Speaker #0Allô, allô ! J'espère que tu vas bien. Bienvenue à mon podcast en toute simplicité du cœur à l'âme, épisode 70. Je suis assise dans ma salle de soins en ce dimanche d'automne, même si on n'est pas encore le 21 octobre, avec toute cette nature qui... qui nous montrent avec ces feuilles toutes colorées, différentes les uns les autres, ça me ramène à me ramener à l'essentiel. Ça me ramène à me ramener à mon essence intérieure. Je suis allée en voyage dernièrement sur une île dont il n'y a pas encore beaucoup de monde qui ose y aller. C'est sur l'île à Cayo Coco, à Cuba. Souvent, les gens disent... disent « Ah, moi je ne vais pas à Cuba, la bouffe n'est pas bonne, il arrive des affaires que ça ne me met pas en sécurité. » Ça, c'est comme plein d'autres choses, en fait. C'est si tu te mets à écouter un et l'autre. On s'empêche de faire des choses parce qu'on a entendu un tel dire ou on devrait pas aller là parce que, entre parenthèses, c'est pas mangeable. J'ai appris au fil du temps que ce genre de blabla, ça m'importe peu parce que pour moi c'est... c'est ton jugement. C'est ta vision. C'est ta façon à toi de voir les choses. J'ai appris à avoir l'intelligence d'en prendre, puis d'en laisser. J'ai appris au fil du temps, avec mon monde qui m'entoure, que si elle, elle dit ça, c'est parce que peut-être aussi qu'elle a cette forme d'attitude-là. Dans le sens que si, exemple, elle dit que la bouffe n'est pas bonne, bien peut-être qu'elle était dans le niveau d'attente trop élevé. et dû à ce niveau d'attente trop élevé, elle s'est créée des attentes qui l'ont apporté à une décision. parce qu'elle s'attendait à avoir un steak à 300 piastres dans son assiette. Mais tu peux pas avoir un steak à 300 piastres dans ton assiette si tu payes ton voyage exemple à 1000 piastres, tout inclus. Moi pour moi, en étant à prendre la décision que j'allais à cet endroit, j'avais zéro attente. Pour moi, ce qui était important c'était de retourner à l'essentiel. Je venais de vivre une opération. d'un jour et j'avais besoin mon corps avait besoin de retrouver le moment présent non mon esprit avait besoin de retrouver du calme mon coeur avait besoin de de retrouver L'amour, dans le sens que mon coeur avait besoin de voir la beauté qui m'entoure. Quand on vit dans une société où est-ce que c'est travail, on mange et on dort, Bien, ça fait en sorte qu'à un moment donné, on en oublie l'essentiel. On oublie le moment présent. C'est comme si on était à côté de la traque et qu'on était sur un tapis roulant et qu'on courait, courait, courait sans arrêt pour en arriver au bout du compte. Déçu. Pour en arriver à vivre de la pression, du surmenage, de la surcharge, tout ça. Même si on ne veut pas être là-dedans, il y a cette pression-là qui est autour de nous, fait en sorte qu'on n'a pas le choix. On a comme... Pas qu'on n'a pas le choix, mais qu'on se doit. Parce que dans les années 2025, on va se souvenir que c'est plus comme dans les années 80, que la mère pouvait rester à la maison, à ne pas être obligée de travailler 51 semaines. Que la mère s'occupe de ses enfants, elle élève ses enfants, elle lui donne à manger, elle est présente. Mais aujourd'hui, en 2025, c'est un autre monde, c'est un autre air, totalement. Je suis contente d'avoir pris des moments dans ma vie où est-ce que je me suis respectée dans mes croyances, que je me suis respectée dans mes valeurs. Il faut avoir... une certaine droiture. Il faut être rebelle pour en arriver à dire « Non, moi je suis désolée, mais j'embarque pas là-dedans. » Il faut être en mesure de avoir confiance. en soi de son choix de sa décision parce que si quelqu'un te vient te demander toi qu'est ce que tu fais dans la vie et que la personne réponds ben je suis à la maison aujourd'hui tu vas te faire regarder de travers parce que que la personne va faire comme « Ah, t'es à la maison, tu élèves tes flots, tu fais à manger tes élèves, tu vas les porter à l'école, tu vas les chercher, tu vas aux activités. » C'est comme si tu serais un extraterrestre. C'est comme si, en fait, t'es pas normal. Mais qu'en fait... J'ai réalisé dans mon voyage, on s'en va où avec tout ça ? On s'en va où ? C'est pas à cause de la société qu'on est rendu là aujourd'hui. C'est à cause de nous, nous-mêmes. Nous avons pris la responsabilité de prendre ces choix, de prendre ces décisions, pour qu'on en arrive à... Où est-ce qu'on en est ? Sourmenage, dépression, burn-out, stress, TOC, maladie, et j'en passe. Mon corps me parlait en étant en hémorragie aux deux semaines, pendant trois attaques, en étant à ce que mon corps me dit C'est quand tu vas te ramener à l'essentiel. C'est quand tu vas te ramener à la terre. C'est quand tu vas te reconnecter. Oui, j'étais consciente. Oui, j'étais dans un processus de développement. Et aussi, j'étais dans un processus de libération, de guérison sur tous les plans. Mais j'avais un besoin d'aller me reconnecter avec l'essentiel, avec qui je suis. Je m'attendais pas au