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En toute simplicité ...

ÉP61. Et si on guérissait… ensemble?

ÉP61. Et si on guérissait… ensemble?

52min |04/08/2025|

36

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Description

Il y a des blessures qui ne se voient pas.

Des mémoires anciennes qu’on porte en silence.

Que l’on soit homme ou femme… personne n’y échappe.


Dans cet épisode, je t’ouvre un espace de guérison.

Je parle de ces hommes qui osent enfin déposer leurs armures.

De ces femmes qui, parfois sans le vouloir, prennent trop de place dans la douleur.

De ces schémas invisibles qu’on rejoue encore et encore… jusqu’à ce qu’on choisisse d’en sortir.


✨ Je t’amène dans des histoires vraies.

Des vies antérieures.

Des réconciliations puissantes.

Des libérations profondes.

Et même… un souffle sacré offert par un cheval.


Parce que guérir l’homme, c’est aussi permettre à la femme de se reposer.

Parce que réconcilier nos polarités, c’est faire la paix en nous… Et entre nous.


Avec Amour,
Karine Turcotte


Vous pouvez me suivre: https://www.facebook.com/profile.php?id=61557736540965&mibextid=LQQJ4d


Facebook: Karine Turcotte 



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Allô, allô ! J'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon podcast en toute simplicité, Du coeur à l'âme, épisode 61. Aujourd'hui, j'ai envie de parler d'une de mes journées que j'ai eues cette semaine, dont ça tournait autour de la masculinité. Si tu vas sur ma page Facebook... personnel Karine Turcotte. Tu vas voir dans mes publications de à où, même je pense que c'est le premier à où que je l'ai publié, j'ai écrit un texte en lien avec les hommes, suite avec l'énergie que j'ai eu à vivre toute la journée. Donc, ça a commencé que j'ai eu à recevoir un homme qui est venu suite après avoir réalisé qu'il était rendu là dans sa vie. Moi, ça me touche quand il y a des hommes qui viennent me rencontrer parce que je trouve que c'est... C'est comme si, tu sais, on a l'habitude de voir, tu sais, l'homme, c'est un guerrier, c'est un combattant, l'homme ne pleure pas. Tu sais, quand on a encore, par exemple, des émissions, tu sais, l'homme, il est tough, l'homme, il passe au travers de tout. Mais on n'a pas l'image de l'homme dont il va mettre son genou à terre. On n'a pas nécessairement l'image, en tout cas, moi, de mon côté, je suis venue au monde des années 80. Je n'ai pas le souvenir de voir que ce soit dans le temps d'un petit bonhomme ou, en tout cas, à moi, que peut-être qu'ils ne m'en viennent pas en tête, mais j'ai beaucoup plus d'images de l'homme qui est tough, de l'homme qui... Justement, il pleure pas, il s'exprime pas, il verbalise pas, il communique pas. L'homme, tu sais, c'est comme tout le temps le bad boy. Puis l'autre fois aussi, j'en parlais avec une de mes connaissances, puis on parlait justement de ces particuliers, mais nous, la femme, on a évolué sur un pas pire temps. Tu sais, si on la regarde... Dans les années tranquilles, on part de loin. On a vraiment fait un bout de chemin pour en être où est-ce qu'on en est en ce moment. Il y a des femmes qui ont droit à des métiers d'hommes. Même moi, j'avais un métier d'homme. La façon de parler, j'étais en train carrément d'étiqueter. On recule de 20 ans. J'étais technicienne en arpentage. C'était dans un métier d'homme. C'était un corps de travail d'homme. Puis même, quand je travaillais avec mon paternel, c'est la construction. Fait que, tu sais, quand elle te regarde ça, il y a beaucoup de... Comment je pourrais dire ? La femme a fait beaucoup de cheminement. Oui, il y en a des hommes au travail dont qui en font du travail, mais de ce que je peux voir, vraiment à très large endroit que je dirais, on remarque que les hommes ont... en 2025, une forme de problématique de... Tu sais, je ne mets pas tout le monde dans le même bateau, là, mais... On est rendu à une étape de vie où est-ce que nous, les femmes, on est à se demander sont où nos hommes ? Parce que nos hommes, c'est comme si nous, en tant que femmes, on veut évoluer, on évolue, on avance, on se réalise, mais qu'on ne laisse pas nécessairement la place à l'homme. Puis ça m'a apporté à réfléchir parce que l'homme qui est venu me rencontrer, il a vécu une situation avec une dame sur le marché du travail dont elle était à faire un pattern que nous, les femmes, on a vécu avec les hommes d'écraser l'homme. Elle, elle était à faire ça. Elle était à y mettre... la main sur la tête pour l'empêcher d'évoluer, pour l'empêcher d'avancer. Puis ça, pour moi, ça me rendait comme dans une compassion, parce que je me disais, non, on ne peut pas faire un cycle à ce que les femmes fassent à leur tour ce que les hommes, une partie, ont fait de nous. Je ne peux pas penser qu'on pourrait en être là, en fait. C'est vraiment bizarre. J'étais en train de te parler, puis il y a de quoi qui passe dans la rivière. Je suis comme, voyons, c'est quoi ça ? On dirait, c'est vraiment bizarre, mais c'est un morceau de bois. Mais il y avait la tête comme un aigle. J'étais comme, voyons, c'est quoi ? Excuse-moi. J'étais en train de, de carrément de changer de sujet, même qu'à la limite, si je ne serais pas en train de faire le podcast, j'irais voir, mais c'est correct. C'est comme un morceau de bois qui flotte. Puis, tu sais, aujourd'hui, en plus, il n'y avait que des aigles dans ma vie. D'aujourd'hui, c'était fou. J'ai vu au moins dix fois des aigles, ça n'arrêtait pas. C'était de toute beauté, puis ça m'apportait justement à penser à qu'est-ce que j'allais faire dans mon podcast, puis c'était ça que ça me disait, que je me devais prendre position, moi, en tant que femme, pour parler de ce que j'ai vécu dans la journée, qui était comme un peu thématique de l'homme. Fait que je reviens avec ce que je disais. Je ne peux pas croire que la femme pourrait faire à son tour à l'homme ce qu'elle a subi, ce qu'elle a vécu. C'est un pattern qui pour moi c'est comme non, c'est non négociable. Moi perso, je l'ai vécu cette forme d'intimidation-là, puis ce n'est pas vrai que j'irais le faire auprès des hommes parce qu'en fait... C'est pas comme ça qu'on est supposé de faire, nous les humains, on est supposé de s'élever tout le monde ensemble, puis de justement prendre chacun son rôle pour qu'on puisse s'élever tous ensemble. Fait que quand l'homme me parlait de cette situation qu'il a vécue pendant X mois, à être dans une situation de... d'enquête aussi, parce que c'était rendu loin, son histoire. Puis, tu sais, je me disais, c'est incroyable, là, tout où ce que ça peut apporter, trauma, situation émotionnelle difficile, des chocs aussi. Puis ça, ça a un impact sur tout, là. Pas juste sur lui, ça a un impact au niveau de son travail, au niveau de sa santé, au niveau de sa famille, au niveau de sa vie de couple, au niveau financier. Peu importe, parce que là, il essaye de se décharger énergiquement de tout le tour de lui pour essayer de se libérer de ce qu'il peut vivre comme problématique qui prend beaucoup trop de place. Fait qu'à un moment donné, c'est comme... Pour la femme, c'est où est-ce que tu veux t'en aller avec toute cette histoire-là, que t'atteintes, tu touches, pas juste à lui, tu touches à toute, à sa vie personnelle, à sa vie de couple, tu touches. Puis que t'accuses une personne en croyant que, mais qu'en fait, j'ai de la difficulté à comprendre. ce genre de cycle de vie-là à ce que, tu sais, c'est comme, on peut-tu mettre un terme à ça ? On peut-tu arrêter ça, s'il vous plaît, là ? On peut-tu prendre chacun son rôle et que l'homme prenne sa place de l'homme et la femme prenne sa place de femme ? Mais là, moi, une chance qu'en lien avec les vies antérieures, que je vois qu'en fait, ça a un lien karmique parce que... Si, exemple, j'aurais pas eu à aller plonger dans sa vie antérieure, il aurait manqué quelque chose, là. Ça aurait pas mis une fin à l'histoire. Fait que de comprendre que dans sa vie antérieure, donc, il était un petit garçon et qu'il a eu à vivre en état... à voir des choses du côté paternel et maternel que son père dans la vie antérieure réagissait sur sa mère de façon très violente qui a fait en sorte que cette violence a mal tourné c'est qu'il s'est retrouvé dans une vie antérieure dans une tribu dont il était rendu Un petit garçon sans sa maman à partir de l'âge de 6 ans. Et qui, ça l'a fait que ça l'a apporté dans un choc, dans un trauma, mais ça lui a apporté aussi dans une programmation. Dans une programmation qui a été énormément grande à l'intérieur de lui. Parce qu'il est resté avec toute cette souffrance. À partir du moment où est-ce qu'il a vu le paternel, comment il était. Fait que toute la vie antérieure a été d'une façon où est-ce qu'il réagissait, mais en étant à faire exactement ce que son paternel lui enseignait, mélange d'alcool. Un mélange où est-ce qu'il s'est créé aussi un pouvoir sur la femme, un mélange de vouloir s'intéresser à autre femme et qui, pour lui, le fait qu'il a été blessé par une femme, c'est que pour lui, dans la vie antérieure, c'est comme un sentiment d'abandon. Fait que je ne veux plus me faire abandonner. Fait que je vais abandonner ceux et celles que j'aime avant tout. Fait que dans la vie d'aujourd'hui, c'était comme, dites-moi pas ce que j'ai à faire. Moi, je suis venue ici, sur cette terre, pour apprendre de par moi-même à l'école de la vie. Et je vais en faire à ma tête. Mais dans la vie d'aujourd'hui, la femme qui a eu... à rencontrer, dont elle a pris genre possession de ses émotions en étant à lui remettre sur le nez qu'il l'harcelait, mais qu'en fait c'était son point de vue à elle, bien cette femme-là, c'est de la remercier parce que de par la scène, que toutes les deux avaient à vivre, c'est tout simplement dire, mets fin à ça, parce que là, c'est assez. C'est assez. Tu as demandé avant de descendre sur cette terre à ce que tu fasses face à cette douleur, à cette mémoire cellulaire que tu as vécue dans le passé, et que là, tu te dois, à partir de maintenant, Aller dans ta féminité sacrée pour mettre en œuvre. Tous ceux et celles qui sont autour de lui. Tu sais, il y a beaucoup de monde autour de lui. Fait que dans la vie d'aujourd'hui, avec tout ce qu'il a appris de zéro jusqu'à aujourd'hui, avec tout ce qu'il a appris de sa mémoire cellulaire, c'est la personne la plus dans la compassion versus s'il y a quelqu'un qui vient vers lui et qui lui demande exemple de l'aide. Parce qu'avec son vécu, ça fait une personne qui est sensible. Mais avant de switcher ça, avant d'aller de l'autre côté de la médaille, il faut que tu sois en mesure de comprendre. Parce que si, exemple, on fait juste travailler sur les émotions de la vie d'aujourd'hui, bien, on va travailler longtemps parce qu'au niveau du subconscient, il manque quelque chose. Tu sais, c'est comme quand tu écoutes un film. que ça finit un peu bizarre. Mais là, tu te dis, voyons, y a-tu une fin à ça ? Ou il n'y a pas ? Fait que c'est la même chose. Fait qu'en allant plonger dans la mémoire cellulaire, c'est génial, parce qu'on est capable de comprendre notre histoire, même si c'est pas prouvé scientifiquement. Il y a quelque chose qui se passe à l'intérieur de nous. Il y a un déclic qui se fait. Il y a une compréhension qui se fait. Puis c'est là que la beauté des choses vient en œuvre. C'est ça que l'autre fois, je me suis fait dire par une de mes clientes qui, elle me disait, tu sais, c'est le fun avec toi, Karine, parce que quand tu nous apportes dans notre monde, on apporte ensuite du concret dans notre vie parce qu'on comprend. J'ai déjà eu une de mes clientes qui, justement, elle m'expliquait qu'elle n'était pas capable de manger de la viande, le cœur élevé, puis qu'elle n'était pas capable. Elle est venue me rencontrer, on est allé voir qu'est-ce qui fait que ton corps a un trauma, qu'est-ce qui fait que ton corps vit quelque chose de difficile pour que tu refuses de te nourrir. Et c'est là qu'on a compris, en allant plonger dans ses mémoires cellulaires. dans ses mémoires émotionnelles, pour que corps, âme, esprit, émotion, énergétique, embarquent tous ensemble, et que ça fasse comme une libération. Fait que, je le sais que quand moi j'ai été déprogrammer la mémoire cellulaire de l'homme, je le sais que dans les 21 jours qui vont suivre, il va être en paix. Parce que c'était tellement fort, c'était tellement puissant, c'était de toute beauté. Puis moi, quand on m'apporte dans des situations comme ça, je deviens comme une petite fille. Je le sais que c'est fort et puissant. Tu sais, c'est pas de... tourner autour de quelque chose qu'on cherche, puis on cherche, puis on cherche. Parce que la personne, en fait, il y en a souvent qui aiment être sous forme de victimisation. Et là, ça, c'est difficile de faire émerger. Parce que la personne, inconsciemment, elle est bien là-dedans, fait qu'elle l'a intégrée dans sa vie. Mais quelqu'un qui vit pas bien avec ça, et qui n'acceptent pas de vivre avec ça, c'est du gros bonbon. Pour moi, c'est du gros bonbon parce que ça me permet de rentrer dans une pièce où est-ce que c'est le free for all là-dedans, que c'est l'embarras, et que moi, je rentre là-dedans pour aller vraiment ouvrir les boîtes et dire ça. On jette ça, ça, on met ça au feu. Mais ça, moi, là, c'est du gros bonbon. Vraiment. Puis, suite à ça, j'ai eu à vivre dans la même journée. J'ai eu à rencontrer une dame. Dont cette dame, elle, c'est vraiment la programmation de la rigidité. Elle, c'est le contraire. Elle était dans une vie antérieure un homme. Elle était à suivre son paternel, mais de façon à ce que le paternel soit vraiment dans une rigidité. Ou est-ce que son paternel, il est vraiment dans une rigidité ? Ou est-ce que c'est comme vraiment très rigide ? Tellement que dans la vie d'aujourd'hui, elle, en tant que femme, elle est dans une rigidité incroyable, que même elle transmet ça au niveau de ses enfants. Et ça fait en sorte que ça crée une chicane incroyable. Et cette chicane-là fait en sorte que, justement, ça met tout le monde dans des situations émotionnelles compliquées. Et ça finit que c'est pas simple, c'est triste. Mais de comprendre pourquoi que sa fille, elle est venue ici, son autre fille... Ils ont créé un triangle. Donc, pourquoi ? Pourquoi on est venus ici ? Pourquoi on est venus sur cette terre pour, ensemble, à ce qu'on se fasse face ? Moi, ça, j'adore ça. Parce que ça apporte tellement d'explications. C'est de dire, OK, t'es venu dans un monde, dans un corps différent. OK, fine, je l'accepte. Mais, et que la personne... soit à réagir de façon... à ce qu'elles ne comprennent pas, mais qu'en mettant en lumière la mémoire cellulaire, c'est comme, wow ! Quand la femme s'est levée de la table et qu'elle a réalisé que la mémoire cellulaire avait tellement de sens avec sa vie d'aujourd'hui, moi, ça m'apporte tellement dans ma créativité, là. C'est un chef-d'oeuvre dans mon esprit. C'est ça que je peux dire, c'est un chef-d'oeuvre dans mon esprit. Parce que je vois la personne qui se couche sur ma table, et je vois la personne qui se lève de sur ma table, puis c'est deux personnalités, c'est deux personnes différentes. Je serais curieuse de prendre une photo avant, puis une photo après. C'est totalement deux visages différents. Premier, tu sais, crispé, rigide. On voit qu'il n'y a pas une pression, mais les muscles sont tendus. Puis qu'ensuite, c'est comme le facial n'est plus pareil. Même les rides, le contour des yeux, le regard dans l'œil est totalement différent. C'est ça qui est beau. C'est ça que je trouve beau. Parce que moi, je le vois, un coup que la personne a fini. Fait que plus que je suis à voir les gens de cette façon, plus que ça me fait triper. Parce que je me dis, il y a quelque chose qui se passe dans l'énergie, là. Il y a de quoi qui se passe en conscience, là. Je rêve pas, là. Et qui, j'ai eu même, dans l'après-midi, à être tout bonnement assis. à regarder une image sur la page Facebook. Je copie l'image. J'envoie l'image à un garçon, dont il m'avait déjà fait appel, et paf, je déballe sa vie antérieure. Et là, le garçon comprend plus ou moins, mais j'ai dit, attends, on va se rencontrer. Et on s'est parlé, et... C'était tellement beau parce qu'il me baillait ça dans la face. Il était à bailler, mais à bailler sans comprendre pourquoi qu'il baillait. Mais moi, je le savais que c'était une libération, c'était une élévation énergétique. Même là, j'ai envie de bailler parce que je le sais que c'était une élévation énergétique. C'est pour moi ça un des signes. Qui me montre que la personne, elle s'élève, elle se libère, elle se détache de ses vieux patterns, parce qu'en fait, l'âme, elle, garde des vieux souvenirs. Puis le corps, lui, dans la vie d'aujourd'hui, essaye d'évoluer dans ce qui est, mais ça ne marche pas, parce que l'âme, elle, elle est prise avec un blocage de mémoire qui fait que ça ne marche plus. Ça concorde plus, ça fit plus en fait. Puis quand le garçon a compris ce que je lui ai expliqué par rapport avec sa vie antérieure, mais ça fit tellement avec ce qu'il fait présentement, c'est ça qui est beau. Puis il peut pas renier de ce que j'ai dit. Parce qu'en fait, ça a quelque chose de magique. Ça a quelque chose de mystérieux. Ça a quelque chose qui... Tu te dis, wow, ok, il y a vraiment de quoi, là. Vraiment, là. Vraiment. Moi, ça, ça me fascine. Ça m'apporte à te parler. de ce que moi-même j'ai vécu il y a deux semaines. En fait, en fin de semaine, pas... Non, ça fait deux semaines. J'ai eu à vivre une situation, une méditation auprès des chevaux. Et ce qui est merveilleux là-dedans, c'est que quand je me suis assise, j'avais zéro attente. Je ne savais pas, en fait, pourquoi j'avais été attirée. Mais je le savais que mon cœur devait y aller et j'ai accompagné une jeune femme à mes côtés. Elle avait des moments à elle, émotionnellement, à