Speaker #0Hello, hello, hello, hello ! Bon, ça y est, me revoici après ces quelques jours de breakdown qui étaient hyper intéressants, puis après c'était le week-end donc j'ai pas fait de vocal. J'avais envie de te partager un petit peu toutes les réflexions que j'ai eues, qui sont venues à moi, et finalement, où est-ce que j'ai envie de me diriger, et je pense que ça fait complètement sens avec ce qui est en train de se passer de manière plus globale. au niveau énergétique fréquentiel de la planète. D'ailleurs, pourquoi j'emploie plutôt le mot fréquence que énergie ? Parce que l'énergie, je trouve aujourd'hui qu'on emploie beaucoup ce mot pour plein de choses différentes. Et c'est vrai que quand je parle de communication énergétique, par exemple, j'imagine qu'on peut imaginer que je vais faire un soin énergétique à la personne en même temps que ce qui peut l'être. Mais en réalité, on a vraiment associé l'énergie à l'énergie, au soin énergétique. J'ai envie de parler de fréquence parce que ça englobe quelque chose d'encore plus global et c'est histoire de parler à ceux qui ne sont pas restés juste dans cette pensée que énergie énergétique égale son énergétique mais tellement plus égale la vie en fait. Et justement ça fait sens par rapport à ça. Notamment on a eu une amie qui est venue ce week-end à la maison, en tout cas samedi soir, et on a eu de super beaux échanges ensemble où on parlait du nouveau paradigme. En fait on parlait que tous les trois, on est tous les trois donc entrepreneurs, Yannick, moi forcément, et elle aussi. Et on parlait finalement de cet inconfort qui est en train de se passer. On va parler de nous, on va parler de ceux qu'on ne connaît pas. Mais en fait, dans cet entre-deux de paradigme. Parce qu'en fait, le nouveau monde est déjà là. Je pense qu'il est déjà là depuis longtemps, mais il faisait moins de bruit. Et de plus en plus, il fait du bruit. Et quand je parle de bruit, je parle de sensations, je parle de comme des besoins viscéraux, viscérales. Je ne sais pas si on l'accorde à ce moment-là. de rentrer à la maison, de revenir chez soi, de revenir en soi, de revenir à ce qu'on croit de nous. Et on parlait donc de cet inconfort entre cet ancien monde, cet ancien paradigme et ce nouveau paradigme, et finalement comment faire face à tout ce qui se joue à ce moment-là. Et moi typiquement, comme je lui partageais, pour moi ces deux jours de break ont été vraiment un sentiment de faire pause sur tout ce qui était autour de moi, pour recalibrer ce qui est juste et ce qui n'est pas juste. où est-ce que je me positionne peut-être comme une victime, où est-ce que je me positionne comme une persécutrice, etc. Et d'ailleurs, clairement, par rapport au monde du def perso, à tout ça, j'avais beaucoup une posture de victime. Je ne dis pas que je ne l'ai pas encore, mais en tout cas, ce qui est sûr, c'est que j'ai pris conscience de plein d'endroits très subtils où je me mettais en posture de victime, de « mais c'est trop dur, je me sens différente, je n'arrive pas, etc. » Et donc, ces deux jours ont été là pour vraiment me regarder en face dans l'inconfort que ça nécessite. et c'est... Par rapport à ça que je parlais de la différence de prendre sa responsabilité versus ne pas... Qui veut, en fait, c'est même pas versus, c'est prendre sa responsabilité qui veut dire parfois ressentir de la culpabilité. Parce que c'est pas évident de se dire en tant que femme consciente qui œuvre chaque jour dans son bien-être, dans son développement personnel, dans sa conscience de soi, de se rendre compte qu'elle est victime, qu'elle se laisse être une victime dans plein d'autres endroits. C'est pas agréable, ça fait chier. À ce moment-là, tu te dis mais putain, merde en fait. Et d'ailleurs, il y a eu beaucoup de colère qui est revenue ces quelques jours. Mais en fait, elle est là, donc je l'accueille. Et le premier jour, j'en ai discuté avec Yannick, ça s'est très bien passé, ça m'a aidé, etc. Le deuxième jour, j'en ai parlé, j'ai vu qu'il a fermé en fait. Il m'a ramené à des trucs très terre-à-terre qui ne me parlaient pas. Et je me suis dit, ok, de toute façon, en soi, à ce moment-là, on a échangé parce qu'il m'a proposé, mais je n'ai pas besoin de trouver une solution, je n'ai pas besoin d'être aidée, j'ai juste besoin de me laisser traverser par tout ça. Et par rapport à ce nouveau paradigme, une des questions... que je leur ai posé aux deux et que je me pose maintenant et que je te propose de te poser, c'est finalement si tu étais convaincu que toutes les personnes autour de toi sont déjà dans ce nouveau paradigme fréquentiel. Qu'est-ce que tu ferais de différent ? Qu'est-ce que tu dirais de différent ? Qu'est-ce que tu croirais peut-être de différent ? Parce que typiquement, cette notion de chiffre d'affaires, de attirer les gens par des résultats extérieurs, dont