point à vraiment rien faire. J'avais apporté mon horaire, j'avais apporté ma tablette, j'avais apporté les papiers que j'avais... J'avais imprimé pour mon cahier de coaching avec des crayons. Moi, je m'avais planifié une horaire où est-ce que ma semaine de vacances, je vais creuer, ce que je n'ai pas le temps de creuer. dans mon quotidien. J'étais partie, là. J'étais vraiment dans ma tête, ça va faire du bien de pouvoir crever de façon à ce que je puisse vraiment être centrée dans mes petites... dans mes petites choses que je remettais toujours à plus tard. Mais, j'avais préparé ma valise, tout était prêt. Je pars avec mon conjoint, ma fille et son chum. Et on arrive sur l'île de Cayo Coco. J'ai déjà été, il y a un an et demi, à Guillermo. C'est carrément l'opposé. Et l'endroit où est-ce que j'allais, c'était au Grand Ashton Paragon. Si t'as envie d'aller... à cet endroit-là, je te le conseille fortement parce que c'est un endroit qui est formidable. Vas-y avant que ça devienne vraiment industrialisé, excuse-moi. Mais vraiment, c'est vraiment un endroit qui est wow. On arrive là-bas, on s'installe, ça fait du bien, la chaleur est tellement bonne. Chaleur humide que j'adore. Il y en a qui n'aiment pas ça, mais moi j'adore ça. Ça sent, j'ai même l'odeur encore de cette humidité-là. Et nous arrivons le soir, fait qu'on n'a comme pas le temps, ben ben, de voir... Ce qui est autour de nous, c'est pas la même chose le soir et le jour, quand on arrive pour des vacances, c'est deux mondes différents. Mais, mon but c'était de me coucher très tôt pour me lever très tôt, voir le lever du soleil, parce qu'en même temps, on était fatigués, on avait, en plus, on était... montés dans la nuit à Montréal pour arriver à Montréal à 10h le matin et prendre l'avion à 13h. On est arrivés à Cayo Coco il était 17h. qu'on y aille, il était rendu comme 6h, 6h30, près à ce que le soleil soit couché. Fait que mon but c'était de me coucher tôt parce que je me sentais fatiguée pis c'est normal, on fait du voyagement pis tout, pis on sort de notre quotidien en fait. Fait que... On se couche tôt et le lendemain, je me lève et là, on ouvre la porte patio et on est devant la mer. C'est comme le rêve. Tu te lèves le matin, t'es devant la mer, t'as une petite brise. de chaleur sur ta peau, c'est comme juste parfait. On est en hauteur, on est au quatrième étage et on voit que le ciel est bleu, bleu, bleu, mélangé avec la mer, c'est comme parfait. Et là, l'excitation de go, on s'en va déjeuner, prendre un bon café et ensuite s'asseoir à la plage pour vraiment profiter de cette première journée-là qui, pour moi, c'était comme enfin. Ça faisait un an et demi que je n'avais pas fait de voyage, puis pour moi, c'était vraiment enfin. Puis en plus, suite avec mon éclat, éclatement de kyste, j'avais comme pas pris le temps de prendre du temps, chose que j'ai pas écoutée. Parce que je m'avais promis de m'arrêter, mais avec toutes les circonstances, ça a fait que j'ai pas eu de temps comme j'aurais voulu. J'ai pas pris de vacances, mais tout est parfait ce qui fait que on s'en va déjeuner on s'envole à la plage, mais mon corps, lui, il était à se dire, elle n'a pas encore compris. Et là, ça faisait deux semaines que j'étais... avoir vécu ma petite opération et mon corps lui décide que je suis menstruée et là déception moi dans ma tête C'est comme ça se peut pas. Je suis en vacances, je ne peux pas être menstruée. Et là, la frustration de « je me suis faite opérer, j'ai vécu un stress, mais en même temps, j'ai appris, je peux pas saigner. » Il y a une tristesse, il y a une peine, il y a une colère, il y a une frustration. Ça va-tu me foutre la paix, cette démenstruation-là ? Et là, je me dis, je vais aller m'asseoir à la plage, je vais profiter du soleil, je vais profiter de toute cette beauté-là qui est devant moi. Et je m'installe sur ma chaise et je suis couchée sur ma chaise à me dire « Hey, je vais-tu passer la semaine sur une chaise à me faire griller comme un petit poulet ? » à 30 degrés sans profiter de l'eau turquoise qui est devant moi. Il n'y a personne sur la plage. Il n'y a même pas personne qui se baigne. Il n'y a pas de bateau. Il n'y a rien. Moi, je suis assise sur une chaise. Non, non, je peux pas. Je suis dans une énergie dans ma tête que... Je suis comme dans une dualité, en fait. Je suis comme à me dire... Je peux pas. Et là, il y a comme une espèce de... je dirais de mur. Je dirais de... Il y a quelque chose qui me fait peur de traverser de l'autre côté. C'est quoi qui me fait peur ? Le jugement ? C'est quoi qui me fait peur ? Que je me mets à réfléchir. Pourquoi que je me sens comme ça en ce moment ? Qu'est-ce qui me fait peur ? Qu'est-ce qui fait que je suis assise sur ma chaise et que je suis en train de poireauter dans ma tête ? Par respect pour les autres, je ne peux pas aller me baigner. En plus, je ne peux même pas me mettre de tampon parce que j'ai vécu mon opération et on ne peut pas se mettre de tampon. Je