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ÉP63. Être enfin soi-même: la liberté d’aimer et de vivre cover
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En toute simplicité ...

ÉP63. Être enfin soi-même: la liberté d’aimer et de vivre

ÉP63. Être enfin soi-même: la liberté d’aimer et de vivre

43min |18/08/2025|

36

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Description

Dans cet épisode, je t’invite à plonger dans une réflexion intime sur la liberté d’être pleinement qui nous sommes.

À travers mes propres expériences – de l’enfant incomprise, à la femme qui a osé sauter en deltaplane pour se libérer – je partage à quel point nos programmations (famille, école, religion, société) peuvent nous éloigner de notre vérité intérieure.


Comme un chat qui n’essaie pas d’être un chien, chacun de nous a une mission unique.

Quand on se permet de l’incarner, tout devient magique. ✨


Tu entendras aussi des histoires touchantes de mes accompagnements : comment des libérations profondes, grâce à l’EFT, aux vies antérieures et à la guidance de l’âme, ont transformé la vie de mes clientes, leur redonnant confiance, paix et amour.


Cet épisode est une invitation à te choisir, à t’honorer, et à laisser ton enfant intérieur s’exprimer librement.

Parce qu’au fond, la vie est plus simple quand on ose être soi, sans masque, sans peur, juste dans l’amour et la lumière.

Au plaisir de vous faire découvrir mon monde intérieur, en espérant qu’il vous en inspire.

Avec Amour,
Karine Turcotte


Vous pouvez me suivre: https://www.facebook.com/profile.php?id=61557736540965&mibextid=LQQJ4d


