoire. Il faut que tu saches que, présentement, je suis totalement en paix avec ce que j'ai. exprimer avec tous ceux et celles qui m'ont fait vivre des émotions sur tous les plans. Je les honore, je les remercie, je les prie, je les bénis. Tout ça par l'enseignement de ma grand-maman Rita, qui m'a enseigné à ne pas garder la méchanceté en soi, parce que C'est à nous-mêmes qu'on se fait du mal. Et quand on se fait du mal à nous-mêmes, c'est là qu'on se désaligne de notre mission de vie. Et ce que j'ai appris, c'est à me centrer sur moi-même et de réaliser ma mission et d'en être inspirante. Et surtout, en me révélant à moi-même, c'est que je n'ai plus à me faire aimer par qui que ce soit. Parce que je n'ai plus rien à prouver. Parce que je n'ai pas rien à prouver. Ce que je veux, ce que je désire maintenant, c'est d'être dans ma mission de faire du bien, du beau et du bon autour de moi. Et quand je reçois des commentaires de personnes dont ils ont eu à vivre une expérience, soit en méditation, soit en défi 21 jours, soit en soins heuristiques, soit en coaching, et qui me disent que Karine a changé ma vie, Mais en fait, j'ai pas changé la vie. J'étais juste... Non, pas que j'étais juste. J'étais apportée ce que je pouvais t'y offrir, de ce qui venait de ma bibliothèque, de mon anal akashique, de ce que je porte, tout simplement. Fait que j'ai juste envie d'être... une immense bibliothèque pour que je puisse offrir à l'être humain, à l'animal, à la plante, à l'arbre, à l'eau, à la rivière, à l'air, au feu, à tous ces éléments ici qui sont du vivant. J'ai juste envie d'apporter ce que je peux offrir comme don de soi. Fait que je te souhaite que tu te révèles à toi-même. Vraiment, sincèrement, en toute honnêteté. Je te dis belle continuité, prends soin de toi et je te fais un gros canon.

Description

Quand les signes confirment que nous sommes au bon endroit, au bon moment. ✨


Dans cet épisode profondément introspectif, je partage avec toi comment mes souvenirs de vie antérieure ont eu un impact direct sur mon parcours dans cette vie-ci. Dès l’enfance, j’ai ressenti une connexion forte avec une existence passée, une vie d’Amérindienne où j’incarnais une femme puissante et connectée à la nature. Mais en grandissant, on m’a demandé de me taire, de mettre de côté ce savoir intérieur… jusqu’à ce que la vie me pousse à me reconnecter à cette vérité.


À travers mes expériences et mes enseignements, je t’explique comment nos vies passées influencent nos défis et nos choix actuels, et comment j’ai appris à embrasser pleinement cette sagesse pour avancer avec force et authenticité.

As-tu déjà ressenti un lien profond avec un passé que tu ne peux expliquer ? Cet épisode est pour toi.


Au plaisir de vous faire découvrir mon monde intérieur, en espérant qu’il vous en inspire.
Avec Amour,
Karine Turcotte


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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur mon podcast « En toute simplicité » . Je suis Karine Turcotte, accompagnatrice holistique, et à chaque semaine, je t'invite à découvrir les histoires que j'ai vécues, à te faire voyager à des réflexions profondes issues de mon parcours. À travers mes expériences terrestres, je te guide pour explorer le monde spirituel et comprendre que, malgré nos chemins uniques, Partageons tous des émotions similaires. Que tu cherches des réponses, de la motivation ou une nouvelle vision, En Toute Simplicité est là pour t'inspirer et t'accompagner dans ton chemin vers une vie plus épanouie et lumineuse. Bienvenue dans mon monde ! Allô, allô ! J'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon épisode 44 en Toute Simplicité. C'est particulier parce qu'à matin, je te partage que mon conjoint a 44 ans exactement aujourd'hui et je suis à l'épisode 44. Pour moi, ça, c'est un signe que je suis exactement au bon moment, au bon endroit. En plus, avec le chiffre 44, le chiffre des anges, donc je suis en train de réaliser en ce moment où est-ce que je suis assis dans ma salle de soins. qu'il y a un ange sur mon bord de fenêtre. C'est-tu pas génial ? 44, en plus, c'est l'équilibre. Terre, eau, feu, air. C'est nord, sud, est, ouest. Et ce qui est vraiment encore plus ancré dans mon quotidien, c'est que ce matin, j'ai préparé la cohorte numéro 2. en méditation qui va être en lien avec les éléments. Donc, pour moi, tous ces signes-là ont vraiment, vraiment une signification. Tu sais, moi, je le vis au quotidien, ce que je suis. Je ne suis pas à jouer un rôle. J'intègre. Ma spiritualité, 24 heures sur 24. Ce qui veut dire que je vibre spirituellement dans mon intégrité, de qui je suis. Je te dirais que ça n'a pas toujours été de cette façon-là, mais j'ai appris. J'ai appris avec le temps que, justement... Plus que je m'alignais dans qui je suis et plus que ça avait un impact dans mon quotidien. Ça avait vraiment encore plus de crédibilité parce que je montre qui je suis réellement dans la couleur de mon âme. Ça m'a apporté aujourd'hui à vous parler... J'ai eu une dame qui m'a écrit sur Messenger parce qu'elle avait commencé à écouter mes podcasts. Et elle était fascinée de voir qu'avec ce qu'elle entendait de quand j'étais petite fille, 3 ans, dont je parlais de ma vie antérieure de la mer Indienne... Et je fais une parenthèse, un matin, j'ai eu un homme qui m'a envoyé un vidéo qui est en lien avec des histoires dont ça passe à la radio. Et il y a une femme qui parle de son expérience avec son fils, dont son fils était en train de... de faire de la cuisine avec sa mère. Et tout bonnement, l'enfant de 5 ans, il dit à sa mère, « Tu t'en souviens-tu quand j'étais dans une autre vie, dont j'étais avec une autre maman ? » Et il disait que dans le fond, le petit gars, qu'il avait eu un accident par rapport avec l'huile à friteuse ou je ne sais pas trop quoi. Puis il a dit qu'il est décédé et qu'il est revenu ici auprès de sa nouvelle maman. Et là, la mère était comme un peu « Ah oui, OK » . Ta maman avait l'air être gentille parce qu'il était à dire comment qu'elle était. Pour lui, c'était de l'évidence. Et moi, ce qui est drôle, c'est qu'un matin, je voulais absolument parler de ça. Moi, un matin, j'étais partie, j'étais mindée à « faut