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Entrepreneuse sans succès.

Combien ça coûte de créer du contenu gratuit ?

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21min |22/09/2025
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Description

Créer du contenu, ça coûte cher.

Dans cet épisode de rentrée, je te dévoile les coulisses des cahiers de l'été ou comment j'ai publié 31 vidéos en 31 jours.


Je te partage le temps que cela m'a pris, l'argent que ça m'a coûté et toute l'énergie investis… et de ce que ça m’a réellement rapporté. Spoiler : ce n’est pas qu’une question de vues ou de revenus.


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Transcription

  • Speaker #0

    Hello et bienvenue sur le podcast Entrepreneuse sans succès. Je suis Claire, entrepreneuse depuis près de cinq ans et je te partage ici, seule ou avec mes invités, des réflexions autour de l'entrepreneuriat, de la productivité et des outils no-code. Je te partage également avec honnêteté et transparence mon quotidien d'entrepreneuse avec CO&CBA, un journal de bord pour te partager mes réflexions quand j'en ressens le besoin. Alors, si tu veux me rejoindre dans cette discussion, installe-toi, ça va commencer. Hello à tous, j'espère que vous allez bien. Bienvenue dans ce nouvel épisode de podcast. Je suis trop contente de vous retrouver pour cette, finalement on peut le dire, je pense, vu depuis le temps que je n'avais pas enregistré d'épisode, nouvelle saison. Bon, il y aura une nouvelle vignette d'ici peu et peut-être un nouveau nom, je ne sais pas. Je n'ai pas encore réfléchi à tout ça, mais j'avais envie de reprendre et je vous l'avais promis sur YouTube. que je reprendrai par un nouvel épisode le 22 septembre. C'est donc aujourd'hui que je me réengage à faire un épisode de podcast par semaine. Honnêtement, c'est un exercice qui m'a énormément manqué. Et tout comme l'année dernière, j'ai réussi à peu près à tenir une vidéo YouTube par semaine, j'ai vraiment envie de réussir à maintenir ce rythme. Alors, pour ceux qui débarquent, pourquoi je n'arrive pas à tenir ce rythme ? Parce que créer du contenu, ce n'est pas vraiment mon travail. Si je dois faire un petit update sur à quoi ressemblent mes journées et qu'est-ce que je fais aujourd'hui, je crée du contenu, certes, mais en réalité, il faut le dire, c'est plus un kiff qu'autre chose. Également aussi un canal d'acquisition, mais mon vrai job, c'est de faire du no-code. Donc, par quoi ça passe ? Ça passe par, d'une part, créer des solutions pour des clients, parce que ça, je n'ai jamais arrêté. Je fais ça depuis quasiment sept ans et au début, ça ne s'appelait même pas no-code. j'avais même pas vraiment conscience de ce que je faisais. En fait, certains clients me demandaient de faire des petites automatisations sur Zapier ou bien de créer des petites bases de données dans Airtable et c'est que quelques années après quand ça s'est vraiment démocratisé que ça s'est appelé NoCode et que du coup, je suis officiellement devenue freelance en NoCode et à côté de ça, aujourd'hui je forme aussi les personnes qui veulent apprendre les outils NoCode, à monter en compétence sur ces outils, notamment mes outils préférés, du coup, Notion et Make. Donc vraiment, aujourd'hui, mon quotidien, c'est de jongler entre ces différentes activités. Je passe, on va dire, une journée à une journée et demie par semaine sur la partie formation, dont la création de contenu, ce qui n'est vraiment pas énorme, sachant qu'il y a donc un podcast le lundi, une newsletter le mercredi et une vidéo YouTube le vendredi. Mais pourquoi j'y arrive ? Parce que j'ai aussi une équipe sur laquelle m'appuyer pour m'aider sur tout ça. Et à côté... Ah oui, et mes formations, c'est des bootcamps, donc ça me prend du temps aussi. Et à côté, on va dire 3 à 4 jours par semaine, je travaille pour des clients. Et d'ailleurs, non seulement je travaille pour des clients, mais surtout, je délègue des missions à des freelances. En réalité, je fais de moins en moins de missions. C'était un peu une de mes grosses résolutions de ce début d'année. Je voulais garder un seul client historique et sur tous les autres clients, faire uniquement la partie. stratégique, c'est-à-dire la partie audit et la partie formation, parce que c'est mon taf, la formation, c'est ce que j'aime le plus. Mais toute la partie exécution de la roadmap projet, ce n'est plus moi qui l'ai fait pour mon plus grand bonheur, parce qu'au final, ça me permet, moi, de faire ce que j'aime, c'est-à-dire aller à la rencontre de plein de clients, tous aussi différents les uns des autres, de comprendre leur business, de comprendre ce qui bug chez eux, pour réussir à leur proposer des axes d'amélioration, et du coup, après, les mettre en relation avec des freelances exceptionnelles, parce que je le dis, on est un collectif d'élite. genre vraiment les freelancers qui travaillent avec moi sont des personnes qui ont toutes eu une carrière avant de se lancer dans le freelancing en no code et qui ont donc toute une expertise donc genre je vais pouvoir faire appel à des freelancers qui sont experts en finance parce qu'ils étaient dafs pour créer des solutions no code de suivi des chiffres je vais pouvoir faire appel à des freelancers spécialisés en marketing copywriting création de contenu pour créer des espaces Notion pour des agences de com. Et ça, c'est que quelques exemples, mais à chaque fois, et ça, c'est ce que je kiffe vraiment dans mon collectif, et je ne sais même pas comment on pourrait le dire sur le site. Putain, ça fait déjà 5 minutes que j'enregistre, on n'est toujours pas sur le sujet du jour. Mais ce n'est pas grave, j'ai envie de parler là. Et j'avoue, je ne sais même pas comment brander ça, mais je sais que c'est vraiment ce qui nous différencie de tous les autres collectifs, de ceux que je vois en tout cas sur les réseaux, c'est que moi, ce que j'aime avec les différents profils que j'ai regroupé au sein de notre collectif, c'est qu'on a tous une expertise avant de s'être lancé dans le no-code. Et je pense que c'est l'essence même du no-code. Parce que de base, les outils no-code, c'est pas fait pour des gens qui font de la tech. C'est fait pour des gens qui sont experts métiers et qui ont besoin de créer des solutions pour leurs équipes. Des équipes non-tech. Et moi, j'aime trop ce truc de dire à des clients, bah regardez, cette personne que je vais placer sur cette mission, bah oui, elle s'est formée, mais en fait, de base, c'était pas du tout son métier. Donc ça veut dire que tes équipes aussi, elles peuvent le devenir. Et du coup, ça fait d'autant plus sens avec la formation que j'intègre systématiquement à la fin d'émission. Bref, je m'égare, mais vous avez capté, en fait. Créer du contenu, c'est pas... C'est pas ma priorité, même si j'adore ça, c'est ce que j'aime le plus. Non, en vrai, j'adore tout ce que je fais dans mon quotidien en ce moment. Depuis quelques années, j'ai beaucoup de chance. J'ai beaucoup de chance avec tout ce qui m'arrive et je suis très contente de tout ce que je fais dans mon quotidien. Mais créer du contenu, c'est toujours un peu le truc qui passe à la trappe, à mon plus grand désespoir, parce que c'est quand même des choses que j'apprécie le plus. Et malheureusement, j'ai pas toujours le temps. Donc aujourd'hui, on va faire un épisode... sur justement la création de contenu. Parce que pour ceux qui ne le sauraient pas, il y a quelques semaines, quelques mois, durant tout le mois de juillet, j'ai publié une vidéo par jour. Et pas des petites vidéos, genre des vidéos tuto sur le no-code que vous pouvez retrouver sur ma chaîne YouTube Claire No Code. Donc ça fait 31 vidéos à écrire, tourner, filmer. C'est la même chose, Claire. Montées et publiées avec la miniature. Et une des personnes de mon collectif, justement, m'a demandé, mais ça coûte combien ? de créer autant de contenu ? Et j'ai trouvé cette question ultra pertinente. Parce qu'on ne se rend pas compte de à quel point ça coûte de l'argent de créer du contenu. Les gens consomment du contenu comme si on leur devait quelque chose. Vraiment, je le vois sur les plateformes. Moi, les commentaires parfois que je me prends sur YouTube, en mode, non mais ce tutoriel, il n'était pas assez détaillé. Franchement, tu devrais plus faire ci, faire ça, etc. J'attends la vidéo. Mais en fait, tu n'es pas mon boss. Ça donne la sensation qu'on leur doit quelque chose, alors que non, pas du tout, on fait ça totalement gratuitement. Si je parle uniquement des revenus générés par les plateformes, cet été, du coup, avec mes 31 vidéos, j'ai gagné environ 100 euros. Donc, autant vous dire que ça ne couvre pas les frais. Voilà. Donc, déjà, pour moi, le coût investi dans cette création de contenu doit se diviser en deux parties, parce qu'on ne peut pas négliger le temps que j'y ai passé. Donc, on va parler du temps et on va parler de l'argent. Parce que oui, ça coûte de l'argent aussi. Donc, au niveau du temps, on va dire que pour des vidéos quotidiennes comme ça, je passe quand même moins de temps que pour mes vidéos hebdo. Donc, on va dire que c'est deux heures d'écriture, une heure de tournage, quatre heures de montage. Donc, ça fait environ sept heures par vidéo. Donc, si on compte les 31 vidéos, ça fait environ 217 heures de boulot. La réalité, c'est que ça fait à peu près une journée de travail par jour, tout simplement durant les 31 jours de juillet. C'est un marathon le bail. mais En général, et c'est ce que j'ai réussi à faire cette année, je commence en juin pour ne pas avoir justement des journées full création de contenu, tout simplement parce que j'ai des clients. Donc je ne peux pas leur dire genre que pendant un mois entier, je pars, sachant qu'en plus, je prends des vacances en août. Mais par contre, je fais un vrai mi-temps sur juin et juillet. En gros, je commence à faire beaucoup de choses en juin et je fais encore beaucoup de choses en juillet. En vrai, je dis ça, je bosse juste plus. Je ne suis pas vraiment un mi-temps. Je bosse juste plus pour préparer. Donc en gros, en juillet, ça devait me prendre quatre heures par jour. parce qu'en fait je faisais quasiment que le montage. Maintenant, sur la partie coût-argent investi. Alors, moi, j'ai pas choisi de faire monter toutes mes vidéos parce qu'en fait, financièrement, j'aurais pas pu le faire. Enfin, j'aurais pu mais ça aurait coûté beaucoup trop cher. Donc, faut savoir que pour monter une vidéo YouTube, aujourd'hui, c'est environ 350 euros. Alors, je sais qu'il y a des monteurs qui sont moins chers, je sais qu'il y en a qui sont même plus chers. Mais 350 euros, on va dire que c'est un montage assez avancé avec à la fois des animations sonores, des animations visuelles. Et en fait, moi, je n'ai pas envie, parce que c'est des vidéos quotidiennes, de baisser la qualité de montage. Donc pour moi, c'était 350 euros. J'ai l'avantage de savoir monter. Donc en réalité, je n'ai délégué que 4 vidéos durant ces cahiers d'été sur les 31. Ça m'a quand même bien soulagée. Mais je trouve ça quand même trop cher. Compte tenu du temps que j'y passe. En fait, je me dis que... moi, j'y passe 4 heures. Donc en fait, la question, elle est toute simple. Quand t'es entrepreneur, tu réfléchis autant que toi, ça te coûterait. Et du coup, l'argent que ça te coûte de le déléguer. En gros, la question, c'est est-ce qu'en 4 heures, je suis capable de générer plus de 350 euros ? Et la réponse, c'est que moyen, quoi. Parce qu'en fait, en vrai, c'est une demi-journée. 