Et si vous ne disiez plus  : " Ce n'est pas grave" ? cover
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Radio Monaco - Feel Good

Et si vous ne disiez plus : " Ce n'est pas grave" ?

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02min |04/12/2020|

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Comme chaque vendredi, vous retrouvez les conseils de Lynda Pausé, coach en développement personnel sur la Côte d'Azur.


Aujourd'hui, elle revient sur une phrase très connue : le fameux "Ce n'est pas grave".


Il faudrait vraiment prendre ses distances avec cette expression qui n'aide absolument pas à aller mieux. 


Cela est valable pour un adulte ou un enfant qui souffre et a besoin d'écoute. Le "Ce n'est pas grave" révèle finalement un certain mépris pour les émotions d'autrui, en nous conditionnant à minimiser un ressenti ou à l'enfouir profondément. 


C'est d'ailleurs très bien expliqué par les neurosciences. 

Le fait de verbaliser une émotion comme la colère ou la tristesse permet de diminuer son intensité. La verbalisation permet au cortex préfrontral de réguler l'amygdale, le point principal du cerveau émotionnel.


Une étape essentielle notamment pour les enfants puisque leur cortex préfrontal n’est pas encore mature. Ils ont donc besoin d’être accompagnés afin de les guider vers la verbalisation.


Alors comment faire ?  Quels mots utiliser quand un enfant a besoin de votre aide ? 


Lynda Pausé vous donne des éléments de réponse pour mieux accueillir l'expression émotionnelle d'autrui. 



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Comme chaque vendredi, vous retrouvez les conseils de Lynda Pausé, coach en développement personnel sur la Côte d'Azur.


Aujourd'hui, elle revient sur une phrase très connue : le fameux "Ce n'est pas grave".


Il faudrait vraiment prendre ses distances avec cette expression qui n'aide absolument pas à aller mieux. 


Cela est valable pour un adulte ou un enfant qui souffre et a besoin d'écoute. Le "Ce n'est pas grave" révèle finalement un certain mépris pour les émotions d'autrui, en nous conditionnant à minimiser un ressenti ou à l'enfouir profondément. 


C'est d'ailleurs très bien expliqué par les neurosciences. 

Le fait de verbaliser une émotion comme la colère ou la tristesse permet de diminuer son intensité. La verbalisation permet au cortex préfrontral de réguler l'amygdale, le point principal du cerveau émotionnel.


Une étape essentielle notamment pour les enfants puisque leur cortex préfrontal n’est pas encore mature. Ils ont donc besoin d’être accompagnés afin de les guider vers la verbalisation.


Alors comment faire ?  Quels mots utiliser quand un enfant a besoin de votre aide ? 


Lynda Pausé vous donne des éléments de réponse pour mieux accueillir l'expression émotionnelle d'autrui. 



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Aujourd'hui, elle revient sur une phrase très connue : le fameux "Ce n'est pas grave".


Il faudrait vraiment prendre ses distances avec cette expression qui n'aide absolument pas à aller mieux. 


Cela est valable pour un adulte ou un enfant qui souffre et a besoin d'écoute. Le "Ce n'est pas grave" révèle finalement un certain mépris pour les émotions d'autrui, en nous conditionnant à minimiser un ressenti ou à l'enfouir profondément. 


C'est d'ailleurs très bien expliqué par les neurosciences. 

Le fait de verbaliser une émotion comme la colère ou la tristesse permet de diminuer son intensité. La verbalisation permet au cortex préfrontral de réguler l'amygdale, le point principal du cerveau émotionnel.


Une étape essentielle notamment pour les enfants puisque leur cortex préfrontal n’est pas encore mature. Ils ont donc besoin d’être accompagnés afin de les guider vers la verbalisation.


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Aujourd'hui, elle revient sur une phrase très connue : le fameux "Ce n'est pas grave".


Il faudrait vraiment prendre ses distances avec cette expression qui n'aide absolument pas à aller mieux. 


Cela est valable pour un adulte ou un enfant qui souffre et a besoin d'écoute. Le "Ce n'est pas grave" révèle finalement un certain mépris pour les émotions d'autrui, en nous conditionnant à minimiser un ressenti ou à l'enfouir profondément. 


C'est d'ailleurs très bien expliqué par les neurosciences. 

Le fait de verbaliser une émotion comme la colère ou la tristesse permet de diminuer son intensité. La verbalisation permet au cortex préfrontral de réguler l'amygdale, le point principal du cerveau émotionnel.


Une étape essentielle notamment pour les enfants puisque leur cortex préfrontal n’est pas encore mature. Ils ont donc besoin d’être accompagnés afin de les guider vers la verbalisation.


Alors comment faire ?  Quels mots utiliser quand un enfant a besoin de votre aide ? 


Lynda Pausé vous donne des éléments de réponse pour mieux accueillir l'expression émotionnelle d'autrui. 



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