Facebook: Karine Turcotte 



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Allô, allô ! J'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon podcast en toute simplicité du cœur à l'âme épisode 63. Aujourd'hui, j'ai envie de te parler de suite avec mon accompagnement holistique à quel point que... Quand on se permet d'être qui on est réellement, c'est magique. Sérieusement, depuis que j'ai décidé de montrer qui je suis réellement, pour moi, c'est comme si je baignais dans... L'amour. Là, je suis en train de te parler dans ma tiny house et il y a un beau minou que je ne connais pas qui est exactement devant ma porte et tout est magique. Tout est parfait parce que ce que je suis en train de te dire, en fait, c'est que le chat, il est un chat. Il n'essaie pas d'être un chien. Il est dans sa mission de vie à être. un félin dont sa mission, lui, c'est de chasser. Même si nous, on essaye de le contrôler, c'est de chasser. Même si j'y empêcherais en ce moment de chasser en le prenant dans mes mains et de dire non, tu ne vas pas là, bien, en fait, c'est que je l'empêcherais de vivre. Je l'empêcherais d'être qui il est. C'est ce que je suis. C'est vraiment particulier parce que c'est exactement ça, moi. J'ai réalisé que du passé à aller aujourd'hui, je me suis empêchée d'être qui je suis réellement de par l'incompréhension de mes parents, dont mes parents m'apportaient à dire, Karine, arrête de dire des choses que... Ça n'existe pas. Ensuite, la religion. Quand la religion a embarqué là-dedans, façon de parler, pour la religion, c'était, « T'es un démon, tu dis pas des choses de même, ça se peut pas les vies antérieures. » Ça m'a contrôlé. Ensuite... À l'école, ça m'a contrôlé aussi. Parce que là, c'était, on te met dans le ABC, 1, 2, 3, on te met dans le rationnel. Mais c'est correct tout ça, là. Je ne suis pas à avoir de la rancune face à ça, aucunement. Mais c'est qu'au fil des années, ça montre que... On se programme de par ce qu'on a vécu. Ça, ça veut dire que moi, Karine, dont Karine qui est unique et exceptionnelle, comme toi aussi qui es en train de m'écouter, on a été programmé dans le passé pour qu'on devienne ce qui est autour de nous, ce qu'ils veulent de nous. La religion voulait de moi que je me taise, parce que la religion disait de moi que j'étais un démon. L'école me disait que j'étais à dire du n'importe quoi, quand c'était le temps d'écrire des soleils ou quand c'était le temps de partager des choses. Mais là, ce que ça fait en sorte, c'est que ça se vire contre toi. Fait que là, tu te dis, ben là, c'est moi qui n'ai pas normal. Et là, c'est là qu'on se transforme. Tu sais, le chat, par exemple, je suis à le contrôler et je suis à le mettre dans ma maison, à l'accaparer. Je ne veux pas qu'il sorte, je veux qu'il reste comme qu'il est. Ben, je le crée de façon à ce que j'y fais croire qu'il doit rester dans la maison et qu'il doit avoir peur et qu'il doit angoisser et qu'il doit stresser. Mais qu'en réalité, la vie pour lui est faite à ce qu'il soit à aller dehors et qu'il fasse la chasse. Ça fait partie de lui. Ça fait partie de qui il est. Et là, moi, quand je me suis donné... La liberté, et ça c'était à veille de faire un an, quand j'ai sauté en deltaplane, et que là je me suis dit, c'est assez, je me donne la liberté de me dégager de tout ce qui a été programmé, dont ce qui ne m'appartient pas. Si la peur à mes parents, dans le passé, c'était l'incompréhension de qui j'étais, bien c'est correct, ça leur appartient à moi, ça ne m'appartient pas, rendu là. Si la société a essayé de me programmer comme elle le voulait, moi, ça ne m'appartient pas. Je n'ai pas à vouloir accepter ça. Ça ne me tente pas. Mais ça, il faut que tu ailles à un côté rebelle pour ça. Parce que si tu es soumise, c'est clair que tu n'auras pas ta propre vision. Fait que quand j'ai décidé de sauter en deltaplane et tout laisser derrière moi, ça a été comme là. j'ai envie de laisser la petite Karine à l'intérieur d'elle, ce qu'elle porte à Aïe, qui elle se doit, parce qu'elle sait qu'elle n'est pas méchante, elle sait qu'elle fait du bien autour d'elle, et depuis que le podcast à Karine a sorti, ça, ça a été un ancrage, en sortant ce podcast dans Impacte le monde, où est-ce que pour moi, c'était significatif, parce que ça montrait que... Je me montre qui je suis réellement. Tu m'acceptes ou tu ne m'acceptes pas. Si tu m'acceptes, ça va me faire plaisir de t'ouvrir la porte. Et si tu ne m'acceptes pas, bien, c'est parfait. Ça se peut qu'on se voie en train de faire du vélo ou de la moto, puis c'est parfait comme ça. Mais ce que je demande, c'est, respecte-moi dans qui je suis, et moi, je vais te respecter dans qui tu es. Et ensemble, on va être libres. Et c'est ça qui est génial. C'est de laisser celui ou celle dans sa liberté. C'est ça qui est beau. Et depuis que j'ai des gens de partout de l'extérieur qui viennent me rencontrer, c'est un cadeau. C'est un cadeau parce que ces gens qui viennent à moi, c'est parce qu'ils ont à vouloir venir dans mon univers pour mieux se connaître. pour mieux se comprendre, pour qu'on aille ensemble, de par ma vision, à ce que je puisse les libérer, purifier, nettoyer sur tous les plans. Mais ça, c'est beau. Juste samedi, j'ai eu un moment qui a été tellement magique. Une dame qui est venue me rencontrer. dont je vais garder la confidentialité. Et cette dame, c'était, au départ, pour elle, c'était difficile de me parler, d'exprimer, d'oser dire des mots dont elle dévoilait sa plus grande faiblesse. Avec mes outils... Je l'ai accompagnée quand elle parlait en EFT pour qu'elle puisse vraiment se déposer émotionnellement, pour qu'elle puisse être dans une posture dont elle devient maître. Et là, elle a été capable, avec le EFT, d'intégrer à l'intérieur d'elle une posture dont elle m'a exprimé ses toques. Des toques. qui sont assez importants, des TOCs qui sont très encombrants, donc ça vient dans sa vie personnelle, dans sa vie professionnelle, impacter de la négativité qui pourrait, du jour au lendemain, avoir un effet. dont elle pourrait se retrouver totalement seule. Et à l'intérieur d'elle, elle était rendue au point qu'elle souffrait plus que son toc. Et de la voir, donc, elle faisait le EFT en partageant ce qu'elle vivait. et qu'elle voyait d'elle-même qu'elle était capable de s'exprimer sans s'écrouler, sans pleurer, ça a fait qu'elle a pris une confiance. Et là, elle a ouvert son cœur. Et en ouvrant son cœur, ça a fait en sorte qu'on a été capable... Par la suite, est-ce que je l'accompagne et qu'on entre dans une de ses vies antérieures, dont, dans la vie d'aujourd'hui, elle a eu à vivre une situation, une problématique, je ne me souviens plus du nom, mais je sais que c'est papillon au niveau de l'utérus, un petit cancer au niveau de l'utérus, dont... Dans la vie antérieure, elle a été touchée par un paternel de par ses mains et de l'homme, le père, dans le fond, dans la vie antérieure, s'est retrouvé à toucher sa fille dans ses parties intimes de façon vraiment agressante. et dans la vie d'aujourd'hui, ce qui est vraiment particulier, c'est que... Quand elle a eu à parler avec son médecin ? il y a de ça X années, elle lui a demandé pourquoi j'ai eu à avoir ce cancer-là. Et là, le médecin lui a dit ça, c'est à cause que tu as touché à des poignées de porte. Ouais. Bizarre de même. Mais en même temps, j'ai pas de jugement. Parce que... Pour elle, c'est qu'elle s'est ancrée dans sa tête qu'à chaque poignée de porte qu'elle prend dans sa main, elle se doit de se laver les mains. Elle se doit de décontaminer sa maison à chaque fois qu'elle entre dans sa maison. C'est gros, là. Ça fait des années et des années et des années. qu'elle a ce TOC, dont, qui a été programmé par le médecin, qui lui a dit qu'à chaque fois qu'elle allait toucher à une porte, qu'elle risquait de se contaminer. C'est gros, là. Elle, elle a pris ça pour du cash, parce que l'homme qui est devant elle est dans une... posture professionnelle. Elle croit en tout ce qu'il a dit. Tellement que ça fait des années et des années et des années que elle se lave les mains. Mais pas juste se laver les mains, elle se met du purèle. Tout ! Ce que le monde touche autour d'elle, elles se doivent de se laver les mains. Ça a un impact dans sa vie personnelle, professionnelle. Imaginons, de s'imaginer qu'elles se doivent de vivre à tous les jours avec cette problématique, elles vont s'en créer d'autres. dont l'alcoolisme, dont devenir sous une forme de psychose émotionnelle, du délire, parce que là, elle ne veut pas que personne entre chez elle par peur de ce qui contamine sa maison, parce qu'ils sont dangereux pour elle. C'est gros, toute cette histoire-là. Mais là, la cliente a réalisé que dans la vie antérieure, quand le paternel la faisait asseoir sur lui, et que lui, de par sa main, était à lui toucher la partie intime, donc il était à lui programmer. Dans son âme, cette violation, dans la vie d'aujourd'hui, elle a apporté ça ici sur le plan de l'âme et son corps a été attrapé. programmée de par des situations émotionnelles qu'elle a vécues dans le passé qui lui ont ramené à se souvenir que dans la vie d'aujourd'hui, je me dois de me libérer de cette mémoire cellulaire pour être en paix. Parce que sa situation qu'elle vit depuis des années, ça lui a empêché d'avoir une relation. Ça la, entre parenthèses, ça la protégeait. Ça l'apportait à ce que, justement, qu'il y ait... pas d'homme nuisible dans sa vie, parce que pour elle, elle a vécu un choc dans la vie antérieure, d'être touchée par les mains d'un homme qui n'a pas su respecter, et ça s'est imprégné à l'intérieur de elle, cette émotion-là. Cette émotion de honte, exactement comme quand on est après d'avoir un lendemain de veille, on a ce sentiment-là de honte. Humilier, l'humiliation d'avoir fait ou d'avoir dit des conneries ou de ne pas avoir été sage dans notre état d'ébriété. Ça fait que ça l'apportait à faire des... situation autour d'elle dont elle se retrouvait dans les... mêmes émotions que dans la vie antérieure. Et là, qu'est-ce qu'il était avec son conjoint, qui, ils ont décidé après X années de s'établir ensemble. Mais là, plus que ça allait, puis plus que la chicane entre les deux se créait, parce que la dame, avec son toc, mais qu'en fait, son toc, c'était... Un ancrage de peur. Un ancrage d'insécurité. Un ancrage que la posture professionnelle lui a mis en tête. Et là, c'était rendu au point que... Qu'est-ce que je fais avec ma relation ? Est-ce que je reste en relation ? Qu'est-ce que je fais ? Parce que la chicane est présente dans notre vie. Parce que il y a des mots qui dépassent des fois les limites. C'est gros. Quand la dame a compris. durant l'accompagnement, ce qui s'avait passé entre les deux, et quand sa mère, qui est dans le monde de l'au-delà, est arrivée à ses côtés, et qu'elle lui a dit que maintenant l'amour est plus fort que tout, c'est là qu'il y a eu une libération, un détachement de dire que là, ce qui t'a été ancré, c'est maintenant du passé, tu te dois. De laisser entrer l'amour parce que l'amour, elle est toute. Pour en arriver à être libre, il s'est passé de quoi à l'intérieur d'elle, sur le plat de l'âme et de son corps ? Donc, quand la maman lui a dit, ouvre grand tes ailes de ce papillon et sors de ton cocon. Son ventre s'est mis à gronder, là. Son ventre, c'est comme s'il se mettait à s'exprimer, à chanter. La synchronicité était juste parfaite. Parfaite, parfaite. Quand la cliente a ouvert les yeux et qu'on a parlé, qu'on a partagé, c'était de toute beauté parce qu'elle comprenait enfin le pourquoi. Elle comprenait enfin d'où tout ça venait, pourquoi qu'elle avait dû vivre ça. Quand elle est partie, elle s'en allait à pied et son conjoint est arrivé. Et son conjoint est arrivé tout délicatement en n'étant pas sûr s'il ouvrait les bras ou pas. Et elle l'a pris dans ses bras. Dans la rue, moi j'étais dans la fenêtre. Comme par hasard, je me suis tournée et j'ai vu cette scène dont j'ai pas pu m'empêcher, mais je me suis mise à pleurer. Je pleurais à chaudes larmes tellement que c'était émouvant de voir ces deux êtres créer la paix. Cette dame le prenait dans ses bras avec vulnérabilité, avec amour. C'était wow ! Il a resté dans les bras 2, 3, 4 minutes. Je pleurais, je pleurais tellement que c'était beau et je suis sûre qu'à partir de là, justement, que la paix... s'est installée face à la dame parce que c'était magique. C'était tout simplement magique. Vraiment, vraiment, vraiment. Et c'est là, quand je les ai vues toutes les deux ensemble, que je savais que ma mission, c'était exactement d'être qui je suis. De voir cet homme-là et cette femme-là ensemble, dans les bras unis, ça me montrait que moi-même, j'étais unie dans ma masculinité sacrée, dans ma féminité sacrée, dont mon enfant intérieur se permettait d'être qui elle se devait d'être, dans sa plus grande puissance. Mais je me suis mis tellement... à pleurer d'amour là parce que c'est bon d'être qui on est sans qu'on ait d'adverses sans qu'on ait de qu'on ait rien qui nous empêche d'être qui on est c'est bon ça fait du bien c'est c'est comme si je me permettais de dessiner sans que personne me dise quoi faire C'est ma créativité. C'est ma couleur. C'est ma façon d'être. C'est moi. C'est Karine. Puis ça, c'est un cadeau à Sophia qui est inestimable. Quand les gens... Tu sais, j'en ai fait beaucoup de développement personnel, de croissance personnelle, puis tout le kit, vraiment beaucoup, beaucoup, beaucoup. Et tu sais, les gens disaient... Laissez votre enfant intérieur s'exprimer. Laissez votre âme s'exprimer dans qui vous êtes. Oui, ça a bien beau. Tu as bien beau le laisser. Mais c'est parce que si tu as des choses en dedans de toi que tu ne comprends pas, ça ne peut pas être si facile que ça. Il faut qu'il y ait quelque chose. Il faut qu'il y ait un clic dans le subconscient. Sinon, ça ne marche pas. La preuve. Je ressortais de là et je me disais, comment je fais pour faire ça ? Comment je fais pour être comme... Comme qui est en train de me dire, justement, il y avait des blocages. Mais ces blocages-là, si tu ne les comprends pas, si tu ne les marches pas, tu ne peux pas avoir un déclic en toi. Et moi, je l'ai eu, le déclic, justement, quand je me suis dit, là, c'est assez. Il n'y a plus personne dans ma vie qui va, sans mon consentement, me dire que... Faut que tu prennes ce chemin-là, Karine. Non, moi, ce que je veux, c'est de suivre ma voix, mon cœur, mon intuition, mon âme. C'est ça que je veux. Et là, présentement, j'ai une coach. Et cette coach, elle est exceptionnelle parce que je suis rendue à l'étape qu'elle me montre où je suis. Elle me laisse libre d'aller où. ce que je dois aller, mais en étant à me mentorer à ce que je puisse vraiment suivre la ligne directive pour ma mission. Mais ce n'est pas elle qui décide pour moi, là. C'est moi. Elle, elle me montre juste l'instruction. Elle me montre juste la marche à suivre. Et moi ? je me dois de mettre ma couleur. Je me dois de mettre qui je suis. Et ça, c'est de me laisser libre de ma mission de vie, pis c'est génial. Pis c'est ça qui fait que quand j'apporte mon client ou ma cliente en accompagnement, c'est du wow. Parce que je la laisse libre. Elle me laisse libre. Ou il. me laisse libre. Parce que c'est ce qui fait que tout le monde ensemble, on est libre. Il n'y a pas de barrière, il n'y a pas d'obstacle, il n'y a rien qui nous empêche. On est qui on doit être. Puis ça, c'est tellement beau. J'ai fait un autre accompagnement holistique, donc c'était wow, je savais... aucunement où est-ce que j'allais être guidée parce que je la connaissais pas du tout et c'était du gros wow. Quand on a eu fini, la cliente m'a dit « Je comprends maintenant pourquoi je me sentais coupable que ma fille ait eu une problématique physique dans sa jambe droite. » qui était en lien avec une vie antérieure que sa petite soeur de 3 ans a été obligée d'être amputée dans cette vie antérieure-là dû à une situation de virus et que pour elle, c'était enfin que je comprends pourquoi je me sentais coupable d'avoir mis ma fille au monde dans cette vie-ci et qu'elle avait une problématique dans sa jambe droite. Et que dans la vie d'aujourd'hui, elle comprenait pourquoi elle voulait une vie simple. Que tout ce qui était compliqué, c'était non. Oui, sa belle famille lui apportait des complications, puis c'était pour elle. Non, je ne veux pas. Parce que dans cette vie-ci, je me dois d'être à vivre une vie simple. Que la raison pourquoi qu'elle s'est construite une maison à 1,2 km dans le bois, pour être sûre d'avoir la paix, c'est-tu pas merveilleux ? C'est tous des points dans sa vie à elle qu'elle a compris quand... Pourquoi que dans la vie d'aujourd'hui, qu'elle a vu, qu'elle a senti de par son cœur, qu'elle a été attirée par son conjoint, ça lui a fait comprendre pourquoi qu'elle n'était pas folle. Elle savait qu'il y avait quelque chose qui était au-delà de la compréhension terrestre, rationnelle. C'est ça qui est beau. Moi, ça, ça me fait empuissancer, mais incroyablement. Ça me donne de l'énergie, ça me donne de l'amour, ça me donne de la liberté, ça me donne de l'envol de dire que c'est tellement bon d'être qui on doit être. Parce que je le sais que je fais du bien, parce que je le sais que je ne suis pas méchante, parce que je le sais que ce que je fais, c'est pour apporter à celui ou celle qui a besoin de comprendre qui il s'en. Et c'est en étant à comprendre qui on est qu'on règle des choses émotionnelles, dont des dépendances, que ce soit l'alcool, l'argent, le sexe, la drogue, des dépendances de toques aussi, de trop être à vouloir tout nettoyer sur son passage ou avoir des toques que tout soit parfait. Tout ça, c'est des toques. des dépendances, en lien avec des peurs, des manques, de l'insécurité. C'est une compensation. Et ça, quand il y a quelque chose qu'on comprend à partir de ce moment-là, c'est comme du gros « wow » , vraiment. Et de mettre en lien, c'est comme prendre un morceau de puzzle et qu'on le met en plein ou l'endroit dont on était à la recherche de, et c'est comme... Et enfin, j'ai fini cette partie-là. Et je peux tellement comprendre ces personnes qui vivent ces moments-là d'éveil parce que moi-même, quand j'ai eu 16 ans, à 16 ans que j'ai vécu ma première régression et que je suis retournée dans ma mémoire cellulaire de la mer indienne, que je me suis vue être grande, je l'ai sentie en dedans de moi. que j'ai senti que enfin je retournais chez nous, enfin, c'est comme retrouver une vieille amie, t'es heureuse, c'est ça, c'est ce sentiment-là qu'on a de je te retrouve, wow, c'est là, on... on devient empuissancé. Parce qu'il y a personne qui... Tu sais quand tu rencontres quelqu'un qui est énergivore, tu es écrasé, tu es fatigué, la personne a failli te siphonner. Bien, là, ce n'est pas ça que ça fait. Ça te donne du goût, ça te donne du pouvoir, ça te donne une puissance, ça te fait élever. Là, tu partages, mais c'est la même chose quand tu te retrouves. Il y a une lumière qui s'allume à l'intérieur de nous. Moi, je me souviens, quand j'avais 16 ans, je suis sortie de chez... de chez cette dame-là et que je parlais à une de mes tantes et que je lui disais « J'ai vécu ça, puis je sentais ça, puis je me sentais enfin moi. Je me voyais marcher, j'avais un gros sac sur le dos avec plein de branches puis je me sentais une esclave puis j'allais porter ça au monde dans le village. » Quand je me suis assise à la galerie chez mes parents, je m'en souviendrai toujours. Dans ce temps-là, je fumais. Oui, je me suis assise à la galerie et je me suis allumée une cigarette. J'étais dehors à regarder les montagnes, la forêt. Et j'étais à tout penser. Wow ! C'est pour ça que je fume. Parce que la mer Indienne, fumer, ça faisait partie du calumet. C'est pour ça qu'à l'âge de 11 ans, 12 ans, quand moi j'ai dit à 12 ans, je m'en vais m'acheter mon premier paquet de cigarettes, c'était important pour moi, c'était un ancrage cellulaire. Mais c'était une dépendance en fait que j'ai créée de par moi-même parce que je le savais qu'il y avait un manque qui était en lien avec. J'ai besoin de retrouver cette partie que j'ai oubliée, que j'ai mis de côté. et que là, que j'étais assise à mes 16 ans à observer à l'intérieur de moi que... Je comprends pourquoi j'ai choisi mes parents. Je comprends pourquoi j'ai choisi mon père. Mon père qui a du sable érindien. Mon père qui va à la chasse, qui m'apportait dans le bois. Mais moi, c'était aucunement, je ne veux pas chasser. Aucunement. Je n'ai jamais, sérieusement, je ne veux pas tuer des animaux. Je ne suis pas capable. Je ne suis pas capable. Si je tue un araignée, c'est parce que je suis vraiment dans l'obligation de la tuer. Les mouches, les abeilles, je les sors par la fenêtre, par la porte, peu importe, je vais trouver le moyen, les araignées, je vais les sortir. Mais je comprenais pourquoi j'avais choisi ma mère. Je comprenais pourquoi j'avais choisi ma famille. Parce qu'il y avait du sang amérindien, mais moi dans la vie d'aujourd'hui, je ne voulais pas être amérindienne, je voulais être une métisse, en fait. Moitié-moitié, parce que pour moi, c'était significatif de me garder contact avec le côté amérindien, mais de me garder aussi contact avec le nouveau monde. C'était ça, c'était important pour moi, parce que j'avais, dans cette vie-ci, j'ai un besoin de créer un nouveau monde en étant à le mettre à ma couleur et non en étant à être dans la couleur amérindienne et non d'être dans la couleur des blancs. Je veux pas être... en attaché avec une religion ? Aucunement. Ma religion, c'est la nature, c'est les animaux, c'est la vie, c'est l'amour, c'est le respect, c'est l'honnêteté. Moi, c'est ça, ma religion. Je n'irai pas m'asseoir dans une église pour faire plaisir à la religion, aucunement. Mais par contre, je vais aller m'asseoir, par exemple, devant ma rivière, auprès des arbres, auprès des oiseaux, auprès des minoux qui passent à côté de moi, auprès des chevaux, auprès des animaux de peu importe. que ce soit il y a un mammifère ou à quatre pattes ou à plumes mon but c'est d'être libre c'est d'être dans l'amour dans le respect c'est ça une de mes plus grandes valeurs et ça je le suis en tout temps dans mon être c'est moi je l'intègre il y a du monde qui se disent dans la religion mais crimbin il l'intègre pas J'écoutais une série l'autre fois, j'étais tellement enragée, j'étais frustrée parce que je voyais des Amérindiens qui se faisaient imposer en se faisant battre avec la Bible sur la tête pour qu'ils rentrent dans leurs esprits des mots de la Bible, qu'ils les battaient, ils les frappaient, ils les brûlaient. Quand je vois ça, ça me... ça me fait mal. Parce qu'on n'a pas un... Imposer personne à ça, c'est la même chose que tu sois en couple, en amitié. Si tu es dans une situation que tu es prise, que tu es pris, ce n'est pas normal. C'est la liberté, c'est ça qui est normal. C'est d'être libre comme l'arbre qui pousse avec ses branches et qui prend de la hauteur. Ça, c'est normal. C'est d'être la rivière qui coule. Ça, c'est normal. Elle est dans son élément. Mais je le sais que ma mission, c'est justement d'aider mon prochain à ce qu'il soit tout simplement en liberté. Ça, ça me fait du bien. J'aime tellement ça. Ça me satisfait de voir que la dame... Puis le monsieur qui se sont pris dans les bras dans la rue, c'était que de l'amour. C'est wow ! C'est de même qu'on serait tous supposés de vivre. Il n'y en existerait pas de la jalousie ni de l'envie si tout le monde serait dans l'amour comme ça. Au contraire, on s'élèverait. Toi, qu'est-ce que tu peux faire comme différence pour aider à ce que toi-même tu puisses t'élever dans l'amour ? C'est quoi qui te ferait du bien ? C'est quoi que tu pourrais te faire à toi, dans ton temple intérieur, à ce que tu puisses t'élever dans l'amour ? C'est ça qui me fait, ça me fait vibrer en dedans de moi. Puis quand ça me fait vibrer, c'est parce que je le sais que c'est bon, je le sais que c'est bien. C'est en commençant par soi. J'ai marché mon chemin de vie jusqu'à ce que je me sente. à vibrer de cette façon-là. Et maintenant, sans mon consentement, il n'y aura plus personne qui va m'empêcher de vibrer parce que je le sais. Je le sais qu'à l'intérieur de moi, je suis une bonne personne. Tout simplement. C'est sûr que ça se peut qu'il y ait des choses qui sont autour de moi. L'ombre va essayer de venir, mais en même temps, je ne veux plus mettre ça dans mes croyances. Parce que dans ma croyance, il n'existe que de l'amour et de la lumière. Et dans ma croyance, c'est ici que j'ai pour m'en dire qui est le paradis. C'est tellement fort ma croyance. Il n'y a pas longtemps, je suis allée me chercher. je suis allée au service à l'auto chez Tim et quand on me dit comment tu vas, j'ai dit je vais super bien. J'ai dit toi, comment tu vas ? Il m'a dit si toi tu vas, moi je vais super bien. Fait que là, c'est drôle parce que je suis toujours en train de dire ça à quelqu'un. Si t'es heureuse, moi je suis heureuse. Je suis tout le temps en train de dire ça, vraiment. Est-ce que t'es bien ? Là, la personne va me dire oui, puis la personne va me dire, est-ce que toi, t'es bien ? Bien, moi, je leur dis, si toi, t'es bien, moi, je suis bien. Parce que, en fait, je suis tellement réceptive que si la personne est bien, je sais que je suis bien. Mais si la personne va mal, je sais que je vais la porter dans un bien-être parce que mon but, c'est de la porter à ce qu'elle soit bien. Et là, la personne qui est au service à l'auto me dit, est-ce que je peux te poser une question ? Je dis oui. La personne me dit, est-ce que tu arrives du paradis ? Et là, je regarde la personne, puis là, je savais qu'il était comme un petit peu coquin dans son regard, et j'ai dit, le paradis est-il sur la Terre ? Puis là, il m'a regardée, puis il a fait un grand sourire. Puis là, j'ai fait comme, la vie pour moi, ça, c'était significatif de ce qu'il lui m'a dit, parce qu'il m'a posé cette question-là, mais à tous les jours, j'ai... me dire que j'ai la chance d'être ici, sur cette terre, au paradis terrestre. Et j'ai envie de créer mon propre paradis. En ce moment, devant moi, je suis devant les arbres, et il y a plein, plein, plein, plein, plein de petits oiseaux. Des petits serins jaunes. Il y en a plein, des petits, des petits mésanges. Peut-être que tu les entends. Il y en a des centaines. je trouve ça tellement magique c'est ça qui est beau parce que j'ai le regard de voir le beau Si à l'intérieur de toi, il y a quelque chose qui ne va pas, tu ne verras jamais les oiseaux. Tu ne les verras pas parce que ton regard va être tourné vers uniquement ce qui est ombre. Tandis que là, quand on regarde uniquement avec les yeux de son cœur, on peut voir au travers des branches les oiseaux, les écureuils, les Ausha, même jusqu'à des canards qui ont passé. C'est beau la vie. J'espère que ce podcast t'a parlé, qu'il t'a peut-être même fait réfléchir, qu'il t'a peut-être apporté à comprendre des choses ou à te questionner, à te demander si t'es prête ou prêt à avoir une nouvelle vision de la vie. Peu importe, tu le sais que je suis là. S'il y a quoi que ce soit, tu m'écris. Ça va me faire plaisir. de te jaser ça. S'il y a quelqu'un dans ton entourage qui tu penses que ça pourrait faire du bien d'entendre ce que j'ai partagé, partage. C'est ça, c'est ça la valeur de la vie. Si tu as des questions, peu importe, je veux vraiment pas que tu te gênes et je veux pas que tu penses non plus que tu vas me déranger. Au contraire, moi j'ai pour mon dire que tout passe par la voix du cœur, tout passe par l'être humain. C'est ça qui fait que je suis tellement contente d'avoir rencontré une de mes coachs que j'ai présentement du fait qu'elle aussi, elle n'a pas 14 000 personnes autour d'elle, c'est elle que j'ai comme humaine. Et ils disent que dans la vie, les cinq personnes qui t'entourent te représentent, bien, de voir ma coach, c'est une christie de belle personne. Et là, je commence à me dire que, crimbine, moi aussi, je suis une belle personne. Et ça, je le dis pas de façon hautaine et ni arrogante. Parce qu'encore là, dans les croyances du passé, c'est comme, tu peux pas t'honorer, tu peux pas dire que t'es belle, tu peux pas commencer à te vanter. Qui ? Qui me connaît plus que moi ? C'est moi. Fait que pourquoi que moi, je pourrais pas m'honorer ? Pourquoi que moi, j'aurais pas le droit de me dire « Karine, t'es belle aujourd'hui » au lieu de dire « Ah, j'ai encore ça de travers, là, me semble, j'ai mal dormi, j'ai des poches autour des yeux. » Non, on peut-tu se foutre la paix une fois, de temps en temps, et de se permettre de dire « Ok, j'ai le droit de me dire que je suis belle, j'ai le droit de dire que je suis bien dans ma peau. » C'est pas de se vanter, au contraire, c'est d'inspirer, c'est d'être. en mesure d'inspirer ceux et celles qui sont autour de nous. C'est ça qui est important aujourd'hui. Parce que, en inspirant, on apporte de la joie, de l'amour, de la légèreté, de la liberté, du bonheur, de l'excitation, du plaisir. C'est ça qui est important pour moi aujourd'hui. Fait que je te souhaite une belle journée, une belle continuité, une belle soirée. Peu importe où est-ce que tu es. Et je te dis à la prochaine !