350 fois 2, c'est 700 euros. En gros, c'est le même TGM que je pratique en moyenne. Enfin, en moyenne, maintenant, je suis plutôt entre 750 et 1000, mais je travaille pas tous les jours. Je ne suis pas rémunérée tous les jours par mes clients. Donc, bon, 350 euros par montage, en fait, c'est un peu cher. Alors, la réalité aussi, je pense, c'est que moi, je monte très vite et que j'utilise des templates. Donc, en fait, 4 heures, je suis même très large. Je pense que je passais même un petit peu moins de temps dessus. Et au niveau des miniatures, on est environ sur 50 euros par miniature. Alors, de nouveau, je saurais faire mes miniatures toute seule. mais ce n'est pas mon métier et très clairement, mes miniatures ne sont pas suffisantes. Enfin, moi, je trouve que la miniature, c'est le truc sur lequel il faut investir assez vite parce que vraiment, c'est la seule façon d'amener les gens à cliquer sur ton contenu, tout simplement. Enfin, évidemment, le titre aussi, mais la miniature à ne pas négliger. Donc, les prix ont un peu augmenté après mon mini-amaker que j'avais trouvé sur ComeUp et ultra talentueux, donc aucun souci avec le fait qu'il augmente ses prix. mais c'est vrai qu'entre le moment où il y a 3 ans, c'était il y a 3 ans la première fois que j'ai fait appel à ce service, où la miniature était genre entre 20 et 25 euros, là elle est passée à 50 bon, on a quand même doublé, après il est tellement fort, et maintenant il fait tellement les vignettes de tout le YouTube game, bon, je comprends, et en vrai ces miniatures sont tellement top que je considère que c'est de l'argent bien investi donc en tout, si j'avais tout délégué, sachant que j'ai pas tout délégué en fait ça m'aurait coûté quasiment 13 000 euros, donc évidemment que j'ai préféré que ça me coûte du temps plutôt que de l'argent, sachant que l'été en plus le business et plus calme. Je pense que c'est le cas pour beaucoup de personnes. L'été, mes clients partent en vacances, et donc, bah, les développements sont grave au ralenti, et niveau formation, de la même façon, bah, personne, enfin, rares sont les personnes qui se forment l'été, finalement. Même moi, je prends des vacances, donc, l'été, c'est tellement au ralenti que je préfère investir du temps là-dedans. Donc, au total, ce que ça m'a vraiment coûté, c'est donc, bah, 1500 environ euros de miniatures, et 1400 euros de montage, mais Cette année, ça m'a rapporté de l'argent directement. Pourquoi je dis ça ? Parce que les autres années, en réalité, les cahiers de l'été, c'était full non-sponsor et j'avais aucune offre à mettre en avant. C'était vraiment du contenu gratuit. Ça me permettait de me faire connaître et du coup, durant l'année, j'avais des clients. Mais là, cette année, on a mis en place le bundle de l'été. Donc, c'est quoi ? C'était un pack avec mes formations, uniquement certaines d'entre elles. uniquement les formations MOOC. Le pack était autour de 250 euros, légèrement moins. Et donc en tout, on a gagné environ 14 000 euros grâce à ce pack. Et franchement, on était très contentes de ce chiffre et on a eu de super retours sur nos formations. Et donc ça nous a permis d'avoir exactement 56 nouveaux clients. Et ça, c'est cool parce que c'est potentiellement aussi des nouveaux clients qui rentrent dans mon univers et qui derrière vont potentiellement soit me déléguer la création d'une solution, soit poursuivre leur apprentissage avec un Bootcamp Make et pour la première fois, on a eu des sponsors. Donc on en a eu deux sur les cahiers de l'été. Donc on a eu GoodBarber. Ça faisait très longtemps qu'on préparait ça et j'ai été vraiment honorée de les mettre en avant dans une de mes vidéos. Donc GoodBarber qui est un outil no-code de création d'apps mobiles. Et d'ailleurs si vous allez voir, ce podcast n'est pas sponsor, mais si vous allez sur l'app store ou sur le Play Store, vous tapez Claire no-code et vous avez accès à mon app. Et je suis pas peu fière de ce que j'ai réussi à faire en no-code. Mon app est trop stylée. Désolée, j'assume, mais elle est trop trop stylée. Et deuxième sponsor que j'apprécie tout autant et avec lequel je vais retravailler très vite, c'est Softair, logiciel de création d'apps no code, plutôt des apps internes. J'ai été vraiment trop contente que ces deux outils me suivent sur la création de ces cahiers de l'été. Depuis les cahiers de l'été, j'ai eu l'occasion d'également travailler avec Make. Donc vous n'êtes pas sans savoir à quel point Make est un outil que j'apprécie vraiment. énormément. C'est vraiment l'outil que j'utilise le plus et que j'implémente le plus chez mes clients avec Notion. Et Notion, bah... On essaye de négocier, mais toujours pas de sponsor à l'horizon, pas du tout. Il semblerait que ce ne soit pas possible avant d'avoir 50 000 abonnés, chose que je n'ai pas et ce qui me fait en même temps beaucoup rire parce que je connais des créateurs qui n'ont pas 50 000 abonnés et qui sont sponsorisés. Donc bon, écoutez, je préférerais qu'ils assument le fait qu'ils n'ont pas besoin d'autres influenceurs français plutôt que de me balancer une règle qui ne semble... pas respectée pour tout le monde. Mais voilà, sachez que Notion ne sponsorise pas mes contenus et je pense que ce n'est pas prêt d'arriver. En tout cas, pour l'instant, on est toujours sur un refus catégorique et ce n'est pas faute de les harceler et de leur proposer depuis le tout début. Je pense que ça fait 7 ans parce qu'avant, j'avais une autre chaîne YouTube sur laquelle je parlais de Notion, mais pour les étudiants, je les avais déjà sollicités, on m'avait déjà dit non. Bref, j'avoue, j'ai un peu le seum. Je n'ai pas mytho. Quand tu parles autant d'un outil, t'aimerais bien à un moment que la marque te suive. C'est pas le cas, mais bon, c'est pas grave. Tout ça pour dire qu'en tout cet été, offre du bundle plus les sponsors, j'ai gagné 16 000 euros. Donc je suis très contente de ce résultat parce qu'avec du coup 3 000 euros investis, ça fait 16 000 euros de revenus. Donc on va dire 13 000 euros en tout. C'est un super mois. C'est vraiment très bien. Mais à ne pas négliger les 217 heures de boulot, je rappelle. Mais voilà, c'est un très bon résultat et surtout, je pense que c'est rentable avec des gros guillemets, surtout pour mon acquisition long terme. En fait, pour moi, l'enjeu, il n'est vraiment pas court terme. La preuve, les deux premières années, quand j'ai créé les cahiers de l'été, ça n'a jamais été rentable. Je perdais de l'argent chaque année. C'est la première année que j'arrive à générer du revenu de cette opération. En fait, pour moi, créer les cahiers de l'été, ça fait partie de mon ADN, ça fait partie de mon image de marque. En fait, d'une certaine façon, ça envoie le message à mes clients. que je suis fiable, parce que je suis capable, quand je me fixe un objectif, de l'atteindre. C'est un peu comme être capable de faire un marathon, tu vois. Pour moi, ça montre ta rigueur, ça montre ta discipline et ça rassure les clients. Donc c'est une des raisons pourquoi j'apprécie cet exercice et dans les faits, j'apprécie ce côté challenge. J'apprécie le fait que ce soit pas facile, néanmoins atteignable, parce que quand tu termines, franchement, t'es trop fière de toi. Et vraiment, quand j'ai publié la dernière vidéo, mais j'avoue, j'étais tellement contente, j'étais en mode, ok, ça y est, c'est fait. troisième année de suite que j'arrive à faire du contenu pendant un mois d'ailleurs d'habitude il n'y avait pas de vidéo le week-end donc il n'y avait que 4 fois 5 donc 20 vidéos cette année on en a sorti encore plus puisqu'on est passé à 31 donc vraiment je ne suis pas peu fière de ce qu'on a réussi à faire et même autour de la DA, autour de tout ce qu'on vous a proposé la seule chose qui a manqué pour moi c'est parce que je n'ai pas réussi à recruter une personne pour cette partie là à temps mais l'année prochaine je n'y manquerai pas C'est la partie LinkedIn, Instagram. En fait, j'avais prévu de faire des contenus quotidiens, comme je faisais d'habitude, pour mettre en avant mes vidéos. Mais d'habitude, j'avais Léna qui a travaillé avec moi pendant de nombreuses années, qui gérait cette partie, toute la partie design, etc. Aujourd'hui, je n'ai plus Léna, parce que Léna a monté sa boîte, et c'est incroyable tout ce qu'elle fait, elle est trop forte. Bref, ça se passe très bien pour elle, mais elle ne fait plus du tout de design. Et en vrai... elle a bien eu raison de faire ce qui lui plaît et on est encore très copines mais du coup je n'ai plus personne pour faire mon design et je crois que j'avais besoin d'un temps où je faisais mon deuil parce que là du coup je viens de recruter une petite pépite, enfin recruter, pareil en freelance parce que de toute façon j'ai pas besoin d'un temps plein mais c'est donc la designeuse qui a créé toute la DA autour des cahiers de l'idée et qui est en train de faire une petite mise à jour refonte de la DA Claire No Code en prévision d'une grosse nouveauté en fait bon j'ai pas envie de tout balancer dès maintenant. Mais il est fort probable qu'autour du 1er octobre sorte une toute nouvelle version de Claire No Code et de tout l'univers Claire No Code. Parce que parmi les grosses décisions de la fin de l'été que j'ai prises, il y avait l'ambition de revoir... tous les services que je propose, toutes les offres que je propose, toujours évidemment avec ce même objectif de vous apprendre à no-coder et à vous proposer de créer vos solutions. Mais on est arrivé à un point où je pense, il y a certaines de mes formations, ça fait longtemps qu'elles sont là. Ma réflexion sur la meilleure façon de transmettre ces connaissances a énormément évolué. Et aujourd'hui, je ne crois plus aux longues formations 100% MOOC. Je vois bien que mon produit phare, qui est le bootcamp, est la meilleure façon d'atteindre cet objectif. Merci. C'est pourquoi, je peux l'annoncer dès maintenant, parce que vous aurez toutes les infos dès mercredi dans la newsletter, on va se séparer d'une grosse partie des formations MOOC proposées sur Claire NoCode. On va vous proposer de les acheter à un tarif ultra préférentiel pendant quelques temps avant qu'elles disparaissent définitivement de notre catalogue, pour vous proposer des expériences plus réelles, sans vous en dire plus. Mais je pense que c'est vraiment la meilleure façon de transmettre du savoir et que... Il n'y a pas de secret. Si tu veux progresser, il faut pratiquer. Et je pense... que pratiquer en groupe est encore plus puissant que pratiquer seule face à ton ordinateur. Et donc, c'est pour ça que l'expérience Bootcamp, pour moi, est un succès et j'ai vraiment envie que mes formations aillent dans ce sens, qui est totalement à l'opposé de ce que font la majorité des créateurs de contenu. En fait, il n'y en a à peu près rien à faire. Je pense qu'on ne peut pas faire de généralité concernant la pédagogie, l'éducation. et que selon les compétences que tu acquiers, tu n'as pas besoin forcément des mêmes expériences pédagogiques. Et me concernant, comme je transmets des compétences techniques, je suis vraiment convaincue que le format MOOC a ses limites. Voilà, bon bref, je parlerai d'expérience de pédagogie, tout ça, dans la newsletter de mercredi. D'ailleurs, si tu n'es pas encore abonné à la newsletter, n'hésite pas à le faire. Tu trouveras toutes les infos dans la barre de description de ce podcast. Donc, en conclusion, ces cahiers de l'été, c'était certes du contenu gratuit, mais c'était surtout un investissement. pas une dépense. C'est pour moi la solution de faire de l'acquisition sur le long terme. L'objectif n'était pas d'avoir un ROI immédiat, c'est la première année que je l'ai et franchement j'en suis trop fière mais dans les faits c'était pas l'objectif premier. Genre même si je l'avais pas atteint je m'en serais pas voulue et je me serais dit c'est pas grave en fait. Il y a eu tellement de nouvelles personnes qui ont rejoint la newsletter, qui ont consommé mes contenus et qui donc ont démarré cet apprentissage du no-code que pour moi c'est déjà un succès. Pour moi, encore une fois, à chaque fois que je fais les cahiers de l'été, j'ai l'impression de redécouvrir le montage vidéo, j'ai l'impression de continuer à progresser, et ça a été un vrai kiff. Vous me direz un peu ce que vous pensez du montage des dernières vidéos, puisque c'est moi qui les monte en ce moment, tout simplement parce que j'ai repris plaisir à le faire, et je ne sais pas encore si je vais redéléguer ça. C'est un point d'interrogation que j'ai en ce moment. Je pense que j'ai besoin d'être sur le montage en termes de volume, parce qu'entre les formations et les vidéos YouTube, quoi qu'il arrive, je n'ai pas assez de... de temps, mais je ne suis pas certaine que j'ai envie de tout déléguer comme je le faisais. En fait, je crois que je me rends compte que le montage c'est quelque chose qui me fait tellement plaisir et il y a un côté artistique et créatif que je retrouve qui fait que j'ai envie, je pense, d'en garder une partie pour moi. Donc voilà, pour l'instant, il n'y a pas de décision arrêtée, donc je serais curieuse d'avoir vos retours sur les derniers montages. Les podcasts, à part celui-là, parce que je suis grave à la bourre, c'est maintenant Marine qui les monte. Big up Marine, parce qu'elle a pris le montage des podcasts en main. hyper rapidement. Et que, moi, je trouve qu'ils sont top. Et ça me permet vraiment de me dégager du temps pour faire d'autres choses. Et puis, elles, de toute façon, elles les écoutent parce qu'elles les kiffent. Donc, autant dire que c'est dedans, dedans. Donc, voilà, je vais vous laisser. On se retrouve donc dès mercredi pour la newsletter d'annonce de tous les changements qui arriveront en octobre. On se retrouve... vendredi dans une nouvelle vidéo YouTube. Il n'y en a pas eu la semaine dernière, c'était exceptionnel. J'avais besoin d'une petite pause avant les deux semaines un peu intenses qui s'annoncent pour moi. Je vous ferai peut-être un vlog d'ailleurs sur ces deux semaines. Je verrai. Je me suis dit que ça pouvait être intéressant. Et du coup, début octobre pour toutes les nouveautés. Passez tous un très bon lundi, une très belle semaine. Bye !

