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En toute simplicité ...

ÉP68. Féminité sacrée : du poids des croyances à la liberté.

ÉP68. Féminité sacrée : du poids des croyances à la liberté.

1h03 |20/09/2025|

28

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Description

🔥 Dans cet épisode, je t’ouvre les portes d’un passage initiatique où tout s’est transformé.

Entre un rituel sacré guidé, une chirurgie vécue comme une renaissance, et la libération de mémoires transgénérationnelles, j’ai choisi de brûler l’ancien pour retrouver ma liberté de femme.


Tu découvriras comment un simple cristal qui prend feu au soleil est devenu le symbole d’une guérison profonde. Comment j’ai fait la paix avec mes lignées, remis les croyances qui ne m’appartenaient pas et retrouvé la puissance de ma féminité sacrée.


💎 Cet épisode est une invitation à plonger dans la vérité brute, à sentir la force de la vie quand on ose dire oui à soi, et à reconnaître que de nos blessures peut naître notre plus grande lumière.


Es-tu prête à écouter une histoire qui pourrait aussi réveiller la tienne ? ✨

Au plaisir de vous faire découvrir mon monde intérieur, en espérant qu’il vous en inspire.

Avec Amour,
Karine Turcotte


Vous pouvez me suivre: https://www.facebook.com/profile.php?id=61557736540965&mibextid=LQQJ4d