Description

Dans cet épisode, je t’invite à plonger dans une réflexion intime sur la liberté d’être pleinement qui nous sommes.

À travers mes propres expériences – de l’enfant incomprise, à la femme qui a osé sauter en deltaplane pour se libérer – je partage à quel point nos programmations (famille, école, religion, société) peuvent nous éloigner de notre vérité intérieure.


Comme un chat qui n’essaie pas d’être un chien, chacun de nous a une mission unique.

Quand on se permet de l’incarner, tout devient magique. ✨


Tu entendras aussi des histoires touchantes de mes accompagnements : comment des libérations profondes, grâce à l’EFT, aux vies antérieures et à la guidance de l’âme, ont transformé la vie de mes clientes, leur redonnant confiance, paix et amour.


Cet épisode est une invitation à te choisir, à t’honorer, et à laisser ton enfant intérieur s’exprimer librement.

Parce qu’au fond, la vie est plus simple quand on ose être soi, sans masque, sans peur, juste dans l’amour et la lumière.

Au plaisir de vous faire découvrir mon monde intérieur, en espérant qu’il vous en inspire.

Avec Amour,
Karine Turcotte


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Transcription

  • Speaker #0

    Allô, allô ! J'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon podcast en toute simplicité du cœur à l'âme épisode 63. Aujourd'hui, j'ai envie de te parler de suite avec mon accompagnement holistique à quel point que... Quand on se permet d'être qui on est réellement, c'est magique. Sérieusement, depuis que j'ai décidé de montrer qui je suis réellement, pour moi, c'est comme si je baignais dans... L'amour. Là, je suis en train de te parler dans ma tiny house et il y a un beau minou que je ne connais pas qui est exactement devant ma porte et tout est magique. Tout est parfait parce que ce que je suis en train de te dire, en fait, c'est que le chat, il est un chat. Il n'essaie pas d'être un chien. Il est dans sa mission de vie à être. un félin dont sa mission, lui, c'est de chasser. Même si nous, on essaye de le contrôler, c'est de chasser. Même si j'y empêcherais en ce moment de chasser en le prenant dans mes mains et de dire non, tu ne vas pas là, bien, en fait, c'est que je l'empêcherais de vivre. Je l'empêcherais d'être qui il est. C'est ce que je suis. C'est vraiment particulier parce que c'est exactement ça, moi. J'ai réalisé que du passé à aller aujourd'hui, je me suis empêchée d'être qui je suis réellement de par l'incompréhension de mes parents, dont mes parents m'apportaient à dire, Karine, arrête de dire des choses que... Ça n'existe pas. Ensuite, la religion. Quand la religion a embarqué là-dedans, façon de parler, pour la religion, c'était, « T'es un démon, tu dis pas des choses de même, ça se peut pas les vies antérieures. » Ça m'a contrôlé. Ensuite... À l'école, ça m'a contrôlé aussi. Parce que là, c'était, on te met dans le ABC, 1, 2, 3, on te met dans le rationnel. Mais c'est correct tout ça, là. Je ne suis pas à avoir de la rancune face à ça, aucunement. Mais c'est qu'au fil des années, ça montre que... On se programme de par ce qu'on a vécu. Ça, ça veut dire que moi, Karine, dont Karine qui est unique et exceptionnelle, comme toi aussi qui es en train de m'écouter, on a été programmé dans le passé pour qu'on devienne ce qui est autour de nous, ce qu'ils veulent de nous. La religion voulait de moi que je me taise, parce que la religion disait de moi que j'étais un démon. L'école me disait que j'étais à dire du n'importe quoi, quand c'était le temps d'écrire des soleils ou quand c'était le temps de partager des choses. Mais là, ce que ça fait en sorte, c'est que ça se vire contre toi. Fait que là, tu te dis, ben là, c'est moi qui n'ai pas normal. Et là, c'est là qu'on se transforme. Tu sais, le chat, par exemple, je suis à le contrôler et je suis à le mettre dans ma maison, à l'accaparer. Je ne veux pas qu'il sorte, je veux qu'il reste comme qu'il est. Ben, je le crée de façon à ce que j'y fais croire qu'il doit rester dans la maison et qu'il doit avoir peur et qu'il doit angoisser et qu'il doit stresser. Mais qu'en réalité, la vie pour lui est faite à ce qu'il soit à aller dehors et qu'il fasse la chasse. Ça fait partie de lui. Ça fait partie de qui il est. Et là, moi, quand je me suis donné... La liberté, et ça c'était à veille de faire un an, quand j'ai sauté en deltaplane, et que là je me suis dit, c'est assez, je me donne la liberté de me dégager de tout ce qui a été programmé, dont ce qui ne m'appartient pas. Si la peur à mes parents, dans le passé, c'était l'incompréhension de qui j'étais, bien c'est correct, ça leur appartient à moi, ça ne m'appartient pas, rendu là. Si la société a essayé de me programmer comme elle le voulait, moi, ça ne m'appartient pas. Je n'ai pas à vouloir accepter ça. Ça ne me tente pas. Mais ça, il faut que tu ailles à un côté rebelle pour ça. Parce que si tu es soumise, c'est clair que tu n'auras pas ta propre vision. Fait que quand j'ai décidé de sauter en deltaplane et tout laisser derrière moi, ça a été comme là. j'ai envie de laisser la petite Karine à l'intérieur d'elle, ce qu'elle porte à Aïe, qui elle se doit, parce qu'elle sait qu'elle n'est pas méchante, elle sait qu'elle fait du bien autour d'elle, et depuis que le podcast à Karine a sorti, ça, ça a été un ancrage, en sortant ce podcast dans Impacte le monde, où est-ce que pour moi, c'était significatif, parce que ça montrait que... Je me montre qui je suis réellement. Tu m'acceptes ou tu ne m'acceptes pas. Si tu m'acceptes, ça va me faire plaisir de t'ouvrir la porte. Et si tu ne m'acceptes pas, bien, c'est parfait. Ça se peut qu'on se voie en train de faire du vélo ou de la moto, puis c'est parfait comme ça. Mais ce que je demande, c'est, respecte-moi dans qui je suis, et moi, je vais te respecter dans qui tu es. Et ensemble, on va être libres. Et c'est ça qui est génial. C'est de laisser celui ou celle dans sa liberté. C'est ça qui est beau. Et depuis que j'ai des gens de partout de l'extérieur qui viennent me rencontrer, c'est un cadeau. C'est un cadeau parce que ces gens qui viennent à moi, c'est parce qu'ils ont à vouloir venir dans mon univers pour mieux se connaître. pour mieux se comprendre, pour qu'on aille ensemble, de par ma vision, à ce que je puisse les libérer, purifier, nettoyer sur tous les plans. Mais ça, c'est beau. Juste samedi, j'ai eu un moment qui a été tellement magique. Une dame qui est venue me rencontrer. dont je vais garder la confidentialité. Et cette dame, c'était, au départ, pour elle, c'était difficile de me parler, d'exprimer, d'oser dire des mots dont elle dévoilait sa plus grande faiblesse. Avec mes outils... Je l'ai accompagnée quand elle parlait en EFT pour qu'elle puisse vraiment se déposer émotionnellement, pour qu'elle puisse être dans une posture dont elle devient maître. Et là, elle a été capable, avec le EFT, d'intégrer à l'intérieur d'elle une posture dont elle m'a exprimé ses toques. Des toques. qui sont assez importants, des TOCs qui sont très encombrants, donc ça vient dans sa vie personnelle, dans sa vie professionnelle, impacter de la négativité qui pourrait, du jour au lendemain, avoir un effet. dont elle pourrait se retrouver totalement seule. Et à l'intérieur d'elle, elle était rendue au point qu'elle souffrait plus que son toc. Et de la voir, donc, elle faisait le EFT en partageant ce qu'elle vivait. et qu'elle voyait d'elle-même qu'elle était capable de s'exprimer sans s'écrouler, sans pleurer, ça a fait qu'elle a pris une confiance. Et là, elle a ouvert son cœur. Et en ouvrant son cœur, ça a fait en sorte qu'on a été capable... Par la suite, est-ce que je l'accompagne et qu'on entre dans une de ses vies antérieures, dont, dans la vie d'aujourd'hui, elle a eu à vivre une situation, une problématique, je ne me souviens plus du nom, mais je sais que c'est papillon au niveau de l'utérus, un petit cancer au niveau de l'utérus, dont... Dans la vie antérieure, elle a été touchée par un paternel de par ses mains et de l'homme, le père, dans le fond, dans la vie antérieure, s'est retrouvé à toucher sa fille dans ses parties intimes de façon vraiment agressante. et dans la vie d'aujourd'hui, ce qui est vraiment particulier, c'est que... Quand elle a eu à parler avec son médecin ? il y a de ça X années, elle lui a demandé pourquoi j'ai eu à avoir ce cancer-là. Et là, le médecin lui a dit ça, c'est à cause que tu as touché à des poignées de porte. Ouais. Bizarre de même. Mais en même temps, j'ai pas de jugement. Parce que... Pour elle, c'est qu'elle s'est ancrée dans sa tête qu'à chaque poignée de porte qu'elle prend dans sa main, elle se doit de se laver les mains. Elle se doit de décontaminer sa maison à chaque fois qu'elle entre dans sa maison. C'est gros, là. Ça fait des années et des années et des années. qu'elle a ce TOC, dont, qui a été programmé par le médecin, qui lui a dit qu'à chaque fois qu'elle allait toucher à une porte, qu'elle risquait de se contaminer. C'est gros, là. Elle, elle a pris ça pour du cash, parce que l'homme qui est devant elle est dans une... posture professionnelle. Elle croit en tout ce qu'il a dit. Tellement que ça fait des années et des années et des années que elle se lave les mains. Mais pas juste se laver les mains, elle se met du purèle. Tout ! Ce que le monde touche autour d'elle, elles se doivent de se laver les mains. Ça a un impact dans sa vie personnelle, professionnelle. Imaginons, de s'imaginer qu'elles se doivent de vivre à tous les jours avec cette problématique, elles vont s'en créer d'autres. dont l'alcoolisme, dont devenir sous une forme de psychose émotionnelle, du délire, parce que là, elle ne veut pas que personne entre chez elle par peur de ce qui contamine sa maison, parce qu'ils sont dangereux pour elle. C'est gros, toute cette histoire-là. Mais là, la cliente a réalisé que dans la vie antérieure, quand le paternel la faisait asseoir sur lui, et que lui, de par sa main, était à lui toucher la partie intime, donc il était à lui programmer. Dans son âme, cette violation, dans la vie d'aujourd'hui, elle a apporté ça ici sur le plan de l'âme et son corps a été attrapé. programmée de par des situations émotionnelles qu'elle a vécues dans le passé qui lui ont ramené à se souvenir que dans la vie d'aujourd'hui, je me dois de me libérer de cette mémoire cellulaire pour être en paix. Parce que sa situation qu'elle vit depuis des années, ça lui a empêché d'avoir une relation. Ça la, entre parenthèses, ça la protégeait. Ça l'apportait à ce que, justement, qu'il y ait... pas d'homme nuisible dans sa vie, parce que pour elle, elle a vécu un choc dans la vie antérieure, d'être touchée par les mains d'un homme qui n'a pas su respecter, et ça s'est imprégné à l'intérieur de elle, cette émotion-là. Cette émotion de honte, exactement comme quand on est après d'avoir un lendemain de veille, on a ce sentiment-là de honte. Humilier, l'humiliation d'avoir fait ou d'avoir dit des conneries ou de ne pas avoir été sage dans notre état d'ébriété. Ça fait que ça l'apportait à faire des... situation autour d'elle dont elle se retrouvait dans les... mêmes émotions que dans la vie antérieure. Et là, qu'est-ce qu'il était avec son conjoint, qui, ils ont décidé après X années de s'établir ensemble. Mais là, plus que ça allait, puis plus que la chicane entre les deux se créait, parce que la dame, avec son toc, mais qu'en fait, son toc, c'était... Un ancrage de peur. Un ancrage d'insécurité. Un ancrage que la posture professionnelle lui a mis en tête. Et là, c'était rendu au point que... Qu'est-ce que je fais avec ma relation ? Est-ce que je reste en relation ? Qu'est-ce que je fais ? Parce que la chicane est présente dans notre vie. Parce que il y a des mots qui dépassent des fois les limites. C'est gros. Quand la dame a compris. durant l'accompagnement, ce qui s'avait passé entre les deux, et quand sa mère, qui est dans le monde de l'au-delà, est arrivée à ses côtés, et qu'elle lui a dit que maintenant l'amour est plus fort que tout, c'est là qu'il y a eu une libération, un détachement de dire que là, ce qui t'a été ancré, c'est maintenant du passé, tu te dois. De laisser entrer l'amour parce que l'amour, elle est toute. Pour en arriver à être libre, il s'est passé de quoi à l'intérieur d'elle, sur le plat de l'âme et de son corps ? Donc, quand la maman lui a dit, ouvre grand tes ailes de ce papillon et sors de ton cocon. Son ventre s'est mis à gronder, là. Son ventre, c'est comme s'il se mettait à s'exprimer, à chanter. La synchronicité était juste parfaite. Parfaite, parfaite. Quand la cliente a ouvert les yeux et qu'on a parlé, qu'on a partagé, c'était de toute beauté parce qu'elle comprenait enfin le pourquoi. Elle comprenait enfin d'où tout ça venait, pourquoi qu'elle avait dû vivre ça. Quand elle est partie, elle s'en allait à pied et son conjoint est arrivé. Et son conjoint est arrivé tout délicatement en n'étant pas sûr s'il ouvrait les bras ou pas. Et elle l'a pris dans ses bras. Dans la rue, moi j'étais dans la fenêtre. Comme par hasard, je me suis tournée et j'ai vu cette scène dont j'ai pas pu m'empêcher, mais je me suis mise à pleurer. Je pleurais à chaudes larmes tellement que c'était émouvant de voir ces deux êtres créer la paix. Cette dame le prenait dans ses bras avec vulnérabilité, avec amour. C'était wow ! Il a resté dans les bras 2, 3, 4 minutes. Je pleurais, je pleurais tellement que c'était beau et je suis sûre qu'à partir de là, justement, que la paix... s'est installée face à la dame parce que c'était magique. C'était tout simplement magique. Vraiment, vraiment, vraiment. Et c'est là, quand je les ai vues toutes les deux ensemble, que je savais que ma mission, c'était exactement d'être qui je suis. De voir cet homme-là et cette femme-là ensemble, dans les bras unis, ça me montrait que moi-même, j'étais unie dans ma masculinité sacrée, dans ma féminité sacrée, dont mon enfant intérieur se permettait d'être qui elle se devait d'être, dans sa plus grande puissance. Mais je me suis mis tellement... à pleurer d'amour là parce que c'est bon d'être qui on est sans qu'on ait d'adverses sans qu'on ait de qu'on ait rien qui nous empêche d'être qui on est c'est bon ça fait du bien c'est c'est comme si je me permettais de dessiner sans que personne me dise quoi faire C'est ma créativité. C'est ma couleur. C'est ma façon d'être. C'est moi. C'est Karine. Puis ça, c'est un cadeau à Sophia qui est inestimable. Quand les gens... Tu sais, j'en ai fait beaucoup de développement personnel, de croissance personnelle, puis tout le kit, vraiment beaucoup, beaucoup, beaucoup. Et tu sais, les gens disaient... Laissez votre enfant intérieur s'exprimer. Laissez votre âme s'exprimer dans qui vous êtes. Oui, ça a bien beau. Tu as bien beau le laisser. Mais c'est parce que si tu as des choses en dedans de toi que tu ne comprends pas, ça ne peut pas être si facile que ça. Il faut qu'il y ait quelque chose. Il faut qu'il y ait un clic dans le subconscient. Sinon, ça ne marche pas. La preuve. Je ressortais de là et je me disais, comment je fais pour faire ça ? Comment je fais pour être comme... Comme qui est en train de me dire, justement, il y avait des