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Souffrez-vous d'éco-anxiété ?

Souffrez-vous d'éco-anxiété ?

03min |24/01/2022|

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Description

Cap sur l'éco-anxiété aujourd'hui avec Florent Favier, conseiller en transition environnemental. C'est l'angoisse liée à la prise de conscience des menaces qui pèsent sur l'environnement, et donc sur l'humanité. Certains peuvent ressentir de l'éco-anxiété et d'autres pas du tout.


Pourquoi certains sont plus concernés par l'éco-anxiété?

Beaucoup ressentent de l'angoisse à cause du climat, de la pollution ou encore de la biodiversité. Ces informations transitent partout. MAis même si nous avons accès aux mêmes infos, certains ne sont pas touchés parce qu'ils sont dans le déni. Un phénomène bien connu en psychologie qui consiste à ne pas voir l’ampleur du problème voire à nier son existence. L'abattement peut aussi apparaitre. D'ailleurs,
ce sont deux états qu’on retrouve dans le deuil. D'abord, nous refusons la réalité, puis son acceptation nous plonge dans un état d’apathie qui nous paralyse. Nous affrontons alors un vide qui nous effraie et contre lequel rien ne parait utile. C'est le même processus dans l'éco-anxiété.


L'éco-anxiété : une phase transitoire ?

Dans la plupart des cas, c'est une phase transitoire. Notre cerveau a deux options. La première : la fuite. C'est le cas quand il considère que le problème est trop grave ou important pour être résolu à notre échelle individuelle.
La seconde : l'affrontement. Certains citoyens auront alors besoin d'agir pour contrer leur angoisse.
Là, chacun a des stratégies variables. Nous pouvons réaliser de petites actions quotidiennes comme modifier ses modes de consommation pour agir. Nous pouvons aussi changer notre rapport à la mobilité, en prenant moins notre voiture ou en prêtant attention à notre consommation d'énergie.
Certains iront jusqu'à changer de lieu de vie pour se rapprocher de la nature. D'autres auront besoin de trouver un emploi plus en accord avec leurs valeurs.


* Selon une étude menée auprès de 10 000 sondés dans 10 pays différents, 75% des jeunes de 16 à 25 ans jugent l'avenir effrayant.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Cap sur l'éco-anxiété aujourd'hui avec Florent Favier, conseiller en transition environnemental. C'est l'angoisse liée à la prise de conscience des menaces qui pèsent sur l'environnement, et donc sur l'humanité. Certains peuvent ressentir de l'éco-anxiété et d'autres pas du tout.


Pourquoi certains sont plus concernés par l'éco-anxiété?

Beaucoup ressentent de l'angoisse à cause du climat, de la pollution ou encore de la biodiversité. Ces informations transitent partout. MAis même si nous avons accès aux mêmes infos, certains ne sont pas touchés parce qu'ils sont dans le déni. Un phénomène bien connu en psychologie qui consiste à ne pas voir l’ampleur du problème voire à nier son existence. L'abattement peut aussi apparaitre. D'ailleurs,
ce sont deux états qu’on retrouve dans le deuil. D'abord, nous refusons la réalité, puis son acceptation nous plonge dans un état d’apathie qui nous paralyse. Nous affrontons alors un vide qui nous effraie et contre lequel rien ne parait utile. C'est le même processus dans l'éco-anxiété.


L'éco-anxiété : une phase transitoire ?

Dans la plupart des cas, c'est une phase transitoire. Notre cerveau a deux options. La première : la fuite. C'est le cas quand il considère que le problème est trop grave ou important pour être résolu à notre échelle individuelle.
La seconde : l'affrontement. Certains citoyens auront alors besoin d'agir pour contrer leur angoisse.
Là, chacun a des stratégies variables. Nous pouvons réaliser de petites actions quotidiennes comme modifier ses modes de consommation pour agir. Nous pouvons aussi changer notre rapport à la mobilité, en prenant moins notre voiture ou en prêtant attention à notre consommation d'énergie.
Certains iront jusqu'à changer de lieu de vie pour se rapprocher de la nature. D'autres auront besoin de trouver un emploi plus en accord avec leurs valeurs.