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Créer du contenu, ça coûte cher.

Dans cet épisode de rentrée, je te dévoile les coulisses des cahiers de l'été ou comment j'ai publié 31 vidéos en 31 jours.


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  • Speaker #0

    Hello et bienvenue sur le podcast Entrepreneuse sans succès. Je suis Claire, entrepreneuse depuis près de cinq ans et je te partage ici, seule ou avec mes invités, des réflexions autour de l'entrepreneuriat, de la productivité et des outils no-code. Je te partage également avec honnêteté et transparence mon quotidien d'entrepreneuse avec CO&CBA, un journal de bord pour te partager mes réflexions quand j'en ressens le besoin. Alors, si tu veux me rejoindre dans cette discussion, installe-toi, ça va commencer. Hello à tous, j'espère que vous allez bien. Bienvenue dans ce nouvel épisode de podcast. Je suis trop contente de vous retrouver pour cette, finalement on peut le dire, je pense, vu depuis le temps que je n'avais pas enregistré d'épisode, nouvelle saison. Bon, il y aura une nouvelle vignette d'ici peu et peut-être un nouveau nom, je ne sais pas. Je n'ai pas encore réfléchi à tout ça, mais j'avais envie de reprendre et je vous l'avais promis sur YouTube. que je reprendrai par un nouvel épisode le 22 septembre. C'est donc aujourd'hui que je me réengage à faire un épisode de podcast par semaine. Honnêtement, c'est un exercice qui m'a énormément manqué. Et tout comme l'année dernière, j'ai réussi à peu près à tenir une vidéo YouTube par semaine, j'ai vraiment envie de réussir à maintenir ce rythme. Alors, pour ceux qui débarquent, pourquoi je n'arrive pas à tenir ce rythme ? Parce que créer du contenu, ce n'est pas vraiment mon travail. Si je dois faire un petit update sur à quoi ressemblent mes journées et qu'est-ce que je fais aujourd'hui, je crée du contenu, certes, mais en réalité, il faut le dire, c'est plus un kiff qu'autre chose. Également aussi un canal d'acquisition, mais mon vrai job, c'est de faire du no-code. Donc, par quoi ça passe ? Ça passe par, d'une part, créer des solutions pour des clients, parce que ça, je n'ai jamais arrêté. Je fais ça depuis quasiment sept ans et au début, ça ne s'appelait même pas no-code. j'avais même pas vraiment conscience de ce que je faisais. En fait, certains clients me demandaient de faire des petites automatisations sur Zapier ou bien de créer des petites bases de données dans Airtable et c'est que quelques années après quand ça s'est vraiment démocratisé que ça s'est appelé NoCode et que du coup, je suis officiellement devenue freelance en NoCode et à côté de ça, aujourd'hui je forme aussi les personnes qui veulent apprendre les outils NoCode, à monter en compétence sur ces outils, notamment mes outils préférés, du coup, Notion et Make. Donc vraiment, aujourd'hui, mon quotidien, c'est de jongler entre ces différentes activités. Je passe, on va dire, une journée à une journée et demie par semaine sur la partie formation, dont la création de contenu, ce qui n'est vraiment pas énorme, sachant qu'il y a donc un podcast le lundi, une newsletter le mercredi et une vidéo YouTube le vendredi. Mais pourquoi j'y arrive ? Parce que j'ai aussi une équipe sur laquelle m'appuyer pour m'aider sur tout ça. Et à côté... Ah oui, et mes formations, c'est des bootcamps, donc ça me prend du temps aussi. Et à côté, on va dire 3 à 4 jours par semaine, je travaille pour des clients. Et d'ailleurs, non seulement je travaille pour des clients, mais surtout, je délègue des missions à des freelances. En réalité, je fais de moins en moins de missions. C'était un peu une de mes grosses résolutions de ce début d'année. Je voulais garder un seul client historique et sur tous les autres clients, faire uniquement la partie. stratégique, c'est-à-dire la partie audit et la partie formation, parce que c'est mon taf, la formation, c'est ce que j'aime le plus. Mais toute la partie exécution de la roadmap projet, ce n'est plus moi qui l'ai fait pour mon plus grand bonheur, parce qu'au final, ça me permet, moi, de faire ce que j'aime, c'est-à-dire aller à la rencontre de plein de clients, tous aussi différents les uns des autres, de comprendre leur business, de comprendre ce qui bug chez eux, pour réussir à leur proposer des axes d'amélioration, et du coup, après, les mettre en relation avec des freelances exceptionnelles, parce que je le dis, on est un collectif d'élite. genre vraiment les freelancers qui travaillent avec moi sont des personnes qui ont toutes eu une carrière avant de se lancer dans le freelancing en no code et qui ont donc toute une expertise donc genre je vais pouvoir faire appel à des freelancers qui sont experts en finance parce qu'ils étaient dafs pour créer des solutions no code de suivi des chiffres je vais pouvoir faire appel à des freelancers spécialisés en marketing copywriting création de contenu pour créer des espaces Notion pour des agences de com. Et ça, c'est que quelques exemples, mais à chaque fois, et ça, c'est ce que je kiffe vraiment dans mon collectif, et je ne sais même pas comment on pourrait le dire sur le site. Putain, ça fait déjà 5 minutes que j'enregistre, on n'est toujours pas sur le sujet du jour. Mais ce n'est pas grave, j'ai envie de parler là. Et j'avoue, je ne sais même pas comment brander ça, mais je sais que c'est vraiment ce qui nous différencie de tous les autres collectifs, de ceux que je vois en tout cas sur les réseaux, c'est que moi, ce que j'aime avec les différents profils que j'ai regroupé au sein de notre collectif, c'est qu'on a tous une expertise avant de s'être lancé dans le no-code. Et je pense que c'est l'essence même du no-code. Parce que de base, les outils no-code, c'est pas fait pour des gens qui font de la tech. C'est fait pour des gens qui sont experts métiers et qui ont besoin de créer des solutions pour leurs équipes. Des équipes non-tech. Et moi, j'aime trop ce truc de dire à des clients, bah regardez, cette personne que je vais placer sur cette mission, bah oui, elle s'est formée, mais en fait, de base, c'était pas du tout son métier. Donc ça veut dire que tes équipes aussi, elles peuvent le devenir. Et du coup, ça fait d'autant plus sens avec la formation que j'intègre systématiquement à la fin d'émission. Bref, je m'égare, mais vous avez capté, en fait. Créer du contenu, c'est pas... C'est pas ma priorité, même si j'adore ça, c'est ce que j'aime le plus. Non, en vrai, j'adore tout ce que je fais dans mon quotidien en ce moment. Depuis quelques années, j'ai beaucoup de chance. J'ai beaucoup de chance avec tout ce qui m'arrive et je suis très contente de tout ce que je fais dans mon quotidien. Mais créer du contenu, c'est toujours un peu le truc qui passe à la trappe, à mon plus grand désespoir, parce que c'est quand même des choses que j'apprécie le plus. Et malheureusement, j'ai pas toujours le temps. Donc aujourd'hui, on va faire un épisode... sur justement la création de contenu. Parce que pour ceux qui ne le sauraient pas, il y a quelques semaines, quelques mois, durant tout le mois de juillet, j'ai publié une vidéo par jour. Et pas des petites vidéos, genre des vidéos tuto sur le no-code que vous pouvez retrouver sur ma chaîne YouTube Claire No Code. Donc ça fait 31 vidéos à écrire, tourner, filmer. C'est la même chose, Claire. Montées et publiées avec la miniature. Et une des personnes de mon collectif, justement, m'a demandé, mais ça coûte combien ? de créer autant de contenu ? Et j'ai trouvé cette question ultra pertinente. Parce qu'on ne se rend pas compte de à quel point ça coûte de l'argent de créer du contenu. Les gens consomment du contenu comme si on leur devait quelque chose. Vraiment, je le vois sur les plateformes. Moi, les commentaires parfois que je me prends sur YouTube, en mode, non mais ce tutoriel, il n'était pas assez détaillé. Franchement, tu devrais plus faire ci, faire ça, etc. J'attends la vidéo. Mais en fait, tu n'es pas mon boss. Ça donne la sensation qu'on leur doit quelque chose, alors que non, pas du tout, on fait ça totalement gratuitement. Si je parle uniquement des revenus générés par les plateformes, cet été, du coup, avec mes 31 vidéos, j'ai gagné environ 100 euros. Donc, autant vous dire que ça ne couvre pas les frais. Voilà. Donc, déjà, pour moi, le coût investi dans cette création de contenu doit se diviser en deux parties, parce qu'on ne peut pas négliger le temps que j'y ai passé. Donc, on va parler du temps et on va parler de l'argent. Parce que oui, ça coûte de l'argent aussi. Donc, au niveau du temps, on va dire que pour des vidéos quotidiennes comme ça, je passe quand même moins de temps que pour mes vidéos hebdo. Donc, on va dire que c'est deux heures d'écriture, une heure de tournage, quatre heures de montage. Donc, ça fait environ sept heures par vidéo. Donc, si on compte les 31 vidéos, ça fait environ 217 heures de boulot. La réalité, c'est que ça fait à peu près une journée de travail par jour, tout simplement durant les 31 jours de juillet. C'est un marathon le bail. mais En général, et c'est ce que j'ai réussi à faire cette année, je commence en juin pour ne pas avoir justement des journées full création de contenu, tout simplement parce que j'ai des clients. Donc je ne peux pas leur dire genre que pendant un mois entier, je pars, sachant qu'en plus, je prends des vacances en août. Mais par contre, je fais un vrai mi-temps sur juin et juillet. En gros, je commence à faire beaucoup de choses en juin et je fais encore beaucoup de choses en juillet. En vrai, je dis ça, je bosse juste plus. Je ne suis pas vraiment un mi-temps. Je bosse juste plus pour préparer. Donc en gros, en juillet, ça devait me prendre quatre heures par jour. parce qu'en fait je faisais quasiment que le montage. Maintenant, sur la partie coût-argent investi. Alors, moi, j'ai pas choisi de faire monter toutes mes vidéos parce qu'en fait, financièrement, j'aurais pas pu le faire. Enfin, j'aurais pu mais ça aurait coûté beaucoup trop cher. Donc, faut savoir que pour monter une vidéo YouTube, aujourd'hui, c'est environ 350 euros. Alors, je sais qu'il y a des monteurs qui sont moins chers, je sais qu'il y en a qui sont même plus chers. Mais 350 euros, on va dire que c'est un montage assez avancé avec à la fois des animations sonores, des animations visuelles. Et en fait, moi, je n'ai pas envie, parce que c'est des vidéos quotidiennes, de baisser la qualité de montage. Donc pour moi, c'était 350 euros. J'ai l'avantage de savoir monter. Donc en réalité, je n'ai délégué que 4 vidéos durant ces cahiers d'été sur les 31. Ça m'a quand même bien soulagée. Mais je trouve ça quand même trop cher. Compte tenu du temps que j'y passe. En fait, je me dis que... moi, j'y passe 4 heures. Donc en fait, la question, elle est toute simple. Quand t'es entrepreneur, tu réfléchis autant que toi, ça te coûterait. Et du coup, l'argent que ça te coûte de le déléguer. En gros, la question, c'est est-ce qu'en 4 heures, je suis capable de générer plus de 350 euros ? Et la réponse, c'est que moyen, quoi. Parce qu'en fait, en vrai, c'est une demi-journée. 