blocages. Mais ces blocages-là, si tu ne les comprends pas, si tu ne les marches pas, tu ne peux pas avoir un déclic en toi. Et moi, je l'ai eu, le déclic, justement, quand je me suis dit, là, c'est assez. Il n'y a plus personne dans ma vie qui va, sans mon consentement, me dire que... Faut que tu prennes ce chemin-là, Karine. Non, moi, ce que je veux, c'est de suivre ma voix, mon cœur, mon intuition, mon âme. C'est ça que je veux. Et là, présentement, j'ai une coach. Et cette coach, elle est exceptionnelle parce que je suis rendue à l'étape qu'elle me montre où je suis. Elle me laisse libre d'aller où. ce que je dois aller, mais en étant à me mentorer à ce que je puisse vraiment suivre la ligne directive pour ma mission. Mais ce n'est pas elle qui décide pour moi, là. C'est moi. Elle, elle me montre juste l'instruction. Elle me montre juste la marche à suivre. Et moi ? je me dois de mettre ma couleur. Je me dois de mettre qui je suis. Et ça, c'est de me laisser libre de ma mission de vie, pis c'est génial. Pis c'est ça qui fait que quand j'apporte mon client ou ma cliente en accompagnement, c'est du wow. Parce que je la laisse libre. Elle me laisse libre. Ou il. me laisse libre. Parce que c'est ce qui fait que tout le monde ensemble, on est libre. Il n'y a pas de barrière, il n'y a pas d'obstacle, il n'y a rien qui nous empêche. On est qui on doit être. Puis ça, c'est tellement beau. J'ai fait un autre accompagnement holistique, donc c'était wow, je savais... aucunement où est-ce que j'allais être guidée parce que je la connaissais pas du tout et c'était du gros wow. Quand on a eu fini, la cliente m'a dit « Je comprends maintenant pourquoi je me sentais coupable que ma fille ait eu une problématique physique dans sa jambe droite. » qui était en lien avec une vie antérieure que sa petite soeur de 3 ans a été obligée d'être amputée dans cette vie antérieure-là dû à une situation de virus et que pour elle, c'était enfin que je comprends pourquoi je me sentais coupable d'avoir mis ma fille au monde dans cette vie-ci et qu'elle avait une problématique dans sa jambe droite. Et que dans la vie d'aujourd'hui, elle comprenait pourquoi elle voulait une vie simple. Que tout ce qui était compliqué, c'était non. Oui, sa belle famille lui apportait des complications, puis c'était pour elle. Non, je ne veux pas. Parce que dans cette vie-ci, je me dois d'être à vivre une vie simple. Que la raison pourquoi qu'elle s'est construite une maison à 1,2 km dans le bois, pour être sûre d'avoir la paix, c'est-tu pas merveilleux ? C'est tous des points dans sa vie à elle qu'elle a compris quand... Pourquoi que dans la vie d'aujourd'hui, qu'elle a vu, qu'elle a senti de par son cœur, qu'elle a été attirée par son conjoint, ça lui a fait comprendre pourquoi qu'elle n'était pas folle. Elle savait qu'il y avait quelque chose qui était au-delà de la compréhension terrestre, rationnelle. C'est ça qui est beau. Moi, ça, ça me fait empuissancer, mais incroyablement. Ça me donne de l'énergie, ça me donne de l'amour, ça me donne de la liberté, ça me donne de l'envol de dire que c'est tellement bon d'être qui on doit être. Parce que je le sais que je fais du bien, parce que je le sais que je ne suis pas méchante, parce que je le sais que ce que je fais, c'est pour apporter à celui ou celle qui a besoin de comprendre qui il s'en. Et c'est en étant à comprendre qui on est qu'on règle des choses émotionnelles, dont des dépendances, que ce soit l'alcool, l'argent, le sexe, la drogue, des dépendances de toques aussi, de trop être à vouloir tout nettoyer sur son passage ou avoir des toques que tout soit parfait. Tout ça, c'est des toques. des dépendances, en lien avec des peurs, des manques, de l'insécurité. C'est une compensation. Et ça, quand il y a quelque chose qu'on comprend à partir de ce moment-là, c'est comme du gros « wow » , vraiment. Et de mettre en lien, c'est comme prendre un morceau de puzzle et qu'on le met en plein ou l'endroit dont on était à la recherche de, et c'est comme... Et enfin, j'ai fini cette partie-là. Et je peux tellement comprendre ces personnes qui vivent ces moments-là d'éveil parce que moi-même, quand j'ai eu 16 ans, à 16 ans que j'ai vécu ma première régression et que je suis retournée dans ma mémoire cellulaire de la mer indienne, que je me suis vue être grande, je l'ai sentie en dedans de moi. que j'ai senti que enfin je retournais chez nous, enfin, c'est comme retrouver une vieille amie, t'es heureuse, c'est ça, c'est ce sentiment-là qu'on a de je te retrouve, wow, c'est là, on... on devient empuissancé. Parce qu'il y a personne qui... Tu sais quand tu rencontres quelqu'un qui est énergivore, tu es écrasé, tu es fatigué, la personne a failli te siphonner. Bien, là, ce n'est pas ça que ça fait. Ça te donne du goût, ça te donne du pouvoir, ça te donne une puissance, ça te fait élever. Là, tu partages, mais c'est la même chose quand tu te retrouves. Il y a une lumière qui s'allume à l'intérieur de nous. Moi, je me souviens, quand j'avais 16 ans, je suis sortie de chez... de chez cette dame-là et que je parlais à une de mes tantes et que je lui disais « J'ai vécu ça, puis je sentais ça, puis je me sentais enfin moi. Je me voyais marcher, j'avais un gros sac sur le dos avec plein de branches puis je me sentais une esclave puis j'allais porter ça au monde dans le village. » Quand je me suis assise à la galerie chez mes parents, je m'en souviendrai toujours. Dans ce temps-là, je fumais. Oui, je me suis assise à la galerie et je me suis allumée une cigarette. J'étais dehors à regarder les montagnes, la forêt. Et j'étais à tout penser. Wow ! C'est pour ça que je fume. Parce que la mer Indienne, fumer, ça faisait partie du calumet. C'est pour ça qu'à l'âge de 11 ans, 12 ans, quand moi j'ai dit à 12 ans, je m'en vais m'acheter mon premier paquet de cigarettes, c'était important pour moi, c'était un ancrage cellulaire. Mais c'était une dépendance en fait que j'ai créée de par moi-même parce que je le savais qu'il y avait un manque qui était en lien avec. J'ai besoin de retrouver cette partie que j'ai oubliée, que j'ai mis de côté. et que là, que j'étais assise à mes 16 ans à observer à l'intérieur de moi que... Je comprends pourquoi j'ai choisi mes parents. Je comprends pourquoi j'ai choisi mon père. Mon père qui a du sable érindien. Mon père qui va à la chasse, qui m'apportait dans le bois. Mais moi, c'était aucunement, je ne veux pas chasser. Aucunement. Je n'ai jamais, sérieusement, je ne veux pas tuer des animaux. Je ne suis pas capable. Je ne suis pas capable. Si je tue un araignée, c'est parce que je suis vraiment dans l'obligation de la tuer. Les mouches, les abeilles, je les sors par la fenêtre, par la porte, peu importe, je vais trouver le moyen, les araignées, je vais les sortir. Mais je comprenais pourquoi j'avais choisi ma mère. Je comprenais pourquoi j'avais choisi ma famille. Parce qu'il y avait du sang amérindien, mais moi dans la vie d'aujourd'hui, je ne voulais pas être amérindienne, je voulais être une métisse, en fait. Moitié-moitié, parce que pour moi, c'était significatif de me garder contact avec le côté amérindien, mais de me garder aussi contact avec le nouveau monde. C'était ça, c'était important pour moi, parce que j'avais, dans cette vie-ci, j'ai un besoin de créer un nouveau monde en étant à le mettre à ma couleur et non en étant à être dans la couleur amérindienne et non d'être dans la couleur des blancs. Je veux pas être... en attaché avec une religion ? Aucunement. Ma religion, c'est la nature, c'est les animaux, c'est la vie, c'est l'amour, c'est le respect, c'est l'honnêteté. Moi, c'est ça, ma religion. Je n'irai pas m'asseoir dans une église pour faire plaisir à la religion, aucunement. Mais par contre, je vais aller m'asseoir, par exemple, devant ma rivière, auprès des arbres, auprès des oiseaux, auprès des minoux qui passent à côté de moi, auprès des chevaux, auprès des animaux de peu importe. que ce soit il y a un mammifère ou à quatre pattes ou à plumes mon but c'est d'être libre c'est d'être dans l'amour dans le respect c'est ça une de mes plus grandes valeurs et ça je le suis en tout temps dans mon être c'est moi je l'intègre il y a du monde qui se disent dans la religion mais crimbin il l'intègre pas J'écoutais une série l'autre fois, j'étais tellement enragée, j'étais frustrée parce que je voyais des Amérindiens qui se faisaient imposer en se faisant battre avec la Bible sur la tête pour qu'ils rentrent dans leurs esprits des mots de la Bible, qu'ils les battaient, ils les frappaient, ils les brûlaient. Quand je vois ça, ça me... ça me fait mal. Parce qu'on n'a pas un... Imposer personne à ça, c'est la même chose que tu sois en couple, en amitié. Si tu es dans une situation que tu es prise, que tu es pris, ce n'est pas normal. C'est la liberté, c'est ça qui est normal. C'est d'être libre comme l'arbre qui pousse avec ses branches et qui prend de la hauteur. Ça, c'est normal. C'est d'être la rivière qui coule. Ça, c'est normal. Elle est dans son élément. Mais je le sais que ma mission, c'est justement d'aider mon prochain à ce qu'il soit tout simplement en liberté. Ça, ça me fait du bien. J'aime tellement ça. Ça me satisfait de voir que la dame... Puis le monsieur qui se sont pris dans les bras dans la rue, c'était que de l'amour. C'est wow ! C'est de même qu'on serait tous supposés de vivre. Il n'y en existerait pas de la jalousie ni de l'envie si tout le monde serait dans l'amour comme ça. Au contraire, on s'élèverait. Toi, qu'est-ce que tu peux faire comme différence pour aider à ce que toi-même tu puisses t'élever dans l'amour ? C'est quoi qui te ferait du bien ? C'est quoi que tu pourrais te faire à toi, dans ton temple intérieur, à ce que tu puisses t'élever dans l'amour ? C'est ça qui me fait, ça me fait vibrer en dedans de moi. Puis quand ça me fait vibrer, c'est parce que je le sais que c'est bon, je le sais que c'est bien. C'est en commençant par soi. J'ai marché mon chemin de vie jusqu'à ce que je me sente. à vibrer de cette façon-là. Et maintenant, sans mon consentement, il n'y aura plus personne qui va m'empêcher de vibrer parce que je le sais. Je le sais qu'à l'intérieur de moi, je suis une bonne personne. Tout simplement. C'est sûr que ça se peut qu'il y ait des choses qui sont autour de moi. L'ombre va essayer de venir, mais en même temps, je ne veux plus mettre ça dans mes croyances. Parce que dans ma croyance, il n'existe que de l'amour et de la lumière. Et dans ma croyance, c'est ici que j'ai pour m'en dire qui est le paradis. C'est tellement fort ma croyance. Il n'y a pas longtemps, je suis allée me chercher. je suis allée au service à l'auto chez Tim et quand on me dit comment tu vas, j'ai dit je vais super bien. J'ai dit toi, comment tu vas ? Il m'a dit si toi tu vas, moi je vais super bien. Fait que là, c'est drôle parce que je suis toujours en train de dire ça à quelqu'un. Si t'es heureuse, moi je suis heureuse. Je suis tout le temps en train de dire ça, vraiment. Est-ce que t'es bien ? Là, la personne va me dire oui, puis la personne va me dire, est-ce que toi, t'es bien ? Bien, moi, je leur dis, si toi, t'es bien, moi, je suis bien. Parce que, en fait, je suis tellement réceptive que si la personne est bien, je sais que je suis bien. Mais si la personne va mal, je sais que je vais la porter dans un bien-être parce que mon but, c'est de la porter à ce qu'elle soit bien. Et là, la personne qui est au service à l'auto me dit, est-ce que je peux te poser une question ? Je dis oui. La personne me dit, est-ce que tu arrives du paradis ? Et là, je regarde la personne, puis là, je savais qu'il était comme un petit peu coquin dans son regard, et j'ai dit, le paradis est-il sur la Terre ? Puis là, il m'a regardée, puis il a fait un grand sourire. Puis là, j'ai fait comme, la vie pour moi, ça, c'était significatif de ce qu'il lui m'a dit, parce qu'il m'a posé cette question-là, mais à tous les jours, j'ai... me dire que j'ai la chance d'être ici, sur cette terre, au paradis terrestre. Et j'ai envie de créer mon propre paradis. En ce moment, devant moi, je suis devant les arbres, et il y a plein, plein, plein, plein, plein de petits oiseaux. Des petits serins jaunes. Il y en a plein, des petits, des petits mésanges. Peut-être que tu les entends. Il y en a des centaines. je trouve ça tellement magique c'est ça qui est beau parce que j'ai le regard de voir le beau Si à l'intérieur de toi, il y a quelque chose qui ne va pas, tu ne verras jamais les oiseaux. Tu ne les verras pas parce que ton regard va être tourné vers uniquement ce qui est ombre. Tandis que là, quand on regarde uniquement avec les yeux de son cœur, on peut voir au travers des branches les oiseaux, les écureuils, les Ausha, même jusqu'à des canards qui ont passé. C'est beau la vie. J'espère que ce podcast t'a parlé, qu'il t'a peut-être même fait réfléchir, qu'il t'a peut-être apporté à comprendre des choses ou à te questionner, à te demander si t'es prête ou prêt à avoir une nouvelle vision de la vie. Peu importe, tu le sais que je suis là. S'il y a quoi que ce soit, tu m'écris. Ça va me faire plaisir. de te jaser ça. S'il y a quelqu'un dans ton entourage qui tu penses que ça pourrait faire du bien d'entendre ce que j'ai partagé, partage. C'est ça, c'est ça la valeur de la vie. Si tu as des questions, peu importe, je veux vraiment pas que tu te gênes et je veux pas que tu penses non plus que tu vas me déranger. Au contraire, moi j'ai pour mon dire que tout passe par la voix du cœur, tout passe par l'être humain. C'est ça qui fait que je suis tellement contente d'avoir rencontré une de mes coachs que j'ai présentement du fait qu'elle aussi, elle n'a pas 14 000 personnes autour d'elle, c'est elle que j'ai comme humaine. Et ils disent que dans la vie, les cinq personnes qui t'entourent te représentent, bien, de voir ma coach, c'est une christie de belle personne. Et là, je commence à me dire que, crimbine, moi aussi, je suis une belle personne. Et ça, je le dis pas de façon hautaine et ni arrogante. Parce qu'encore là, dans les croyances du passé, c'est comme, tu peux pas t'honorer, tu peux pas dire que t'es belle, tu peux pas commencer à te vanter. Qui ? Qui me connaît plus que moi ? C'est moi. Fait que pourquoi que moi, je pourrais pas m'honorer ? Pourquoi que moi, j'aurais pas le droit de me dire « Karine, t'es belle aujourd'hui » au lieu de dire « Ah, j'ai encore ça de travers, là, me semble, j'ai mal dormi, j'ai des poches autour des yeux. » Non, on peut-tu se foutre la paix une fois, de temps en temps, et de se permettre de dire « Ok, j'ai le droit de me dire que je suis belle, j'ai le droit de dire que je suis bien dans ma peau. » C'est pas de se vanter, au contraire, c'est d'inspirer, c'est d'être. en mesure d'inspirer ceux et celles qui sont autour de nous. C'est ça qui est important aujourd'hui. Parce que, en inspirant, on apporte de la joie, de l'amour, de la légèreté, de la liberté, du bonheur, de l'excitation, du plaisir. C'est ça qui est important pour moi aujourd'hui. Fait que je te souhaite une belle journée, une belle continuité, une belle soirée. Peu importe où est-ce que tu es. Et je te dis à la prochaine !