me dis que pourquoi encore il faut que je m'arrête pour lui ou pour elle qui va aller se baigner dans l'eau ? Je ne peux pas aller dans l'eau avec ma serviette. Et là, je suis dans une grosse dualité dans ma tête que si j'enlevais ma serviette et que je m'en allais dans l'eau... qu'est ce que ça ferait je regarde mon chum puis je lui dis sérieusement ça fait chier d'être assis sur cette chaise être dans ma tête devant ce mur là qui m'empêche d'aller au devant Pour que je puisse m'amuser, pour que je puisse m'éclater, pour que je puisse vivre le moment présent. Et là, je me dis, c'est pas vrai que je veux faire vivre ça à mon chum et à ma fille et à son chum. Pour moi, c'est comme, ça me tente pas de leur faire vivre ça, là. Je veux pas leur faire vivre ça, je veux pas leur péter leur bulle, je veux pas qu'ils se souviennent que... Après 10 ans, que je leur ai gâché le voyage parce que j'avais une gueule qui babounait parce que j'étais négative. Non, je voulais pas ça. Pis je vous le démontrais pas non plus parce que je voulais pas qu'ils s'en aperçoivent. Parce que pour moi c'était comme, c'est pas vrai que je vais leur gâcher leur voyage. Parce que c'est ma responsabilité, c'est moi seule en ce moment. qui se doit de prendre en charge ce que je vis émotionnellement. Mais là, je me sens que je suis contre moi-même. Je suis dure avec moi-même. Et là, je regarde mon chum et je lui dis, fuck that ! Il dit, voyons, pourquoi tu dis ça ? J'ai dit, là, je suis tarnée de me battre avec moi-même, c'est assez. Il dit, où tu t'en vas ? Je m'en vais aux toilettes. Il dit, pourquoi faire ? Je m'en vais enlever ma serviette, puis après ça je m'en vais dans l'eau, puis même si pendant que je marche, excuse-moi, mais même si ça oserait se montrer sur ma cuisse, je m'en vais dans l'eau. m'en fous. Je m'en fous. J'ai rien à perdre. De toute façon, je suis sur une île. Personne me connaît. Je m'en fous. J'assume totalement. Je pars aux toilettes. J'enlève ça. Je repasse. et avec un pas déterminé à dire « je rentre dans l'eau » . Et moi, mon bonheur, c'est de me retrouver dans l'eau. J'adore l'eau. L'eau, c'est simple. L'eau, c'est pur. L'eau, c'est confortable, c'est douillet, c'est chaleureux. J'avais juste le goût de me tremper, justement, en arrivant à cet endroit-là, pour sentir que c'est tellement réconfortant. de l'eau. Et là, mon chum, il me voit. J'ai la seule détermination de rentrer dans l'eau avec la conviction que c'est comme ça que ça doit se passer. Je rentre dans l'eau. Aïe aïe aïe. La... J'ai même pas de mots à te décrire à quel point que la connexion s'est faite avec l'eau. Il y a eu quelque chose qui s'est passé à ce moment-là, de sentir que je me donnais le droit. De briser ce mur-là, de briser ce plateau de verre-là, de dire là, je me donne le droit avec conviction, avec assurance, détermination, de passer par-dessus cette étape. Donc, ça m'angoissait, ça me mettait dans une frustration, dans une colère. C'est un moment-là que j'ai goûté, là, et tel descriptif. Je peux pas le décrire. J'ai rentré mes pieds, mes... Mes chevilles, mes mollets, mes genoux. Et je sentais que l'eau apprenait vie sur mon corps. Et là, l'eau était chaude, mais chaude, là. Au moins, sérieusement, 90. Sérieux, là. C'était au moins ça. Et en plus... transparente. Je sais pas si tu as regardé mes vidéos sur Facebook, mais l'eau était transparente. Un vert émeraude incroyable. Les poissons, on les voit. On est dans une grosse aquarium. Et là, à l'intérieur, je sens que ça vibre, que c'est bon, que c'est lumineux, que j'ai pris la bonne décision. Le soleil est présent, tout est parfait. Il n'y a personne encore sur la plage. Je ne comprends pas pourquoi il n'y a personne qui profite du beau temps, de toute cette plage à perte de vue, du sable, du sable, du sable farineux, du sable blanc parfait. Et là, je m'écrase dans l'eau, je me laisse porter, je lâche prise, j'entre dans les vagues de l'eau dont je sens qu'il y a une puissance incroyable qui se passe à l'intérieur de moi de dire que là, je ne fais qu'un avec l'eau. Je suis l'eau. Je me suis mise à faire l'étoile, à me laisser porter, à lâcher prise. Mais c'est à ce moment-là que j'ai compris que le lâcher prise, c'était ça. De se surpasser de tous les jugements. De se laisser... porter par la vie de ne pas se laisser emballer par des émotions négatives c'est d'arrêter de se comparer aux autres parce que là moi dans ma tête là je me disais mais là je peux pas aller dans l'eau elle pis elle qu'est ce qu'ils vont dire si Si, mettons, ça se fait, là. Fait que, tout ça, là, c'était comme fini dans ma tête. J'en avais rien à cirer. J'en avais rien à foutre. J'en... Je vais dire en bon québécois, je m'en collissais. C'est pas compliqué, c'était ça. Puis là, je vois mon chum qui arrive après que je me remets à nager, vraiment. Là, je suis comme une petite fille. qui est dans l'eau, qui nage d'un bord pis de l'autre, vers l'horizon, vers... En tout cas, vraiment, je prenais