350 fois 2, c'est 700 euros. En gros, c'est le même TGM que je pratique en moyenne. Enfin, en moyenne, maintenant, je suis plutôt entre 750 et 1000, mais je travaille pas tous les jours. Je ne suis pas rémunérée tous les jours par mes clients. Donc, bon, 350 euros par montage, en fait, c'est un peu cher. Alors, la réalité aussi, je pense, c'est que moi, je monte très vite et que j'utilise des templates. Donc, en fait, 4 heures, je suis même très large. Je pense que je passais même un petit peu moins de temps dessus. Et au niveau des miniatures, on est environ sur 50 euros par miniature. Alors, de nouveau, je saurais faire mes miniatures toute seule. mais ce n'est pas mon métier et très clairement, mes miniatures ne sont pas suffisantes. Enfin, moi, je trouve que la miniature, c'est le truc sur lequel il faut investir assez vite parce que vraiment, c'est la seule façon d'amener les gens à cliquer sur ton contenu, tout simplement. Enfin, évidemment, le titre aussi, mais la miniature à ne pas négliger. Donc, les prix ont un peu augmenté après mon mini-amaker que j'avais trouvé sur ComeUp et ultra talentueux, donc aucun souci avec le fait qu'il augmente ses prix. mais c'est vrai qu'entre le moment où il y a 3 ans, c'était il y a 3 ans la première fois que j'ai fait appel à ce service, où la miniature était genre entre 20 et 25 euros, là elle est passée à 50 bon, on a quand même doublé, après il est tellement fort, et maintenant il fait tellement les vignettes de tout le YouTube game, bon, je comprends, et en vrai ces miniatures sont tellement top que je considère que c'est de l'argent bien investi donc en tout, si j'avais tout délégué, sachant que j'ai pas tout délégué en fait ça m'aurait coûté quasiment 13 000 euros, donc évidemment que j'ai préféré que ça me coûte du temps plutôt que de l'argent, sachant que l'été en plus le business et plus calme. Je pense que c'est le cas pour beaucoup de personnes. L'été, mes clients partent en vacances, et donc, bah, les développements sont grave au ralenti, et niveau formation, de la même façon, bah, personne, enfin, rares sont les personnes qui se forment l'été, finalement. Même moi, je prends des vacances, donc, l'été, c'est tellement au ralenti que je préfère investir du temps là-dedans. Donc, au total, ce que ça m'a vraiment coûté, c'est donc, bah, 1500 environ euros de miniatures, et 1400 euros de montage, mais Cette année, ça m'a rapporté de l'argent directement. Pourquoi je dis ça ? Parce que les autres années, en réalité, les cahiers de l'été, c'était full non-sponsor et j'avais aucune offre à mettre en avant. C'était vraiment du contenu gratuit. Ça me permettait de me faire connaître et du coup, durant l'année, j'avais des clients. Mais là, cette année, on a mis en place le bundle de l'été. Donc, c'est quoi ? C'était un pack avec mes formations, uniquement certaines d'entre elles. uniquement les formations MOOC. Le pack était autour de 250 euros, légèrement moins. Et donc en tout, on a gagné environ 14 000 euros grâce à ce pack. Et franchement, on était très contentes de ce chiffre et on a eu de super retours sur nos formations. Et donc ça nous a permis d'avoir exactement 56 nouveaux clients. Et ça, c'est cool parce que c'est potentiellement aussi des nouveaux clients qui rentrent dans mon univers et qui derrière vont potentiellement soit me déléguer la création d'une solution, soit poursuivre leur apprentissage avec un Bootcamp Make et pour la première fois, on a eu des sponsors. Donc on en a eu deux sur les cahiers de l'été. Donc on a eu GoodBarber. Ça faisait très longtemps qu'on préparait ça et j'ai été vraiment honorée de les mettre en avant dans une de mes vidéos. Donc GoodBarber qui est un outil no-code de création d'apps mobiles. Et d'ailleurs si vous allez voir, ce podcast n'est pas sponsor, mais si vous allez sur l'app store ou sur le Play Store, vous tapez Claire no-code et vous avez accès à mon app. Et je suis pas peu fière de ce que j'ai réussi à faire en no-code. Mon app est trop stylée. Désolée, j'assume, mais elle est trop trop stylée. Et deuxième sponsor que j'apprécie tout autant et avec lequel je vais retravailler très vite, c'est Softair, logiciel de création d'apps no code, plutôt des apps internes. J'ai été vraiment trop contente que ces deux outils me suivent sur la création de ces cahiers de l'été. Depuis les cahiers de l'été, j'ai eu l'occasion d'également travailler avec Make. Donc vous n'êtes pas sans savoir à quel point Make est un outil que j'apprécie vraiment. énormément. C'est vraiment l'outil que j'utilise le plus et que j'implémente le plus chez mes clients avec Notion. Et Notion, bah... On essaye de négocier, mais toujours pas de sponsor à l'horizon, pas du tout. Il semblerait que ce ne soit pas possible avant d'avoir 50 000 abonnés, chose que je n'ai pas et ce qui me fait en même temps beaucoup rire parce que je connais des créateurs qui n'ont pas 50 000 abonnés et qui sont sponsorisés. Donc bon, écoutez, je préférerais qu'ils assument le fait qu'ils n'ont pas besoin d'autres influenceurs français plutôt que de me balancer une règle qui ne semble... pas respectée pour tout le monde. Mais voilà, sachez que Notion ne sponsorise pas mes contenus et je pense que ce n'est pas prêt d'arriver. En tout cas, pour l'instant, on est toujours sur un refus catégorique et ce n'est pas faute de les harceler et de leur proposer depuis le tout début. Je pense que ça fait 7 ans parce qu'avant, j'avais une autre chaîne YouTube sur laquelle je parlais de Notion, mais pour les étudiants, je les avais déjà sollicités, on m'avait déjà dit non. Bref, j'avoue, j'ai un peu le seum. Je n'ai pas mytho. Quand tu parles autant d'un outil, t'aimerais bien à un moment que la marque te suive. C'est pas le cas, mais bon, c'est pas grave. Tout ça pour dire qu'en tout cet été, offre du bundle plus les sponsors, j'ai gagné 16 000 euros. Donc je suis très contente de ce résultat parce qu'avec du coup 3 000 euros investis, ça fait 16 000 euros de revenus. Donc on va dire 13 000 euros en tout. C'est un super mois. C'est vraiment très bien. Mais à ne pas négliger les 217 heures de boulot, je rappelle. Mais voilà, c'est un très bon résultat et surtout, je pense que c'est rentable avec des gros guillemets, surtout pour mon acquisition long terme. En fait, pour moi, l'enjeu, il n'est vraiment pas court terme. La preuve, les deux premières années, quand j'ai créé les cahiers de l'été, ça n'a jamais été rentable. Je perdais de l'argent chaque année. C'est la première année que j'arrive à générer du revenu de cette opération. En fait, pour moi, créer les cahiers de l'été, ça fait partie de mon ADN, ça fait partie de mon image de marque. En fait, d'une certaine façon, ça envoie le message à mes clients. que je suis fiable, parce que je suis capable, quand je me fixe un objectif, de l'atteindre. C'est un peu comme être capable de faire un marathon, tu vois. Pour moi, ça montre ta rigueur, ça montre ta discipline et ça rassure les clients. Donc c'est une des raisons pourquoi j'apprécie cet exercice et dans les faits, j'apprécie ce côté challenge. J'apprécie le fait que ce soit pas facile, néanmoins atteignable, parce que quand tu termines, franchement, t'es trop fière de toi. Et vraiment, quand j'ai publié la dernière vidéo, mais j'avoue, j'étais tellement contente, j'étais en mode, ok, ça y est, c'est fait. troisième année de suite que j'arrive à faire du contenu pendant un mois d'ailleurs d'habitude il n'y avait pas de vidéo le week-end donc il n'y avait que 4 fois 5 donc 20 vidéos cette année on en a sorti encore plus puisqu'on est passé à 31 donc vraiment je ne suis pas peu fière de ce qu'on a réussi à faire et même autour de la DA, autour de tout ce qu'on vous a proposé la seule chose qui a manqué pour moi c'est parce que je n'ai pas réussi à recruter une personne pour cette partie là à temps mais l'année prochaine je n'y manquerai pas C'est la partie LinkedIn, Instagram. En fait, j'avais prévu de faire des contenus quotidiens, comme je faisais d'habitude, pour mettre en avant mes vidéos. Mais d'habitude, j'avais Léna qui a travaillé avec moi pendant de nombreuses années, qui gérait cette partie, toute la partie design, etc. Aujourd'hui, je n'ai plus Léna, parce que Léna a monté sa boîte, et c'est incroyable tout ce qu'elle fait, elle est trop forte. Bref, ça se passe très bien pour elle, mais elle ne fait plus du tout de design. Et en vrai... elle a bien eu raison de faire ce qui lui plaît et on est encore très copines mais du coup je n'ai plus personne pour faire mon design et je crois que j'avais besoin d'un temps où je faisais mon deuil parce que là du coup je viens de recruter une petite pépite, enfin recruter, pareil en freelance parce que de toute façon j'ai pas besoin d'un temps plein mais c'est donc la designeuse qui a créé toute la DA autour des cahiers de l'idée et qui est en train de faire une petite mise à jour refonte de la DA Claire No Code en prévision d'une grosse nouveauté en fait bon j'ai pas envie de tout balancer dès maintenant. Mais il est fort probable qu'autour du 1er octobre sorte une toute nouvelle version de Claire No Code et de tout l'univers Claire No Code. Parce que parmi les grosses décisions de la fin de l'été que j'ai prises, il y avait l'ambition de revoir... tous les services que je propose, toutes les offres que je propose, toujours évidemment avec ce même objectif de vous apprendre à no-coder et à vous proposer de créer vos solutions. Mais on est arrivé à un point où je pense, il y a certaines de mes formations, ça fait longtemps qu'elles sont là. Ma réflexion sur la meilleure façon de transmettre ces connaissances a énormément évolué. Et aujourd'hui, je ne crois plus aux longues formations 100% MOOC. Je vois bien que mon produit phare, qui est le bootcamp, est la meilleure façon d'atteindre cet objectif. Merci. C'est pourquoi, je peux l'annoncer dès maintenant, parce que vous aurez toutes les infos dès mercredi dans la newsletter, on va se séparer d'une grosse partie des formations MOOC proposées sur Claire NoCode. On va vous proposer de les acheter à un tarif ultra préférentiel pendant quelques temps avant qu'elles disparaissent définitivement de notre catalogue, pour vous proposer des expériences plus réelles, sans vous en dire plus. Mais je pense que c'est vraiment la meilleure façon de transmettre du savoir et que... Il n'y a pas de secret. Si tu veux progresser, il faut pratiquer. Et je pense... que pratiquer en groupe est encore plus puissant que pratiquer seule face à ton ordinateur. Et donc, c'est pour ça que l'expérience Bootcamp, pour moi, est un succès et j'ai vraiment envie que mes formations aillent dans ce sens, qui est totalement à l'opposé de ce que font la majorité des créateurs de contenu. En fait, il n'y en a à peu près rien à faire. Je pense qu'on ne peut pas faire de généralité concernant la pédagogie, l'éducation. et que selon les compétences que tu acquiers, tu n'as pas besoin forcément des mêmes expériences pédagogiques. Et me concernant, comme je transmets des compétences techniques, je suis vraiment convaincue que le format MOOC a ses limites. Voilà, bon bref, je parlerai d'expérience de pédagogie, tout ça, dans la newsletter de mercredi. D'ailleurs, si tu n'es pas encore abonné à la newsletter, n'hésite pas à le faire. Tu trouveras toutes les infos dans la barre de description de ce podcast. Donc, en conclusion, ces cahiers de l'été, c'était certes du contenu gratuit, mais c'était surtout un investissement. pas une dépense. C'est pour moi la solution de faire de l'acquisition sur le long terme. L'objectif n'était pas d'avoir un ROI immédiat, c'est la première année que je l'ai et franchement j'en suis trop fière mais dans les faits c'était pas l'objectif premier. Genre même si je l'avais pas atteint je m'en serais pas voulue et je me serais dit c'est pas grave en fait. Il y a eu tellement de nouvelles personnes qui ont rejoint la newsletter, qui ont consommé mes contenus et qui donc ont démarré cet apprentissage du no-code que pour moi c'est déjà un succès. Pour moi, encore une fois, à chaque fois que je fais les cahiers de l'été, j'ai l'impression de redécouvrir le montage vidéo, j'ai l'impression de continuer à progresser, et ça a été un vrai kiff. Vous me direz un peu ce que vous pensez du montage des dernières vidéos, puisque c'est moi qui les monte en ce moment, tout simplement parce que j'ai repris plaisir à le faire, et je ne sais pas encore si je vais redéléguer ça. C'est un point d'interrogation que j'ai en ce moment. Je pense que j'ai besoin d'être sur le montage en termes de volume, parce qu'entre les formations et les vidéos YouTube, quoi qu'il arrive, je n'ai pas assez de... de temps, mais je ne suis pas certaine que j'ai envie de tout déléguer comme je le faisais. En fait, je crois que je me rends compte que le montage c'est quelque chose qui me fait tellement plaisir et il y a un côté artistique et créatif que je retrouve qui fait que j'ai envie, je pense, d'en garder une partie pour moi. Donc voilà, pour l'instant, il n'y a pas de décision arrêtée, donc je serais curieuse d'avoir vos retours sur les derniers montages. Les podcasts, à part celui-là, parce que je suis grave à la bourre, c'est maintenant Marine qui les monte. Big up Marine, parce qu'elle a pris le montage des podcasts en main. hyper rapidement. Et que, moi, je trouve qu'ils sont top. Et ça me permet vraiment de me dégager du temps pour faire d'autres choses. Et puis, elles, de toute façon, elles les écoutent parce qu'elles les kiffent. Donc, autant dire que c'est dedans, dedans. Donc, voilà, je vais vous laisser. On se retrouve donc dès mercredi pour la newsletter d'annonce de tous les changements qui arriveront en octobre. On se retrouve... vendredi dans une nouvelle vidéo YouTube. Il n'y en a pas eu la semaine dernière, c'était exceptionnel. J'avais besoin d'une petite pause avant les deux semaines un peu intenses qui s'annoncent pour moi. Je vous ferai peut-être un vlog d'ailleurs sur ces deux semaines. Je verrai. Je me suis dit que ça pouvait être intéressant. Et du coup, début octobre pour toutes les nouveautés. Passez tous un très bon lundi, une très belle semaine. Bye !

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Créer du contenu, ça coûte cher.