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Description

Dans cet épisode, je t’invite à plonger dans une réflexion intime sur la liberté d’être pleinement qui nous sommes.

À travers mes propres expériences – de l’enfant incomprise, à la femme qui a osé sauter en deltaplane pour se libérer – je partage à quel point nos programmations (famille, école, religion, société) peuvent nous éloigner de notre vérité intérieure.


Comme un chat qui n’essaie pas d’être un chien, chacun de nous a une mission unique.

Quand on se permet de l’incarner, tout devient magique. ✨


Tu entendras aussi des histoires touchantes de mes accompagnements : comment des libérations profondes, grâce à l’EFT, aux vies antérieures et à la guidance de l’âme, ont transformé la vie de mes clientes, leur redonnant confiance, paix et amour.


Cet épisode est une invitation à te choisir, à t’honorer, et à laisser ton enfant intérieur s’exprimer librement.

Parce qu’au fond, la vie est plus simple quand on ose être soi, sans masque, sans peur, juste dans l’amour et la lumière.

Au plaisir de vous faire découvrir mon monde intérieur, en espérant qu’il vous en inspire.

Avec Amour,
Karine Turcotte


Vous pouvez me suivre: https://www.facebook.com/profile.php?id=61557736540965&mibextid=LQQJ4d


Facebook: Karine Turcotte 



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Allô, allô ! J'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon podcast en toute simplicité du cœur à l'âme épisode 63. Aujourd'hui, j'ai envie de te parler de suite avec mon accompagnement holistique à quel point que... Quand on se permet d'être qui on est réellement, c'est magique. Sérieusement, depuis que j'ai décidé de montrer qui je suis réellement, pour moi, c'est comme si je baignais dans... L'amour. Là, je suis en train de te parler dans ma tiny house et il y a un beau minou que je ne connais pas qui est exactement devant ma porte et tout est magique. Tout est parfait parce que ce que je suis en train de te dire, en fait, c'est que le chat, il est un chat. Il n'essaie pas d'être un chien. Il est dans sa mission de vie à être. un félin dont sa mission, lui, c'est de chasser. Même si nous, on essaye de le contrôler, c'est de chasser. Même si j'y empêcherais en ce moment de chasser en le prenant dans mes mains et de dire non, tu ne vas pas là, bien, en fait, c'est que je l'empêcherais de vivre. Je l'empêcherais d'être qui il est. C'est ce que je suis. C'est vraiment particulier parce que c'est exactement ça, moi. J'ai réalisé que du passé à aller aujourd'hui, je me suis empêchée d'être qui je suis réellement de par l'incompréhension de mes parents, dont mes parents m'apportaient à dire, Karine, arrête de dire des choses que... Ça n'existe pas. Ensuite, la religion. Quand la religion a embarqué là-dedans, façon de parler, pour la religion, c'était, « T'es un démon, tu dis pas des choses de même, ça se peut pas les vies antérieures. » Ça m'a contrôlé. Ensuite... À l'école, ça m'a contrôlé aussi. Parce que là, c'était, on te met dans le ABC, 1, 2, 3, on te met dans le rationnel. Mais c'est correct tout ça, là. Je ne suis pas à avoir de la rancune face à ça, aucunement. Mais c'est qu'au fil des années, ça montre que... On se programme de par ce qu'on a vécu. Ça, ça veut dire que moi, Karine, dont Karine qui est unique et exceptionnelle, comme toi aussi qui es en train de m'écouter, on a été programmé dans le passé pour qu'on devienne ce qui est autour de nous, ce qu'ils veulent de nous. La religion voulait de moi que je me taise, parce que la religion disait de moi que j'étais un démon. L'école me disait que j'étais à dire du n'importe quoi, quand c'était le temps d'écrire des soleils ou quand c'était le temps de partager des choses. Mais là, ce que ça fait en sorte, c'est que ça se vire contre toi. Fait que là, tu te dis, ben là, c'est moi qui n'ai pas normal. Et là, c'est là qu'on se transforme. Tu sais, le chat, par exemple, je suis à le contrôler et je suis à le mettre dans ma maison, à l'accaparer. Je ne veux pas qu'il sorte, je veux qu'il reste comme qu'il est. Ben, je le crée de façon à ce que j'y fais croire qu'il doit rester dans la maison et qu'il doit avoir peur et qu'il doit angoisser et qu'il doit stresser. Mais qu'en réalité, la vie pour lui est faite à ce qu'il soit à aller dehors et qu'il fasse la chasse. Ça fait partie de lui. Ça fait partie de qui il est. Et là, moi, quand je me suis donné... La liberté, et ça c'était à veille de faire un an, quand j'ai sauté en deltaplane, et que là je me suis dit, c'est assez, je me donne la liberté de me dégager de tout ce qui a été programmé, dont ce qui ne m'appartient pas. Si la peur à mes parents, dans le passé, c'était l'incompréhension de qui j'étais, bien c'est correct, ça leur appartient à moi, ça ne m'appartient pas, rendu là. Si la société a essayé de me programmer comme elle le voulait, moi, ça ne m'appartient pas. Je n'ai pas à vouloir accepter ça. Ça ne me tente pas. Mais ça, il faut que tu ailles à un côté rebelle pour ça. Parce que si tu es soumise, c'est clair que tu n'auras pas ta propre vision. Fait que quand j'ai décidé de sauter en deltaplane et tout laisser derrière moi, ça a été comme là. j'ai envie de laisser la petite Karine à l'intérieur d'elle, ce qu'elle porte à Aïe, qui elle se doit, parce qu'elle sait qu'elle n'est pas méchante, elle sait qu'elle fait du bien autour d'elle, et depuis que le podcast à Karine a sorti, ça, ça a été un ancrage, en sortant ce podcast dans Impacte le monde, où est-ce que pour moi, c'était significatif, parce que ça montrait que... Je me montre qui je suis réellement. Tu m'acceptes ou tu ne m'acceptes pas. Si tu m'acceptes, ça va me faire plaisir de t'ouvrir la porte. Et si tu ne m'acceptes pas, bien, c'est parfait. Ça se peut qu'on se voie en train de faire du vélo ou de la moto, puis c'est parfait comme ça. Mais ce que je demande, c'est, respecte-moi dans qui je suis, et moi, je vais te respecter dans qui tu es. Et ensemble, on va être libres. Et c'est ça qui est génial. C'est de laisser celui ou celle dans sa liberté. C'est ça qui est beau. Et depuis que j'ai des gens de partout de l'extérieur qui viennent me rencontrer, c'est un cadeau. C'est un cadeau parce que ces gens qui viennent à moi, c'est parce qu'ils ont à vouloir venir dans mon univers pour mieux se connaître. pour mieux se comprendre, pour qu'on aille ensemble, de par ma vision, à ce que je puisse les libérer, purifier, nettoyer sur tous les plans. Mais ça, c'est beau. Juste samedi, j'ai eu un moment qui a été tellement magique. Une dame qui est venue me rencontrer. dont je vais garder la confidentialité. Et cette dame, c'était, au départ, pour elle, c'était difficile de me parler, d'exprimer, d'oser dire des mots dont elle dévoilait sa plus grande faiblesse. Avec mes outils... Je l'ai accompagnée quand elle parlait en EFT pour qu'elle puisse vraiment se déposer émotionnellement, pour qu'elle puisse être dans une posture dont elle devient maître. Et là, elle a été capable, avec le EFT, d'intégrer à l'intérieur d'elle une posture dont elle m'a exprimé ses toques. Des toques. qui sont assez importants, des TOCs qui sont très encombrants, donc ça vient dans sa vie personnelle, dans sa vie professionnelle, impacter de la négativité qui pourrait, du jour au lendemain, avoir un effet. dont elle pourrait se retrouver totalement seule. Et à l'intérieur d'elle, elle était rendue au point qu'elle souffrait plus que son toc. Et de la voir, donc, elle faisait le EFT en partageant ce qu'elle vivait. et qu'elle voyait d'elle-même qu'elle était capable de s'exprimer sans s'écrouler, sans pleurer, ça a fait qu'elle a pris une confiance. Et là, elle a ouvert son cœur. Et en ouvrant son cœur, ça a fait en sorte qu'on a été capable... Par la suite, est-ce que je l'accompagne et qu'on entre dans une de ses vies antérieures, dont, dans la vie d'aujourd'hui, elle a eu à vivre une situation, une problématique, je ne me souviens plus du nom, mais je sais que c'est papillon au niveau de l'utérus, un petit cancer au niveau de l'utérus, dont... Dans la vie antérieure, elle a été touchée par un paternel de par ses mains et de l'homme, le père, dans le fond, dans la vie antérieure, s'est retrouvé à toucher sa fille dans ses parties intimes de façon vraiment agressante. et dans la vie d'aujourd'hui, ce qui est vraiment particulier, c'est que... Quand elle a eu à parler avec son médecin ? il y a de ça X années, elle lui a demandé pourquoi j'ai eu à avoir ce cancer-là. Et là, le médecin lui a dit ça, c'est à cause que tu as touché à des poignées de porte. Ouais. Bizarre de même. Mais en même temps, j'ai pas de jugement. Parce que... Pour elle, c'est qu'elle s'est ancrée dans sa tête qu'à chaque poignée de porte qu'elle prend dans sa main, elle se doit de se laver les mains. Elle se doit de décontaminer sa maison à chaque fois qu'elle entre dans sa maison. C'est gros, là. Ça fait des années et des années et des années. qu'elle a ce TOC, dont, qui a été programmé par le médecin, qui lui a dit qu'à chaque fois qu'elle allait toucher à une porte, qu'elle risquait de se contaminer. C'est gros, là. Elle, elle a pris ça pour du cash, parce que l'homme qui est devant elle est dans une... posture professionnelle. Elle croit en tout ce qu'il a dit. Tellement que ça fait des années et des années et des années que elle se lave les mains. Mais pas juste se laver les mains, elle se met du purèle. Tout ! Ce que le monde touche autour d'elle, elles se doivent de se laver les mains. Ça a un impact dans sa vie personnelle, professionnelle. Imaginons, de s'imaginer qu'elles se doivent de vivre à tous les jours avec cette problématique, elles vont s'en créer d'autres. dont l'alcoolisme, dont devenir sous une forme de psychose émotionnelle, du délire, parce que là, elle ne veut pas que personne entre chez elle par peur de ce qui contamine sa maison, parce qu'ils sont dangereux pour elle. C'est gros, toute cette histoire-là. Mais là, la cliente a réalisé que dans la vie antérieure, quand le paternel la faisait asseoir sur lui, et que lui, de par sa main, était à lui toucher la partie intime, donc il était à lui programmer. Dans son âme, cette violation, dans la vie d'aujourd'hui, elle a apporté ça ici sur le plan de l'âme et son corps a été attrapé. programmée de par des situations émotionnelles qu'elle a vécues dans le passé qui lui ont ramené à se souvenir que dans la vie d'aujourd'hui, je me dois de me libérer de cette mémoire cellulaire pour être en paix. Parce que sa situation qu'elle vit depuis des années, ça lui a empêché d'avoir une relation. Ça la, entre parenthèses, ça la protégeait. Ça l'apportait à ce que, justement, qu'il y ait... pas d'homme nuisible dans sa vie, parce que pour elle, elle a vécu un choc dans la vie antérieure, d'être touchée par les mains d'un homme qui n'a pas su respecter, et ça s'est imprégné à l'intérieur de elle, cette émotion-là. Cette émotion de honte, exactement comme quand on est après d'avoir un lendemain de veille, on a ce sentiment-là de honte. Humilier, l'humiliation d'avoir fait ou d'avoir dit des conneries ou de ne pas avoir été sage dans notre état d'ébriété. Ça fait que ça l'apportait à faire des... situation autour d'elle dont elle se retrouvait dans les... mêmes émotions que dans la vie antérieure. Et là, qu'est-ce qu'il était avec son conjoint, qui, ils ont décidé après X années de s'établir ensemble. Mais là, plus que ça allait, puis plus que la chicane entre les deux se créait, parce que la dame, avec son toc, mais qu'en fait, son toc, c'était... Un ancrage de peur. Un ancrage d'insécurité. Un ancrage que la posture professionnelle lui a mis en tête. Et là, c'était rendu au point que... Qu'est-ce que je fais avec ma relation ? Est-ce que je reste en relation ? Qu'est-ce que je fais ? Parce que la chicane est présente dans notre vie. Parce que il y a des mots qui dépassent des fois les limites. C'est gros. Quand la dame a compris. durant l'accompagnement, ce qui s'avait passé entre les deux, et quand sa mère, qui est dans le monde de l'au-delà, est arrivée à ses côtés, et qu'elle lui a dit que maintenant l'amour est plus fort que tout, c'est là qu'il y a eu une libération, un détachement de dire que là, ce qui t'a été ancré, c'est maintenant du passé, tu te dois. De laisser entrer l'amour parce que l'amour, elle est toute. Pour en arriver à être libre, il s'est passé de quoi à l'intérieur d'elle, sur le plat de l'âme et de son corps ? Donc, quand la maman lui a dit, ouvre grand tes ailes de ce papillon et sors de ton cocon. Son ventre s'est mis à gronder, là. Son ventre, c'est comme s'il se mettait à s'exprimer, à chanter. La synchronicité était juste parfaite. Parfaite, parfaite. Quand la cliente a ouvert les yeux et qu'on a parlé, qu'on a partagé, c'était de toute beauté parce qu'elle comprenait enfin le pourquoi. Elle comprenait enfin d'où tout ça venait, pourquoi qu'elle avait dû vivre ça. Quand elle est partie, elle s'en allait à pied et son conjoint est arrivé. Et son conjoint est arrivé tout délicatement en n'étant pas sûr s'il ouvrait les bras ou pas. Et elle l'a pris dans ses bras. Dans la rue, moi j'étais dans la fenêtre. Comme par hasard, je me suis tournée et j'ai vu cette scène dont j'ai pas pu m'empêcher, mais je me suis mise à pleurer. Je pleurais à chaudes larmes tellement que c'était émouvant de voir ces deux êtres créer la paix. Cette dame le prenait dans ses bras avec vulnérabilité, avec amour. C'était wow ! Il a resté dans les bras 2, 3, 4 minutes. Je pleurais, je pleurais tellement que c'était beau et je suis sûre qu'à partir de là, justement, que la paix... s'est installée face à la dame parce que c'était magique. C'était tout simplement magique. Vraiment, vraiment, vraiment. Et c'est là, quand je les ai vues toutes les deux ensemble, que je savais que ma mission, c'était exactement d'être qui je suis. De voir cet homme-là et cette femme-là ensemble, dans les bras unis, ça me montrait que moi-même, j'étais unie dans ma masculinité sacrée, dans ma féminité sacrée, dont mon enfant intérieur se permettait d'être qui elle se devait d'être, dans sa plus grande puissance. Mais je me suis mis tellement... à pleurer d'amour là parce que c'est bon d'être qui on est sans qu'on ait d'adverses sans qu'on ait de qu'on ait rien qui nous empêche d'être qui on est c'est bon ça fait du bien c'est c'est comme si je me permettais de dessiner sans que personne me dise quoi faire C'est ma créativité. C'est ma couleur. C'est ma façon d'être. C'est moi. C'est Karine. Puis ça, c'est un cadeau à Sophia qui est inestimable. Quand les gens... Tu sais, j'en ai fait beaucoup de développement personnel, de croissance personnelle, puis tout le kit, vraiment beaucoup, beaucoup, beaucoup. Et tu sais, les gens disaient... Laissez votre enfant intérieur s'exprimer. Laissez votre âme s'exprimer dans qui vous êtes. Oui, ça a bien beau. Tu as bien beau le laisser. Mais c'est parce que si tu as des choses en dedans de toi que tu ne comprends pas, ça ne peut pas être si facile que ça. Il faut qu'il y ait quelque chose. Il faut qu'il y ait un clic dans le subconscient. Sinon, ça ne marche pas. La preuve. Je ressortais de là et je me disais, comment je fais pour faire ça ? Comment je fais pour