que je parle » suite à la question que j'ai reçue cette semaine de cette dame qui me disait, qui me demandait « mais Karine, Est-ce que tes parents t'ont aidé suite à ça de ce que tu parlais quand tu étais enfant ? Si tu n'as pas écouté mes débuts de podcast, quand j'étais enfant, dès l'âge de 3 ans, je disais à mes parents, vous en souvenez-vous quand j'étais grande, que j'étais une Amérindienne, que j'avais des longs cheveux, dont je leur expliquais comment que je jouais avec des jeux de fléchettes, que j'étais... très grande, que je transportais du bois, je vivais dans la forêt. Fait que pour moi, c'était vraiment, vraiment comme si c'était hier. Quand t'es enfant, tu fais pas la différence si c'est hier ou aujourd'hui ou si c'est demain. Parce que le temps n'existe pas pour un enfant de 0 à 8 ans. L'enfant intègre son petit corps et accepte. son intégration ici sur cette terre, accepte son incarnation pour qu'il puisse grandir à développer sa mission. Ce qui fait que moi, de zéro à huit ans, j'étais vraiment dans le souvenir, quand j'étais petite, que j'étais vraiment dans un souvenir où est-ce que je suis. Je le verbalisais jusqu'à temps qu'on me dise que t'as-tu fini de compter des mensonges, t'as-tu fini de compter des menteries, ça se peut pas, t'as un monde imaginaire pas possible. Tu sais, c'était toutes des choses de même qui étaient dites, mais qu'en réalité, pour moi, c'était là. Je comprenais pas pourquoi que les gens étaient à me dire que j'étais menteuse. Je comprenais pas pourquoi que les gens me comprenaient pas. Et ça finissait que, oui, je continuais d'en parler, mais j'étais à un moment donné déçue parce que je n'avais pas les réponses à mes questions. Je n'avais pas de la part de mes parents dont c'était le reflet de confiance que je pouvais avoir dans ma vie. Je ne pouvais pas avoir les réponses, mais tu sais, je ne peux pas leur en vouloir parce qu'ils n'étaient pas là, ils n'étaient pas rendus là. C'était pas un sujet de discussion pour eux autres qui était normal. Fait que ce que ça a fait, c'est que, à mes 8 ans, j'ai décidé d'arrêter d'en parler. J'ai décidé de vraiment me concentrer à, OK, là je suis à mes 8 ans, je vais à l'école, il faut que j'apprenne à m'intégrer auprès des amis, parce que j'en parlais aussi auprès de mes amis quand j'étais à maternelle. Je disais des choses à une de mes amies, donc c'est ça qui est merveilleux. Suite au podcast, elle écoutait mes podcasts et elle m'est revenue et elle m'a dit, « Karine, je me souviens tellement de ce que tu disais quand on était assis ensemble sur une petite table et qu'on dessinait. » Fait que j'essayais d'ouvrir une petite porte pour voir s'il n'y avait pas quelqu'un qui pouvait me dire, « Hey, oui, Karine, ou, ah oui, je me souviens, ou, tu sais. » qu'il y ait quelque chose à élaborer suite au sujet que moi je portais. Oui, j'avais une cousine, Mélanie, qui j'étais vraiment à lui dire et elle m'encouragait et elle me questionnait. Je te dirais même que c'était la seule qui était à vraiment prendre le sujet au sérieux. Et ça l'a apporté justement à ce qu'elle comprenne mes démarches au fil des années qu'elle a vues vraiment que Je ne disais pas n'importe quoi. Et le fait que j'aille arrêter d'en parler à mes parents, ce n'est pas que je n'avais plus confiance en eux autres. C'est qu'en fait, c'était pour me protéger de moi. Parce que j'étais tannée, qu'on me dise que j'étais menteuse. J'étais tannée d'être dans le néant. Et j'ai mis ça de côté à partir de mes 8 ans. jusqu'à ce que je découvre les bibliothèques. Les bibliothèques à l'école, les bibliothèques, vraiment pour moi, c'était à partir de l'adolescence. Ou est-ce que, tu sais, en plus dans les années 80, on sentait qu'il n'y avait pas Internet, il n'y avait pas de Wi-Fi, il n'y avait rien de ça. Fait que c'était, tu te débrouilles avec ce que t'as. Et moi, j'étais à vivre dans un petit endroit où est-ce que c'était pas nécessairement, comment je pourrais dire, développé par rapport à ça. J'avais pas non plus des parents qui pouvaient être sujets à... parler, exprimer de spiritualité parce que mes parents étaient à être concentrés au niveau du travail. C'était plus la religion catholique, comme tout le monde. Mais quand il y avait quelqu'un qui parlait, qui osait parler, qui avait, mettons, vu ou entendu, qui aurait une histoire de... fantômes dans une maison, ou d'esprits dans une maison, ou que la magie pouvait exister, ou que... Ça, ça me fascinait, parce que là, c'était comme, oh, ils viennent de parler d'un sujet dont moi, je le sais qu'il y a quelque chose qui se passe à l'intérieur de moi et qui ça m'intéresse donc. Et je me souviens qu'à un moment donné, il y avait eu un monsieur qui était venu chez mes parents. et qui avait parlé d'un livre. Donc, dans ce livre-là, je me rappelle peu du titre, je le sais qu'il existe encore, je sais qu'il y avait le mot sacré, ou géométrie sacrée, fleur de vie, en tout cas, il faudrait que je le retrouve, mais ce monsieur-là m'avait expliqué qu'il y avait des choses qui étaient dites, dont ce qui était en lien avec les dimensions, ce qui était en lien avec les... Tout ce qui était le monde spirituel, là, j'étais fascinée, mais fascinée au point que fallait que je trouve ce livre-là. Et ce livre est venu à moi après X années, donc je l'ai dévoré, parce que pour moi, c'était tellement du bonbon de lire ça. C'était comme si, enfin, je rentre dans mon univers. Enfin, il y a quelqu'un qui me comprend. Tu sais, j'aurais dû pas... triper un peu, moi, d'avoir dans mes années 80 Internet. J'aurais-tu un peu vraiment triper. On s'entend, là, pour moi, ça aurait été, là, un paradis. Vraiment. Et ça, ça l'a fait que, justement, le livre qui était notre Internet, pour moi, était une mène d'or. Je l'ai mangé, ce livre-là. Et c'est à partir de là que j'ai tombé en amour avec les livres, parce qu'ils me nourrissaient. Les livres m'apportaient des mots dont je pouvais déposer dans mon cœur sans que j'aie à les juger. Tu sais, un livre, c'est quand on... c'est notre âme qui exprime au travers des mots. Et pour moi, l'auteur était quelqu'un qui... je pouvais le respecter et je savais qu'il me respectait en... déposant ces mots, qui aient