vivre. Et je trouvais que ça faisait, c'était concret. Je trouvais que ça faisait parfait pour lui venir en aide. Et je me suis assise, j'y allais vraiment pour moi. Je laissais la jeune fille faire de elle-même son propre voyage. La première chanson dont on a été accompagnée, c'est « Un musicien dans l'âme » . Si je me permets, je peux le prononcer son nom, c'est Yuka. J'étais au chemin de traverse chez Laetitia à Saint-Anaclet, tout près de Rimouski. Et avec son monde équin, et avec son fils, et avec son accompagnement de méditation, aussitôt qu'il a commencé à chanter, je me suis mise à pleurer. Parce que je réalisais... que la douceur, elle est bonne. La douceur, elle fait du bien. Je réalisais que, dernièrement, j'ai été dure avec moi-même. J'ai été dure avec moi-même du fait que je me suis donné ça dure face avec mes objectifs, mes buts, ma mission. Ça fait pratiquement deux ans que j'ai vraiment un objectif très clair devant moi, mais... Ça demande la patience, ça demande du temps. Mais ça m'a montré, ça m'a reculé de 15 ans en arrière, quand j'étais à mettre mes premiers pas chez, sur les terres de Laetitia. Et ça m'a ouvert à prendre conscience de tout le chemin que j'ai fait jusqu'à... où est-ce que j'étais assis. Et là, je réalisais toute la souffrance émotionnelle que j'ai eue à vivre, à ce que je me fasse face, à ce que je mette un genou à terre, à ce que je me dévoile, que je parle du plus profond de mon être, mes blessures. Ça m'a montré. en méditation, que ma petite fille était comme à, mon enfant intérieur, était comme à me dire, là c'est assez, ta masculinité sacrée, ta féminité sacrée, ils ont mangé ça dur dans les derniers temps, maintenant, laisse ton enfant intérieur exprimer ce qu'elle a à dire, ce qu'elle a à verbaliser. ce qu'elle a à exprimer, ce qu'elle a à tout simplement être. Parce qu'un enfant, on le sait, si on prend l'image d'un enfant, ça s'amuse, ça rit, ça chante, ça danse, c'est parfait. Et là, ça, ça m'a fait prendre conscience en étant à écouter plus que ça allait les chansons que Yuka faisait, plus que Laetitia qui était à... transmettre les paroles de ce qu'elle voyait, dont les chevaux réagissaient. Là, je vois un chevau qui est en train de manger dans le pommier, que lui a décidé de sortir du troupeau, aller manger des pommes, dont il y en a un qui s'est mis à le suivre, qui s'est laissé enseigner par l'autre cheval, qui lui aussi mangeait une pomme. Là, ça m'a fait réaliser que moi, en étant... exemple le premier chevaux qui va manger une pomme je viens d'enseigner à l'autre à côté que tu peux la manger la pomme là tu meurs repas là t'sais les croyances là que t'as reçu dans le passé que tu peux pas manger autre chose que du fromage là ben là gars moi je te le montre tu peux changer tes croyances que t'sais il faut travailler fort pour gagner son pain que La vie, c'est pas facile. Ben ça, là, c'est des croyances, des années tranquilles. Aujourd'hui, on est en 2025. Pis moi, si j'ai plus le goût de croire à ça, ben c'est parfait. Parce que moi, je suis pas obligée de prendre les croyances de mes parents, de mes grands-parents, de mes arrière-grands-parents. Parce que c'est eux qui ont voulu souffrir. Bien, c'est plate ce que je vais dire, mais ce n'est plus mon problème. Je n'ai pas à subir leur passé parce que je le sais que moi aujourd'hui, j'ai des enfants et que mes enfants vont avoir des petits-enfants et que je n'ai pas envie que mes petits-enfants vivent des douleurs émotionnelles parce que je n'aurais pas été travailler sur mes corps énergétiques de mon passé émotionnellement. J'ai pas envie. Moi, je veux que mes enfants s'amusent, s'éclatent, qu'il y ait de l'abondance, pis qu'ils soient même pas obligés de faire le petit moindre effort pour travailler, pour gagner leur argent. Parce que moi, je m'accroche au petit oiseau qui, lui, le petit oiseau-là, il met pas de sac à dos derrière son dos pour garder ses graines. Moi, je crois en l'amour inconditionnel exactement comme nos chiens. C'est la plus belle preuve. Nos chiens. À part nous donner de l'amour inconditionnel, c'est plate ce que je vais dire, mais qu'est-ce que ça fait en fait autre que de l'amour inconditionnel un chien ? Ça ne va pas à chasse pour nous. Les chiens ne vont pas travailler pour nous autres. Les chiens ne se mettent pas à nous faire des bébés pour qu'on les élève. Les chiens n'aillent pas travailler pour nous autres. En fait, les chiens, ils nous enseignent la plus grande leçon de la vie, que tout peut venir à eux simplement. Parce qu'en fait, c'est moi qui vais travailler pour payer leur poche de bouffe. C'est moi qui vais se lever pour aller les faire marcher. C'est moi qui vais leur donner de l'eau. C'est moi qui vais les laver. C'est moi qui vais les payer pour les faire toileter. Tu comprends ce que je veux dire ? C'est pour te faire prendre conscience que le chien, sa mission, c'est l'amour inconditionnel, c'est d'accueillir l'amour inconditionnel. Pourquoi est-ce qu'on ne pourrait pas l'enseigner à nos enfants, ça ? Je ne suis pas en train de dire qu'on est en train de créer... Je ne suis pas en train de dire que nos enfants, il faut qu'ils restent assis sur du verre et rien faire. Non, je ne suis pas en train de dire ça. Mais je suis juste en train de dire que, par contre, on peut leur enseigner que si tu crois à tes rêves... si tu crois tes passions, fais ce qui vient de ton coeur en fait comme ma fille ma fille ça la passionne l'esthétique ben c'est de cette façon qu'elle gongue ses sous si ton fils ou ta fille ils veulent pas aller au cégep arrête de forcer, force pas, ça sert à rien parce que de toute façon là l'ordre divin des choses va les ramener à l'ordre peut-être dans 10, 15, 20, 30 quand ils vont faire une dépression C'est pas à nous de prendre en charge ce qui appartient aux autres. Fait que c'est pour ça que moi, quand j'étais assise sur ma chaise de méditation, en pleine nature, dans le domaine à Laetitia, avec tous ces chevaux qui étaient là, et que là, elle se met à parler du jeune poulain qui est avec une... puissance, je ne sais pas comment on le prononce, ta undika, si je ne me trompe pas, c'est l'esprit du cheval. Bien, l'esprit du cheval qui porte, c'est d'une puissance incroyable parce qu'il s'est retrouvé à venir derrière moi et il s'est mis en avant de moi, c'est ça parce qu'en fait, il a été filmé, et il se tourne vers moi. pour m'offrir le souffle à côté de mon visage. Je ne te cacherai pas que j'ai fendu, une expression bizarre, sur le plan énergétique, j'ai fendu. Le souffle que ça m'a apporté, c'est une puissance. C'est d'un amour inconditionnel incroyable qui a fait que c'est comme propulsion. C'est comme go ! « Vas-y, réalise-toi. » Je me suis ouvert les yeux et j'ai vu le chemin qui était devant moi. Et ce chemin-là qui était devant moi, pour moi, c'était... Wow ! Là, ça me montrait que, OK, il y a de quoi, il y a quelque chose, là. Ça me montrait que dans tout le chemin que j'ai fait, bien, il y a quelque chose qui se passe. Tout le travail qu'on fait, c'est génial parce qu'à un moment donné, dans notre jardin, c'est là qu'on voit qu'après tout le travail, qu'on voit, wow, toutes les fleurs, toutes. Tout le temps, l'argent, tout ce qu'on a mis sur table. On fait un jardin magnifique, là. On fait de quoi de beau, là. Et là, ce qui m'a vraiment, mais vraiment encore plus rentré dedans, C'est l'énergie que j'ai sentie de ma Kira, que je savais qu'elle passait par cet animal-là pour me montrer exactement qu'elle est en présence avec moi en tout temps. Je me suis ouvert les yeux parce que je pleurais tellement, c'était tellement que de l'amour. et en m'ouvrant les yeux, J'ai vu qu'il y avait un vieux, vieux cheval qui était devant moi, Kawa. Et cette bête-là, elle m'a montré que dans les années du passé, j'avais la blessure du rejet. Et cette blessure du rejet, quand j'ai vu Kawa, qui était tout seul dans son coin, et que tout le troupeau équin était carrément à l'extrémité. et qui étaient toutes ensemble et que je les voyais. Il y en a un qui a kiqué, il y en a un qui avait les oreilles par en arrière, il y en a un qui s'astinait. On voyait que les chevaux étaient comme tous à, oui, être ensemble pour se sécuriser, pour faire un semblant d'eux. Mais moi, j'ai vu que Kawa me montrait et en me montrant, ça me disait. Regarde, t'es bien mieux tout seul à être bien avec toi-même en acceptant qui tu es que d'être dans un troupeau en faisant semblant, en étant dans le paraître. Fait que, tu sais, je le dis humblement, il n'y a pas d'ego là-dedans. Je le dis en toute vulnérabilité. Parce que ça pourrait être très difficile de dire que j'aime mieux être seule que d'être accompagnée et de ne plus être. Et je le sais qu'il y en a qui pensent exactement comme ce que je viens de dire. Et je le sais qu'il y en a qui ne sont pas prêtes à ça. C'est parfait. Tu n'as pas à te juger. On n'a pas à se juger. On n'a pas à dire c'est quoi qui est bon et c'est quoi qui n'est pas bon. Moi, je suis rendue là dans ma vie. Fait que de voir Kawa qui était là, devant moi, et qui, je voyais que je ne voyais plus que c'était du rejet. Au contraire, je voyais que j'étais en paix avec moi-même. Parce qu'avant, il y a 15 ans, le rejet que je voyais, ça m'apportait à une tristesse, à une lourdeur, à des émotions dont... j'étais comme, quoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Mais que là, c'était plus ça. Il y avait une paix à l'intérieur. Il y avait en moi quelque chose qui était comme, wow ! Je le sais que, en étant où je voyais Kawa, ben, c'est parce que je suis bien. Et il y a eu deux moutons qui sont arrivés à côté avec un âne. Et là, je me suis dit, wow, il n'est pas tout seul. Il accepte la différence qui vient à lui. Sans jugement, Kawa les acceptait dans sa bulle énergétique. Sans jugement. Il était en présence avec ses moutons, ses ans, sa tâne, sans jugement. Ça montrait exactement que j'accepte quitter. Que t'aies à avoir vécu ça, ou que t'aies eu à vivre ça, ou que t'aies à vivre ça, je suis dans la compassion. Je m'énerverai pas. Pas en tout, parce que ma sagesse est rendue à « je vais t'écouter, je vais t'aider à transcender en étant juste à être qui je suis » . J'ai même plus d'efforts à faire pour te montrer qui je suis. Si tu entres dans mes énergies, c'est parce que tu sais qu'il y a quelque chose qui va se transformer. Si tu m'écoutes... Il y a quelque chose qui va se transformer parce que je suis. Et de par mes fréquences, je suis. Et ça, si tu as écouté la fois que j'ai eu à vivre un soin énergétique avec une de mes mentors, dont elle m'avait raconté l'histoire de Magical, le cheval le plus vieux, qui est mort à 50 ans et qui... était juste de par son énergie à aider, exemple, les enfants autistes, à aider son prochain, mais juste en étant. Et en étant, il en était à enseigner aux autres chevals, chevaux, à ce qu'ils puissent devenir comme lui. Mais là, j'ai vu exactement avec Kawa. Ouh ! J'en étais ! Mais c'était tellement beau, là ! C'était incroyable ! Je voyais qu'en étant à travailler sur ma masculinité sacrée et en étant à travailler sur ma féminité sacrée, ça avait un impact autant sur les hommes que autant sur les femmes. Puis pour moi, je le sais, j'ai eu des vies antérieures où est-ce que j'ai été guerrier, chevalier, amérindien. Ou est-ce que je le sais que mon énergie est autant capable d'aider l'homme à ce qu'il puisse se décharger énergiquement ? Parce qu'on s'entend-tu que l'homme qui vient ici sur cette terre-là, lui aussi porte des blessures, lui aussi porte des mémoires transgénérationnelles, lui aussi vit des situations émotionnelles. Mais il faut... qu'il soit en mesure, en posture de dire, « Ah, là, c'est assez. Il faut que j'y fasse face pour mes enfants. » Parce que, tu sais, quand tu portes l'enfant, la femme, ben, l'enfant, lui, pendant les neuf mois après avoir été mis au monde, il va tout prendre ce que le parent, le père, a vécu émotionnellement. Mais là, c'est comme, « Wake up ! » Wake up, les gars, là. Réveillez-vous, là. La femme, elle évolue sur un fichu temps, là. Mais l'homme, c'est comme, réveille-toi, là. Arrête de te mettre dans l'alcool. Arrête de prendre de la drogue. Arrête d'aller vers, moi, j'appelle ça de la prostitution, là. Sérieux, là. Tu sais, quand t'es rendu que t'as une femme et que tu t'en vas coucher avec deux, trois autres femmes. par une semaine, par mois, ou que tu donnes à aller travailler à l'extérieur, mais que tu trompes ta femme en allant travailler à l'extérieur, est-ce que t'as ça, là ? Toutes tes traces, là, restent. Puis c'est fou à dire, mais ça reste, puis ça se transmet. C'est comme, il est où ? Il est où, hein ? Le rôle à jouer de dire, hey, moi, là, j'ai un rôle à jouer. Puis, ce rôle-là, il faut qu'il y ait des valeurs. Parce qu'aujourd'hui, la foi, c'est en lien avec les valeurs. Si tu n'as pas de foi, tu n'as pas de valeur. La foi, ça commence par l'amour, ça commence par le respect, ça commence par l'honnêteté, ça commence par toutes les valeurs qui ont des bases solides pour nous. futurs enfants. Et ça, pour moi, c'est... Primordial. C'est à la limite un homme qui va faire face à ses émotions. C'est sexy, sérieux. Moi, je trouve ça, quand je suis professionnellement parlant, je n'utiliserai pas le mot sexy, mais... C'est wow, j'ai pas de mots, c'est sublime. C'est du bonbon. De savoir qu'un homme peut se libérer émotionnellement pour nos futurs enfants, c'est wow. Pour moi, ça c'est une puissance incroyable. J'ai un énorme respect pour celui qui va. être en posture de dire là, je m'envoie me faire aider. C'est wow. Autant que quelqu'un, homme, femme, mais là, je vais parler de l'homme qui va dire là, je me prends ma vie en main, là. Je me mets à m'entraîner. Parce que j'ai un surplus de poids qui est en lien avec l'alcool, avec la malbouffe, avec... Tout ce qu'il y en a. Puis qu'il décide du jour au lendemain. Moi, je commence à m'entraîner. Wow, chapeau. Ça prend du courage. C'est de l'ambition. Je trouve ça beau. Je trouve ça beau parce que ça l'enseigne aux enfants à ce que... Prends soin de toi. C'est important. Pas parce que t'es un gars que tu peux pas prendre soin de toi. Non, non. Fait que c'est pour ça que là, je disais, par rapport avec une journée de ma semaine, j'ai eu la thématique de travailler sur les gars, j'ai écrit un texte qui pour moi, c'était profond. C'était puissant. Puis je le sais que mon texte, même si j'ai pas eu 50 000 gemmes, j'en ai rien à cirer. Je le sais qu'il va faire des petits. Parce que je sème des graines par le souffle, par l'esprit de l'air. Puis je le sais que ça va venir à un moment donné où est-ce qu'il va y avoir une floraison. Et qui va avoir un homme qui va cogner à ma porte ? Et suite, justement, à ma publication, j'ai eu des hommes qui m'ont fait appel pour me demander, « Karine, je veux que tu m'aides. » Moi, ça, c'est chapeau. Vraiment, sois fière. Si tu es un homme en ce moment qui écoute mon podcast, sois fière de dire que tu te prends en main. Vraiment. Parce qu'on a besoin de vous autres, les hommes. On a besoin de vous autres. C'est pas en étant à vous cacher derrière les femmes qui, là, on est rendu à une étape où est-ce qu'on doit prendre l'équilibre. Parce que là, la femme, elle commence à prendre trop de pouvoir. Puis, on veut pas ça. Chacun a son rôle. Chacun a son rôle à jouer. L'ordre divin des choses va replacer la masculinité et la féminité. Je ne suis pas inquiète, je le sais. Ça va arriver. Chaque chose en son temps. Mais on n'a pas à créer des histoires dont ça ne finira plus. Non, non, on veut que ça se règle. On veut. que ça finisse, pour que chacun soit au point neutre. Et en étant au point neutre, on repart avec des histoires dont ça va permettre à la création de la vie, à ce qu'on puisse changer le monde, à ce que le monde soit meilleur. Vraiment. Puis ça, moi, j'y crois. Si chacun et chacune se met à travailler, à pétrir son pain, moi, j'appelle ça la multiplication des pains. C'est ce qui va créer justement la multiplication de l'amour. Vraiment. Je ne sais pas si mon podcast t'a permis de comprendre des choses qui t'ont fait éveiller, qui t'ont inspiré. Peu importe. Mon but, c'était de te partager ce que j'avais vécu parce que je trouvais ça important. Moi, c'est pas de me faire dire quoi faire que j'aime. J'aime pas ça. Mais si tu me racontes des histoires, si tu me racontes ta sagesse de vie, si tu me parles de... Pour moi, ça va être pas mal plus profitable parce que je vais prendre des points, des mots, des phrases qui je vais le mettre dans mon cœur et que je vais le mettre en pratique. Parce que me faire dire de quoi ? On n'a pas à dire rien à personne de comment faire ou qu'est-ce que tu dois faire ou... Non ! Chacun a sa propre vie, chacun a sa propre expérience. Puis c'est de cette façon que l'ego, justement, se met pas sous la défensive. Fait que si des fois, toi, il y a des choses qui t'essayent de, exemple, entre parenthèses, contrôler ou exiger ou avec ta rigidité ou importe, mais que ça fonctionne pas, c'est peut-être juste parce que tu t'y prends pas de la bonne façon. C'est de regarder à l'intérieur de toi. Qu'est-ce que ferait l'amour ? Moi, c'est toujours cette question-là que je me pose. Qu'est-ce que l'amour ferait ? Et ça, pour moi, j'ai tout le temps les plus belles réponses à mes questions. Qu'est-ce que l'amour ferait ? Puis, dans la génération de nos jeunes d'aujourd'hui, c'est impossible de leur dire quoi faire. Parce que justement, ils sont là pour nous enseigner à ce que l'on puisse prendre notre rôle et que, ensemble, on puisse crever tout en se respectant vraiment. Je te souhaite une belle continuité. Je te souhaite plein d'amour. Merci de me suivre. Merci pour tes partages. Merci pour tes retours. Ça me touche tout le temps. Vraiment, vraiment, j'adore. Je te dis à bientôt.