tous les bords, tous les côtés. Une petite fille qui, enfin, je peux me permettre d'être libre. Enfin, je peux me permettre de nager dans cette splendeur qui se présente à moi. C'est léger, c'est doux, c'est confortable, c'est parfait. Et là, mon chum, il a un grand sourire, puis il me voit bien aller, là, que j'ai l'air d'une flûne, là, comme si elle avait jamais sorti de la maison, puis que... Mais je suis heureuse, là ! Je suis tellement heureuse ! Je suis tellement bien ! Ça fait dire, genre, six... semaines que je comptais mes dodos, puis que là, je me disais, hey, là, c'est le temps d'en profiter, mais vraiment, c'est le temps d'en profiter. Et j'en ai profité. J'entrais à chaque jour dans... l'eau à 8h30 puis je ressortais de là il était 6 heures du soir. Moi la fille là qui était à apporter son ipad, son agenda, ses feuilles de cahier pour son coaching, on se l'entend dessus là ? La rebelle a fait j'en ai rien à cirer. C'est mon temps à moi. C'est mon moment à moi. Et c'est pas vrai que je... je vois me laisser anéantir partout ce que je m'avais mis ses épaules ? Non. La vie est capable d'attendre. C'est qui la personne la plus importante ? C'est moi. Je me dois de le mettre en œuvre, parce que c'est moi, c'est moi qui ai fait l'effort de me payer ce voyage-là, parce que je l'ai travaillé. C'est moi qui ai fait l'effort de préparer le voyage, de communiquer avec mon agent. avec mon agent de voyage si des fois ça t'intéresse d'avoir une agent une superbe de bonne agent je te conseille voyage le mieux c'est Marie-Claude Lemieux d'ici d'Alcouy super elle m'a organisé ça d'un bout à l'autre elle a entendu mes besoins ça a été juste parfait et pour moi c'était comme là je me dois de profiter de ce moment présent là parce que je suis là je suis ici et maintenant Maintenant, that's it ! Fait que quand je sortais de l'eau, c'était pour aller aux toilettes, faire mon petit pipi. Et c'était pour manger. Puis encore là, pour moi, manger, c'était... J'en ai rien à se rire. J'ai pas faim. Je me nourris de lumière, je me nourris d'eau. Je me nourris du moment présent. Pour moi, c'était comme juste parfait. C'est sûr que la faim me prenait, donc il fallait que j'aille manger. à deux minutes, on avait le droit, sur l'heure du midi, à notre petit repas. C'était parfait. Et là, les premiers jours, ça a été justement de goûter à ça, cette liberté-là, d'être. À un moment donné, je suis assise sur le bord de la plage. Il y a des vagues qui entrent. sur la rive, et qui vient vraiment toucher mes jambes. Et là, ça m'apporte à rentrer un petit peu plus creux pour vraiment que je sois comme une vague. Et je regardais au loin, puis c'est comme si, en regardant au loin, ça me mettait à me sortir de mes limites. Et là, je suis entrée dans un état de méditation où est-ce que... c'était bon parce que C'est comme si la vie est en train de m'enseigner au travers de tous les éléments, terre, eau, feu, air, à ce que je sente que, en fait, j'honorais, de par ma problématique féminine, que j'honorais mes ancêtres de par l'esprit de loup. Parce que l'eau, tout, tout le monde y a goûté. Ça peut paraître bizarre, mais en réalité c'est vrai parce que l'eau a un cycle. Condensation, ruissellement, écoulement, tout ce qu'on a appris à l'école, l'eau a un cycle. L'évaporation et tout le tralala. Ça, ça dit que ce cycle-là, nos ancêtres ont passé par cette Ausha, peu importe sous quelle manière on a passé dans cette Ausha. Elle a été purifiée, elle a été nettoyée par les pierres, par le sel, en ruissellement. Elle a voyagé. Et là, c'est comme si je sentais qu'à l'intérieur de moi, en honorant mes ancêtres de par ce que je vivais, c'était une façon de les remercier. façon de aussi montrer que ma mission à partir de cette vie-ci, c'est à ce que le futur soit meilleur. Mais j'ai senti à l'intérieur de moi une féminité sacrée qui s'est grandie, qui est indescriptible, qui est grandiose. J'ai senti que c'était puissant ce qui se passait. Et même que c'est ça qui est bizarre parce que c'est chose que j'ai jamais ressentie, c'est comme si pour la première fois, je sentais ma féminité sacrée s'ouvrir de façon à en devenir une sirène. C'est fou, hein ? Parce que je me rappelle à mon voyage du Mexique, à l'île Isla Moéles, que sur cette île, les femmes m'avaient enseigné de par leur présence énergétique qu'elles savaient créer une espèce de bassin d'eau. Et ce bassin Ausha faisait comme un sauna naturel. Et les femmes, quand elles étaient à avoir leur menstruation, pour alléger leur douleur, c'était dans cet endroit. là qui allaient s'installer pour laisser écouler leur sang, pour apaiser la douleur du dos des jambes lourdes. C'est fou parce que justement quand la journée que j'ai décidé de lâcher prise et que j'ai rentré dans l'eau. J'ai senti la légèreté. J'ai senti toute la pression tomber. Mes jambes lourdes. Tout ça ! Ça n'existait plus. Et c'est là que ça m'a ramenée à penser que c'est comme ça que ces femmes-là faisaient