Ce que l’année révèle de nous… et ce que la suivante nous appelle à transformer cover
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Radio Monaco - Feel Good

Ce que l’année révèle de nous… et ce que la suivante nous appelle à transformer

Ce que l’année révèle de nous… et ce que la suivante nous appelle à transformer

03min |19/12/2025|

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À l’approche de la fin d’année, le réflexe est souvent le même : faire le bilan. Ce qui a marché, ce qui a échoué, ce que l’on aurait aimé changer. Pourtant, au-delà des résultats visibles, une année raconte autre chose. Elle agit comme un miroir symbolique, un espace où se rejouent parfois des schémas plus anciens que nous.

Une année n’est jamais une simple suite de jours. Elle devient un théâtre où certaines situations reviennent avec insistance : épuisement récurrent, conflits familiaux, difficultés financières, ruptures répétées, sentiment de lutte permanente ou manque de reconnaissance. On parle alors de malchance ou de fatalité. En réalité, ces répétitions peuvent signaler une mémoire non résolue, transmise, silencieuse, qui cherche à être reconnue.


Ce que l’on ne comprend pas, ce que l’on n’a pas pu exprimer ou honorer, finit par se manifester dans les faits. La vie n’insiste pas pour punir, mais pour révéler. Derrière un blocage apparent se cachent parfois une peur héritée, une loyauté invisible, un rôle familial, un deuil ancien ou une promesse faite bien avant nous.


Pour éclairer ces répétitions, trois questions peuvent transformer un bilan de fin d’année :


– Ce que je vis s’est-il déjà produit dans mon histoire familiale ?
– Qui, avant moi, n’a pas pu vivre ce que j’essaie d’accomplir aujourd’hui ?
– Est-ce que j’avance avec ma propre énergie ou en opposition à mon héritage ?


Voir, c’est déjà alléger. Ensuite vient le temps du symbolique. Nommer, honorer, puis poser un acte simple de clôture permet à l’inconscient de comprendre qu’un cycle peut se terminer. Écrire, rendre ce qui ne nous appartient pas, formuler une intention, puis laisser partir ce support par un geste concret.

La fin d’année n’est pas une fin, mais une passation. Un rite intérieur. Se libérer, ce n’est pas oublier le passé : c’est lui offrir une place juste pour pouvoir, enfin, marcher vers sa propre histoire.




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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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À l’approche de la fin d’année, le réflexe est souvent le même : faire le bilan. Ce qui a marché, ce qui a échoué, ce que l’on aurait aimé changer. Pourtant, au-delà des résultats visibles, une année raconte autre chose. Elle agit comme un miroir symbolique, un espace où se rejouent parfois des schémas plus anciens que nous.

Une année n’est jamais une simple suite de jours. Elle devient un théâtre où certaines situations reviennent avec insistance : épuisement récurrent, conflits familiaux, difficultés financières, ruptures répétées, sentiment de lutte permanente ou manque de reconnaissance. On parle alors de malchance ou de fatalité. En réalité, ces répétitions peuvent signaler une mémoire non résolue, transmise, silencieuse, qui cherche à être reconnue.


Ce que l’on ne comprend pas, ce que l’on n’a pas pu exprimer ou honorer, finit par se manifester dans les faits. La vie n’insiste pas pour punir, mais pour révéler. Derrière un blocage apparent se cachent parfois une peur héritée, une loyauté invisible, un rôle familial, un deuil ancien ou une promesse faite bien avant nous.


Pour éclairer ces répétitions, trois questions peuvent transformer un bilan de fin d’année :


– Ce que je vis s’est-il déjà produit dans mon histoire familiale ?
– Qui, avant moi, n’a pas pu vivre ce que j’essaie d’accomplir aujourd’hui ?
– Est-ce que j’avance avec ma propre énergie ou en opposition à mon héritage ?


Voir, c’est déjà alléger. Ensuite vient le temps du symbolique. Nommer, honorer, puis poser un acte simple de clôture permet à l’inconscient de comprendre qu’un cycle peut se terminer. Écrire, rendre ce qui ne nous appartient pas, formuler une intention, puis laisser partir ce support par un geste concret.

La fin d’année n’est pas une fin, mais une passation. Un rite intérieur. Se libérer, ce n’est pas oublier le passé : c’est lui offrir une place juste pour pouvoir, enfin, marcher vers sa propre histoire.




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Une année n’est jamais une simple suite de jours. Elle devient un théâtre où certaines situations reviennent avec insistance : épuisement récurrent, conflits familiaux, difficultés financières, ruptures répétées, sentiment de lutte permanente ou manque de reconnaissance. On parle alors de malchance ou de fatalité. En réalité, ces répétitions peuvent signaler une mémoire non résolue, transmise, silencieuse, qui cherche à être reconnue.


Ce que l’on ne comprend pas, ce que l’on n’a pas pu exprimer ou honorer, finit par se manifester dans les faits. La vie n’insiste pas pour punir, mais pour révéler. Derrière un blocage apparent se cachent parfois une peur héritée, une loyauté invisible, un rôle familial, un deuil ancien ou une promesse faite bien avant nous.


Pour éclairer ces répétitions, trois questions peuvent transformer un bilan de fin d’année :


– Ce que je vis s’est-il déjà produit dans mon histoire familiale ?
– Qui, avant moi, n’a pas pu vivre ce que j’essaie d’accomplir aujourd’hui ?
– Est-ce que j’avance avec ma propre énergie ou en opposition à mon héritage ?


Voir, c’est déjà alléger. Ensuite vient le temps du symbolique. Nommer, honorer, puis poser un acte simple de clôture permet à l’inconscient de comprendre qu’un cycle peut se terminer. Écrire, rendre ce qui ne nous appartient pas, formuler une intention, puis laisser partir ce support par un geste concret.

La fin d’année n’est pas une fin, mais une passation. Un rite intérieur. Se libérer, ce n’est pas oublier le passé : c’est lui offrir une place juste pour pouvoir, enfin, marcher vers sa propre histoire.




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Une année n’est jamais une simple suite de jours. Elle devient un théâtre où certaines situations reviennent avec insistance : épuisement récurrent, conflits familiaux, difficultés financières, ruptures répétées, sentiment de lutte permanente ou manque de reconnaissance. On parle alors de malchance ou de fatalité. En réalité, ces répétitions peuvent signaler une mémoire non résolue, transmise, silencieuse, qui cherche à être reconnue.


Ce que l’on ne comprend pas, ce que l’on n’a pas pu exprimer ou honorer, finit par se manifester dans les faits. La vie n’insiste pas pour punir, mais pour révéler. Derrière un blocage apparent se cachent parfois une peur héritée, une loyauté invisible, un rôle familial, un deuil ancien ou une promesse faite bien avant nous.


Pour éclairer ces répétitions, trois questions peuvent transformer un bilan de fin d’année :


– Ce que je vis s’est-il déjà produit dans mon histoire familiale ?
– Qui, avant moi, n’a pas pu vivre ce que j’essaie d’accomplir aujourd’hui ?
– Est-ce que j’avance avec ma propre énergie ou en opposition à mon héritage ?


Voir, c’est déjà alléger. Ensuite vient le temps du symbolique. Nommer, honorer, puis poser un acte simple de clôture permet à l’inconscient de comprendre qu’un cycle peut se terminer. Écrire, rendre ce qui ne nous appartient pas, formuler une intention, puis laisser partir ce support par un geste concret.

La fin d’année n’est pas une fin, mais une passation. Un rite intérieur. Se libérer, ce n’est pas oublier le passé : c’est lui offrir une place juste pour pouvoir, enfin, marcher vers sa propre histoire.




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