Description

Il y a des blessures qui ne se voient pas.

Des mémoires anciennes qu’on porte en silence.

Que l’on soit homme ou femme… personne n’y échappe.


Dans cet épisode, je t’ouvre un espace de guérison.

Je parle de ces hommes qui osent enfin déposer leurs armures.

De ces femmes qui, parfois sans le vouloir, prennent trop de place dans la douleur.

De ces schémas invisibles qu’on rejoue encore et encore… jusqu’à ce qu’on choisisse d’en sortir.


✨ Je t’amène dans des histoires vraies.

Des vies antérieures.

Des réconciliations puissantes.

Des libérations profondes.

Et même… un souffle sacré offert par un cheval.


Parce que guérir l’homme, c’est aussi permettre à la femme de se reposer.

Parce que réconcilier nos polarités, c’est faire la paix en nous… Et entre nous.


Avec Amour,
Karine Turcotte


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Transcription

  • Speaker #0

    Allô, allô ! J'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon podcast en toute simplicité, Du coeur à l'âme, épisode 61. Aujourd'hui, j'ai envie de parler d'une de mes journées que j'ai eues cette semaine, dont ça tournait autour de la masculinité. Si tu vas sur ma page Facebook... personnel Karine Turcotte. Tu vas voir dans mes publications de à où, même je pense que c'est le premier à où que je l'ai publié, j'ai écrit un texte en lien avec les hommes, suite avec l'énergie que j'ai eu à vivre toute la journée. Donc, ça a commencé que j'ai eu à recevoir un homme qui est venu suite après avoir réalisé qu'il était rendu là dans sa vie. Moi, ça me touche quand il y a des hommes qui viennent me rencontrer parce que je trouve que c'est... C'est comme si, tu sais, on a l'habitude de voir, tu sais, l'homme, c'est un guerrier, c'est un combattant, l'homme ne pleure pas. Tu sais, quand on a encore, par exemple, des émissions, tu sais, l'homme, il est tough, l'homme, il passe au travers de tout. Mais on n'a pas l'image de l'homme dont il va mettre son genou à terre. On n'a pas nécessairement l'image, en tout cas, moi, de mon côté, je suis venue au monde des années 80. Je n'ai pas le souvenir de voir que ce soit dans le temps d'un petit bonhomme ou, en tout cas, à moi, que peut-être qu'ils ne m'en viennent pas en tête, mais j'ai beaucoup plus d'images de l'homme qui est tough, de l'homme qui... Justement, il pleure pas, il s'exprime pas, il verbalise pas, il communique pas. L'homme, tu sais, c'est comme tout le temps le bad boy. Puis l'autre fois aussi, j'en parlais avec une de mes connaissances, puis on parlait justement de ces particuliers, mais nous, la femme, on a évolué sur un pas pire temps. Tu sais, si on la regarde... Dans les années tranquilles, on part de loin. On a vraiment fait un bout de chemin pour en être où est-ce qu'on en est en ce moment. Il y a des femmes qui ont droit à des métiers d'hommes. Même moi, j'avais un métier d'homme. La façon de parler, j'étais en train carrément d'étiqueter. On recule de 20 ans. J'étais technicienne en arpentage. C'était dans un métier d'homme. C'était un corps de travail d'homme. Puis même, quand je travaillais avec mon paternel, c'est la construction. Fait que, tu sais, quand elle te regarde ça, il y a beaucoup de... Comment je pourrais dire ? La femme a fait beaucoup de cheminement. Oui, il y en a des hommes au travail dont qui en font du travail, mais de ce que je peux voir, vraiment à très large endroit que je dirais, on remarque que les hommes ont... en 2025, une forme de problématique de... Tu sais, je ne mets pas tout le monde dans le même bateau, là, mais... On est rendu à une étape de vie où est-ce que nous, les femmes, on est à se demander sont où nos hommes ? Parce que nos hommes, c'est comme si nous, en tant que femmes, on veut évoluer, on évolue, on avance, on se réalise, mais qu'on ne laisse pas nécessairement la place à l'homme. Puis ça m'a apporté à réfléchir parce que l'homme qui est venu me rencontrer, il a vécu une situation avec une dame sur le marché du travail dont elle était à faire un pattern que nous, les femmes, on a vécu avec les hommes d'écraser l'homme. Elle, elle était à faire ça. Elle était à y mettre... la main sur la tête pour l'empêcher d'évoluer, pour l'empêcher d'avancer. Puis ça, pour moi, ça me rendait comme dans une compassion, parce que je me disais, non, on ne peut pas faire un cycle à ce que les femmes fassent à leur tour ce que les hommes, une partie, ont fait de nous. Je ne peux pas penser qu'on pourrait en être là, en fait. C'est vraiment bizarre. J'étais en train de te parler, puis il y a de quoi qui passe dans la rivière. Je suis comme, voyons, c'est quoi ça ? On dirait, c'est vraiment bizarre, mais c'est un morceau de bois. Mais il y avait la tête comme un aigle. J'étais comme, voyons, c'est quoi ? Excuse-moi. J'étais en train de, de carrément de changer de sujet, même qu'à la limite, si je ne serais pas en train de faire le podcast, j'irais voir, mais c'est correct. C'est comme un morceau de bois qui flotte. Puis, tu sais, aujourd'hui, en plus, il n'y avait que des aigles dans ma vie. D'aujourd'hui, c'était fou. J'ai vu au moins dix fois des aigles, ça n'arrêtait pas. C'était de toute beauté, puis ça m'apportait justement à penser à qu'est-ce que j'allais faire dans mon podcast, puis c'était ça que ça me disait, que je me devais prendre position, moi, en tant que femme, pour parler de ce que j'ai vécu dans la journée, qui était comme un peu thématique de l'homme. Fait que je reviens avec ce que je disais. Je ne peux pas croire que la femme pourrait faire à son tour à l'homme ce qu'elle a subi, ce qu'elle a vécu. C'est un pattern qui pour moi c'est comme non, c'est non négociable. Moi perso, je l'ai vécu cette forme d'intimidation-là, puis ce n'est pas vrai que j'irais le faire auprès des hommes parce qu'en fait... C'est pas comme ça qu'on est supposé de faire, nous les humains, on est supposé de s'élever tout le monde ensemble, puis de justement prendre chacun son rôle pour qu'on puisse s'élever tous ensemble. Fait que quand l'homme me parlait de cette situation qu'il a vécue pendant X mois, à être dans une situation de... d'enquête aussi, parce que c'était rendu loin, son histoire. Puis, tu sais, je me disais, c'est incroyable, là, tout où ce que ça peut apporter, trauma, situation émotionnelle difficile, des chocs aussi. Puis ça, ça a un impact sur tout, là. Pas juste sur lui, ça a un impact au niveau de son travail, au niveau de sa santé, au niveau de sa famille, au niveau de sa vie de couple, au niveau financier. Peu importe, parce que là, il essaye de se décharger énergiquement de tout le tour de lui pour essayer de se libérer de ce qu'il peut vivre comme problématique qui prend beaucoup trop de place. Fait qu'à un moment donné, c'est comme... Pour la femme, c'est où est-ce que tu veux t'en aller avec toute cette histoire-là, que t'atteintes, tu touches, pas juste à lui, tu touches à toute, à sa vie personnelle, à sa vie de couple, tu touches. Puis que t'accuses une personne en croyant que, mais qu'en fait, j'ai de la difficulté à comprendre. ce genre de cycle de vie-là à ce que, tu sais, c'est comme, on peut-tu mettre un terme à ça ? On peut-tu arrêter ça, s'il vous plaît, là ? On peut-tu prendre chacun son rôle et que l'homme prenne sa place de l'homme et la femme prenne sa place de femme ? Mais là, moi, une chance qu'en lien avec les vies antérieures, que je vois qu'en fait, ça a un lien karmique parce que... Si, exemple, j'aurais pas eu à aller plonger dans sa vie antérieure, il aurait manqué quelque chose, là. Ça aurait pas mis une fin à l'histoire. Fait que de comprendre que dans sa vie antérieure, donc, il était un petit garçon et qu'il a eu à vivre en état... à voir des choses du côté paternel et maternel que son père dans la vie antérieure réagissait sur sa mère de façon très violente qui a fait en sorte que cette violence a mal tourné c'est qu'il s'est retrouvé dans une vie antérieure dans une tribu dont il était rendu Un petit garçon sans sa maman à partir de l'âge de 6 ans. Et qui, ça l'a fait que ça l'a apporté dans un choc, dans un trauma, mais ça lui a apporté aussi dans une programmation. Dans une programmation qui a été énormément grande à l'intérieur de lui. Parce qu'il est resté avec toute cette souffrance. À partir du moment où est-ce qu'il a vu le paternel, comment il était. Fait que toute la vie antérieure a été d'une façon où est-ce qu'il réagissait, mais en étant à faire exactement ce que son paternel lui enseignait, mélange d'alcool. Un mélange où est-ce qu'il s'est créé aussi un pouvoir sur la femme, un mélange de vouloir s'intéresser à autre femme et qui, pour lui, le fait qu'il a été blessé par une femme, c'est que pour lui, dans la vie antérieure, c'est comme un sentiment d'abandon. Fait que je ne veux plus me faire abandonner. Fait que je vais abandonner ceux et celles que j'aime avant tout. Fait que dans la vie d'aujourd'hui, c'était comme, dites-moi pas ce que j'ai à faire. Moi, je suis venue ici, sur cette terre, pour apprendre de par moi-même à l'école de la vie. Et je vais en faire à ma tête. Mais dans la vie d'aujourd'hui, la femme qui a eu... à rencontrer, dont elle a pris genre possession de ses émotions en étant à lui remettre sur le nez qu'il l'harcelait, mais qu'en fait c'était son point de vue à elle, bien cette femme-là, c'est de la remercier parce que de par la scène, que toutes les deux avaient à vivre, c'est tout simplement dire, mets fin à ça, parce que là, c'est assez. C'est assez. Tu as demandé avant de descendre sur cette terre à ce que tu fasses face à cette douleur, à cette mémoire cellulaire que tu as vécue dans le passé, et que là, tu te dois, à partir de maintenant, Aller dans ta féminité sacrée pour mettre en œuvre. Tous ceux et celles qui sont autour de lui. Tu sais, il y a beaucoup de monde autour de lui. Fait que dans la vie d'aujourd'hui, avec tout ce qu'il a appris de zéro jusqu'à aujourd'hui, avec tout ce qu'il a appris de sa mémoire cellulaire, c'est la personne la plus dans la compassion versus s'il y a quelqu'un qui vient vers lui et qui lui demande exemple de l'aide. Parce qu'avec son vécu, ça fait une personne qui est sensible. Mais avant de switcher ça, avant d'aller de l'autre côté de la médaille, il faut que tu sois en mesure de comprendre. Parce que si, exemple, on fait juste travailler sur les émotions de la vie d'aujourd'hui, bien, on va travailler longtemps parce qu'au niveau du subconscient, il manque quelque chose. Tu sais, c'est comme quand tu écoutes un film. que ça finit un peu bizarre. Mais là, tu te dis, voyons, y a-tu une fin à ça ? Ou il n'y a pas ? Fait que c'est la même chose. Fait qu'en allant plonger dans la mémoire cellulaire, c'est génial, parce qu'on est capable de comprendre notre histoire, même si c'est pas prouvé scientifiquement. Il y a quelque chose qui se passe à l'intérieur de nous. Il y a un déclic qui se fait. Il y a une compréhension qui se fait. Puis c'est là que la beauté des choses vient en œuvre. C'est ça que l'autre fois, je me suis fait dire par une de mes clientes qui, elle me disait, tu sais, c'est le fun avec toi, Karine, parce que quand tu nous apportes dans notre monde, on apporte ensuite du concret dans notre vie parce qu'on comprend. J'ai déjà eu une de mes clientes qui, justement, elle m'expliquait qu'elle n'était pas capable de manger de la viande, le cœur élevé, puis qu'elle n'était pas capable. Elle est venue me rencontrer, on est allé voir qu'est-ce qui fait que ton corps a un trauma, qu'est-ce qui fait que ton corps vit quelque chose de difficile pour que tu refuses de te nourrir. Et c'est là qu'on a compris, en allant plonger dans ses mémoires cellulaires. dans ses mémoires émotionnelles, pour que corps, âme, esprit, émotion, énergétique, embarquent tous ensemble, et que ça fasse comme une libération. Fait que, je le sais que quand moi j'ai été déprogrammer la mémoire cellulaire de l'homme, je le sais que dans les 21 jours qui vont suivre, il va être en paix. Parce que c'était tellement fort, c'était tellement puissant, c'était de toute beauté. Puis moi, quand on m'apporte dans des situations comme ça, je deviens comme une petite fille. Je le sais que c'est fort et puissant. Tu sais, c'est pas de... tourner autour de quelque chose qu'on cherche, puis on cherche, puis on cherche. Parce que la personne, en fait, il y en a souvent qui aiment être sous forme de victimisation. Et là, ça, c'est difficile de faire émerger. Parce que la personne, inconsciemment, elle est bien là-dedans, fait qu'elle l'a intégrée dans sa vie. Mais quelqu'un qui vit pas bien avec ça, et qui n'acceptent pas de vivre avec ça, c'est du gros bonbon. Pour moi, c'est du gros bonbon parce que ça me permet de rentrer dans une pièce où est-ce que c'est le free for all là-dedans, que c'est l'embarras, et que moi, je rentre là-dedans pour aller vraiment ouvrir les boîtes et dire ça. On jette ça, ça, on met ça au feu. Mais ça, moi, là, c'est du gros bonbon. Vraiment. Puis, suite à ça, j'ai eu à vivre dans la même journée. J'ai eu à rencontrer une dame. Dont cette dame, elle, c'est vraiment la programmation de la rigidité. Elle, c'est le contraire. Elle était dans une vie antérieure un homme. Elle était à suivre son paternel, mais de façon à ce que le paternel soit vraiment dans une rigidité. Ou est-ce que son paternel, il est vraiment dans une rigidité ? Ou est-ce que c'est comme vraiment très rigide ? Tellement que dans la vie d'aujourd'hui, elle, en tant que femme, elle est dans une rigidité incroyable, que même elle transmet ça au niveau de ses enfants. Et ça fait en sorte que ça crée une chicane incroyable. Et cette chicane-là fait en sorte que, justement, ça met tout le monde dans des situations émotionnelles compliquées. Et ça finit que c'est pas simple, c'est triste. Mais de comprendre pourquoi que sa fille, elle est venue ici, son autre fille... Ils ont créé un triangle. Donc, pourquoi ? Pourquoi on est venus ici ? Pourquoi on est venus sur cette terre pour, ensemble, à ce qu'on se fasse face ? Moi, ça, j'adore ça. Parce que ça apporte tellement d'explications. C'est de dire, OK, t'es venu dans un monde, dans un corps différent. OK, fine, je l'accepte. Mais, et que la personne... soit à réagir de façon... à ce qu'elles ne comprennent pas, mais qu'en mettant en lumière la mémoire cellulaire, c'est comme, wow ! Quand la femme s'est levée de la table et qu'elle a réalisé que la mémoire cellulaire avait tellement de sens avec sa vie d'aujourd'hui, moi, ça m'apporte tellement dans ma créativité, là. C'est un chef-d'oeuvre dans mon esprit. C'est ça que je peux dire, c'est un chef-d'oeuvre dans mon esprit. Parce que je vois la personne qui se couche sur ma table, et je vois la personne qui se lève de sur ma table, puis c'est deux personnalités, c'est deux personnes différentes. Je serais curieuse de prendre une photo avant, puis une photo après. C'est totalement deux visages différents. Premier, tu sais, crispé, rigide. On voit qu'il n'y a pas une pression, mais les muscles sont tendus. Puis qu'ensuite, c'est comme le facial n'est plus pareil. Même les rides, le contour des yeux, le regard dans l'œil est totalement différent. C'est ça qui est beau. C'est ça que je trouve beau. Parce que moi, je le vois, un coup que la personne a fini. Fait que plus que je suis à voir les gens de cette façon, plus que ça me fait triper. Parce que je me dis, il y a quelque chose qui se passe dans l'énergie, là. Il y a de quoi qui se passe en conscience, là. Je rêve pas, là. Et qui, j'ai eu même, dans l'après-midi, à être tout bonnement assis. à regarder une image sur la page Facebook. Je copie l'image. J'envoie l'image à un garçon, dont il m'avait déjà fait appel, et paf, je déballe sa vie antérieure. Et là, le garçon comprend plus ou moins, mais j'ai dit, attends, on va se rencontrer. Et on s'est parlé, et... C'était tellement beau parce qu'il me baillait ça dans la face. Il était à bailler, mais à bailler sans comprendre pourquoi qu'il baillait. Mais moi, je le savais que c'était une libération, c'était une élévation énergétique. Même là, j'ai envie de bailler parce que je le sais que c'était une élévation énergétique. C'est pour moi ça un des signes. Qui me montre que la personne, elle s'élève, elle se libère, elle se détache de ses vieux patterns, parce qu'en fait, l'âme, elle, garde des vieux souvenirs. Puis le corps, lui, dans la vie d'aujourd'hui, essaye d'évoluer dans ce qui est, mais ça ne marche pas, parce que l'âme, elle, elle est prise avec un blocage de mémoire qui fait que ça ne marche plus. Ça concorde plus, ça fit plus en fait. Puis quand le garçon a compris ce que je lui ai expliqué par rapport avec sa vie antérieure, mais ça fit tellement avec ce qu'il fait présentement, c'est ça qui est beau. Puis il peut pas renier de ce que j'ai dit. Parce qu'en fait, ça a quelque chose de magique. Ça a quelque chose de mystérieux. Ça a quelque chose qui... Tu te dis, wow, ok, il y a vraiment de quoi, là. Vraiment, là. Vraiment. Moi, ça, ça me fascine. Ça m'apporte à te parler. de ce que moi-même j'ai vécu il y a deux semaines. En fait, en fin de semaine, pas... Non, ça fait deux semaines. J'ai eu à vivre une situation, une méditation auprès des chevaux. Et ce qui est merveilleux là-dedans, c'est que quand je me suis assise, j'avais zéro attente. Je ne savais pas, en fait, pourquoi j'avais été attirée. Mais je le savais que mon cœur devait y aller et j'ai accompagné une jeune femme à mes côtés. Elle avait des moments à elle, émotionnellement, à vivre. Et je trouvais que ça faisait, c'était concret. Je trouvais que ça faisait parfait pour lui venir en aide. Et je me suis assise, j'y allais vraiment