Facebook: Karine Turcotte 

Karine turcotte.ca



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Allô, allô ! J'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon podcast en toute simplicité du cœur à l'âme, épisode 68. Cette semaine, j'ai vécu une guidance incroyable pour me préparer à une étape que je devais passer, j'en étais rendue là dans ma vie. Et cette étape, je pouvais pas ne pas le mettre. En cérémonie, en rituel, je pouvais pas pas le faire. Je pouvais pas me préparer. Je pouvais pas ne pas me préparer à ce qui j'allais vivre comme expérience. Et en même temps, c'était... de me mettre dans un état du sacré pour ce qui allait s'en venir. Deux semaines avant, la vie m'apporte à ce que je rencontre par FaceTime, Madame Josée Lafleur. Cette dame, c'est une dame qui m'a initiée à mon chemin de... à mon chemin de... chemin rouge, qui est en lien avec Jade Chabot, dont... Elle nous initie dans tout ce qui est en lien avec la route médecine. C'est le chemin rouge, c'est le chemin qui est en lien de son... enseignement qu'elle a reçu des chamanes du Pérou. Et moi, il y a 5 ans, j'ai fait le chemin rouge. Donc, à chaque... mois, on se retrouvait entre femmes, deux, trois jours, et qui nous apportait à aller vraiment plonger à l'intérieur de soi, de par des rituels, de par des cérémonies. Et, il y a cinq ans, j'ai été initiée par Josée, donc j'apprécie beaucoup. Et il y a deux semaines, on a eu à communiquer ensemble par FaceTime. On s'est parlé et à l'intérieur de mon cœur, ça me disait, c'est avec cette femme que j'ai envie de passer par une cérémonie dont ce qui va m'apporter à accepter la décision que j'ai prise. Elle me donne une date. C'est une date avant la journée que je dois vivre une chirurgie d'un jour. Tout est déjà orchestré, tout est déjà aligné. Pour moi, c'est comme... c'est un cadeau. La journée, donc, j'ose m'accueillir par FaceTime. À 10 heures l'avant-midi, mon âme est prête à honorer ce chemin de vie que j'ai fait jusqu'à maintenant pour que j'entre dans une nouvelle sphère de vie. Dans cet accompagnement, C'est moi qui en étais à aller là où mon âme était prête à aller. Et je suis plongée à l'intérieur de moi, en toute vulnérabilité, pour que... Je suis reconnaître le chemin que j'ai fait jusqu'à maintenant dont mon corps en a subi des conséquences. De zéro jusqu'à aujourd'hui, j'ai été dure avec ma féminité sacrée. Dans le sens que je ne l'ai pas écouté parce qu'on ne me l'a pas enseigné. Ce que je portais comme don d'être en mesure d'aller dans la bibliothèque akashique, dans la conscience universelle. J'ai pas été à être enseignée autour de moi parce que je devais prendre un chemin qui était de ne pas être facile. Mais que aujourd'hui, j'honore par contre. Parce que ce chemin, je l'ai construit, je l'ai travaillé, je l'ai mis dans la direction que mon intuition me parlait, me dirigeait. Cette partie où est-ce que, de zéro jusqu'à mes huit ans, j'étais dans l'amusement. J'étais... Même si on me mettait des bâtons dans les roues, j'étais une petite fille qui s'amusait, qui s'émerveillait, qui avait le bonheur facile. Une petite fille qui... elle était à parler de les vies antérieures, que personne ne lui a enseigné, personne ne lui en a parlé. Ça venait de mon âme. J'étais dans l'amusement, j'étais dans le plaisir, je me souviens, j'étais vraiment émerveillée, excitée de parler de qui j'étais et peut-être même de qui j'allais être Et là, venu un temps où est-ce que, à mes 11 ans, j'ai eu mes menstruations. À 11 ans, je me souviens du moment de mes menstruations où est-ce que pour moi, quand j'ai vu ce sang, pour moi, ça a été un choc. Ça a été... Il n'y a pas de mots. Ça a été, pour moi, un blocage. Parce que de zéro à onze ans, oui, j'étais une petite fille. Mais la petite fille, à l'intérieur de moi, ce qu'elle aimait, c'était de vivre une vie où est-ce que je faisais du ski doux... Je faisais du 4 roues, je faisais du tracteur, je faisais du BMX, je descendais des sentiers en vélo dont j'étais une « cold girl » . J'étais les pieds tout sales, les mains tout sales. J'étais... Un petit garçon manqué. Ça me dérange pas de le dire, j'étais une petite fille libre d'être dans un gros parc d'amusement terrestre et qui, quand je me suis retrouvée à... voir que là, je me transformais, je me dirigeais vers une femme, ça m'a mis une forme de responsabilité sur mes épaules. Dans le sens que je n'étais pas prête à ça, moi. Je n'étais pas prête à avoir cette responsabilité de femme, dont ce que ça voulait dire pour moi, c'est comme ça m'enlève ma liberté. Pour moi, c'était « ça m'enlève ma liberté » parce que c'était en lien avec ce que je voyais de ma mère, de ma grand-mère, de les femmes qui étaient autour de moi, des femmes qui, en tant que femmes, étaient des mères à élever leurs enfants, à s'occuper de leurs enfants, à être dans la cuisine, à être sous une forme de femme tuée à la maison. C'est fou ! Ça, c'est ma perception, c'est ma vision, c'est mon expérience, c'est mon vécu, c'est ce que ma famille portait. Et l'homme, pour moi, c'était comme... ça voulait dire que ok en tant que femme maintenant j'ai des responsabilités en tant que femme maintenant je me dois de penser à est ce que je veux des enfants en tant que femme je dois penser à être vraiment une bonne cuisinière une bonne femme de ménage, que je me dois d'être une femme ou est-ce que je me dois de me taire. Ça, c'est dans mon expérience, on s'entend ? Et ça, ça m'a apporté à me couper ma liberté intérieure. Ça m'a mis un blocage dont ma famille transgénérationnelle portait et que c'était maintenant à mon tour de porter sur mes appôles. Et ça, ce que ça a fait, c'est que de 11 ans à aller jusqu'à mes 44 ans, j'ai eu à vivre un espace où est-ce que... C'est comme si je me sentais dans ma tour, c'est comme si dans ma tour, je devais vivre des expériences et que ces expériences terrestres, il fallait que justement que je passe par des douleurs, par des souffrances, par des malaises, par des situations dont c'était pas toujours rose. et tout ça faisait que ok, cette personne-là, je ne la veux plus dans ma vie cette personne-là n'est pas faite pour être dans ma vie cette personne-là me... m'ont appris, c'est correct, je pense à d'autres choses, cette personne-là se doit de me faire vivre telle situation, mais maintenant, c'est correct, je remercie, j'honore, et que là, au travers de tout ça, j'avais à vivre des expériences dont ça allait me faire grandir, mais des expériences émotionnelles, des expériences qui étaient très puissantes émotionnellement. Qui a fait que, à partir de l'âge de 40 ans, mon corps a commencé à parler ? Mon corps a commencé à parler du fait qu'il s'exprimait de façon ennuyante. étant à créer son chemin rouge. Dans mes tables lunes, mes saignements étaient très, très, très abondants. C'était le déluge, c'était l'hémorragie. Et ça, ben, ça m'a apporté à être curieuse. OK, mon alimentation. Après ça, mes vitamines. Est-ce que je manque de fer ? Est-ce que je manque de ci ? Est-ce que je manque de ça ? Fait que mon chemin que j'avais fait d'étudier en naturopathie m'a apporté à, OK, bon, je manque de fer. Je manque de vitamine D. Je manque de vitamine B. Je manque de vitamine C. Fait que tout... Tout ça m'apportait une curiosité dont ça m'apportait à bien manger, de manger une bonne nourriture, de manger plus de fer, de prendre soin de tout ce qui est le côté additif aussi, parce qu'on ne se cachera pas que dans l'alimentation, il y a des additifs qui sont très néfastes pour la santé. Si tu es curieuse, curieuse, je t'invite à aller avec l'application YouCat. Y-U-C-A, et tu scans les produits et à partir de les scans, tout est inscrit de ce qui se trouve à l'intérieur des produits. Et moi, durant 2-3 ans, ça m'apportait à avoir des ballonnements, des gros ballonnements au niveau de mon ventre à la fin de la journée parce que ça m'apportait à être curieuse de étudier. les additifs et quand je voyais qu'un tel additif justement le glutamate de sodium avec tous tes autres additifs ben il y en a là dedans qui apportait à vraiment un inconfort physique et qui ont un impact au niveau Des hormones. Et ça, ça m'a apporté à être curieuse, parce que je voyais bien qu'il y avait quelque chose qui était anormal à ce que je me sens de cette façon-là. Et ça, par la suite, ça m'a apporté à justement marcher vers des chemins de... Soin, soin spirituel, soin énergétique, soin physique, que ce soit de la cupompture, que ce soit du TNC, que ce soit des massages, que ce soit de la réflexologie, que ce soit tout ça m'apportait à un monde où est-ce que je me devais d'aller vers ces chemins-là pour comprendre, pour connaître. pour m'apporter à ce que je sois dans mon alignement de mon corps. Mais, au fil du temps, au fil jusqu'à mes 44 ans, j'ai eu la décision à prendre de... à ce que mon corps arrête de souffrir. Parce que là, c'était plus drôle. C'était pas drôle. J'avais beau passer par l'acupuncture, par bien manger, par prendre des vitamines, par prendre des petites granules, par prendre... des potions de tisane, aller en acupuncture deux fois par mois, tout ça. Mais là, mon corps me disait, Karine, t'as une programmation à l'intérieur de toi que tu te dois de déprogrammer. Parce que... en fait, corps, âme, esprit, émotion, tout ça a été touché, mais là on est rendu au corps. Et le corps a vécu tout simplement des programmations dont ça date aussi du transgénérationnel et qui là, tu dois y mettre un terme. et ça m'a apporté à prendre la décision que je devais me faire brûler l'endomètre. C'était une décision... qui pour moi j'étais rendu au dernier au dernier point mais c'est qu'il fallait que je comprenne aussi c'est que en prenant cette décision c'était pas de faire souffrir mon corps au contraire c'était de lui apporter une chance à ce qu'il arrête justement de souffrir parce que mon déséquilibre hormonal faisait en sorte que mon corps était affecté. Et en brûlant mon endomètre, ça permettait à mon corps à retrouver son équilibre par rapport avec, justement, l'anémie que ça m'apportait. Que ça m'apportait aussi à un éclatement de kyste, que ça m'apportait à être menstruée aux deux semaines, sept jours de temps, hémorragie par-dessus hémorragie. mais aussi c'est que ça m'a apporté à prendre conscience que j'ai étouffé de ma féminité sacré en prenant des anneaux voulant à ma vingtaine dans ma dans mon adolescence notre société nous a nous étouffe à ce que on ne soit pas en mesure d'être dans nos lunes dans nos moments de gratitude dans nos moments de détoxification fait tous Tout ça m'a apporté à ce que, en prenant cette décision, en étant à vivre la cérémonie avec Josée, ça me permettait de me retrouver dans ma liberté de féminité. que je permettais à ce que... Mes ancêtres, dont elles ont été programmées à ce qu'une femme soit une femme dont elle se doit de faire à manger, elle se doit d'être... une bonne femme, qu'elle se doit d'être une bonne ménagère, qu'elle se doit d'être soumise. Tout ça, ça a été programmé dans le passé. Je me souviens, ma grand-mère nous disait qu'elle recevait des petits cahiers à être une bonne femme à la maison. C'était quoi la joke ? Et ça, ça m'apportait à quand, justement, les Amérindiennes étaient prises par la religion, qu'il fallait qu'ils se grattent la peau pour devenir blanches. Tout ça m'a apporté à ces femmes qui ont souffert, à ce qu'ils n'ont pas le droit d'être des femmes. Et ça, c'est la société, c'est la religion, c'est le pouvoir qui a pris le contrôle de la féminité. Même si j'étais pas en mesure à 11 ans de comprendre qu'est-ce qui se passait, j'étais déjà à me mettre une barrière dans ma vie à ne pas accepter que je sois une femme. C'est fou à quel point c'est puissant, là ! Parce qu'il y a des femmes qui ont été, justement, dans des chemins où est-ce qu'elles devaient être soumises, qu'elles devaient être à l'ordre, qu'elles devaient être dans le pouvoir de... Ça m'a apporté à tout plein de réflexions. À tout plein de réflexions de penser à « c'est comme ça que ma mère réagissait. C'est comme ça que ma grand-mère réagissait. C'est comme ça que mon autre grand-mère réagissait. Que ces femmes étaient dans la cuisine à être des femmes sous l'ordre de que l'homme arrive à la maison, qu'on lui mette l'assiette à la table. » Mais on n'a pas besoin de se faire imposer ça. Parce que la femme, elle a la générosité naturelle d'offrir avec amour ce qu'elle porte. Mais la masculinité lui a imposé. Et on s'était au fil des siècles. Et là, en prenant toute conscience de ça, ça m'a apporté à ce que je puisse faire la paix avec moi. À ce que je puisse faire la paix avec mes générations, avec mes ancêtres. Parce que je le sais que tout ce que je suis en train de libérer, purifier, nettoyer, ça aide à ces femmes à ce qu'on puisse avancer maintenant dans un nouveau chemin. Je le sais que j'aide à ma fille à ce qu'elle puisse s'ouvrir à la vie en tant que femme et d'honorer qui elle est. totalement, et que je le sais que j'aide aux générations futures, parce que je veux pas qu'ils passent par le même chemin que moi. À quoi ça sert de passer par cette souffrance ? Ça sert absolument à... rien parce que la souffrance on ne peut à la vivre de ce qui vient de nos ancêtres et c'est mon devoir à moi à ce que mes sept génération future entre dans ce monde pour créer l'amour, la paix, la lumière, la créativité pour qu'on fasse un nouveau monde. Le monde chiale après un, après l'autre. Pourquoi qu'il y a tant de violence ? Pourquoi que si ? Pourquoi que ça ? Je l'ai déjà dit dans un de mes podcasts, chaque battement d'aile dans le ici et maintenant va créer un tsunami en Australie parce que c'est ici maintenant que ça commence. moi je commence à battre de l'aile avec amour, je crée une fréquence vibratoire qui, justement, en Australie, ils vont recevoir ma fréquence d'amour. Parce que nous sommes faits de fréquences énergétiques. Le monde n'y croit pas parce qu'il ne voit pas. Mais moi, j'y crois parce que je le sens, je le sais, je le vis. Et c'est ce qui fait toute la différence. Et c'est en commençant par moi que je vais créer une différence à toutes ces femmes et même à ces hommes, ces hommes qui ont le courage d'aller dans leur féminité sacrée. Chapeau ! Je suis honorée par tous ces hommes qui... Vienne se mettre un genou à mes côtés, un genou au sol. Parce que ces hommes pour moi sont pleins de courage, sont pleins d'ouverture d'esprit. Et ça aujourd'hui c'est le plus beau cadeau qu'un homme peut faire à la femme, à ce qu'il ait son ouverture d'esprit. pour qu'il y ait un pas. partage, un échange. Et que c'est dans cet échange-là que l'un et l'autre puissent se fusionner et que le Kundalini puisse s'élever. Qu'est-ce que c'est le Kundalini ? C'est l'énergie sacrée. C'est la puissance. On me l'a expliqué quand c'était deux dauphins. C'est deux dauphins qui se fusionnent ensemble dans l'océan et qui montent vers la lumière pour émettre de leur puissance, de leur pleine grandeur. Et ça, pour moi, qu'un homme ou une femme viennent à mes côtés pour... Honorer ce qui il est dans son entièreté, c'est wow, vraiment. Pour moi, ça c'est le plus beau des cadeaux, du fait qu'il me, ou elle me, choisit. Vraiment. Quand j'ai eu fini avec José, mon soin... J'ai créé un objet avec elle, dont tout s'est interconnecté. J'avais quatre objets à choisir et j'ai choisi un pot de couleur or, j'ai choisi une plante. avec tout le tour les feuilles rouges. J'ai choisi un foulard et j'ai choisi une petite figurette d'Amérindienne avec un petit chien. C'est quatre objets. a été guidée par mon âme et le pot de fleurs a rentré dans le pot de couleur dorée. La petite figurette, elle est rentrée dans le pot de fleurs à être assise sous le pied de cette fleur. Et tout autour du pot, j'ai mis le foulard. Et tout ça est de couleur rouge, comme par hasard. C'est ça qui est beau. inconsciemment, c'est ça qui est beau parce que le rouge représentait justement le sang, la vie. Et maintenant, ces quatre objets me représentent moi, que j'ai pris comme décision d'honorer ma féminité. Maintenant. Le lendemain, j'ai eu à vivre ma chirurgie d'un jour, dont j'ai été accompagnée par mon conjoint, et qui a été parfait, vraiment. Il a su me respecter, il a su... m'écouter, il a su m'accompagner exactement comme qui devait faire et j'ai eu à vivre un lâcher prise mais que j'étais en parfaite maîtrise à l'intérieur de moi et quand j'étais sur la table d'opération il y avait trois hommes qui m'entouraient et qui me préparait pour te dire à quel point j'étais dans un lâche et prise total mais c'est pour te dire à quel point que tout était parfait parce qu'il y avait trois hommes et trois femmes et les trois hommes étaient à préparer le terrain de mon corps qui je devais carrément lâcher prise mais j'avais confiance parce que je sentais que j'étais pris entre bonnes mains et là... J'aurais pu avoir eu le choix d'entrer carrément dans un bad trip, de dire non, non, non, je veux pas ces hommes-là dans ma vie, parce qu'on s'entend-tu que j'étais dans ma plus grande vulnérabilité, c'est le cas de le dire, et il y en avait un de chaque côté, un à gauche, un à droite, puis un où mes pieds, donc ma vulnérabilité était totalement... m'a mis en lumière. Fait que, ça l'a fait en sorte que les hommes ont préparé le terrain. Mais à l'intérieur de moi, je me sentais bien. J'avais pas de gêne, j'avais pas de honte, j'avais pas de... j'étais dans un état d'être où est-ce que je suis rendu là dans ma vie, puis c'est parfait, puis c'est correct comme ça. Et un coup que tout ça a été installé, la dame infirmière, elle est venue à mes côtés, du côté gauche. J'ai eu mon médecin, femme, merveilleuse, et il y avait un autre qui accompagnait au côté, une autre infirmière. dans ces trois femmes m'ont apporté à ce que je vive le moment justement de ce brûlement de mon endomètre et j'ai eu à vivre un moment où est-ce que j'étais en maîtrise vraiment j'ai eu aucune douleur durant le brûlement, mais avant d'être brûlée, il a fallu qu'elle me donne 0.25 d'activant du fait qu'elle m'a pincée. je me suis protégée. Et c'est là que j'ai réalisé que dans ma vie, j'ai toujours été à me protéger. J'ai toujours été à me protéger de ma féminité parce qu'en fait, en me protégeant de ma féminité, j'ai toujours été à me protéger de ma féminité. de ma créativité, je me fermais pour émettre qui j'étais. Fait que tout ce que je, tout ce que j'ai vécu de non-respect, autant sur le plan de la femme et sur le plan de l'homme, j'ai eu même cellulairement à tout simplement Voilà. avoir des blocages, des chocs, dont aujourd'hui je laissais aller. Et en étant à brûler, il ne faut pas voir ça négativement. Brûler, c'est exactement comme quand on brûle une feuille de papier. Tout retourne à la terre. Les cendres. Tout retourne à la terre. Ça, ça veut dire qu'à l'intérieur de moi, c'est comme si mon phénix ouvrait ses ailes. Mais moi, j'aime mieux dire mon aigle ouvre ses ailes pour que je puisse retrouver ma liberté, pour que je puisse prendre mon envol comme je le désire, comme je le sens en tant que moi, Karine. que j'ai ce désir depuis que je suis toute petite et ce qui est particulier, c'est qu'en me donnant l'Activa.26 c'est ce que j'ai entendu, je me suis retrouvée dans un bonheur, mais un bonheur tellement incroyable, je ne savais pas que l'activant pouvait faire cet effet-là, j'étais rendue une beads and love. Et oui, j'ai jamais autant ri sous un effet de... moi je pensais avant de passer sur la table d'opération, je t'avoue que ça me faisait peur j'ai même demandé à l'infirmière si vous vous m'offrez un petit quelque chose, là, est-ce que je vais perdre la taille négativement ? Dans le sens que c'est parce qu'en fait, j'ai des mauvais souvenirs par rapport avec mon adolescence quand j'ai eu à prendre des substances chimiques dont j'ai pas eu de belles expériences parce que, tu sais, on s'entend que la drogue est pas toujours bonne. fait que j'avais pas à l'intérieur de moi des belles expériences. façon de parler, pas que j'ai eu des batteries, peu importe, c'est pas ça, c'est que quand tu prends des substances de drogue, ta tête, ton esprit, ton cerveau est comme dans une espèce de brouillard. Et ça, moi, je voulais pas ça. Je voulais pas perdre la tête. Fait que l'infirmière m'avait dit non, non, non, ça va bien aller pis tout, pis... Celle qui était à côté de moi m'avait dit, ben c'est comme un peu prendre un verre de vin. Elle dit, tu vas voir, elle dit, tu vas peut-être être un petit peu étourdie, mais elle dit, tu vas avoir un bon feeling. Puis là, j'ai fait comme, ouais, mais c'est parce que moi, je ne prends pas d'alcool, puis j'aime pas avoir le feeling de l'alcool. ben elle dit non non, t'inquiète pas, tu vas voir, ça va bien aller, mais quac ! Ma médecin, elle dit à l'infirmière, donne-lui un petit poing 25 juste pour qu'elle calme le bassin parce que là, j'étais à me protéger du fait qu'elle m'ait pincé. Ça fait en sorte que, justement, là, j'étais piz... là tout était beau tout était parfait et là je sors de la salle d'opération mon conjoint vient me chercher pour venir me voir puis tout comment ça va puis là j'ai le gros smile en face et là il y a une infirmière qui arrive à mes côtés puis elle commence à me parler puis là j'y parle puis je suis vraiment à être dans une belle vibe. Puis là l'infirmière a dit est-ce que t'es Karine ? Ben oui, c'est moi Karine, je m'envoie mon petit bracelet d'hôpital. Je lui dis, oui, c'est moi. Elle dit, non, mais est-ce que tu es celle qui fait des soins ? Là, je la regarde et je dis, oui. Elle dit, est-ce que tu me reconnais ? Non. Tu sais, folle dans l'excitation, je suis comme dans la petite fille de 7-8 ans qui est comme dans l'amusement de qu'il n'y a aucune douleur, tout va bien. mais là j'ai dit mais c'est parce que t'as ton masque que je peux pas t'en reconnaître et là elle enlève son masque pis là je dis ben oui je me souviens de toi elle me dit ben oui je suis allée avec ma ma mère te rencontrer pour un soin pis elle dit tu le sais j'ai tellement tripé ben oui je me souviens tellement de toi pis ta maman pis là elle me dit tu sais elle dit ici dans l'hôpital à 10 t super apprécié. Pis là, je suis comme, sérieux ? Pis là, tu sais, je suis dans un état vraiment là, peace and love, là. Et là, elle dit, oui, non, non, elle dit vraiment, le monde parle de toi que en bien, que t'es une personne wow, que tes accompagnements, c'est de toute beauté. Pis là, je suis comme, oh wow, c'est bien hot. Pis là, je l'écoutais pis j'étais comme elle parle de moi, là. Fait que là, mon plaisir était dans une puissance fois mille. Pis là, elle dit, vraiment, elle dit merci. Mais là, j'ai dit, ben, merci tellement de ce que tu viens de me dire, là, je suis comme, wow ! Fait que là, ça en va. Pis là, fallait-je m'habiller pour voir si tout allait bien ? Fait que là, je me lève, je commence à m'habiller en me mettant mes culottes pis tout ça. Pis là, je dis à mon chum, à une fois pour toutes. il va falloir qu'on fugue. » Là, il me dit « Mais pourquoi ? » « Hé, j'ai dit, je suis comme rendue une vedette. » Là, il dit « Voyons, qu'est-ce que tu dis là ? » « Non, j'ai dit, tu comprends pas là. J'ai dit, je me sens comme une vedette en ce moment qui vient de se faire repérer par une infirmière, pis que là, on doit s'évader. Pis là, je pars à rire, mais je ris, mais je ris. Mais tu sais, rire de bon cœur, là, c'était là. Tellement mon chum était crampé d'un bois Au point que, on embarque, let's go, dans la chaise roulante et là, on part dans le corridor. Mais c'est fou parce que... Je me suis mise à regarder ces gens-là qui étaient tous assis à attendre leurs opérations. Il y en a que c'est pour le cancer, il y en a c'est pour des pierres aux reins, il y en a c'est pour enlever des masses. mais je me disais mais c'est notre attitude qui fait toute la différence toutes ces gens étaient assis avec un nez énergie de stress, de peur, d'anxiété, d'angoisse. Mais pourquoi se rendre jusqu'à là ? Pourquoi se rendre jusqu'à la mal-a-dit ? Ça n'a aucun sens, sérieux. Et là, moi, ça me montrait en amplitude que... J'ai eu à vivre un brûlement de l'endomètre. Mais c'est juste ça, là. À comparer de monsieur et madame qui sont dans la salle d'attente à attendre de... Mais je remerciais la vie que c'était juste ça que j'avais à vivre. Mais de leur faire un sourire, de les regarder avec une lumière dans mon regard, je le sais que ça a fait toute une différence. parce que le petit monsieur qui était assis dans la salle d'attente avec la peur, le stress, l'anxiété, tout ça. C'était comme, mais vous aussi vous avez le droit d'être heureux, mais vous aussi vous avez le droit d'avoir du plaisir dans la vie. Pourquoi est-ce que vous, pourquoi vous vous gardez dans la souffrance ? pourquoi vous êtes pas à vous offrir cette excitation de la vie de vivre des expériences qui ça nous rend heureux que ça nous apporte avoir une joie de vivre qui cette joie de vie fait toute la différence autour de nous. Parce que quand on est triste, quand on est malheureux, quand on est dans la peur, quand on est prisonnier de l'angoisse, qu'est-ce qu'on apporte à soi ? À rien. On s'auto-sabote, on s'auto-détruit. À quoi ça sert de porter une couronne d'épines sur la tête pour souffrir ? À quoi ça sert ? Ça sert à rien. Est-ce qu'on voit des arbres s'auto-saboteuil ? Est-ce qu'on voit des fleurs s'auto-détourner ? de par elle-même. Est-ce qu'on voit les arbres se déchirer l'écorce ? Non ! Est-ce qu'on voit la pelouse se scraper la vie parce que non, elle veut pas vivre, je veux pas montrer ma couleur verte, je veux pas montrer mon tapis de vergeture, de vergeture, de verdure. Non ! Justement, on a des vergetures. Les vergetures, les femmes, pourquoi qu'on s'auto-sabote en disant « Ah, c'est lait ça ! » Non ! C'est la vie ! T'as porté un enfant, deux, trois, quatre, etc. Les vergetures, c'est la vie, c'est le chemin de la vie. Pourquoi qu'on s'auto-sabote en étant à dire « Ah, moi je suis pas ci, moi je suis pas ça ! » Pis que là, ben là, je vais commencer à me découper le tour de bras, parce que là, il y a de la petite peau qui perd. après ça, je vais aller carrément... me botoxer le côté des yeux parce que j'ai trop de rides. Hey, c'est des rides de rire. Accepte-les, c'est ce qui est beau d'une femme. Pourquoi ? On est rendu où dans notre vie ? Sérieusement. On a la responsabilité de... De se rendre heureux et heureuse et d'être dans l'excitation et d'être dans la joie et d'être dans le plaisir de la vie. Ben c'est là que je suis rendue moi dans ma vie. Tout simplement d'être ce que je me dois d'être. L'arbre il est un pommier, ben moi je suis Karine. Et cette Karine-là, ben à partir de maintenant, je vais continuer de... poussé vers ma grandeur d'âme pour me permettre à ce que je puisse justement m'élever dans la beauté. Et c'est ça que je me suis promis. C'est ça que je me suis promis. Ça fait quatre jours. que je me suis fait brûler l'endomètre et rien pris. La seule chose que j'ai pris, c'est de l'amour et du cacao sacré. Et aujourd'hui, j'ai vécu la plus belle des expériences de toute ma vie, à guider, d'accompagner une jeune femme dans une cérémonie de cacao qui a duré deux heures et demie de temps, mais qui était parfaite. Du début jusqu'à la fin. Mon âme est déjà en conception de mon avenir parce que je suis alignée les deux pieds sur terre. en étant dans l'amour de mon être et j'ai pendant mes deux jours sans que je marche parce qu'il fallait pas je marche tant que ça, j'ai écouté le médecin, elle me dit tu marches pas trop, tu t'assis, je l'ai écouté, pour une fois je l'ai écouté. Ben j'ai monté un programme de huit cours. De mon monde, la bibliothèque akashique. 8 plus 9, neuvième, c'est un bonus qui est en lien avec les animaux, les végétaux, tout ce qui est le monde vivant. Ça, c'est mon monde, la bibliothèque akashique. que depuis le début. Que je me souvienne de mes trois ans. Je le sais que je porte cet accès à la bibliothèque akashique. Et cette bibliothèque akashique, avec toute mon expérience que j'ai vécue, mais tout... trois phases de vie, de 0 à 11 ans, de 11 ans à 44 ans et de 44 ans à aujourd'hui, je le sais que maintenant, je suis prête. à être cette enseignante pour mon nouveau monde à moi. Et cet enseignement-là que je vais offrir à tous ceux et celles qui seront prêts, c'est parce qu'ils auront reçu l'appel de leurs âmes à passer par leur chemin pour se libérer, purifier, nettoyer. Quand j'ai accompagné ma jeune femme dans la cérémonie de cacao, on a vu ensemble à quel point que quand on se libère, on peut créer une nouvelle matière. On a vécu, on a vu ensemble quelque chose de puissant, dont avec tout ce qui est le vivant a été créé. Je te raconte, sur ma fenêtre, sur ma tablette de fenêtre, j'avais une petite pochette de cuir. Sur la pochette de cuir, il y avait un anneau de bois. Et sur l'anneau de bois, il y avait une grosse pierre ronde, un cristal. Donc, ça fait des années que c'est installé là, sur le bord de ma fenêtre, en plein cœur du soleil. c'était là. Ça fait des années aussi que j'ai cette pierre-là, que j'ai jamais osé l'utiliser parce qu'il n'y avait pas de connexion. Et Dieu sait que je travaille avec plein de pierres. Dans ma maison, j'en ai plein. J'ai des pierres partout dans ma vie. Avec celle que j'accompagne, on arrive au moment où est-ce qu'elle a reçu... Son accompagnement, dont on est allés ensemble dans la bibliothèque à Cachic pour aller libérer une mémoire cellulaire, une vie antérieure, qui avait un gros impact dans sa vie d'aujourd'hui. Et là, elle est à dessiner sur sa feuille de comment elle se voit maintenant. Elle me parle et à un moment donné, je vois qu'il y a de la fumée sur le bord de la fenêtre. Bien, ça m'apporte à être curieuse parce que je me dis, voyons, je n'ai pas d'enceint qui brûle, je n'ai rien qui brûle. Je me lève et je regarde et ma pierre qui est sur le bord de la fenêtre capte l'énergie du soleil. Et elle crée un filet de lumière dont ma petite pochette, le feu est pris. Le feu est en train de tout brûler ma petite pochette, le fond de la pochette. Et là, je regarde ça et je me dis, ben voyons donc, qu'est-ce qui se passe là ? Et là, je prends la pierre dans mes mains et je réalise que justement, c'est le soleil, c'est par le soleil que le feu a pris part, la transparence de la pierre. Et là, je prends la petite pochette, puis on voit vraiment le fond de la pochette est tout brûlé. Et là, je regarde l'anneau de bois qui retenait ma pierre pour pas qu'elle roule, me montre que ce que j'ai brûlé a ouvert ce que je gardais dans mon utérus. en souffrance, en douleur, et que de par la lumière, de par le soleil, j'ai su capter cette énergie pour que je puisse me délivrer, pour que je puisse ouvrir ce que je retenais. d'être dans ma créativité, dans ma féminité, qui était en lien avec mes croyances. Et hier, la vie m'a apporté à ce que j'écrive une lettre à mon grand-papa Victorique. Une lettre dont je lui remettais ses propres croyances. Quand j'étais enfant, pour moi c'était un honneur de me faire bénir mon troisième oeil par lui. Ouais, à chaque Pâques. Mon grand-papa était à nous bénir. Il ne le faisait pas négativement, il ne le faisait pas mal sainement. Il le faisait parce qu'on lui a imposé. Parce qu'on lui a dit que c'était par cette voix qu'il devait être. Moi, quand mon grand-papa me bénissait le troisième oeil, ce que je ne savais pas, par contre, c'était que ce symbole sacré était malsain. C'était de me taire de ma vision, de mon don. de ce que je portais en étant enfant. Et quand moi-même j'étais à faire le symbole de la croix... C'était que je m'impose à me taire, que je me rende soumise à ce symbole sacré qui a été créé par l'homme pour avoir le pouvoir de maîtriser, contrôler, pour taire notre sacré. Mais là... Ça fait 26 ans que mon grand-papa est décédé et je lui ai expliqué, même s'il est décédé, je le sais, que l'énergie de ma vie, il est présent, il est connecté. Je lui ai dit que je lui redonnais ses faits et gestes. Et que j'étais convaincue que s'il serait ici de son vivant, qu'il comprendrait, que je lui remettais ce qui lui appartenait, je lui remettais sa responsabilité. Parce que moi, ça ne me convient pas. Parce que moi, ça ne me convient pas. Je porte ma propre médecine. Je porte ma propre médecine ! Et je vais oser le dire parce qu'on n'a pas le droit que tu sois naturelle. que tu sois en soins énergétiques, que tu sois peu importe dans l'ordre de la médecine, tu n'as pas le droit en tant que thérapeute de dire que tout ce qui est en lien avec la médecine. Mais on porte la médecine unique à l'intérieur de soi. Et ça, à partir de maintenant, je vais avancer avec ces mots qui vont m'offrir l'ouverture à une nouvelle vie. J'ai respecté la médecine qu'on a. Je lui ai fait confiance à la médecine qu'on a et c'est parfait. Ils ont été là pour m'accompagner à la perfection. Ces trois hommes, ces trois femmes, je les remercie du fond du cœur. Au bloc opératoire de Rimouski, c'est wow, vraiment. Ma gynécologue, c'est wow. Les infirmiers, c'est wow. Les infirmières, c'est wow. J'ai été prise en charge. Vraiment, avec respect. Il y en a d'autres à côté qui vont chialer. Ben, regarde ton attitude. C'est normal qu'on n'ait pas envie de prendre soin de toi parce que t'as une attitude à chier. On va se le dire. La petite madame qui n'était pas contente parce que l'infirmière, elle ne voulait pas qu'elle... sort de la salle ben c'est normal parce que peut-être qu'ils n'ont pas le temps d'attendre que tu finisses ta petite cigarette dehors parce qu'ils ont d'ouvrages à faire parce que justement tu prends pas... pas soin de toi. Peut-être que le petit monsieur justement, qui attend de se faire opérer, peut-être que justement, si tu mettrais un petit peu de d'eau dans ton ventre, peut-être que la petite infirmière serait peut-être un petit peu plus fine. Sérieusement. Dans le coin des infirmières quand j'ai sorti de avec mon chum en chaise roulante et que je l'ai Je leur ai dit, vous êtes géniales les femmes. Bien, je le disais vraiment sous l'effet de l'activant, mais je le disais vraiment de bon cœur parce que c'était la vérité. Et on le sait que si tu es en état de boisson, la vérité sort. Parce que ton attitude va sortir de la façon que tu es. Si tu es négatif dans la vie, bien si tu es en boisson, tu vas être négatif. Si dans la vie tu es positif, crée-moi ça un seul que tu vas... starter le parti mais c'est comme cela vie fait moi à partir de maintenant j'ai eu tantôt à signer un contrat d'âme avec celle dont avec qui j'accompagnais je voulais qu'elle soit témoin de qui j'allais être à partir de maintenant pour mon contre dame Je voulais avoir un témoin et elle a été mon témoin. Et elle va voir que maintenant la vie, elle est faite pour être vécue avec joie, avec plaisir, avec liberté, avec excitation, avec justement, arrêtons de souffrir. C'est assez ! Transcendons tout ça pour se permettre de se donner la liberté. Moi, en me déchaînant de mon passé qui est en lien avec les croyances que mon grand-père a faites, je me donne la plus belle des libertés. Je l'aime. Je l'aime mon grand-papa, même si ça fait 26 ans. Et ce qui est encore plus particulier, c'est que je me suis fait opérer à la journée de son décès. Il a 26 ans. Ça, c'est fort. C'est pour te dire à quel point que justement je portais cette masculinité sacrée dont j'étais imposée à taire ma féminité sacrée. Ça, c'est fort. Ça, c'est extrêmement fort. Et que le lendemain, je lui écris une lettre et que je lui dis, pardonne-moi. Mais maintenant, dans le ici et maintenant, je n'ai plus à... À garder à l'intérieur de moi ce que tu m'as programmé. Toi, ça fait 26 ans que t'es décédé, que t'es libre, entre parenthèses. Moi, ça fait 26 ans que je marche un chemin de vie. Ou est-ce que t'es croyant ? ne me conviennent pas, j'aurais jamais osé dire ça. Et s'il serait avec moi en ce moment, je le sais, qu'en te parlant en ce moment, je le sais qu'il est devant moi. C'est ça qui est puissant. Et je le sais que l'application... Karine, elle n'est plus la petite Karine dont elle se doit de se faire imposer. Parce que dans les 26 ans, il y en a eu des choses qui se sont révélées. Des curés qui ont violé. Des femmes qui ont battu. Des jeunes femmes. Des hommes qui ont agressé. Des petits garçons aussi. C'est comme, c'est assez ! En vain, Suzanne ! Merci. Il y a eu des révélations qui ont été mises en lumière. Moi, ça ne me convient pas. Je n'irai pas m'assire dans une église. Je n'irai pas m'assire dans une église pour aller mettre mes croyances. No way ! No way ! J'irais pas me marier devant un curé. No way ! C'est non négociable, c'est non. Si j'ai à me marier, c'est mon âme qui va m'apporter à ce que je le fasse à ma couleur, à ma façon, à ma spiritualité. Et j'ai pas besoin de me marier. Pour reconnaître l'amour et pour aimer. Non, je suis libre. Je suis une conscience libre parce que quand je m'entrerai dans le monde de l'au-delà, je ne retiendrai pas personne et personne ne va me retenir. va me retenir. Au contraire, je vais faire partie d'un tout. Exactement comme l'arbre, exactement comme la fleur, exactement comme l'aigle, exactement comme le cheval qui galope au grand bruit à sentir le vent. sous sa crinière mais c'est comme ça que moi je veux ma vie et c'est comme ça que je vois la reflète et c'est comme ça que je vois l'inspirer à ce que justement je puisse être qui je suis dans mon entièreté et voilà je t'ai parlé avec mon plus profond moment je t'ai parlé avec mon coeur à celui ou à celle qui est prête à entendre mes paroles de ce que je viens de partager. Je te souhaite la liberté et je te souhaite l'amour. Et je te souhaite à ce que tu puisses te retrouver ici et maintenant. N'attends pas d'être dans le monde de l'au-delà parce que tu vas arriver de l'autre côté et ça va être pas mal plus compliqué que tu penses. Parce que justement, tu n'auras pas le concret, le physique. Tu ne l'auras pas. Et ça se peut qu'on puisse ne pas t'entendre. Fait que moi, je te souhaite que dans le ici et maintenant, que tu prennes ta vie en main et que tu trouves ton chemin, ton chemin d'amour. Et avec l'histoire de la pierre dont elle a mis le feu dans le sac, ça m'a fait réaliser qu'avec l'anneau de bois, quand tu laisses passer la lumière par ton chakra de la couronne sur le dessus de la tête, le soleil, la lune, les étoiles, la vie, tout se transforme. On entre dans le vide et le vide est un tout. Parce que quand on porte des souffrances, c'est lourd. C'est lourd quand on porte l'amour. C'est là que c'est transparent. C'est là que c'est puissant. Parce qu'on émerge de notre puissance tout autour de nous. Et c'est là qu'on transforme la vie. Je te remercie de m'avoir écoutée. Je te souhaite... Tout l'amour du monde, je nous souhaite la plus belle des lumières de la vie. Je te dis merci et à la prochaine.

