Transcription

• Speaker #0

  La première chose qui m'inspire à vivre de la manière de Jésus, c'est de reconnaître que je suis un pécheur. Et c'est incroyable l'insistance de Jean-Eude sur ce point dans ses écrits. Dans cette conscience, on travaille à marcher en sainteté, vivant, la parole de Dieu. Avec ces deux points, nous pouvons tous être d'accord. Nous sommes des pécheurs et c'est pour cela que nous travaillons pour marcher en sainteté, en accomplissant la parole de Dieu. Nous devons tenir compte que la sainteté n'est pas un objectif. Un jour, je serai saint. Non. C'est un processus, un chemin comme baptisé et consacré, avec un baptême qui est le même pour tous, et une consécration selon les états de vie. L'exercice des attitudes chrétiennes vient de l'identité intérieure que donne le fait de laisser Jésus se former, vivre et régner en nous. Ardent missionnaire du ciel, je n'évangélise pas les gens. Je conduis les invités de Dieu. Il était écouté comme un ange envoyé du ciel. Il remplissait les églises et son éloquence, sa voix et ses gestes attiraient tout le monde. Les grandes conversions qu'il a obtenues, surtout celles des cavaliers de Gotha en 1648, la conversion qu'a fait en 1660, la reine Anna d'Autriche et le roi lui-même, pour qu'ils assurent de l'aide aux démunis et entrent dans le chemin du salut. en servant l'Église et la réponse de la Reine. C'est la vraie science de la prédication. Ceux qui nous adultent certainement nous mettent à l'échéance. Dieu honore le renom et l'autorité de sa prédication avec des miracles, comme celui de Bologne en 1643, quand la tempête s'est arrêtée et que tous ont été stupéfaits. Ils ont écouté sa prédication. Pendant sa prédication sur la Vierge Marie, Le 2 juillet 1673, la présence divine s'est manifestée par un terrible et bruyant rayon dans le temple. Tous sont tombés à ses pieds et ont invoqué la miséricorde de Dieu. Un autre fait admirable est son dévouement à la fondation de Notre-Dame de la Charité en 1641 pour le secourir et sauver des prostituées. Sa préoccupation pour la vie spirituelle des laïcs avec la fondation de la Société du Christ. cœur de la mère de Dieu. C'était théologique, spirituel et pastoral. Sa grande dévotion aux agréables cœurs de Jésus et de Marie ont fait que l'Église l'a déclaré le père, le docteur et l'apôtre de la dévotion aux agréables cœurs. Le culte aux agréables cœurs a réussi. L'honneur implacable des gens sénistes lui a attiré tant d'affliction qu'il a supporté par l'amour de Dieu et le salut de l'âme. Contraint à de longs et inlassables travaux et très malade, il a laissé son poste de supérieur. Il s'est mis au pied du nouveau supérieur général, il lui a demandé sa bénédiction et s'est rendu comme le dernier frère et membre de la congrégation. Il est mort comme il a vécu. Il a mis en pratique ce qu'il a écrit pour se préparer à la mort. Après avoir reçu d'un confrère la communion et l'onction des malades, il a expiré en invoquant les noms de Jésus. et de Marie le 19 août 1680. Pour beaucoup de personnes qui ne le connaissaient pas, sa mort était celle d'un saint qui, en vie, savait donner la gloire à Dieu. Et je termine avec ces données que l'Église a ajoutées sur lui. Il a été admirable et admiré dans son travail doctrinal, pastoral et liturgique. Seul un missionnaire saint et audacieux pouvait faire trois fondations pour que, dans l'Église, nous ayons toujours de bons pasteurs, que nous sauvions les femmes vulnérables, que nous encouragions la vie spirituelle des laïcs. De son vivant, le 28 avril 1648, les évêques français le présentent au pape Pie X. Le père Eudes est puissant en parole et en actes. Il s'est distingué par sa science, sa piété, sa prudence, sa modestie, sa gentillesse. Son zèle apostolique et son grand respect pour l'Assemblée apostolique et pour tous les prélats et pasteurs de l'Église.