pour moi. Je laissais la jeune fille faire de elle-même son propre voyage. La première chanson dont on a été accompagnée, c'est « Un musicien dans l'âme » . Si je me permets, je peux le prononcer son nom, c'est Yuka. J'étais au chemin de traverse chez Laetitia à Saint-Anaclet, tout près de Rimouski. Et avec son monde équin, et avec son fils, et avec son accompagnement de méditation, aussitôt qu'il a commencé à chanter, je me suis mise à pleurer. Parce que je réalisais... que la douceur, elle est bonne. La douceur, elle fait du bien. Je réalisais que, dernièrement, j'ai été dure avec moi-même. J'ai été dure avec moi-même du fait que je me suis donné ça dure face avec mes objectifs, mes buts, ma mission. Ça fait pratiquement deux ans que j'ai vraiment un objectif très clair devant moi, mais... Ça demande la patience, ça demande du temps. Mais ça m'a montré, ça m'a reculé de 15 ans en arrière, quand j'étais à mettre mes premiers pas chez, sur les terres de Laetitia. Et ça m'a ouvert à prendre conscience de tout le chemin que j'ai fait jusqu'à... où est-ce que j'étais assis. Et là, je réalisais toute la souffrance émotionnelle que j'ai eue à vivre, à ce que je me fasse face, à ce que je mette un genou à terre, à ce que je me dévoile, que je parle du plus profond de mon être, mes blessures. Ça m'a montré. en méditation, que ma petite fille était comme à, mon enfant intérieur, était comme à me dire, là c'est assez, ta masculinité sacrée, ta féminité sacrée, ils ont mangé ça dur dans les derniers temps, maintenant, laisse ton enfant intérieur exprimer ce qu'elle a à dire, ce qu'elle a à verbaliser. ce qu'elle a à exprimer, ce qu'elle a à tout simplement être. Parce qu'un enfant, on le sait, si on prend l'image d'un enfant, ça s'amuse, ça rit, ça chante, ça danse, c'est parfait. Et là, ça, ça m'a fait prendre conscience en étant à écouter plus que ça allait les chansons que Yuka faisait, plus que Laetitia qui était à... transmettre les paroles de ce qu'elle voyait, dont les chevaux réagissaient. Là, je vois un chevau qui est en train de manger dans le pommier, que lui a décidé de sortir du troupeau, aller manger des pommes, dont il y en a un qui s'est mis à le suivre, qui s'est laissé enseigner par l'autre cheval, qui lui aussi mangeait une pomme. Là, ça m'a fait réaliser que moi, en étant... exemple le premier chevaux qui va manger une pomme je viens d'enseigner à l'autre à côté que tu peux la manger la pomme là tu meurs repas là t'sais les croyances là que t'as reçu dans le passé que tu peux pas manger autre chose que du fromage là ben là gars moi je te le montre tu peux changer tes croyances que t'sais il faut travailler fort pour gagner son pain que La vie, c'est pas facile. Ben ça, là, c'est des croyances, des années tranquilles. Aujourd'hui, on est en 2025. Pis moi, si j'ai plus le goût de croire à ça, ben c'est parfait. Parce que moi, je suis pas obligée de prendre les croyances de mes parents, de mes grands-parents, de mes arrière-grands-parents. Parce que c'est eux qui ont voulu souffrir. Bien, c'est plate ce que je vais dire, mais ce n'est plus mon problème. Je n'ai pas à subir leur passé parce que je le sais que moi aujourd'hui, j'ai des enfants et que mes enfants vont avoir des petits-enfants et que je n'ai pas envie que mes petits-enfants vivent des douleurs émotionnelles parce que je n'aurais pas été travailler sur mes corps énergétiques de mon passé émotionnellement. J'ai pas envie. Moi, je veux que mes enfants s'amusent, s'éclatent, qu'il y ait de l'abondance, pis qu'ils soient même pas obligés de faire le petit moindre effort pour travailler, pour gagner leur argent. Parce que moi, je m'accroche au petit oiseau qui, lui, le petit oiseau-là, il met pas de sac à dos derrière son dos pour garder ses graines. Moi, je crois en l'amour inconditionnel exactement comme nos chiens. C'est la plus belle preuve. Nos chiens. À part nous donner de l'amour inconditionnel, c'est plate ce que je vais dire, mais qu'est-ce que ça fait en fait autre que de l'amour inconditionnel un chien ? Ça ne va pas à chasse pour nous. Les chiens ne vont pas travailler pour nous autres. Les chiens ne se mettent pas à nous faire des bébés pour qu'on les élève. Les chiens n'aillent pas travailler pour nous autres. En fait, les chiens, ils nous enseignent la plus grande leçon de la vie, que tout peut venir à eux simplement. Parce qu'en fait, c'est moi qui vais travailler pour payer leur poche de bouffe. C'est moi qui vais se lever pour aller les faire marcher. C'est moi qui vais leur donner de l'eau. C'est moi qui vais les laver. C'est moi qui vais les payer pour les faire toileter. Tu comprends ce que je veux dire ? C'est pour te faire prendre conscience que le chien, sa mission, c'est l'amour inconditionnel, c'est d'accueillir l'amour inconditionnel. Pourquoi est-ce qu'on ne pourrait pas l'enseigner à nos enfants, ça ? Je ne suis pas en train de dire qu'on est en train de créer... Je ne suis pas en train de dire que nos enfants, il faut qu'ils restent assis sur du verre et rien faire. Non, je ne suis pas en train de dire ça. Mais je suis juste en train de dire que, par contre, on peut leur enseigner que si tu crois à tes rêves... si tu crois tes passions, fais ce qui vient de ton coeur en fait comme ma fille ma fille ça la passionne l'esthétique ben c'est de cette façon qu'elle gongue ses sous si ton fils ou ta fille ils veulent pas aller au cégep arrête de forcer, force pas, ça sert à rien parce que de toute façon là l'ordre divin des choses va les ramener à l'ordre peut-être dans 10, 15, 20, 30 quand ils vont faire une dépression C'est pas à nous de prendre en charge ce qui appartient aux autres. Fait que c'est pour ça que moi, quand j'étais assise sur ma chaise de méditation, en pleine nature, dans le domaine à Laetitia, avec tous ces chevaux qui étaient là, et que là, elle se met à parler du jeune poulain qui est avec une... puissance, je ne sais pas comment on le prononce, ta undika, si je ne me trompe pas, c'est l'esprit du cheval. Bien, l'esprit du cheval qui porte, c'est d'une puissance incroyable parce qu'il s'est retrouvé à venir derrière moi et il s'est mis en avant de moi, c'est ça parce qu'en fait, il a été filmé, et il se tourne vers moi. pour m'offrir le souffle à côté de mon visage. Je ne te cacherai pas que j'ai fendu, une expression bizarre, sur le plan énergétique, j'ai fendu. Le souffle que ça m'a apporté, c'est une puissance. C'est d'un amour inconditionnel incroyable qui a fait que c'est comme propulsion. C'est comme go ! « Vas-y, réalise-toi. » Je me suis ouvert les yeux et j'ai vu le chemin qui était devant moi. Et ce chemin-là qui était devant moi, pour moi, c'était... Wow ! Là, ça me montrait que, OK, il y a de quoi, il y a quelque chose, là. Ça me montrait que dans tout le chemin que j'ai fait, bien, il y a quelque chose qui se passe. Tout le travail qu'on fait, c'est génial parce qu'à un moment donné, dans notre jardin, c'est là qu'on voit qu'après tout le travail, qu'on voit, wow, toutes les fleurs, toutes. Tout le temps, l'argent, tout ce qu'on a mis sur table. On fait un jardin magnifique, là. On fait de quoi de beau, là. Et là, ce qui m'a vraiment, mais vraiment encore plus rentré dedans, C'est l'énergie que j'ai sentie de ma Kira, que je savais qu'elle passait par cet animal-là pour me montrer exactement qu'elle est en présence avec moi en tout temps. Je me suis ouvert les yeux parce que je pleurais tellement, c'était tellement que de l'amour. et en m'ouvrant les yeux, J'ai vu qu'il y avait un vieux, vieux cheval qui était devant moi, Kawa. Et cette bête-là, elle m'a montré que dans les années du passé, j'avais la blessure du rejet. Et cette blessure du rejet, quand j'ai vu Kawa, qui était tout seul dans son coin, et que tout le troupeau équin était carrément à l'extrémité. et qui étaient toutes ensemble et que je les voyais. Il y en a un qui a kiqué, il y en a un qui avait les oreilles par en arrière, il y en a un qui s'astinait. On voyait que les chevaux étaient comme tous à, oui, être ensemble pour se sécuriser, pour faire un semblant d'eux. Mais moi, j'ai vu que Kawa me montrait et en me montrant, ça me disait. Regarde, t'es bien mieux tout seul à être bien avec toi-même en acceptant qui tu es que d'être dans un troupeau en faisant semblant, en étant dans le paraître. Fait que, tu sais, je le dis humblement, il n'y a pas d'ego là-dedans. Je le dis en toute vulnérabilité. Parce que ça pourrait être très difficile de dire que j'aime mieux être seule que d'être accompagnée et de ne plus être. Et je le sais qu'il y en a qui pensent exactement comme ce que je viens de dire. Et je le sais qu'il y en a qui ne sont pas prêtes à ça. C'est parfait. Tu n'as pas à te juger. On n'a pas à se juger. On n'a pas à dire c'est quoi qui est bon et c'est quoi qui n'est pas bon. Moi, je suis rendue là dans ma vie. Fait que de voir Kawa qui était là, devant moi, et qui, je voyais que je ne voyais plus que c'était du rejet. Au contraire, je voyais que j'étais en paix avec moi-même. Parce qu'avant, il y a 15 ans, le rejet que je voyais, ça m'apportait à une tristesse, à une lourdeur, à des émotions dont... j'étais comme, quoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Mais que là, c'était plus ça. Il y avait une paix à l'intérieur. Il y avait en moi quelque chose qui était comme, wow ! Je le sais que, en étant où je voyais Kawa, ben, c'est parce que je suis bien. Et il y a eu deux moutons qui sont arrivés à côté avec un âne. Et là, je me suis dit, wow, il n'est pas tout seul. Il accepte la différence qui vient à lui. Sans jugement, Kawa les acceptait dans sa bulle énergétique. Sans jugement. Il était en présence avec ses moutons, ses ans, sa tâne, sans jugement. Ça montrait exactement que j'accepte quitter. Que t'aies à avoir vécu ça, ou que t'aies eu à vivre ça, ou que t'aies à vivre ça, je suis dans la compassion. Je m'énerverai pas. Pas en tout, parce que ma sagesse est rendue à « je vais t'écouter, je vais t'aider à transcender en étant juste à être qui je suis » . J'ai même plus d'efforts à faire pour te montrer qui je suis. Si tu entres dans mes énergies, c'est parce que tu sais qu'il y a quelque chose qui va se transformer. Si tu m'écoutes... Il y a quelque chose qui va se transformer parce que je suis. Et de par mes fréquences, je suis. Et ça, si tu as écouté la fois que j'ai eu à vivre un soin énergétique avec une de mes mentors, dont elle m'avait raconté l'histoire de Magical, le cheval le plus vieux, qui est mort à 50 ans et qui... était juste de par son énergie à aider, exemple, les enfants autistes, à aider son prochain, mais juste en étant. Et en étant, il en était à enseigner aux autres chevals, chevaux, à ce qu'ils puissent devenir comme lui. Mais là, j'ai vu exactement avec Kawa. Ouh ! J'en étais ! Mais c'était tellement beau, là ! C'était incroyable ! Je voyais qu'en étant à travailler sur ma masculinité sacrée et en étant à travailler sur ma féminité sacrée, ça avait un impact autant sur les hommes que autant sur les femmes. Puis pour moi, je le sais, j'ai eu des vies antérieures où est-ce que j'ai été guerrier, chevalier, amérindien. Ou est-ce que je le sais que mon énergie est autant capable d'aider l'homme à ce qu'il puisse se décharger énergiquement ? Parce qu'on s'entend-tu que l'homme qui vient ici sur cette terre-là, lui aussi porte des blessures, lui aussi porte des mémoires transgénérationnelles, lui aussi vit des situations émotionnelles. Mais il faut... qu'il soit en mesure, en posture de dire, « Ah, là, c'est assez. Il faut que j'y fasse face pour mes enfants. » Parce que, tu sais, quand tu portes l'enfant, la femme, ben, l'enfant, lui, pendant les neuf mois après avoir été mis au monde, il va tout prendre ce que le parent, le père, a vécu émotionnellement. Mais là, c'est comme, « Wake up ! » Wake up, les gars, là. Réveillez-vous, là. La femme, elle évolue sur un fichu temps, là. Mais l'homme, c'est comme, réveille-toi, là. Arrête de te mettre dans l'alcool. Arrête de prendre de la drogue. Arrête d'aller vers, moi, j'appelle ça de la prostitution, là. Sérieux, là. Tu sais, quand t'es rendu que t'as une femme et que tu t'en vas coucher avec deux, trois autres femmes. par une semaine, par mois, ou que tu donnes à aller travailler à l'extérieur, mais que tu trompes ta femme en allant travailler à l'extérieur, est-ce que t'as ça, là ? Toutes tes traces, là, restent. Puis c'est fou à dire, mais ça reste, puis ça se transmet. C'est comme, il est où ? Il est où, hein ? Le rôle à jouer de dire, hey, moi, là, j'ai un rôle à jouer. Puis, ce rôle-là, il faut qu'il y ait des valeurs. Parce qu'aujourd'hui, la foi, c'est en lien avec les valeurs. Si tu n'as pas de foi, tu n'as pas de valeur. La foi, ça commence par l'amour, ça commence par le respect, ça commence par l'honnêteté, ça commence par toutes les valeurs qui ont des bases solides pour nous. futurs enfants. Et ça, pour moi, c'est... Primordial. C'est à la limite un homme qui va faire face à ses émotions. C'est sexy, sérieux. Moi, je trouve ça, quand je suis professionnellement parlant, je n'utiliserai pas le mot sexy, mais... C'est wow, j'ai pas de mots, c'est sublime. C'est du bonbon. De savoir qu'un homme peut se libérer émotionnellement pour nos futurs enfants, c'est wow. Pour moi, ça c'est une puissance incroyable. J'ai un énorme respect pour celui qui va. être en posture de dire là, je m'envoie me faire aider. C'est wow. Autant que quelqu'un, homme, femme, mais là, je vais parler de l'homme qui va dire là, je me prends ma vie en main, là. Je me mets à m'entraîner. Parce que j'ai un surplus de poids qui est en lien avec l'alcool, avec la malbouffe, avec... Tout ce qu'il y en a. Puis qu'il décide du jour au lendemain. Moi, je commence à m'entraîner. Wow, chapeau. Ça prend du courage. C'est de l'ambition. Je trouve ça beau. Je trouve ça beau parce que ça l'enseigne aux enfants à ce que... Prends soin de toi. C'est important. Pas parce que t'es un gars que tu peux pas prendre soin de toi. Non, non. Fait que c'est pour ça que là, je disais, par rapport avec une journée de ma semaine, j'ai eu la thématique de travailler sur les gars, j'ai écrit un texte qui pour moi, c'était profond. C'était puissant. Puis je le sais que mon texte, même si j'ai pas eu 50 000 gemmes, j'en ai rien à cirer. Je le sais qu'il va faire des petits. Parce que je sème des graines par le souffle, par l'esprit de l'air. Puis je le sais que ça va venir à un moment donné où est-ce qu'il va y avoir une floraison. Et qui va avoir un homme qui va cogner à ma porte ? Et suite, justement, à ma publication, j'ai eu des hommes qui m'ont fait appel pour me demander, « Karine, je veux que tu m'aides. » Moi, ça, c'est chapeau. Vraiment, sois fière. Si tu es un homme en ce moment qui écoute mon podcast, sois fière de dire que tu te prends en main. Vraiment. Parce qu'on a besoin de vous autres, les hommes. On a besoin de vous autres. C'est pas en étant à vous cacher derrière les femmes qui, là, on est rendu à une étape où est-ce qu'on doit prendre l'équilibre. Parce que là, la femme, elle commence à prendre trop de pouvoir. Puis, on veut pas ça. Chacun a son rôle. Chacun a son rôle à jouer. L'ordre divin des choses va replacer la masculinité et la féminité. Je ne suis pas inquiète, je le sais. Ça va arriver. Chaque chose en son temps. Mais on n'a pas à créer des histoires dont ça ne finira plus. Non, non, on veut que ça se règle. On veut. que ça finisse, pour que chacun soit au point neutre. Et en étant au point neutre, on repart avec des histoires dont ça va permettre à la création de la vie, à ce qu'on puisse changer le monde, à ce que le monde soit meilleur. Vraiment. Puis ça, moi, j'y crois. Si chacun et chacune se met à travailler, à pétrir son pain, moi, j'appelle ça la multiplication des pains. C'est ce qui va créer justement la multiplication de l'amour. Vraiment. Je ne sais pas si mon podcast t'a permis de comprendre des choses qui t'ont fait éveiller, qui t'ont inspiré. Peu importe. Mon but, c'était de te partager ce que j'avais vécu parce que je trouvais ça important. Moi, c'est pas de me faire dire quoi faire que j'aime. J'aime pas ça. Mais si tu me racontes des histoires, si tu me racontes ta sagesse de vie, si tu me parles de... Pour moi, ça va être pas mal plus profitable parce que je vais prendre des points, des mots, des phrases qui je vais le mettre dans mon cœur et que je vais le mettre en pratique. Parce que me faire dire de quoi ? On n'a pas à dire rien à personne de comment faire ou qu'est-ce que tu dois faire ou... Non ! Chacun a sa propre vie, chacun a sa propre expérience. Puis c'est de cette façon que l'ego, justement, se met pas sous la défensive. Fait que si des fois, toi, il y a des choses qui t'essayent de, exemple, entre parenthèses, contrôler ou exiger ou avec ta rigidité ou importe, mais que ça fonctionne pas, c'est peut-être juste parce que tu t'y prends pas de la bonne façon. C'est de regarder à l'intérieur de toi. Qu'est-ce que ferait l'amour ? Moi, c'est toujours cette question-là que je me pose. Qu'est-ce que l'amour ferait ? Et ça, pour moi, j'ai tout le temps les plus belles réponses à mes questions. Qu'est-ce que l'amour ferait ? Puis, dans la génération de nos jeunes d'aujourd'hui, c'est impossible de leur dire quoi faire. Parce que justement, ils sont là pour nous enseigner à ce que l'on puisse prendre notre rôle et que, ensemble, on puisse crever tout en se respectant vraiment. Je te souhaite une belle continuité. Je te souhaite plein d'amour. Merci de me suivre. Merci pour tes partages. Merci pour tes retours. Ça me touche tout le temps. Vraiment, vraiment, j'adore. Je te dis à bientôt.