Dans cet épisode de rentrée, je te dévoile les coulisses des cahiers de l'été ou comment j'ai publié 31 vidéos en 31 jours.


Je te partage le temps que cela m'a pris, l'argent que ça m'a coûté et toute l'énergie investis… et de ce que ça m’a réellement rapporté. Spoiler : ce n’est pas qu’une question de vues ou de revenus.


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Transcription

  • Speaker #0

    Hello et bienvenue sur le podcast Entrepreneuse sans succès. Je suis Claire, entrepreneuse depuis près de cinq ans et je te partage ici, seule ou avec mes invités, des réflexions autour de l'entrepreneuriat, de la productivité et des outils no-code. Je te partage également avec honnêteté et transparence mon quotidien d'entrepreneuse avec CO&CBA, un journal de bord pour te partager mes réflexions quand j'en ressens le besoin. Alors, si tu veux me rejoindre dans cette discussion, installe-toi, ça va commencer. Hello à tous, j'espère que vous allez bien. Bienvenue dans ce nouvel épisode de podcast. Je suis trop contente de vous retrouver pour cette, finalement on peut le dire, je pense, vu depuis le temps que je n'avais pas enregistré d'épisode, nouvelle saison. Bon, il y aura une nouvelle vignette d'ici peu et peut-être un nouveau nom, je ne sais pas. Je n'ai pas encore réfléchi à tout ça, mais j'avais envie de reprendre et je vous l'avais promis sur YouTube. que je reprendrai par un nouvel épisode le 22 septembre. C'est donc aujourd'hui que je me réengage à faire un épisode de podcast par semaine. Honnêtement, c'est un exercice qui m'a énormément manqué. Et tout comme l'année dernière, j'ai réussi à peu près à tenir une vidéo YouTube par semaine, j'ai vraiment envie de réussir à maintenir ce rythme. Alors, pour ceux qui débarquent, pourquoi je n'arrive pas à tenir ce rythme ? Parce que créer du contenu, ce n'est pas vraiment mon travail. Si je dois faire un petit update sur à quoi ressemblent mes journées et qu'est-ce que je fais aujourd'hui, je crée du contenu, certes, mais en réalité, il faut le dire, c'est plus un kiff qu'autre chose. Également aussi un canal d'acquisition, mais mon vrai job, c'est de faire du no-code. Donc, par quoi ça passe ? Ça passe par, d'une part, créer des solutions pour des clients, parce que ça, je n'ai jamais arrêté. Je fais ça depuis quasiment sept ans et au début, ça ne s'appelait même pas no-code. j'avais même pas vraiment conscience de ce que je faisais. En fait, certains clients me demandaient de faire des petites automatisations sur Zapier ou bien de créer des petites bases de données dans Airtable et c'est que quelques années après quand ça s'est vraiment démocratisé que ça s'est appelé NoCode et que du coup, je suis officiellement devenue freelance en NoCode et à côté de ça, aujourd'hui je forme aussi les personnes qui veulent apprendre les outils NoCode, à monter en compétence sur ces outils, notamment mes outils préférés, du coup, Notion et Make. Donc vraiment, aujourd'hui, mon quotidien, c'est de jongler entre ces différentes activités. Je passe, on va dire, une journée à une journée et demie par semaine sur la partie formation, dont la création de contenu, ce qui n'est vraiment pas énorme, sachant qu'il y a donc un podcast le lundi, une newsletter le mercredi et une vidéo YouTube le vendredi. Mais pourquoi j'y arrive ? Parce que j'ai aussi une équipe sur laquelle m'appuyer pour m'aider sur tout ça. Et à côté... Ah oui, et mes formations, c'est des bootcamps, donc ça me prend du temps aussi. Et à côté, on va dire 3 à 4 jours par semaine, je travaille pour des clients. Et d'ailleurs, non seulement je travaille pour des clients, mais surtout, je délègue des missions à des freelances. En réalité, je fais de moins en moins de missions. C'était un peu une de mes grosses résolutions de ce début d'année. Je voulais garder un seul client historique et sur tous les autres clients, faire uniquement la partie. stratégique, c'est-à-dire la partie audit et la partie formation, parce que c'est mon taf, la formation, c'est ce que j'aime le plus. Mais toute la partie exécution de la roadmap projet, ce n'est plus moi qui l'ai fait pour mon plus grand bonheur, parce qu'au final, ça me permet, moi, de faire ce que j'aime, c'est-à-dire aller à la rencontre de plein de clients, tous aussi différents les uns des autres, de comprendre leur business, de comprendre ce qui bug chez eux, pour réussir à leur proposer des axes d'amélioration, et du coup, après, les mettre en relation avec des freelances exceptionnelles, parce que je le dis, on est un collectif d'élite. genre vraiment les freelancers qui travaillent avec moi sont des personnes qui ont toutes eu une carrière avant de se lancer dans le freelancing en no code et qui ont donc toute une expertise donc genre je vais pouvoir faire appel à des freelancers qui sont experts en finance parce qu'ils étaient dafs pour créer des solutions no code de suivi des chiffres je vais pouvoir faire appel à des freelancers spécialisés en marketing copywriting création de contenu pour créer des espaces Notion pour des agences de com. Et ça, c'est que quelques exemples, mais à chaque fois, et ça, c'est ce que je kiffe vraiment dans mon collectif, et je ne sais même pas comment on pourrait le dire sur le site. Putain, ça fait déjà 5 minutes que j'enregistre, on n'est toujours pas sur le sujet du jour. Mais ce n'est pas grave, j'ai envie de parler là. Et j'avoue, je ne sais même pas comment brander ça, mais je sais que c'est vraiment ce qui nous différencie de tous les autres collectifs, de ceux que je vois en tout cas sur les réseaux, c'est que moi, ce que j'aime avec les différents profils que j'ai regroupé au sein de notre collectif, c'est qu'on a tous une expertise avant de s'être lancé dans le no-code. Et je pense que c'est l'essence même du no-code. Parce que de base, les outils no-code, c'est pas fait pour des gens qui font de la tech. C'est fait pour des gens qui sont experts métiers et qui ont besoin de créer des solutions pour leurs équipes. Des équipes non-tech. Et moi, j'aime trop ce truc de dire à des clients, bah regardez, cette personne que je vais placer sur cette mission, bah oui, elle s'est formée, mais en fait, de base, c'était pas du tout son métier. Donc ça veut dire que tes équipes aussi, elles peuvent le devenir. Et du coup, ça fait d'autant plus sens avec la formation que j'intègre systématiquement à la fin d'émission. Bref, je m'égare, mais vous avez capté, en fait. Créer du contenu, c'est pas... C'est pas ma priorité, même si j'adore ça, c'est ce que j'aime le plus. Non, en vrai, j'adore tout ce que je fais dans mon quotidien en ce moment. Depuis quelques années, j'ai beaucoup de chance. J'ai beaucoup de chance avec tout ce qui m'arrive et je suis très contente de tout ce que je fais dans mon quotidien. Mais créer du contenu, c'est toujours un peu le truc qui passe à la trappe, à mon plus grand désespoir, parce que c'est quand même des choses que j'apprécie le plus. Et malheureusement, j'ai pas toujours le temps. Donc aujourd'hui, on va faire un épisode... sur justement la création de contenu. Parce que pour ceux qui ne le sauraient pas, il y a quelques semaines, quelques mois, durant tout le mois de juillet, j'ai publié une vidéo par jour. Et pas des petites vidéos, genre des vidéos tuto sur le no-code que vous pouvez retrouver sur ma chaîne YouTube Claire No Code. Donc ça fait 31 vidéos à écrire, tourner, filmer. C'est la même chose, Claire. Montées et publiées avec la miniature. Et une des personnes de mon collectif, justement, m'a demandé, mais ça coûte combien ? de créer autant de contenu ? Et j'ai trouvé cette question ultra pertinente. Parce qu'on ne se rend pas compte de à quel point ça coûte de l'argent de créer du contenu. Les gens consomment du contenu comme si on leur devait quelque chose. Vraiment, je le vois sur les plateformes. Moi, les commentaires parfois que je me prends sur YouTube, en mode, non mais ce tutoriel, il n'était pas assez détaillé. Franchement, tu devrais plus faire ci, faire ça, etc. J'attends la vidéo. Mais en fait, tu n'es pas mon boss. Ça donne la sensation qu'on leur doit quelque chose, alors que non, pas du tout, on fait ça totalement gratuitement. Si je parle uniquement des revenus générés par les plateformes, cet été, du coup, avec mes 31 vidéos, j'ai gagné environ 100 euros. Donc, autant vous dire que ça ne couvre pas les frais. Voilà. Donc, déjà, pour moi, le coût investi dans cette création de contenu doit se diviser en deux parties, parce qu'on ne peut pas négliger le temps que j'y ai passé. Donc, on va parler du temps et on va parler de l'argent. Parce que oui, ça coûte de l'argent aussi. Donc, au niveau du temps, on va dire que pour des vidéos quotidiennes comme ça, je passe quand même moins de temps que pour mes vidéos hebdo. Donc, on va dire que c'est deux heures d'écriture, une heure de tournage, quatre heures de montage. Donc, ça fait environ sept heures par vidéo. Donc, si on compte les 31 vidéos, ça fait environ 217 heures de boulot. La réalité, c'est que ça fait à peu près une journée de travail par jour, tout simplement durant les 31 jours de juillet. C'est un marathon le bail. mais En général, et c'est ce que j'ai réussi à faire cette année, je commence en juin pour ne pas avoir justement des journées full création de contenu, tout simplement parce que j'ai des clients. Donc je ne peux pas leur dire genre que pendant un mois entier, je pars, sachant qu'en plus, je prends des vacances en août. Mais par contre, je fais un vrai mi-temps sur juin et juillet. En gros, je commence à faire beaucoup de choses en juin et je fais encore beaucoup de choses en juillet. En vrai, je dis ça, je bosse juste plus. Je ne suis pas vraiment un mi-temps. Je bosse juste plus pour préparer. Donc en gros, en juillet, ça devait me prendre quatre heures par jour. parce qu'en fait je faisais quasiment que le montage. Maintenant, sur la partie coût-argent investi. Alors, moi, j'ai pas choisi de faire monter toutes mes vidéos parce qu'en fait, financièrement, j'aurais pas pu le faire. Enfin, j'aurais pu mais ça aurait coûté beaucoup trop cher. Donc, faut savoir que pour monter une vidéo YouTube, aujourd'hui, c'est environ 350 euros. Alors, je sais qu'il y a des monteurs qui sont moins chers, je sais qu'il y en a qui sont même plus chers. Mais 350 euros, on va dire que c'est un montage assez avancé avec à la fois des animations sonores, des animations visuelles. Et en fait, moi, je n'ai pas envie, parce que c'est des vidéos quotidiennes, de baisser la qualité de montage. Donc pour moi, c'était 350 euros. J'ai l'avantage de savoir monter. Donc en réalité, je n'ai délégué que 4 vidéos durant ces cahiers d'été sur les 31. Ça m'a quand même bien soulagée. Mais je trouve ça quand même trop cher. Compte tenu du temps que j'y passe. En fait, je me dis que... moi, j'y passe 4 heures. Donc en fait, la question, elle est toute simple. Quand t'es entrepreneur, tu réfléchis autant que toi, ça te coûterait. Et du coup, l'argent que ça te coûte de le déléguer. En gros, la question, c'est est-ce qu'en 4 heures, je suis capable de générer plus de 350 euros ? Et la réponse, c'est que moyen, quoi. Parce qu'en fait, en vrai, c'est une demi-journée. 