Description

🔥 Dans cet épisode, je t’ouvre les portes d’un passage initiatique où tout s’est transformé.

Entre un rituel sacré guidé, une chirurgie vécue comme une renaissance, et la libération de mémoires transgénérationnelles, j’ai choisi de brûler l’ancien pour retrouver ma liberté de femme.


Tu découvriras comment un simple cristal qui prend feu au soleil est devenu le symbole d’une guérison profonde. Comment j’ai fait la paix avec mes lignées, remis les croyances qui ne m’appartenaient pas et retrouvé la puissance de ma féminité sacrée.


💎 Cet épisode est une invitation à plonger dans la vérité brute, à sentir la force de la vie quand on ose dire oui à soi, et à reconnaître que de nos blessures peut naître notre plus grande lumière.


Es-tu prête à écouter une histoire qui pourrait aussi réveiller la tienne ? ✨

Au plaisir de vous faire découvrir mon monde intérieur, en espérant qu’il vous en inspire.

Avec Amour,
Karine Turcotte


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Transcription

  • Speaker #0

    Allô, allô ! J'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon podcast en toute simplicité du cœur à l'âme, épisode 68. Cette semaine, j'ai vécu une guidance incroyable pour me préparer à une étape que je devais passer, j'en étais rendue là dans ma vie. Et cette étape, je pouvais pas ne pas le mettre. En cérémonie, en rituel, je pouvais pas pas le faire. Je pouvais pas me préparer. Je pouvais pas ne pas me préparer à ce qui j'allais vivre comme expérience. Et en même temps, c'était... de me mettre dans un état du sacré pour ce qui allait s'en venir. Deux semaines avant, la vie m'apporte à ce que je rencontre par FaceTime, Madame Josée Lafleur. Cette dame, c'est une dame qui m'a initiée à mon chemin de... à mon chemin de... chemin rouge, qui est en lien avec Jade Chabot, dont... Elle nous initie dans tout ce qui est en lien avec la route médecine. C'est le chemin rouge, c'est le chemin qui est en lien de son... enseignement qu'elle a reçu des chamanes du Pérou. Et moi, il y a 5 ans, j'ai fait le chemin rouge. Donc, à chaque... mois, on se retrouvait entre femmes, deux, trois jours, et qui nous apportait à aller vraiment plonger à l'intérieur de soi, de par des rituels, de par des cérémonies. Et, il y a cinq ans, j'ai été initiée par Josée, donc j'apprécie beaucoup. Et il y a deux semaines, on a eu à communiquer ensemble par FaceTime. On s'est parlé et à l'intérieur de mon cœur, ça me disait, c'est avec cette femme que j'ai envie de passer par une cérémonie dont ce qui va m'apporter à accepter la décision que j'ai prise. Elle me donne une date. C'est une date avant la journée que je dois vivre une chirurgie d'un jour. Tout est déjà orchestré, tout est déjà aligné. Pour moi, c'est comme... c'est un cadeau. La journée, donc, j'ose m'accueillir par FaceTime. À 10 heures l'avant-midi, mon âme est prête à honorer ce chemin de vie que j'ai fait jusqu'à maintenant pour que j'entre dans une nouvelle sphère de vie. Dans cet accompagnement, C'est moi qui en étais à aller là où mon âme était prête à aller. Et je suis plongée à l'intérieur de moi, en toute vulnérabilité, pour que... Je suis reconnaître le chemin que j'ai fait jusqu'à maintenant dont mon corps en a subi des conséquences. De zéro jusqu'à aujourd'hui, j'ai été dure avec ma féminité sacrée. Dans le sens que je ne l'ai pas écouté parce qu'on ne me l'a pas enseigné. Ce que je portais comme don d'être en mesure d'aller dans la bibliothèque akashique, dans la conscience universelle. J'ai pas été à être enseignée autour de moi parce que je devais prendre un chemin qui était de ne pas être facile. Mais que aujourd'hui, j'honore par contre. Parce que ce chemin, je l'ai construit, je l'ai travaillé, je l'ai mis dans la direction que mon intuition me parlait, me dirigeait. Cette partie où est-ce que, de zéro jusqu'à mes huit ans, j'étais dans l'amusement. J'étais... Même si on me mettait des bâtons dans les roues, j'étais une petite fille qui s'amusait, qui s'émerveillait, qui avait le bonheur facile. Une petite fille qui... elle était à parler de les vies antérieures, que personne ne lui a enseigné, personne ne lui en a parlé. Ça venait de mon âme. J'étais dans l'amusement, j'étais dans le plaisir, je me souviens, j'étais vraiment émerveillée, excitée de parler de qui j'étais et peut-être même de qui j'allais être Et là, venu un temps où est-ce que, à mes 11 ans, j'ai eu mes menstruations. À 11 ans, je me souviens du moment de mes menstruations où est-ce que pour moi, quand j'ai vu ce sang, pour moi, ça a été un choc. Ça a été... Il n'y a pas de mots. Ça a été, pour moi, un blocage. Parce que de zéro à onze ans, oui, j'étais une petite fille. Mais la petite fille, à l'intérieur de moi, ce qu'elle aimait, c'était de vivre une vie où est-ce que je faisais du ski doux... Je faisais du 4 roues, je faisais du tracteur, je faisais du BMX, je descendais des sentiers en vélo dont j'étais une « cold girl » . J'étais les pieds tout sales, les mains tout sales. J'étais... Un petit garçon manqué. Ça me dérange pas de le dire, j'étais une petite fille libre d'être dans un gros parc d'amusement terrestre et qui, quand je me suis retrouvée à... voir que là, je me transformais, je me dirigeais vers une femme, ça m'a mis une forme de responsabilité sur mes épaules. Dans le sens que je n'étais pas prête à ça, moi. Je n'étais pas prête à avoir cette responsabilité de femme, dont ce que ça voulait dire pour moi, c'est comme ça m'enlève ma liberté. Pour moi, c'était « ça m'enlève ma liberté » parce que c'était en lien avec ce que je voyais de ma mère, de ma grand-mère, de les femmes qui étaient autour de moi, des femmes qui, en tant que femmes, étaient des mères à élever leurs enfants, à s'occuper de leurs enfants, à être dans la cuisine, à être sous une forme de femme tuée à la maison. C'est fou ! Ça, c'est ma perception, c'est ma vision, c'est mon expérience, c'est mon vécu, c'est ce que ma famille portait. Et l'homme, pour moi, c'était comme... ça voulait dire que ok en tant que femme maintenant j'ai des responsabilités en tant que femme maintenant je me dois de penser à est ce que je veux des enfants en tant que femme je dois penser à être vraiment une bonne cuisinière une bonne femme de ménage, que je me dois d'être une femme ou est-ce que je me dois de me taire. Ça, c'est dans mon expérience, on s'entend ? Et ça, ça m'a apporté à me couper ma liberté intérieure. Ça m'a mis un blocage dont ma famille transgénérationnelle portait et que c'était maintenant à mon tour de porter sur mes appôles. Et ça, ce que ça a fait, c'est que de 11 ans à aller jusqu'à mes 44 ans, j'ai eu à vivre un espace où est-ce que... C'est comme si je me sentais dans ma tour, c'est comme si dans ma tour, je devais vivre des expériences et que ces expériences terrestres, il fallait que justement que je passe par des douleurs, par des souffrances, par des malaises, par des situations dont c'était pas toujours rose. et tout ça faisait que ok, cette personne-là, je ne la veux plus dans ma vie cette personne-là n'est pas faite pour être dans ma vie cette personne-là me... m'ont appris, c'est correct, je pense à d'autres choses, cette personne-là se doit de me faire vivre telle situation, mais maintenant, c'est correct, je remercie, j'honore, et que là, au travers de tout ça, j'avais à vivre des expériences dont ça allait me faire grandir, mais des expériences émotionnelles, des expériences qui étaient très puissantes émotionnellement. Qui a fait que, à partir de l'âge de 40 ans, mon corps a commencé à parler ? Mon corps a commencé à parler du fait qu'il s'exprimait de façon ennuyante. étant à créer son chemin rouge. Dans mes tables lunes, mes saignements étaient très, très, très abondants. C'était le déluge, c'était l'hémorragie. Et ça, ben, ça m'a apporté à être curieuse. OK, mon alimentation. Après ça, mes vitamines. Est-ce que je manque de fer ? Est-ce que je manque de ci ? Est-ce que je manque de ça ? Fait que mon chemin que j'avais fait d'étudier en naturopathie m'a apporté à, OK, bon, je manque de fer. Je manque de vitamine D. Je manque de vitamine B. Je manque de vitamine C. Fait que tout... Tout ça m'apportait une curiosité dont ça m'apportait à bien manger, de manger une bonne nourriture, de manger plus de fer, de prendre soin de tout ce qui est le côté additif aussi, parce qu'on ne se cachera pas que dans l'alimentation, il y a des additifs qui sont très néfastes pour la santé. Si tu es curieuse, curieuse, je t'invite à aller avec l'application YouCat. Y-U-C-A, et tu scans les produits et à partir de les scans, tout est inscrit de ce qui se trouve à l'intérieur des produits. Et moi, durant 2-3 ans, ça m'apportait à avoir des ballonnements, des gros ballonnements au niveau de mon ventre à la fin de la journée parce que ça m'apportait à être curieuse de étudier. les additifs et quand je voyais qu'un tel additif justement le glutamate de sodium avec tous tes autres additifs ben il y en a là dedans qui apportait à vraiment un inconfort physique et qui ont un impact au niveau Des hormones. Et ça, ça m'a apporté à être curieuse, parce que je voyais bien qu'il y avait quelque chose qui était anormal à ce que je me sens de cette façon-là. Et ça, par la suite, ça m'a apporté à justement marcher vers des chemins de... Soin, soin spirituel, soin énergétique, soin physique, que ce soit de la cupompture, que ce soit du TNC, que ce soit des massages, que ce soit de la réflexologie, que ce soit tout ça m'apportait à un monde où est-ce que je me devais d'aller vers ces chemins-là pour comprendre, pour connaître. pour m'apporter à ce que je sois dans mon alignement de mon corps. Mais, au fil du temps, au fil jusqu'à mes 44 ans, j'ai eu la décision à prendre de... à ce que mon corps arrête de souffrir. Parce que là, c'était plus drôle. C'était pas drôle. J'avais beau passer par l'acupuncture, par bien manger, par prendre des vitamines, par prendre des petites granules, par prendre... des potions de tisane, aller en acupuncture deux fois par mois, tout ça. Mais là, mon corps me disait, Karine, t'as une programmation à l'intérieur de toi que tu te dois de déprogrammer. Parce que... en fait, corps, âme, esprit, émotion, tout ça a été touché, mais là on est rendu au corps. Et le corps a vécu tout simplement des programmations dont ça date aussi du transgénérationnel et qui là, tu dois y mettre un terme. et ça m'a apporté à prendre la décision que je devais me faire brûler l'endomètre. C'était une décision... qui pour moi j'étais rendu au dernier au dernier point mais c'est qu'il fallait que je comprenne aussi c'est que en prenant cette décision c'était pas de faire souffrir mon corps au contraire c'était de lui apporter une chance à ce qu'il arrête justement de souffrir parce que mon déséquilibre hormonal faisait en sorte que mon corps était affecté. Et en brûlant mon endomètre, ça permettait à mon corps à retrouver son équilibre par rapport avec, justement, l'anémie que ça m'apportait. Que ça m'apportait aussi à un éclatement de kyste, que ça m'apportait à être menstruée aux deux semaines, sept jours de temps, hémorragie par-dessus hémorragie. mais aussi c'est que ça m'a apporté à prendre conscience que j'ai étouffé de ma féminité sacré en prenant des anneaux voulant à ma vingtaine dans ma dans mon adolescence notre société nous a nous étouffe à ce que on ne soit pas en mesure d'être dans nos lunes dans nos moments de gratitude dans nos moments de détoxification fait tous Tout ça m'a apporté à ce que, en prenant cette décision, en étant à vivre la cérémonie avec Josée, ça me permettait de me retrouver dans ma liberté de féminité. que je permettais à ce que... Mes ancêtres, dont elles ont été programmées à ce qu'une femme soit une femme dont elle se doit de faire à manger, elle se doit d'être... une bonne femme, qu'elle se doit d'être une bonne ménagère, qu'elle se doit d'être soumise. Tout ça, ça a été programmé dans le passé. Je me souviens, ma grand-mère nous disait qu'elle recevait des petits cahiers à être une bonne femme à la maison. C'était quoi la joke ? Et ça, ça m'apportait à quand, justement, les Amérindiennes étaient prises par la religion, qu'il fallait qu'ils se grattent la peau pour devenir blanches. Tout ça m'a apporté à ces femmes qui ont souffert, à ce qu'ils n'ont pas le droit d'être des femmes. Et ça, c'est la société, c'est la religion, c'est le pouvoir qui a pris le contrôle de la féminité. Même si j'étais pas en mesure à 11 ans de comprendre qu'est-ce qui se passait, j'étais déjà à me mettre une barrière dans ma vie à ne pas accepter que je sois une femme. C'est fou à quel point c'est puissant, là ! Parce qu'il y a des femmes qui ont été, justement, dans des chemins où est-ce qu'elles devaient être soumises, qu'elles devaient être à l'ordre, qu'elles devaient être dans le pouvoir de... Ça m'a apporté à tout plein de réflexions. À tout plein de réflexions de penser à « c'est comme ça que ma mère réagissait. C'est comme ça que ma grand-mère réagissait. C'est comme ça que mon autre grand-mère réagissait. Que ces femmes étaient dans la cuisine à être des femmes sous l'ordre de que l'homme arrive à la maison, qu'on lui mette l'assiette à la table. » Mais on n'a pas besoin de se faire imposer ça. Parce que la femme, elle a la générosité naturelle d'offrir avec amour ce qu'elle porte. Mais la masculinité lui a imposé. Et on s'était au fil des siècles. Et là, en prenant toute conscience de ça, ça m'a apporté à ce que je puisse faire la paix avec moi. À ce que je puisse faire la paix avec mes générations, avec mes ancêtres. Parce que je le sais que tout ce que je suis en train de libérer, purifier, nettoyer, ça aide à ces femmes à ce qu'on puisse avancer maintenant dans un nouveau chemin. Je le sais que j'aide à ma fille à ce qu'elle puisse s'ouvrir à la vie en tant que femme et d'honorer qui elle est. totalement, et que je le sais que j'aide aux générations futures, parce que je veux pas qu'ils passent par le même chemin que moi. À quoi ça sert de passer par cette souffrance ? Ça sert absolument à... rien parce que la souffrance on ne peut à la vivre de ce qui vient de nos ancêtres et c'est mon devoir à moi à ce que mes sept génération future entre dans ce monde pour créer l'amour, la paix, la lumière, la créativité pour qu'on fasse un nouveau monde. Le monde chiale après un, après l'autre. Pourquoi qu'il y a tant de violence ? Pourquoi que si ? Pourquoi que ça ? Je l'ai déjà dit dans un de mes podcasts, chaque battement d'aile dans le ici et maintenant va créer un tsunami en Australie parce que c'est ici maintenant que ça commence. moi je commence à battre de l'aile avec amour, je crée une fréquence vibratoire qui, justement, en Australie, ils vont recevoir ma fréquence d'amour. Parce que nous sommes faits de fréquences énergétiques. Le monde n'y croit pas parce qu'il ne voit pas. Mais moi, j'y crois parce que je le sens, je le sais, je le vis. Et c'est ce qui fait toute la différence. Et c'est en commençant par moi que je vais créer une différence à toutes ces femmes et même à ces hommes, ces hommes qui ont le courage d'aller dans leur féminité sacrée. Chapeau ! Je suis honorée par tous ces hommes qui... Vienne se mettre un genou à mes côtés, un genou au sol. Parce que ces hommes pour moi sont pleins de courage, sont pleins d'ouverture d'esprit. Et ça aujourd'hui c'est le plus beau cadeau qu'un homme peut faire à la femme, à ce qu'il ait son ouverture d'esprit. pour qu'il y ait un pas. partage, un échange. Et que c'est dans cet échange-là que l'un et l'autre puissent se fusionner et que le Kundalini puisse s'élever. Qu'est-ce que c'est le Kundalini ? C'est l'énergie sacrée. C'est la puissance. On me l'a expliqué quand c'était deux dauphins. C'est deux dauphins qui se fusionnent ensemble dans l'océan et qui montent vers la lumière pour émettre de leur puissance, de leur pleine grandeur. Et ça, pour moi, qu'un homme ou une femme viennent à mes côtés pour... Honorer ce qui il est dans son entièreté, c'est wow, vraiment. Pour moi, ça c'est le plus beau des cadeaux, du fait qu'il me, ou elle me, choisit. Vraiment. Quand j'ai eu fini avec José, mon soin... J'ai créé un objet avec elle, dont tout s'est interconnecté. J'avais quatre objets à choisir et j'ai choisi un pot de couleur or, j'ai choisi une plante. avec tout le tour les feuilles rouges. J'ai choisi un foulard et j'ai choisi une petite figurette d'Amérindienne avec un petit chien. C'est quatre objets. a été guidée par mon âme et le pot de fleurs a rentré dans le pot de couleur dorée. La petite figurette, elle est rentrée dans le pot de fleurs à être assise sous le pied de cette fleur. Et tout autour du pot, j'ai mis le foulard. Et tout ça est de couleur rouge, comme par hasard. C'est ça qui est beau. inconsciemment, c'est ça qui est beau parce que le rouge représentait justement le sang, la vie. Et maintenant, ces quatre objets me représentent moi, que j'ai pris comme décision d'honorer ma féminité. Maintenant. Le lendemain, j'ai eu à vivre ma chirurgie d'un jour, dont j'ai été accompagnée par mon conjoint, et qui a été parfait, vraiment. Il a su me respecter, il a su... m'écouter, il a su m'accompagner exactement comme qui devait faire et j'ai eu à vivre un lâcher prise mais que j'étais en parfaite maîtrise à l'intérieur de moi et quand j'étais sur la table d'opération il y avait trois hommes qui m'entouraient et qui me préparait pour te dire à quel point j'étais dans un lâche et prise total mais c'est pour te dire à quel point que tout était parfait parce qu'il y avait trois hommes et trois femmes et les trois hommes étaient à préparer le terrain de mon corps qui je devais carrément lâcher prise mais j'avais confiance parce que je sentais que j'étais pris entre bonnes mains et là... J'aurais pu avoir eu le choix d'entrer carrément dans un bad trip, de dire non, non, non, je veux pas ces hommes-là dans ma vie, parce qu'on s'entend-tu que j'étais dans ma plus grande vulnérabilité, c'est le cas de le dire, et il y en avait un de chaque côté, un à gauche, un à droite, puis un où mes pieds, donc ma vulnérabilité était totalement... m'a mis en lumière. Fait que, ça l'a fait en sorte que les hommes ont préparé le terrain. Mais à l'intérieur de moi, je me sentais bien. J'avais pas de gêne, j'avais pas de honte, j'avais pas de... j'étais dans un état d'être où est-ce que je suis rendu là dans ma vie, puis c'est parfait, puis c'est correct comme ça. Et un coup que tout ça a été installé, la dame infirmière, elle est venue à mes côtés, du côté gauche. J'ai eu mon médecin, femme, merveilleuse, et il y avait un autre qui accompagnait au côté, une autre infirmière. dans ces trois femmes m'ont apporté à ce que je vive le moment justement de ce brûlement de mon endomètre et j'ai eu à vivre un moment où est-ce que j'étais en maîtrise vraiment j'ai eu aucune douleur durant le brûlement, mais avant d'être brûlée, il a fallu qu'elle me donne 0.25 d'activant du fait qu'elle m'a pincée. je me suis protégée. Et c'est là que j'ai réalisé que dans ma vie, j'ai toujours été à me protéger. J'ai toujours été à me protéger de ma féminité parce qu'en fait, en me protégeant de ma féminité, j'ai toujours été à me protéger de ma féminité. de ma créativité, je me fermais pour émettre qui j'étais. Fait que tout ce que je, tout ce que j'ai vécu de non-respect, autant sur le plan de la femme et sur le plan de l'homme, j'ai eu même cellulairement à tout simplement Voilà. avoir des blocages, des chocs, dont aujourd'hui je laissais aller. Et en étant à brûler, il ne faut pas voir ça négativement. Brûler, c'est exactement comme quand on brûle une feuille de papier. Tout retourne à la terre. Les cendres. Tout retourne à la terre. Ça, ça veut dire qu'à l'intérieur de moi, c'est comme si mon phénix ouvrait ses ailes. Mais moi, j'aime mieux dire mon aigle ouvre ses ailes pour que je puisse retrouver