pris du temps pour déposer ces mots, pour moi c'était d'un amour inconditionnel, vraiment, sérieusement. Pour moi, c'était un partage de temps, d'amour, d'enseignement qui, à partir de là, je me suis mise à dévorer les livres de tout ce qui était la spiritualité. vraiment, j'avais à peu près, c'était à partir de 12-13 ans ou est-ce que, j'avais pas les réponses à mes questions avec mes parents, mais j'avais découvert les livres, eux, pouvaient m'apporter vraiment les mots, les réponses à mes questions, tout, tout. Ça, ça a duré, là, quand j'étais enceinte de mes enfants, tu peux même pas t'imaginer, j'ai... toutes lu les livres à la bibliothèque, à Amkwi, de tout ce qui était la spiritualité, j'ai mangé les livres. Sérieusement, là, je me souviens, je m'astisais avec ma bédaine de 30 semaines et plus parce que, en plus, c'était ma façon de m'assire parce que j'étais une fille qui était très, très en mouvement. J'aimais être en mouvement, mais là, c'était un... « coucouning » pour moi. C'était un moment de bonheur où est-ce que c'était mon enseignement. Et mon âme, c'est ça qui est drôle parce que chaque enseignement que je recevais, c'est comme si j'étais prête à les recevoir. Parce que si, exemple, j'aurais lu un livre d'un tel auteur deux mois avant, je n'aurais pas été prête à recevoir ces mots-là. Ma conscience n'aurait pas été prête à recevoir ces enseignements si ça aurait été deux mois avant et même que si ça aurait été dans deux mois après. Parce que tout était d'une perfection d'alignement sur le plan de l'âme. C'est là que ça m'a appris justement à... Va chercher tes réponses de par toi-même, Karine. Ne te fie pas aux gens pour avoir des réponses, c'est leurs expériences qui vont t'apporter leurs réponses. Ce qui fait que c'est pour ça que je me suis ouverte à le monde du livre, parce que moi, quand j'ouvrais un livre, c'était mon enseignement, c'était une connexion avec l'auteur, avec ses mots, avec ses paroles, c'était... Un temps dimensionnel dont tout s'arrêtait autour de moi, et c'est encore de même aujourd'hui, mais de façon différente parce que je peux maintenant aller chercher mes réponses en les recevant par la vie, en les recevant par les rêves, en les recevant par mes enseignements, par mes accompagnements, parce que je me suis ouverte encore plus. à moi, à ce qui est l'anal akashique, à ma source. On a tout à l'intérieur de soi. C'est juste qu'ici, avec notre mental, on s'arrête. Et quand on est prise à ce que notre mental nous contrôle, c'est là qu'il manque une connexion. C'est là qu'il manque un fil. de connexion. Et ça, moi, j'ai compris ça au fil du temps. En étant à aller auprès des gens, donc, ces gens me faisaient vivre des expériences de connexion avec mon cœur encore plus à ce que j'intègre réellement qui je suis. Je me souviens, ça a commencé avec notre sorcier de la région, M. Poirier. Ou est-ce que lui m'a connectée vraiment à ce que je reprenne à mes 16 ans exactement ? Ou est-ce que j'avais perdu mon grand-papa suite à un AVC ? Donc, je l'entendais, je le sentais, je le ressentais qu'il était auprès de moi par les rêves. Et ça, ça me fascinait parce que je savais que grand-papa, il... Il reprenait, comment je pourrais dire ça ? Parce que quand j'étais enfant et que j'allais chez eux, je lui parlais de mes vies antérieures. Et lui, grand-papa, du côté maternel, comme il était beaucoup axé sur la religion catholique, même, je t'avoue, qu'il voulait devenir un curé. Et je remercie grand-maman. qu'il n'a pas voulu parce qu'elle l'a rencontré avant qu'il quitte, parce qu'il avait pris le choix de devenir curé. On s'entend-tu que je remercie tellement la vie, avec tout ce qui se passe au niveau catholique ? Vraiment, sérieusement, je n'entrerai pas là-dedans, mais je ne rentrerai pas là-dedans. Ce qui fait que je remercie vraiment la vie parce que ça l'a fait. un très bon grand-papa rempli de sagesse et c'est lui qui m'a enseigné à aimer les animaux, à les respecter, à les traiter avec amour et douceur. Aujourd'hui, je l'honore de son enseignement parce que je le sais que je me suis rapprochée de lui en venant ici, dans cette vie-ci, parce que la mérindienne que j'étais, était à respecter tout le vivant. Pour moi, j'avais besoin d'avoir des personnes autour de moi qui étaient dans cette même mentalité pour que je puisse continuer à être qui je suis dans une évolution modernisée. Ce qui fait que je l'honore vraiment, je le remercie vraiment. C'est ce qui a fait que quand je me suis réintégrée à mes 16 ans, de me reconnecter. Je le sais que quand grand-papa était dans le monde spirituel, décédé, de l'autre côté du voile, c'est lui qui m'a ramenée dans le chemin de qui j'étais. Parce que mes grands-parents... Mes parents, le monde autour de moi, m'ont fait une programmation dont c'était « tu ne peux pas être comme tu es dans ce monde, dans cette vie familiale, parce qu'on a peur de toi, parce qu'on a de la difficulté à savoir si c'est vrai ou si c'est faux parce qu'on n'a pas de preuves. » On n'a pas de preuves scientifiques. Et ça, c'est ça qui fait peur, en fait, parce que c'est un monde magique. C'est un monde où est-ce qu'on pourrait dire du n'importe quoi. Mais ça, on le sait de toute façon. On le sait si c'est du n'importe quoi ou si c'est vrai, parce que quand c'est du n'importe quoi, c'est pas intègre. Il n'y a pas de crédibilité, c'est pas droit, c'est pas structuré. Mais quand c'est vrai... Parce que moi, ça m'arrive de parler avec des gens, ça m'arrive de parler avec des enfants, et je le sais, je le sens qu'il y a une vérité dans ce qu'ils disent, comme qu'il y en a d'autres dont j'ai eu à avoir affaire et qui avaient des problèmes, je dirais, des problèmes mentaux, dans le sens que la schizophrénie, oui, ça fait partie de... L'ouverture, mais, ça en est rendu un peu comme trop. Et là, ça vient que ça l'apporte à un certain délire parce qu'il n'y a rien qui se tient, parce qu'ils sont trop dans des dimensions astrales où est-ce que, justement, ils sont infectés par ce qui est des énergies négatives autour d'eux. Fait qu'on le sent. Moi, je le sais, je le sens, il y a quelque chose qui se passe quand la personne me le dit vrai par rapport avec ses expériences. Il y en a