être comme... Comme qui est en train de me dire, justement, il y avait des blocages. Mais ces blocages-là, si tu ne les comprends pas, si tu ne les marches pas, tu ne peux pas avoir un déclic en toi. Et moi, je l'ai eu, le déclic, justement, quand je me suis dit, là, c'est assez. Il n'y a plus personne dans ma vie qui va, sans mon consentement, me dire que... Faut que tu prennes ce chemin-là, Karine. Non, moi, ce que je veux, c'est de suivre ma voix, mon cœur, mon intuition, mon âme. C'est ça que je veux. Et là, présentement, j'ai une coach. Et cette coach, elle est exceptionnelle parce que je suis rendue à l'étape qu'elle me montre où je suis. Elle me laisse libre d'aller où. ce que je dois aller, mais en étant à me mentorer à ce que je puisse vraiment suivre la ligne directive pour ma mission. Mais ce n'est pas elle qui décide pour moi, là. C'est moi. Elle, elle me montre juste l'instruction. Elle me montre juste la marche à suivre. Et moi ? je me dois de mettre ma couleur. Je me dois de mettre qui je suis. Et ça, c'est de me laisser libre de ma mission de vie, pis c'est génial. Pis c'est ça qui fait que quand j'apporte mon client ou ma cliente en accompagnement, c'est du wow. Parce que je la laisse libre. Elle me laisse libre. Ou il. me laisse libre. Parce que c'est ce qui fait que tout le monde ensemble, on est libre. Il n'y a pas de barrière, il n'y a pas d'obstacle, il n'y a rien qui nous empêche. On est qui on doit être. Puis ça, c'est tellement beau. J'ai fait un autre accompagnement holistique, donc c'était wow, je savais... aucunement où est-ce que j'allais être guidée parce que je la connaissais pas du tout et c'était du gros wow. Quand on a eu fini, la cliente m'a dit « Je comprends maintenant pourquoi je me sentais coupable que ma fille ait eu une problématique physique dans sa jambe droite. » qui était en lien avec une vie antérieure que sa petite soeur de 3 ans a été obligée d'être amputée dans cette vie antérieure-là dû à une situation de virus et que pour elle, c'était enfin que je comprends pourquoi je me sentais coupable d'avoir mis ma fille au monde dans cette vie-ci et qu'elle avait une problématique dans sa jambe droite. Et que dans la vie d'aujourd'hui, elle comprenait pourquoi elle voulait une vie simple. Que tout ce qui était compliqué, c'était non. Oui, sa belle famille lui apportait des complications, puis c'était pour elle. Non, je ne veux pas. Parce que dans cette vie-ci, je me dois d'être à vivre une vie simple. Que la raison pourquoi qu'elle s'est construite une maison à 1,2 km dans le bois, pour être sûre d'avoir la paix, c'est-tu pas merveilleux ? C'est tous des points dans sa vie à elle qu'elle a compris quand... Pourquoi que dans la vie d'aujourd'hui, qu'elle a vu, qu'elle a senti de par son cœur, qu'elle a été attirée par son conjoint, ça lui a fait comprendre pourquoi qu'elle n'était pas folle. Elle savait qu'il y avait quelque chose qui était au-delà de la compréhension terrestre, rationnelle. C'est ça qui est beau. Moi, ça, ça me fait empuissancer, mais incroyablement. Ça me donne de l'énergie, ça me donne de l'amour, ça me donne de la liberté, ça me donne de l'envol de dire que c'est tellement bon d'être qui on doit être. Parce que je le sais que je fais du bien, parce que je le sais que je ne suis pas méchante, parce que je le sais que ce que je fais, c'est pour apporter à celui ou celle qui a besoin de comprendre qui il s'en. Et c'est en étant à comprendre qui on est qu'on règle des choses émotionnelles, dont des dépendances, que ce soit l'alcool, l'argent, le sexe, la drogue, des dépendances de toques aussi, de trop être à vouloir tout nettoyer sur son passage ou avoir des toques que tout soit parfait. Tout ça, c'est des toques. des dépendances, en lien avec des peurs, des manques, de l'insécurité. C'est une compensation. Et ça, quand il y a quelque chose qu'on comprend à partir de ce moment-là, c'est comme du gros « wow » , vraiment. Et de mettre en lien, c'est comme prendre un morceau de puzzle et qu'on le met en plein ou l'endroit dont on était à la recherche de, et c'est comme... Et enfin, j'ai fini cette partie-là. Et je peux tellement comprendre ces personnes qui vivent ces moments-là d'éveil parce que moi-même, quand j'ai eu 16 ans, à 16 ans que j'ai vécu ma première régression et que je suis retournée dans ma mémoire cellulaire de la mer indienne, que je me suis vue être grande, je l'ai sentie en dedans de moi. que j'ai senti que enfin je retournais chez nous, enfin, c'est comme retrouver une vieille amie, t'es heureuse, c'est ça, c'est ce sentiment-là qu'on a de je te retrouve, wow, c'est là, on... on devient empuissancé. Parce qu'il y a personne qui... Tu sais quand tu rencontres quelqu'un qui est énergivore, tu es écrasé, tu es fatigué, la personne a failli te siphonner. Bien, là, ce n'est pas ça que ça fait. Ça te donne du goût, ça te donne du pouvoir, ça te donne une puissance, ça te fait élever. Là, tu partages, mais c'est la même chose quand tu te retrouves. Il y a une lumière qui s'allume à l'intérieur de nous. Moi, je me souviens, quand j'avais 16 ans, je suis sortie de chez... de chez cette dame-là et que je parlais à une de mes tantes et que je lui disais « J'ai vécu ça, puis je sentais ça, puis je me sentais enfin moi. Je me voyais marcher, j'avais un gros sac sur le dos avec plein de branches puis je me sentais une esclave puis j'allais porter ça au monde dans le village. » Quand je me suis assise à la galerie chez mes parents, je m'en souviendrai toujours. Dans ce temps-là, je fumais. Oui, je me suis assise à la galerie et je me suis allumée une cigarette. J'étais dehors à regarder les montagnes, la forêt. Et j'étais à tout penser. Wow ! C'est pour ça que je fume. Parce que la mer Indienne, fumer, ça faisait partie du calumet. C'est pour ça qu'à l'âge de 11 ans, 12 ans, quand moi j'ai dit à 12 ans, je m'en vais m'acheter mon premier paquet de cigarettes, c'était important pour moi, c'était un ancrage cellulaire. Mais c'était une dépendance en fait que j'ai créée de par moi-même parce que je le savais qu'il y avait un manque qui était en lien avec. J'ai besoin de retrouver cette partie que j'ai oubliée, que j'ai mis de côté. et que là, que j'étais assise à mes 16 ans à observer à l'intérieur de moi que... Je comprends pourquoi j'ai choisi mes parents. Je comprends pourquoi j'ai choisi mon père. Mon père qui a du sable érindien. Mon père qui va à la chasse, qui m'apportait dans le bois. Mais moi, c'était aucunement, je ne veux pas chasser. Aucunement. Je n'ai jamais, sérieusement, je ne veux pas tuer des animaux. Je ne suis pas capable. Je ne suis pas capable. Si je tue un araignée, c'est parce que je suis vraiment dans l'obligation de la tuer. Les mouches, les abeilles, je les sors par la fenêtre, par la porte, peu importe, je vais trouver le moyen, les araignées, je vais les sortir. Mais je comprenais pourquoi j'avais choisi ma mère. Je comprenais pourquoi j'avais choisi ma famille. Parce qu'il y avait du sang amérindien, mais moi dans la vie d'aujourd'hui, je ne voulais pas être amérindienne, je voulais être une métisse, en fait. Moitié-moitié, parce que pour moi, c'était significatif de me garder contact avec le côté amérindien, mais de me garder aussi contact avec le nouveau monde. C'était ça, c'était important pour moi, parce que j'avais, dans cette vie-ci, j'ai un besoin de créer un nouveau monde en étant à le mettre à ma couleur et non en étant à être dans la couleur amérindienne et non d'être dans la couleur des blancs. Je veux pas être... en attaché avec une religion ? Aucunement. Ma religion, c'est la nature, c'est les animaux, c'est la vie, c'est l'amour, c'est le respect, c'est l'honnêteté. Moi, c'est ça, ma religion. Je n'irai pas m'asseoir dans une église pour faire plaisir à la religion, aucunement. Mais par contre, je vais aller m'asseoir, par exemple, devant ma rivière, auprès des arbres, auprès des oiseaux, auprès des minoux qui passent à côté de moi, auprès des chevaux, auprès des animaux de peu importe. que ce soit il y a un mammifère ou à quatre pattes ou à plumes mon but c'est d'être libre c'est d'être dans l'amour dans le respect c'est ça une de mes plus grandes valeurs et ça je le suis en tout temps dans mon être c'est moi je l'intègre il y a du monde qui se disent dans la religion mais crimbin il l'intègre pas J'écoutais une série l'autre fois, j'étais tellement enragée, j'étais frustrée parce que je voyais des Amérindiens qui se faisaient imposer en se faisant battre avec la Bible sur la tête pour qu'ils rentrent dans leurs esprits des mots de la Bible, qu'ils les battaient, ils les frappaient, ils les brûlaient. Quand je vois ça, ça me... ça me fait mal. Parce qu'on n'a pas un... Imposer personne à ça, c'est la même chose que tu sois en couple, en amitié. Si tu es dans une situation que tu es prise, que tu es pris, ce n'est pas normal. C'est la liberté, c'est ça qui est normal. C'est d'être libre comme l'arbre qui pousse avec ses branches et qui prend de la hauteur. Ça, c'est normal. C'est d'être la rivière qui coule. Ça, c'est normal. Elle est dans son élément. Mais je le sais que ma mission, c'est justement d'aider mon prochain à ce qu'il soit tout simplement en liberté. Ça, ça me fait du bien. J'aime tellement ça. Ça me satisfait de voir que la dame... Puis le monsieur qui se sont pris dans les bras dans la rue, c'était que de l'amour. C'est wow ! C'est de même qu'on serait tous supposés de vivre. Il n'y en existerait pas de la jalousie ni de l'envie si tout le monde serait dans l'amour comme ça. Au contraire, on s'élèverait. Toi, qu'est-ce que tu peux faire comme différence pour aider à ce que toi-même tu puisses t'élever dans l'amour ? C'est quoi qui te ferait du bien ? C'est quoi que tu pourrais te faire à toi, dans ton temple intérieur, à ce que tu puisses t'élever dans l'amour ? C'est ça qui me fait, ça me fait vibrer en dedans de moi. Puis quand ça me fait vibrer, c'est parce que je le sais que c'est bon, je le sais que c'est bien. C'est en commençant par soi. J'ai marché mon chemin de vie jusqu'à ce que je me sente. à vibrer de cette façon-là. Et maintenant, sans mon consentement, il n'y aura plus personne qui va m'empêcher de vibrer parce que je le sais. Je le sais qu'à l'intérieur de moi, je suis une bonne personne. Tout simplement. C'est sûr que ça se peut qu'il y ait des choses qui sont autour de moi. L'ombre va essayer de venir, mais en même temps, je ne veux plus mettre ça dans mes croyances. Parce que dans ma croyance, il n'existe que de l'amour et de la lumière. Et dans ma croyance, c'est ici que j'ai pour m'en dire qui est le paradis. C'est tellement fort ma croyance. Il n'y a pas longtemps, je suis allée me chercher. je suis allée au service à l'auto chez Tim et quand on me dit comment tu vas, j'ai dit je vais super bien. J'ai dit toi, comment tu vas ? Il m'a dit si toi tu vas, moi je vais super bien. Fait que là, c'est drôle parce que je suis toujours en train de dire ça à quelqu'un. Si t'es heureuse, moi je suis heureuse. Je suis tout le temps en train de dire ça, vraiment. Est-ce que t'es bien ? Là, la personne va me dire oui, puis la personne va me dire, est-ce que toi, t'es bien ? Bien, moi, je leur dis, si toi, t'es bien, moi, je suis bien. Parce que, en fait, je suis tellement réceptive que si la personne est bien, je sais que je suis bien. Mais si la personne va mal, je sais que je vais la porter dans un bien-être parce que mon but, c'est de la porter à ce qu'elle soit bien. Et là, la personne qui est au service à l'auto me dit, est-ce que je peux te poser une question ? Je dis oui. La personne me dit, est-ce que tu arrives du paradis ? Et là, je regarde la personne, puis là, je savais qu'il était comme un petit peu coquin dans son regard, et j'ai dit, le paradis est-il sur la Terre ? Puis là, il m'a regardée, puis il a fait un grand sourire. Puis là, j'ai fait comme, la vie pour moi, ça, c'était significatif de ce qu'il lui m'a dit, parce qu'il m'a posé cette question-là, mais à tous les jours, j'ai... me dire que j'ai la chance d'être ici, sur cette terre, au paradis terrestre. Et j'ai envie de créer mon propre paradis. En ce moment, devant moi, je suis devant les arbres, et il y a plein, plein, plein, plein, plein de petits oiseaux. Des petits serins jaunes. Il y en a plein, des petits, des petits mésanges. Peut-être que tu les entends. Il y en a des centaines. je trouve ça tellement magique c'est ça qui est beau parce que j'ai le regard de voir le beau Si à l'intérieur de toi, il y a quelque chose qui ne va pas, tu ne verras jamais les oiseaux. Tu ne les verras pas parce que ton regard va être tourné vers uniquement ce qui est ombre. Tandis que là, quand on regarde uniquement avec les yeux de son cœur, on peut voir au travers des branches les oiseaux, les écureuils, les Ausha, même jusqu'à des canards qui ont passé. C'est beau la vie. J'espère que ce podcast t'a parlé, qu'il t'a peut-être même fait réfléchir, qu'il t'a peut-être apporté à comprendre des choses ou à te questionner, à te demander si t'es prête ou prêt à avoir une nouvelle vision de la vie. Peu importe, tu le sais que je suis là. S'il y a quoi que ce soit, tu m'écris. Ça va me faire plaisir. de te jaser ça. S'il y a quelqu'un dans ton entourage qui tu penses que ça pourrait faire du bien d'entendre ce que j'ai partagé, partage. C'est ça, c'est ça la valeur de la vie. Si tu as des questions, peu importe, je veux vraiment pas que tu te gênes et je veux pas que tu penses non plus que tu vas me déranger. Au contraire, moi j'ai pour mon dire que tout passe par la voix du cœur, tout passe par l'être humain. C'est ça qui fait que je suis tellement contente d'avoir rencontré une de mes coachs que j'ai présentement du fait qu'elle aussi, elle n'a pas 14 000 personnes autour d'elle, c'est elle que j'ai comme humaine. Et ils disent que dans la vie, les cinq personnes qui t'entourent te représentent, bien, de voir ma coach, c'est une christie de belle personne. Et là, je commence à me dire que, crimbine, moi aussi, je suis une belle personne. Et ça, je le dis pas de façon hautaine et ni arrogante. Parce qu'encore là, dans les croyances du passé, c'est comme, tu peux pas t'honorer, tu peux pas dire que t'es belle, tu peux pas commencer à te vanter. Qui ? Qui me connaît plus que moi ? C'est moi. Fait que pourquoi que moi, je pourrais pas m'honorer ? Pourquoi que moi, j'aurais pas le droit de me dire « Karine, t'es belle aujourd'hui » au lieu de dire « Ah, j'ai encore ça de travers, là, me semble, j'ai mal dormi, j'ai des poches autour des yeux. » Non, on peut-tu se foutre la paix une fois, de temps en temps, et de se permettre de dire « Ok, j'ai le droit de me dire que je suis belle, j'ai le droit de dire que je suis bien dans ma peau. » C'est pas de se vanter, au contraire, c'est d'inspirer, c'est d'être. en mesure d'inspirer ceux et celles qui sont autour de nous. C'est ça qui est important aujourd'hui. Parce que, en inspirant, on apporte de la joie, de l'amour, de la légèreté, de la liberté, du bonheur, de l'excitation, du plaisir. C'est ça qui est important pour moi aujourd'hui. Fait que je te souhaite une belle journée, une belle continuité, une belle soirée. Peu importe où est-ce que tu es. Et je te dis à la prochaine !

