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Episode 75 - La météo des émotions, avec Claudia Anatella cover
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Feng Shui Flow

Episode 75 - La météo des émotions, avec Claudia Anatella

Episode 75 - La météo des émotions, avec Claudia Anatella

15min |14/10/2024
Play
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Episode 75 - La météo des émotions, avec Claudia Anatella

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15min |14/10/2024
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Description

Dans l'épisode de podcast d'aujourd'hui, j'ai eu le plaisir d'accueillir Claudia Anatella.

Claudia est coach lifestyle et bien-être, elle aide également les entrepreneures comme moi à développer leur entreprise.


"Tu es le ciel, pas la météo". C'est cette phrase et tout ce qu'elle signifiait qui m'a donné envie de suivre Claudia et de profiter de son accompagnement.


Elle aide ses clientes à prendre conscience de leur bien-être inné, à traverser les hauts et les bas de la vie avec plus de grâce. Claudia met l'accent sur le mindset et le subconscient. Nous pouvons reprogrammer nos pensées et nos croyances pour soutenir notre croissance. Comment apprivoiser ce mental qui nous identifie à nos émotions ? Vous le saurez en écoutant cet épisode !


Pour retrouver Claudia et découvrir son accompagnement et son école de coaching, c'est ici : https://claudiaanatella.com/


Enjoy ! 😉

————

📚 Mon livre

https://amzn.to/3to6e4a


🌈 Mon accompagnement signature :

Ma Maison Haute Vibration

https://www.fengshui-expert.fr/ma-maison-haute-vibration


🖥️ Mes formations et masterclass :

https://fengshui-expert.fr/formations/


🛜 Restons connectés !

WEBSITE : https://fengshui-expert.fr

INSTAGRAM : https://www.instagram.com/audaladeco/

FACEBOOK : https://www.facebook.com/audaladeco/


©Musique : Aspire by Scott Holmes Music


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur Feng Shui Flow, le podcast qui met du Feng Shui dans ta vie. Je suis Aude Charreau, experte Feng Shui et auteure du livre Harmonie chez soi, vitalité en soi. Grâce à mes accompagnements, individuels ou collectifs, je vous aide à élever les vibrations de votre maison pour que vous puissiez vivre la vie de vos rêves. Santé, amour, abondance et joie grâce à votre lieu de vie. Dans ce podcast. On parle de Feng Shui bien sûr, et aussi de développement personnel, de spiritualité, d'énergie éthique, de lecture inspirante. Je suis parfois seule, parfois accompagnée, car j'ai le plaisir d'avoir de temps en temps des invités. Chaque lundi, recevez votre dose de belles énergies. Bonjour à tous, je suis ravie de vous retrouver pour ce nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui, j'ai le plaisir d'avoir une invitée. Je ne suis pas toute seule et j'ai invité donc Claudia. Bonjour, Claudia.

  • Speaker #1

    Hello, bonjour.

  • Speaker #0

    Alors, pour ceux qui ne te connaissent pas, nous, on se connaît un petit peu. Est-ce que tu peux te présenter en quelques mots, s'il te plaît ?

  • Speaker #1

    Oui, avec plaisir. Je suis Claudia Nattella. Vous allez entendre un accent parce que je suis italienne. Ça fait... C'est désormais six ans que je travaille comme coach en France. Je suis coach pour les entrepreneurs bien-être, formatrice et je suis aussi coach de vie. Et si on va expliquer un peu ce que je fais, c'est aider les personnes à retrouver cette paix intérieure qui est toujours en nous, toujours là. Et donc, c'est désidentifier de ce mental, de toute cette illusion et ces pensées qui sont toujours là dans notre esprit. Voilà, retrouver un peu la liberté au-delà de l'esprit. Et donc, j'ai forme aussi. des personnes pour devenir coach avec ma méthode et je coache les entrepreneurs de bien-être aussi pour qu'ils puissent créer une entreprise prospère et trouver de la paix en le faisant.

  • Speaker #0

    Merci, Claudia. Moi, je t'ai découverte l'année dernière, en fait. Ça va faire à peu près un an suite à une masterclass. Et j'ai beaucoup aimé ton énergie. Tu sais, mon tant qu'expert, je suis forcément l'énergie, ça me parle. Et tu as dit quelque chose qui ensuite m'a décidé justement à rentrer dans ton programme de coaching, à me faire coacher par toi. Tu as dit que vous n'êtes pas la météo, vous êtes le ciel. Donc sur le moment, tu vois, j'ai trouvé ça très puissant. Et peut-être que ça parle à certaines personnes et peut-être que d'autres se demandent un petit peu ce que ça veut dire. Et voilà, j'aimerais que tu nous expliques ce concept qui finalement... est à la base de beaucoup de ton enseignement et la base un peu de ton coaching, en fait.

  • Speaker #1

    Oui, tout à fait. C'est un peu une métaphore, une analogie que j'utilise souvent, effectivement, pour expliquer. C'est un concept énorme, mais j'aimerais que quand vous écoutez ces mots, pour ceux qui sont en train de nous écouter, écoutez-les avec une partie de vous autre que le mental. Donc, le mental sera là pour essayer d'analyser, d'interpréter. intellectualiser ce que je vais dire, essayez de l'écouter avec une autre partie de vous. Et donc, nous, toute notre vie, on est identifiés à cette voix qui est en nous. Donc, nos pensées, nos émotions passent constamment dans notre esprit. Et il semble tellement vrai, n'est-ce pas ? Donc, une pensée arrive, je suis nulle, je ne vais pas arriver aujourd'hui, je suis moche, je déteste mon partenaire aujourd'hui. Et ce qu'on fait, c'est qu'on croit vraiment cette pensée et on va réagir à cette pensée. Alors dans cette métaphore, ce qu'on est en train de dire, c'est que cette pensée-là, ces pensées, ces émotions qui sont constamment en train de se faire en nous comme un programme en fait, sont juste la météo, sont juste l'esprit qui fait son travail, qui est celui d'essayer de sécuriser l'identité, donc de nous protéger, de nous sauvegarder, de nous défendre de ce qui pourrait être un danger, mais qui en réalité nous, le vrai nous. Ce n'est pas cette météo-là, ce n'est pas la pluie, donc une émotion de tristesse, ce n'est pas la tempête, donc une émotion de colère, ce n'est pas le soleil non plus, donc cette excitation. Qui on est vraiment est le ciel, toujours calme derrière. Et donc, je peux juste vous pointer dans cette direction pour que vous puissiez comprendre un peu qui est le vrai nous. Et c'est ça notre plus grande quête de notre existence, qui on est vraiment, n'est-ce pas ? Mais on est la partie... qui peut observer cette météo se faire à nous. Donc, on n'est pas nos pensées, nos émotions, on est la conscience qui observe ça se faire. On est la partie toujours calme, toujours en paix, toujours en présence derrière. Voilà, donc c'est un peu ça le résumé. On n'est pas la météo, on est le ciel.

  • Speaker #0

    Tu sais quoi, ça me fait penser, quand j'entends dire ça, ça me fait penser quand on commence à méditer, quand on apprend un petit peu à méditer. Donc, il y en a, ils disent, il faut penser à rien, etc. Donc, comme c'est hyper dur de penser à rien, tu dis, je suis nulle, je pense toujours à des trucs et tout. Et en fait, une personne m'avait dit, non, non, en fait, ce qu'il faut, c'est essayer de se focaliser sur le silence entre deux pensées. Et justement, tu vois, il faut essayer de faire en sorte que ce silence soit de plus en plus long finalement. Mais même s'il y a des pensées qui arrivent, il ne faut pas se flageller pour autant, ce n'est pas que tu es nulle, c'est en fait, tu as vu un peu le nombre de pensées qu'on a à la minute ou même à la seconde quoi. Et je trouve que j'aime bien faire, ça m'a fait penser à ça en fait, quand tu parlais de ça, parce qu'il y a comme un peu quand on médite, une espèce de pause. savoir aussi prendre une pause pour observer en fait et tu sais,

  • Speaker #1

    c'est super que tu utilises cet exemple là parce que tu vois quand il y a cette pensée qui vient et qui dit je suis nulle, je n'y arrive pas ça c'est encore une pensée mais on ne l'identifie pas n'est-ce pas ? je dois faire la vaisselle, oh mon dieu j'ai oublié de faire le linge ah qu'est-ce que je fais demain oh mais je suis nulle, je n'y arrive pas et cette deuxième pensée qui critique du coup l'expérience le mental c'est ça À ce moment-là, on est identifié tellement à cette deuxième voie critique qu'on a perdu de vue ça aussi sur le mental. Et juste le voir, juste voir, ah, mais ça aussi c'était encore une pensée, mais ça aussi c'était encore le mental qui critiquait le mental. Et, ah ok, je peux lâcher. C'est juste cette nouvelle perspective de dire, ah, c'était juste encore mon esprit, il n'y a rien à faire là-dedans. On n'a pas besoin... de le changer, de l'arrêter, d'utiliser une pensée positive à la place, des affirmations positives, forcément. Juste voir, voir. J'étais en train de penser. J'avais des pensées à nouveau. Et quand on voit ça, quelque chose, tout de suite, c'est calme, ça s'apaise. Parce qu'on revient à cet état derrière, de présence, ah oui, c'était juste mon esprit. Et je n'ai pas besoin de le contrôler, je n'ai pas besoin de le changer, je n'ai pas besoin... Parce que la partie de nous qui voudra le changer, ça serait encore le mental.