d'autres aussi qui vont essayer d'impressionner. Ça, on le sait tout de suite. Ce qui fait qu'à partir de mes 16 ans, je me suis encore plus intégrée. C'est comme si la vie, dans le fond, disait, OK, là, Karine, t'as assez lu de livres de 12-16 ans. Là, il faut que tu rentres dans le monde, dans le vrai monde avec tes enseignements. Et là, on va t'enseigner. On va t'enseigner, mais il faut qu'en tant qu'élève, tu te dois de passer des niveaux. Et c'est exactement ça qui s'est passé. J'ai eu à passer des niveaux, donc ça a commencé avec grand-papa. Je lui ai permis, justement, d'entrer en contact avec moi suite après son décès. Et par la suite, il m'a guidée, justement, à être auprès de gens. Donc, ces gens-là m'ont aidé, m'ont apporté, m'ont enseigné, m'ont fait élever mon taux vibratoire, m'ont permis de me déprogrammer de mémoire émotionnelle dans cette vie-ci qui était en lien avec ceux et celles autour de moi dont ils n'acceptaient pas qui j'étais. Et ça ne leur faisait pas. Fait que moi, ça ne m'appartenait pas en fait parce que si la personne n'avait pas... à quelque part, ce n'était pas mon problème. Mais en même temps, je lui permettais à cette personne-là, à ce qu'elle s'ouvre spirituellement, à ce qu'elle puisse ouvrir sa conscience, à ce qu'elle puisse vraiment voir que il n'y a pas juste des restements qui existent. Il existe un monde au-delà de ce qu'on peut imaginer. Et ça, ça m'a apporté vraiment à rencontrer des belles personnalités, des belles personnes. Et comme ça m'a apporté aussi à des personnes dont j'ai vu qu'il y en a qui se disent d'être des sorciers, qui se disent d'être des chamanes, qui se disent d'être si, oui, on les est toutes. Mais ce qu'on porte à l'intérieur de soi, est-ce que c'est sain ou pas ? Ça, c'est une autre question. Parce que dans la vie, il y a l'ombre et la lumière. Et il y a des personnes qui profitent de la situation pour utiliser, pour prendre, pour écraser notre pouvoir. Et ce, moi, je l'ai déjà vécu, donc, quand j'étais dans la vie antérieure. La mère indienne, qui était une femme puissante, qui était en connexion avec la nature, qui avait un don de soi, qui était l'amour. Et que les hommes autour de moi ne voulaient pas que moi je sois une chamane, ne voulaient pas que je sois cette femme forte et puissante sur le plan énergétique pour aider mon prochain. C'est pour ça que j'ai vécu à me faire rejeter de ce village amérindien pour que je me retrouve vraiment exclue et esclave. Et c'était de cette façon-là qu'il m'écrasait, qu'il me mettait vraiment la main sur la tête, comme je pouvais le voir, en voulant dire « tu te tais » . C'est nous les hommes, c'est nous qui contrôlons, c'est nous qui possédons la vérité. Et ce mois, je me suis rabaissée. Ça m'apporte à te raconter, dans ma vie d'aujourd'hui, quand je me suis mise à entrer encore plus en force dans le monde des animaux. J'ai eu une personne qui, même deux, qui m'ont vraiment apporté à m'écraser, à voler mon pouvoir, à me dire que tu rentres dans ce domaine-là, tu ne connais rien, dans le monde du toilettage, à me dire, tu ne connais rien, tu commences. Tu es qui, toi, pour nous dire ça ? Qu'est-ce qui te fait dire ça ? Qu'est-ce qui te fait dire ça ? « Prends ! Pourquoi tu t'en vas dans le domaine des animaux ? » Et là, je ressentais qu'il y avait de l'envie, qu'il y avait de la jalousie, qu'il y avait de l'escroquerie, dans le sens que je commençais à voir que, oh, OK, moi, je suis dans un élan de me réaliser à ce que je puisse apporter le beau, le bien et le bon auprès des animaux. Mais à côté, j'ai des gens qui viennent m'écraser par l'envie, par la jalousie, qui me compétitionnent, qui me font du coup de coude. Là, j'étais dans un état où est-ce que dans mon intérieur, la programmation que j'avais de la vie antérieure de la mère indienne, ça me ramenait à dire « Ouais, Karine, t'es qui toi ? Tu viens de rentrer dans le monde du toilettage, tu viens de rentrer dans le monde des chevaux, tu te prends pour qui ? » T'as pas d'affaire à commencer à travailler énergiquement sur les animaux. Faire du toilettage, c'est tu t'ondes, tu coupes les griffes, puis tu donnes aux clients, c'est fini. Non, moi c'est pas ça que je veux. Moi ce que je veux dans le monde du toilettage, c'est de prendre l'animal, c'est de l'intégrer dans mon monde, parce que mon entreprise, c'est mon âme. Mon âme est tellement dans une grande dimension que j'ai besoin de l'exploiter. J'ai besoin à ce que les gens viennent à moi pour que je les enveloppe de mes ailes et que d'avec mes mains, je puisse apporter l'amour que mon cœur veut pour ces animaux-là, parce que je les aime, ces animaux-là. Sérieusement, là, moi, je suis une folle alliée des animaux, là. Sérieux, là, j'ai un amour inconditionnel, tu ne peux même pas t'imaginer. Quand je regarde une vidéo, là, je ne suis même pas capable de voir des animaux souffrir. Je ne suis pas capable. Mon chum, des fois, il arrive et il me demande « Hey, check ça ! » Non, non, non, oublie ça, c'est un animal. Il dit « Non, mais il arrive. » Non, je ne suis pas capable, ça me rentre dedans. C'est comme si là, ça me met à l'envers, mon esprit reste avec ça dans ma tête. Je suis d'une fragilité émotionnelle incroyable quand on parle d'animaux. Et là, moi, ça m'apporte à la création de mon entreprise dans le monde du toilettage. Et j'ai des gens autour de moi qui me rentrent dedans, mais j'en ai d'autres qui me fleurissent, qui me nourrissent. J'en ai d'autres, c'est comme, hé Karine, t'es tellement à ta place. Je veux toi absolument qu'il fasse mon chien, mon chat, je veux pas personne d'autre. J'aimerais ça que tu, tu sais, le monde me disait ça, j'aimerais ça que ce soit toi. Avant que je rentre vraiment dans le métier, j'avais déjà un horaire de fête. Et ça, moi, ça montrait que j'étais à la bonne place. Mais plus que ça allait, puis plus que j'avais une personne qui me rentrait tout le temps dedans. Soit par le plagiat, j'ai vécu extrêmement beaucoup de plagiat, soit par des mots, soit par des entendus d'une personne qui avait dit ça sur moi, soit aussi de me faire même jusqu'à suivre pour faire écouter mes conférences. Et là, c'était du vrai délire, c'était du vrai bordel, parce que je me