dans le temps. Qui allaient dans leur lune, dans l'eau, pour qu'elles puissent s'alléger de cette lourdeur et même jusqu'à mettre... l'enfant au monde. Parce que l'eau, c'est la vie. L'eau, on est nous-mêmes dans l'eau. On est dans l'eau pendant neuf mois de temps. C'est là que le début de la conception des êtres se crée. Dans l'eau, dans l'esprit de l'eau. D'avoir goûté à cet élément-là de cette façon-là énergiquement, ça m'a été incroyable. C'est comme si... C'était un enseignement que je recevais, mais très fort. C'était puissant. Le fait de me sentir comme une sirène, ça a venu transformer à l'intérieur de moi quelque chose. Ça a venu apporter de la transparence. Parce que durant la semaine, quand j'étais dans l'eau et que je voyais que tout autour de moi, il y avait des poissons, des poissons jaunes, des poissons transparents, ça m'apportait à ce que mon âme était bien dans toute cette forme de transparence-là. parce que moi, dans la vie, c'est une de mes valeurs premières d'être dans la transparence. J'ai toujours dit que quand le jour que je vais être dans le monde de l'au-delà, quand vous allez venir me rencontrer, je vais être pareil comme ici sur la terre. Je n'aurais pas changé et je ne serais pas différente. Non, je suis transparente. C'est pour ça que je vous apporte dans mon podcast à ce que vous sachiez qui je suis, parce que pour moi, ça a du n'importe quoi. ça l'a une importance puis je suis pas gênée de parler de qui je suis je suis pas gênée de parler de mes enseignements parce que je le sais que en dessous de ça il y a toujours une forme d'enseignement Parce que je suis comme ça dans la vie. Je suis intense comme ça. Vraiment. Je ne peux pas vivre sans le sacré. C'est ça que j'ai réalisé. Je ne peux pas vivre sans le sacré. Sinon, être à la surface pour moi, ce n'est pas vrai. Ce n'est pas ça la vie pour moi. Puis, je respecte tous ceux et celles qui sont à vivre à la surface. C'est correct. mais moi, je suis propre. profonde. Je l'ai toujours été, c'est juste que je ne l'ai pas accepté. C'est ça la différence. Puis aujourd'hui, je veux m'accepter dans le sacré. Je ne peux pas être sans mon sacré. C'est impossible ! Tu peux pas me voir à l'épicerie sans que je sois dans le sacré. Tu peux pas me voir à marcher sans que je sois dans le sacré. Je peux pas. Parce que sinon, c'est pas moi. Et c'est pas intense. Non, c'est moi. Je l'ai toujours été. Et c'est là qu'en étant dans l'eau, que je... réalisais que l'eau, elle est dans le sacré, elle est dans sa mission. Totalement. Je marchais sur le bord de la plage et je me souvenais qu'il y a longtemps, j'avais eu une de mes clientes dont Ce que ça l'avait dit, c'était, souviens-toi quand tu étais dans les cieux, à briller avec les dieux, toute cette luminosité que tu créais pour ta mère Gaïa. Mais il est venu un temps où est-ce que tu as décroché de ces cieux pour te retrouver dans la mer. La mère t'a accueilli en tant que mère. qu'une étoile de mer. Et cette étoile de mer, elle est arrivée sur le bord de la plage et il y a eu des enfants qui t'ont trouvée et qui ont été émerveillés de voir cette étoile de mer. que tu étais devenue. Et cette étoile de mère, les enfants la célébraient, l'honoraient, sont allés la montrer aux parents pour montrer que, regarde, le trésor qu'on a trouvé. Oui. Et là, ça apporte aux parents à ce que, wow, c'est donc bien beau ce que vous avez trouvé là, mais c'est donc bien hot, vous avez trouvé ça où. Ça apporte à un échange, ça apporte à du mystérieux, ça apporte à de la magie, ça apporte à de la puissance, ça apporte à ce que le monde se retrouve et qui s'assemble et qui s'amuse tout ensemble sur le bord d'une plage. parce que c'est ce qu'on voit les enfants avec leur seau, leur petite pelle qui crée des châteaux de sable. et tout le tralala, et que là, en étant une étoile de mer qui ne brille pas, ben, c'est à elle, maintenant, cette étoile de mer, de trouver sa façon d'éclairer autour d'elle pour que les dieux des cieux la voient briller ici sur cette terre. Mais c'est-tu pas assez beau ? Je me souviendrai de ça toute ma vie. mais j'ai réalisé qu'en marchant sur ce style là que cette cette histoire que que j'ai reçue pour transmettre à ma cliente en fait elle était pour moi aussi que tout le travail que j'ai fait en arrivant ici sur cette terre en étant une étoile de mer J'ai passé par des tempêtes, j'ai passé par des moments difficiles. J'étais entre les mains de l'un et de l'autre, donc c'était pas toujours respectueux, donc c'était pas toujours amusant, donc c'était pas toujours plaisant. Et qu'au travers de tout ça, j'ai gardé ma force. J'ai gardé tous mes membres. La seule chose, c'est que je n'osais pas briller. Parce que, pas peur de faire peur aux autres. Parce que, les enfants qui trouvent une étoile de mer en vrai, c'est qu'elles sont mortes. Elles sont séchées. Et, il n'y a pas nécessairement de vie. Et un coup que les enfants trouvent cette étoile de mer, si mettons que cette étoile