ma liberté, pour que je puisse prendre mon envol comme je le désire, comme je le sens en tant que moi, Karine. que j'ai ce désir depuis que je suis toute petite et ce qui est particulier, c'est qu'en me donnant l'Activa.26 c'est ce que j'ai entendu, je me suis retrouvée dans un bonheur, mais un bonheur tellement incroyable, je ne savais pas que l'activant pouvait faire cet effet-là, j'étais rendue une beads and love. Et oui, j'ai jamais autant ri sous un effet de... moi je pensais avant de passer sur la table d'opération, je t'avoue que ça me faisait peur j'ai même demandé à l'infirmière si vous vous m'offrez un petit quelque chose, là, est-ce que je vais perdre la taille négativement ? Dans le sens que c'est parce qu'en fait, j'ai des mauvais souvenirs par rapport avec mon adolescence quand j'ai eu à prendre des substances chimiques dont j'ai pas eu de belles expériences parce que, tu sais, on s'entend que la drogue est pas toujours bonne. fait que j'avais pas à l'intérieur de moi des belles expériences. façon de parler, pas que j'ai eu des batteries, peu importe, c'est pas ça, c'est que quand tu prends des substances de drogue, ta tête, ton esprit, ton cerveau est comme dans une espèce de brouillard. Et ça, moi, je voulais pas ça. Je voulais pas perdre la tête. Fait que l'infirmière m'avait dit non, non, non, ça va bien aller pis tout, pis... Celle qui était à côté de moi m'avait dit, ben c'est comme un peu prendre un verre de vin. Elle dit, tu vas voir, elle dit, tu vas peut-être être un petit peu étourdie, mais elle dit, tu vas avoir un bon feeling. Puis là, j'ai fait comme, ouais, mais c'est parce que moi, je ne prends pas d'alcool, puis j'aime pas avoir le feeling de l'alcool. ben elle dit non non, t'inquiète pas, tu vas voir, ça va bien aller, mais quac ! Ma médecin, elle dit à l'infirmière, donne-lui un petit poing 25 juste pour qu'elle calme le bassin parce que là, j'étais à me protéger du fait qu'elle m'ait pincé. Ça fait en sorte que, justement, là, j'étais piz... là tout était beau tout était parfait et là je sors de la salle d'opération mon conjoint vient me chercher pour venir me voir puis tout comment ça va puis là j'ai le gros smile en face et là il y a une infirmière qui arrive à mes côtés puis elle commence à me parler puis là j'y parle puis je suis vraiment à être dans une belle vibe. Puis là l'infirmière a dit est-ce que t'es Karine ? Ben oui, c'est moi Karine, je m'envoie mon petit bracelet d'hôpital. Je lui dis, oui, c'est moi. Elle dit, non, mais est-ce que tu es celle qui fait des soins ? Là, je la regarde et je dis, oui. Elle dit, est-ce que tu me reconnais ? Non. Tu sais, folle dans l'excitation, je suis comme dans la petite fille de 7-8 ans qui est comme dans l'amusement de qu'il n'y a aucune douleur, tout va bien. mais là j'ai dit mais c'est parce que t'as ton masque que je peux pas t'en reconnaître et là elle enlève son masque pis là je dis ben oui je me souviens de toi elle me dit ben oui je suis allée avec ma ma mère te rencontrer pour un soin pis elle dit tu le sais j'ai tellement tripé ben oui je me souviens tellement de toi pis ta maman pis là elle me dit tu sais elle dit ici dans l'hôpital à 10 t super apprécié. Pis là, je suis comme, sérieux ? Pis là, tu sais, je suis dans un état vraiment là, peace and love, là. Et là, elle dit, oui, non, non, elle dit vraiment, le monde parle de toi que en bien, que t'es une personne wow, que tes accompagnements, c'est de toute beauté. Pis là, je suis comme, oh wow, c'est bien hot. Pis là, je l'écoutais pis j'étais comme elle parle de moi, là. Fait que là, mon plaisir était dans une puissance fois mille. Pis là, elle dit, vraiment, elle dit merci. Mais là, j'ai dit, ben, merci tellement de ce que tu viens de me dire, là, je suis comme, wow ! Fait que là, ça en va. Pis là, fallait-je m'habiller pour voir si tout allait bien ? Fait que là, je me lève, je commence à m'habiller en me mettant mes culottes pis tout ça. Pis là, je dis à mon chum, à une fois pour toutes. il va falloir qu'on fugue. » Là, il me dit « Mais pourquoi ? » « Hé, j'ai dit, je suis comme rendue une vedette. » Là, il dit « Voyons, qu'est-ce que tu dis là ? » « Non, j'ai dit, tu comprends pas là. J'ai dit, je me sens comme une vedette en ce moment qui vient de se faire repérer par une infirmière, pis que là, on doit s'évader. Pis là, je pars à rire, mais je ris, mais je ris. Mais tu sais, rire de bon cœur, là, c'était là. Tellement mon chum était crampé d'un bois Au point que, on embarque, let's go, dans la chaise roulante et là, on part dans le corridor. Mais c'est fou parce que... Je me suis mise à regarder ces gens-là qui étaient tous assis à attendre leurs opérations. Il y en a que c'est pour le cancer, il y en a c'est pour des pierres aux reins, il y en a c'est pour enlever des masses. mais je me disais mais c'est notre attitude qui fait toute la différence toutes ces gens étaient assis avec un nez énergie de stress, de peur, d'anxiété, d'angoisse. Mais pourquoi se rendre jusqu'à là ? Pourquoi se rendre jusqu'à la mal-a-dit ? Ça n'a aucun sens, sérieux. Et là, moi, ça me montrait en amplitude que... J'ai eu à vivre un brûlement de l'endomètre. Mais c'est juste ça, là. À comparer de monsieur et madame qui sont dans la salle d'attente à attendre de... Mais je remerciais la vie que c'était juste ça que j'avais à vivre. Mais de leur faire un sourire, de les regarder avec une lumière dans mon regard, je le sais que ça a fait toute une différence. parce que le petit monsieur qui était assis dans la salle d'attente avec la peur, le stress, l'anxiété, tout ça. C'était comme, mais vous aussi vous avez le droit d'être heureux, mais vous aussi vous avez le droit d'avoir du plaisir dans la vie. Pourquoi est-ce que vous, pourquoi vous vous gardez dans la souffrance ? pourquoi vous êtes pas à vous offrir cette excitation de la vie de vivre des expériences qui ça nous rend heureux que ça nous apporte avoir une joie de vivre qui cette joie de vie fait toute la différence autour de nous. Parce que quand on est triste, quand on est malheureux, quand on est dans la peur, quand on est prisonnier de l'angoisse, qu'est-ce qu'on apporte à soi ? À rien. On s'auto-sabote, on s'auto-détruit. À quoi ça sert de porter une couronne d'épines sur la tête pour souffrir ? À quoi ça sert ? Ça sert à rien. Est-ce qu'on voit des arbres s'auto-saboteuil ? Est-ce qu'on voit des fleurs s'auto-détourner ? de par elle-même. Est-ce qu'on voit les arbres se déchirer l'écorce ? Non ! Est-ce qu'on voit la pelouse se scraper la vie parce que non, elle veut pas vivre, je veux pas montrer ma couleur verte, je veux pas montrer mon tapis de vergeture, de vergeture, de verdure. Non ! Justement, on a des vergetures. Les vergetures, les femmes, pourquoi qu'on s'auto-sabote en disant « Ah, c'est lait ça ! » Non ! C'est la vie ! T'as porté un enfant, deux, trois, quatre, etc. Les vergetures, c'est la vie, c'est le chemin de la vie. Pourquoi qu'on s'auto-sabote en étant à dire « Ah, moi je suis pas ci, moi je suis pas ça ! » Pis que là, ben là, je vais commencer à me découper le tour de bras, parce que là, il y a de la petite peau qui perd. après ça, je vais aller carrément... me botoxer le côté des yeux parce que j'ai trop de rides. Hey, c'est des rides de rire. Accepte-les, c'est ce qui est beau d'une femme. Pourquoi ? On est rendu où dans notre vie ? Sérieusement. On a la responsabilité de... De se rendre heureux et heureuse et d'être dans l'excitation et d'être dans la joie et d'être dans le plaisir de la vie. Ben c'est là que je suis rendue moi dans ma vie. Tout simplement d'être ce que je me dois d'être. L'arbre il est un pommier, ben moi je suis Karine. Et cette Karine-là, ben à partir de maintenant, je vais continuer de... poussé vers ma grandeur d'âme pour me permettre à ce que je puisse justement m'élever dans la beauté. Et c'est ça que je me suis promis. C'est ça que je me suis promis. Ça fait quatre jours. que je me suis fait brûler l'endomètre et rien pris. La seule chose que j'ai pris, c'est de l'amour et du cacao sacré. Et aujourd'hui, j'ai vécu la plus belle des expériences de toute ma vie, à guider, d'accompagner une jeune femme dans une cérémonie de cacao qui a duré deux heures et demie de temps, mais qui était parfaite. Du début jusqu'à la fin. Mon âme est déjà en conception de mon avenir parce que je suis alignée les deux pieds sur terre. en étant dans l'amour de mon être et j'ai pendant mes deux jours sans que je marche parce qu'il fallait pas je marche tant que ça, j'ai écouté le médecin, elle me dit tu marches pas trop, tu t'assis, je l'ai écouté, pour une fois je l'ai écouté. Ben j'ai monté un programme de huit cours. De mon monde, la bibliothèque akashique. 8 plus 9, neuvième, c'est un bonus qui est en lien avec les animaux, les végétaux, tout ce qui est le monde vivant. Ça, c'est mon monde, la bibliothèque akashique. que depuis le début. Que je me souvienne de mes trois ans. Je le sais que je porte cet accès à la bibliothèque akashique. Et cette bibliothèque akashique, avec toute mon expérience que j'ai vécue, mais tout... trois phases de vie, de 0 à 11 ans, de 11 ans à 44 ans et de 44 ans à aujourd'hui, je le sais que maintenant, je suis prête. à être cette enseignante pour mon nouveau monde à moi. Et cet enseignement-là que je vais offrir à tous ceux et celles qui seront prêts, c'est parce qu'ils auront reçu l'appel de leurs âmes à passer par leur chemin pour se libérer, purifier, nettoyer. Quand j'ai accompagné ma jeune femme dans la cérémonie de cacao, on a vu ensemble à quel point que quand on se libère, on peut créer une nouvelle matière. On a vécu, on a vu ensemble quelque chose de puissant, dont avec tout ce qui est le vivant a été créé. Je te raconte, sur ma fenêtre, sur ma tablette de fenêtre, j'avais une petite pochette de cuir. Sur la pochette de cuir, il y avait un anneau de bois. Et sur l'anneau de bois, il y avait une grosse pierre ronde, un cristal. Donc, ça fait des années que c'est installé là, sur le bord de ma fenêtre, en plein cœur du soleil. c'était là. Ça fait des années aussi que j'ai cette pierre-là, que j'ai jamais osé l'utiliser parce qu'il n'y avait pas de connexion. Et Dieu sait que je travaille avec plein de pierres. Dans ma maison, j'en ai plein. J'ai des pierres partout dans ma vie. Avec celle que j'accompagne, on arrive au moment où est-ce qu'elle a reçu... Son accompagnement, dont on est allés ensemble dans la bibliothèque à Cachic pour aller libérer une mémoire cellulaire, une vie antérieure, qui avait un gros impact dans sa vie d'aujourd'hui. Et là, elle est à dessiner sur sa feuille de comment elle se voit maintenant. Elle me parle et à un moment donné, je vois qu'il y a de la fumée sur le bord de la fenêtre. Bien, ça m'apporte à être curieuse parce que je me dis, voyons, je n'ai pas d'enceint qui brûle, je n'ai rien qui brûle. Je me lève et je regarde et ma pierre qui est sur le bord de la fenêtre capte l'énergie du soleil. Et elle crée un filet de lumière dont ma petite pochette, le feu est pris. Le feu est en train de tout brûler ma petite pochette, le fond de la pochette. Et là, je regarde ça et je me dis, ben voyons donc, qu'est-ce qui se passe là ? Et là, je prends la pierre dans mes mains et je réalise que justement, c'est le soleil, c'est par le soleil que le feu a pris part, la transparence de la pierre. Et là, je prends la petite pochette, puis on voit vraiment le fond de la pochette est tout brûlé. Et là, je regarde l'anneau de bois qui retenait ma pierre pour pas qu'elle roule, me montre que ce que j'ai brûlé a ouvert ce que je gardais dans mon utérus. en souffrance, en douleur, et que de par la lumière, de par le soleil, j'ai su capter cette énergie pour que je puisse me délivrer, pour que je puisse ouvrir ce que je retenais. d'être dans ma créativité, dans ma féminité, qui était en lien avec mes croyances. Et hier, la vie m'a apporté à ce que j'écrive une lettre à mon grand-papa Victorique. Une lettre dont je lui remettais ses propres croyances. Quand j'étais enfant, pour moi c'était un honneur de me faire bénir mon troisième oeil par lui. Ouais, à chaque Pâques. Mon grand-papa était à nous bénir. Il ne le faisait pas négativement, il ne le faisait pas mal sainement. Il le faisait parce qu'on lui a imposé. Parce qu'on lui a dit que c'était par cette voix qu'il devait être. Moi, quand mon grand-papa me bénissait le troisième oeil, ce que je ne savais pas, par contre, c'était que ce symbole sacré était malsain. C'était de me taire de ma vision, de mon don. de ce que je portais en étant enfant. Et quand moi-même j'étais à faire le symbole de la croix... C'était que je m'impose à me taire, que je me rende soumise à ce symbole sacré qui a été créé par l'homme pour avoir le pouvoir de maîtriser, contrôler, pour taire notre sacré. Mais là... Ça fait 26 ans que mon grand-papa est décédé et je lui ai expliqué, même s'il est décédé, je le sais, que l'énergie de ma vie, il est présent, il est connecté. Je lui ai dit que je lui redonnais ses faits et gestes. Et que j'étais convaincue que s'il serait ici de son vivant, qu'il comprendrait, que je lui remettais ce qui lui appartenait, je lui remettais sa responsabilité. Parce que moi, ça ne me convient pas. Parce que moi, ça ne me convient pas. Je porte ma propre médecine. Je porte ma propre médecine ! Et je vais oser le dire parce qu'on n'a pas le droit que tu sois naturelle. que tu sois en soins énergétiques, que tu sois peu importe dans l'ordre de la médecine, tu n'as pas le droit en tant que thérapeute de dire que tout ce qui est en lien avec la médecine. Mais on porte la médecine unique à l'intérieur de soi. Et ça, à partir de maintenant, je vais avancer avec ces mots qui vont m'offrir l'ouverture à une nouvelle vie. J'ai respecté la médecine qu'on a. Je lui ai fait confiance à la médecine qu'on a et c'est parfait. Ils ont été là pour m'accompagner à la perfection. Ces trois hommes, ces trois femmes, je les remercie du fond du cœur. Au bloc opératoire de Rimouski, c'est wow, vraiment. Ma gynécologue, c'est wow. Les infirmiers, c'est wow. Les infirmières, c'est wow. J'ai été prise en charge. Vraiment, avec respect. Il y en a d'autres à côté qui vont chialer. Ben, regarde ton attitude. C'est normal qu'on n'ait pas envie de prendre soin de toi parce que t'as une attitude à chier. On va se le dire. La petite madame qui n'était pas contente parce que l'infirmière, elle ne voulait pas qu'elle... sort de la salle ben c'est normal parce que peut-être qu'ils n'ont pas le temps d'attendre que tu finisses ta petite cigarette dehors parce qu'ils ont d'ouvrages à faire parce que justement tu prends pas... pas soin de toi. Peut-être que le petit monsieur justement, qui attend de se faire opérer, peut-être que justement, si tu mettrais un petit peu de d'eau dans ton ventre, peut-être que la petite infirmière serait peut-être un petit peu plus fine. Sérieusement. Dans le coin des infirmières quand j'ai sorti de avec mon chum en chaise roulante et que je l'ai Je leur ai dit, vous êtes géniales les femmes. Bien, je le disais vraiment sous l'effet de l'activant, mais je le disais vraiment de bon cœur parce que c'était la vérité. Et on le sait que si tu es en état de boisson, la vérité sort. Parce que ton attitude va sortir de la façon que tu es. Si tu es négatif dans la vie, bien si tu es en boisson, tu vas être négatif. Si dans la vie tu es positif, crée-moi ça un seul que tu vas... starter le parti mais c'est comme cela vie fait moi à partir de maintenant j'ai eu tantôt à signer un contrat d'âme avec celle dont avec qui j'accompagnais je voulais qu'elle soit témoin de qui j'allais être à partir de maintenant pour mon contre dame Je voulais avoir un témoin et elle a été mon témoin. Et elle va voir que maintenant la vie, elle est faite pour être vécue avec joie, avec plaisir, avec liberté, avec excitation, avec justement, arrêtons de souffrir. C'est assez ! Transcendons tout ça pour se permettre de se donner la liberté. Moi, en me déchaînant de mon passé qui est en lien avec les croyances que mon grand-père a faites, je me donne la plus belle des libertés. Je l'aime. Je l'aime mon grand-papa, même si ça fait 26 ans. Et ce qui est encore plus particulier, c'est que je me suis fait opérer à la journée de son décès. Il a 26 ans. Ça, c'est fort. C'est pour te dire à quel point que justement je portais cette masculinité sacrée dont j'étais imposée à taire ma féminité sacrée. Ça, c'est fort. Ça, c'est extrêmement fort. Et que le lendemain, je lui écris une lettre et que je lui dis, pardonne-moi. Mais maintenant, dans le ici et maintenant, je n'ai plus à... À garder à l'intérieur de moi ce que tu m'as programmé. Toi, ça fait 26 ans que t'es décédé, que t'es libre, entre parenthèses. Moi, ça fait 26 ans que je marche un chemin de vie. Ou est-ce que t'es croyant ? ne me conviennent pas, j'aurais jamais osé dire ça. Et s'il serait avec moi en ce moment, je le sais, qu'en te parlant en ce moment, je le sais qu'il est devant moi. C'est ça qui est puissant. Et je le sais que l'application... Karine, elle n'est plus la petite Karine dont elle se doit de se faire imposer. Parce que dans les 26 ans, il y en a eu des choses qui se sont révélées. Des curés qui ont violé. Des femmes qui ont battu. Des jeunes femmes. Des hommes qui ont agressé. Des petits garçons aussi. C'est comme, c'est assez ! En vain, Suzanne ! Merci. Il y a eu des révélations qui ont été mises en lumière. Moi, ça ne me convient pas. Je n'irai pas m'assire dans une église. Je n'irai pas m'assire dans une église pour aller mettre mes croyances. No way ! No way ! J'irais pas me marier devant un curé. No way ! C'est non négociable, c'est non. Si j'ai à me marier, c'est mon âme qui va m'apporter à ce que je le fasse à ma couleur, à ma façon, à ma spiritualité. Et j'ai pas besoin de me marier. Pour reconnaître l'amour et pour aimer. Non, je suis libre. Je suis une conscience libre parce que quand je m'entrerai dans le monde de l'au-delà, je ne retiendrai pas personne et personne ne va me retenir. va me retenir. Au contraire, je vais faire partie d'un tout. Exactement comme l'arbre, exactement comme la fleur, exactement comme l'aigle, exactement comme le cheval qui galope au grand bruit à sentir le vent. sous sa crinière mais c'est comme ça que moi je veux ma vie et c'est comme ça que je vois la reflète et c'est comme ça que je vois l'inspirer à ce que justement je puisse être qui je suis dans mon entièreté et voilà je t'ai parlé avec mon plus profond moment je t'ai parlé avec mon coeur à celui ou à celle qui est prête à entendre mes paroles de ce que je viens de partager. Je te souhaite la liberté et je te souhaite l'amour. Et je te souhaite à ce que tu puisses te retrouver ici et maintenant. N'attends pas d'être dans le monde de l'au-delà parce que tu vas arriver de l'autre côté et ça va être pas mal plus compliqué que tu penses. Parce que justement, tu n'auras pas le concret, le physique. Tu ne l'auras pas. Et ça se peut qu'on puisse ne pas t'entendre. Fait que moi, je te souhaite que dans le ici et maintenant, que tu prennes ta vie en main et que tu trouves ton chemin, ton chemin d'amour. Et avec l'histoire de la pierre dont elle a mis le feu dans le sac, ça m'a fait réaliser qu'avec l'anneau de bois, quand tu laisses passer la lumière par ton chakra de la couronne sur le dessus de la tête, le soleil, la lune, les étoiles, la vie, tout se transforme. On entre dans le vide et le vide est un tout. Parce que quand on porte des souffrances, c'est lourd. C'est lourd quand on porte l'amour. C'est là que c'est transparent. C'est là que c'est puissant. Parce qu'on émerge de notre puissance tout autour de nous. Et c'est là qu'on transforme la vie. Je te remercie de m'avoir écoutée. Je te souhaite... Tout l'amour du monde, je nous souhaite la plus belle des lumières de la vie. Je te dis merci et à la prochaine.