  • Speaker #0

    C'est ça, c'est ça. Et en fait, ce que je trouve très puissant dans ce truc-là, c'est que ça a l'air simple quand tu le dis, mais il y a une profonde résistance. Et tu l'as bien vu, en fait, une pensée en chasse une autre, le mental se bat avec lui-même, presque. Et donc, finalement, on a une grosse, grosse résistance. Et je trouve que, notamment, c'est une des richesses de ton accompagnement, si tu peux me permettre de le dire, c'est que tu nous aides, justement. même nous quand on te raconte les trucs, on ne voit pas que c'est encore notre mental qui se pointe et tu as cette capacité de dire attends, stop, écoute-toi parler, fais une réponse ressors de la situation observe et qu'est-ce que tu vois oui parce que comme tu le dis on a tellement de résistance le mental résiste,

  • Speaker #1

    le mental crée une expérience et puis il met un jugement dessus sur l'expérience et puis on juge le jugement... Et puis, il y a une résistance à ressentir l'émotion parce que c'est dont notre esprit a le plus peur, c'est justement de ressentir une émotion. Pour lui, c'est non, non, non, surtout pas. Donc, forcément, il y a plein de résistances qui se mettent en place pour nous éviter ça. Et oui, on ne les voit pas. On ne les voit pas parce qu'à ce moment-là, le système de protection est tellement fort, on est tellement identifié à ça, que de coup, on croit que ça, c'est le vrai nous qui parle. On ne voit plus que c'était encore un jeu de l'esprit. Et donc imagine, effectivement, enlever une couche, et puis une autre, et puis une autre, et puis une autre. Et quand on enlève toutes ces couches-là, ces murs qui s'étaient érigés pour essayer de nous protéger, il y a quelque chose qu'on trouve là derrière. C'est, ah, je sens que là ça s'apaise, ah, je sens que là ça se calme, je sens que là je peux revenir à cet état naturel qui est en moi toujours, ce ciel, donc cette paix.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Et tu sais, quand on dit pareil, encore une fois, en méditation, on dit si tu vois un nuage passer, tu l'observes, tu le laisses passer. Et en fait, parce qu'au final, voilà, ce que tu veux, c'est le ciel bleu sans les nuages, en fait. Et je trouve qu'on trouve dans cette méthodologie d'observation de soi, le même calme, le même silence, tu vois, que quand on médite, par exemple, ou quand on se relaxe.

  • Speaker #1

    Oui, c'est pour ça que je dis souvent, vous n'avez pas forcément besoin de méditer. Parce que quand vous commencez à utiliser ce paradigme que j'enseigne, c'est comme si vous étiez tout le temps en méditation. C'est, ah oui, là je me rends compte que c'était encore en pensée. Ou là j'étais partie pendant 10-20 minutes dans Dreamland, dans les rêves de mon esprit. Et là je reviens, je vois que c'était toute une idée que mon esprit avait créée. Donc c'est un peu comme... vivre en conscience, vivre en conscience de qui on est vraiment. Et parfois, oui, parfois on le perd de vue, et puis on le revoit, et puis quelqu'un nous pointe dans cette direction, donc la coach, etc. Et on regagne vision sur qui on était vraiment. Mais la vie change, change complètement quand on commence à la vivre comme ça. C'est vraiment beaucoup moins de souffrance, beaucoup moins de souffrance.

  • Speaker #0

    Et oui, parce que comme on dit, dans le moment présent, il n'y a plus de problème, en fait, dans le présent. Le passé n'existe plus, le futur n'existe pas, tout va bien. En vrai, tout va bien.

  • Speaker #1

    Exactement, exactement.

  • Speaker #0

    Est-ce que tu pourrais nous donner, alors je ne sais pas, peut-être un exercice pratique ou un conseil, parce que justement, ça semble simple, mais ça n'est pas tant que ça, je peux en parler, connaissance de cause. Est-ce que tu as un truc ou peut-être un exercice pratique à donner à nos auditeurs ? pour les aider à faire un petit peu ce travail, au moins à commencer à mettre un petit peu le doigt dessus.

  • Speaker #1

    Oui totalement. Alors, si on considère que nos émotions, finalement, qu'on prend pour vrai tous les jours, tous les jours on a une émotion et on dit Pourquoi je suis triste ? Pourquoi je suis en colère ? Je ne devrais pas. Nous, l'exercice qu'on veut faire ici, c'est considérer que les émotions sont comme cette alarme dans la voiture, non ? C'est ce truc qui s'allume et qui te dit, attention, il y a un truc à faire. Et là, cette alarme nous dit, donc l'émotion arrive et nous dit, tu identifies tes pensées. La seule chose que les émotions veulent nous montrer, c'est là où on est dans l'illusion. Là où on est dans le mental. Donc, commencez à pratiquer ça, justement. La prochaine fois que vous ressentez une émotion, commencez par des choses petites qui ne vous déclenchent pas trop. Donc, on parle par exemple des... Ce monsieur qui vous coupe la roue quand vous allez au supermarché. Voilà, quelque chose qui ne fait pas trop. Peut-être ne prenez pas votre partenaire qui peut-être vous déclenche votre travail. Prenez quelque chose d'un peu plus léger. Et vous voyez là, ça m'a mis en colère, ce mec qui me coupe la roue là. Ah, ça c'est le truc dans la voiture qui s'est allumé pour me dire, tu identifies un discours, tu identifies à ton mental. Donc, qui est cette partie en moi qui est en colère ? qui est peut-être récent de la justice, qui est peut-être récent du manque de respect. Ok, c'était encore mon esprit qui pensait qu'il devait défendre cette identité, moi, qui existe dans le monde avec cette identité. Ok, ok, je vois. Et juste le fait de voir ça, vous verrez, c'est énorme. Quand vous voyez que c'était juste l'esprit qui faisait ce pour quoi il est désigné, c'est juste le cerveau, juste l'activité psychologique, qu'il n'y a rien de vrai. Rien de personnel, rien d'important à chercher là-dedans, juste une pensée, juste le cerveau qui fait, c'est pourquoi elle est désignée à faire. Du coup, on lâche. Ah ok, c'était juste le cerveau. On vit l'émotion, ou bien évidemment on la ressent, on veut la ressentir, mais sans le discours autour, sans ah les gens sont méchants, les gens sont pas… ça c'est le discours autour, juste dans la sensation dans le corps. Ah, un feu, une colère, ok. Ah, ok, c'était juste l'esprit. Et ça, ça va juste vous faire descendre. Sans avoir l'objectif non plus. N'ayez pas l'objectif, ah, je dois absolument réussir à sortir du mental. Parce que c'est encore le mental qui se fait faire. C'est encore lui qui vous piège. Donc, juste pratiquez ça. Remarquez que vos émotions sont le signal de la voiture pour vous dire que vous êtes identifié en narration, vous êtes identifié en discours.

  • Speaker #0

    C'est un super... C'est un super conseil et effectivement, je pense qu'on n'en manque pas dans notre journée. Des situations où on peut effectivement se dire, tiens, qui parle ? Merci infiniment, Claudia, pour cet échange. Bien sûr, comme d'habitude, dans la description de l'épisode de podcast et de la vidéo YouTube, puisqu'on aura aussi la chance de pouvoir visionner cet épisode. Je mettrai les coordonnées, en fait, je mettrai le lien de ton site internet et je pense qu'on trouvera tout dessus. Donc, voilà, ton accompagnement, ton école de coaching, tout ce que tu proposes, en fait, pour aider des entrepreneurs comme moi et pas que. En tout cas, merci infiniment, Claudia.

  • Speaker #1

    Merci à toi, vraiment un plaisir. Au revoir.