350 fois 2, c'est 700 euros. En gros, c'est le même TGM que je pratique en moyenne. Enfin, en moyenne, maintenant, je suis plutôt entre 750 et 1000, mais je travaille pas tous les jours. Je ne suis pas rémunérée tous les jours par mes clients. Donc, bon, 350 euros par montage, en fait, c'est un peu cher. Alors, la réalité aussi, je pense, c'est que moi, je monte très vite et que j'utilise des templates. Donc, en fait, 4 heures, je suis même très large. Je pense que je passais même un petit peu moins de temps dessus. Et au niveau des miniatures, on est environ sur 50 euros par miniature. Alors, de nouveau, je saurais faire mes miniatures toute seule. mais ce n'est pas mon métier et très clairement, mes miniatures ne sont pas suffisantes. Enfin, moi, je trouve que la miniature, c'est le truc sur lequel il faut investir assez vite parce que vraiment, c'est la seule façon d'amener les gens à cliquer sur ton contenu, tout simplement. Enfin, évidemment, le titre aussi, mais la miniature à ne pas négliger. Donc, les prix ont un peu augmenté après mon mini-amaker que j'avais trouvé sur ComeUp et ultra talentueux, donc aucun souci avec le fait qu'il augmente ses prix. mais c'est vrai qu'entre le moment où il y a 3 ans, c'était il y a 3 ans la première fois que j'ai fait appel à ce service, où la miniature était genre entre 20 et 25 euros, là elle est passée à 50 bon, on a quand même doublé, après il est tellement fort, et maintenant il fait tellement les vignettes de tout le YouTube game, bon, je comprends, et en vrai ces miniatures sont tellement top que je considère que c'est de l'argent bien investi donc en tout, si j'avais tout délégué, sachant que j'ai pas tout délégué en fait ça m'aurait coûté quasiment 13 000 euros, donc évidemment que j'ai préféré que ça me coûte du temps plutôt que de l'argent, sachant que l'été en plus le business et plus calme. Je pense que c'est le cas pour beaucoup de personnes. L'été, mes clients partent en vacances, et donc, bah, les développements sont grave au ralenti, et niveau formation, de la même façon, bah, personne, enfin, rares sont les personnes qui se forment l'été, finalement. Même moi, je prends des vacances, donc, l'été, c'est tellement au ralenti que je préfère investir du temps là-dedans. Donc, au total, ce que ça m'a vraiment coûté, c'est donc, bah, 1500 environ euros de miniatures, et 1400 euros de montage, mais Cette année, ça m'a rapporté de l'argent directement. Pourquoi je dis ça ? Parce que les autres années, en réalité, les cahiers de l'été, c'était full non-sponsor et j'avais aucune offre à mettre en avant. C'était vraiment du contenu gratuit. Ça me permettait de me faire connaître et du coup, durant l'année, j'avais des clients. Mais là, cette année, on a mis en place le bundle de l'été. Donc, c'est quoi ? C'était un pack avec mes formations, uniquement certaines d'entre elles. uniquement les formations MOOC. Le pack était autour de 250 euros, légèrement moins. Et donc en tout, on a gagné environ 14 000 euros grâce à ce pack. Et franchement, on était très contentes de ce chiffre et on a eu de super retours sur nos formations. Et donc ça nous a permis d'avoir exactement 56 nouveaux clients. Et ça, c'est cool parce que c'est potentiellement aussi des nouveaux clients qui rentrent dans mon univers et qui derrière vont potentiellement soit me déléguer la création d'une solution, soit poursuivre leur apprentissage avec un Bootcamp Make et pour la première fois, on a eu des sponsors. Donc on en a eu deux sur les cahiers de l'été. Donc on a eu GoodBarber. Ça faisait très longtemps qu'on préparait ça et j'ai été vraiment honorée de les mettre en avant dans une de mes vidéos. Donc GoodBarber qui est un outil no-code de création d'apps mobiles. Et d'ailleurs si vous allez voir, ce podcast n'est pas sponsor, mais si vous allez sur l'app store ou sur le Play Store, vous tapez Claire no-code et vous avez accès à mon app. Et je suis pas peu fière de ce que j'ai réussi à faire en no-code. Mon app est trop stylée. Désolée, j'assume, mais elle est trop trop stylée. Et deuxième sponsor que j'apprécie tout autant et avec lequel je vais retravailler très vite, c'est Softair, logiciel de création d'apps no code, plutôt des apps internes. J'ai été vraiment trop contente que ces deux outils me suivent sur la création de ces cahiers de l'été. Depuis les cahiers de l'été, j'ai eu l'occasion d'également travailler avec Make. Donc vous n'êtes pas sans savoir à quel point Make est un outil que j'apprécie vraiment. énormément. C'est vraiment l'outil que j'utilise le plus et que j'implémente le plus chez mes clients avec Notion. Et Notion, bah... On essaye de négocier, mais toujours pas de sponsor à l'horizon, pas du tout. Il semblerait que ce ne soit pas possible avant d'avoir 50 000 abonnés, chose que je n'ai pas et ce qui me fait en même temps beaucoup rire parce que je connais des créateurs qui n'ont pas 50 000 abonnés et qui sont sponsorisés. Donc bon, écoutez, je préférerais qu'ils assument le fait qu'ils n'ont pas besoin d'autres influenceurs français plutôt que de me balancer une règle qui ne semble... pas respectée pour tout le monde. Mais voilà, sachez que Notion ne sponsorise pas mes contenus et je pense que ce n'est pas prêt d'arriver. En tout cas, pour l'instant, on est toujours sur un refus catégorique et ce n'est pas faute de les harceler et de leur proposer depuis le tout début. Je pense que ça fait 7 ans parce qu'avant, j'avais une autre chaîne YouTube sur laquelle je parlais de Notion, mais pour les étudiants, je les avais déjà sollicités, on m'avait déjà dit non. Bref, j'avoue, j'ai un peu le seum. Je n'ai pas mytho. Quand tu parles autant d'un outil, t'aimerais bien à un moment que la marque te suive. C'est pas le cas, mais bon, c'est pas grave. Tout ça pour dire qu'en tout cet été, offre du bundle plus les sponsors, j'ai gagné 16 000 euros. Donc je suis très contente de ce résultat parce qu'avec du coup 3 000 euros investis, ça fait 16 000 euros de revenus. Donc on va dire 13 000 euros en tout. C'est un super mois. C'est vraiment très bien. Mais à ne pas négliger les 217 heures de boulot, je rappelle. Mais voilà, c'est un très bon résultat et surtout, je pense que c'est rentable avec des gros guillemets, surtout pour mon acquisition long terme. En fait, pour moi, l'enjeu, il n'est vraiment pas court terme. La preuve, les deux premières années, quand j'ai créé les cahiers de l'été, ça n'a jamais été rentable. Je perdais de l'argent chaque année. C'est la première année que j'arrive à générer du revenu de cette opération. En fait, pour moi, créer les cahiers de l'été, ça fait partie de mon ADN, ça fait partie de mon image de marque. En fait, d'une certaine façon, ça envoie le message à mes clients. que je suis fiable, parce que je suis capable, quand je me fixe un objectif, de l'atteindre. C'est un peu comme être capable de faire un marathon, tu vois. Pour moi, ça montre ta rigueur, ça montre ta discipline et ça rassure les clients. Donc c'est une des raisons pourquoi j'apprécie cet exercice et dans les faits, j'apprécie ce côté challenge. J'apprécie le fait que ce soit pas facile, néanmoins atteignable, parce que quand tu termines, franchement, t'es trop fière de toi. Et vraiment, quand j'ai publié la dernière vidéo, mais j'avoue, j'étais tellement contente, j'étais en mode, ok, ça y est, c'est fait. troisième année de suite que j'arrive à faire du contenu pendant un mois d'ailleurs d'habitude il n'y avait pas de vidéo le week-end donc il n'y avait que 4 fois 5 donc 20 vidéos cette année on en a sorti encore plus puisqu'on est passé à 31 donc vraiment je ne suis pas peu fière de ce qu'on a réussi à faire et même autour de la DA, autour de tout ce qu'on vous a proposé la seule chose qui a manqué pour moi c'est parce que je n'ai pas réussi à recruter une personne pour cette partie là à temps mais l'année prochaine je n'y manquerai pas C'est la partie LinkedIn, Instagram. En fait, j'avais prévu de faire des contenus quotidiens, comme je faisais d'habitude, pour mettre en avant mes vidéos. Mais d'habitude, j'avais Léna qui a travaillé avec moi pendant de nombreuses années, qui gérait cette partie, toute la partie design, etc. Aujourd'hui, je n'ai plus Léna, parce que Léna a monté sa boîte, et c'est incroyable tout ce qu'elle fait, elle est trop forte. Bref, ça se passe très bien pour elle, mais elle ne fait plus du tout de design. Et en vrai... elle a bien eu raison de faire ce qui lui plaît et on est encore très copines mais du coup je n'ai plus personne pour faire mon design et je crois que j'avais besoin d'un temps où je faisais mon deuil parce que là du coup je viens de recruter une petite pépite, enfin recruter, pareil en freelance parce que de toute façon j'ai pas besoin d'un temps plein mais c'est donc la designeuse qui a créé toute la DA autour des cahiers de l'idée et qui est en train de faire une petite mise à jour refonte de la DA Claire No Code en prévision d'une grosse nouveauté en fait bon j'ai pas envie de tout balancer dès maintenant. Mais il est fort probable qu'autour du 1er octobre sorte une toute nouvelle version de Claire No Code et de tout l'univers Claire No Code. Parce que parmi les grosses décisions de la fin de l'été que j'ai prises, il y avait l'ambition de revoir... tous les services que je propose, toutes les offres que je propose, toujours évidemment avec ce même objectif de vous apprendre à no-coder et à vous proposer de créer vos solutions. Mais on est arrivé à un point où je pense, il y a certaines de mes formations, ça fait longtemps qu'elles sont là. Ma réflexion sur la meilleure façon de transmettre ces connaissances a énormément évolué. Et aujourd'hui, je ne crois plus aux longues formations 100% MOOC. Je vois bien que mon produit phare, qui est le bootcamp, est la meilleure façon d'atteindre cet objectif. Merci. C'est pourquoi, je peux l'annoncer dès maintenant, parce que vous aurez toutes les infos dès mercredi dans la newsletter, on va se séparer d'une grosse partie des formations MOOC proposées sur Claire NoCode. On va vous proposer de les acheter à un tarif ultra préférentiel pendant quelques temps avant qu'elles disparaissent définitivement de notre catalogue, pour vous proposer des expériences plus réelles, sans vous en dire plus. Mais je pense que c'est vraiment la meilleure façon de transmettre du savoir et que... Il n'y a pas de secret. Si tu veux progresser, il faut pratiquer. Et je pense... que pratiquer en groupe est encore plus puissant que pratiquer seule face à ton ordinateur. Et donc, c'est pour ça que l'expérience Bootcamp, pour moi, est un succès et j'ai vraiment envie que mes formations aillent dans ce sens, qui est totalement à l'opposé de ce que font la majorité des créateurs de contenu. En fait, il n'y en a à peu près rien à faire. Je pense qu'on ne peut pas faire de généralité concernant la pédagogie, l'éducation. et que selon les compétences que tu acquiers, tu n'as pas besoin forcément des mêmes expériences pédagogiques. Et me concernant, comme je transmets des compétences techniques, je suis vraiment convaincue que le format MOOC a ses limites. Voilà, bon bref, je parlerai d'expérience de pédagogie, tout ça, dans la newsletter de mercredi. D'ailleurs, si tu n'es pas encore abonné à la newsletter, n'hésite pas à le faire. Tu trouveras toutes les infos dans la barre de description de ce podcast. Donc, en conclusion, ces cahiers de l'été, c'était certes du contenu gratuit, mais c'était surtout un investissement. pas une dépense. C'est pour moi la solution de faire de l'acquisition sur le long terme. L'objectif n'était pas d'avoir un ROI immédiat, c'est la première année que je l'ai et franchement j'en suis trop fière mais dans les faits c'était pas l'objectif premier. Genre même si je l'avais pas atteint je m'en serais pas voulue et je me serais dit c'est pas grave en fait. Il y a eu tellement de nouvelles personnes qui ont rejoint la newsletter, qui ont consommé mes contenus et qui donc ont démarré cet apprentissage du no-code que pour moi c'est déjà un succès. Pour moi, encore une fois, à chaque fois que je fais les cahiers de l'été, j'ai l'impression de redécouvrir le montage vidéo, j'ai l'impression de continuer à progresser, et ça a été un vrai kiff. Vous me direz un peu ce que vous pensez du montage des dernières vidéos, puisque c'est moi qui les monte en ce moment, tout simplement parce que j'ai repris plaisir à le faire, et je ne sais pas encore si je vais redéléguer ça. C'est un point d'interrogation que j'ai en ce moment. Je pense que j'ai besoin d'être sur le montage en termes de volume, parce qu'entre les formations et les vidéos YouTube, quoi qu'il arrive, je n'ai pas assez de... de temps, mais je ne suis pas certaine que j'ai envie de tout déléguer comme je le faisais. En fait, je crois que je me rends compte que le montage c'est quelque chose qui me fait tellement plaisir et il y a un côté artistique et créatif que je retrouve qui fait que j'ai envie, je pense, d'en garder une partie pour moi. Donc voilà, pour l'instant, il n'y a pas de décision arrêtée, donc je serais curieuse d'avoir vos retours sur les derniers montages. Les podcasts, à part celui-là, parce que je suis grave à la bourre, c'est maintenant Marine qui les monte. Big up Marine, parce qu'elle a pris le montage des podcasts en main. hyper rapidement. Et que, moi, je trouve qu'ils sont top. Et ça me permet vraiment de me dégager du temps pour faire d'autres choses. Et puis, elles, de toute façon, elles les écoutent parce qu'elles les kiffent. Donc, autant dire que c'est dedans, dedans. Donc, voilà, je vais vous laisser. On se retrouve donc dès mercredi pour la newsletter d'annonce de tous les changements qui arriveront en octobre. On se retrouve... vendredi dans une nouvelle vidéo YouTube. Il n'y en a pas eu la semaine dernière, c'était exceptionnel. J'avais besoin d'une petite pause avant les deux semaines un peu intenses qui s'annoncent pour moi. Je vous ferai peut-être un vlog d'ailleurs sur ces deux semaines. Je verrai. Je me suis dit que ça pouvait être intéressant. Et du coup, début octobre pour toutes les nouveautés. Passez tous un très bon lundi, une très belle semaine. Bye !

Description

Créer du contenu, ça coûte cher.