de mer-là se mettrait à briller ou à bouger, les enfants se mettraient tous à paniquer, à avoir peur, se mettraient tous à... à même jusqu'à peut-être la blesser ou la garocher, parce que là, ils se diraient, ben voyons donc, ce qu'il se passe là. Il y en a qui réagiraient de même, mais il y en a d'autres qui feraient comme, oh my God, c'est donc bien beau ! Tout comme moi, quand on est allé en excursion. En bateau, on est arrivé en pleine mer. Il y avait des étoiles de mer vivantes. Toute la semaine, j'ai essayé de chercher des étoiles de mer qui étaient sur le bord de l'eau, séchées. Mais non, j'en ai pas... trouvée. Mais ce que j'ai vu, par contre, c'était des étoiles de mer vivantes. Mais ça, ça m'a tellement parlé, ça m'a tellement ébloui, ça m'a tellement touché que pour moi, c'est... c'était « C'est ça que je suis. Une étoile de mer vivante. Je n'ai pas à être pris par personne. Je n'ai pas à être sec. Je n'ai pas à être morte. Je n'ai pas à éteindre ma lumière pour faire plaisir à un, pour faire plaisir à l'autre, pour que l'autre soit à s'amuser pendant que moi, je suis comme toute piteuse, toute sec. Cette étoile de mer-là qui est morte, Tiens, j'ai pas... pas de vie, non, j'ai pas envie de ça moi. Moi ce que je veux c'est d'être vivante, c'est d'être lumineuse, c'est d'être impressionnante. C'est que quand on, quand les personnes, exemple, vont être sur le bateau, comme moi quand j'étais sur le bateau, et que j'ai vu l'étoile de mer, c'était oh my god ! Je me suis mis à crier, pas compliqué, je me suis mis à crier J'étais comme une enfant qui justement, c'était comme, enfin j'ai voué une étoile de mer, elle vivante. Pour moi, c'était vivant. Pour moi, c'était wow, c'était puissant, c'était le partage, c'était l'échange. Ça pour moi, c'était ça de la vie. fait que c'est ça que ça m'a apporté dans la semaine à comprendre que moi ce que je veux c'est d'être une étoile de mer qui est vivante, qui est dans un océan à voyager tout le tour de la Terre. Puis que ce besoin-là, c'est d'apporter ma lumière par tout ce que la vie va m'apporter, par tout ce que la vie veut m'apporter. Je n'ai pas envie d'être au service de l'un, je n'ai pas envie d'être au service de l'autre, je n'ai pas envie d'être toute séchée par une personne qui m'a carrément vidée, énergisée. non Non, une, je ne pourrais pas dire ça, une personne qui est énergivore. Je n'ai pas envie de ça. Moi, ce que je veux, c'est d'être vivante et d'attirer ceux et celles qui ont envie d'être vivantes, vivants autour de moi. Peut-être que tu vas dire, elle est intense, elle, mais c'est ça. C'est comme ça que je suis dans la vie, moi. J'ai le goût de vivre. J'aime la vie. Je suis une passionnée de la vie. j'aime le soleil, j'aime les... montagnes j'aime les arts j'aime tous les animaux j'aime les humains dans leurs défauts dans leur qualité je suis une passionnée de tout tout ce qui est de la conscience Et ça, pour moi, là, c'est majestueux, c'est grandiose, c'est puissant, c'est rempli d'énergie, c'est rempli d'amour, c'est rempli de vie. Pour moi, c'est wow, vraiment. Toute la semaine, j'ai absolument rien fait. J'ai pas travaillé, j'ai pas sorti à rien. J'ai même pas fait de podcast parce que c'était pas là. je le sentais pas, je voulais pas avoir de pression, au contraire, c'était je veux être dans le flot de la vie, mais tout aussi en étant structuré de façon à ce qu'on sentait qu'on a des besoins aussi. Toute la semaine, ça a été une semaine de rêve. Ça a été une semaine où est-ce que je me sentais bien, où est-ce que c'était parfait. La nourriture était parfaite. Tu sais, quand tu vas dans un buffet, t'as mille et une bouchées, t'as mille et un desserts, t'as mille et un repas que tu peux prendre. Tu peux tous les prendre. puis les mettre toutes dans ton assiette. Mais mettons à la maison, si tu manges chez vous, tu ne fais pas un buffet tous les jours. Tu fais un repas. On le sait qu'un buffet c'est redondant, c'est toujours le même repas. Moi de la façon que je voyais, c'est ok, à soir. Parce qu'on avait le droit à deux restaurants à la carte. Et comme on a été chanceux, on a eu le droit à trois. Parce que la première fois, on n'avait pas pu s'enregistrer dans un restaurant. Et on avait dit aux restaurateurs qu'on n'avait pas pu s'enregistrer. tatati, tatata, et on demandait s'il restait de la place. Et il a dit oui. Génial. On a eu le droit à trois. Merci à la vie. J'avais pas d'attente. Merci à la vie. Fait que, dans mon buffet, je prenais un repas. pas. En fait, s'il y avait du spaghetti qui se présentait, je prenais du spaghetti avec des moules et je prenais ma petite soupe, je prenais mon petit dessert et c'était fini. Je n'étais pas à dire, ah ben là, j'ai des tetins, il y a encore tout plein, c'est tout à même à faire, nanana, je mange tout à même à faire. Non, mais arrête de tout manger. Prends un assiette de ce que tu mangerais, pars avec ça, si tu me prends Merci. peut-être que tu peux rajouter, par exemple, des