  • Speaker #0

    Merci pour votre écoute. Si l'épisode vous a plu, pensez à vous abonner et à laisser un avis 5 étoiles. Ça m'aide à faire connaître ce podcast. Ça m'encourage à continuer. N'hésitez pas à me suivre sur mon site fengshui-expert.fr ou sur les réseaux sociaux. Vous me trouverez sous le nom de Aude à la déco. Articles de blog, masterclass, formations en ligne, il y en a pour tous les goûts. Merci beaucoup, à bientôt et d'ici là, restez dans le flow !

Description

Dans l'épisode de podcast d'aujourd'hui, j'ai eu le plaisir d'accueillir Claudia Anatella.

Claudia est coach lifestyle et bien-être, elle aide également les entrepreneures comme moi à développer leur entreprise.


"Tu es le ciel, pas la météo". C'est cette phrase et tout ce qu'elle signifiait qui m'a donné envie de suivre Claudia et de profiter de son accompagnement.


Elle aide ses clientes à prendre conscience de leur bien-être inné, à traverser les hauts et les bas de la vie avec plus de grâce. Claudia met l'accent sur le mindset et le subconscient. Nous pouvons reprogrammer nos pensées et nos croyances pour soutenir notre croissance. Comment apprivoiser ce mental qui nous identifie à nos émotions ? Vous le saurez en écoutant cet épisode !


Pour retrouver Claudia et découvrir son accompagnement et son école de coaching, c'est ici : https://claudiaanatella.com/


Enjoy ! 😉

————

📚 Mon livre

https://amzn.to/3to6e4a


🌈 Mon accompagnement signature :

Ma Maison Haute Vibration

https://www.fengshui-expert.fr/ma-maison-haute-vibration


🖥️ Mes formations et masterclass :

https://fengshui-expert.fr/formations/


🛜 Restons connectés !

WEBSITE : https://fengshui-expert.fr

INSTAGRAM : https://www.instagram.com/audaladeco/

FACEBOOK : https://www.facebook.com/audaladeco/


©Musique : Aspire by Scott Holmes Music


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur Feng Shui Flow, le podcast qui met du Feng Shui dans ta vie. Je suis Aude Charreau, experte Feng Shui et auteure du livre Harmonie chez soi, vitalité en soi. Grâce à mes accompagnements, individuels ou collectifs, je vous aide à élever les vibrations de votre maison pour que vous puissiez vivre la vie de vos rêves. Santé, amour, abondance et joie grâce à votre lieu de vie. Dans ce podcast. On parle de Feng Shui bien sûr, et aussi de développement personnel, de spiritualité, d'énergie éthique, de lecture inspirante. Je suis parfois seule, parfois accompagnée, car j'ai le plaisir d'avoir de temps en temps des invités. Chaque lundi, recevez votre dose de belles énergies. Bonjour à tous, je suis ravie de vous retrouver pour ce nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui, j'ai le plaisir d'avoir une invitée. Je ne suis pas toute seule et j'ai invité donc Claudia. Bonjour, Claudia.

  • Speaker #1

    Hello, bonjour.

  • Speaker #0

    Alors, pour ceux qui ne te connaissent pas, nous, on se connaît un petit peu. Est-ce que tu peux te présenter en quelques mots, s'il te plaît ?

  • Speaker #1

    Oui, avec plaisir. Je suis Claudia Nattella. Vous allez entendre un accent parce que je suis italienne. Ça fait... C'est désormais six ans que je travaille comme coach en France. Je suis coach pour les entrepreneurs bien-être, formatrice et je suis aussi coach de vie. Et si on va expliquer un peu ce que je fais, c'est aider les personnes à retrouver cette paix intérieure qui est toujours en nous, toujours là. Et donc, c'est désidentifier de ce mental, de toute cette illusion et ces pensées qui sont toujours là dans notre esprit. Voilà, retrouver un peu la liberté au-delà de l'esprit. Et donc, j'ai forme aussi. des personnes pour devenir coach avec ma méthode et je coache les entrepreneurs de bien-être aussi pour qu'ils puissent créer une entreprise prospère et trouver de la paix en le faisant.

  • Speaker #0

    Merci, Claudia. Moi, je t'ai découverte l'année dernière, en fait. Ça va faire à peu près un an suite à une masterclass. Et j'ai beaucoup aimé ton énergie. Tu sais, mon tant qu'expert, je suis forcément l'énergie, ça me parle. Et tu as dit quelque chose qui ensuite m'a décidé justement à rentrer dans ton programme de coaching, à me faire coacher par toi. Tu as dit que vous n'êtes pas la météo, vous êtes le ciel. Donc sur le moment, tu vois, j'ai trouvé ça très puissant. Et peut-être que ça parle à certaines personnes et peut-être que d'autres se demandent un petit peu ce que ça veut dire. Et voilà, j'aimerais que tu nous expliques ce concept qui finalement... est à la base de beaucoup de ton enseignement et la base un peu de ton coaching, en fait.

  • Speaker #1

    Oui, tout à fait. C'est un peu une métaphore, une analogie que j'utilise souvent, effectivement, pour expliquer. C'est un concept énorme, mais j'aimerais que quand vous écoutez ces mots, pour ceux qui sont en train de nous écouter, écoutez-les avec une partie de vous autre que le mental. Donc, le mental sera là pour essayer d'analyser, d'interpréter. intellectualiser ce que je vais dire, essayez de l'écouter avec une autre partie de vous. Et donc, nous, toute notre vie, on est identifiés à cette voix qui est en nous. Donc, nos pensées, nos émotions passent constamment dans notre esprit. Et il semble tellement vrai, n'est-ce pas ? Donc, une pensée arrive, je suis nulle, je ne vais pas arriver aujourd'hui, je suis moche, je déteste mon partenaire aujourd'hui. Et ce qu'on fait, c'est qu'on croit vraiment cette pensée et on va réagir à cette pensée. Alors dans cette métaphore, ce qu'on est en train de dire, c'est que cette pensée-là, ces pensées, ces émotions qui sont constamment en train de se faire en nous comme un programme en fait, sont juste la météo, sont juste l'esprit qui fait son travail, qui est celui d'essayer de sécuriser l'identité, donc de nous protéger, de nous sauvegarder, de nous défendre de ce qui pourrait être un danger, mais qui en réalité nous, le vrai nous. Ce n'est pas cette météo-là, ce n'est pas la pluie, donc une émotion de tristesse, ce n'est pas la tempête, donc une émotion de colère, ce n'est pas le soleil non plus, donc cette excitation. Qui on est vraiment est le ciel, toujours calme derrière. Et donc, je peux juste vous pointer dans cette direction pour que vous puissiez comprendre un peu qui est le vrai nous. Et c'est ça notre plus grande quête de notre existence, qui on est vraiment, n'est-ce pas ? Mais on est la partie... qui peut observer cette météo se faire à nous. Donc, on n'est pas nos pensées, nos émotions, on est la conscience qui observe ça se faire. On est la partie toujours calme, toujours en paix, toujours en présence derrière. Voilà, donc c'est un peu ça le résumé. On n'est pas la météo, on est le ciel.

  • Speaker #0

    Tu sais quoi, ça me fait penser, quand j'entends dire ça, ça me fait penser quand on commence à méditer, quand on apprend un petit peu à méditer. Donc, il y en a, ils disent, il faut penser à rien, etc. Donc, comme c'est hyper dur de penser à rien, tu dis, je suis nulle, je pense toujours à des trucs et tout. Et en fait, une personne m'avait dit, non, non, en fait, ce qu'il faut, c'est essayer de se focaliser sur le silence entre deux pensées. Et justement, tu vois, il faut essayer de faire en sorte que ce silence soit de plus en plus long finalement. Mais même s'il y a des pensées qui arrivent, il ne faut pas se flageller pour autant, ce n'est pas que tu es nulle, c'est en fait, tu as vu un peu le nombre de pensées qu'on a à la minute ou même à la seconde quoi. Et je trouve que j'aime bien faire, ça m'a fait penser à ça en fait, quand tu parlais de ça, parce qu'il y a comme un peu quand on médite, une espèce de pause. savoir aussi prendre une pause pour observer en fait et tu sais,

  • Speaker #1

    c'est super que tu utilises cet exemple là parce que tu vois quand il y a cette pensée qui vient et qui dit je suis nulle, je n'y arrive pas ça c'est encore une pensée mais on ne l'identifie pas n'est-ce pas ? je dois faire la vaisselle, oh mon dieu j'ai oublié de faire le linge ah qu'est-ce que je fais demain oh mais je suis nulle, je n'y arrive pas et cette deuxième pensée qui critique du coup l'expérience le mental c'est ça À ce moment-là, on est identifié tellement à cette deuxième voie critique qu'on a perdu de vue ça aussi sur le mental. Et juste le voir, juste voir, ah, mais ça aussi c'était encore une pensée, mais ça aussi c'était encore le mental qui critiquait le mental. Et, ah ok, je peux lâcher. C'est juste cette nouvelle perspective de dire, ah, c'était juste encore mon esprit, il n'y a rien à faire là-dedans. On n'a pas besoin... de le changer, de l'arrêter, d'utiliser une pensée positive à la place, des affirmations positives, forcément. Juste voir, voir. J'étais en train de penser. J'avais des pensées à nouveau. Et quand on voit ça, quelque chose, tout de suite, c'est calme, ça s'apaise. Parce qu'on revient à cet état derrière, de présence, ah oui, c'était juste mon esprit. Et je n'ai pas besoin de le contrôler, je n'ai pas besoin de le changer, je n'ai pas besoin... Parce que la partie de nous qui voudra le changer, ça serait encore le mental.