Dans cet épisode de rentrée, je te dévoile les coulisses des cahiers de l'été ou comment j'ai publié 31 vidéos en 31 jours.


Je te partage le temps que cela m'a pris, l'argent que ça m'a coûté et toute l'énergie investis… et de ce que ça m’a réellement rapporté. Spoiler : ce n’est pas qu’une question de vues ou de revenus.


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Transcription

  • Speaker #0

    Hello et bienvenue sur le podcast Entrepreneuse sans succès. Je suis Claire, entrepreneuse depuis près de cinq ans et je te partage ici, seule ou avec mes invités, des réflexions autour de l'entrepreneuriat, de la productivité et des outils no-code. Je te partage également avec honnêteté et transparence mon quotidien d'entrepreneuse avec CO&CBA, un journal de bord pour te partager mes réflexions quand j'en ressens le besoin. Alors, si tu veux me rejoindre dans cette discussion, installe-toi, ça va commencer. Hello à tous, j'espère que vous allez bien. Bienvenue dans ce nouvel épisode de podcast. Je suis trop contente de vous retrouver pour cette, finalement on peut le dire, je pense, vu depuis le temps que je n'avais pas enregistré d'épisode, nouvelle saison. Bon, il y aura une nouvelle vignette d'ici peu et peut-être un nouveau nom, je ne sais pas. Je n'ai pas encore réfléchi à tout ça, mais j'avais envie de reprendre et je vous l'avais promis sur YouTube. que je reprendrai par un nouvel épisode le 22 septembre. C'est donc aujourd'hui que je me réengage à faire un épisode de podcast par semaine. Honnêtement, c'est un exercice qui m'a énormément manqué. Et tout comme l'année dernière, j'ai réussi à peu près à tenir une vidéo YouTube par semaine, j'ai vraiment envie de réussir à maintenir ce rythme. Alors, pour ceux qui débarquent, pourquoi je n'arrive pas à tenir ce rythme ? Parce que créer du contenu, ce n'est pas vraiment mon travail. Si je dois faire un petit update sur à quoi ressemblent mes journées et qu'est-ce que je fais aujourd'hui, je crée du contenu, certes, mais en réalité, il faut le dire, c'est plus un kiff qu'autre chose. Également aussi un canal d'acquisition, mais mon vrai job, c'est de faire du no-code. Donc, par quoi ça passe ? Ça passe par, d'une part, créer des solutions pour des clients, parce que ça, je n'ai jamais arrêté. Je fais ça depuis quasiment sept ans et au début, ça ne s'appelait même pas no-code. j'avais même pas vraiment conscience de ce que je faisais. En fait, certains clients me demandaient de faire des petites automatisations sur Zapier ou bien de créer des petites bases de données dans Airtable et c'est que quelques années après quand ça s'est vraiment démocratisé que ça s'est appelé NoCode et que du coup, je suis officiellement devenue freelance en NoCode et à côté de ça, aujourd'hui je forme aussi les personnes qui veulent apprendre les outils NoCode, à monter en compétence sur ces outils, notamment mes outils préférés, du coup, Notion et Make. Donc vraiment, aujourd'hui, mon quotidien, c'est de jongler entre ces différentes activités. Je passe, on va dire, une journée à une journée et demie par semaine sur la partie formation, dont la création de contenu, ce qui n'est vraiment pas énorme, sachant qu'il y a donc un podcast le lundi, une newsletter le mercredi et une vidéo YouTube le vendredi. Mais pourquoi j'y arrive ? Parce que j'ai aussi une équipe sur laquelle m'appuyer pour m'aider sur tout ça. Et à côté... Ah oui, et mes formations, c'est des bootcamps, donc ça me prend du temps aussi. Et à côté, on va dire 3 à 4 jours par semaine, je travaille pour des clients. Et d'ailleurs, non seulement je travaille pour des clients, mais surtout, je délègue des missions à des freelances. En réalité, je fais de moins en moins de missions. C'était un peu une de mes grosses résolutions de ce début d'année. Je voulais garder un seul client historique et sur tous les autres clients, faire uniquement la partie. stratégique, c'est-à-dire la partie audit et la partie formation, parce que c'est mon taf, la formation, c'est ce que j'aime le plus. Mais toute la partie exécution de la roadmap projet, ce n'est plus moi qui l'ai fait pour mon plus grand bonheur, parce qu'au final, ça me permet, moi, de faire ce que j'aime, c'est-à-dire aller à la rencontre de plein de clients, tous aussi différents les uns des autres, de comprendre leur business, de comprendre ce qui bug chez eux, pour réussir à leur proposer des axes d'amélioration, et du coup, après, les mettre en relation avec des freelances exceptionnelles, parce que je le dis, on est un collectif d'élite. genre vraiment les freelancers qui travaillent avec moi sont des personnes qui ont toutes eu une carrière avant de se lancer dans le freelancing en no code et qui ont donc toute une expertise donc genre je vais pouvoir faire appel à des freelancers qui sont experts en finance parce qu'ils étaient dafs pour créer des solutions no code de suivi des chiffres je vais pouvoir faire appel à des freelancers spécialisés en marketing copywriting création de contenu pour créer des espaces Notion pour des agences de com. Et ça, c'est que quelques exemples, mais à chaque fois, et ça, c'est ce que je kiffe vraiment dans mon collectif, et je ne sais même pas comment on pourrait le dire sur le site. Putain, ça fait déjà 5 minutes que j'enregistre, on n'est toujours pas sur le sujet du jour. Mais ce n'est pas grave, j'ai envie de parler là. Et j'avoue, je ne sais même pas comment brander ça, mais je sais que c'est vraiment ce qui nous différencie de tous les autres collectifs, de ceux que je vois en tout cas sur les réseaux, c'est que moi, ce que j'aime avec les différents profils que j'ai regroupé au sein de notre collectif, c'est qu'on a tous une expertise avant de s'être lancé dans le no-code. Et je pense que c'est l'essence même du no-code. Parce que de base, les outils no-code, c'est pas fait pour des gens qui font de la tech. C'est fait pour des gens qui sont experts métiers et qui ont besoin de créer des solutions pour leurs équipes. Des équipes non-tech. Et moi, j'aime trop ce truc de dire à des clients, bah regardez, cette personne que je vais placer sur cette mission, bah oui, elle s'est formée, mais en fait, de base, c'était pas du tout son métier. Donc ça veut dire que tes équipes aussi, elles peuvent le devenir. Et du coup, ça fait d'autant plus sens avec la formation que j'intègre systématiquement à la fin d'émission. Bref, je m'égare, mais vous avez capté, en fait. Créer du contenu, c'est pas... C'est pas ma priorité, même si j'adore ça, c'est ce que j'aime le plus. Non, en vrai, j'adore tout ce que je fais dans mon quotidien en ce moment. Depuis quelques années, j'ai beaucoup de chance. J'ai beaucoup de chance avec tout ce qui m'arrive et je suis très contente de tout ce que je fais dans mon quotidien. Mais créer du contenu, c'est toujours un peu le truc qui passe à la trappe, à mon plus grand désespoir, parce que c'est quand même des choses que j'apprécie le plus. Et malheureusement, j'ai pas toujours le temps. Donc aujourd'hui, on va faire un épisode... sur justement la création de contenu. Parce que pour ceux qui ne le sauraient pas, il y a quelques semaines, quelques mois, durant tout le mois de juillet, j'ai publié une vidéo par jour. Et pas des petites vidéos, genre des vidéos tuto sur le no-code que vous pouvez retrouver sur ma chaîne YouTube Claire No Code. Donc ça fait 31 vidéos à écrire, tourner, filmer. C'est la même chose, Claire. Montées et publiées avec la miniature. Et une des personnes de mon collectif, justement, m'a demandé, mais ça coûte combien ? de créer autant de contenu ? Et j'ai trouvé cette question ultra pertinente. Parce qu'on ne se rend pas compte de à quel point ça coûte de l'argent de créer du contenu. Les gens consomment du contenu comme si on leur devait quelque chose. Vraiment, je le vois sur les plateformes. Moi, les commentaires parfois que je me prends sur YouTube, en mode, non mais ce tutoriel, il n'était pas assez détaillé. Franchement, tu devrais plus faire ci, faire ça, etc. J'attends la vidéo. Mais en fait, tu n'es pas mon boss. Ça donne la sensation qu'on leur doit quelque chose, alors que non, pas du tout, on fait ça totalement gratuitement. Si je parle uniquement des revenus générés par les plateformes, cet été, du coup, avec mes 31 vidéos, j'ai gagné environ 100 euros. Donc, autant vous dire que ça ne couvre pas les frais. Voilà. Donc, déjà, pour moi, le coût investi dans cette création de contenu doit se diviser en deux parties, parce qu'on ne peut pas négliger le temps que j'y ai passé. Donc, on va parler du temps et on va parler de l'argent. Parce que oui, ça coûte de l'argent aussi. Donc, au niveau du temps, on va dire que pour des vidéos quotidiennes comme ça, je passe quand même moins de temps que pour mes vidéos hebdo. Donc, on va dire que c'est deux heures d'écriture, une heure de tournage, quatre heures de montage. Donc, ça fait environ sept heures par vidéo. Donc, si on compte les 31 vidéos, ça fait environ 217 heures de boulot. La réalité, c'est que ça fait à peu près une journée de travail par jour, tout simplement durant les 31 jours de juillet. C'est un marathon le bail. mais En général, et c'est ce que j'ai réussi à faire cette année, je commence en juin pour ne pas avoir justement des journées full création de contenu, tout simplement parce que j'ai des clients. Donc je ne peux pas leur dire genre que pendant un mois entier, je pars, sachant qu'en plus, je prends des vacances en août. Mais par contre, je fais un vrai mi-temps sur juin et juillet. En gros, je commence à faire beaucoup de choses en juin et je fais encore beaucoup de choses en juillet. En vrai, je dis ça, je bosse juste plus. Je ne suis pas vraiment un mi-temps. Je bosse juste plus pour préparer. Donc en gros, en juillet, ça devait me prendre quatre heures par jour. parce qu'en fait je faisais quasiment que le montage. Maintenant, sur la partie coût-argent investi. Alors, moi, j'ai pas choisi de faire monter toutes mes vidéos parce qu'en fait, financièrement, j'aurais pas pu le faire. Enfin, j'aurais pu mais ça aurait coûté beaucoup trop cher. Donc, faut savoir que pour monter une vidéo YouTube, aujourd'hui, c'est environ 350 euros. Alors, je sais qu'il y a des monteurs qui sont moins chers, je sais qu'il y en a qui sont même plus chers. Mais 350 euros, on va dire que c'est un montage assez avancé avec à la fois des animations sonores, des animations visuelles. Et en fait, moi, je n'ai pas envie, parce que c'est des vidéos quotidiennes, de baisser la qualité de montage. Donc pour moi, c'était 350 euros. J'ai l'avantage de savoir monter. Donc en réalité, je n'ai délégué que 4 vidéos durant ces cahiers d'été sur les 31. Ça m'a quand même bien soulagée. Mais je trouve ça quand même trop cher. Compte tenu du temps que j'y passe. En fait, je me dis que... moi, j'y passe 4 heures. Donc en fait, la question, elle est toute simple. Quand t'es entrepreneur, tu réfléchis autant que toi, ça te coûterait. Et du coup, l'argent que ça te coûte de le déléguer. En gros, la question, c'est est-ce qu'en 4 heures, je suis capable de générer plus de 350 euros ? Et la réponse, c'est que moyen, quoi. Parce qu'en fait, en vrai, c'est une demi-journée. 