disais, « Ouais, c'est vrai, tu sais, je devrais peut-être prendre moins de place. » Mais moi, là, quand je suis passionnée, je suis excité. Quand je suis excitée, je veux tout offrir, plein d'amour. C'est comme la joie, le bonheur. J'adore ça. J'aime nourrir autour de moi de par l'amour qui vit. Parce que ça vient de mon âme, ça vient du plus profond de mon être. Et ce que j'ai trouvé à faire, parce que je trouvais que je dérangeais beaucoup, c'est que je me suis têt, vraiment. Je me suis mis dans un petit coin et j'ai dit, OK, là, je ne fais plus de publicité. Je ne montre plus qu'est-ce que je fais. Je ne parle pas de ce que je dis. Je vais être juste en contact avec mon client. Je vais vraiment être dans mon petit cocon, dans ma petite niche à chiens, dans mon micro salon de toilettage, dans mon endroit où est-ce que... Je me sentais en sécurité. C'était de cette façon-là que j'avais plus de plagiat en me taisant. Je n'avais plus rien qui venait de l'extérieur, qui venait me toucher, qui venait me blesser, ou qui venait me voler mes idées, ou qui venait vraiment prendre mes mots. Ça ne me dérange pas que j'inspire les gens. Au contraire, j'adore ça. Mais fais-le d'une façon où est-ce que ça va être honnête pour moi et pour toi. C'est ça la différence. C'est ça que j'ai compris, moi. Quand c'est malsain, c'est là que moi, j'ai un détecteur. Parce que dans la vie antérieure, les hommes qui me mettaient la main sur ma taille pour m'écraser, bien, c'est ces hommes-là que je me suis connectée. C'est avec ces hommes-là que j'ai compris qu'il faut que je les détecte de façon à ce que, OK, quand je détecte ça, c'est dans le sein, il faut que je me tasse de là pour encore plus ouvrir ma lumière. Et en même temps, dans cette vie-ci, quand j'étais à vivre avec cette personnalité qui m'enviait, qui me jalousait, qui m'écrasait, qui m'intimidait, qui me compétitionnait, ça m'apportait à détecter que c'était malsain, encore là, parce que cette personne-là, ces personnes-là avaient peur de moi. En mettant la main sur ma tête, c'était, il me faisait peur. Et j'ai embarqué là-dedans. J'ai vraiment embarqué là-dedans. Comme je suis dans le monde naturel, j'aime les animaux, j'aime les plantes, j'aime les arbres, j'aime la vie, tout ce qui est le monde vivant, tout ce qui a un âme. Moi, un arbre a un âme. La fleur, elle a un âme pour moi. Ça fait dix ans. Et plus que j'ai suivi mon cours en naturopathie et phytothérapie. Et dernièrement, je me suis affiliée avec une compagnie dont les produits, je les utilisais depuis un certain temps. Et j'étais en plus à chercher des produits pour permettre. à aider mon prochain lors de consultation. J'étais à la recherche vraiment d'une communauté où est-ce qu'on était tous inspirants, qu'on s'élève en puissance, tout le monde ensemble. J'avais même fait dans mon vision board une photo où est-ce qu'on est beaucoup de personnes et qu'on se tient toutes par la main, mais pas par la main, sous forme de la main sur l'avant-bras et l'autre personne met sa main sur l'avant-bras. Je pense que c'est de cette façon-là que les hommes de guerre se tiennent pour se soutenir. C'est vraiment une façon pour dire qu'on se soutient, mais de façon vraiment honnête. Et moi, j'avais mis ça en photo sur mon vision board. Et cet automne, même je dirais l'été passé, en 2024, j'étais vraiment à la recherche d'une communauté où est-ce que j'allais me louer avec eux autres en tant que naturopathe. Parce que, encore là, j'avais reçu une lettre d'une fédération dont ils me contrôlaient. Ils m'exigeaient des choses. Pour moi, ça m'exigeait... Tu viens de me perdre. C'est comme si tu me contrôles, tu viens de me perdre. Parce que ça me ramène à ma vie antérieure. Rentre pas là-dedans, parce que moi j'ai une clé de sécurité qui va faire que, oh ok, toi tu m'apportes là, c'est bien une valeur, moi je prends un autre chemin. Et ça, ça m'a apporté à découvrir une autre naturopathe qui est dans le domaine de la santé. Et mon cœur me disait d'aller auprès de cette personne-là et c'était extrêmement fort. Et j'ai suivi mon intuition, je suis allée vers elle pour qu'elle m'aide en me coachant côté entraînement et aussi côté alimentaire. Et cette personne-là, c'est elle qui m'a fait découvrir les produits, les produits que j'utilise qui sont les produits modères. Et je me suis intéressée à leur côté très naturel. Tout ce qui... le collagène, tout ce qui est magnésium, vitamine D, les multivitamines. Je les ai découvertes, je les ai essayées, je les ai expérimentées, je les ai intégrées dans mon être. Et ça, ça m'a donné le goût justement d'entrer dans cet univers avec ces femmes dont il y a une naturopathe comme moi, il y a une pharmacienne, il y a une professeure. Il y a une gardienne d'enfants. Il y a des femmes dont j'ai appris à les découvrir, mais elles sont d'une... Je n'ai pas de mots. Elles sont tellement inspirantes. On est un groupe de femmes où est-ce qu'on s'élève toutes ensemble. Et ça, moi, je suis rentrée avec vraiment des jugements à moi-même parce que, dans le fond, c'est une compagnie. qui est en lien en vente de réseaux marketing, MLM. Ça, moi, c'était comme j'avais des jugements par rapport avec ça, par rapport dans le passé, j'étais tannée dans le feuille retannée. Et au fil du temps, j'ai réalisé qu'on s'en va tout dans le réseau de marketing. C'est plate à dire, mais tout ce qui est au niveau commercial, c'est en train de s'écrouler, veut, veut pas. C'est plate, mais c'est comme ça. C'est la société qui veut ça. On le voit. Tout ce qui est les petits commerces, la société écrase ces petits commerces. J'ai peut-être un jugement, j'ai peut-être quelque chose que je dis en ce moment qui ne te plaît pas ou peu importe, mais on le voit qu'il n'y a pas les petites entreprises. C'est les grosses entreprises qui rentrent dans le marché. Et en plus, avec l'économie, les gens vont vouloir économiser. Ils vont vouloir... prendre beaucoup plus un café qui va valoir une pièce versus un café dans un endroit artisanal où est-ce qu'il va valoir 5 pièces. Moi, je vais avoir envie de 5 pièces parce que je sais ce que je bois. Ce qui fait que c'est ce qui m'a apporté justement à, ok, là Karine, les produits, tu les as