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Description

🔥 Dans cet épisode, je t’ouvre les portes d’un passage initiatique où tout s’est transformé.

Entre un rituel sacré guidé, une chirurgie vécue comme une renaissance, et la libération de mémoires transgénérationnelles, j’ai choisi de brûler l’ancien pour retrouver ma liberté de femme.


Tu découvriras comment un simple cristal qui prend feu au soleil est devenu le symbole d’une guérison profonde. Comment j’ai fait la paix avec mes lignées, remis les croyances qui ne m’appartenaient pas et retrouvé la puissance de ma féminité sacrée.


💎 Cet épisode est une invitation à plonger dans la vérité brute, à sentir la force de la vie quand on ose dire oui à soi, et à reconnaître que de nos blessures peut naître notre plus grande lumière.


Es-tu prête à écouter une histoire qui pourrait aussi réveiller la tienne ? ✨

Au plaisir de vous faire découvrir mon monde intérieur, en espérant qu’il vous en inspire.

Avec Amour,
Karine Turcotte


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Transcription

  • Speaker #0

    Allô, allô ! J'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon podcast en toute simplicité du cœur à l'âme, épisode 68. Cette semaine, j'ai vécu une guidance incroyable pour me préparer à une étape que je devais passer, j'en étais rendue là dans ma vie. Et cette étape, je pouvais pas ne pas le mettre. En cérémonie, en rituel, je pouvais pas pas le faire. Je pouvais pas me préparer. Je pouvais pas ne pas me préparer à ce qui j'allais vivre comme expérience. Et en même temps, c'était... de me mettre dans un état du sacré pour ce qui allait s'en venir. Deux semaines avant, la vie m'apporte à ce que je rencontre par FaceTime, Madame Josée Lafleur. Cette dame, c'est une dame qui m'a initiée à mon chemin de... à mon chemin de... chemin rouge, qui est en lien avec Jade Chabot, dont... Elle nous initie dans tout ce qui est en lien avec la route médecine. C'est le chemin rouge, c'est le chemin qui est en lien de son... enseignement qu'elle a reçu des chamanes du Pérou. Et moi, il y a 5 ans, j'ai fait le chemin rouge. Donc, à chaque... mois, on se retrouvait entre femmes, deux, trois jours, et qui nous apportait à aller vraiment plonger à l'intérieur de soi, de par des rituels, de par des cérémonies. Et, il y a cinq ans, j'ai été initiée par Josée, donc j'apprécie beaucoup. Et il y a deux semaines, on a eu à communiquer ensemble par FaceTime. On s'est parlé et à l'intérieur de mon cœur, ça me disait, c'est avec cette femme que j'ai envie de passer par une cérémonie dont ce qui va m'apporter à accepter la décision que j'ai prise. Elle me donne une date. C'est une date avant la journée que je dois vivre une chirurgie d'un jour. Tout est déjà orchestré, tout est déjà aligné. Pour moi, c'est comme... c'est un cadeau. La journée, donc, j'ose m'accueillir par FaceTime. À 10 heures l'avant-midi, mon âme est prête à honorer ce chemin de vie que j'ai fait jusqu'à maintenant pour que j'entre dans une nouvelle sphère de vie. Dans cet accompagnement, C'est moi qui en étais à aller là où mon âme était prête à aller. Et je suis plongée à l'intérieur de moi, en toute vulnérabilité, pour que... Je suis reconnaître le chemin que j'ai fait jusqu'à maintenant dont mon corps en a subi des conséquences. De zéro jusqu'à aujourd'hui, j'ai été dure avec ma féminité sacrée. Dans le sens que je ne l'ai pas écouté parce qu'on ne me l'a pas enseigné. Ce que je portais comme don d'être en mesure d'aller dans la bibliothèque akashique, dans la conscience universelle. J'ai pas été à être enseignée autour de moi parce que je devais prendre un chemin qui était de ne pas être facile. Mais que aujourd'hui, j'honore par contre. Parce que ce chemin, je l'ai construit, je l'ai travaillé, je l'ai mis dans la direction que mon intuition me parlait, me dirigeait. Cette partie où est-ce que, de zéro jusqu'à mes huit ans, j'étais dans l'amusement. J'étais... Même si on me mettait des bâtons dans les roues, j'étais une petite fille qui s'amusait, qui s'émerveillait, qui avait le bonheur facile. Une petite fille qui... elle était à parler de les vies antérieures, que personne ne lui a enseigné, personne ne lui en a parlé. Ça venait de mon âme. J'étais dans l'amusement, j'étais dans le plaisir, je me souviens, j'étais vraiment émerveillée, excitée de parler de qui j'étais et peut-être même de qui j'allais être Et là, venu un temps où est-ce que, à mes 11 ans, j'ai eu mes menstruations. À 11 ans, je me souviens du moment de mes menstruations où est-ce que pour moi, quand j'ai vu ce sang, pour moi, ça a été un choc. Ça a été... Il n'y a pas de mots. Ça a été, pour moi, un blocage. Parce que de zéro à onze ans, oui, j'étais une petite fille. Mais la petite fille, à l'intérieur de moi, ce qu'elle aimait, c'était de vivre une vie où est-ce que je faisais du ski doux... Je faisais du 4 roues, je faisais du tracteur, je faisais du BMX, je descendais des sentiers en vélo dont j'étais une « cold girl » . J'étais les pieds tout sales, les mains tout sales. J'étais... Un petit garçon manqué. Ça me dérange pas de le dire, j'étais une petite fille libre d'être dans un gros parc d'amusement terrestre et qui, quand je me suis retrouvée à... voir que là, je me transformais, je me dirigeais vers une femme, ça m'a mis une forme de responsabilité sur mes épaules. Dans le sens que je n'étais pas prête à ça, moi. Je n'étais pas prête à avoir cette responsabilité de femme, dont ce que ça voulait dire pour moi, c'est comme ça m'enlève ma liberté. Pour moi, c'était « ça m'enlève ma liberté » parce que c'était en lien avec ce que je voyais de ma mère, de ma grand-mère, de les femmes qui étaient autour de moi, des femmes qui, en tant que femmes, étaient des mères à élever leurs enfants, à s'occuper de leurs enfants, à être dans la cuisine, à être sous une forme de femme tuée à la maison. C'est fou ! Ça, c'est ma perception, c'est ma vision, c'est mon expérience, c'est mon vécu, c'est ce que ma famille portait. Et l'homme, pour moi, c'était comme... ça voulait dire que ok en tant que femme maintenant j'ai des responsabilités en tant que femme maintenant je me dois de penser à est ce que je veux des enfants en tant que femme je dois penser à être vraiment une bonne cuisinière une bonne femme de ménage, que je me dois d'être une femme ou est-ce que je me dois de me taire. Ça, c'est dans mon expérience, on s'entend ? Et ça, ça m'a apporté à me couper ma liberté intérieure. Ça m'a mis un blocage dont ma famille transgénérationnelle portait et que c'était maintenant à mon tour de porter sur mes appôles. Et ça, ce que ça a fait, c'est que de 11 ans à aller jusqu'à mes 44 ans, j'ai eu à vivre un espace où est-ce que... C'est comme si je me sentais dans ma tour, c'est comme si dans ma tour, je devais vivre des expériences et que ces expériences terrestres, il fallait que justement que je passe par des douleurs, par des souffrances, par des malaises, par des situations dont c'était pas toujours rose. et tout ça faisait que ok, cette personne-là, je ne la veux plus dans ma vie cette personne-là n'est pas faite pour être dans ma vie cette personne-là me... m'ont appris, c'est correct, je pense à d'autres choses, cette personne-là se doit de me faire vivre telle situation, mais maintenant, c'est correct, je remercie, j'honore, et que là, au travers de tout ça, j'avais à vivre des expériences dont ça allait me faire grandir, mais des expériences émotionnelles, des expériences qui étaient très puissantes émotionnellement. Qui a fait que, à partir de l'âge de 40 ans, mon corps a commencé à parler ? Mon corps a commencé à parler du fait qu'il s'exprimait de façon ennuyante. étant à créer son chemin rouge. Dans mes tables lunes, mes saignements étaient très, très, très abondants. C'était le déluge, c'était l'hémorragie. Et ça, ben, ça m'a apporté à être curieuse. OK, mon alimentation. Après ça, mes vitamines. Est-ce que je manque de fer ? Est-ce que je manque de ci ? Est-ce que je manque de ça ? Fait que mon chemin que j'avais fait d'étudier en naturopathie m'a apporté à, OK, bon, je manque de fer. Je manque de vitamine D. Je manque de vitamine B. Je manque de vitamine C. Fait que tout... Tout ça m'apportait une curiosité dont ça m'apportait à bien manger, de manger une bonne nourriture, de manger plus de fer, de prendre soin de tout ce qui est le côté additif aussi, parce qu'on ne se cachera pas que dans l'alimentation, il y a des additifs qui sont très néfastes pour la santé. Si tu es curieuse, curieuse, je t'invite à aller avec l'application YouCat. Y-U-C-A, et tu scans les produits et à partir de les scans, tout est inscrit de ce qui se trouve à l'intérieur des produits. Et moi, durant 2-3 ans, ça m'apportait à avoir des ballonnements, des gros ballonnements au niveau de mon ventre à la fin de la journée parce que ça m'apportait à être curieuse de étudier. les additifs et quand je voyais qu'un tel additif justement le glutamate de sodium avec tous tes autres additifs ben il y en a là dedans qui apportait à vraiment un inconfort physique et qui ont un impact au niveau Des hormones. Et ça, ça m'a apporté à être curieuse, parce que je voyais bien qu'il y avait quelque chose qui était anormal à ce que je me sens de cette façon-là. Et ça, par la suite, ça m'a apporté à justement marcher vers des chemins de... Soin, soin spirituel, soin énergétique, soin physique, que ce soit de la cupompture, que ce soit du TNC, que ce soit des massages, que ce soit de la réflexologie, que ce soit tout ça m'apportait à un monde où est-ce que je me devais d'aller vers ces chemins-là pour comprendre, pour connaître. pour m'apporter à ce que je sois dans mon alignement de mon corps. Mais, au fil du temps, au fil jusqu'à mes 44 ans, j'ai eu la décision à prendre de... à ce que mon corps arrête de souffrir. Parce que là, c'était plus drôle. C'était pas drôle. J'avais beau passer par l'acupuncture, par bien manger, par prendre des vitamines, par prendre des petites granules, par prendre... des potions de tisane, aller en acupuncture deux fois par mois, tout ça. Mais là, mon corps me disait, Karine, t'as une programmation à l'intérieur de toi que tu te dois de déprogrammer. Parce que... en fait, corps, âme, esprit, émotion, tout ça a été touché, mais là on est rendu au corps. Et le corps a vécu tout simplement des programmations dont ça date aussi du transgénérationnel et qui là, tu dois y mettre un terme. et ça m'a apporté à prendre la décision que je devais me faire brûler l'endomètre. C'était une décision... qui pour moi j'étais rendu au dernier au dernier point mais c'est qu'il fallait que je comprenne aussi c'est que en prenant cette décision c'était pas de faire souffrir mon corps au contraire c'était de lui apporter une chance à ce qu'il arrête justement de souffrir parce que mon déséquilibre hormonal faisait en sorte que mon corps était affecté. Et en brûlant mon endomètre, ça permettait à mon corps à retrouver son équilibre par rapport avec, justement, l'anémie que ça m'apportait. Que ça m'apportait aussi à un éclatement de kyste, que ça m'apportait à être menstruée aux deux semaines, sept jours de temps, hémorragie par-dessus hémorragie. mais aussi c'est que ça m'a apporté à prendre conscience que j'ai étouffé de ma féminité sacré en prenant des anneaux voulant à ma vingtaine dans ma dans mon adolescence notre société nous a nous étouffe à ce que on ne soit pas en mesure d'être dans nos lunes dans nos moments de gratitude dans nos moments de détoxification fait tous Tout ça m'a apporté à ce que, en prenant cette décision, en étant à vivre la cérémonie avec Josée, ça me permettait de me retrouver dans ma liberté de féminité. que je permettais à ce que... Mes ancêtres, dont elles ont été programmées à ce qu'une femme soit une femme dont elle se doit de faire à manger, elle se doit d'être... une bonne femme, qu'elle se doit d'être une bonne ménagère, qu'elle se doit d'être soumise. Tout ça, ça a été programmé dans le passé. Je me souviens, ma grand-mère nous disait qu'elle recevait des petits cahiers à être une bonne femme à la maison. C'était quoi la joke ? Et ça, ça m'apportait à quand, justement, les Amérindiennes étaient prises par la religion, qu'il fallait qu'ils se grattent la peau pour devenir blanches. Tout ça m'a apporté à ces femmes qui ont souffert, à ce qu'ils n'ont pas le droit d'être des femmes. Et ça, c'est la société, c'est la religion, c'est le pouvoir qui a pris le contrôle de la féminité. Même si j'étais pas en mesure à 11 ans de comprendre qu'est-ce qui se passait, j'étais déjà à me mettre une barrière dans ma vie à ne pas accepter que je sois une femme. C'est fou à quel point c'est puissant, là ! Parce qu'il y a des femmes qui ont été, justement, dans des chemins où est-ce qu'elles devaient être soumises, qu'elles devaient être à l'ordre, qu'elles devaient être dans le pouvoir de... Ça m'a apporté à tout plein de réflexions. À tout plein de réflexions de penser à « c'est comme ça que ma mère réagissait. C'est comme ça que ma grand-mère réagissait. C'est comme ça que mon autre grand-mère réagissait. Que ces femmes étaient dans la cuisine à être des femmes sous l'ordre de que l'homme arrive à la maison, qu'on lui mette l'assiette à la table. » Mais on n'a pas besoin de se faire imposer ça. Parce que la femme, elle a la générosité naturelle d'offrir avec amour ce qu'elle porte. Mais la masculinité lui a imposé. Et on s'était au fil des siècles. Et là, en prenant toute conscience de ça, ça m'a apporté à ce que je puisse faire la paix avec moi. À ce que je puisse faire la paix avec mes générations, avec mes ancêtres. Parce que je le sais que tout ce que je suis en train de libérer, purifier, nettoyer, ça aide à ces femmes à ce qu'on puisse avancer maintenant dans un nouveau chemin. Je le sais que j'aide à ma fille à ce qu'elle puisse s'ouvrir à la vie en tant que femme et d'honorer qui elle est. totalement, et que je le sais que j'aide aux générations futures, parce que je veux pas qu'ils passent par le même chemin que moi. À quoi ça sert de passer par cette souffrance ? Ça sert absolument à... rien parce que la souffrance on ne peut à la vivre de ce qui vient de nos ancêtres et c'est mon devoir à moi à ce que mes sept génération future entre dans ce monde pour créer l'amour, la paix, la lumière, la créativité pour qu'on fasse un nouveau monde. Le monde chiale après un, après l'autre. Pourquoi qu'il y a tant de violence ? Pourquoi que si ? Pourquoi que ça ? Je l'ai déjà dit dans un de mes podcasts, chaque battement d'aile dans le ici et maintenant va créer un tsunami en Australie parce que c'est ici maintenant que ça commence. moi je commence à battre de l'aile avec amour, je crée une fréquence vibratoire qui, justement, en Australie, ils vont recevoir ma fréquence d'amour. Parce que nous sommes faits de fréquences énergétiques. Le monde n'y croit pas parce qu'il ne voit pas. Mais moi, j'y crois parce que je le sens, je le sais, je le vis. Et c'est ce qui fait toute la différence. Et c'est en commençant par moi que je vais créer une différence à toutes ces femmes et même à ces hommes, ces hommes qui ont le courage d'aller dans leur féminité sacrée. Chapeau ! Je suis honorée par tous ces hommes qui... Vienne se mettre un genou à mes côtés, un genou au sol. Parce que ces hommes pour moi sont pleins de courage, sont pleins d'ouverture d'esprit. Et ça aujourd'hui c'est le plus beau cadeau qu'un homme peut faire à la femme, à ce qu'il ait son ouverture d'esprit. pour qu'il y ait un pas. partage, un échange. Et que c'est dans cet échange-là que l'un et l'autre puissent se fusionner et que le Kundalini puisse s'élever. Qu'est-ce que c'est le Kundalini ? C'est l'énergie sacrée. C'est la puissance. On me l'a expliqué quand c'était deux dauphins. C'est deux dauphins qui se fusionnent ensemble dans l'océan et qui montent vers la lumière pour émettre de leur puissance, de leur pleine grandeur. Et ça, pour moi, qu'un homme ou une femme viennent à mes côtés pour... Honorer ce qui il est dans son entièreté, c'est wow, vraiment. Pour moi, ça c'est le plus beau des cadeaux, du fait qu'il me, ou elle me, choisit. Vraiment. Quand j'ai eu fini avec José, mon soin... J'ai créé un objet avec elle, dont tout s'est interconnecté. J'avais quatre objets à choisir et j'ai choisi un pot de couleur or, j'ai choisi une plante. avec tout le tour les feuilles rouges. J'ai choisi un foulard et j'ai choisi une petite figurette d'Amérindienne avec un petit chien. C'est quatre objets. a été guidée par mon âme et le pot de fleurs a rentré dans le pot de couleur dorée. La petite figurette, elle est rentrée dans le pot de fleurs à être assise sous le pied de cette fleur. Et tout autour du pot, j'ai mis le foulard. Et tout ça est de couleur rouge, comme par hasard. C'est ça qui est beau. inconsciemment, c'est ça qui est beau parce que le rouge représentait justement le sang, la vie. Et maintenant, ces quatre objets me représentent moi, que j'ai pris comme décision d'honorer ma féminité. Maintenant. Le lendemain, j'ai eu à vivre ma chirurgie d'un jour, dont j'ai été accompagnée par mon conjoint, et qui a été parfait, vraiment. Il a su me respecter, il a su... m'écouter, il a su m'accompagner exactement comme qui devait faire et j'ai eu à vivre un lâcher prise mais que j'étais en parfaite maîtrise à l'intérieur de moi et quand j'étais sur la table d'opération il y avait trois hommes qui m'entouraient et qui me préparait pour te dire à quel point j'étais dans un lâche et prise total mais c'est pour te dire à quel point que tout était parfait parce qu'il y avait trois hommes et trois femmes et les trois hommes étaient à préparer le terrain de mon corps qui je devais carrément lâcher prise mais j'avais confiance parce que je sentais que j'étais pris entre bonnes mains et là... J'aurais pu avoir eu le choix d'entrer carrément dans un bad trip, de dire non, non, non, je veux pas ces hommes-là dans ma vie, parce qu'on s'entend-tu que j'étais dans ma plus grande vulnérabilité, c'est le cas de le dire, et il y en avait un de chaque côté, un à gauche, un à droite, puis un où mes pieds, donc ma vulnérabilité était totalement... m'a mis en lumière. Fait que, ça l'a fait en sorte que les hommes ont préparé le terrain. Mais à l'intérieur de moi, je me sentais bien. J'avais pas de gêne, j'avais pas de honte, j'avais pas de... j'étais dans un état d'être où est-ce que je suis rendu là dans ma vie, puis c'est parfait, puis c'est correct comme ça. Et un coup que tout ça a été installé, la dame infirmière, elle est venue à mes côtés, du côté gauche. J'ai eu mon médecin, femme, merveilleuse, et il y avait un autre qui accompagnait au côté, une autre infirmière. dans ces trois femmes m'ont apporté à ce que je vive le moment justement de ce brûlement de mon endomètre et j'ai eu à vivre un moment où est-ce que j'étais en maîtrise vraiment j'ai eu aucune douleur durant le brûlement, mais avant d'être brûlée, il a fallu qu'elle me donne 0.25 d'activant du fait qu'elle m'a pincée. je me suis protégée. Et c'est là que j'ai réalisé que dans ma vie, j'ai toujours été à me protéger. J'ai toujours été à me protéger de ma féminité parce qu'en fait, en me protégeant de ma féminité, j'ai toujours été à me protéger de ma féminité. de ma créativité, je me fermais pour émettre qui j'étais. Fait que tout ce que je, tout ce que j'ai vécu de non-respect, autant sur le plan de la femme et sur le plan de l'homme, j'ai eu même cellulairement à tout simplement Voilà. avoir des blocages, des chocs, dont aujourd'hui je laissais aller. Et en étant à brûler, il ne faut pas voir ça négativement. Brûler, c'est exactement comme quand on brûle une feuille de papier. Tout retourne à la terre. Les cendres. Tout retourne à la terre. Ça, ça veut dire qu'à l'intérieur de moi, c'est comme si mon phénix ouvrait ses ailes. Mais moi, j'aime mieux dire mon aigle ouvre ses ailes