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Radio Monaco - Feel Good

Pleurer, un superpouvoir pour la santé

Pleurer, un superpouvoir pour la santé

04min |05/09/2025|

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Description

On croit souvent que pleurer, c’est un signe de faiblesse. En réalité, c’est un mécanisme naturel de régulation du corps et de l’esprit. Les larmes sont bien plus qu’une réaction émotionnelle : elles participent à notre équilibre intérieur.


Les bienfaits physiologiques des larmes

Pleurer active le nerf vague, ce qui ralentit le rythme cardiaque, détend les muscles et ramène le corps en mode repos. Après une crise de larmes, on respire mieux, on se sent plus léger, parfois même apaisé.

Sur le plan biologique, les larmes émotionnelles contiennent du cortisol, l’hormone du stress. Pleurer, c’est donc éliminer une partie de ce trop-plein. En parallèle, le corps libère des endorphines (anti-douleur naturels) et de l’ocytocine, l’hormone du réconfort. C’est ce mélange qui explique la sensation paradoxale de fatigue et de soulagement après avoir pleuré.

Contrairement à une idée reçue, les larmes s’arrêtent d’elles-mêmes une fois la charge émotionnelle évacuée. Le vrai risque est plutôt de les retenir, car bloquer ses pleurs revient à bloquer la digestion émotionnelle. À long terme, cela peut entraîner insomnies, migraines ou tensions chroniques.


Retrouver l’intelligence émotionnelle de l’enfant

Les enfants pleurent spontanément : c’est leur langage premier, à la fois pour demander de l’aide et réguler leurs émotions. Cinq minutes après une chute, ils pleurent, puis repartent jouer. Leur système nerveux sait naturellement se rééquilibrer grâce aux larmes.

À l’inverse, lorsqu’on leur dit “Arrête de pleurer”, on les prive de ce mécanisme d’auto-guérison. Devenus adultes, beaucoup continuent à enfouir leurs larmes, au détriment de leur santé émotionnelle. Pleurer, c’est donc se reconnecter à cette intelligence intérieure, à cet enfant en nous qui sait libérer ses tensions et guérir.


Comment s’autoriser à pleurer ?

Créer un espace sécurisant, écouter une musique émotive, respirer profondément ou écrire en même temps peut aider à laisser couler les larmes. Les signes que vous en retenez trop ? Maux de tête récurrents, gorge serrée, fatigue chronique ou irritabilité inexpliquée.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

On croit souvent que pleurer, c’est un signe de faiblesse. En réalité, c’est un mécanisme naturel de régulation du corps et de l’esprit. Les larmes sont bien plus qu’une réaction émotionnelle : elles participent à notre équilibre intérieur.


Les bienfaits physiologiques des larmes

Pleurer active le nerf vague, ce qui ralentit le rythme cardiaque, détend les muscles et ramène le corps en mode repos. Après une crise de larmes, on respire mieux, on se sent plus léger, parfois même apaisé.

Sur le plan biologique, les larmes émotionnelles contiennent du cortisol, l’hormone du stress. Pleurer, c’est donc éliminer une partie de ce trop-plein. En parallèle, le corps libère des endorphines (anti-douleur naturels) et de l’ocytocine, l’hormone du réconfort. C’est ce mélange qui explique la sensation paradoxale de fatigue et de soulagement après avoir pleuré.

Contrairement à une idée reçue, les larmes s’arrêtent d’elles-mêmes une fois la charge émotionnelle évacuée. Le vrai risque est plutôt de les retenir, car bloquer ses pleurs revient à bloquer la digestion émotionnelle. À long terme, cela peut entraîner insomnies, migraines ou tensions chroniques.


Retrouver l’intelligence émotionnelle de l’enfant

Les enfants pleurent spontanément : c’est leur langage premier, à la fois pour demander de l’aide et réguler leurs émotions. Cinq minutes après une chute, ils pleurent, puis repartent jouer. Leur système nerveux sait naturellement se rééquilibrer grâce aux larmes.

À l’inverse, lorsqu’on leur dit “Arrête de pleurer”, on les prive de ce mécanisme d’auto-guérison. Devenus adultes, beaucoup continuent à enfouir leurs larmes, au détriment de leur santé émotionnelle. Pleurer, c’est donc se reconnecter à cette intelligence intérieure, à cet enfant en nous qui sait libérer ses tensions et guérir.


Comment s’autoriser à pleurer ?