Description

Dans cet épisode, je t’invite à plonger dans une réflexion intime sur la liberté d’être pleinement qui nous sommes.

À travers mes propres expériences – de l’enfant incomprise, à la femme qui a osé sauter en deltaplane pour se libérer – je partage à quel point nos programmations (famille, école, religion, société) peuvent nous éloigner de notre vérité intérieure.


Comme un chat qui n’essaie pas d’être un chien, chacun de nous a une mission unique.

Quand on se permet de l’incarner, tout devient magique. ✨


Tu entendras aussi des histoires touchantes de mes accompagnements : comment des libérations profondes, grâce à l’EFT, aux vies antérieures et à la guidance de l’âme, ont transformé la vie de mes clientes, leur redonnant confiance, paix et amour.


Cet épisode est une invitation à te choisir, à t’honorer, et à laisser ton enfant intérieur s’exprimer librement.

Parce qu’au fond, la vie est plus simple quand on ose être soi, sans masque, sans peur, juste dans l’amour et la lumière.

Au plaisir de vous faire découvrir mon monde intérieur, en espérant qu’il vous en inspire.

Avec Amour,
Karine Turcotte


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Transcription

  • Speaker #0

    Allô, allô ! J'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon podcast en toute simplicité du cœur à l'âme épisode 63. Aujourd'hui, j'ai envie de te parler de suite avec mon accompagnement holistique à quel point que... Quand on se permet d'être qui on est réellement, c'est magique. Sérieusement, depuis que j'ai décidé de montrer qui je suis réellement, pour moi, c'est comme si je baignais dans... L'amour. Là, je suis en train de te parler dans ma tiny house et il y a un beau minou que je ne connais pas qui est exactement devant ma porte et tout est magique. Tout est parfait parce que ce que je suis en train de te dire, en fait, c'est que le chat, il est un chat. Il n'essaie pas d'être un chien. Il est dans sa mission de vie à être. un félin dont sa mission, lui, c'est de chasser. Même si nous, on essaye de le contrôler, c'est de chasser. Même si j'y empêcherais en ce moment de chasser en le prenant dans mes mains et de dire non, tu ne vas pas là, bien, en fait, c'est que je l'empêcherais de vivre. Je l'empêcherais d'être qui il est. C'est ce que je suis. C'est vraiment particulier parce que c'est exactement ça, moi. J'ai réalisé que du passé à aller aujourd'hui, je me suis empêchée d'être qui je suis réellement de par l'incompréhension de mes parents, dont mes parents m'apportaient à dire, Karine, arrête de dire des choses que... Ça n'existe pas. Ensuite, la religion. Quand la religion a embarqué là-dedans, façon de parler, pour la religion, c'était, « T'es un démon, tu dis pas des choses de même, ça se peut pas les vies antérieures. » Ça m'a contrôlé. Ensuite... À l'école, ça m'a contrôlé aussi. Parce que là, c'était, on te met dans le ABC, 1, 2, 3, on te met dans le rationnel. Mais c'est correct tout ça, là. Je ne suis pas à avoir de la rancune face à ça, aucunement. Mais c'est qu'au fil des années, ça montre que... On se programme de par ce qu'on a vécu. Ça, ça veut dire que moi, Karine, dont Karine qui est unique et exceptionnelle, comme toi aussi qui es en train de m'écouter, on a été programmé dans le passé pour qu'on devienne ce qui est autour de nous, ce qu'ils veulent de nous. La religion voulait de moi que je me taise, parce que la religion disait de moi que j'étais un démon. L'école me disait que j'étais à dire du n'importe quoi, quand c'était le temps d'écrire des soleils ou quand c'était le temps de partager des choses. Mais là, ce que ça fait en sorte, c'est que ça se vire contre toi. Fait que là, tu te dis, ben là, c'est moi qui n'ai pas normal. Et là, c'est là qu'on se transforme. Tu sais, le chat, par exemple, je suis à le contrôler et je suis à le mettre dans ma maison, à l'accaparer. Je ne veux pas qu'il sorte, je veux qu'il reste comme qu'il est. Ben, je le crée de façon à ce que j'y fais croire qu'il doit rester dans la maison et qu'il doit avoir peur et qu'il doit angoisser et qu'il doit stresser. Mais qu'en réalité, la vie pour lui est faite à ce qu'il soit à aller dehors et qu'il fasse la chasse. Ça fait partie de lui. Ça fait partie de qui il est. Et là, moi, quand je me suis donné... La liberté, et ça c'était à veille de faire un an, quand j'ai sauté en deltaplane, et que là je me suis dit, c'est assez, je me donne la liberté de me dégager de tout ce qui a été programmé, dont ce qui ne m'appartient pas. Si la peur à mes parents, dans le passé, c'était l'incompréhension de qui j'étais, bien c'est correct, ça leur appartient à moi, ça ne m'appartient pas, rendu là. Si la société a essayé de me programmer comme elle le voulait, moi, ça ne m'appartient pas. Je n'ai pas à vouloir accepter ça. Ça ne me tente pas. Mais ça, il faut que tu ailles à un côté rebelle pour ça. Parce que si tu es soumise, c'est clair que tu n'auras pas ta propre vision. Fait que quand j'ai décidé de sauter en deltaplane et tout laisser derrière moi, ça a été comme là. j'ai envie de laisser la petite Karine à l'intérieur d'elle, ce qu'elle porte à Aïe, qui elle se doit, parce qu'elle sait qu'elle n'est pas méchante, elle sait qu'elle fait du bien autour d'elle, et depuis que le podcast à Karine a sorti, ça, ça a été un ancrage, en sortant ce podcast dans Impacte le monde, où est-ce que pour moi, c'était significatif, parce que ça montrait que... Je me montre qui je suis réellement. Tu m'acceptes ou tu ne m'acceptes pas. Si tu m'acceptes, ça va me faire plaisir de t'ouvrir la porte. Et si tu ne m'acceptes pas, bien, c'est parfait. Ça se peut qu'on se voie en train de faire du vélo ou de la moto, puis c'est parfait comme ça. Mais ce que je demande, c'est, respecte-moi dans qui je suis, et moi, je vais te respecter dans qui tu es. Et ensemble, on va être libres. Et c'est ça qui est génial. C'est de laisser celui ou celle dans sa liberté. C'est ça qui est beau. Et depuis que j'ai des gens de partout de l'extérieur qui viennent me rencontrer, c'est un cadeau. C'est un cadeau parce que ces gens qui viennent à moi, c'est parce qu'ils ont à vouloir venir dans mon univers pour mieux se connaître. pour mieux se comprendre, pour qu'on aille ensemble, de par ma vision, à ce que je puisse les libérer, purifier, nettoyer sur tous les plans. Mais ça, c'est beau. Juste samedi, j'ai eu un moment qui a été tellement magique. Une dame qui est venue me rencontrer. dont je vais garder la confidentialité. Et cette dame, c'était, au départ, pour elle, c'était difficile de me parler, d'exprimer, d'oser dire des mots dont elle dévoilait sa plus grande faiblesse. Avec mes outils... Je l'ai accompagnée quand elle parlait en EFT pour qu'elle puisse vraiment se déposer émotionnellement, pour qu'elle puisse être dans une posture dont elle devient maître. Et là, elle a été capable, avec le EFT, d'intégrer à l'intérieur d'elle une posture dont elle m'a exprimé ses toques. Des toques. qui sont assez importants, des TOCs qui sont très encombrants, donc ça vient dans sa vie personnelle, dans sa vie professionnelle, impacter de la négativité qui pourrait, du jour au lendemain, avoir un effet. dont elle pourrait se retrouver totalement seule. Et à l'intérieur d'elle, elle était rendue au point qu'elle souffrait plus que son toc. Et de la voir, donc, elle faisait le EFT en partageant ce qu'elle vivait. et qu'elle voyait d'elle-même qu'elle était capable de s'exprimer sans s'écrouler, sans pleurer, ça a fait qu'elle a pris une confiance. Et là, elle a ouvert son cœur. Et en ouvrant son cœur, ça a fait en sorte qu'on a été capable... Par la suite, est-ce que je l'accompagne et qu'on entre dans une de ses vies antérieures, dont, dans la vie d'aujourd'hui, elle a eu à vivre une situation, une problématique, je ne me souviens plus du nom, mais je sais que c'est papillon au niveau de l'utérus, un petit cancer au niveau de l'utérus, dont... Dans la vie antérieure, elle a été touchée par un paternel de par ses mains et de l'homme, le père, dans le fond, dans la vie antérieure, s'est retrouvé à toucher sa fille dans ses parties intimes de façon vraiment agressante. et dans la vie d'aujourd'hui, ce qui est vraiment particulier, c'est que... Quand elle a eu à parler avec son médecin ? il y a de ça X années, elle lui a demandé pourquoi j'ai eu à avoir ce cancer-là. Et là, le médecin lui a dit ça, c'est à cause que tu as touché à des poignées de porte. Ouais. Bizarre de même. Mais en même temps, j'ai pas de jugement. Parce que... Pour elle, c'est qu'elle s'est ancrée dans sa tête qu'à chaque poignée de porte qu'elle prend dans sa main, elle se doit de se laver les mains. Elle se doit de décontaminer sa maison à chaque fois qu'elle entre dans sa maison. C'est gros, là. Ça fait des années et des années et des années. qu'elle a ce TOC, dont, qui a été programmé par le médecin, qui lui a dit qu'à chaque fois qu'elle allait toucher à une porte, qu'elle risquait de se contaminer. C'est gros, là. Elle, elle a pris ça pour du cash, parce que l'homme qui est devant elle est dans une... posture professionnelle. Elle croit en tout ce qu'il a dit. Tellement que ça fait des années et des années et des années que elle se lave les mains. Mais pas juste se laver les mains, elle se met du purèle. Tout ! Ce que le monde touche autour d'elle, elles se doivent de se laver les mains. Ça a un impact dans sa vie personnelle, professionnelle. Imaginons, de s'imaginer qu'elles se doivent de vivre à tous les jours avec cette problématique, elles vont s'en créer d'autres. dont l'alcoolisme, dont devenir sous une forme de psychose émotionnelle, du délire, parce que là, elle ne veut pas que personne entre chez elle par peur de ce qui contamine sa maison, parce qu'ils sont dangereux pour elle. C'est gros, toute cette histoire-là. Mais là, la cliente a réalisé que dans la vie antérieure, quand le paternel la faisait asseoir sur lui, et que lui, de par sa main, était à lui toucher la partie intime, donc il était à lui programmer. Dans son âme, cette violation, dans la vie d'aujourd'hui, elle a apporté ça ici sur le plan de l'âme et son corps a été attrapé. programmée de par des situations émotionnelles qu'elle a vécues dans le passé qui lui ont ramené à se souvenir que dans la vie d'aujourd'hui, je me dois de me libérer de cette mémoire cellulaire pour être en paix. Parce que sa situation qu'elle vit depuis des années, ça lui a empêché d'avoir une relation. Ça la, entre parenthèses, ça la protégeait. Ça l'apportait à ce que, justement, qu'il y ait... pas d'homme nuisible dans sa vie, parce que pour elle, elle a vécu un choc dans la vie antérieure, d'être touchée par les mains d'un homme qui n'a pas su respecter, et ça s'est imprégné à l'intérieur de elle, cette émotion-là. Cette émotion de honte, exactement comme quand on est après d'avoir un lendemain de veille, on a ce sentiment-là de honte. Humilier, l'humiliation d'avoir fait ou d'avoir dit des conneries ou de ne pas avoir été sage dans notre état d'ébriété. Ça fait que ça l'apportait à faire des... situation autour d'elle dont elle se retrouvait dans les... mêmes émotions que dans la vie antérieure. Et là, qu'est-ce qu'il était avec son conjoint, qui, ils ont décidé après X années de s'établir ensemble. Mais là, plus que ça allait, puis plus que la chicane entre les deux se créait, parce que la dame, avec son toc, mais qu'en fait, son toc, c'était... Un ancrage de peur. Un ancrage d'insécurité. Un ancrage que la posture professionnelle lui a mis en tête. Et là, c'était rendu au point que... Qu'est-ce que je fais avec ma relation ? Est-ce que je reste en relation ? Qu'est-ce que je fais ? Parce que la chicane est présente dans notre vie. Parce que il y a des mots qui dépassent des fois les limites. C'est gros. Quand la dame a compris. durant l'accompagnement, ce qui s'avait passé entre les deux, et quand sa mère, qui est dans le monde de l'au-delà, est arrivée à ses côtés, et qu'elle lui a dit que maintenant l'amour est plus fort que tout, c'est là qu'il y a eu une libération, un détachement de dire que là, ce qui t'a été ancré, c'est maintenant du passé, tu te dois. De laisser entrer l'amour parce que l'amour, elle est toute. Pour en arriver à être libre, il s'est passé de quoi à l'intérieur d'elle, sur le plat de l'âme et de son corps ? Donc, quand la maman lui a dit, ouvre grand tes ailes de ce papillon et sors de ton cocon. Son ventre s'est mis à gronder, là. Son ventre, c'est comme s'il se mettait à s'exprimer, à chanter. La synchronicité était juste parfaite. Parfaite, parfaite. Quand la cliente a ouvert les yeux et qu'on a parlé, qu'on a partagé, c'était de toute beauté parce qu'elle comprenait enfin le pourquoi. Elle comprenait enfin d'où tout ça venait, pourquoi qu'elle avait dû vivre ça. Quand elle est partie, elle s'en allait à pied et son conjoint est arrivé. Et son conjoint est arrivé tout délicatement en n'étant pas sûr s'il ouvrait les bras ou pas. Et elle l'a pris dans ses bras. Dans la rue, moi j'étais dans la fenêtre. Comme par hasard, je me suis tournée et j'ai vu cette scène dont j'ai pas pu m'empêcher, mais je me suis mise à pleurer. Je pleurais à chaudes larmes tellement que c'était émouvant de voir ces deux êtres créer la paix. Cette dame le prenait dans ses bras avec vulnérabilité, avec amour. C'était wow ! Il a resté dans les bras 2, 3, 4 minutes. Je pleurais, je pleurais tellement que c'était beau et je suis sûre qu'à partir de là, justement, que la paix... s'est installée face à la dame parce que c'était magique. C'était tout simplement magique. Vraiment, vraiment, vraiment. Et c'est là, quand je les ai vues toutes les deux ensemble, que je savais que ma mission, c'était exactement d'être qui je suis. De voir cet homme-là et cette femme-là ensemble, dans les bras unis, ça me montrait que moi-même, j'étais unie dans ma masculinité sacrée, dans ma féminité sacrée, dont mon enfant intérieur se permettait d'être qui elle se devait d'être, dans sa plus grande puissance. Mais je me suis mis tellement... à pleurer d'amour là parce que c'est bon d'être qui on est sans qu'on ait d'adverses sans qu'on ait de qu'on ait rien qui nous empêche d'être qui on est c'est bon ça fait du bien c'est c'est comme si je me permettais de dessiner sans que personne me dise quoi faire C'est ma créativité. C'est ma couleur. C'est ma façon d'être. C'est moi. C'est Karine. Puis ça, c'est un cadeau à Sophia qui est inestimable. Quand les gens... Tu sais, j'en ai fait beaucoup de développement personnel, de croissance personnelle, puis tout le kit, vraiment beaucoup, beaucoup, beaucoup. Et tu sais, les gens disaient... Laissez votre enfant intérieur s'exprimer. Laissez votre âme s'exprimer dans qui vous êtes. Oui, ça a bien beau. Tu as bien beau le laisser. Mais c'est parce que si tu as des choses en dedans de toi que tu ne comprends pas, ça ne peut pas être si facile que ça. Il faut qu'il y ait quelque chose. Il faut qu'il y ait un clic dans le subconscient. Sinon, ça ne marche pas. La preuve. Je ressortais de là et je me disais, comment je fais pour faire ça ? Comment je fais pour être comme... Comme qui est en train de me dire, justement, il y avait des blocages. Mais ces