essayés, tu les as vraiment intégrés, tu sais de ce que tu parles, tu sais ce que tu peux. apporter à ton client et à ta cliente, c'est pour ça que j'ai embarqué. Parce que je savais que ces femmes-là allaient m'aider à vraiment me déprogrammer dans mes croyances du passé. Puis ça, c'est vraiment quelque chose qu'on doit apprendre. Parce que si tu as une programmation qui est encore dans les croyances du passé, bien, il faut que tu apprennes à faire des mises à l'eau. C'est ce que j'ai compris. Il faut que je laisse tomber mon orgueil. Il faut que je me pardonne. Il faut que je m'ouvre. à ce qui s'en vient, parce qu'on s'entend que nos jeunes, c'est eux autres l'avenir. Et ce qu'ils ont dans leurs mains, les jeunes, un téléphone. Et tout se passe par un téléphone. Fait que, c'est pour ça que j'ai accepté de dire, je me dois de, si je veux, me rapprocher des jeunes. Parce que moi, mon but, là, tu sais, je te parle de modère, je te parle de vie antérieure, je te parle d'animaux, c'est tout un mélange, mais c'est qu'en fait, ça a tout un lien. C'est l'âme. C'est le cœur de ce que je te raconte, c'est l'âme. L'âme, elle, ce qu'elle a besoin, c'est l'amour. Ce qu'elle a besoin, c'est d'être bien dans le corps physique. Fait que si ton corps physique ne va pas bien, n'a pas une bonne santé, ton âme va se détériorer parce que tu n'auras pas une belle fréquence énergétique à vibrer, parce que ton corps va souffrir. Énergiquement, ton âme va aller apporter à ton corps physique l'énergie pour survivre. Et là, ça fait que moi, je travaille avec corps, âme, esprit, émotion, cœur. Pour permettre à ce que, en passant par corps, âme, esprit, émotion, qu'on puisse aller dans notre cœur et vraiment être dans la plus belle des alignements. Nord-sud, est-ouest, corps, âme, esprit, émotion, terre, eau, feu, air. Ce qui fait que moi, en étant bien centré, je le sais que je suis dans un alignement. Et en étant allée chercher ces produits-là, ça m'a permis vraiment d'être encore plus à offrir à mon client pour qu'il ait un corps en santé. Mais ce qui est fou, c'est que je suis en train de vivre exactement la même situation quand je suis rentrée dans le monde du toilettage. Ouais ! Je vis la même chose de la compétition, de la génosie, de l'envie, du plagiat, qui fait en sorte que je me suis assise et j'ai observé, j'ai analysé la situation dont la vie est en train de me montrer. Et c'est là que ça me dit, Karine, souviens-toi, dans la vie antérieure, quand tu étais amérindienne, on t'a écrasé. On t'a humilié. On t'a mis la main sur la tête pour que tu restes écrasé le plus bas possible à la terre et que tu ne dises rien. Ensuite de ça, tu es arrivé ici sur cette terre en tant qu'enfant. Tu étais à dire ta puissance, à exprimer ce qui tu étais. On t'a mis la main sur la bouche pour que tu arrêtes d'exprimer, pour que tu ne nous fasses pas honte. On t'a mis la main sur la bouche pour que tu te taises. Je me suis têt, comme dans la mer Indienne. Je me suis croisée, j'étais une esclave. Ce qui fait que là, en étant enfant, je me suis têt, je me suis arrêtée, je me suis retournée vers moi-même en gardant les messages que je recevais. Par la suite, j'ai avancé, Il y en a eu d'autres expériences, mais celle les plus importantes, les artères, beaucoup plus importantes, ce sont elles que je te parle. Quand j'ai commencé en toilettage, on m'a mis la main sur la tête, vraiment. Et là, ça m'a fait ding, ding, ding dans ma tête, dans mon cœur, dans mon être. Soit que je me levais ou soit que je m'écrasais. Je me suis écrasée. Je me suis... en plus. J'avais une programmation d'une main sur la bouche et j'avais une programmation d'une main sur la tête. Ce qui fait qu'on me tenait au sol avec la jalousie, avec l'envie, avec tout ce qu'il y en a. Et là, avec mon intégration de produits naturels que j'ai mis en cours, avec mes accompagnements de coaching holistique, donc je vis de part. de ce que je peux observer, de ce que je peux voir, de ce que même j'entends, je vis la même situation d'écrasement. Je vis la même situation de la mère indienne, de l'enfant de 8 ans, de la fille de 35 ans en toilettage, et là, 43 ans. Mais là, en m'étant amassée... En étant à voir que c'est assez, c'est pas vrai que je vais me mettre une main sur la tête, une main sur la bouche pour que je me taise, pour que je m'écrase, pour que je me fasse écraser. Là, ça, c'est un enseignement de la vie, là. C'est ça que j'ai réalisé encore. Et là, j'ai dit, là, c'est assez. Je vais prendre position à l'intérieur de moi. Je vais prendre ma place. Et tous ceux et celles qui sont autour de moi, qui me voient et qui peuvent ressentir une certaine jalousie ou une certaine envie, ça ne m'appartient pas. Ça ne m'appartient pas parce qu'en fait, moi je suis rendue à un autre niveau, c'est d'aider mon prochain. avec la couleur que je vibre à l'intérieur de moi. Et mon service que j'offre, c'est pour faire le bon, le bien et le beau autour de moi. Parce que je le sais que si je conseille à la personne à ce qu'elle prenne du collagène, à ce qu'elle prenne du zinc, à ce qu'elle prenne du safran, à ce qu'elle prenne de la vitamine D, à ce qu'elle prenne de la multivitamine, c'est parce qu'elle en a besoin. C'est un besoin au corps. pour que le corps soit en pleine floraison et que le corps qui fleurisse ouvre l'âme et que l'âme reflète l'amour de l'être humain. C'est ça, ma mission. C'est totalement ça. Fait que si la personne autour de moi, elle m'envie, elle me jalouse, c'est parce que c'est un enseignement pour moi qui me montre qu'Arine reflète encore. plus ta puissance, parce que ta puissance, c'est de faire le bien, le bon et le beau autour de toi, pour ton prochain, pour apporter l'amour qui vibre, ta passion qui vibre, pour aider l'âme à ce qu'elle puisse être bien avec son corps physique. Et c'est ça qui je trouve dommage, parce qu'on a toute notre propre lumière, on a toute notre programmation. On a tout ce qu'il faut à l'intérieur de soi, ça ne sert à rien de prendre ce que l'autre a côté fait. Oui, ça peut inspirer, mais vas-y à ta couleur, vas-y avec ce qui te reflète, vas-y avec ton âme, vas-y avec ton corps, avec ton cœur, avec ton essence même. C'est ça qui fait que ça