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Description

Il y a des blessures qui ne se voient pas.

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✨ Je t’amène dans des histoires vraies.

Des vies antérieures.

Des réconciliations puissantes.

Des libérations profondes.

Et même… un souffle sacré offert par un cheval.


Parce que guérir l’homme, c’est aussi permettre à la femme de se reposer.

Parce que réconcilier nos polarités, c’est faire la paix en nous… Et entre nous.


Avec Amour,
Karine Turcotte


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Transcription

  • Speaker #0

    Allô, allô ! J'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon podcast en toute simplicité, Du coeur à l'âme, épisode 61. Aujourd'hui, j'ai envie de parler d'une de mes journées que j'ai eues cette semaine, dont ça tournait autour de la masculinité. Si tu vas sur ma page Facebook... personnel Karine Turcotte. Tu vas voir dans mes publications de à où, même je pense que c'est le premier à où que je l'ai publié, j'ai écrit un texte en lien avec les hommes, suite avec l'énergie que j'ai eu à vivre toute la journée. Donc, ça a commencé que j'ai eu à recevoir un homme qui est venu suite après avoir réalisé qu'il était rendu là dans sa vie. Moi, ça me touche quand il y a des hommes qui viennent me rencontrer parce que je trouve que c'est... C'est comme si, tu sais, on a l'habitude de voir, tu sais, l'homme, c'est un guerrier, c'est un combattant, l'homme ne pleure pas. Tu sais, quand on a encore, par exemple, des émissions, tu sais, l'homme, il est tough, l'homme, il passe au travers de tout. Mais on n'a pas l'image de l'homme dont il va mettre son genou à terre. On n'a pas nécessairement l'image, en tout cas, moi, de mon côté, je suis venue au monde des années 80. Je n'ai pas le souvenir de voir que ce soit dans le temps d'un petit bonhomme ou, en tout cas, à moi, que peut-être qu'ils ne m'en viennent pas en tête, mais j'ai beaucoup plus d'images de l'homme qui est tough, de l'homme qui... Justement, il pleure pas, il s'exprime pas, il verbalise pas, il communique pas. L'homme, tu sais, c'est comme tout le temps le bad boy. Puis l'autre fois aussi, j'en parlais avec une de mes connaissances, puis on parlait justement de ces particuliers, mais nous, la femme, on a évolué sur un pas pire temps. Tu sais, si on la regarde... Dans les années tranquilles, on part de loin. On a vraiment fait un bout de chemin pour en être où est-ce qu'on en est en ce moment. Il y a des femmes qui ont droit à des métiers d'hommes. Même moi, j'avais un métier d'homme. La façon de parler, j'étais en train carrément d'étiqueter. On recule de 20 ans. J'étais technicienne en arpentage. C'était dans un métier d'homme. C'était un corps de travail d'homme. Puis même, quand je travaillais avec mon paternel, c'est la construction. Fait que, tu sais, quand elle te regarde ça, il y a beaucoup de... Comment je pourrais dire ? La femme a fait beaucoup de cheminement. Oui, il y en a des hommes au travail dont qui en font du travail, mais de ce que je peux voir, vraiment à très large endroit que je dirais, on remarque que les hommes ont... en 2025, une forme de problématique de... Tu sais, je ne mets pas tout le monde dans le même bateau, là, mais... On est rendu à une étape de vie où est-ce que nous, les femmes, on est à se demander sont où nos hommes ? Parce que nos hommes, c'est comme si nous, en tant que femmes, on veut évoluer, on évolue, on avance, on se réalise, mais qu'on ne laisse pas nécessairement la place à l'homme. Puis ça m'a apporté à réfléchir parce que l'homme qui est venu me rencontrer, il a vécu une situation avec une dame sur le marché du travail dont elle était à faire un pattern que nous, les femmes, on a vécu avec les hommes d'écraser l'homme. Elle, elle était à faire ça. Elle était à y mettre... la main sur la tête pour l'empêcher d'évoluer, pour l'empêcher d'avancer. Puis ça, pour moi, ça me rendait comme dans une compassion, parce que je me disais, non, on ne peut pas faire un cycle à ce que les femmes fassent à leur tour ce que les hommes, une partie, ont fait de nous. Je ne peux pas penser qu'on pourrait en être là, en fait. C'est vraiment bizarre. J'étais en train de te parler, puis il y a de quoi qui passe dans la rivière. Je suis comme, voyons, c'est quoi ça ? On dirait, c'est vraiment bizarre, mais c'est un morceau de bois. Mais il y avait la tête comme un aigle. J'étais comme, voyons, c'est quoi ? Excuse-moi. J'étais en train de, de carrément de changer de sujet, même qu'à la limite, si je ne serais pas en train de faire le podcast, j'irais voir, mais c'est correct. C'est comme un morceau de bois qui flotte. Puis, tu sais, aujourd'hui, en plus, il n'y avait que des aigles dans ma vie. D'aujourd'hui, c'était fou. J'ai vu au moins dix fois des aigles, ça n'arrêtait pas. C'était de toute beauté, puis ça m'apportait justement à penser à qu'est-ce que j'allais faire dans mon podcast, puis c'était ça que ça me disait, que je me devais prendre position, moi, en tant que femme, pour parler de ce que j'ai vécu dans la journée, qui était comme un peu thématique de l'homme. Fait que je reviens avec ce que je disais. Je ne peux pas croire que la femme pourrait faire à son tour à l'homme ce qu'elle a subi, ce qu'elle a vécu. C'est un pattern qui pour moi c'est comme non, c'est non négociable. Moi perso, je l'ai vécu cette forme d'intimidation-là, puis ce n'est pas vrai que j'irais le faire auprès des hommes parce qu'en fait... C'est pas comme ça qu'on est supposé de faire, nous les humains, on est supposé de s'élever tout le monde ensemble, puis de justement prendre chacun son rôle pour qu'on puisse s'élever tous ensemble. Fait que quand l'homme me parlait de cette situation qu'il a vécue pendant X mois, à être dans une situation de... d'enquête aussi, parce que c'était rendu loin, son histoire. Puis, tu sais, je me disais, c'est incroyable, là, tout où ce que ça peut apporter, trauma, situation émotionnelle difficile, des chocs aussi. Puis ça, ça a un impact sur tout, là. Pas juste sur lui, ça a un impact au niveau de son travail, au niveau de sa santé, au niveau de sa famille, au niveau de sa vie de couple, au niveau financier. Peu importe, parce que là, il essaye de se décharger énergiquement de tout le tour de lui pour essayer de se libérer de ce qu'il peut vivre comme problématique qui prend beaucoup trop de place. Fait qu'à un moment donné, c'est comme... Pour la femme, c'est où est-ce que tu veux t'en aller avec toute cette histoire-là, que t'atteintes, tu touches, pas juste à lui, tu touches à toute, à sa vie personnelle, à sa vie de couple, tu touches. Puis que t'accuses une personne en croyant que, mais qu'en fait, j'ai de la difficulté à comprendre. ce genre de cycle de vie-là à ce que, tu sais, c'est comme, on peut-tu mettre un terme à ça ? On peut-tu arrêter ça, s'il vous plaît, là ? On peut-tu prendre chacun son rôle et que l'homme prenne sa place de l'homme et la femme prenne sa place de femme ? Mais là, moi, une chance qu'en lien avec les vies antérieures, que je vois qu'en fait, ça a un lien karmique parce que... Si, exemple, j'aurais pas eu à aller plonger dans sa vie antérieure, il aurait manqué quelque chose, là. Ça aurait pas mis une fin à l'histoire. Fait que de comprendre que dans sa vie antérieure, donc, il était un petit garçon et qu'il a eu à vivre en état... à voir des choses du côté paternel et maternel que son père dans la vie antérieure réagissait sur sa mère de façon très violente qui a fait en sorte que cette violence a mal tourné c'est qu'il s'est retrouvé dans une vie antérieure dans une tribu dont il était rendu Un petit garçon sans sa maman à partir de l'âge de 6 ans. Et qui, ça l'a fait que ça l'a apporté dans un choc, dans un trauma, mais ça lui a apporté aussi dans une programmation. Dans une programmation qui a été énormément grande à l'intérieur de lui. Parce qu'il est resté avec toute cette souffrance. À partir du moment où est-ce qu'il a vu le paternel, comment il était. Fait que toute la vie antérieure a été d'une façon où est-ce qu'il réagissait, mais en étant à faire exactement ce que son paternel lui enseignait, mélange d'alcool. Un mélange où est-ce qu'il s'est créé aussi un pouvoir sur la femme, un mélange de vouloir s'intéresser à autre femme et qui, pour lui, le fait qu'il a été blessé par une femme, c'est que pour lui, dans la vie antérieure, c'est comme un sentiment d'abandon. Fait que je ne veux plus me faire abandonner. Fait que je vais abandonner ceux et celles que j'aime avant tout. Fait que dans la vie d'aujourd'hui, c'était comme, dites-moi pas ce que j'ai à faire. Moi, je suis venue ici, sur cette terre, pour apprendre de par moi-même à l'école de la vie. Et je vais en faire à ma tête. Mais dans la vie d'aujourd'hui, la femme qui a eu... à rencontrer, dont elle a pris genre possession de ses émotions en étant à lui remettre sur le nez qu'il l'harcelait, mais qu'en fait c'était son point de vue à elle, bien cette femme-là, c'est de la remercier parce que de par la scène, que toutes les deux avaient à vivre, c'est tout simplement dire, mets fin à ça, parce que là, c'est assez. C'est assez. Tu as demandé avant de descendre sur cette terre à ce que tu fasses face à cette douleur, à cette mémoire cellulaire que tu as vécue dans le passé, et que là, tu te dois, à partir de maintenant, Aller dans ta féminité sacrée pour mettre en œuvre. Tous ceux et celles qui sont autour de lui. Tu sais, il y a beaucoup de monde autour de lui. Fait que dans la vie d'aujourd'hui, avec tout ce qu'il a appris de zéro jusqu'à aujourd'hui, avec tout ce qu'il a appris de sa mémoire cellulaire, c'est la personne la plus dans la compassion versus s'il y a quelqu'un qui vient vers lui et qui lui demande exemple de l'aide. Parce qu'avec son vécu, ça fait une personne qui est sensible. Mais avant de switcher ça, avant d'aller de l'autre côté de la médaille, il faut que tu sois en mesure de comprendre. Parce que si, exemple, on fait juste travailler sur les émotions de la vie d'aujourd'hui, bien, on va travailler longtemps parce qu'au niveau du subconscient, il manque quelque chose. Tu sais, c'est comme quand tu écoutes un film. que ça finit un peu bizarre. Mais là, tu te dis, voyons, y a-tu une fin à ça ? Ou il n'y a pas ? Fait que c'est la même chose. Fait qu'en allant plonger dans la mémoire cellulaire, c'est génial, parce qu'on est capable de comprendre notre histoire, même si c'est pas prouvé scientifiquement. Il y a quelque chose qui se passe à l'intérieur de nous. Il y a un déclic qui se fait. Il y a une compréhension qui se fait. Puis c'est là que la beauté des choses vient en œuvre. C'est ça que l'autre fois, je me suis fait dire par une de mes clientes qui, elle me disait, tu sais, c'est le fun avec toi, Karine, parce que quand tu nous apportes dans notre monde, on apporte ensuite du concret dans notre vie parce qu'on comprend. J'ai déjà eu une de mes clientes qui, justement, elle m'expliquait qu'elle n'était pas capable de manger de la viande, le cœur élevé, puis qu'elle n'était pas capable. Elle est venue me rencontrer, on est allé voir qu'est-ce qui fait que ton corps a un trauma, qu'est-ce qui fait que ton corps vit quelque chose de difficile pour que tu refuses de te nourrir. Et c'est là qu'on a compris, en allant plonger dans ses mémoires cellulaires. dans ses mémoires émotionnelles, pour que corps, âme, esprit, émotion, énergétique, embarquent tous ensemble, et que ça fasse comme une libération. Fait que, je le sais que quand moi j'ai été déprogrammer la mémoire cellulaire de l'homme, je le sais que dans les 21 jours qui vont suivre, il va être en paix. Parce que c'était tellement fort, c'était tellement puissant, c'était de toute beauté. Puis moi, quand on m'apporte dans des situations comme ça, je deviens comme une petite fille. Je le sais que c'est fort et puissant. Tu sais, c'est pas de... tourner autour de quelque chose qu'on cherche, puis on cherche, puis on cherche. Parce que la personne, en fait, il y en a souvent qui aiment être sous forme de victimisation. Et là, ça, c'est difficile de faire émerger. Parce que la personne, inconsciemment, elle est bien là-dedans, fait qu'elle l'a intégrée dans sa vie. Mais quelqu'un qui vit pas bien avec ça, et qui n'acceptent pas de vivre avec ça, c'est du gros bonbon. Pour moi, c'est du gros bonbon parce que ça me permet de rentrer dans une pièce où est-ce que c'est le free for all là-dedans, que c'est l'embarras, et que moi, je rentre là-dedans pour aller vraiment ouvrir les boîtes et dire ça. On jette ça, ça, on met ça au feu. Mais ça, moi, là, c'est du gros bonbon. Vraiment. Puis, suite à ça, j'ai eu à vivre dans la même journée. J'ai eu à rencontrer une dame. Dont cette dame, elle, c'est vraiment la programmation de la rigidité. Elle, c'est le contraire. Elle était dans une vie antérieure un homme. Elle était à suivre son paternel, mais de façon à ce que le paternel soit vraiment dans une rigidité. Ou est-ce que son paternel, il est vraiment dans une rigidité ? Ou est-ce que c'est comme vraiment très rigide ? Tellement que dans la vie d'aujourd'hui, elle, en tant que femme, elle est dans une rigidité incroyable, que même elle transmet ça au niveau de ses enfants. Et ça fait en sorte que ça crée une chicane incroyable. Et cette chicane-là fait en sorte que, justement, ça met tout le monde dans des situations émotionnelles compliquées. Et ça finit que c'est pas simple, c'est triste. Mais de comprendre pourquoi que sa fille, elle est venue ici, son autre fille... Ils ont créé un triangle. Donc, pourquoi ? Pourquoi on est venus ici ? Pourquoi on est venus sur cette terre pour, ensemble, à ce qu'on se fasse face ? Moi, ça, j'adore ça. Parce que ça apporte tellement d'explications. C'est de dire, OK, t'es venu dans un monde, dans un corps différent. OK, fine, je l'accepte. Mais, et que la personne... soit à réagir de façon... à ce qu'elles ne comprennent pas, mais qu'en mettant en lumière la mémoire cellulaire, c'est comme, wow ! Quand la femme s'est levée de la table et qu'elle a réalisé que la mémoire cellulaire avait tellement de sens avec sa vie d'aujourd'hui, moi, ça m'apporte tellement dans ma créativité, là. C'est un chef-d'oeuvre dans mon esprit. C'est ça que je peux dire, c'est un chef-d'oeuvre dans mon esprit. Parce que je vois la personne qui se couche sur ma table, et je vois la personne qui se lève de sur ma table, puis c'est deux personnalités, c'est deux personnes différentes. Je serais curieuse de prendre une photo avant, puis une photo après. C'est totalement deux visages différents. Premier, tu sais, crispé, rigide. On voit qu'il n'y a pas une pression, mais les muscles sont tendus. Puis qu'ensuite, c'est comme le facial n'est plus pareil. Même les rides, le contour des yeux, le regard dans l'œil est totalement différent. C'est ça qui est beau. C'est ça que je trouve beau. Parce que moi, je le vois, un coup que la personne a fini. Fait que plus que je suis à voir les gens de cette façon, plus que ça me fait triper. Parce que je me dis, il y a quelque chose qui se passe dans l'énergie, là. Il y a de quoi qui se passe en conscience, là. Je rêve pas, là. Et qui, j'ai eu même, dans l'après-midi, à être tout bonnement assis. à regarder une image sur la page Facebook. Je copie l'image. J'envoie l'image à un garçon, dont il m'avait déjà fait appel, et paf, je déballe sa vie antérieure. Et là, le garçon comprend plus ou moins, mais j'ai dit, attends, on va se rencontrer. Et on s'est parlé, et... C'était tellement beau parce qu'il me baillait ça dans la face. Il était à bailler, mais à bailler sans comprendre pourquoi qu'il baillait. Mais moi, je le savais que c'était une libération, c'était une élévation énergétique. Même là, j'ai envie de bailler parce que je le sais que c'était une élévation énergétique. C'est pour moi ça un des signes. Qui me montre que la personne, elle s'élève, elle se libère, elle se détache de ses vieux patterns, parce qu'en fait, l'âme, elle, garde des vieux souvenirs. Puis le corps, lui, dans la vie d'aujourd'hui, essaye d'évoluer dans ce qui est, mais ça ne marche pas, parce que l'âme, elle, elle est prise avec un blocage de mémoire qui fait que ça ne marche plus. Ça concorde plus, ça fit plus en fait. Puis quand le garçon a compris ce que je lui ai expliqué par rapport avec sa vie antérieure, mais ça fit tellement avec ce qu'il fait présentement, c'est ça qui est beau. Puis il peut pas renier de ce que j'ai dit. Parce qu'en fait, ça a quelque chose de magique. Ça a quelque chose de mystérieux. Ça a quelque chose qui... Tu te dis, wow, ok, il y a vraiment de quoi, là. Vraiment, là. Vraiment. Moi, ça, ça me fascine. Ça m'apporte à te parler. de ce que moi-même j'ai vécu il y a deux semaines. En fait, en fin de semaine, pas... Non, ça fait deux semaines. J'ai eu à vivre une situation, une méditation auprès des chevaux. Et ce qui est merveilleux là-dedans, c'est que quand je me suis assise, j'avais zéro attente. Je ne savais pas, en fait, pourquoi j'avais été attirée. Mais je le savais que mon cœur devait y aller et j'ai accompagné une jeune femme à mes côtés. Elle avait des moments à elle, émotionnellement, à vivre. Et je trouvais que ça faisait, c'était concret. Je trouvais que ça faisait parfait pour lui venir en aide. Et je me suis assise, j'y allais vraiment pour moi. Je laissais la jeune fille faire de elle-même son propre voyage. La première chanson dont on a été accompagnée, c'est « Un musicien dans l'âme » . Si je me permets, je