Créer un espace sécurisant, écouter une musique émotive, respirer profondément ou écrire en même temps peut aider à laisser couler les larmes. Les signes que vous en retenez trop ? Maux de tête récurrents, gorge serrée, fatigue chronique ou irritabilité inexpliquée.


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Les bienfaits physiologiques des larmes

Pleurer active le nerf vague, ce qui ralentit le rythme cardiaque, détend les muscles et ramène le corps en mode repos. Après une crise de larmes, on respire mieux, on se sent plus léger, parfois même apaisé.

Sur le plan biologique, les larmes émotionnelles contiennent du cortisol, l’hormone du stress. Pleurer, c’est donc éliminer une partie de ce trop-plein. En parallèle, le corps libère des endorphines (anti-douleur naturels) et de l’ocytocine, l’hormone du réconfort. C’est ce mélange qui explique la sensation paradoxale de fatigue et de soulagement après avoir pleuré.

Contrairement à une idée reçue, les larmes s’arrêtent d’elles-mêmes une fois la charge émotionnelle évacuée. Le vrai risque est plutôt de les retenir, car bloquer ses pleurs revient à bloquer la digestion émotionnelle. À long terme, cela peut entraîner insomnies, migraines ou tensions chroniques.


Retrouver l’intelligence émotionnelle de l’enfant

Les enfants pleurent spontanément : c’est leur langage premier, à la fois pour demander de l’aide et réguler leurs émotions. Cinq minutes après une chute, ils pleurent, puis repartent jouer. Leur système nerveux sait naturellement se rééquilibrer grâce aux larmes.

À l’inverse, lorsqu’on leur dit “Arrête de pleurer”, on les prive de ce mécanisme d’auto-guérison. Devenus adultes, beaucoup continuent à enfouir leurs larmes, au détriment de leur santé émotionnelle. Pleurer, c’est donc se reconnecter à cette intelligence intérieure, à cet enfant en nous qui sait libérer ses tensions et guérir.


Comment s’autoriser à pleurer ?

Créer un espace sécurisant, écouter une musique émotive, respirer profondément ou écrire en même temps peut aider à laisser couler les larmes. Les signes que vous en retenez trop ? Maux de tête récurrents, gorge serrée, fatigue chronique ou irritabilité inexpliquée.


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On croit souvent que pleurer, c’est un signe de faiblesse. En réalité, c’est un mécanisme naturel de régulation du corps et de l’esprit. Les larmes sont bien plus qu’une réaction émotionnelle : elles participent à notre équilibre intérieur.


Les bienfaits physiologiques des larmes

Pleurer active le nerf vague, ce qui ralentit le rythme cardiaque, détend les muscles et ramène le corps en mode repos. Après une crise de larmes, on respire mieux, on se sent plus léger, parfois même apaisé.

Sur le plan biologique, les larmes émotionnelles contiennent du cortisol, l’hormone du stress. Pleurer, c’est donc éliminer une partie de ce trop-plein. En parallèle, le corps libère des endorphines (anti-douleur naturels) et de l’ocytocine, l’hormone du réconfort. C’est ce mélange qui explique la sensation paradoxale de fatigue et de soulagement après avoir pleuré.

Contrairement à une idée reçue, les larmes s’arrêtent d’elles-mêmes une fois la charge émotionnelle évacuée. Le vrai risque est plutôt de les retenir, car bloquer ses pleurs revient à bloquer la digestion émotionnelle. À long terme, cela peut entraîner insomnies, migraines ou tensions chroniques.


Retrouver l’intelligence émotionnelle de l’enfant

Les enfants pleurent spontanément : c’est leur langage premier, à la fois pour demander de l’aide et réguler leurs émotions. Cinq minutes après une chute, ils pleurent, puis repartent jouer. Leur système nerveux sait naturellement se rééquilibrer grâce aux larmes.

À l’inverse, lorsqu’on leur dit “Arrête de pleurer”, on les prive de ce mécanisme d’auto-guérison. Devenus adultes, beaucoup continuent à enfouir leurs larmes, au détriment de leur santé émotionnelle. Pleurer, c’est donc se reconnecter à cette intelligence intérieure, à cet enfant en nous qui sait libérer ses tensions et guérir.


Comment s’autoriser à pleurer ?

Créer un espace sécurisant, écouter une musique émotive, respirer profondément ou écrire en même temps peut aider à laisser couler les larmes. Les signes que vous en retenez trop ? Maux de tête récurrents, gorge serrée, fatigue chronique ou irritabilité inexpliquée.


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