donne de la crédibilité et les gens le sentent, les gens le savent. les gens leur ressentent que c'est c'est de ta conscience que ça devient c'est ça que moi aujourd'hui dans le ici et maintenant quand j'ai vu il y a x semaines que je commençais à revivre la même situation que dans mon passé par les trois expériences que j'ai vécues dans mes gros artères, là, je me suis dit, c'est assez. Dans le fond, c'est un enseignement de la vie, donc ça me montre que je suis exactement à la bonne place. Et c'est fou ce que je dois dire, mais suite à ça, quand j'ai décidé de prendre ma place, ça m'a apporté à faire des ventes de fou. Pour moi, c'était wow ! J'ai passé vraiment... À Silver, à Gold, en l'espace de X, là tu vas dire, c'est quoi ça ? C'est des rats, en fait. Puis moi, ça, ça n'a pas d'importance. Moi, ce qui est important, c'est que je le sais, que le monde voit que ce que j'offre comme service, c'est parce que c'est, que je le sais, que c'est bon pour son corps. Je le sais que cette personne-là... va avoir un produit de qualité pour sa santé. Moi, c'était clair, honnête et précis que tout ce qui est en lien, exemple avec le maquillage ou tout le kit, ça, ce n'est pas pour moi. Je ne rentre pas là-dedans. De toute façon, cette compagnie-là, pour l'instant, il n'y en a pas. Je ne sais pas s'il va en avoir, mais pour l'instant, il n'y en a pas. Et encore là, ce n'est pas quelque chose qui, pour moi, pour moi, c'est superficiel. Et je suis au... Aucune maman ne jugeait sur elle seule. Ma propre fille fait de l'esthétique, puis je l'annule. Sérieusement, si tu verrais son bureau d'esthétique dans sa chambre, c'est de toute beauté. Je l'annule parce que je la trouve belle dans ce qu'elle est, parce que c'est son essence. Moi, je ne me vois pas commencer à me mettre du rouge à lèvres. Je n'ai jamais fait ça de ma vie. Pour moi, ce n'est pas moi. Mais par contre... Les produits pour la santé, c'est moi. Tu sais, j'ai plein de gens qui m'écrivent, « Carine, ma fille, elle vit des gros problèmes menstruels. Qu'est-ce que tu lui conseilles ? » OK, telle huile essentielle, ça, ça, ça. Tu peux lui donner ça. Tu y frottes le ventre avec ça un petit peu. Tu vois, ça va aider. Ensuite de ça, un bol de tisane avec de la camomille pour qu'elle puisse être un petit peu relaxée, anti-inflammatoire. Tu sais, je n'utilise pas juste les produits modèles, aucun mal. Je te dirais même que j'ai une bibliothèque parce que j'ai étudié en aromathérapie, en herboristerie. J'ai étudié en zoonocosmétologie pour les chiens. J'ai étudié en naturopathie. J'ai étudié en phytothérapie. J'ai étudié en chamanisme. J'ai étudié... il y en a plein d'autres. J'ai des livres en homéopathie aussi. J'adore travailler avec ça. J'adore travailler avec les fleurs de bac. J'adore travailler avec les petites granules. Ma petite chamane qui travaille avec moi en toilettage la semaine passée, elle me dit, je l'appelle de même parce que je trouve qu'elle a de la petite chamane, elle est trop mignonne. Elle me dit, j'ai mal au ventre et en plus, full hémorragie. Je suis allée chercher une petite homéopathie, ça n'a pas pris une heure. Elle n'avait plus d'hémorragie. Parce que moi aussi, j'ai appris à expérimenter de par ma propre santé. Et c'est ce qui fait que ça, ça me passionne, ça me fascine, ça m'apporte dans un univers où est-ce que c'est incroyablement beau parce que c'est moi. Et enfin, je peux me dévoiler au grand jour. Et c'est ça qui fait que c'est tellement magique parce que les gens le sentent, ils le savent, ça se dégage, ça se vibre. Même tu dois le ressentir, je te parle et je suis... passionnée, si tu me verrais les bras dans les airs, c'est comme si je te voyais devant moi, puis que je te parle de, ben c'est ça, c'est moi ça, c'est moi. Fait que les gens dont j'ai eu à vivre des situations difficiles, je les remercie, je les honore, parce que la mère indienne qui était dans la vie antérieure, avec ces hommes-là qui m'ont écrasé, je les honore, je les remercie. Mes parents, qui ne savaient pas quoi me dire. Je les honore. Je les honore parce qu'ils m'ont apporté à être curieuse. Ensuite de ça, les personnes qui m'ont jalousée dans le monde du toilettage, je les remercie parce que c'est bientôt ma neuvième année que je suis en toilettage et je sais que j'apporte à mes chouchous d'amour. Je le sais et ils me font tellement du bien aussi. Je les aime tellement profondément. Je sais que ceux et celles qui m'ont écrasée dans ce monde-là, je les remercie parce qu'ils m'ont montré que je suis vraiment à ma bonne place. Et aujourd'hui, le fait que j'ai vécu encore là, face avec les produits en naturopathie dont je vends, ceux et celles qui ont essayé de me rentrer dedans ou me compétitionner ou me plagier, bien, je le sais que je suis véritablement à ma bonne place. Parce que c'est moi. Moi, j'ai la bibliothèque dans mon univers pour te parler des produits naturels. J'ai dans ma bibliothèque intérieure la capacité de t'aider à t'intégrer à l'intérieur de toi pour que tu ailles chercher ta véritable amour, ta véritable connexion sur le plan de l'âge. la bibliothèque à l'intérieur de moi pour t'aider à aller déprogrammer émotionnellement une émotion qui, cette émotion, t'empêche d'être libre. Et c'est ce qui fait que je suis intègre à moi-même et je le sens. Je me suis révélée à moi-même. Tout simplement. Et c'est ça que j'ai envie à ce que les gens se révèlent à eux-mêmes. Ce qui est merveilleux, c'est que j'ai fait un défi 21 jours, 21 questions pour 21 piastres. Le 21 février, comme par hasard, il n'y avait rien de prévu. Tout s'est orchestré dans une synchronicité parfaitement incroyable. Et avec ces 21 questions, je vois les partages que mes 41 femmes font et c'est de toute beauté. Ils me envoient des messages dont ils réalisent qui elles sont. Qui elles sont véritablement, ces femmes-là qui ne parlent pas, qui se taisent, qui sont écrasées dans leurs relations amicales, familiales, amoureuses, peu importe. Bien, moi, je sais les reconnaître parce que j'ai passé par là. Et c'est ce qui fait que je veux que ces femmes-là se lèvent debout comme moi, qu'on se prenne tous par la main et qu'en se prenant tous par la main, on change en puissance à devenir