tomates dessus, peut-être que tu peux rajouter de la salade à côté, peut-être que tu peux rajouter des cornichons, même du fromage sur ta salade. Fait que, déjà là, avec un petit pain, tu as un repas normal de quand toi-même tu fais à manger. Fait que, le jour suivant, tu prends quelque chose de différent. Et là, tu enveloppes autour de ton repas principal, qu'est-ce que tu vas rajouter autour de tout ça ? T'en auras pas de déception. Ça va être comme ça. Moi c'était comme ça que je le voyais. Peut-être que je t'ai fait prendre conscience que la prochaine fois c'est ce que tu vas faire. Pas mal plus simple, vraiment. Et on en veut pas de négativité. That's it. On revient à la maison. Et je sais que la vie va me tester. Pourquoi je dis ça ? Parce que la vie est comme ça. La vie, elle nous enseigne toujours. Toute ma semaine, je fais ce que j'ai à faire, je rentre dans la vie et à un moment donné, je reçois un message. d'un homme qui me demande d'avoir un soin. Mais avant, je lui demande, est-ce qu'il sait qui je suis ? Et là, il me dit non. OK. C'est quoi tes croyances ? Il m'a pas l'air d'avoir trop de croyances. Ok. Mais là, moi, dans ma tête, ça me ramène à faire comme, ok, mais s'il n'y a pas de croyances, pourquoi il vient vers moi ? Qu'est-ce qu'il veut de moi ? Qu'est-ce qu'il attend de moi ? C'est quoi ses intentions ? C'est quoi ses besoins ? Et là, je lui demande, quel est ton besoin pour venir vers moi ? Et là, il m'écrit un texte, comme quoi que... Ce qui s'attend de moi, c'est, suite avec un vécu de passé très lourd, choc, trauma, passé par un suicide et tout le tralala, moi dans ma tête, ça me fait... Il y a un clic qui s'est fait. Il y a eu un saut quantique qui s'est passé à l'intérieur de moi. Puis là, je ne suis pas dans le jugement. Je ne suis pas à me prendre pour quelqu'un d'autre pour dire que non, moi je ne te prends pas là. Non, c'est pas aucunement. C'est pas ça. Je me souviens que... Il y a dix ans, je ne sais pas si je te l'ai déjà raconté, mais j'ai eu à prendre un homme dont c'était exactement les mêmes raisons de celui qui m'a écrit dernièrement. et je le savais que mon intuition me disait que je ne devais pas le prendre jusqu'à temps que je vois que je le regrettais, que j'aurais dû pas l'avoir pris parce que en dix minutes, ce gars-là a voulu plus qu'un soin. Il a voulu m'agripper, il a voulu me prendre pour ses besoins à lui dont on n'était pas, pas à toute sa même longueur d'angle. Pis ça, moi, ça m'a apporté à une révolte, ça m'a apporté... à mettre même en jugement que les gars c'est toujours ça qu'ils veulent que ça n'en finisse du sexe et tout ce temps là jusqu'à aujourd'hui je me suis empêchée d'être totalement libre Dans le sens que je me suis bloquée. Oui, il y en a eu des hommes que j'ai faits parce que je sentais que je pouvais avoir confiance en eux. Oui, je le sentais. Puis, j'ai rien à dire de tous ces hommes qui, dont j'ai écouté mon intuition, que je les ai apportés à vivre l'expérience. Mais je ne donnais pas mon 100% à ces hommes-là parce que j'avais peur. Peur de s'il y avait quelque chose qui était en arrière de la tête. Peur de, est-ce qu'il veut plus que... Mais je m'avais promis au travers de tout ça que je devais me libérer de ça. Je m'avais promis au travers de tout ça que je devais mettre aussi, apprendre à mettre mes limites. Parce que moi, dans ma tête, tout le monde est bon. Dans ma tête, moi, tout le monde était bon. oui tout le monde est bon mais aussi c'est que il y a du monde qui vit des choses dont ils ne savent pas mettre leurs limites et c'est là que ça rentre en interférence de dire n'accepte pas. Ça, c'est d'apprendre à mettre ses limites et de se respecter et de s'écouter. Ça, c'est essentiel. Fait que ce que ça a fait, c'est que cette personne-là, en m'écrivant, j'ai bien vu que c'était pas mon expertise. Parce que ses besoins, c'était d'aller rencontrer des travailleuses sociales, psychologues, de l'aide à des professionnels qui ont des structures. qui sont formés pour ce genre de trauma ou de problématiques. Et là, il y a eu un clic qui s'est fait dans ma tête. Avec moi-même. Que je savais qu'à l'intérieur de moi, j'avais guéri des choses de mon passé. Que j'avais guéri, que j'avais laissé partir des choses dont l'ombre, la noirceur, la lourdeur, la souffrance, tout le travail. Et c'est... C'est là que dans ma tête, j'ai réalisé que moi, ce que je veux, c'est d'être comme une étoile filante. C'est d'être comme une étoile de mer. Que ma lumière, je veux qu'elle soit vivante, je veux qu'elle soit vibrante, je veux qu'elle soit remplie d'énergie. je veux être libre et je veux attirer ce genre de personnes qui ont déjà un développement de croissance personnelle. qui ont déjà la luminosité à l'intérieur d'eux je veux ce genre de personne qui est vivant qui a un goût d'apprendre sur lui-même ou sur elle même qui a un goût d'avancer qui veut faire la différence ici sur cette terre je le sais que avec ce que je porte avec le