pour que je puisse retrouver ma liberté, pour que je puisse prendre mon envol comme je le désire, comme je le sens en tant que moi, Karine. que j'ai ce désir depuis que je suis toute petite et ce qui est particulier, c'est qu'en me donnant l'Activa.26 c'est ce que j'ai entendu, je me suis retrouvée dans un bonheur, mais un bonheur tellement incroyable, je ne savais pas que l'activant pouvait faire cet effet-là, j'étais rendue une beads and love. Et oui, j'ai jamais autant ri sous un effet de... moi je pensais avant de passer sur la table d'opération, je t'avoue que ça me faisait peur j'ai même demandé à l'infirmière si vous vous m'offrez un petit quelque chose, là, est-ce que je vais perdre la taille négativement ? Dans le sens que c'est parce qu'en fait, j'ai des mauvais souvenirs par rapport avec mon adolescence quand j'ai eu à prendre des substances chimiques dont j'ai pas eu de belles expériences parce que, tu sais, on s'entend que la drogue est pas toujours bonne. fait que j'avais pas à l'intérieur de moi des belles expériences. façon de parler, pas que j'ai eu des batteries, peu importe, c'est pas ça, c'est que quand tu prends des substances de drogue, ta tête, ton esprit, ton cerveau est comme dans une espèce de brouillard. Et ça, moi, je voulais pas ça. Je voulais pas perdre la tête. Fait que l'infirmière m'avait dit non, non, non, ça va bien aller pis tout, pis... Celle qui était à côté de moi m'avait dit, ben c'est comme un peu prendre un verre de vin. Elle dit, tu vas voir, elle dit, tu vas peut-être être un petit peu étourdie, mais elle dit, tu vas avoir un bon feeling. Puis là, j'ai fait comme, ouais, mais c'est parce que moi, je ne prends pas d'alcool, puis j'aime pas avoir le feeling de l'alcool. ben elle dit non non, t'inquiète pas, tu vas voir, ça va bien aller, mais quac ! Ma médecin, elle dit à l'infirmière, donne-lui un petit poing 25 juste pour qu'elle calme le bassin parce que là, j'étais à me protéger du fait qu'elle m'ait pincé. Ça fait en sorte que, justement, là, j'étais piz... là tout était beau tout était parfait et là je sors de la salle d'opération mon conjoint vient me chercher pour venir me voir puis tout comment ça va puis là j'ai le gros smile en face et là il y a une infirmière qui arrive à mes côtés puis elle commence à me parler puis là j'y parle puis je suis vraiment à être dans une belle vibe. Puis là l'infirmière a dit est-ce que t'es Karine ? Ben oui, c'est moi Karine, je m'envoie mon petit bracelet d'hôpital. Je lui dis, oui, c'est moi. Elle dit, non, mais est-ce que tu es celle qui fait des soins ? Là, je la regarde et je dis, oui. Elle dit, est-ce que tu me reconnais ? Non. Tu sais, folle dans l'excitation, je suis comme dans la petite fille de 7-8 ans qui est comme dans l'amusement de qu'il n'y a aucune douleur, tout va bien. mais là j'ai dit mais c'est parce que t'as ton masque que je peux pas t'en reconnaître et là elle enlève son masque pis là je dis ben oui je me souviens de toi elle me dit ben oui je suis allée avec ma ma mère te rencontrer pour un soin pis elle dit tu le sais j'ai tellement tripé ben oui je me souviens tellement de toi pis ta maman pis là elle me dit tu sais elle dit ici dans l'hôpital à 10 t super apprécié. Pis là, je suis comme, sérieux ? Pis là, tu sais, je suis dans un état vraiment là, peace and love, là. Et là, elle dit, oui, non, non, elle dit vraiment, le monde parle de toi que en bien, que t'es une personne wow, que tes accompagnements, c'est de toute beauté. Pis là, je suis comme, oh wow, c'est bien hot. Pis là, je l'écoutais pis j'étais comme elle parle de moi, là. Fait que là, mon plaisir était dans une puissance fois mille. Pis là, elle dit, vraiment, elle dit merci. Mais là, j'ai dit, ben, merci tellement de ce que tu viens de me dire, là, je suis comme, wow ! Fait que là, ça en va. Pis là, fallait-je m'habiller pour voir si tout allait bien ? Fait que là, je me lève, je commence à m'habiller en me mettant mes culottes pis tout ça. Pis là, je dis à mon chum, à une fois pour toutes. il va falloir qu'on fugue. » Là, il me dit « Mais pourquoi ? » « Hé, j'ai dit, je suis comme rendue une vedette. » Là, il dit « Voyons, qu'est-ce que tu dis là ? » « Non, j'ai dit, tu comprends pas là. J'ai dit, je me sens comme une vedette en ce moment qui vient de se faire repérer par une infirmière, pis que là, on doit s'évader. Pis là, je pars à rire, mais je ris, mais je ris. Mais tu sais, rire de bon cœur, là, c'était là. Tellement mon chum était crampé d'un bois Au point que, on embarque, let's go, dans la chaise roulante et là, on part dans le corridor. Mais c'est fou parce que... Je me suis mise à regarder ces gens-là qui étaient tous assis à attendre leurs opérations. Il y en a que c'est pour le cancer, il y en a c'est pour des pierres aux reins, il y en a c'est pour enlever des masses. mais je me disais mais c'est notre attitude qui fait toute la différence toutes ces gens étaient assis avec un nez énergie de stress, de peur, d'anxiété, d'angoisse. Mais pourquoi se rendre jusqu'à là ? Pourquoi se rendre jusqu'à la mal-a-dit ? Ça n'a aucun sens, sérieux. Et là, moi, ça me montrait en amplitude que... J'ai eu à vivre un brûlement de l'endomètre. Mais c'est juste ça, là. À comparer de monsieur et madame qui sont dans la salle d'attente à attendre de... Mais je remerciais la vie que c'était juste ça que j'avais à vivre. Mais de leur faire un sourire, de les regarder avec une lumière dans mon regard, je le sais que ça a fait toute une différence. parce que le petit monsieur qui était assis dans la salle d'attente avec la peur, le stress, l'anxiété, tout ça. C'était comme, mais vous aussi vous avez le droit d'être heureux, mais vous aussi vous avez le droit d'avoir du plaisir dans la vie. Pourquoi est-ce que vous, pourquoi vous vous gardez dans la souffrance ? pourquoi vous êtes pas à vous offrir cette excitation de la vie de vivre des expériences qui ça nous rend heureux que ça nous apporte avoir une joie de vivre qui cette joie de vie fait toute la différence autour de nous. Parce que quand on est triste, quand on est malheureux, quand on est dans la peur, quand on est prisonnier de l'angoisse, qu'est-ce qu'on apporte à soi ? À rien. On s'auto-sabote, on s'auto-détruit. À quoi ça sert de porter une couronne d'épines sur la tête pour souffrir ? À quoi ça sert ? Ça sert à rien. Est-ce qu'on voit des arbres s'auto-saboteuil ? Est-ce qu'on voit des fleurs s'auto-détourner ? de par elle-même. Est-ce qu'on voit les arbres se déchirer l'écorce ? Non ! Est-ce qu'on voit la pelouse se scraper la vie parce que non, elle veut pas vivre, je veux pas montrer ma couleur verte, je veux pas montrer mon tapis de vergeture, de vergeture, de verdure. Non ! Justement, on a des vergetures. Les vergetures, les femmes, pourquoi qu'on s'auto-sabote en disant « Ah, c'est lait ça ! » Non ! C'est la vie ! T'as porté un enfant, deux, trois, quatre, etc. Les vergetures, c'est la vie, c'est le chemin de la vie. Pourquoi qu'on s'auto-sabote en étant à dire « Ah, moi je suis pas ci, moi je suis pas ça ! » Pis que là, ben là, je vais commencer à me découper le tour de bras, parce que là, il y a de la petite peau qui perd. après ça, je vais aller carrément... me botoxer le côté des yeux parce que j'ai trop de rides. Hey, c'est des rides de rire. Accepte-les, c'est ce qui est beau d'une femme. Pourquoi ? On est rendu où dans notre vie ? Sérieusement. On a la responsabilité de... De se rendre heureux et heureuse et d'être dans l'excitation et d'être dans la joie et d'être dans le plaisir de la vie. Ben c'est là que je suis rendue moi dans ma vie. Tout simplement d'être ce que je me dois d'être. L'arbre il est un pommier, ben moi je suis Karine. Et cette Karine-là, ben à partir de maintenant, je vais continuer de... poussé vers ma grandeur d'âme pour me permettre à ce que je puisse justement m'élever dans la beauté. Et c'est ça que je me suis promis. C'est ça que je me suis promis. Ça fait quatre jours. que je me suis fait brûler l'endomètre et rien pris. La seule chose que j'ai pris, c'est de l'amour et du cacao sacré. Et aujourd'hui, j'ai vécu la plus belle des expériences de toute ma vie, à guider, d'accompagner une jeune femme dans une cérémonie de cacao qui a duré deux heures et demie de temps, mais qui était parfaite. Du début jusqu'à la fin. Mon âme est déjà en conception de mon avenir parce que je suis alignée les deux pieds sur terre. en étant dans l'amour de mon être et j'ai pendant mes deux jours sans que je marche parce qu'il fallait pas je marche tant que ça, j'ai écouté le médecin, elle me dit tu marches pas trop, tu t'assis, je l'ai écouté, pour une fois je l'ai écouté. Ben j'ai monté un programme de huit cours. De mon monde, la bibliothèque akashique. 8 plus 9, neuvième, c'est un bonus qui est en lien avec les animaux, les végétaux, tout ce qui est le monde vivant. Ça, c'est mon monde, la bibliothèque akashique. que depuis le début. Que je me souvienne de mes trois ans. Je le sais que je porte cet accès à la bibliothèque akashique. Et cette bibliothèque akashique, avec toute mon expérience que j'ai vécue, mais tout... trois phases de vie, de 0 à 11 ans, de 11 ans à 44 ans et de 44 ans à aujourd'hui, je le sais que maintenant, je suis prête. à être cette enseignante pour mon nouveau monde à moi. Et cet enseignement-là que je vais offrir à tous ceux et celles qui seront prêts, c'est parce qu'ils auront reçu l'appel de leurs âmes à passer par leur chemin pour se libérer, purifier, nettoyer. Quand j'ai accompagné ma jeune femme dans la cérémonie de cacao, on a vu ensemble à quel point que quand on se libère, on peut créer une nouvelle matière. On a vécu, on a vu ensemble quelque chose de puissant, dont avec tout ce qui est le vivant a été créé. Je te raconte, sur ma fenêtre, sur ma tablette de fenêtre, j'avais une petite pochette de cuir. Sur la pochette de cuir, il y avait un anneau de bois. Et sur l'anneau de bois, il y avait une grosse pierre ronde, un cristal. Donc, ça fait des années que c'est installé là, sur le bord de ma fenêtre, en plein cœur du soleil. c'était là. Ça fait des années aussi que j'ai cette pierre-là, que j'ai jamais osé l'utiliser parce qu'il n'y avait pas de connexion. Et Dieu sait que je travaille avec plein de pierres. Dans ma maison, j'en ai plein. J'ai des pierres partout dans ma vie. Avec celle que j'accompagne, on arrive au moment où est-ce qu'elle a reçu... Son accompagnement, dont on est allés ensemble dans la bibliothèque à Cachic pour aller libérer une mémoire cellulaire, une vie antérieure, qui avait un gros impact dans sa vie d'aujourd'hui. Et là, elle est à dessiner sur sa feuille de comment elle se voit maintenant. Elle me parle et à un moment donné, je vois qu'il y a de la fumée sur le bord de la fenêtre. Bien, ça m'apporte à être curieuse parce que je me dis, voyons, je n'ai pas d'enceint qui brûle, je n'ai rien qui brûle. Je me lève et je regarde et ma pierre qui est sur le bord de la fenêtre capte l'énergie du soleil. Et elle crée un filet de lumière dont ma petite pochette, le feu est pris. Le feu est en train de tout brûler ma petite pochette, le fond de la pochette. Et là, je regarde ça et je me dis, ben voyons donc, qu'est-ce qui se passe là ? Et là, je prends la pierre dans mes mains et je réalise que justement, c'est le soleil, c'est par le soleil que le feu a pris part, la transparence de la pierre. Et là, je prends la petite pochette, puis on voit vraiment le fond de la pochette est tout brûlé. Et là, je regarde l'anneau de bois qui retenait ma pierre pour pas qu'elle roule, me montre que ce que j'ai brûlé a ouvert ce que je gardais dans mon utérus. en souffrance, en douleur, et que de par la lumière, de par le soleil, j'ai su capter cette énergie pour que je puisse me délivrer, pour que je puisse ouvrir ce que je retenais. d'être dans ma créativité, dans ma féminité, qui était en lien avec mes croyances. Et hier, la vie m'a apporté à ce que j'écrive une lettre à mon grand-papa Victorique. Une lettre dont je lui remettais ses propres croyances. Quand j'étais enfant, pour moi c'était un honneur de me faire bénir mon troisième oeil par lui. Ouais, à chaque Pâques. Mon grand-papa était à nous bénir. Il ne le faisait pas négativement, il ne le faisait pas mal sainement. Il le faisait parce qu'on lui a imposé. Parce qu'on lui a dit que c'était par cette voix qu'il devait être. Moi, quand mon grand-papa me bénissait le troisième oeil, ce que je ne savais pas, par contre, c'était que ce symbole sacré était malsain. C'était de me taire de ma vision, de mon don. de ce que je portais en étant enfant. Et quand moi-même j'étais à faire le symbole de la croix... C'était que je m'impose à me taire, que je me rende soumise à ce symbole sacré qui a été créé par l'homme pour avoir le pouvoir de maîtriser, contrôler, pour taire notre sacré. Mais là... Ça fait 26 ans que mon grand-papa est décédé et je lui ai expliqué, même s'il est décédé, je le sais, que l'énergie de ma vie, il est présent, il est connecté. Je lui ai dit que je lui redonnais ses faits et gestes. Et que j'étais convaincue que s'il serait ici de son vivant, qu'il comprendrait, que je lui remettais ce qui lui appartenait, je lui remettais sa responsabilité. Parce que moi, ça ne me convient pas. Parce que moi, ça ne me convient pas. Je porte ma propre médecine. Je porte ma propre médecine ! Et je vais oser le dire parce qu'on n'a pas le droit que tu sois naturelle. que tu sois en soins énergétiques, que tu sois peu importe dans l'ordre de la médecine, tu n'as pas le droit en tant que thérapeute de dire que tout ce qui est en lien avec la médecine. Mais on porte la médecine unique à l'intérieur de soi. Et ça, à partir de maintenant, je vais avancer avec ces mots qui vont m'offrir l'ouverture à une nouvelle vie. J'ai respecté la médecine qu'on a. Je lui ai fait confiance à la médecine qu'on a et c'est parfait. Ils ont été là pour m'accompagner à la perfection. Ces trois hommes, ces trois femmes, je les remercie du fond du cœur. Au bloc opératoire de Rimouski, c'est wow, vraiment. Ma gynécologue, c'est wow. Les infirmiers, c'est wow. Les infirmières, c'est wow. J'ai été prise en charge. Vraiment, avec respect. Il y en a d'autres à côté qui vont chialer. Ben, regarde ton attitude. C'est normal qu'on n'ait pas envie de prendre soin de toi parce que t'as une attitude à chier. On va se le dire. La petite madame qui n'était pas contente parce que l'infirmière, elle ne voulait pas qu'elle... sort de la salle ben c'est normal parce que peut-être qu'ils n'ont pas le temps d'attendre que tu finisses ta petite cigarette dehors parce qu'ils ont d'ouvrages à faire parce que justement tu prends pas... pas soin de toi. Peut-être que le petit monsieur justement, qui attend de se faire opérer, peut-être que justement, si tu mettrais un petit peu de d'eau dans ton ventre, peut-être que la petite infirmière serait peut-être un petit peu plus fine. Sérieusement. Dans le coin des infirmières quand j'ai sorti de avec mon chum en chaise roulante et que je l'ai Je leur ai dit, vous êtes géniales les femmes. Bien, je le disais vraiment sous l'effet de l'activant, mais je le disais vraiment de bon cœur parce que c'était la vérité. Et on le sait que si tu es en état de boisson, la vérité sort. Parce que ton attitude va sortir de la façon que tu es. Si tu es négatif dans la vie, bien si tu es en boisson, tu vas être négatif. Si dans la vie tu es positif, crée-moi ça un seul que tu vas... starter le parti mais c'est comme cela vie fait moi à partir de maintenant j'ai eu tantôt à signer un contrat d'âme avec celle dont avec qui j'accompagnais je voulais qu'elle soit témoin de qui j'allais être à partir de maintenant pour mon contre dame Je voulais avoir un témoin et elle a été mon témoin. Et elle va voir que maintenant la vie, elle est faite pour être vécue avec joie, avec plaisir, avec liberté, avec excitation, avec justement, arrêtons de souffrir. C'est assez ! Transcendons tout ça pour se permettre de se donner la liberté. Moi, en me déchaînant de mon passé qui est en lien avec les croyances que mon grand-père a faites, je me donne la plus belle des libertés. Je l'aime. Je l'aime mon grand-papa, même si ça fait 26 ans. Et ce qui est encore plus particulier, c'est que je me suis fait opérer à la journée de son décès. Il a 26 ans. Ça, c'est fort. C'est pour te dire à quel point que justement je portais cette masculinité sacrée dont j'étais imposée à taire ma féminité sacrée. Ça, c'est fort. Ça, c'est extrêmement fort. Et que le lendemain, je lui écris une lettre et que je lui dis, pardonne-moi. Mais maintenant, dans le ici et maintenant, je n'ai plus à... À garder à l'intérieur de moi ce que tu m'as programmé. Toi, ça fait 26 ans que t'es décédé, que t'es libre, entre parenthèses. Moi, ça fait 26 ans que je marche un chemin de vie. Ou est-ce que t'es croyant ? ne me conviennent pas, j'aurais jamais osé dire ça. Et s'il serait avec moi en ce moment, je le sais, qu'en te parlant en ce moment, je le sais qu'il est devant moi. C'est ça qui est puissant. Et je le sais que l'application... Karine, elle n'est plus la petite Karine dont elle se doit de se faire imposer. Parce que dans les 26 ans, il y en a eu des choses qui se sont révélées. Des curés qui ont violé. Des femmes qui ont battu. Des jeunes femmes. Des hommes qui ont agressé. Des petits garçons aussi. C'est comme, c'est assez ! En vain, Suzanne ! Merci. Il y a eu des révélations qui ont été mises en lumière. Moi, ça ne me convient pas. Je n'irai pas m'assire dans une église. Je n'irai pas m'assire dans une église pour aller mettre mes croyances. No way ! No way ! J'irais pas me marier devant un curé. No way ! C'est non négociable, c'est non. Si j'ai à me marier, c'est mon âme qui va m'apporter à ce que je le fasse à ma couleur, à ma façon, à ma spiritualité. Et j'ai pas besoin de me marier. Pour reconnaître l'amour et pour aimer. Non, je suis libre. Je suis une conscience libre parce que quand je m'entrerai dans le monde de l'au-delà, je ne retiendrai pas personne et personne ne va me retenir. va me retenir. Au contraire, je vais faire partie d'un tout. Exactement comme l'arbre, exactement comme la fleur, exactement comme l'aigle, exactement comme le cheval qui galope au grand bruit à sentir le vent. sous sa crinière mais c'est comme ça que moi je veux ma vie et c'est comme ça que je vois la reflète et c'est comme ça que je vois l'inspirer à ce que justement je puisse être qui je suis dans mon entièreté et voilà je t'ai parlé avec mon plus profond moment je t'ai parlé avec mon coeur à celui ou à celle qui est prête à entendre mes paroles de ce que je viens de partager. Je te souhaite la liberté et je te souhaite l'amour. Et je te souhaite à ce que tu puisses te retrouver ici et maintenant. N'attends pas d'être dans le monde de l'au-delà parce que tu vas arriver de l'autre côté et ça va être pas mal plus compliqué que tu penses. Parce que justement, tu n'auras pas le concret, le physique. Tu ne l'auras pas. Et ça se peut qu'on puisse ne pas t'entendre. Fait que moi, je te souhaite que dans le ici et maintenant, que tu prennes ta vie en main et que tu trouves ton chemin, ton chemin d'amour. Et avec l'histoire de la pierre dont elle a mis le feu dans le sac, ça m'a fait réaliser qu'avec l'anneau de bois, quand tu laisses passer la lumière par ton chakra de la couronne sur le dessus de la tête, le soleil, la lune, les étoiles, la vie, tout se transforme. On entre dans le vide et le vide est un tout. Parce que quand on porte des souffrances, c'est lourd. C'est lourd quand on porte l'amour. C'est là que c'est transparent. C'est là que c'est puissant. Parce qu'on émerge de notre puissance tout autour de nous. Et c'est là qu'on transforme la vie. Je te remercie de m'avoir écoutée. Je te souhaite... Tout l'amour du monde, je nous souhaite la plus belle des lumières de la vie. Je te dis merci et à la prochaine.