peux le prononcer son nom, c'est Yuka. J'étais au chemin de traverse chez Laetitia à Saint-Anaclet, tout près de Rimouski. Et avec son monde équin, et avec son fils, et avec son accompagnement de méditation, aussitôt qu'il a commencé à chanter, je me suis mise à pleurer. Parce que je réalisais... que la douceur, elle est bonne. La douceur, elle fait du bien. Je réalisais que, dernièrement, j'ai été dure avec moi-même. J'ai été dure avec moi-même du fait que je me suis donné ça dure face avec mes objectifs, mes buts, ma mission. Ça fait pratiquement deux ans que j'ai vraiment un objectif très clair devant moi, mais... Ça demande la patience, ça demande du temps. Mais ça m'a montré, ça m'a reculé de 15 ans en arrière, quand j'étais à mettre mes premiers pas chez, sur les terres de Laetitia. Et ça m'a ouvert à prendre conscience de tout le chemin que j'ai fait jusqu'à... où est-ce que j'étais assis. Et là, je réalisais toute la souffrance émotionnelle que j'ai eue à vivre, à ce que je me fasse face, à ce que je mette un genou à terre, à ce que je me dévoile, que je parle du plus profond de mon être, mes blessures. Ça m'a montré. en méditation, que ma petite fille était comme à, mon enfant intérieur, était comme à me dire, là c'est assez, ta masculinité sacrée, ta féminité sacrée, ils ont mangé ça dur dans les derniers temps, maintenant, laisse ton enfant intérieur exprimer ce qu'elle a à dire, ce qu'elle a à verbaliser. ce qu'elle a à exprimer, ce qu'elle a à tout simplement être. Parce qu'un enfant, on le sait, si on prend l'image d'un enfant, ça s'amuse, ça rit, ça chante, ça danse, c'est parfait. Et là, ça, ça m'a fait prendre conscience en étant à écouter plus que ça allait les chansons que Yuka faisait, plus que Laetitia qui était à... transmettre les paroles de ce qu'elle voyait, dont les chevaux réagissaient. Là, je vois un chevau qui est en train de manger dans le pommier, que lui a décidé de sortir du troupeau, aller manger des pommes, dont il y en a un qui s'est mis à le suivre, qui s'est laissé enseigner par l'autre cheval, qui lui aussi mangeait une pomme. Là, ça m'a fait réaliser que moi, en étant... exemple le premier chevaux qui va manger une pomme je viens d'enseigner à l'autre à côté que tu peux la manger la pomme là tu meurs repas là t'sais les croyances là que t'as reçu dans le passé que tu peux pas manger autre chose que du fromage là ben là gars moi je te le montre tu peux changer tes croyances que t'sais il faut travailler fort pour gagner son pain que La vie, c'est pas facile. Ben ça, là, c'est des croyances, des années tranquilles. Aujourd'hui, on est en 2025. Pis moi, si j'ai plus le goût de croire à ça, ben c'est parfait. Parce que moi, je suis pas obligée de prendre les croyances de mes parents, de mes grands-parents, de mes arrière-grands-parents. Parce que c'est eux qui ont voulu souffrir. Bien, c'est plate ce que je vais dire, mais ce n'est plus mon problème. Je n'ai pas à subir leur passé parce que je le sais que moi aujourd'hui, j'ai des enfants et que mes enfants vont avoir des petits-enfants et que je n'ai pas envie que mes petits-enfants vivent des douleurs émotionnelles parce que je n'aurais pas été travailler sur mes corps énergétiques de mon passé émotionnellement. J'ai pas envie. Moi, je veux que mes enfants s'amusent, s'éclatent, qu'il y ait de l'abondance, pis qu'ils soient même pas obligés de faire le petit moindre effort pour travailler, pour gagner leur argent. Parce que moi, je m'accroche au petit oiseau qui, lui, le petit oiseau-là, il met pas de sac à dos derrière son dos pour garder ses graines. Moi, je crois en l'amour inconditionnel exactement comme nos chiens. C'est la plus belle preuve. Nos chiens. À part nous donner de l'amour inconditionnel, c'est plate ce que je vais dire, mais qu'est-ce que ça fait en fait autre que de l'amour inconditionnel un chien ? Ça ne va pas à chasse pour nous. Les chiens ne vont pas travailler pour nous autres. Les chiens ne se mettent pas à nous faire des bébés pour qu'on les élève. Les chiens n'aillent pas travailler pour nous autres. En fait, les chiens, ils nous enseignent la plus grande leçon de la vie, que tout peut venir à eux simplement. Parce qu'en fait, c'est moi qui vais travailler pour payer leur poche de bouffe. C'est moi qui vais se lever pour aller les faire marcher. C'est moi qui vais leur donner de l'eau. C'est moi qui vais les laver. C'est moi qui vais les payer pour les faire toileter. Tu comprends ce que je veux dire ? C'est pour te faire prendre conscience que le chien, sa mission, c'est l'amour inconditionnel, c'est d'accueillir l'amour inconditionnel. Pourquoi est-ce qu'on ne pourrait pas l'enseigner à nos enfants, ça ? Je ne suis pas en train de dire qu'on est en train de créer... Je ne suis pas en train de dire que nos enfants, il faut qu'ils restent assis sur du verre et rien faire. Non, je ne suis pas en train de dire ça. Mais je suis juste en train de dire que, par contre, on peut leur enseigner que si tu crois à tes rêves... si tu crois tes passions, fais ce qui vient de ton coeur en fait comme ma fille ma fille ça la passionne l'esthétique ben c'est de cette façon qu'elle gongue ses sous si ton fils ou ta fille ils veulent pas aller au cégep arrête de forcer, force pas, ça sert à rien parce que de toute façon là l'ordre divin des choses va les ramener à l'ordre peut-être dans 10, 15, 20, 30 quand ils vont faire une dépression C'est pas à nous de prendre en charge ce qui appartient aux autres. Fait que c'est pour ça que moi, quand j'étais assise sur ma chaise de méditation, en pleine nature, dans le domaine à Laetitia, avec tous ces chevaux qui étaient là, et que là, elle se met à parler du jeune poulain qui est avec une... puissance, je ne sais pas comment on le prononce, ta undika, si je ne me trompe pas, c'est l'esprit du cheval. Bien, l'esprit du cheval qui porte, c'est d'une puissance incroyable parce qu'il s'est retrouvé à venir derrière moi et il s'est mis en avant de moi, c'est ça parce qu'en fait, il a été filmé, et il se tourne vers moi. pour m'offrir le souffle à côté de mon visage. Je ne te cacherai pas que j'ai fendu, une expression bizarre, sur le plan énergétique, j'ai fendu. Le souffle que ça m'a apporté, c'est une puissance. C'est d'un amour inconditionnel incroyable qui a fait que c'est comme propulsion. C'est comme go ! « Vas-y, réalise-toi. » Je me suis ouvert les yeux et j'ai vu le chemin qui était devant moi. Et ce chemin-là qui était devant moi, pour moi, c'était... Wow ! Là, ça me montrait que, OK, il y a de quoi, il y a quelque chose, là. Ça me montrait que dans tout le chemin que j'ai fait, bien, il y a quelque chose qui se passe. Tout le travail qu'on fait, c'est génial parce qu'à un moment donné, dans notre jardin, c'est là qu'on voit qu'après tout le travail, qu'on voit, wow, toutes les fleurs, toutes. Tout le temps, l'argent, tout ce qu'on a mis sur table. On fait un jardin magnifique, là. On fait de quoi de beau, là. Et là, ce qui m'a vraiment, mais vraiment encore plus rentré dedans, C'est l'énergie que j'ai sentie de ma Kira, que je savais qu'elle passait par cet animal-là pour me montrer exactement qu'elle est en présence avec moi en tout temps. Je me suis ouvert les yeux parce que je pleurais tellement, c'était tellement que de l'amour. et en m'ouvrant les yeux, J'ai vu qu'il y avait un vieux, vieux cheval qui était devant moi, Kawa. Et cette bête-là, elle m'a montré que dans les années du passé, j'avais la blessure du rejet. Et cette blessure du rejet, quand j'ai vu Kawa, qui était tout seul dans son coin, et que tout le troupeau équin était carrément à l'extrémité. et qui étaient toutes ensemble et que je les voyais. Il y en a un qui a kiqué, il y en a un qui avait les oreilles par en arrière, il y en a un qui s'astinait. On voyait que les chevaux étaient comme tous à, oui, être ensemble pour se sécuriser, pour faire un semblant d'eux. Mais moi, j'ai vu que Kawa me montrait et en me montrant, ça me disait. Regarde, t'es bien mieux tout seul à être bien avec toi-même en acceptant qui tu es que d'être dans un troupeau en faisant semblant, en étant dans le paraître. Fait que, tu sais, je le dis humblement, il n'y a pas d'ego là-dedans. Je le dis en toute vulnérabilité. Parce que ça pourrait être très difficile de dire que j'aime mieux être seule que d'être accompagnée et de ne plus être. Et je le sais qu'il y en a qui pensent exactement comme ce que je viens de dire. Et je le sais qu'il y en a qui ne sont pas prêtes à ça. C'est parfait. Tu n'as pas à te juger. On n'a pas à se juger. On n'a pas à dire c'est quoi qui est bon et c'est quoi qui n'est pas bon. Moi, je suis rendue là dans ma vie. Fait que de voir Kawa qui était là, devant moi, et qui, je voyais que je ne voyais plus que c'était du rejet. Au contraire, je voyais que j'étais en paix avec moi-même. Parce qu'avant, il y a 15 ans, le rejet que je voyais, ça m'apportait à une tristesse, à une lourdeur, à des émotions dont... j'étais comme, quoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Mais que là, c'était plus ça. Il y avait une paix à l'intérieur. Il y avait en moi quelque chose qui était comme, wow ! Je le sais que, en étant où je voyais Kawa, ben, c'est parce que je suis bien. Et il y a eu deux moutons qui sont arrivés à côté avec un âne. Et là, je me suis dit, wow, il n'est pas tout seul. Il accepte la différence qui vient à lui. Sans jugement, Kawa les acceptait dans sa bulle énergétique. Sans jugement. Il était en présence avec ses moutons, ses ans, sa tâne, sans jugement. Ça montrait exactement que j'accepte quitter. Que t'aies à avoir vécu ça, ou que t'aies eu à vivre ça, ou que t'aies à vivre ça, je suis dans la compassion. Je m'énerverai pas. Pas en tout, parce que ma sagesse est rendue à « je vais t'écouter, je vais t'aider à transcender en étant juste à être qui je suis » . J'ai même plus d'efforts à faire pour te montrer qui je suis. Si tu entres dans mes énergies, c'est parce que tu sais qu'il y a quelque chose qui va se transformer. Si tu m'écoutes... Il y a quelque chose qui va se transformer parce que je suis. Et de par mes fréquences, je suis. Et ça, si tu as écouté la fois que j'ai eu à vivre un soin énergétique avec une de mes mentors, dont elle m'avait raconté l'histoire de Magical, le cheval le plus vieux, qui est mort à 50 ans et qui... était juste de par son énergie à aider, exemple, les enfants autistes, à aider son prochain, mais juste en étant. Et en étant, il en était à enseigner aux autres chevals, chevaux, à ce qu'ils puissent devenir comme lui. Mais là, j'ai vu exactement avec Kawa. Ouh ! J'en étais ! Mais c'était tellement beau, là ! C'était incroyable ! Je voyais qu'en étant à travailler sur ma masculinité sacrée et en étant à travailler sur ma féminité sacrée, ça avait un impact autant sur les hommes que autant sur les femmes. Puis pour moi, je le sais, j'ai eu des vies antérieures où est-ce que j'ai été guerrier, chevalier, amérindien. Ou est-ce que je le sais que mon énergie est autant capable d'aider l'homme à ce qu'il puisse se décharger énergiquement ? Parce qu'on s'entend-tu que l'homme qui vient ici sur cette terre-là, lui aussi porte des blessures, lui aussi porte des mémoires transgénérationnelles, lui aussi vit des situations émotionnelles. Mais il faut... qu'il soit en mesure, en posture de dire, « Ah, là, c'est assez. Il faut que j'y fasse face pour mes enfants. » Parce que, tu sais, quand tu portes l'enfant, la femme, ben, l'enfant, lui, pendant les neuf mois après avoir été mis au monde, il va tout prendre ce que le parent, le père, a vécu émotionnellement. Mais là, c'est comme, « Wake up ! » Wake up, les gars, là. Réveillez-vous, là. La femme, elle évolue sur un fichu temps, là. Mais l'homme, c'est comme, réveille-toi, là. Arrête de te mettre dans l'alcool. Arrête de prendre de la drogue. Arrête d'aller vers, moi, j'appelle ça de la prostitution, là. Sérieux, là. Tu sais, quand t'es rendu que t'as une femme et que tu t'en vas coucher avec deux, trois autres femmes. par une semaine, par mois, ou que tu donnes à aller travailler à l'extérieur, mais que tu trompes ta femme en allant travailler à l'extérieur, est-ce que t'as ça, là ? Toutes tes traces, là, restent. Puis c'est fou à dire, mais ça reste, puis ça se transmet. C'est comme, il est où ? Il est où, hein ? Le rôle à jouer de dire, hey, moi, là, j'ai un rôle à jouer. Puis, ce rôle-là, il faut qu'il y ait des valeurs. Parce qu'aujourd'hui, la foi, c'est en lien avec les valeurs. Si tu n'as pas de foi, tu n'as pas de valeur. La foi, ça commence par l'amour, ça commence par le respect, ça commence par l'honnêteté, ça commence par toutes les valeurs qui ont des bases solides pour nous. futurs enfants. Et ça, pour moi, c'est... Primordial. C'est à la limite un homme qui va faire face à ses émotions. C'est sexy, sérieux. Moi, je trouve ça, quand je suis professionnellement parlant, je n'utiliserai pas le mot sexy, mais... C'est wow, j'ai pas de mots, c'est sublime. C'est du bonbon. De savoir qu'un homme peut se libérer émotionnellement pour nos futurs enfants, c'est wow. Pour moi, ça c'est une puissance incroyable. J'ai un énorme respect pour celui qui va. être en posture de dire là, je m'envoie me faire aider. C'est wow. Autant que quelqu'un, homme, femme, mais là, je vais parler de l'homme qui va dire là, je me prends ma vie en main, là. Je me mets à m'entraîner. Parce que j'ai un surplus de poids qui est en lien avec l'alcool, avec la malbouffe, avec... Tout ce qu'il y en a. Puis qu'il décide du jour au lendemain. Moi, je commence à m'entraîner. Wow, chapeau. Ça prend du courage. C'est de l'ambition. Je trouve ça beau. Je trouve ça beau parce que ça l'enseigne aux enfants à ce que... Prends soin de toi. C'est important. Pas parce que t'es un gars que tu peux pas prendre soin de toi. Non, non. Fait que c'est pour ça que là, je disais, par rapport avec une journée de ma semaine, j'ai eu la thématique de travailler sur les gars, j'ai écrit un texte qui pour moi, c'était profond. C'était puissant. Puis je le sais que mon texte, même si j'ai pas eu 50 000 gemmes, j'en ai rien à cirer. Je le sais qu'il va faire des petits. Parce que je sème des graines par le souffle, par l'esprit de l'air. Puis je le sais que ça va venir à un moment donné où est-ce qu'il va y avoir une floraison. Et qui va avoir un homme qui va cogner à ma porte ? Et suite, justement, à ma publication, j'ai eu des hommes qui m'ont fait appel pour me demander, « Karine, je veux que tu m'aides. » Moi, ça, c'est chapeau. Vraiment, sois fière. Si tu es un homme en ce moment qui écoute mon podcast, sois fière de dire que tu te prends en main. Vraiment. Parce qu'on a besoin de vous autres, les hommes. On a besoin de vous autres. C'est pas en étant à vous cacher derrière les femmes qui, là, on est rendu à une étape où est-ce qu'on doit prendre l'équilibre. Parce que là, la femme, elle commence à prendre trop de pouvoir. Puis, on veut pas ça. Chacun a son rôle. Chacun a son rôle à jouer. L'ordre divin des choses va replacer la masculinité et la féminité. Je ne suis pas inquiète, je le sais. Ça va arriver. Chaque chose en son temps. Mais on n'a pas à créer des histoires dont ça ne finira plus. Non, non, on veut que ça se règle. On veut. que ça finisse, pour que chacun soit au point neutre. Et en étant au point neutre, on repart avec des histoires dont ça va permettre à la création de la vie, à ce qu'on puisse changer le monde, à ce que le monde soit meilleur. Vraiment. Puis ça, moi, j'y crois. Si chacun et chacune se met à travailler, à pétrir son pain, moi, j'appelle ça la multiplication des pains. C'est ce qui va créer justement la multiplication de l'amour. Vraiment. Je ne sais pas si mon podcast t'a permis de comprendre des choses qui t'ont fait éveiller, qui t'ont inspiré. Peu importe. Mon but, c'était de te partager ce que j'avais vécu parce que je trouvais ça important. Moi, c'est pas de me faire dire quoi faire que j'aime. J'aime pas ça. Mais si tu me racontes des histoires, si tu me racontes ta sagesse de vie, si tu me parles de... Pour moi, ça va être pas mal plus profitable parce que je vais prendre des points, des mots, des phrases qui je vais le mettre dans mon cœur et que je vais le mettre en pratique. Parce que me faire dire de quoi ? On n'a pas à dire rien à personne de comment faire ou qu'est-ce que tu dois faire ou... Non ! Chacun a sa propre vie, chacun a sa propre expérience. Puis c'est de cette façon que l'ego, justement, se met pas sous la défensive. Fait que si des fois, toi, il y a des choses qui t'essayent de, exemple, entre parenthèses, contrôler ou exiger ou avec ta rigidité ou importe, mais que ça fonctionne pas, c'est peut-être juste parce que tu t'y prends pas de la bonne façon. C'est de regarder à l'intérieur de toi. Qu'est-ce que ferait l'amour ? Moi, c'est toujours cette question-là que je me pose. Qu'est-ce que l'amour ferait ? Et ça, pour moi, j'ai tout le temps les plus belles réponses à mes questions. Qu'est-ce que l'amour ferait ? Puis, dans la génération de nos jeunes d'aujourd'hui, c'est impossible de leur dire quoi faire. Parce que justement, ils sont là pour nous enseigner à ce que l'on puisse prendre notre rôle et que, ensemble, on puisse crever tout en se respectant vraiment. Je te souhaite une belle continuité. Je te souhaite plein d'amour. Merci de me suivre. Merci pour tes partages. Merci pour tes retours. Ça me touche tout le temps. Vraiment, vraiment, j'adore. Je te dis à bientôt.

Description

Il y a des blessures qui ne se voient pas.