je parlais dans un vocal précédent, je ne sais plus si c'était le dernier ou l'avant-dernier, En fait, je me suis rendu compte que ce qui ne fonctionnait pas pour moi, c'était parce que moi, je m'adresse à des personnes qui sont dans le nouveau paradigme ou qui désirent profondément y être. Et quand on est dans le nouveau paradigme, ce n'est pas parce qu'une personne fait tant de chiffres d'affaires ou a tant d'expertise sur un sujet ou a tant de diplômes sur un sujet qu'on la choisit. C'est parce qu'on sent que c'est elle à ce moment-là. C'est parce qu'on sent que c'est elle à ce moment-là parce que potentiellement elle, elle a fait le taf d'écouter aussi son intuition et son corps au bon endroit au bon moment et qu'elle a parfaitement les bonnes connaissances, les bons inputs, les bonnes expériences à me partager qui vont faire tilt pour moi à ce moment-là. Et là, on rentre. dans le champ des synchronicités, dans le champ supersonique de la vie, j'ai envie de dire. Et c'est pour ça qu'en fait, moi, ça ne me parle pas. D'ailleurs, toutes les fois où je suis allée vers un entrepreneur, une entrepreneur, pour ses résultats extérieurs, j'ai été déçue. J'ai toujours appris, j'apprends toujours. Et même quand je pense que je n'apprends pas, je sais que j'apprends, il s'agit juste de choisir et de le voir. Et moi, c'est ça ma conviction, c'est que quoi qu'il advienne dans ma vie, j'apprends. Et donc, par rapport à ces chiffres extérieurs, c'est là que je me suis rendu compte, ok, moi il y a quelque chose qui est très complexe pour moi depuis le début de l'entrepreneuriat c'est de mettre en avant ces chiffres mettre en avant les résultats des clients, les témoignages clients mon chiffre d'affaires, mes résultats ça me parle pas, et c'est un peu comme la vente il y a quelques mois, j'avais l'impression que c'était ça qui est demandé et qu'il fallait faire il fallait, quand je parle de la vente la vente c'était en gros vendre avant même d'avoir créé ton offre mais moi je ne pouvais pas, et pourtant je me suis forcée à le faire, et donc là c'est la même chose en fait. C'est ce truc de... Écoute, depuis le début, Anne, tu sens que c'est pas juste pour toi. Puis c'est comme si dans ces deux jours-là, j'ai mis la compréhension de pourquoi c'est pas juste pour moi. Parce que moi j'ai pas envie d'accompagner des personnes qui sont encore dans l'ancien paradigme à passer dans le nouveau paradigme. Moi je veux des personnes qui font le taf de leur côté pour passer dans le nouveau et qui ont juste envie de quelqu'un, qui leur montre que c'est possible, qui leur ouvre leur perspective, mais qui les convainquent pas, je sais pas si cette phrase se dit, mais en fait j'ai pas envie d'être là pour te convaincre que le nouveau paradigme existe. que le nouveau paradigme est digne, que le nouveau paradigme est intéressant. C'est comme si je devais te convaincre que la conscience de soi, c'est génial. Moi, je n'ai pas envie d'avoir ce rôle-là. Et il y a plein de gens sur cette terre qui aiment ça. Mais moi, déjà, ce n'est pas du tout dans mes convictions. Et en plus de ça, quand j'ai exploré mon human design il y a un, deux ou trois ans, je ne sais plus, j'ai bien découvert que moi, je ne parle pas à des gens à convaincre, je parle à des gens convaincus. Et donc forcément, moi, je ne suis pas le genre de femme qui va te parler des résultats extérieurs. Je suis le genre de femme qui va te ramener à toi, à ce que tu ressens au moment où tu choisis de suivre cet accompagnement, à ce que tu ressens dans ton corps. Et la deuxième réflexion que j'avais, c'est en lien avec le système nerveux, et je pense que je te ferai un vocal peut-être plus long ces prochains jours, ou pas, on verra, ou dans la journée. Mais une des choses aussi que j'ai bien compris ce week-end, c'est à quel point finalement, le nouveau paradigme... nous demande bien sûr de réguler notre système nerveux, mais dans les deux sens. Qu'est-ce que j'appelle les deux sens ? Moi, j'ai beaucoup appris à réguler mon système nerveux de manière top to bottom. Top, j'appelle ça la tête, le mental, bottom, le corps. Donc en gros, j'ai appris à réguler mon système nerveux de la manière suivante. Je vis une situation stressante, angoissante, qui me fait peur, qui me met en colère. Ok, j'ai des outils pour revenir à mon centre. Si on parle de système nerveux, on va parler... du parasympathique et du sympathique. En gros, l'idée, c'est finalement l'axe dans lequel on va se sentir détendu, etc. C'est quand on est dans le ventral, ok ? Et puis après, finalement, quand on va être dans nos démotivités fortes, dans nos blessures, ça va être quand on va être en mode figement, en mode dorsal, etc. Et en fait, sans rentrer forcément dans les détails, là maintenant, ce que je voulais amener, c'était juste ce truc que... Moi j'ai appris à