Description

🔥 Dans cet épisode, je t’ouvre les portes d’un passage initiatique où tout s’est transformé.

Entre un rituel sacré guidé, une chirurgie vécue comme une renaissance, et la libération de mémoires transgénérationnelles, j’ai choisi de brûler l’ancien pour retrouver ma liberté de femme.


Tu découvriras comment un simple cristal qui prend feu au soleil est devenu le symbole d’une guérison profonde. Comment j’ai fait la paix avec mes lignées, remis les croyances qui ne m’appartenaient pas et retrouvé la puissance de ma féminité sacrée.


💎 Cet épisode est une invitation à plonger dans la vérité brute, à sentir la force de la vie quand on ose dire oui à soi, et à reconnaître que de nos blessures peut naître notre plus grande lumière.


Es-tu prête à écouter une histoire qui pourrait aussi réveiller la tienne ? ✨

Au plaisir de vous faire découvrir mon monde intérieur, en espérant qu’il vous en inspire.

Avec Amour,
Karine Turcotte


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Transcription

  • Speaker #0

    Allô, allô ! J'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon podcast en toute simplicité du cœur à l'âme, épisode 68. Cette semaine, j'ai vécu une guidance incroyable pour me préparer à une étape que je devais passer, j'en étais rendue là dans ma vie. Et cette étape, je pouvais pas ne pas le mettre. En cérémonie, en rituel, je pouvais pas pas le faire. Je pouvais pas me préparer. Je pouvais pas ne pas me préparer à ce qui j'allais vivre comme expérience. Et en même temps, c'était... de me mettre dans un état du sacré pour ce qui allait s'en venir. Deux semaines avant, la vie m'apporte à ce que je rencontre par FaceTime, Madame Josée Lafleur. Cette dame, c'est une dame qui m'a initiée à mon chemin de... à mon chemin de... chemin rouge, qui est en lien avec Jade Chabot, dont... Elle nous initie dans tout ce qui est en lien avec la route médecine. C'est le chemin rouge, c'est le chemin qui est en lien de son... enseignement qu'elle a reçu des chamanes du Pérou. Et moi, il y a 5 ans, j'ai fait le chemin rouge. Donc, à chaque... mois, on se retrouvait entre femmes, deux, trois jours, et qui nous apportait à aller vraiment plonger à l'intérieur de soi, de par des rituels, de par des cérémonies. Et, il y a cinq ans, j'ai été initiée par Josée, donc j'apprécie beaucoup. Et il y a deux semaines, on a eu à communiquer ensemble par FaceTime. On s'est parlé et à l'intérieur de mon cœur, ça me disait, c'est avec cette femme que j'ai envie de passer par une cérémonie dont ce qui va m'apporter à accepter la décision que j'ai prise. Elle me donne une date. C'est une date avant la journée que je dois vivre une chirurgie d'un jour. Tout est déjà orchestré, tout est déjà aligné. Pour moi, c'est comme... c'est un cadeau. La journée, donc, j'ose m'accueillir par FaceTime. À 10 heures l'avant-midi, mon âme est prête à honorer ce chemin de vie que j'ai fait jusqu'à maintenant pour que j'entre dans une nouvelle sphère de vie. Dans cet accompagnement, C'est moi qui en étais à aller là où mon âme était prête à aller. Et je suis plongée à l'intérieur de moi, en toute vulnérabilité, pour que... Je suis reconnaître le chemin que j'ai fait jusqu'à maintenant dont mon corps en a subi des conséquences. De zéro jusqu'à aujourd'hui, j'ai été dure avec ma féminité sacrée. Dans le sens que je ne l'ai pas écouté parce qu'on ne me l'a pas enseigné. Ce que je portais comme don d'être en mesure d'aller dans la bibliothèque akashique, dans la conscience universelle. J'ai pas été à être enseignée autour de moi parce que je devais prendre un chemin qui était de ne pas être facile. Mais que aujourd'hui, j'honore par contre. Parce que ce chemin, je l'ai construit, je l'ai travaillé, je l'ai mis dans la direction que mon intuition me parlait, me dirigeait. Cette partie où est-ce que, de zéro jusqu'à mes huit ans, j'étais dans l'amusement. J'étais... Même si on me mettait des bâtons dans les roues, j'étais une petite fille qui s'amusait, qui s'émerveillait, qui avait le bonheur facile. Une petite fille qui... elle était à parler de les vies antérieures, que personne ne lui a enseigné, personne ne lui en a parlé. Ça venait de mon âme. J'étais dans l'amusement, j'étais dans le plaisir, je me souviens, j'étais vraiment émerveillée, excitée de parler de qui j'étais et peut-être même de qui j'allais être Et là, venu un temps où est-ce que, à mes 11 ans, j'ai eu mes menstruations. À 11 ans, je me souviens du moment de mes menstruations où est-ce que pour moi, quand j'ai vu ce sang, pour moi, ça a été un choc. Ça a été... Il n'y a pas de mots. Ça a été, pour moi, un blocage. Parce que de zéro à onze ans, oui, j'étais une petite fille. Mais la petite fille, à l'intérieur de moi, ce qu'elle aimait, c'était de vivre une vie où est-ce que je faisais du ski doux... Je faisais du 4 roues, je faisais du tracteur, je faisais du BMX, je descendais des sentiers en vélo dont j'étais une « cold girl » . J'étais les pieds tout sales, les mains tout sales. J'étais... Un petit garçon manqué. Ça me dérange pas de le dire, j'étais une petite fille libre d'être dans un gros parc d'amusement terrestre et qui, quand je me suis retrouvée à... voir que là, je me transformais, je me dirigeais vers une femme, ça m'a mis une forme de responsabilité sur mes épaules. Dans le sens que je n'étais pas prête à ça, moi. Je n'étais pas prête à avoir cette responsabilité de femme, dont ce que ça voulait dire pour moi, c'est comme ça m'enlève ma liberté. Pour moi, c'était « ça m'enlève ma liberté » parce que c'était en lien avec ce que je voyais de ma mère, de ma grand-mère, de les femmes qui étaient autour de moi, des femmes qui, en tant que femmes, étaient des mères à élever leurs enfants, à s'occuper de leurs enfants, à être dans la cuisine, à être sous une forme de femme tuée à la maison. C'est fou ! Ça, c'est ma perception, c'est ma vision, c'est mon expérience, c'est mon vécu, c'est ce que ma famille portait. Et l'homme, pour moi, c'était comme... ça voulait dire que ok en tant que femme maintenant j'ai des responsabilités en tant que femme maintenant je me dois de penser à est ce que je veux des enfants en tant que femme je dois penser à être vraiment une bonne cuisinière une bonne femme de ménage, que je me dois d'être une femme ou est-ce que je me dois de me taire. Ça, c'est dans mon expérience, on s'entend ? Et ça, ça m'a apporté à me couper ma liberté intérieure. Ça m'a mis un blocage dont ma famille transgénérationnelle portait et que c'était maintenant à mon tour de porter sur mes appôles. Et ça, ce que ça a fait, c'est que de 11 ans à aller jusqu'à mes 44 ans, j'ai eu à vivre un espace où est-ce que... C'est comme si je me sentais dans ma tour, c'est comme si dans ma tour, je devais vivre des expériences et que ces expériences terrestres, il fallait que justement que je passe par des douleurs, par des souffrances, par des malaises, par des situations dont c'était pas toujours rose. et tout ça faisait que ok, cette personne-là, je ne la veux plus dans ma vie cette personne-là n'est pas faite pour être dans ma vie cette personne-là me... m'ont appris, c'est correct, je pense à d'autres choses, cette personne-là se doit de me faire vivre telle situation, mais maintenant, c'est correct, je remercie, j'honore, et que là, au travers de tout ça, j'avais à vivre des expériences dont ça allait me faire grandir, mais des expériences émotionnelles, des expériences qui étaient très puissantes émotionnellement. Qui a fait que, à partir de l'âge de 40 ans, mon corps a commencé à parler ? Mon corps a commencé à parler du fait qu'il s'exprimait de façon ennuyante. étant à créer son chemin rouge. Dans mes tables lunes, mes saignements étaient très, très, très abondants. C'était le déluge, c'était l'hémorragie. Et ça, ben, ça m'a apporté à être curieuse. OK, mon alimentation. Après ça, mes vitamines. Est-ce que je manque de fer ? Est-ce que je manque de ci ? Est-ce que je manque de ça ? Fait que mon chemin que j'avais fait d'étudier en naturopathie m'a apporté à, OK, bon, je manque de fer. Je manque de vitamine D. Je manque de vitamine B. Je manque de vitamine C. Fait que tout... Tout ça m'apportait une curiosité dont ça m'apportait à bien manger, de manger une bonne nourriture, de manger plus de fer, de prendre soin de tout ce qui est le côté additif aussi, parce qu'on ne se cachera pas que dans l'alimentation, il y a des additifs qui sont très néfastes pour la santé. Si tu es curieuse, curieuse, je t'invite à aller avec l'application YouCat. Y-U-C-A, et tu scans les produits et à partir de les scans, tout est inscrit de ce qui se trouve à l'intérieur des produits. Et moi, durant 2-3 ans, ça m'apportait à avoir des ballonnements, des gros ballonnements au niveau de mon ventre à la fin de la journée parce que ça m'apportait à être curieuse de étudier. les additifs et quand je voyais qu'un tel additif justement le glutamate de sodium avec tous tes autres additifs ben il y en a là dedans qui apportait à vraiment un inconfort physique et qui ont un impact au niveau Des hormones. Et ça, ça m'a apporté à être curieuse, parce que je voyais bien qu'il y avait quelque chose qui était anormal à ce que je me sens de cette façon-là. Et ça, par la suite, ça m'a apporté à justement marcher vers des chemins de... Soin, soin spirituel, soin énergétique, soin physique, que ce soit de la cupompture, que ce soit du TNC, que ce soit des massages, que ce soit de la réflexologie, que ce soit tout ça m'apportait à un monde où est-ce que je me devais d'aller vers ces chemins-là pour comprendre, pour connaître. pour m'apporter à ce que je sois dans mon alignement de mon corps. Mais, au fil du temps, au fil jusqu'à mes 44 ans, j'ai eu la décision à prendre de... à ce que mon corps arrête de souffrir. Parce que là, c'était plus drôle. C'était pas drôle. J'avais beau passer par l'acupuncture, par bien manger, par prendre des vitamines, par prendre des petites granules, par prendre... des potions de tisane, aller en acupuncture deux fois par mois, tout ça. Mais là, mon corps me disait, Karine, t'as une programmation à l'intérieur de toi que tu te dois de déprogrammer. Parce que... en fait, corps, âme, esprit, émotion, tout ça a été touché, mais là on est rendu au corps. Et le corps a vécu tout simplement des programmations dont ça date aussi du transgénérationnel et qui là, tu dois y mettre un terme. et ça m'a apporté à prendre la décision que je devais me faire brûler l'endomètre. C'était une décision... qui pour moi j'étais rendu au dernier au dernier point mais c'est qu'il fallait que je comprenne aussi c'est que en prenant cette décision c'était pas de faire souffrir mon corps au contraire c'était de lui apporter une chance à ce qu'il arrête justement de souffrir parce que mon déséquilibre hormonal faisait en sorte que mon corps était affecté. Et en brûlant mon endomètre, ça permettait à mon corps à retrouver son équilibre par rapport avec, justement, l'anémie que ça m'apportait. Que ça m'apportait aussi à un éclatement de kyste, que ça m'apportait à être menstruée aux deux semaines, sept jours de temps, hémorragie par-dessus hémorragie. mais aussi c'est que ça m'a apporté à prendre conscience que j'ai étouffé de ma féminité sacré en prenant des anneaux voulant à ma vingtaine dans ma dans mon adolescence notre société nous a nous étouffe à ce que on ne soit pas en mesure d'être dans nos lunes dans nos moments de gratitude dans nos moments de détoxification fait tous Tout ça m'a apporté à ce que, en prenant cette décision, en étant à vivre la cérémonie avec Josée, ça me permettait de me retrouver dans ma liberté de féminité. que je permettais à ce que... Mes ancêtres, dont elles ont été programmées à ce qu'une femme soit une femme dont elle se doit de faire à manger, elle se doit d'être... une bonne femme, qu'elle se doit d'être une bonne ménagère, qu'elle se doit d'être soumise. Tout ça, ça a été programmé dans le passé. Je me souviens, ma grand-mère nous disait qu'elle recevait des petits cahiers à être une bonne femme à la maison. C'était quoi la joke ? Et ça, ça m'apportait à quand, justement, les Amérindiennes étaient prises par la religion, qu'il fallait qu'ils se grattent la peau pour devenir blanches. Tout ça m'a apporté à ces femmes qui ont souffert, à ce qu'ils n'ont pas le droit d'être des femmes. Et ça, c'est la société, c'est la religion, c'est le pouvoir qui a pris le contrôle de la féminité. Même si j'étais pas en mesure à 11 ans de comprendre qu'est-ce qui se passait, j'étais déjà à me mettre une barrière dans ma vie à ne pas accepter que je sois une femme. C'est fou à quel point c'est puissant, là ! Parce qu'il y a des femmes qui ont été, justement, dans des chemins où est-ce qu'elles devaient être soumises, qu'elles devaient être à l'ordre, qu'elles devaient être dans le pouvoir de... Ça m'a apporté à tout plein de réflexions. À tout plein de réflexions de penser à « c'est comme ça que ma mère réagissait. C'est comme ça que ma grand-mère réagissait. C'est comme ça que mon autre grand-mère réagissait. Que ces femmes étaient dans la cuisine à être des femmes sous l'ordre de que l'homme arrive à la maison, qu'on lui mette l'assiette à la table. » Mais on n'a pas besoin de se faire imposer ça. Parce que la femme, elle a la générosité naturelle d'offrir avec amour ce qu'elle porte. Mais la masculinité lui a imposé. Et on s'était au fil des siècles. Et là, en prenant toute conscience de ça, ça m'a apporté à ce que je puisse faire la paix avec moi. À ce que je puisse faire la paix avec mes générations, avec mes ancêtres. Parce que je le sais que tout ce que je suis en train de libérer, purifier, nettoyer, ça aide à ces femmes à ce qu'on puisse avancer maintenant dans un nouveau chemin. Je le sais que j'aide à ma fille à ce qu'elle puisse s'ouvrir à la vie en tant que femme et d'honorer qui elle est. totalement, et que je le sais que j'aide aux générations futures, parce que je veux pas qu'ils passent par le même chemin que moi. À quoi ça sert de passer par cette souffrance ? Ça sert absolument à... rien parce que la souffrance on ne peut à la vivre de ce qui vient de nos ancêtres et c'est mon devoir à moi à ce que mes sept génération future entre dans ce monde pour créer l'amour, la paix, la lumière, la créativité pour qu'on fasse un nouveau monde. Le monde chiale après un, après l'autre. Pourquoi qu'il y a tant de violence ? Pourquoi que si ? Pourquoi que ça ? Je l'ai déjà dit dans un de mes podcasts, chaque battement d'aile dans le ici et maintenant va créer un tsunami en Australie parce que c'est ici maintenant que ça commence. moi je commence à battre de l'aile avec amour, je crée une fréquence vibratoire qui, justement, en Australie, ils vont recevoir ma fréquence d'amour. Parce que nous sommes faits de fréquences énergétiques. Le monde n'y croit pas parce qu'il ne voit pas. Mais moi, j'y crois parce que je le sens, je le sais, je le vis. Et c'est ce qui fait toute la différence. Et c'est en commençant par moi que je vais créer une différence à toutes ces femmes et même à ces hommes, ces hommes qui ont le courage d'aller dans leur féminité sacrée. Chapeau ! Je suis honorée par tous ces hommes qui... Vienne se mettre un genou à mes côtés, un genou au sol. Parce que ces hommes pour moi sont pleins de courage, sont pleins d'ouverture d'esprit. Et ça aujourd'hui c'est le plus beau cadeau qu'un homme peut faire à la femme, à ce qu'il ait son ouverture d'esprit. pour qu'il y ait un pas. partage, un échange. Et que c'est dans cet échange-là que l'un et l'autre puissent se fusionner et que le Kundalini puisse s'élever. Qu'est-ce que c'est le Kundalini ? C'est l'énergie sacrée. C'est la puissance. On me l'a expliqué quand c'était deux dauphins. C'est deux dauphins qui se fusionnent ensemble dans l'océan et qui montent vers la lumière pour émettre de leur puissance, de leur pleine grandeur. Et ça, pour moi, qu'un homme ou une femme viennent à mes côtés pour... Honorer ce qui il est dans son entièreté, c'est wow, vraiment. Pour moi, ça c'est le plus beau des cadeaux, du fait qu'il me, ou elle me, choisit. Vraiment. Quand j'ai eu fini avec José, mon soin... J'ai créé un objet avec elle, dont tout s'est interconnecté. J'avais quatre objets à choisir et j'ai choisi un pot de couleur or, j'ai choisi une plante. avec tout le tour les feuilles rouges. J'ai choisi un foulard et j'ai choisi une petite figurette d'Amérindienne avec un petit chien. C'est quatre objets. a été guidée par mon âme et le pot de fleurs a rentré dans le pot de couleur dorée. La petite figurette, elle est rentrée dans le pot de fleurs à être assise sous le pied de cette fleur. Et tout autour du pot, j'ai mis le foulard. Et tout ça est de couleur rouge, comme par hasard. C'est ça qui est beau. inconsciemment, c'est ça qui est beau parce que le rouge représentait justement le sang, la vie. Et maintenant, ces quatre objets me représentent moi, que j'ai pris comme décision d'honorer ma féminité. Maintenant. Le lendemain, j'ai eu à vivre ma chirurgie d'un jour, dont j'ai été accompagnée par mon conjoint, et qui a été parfait, vraiment. Il a su me respecter, il a su... m'écouter, il a su m'accompagner exactement comme qui devait faire et j'ai eu à vivre un lâcher prise mais que j'étais en parfaite maîtrise à l'intérieur de moi et quand j'étais sur la table d'opération il y avait trois hommes qui m'entouraient et qui me préparait pour te dire à quel point j'étais dans un lâche et prise total mais c'est pour te dire à quel point que tout était parfait parce qu'il y avait trois hommes et trois femmes et les trois hommes étaient à préparer le terrain de mon corps qui je devais carrément lâcher prise mais j'avais confiance parce que je sentais que j'étais pris entre bonnes mains et là... J'aurais pu avoir eu le choix d'entrer carrément dans un bad trip, de dire non, non, non, je veux pas ces hommes-là dans ma vie, parce qu'on s'entend-tu que j'étais dans ma plus grande vulnérabilité, c'est le cas de le dire, et il y en avait un de chaque côté, un à gauche, un à droite, puis un où mes pieds, donc ma vulnérabilité était totalement... m'a mis en lumière. Fait que, ça l'a fait en sorte que les hommes ont préparé le terrain. Mais à l'intérieur de moi, je me sentais bien. J'avais pas de gêne, j'avais pas de honte, j'avais pas de... j'étais dans un état d'être où est-ce que je suis rendu là dans ma vie, puis c'est parfait, puis c'est correct comme ça. Et un coup que tout ça a été installé, la dame infirmière, elle est venue à mes côtés, du côté gauche. J'ai eu mon médecin, femme, merveilleuse, et il y avait un autre qui accompagnait au côté, une autre infirmière. dans ces trois femmes m'ont apporté à ce que je vive le moment justement de ce brûlement de mon endomètre et j'ai eu à vivre un moment où est-ce que j'étais en maîtrise vraiment j'ai eu aucune douleur durant le brûlement, mais avant d'être brûlée, il a fallu qu'elle me donne 0.25 d'activant du fait qu'elle m'a pincée. je me suis protégée. Et c'est là que j'ai réalisé que dans ma vie, j'ai toujours été à me protéger. J'ai toujours été à me protéger de ma féminité parce qu'en fait, en me protégeant de ma féminité, j'ai toujours été à me protéger de ma féminité. de ma créativité, je me fermais pour émettre qui j'étais. Fait que tout ce que je, tout ce que j'ai vécu de non-respect, autant sur le plan de la femme et sur le plan de l'homme, j'ai eu même cellulairement à tout simplement Voilà. avoir des blocages, des chocs, dont aujourd'hui je laissais aller. Et en étant à brûler, il ne faut pas voir ça négativement. Brûler, c'est exactement comme quand on brûle une feuille de papier. Tout retourne à la terre. Les cendres. Tout retourne à la terre. Ça, ça veut dire qu'à l'intérieur de moi, c'est comme si mon phénix ouvrait ses ailes. Mais moi, j'aime mieux dire mon aigle ouvre ses ailes pour que je puisse retrouver ma liberté, pour que je