blocages-là, si tu ne les comprends pas, si tu ne les marches pas, tu ne peux pas avoir un déclic en toi. Et moi, je l'ai eu, le déclic, justement, quand je me suis dit, là, c'est assez. Il n'y a plus personne dans ma vie qui va, sans mon consentement, me dire que... Faut que tu prennes ce chemin-là, Karine. Non, moi, ce que je veux, c'est de suivre ma voix, mon cœur, mon intuition, mon âme. C'est ça que je veux. Et là, présentement, j'ai une coach. Et cette coach, elle est exceptionnelle parce que je suis rendue à l'étape qu'elle me montre où je suis. Elle me laisse libre d'aller où. ce que je dois aller, mais en étant à me mentorer à ce que je puisse vraiment suivre la ligne directive pour ma mission. Mais ce n'est pas elle qui décide pour moi, là. C'est moi. Elle, elle me montre juste l'instruction. Elle me montre juste la marche à suivre. Et moi ? je me dois de mettre ma couleur. Je me dois de mettre qui je suis. Et ça, c'est de me laisser libre de ma mission de vie, pis c'est génial. Pis c'est ça qui fait que quand j'apporte mon client ou ma cliente en accompagnement, c'est du wow. Parce que je la laisse libre. Elle me laisse libre. Ou il. me laisse libre. Parce que c'est ce qui fait que tout le monde ensemble, on est libre. Il n'y a pas de barrière, il n'y a pas d'obstacle, il n'y a rien qui nous empêche. On est qui on doit être. Puis ça, c'est tellement beau. J'ai fait un autre accompagnement holistique, donc c'était wow, je savais... aucunement où est-ce que j'allais être guidée parce que je la connaissais pas du tout et c'était du gros wow. Quand on a eu fini, la cliente m'a dit « Je comprends maintenant pourquoi je me sentais coupable que ma fille ait eu une problématique physique dans sa jambe droite. » qui était en lien avec une vie antérieure que sa petite soeur de 3 ans a été obligée d'être amputée dans cette vie antérieure-là dû à une situation de virus et que pour elle, c'était enfin que je comprends pourquoi je me sentais coupable d'avoir mis ma fille au monde dans cette vie-ci et qu'elle avait une problématique dans sa jambe droite. Et que dans la vie d'aujourd'hui, elle comprenait pourquoi elle voulait une vie simple. Que tout ce qui était compliqué, c'était non. Oui, sa belle famille lui apportait des complications, puis c'était pour elle. Non, je ne veux pas. Parce que dans cette vie-ci, je me dois d'être à vivre une vie simple. Que la raison pourquoi qu'elle s'est construite une maison à 1,2 km dans le bois, pour être sûre d'avoir la paix, c'est-tu pas merveilleux ? C'est tous des points dans sa vie à elle qu'elle a compris quand... Pourquoi que dans la vie d'aujourd'hui, qu'elle a vu, qu'elle a senti de par son cœur, qu'elle a été attirée par son conjoint, ça lui a fait comprendre pourquoi qu'elle n'était pas folle. Elle savait qu'il y avait quelque chose qui était au-delà de la compréhension terrestre, rationnelle. C'est ça qui est beau. Moi, ça, ça me fait empuissancer, mais incroyablement. Ça me donne de l'énergie, ça me donne de l'amour, ça me donne de la liberté, ça me donne de l'envol de dire que c'est tellement bon d'être qui on doit être. Parce que je le sais que je fais du bien, parce que je le sais que je ne suis pas méchante, parce que je le sais que ce que je fais, c'est pour apporter à celui ou celle qui a besoin de comprendre qui il s'en. Et c'est en étant à comprendre qui on est qu'on règle des choses émotionnelles, dont des dépendances, que ce soit l'alcool, l'argent, le sexe, la drogue, des dépendances de toques aussi, de trop être à vouloir tout nettoyer sur son passage ou avoir des toques que tout soit parfait. Tout ça, c'est des toques. des dépendances, en lien avec des peurs, des manques, de l'insécurité. C'est une compensation. Et ça, quand il y a quelque chose qu'on comprend à partir de ce moment-là, c'est comme du gros « wow » , vraiment. Et de mettre en lien, c'est comme prendre un morceau de puzzle et qu'on le met en plein ou l'endroit dont on était à la recherche de, et c'est comme... Et enfin, j'ai fini cette partie-là. Et je peux tellement comprendre ces personnes qui vivent ces moments-là d'éveil parce que moi-même, quand j'ai eu 16 ans, à 16 ans que j'ai vécu ma première régression et que je suis retournée dans ma mémoire cellulaire de la mer indienne, que je me suis vue être grande, je l'ai sentie en dedans de moi. que j'ai senti que enfin je retournais chez nous, enfin, c'est comme retrouver une vieille amie, t'es heureuse, c'est ça, c'est ce sentiment-là qu'on a de je te retrouve, wow, c'est là, on... on devient empuissancé. Parce qu'il y a personne qui... Tu sais quand tu rencontres quelqu'un qui est énergivore, tu es écrasé, tu es fatigué, la personne a failli te siphonner. Bien, là, ce n'est pas ça que ça fait. Ça te donne du goût, ça te donne du pouvoir, ça te donne une puissance, ça te fait élever. Là, tu partages, mais c'est la même chose quand tu te retrouves. Il y a une lumière qui s'allume à l'intérieur de nous. Moi, je me souviens, quand j'avais 16 ans, je suis sortie de chez... de chez cette dame-là et que je parlais à une de mes tantes et que je lui disais « J'ai vécu ça, puis je sentais ça, puis je me sentais enfin moi. Je me voyais marcher, j'avais un gros sac sur le dos avec plein de branches puis je me sentais une esclave puis j'allais porter ça au monde dans le village. » Quand je me suis assise à la galerie chez mes parents, je m'en souviendrai toujours. Dans ce temps-là, je fumais. Oui, je me suis assise à la galerie et je me suis allumée une cigarette. J'étais dehors à regarder les montagnes, la forêt. Et j'étais à tout penser. Wow ! C'est pour ça que je fume. Parce que la mer Indienne, fumer, ça faisait partie du calumet. C'est pour ça qu'à l'âge de 11 ans, 12 ans, quand moi j'ai dit à 12 ans, je m'en vais m'acheter mon premier paquet de cigarettes, c'était important pour moi, c'était un ancrage cellulaire. Mais c'était une dépendance en fait que j'ai créée de par moi-même parce que je le savais qu'il y avait un manque qui était en lien avec. J'ai besoin de retrouver cette partie que j'ai oubliée, que j'ai mis de côté. et que là, que j'étais assise à mes 16 ans à observer à l'intérieur de moi que... Je comprends pourquoi j'ai choisi mes parents. Je comprends pourquoi j'ai choisi mon père. Mon père qui a du sable érindien. Mon père qui va à la chasse, qui m'apportait dans le bois. Mais moi, c'était aucunement, je ne veux pas chasser. Aucunement. Je n'ai jamais, sérieusement, je ne veux pas tuer des animaux. Je ne suis pas capable. Je ne suis pas capable. Si je tue un araignée, c'est parce que je suis vraiment dans l'obligation de la tuer. Les mouches, les abeilles, je les sors par la fenêtre, par la porte, peu importe, je vais trouver le moyen, les araignées, je vais les sortir. Mais je comprenais pourquoi j'avais choisi ma mère. Je comprenais pourquoi j'avais choisi ma famille. Parce qu'il y avait du sang amérindien, mais moi dans la vie d'aujourd'hui, je ne voulais pas être amérindienne, je voulais être une métisse, en fait. Moitié-moitié, parce que pour moi, c'était significatif de me garder contact avec le côté amérindien, mais de me garder aussi contact avec le nouveau monde. C'était ça, c'était important pour moi, parce que j'avais, dans cette vie-ci, j'ai un besoin de créer un nouveau monde en étant à le mettre à ma couleur et non en étant à être dans la couleur amérindienne et non d'être dans la couleur des blancs. Je veux pas être... en attaché avec une religion ? Aucunement. Ma religion, c'est la nature, c'est les animaux, c'est la vie, c'est l'amour, c'est le respect, c'est l'honnêteté. Moi, c'est ça, ma religion. Je n'irai pas m'asseoir dans une église pour faire plaisir à la religion, aucunement. Mais par contre, je vais aller m'asseoir, par exemple, devant ma rivière, auprès des arbres, auprès des oiseaux, auprès des minoux qui passent à côté de moi, auprès des chevaux, auprès des animaux de peu importe. que ce soit il y a un mammifère ou à quatre pattes ou à plumes mon but c'est d'être libre c'est d'être dans l'amour dans le respect c'est ça une de mes plus grandes valeurs et ça je le suis en tout temps dans mon être c'est moi je l'intègre il y a du monde qui se disent dans la religion mais crimbin il l'intègre pas J'écoutais une série l'autre fois, j'étais tellement enragée, j'étais frustrée parce que je voyais des Amérindiens qui se faisaient imposer en se faisant battre avec la Bible sur la tête pour qu'ils rentrent dans leurs esprits des mots de la Bible, qu'ils les battaient, ils les frappaient, ils les brûlaient. Quand je vois ça, ça me... ça me fait mal. Parce qu'on n'a pas un... Imposer personne à ça, c'est la même chose que tu sois en couple, en amitié. Si tu es dans une situation que tu es prise, que tu es pris, ce n'est pas normal. C'est la liberté, c'est ça qui est normal. C'est d'être libre comme l'arbre qui pousse avec ses branches et qui prend de la hauteur. Ça, c'est normal. C'est d'être la rivière qui coule. Ça, c'est normal. Elle est dans son élément. Mais je le sais que ma mission, c'est justement d'aider mon prochain à ce qu'il soit tout simplement en liberté. Ça, ça me fait du bien. J'aime tellement ça. Ça me satisfait de voir que la dame... Puis le monsieur qui se sont pris dans les bras dans la rue, c'était que de l'amour. C'est wow ! C'est de même qu'on serait tous supposés de vivre. Il n'y en existerait pas de la jalousie ni de l'envie si tout le monde serait dans l'amour comme ça. Au contraire, on s'élèverait. Toi, qu'est-ce que tu peux faire comme différence pour aider à ce que toi-même tu puisses t'élever dans l'amour ? C'est quoi qui te ferait du bien ? C'est quoi que tu pourrais te faire à toi, dans ton temple intérieur, à ce que tu puisses t'élever dans l'amour ? C'est ça qui me fait, ça me fait vibrer en dedans de moi. Puis quand ça me fait vibrer, c'est parce que je le sais que c'est bon, je le sais que c'est bien. C'est en commençant par soi. J'ai marché mon chemin de vie jusqu'à ce que je me sente. à vibrer de cette façon-là. Et maintenant, sans mon consentement, il n'y aura plus personne qui va m'empêcher de vibrer parce que je le sais. Je le sais qu'à l'intérieur de moi, je suis une bonne personne. Tout simplement. C'est sûr que ça se peut qu'il y ait des choses qui sont autour de moi. L'ombre va essayer de venir, mais en même temps, je ne veux plus mettre ça dans mes croyances. Parce que dans ma croyance, il n'existe que de l'amour et de la lumière. Et dans ma croyance, c'est ici que j'ai pour m'en dire qui est le paradis. C'est tellement fort ma croyance. Il n'y a pas longtemps, je suis allée me chercher. je suis allée au service à l'auto chez Tim et quand on me dit comment tu vas, j'ai dit je vais super bien. J'ai dit toi, comment tu vas ? Il m'a dit si toi tu vas, moi je vais super bien. Fait que là, c'est drôle parce que je suis toujours en train de dire ça à quelqu'un. Si t'es heureuse, moi je suis heureuse. Je suis tout le temps en train de dire ça, vraiment. Est-ce que t'es bien ? Là, la personne va me dire oui, puis la personne va me dire, est-ce que toi, t'es bien ? Bien, moi, je leur dis, si toi, t'es bien, moi, je suis bien. Parce que, en fait, je suis tellement réceptive que si la personne est bien, je sais que je suis bien. Mais si la personne va mal, je sais que je vais la porter dans un bien-être parce que mon but, c'est de la porter à ce qu'elle soit bien. Et là, la personne qui est au service à l'auto me dit, est-ce que je peux te poser une question ? Je dis oui. La personne me dit, est-ce que tu arrives du paradis ? Et là, je regarde la personne, puis là, je savais qu'il était comme un petit peu coquin dans son regard, et j'ai dit, le paradis est-il sur la Terre ? Puis là, il m'a regardée, puis il a fait un grand sourire. Puis là, j'ai fait comme, la vie pour moi, ça, c'était significatif de ce qu'il lui m'a dit, parce qu'il m'a posé cette question-là, mais à tous les jours, j'ai... me dire que j'ai la chance d'être ici, sur cette terre, au paradis terrestre. Et j'ai envie de créer mon propre paradis. En ce moment, devant moi, je suis devant les arbres, et il y a plein, plein, plein, plein, plein de petits oiseaux. Des petits serins jaunes. Il y en a plein, des petits, des petits mésanges. Peut-être que tu les entends. Il y en a des centaines. je trouve ça tellement magique c'est ça qui est beau parce que j'ai le regard de voir le beau Si à l'intérieur de toi, il y a quelque chose qui ne va pas, tu ne verras jamais les oiseaux. Tu ne les verras pas parce que ton regard va être tourné vers uniquement ce qui est ombre. Tandis que là, quand on regarde uniquement avec les yeux de son cœur, on peut voir au travers des branches les oiseaux, les écureuils, les Ausha, même jusqu'à des canards qui ont passé. C'est beau la vie. J'espère que ce podcast t'a parlé, qu'il t'a peut-être même fait réfléchir, qu'il t'a peut-être apporté à comprendre des choses ou à te questionner, à te demander si t'es prête ou prêt à avoir une nouvelle vision de la vie. Peu importe, tu le sais que je suis là. S'il y a quoi que ce soit, tu m'écris. Ça va me faire plaisir. de te jaser ça. S'il y a quelqu'un dans ton entourage qui tu penses que ça pourrait faire du bien d'entendre ce que j'ai partagé, partage. C'est ça, c'est ça la valeur de la vie. Si tu as des questions, peu importe, je veux vraiment pas que tu te gênes et je veux pas que tu penses non plus que tu vas me déranger. Au contraire, moi j'ai pour mon dire que tout passe par la voix du cœur, tout passe par l'être humain. C'est ça qui fait que je suis tellement contente d'avoir rencontré une de mes coachs que j'ai présentement du fait qu'elle aussi, elle n'a pas 14 000 personnes autour d'elle, c'est elle que j'ai comme humaine. Et ils disent que dans la vie, les cinq personnes qui t'entourent te représentent, bien, de voir ma coach, c'est une christie de belle personne. Et là, je commence à me dire que, crimbine, moi aussi, je suis une belle personne. Et ça, je le dis pas de façon hautaine et ni arrogante. Parce qu'encore là, dans les croyances du passé, c'est comme, tu peux pas t'honorer, tu peux pas dire que t'es belle, tu peux pas commencer à te vanter. Qui ? Qui me connaît plus que moi ? C'est moi. Fait que pourquoi que moi, je pourrais pas m'honorer ? Pourquoi que moi, j'aurais pas le droit de me dire « Karine, t'es belle aujourd'hui » au lieu de dire « Ah, j'ai encore ça de travers, là, me semble, j'ai mal dormi, j'ai des poches autour des yeux. » Non, on peut-tu se foutre la paix une fois, de temps en temps, et de se permettre de dire « Ok, j'ai le droit de me dire que je suis belle, j'ai le droit de dire que je suis bien dans ma peau. » C'est pas de se vanter, au contraire, c'est d'inspirer, c'est d'être. en mesure d'inspirer ceux et celles qui sont autour de nous. C'est ça qui est important aujourd'hui. Parce que, en inspirant, on apporte de la joie, de l'amour, de la légèreté, de la liberté, du bonheur, de l'excitation, du plaisir. C'est ça qui est important pour moi aujourd'hui. Fait que je te souhaite une belle journée, une belle continuité, une belle soirée. Peu importe où est-ce que tu es. Et je te dis à la prochaine !

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