Des mémoires anciennes qu’on porte en silence.

Que l’on soit homme ou femme… personne n’y échappe.


Dans cet épisode, je t’ouvre un espace de guérison.

Je parle de ces hommes qui osent enfin déposer leurs armures.

De ces femmes qui, parfois sans le vouloir, prennent trop de place dans la douleur.

De ces schémas invisibles qu’on rejoue encore et encore… jusqu’à ce qu’on choisisse d’en sortir.


✨ Je t’amène dans des histoires vraies.

Des vies antérieures.

Des réconciliations puissantes.

Des libérations profondes.

Et même… un souffle sacré offert par un cheval.


Parce que guérir l’homme, c’est aussi permettre à la femme de se reposer.

Parce que réconcilier nos polarités, c’est faire la paix en nous… Et entre nous.


Avec Amour,
Karine Turcotte


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Transcription

  • Speaker #0

    Allô, allô ! J'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon podcast en toute simplicité, Du coeur à l'âme, épisode 61. Aujourd'hui, j'ai envie de parler d'une de mes journées que j'ai eues cette semaine, dont ça tournait autour de la masculinité. Si tu vas sur ma page Facebook... personnel Karine Turcotte. Tu vas voir dans mes publications de à où, même je pense que c'est le premier à où que je l'ai publié, j'ai écrit un texte en lien avec les hommes, suite avec l'énergie que j'ai eu à vivre toute la journée. Donc, ça a commencé que j'ai eu à recevoir un homme qui est venu suite après avoir réalisé qu'il était rendu là dans sa vie. Moi, ça me touche quand il y a des hommes qui viennent me rencontrer parce que je trouve que c'est... C'est comme si, tu sais, on a l'habitude de voir, tu sais, l'homme, c'est un guerrier, c'est un combattant, l'homme ne pleure pas. Tu sais, quand on a encore, par exemple, des émissions, tu sais, l'homme, il est tough, l'homme, il passe au travers de tout. Mais on n'a pas l'image de l'homme dont il va mettre son genou à terre. On n'a pas nécessairement l'image, en tout cas, moi, de mon côté, je suis venue au monde des années 80. Je n'ai pas le souvenir de voir que ce soit dans le temps d'un petit bonhomme ou, en tout cas, à moi, que peut-être qu'ils ne m'en viennent pas en tête, mais j'ai beaucoup plus d'images de l'homme qui est tough, de l'homme qui... Justement, il pleure pas, il s'exprime pas, il verbalise pas, il communique pas. L'homme, tu sais, c'est comme tout le temps le bad boy. Puis l'autre fois aussi, j'en parlais avec une de mes connaissances, puis on parlait justement de ces particuliers, mais nous, la femme, on a évolué sur un pas pire temps. Tu sais, si on la regarde... Dans les années tranquilles, on part de loin. On a vraiment fait un bout de chemin pour en être où est-ce qu'on en est en ce moment. Il y a des femmes qui ont droit à des métiers d'hommes. Même moi, j'avais un métier d'homme. La façon de parler, j'étais en train carrément d'étiqueter. On recule de 20 ans. J'étais technicienne en arpentage. C'était dans un métier d'homme. C'était un corps de travail d'homme. Puis même, quand je travaillais avec mon paternel, c'est la construction. Fait que, tu sais, quand elle te regarde ça, il y a beaucoup de... Comment je pourrais dire ? La femme a fait beaucoup de cheminement. Oui, il y en a des hommes au travail dont qui en font du travail, mais de ce que je peux voir, vraiment à très large endroit que je dirais, on remarque que les hommes ont... en 2025, une forme de problématique de... Tu sais, je ne mets pas tout le monde dans le même bateau, là, mais... On est rendu à une étape de vie où est-ce que nous, les femmes, on est à se demander sont où nos hommes ? Parce que nos hommes, c'est comme si nous, en tant que femmes, on veut évoluer, on évolue, on avance, on se réalise, mais qu'on ne laisse pas nécessairement la place à l'homme. Puis ça m'a apporté à réfléchir parce que l'homme qui est venu me rencontrer, il a vécu une situation avec une dame sur le marché du travail dont elle était à faire un pattern que nous, les femmes, on a vécu avec les hommes d'écraser l'homme. Elle, elle était à faire ça. Elle était à y mettre... la main sur la tête pour l'empêcher d'évoluer, pour l'empêcher d'avancer. Puis ça, pour moi, ça me rendait comme dans une compassion, parce que je me disais, non, on ne peut pas faire un cycle à ce que les femmes fassent à leur tour ce que les hommes, une partie, ont fait de nous. Je ne peux pas penser qu'on pourrait en être là, en fait. C'est vraiment bizarre. J'étais en train de te parler, puis il y a de quoi qui passe dans la rivière. Je suis comme, voyons, c'est quoi ça ? On dirait, c'est vraiment bizarre, mais c'est un morceau de bois. Mais il y avait la tête comme un aigle. J'étais comme, voyons, c'est quoi ? Excuse-moi. J'étais en train de, de carrément de changer de sujet, même qu'à la limite, si je ne serais pas en train de faire le podcast, j'irais voir, mais c'est correct. C'est comme un morceau de bois qui flotte. Puis, tu sais, aujourd'hui, en plus, il n'y avait que des aigles dans ma vie. D'aujourd'hui, c'était fou. J'ai vu au moins dix fois des aigles, ça n'arrêtait pas. C'était de toute beauté, puis ça m'apportait justement à penser à qu'est-ce que j'allais faire dans mon podcast, puis c'était ça que ça me disait, que je me devais prendre position, moi, en tant que femme, pour parler de ce que j'ai vécu dans la journée, qui était comme un peu thématique de l'homme. Fait que je reviens avec ce que je disais. Je ne peux pas croire que la femme pourrait faire à son tour à l'homme ce qu'elle a subi, ce qu'elle a vécu. C'est un pattern qui pour moi c'est comme non, c'est non négociable. Moi perso, je l'ai vécu cette forme d'intimidation-là, puis ce n'est pas vrai que j'irais le faire auprès des hommes parce qu'en fait... C'est pas comme ça qu'on est supposé de faire, nous les humains, on est supposé de s'élever tout le monde ensemble, puis de justement prendre chacun son rôle pour qu'on puisse s'élever tous ensemble. Fait que quand l'homme me parlait de cette situation qu'il a vécue pendant X mois, à être dans une situation de... d'enquête aussi, parce que c'était rendu loin, son histoire. Puis, tu sais, je me disais, c'est incroyable, là, tout où ce que ça peut apporter, trauma, situation émotionnelle difficile, des chocs aussi. Puis ça, ça a un impact sur tout, là. Pas juste sur lui, ça a un impact au niveau de son travail, au niveau de sa santé, au niveau de sa famille, au niveau de sa vie de couple, au niveau financier. Peu importe, parce que là, il essaye de se décharger énergiquement de tout le tour de lui pour essayer de se libérer de ce qu'il peut vivre comme problématique qui prend beaucoup trop de place. Fait qu'à un moment donné, c'est comme... Pour la femme, c'est où est-ce que tu veux t'en aller avec toute cette histoire-là, que t'atteintes, tu touches, pas juste à lui, tu touches à toute, à sa vie personnelle, à sa vie de couple, tu touches. Puis que t'accuses une personne en croyant que, mais qu'en fait, j'ai de la difficulté à comprendre. ce genre de cycle de vie-là à ce que, tu sais, c'est comme, on peut-tu mettre un terme à ça ? On peut-tu arrêter ça, s'il vous plaît, là ? On peut-tu prendre chacun son rôle et que l'homme prenne sa place de l'homme et la femme prenne sa place de femme ? Mais là, moi, une chance qu'en lien avec les vies antérieures, que je vois qu'en fait, ça a un lien karmique parce que... Si, exemple, j'aurais pas eu à aller plonger dans sa vie antérieure, il aurait manqué quelque chose, là. Ça aurait pas mis une fin à l'histoire. Fait que de comprendre que dans sa vie antérieure, donc, il était un petit garçon et qu'il a eu à vivre en état... à voir des choses du côté paternel et maternel que son père dans la vie antérieure réagissait sur sa mère de façon très violente qui a fait en sorte que cette violence a mal tourné c'est qu'il s'est retrouvé dans une vie antérieure dans une tribu dont il était rendu Un petit garçon sans sa maman à partir de l'âge de 6 ans. Et qui, ça l'a fait que ça l'a apporté dans un choc, dans un trauma, mais ça lui a apporté aussi dans une programmation. Dans une programmation qui a été énormément grande à l'intérieur de lui. Parce qu'il est resté avec toute cette souffrance. À partir du moment où est-ce qu'il a vu le paternel, comment il était. Fait que toute la vie antérieure a été d'une façon où est-ce qu'il réagissait, mais en étant à faire exactement ce que son paternel lui enseignait, mélange d'alcool. Un mélange où est-ce qu'il s'est créé aussi un pouvoir sur la femme, un mélange de vouloir s'intéresser à autre femme et qui, pour lui, le fait qu'il a été blessé par une femme, c'est que pour lui, dans la vie antérieure, c'est comme un sentiment d'abandon. Fait que je ne veux plus me faire abandonner. Fait que je vais abandonner ceux et celles que j'aime avant tout. Fait que dans la vie d'aujourd'hui, c'était comme, dites-moi pas ce que j'ai à faire. Moi, je suis venue ici, sur cette terre, pour apprendre de par moi-même à l'école de la vie. Et je vais en faire à ma tête. Mais dans la vie d'aujourd'hui, la femme qui a eu... à rencontrer, dont elle a pris genre possession de ses émotions en étant à lui remettre sur le nez qu'il l'harcelait, mais qu'en fait c'était son point de vue à elle, bien cette femme-là, c'est de la remercier parce que de par la scène, que toutes les deux avaient à vivre, c'est tout simplement dire, mets fin à ça, parce que là, c'est assez. C'est assez. Tu as demandé avant de descendre sur cette terre à ce que tu fasses face à cette douleur, à cette mémoire cellulaire que tu as vécue dans le passé, et que là, tu te dois, à partir de maintenant, Aller dans ta féminité sacrée pour mettre en œuvre. Tous ceux et celles qui sont autour de lui. Tu sais, il y a beaucoup de monde autour de lui. Fait que dans la vie d'aujourd'hui, avec tout ce qu'il a appris de zéro jusqu'à aujourd'hui, avec tout ce qu'il a appris de sa mémoire cellulaire, c'est la personne la plus dans la compassion versus s'il y a quelqu'un qui vient vers lui et qui lui demande exemple de l'aide. Parce qu'avec son vécu, ça fait une personne qui est sensible. Mais avant de switcher ça, avant d'aller de l'autre côté de la médaille, il faut que tu sois en mesure de comprendre. Parce que si, exemple, on fait juste travailler sur les émotions de la vie d'aujourd'hui, bien, on va travailler longtemps parce qu'au niveau du subconscient, il manque quelque chose. Tu sais, c'est comme quand tu écoutes un film. que ça finit un peu bizarre. Mais là, tu te dis, voyons, y a-tu une fin à ça ? Ou il n'y a pas ? Fait que c'est la même chose. Fait qu'en allant plonger dans la mémoire cellulaire, c'est génial, parce qu'on est capable de comprendre notre histoire, même si c'est pas prouvé scientifiquement. Il y a quelque chose qui se passe à l'intérieur de nous. Il y a un déclic qui se fait. Il y a une compréhension qui se fait. Puis c'est là que la beauté des choses vient en œuvre. C'est ça que l'autre fois, je me suis fait dire par une de mes clientes qui, elle me disait, tu sais, c'est le fun avec toi, Karine, parce que quand tu nous apportes dans notre monde, on apporte ensuite du concret dans notre vie parce qu'on comprend. J'ai déjà eu une de mes clientes qui, justement, elle m'expliquait qu'elle n'était pas capable de manger de la viande, le cœur élevé, puis qu'elle n'était pas capable. Elle est venue me rencontrer, on est allé voir qu'est-ce qui fait que ton corps a un trauma, qu'est-ce qui fait que ton corps vit quelque chose de difficile pour que tu refuses de te nourrir. Et c'est là qu'on a compris, en allant plonger dans ses mémoires cellulaires. dans ses mémoires émotionnelles, pour que corps, âme, esprit, émotion, énergétique, embarquent tous ensemble, et que ça fasse comme une libération. Fait que, je le sais que quand moi j'ai été déprogrammer la mémoire cellulaire de l'homme, je le sais que dans les 21 jours qui vont suivre, il va être en paix. Parce que c'était tellement fort, c'était tellement puissant, c'était de toute beauté. Puis moi, quand on m'apporte dans des situations comme ça, je deviens comme une petite fille. Je le sais que c'est fort et puissant. Tu sais, c'est pas de... tourner autour de quelque chose qu'on cherche, puis on cherche, puis on cherche. Parce que la personne, en fait, il y en a souvent qui aiment être sous forme de victimisation. Et là, ça, c'est difficile de faire émerger. Parce que la personne, inconsciemment, elle est bien là-dedans, fait qu'elle l'a intégrée dans sa vie. Mais quelqu'un qui vit pas bien avec ça, et qui n'acceptent pas de vivre avec ça, c'est du gros bonbon. Pour moi, c'est du gros bonbon parce que ça me permet de rentrer dans une pièce où est-ce que c'est le free for all là-dedans, que c'est l'embarras, et que moi, je rentre là-dedans pour aller vraiment ouvrir les boîtes et dire ça. On jette ça, ça, on met ça au feu. Mais ça, moi, là, c'est du gros bonbon. Vraiment. Puis, suite à ça, j'ai eu à vivre dans la même journée. J'ai eu à rencontrer une dame. Dont cette dame, elle, c'est vraiment la programmation de la rigidité. Elle, c'est le contraire. Elle était dans une vie antérieure un homme. Elle était à suivre son paternel, mais de façon à ce que le paternel soit vraiment dans une rigidité. Ou est-ce que son paternel, il est vraiment dans une rigidité ? Ou est-ce que c'est comme vraiment très rigide ? Tellement que dans la vie d'aujourd'hui, elle, en tant que femme, elle est dans une rigidité incroyable, que même elle transmet ça au niveau de ses enfants. Et ça fait en sorte que ça crée une chicane incroyable. Et cette chicane-là fait en sorte que, justement, ça met tout le monde dans des situations émotionnelles compliquées. Et ça finit que c'est pas simple, c'est triste. Mais de comprendre pourquoi que sa fille, elle est venue ici, son autre fille... Ils ont créé un triangle. Donc, pourquoi ? Pourquoi on est venus ici ? Pourquoi on est venus sur cette terre pour, ensemble, à ce qu'on se fasse face ? Moi, ça, j'adore ça. Parce que ça apporte tellement d'explications. C'est de dire, OK, t'es venu dans un monde, dans un corps différent. OK, fine, je l'accepte. Mais, et que la personne... soit à réagir de façon... à ce qu'elles ne comprennent pas, mais qu'en mettant en lumière la mémoire cellulaire, c'est comme, wow ! Quand la femme s'est levée de la table et qu'elle a réalisé que la mémoire cellulaire avait tellement de sens avec sa vie d'aujourd'hui, moi, ça m'apporte tellement dans ma créativité, là. C'est un chef-d'oeuvre dans mon esprit. C'est ça que je peux dire, c'est un chef-d'oeuvre dans mon esprit. Parce que je vois la personne qui se couche sur ma table, et je vois la personne qui se lève de sur ma table, puis c'est deux personnalités, c'est deux personnes différentes. Je serais curieuse de prendre une photo avant, puis une photo après. C'est totalement deux visages différents. Premier, tu sais, crispé, rigide. On voit qu'il n'y a pas une pression, mais les muscles sont tendus. Puis qu'ensuite, c'est comme le facial n'est plus pareil. Même les rides, le contour des yeux, le regard dans l'œil est totalement différent. C'est ça qui est beau. C'est ça que je trouve beau. Parce que moi, je le vois, un coup que la personne a fini. Fait que plus que je suis à voir les gens de cette façon, plus que ça me fait triper. Parce que je me dis, il y a quelque chose qui se passe dans l'énergie, là. Il y a de quoi qui se passe en conscience, là. Je rêve pas, là. Et qui, j'ai eu même, dans l'après-midi, à être tout bonnement assis. à regarder une image sur la page Facebook. Je copie l'image. J'envoie l'image à un garçon, dont il m'avait déjà fait appel, et paf, je déballe sa vie antérieure. Et là, le garçon comprend plus ou moins, mais j'ai dit, attends, on va se rencontrer. Et on s'est parlé, et... C'était tellement beau parce qu'il me baillait ça dans la face. Il était à bailler, mais à bailler sans comprendre pourquoi qu'il baillait. Mais moi, je le savais que c'était une libération, c'était une élévation énergétique. Même là, j'ai envie de bailler parce que je le sais que c'était une élévation énergétique. C'est pour moi ça un des signes. Qui me montre que la personne, elle s'élève, elle se libère, elle se détache de ses vieux patterns, parce qu'en fait, l'âme, elle, garde des vieux souvenirs. Puis le corps, lui, dans la vie d'aujourd'hui, essaye d'évoluer dans ce qui est, mais ça ne marche pas, parce que l'âme, elle, elle est prise avec un blocage de mémoire qui fait que ça ne marche plus. Ça concorde plus, ça fit plus en fait. Puis quand le garçon a compris ce que je lui ai expliqué par rapport avec sa vie antérieure, mais ça fit tellement avec ce qu'il fait présentement, c'est ça qui est beau. Puis il peut pas renier de ce que j'ai dit. Parce qu'en fait, ça a quelque chose de magique. Ça a quelque chose de mystérieux. Ça a quelque chose qui... Tu te dis, wow, ok, il y a vraiment de quoi, là. Vraiment, là. Vraiment. Moi, ça, ça me fascine. Ça m'apporte à te parler. de ce que moi-même j'ai vécu il y a deux semaines. En fait, en fin de semaine, pas... Non, ça fait deux semaines. J'ai eu à vivre une situation, une méditation auprès des chevaux. Et ce qui est merveilleux là-dedans, c'est que quand je me suis assise, j'avais zéro attente. Je ne savais pas, en fait, pourquoi j'avais été attirée. Mais je le savais que mon cœur devait y aller et j'ai accompagné une jeune femme à mes côtés. Elle avait des moments à elle, émotionnellement, à vivre. Et je trouvais que ça faisait, c'était concret. Je trouvais que ça faisait parfait pour lui venir en aide. Et je me suis assise, j'y allais vraiment pour moi. Je laissais la jeune fille faire de elle-même