  • Speaker #0

    C'est ça, c'est ça. Et en fait, ce que je trouve très puissant dans ce truc-là, c'est que ça a l'air simple quand tu le dis, mais il y a une profonde résistance. Et tu l'as bien vu, en fait, une pensée en chasse une autre, le mental se bat avec lui-même, presque. Et donc, finalement, on a une grosse, grosse résistance. Et je trouve que, notamment, c'est une des richesses de ton accompagnement, si tu peux me permettre de le dire, c'est que tu nous aides, justement. même nous quand on te raconte les trucs, on ne voit pas que c'est encore notre mental qui se pointe et tu as cette capacité de dire attends, stop, écoute-toi parler, fais une réponse ressors de la situation observe et qu'est-ce que tu vois oui parce que comme tu le dis on a tellement de résistance le mental résiste,

  • Speaker #1

    le mental crée une expérience et puis il met un jugement dessus sur l'expérience et puis on juge le jugement... Et puis, il y a une résistance à ressentir l'émotion parce que c'est dont notre esprit a le plus peur, c'est justement de ressentir une émotion. Pour lui, c'est non, non, non, surtout pas. Donc, forcément, il y a plein de résistances qui se mettent en place pour nous éviter ça. Et oui, on ne les voit pas. On ne les voit pas parce qu'à ce moment-là, le système de protection est tellement fort, on est tellement identifié à ça, que de coup, on croit que ça, c'est le vrai nous qui parle. On ne voit plus que c'était encore un jeu de l'esprit. Et donc imagine, effectivement, enlever une couche, et puis une autre, et puis une autre, et puis une autre. Et quand on enlève toutes ces couches-là, ces murs qui s'étaient érigés pour essayer de nous protéger, il y a quelque chose qu'on trouve là derrière. C'est, ah, je sens que là ça s'apaise, ah, je sens que là ça se calme, je sens que là je peux revenir à cet état naturel qui est en moi toujours, ce ciel, donc cette paix.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Et tu sais, quand on dit pareil, encore une fois, en méditation, on dit si tu vois un nuage passer, tu l'observes, tu le laisses passer. Et en fait, parce qu'au final, voilà, ce que tu veux, c'est le ciel bleu sans les nuages, en fait. Et je trouve qu'on trouve dans cette méthodologie d'observation de soi, le même calme, le même silence, tu vois, que quand on médite, par exemple, ou quand on se relaxe.

  • Speaker #1

    Oui, c'est pour ça que je dis souvent, vous n'avez pas forcément besoin de méditer. Parce que quand vous commencez à utiliser ce paradigme que j'enseigne, c'est comme si vous étiez tout le temps en méditation. C'est, ah oui, là je me rends compte que c'était encore en pensée. Ou là j'étais partie pendant 10-20 minutes dans Dreamland, dans les rêves de mon esprit. Et là je reviens, je vois que c'était toute une idée que mon esprit avait créée. Donc c'est un peu comme... vivre en conscience, vivre en conscience de qui on est vraiment. Et parfois, oui, parfois on le perd de vue, et puis on le revoit, et puis quelqu'un nous pointe dans cette direction, donc la coach, etc. Et on regagne vision sur qui on était vraiment. Mais la vie change, change complètement quand on commence à la vivre comme ça. C'est vraiment beaucoup moins de souffrance, beaucoup moins de souffrance.

  • Speaker #0

    Et oui, parce que comme on dit, dans le moment présent, il n'y a plus de problème, en fait, dans le présent. Le passé n'existe plus, le futur n'existe pas, tout va bien. En vrai, tout va bien.

  • Speaker #1

    Exactement, exactement.

  • Speaker #0

    Est-ce que tu pourrais nous donner, alors je ne sais pas, peut-être un exercice pratique ou un conseil, parce que justement, ça semble simple, mais ça n'est pas tant que ça, je peux en parler, connaissance de cause. Est-ce que tu as un truc ou peut-être un exercice pratique à donner à nos auditeurs ? pour les aider à faire un petit peu ce travail, au moins à commencer à mettre un petit peu le doigt dessus.

  • Speaker #1

    Oui totalement. Alors, si on considère que nos émotions, finalement, qu'on prend pour vrai tous les jours, tous les jours on a une émotion et on dit Pourquoi je suis triste ? Pourquoi je suis en colère ? Je ne devrais pas. Nous, l'exercice qu'on veut faire ici, c'est considérer que les émotions sont comme cette alarme dans la voiture, non ? C'est ce truc qui s'allume et qui te dit, attention, il y a un truc à faire. Et là, cette alarme nous dit, donc l'émotion arrive et nous dit, tu identifies tes pensées. La seule chose que les émotions veulent nous montrer, c'est là où on est dans l'illusion. Là où on est dans le mental. Donc, commencez à pratiquer ça, justement. La prochaine fois que vous ressentez une émotion, commencez par des choses petites qui ne vous déclenchent pas trop. Donc, on parle par exemple des... Ce monsieur qui vous coupe la roue quand vous allez au supermarché. Voilà, quelque chose qui ne fait pas trop. Peut-être ne prenez pas votre partenaire qui peut-être vous déclenche votre travail. Prenez quelque chose d'un peu plus léger. Et vous voyez là, ça m'a mis en colère, ce mec qui me coupe la roue là. Ah, ça c'est le truc dans la voiture qui s'est allumé pour me dire, tu identifies un discours, tu identifies à ton mental. Donc, qui est cette partie en moi qui est en colère ? qui est peut-être récent de la justice, qui est peut-être récent du manque de respect. Ok, c'était encore mon esprit qui pensait qu'il devait défendre cette identité, moi, qui existe dans le monde avec cette identité. Ok, ok, je vois. Et juste le fait de voir ça, vous verrez, c'est énorme. Quand vous voyez que c'était juste l'esprit qui faisait ce pour quoi il est désigné, c'est juste le cerveau, juste l'activité psychologique, qu'il n'y a rien de vrai. Rien de personnel, rien d'important à chercher là-dedans, juste une pensée, juste le cerveau qui fait, c'est pourquoi elle est désignée à faire. Du coup, on lâche. Ah ok, c'était juste le cerveau. On vit l'émotion, ou bien évidemment on la ressent, on veut la ressentir, mais sans le discours autour, sans ah les gens sont méchants, les gens sont pas… ça c'est le discours autour, juste dans la sensation dans le corps. Ah, un feu, une colère, ok. Ah, ok, c'était juste l'esprit. Et ça, ça va juste vous faire descendre. Sans avoir l'objectif non plus. N'ayez pas l'objectif, ah, je dois absolument réussir à sortir du mental. Parce que c'est encore le mental qui se fait faire. C'est encore lui qui vous piège. Donc, juste pratiquez ça. Remarquez que vos émotions sont le signal de la voiture pour vous dire que vous êtes identifié en narration, vous êtes identifié en discours.

  • Speaker #0

    C'est un super... C'est un super conseil et effectivement, je pense qu'on n'en manque pas dans notre journée. Des situations où on peut effectivement se dire, tiens, qui parle ? Merci infiniment, Claudia, pour cet échange. Bien sûr, comme d'habitude, dans la description de l'épisode de podcast et de la vidéo YouTube, puisqu'on aura aussi la chance de pouvoir visionner cet épisode. Je mettrai les coordonnées, en fait, je mettrai le lien de ton site internet et je pense qu'on trouvera tout dessus. Donc, voilà, ton accompagnement, ton école de coaching, tout ce que tu proposes, en fait, pour aider des entrepreneurs comme moi et pas que. En tout cas, merci infiniment, Claudia.

  • Speaker #1

    Merci à toi, vraiment un plaisir. Au revoir.