350 fois 2, c'est 700 euros. En gros, c'est le même TGM que je pratique en moyenne. Enfin, en moyenne, maintenant, je suis plutôt entre 750 et 1000, mais je travaille pas tous les jours. Je ne suis pas rémunérée tous les jours par mes clients. Donc, bon, 350 euros par montage, en fait, c'est un peu cher. Alors, la réalité aussi, je pense, c'est que moi, je monte très vite et que j'utilise des templates. Donc, en fait, 4 heures, je suis même très large. Je pense que je passais même un petit peu moins de temps dessus. Et au niveau des miniatures, on est environ sur 50 euros par miniature. Alors, de nouveau, je saurais faire mes miniatures toute seule. mais ce n'est pas mon métier et très clairement, mes miniatures ne sont pas suffisantes. Enfin, moi, je trouve que la miniature, c'est le truc sur lequel il faut investir assez vite parce que vraiment, c'est la seule façon d'amener les gens à cliquer sur ton contenu, tout simplement. Enfin, évidemment, le titre aussi, mais la miniature à ne pas négliger. Donc, les prix ont un peu augmenté après mon mini-amaker que j'avais trouvé sur ComeUp et ultra talentueux, donc aucun souci avec le fait qu'il augmente ses prix. mais c'est vrai qu'entre le moment où il y a 3 ans, c'était il y a 3 ans la première fois que j'ai fait appel à ce service, où la miniature était genre entre 20 et 25 euros, là elle est passée à 50 bon, on a quand même doublé, après il est tellement fort, et maintenant il fait tellement les vignettes de tout le YouTube game, bon, je comprends, et en vrai ces miniatures sont tellement top que je considère que c'est de l'argent bien investi donc en tout, si j'avais tout délégué, sachant que j'ai pas tout délégué en fait ça m'aurait coûté quasiment 13 000 euros, donc évidemment que j'ai préféré que ça me coûte du temps plutôt que de l'argent, sachant que l'été en plus le business et plus calme. Je pense que c'est le cas pour beaucoup de personnes. L'été, mes clients partent en vacances, et donc, bah, les développements sont grave au ralenti, et niveau formation, de la même façon, bah, personne, enfin, rares sont les personnes qui se forment l'été, finalement. Même moi, je prends des vacances, donc, l'été, c'est tellement au ralenti que je préfère investir du temps là-dedans. Donc, au total, ce que ça m'a vraiment coûté, c'est donc, bah, 1500 environ euros de miniatures, et 1400 euros de montage, mais Cette année, ça m'a rapporté de l'argent directement. Pourquoi je dis ça ? Parce que les autres années, en réalité, les cahiers de l'été, c'était full non-sponsor et j'avais aucune offre à mettre en avant. C'était vraiment du contenu gratuit. Ça me permettait de me faire connaître et du coup, durant l'année, j'avais des clients. Mais là, cette année, on a mis en place le bundle de l'été. Donc, c'est quoi ? C'était un pack avec mes formations, uniquement certaines d'entre elles. uniquement les formations MOOC. Le pack était autour de 250 euros, légèrement moins. Et donc en tout, on a gagné environ 14 000 euros grâce à ce pack. Et franchement, on était très contentes de ce chiffre et on a eu de super retours sur nos formations. Et donc ça nous a permis d'avoir exactement 56 nouveaux clients. Et ça, c'est cool parce que c'est potentiellement aussi des nouveaux clients qui rentrent dans mon univers et qui derrière vont potentiellement soit me déléguer la création d'une solution, soit poursuivre leur apprentissage avec un Bootcamp Make et pour la première fois, on a eu des sponsors. Donc on en a eu deux sur les cahiers de l'été. Donc on a eu GoodBarber. Ça faisait très longtemps qu'on préparait ça et j'ai été vraiment honorée de les mettre en avant dans une de mes vidéos. Donc GoodBarber qui est un outil no-code de création d'apps mobiles. Et d'ailleurs si vous allez voir, ce podcast n'est pas sponsor, mais si vous allez sur l'app store ou sur le Play Store, vous tapez Claire no-code et vous avez accès à mon app. Et je suis pas peu fière de ce que j'ai réussi à faire en no-code. Mon app est trop stylée. Désolée, j'assume, mais elle est trop trop stylée. Et deuxième sponsor que j'apprécie tout autant et avec lequel je vais retravailler très vite, c'est Softair, logiciel de création d'apps no code, plutôt des apps internes. J'ai été vraiment trop contente que ces deux outils me suivent sur la création de ces cahiers de l'été. Depuis les cahiers de l'été, j'ai eu l'occasion d'également travailler avec Make. Donc vous n'êtes pas sans savoir à quel point Make est un outil que j'apprécie vraiment. énormément. C'est vraiment l'outil que j'utilise le plus et que j'implémente le plus chez mes clients avec Notion. Et Notion, bah... On essaye de négocier, mais toujours pas de sponsor à l'horizon, pas du tout. Il semblerait que ce ne soit pas possible avant d'avoir 50 000 abonnés, chose que je n'ai pas et ce qui me fait en même temps beaucoup rire parce que je connais des créateurs qui n'ont pas 50 000 abonnés et qui sont sponsorisés. Donc bon, écoutez, je préférerais qu'ils assument le fait qu'ils n'ont pas besoin d'autres influenceurs français plutôt que de me balancer une règle qui ne semble... pas respectée pour tout le monde. Mais voilà, sachez que Notion ne sponsorise pas mes contenus et je pense que ce n'est pas prêt d'arriver. En tout cas, pour l'instant, on est toujours sur un refus catégorique et ce n'est pas faute de les harceler et de leur proposer depuis le tout début. Je pense que ça fait 7 ans parce qu'avant, j'avais une autre chaîne YouTube sur laquelle je parlais de Notion, mais pour les étudiants, je les avais déjà sollicités, on m'avait déjà dit non. Bref, j'avoue, j'ai un peu le seum. Je n'ai pas mytho. Quand tu parles autant d'un outil, t'aimerais bien à un moment que la marque te suive. C'est pas le cas, mais bon, c'est pas grave. Tout ça pour dire qu'en tout cet été, offre du bundle plus les sponsors, j'ai gagné 16 000 euros. Donc je suis très contente de ce résultat parce qu'avec du coup 3 000 euros investis, ça fait 16 000 euros de revenus. Donc on va dire 13 000 euros en tout. C'est un super mois. C'est vraiment très bien. Mais à ne pas négliger les 217 heures de boulot, je rappelle. Mais voilà, c'est un très bon résultat et surtout, je pense que c'est rentable avec des gros guillemets, surtout pour mon acquisition long terme. En fait, pour moi, l'enjeu, il n'est vraiment pas court terme. La preuve, les deux premières années, quand j'ai créé les cahiers de l'été, ça n'a jamais été rentable. Je perdais de l'argent chaque année. C'est la première année que j'arrive à générer du revenu de cette opération. En fait, pour moi, créer les cahiers de l'été, ça fait partie de mon ADN, ça fait partie de mon image de marque. En fait, d'une certaine façon, ça envoie le message à mes clients. que je suis fiable, parce que je suis capable, quand je me fixe un objectif, de l'atteindre. C'est un peu comme être capable de faire un marathon, tu vois. Pour moi, ça montre ta rigueur, ça montre ta discipline et ça rassure les clients. Donc c'est une des raisons pourquoi j'apprécie cet exercice et dans les faits, j'apprécie ce côté challenge. J'apprécie le fait que ce soit pas facile, néanmoins atteignable, parce que quand tu termines, franchement, t'es trop fière de toi. Et vraiment, quand j'ai publié la dernière vidéo, mais j'avoue, j'étais tellement contente, j'étais en mode, ok, ça y est, c'est fait. troisième année de suite que j'arrive à faire du contenu pendant un mois d'ailleurs d'habitude il n'y avait pas de vidéo le week-end donc il n'y avait que 4 fois 5 donc 20 vidéos cette année on en a sorti encore plus puisqu'on est passé à 31 donc vraiment je ne suis pas peu fière de ce qu'on a réussi à faire et même autour de la DA, autour de tout ce qu'on vous a proposé la seule chose qui a manqué pour moi c'est parce que je n'ai pas réussi à recruter une personne pour cette partie là à temps mais l'année prochaine je n'y manquerai pas C'est la partie LinkedIn, Instagram. En fait, j'avais prévu de faire des contenus quotidiens, comme je faisais d'habitude, pour mettre en avant mes vidéos. Mais d'habitude, j'avais Léna qui a travaillé avec moi pendant de nombreuses années, qui gérait cette partie, toute la partie design, etc. Aujourd'hui, je n'ai plus Léna, parce que Léna a monté sa boîte, et c'est incroyable tout ce qu'elle fait, elle est trop forte. Bref, ça se passe très bien pour elle, mais elle ne fait plus du tout de design. Et en vrai... elle a bien eu raison de faire ce qui lui plaît et on est encore très copines mais du coup je n'ai plus personne pour faire mon design et je crois que j'avais besoin d'un temps où je faisais mon deuil parce que là du coup je viens de recruter une petite pépite, enfin recruter, pareil en freelance parce que de toute façon j'ai pas besoin d'un temps plein mais c'est donc la designeuse qui a créé toute la DA autour des cahiers de l'idée et qui est en train de faire une petite mise à jour refonte de la DA Claire No Code en prévision d'une grosse nouveauté en fait bon j'ai pas envie de tout balancer dès maintenant. Mais il est fort probable qu'autour du 1er octobre sorte une toute nouvelle version de Claire No Code et de tout l'univers Claire No Code. Parce que parmi les grosses décisions de la fin de l'été que j'ai prises, il y avait l'ambition de revoir... tous les services que je propose, toutes les offres que je propose, toujours évidemment avec ce même objectif de vous apprendre à no-coder et à vous proposer de créer vos solutions. Mais on est arrivé à un point où je pense, il y a certaines de mes formations, ça fait longtemps qu'elles sont là. Ma réflexion sur la meilleure façon de transmettre ces connaissances a énormément évolué. Et aujourd'hui, je ne crois plus aux longues formations 100% MOOC. Je vois bien que mon produit phare, qui est le bootcamp, est la meilleure façon d'atteindre cet objectif. Merci. C'est pourquoi, je peux l'annoncer dès maintenant, parce que vous aurez toutes les infos dès mercredi dans la newsletter, on va se séparer d'une grosse partie des formations MOOC proposées sur Claire NoCode. On va vous proposer de les acheter à un tarif ultra préférentiel pendant quelques temps avant qu'elles disparaissent définitivement de notre catalogue, pour vous proposer des expériences plus réelles, sans vous en dire plus. Mais je pense que c'est vraiment la meilleure façon de transmettre du savoir et que... Il n'y a pas de secret. Si tu veux progresser, il faut pratiquer. Et je pense... que pratiquer en groupe est encore plus puissant que pratiquer seule face à ton ordinateur. Et donc, c'est pour ça que l'expérience Bootcamp, pour moi, est un succès et j'ai vraiment envie que mes formations aillent dans ce sens, qui est totalement à l'opposé de ce que font la majorité des créateurs de contenu. En fait, il n'y en a à peu près rien à faire. Je pense qu'on ne peut pas faire de généralité concernant la pédagogie, l'éducation. et que selon les compétences que tu acquiers, tu n'as pas besoin forcément des mêmes expériences pédagogiques. Et me concernant, comme je transmets des compétences techniques, je suis vraiment convaincue que le format MOOC a ses limites. Voilà, bon bref, je parlerai d'expérience de pédagogie, tout ça, dans la newsletter de mercredi. D'ailleurs, si tu n'es pas encore abonné à la newsletter, n'hésite pas à le faire. Tu trouveras toutes les infos dans la barre de description de ce podcast. Donc, en conclusion, ces cahiers de l'été, c'était certes du contenu gratuit, mais c'était surtout un investissement. pas une dépense. C'est pour moi la solution de faire de l'acquisition sur le long terme. L'objectif n'était pas d'avoir un ROI immédiat, c'est la première année que je l'ai et franchement j'en suis trop fière mais dans les faits c'était pas l'objectif premier. Genre même si je l'avais pas atteint je m'en serais pas voulue et je me serais dit c'est pas grave en fait. Il y a eu tellement de nouvelles personnes qui ont rejoint la newsletter, qui ont consommé mes contenus et qui donc ont démarré cet apprentissage du no-code que pour moi c'est déjà un succès. Pour moi, encore une fois, à chaque fois que je fais les cahiers de l'été, j'ai l'impression de redécouvrir le montage vidéo, j'ai l'impression de continuer à progresser, et ça a été un vrai kiff. Vous me direz un peu ce que vous pensez du montage des dernières vidéos, puisque c'est moi qui les monte en ce moment, tout simplement parce que j'ai repris plaisir à le faire, et je ne sais pas encore si je vais redéléguer ça. C'est un point d'interrogation que j'ai en ce moment. Je pense que j'ai besoin d'être sur le montage en termes de volume, parce qu'entre les formations et les vidéos YouTube, quoi qu'il arrive, je n'ai pas assez de... de temps, mais je ne suis pas certaine que j'ai envie de tout déléguer comme je le faisais. En fait, je crois que je me rends compte que le montage c'est quelque chose qui me fait tellement plaisir et il y a un côté artistique et créatif que je retrouve qui fait que j'ai envie, je pense, d'en garder une partie pour moi. Donc voilà, pour l'instant, il n'y a pas de décision arrêtée, donc je serais curieuse d'avoir vos retours sur les derniers montages. Les podcasts, à part celui-là, parce que je suis grave à la bourre, c'est maintenant Marine qui les monte. Big up Marine, parce qu'elle a pris le montage des podcasts en main. hyper rapidement. Et que, moi, je trouve qu'ils sont top. Et ça me permet vraiment de me dégager du temps pour faire d'autres choses. Et puis, elles, de toute façon, elles les écoutent parce qu'elles les kiffent. Donc, autant dire que c'est dedans, dedans. Donc, voilà, je vais vous laisser. On se retrouve donc dès mercredi pour la newsletter d'annonce de tous les changements qui arriveront en octobre. On se retrouve... vendredi dans une nouvelle vidéo YouTube. Il n'y en a pas eu la semaine dernière, c'était exceptionnel. J'avais besoin d'une petite pause avant les deux semaines un peu intenses qui s'annoncent pour moi. Je vous ferai peut-être un vlog d'ailleurs sur ces deux semaines. Je verrai. Je me suis dit que ça pouvait être intéressant. Et du coup, début octobre pour toutes les nouveautés. Passez tous un très bon lundi, une très belle semaine. Bye !

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