puisse prendre mon envol comme je le désire, comme je le sens en tant que moi, Karine. que j'ai ce désir depuis que je suis toute petite et ce qui est particulier, c'est qu'en me donnant l'Activa.26 c'est ce que j'ai entendu, je me suis retrouvée dans un bonheur, mais un bonheur tellement incroyable, je ne savais pas que l'activant pouvait faire cet effet-là, j'étais rendue une beads and love. Et oui, j'ai jamais autant ri sous un effet de... moi je pensais avant de passer sur la table d'opération, je t'avoue que ça me faisait peur j'ai même demandé à l'infirmière si vous vous m'offrez un petit quelque chose, là, est-ce que je vais perdre la taille négativement ? Dans le sens que c'est parce qu'en fait, j'ai des mauvais souvenirs par rapport avec mon adolescence quand j'ai eu à prendre des substances chimiques dont j'ai pas eu de belles expériences parce que, tu sais, on s'entend que la drogue est pas toujours bonne. fait que j'avais pas à l'intérieur de moi des belles expériences. façon de parler, pas que j'ai eu des batteries, peu importe, c'est pas ça, c'est que quand tu prends des substances de drogue, ta tête, ton esprit, ton cerveau est comme dans une espèce de brouillard. Et ça, moi, je voulais pas ça. Je voulais pas perdre la tête. Fait que l'infirmière m'avait dit non, non, non, ça va bien aller pis tout, pis... Celle qui était à côté de moi m'avait dit, ben c'est comme un peu prendre un verre de vin. Elle dit, tu vas voir, elle dit, tu vas peut-être être un petit peu étourdie, mais elle dit, tu vas avoir un bon feeling. Puis là, j'ai fait comme, ouais, mais c'est parce que moi, je ne prends pas d'alcool, puis j'aime pas avoir le feeling de l'alcool. ben elle dit non non, t'inquiète pas, tu vas voir, ça va bien aller, mais quac ! Ma médecin, elle dit à l'infirmière, donne-lui un petit poing 25 juste pour qu'elle calme le bassin parce que là, j'étais à me protéger du fait qu'elle m'ait pincé. Ça fait en sorte que, justement, là, j'étais piz... là tout était beau tout était parfait et là je sors de la salle d'opération mon conjoint vient me chercher pour venir me voir puis tout comment ça va puis là j'ai le gros smile en face et là il y a une infirmière qui arrive à mes côtés puis elle commence à me parler puis là j'y parle puis je suis vraiment à être dans une belle vibe. Puis là l'infirmière a dit est-ce que t'es Karine ? Ben oui, c'est moi Karine, je m'envoie mon petit bracelet d'hôpital. Je lui dis, oui, c'est moi. Elle dit, non, mais est-ce que tu es celle qui fait des soins ? Là, je la regarde et je dis, oui. Elle dit, est-ce que tu me reconnais ? Non. Tu sais, folle dans l'excitation, je suis comme dans la petite fille de 7-8 ans qui est comme dans l'amusement de qu'il n'y a aucune douleur, tout va bien. mais là j'ai dit mais c'est parce que t'as ton masque que je peux pas t'en reconnaître et là elle enlève son masque pis là je dis ben oui je me souviens de toi elle me dit ben oui je suis allée avec ma ma mère te rencontrer pour un soin pis elle dit tu le sais j'ai tellement tripé ben oui je me souviens tellement de toi pis ta maman pis là elle me dit tu sais elle dit ici dans l'hôpital à 10 t super apprécié. Pis là, je suis comme, sérieux ? Pis là, tu sais, je suis dans un état vraiment là, peace and love, là. Et là, elle dit, oui, non, non, elle dit vraiment, le monde parle de toi que en bien, que t'es une personne wow, que tes accompagnements, c'est de toute beauté. Pis là, je suis comme, oh wow, c'est bien hot. Pis là, je l'écoutais pis j'étais comme elle parle de moi, là. Fait que là, mon plaisir était dans une puissance fois mille. Pis là, elle dit, vraiment, elle dit merci. Mais là, j'ai dit, ben, merci tellement de ce que tu viens de me dire, là, je suis comme, wow ! Fait que là, ça en va. Pis là, fallait-je m'habiller pour voir si tout allait bien ? Fait que là, je me lève, je commence à m'habiller en me mettant mes culottes pis tout ça. Pis là, je dis à mon chum, à une fois pour toutes. il va falloir qu'on fugue. » Là, il me dit « Mais pourquoi ? » « Hé, j'ai dit, je suis comme rendue une vedette. » Là, il dit « Voyons, qu'est-ce que tu dis là ? » « Non, j'ai dit, tu comprends pas là. J'ai dit, je me sens comme une vedette en ce moment qui vient de se faire repérer par une infirmière, pis que là, on doit s'évader. Pis là, je pars à rire, mais je ris, mais je ris. Mais tu sais, rire de bon cœur, là, c'était là. Tellement mon chum était crampé d'un bois Au point que, on embarque, let's go, dans la chaise roulante et là, on part dans le corridor. Mais c'est fou parce que... Je me suis mise à regarder ces gens-là qui étaient tous assis à attendre leurs opérations. Il y en a que c'est pour le cancer, il y en a c'est pour des pierres aux reins, il y en a c'est pour enlever des masses. mais je me disais mais c'est notre attitude qui fait toute la différence toutes ces gens étaient assis avec un nez énergie de stress, de peur, d'anxiété, d'angoisse. Mais pourquoi se rendre jusqu'à là ? Pourquoi se rendre jusqu'à la mal-a-dit ? Ça n'a aucun sens, sérieux. Et là, moi, ça me montrait en amplitude que... J'ai eu à vivre un brûlement de l'endomètre. Mais c'est juste ça, là. À comparer de monsieur et madame qui sont dans la salle d'attente à attendre de... Mais je remerciais la vie que c'était juste ça que j'avais à vivre. Mais de leur faire un sourire, de les regarder avec une lumière dans mon regard, je le sais que ça a fait toute une différence. parce que le petit monsieur qui était assis dans la salle d'attente avec la peur, le stress, l'anxiété, tout ça. C'était comme, mais vous aussi vous avez le droit d'être heureux, mais vous aussi vous avez le droit d'avoir du plaisir dans la vie. Pourquoi est-ce que vous, pourquoi vous vous gardez dans la souffrance ? pourquoi vous êtes pas à vous offrir cette excitation de la vie de vivre des expériences qui ça nous rend heureux que ça nous apporte avoir une joie de vivre qui cette joie de vie fait toute la différence autour de nous. Parce que quand on est triste, quand on est malheureux, quand on est dans la peur, quand on est prisonnier de l'angoisse, qu'est-ce qu'on apporte à soi ? À rien. On s'auto-sabote, on s'auto-détruit. À quoi ça sert de porter une couronne d'épines sur la tête pour souffrir ? À quoi ça sert ? Ça sert à rien. Est-ce qu'on voit des arbres s'auto-saboteuil ? Est-ce qu'on voit des fleurs s'auto-détourner ? de par elle-même. Est-ce qu'on voit les arbres se déchirer l'écorce ? Non ! Est-ce qu'on voit la pelouse se scraper la vie parce que non, elle veut pas vivre, je veux pas montrer ma couleur verte, je veux pas montrer mon tapis de vergeture, de vergeture, de verdure. Non ! Justement, on a des vergetures. Les vergetures, les femmes, pourquoi qu'on s'auto-sabote en disant « Ah, c'est lait ça ! » Non ! C'est la vie ! T'as porté un enfant, deux, trois, quatre, etc. Les vergetures, c'est la vie, c'est le chemin de la vie. Pourquoi qu'on s'auto-sabote en étant à dire « Ah, moi je suis pas ci, moi je suis pas ça ! » Pis que là, ben là, je vais commencer à me découper le tour de bras, parce que là, il y a de la petite peau qui perd. après ça, je vais aller carrément... me botoxer le côté des yeux parce que j'ai trop de rides. Hey, c'est des rides de rire. Accepte-les, c'est ce qui est beau d'une femme. Pourquoi ? On est rendu où dans notre vie ? Sérieusement. On a la responsabilité de... De se rendre heureux et heureuse et d'être dans l'excitation et d'être dans la joie et d'être dans le plaisir de la vie. Ben c'est là que je suis rendue moi dans ma vie. Tout simplement d'être ce que je me dois d'être. L'arbre il est un pommier, ben moi je suis Karine. Et cette Karine-là, ben à partir de maintenant, je vais continuer de... poussé vers ma grandeur d'âme pour me permettre à ce que je puisse justement m'élever dans la beauté. Et c'est ça que je me suis promis. C'est ça que je me suis promis. Ça fait quatre jours. que je me suis fait brûler l'endomètre et rien pris. La seule chose que j'ai pris, c'est de l'amour et du cacao sacré. Et aujourd'hui, j'ai vécu la plus belle des expériences de toute ma vie, à guider, d'accompagner une jeune femme dans une cérémonie de cacao qui a duré deux heures et demie de temps, mais qui était parfaite. Du début jusqu'à la fin. Mon âme est déjà en conception de mon avenir parce que je suis alignée les deux pieds sur terre. en étant dans l'amour de mon être et j'ai pendant mes deux jours sans que je marche parce qu'il fallait pas je marche tant que ça, j'ai écouté le médecin, elle me dit tu marches pas trop, tu t'assis, je l'ai écouté, pour une fois je l'ai écouté. Ben j'ai monté un programme de huit cours. De mon monde, la bibliothèque akashique. 8 plus 9, neuvième, c'est un bonus qui est en lien avec les animaux, les végétaux, tout ce qui est le monde vivant. Ça, c'est mon monde, la bibliothèque akashique. que depuis le début. Que je me souvienne de mes trois ans. Je le sais que je porte cet accès à la bibliothèque akashique. Et cette bibliothèque akashique, avec toute mon expérience que j'ai vécue, mais tout... trois phases de vie, de 0 à 11 ans, de 11 ans à 44 ans et de 44 ans à aujourd'hui, je le sais que maintenant, je suis prête. à être cette enseignante pour mon nouveau monde à moi. Et cet enseignement-là que je vais offrir à tous ceux et celles qui seront prêts, c'est parce qu'ils auront reçu l'appel de leurs âmes à passer par leur chemin pour se libérer, purifier, nettoyer. Quand j'ai accompagné ma jeune femme dans la cérémonie de cacao, on a vu ensemble à quel point que quand on se libère, on peut créer une nouvelle matière. On a vécu, on a vu ensemble quelque chose de puissant, dont avec tout ce qui est le vivant a été créé. Je te raconte, sur ma fenêtre, sur ma tablette de fenêtre, j'avais une petite pochette de cuir. Sur la pochette de cuir, il y avait un anneau de bois. Et sur l'anneau de bois, il y avait une grosse pierre ronde, un cristal. Donc, ça fait des années que c'est installé là, sur le bord de ma fenêtre, en plein cœur du soleil. c'était là. Ça fait des années aussi que j'ai cette pierre-là, que j'ai jamais osé l'utiliser parce qu'il n'y avait pas de connexion. Et Dieu sait que je travaille avec plein de pierres. Dans ma maison, j'en ai plein. J'ai des pierres partout dans ma vie. Avec celle que j'accompagne, on arrive au moment où est-ce qu'elle a reçu... Son accompagnement, dont on est allés ensemble dans la bibliothèque à Cachic pour aller libérer une mémoire cellulaire, une vie antérieure, qui avait un gros impact dans sa vie d'aujourd'hui. Et là, elle est à dessiner sur sa feuille de comment elle se voit maintenant. Elle me parle et à un moment donné, je vois qu'il y a de la fumée sur le bord de la fenêtre. Bien, ça m'apporte à être curieuse parce que je me dis, voyons, je n'ai pas d'enceint qui brûle, je n'ai rien qui brûle. Je me lève et je regarde et ma pierre qui est sur le bord de la fenêtre capte l'énergie du soleil. Et elle crée un filet de lumière dont ma petite pochette, le feu est pris. Le feu est en train de tout brûler ma petite pochette, le fond de la pochette. Et là, je regarde ça et je me dis, ben voyons donc, qu'est-ce qui se passe là ? Et là, je prends la pierre dans mes mains et je réalise que justement, c'est le soleil, c'est par le soleil que le feu a pris part, la transparence de la pierre. Et là, je prends la petite pochette, puis on voit vraiment le fond de la pochette est tout brûlé. Et là, je regarde l'anneau de bois qui retenait ma pierre pour pas qu'elle roule, me montre que ce que j'ai brûlé a ouvert ce que je gardais dans mon utérus. en souffrance, en douleur, et que de par la lumière, de par le soleil, j'ai su capter cette énergie pour que je puisse me délivrer, pour que je puisse ouvrir ce que je retenais. d'être dans ma créativité, dans ma féminité, qui était en lien avec mes croyances. Et hier, la vie m'a apporté à ce que j'écrive une lettre à mon grand-papa Victorique. Une lettre dont je lui remettais ses propres croyances. Quand j'étais enfant, pour moi c'était un honneur de me faire bénir mon troisième oeil par lui. Ouais, à chaque Pâques. Mon grand-papa était à nous bénir. Il ne le faisait pas négativement, il ne le faisait pas mal sainement. Il le faisait parce qu'on lui a imposé. Parce qu'on lui a dit que c'était par cette voix qu'il devait être. Moi, quand mon grand-papa me bénissait le troisième oeil, ce que je ne savais pas, par contre, c'était que ce symbole sacré était malsain. C'était de me taire de ma vision, de mon don. de ce que je portais en étant enfant. Et quand moi-même j'étais à faire le symbole de la croix... C'était que je m'impose à me taire, que je me rende soumise à ce symbole sacré qui a été créé par l'homme pour avoir le pouvoir de maîtriser, contrôler, pour taire notre sacré. Mais là... Ça fait 26 ans que mon grand-papa est décédé et je lui ai expliqué, même s'il est décédé, je le sais, que l'énergie de ma vie, il est présent, il est connecté. Je lui ai dit que je lui redonnais ses faits et gestes. Et que j'étais convaincue que s'il serait ici de son vivant, qu'il comprendrait, que je lui remettais ce qui lui appartenait, je lui remettais sa responsabilité. Parce que moi, ça ne me convient pas. Parce que moi, ça ne me convient pas. Je porte ma propre médecine. Je porte ma propre médecine ! Et je vais oser le dire parce qu'on n'a pas le droit que tu sois naturelle. que tu sois en soins énergétiques, que tu sois peu importe dans l'ordre de la médecine, tu n'as pas le droit en tant que thérapeute de dire que tout ce qui est en lien avec la médecine. Mais on porte la médecine unique à l'intérieur de soi. Et ça, à partir de maintenant, je vais avancer avec ces mots qui vont m'offrir l'ouverture à une nouvelle vie. J'ai respecté la médecine qu'on a. Je lui ai fait confiance à la médecine qu'on a et c'est parfait. Ils ont été là pour m'accompagner à la perfection. Ces trois hommes, ces trois femmes, je les remercie du fond du cœur. Au bloc opératoire de Rimouski, c'est wow, vraiment. Ma gynécologue, c'est wow. Les infirmiers, c'est wow. Les infirmières, c'est wow. J'ai été prise en charge. Vraiment, avec respect. Il y en a d'autres à côté qui vont chialer. Ben, regarde ton attitude. C'est normal qu'on n'ait pas envie de prendre soin de toi parce que t'as une attitude à chier. On va se le dire. La petite madame qui n'était pas contente parce que l'infirmière, elle ne voulait pas qu'elle... sort de la salle ben c'est normal parce que peut-être qu'ils n'ont pas le temps d'attendre que tu finisses ta petite cigarette dehors parce qu'ils ont d'ouvrages à faire parce que justement tu prends pas... pas soin de toi. Peut-être que le petit monsieur justement, qui attend de se faire opérer, peut-être que justement, si tu mettrais un petit peu de d'eau dans ton ventre, peut-être que la petite infirmière serait peut-être un petit peu plus fine. Sérieusement. Dans le coin des infirmières quand j'ai sorti de avec mon chum en chaise roulante et que je l'ai Je leur ai dit, vous êtes géniales les femmes. Bien, je le disais vraiment sous l'effet de l'activant, mais je le disais vraiment de bon cœur parce que c'était la vérité. Et on le sait que si tu es en état de boisson, la vérité sort. Parce que ton attitude va sortir de la façon que tu es. Si tu es négatif dans la vie, bien si tu es en boisson, tu vas être négatif. Si dans la vie tu es positif, crée-moi ça un seul que tu vas... starter le parti mais c'est comme cela vie fait moi à partir de maintenant j'ai eu tantôt à signer un contrat d'âme avec celle dont avec qui j'accompagnais je voulais qu'elle soit témoin de qui j'allais être à partir de maintenant pour mon contre dame Je voulais avoir un témoin et elle a été mon témoin. Et elle va voir que maintenant la vie, elle est faite pour être vécue avec joie, avec plaisir, avec liberté, avec excitation, avec justement, arrêtons de souffrir. C'est assez ! Transcendons tout ça pour se permettre de se donner la liberté. Moi, en me déchaînant de mon passé qui est en lien avec les croyances que mon grand-père a faites, je me donne la plus belle des libertés. Je l'aime. Je l'aime mon grand-papa, même si ça fait 26 ans. Et ce qui est encore plus particulier, c'est que je me suis fait opérer à la journée de son décès. Il a 26 ans. Ça, c'est fort. C'est pour te dire à quel point que justement je portais cette masculinité sacrée dont j'étais imposée à taire ma féminité sacrée. Ça, c'est fort. Ça, c'est extrêmement fort. Et que le lendemain, je lui écris une lettre et que je lui dis, pardonne-moi. Mais maintenant, dans le ici et maintenant, je n'ai plus à... À garder à l'intérieur de moi ce que tu m'as programmé. Toi, ça fait 26 ans que t'es décédé, que t'es libre, entre parenthèses. Moi, ça fait 26 ans que je marche un chemin de vie. Ou est-ce que t'es croyant ? ne me conviennent pas, j'aurais jamais osé dire ça. Et s'il serait avec moi en ce moment, je le sais, qu'en te parlant en ce moment, je le sais qu'il est devant moi. C'est ça qui est puissant. Et je le sais que l'application... Karine, elle n'est plus la petite Karine dont elle se doit de se faire imposer. Parce que dans les 26 ans, il y en a eu des choses qui se sont révélées. Des curés qui ont violé. Des femmes qui ont battu. Des jeunes femmes. Des hommes qui ont agressé. Des petits garçons aussi. C'est comme, c'est assez ! En vain, Suzanne ! Merci. Il y a eu des révélations qui ont été mises en lumière. Moi, ça ne me convient pas. Je n'irai pas m'assire dans une église. Je n'irai pas m'assire dans une église pour aller mettre mes croyances. No way ! No way ! J'irais pas me marier devant un curé. No way ! C'est non négociable, c'est non. Si j'ai à me marier, c'est mon âme qui va m'apporter à ce que je le fasse à ma couleur, à ma façon, à ma spiritualité. Et j'ai pas besoin de me marier. Pour reconnaître l'amour et pour aimer. Non, je suis libre. Je suis une conscience libre parce que quand je m'entrerai dans le monde de l'au-delà, je ne retiendrai pas personne et personne ne va me retenir. va me retenir. Au contraire, je vais faire partie d'un tout. Exactement comme l'arbre, exactement comme la fleur, exactement comme l'aigle, exactement comme le cheval qui galope au grand bruit à sentir le vent. sous sa crinière mais c'est comme ça que moi je veux ma vie et c'est comme ça que je vois la reflète et c'est comme ça que je vois l'inspirer à ce que justement je puisse être qui je suis dans mon entièreté et voilà je t'ai parlé avec mon plus profond moment je t'ai parlé avec mon coeur à celui ou à celle qui est prête à entendre mes paroles de ce que je viens de partager. Je te souhaite la liberté et je te souhaite l'amour. Et je te souhaite à ce que tu puisses te retrouver ici et maintenant. N'attends pas d'être dans le monde de l'au-delà parce que tu vas arriver de l'autre côté et ça va être pas mal plus compliqué que tu penses. Parce que justement, tu n'auras pas le concret, le physique. Tu ne l'auras pas. Et ça se peut qu'on puisse ne pas t'entendre. Fait que moi, je te souhaite que dans le ici et maintenant, que tu prennes ta vie en main et que tu trouves ton chemin, ton chemin d'amour. Et avec l'histoire de la pierre dont elle a mis le feu dans le sac, ça m'a fait réaliser qu'avec l'anneau de bois, quand tu laisses passer la lumière par ton chakra de la couronne sur le dessus de la tête, le soleil, la lune, les étoiles, la vie, tout se transforme. On entre dans le vide et le vide est un tout. Parce que quand on porte des souffrances, c'est lourd. C'est lourd quand on porte l'amour. C'est là que c'est transparent. C'est là que c'est puissant. Parce qu'on émerge de notre puissance tout autour de nous. Et c'est là qu'on transforme la vie. Je te remercie de m'avoir écoutée. Je te souhaite... Tout l'amour du monde, je nous souhaite la plus belle des lumières de la vie. Je te dis merci et à la prochaine.

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