  • Speaker #0

    Merci pour votre écoute. Si l'épisode vous a plu, pensez à vous abonner et à laisser un avis 5 étoiles. Ça m'aide à faire connaître ce podcast. Ça m'encourage à continuer. N'hésitez pas à me suivre sur mon site fengshui-expert.fr ou sur les réseaux sociaux. Vous me trouverez sous le nom de Aude à la déco. Articles de blog, masterclass, formations en ligne, il y en a pour tous les goûts. Merci beaucoup, à bientôt et d'ici là, restez dans le flow !

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Description

Dans l'épisode de podcast d'aujourd'hui, j'ai eu le plaisir d'accueillir Claudia Anatella.

Claudia est coach lifestyle et bien-être, elle aide également les entrepreneures comme moi à développer leur entreprise.


"Tu es le ciel, pas la météo". C'est cette phrase et tout ce qu'elle signifiait qui m'a donné envie de suivre Claudia et de profiter de son accompagnement.


Elle aide ses clientes à prendre conscience de leur bien-être inné, à traverser les hauts et les bas de la vie avec plus de grâce. Claudia met l'accent sur le mindset et le subconscient. Nous pouvons reprogrammer nos pensées et nos croyances pour soutenir notre croissance. Comment apprivoiser ce mental qui nous identifie à nos émotions ? Vous le saurez en écoutant cet épisode !


Pour retrouver Claudia et découvrir son accompagnement et son école de coaching, c'est ici : https://claudiaanatella.com/


Enjoy ! 😉

————

📚 Mon livre

https://amzn.to/3to6e4a


🌈 Mon accompagnement signature :

Ma Maison Haute Vibration

https://www.fengshui-expert.fr/ma-maison-haute-vibration


🖥️ Mes formations et masterclass :

https://fengshui-expert.fr/formations/


🛜 Restons connectés !

WEBSITE : https://fengshui-expert.fr

INSTAGRAM : https://www.instagram.com/audaladeco/

FACEBOOK : https://www.facebook.com/audaladeco/


©Musique : Aspire by Scott Holmes Music


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur Feng Shui Flow, le podcast qui met du Feng Shui dans ta vie. Je suis Aude Charreau, experte Feng Shui et auteure du livre Harmonie chez soi, vitalité en soi. Grâce à mes accompagnements, individuels ou collectifs, je vous aide à élever les vibrations de votre maison pour que vous puissiez vivre la vie de vos rêves. Santé, amour, abondance et joie grâce à votre lieu de vie. Dans ce podcast. On parle de Feng Shui bien sûr, et aussi de développement personnel, de spiritualité, d'énergie éthique, de lecture inspirante. Je suis parfois seule, parfois accompagnée, car j'ai le plaisir d'avoir de temps en temps des invités. Chaque lundi, recevez votre dose de belles énergies. Bonjour à tous, je suis ravie de vous retrouver pour ce nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui, j'ai le plaisir d'avoir une invitée. Je ne suis pas toute seule et j'ai invité donc Claudia. Bonjour, Claudia.

  • Speaker #1

    Hello, bonjour.

  • Speaker #0

    Alors, pour ceux qui ne te connaissent pas, nous, on se connaît un petit peu. Est-ce que tu peux te présenter en quelques mots, s'il te plaît ?

  • Speaker #1

    Oui, avec plaisir. Je suis Claudia Nattella. Vous allez entendre un accent parce que je suis italienne. Ça fait... C'est désormais six ans que je travaille comme coach en France. Je suis coach pour les entrepreneurs bien-être, formatrice et je suis aussi coach de vie. Et si on va expliquer un peu ce que je fais, c'est aider les personnes à retrouver cette paix intérieure qui est toujours en nous, toujours là. Et donc, c'est désidentifier de ce mental, de toute cette illusion et ces pensées qui sont toujours là dans notre esprit. Voilà, retrouver un peu la liberté au-delà de l'esprit. Et donc, j'ai forme aussi. des personnes pour devenir coach avec ma méthode et je coache les entrepreneurs de bien-être aussi pour qu'ils puissent créer une entreprise prospère et trouver de la paix en le faisant.

  • Speaker #0

    Merci, Claudia. Moi, je t'ai découverte l'année dernière, en fait. Ça va faire à peu près un an suite à une masterclass. Et j'ai beaucoup aimé ton énergie. Tu sais, mon tant qu'expert, je suis forcément l'énergie, ça me parle. Et tu as dit quelque chose qui ensuite m'a décidé justement à rentrer dans ton programme de coaching, à me faire coacher par toi. Tu as dit que vous n'êtes pas la météo, vous êtes le ciel. Donc sur le moment, tu vois, j'ai trouvé ça très puissant. Et peut-être que ça parle à certaines personnes et peut-être que d'autres se demandent un petit peu ce que ça veut dire. Et voilà, j'aimerais que tu nous expliques ce concept qui finalement... est à la base de beaucoup de ton enseignement et la base un peu de ton coaching, en fait.

  • Speaker #1

    Oui, tout à fait. C'est un peu une métaphore, une analogie que j'utilise souvent, effectivement, pour expliquer. C'est un concept énorme, mais j'aimerais que quand vous écoutez ces mots, pour ceux qui sont en train de nous écouter, écoutez-les avec une partie de vous autre que le mental. Donc, le mental sera là pour essayer d'analyser, d'interpréter. intellectualiser ce que je vais dire, essayez de l'écouter avec une autre partie de vous. Et donc, nous, toute notre vie, on est identifiés à cette voix qui est en nous. Donc, nos pensées, nos émotions passent constamment dans notre esprit. Et il semble tellement vrai, n'est-ce pas ? Donc, une pensée arrive, je suis nulle, je ne vais pas arriver aujourd'hui, je suis moche, je déteste mon partenaire aujourd'hui. Et ce qu'on fait, c'est qu'on croit vraiment cette pensée et on va réagir à cette pensée. Alors dans cette métaphore, ce qu'on est en train de dire, c'est que cette pensée-là, ces pensées, ces émotions qui sont constamment en train de se faire en nous comme un programme en fait, sont juste la météo, sont juste l'esprit qui fait son travail, qui est celui d'essayer de sécuriser l'identité, donc de nous protéger, de nous sauvegarder, de nous défendre de ce qui pourrait être un danger, mais qui en réalité nous, le vrai nous. Ce n'est pas cette météo-là, ce n'est pas la pluie, donc une émotion de tristesse, ce n'est pas la tempête, donc une émotion de colère, ce n'est pas le soleil non plus, donc cette excitation. Qui on est vraiment est le ciel, toujours calme derrière. Et donc, je peux juste vous pointer dans cette direction pour que vous puissiez comprendre un peu qui est le vrai nous. Et c'est ça notre plus grande quête de notre existence, qui on est vraiment, n'est-ce pas ? Mais on est la partie... qui peut observer cette météo se faire à nous. Donc, on n'est pas nos pensées, nos émotions, on est la conscience qui observe ça se faire. On est la partie toujours calme, toujours en paix, toujours en présence derrière. Voilà, donc c'est un peu ça le résumé. On n'est pas la météo, on est le ciel.

  • Speaker #0

    Tu sais quoi, ça me fait penser, quand j'entends dire ça, ça me fait penser quand on commence à méditer, quand on apprend un petit peu à méditer. Donc, il y en a, ils disent, il faut penser à rien, etc. Donc, comme c'est hyper dur de penser à rien, tu dis, je suis nulle, je pense toujours à des trucs et tout. Et en fait, une personne m'avait dit, non, non, en fait, ce qu'il faut, c'est essayer de se focaliser sur le silence entre deux pensées. Et justement, tu vois, il faut essayer de faire en sorte que ce silence soit de plus en plus long finalement. Mais même s'il y a des pensées qui arrivent, il ne faut pas se flageller pour autant, ce n'est pas que tu es nulle, c'est en fait, tu as vu un peu le nombre de pensées qu'on a à la minute ou même à la seconde quoi. Et je trouve que j'aime bien faire, ça m'a fait penser à ça en fait, quand tu parlais de ça, parce qu'il y a comme un peu quand on médite, une espèce de pause. savoir aussi prendre une pause pour observer en fait et tu sais,

  • Speaker #1

    c'est super que tu utilises cet exemple là parce que tu vois quand il y a cette pensée qui vient et qui dit je suis nulle, je n'y arrive pas ça c'est encore une pensée mais on ne l'identifie pas n'est-ce pas ? je dois faire la vaisselle, oh mon dieu j'ai oublié de faire le linge ah qu'est-ce que je fais demain oh mais je suis nulle, je n'y arrive pas et cette deuxième pensée qui critique du coup l'expérience le mental c'est ça À ce moment-là, on est identifié tellement à cette deuxième voie critique qu'on a perdu de vue ça aussi sur le mental. Et juste le voir, juste voir, ah, mais ça aussi c'était encore une pensée, mais ça aussi c'était encore le mental qui critiquait le mental. Et, ah ok, je peux lâcher. C'est juste cette nouvelle perspective de dire, ah, c'était juste encore mon esprit, il n'y a rien à faire là-dedans. On n'a pas besoin... de le changer, de l'arrêter, d'utiliser une pensée positive à la place, des affirmations positives, forcément. Juste voir, voir. J'étais en train de penser. J'avais des pensées à nouveau. Et quand on voit ça, quelque chose, tout de suite, c'est calme, ça s'apaise. Parce qu'on revient à cet état derrière, de présence, ah oui, c'était juste mon esprit. Et je n'ai pas besoin de le contrôler, je n'ai pas besoin de le changer, je n'ai pas besoin... Parce que la partie de nous qui voudra le changer, ça serait encore le mental.