revenir en ventrale en finalement utilisant des outils. La loi de l'équilibre, en me questionnant sur les bénéfices d'une situation, bien sûr en laissant passer l'émotion, mais en mentalisant beaucoup le concept pour finalement revenir en ventrale. Et ça fonctionne. C'est-à-dire que je suis quelqu'un qui a la capacité à revenir de manière plus ou moins longue dans son ventrale grâce à tous mes outils, grâce à toute mon expertise qui me fait revenir dans le ventral. Le ventral, moi je l'appellerais, encore une fois, je ne suis pas une scientifique, mais je l'appellerais l'instant présent. Je l'appellerais la présence, le fait d'être. Et en fait, ce que je vois qui m'est demandé de vraiment plus développer, et en fait c'est quelque chose que je faisais naturellement, mais maintenant que j'en ai la conscience, j'ai vraiment envie de plus le développer, c'est la régulation bottom to top. En gros, corps à mental. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire... que quand une situation se présente, aujourd'hui j'ai besoin de faire mes outils pour revenir à mon centre. Demain, si finalement mon bottom to top est bien régulé, j'aurai même pas besoin en soi de faire mes exercices parce que mon corps naturellement se régulera tout seul. Mais en fait, quand on est comme moi, comme toi, comme beaucoup j'imagine, t'es peut-être pas dans ce cas-là, mais il y a quand même beaucoup, beaucoup de femmes, entrepreneurs, conscientes, sensibles, créatives, qui viennent de ce monde-là, on a... évolué dans une jeunesse où finalement on était beaucoup dans le figement, beaucoup dans l'hypervigilance, dans l'hypercontrôle. Et cette hypervigilance-là, hypercontrôle, était nécessaire. à ce qu'on pensait être notre survie à ce moment-là, par rapport à ce qu'on a vécu, les traumas, etc. Mais c'est devenu aussi comme un frein à la capacité d'autorégulation de notre corps, puisque finalement, il a désappris à faire ça parce qu'on était toujours en train de le contrôler et de le mettre en vigilance. Et la vigilance, ce n'est pas du tout le ventral. D'ailleurs, petite précision, quand je parle de régulation du système nerveux, ça ne veut pas dire être toujours en ventral. La régulation, c'est être capable de revenir en ventral. Donc ça, c'était pour le système nerveux et que je trouve qui est vraiment hyper aussi important. C'est vraiment de revenir dans toutes ces pratiques. Et là, on revient aussi encore aux fréquentiels, c'est-à-dire qu'une régulation du système nerveux par le corps, ça veut dire des mouvements intuitifs, ça veut dire des vibrations par la voix, ça veut dire la musique, ça veut dire chanter, ça veut dire bouger, ça veut dire danser, ça veut dire faire des pratiques somatiques, quelles qu'elles soient. Et ça, moi, c'est tout ce que j'amène depuis un moment dans mes accompagnements. Mais c'est comme si, encore une fois... Je ne savais pas pourquoi je le faisais, mais je le faisais. Et c'est comme si maintenant, je comprends encore davantage tout ce que j'ai comme outil, tout ce que j'ai comme expérience, tout ce que j'ai comme conviction depuis toujours. Et c'est pour ça que je disais dans l'un de mes vocals que ce genre de situation de down, de doute, de remise en question, etc. Aujourd'hui... Je vois à quel point j'ai solidifié mes fondations, puisque je ne doute plus de mon métier, je ne doute plus de ma vision, je ne doute plus de ce pourquoi je suis là. Et en plus, ça m'a encore plus amené de conviction dans ce que j'ai à faire ici. Par contre, est-ce que tout ça veut dire que c'est facile que je me lève chaque matin de manière alignée en ventrale ? Non. Encore une fois, le jeu n'est pas d'être tout le temps en ventrale, le jeu est de savoir y revenir. Et typiquement ce matin, j'ai fait mes... mes pratiques, etc. Et ce que je suis en train de mettre en place en ce moment, c'est de pas commencer à travailler avant 11h. C'est-à-dire qu'avant 11h, c'est mon réveil, c'est mon temps de def perso, de conscience de soi, de lecture, du pilates, aller marcher, du yoga, du somatique, de l'écriture, de ce que j'ai envie en fait. Et à partir de 11h, je m'ouvre au monde. Et typiquement, là, à 11h, je sentais encore, voilà, je sens qu'il y a... Il y a plein d'énergie, mes lunes arrivent, donc je sais aussi qu'il y a d'autres choses qui se passent. Mon chat, il est très sensible à ce que je ressens, etc. Donc il est très agité aussi ce matin, etc. C'est un peu inconfortable. Je pense que mon chéri le ressent, etc. Et du coup, je me suis dit, ok, c'est quoi finalement le truc qui me fait le plus de bien ? C'est de partager ce que j'apprends. C'est de partager ce qui, je sais, peut faire un réel impact dans la vie des autres. Alors par quoi je commence ma journée ? Par ce vocal. Parce que je sais qu'il peut changer le reste de ma journée et qu'il va changer le reste de la tienne.