* Selon une étude menée auprès de 10 000 sondés dans 10 pays différents, 75% des jeunes de 16 à 25 ans jugent l'avenir effrayant.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Cap sur l'éco-anxiété aujourd'hui avec Florent Favier, conseiller en transition environnemental. C'est l'angoisse liée à la prise de conscience des menaces qui pèsent sur l'environnement, et donc sur l'humanité. Certains peuvent ressentir de l'éco-anxiété et d'autres pas du tout.


Pourquoi certains sont plus concernés par l'éco-anxiété?

Beaucoup ressentent de l'angoisse à cause du climat, de la pollution ou encore de la biodiversité. Ces informations transitent partout. MAis même si nous avons accès aux mêmes infos, certains ne sont pas touchés parce qu'ils sont dans le déni. Un phénomène bien connu en psychologie qui consiste à ne pas voir l’ampleur du problème voire à nier son existence. L'abattement peut aussi apparaitre. D'ailleurs,
ce sont deux états qu’on retrouve dans le deuil. D'abord, nous refusons la réalité, puis son acceptation nous plonge dans un état d’apathie qui nous paralyse. Nous affrontons alors un vide qui nous effraie et contre lequel rien ne parait utile. C'est le même processus dans l'éco-anxiété.


L'éco-anxiété : une phase transitoire ?

Dans la plupart des cas, c'est une phase transitoire. Notre cerveau a deux options. La première : la fuite. C'est le cas quand il considère que le problème est trop grave ou important pour être résolu à notre échelle individuelle.
La seconde : l'affrontement. Certains citoyens auront alors besoin d'agir pour contrer leur angoisse.
Là, chacun a des stratégies variables. Nous pouvons réaliser de petites actions quotidiennes comme modifier ses modes de consommation pour agir. Nous pouvons aussi changer notre rapport à la mobilité, en prenant moins notre voiture ou en prêtant attention à notre consommation d'énergie.
Certains iront jusqu'à changer de lieu de vie pour se rapprocher de la nature. D'autres auront besoin de trouver un emploi plus en accord avec leurs valeurs.


* Selon une étude menée auprès de 10 000 sondés dans 10 pays différents, 75% des jeunes de 16 à 25 ans jugent l'avenir effrayant.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Cap sur l'éco-anxiété aujourd'hui avec Florent Favier, conseiller en transition environnemental. C'est l'angoisse liée à la prise de conscience des menaces qui pèsent sur l'environnement, et donc sur l'humanité. Certains peuvent ressentir de l'éco-anxiété et d'autres pas du tout.


Pourquoi certains sont plus concernés par l'éco-anxiété?

Beaucoup ressentent de l'angoisse à cause du climat, de la pollution ou encore de la biodiversité. Ces informations transitent partout. MAis même si nous avons accès aux mêmes infos, certains ne sont pas touchés parce qu'ils sont dans le déni. Un phénomène bien connu en psychologie qui consiste à ne pas voir l’ampleur du problème voire à nier son existence. L'abattement peut aussi apparaitre. D'ailleurs,
ce sont deux états qu’on retrouve dans le deuil. D'abord, nous refusons la réalité, puis son acceptation nous plonge dans un état d’apathie qui nous paralyse. Nous affrontons alors un vide qui nous effraie et contre lequel rien ne parait utile. C'est le même processus dans l'éco-anxiété.


L'éco-anxiété : une phase transitoire ?

Dans la plupart des cas, c'est une phase transitoire. Notre cerveau a deux options. La première : la fuite. C'est le cas quand il considère que le problème est trop grave ou important pour être résolu à notre échelle individuelle.
La seconde : l'affrontement. Certains citoyens auront alors besoin d'agir pour contrer leur angoisse.
Là, chacun a des stratégies variables. Nous pouvons réaliser de petites actions quotidiennes comme modifier ses modes de consommation pour agir. Nous pouvons aussi changer notre rapport à la mobilité, en prenant moins notre voiture ou en prêtant attention à notre consommation d'énergie.
Certains iront jusqu'à changer de lieu de vie pour se rapprocher de la nature. D'autres auront besoin de trouver un emploi plus en accord avec leurs valeurs.


* Selon une étude menée auprès de 10 000 sondés dans 10 pays différents, 75% des jeunes de 16 à 25 ans jugent l'avenir effrayant.


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