  • Speaker #0

    C'est ça, c'est ça. Et en fait, ce que je trouve très puissant dans ce truc-là, c'est que ça a l'air simple quand tu le dis, mais il y a une profonde résistance. Et tu l'as bien vu, en fait, une pensée en chasse une autre, le mental se bat avec lui-même, presque. Et donc, finalement, on a une grosse, grosse résistance. Et je trouve que, notamment, c'est une des richesses de ton accompagnement, si tu peux me permettre de le dire, c'est que tu nous aides, justement. même nous quand on te raconte les trucs, on ne voit pas que c'est encore notre mental qui se pointe et tu as cette capacité de dire attends, stop, écoute-toi parler, fais une réponse ressors de la situation observe et qu'est-ce que tu vois oui parce que comme tu le dis on a tellement de résistance le mental résiste,

  • Speaker #1

    le mental crée une expérience et puis il met un jugement dessus sur l'expérience et puis on juge le jugement... Et puis, il y a une résistance à ressentir l'émotion parce que c'est dont notre esprit a le plus peur, c'est justement de ressentir une émotion. Pour lui, c'est non, non, non, surtout pas. Donc, forcément, il y a plein de résistances qui se mettent en place pour nous éviter ça. Et oui, on ne les voit pas. On ne les voit pas parce qu'à ce moment-là, le système de protection est tellement fort, on est tellement identifié à ça, que de coup, on croit que ça, c'est le vrai nous qui parle. On ne voit plus que c'était encore un jeu de l'esprit. Et donc imagine, effectivement, enlever une couche, et puis une autre, et puis une autre, et puis une autre. Et quand on enlève toutes ces couches-là, ces murs qui s'étaient érigés pour essayer de nous protéger, il y a quelque chose qu'on trouve là derrière. C'est, ah, je sens que là ça s'apaise, ah, je sens que là ça se calme, je sens que là je peux revenir à cet état naturel qui est en moi toujours, ce ciel, donc cette paix.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Et tu sais, quand on dit pareil, encore une fois, en méditation, on dit si tu vois un nuage passer, tu l'observes, tu le laisses passer. Et en fait, parce qu'au final, voilà, ce que tu veux, c'est le ciel bleu sans les nuages, en fait. Et je trouve qu'on trouve dans cette méthodologie d'observation de soi, le même calme, le même silence, tu vois, que quand on médite, par exemple, ou quand on se relaxe.

  • Speaker #1

    Oui, c'est pour ça que je dis souvent, vous n'avez pas forcément besoin de méditer. Parce que quand vous commencez à utiliser ce paradigme que j'enseigne, c'est comme si vous étiez tout le temps en méditation. C'est, ah oui, là je me rends compte que c'était encore en pensée. Ou là j'étais partie pendant 10-20 minutes dans Dreamland, dans les rêves de mon esprit. Et là je reviens, je vois que c'était toute une idée que mon esprit avait créée. Donc c'est un peu comme... vivre en conscience, vivre en conscience de qui on est vraiment. Et parfois, oui, parfois on le perd de vue, et puis on le revoit, et puis quelqu'un nous pointe dans cette direction, donc la coach, etc. Et on regagne vision sur qui on était vraiment. Mais la vie change, change complètement quand on commence à la vivre comme ça. C'est vraiment beaucoup moins de souffrance, beaucoup moins de souffrance.

  • Speaker #0

    Et oui, parce que comme on dit, dans le moment présent, il n'y a plus de problème, en fait, dans le présent. Le passé n'existe plus, le futur n'existe pas, tout va bien. En vrai, tout va bien.

  • Speaker #1

    Exactement, exactement.

  • Speaker #0

    Est-ce que tu pourrais nous donner, alors je ne sais pas, peut-être un exercice pratique ou un conseil, parce que justement, ça semble simple, mais ça n'est pas tant que ça, je peux en parler, connaissance de cause. Est-ce que tu as un truc ou peut-être un exercice pratique à donner à nos auditeurs ? pour les aider à faire un petit peu ce travail, au moins à commencer à mettre un petit peu le doigt dessus.

  • Speaker #1

    Oui totalement. Alors, si on considère que nos émotions, finalement, qu'on prend pour vrai tous les jours, tous les jours on a une émotion et on dit Pourquoi je suis triste ? Pourquoi je suis en colère ? Je ne devrais pas. Nous, l'exercice qu'on veut faire ici, c'est considérer que les émotions sont comme cette alarme dans la voiture, non ? C'est ce truc qui s'allume et qui te dit, attention, il y a un truc à faire. Et là, cette alarme nous dit, donc l'émotion arrive et nous dit, tu identifies tes pensées. La seule chose que les émotions veulent nous montrer, c'est là où on est dans l'illusion. Là où on est dans le mental. Donc, commencez à pratiquer ça, justement. La prochaine fois que vous ressentez une émotion, commencez par des choses petites qui ne vous déclenchent pas trop. Donc, on parle par exemple des... Ce monsieur qui vous coupe la roue quand vous allez au supermarché. Voilà, quelque chose qui ne fait pas trop. Peut-être ne prenez pas votre partenaire qui peut-être vous déclenche votre travail. Prenez quelque chose d'un peu plus léger. Et vous voyez là, ça m'a mis en colère, ce mec qui me coupe la roue là. Ah, ça c'est le truc dans la voiture qui s'est allumé pour me dire, tu identifies un discours, tu identifies à ton mental. Donc, qui est cette partie en moi qui est en colère ? qui est peut-être récent de la justice, qui est peut-être récent du manque de respect. Ok, c'était encore mon esprit qui pensait qu'il devait défendre cette identité, moi, qui existe dans le monde avec cette identité. Ok, ok, je vois. Et juste le fait de voir ça, vous verrez, c'est énorme. Quand vous voyez que c'était juste l'esprit qui faisait ce pour quoi il est désigné, c'est juste le cerveau, juste l'activité psychologique, qu'il n'y a rien de vrai. Rien de personnel, rien d'important à chercher là-dedans, juste une pensée, juste le cerveau qui fait, c'est pourquoi elle est désignée à faire. Du coup, on lâche. Ah ok, c'était juste le cerveau. On vit l'émotion, ou bien évidemment on la ressent, on veut la ressentir, mais sans le discours autour, sans ah les gens sont méchants, les gens sont pas… ça c'est le discours autour, juste dans la sensation dans le corps. Ah, un feu, une colère, ok. Ah, ok, c'était juste l'esprit. Et ça, ça va juste vous faire descendre. Sans avoir l'objectif non plus. N'ayez pas l'objectif, ah, je dois absolument réussir à sortir du mental. Parce que c'est encore le mental qui se fait faire. C'est encore lui qui vous piège. Donc, juste pratiquez ça. Remarquez que vos émotions sont le signal de la voiture pour vous dire que vous êtes identifié en narration, vous êtes identifié en discours.

  • Speaker #0

    C'est un super... C'est un super conseil et effectivement, je pense qu'on n'en manque pas dans notre journée. Des situations où on peut effectivement se dire, tiens, qui parle ? Merci infiniment, Claudia, pour cet échange. Bien sûr, comme d'habitude, dans la description de l'épisode de podcast et de la vidéo YouTube, puisqu'on aura aussi la chance de pouvoir visionner cet épisode. Je mettrai les coordonnées, en fait, je mettrai le lien de ton site internet et je pense qu'on trouvera tout dessus. Donc, voilà, ton accompagnement, ton école de coaching, tout ce que tu proposes, en fait, pour aider des entrepreneurs comme moi et pas que. En tout cas, merci infiniment, Claudia.

  • Speaker #1

    Merci à toi, vraiment un plaisir. Au revoir.