don que j'ai depuis que je suis toute petite de aller dans la guerre. bibliothèque akashic, je sais qu'avec mon expertise, que je suis capable d'apporter à cette personne-là mon enseignement pour qu'elle puisse continuer à aller de l'avant pour encore plus se réaliser. Et c'est là que je me suis assise devant mon iPad et que je me suis mise à tout changer mon site web. Ouais ! C'est de même que je suis dans la vie intense comme ça. Parce qu'il y avait quelque chose qui me disait justement que si j'ai attiré cette personne-là suite avec mon site web, c'est parce que j'attire ce genre de problématique-là et je ne veux pas ça. Dans le sens que, oui, on vit des émotions, oui, on vit des choses, mais ce que je veux, c'est d'attirer des personnes qui vont être dans le goût, dans l'intention, qui vont avoir le désir de. Je me suis assise et je ne connais absolument rien de tout ce qui est en lien avec comment je dois faire pour aller travailler mon site web. J'avais demandé à celle qui l'a créé et elle n'a pas eu le temps. je le sais est hyper surchargé et là je me suis dit rien de mieux que de le faire soi-même et là je me suis assis vive chat chapeté je lui ai demandé comment faire pour aller travailler sur mon site web et il m'a dit va à telle page ouvre ça et pa à partir de là tu vas voir ton portfolio et tu peux changer tout ce que tu veux. Hey, j'étais au paradis. je me suis mise à écrire là, mais à écrire à partir de 7 heures le soir jusqu'à 10 heures et demie. J'écrivais, j'écrivais, j'écrivais et là je sentais que c'était enfin, ça se rapprochait de moi, enfin. C'était de plus en plus près de moi. Fait que là, le lendemain, j'étais à me lever, toute énervée, à prendre mon café. Je le savais que je devais continuer mon site web et je le savais aussi aussi que le temps s'approchait. parce que j'avais en plus une consultation, mais j'étais dans une énergie de création incroyable. J'ai fait mon soin, je me suis assise et j'ai recontinué par la suite. Et à midi, j'avais fini avec une fierté. Il va y avoir encore des choses qui vont changer. Ce qui est merveilleux, j'avais entendu, c'était que justement, le créateur de Walt Disney s'avait fait demander par un journaliste... Pourquoi que vous avez ouvert votre... votre... Voyons, j'ai perdu les mots. Pourquoi vous avez ouvert le site quand vous savez que vous avez seulement 80% de finalisé ? Le 20%, vous n'avez pas peur de perdre du monde, tatati, tatata. Le créateur de Walt Disney a dit, mon entreprise, elle ne sera jamais finie. Le site ne sera jamais fini parce que je me garde toujours un 20% pour le retraiteur. travailler, pour le rénover, pour mettre autre chose, pour créer, pour agrandir, c'est exactement ça qui s'est passé avec moi. Mon site web, j'ai réalisé qu'il n'est pas fini à 80% et c'est parfait. Parce que là, je l'ai mis à ma couleur, à ma fréquence vibratoire du moment présent. Je suis fière de moi parce que je me suis surpassée. Je suis fière de moi parce que ça m'a permis justement de me surpasser. Et là, j'étais fière parce que j'ai écrit à celle, la conceptrice de mon web. Et j'ai dit, Jessica, je suis tellement fière de moi, tu revois ma page Facebook, non excuse, tu revois mon site web et tu vas voir que j'ai changé des mots, j'ai changé des phrases, j'ai même enlevé des choses. pour rajouter autre chose, pour montrer véritablement qui je suis. Et je n'ai pas fini, parce que je sais que ça va évoluer, parce que je sais que je me dirige encore plus loin avec ce que moi je ressens, avec qui je suis, parce que je m'accepte. Et même si autour de moi il y a du monde qui ne m'acceptera pas, j'en ai rien à cirer parce que j'ai appris à lâcher prise. Je l'ai vécu de mon vivant. l'ai vécu, je l'ai ressenti, je l'ai vibré. Mes cellules l'ont programmé. Ça veut dire que c'est comme ça que ça. C'est tout qu'un enseignement. Vraiment. Pour moi, c'est du gros wow. J'espère que ça t'a inspiré. Si oui, viens m'en jaser sur Messenger, ça va me faire plaisir. Vraiment. Vraiment. Pour moi, de voir toute cette évolution-là, j'adore ça. Puis je sais que ce n'est pas demain matin que je vais m'arrêter. Au contraire, je suis faite pour évoluer constamment. La vie, tant et aussi longtemps qu'on est vivant, elle se mérite d'être vécue comme on le ressent. Et ça, c'est important, vraiment. J'ai vécu par la suite tout plein d'autres choses qui vont me faire plaisir de te raconter parce que là justement, je suis dans mon moment de création, dans mon moment de créativité dont je me suis laissée accaparer et gérer. J'aime tellement ça. J'adore ça parce que j'ai laissé de l'espace à ma création. Et c'est ça qui fait que quand on surpasse des choses, des murs dont nous-mêmes on a créé, c'est là qu'on se donne le droit de liberté. Je te souhaite une belle continuité. Je te souhaite que tu vives ce moment-là dans ta vie pour que tu goûtes à qu'est-ce que c'est réellement de lâcher prise. Je te le souhaite de tout mon cœur. Fait que je te dis à la prochaine.