son propre voyage. La première chanson dont on a été accompagnée, c'est « Un musicien dans l'âme » . Si je me permets, je peux le prononcer son nom, c'est Yuka. J'étais au chemin de traverse chez Laetitia à Saint-Anaclet, tout près de Rimouski. Et avec son monde équin, et avec son fils, et avec son accompagnement de méditation, aussitôt qu'il a commencé à chanter, je me suis mise à pleurer. Parce que je réalisais... que la douceur, elle est bonne. La douceur, elle fait du bien. Je réalisais que, dernièrement, j'ai été dure avec moi-même. J'ai été dure avec moi-même du fait que je me suis donné ça dure face avec mes objectifs, mes buts, ma mission. Ça fait pratiquement deux ans que j'ai vraiment un objectif très clair devant moi, mais... Ça demande la patience, ça demande du temps. Mais ça m'a montré, ça m'a reculé de 15 ans en arrière, quand j'étais à mettre mes premiers pas chez, sur les terres de Laetitia. Et ça m'a ouvert à prendre conscience de tout le chemin que j'ai fait jusqu'à... où est-ce que j'étais assis. Et là, je réalisais toute la souffrance émotionnelle que j'ai eue à vivre, à ce que je me fasse face, à ce que je mette un genou à terre, à ce que je me dévoile, que je parle du plus profond de mon être, mes blessures. Ça m'a montré. en méditation, que ma petite fille était comme à, mon enfant intérieur, était comme à me dire, là c'est assez, ta masculinité sacrée, ta féminité sacrée, ils ont mangé ça dur dans les derniers temps, maintenant, laisse ton enfant intérieur exprimer ce qu'elle a à dire, ce qu'elle a à verbaliser. ce qu'elle a à exprimer, ce qu'elle a à tout simplement être. Parce qu'un enfant, on le sait, si on prend l'image d'un enfant, ça s'amuse, ça rit, ça chante, ça danse, c'est parfait. Et là, ça, ça m'a fait prendre conscience en étant à écouter plus que ça allait les chansons que Yuka faisait, plus que Laetitia qui était à... transmettre les paroles de ce qu'elle voyait, dont les chevaux réagissaient. Là, je vois un chevau qui est en train de manger dans le pommier, que lui a décidé de sortir du troupeau, aller manger des pommes, dont il y en a un qui s'est mis à le suivre, qui s'est laissé enseigner par l'autre cheval, qui lui aussi mangeait une pomme. Là, ça m'a fait réaliser que moi, en étant... exemple le premier chevaux qui va manger une pomme je viens d'enseigner à l'autre à côté que tu peux la manger la pomme là tu meurs repas là t'sais les croyances là que t'as reçu dans le passé que tu peux pas manger autre chose que du fromage là ben là gars moi je te le montre tu peux changer tes croyances que t'sais il faut travailler fort pour gagner son pain que La vie, c'est pas facile. Ben ça, là, c'est des croyances, des années tranquilles. Aujourd'hui, on est en 2025. Pis moi, si j'ai plus le goût de croire à ça, ben c'est parfait. Parce que moi, je suis pas obligée de prendre les croyances de mes parents, de mes grands-parents, de mes arrière-grands-parents. Parce que c'est eux qui ont voulu souffrir. Bien, c'est plate ce que je vais dire, mais ce n'est plus mon problème. Je n'ai pas à subir leur passé parce que je le sais que moi aujourd'hui, j'ai des enfants et que mes enfants vont avoir des petits-enfants et que je n'ai pas envie que mes petits-enfants vivent des douleurs émotionnelles parce que je n'aurais pas été travailler sur mes corps énergétiques de mon passé émotionnellement. J'ai pas envie. Moi, je veux que mes enfants s'amusent, s'éclatent, qu'il y ait de l'abondance, pis qu'ils soient même pas obligés de faire le petit moindre effort pour travailler, pour gagner leur argent. Parce que moi, je m'accroche au petit oiseau qui, lui, le petit oiseau-là, il met pas de sac à dos derrière son dos pour garder ses graines. Moi, je crois en l'amour inconditionnel exactement comme nos chiens. C'est la plus belle preuve. Nos chiens. À part nous donner de l'amour inconditionnel, c'est plate ce que je vais dire, mais qu'est-ce que ça fait en fait autre que de l'amour inconditionnel un chien ? Ça ne va pas à chasse pour nous. Les chiens ne vont pas travailler pour nous autres. Les chiens ne se mettent pas à nous faire des bébés pour qu'on les élève. Les chiens n'aillent pas travailler pour nous autres. En fait, les chiens, ils nous enseignent la plus grande leçon de la vie, que tout peut venir à eux simplement. Parce qu'en fait, c'est moi qui vais travailler pour payer leur poche de bouffe. C'est moi qui vais se lever pour aller les faire marcher. C'est moi qui vais leur donner de l'eau. C'est moi qui vais les laver. C'est moi qui vais les payer pour les faire toileter. Tu comprends ce que je veux dire ? C'est pour te faire prendre conscience que le chien, sa mission, c'est l'amour inconditionnel, c'est d'accueillir l'amour inconditionnel. Pourquoi est-ce qu'on ne pourrait pas l'enseigner à nos enfants, ça ? Je ne suis pas en train de dire qu'on est en train de créer... Je ne suis pas en train de dire que nos enfants, il faut qu'ils restent assis sur du verre et rien faire. Non, je ne suis pas en train de dire ça. Mais je suis juste en train de dire que, par contre, on peut leur enseigner que si tu crois à tes rêves... si tu crois tes passions, fais ce qui vient de ton coeur en fait comme ma fille ma fille ça la passionne l'esthétique ben c'est de cette façon qu'elle gongue ses sous si ton fils ou ta fille ils veulent pas aller au cégep arrête de forcer, force pas, ça sert à rien parce que de toute façon là l'ordre divin des choses va les ramener à l'ordre peut-être dans 10, 15, 20, 30 quand ils vont faire une dépression C'est pas à nous de prendre en charge ce qui appartient aux autres. Fait que c'est pour ça que moi, quand j'étais assise sur ma chaise de méditation, en pleine nature, dans le domaine à Laetitia, avec tous ces chevaux qui étaient là, et que là, elle se met à parler du jeune poulain qui est avec une... puissance, je ne sais pas comment on le prononce, ta undika, si je ne me trompe pas, c'est l'esprit du cheval. Bien, l'esprit du cheval qui porte, c'est d'une puissance incroyable parce qu'il s'est retrouvé à venir derrière moi et il s'est mis en avant de moi, c'est ça parce qu'en fait, il a été filmé, et il se tourne vers moi. pour m'offrir le souffle à côté de mon visage. Je ne te cacherai pas que j'ai fendu, une expression bizarre, sur le plan énergétique, j'ai fendu. Le souffle que ça m'a apporté, c'est une puissance. C'est d'un amour inconditionnel incroyable qui a fait que c'est comme propulsion. C'est comme go ! « Vas-y, réalise-toi. » Je me suis ouvert les yeux et j'ai vu le chemin qui était devant moi. Et ce chemin-là qui était devant moi, pour moi, c'était... Wow ! Là, ça me montrait que, OK, il y a de quoi, il y a quelque chose, là. Ça me montrait que dans tout le chemin que j'ai fait, bien, il y a quelque chose qui se passe. Tout le travail qu'on fait, c'est génial parce qu'à un moment donné, dans notre jardin, c'est là qu'on voit qu'après tout le travail, qu'on voit, wow, toutes les fleurs, toutes. Tout le temps, l'argent, tout ce qu'on a mis sur table. On fait un jardin magnifique, là. On fait de quoi de beau, là. Et là, ce qui m'a vraiment, mais vraiment encore plus rentré dedans, C'est l'énergie que j'ai sentie de ma Kira, que je savais qu'elle passait par cet animal-là pour me montrer exactement qu'elle est en présence avec moi en tout temps. Je me suis ouvert les yeux parce que je pleurais tellement, c'était tellement que de l'amour. et en m'ouvrant les yeux, J'ai vu qu'il y avait un vieux, vieux cheval qui était devant moi, Kawa. Et cette bête-là, elle m'a montré que dans les années du passé, j'avais la blessure du rejet. Et cette blessure du rejet, quand j'ai vu Kawa, qui était tout seul dans son coin, et que tout le troupeau équin était carrément à l'extrémité. et qui étaient toutes ensemble et que je les voyais. Il y en a un qui a kiqué, il y en a un qui avait les oreilles par en arrière, il y en a un qui s'astinait. On voyait que les chevaux étaient comme tous à, oui, être ensemble pour se sécuriser, pour faire un semblant d'eux. Mais moi, j'ai vu que Kawa me montrait et en me montrant, ça me disait. Regarde, t'es bien mieux tout seul à être bien avec toi-même en acceptant qui tu es que d'être dans un troupeau en faisant semblant, en étant dans le paraître. Fait que, tu sais, je le dis humblement, il n'y a pas d'ego là-dedans. Je le dis en toute vulnérabilité. Parce que ça pourrait être très difficile de dire que j'aime mieux être seule que d'être accompagnée et de ne plus être. Et je le sais qu'il y en a qui pensent exactement comme ce que je viens de dire. Et je le sais qu'il y en a qui ne sont pas prêtes à ça. C'est parfait. Tu n'as pas à te juger. On n'a pas à se juger. On n'a pas à dire c'est quoi qui est bon et c'est quoi qui n'est pas bon. Moi, je suis rendue là dans ma vie. Fait que de voir Kawa qui était là, devant moi, et qui, je voyais que je ne voyais plus que c'était du rejet. Au contraire, je voyais que j'étais en paix avec moi-même. Parce qu'avant, il y a 15 ans, le rejet que je voyais, ça m'apportait à une tristesse, à une lourdeur, à des émotions dont... j'étais comme, quoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Mais que là, c'était plus ça. Il y avait une paix à l'intérieur. Il y avait en moi quelque chose qui était comme, wow ! Je le sais que, en étant où je voyais Kawa, ben, c'est parce que je suis bien. Et il y a eu deux moutons qui sont arrivés à côté avec un âne. Et là, je me suis dit, wow, il n'est pas tout seul. Il accepte la différence qui vient à lui. Sans jugement, Kawa les acceptait dans sa bulle énergétique. Sans jugement. Il était en présence avec ses moutons, ses ans, sa tâne, sans jugement. Ça montrait exactement que j'accepte quitter. Que t'aies à avoir vécu ça, ou que t'aies eu à vivre ça, ou que t'aies à vivre ça, je suis dans la compassion. Je m'énerverai pas. Pas en tout, parce que ma sagesse est rendue à « je vais t'écouter, je vais t'aider à transcender en étant juste à être qui je suis » . J'ai même plus d'efforts à faire pour te montrer qui je suis. Si tu entres dans mes énergies, c'est parce que tu sais qu'il y a quelque chose qui va se transformer. Si tu m'écoutes... Il y a quelque chose qui va se transformer parce que je suis. Et de par mes fréquences, je suis. Et ça, si tu as écouté la fois que j'ai eu à vivre un soin énergétique avec une de mes mentors, dont elle m'avait raconté l'histoire de Magical, le cheval le plus vieux, qui est mort à 50 ans et qui... était juste de par son énergie à aider, exemple, les enfants autistes, à aider son prochain, mais juste en étant. Et en étant, il en était à enseigner aux autres chevals, chevaux, à ce qu'ils puissent devenir comme lui. Mais là, j'ai vu exactement avec Kawa. Ouh ! J'en étais ! Mais c'était tellement beau, là ! C'était incroyable ! Je voyais qu'en étant à travailler sur ma masculinité sacrée et en étant à travailler sur ma féminité sacrée, ça avait un impact autant sur les hommes que autant sur les femmes. Puis pour moi, je le sais, j'ai eu des vies antérieures où est-ce que j'ai été guerrier, chevalier, amérindien. Ou est-ce que je le sais que mon énergie est autant capable d'aider l'homme à ce qu'il puisse se décharger énergiquement ? Parce qu'on s'entend-tu que l'homme qui vient ici sur cette terre-là, lui aussi porte des blessures, lui aussi porte des mémoires transgénérationnelles, lui aussi vit des situations émotionnelles. Mais il faut... qu'il soit en mesure, en posture de dire, « Ah, là, c'est assez. Il faut que j'y fasse face pour mes enfants. » Parce que, tu sais, quand tu portes l'enfant, la femme, ben, l'enfant, lui, pendant les neuf mois après avoir été mis au monde, il va tout prendre ce que le parent, le père, a vécu émotionnellement. Mais là, c'est comme, « Wake up ! » Wake up, les gars, là. Réveillez-vous, là. La femme, elle évolue sur un fichu temps, là. Mais l'homme, c'est comme, réveille-toi, là. Arrête de te mettre dans l'alcool. Arrête de prendre de la drogue. Arrête d'aller vers, moi, j'appelle ça de la prostitution, là. Sérieux, là. Tu sais, quand t'es rendu que t'as une femme et que tu t'en vas coucher avec deux, trois autres femmes. par une semaine, par mois, ou que tu donnes à aller travailler à l'extérieur, mais que tu trompes ta femme en allant travailler à l'extérieur, est-ce que t'as ça, là ? Toutes tes traces, là, restent. Puis c'est fou à dire, mais ça reste, puis ça se transmet. C'est comme, il est où ? Il est où, hein ? Le rôle à jouer de dire, hey, moi, là, j'ai un rôle à jouer. Puis, ce rôle-là, il faut qu'il y ait des valeurs. Parce qu'aujourd'hui, la foi, c'est en lien avec les valeurs. Si tu n'as pas de foi, tu n'as pas de valeur. La foi, ça commence par l'amour, ça commence par le respect, ça commence par l'honnêteté, ça commence par toutes les valeurs qui ont des bases solides pour nous. futurs enfants. Et ça, pour moi, c'est... Primordial. C'est à la limite un homme qui va faire face à ses émotions. C'est sexy, sérieux. Moi, je trouve ça, quand je suis professionnellement parlant, je n'utiliserai pas le mot sexy, mais... C'est wow, j'ai pas de mots, c'est sublime. C'est du bonbon. De savoir qu'un homme peut se libérer émotionnellement pour nos futurs enfants, c'est wow. Pour moi, ça c'est une puissance incroyable. J'ai un énorme respect pour celui qui va. être en posture de dire là, je m'envoie me faire aider. C'est wow. Autant que quelqu'un, homme, femme, mais là, je vais parler de l'homme qui va dire là, je me prends ma vie en main, là. Je me mets à m'entraîner. Parce que j'ai un surplus de poids qui est en lien avec l'alcool, avec la malbouffe, avec... Tout ce qu'il y en a. Puis qu'il décide du jour au lendemain. Moi, je commence à m'entraîner. Wow, chapeau. Ça prend du courage. C'est de l'ambition. Je trouve ça beau. Je trouve ça beau parce que ça l'enseigne aux enfants à ce que... Prends soin de toi. C'est important. Pas parce que t'es un gars que tu peux pas prendre soin de toi. Non, non. Fait que c'est pour ça que là, je disais, par rapport avec une journée de ma semaine, j'ai eu la thématique de travailler sur les gars, j'ai écrit un texte qui pour moi, c'était profond. C'était puissant. Puis je le sais que mon texte, même si j'ai pas eu 50 000 gemmes, j'en ai rien à cirer. Je le sais qu'il va faire des petits. Parce que je sème des graines par le souffle, par l'esprit de l'air. Puis je le sais que ça va venir à un moment donné où est-ce qu'il va y avoir une floraison. Et qui va avoir un homme qui va cogner à ma porte ? Et suite, justement, à ma publication, j'ai eu des hommes qui m'ont fait appel pour me demander, « Karine, je veux que tu m'aides. » Moi, ça, c'est chapeau. Vraiment, sois fière. Si tu es un homme en ce moment qui écoute mon podcast, sois fière de dire que tu te prends en main. Vraiment. Parce qu'on a besoin de vous autres, les hommes. On a besoin de vous autres. C'est pas en étant à vous cacher derrière les femmes qui, là, on est rendu à une étape où est-ce qu'on doit prendre l'équilibre. Parce que là, la femme, elle commence à prendre trop de pouvoir. Puis, on veut pas ça. Chacun a son rôle. Chacun a son rôle à jouer. L'ordre divin des choses va replacer la masculinité et la féminité. Je ne suis pas inquiète, je le sais. Ça va arriver. Chaque chose en son temps. Mais on n'a pas à créer des histoires dont ça ne finira plus. Non, non, on veut que ça se règle. On veut. que ça finisse, pour que chacun soit au point neutre. Et en étant au point neutre, on repart avec des histoires dont ça va permettre à la création de la vie, à ce qu'on puisse changer le monde, à ce que le monde soit meilleur. Vraiment. Puis ça, moi, j'y crois. Si chacun et chacune se met à travailler, à pétrir son pain, moi, j'appelle ça la multiplication des pains. C'est ce qui va créer justement la multiplication de l'amour. Vraiment. Je ne sais pas si mon podcast t'a permis de comprendre des choses qui t'ont fait éveiller, qui t'ont inspiré. Peu importe. Mon but, c'était de te partager ce que j'avais vécu parce que je trouvais ça important. Moi, c'est pas de me faire dire quoi faire que j'aime. J'aime pas ça. Mais si tu me racontes des histoires, si tu me racontes ta sagesse de vie, si tu me parles de... Pour moi, ça va être pas mal plus profitable parce que je vais prendre des points, des mots, des phrases qui je vais le mettre dans mon cœur et que je vais le mettre en pratique. Parce que me faire dire de quoi ? On n'a pas à dire rien à personne de comment faire ou qu'est-ce que tu dois faire ou... Non ! Chacun a sa propre vie, chacun a sa propre expérience. Puis c'est de cette façon que l'ego, justement, se met pas sous la défensive. Fait que si des fois, toi, il y a des choses qui t'essayent de, exemple, entre parenthèses, contrôler ou exiger ou avec ta rigidité ou importe, mais que ça fonctionne pas, c'est peut-être juste parce que tu t'y prends pas de la bonne façon. C'est de regarder à l'intérieur de toi. Qu'est-ce que ferait l'amour ? Moi, c'est toujours cette question-là que je me pose. Qu'est-ce que l'amour ferait ? Et ça, pour moi, j'ai tout le temps les plus belles réponses à mes questions. Qu'est-ce que l'amour ferait ? Puis, dans la génération de nos jeunes d'aujourd'hui, c'est impossible de leur dire quoi faire. Parce que justement, ils sont là pour nous enseigner à ce que l'on puisse prendre notre rôle et que, ensemble, on puisse crever tout en se respectant vraiment. Je te souhaite une belle continuité. Je te souhaite plein d'amour. Merci de me suivre. Merci pour tes partages. Merci pour tes retours. Ça me touche tout le temps. Vraiment, vraiment, j'adore. Je te dis à bientôt.

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