  • Speaker #0

    Merci pour votre écoute. Si l'épisode vous a plu, pensez à vous abonner et à laisser un avis 5 étoiles. Ça m'aide à faire connaître ce podcast. Ça m'encourage à continuer. N'hésitez pas à me suivre sur mon site fengshui-expert.fr ou sur les réseaux sociaux. Vous me trouverez sous le nom de Aude à la déco. Articles de blog, masterclass, formations en ligne, il y en a pour tous les goûts. Merci beaucoup, à bientôt et d'ici là, restez dans le flow !

Description

Dans l'épisode de podcast d'aujourd'hui, j'ai eu le plaisir d'accueillir Claudia Anatella.

Claudia est coach lifestyle et bien-être, elle aide également les entrepreneures comme moi à développer leur entreprise.


"Tu es le ciel, pas la météo". C'est cette phrase et tout ce qu'elle signifiait qui m'a donné envie de suivre Claudia et de profiter de son accompagnement.


Elle aide ses clientes à prendre conscience de leur bien-être inné, à traverser les hauts et les bas de la vie avec plus de grâce. Claudia met l'accent sur le mindset et le subconscient. Nous pouvons reprogrammer nos pensées et nos croyances pour soutenir notre croissance. Comment apprivoiser ce mental qui nous identifie à nos émotions ? Vous le saurez en écoutant cet épisode !


Pour retrouver Claudia et découvrir son accompagnement et son école de coaching, c'est ici : https://claudiaanatella.com/


Enjoy ! 😉

————

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https://amzn.to/3to6e4a


🌈 Mon accompagnement signature :

Ma Maison Haute Vibration

https://www.fengshui-expert.fr/ma-maison-haute-vibration


🖥️ Mes formations et masterclass :

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©Musique : Aspire by Scott Holmes Music


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    Bienvenue sur Feng Shui Flow, le podcast qui met du Feng Shui dans ta vie. Je suis Aude Charreau, experte Feng Shui et auteure du livre Harmonie chez soi, vitalité en soi. Grâce à mes accompagnements, individuels ou collectifs, je vous aide à élever les vibrations de votre maison pour que vous puissiez vivre la vie de vos rêves. Santé, amour, abondance et joie grâce à votre lieu de vie. Dans ce podcast. On parle de Feng Shui bien sûr, et aussi de développement personnel, de spiritualité, d'énergie éthique, de lecture inspirante. Je suis parfois seule, parfois accompagnée, car j'ai le plaisir d'avoir de temps en temps des invités. Chaque lundi, recevez votre dose de belles énergies. Bonjour à tous, je suis ravie de vous retrouver pour ce nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui, j'ai le plaisir d'avoir une invitée. Je ne suis pas toute seule et j'ai invité donc Claudia. Bonjour, Claudia.

  • Speaker #1

    Hello, bonjour.

  • Speaker #0

    Alors, pour ceux qui ne te connaissent pas, nous, on se connaît un petit peu. Est-ce que tu peux te présenter en quelques mots, s'il te plaît ?

  • Speaker #1

    Oui, avec plaisir. Je suis Claudia Nattella. Vous allez entendre un accent parce que je suis italienne. Ça fait... C'est désormais six ans que je travaille comme coach en France. Je suis coach pour les entrepreneurs bien-être, formatrice et je suis aussi coach de vie. Et si on va expliquer un peu ce que je fais, c'est aider les personnes à retrouver cette paix intérieure qui est toujours en nous, toujours là. Et donc, c'est désidentifier de ce mental, de toute cette illusion et ces pensées qui sont toujours là dans notre esprit. Voilà, retrouver un peu la liberté au-delà de l'esprit. Et donc, j'ai forme aussi. des personnes pour devenir coach avec ma méthode et je coache les entrepreneurs de bien-être aussi pour qu'ils puissent créer une entreprise prospère et trouver de la paix en le faisant.

  • Speaker #0

    Merci, Claudia. Moi, je t'ai découverte l'année dernière, en fait. Ça va faire à peu près un an suite à une masterclass. Et j'ai beaucoup aimé ton énergie. Tu sais, mon tant qu'expert, je suis forcément l'énergie, ça me parle. Et tu as dit quelque chose qui ensuite m'a décidé justement à rentrer dans ton programme de coaching, à me faire coacher par toi. Tu as dit que vous n'êtes pas la météo, vous êtes le ciel. Donc sur le moment, tu vois, j'ai trouvé ça très puissant. Et peut-être que ça parle à certaines personnes et peut-être que d'autres se demandent un petit peu ce que ça veut dire. Et voilà, j'aimerais que tu nous expliques ce concept qui finalement... est à la base de beaucoup de ton enseignement et la base un peu de ton coaching, en fait.

  • Speaker #1

    Oui, tout à fait. C'est un peu une métaphore, une analogie que j'utilise souvent, effectivement, pour expliquer. C'est un concept énorme, mais j'aimerais que quand vous écoutez ces mots, pour ceux qui sont en train de nous écouter, écoutez-les avec une partie de vous autre que le mental. Donc, le mental sera là pour essayer d'analyser, d'interpréter. intellectualiser ce que je vais dire, essayez de l'écouter avec une autre partie de vous. Et donc, nous, toute notre vie, on est identifiés à cette voix qui est en nous. Donc, nos pensées, nos émotions passent constamment dans notre esprit. Et il semble tellement vrai, n'est-ce pas ? Donc, une pensée arrive, je suis nulle, je ne vais pas arriver aujourd'hui, je suis moche, je déteste mon partenaire aujourd'hui. Et ce qu'on fait, c'est qu'on croit vraiment cette pensée et on va réagir à cette pensée. Alors dans cette métaphore, ce qu'on est en train de dire, c'est que cette pensée-là, ces pensées, ces émotions qui sont constamment en train de se faire en nous comme un programme en fait, sont juste la météo, sont juste l'esprit qui fait son travail, qui est celui d'essayer de sécuriser l'identité, donc de nous protéger, de nous sauvegarder, de nous défendre de ce qui pourrait être un danger, mais qui en réalité nous, le vrai nous. Ce n'est pas cette météo-là, ce n'est pas la pluie, donc une émotion de tristesse, ce n'est pas la tempête, donc une émotion de colère, ce n'est pas le soleil non plus, donc cette excitation. Qui on est vraiment est le ciel, toujours calme derrière. Et donc, je peux juste vous pointer dans cette direction pour que vous puissiez comprendre un peu qui est le vrai nous. Et c'est ça notre plus grande quête de notre existence, qui on est vraiment, n'est-ce pas ? Mais on est la partie... qui peut observer cette météo se faire à nous. Donc, on n'est pas nos pensées, nos émotions, on est la conscience qui observe ça se faire. On est la partie toujours calme, toujours en paix, toujours en présence derrière. Voilà, donc c'est un peu ça le résumé. On n'est pas la météo, on est le ciel.

  • Speaker #0

    Tu sais quoi, ça me fait penser, quand j'entends dire ça, ça me fait penser quand on commence à méditer, quand on apprend un petit peu à méditer. Donc, il y en a, ils disent, il faut penser à rien, etc. Donc, comme c'est hyper dur de penser à rien, tu dis, je suis nulle, je pense toujours à des trucs et tout. Et en fait, une personne m'avait dit, non, non, en fait, ce qu'il faut, c'est essayer de se focaliser sur le silence entre deux pensées. Et justement, tu vois, il faut essayer de faire en sorte que ce silence soit de plus en plus long finalement. Mais même s'il y a des pensées qui arrivent, il ne faut pas se flageller pour autant, ce n'est pas que tu es nulle, c'est en fait, tu as vu un peu le nombre de pensées qu'on a à la minute ou même à la seconde quoi. Et je trouve que j'aime bien faire, ça m'a fait penser à ça en fait, quand tu parlais de ça, parce qu'il y a comme un peu quand on médite, une espèce de pause. savoir aussi prendre une pause pour observer en fait et tu sais,

  • Speaker #1

    c'est super que tu utilises cet exemple là parce que tu vois quand il y a cette pensée qui vient et qui dit je suis nulle, je n'y arrive pas ça c'est encore une pensée mais on ne l'identifie pas n'est-ce pas ? je dois faire la vaisselle, oh mon dieu j'ai oublié de faire le linge ah qu'est-ce que je fais demain oh mais je suis nulle, je n'y arrive pas et cette deuxième pensée qui critique du coup l'expérience le mental c'est ça À ce moment-là, on est identifié tellement à cette deuxième voie critique qu'on a perdu de vue ça aussi sur le mental. Et juste le voir, juste voir, ah, mais ça aussi c'était encore une pensée, mais ça aussi c'était encore le mental qui critiquait le mental. Et, ah ok, je peux lâcher. C'est juste cette nouvelle perspective de dire, ah, c'était juste encore mon esprit, il n'y a rien à faire là-dedans. On n'a pas besoin... de le changer, de l'arrêter, d'utiliser une pensée positive à la place, des affirmations positives, forcément. Juste voir, voir. J'étais en train de penser. J'avais des pensées à nouveau. Et quand on voit ça, quelque chose, tout de suite, c'est calme, ça s'apaise. Parce qu'on revient à cet état derrière, de présence, ah oui, c'était juste mon esprit. Et je n'ai pas besoin de le contrôler, je n'ai pas besoin de le changer, je n'ai pas besoin... Parce que la partie de nous qui voudra le changer, ça serait encore le mental.