ces femmes intègres et authentiques et qu'on puisse émerger l'amour inconditionnel qu'on vibre à l'intérieur de nous. Et je vous le dis, tout ça va changer dans le sens que le jour que tu vas intégrer ton amour inconditionnel... Tu vas changer tout le monde autour de toi. Tu vas changer ton conjoint, ta conjointe. Tu vas changer tes enfants. Tu vas changer ta famille. Tu vas changer tes amis. Tu vas changer dans ton monde de travail. Tout se fait naturellement. Vraiment. Et tu l'enseignes inconsciemment à ton monde autour de toi. Parce que moi, en l'ayant programmé à l'intérieur de moi, je te le dis, c'est véritablement vrai. Même moi, je suis un peu flabbergastée, je dois dire. Quand, il y a deux semaines, que j'ai fait du EFT pour faire l'inversion psychologique, de dire, je suis à ma place dans toute mon intégrité et ma crédibilité. Je suis à ma place dans le ici et maintenant et j'honore qui je suis. Mon fils a un travail dont... Il n'était pas nécessairement dans l'acceptation de travailler où est-ce qu'il est, parce qu'il ne se sentait pas légitime de travailler à cet endroit-là. C'est ça qui est particulier. Tu sais, des fois, on ne sait pas d'où ça vient, mais c'est toutes des programmations transgénérationnelles. cellulaire. Et là, on se parlait, puis ils disaient, c'est sûr que moi, je m'en vais de là, oublie ça. Moi, j'ai dit, tu sais, t'es super bonne. Même les patrons viennent te voir pour te dire que t'es super bonne. Prends-le, tu sais. C'est de l'enseignement, ça, que tu reçois. Tu sais, t'as le droit de recevoir des bons mots. Ouais, mais là, tu sais, j'étais gênée, là. Tu sais, les autres entendaient autour de moi, puis j'étais quasiment gênée, mais là, tu sais, c'était comme... Je n'ai pas à sentir dans le mal-être de recevoir des bons mots, des commentaires de leur part qui montrent que justement, tu fleuris leurs entreprises. Accepte, ils sont reconnaissants, prends-le. Et là, moi, en ayant fait le travail sur moi, d'accepter qui je suis. de prendre ma place cette semaine, il vient me voir, puis il dit, ouais, mais, il dit, tu sais, on s'avait parlé l'autre jour, là, il dit que j'étais pas sûre de peut-être rester là, ou que j'allais peut-être aller me chercher un autre emploi, ou ailleurs, ou n'importe, mais il dit, je pense que là, je me sens vraiment à ma place, là, genre, ouais, il dit, sérieux, il dit, oui, oui, puis il dit, même, il dit, la superviseure est venue me voir, puis... Elle n'arrivait pas à quel point que, justement, je comprenais vite que, supposément, que ça prend genre deux mois avant que quelqu'un intègre vraiment le travail. Puis il dit, là, ça fait deux jours que je suis là, puis je suis laissée seule, puis ça a l'air que j'ai tout compris les pitons. Oui, mais tu as le droit de tout comprendre les pitons. Puis là, il me dit, oui, c'est ça. Il dit, on dirait qu'il dit, c'est drôle, il dit, ça m'intéresse de rester à cette entreprise-là. Il dit, que je sois ailleurs. Oser le mouk-mouk, il dit, ou ailleurs dans une autre entreprise, il dit, si je ne suis pas bien en dedans de moi, il dit, ça ne sert à rien que j'aille chercher ailleurs, je ne serais pas plus mieux dans une autre entreprise que présentement. Là, je la regarde, je dis, oh my God, tu es vraiment en train de réaliser ça toi ? Elle dit, oui, vraiment, puis même, j'ai entendu dire qu'ils pouvaient me former aussi pour qu'il y ait une évolution dans le travail, pour que même j'aille plus dessous. Là, je la regarde et je me dis « Oh my God, ce que j'ai fait comme travail sur moi, lui, il a eu l'impact parce que j'ai donné le droit d'être qui il est. J'ai donné le droit de ne pas se minoriser. Au contraire ! » ouvre tes épaules, puis sois fier de toi, mon homme. Ouvre-toi les épaules, puis go. Puis tu sais, ça, le monde pourrait dire, « Ah, gars, il est hautain ou il est arrogant. » Mais ça, il y a une différence. Il y a une différence de fierté à l'intérieur de soi. Puis quand on le fait humblement, là, il y a vraiment une différence. Fait que c'est pour t'expliquer que, avec mon fils, il y a eu un cheminement qui s'est fait inconsciemment. Et ça a commencé par moi. Et ça, je le sais que j'ai transformé sa vie en travaillant sur moi. J'espère que ça t'a inspiré. J'espère que je t'ai permis de comprendre des choses par rapport à ce que je viens de te raconter, avec mon histoire. Il faut que tu saches que, présentement, je suis totalement en paix avec ce que j'ai. exprimer avec tous ceux et celles qui m'ont fait vivre des émotions sur tous les plans. Je les honore, je les remercie, je les prie, je les bénis. Tout ça par l'enseignement de ma grand-maman Rita, qui m'a enseigné à ne pas garder la méchanceté en soi, parce que C'est à nous-mêmes qu'on se fait du mal. Et quand on se fait du mal à nous-mêmes, c'est là qu'on se désaligne de notre mission de vie. Et ce que j'ai appris, c'est à me centrer sur moi-même et de réaliser ma mission et d'en être inspirante. Et surtout, en me révélant à moi-même, c'est que je n'ai plus à me faire aimer par qui que ce soit. Parce que je n'ai plus rien à prouver. Parce que je n'ai pas rien à prouver. Ce que je veux, ce que je désire maintenant, c'est d'être dans ma mission de faire du bien, du beau et du bon autour de moi. Et quand je reçois des commentaires de personnes dont ils ont eu à vivre une expérience, soit en méditation, soit en défi 21 jours, soit en soins heuristiques, soit en coaching, et qui me disent que Karine a changé ma vie, Mais en fait, j'ai pas changé la vie. J'étais juste... Non, pas que j'étais juste. J'étais apportée ce que je pouvais t'y offrir, de ce qui venait de ma bibliothèque, de mon anal akashique, de ce que je porte, tout simplement. Fait que j'ai juste envie d'être... une immense bibliothèque pour que je puisse offrir à l'être humain, à l'animal, à la plante, à l'arbre, à l'eau, à la rivière, à l'air, au feu, à tous ces éléments ici qui sont du vivant. J'ai juste envie d'apporter ce que je peux offrir comme don de soi. Fait que je te souhaite que tu te révèles à toi-même. Vraiment, sincèrement, en toute honnêteté. Je te dis belle continuité, prends soin de toi et je te fais un gros canon.

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