  • Speaker #0

    C'est ça, c'est ça. Et en fait, ce que je trouve très puissant dans ce truc-là, c'est que ça a l'air simple quand tu le dis, mais il y a une profonde résistance. Et tu l'as bien vu, en fait, une pensée en chasse une autre, le mental se bat avec lui-même, presque. Et donc, finalement, on a une grosse, grosse résistance. Et je trouve que, notamment, c'est une des richesses de ton accompagnement, si tu peux me permettre de le dire, c'est que tu nous aides, justement. même nous quand on te raconte les trucs, on ne voit pas que c'est encore notre mental qui se pointe et tu as cette capacité de dire attends, stop, écoute-toi parler, fais une réponse ressors de la situation observe et qu'est-ce que tu vois oui parce que comme tu le dis on a tellement de résistance le mental résiste,

  • Speaker #1

    le mental crée une expérience et puis il met un jugement dessus sur l'expérience et puis on juge le jugement... Et puis, il y a une résistance à ressentir l'émotion parce que c'est dont notre esprit a le plus peur, c'est justement de ressentir une émotion. Pour lui, c'est non, non, non, surtout pas. Donc, forcément, il y a plein de résistances qui se mettent en place pour nous éviter ça. Et oui, on ne les voit pas. On ne les voit pas parce qu'à ce moment-là, le système de protection est tellement fort, on est tellement identifié à ça, que de coup, on croit que ça, c'est le vrai nous qui parle. On ne voit plus que c'était encore un jeu de l'esprit. Et donc imagine, effectivement, enlever une couche, et puis une autre, et puis une autre, et puis une autre. Et quand on enlève toutes ces couches-là, ces murs qui s'étaient érigés pour essayer de nous protéger, il y a quelque chose qu'on trouve là derrière. C'est, ah, je sens que là ça s'apaise, ah, je sens que là ça se calme, je sens que là je peux revenir à cet état naturel qui est en moi toujours, ce ciel, donc cette paix.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Et tu sais, quand on dit pareil, encore une fois, en méditation, on dit si tu vois un nuage passer, tu l'observes, tu le laisses passer. Et en fait, parce qu'au final, voilà, ce que tu veux, c'est le ciel bleu sans les nuages, en fait. Et je trouve qu'on trouve dans cette méthodologie d'observation de soi, le même calme, le même silence, tu vois, que quand on médite, par exemple, ou quand on se relaxe.

  • Speaker #1

    Oui, c'est pour ça que je dis souvent, vous n'avez pas forcément besoin de méditer. Parce que quand vous commencez à utiliser ce paradigme que j'enseigne, c'est comme si vous étiez tout le temps en méditation. C'est, ah oui, là je me rends compte que c'était encore en pensée. Ou là j'étais partie pendant 10-20 minutes dans Dreamland, dans les rêves de mon esprit. Et là je reviens, je vois que c'était toute une idée que mon esprit avait créée. Donc c'est un peu comme... vivre en conscience, vivre en conscience de qui on est vraiment. Et parfois, oui, parfois on le perd de vue, et puis on le revoit, et puis quelqu'un nous pointe dans cette direction, donc la coach, etc. Et on regagne vision sur qui on était vraiment. Mais la vie change, change complètement quand on commence à la vivre comme ça. C'est vraiment beaucoup moins de souffrance, beaucoup moins de souffrance.

  • Speaker #0

    Et oui, parce que comme on dit, dans le moment présent, il n'y a plus de problème, en fait, dans le présent. Le passé n'existe plus, le futur n'existe pas, tout va bien. En vrai, tout va bien.

  • Speaker #1

    Exactement, exactement.

  • Speaker #0

    Est-ce que tu pourrais nous donner, alors je ne sais pas, peut-être un exercice pratique ou un conseil, parce que justement, ça semble simple, mais ça n'est pas tant que ça, je peux en parler, connaissance de cause. Est-ce que tu as un truc ou peut-être un exercice pratique à donner à nos auditeurs ? pour les aider à faire un petit peu ce travail, au moins à commencer à mettre un petit peu le doigt dessus.

  • Speaker #1

    Oui totalement. Alors, si on considère que nos émotions, finalement, qu'on prend pour vrai tous les jours, tous les jours on a une émotion et on dit Pourquoi je suis triste ? Pourquoi je suis en colère ? Je ne devrais pas. Nous, l'exercice qu'on veut faire ici, c'est considérer que les émotions sont comme cette alarme dans la voiture, non ? C'est ce truc qui s'allume et qui te dit, attention, il y a un truc à faire. Et là, cette alarme nous dit, donc l'émotion arrive et nous dit, tu identifies tes pensées. La seule chose que les émotions veulent nous montrer, c'est là où on est dans l'illusion. Là où on est dans le mental. Donc, commencez à pratiquer ça, justement. La prochaine fois que vous ressentez une émotion, commencez par des choses petites qui ne vous déclenchent pas trop. Donc, on parle par exemple des... Ce monsieur qui vous coupe la roue quand vous allez au supermarché. Voilà, quelque chose qui ne fait pas trop. Peut-être ne prenez pas votre partenaire qui peut-être vous déclenche votre travail. Prenez quelque chose d'un peu plus léger. Et vous voyez là, ça m'a mis en colère, ce mec qui me coupe la roue là. Ah, ça c'est le truc dans la voiture qui s'est allumé pour me dire, tu identifies un discours, tu identifies à ton mental. Donc, qui est cette partie en moi qui est en colère ? qui est peut-être récent de la justice, qui est peut-être récent du manque de respect. Ok, c'était encore mon esprit qui pensait qu'il devait défendre cette identité, moi, qui existe dans le monde avec cette identité. Ok, ok, je vois. Et juste le fait de voir ça, vous verrez, c'est énorme. Quand vous voyez que c'était juste l'esprit qui faisait ce pour quoi il est désigné, c'est juste le cerveau, juste l'activité psychologique, qu'il n'y a rien de vrai. Rien de personnel, rien d'important à chercher là-dedans, juste une pensée, juste le cerveau qui fait, c'est pourquoi elle est désignée à faire. Du coup, on lâche. Ah ok, c'était juste le cerveau. On vit l'émotion, ou bien évidemment on la ressent, on veut la ressentir, mais sans le discours autour, sans ah les gens sont méchants, les gens sont pas… ça c'est le discours autour, juste dans la sensation dans le corps. Ah, un feu, une colère, ok. Ah, ok, c'était juste l'esprit. Et ça, ça va juste vous faire descendre. Sans avoir l'objectif non plus. N'ayez pas l'objectif, ah, je dois absolument réussir à sortir du mental. Parce que c'est encore le mental qui se fait faire. C'est encore lui qui vous piège. Donc, juste pratiquez ça. Remarquez que vos émotions sont le signal de la voiture pour vous dire que vous êtes identifié en narration, vous êtes identifié en discours.

  • Speaker #0

    C'est un super... C'est un super conseil et effectivement, je pense qu'on n'en manque pas dans notre journée. Des situations où on peut effectivement se dire, tiens, qui parle ? Merci infiniment, Claudia, pour cet échange. Bien sûr, comme d'habitude, dans la description de l'épisode de podcast et de la vidéo YouTube, puisqu'on aura aussi la chance de pouvoir visionner cet épisode. Je mettrai les coordonnées, en fait, je mettrai le lien de ton site internet et je pense qu'on trouvera tout dessus. Donc, voilà, ton accompagnement, ton école de coaching, tout ce que tu proposes, en fait, pour aider des entrepreneurs comme moi et pas que. En tout cas, merci infiniment, Claudia.

  • Speaker #1

    Merci à toi, vraiment un plaisir. Au revoir.

  • Speaker #0

    Merci pour votre écoute. Si l'épisode vous a plu, pensez à vous abonner et à laisser un avis 5 étoiles. Ça m'aide à faire connaître ce podcast. Ça m'encourage à continuer. N'hésitez pas à me suivre sur mon site fengshui-expert.fr ou sur les réseaux sociaux. Vous me trouverez sous le nom de Aude à la déco. Articles de blog, masterclass, formations en ligne, il y en a pour tous les goûts. Merci beaucoup, à bientôt et d'ici là, restez dans le flow !

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