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#67 LE CAS RICHARD JEWELL & LETTRE À FRANCO : Un, Dos, Traître ! cover
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FIN DE SÉANCE

#67 LE CAS RICHARD JEWELL & LETTRE À FRANCO : Un, Dos, Traître !

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46min |24/02/2020|

928

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Description

Pendant que Thomas Camacho déboule sur les pistes de ski, le reste de l’équipe de Fin de Séance a préféré observer l’effet boule de neige en germe dans les deux films de la semaine. 


Soit LE CAS DE RICHARD JEWELL de Clint Eastwood et LETTRE À FRANCO d’Aléjandro Aménabar.


Deux films « inspiré d’une histoire vraie » qui chacun à leur façon auscultent au microscope un drame du passé pour mieux décrypter les agitations de notre époque.


Priorité à l’âge avec la dernière cuvée annuelle de notre presque nonagénaire Clint Eastwood qui, dans le sillage de SULLY, continu tranquillement son introspection de l’héroïsme américain. Ce coup-ci, il revient sur un épisode oublié de l’attentat à la bombe ayant eu lieu en périphérie des Jeux Olympiques d’Atlanta de 1996 : soit l’héroïsation puis la diabolisation du pauvre agent de sécurité qui trouva l’engin du délit, et permis d’alléger grandement le décompte des victimes éventuelles, mais qui, parallèlement, se montra coupable de correspondre au profil du terroriste selon le FBI et une presse en recherche de sensationnalisme.


C’est plus discrètement que le metteur en scène chilien Aléjandro Aménabar fait son retour aux affaires dans sa contrée d’adoption en nous contant la guerre civile espagnole du point de vue de l’écrivain Miguel de Unamano, témoin privilégié de la prise de pouvoir de l’armée nationaliste et de l’ascension du futur dictateur Franco. Plus que son combat symbolique contre l’oppresseur c’est d’abord l’aveuglement et la passivité puis la prise de conscience d’un intellectuel, antiroyaliste et anti communiste, envers l’ennemi de la démocratie, qui est au cœur de ce récit lui aussi classique mais néanmoins pertinent au vu de notre l’actualité.


Pour désamorcer la lourdeur du sujet des deux œuvres plongeant dans les arcanes du passé et des secrets d’histoire, on peut toujours compter sur l’analyse pointue mais détendue de nos experts : le généralissime Pierre « j’allais la faire » Delort de Fanfootage.fr et des déclassés de cinévibe.fr, Ilan « De héros… » Ferry et Julien « …à zéro » Munoz


Crédits : "Fin de Séance" est un podcast animé par Thomas Camacho & Pierre Delort (FanFootage.fr) . Enregistré le vendredi 21 février 2020. Générique : Frédéric Delort (@fr-d-ric-delort)


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Pendant que Thomas Camacho déboule sur les pistes de ski, le reste de l’équipe de Fin de Séance a préféré observer l’effet boule de neige en germe dans les deux films de la semaine. 


Soit LE CAS DE RICHARD JEWELL de Clint Eastwood et LETTRE À FRANCO d’Aléjandro Aménabar.


Deux films « inspiré d’une histoire vraie » qui chacun à leur façon auscultent au microscope un drame du passé pour mieux décrypter les agitations de notre époque.


Priorité à l’âge avec la dernière cuvée annuelle de notre presque nonagénaire Clint Eastwood qui, dans le sillage de SULLY, continu tranquillement son introspection de l’héroïsme américain. Ce coup-ci, il revient sur un épisode oublié de l’attentat à la bombe ayant eu lieu en périphérie des Jeux Olympiques d’Atlanta de 1996 : soit l’héroïsation puis la diabolisation du pauvre agent de sécurité qui trouva l’engin du délit, et permis d’alléger grandement le décompte des victimes éventuelles, mais qui, parallèlement, se montra coupable de correspondre au profil du terroriste selon le FBI et une presse en recherche de sensationnalisme.


C’est plus discrètement que le metteur en scène chilien Aléjandro Aménabar fait son retour aux affaires dans sa contrée d’adoption en nous contant la guerre civile espagnole du point de vue de l’écrivain Miguel de Unamano, témoin privilégié de la prise de pouvoir de l’armée nationaliste et de l’ascension du futur dictateur Franco. Plus que son combat symbolique contre l’oppresseur c’est d’abord l’aveuglement et la passivité puis la prise de conscience d’un intellectuel, antiroyaliste et anti communiste, envers l’ennemi de la démocratie, qui est au cœur de ce récit lui aussi classique mais néanmoins pertinent au vu de notre l’actualité.


Pour désamorcer la lourdeur du sujet des deux œuvres plongeant dans les arcanes du passé et des secrets d’histoire, on peut toujours compter sur l’analyse pointue mais détendue de nos experts : le généralissime Pierre « j’allais la faire » Delort de Fanfootage.fr et des déclassés de cinévibe.fr, Ilan « De héros… » Ferry et Julien « …à zéro » Munoz


Crédits : "Fin de Séance" est un podcast animé par Thomas Camacho & Pierre Delort (FanFootage.fr) . Enregistré le vendredi 21 février 2020. Générique : Frédéric Delort (@fr-d-ric-delort)


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Soit LE CAS DE RICHARD JEWELL de Clint Eastwood et LETTRE À FRANCO d’Aléjandro Aménabar.


Deux films « inspiré d’une histoire vraie » qui chacun à leur façon auscultent au microscope un drame du passé pour mieux décrypter les agitations de notre époque.


Priorité à l’âge avec la dernière cuvée annuelle de notre presque nonagénaire Clint Eastwood qui, dans le sillage de SULLY, continu tranquillement son introspection de l’héroïsme américain. Ce coup-ci, il revient sur un épisode oublié de l’attentat à la bombe ayant eu lieu en périphérie des Jeux Olympiques d’Atlanta de 1996 : soit l’héroïsation puis la diabolisation du pauvre agent de sécurité qui trouva l’engin du délit, et permis d’alléger grandement le décompte des victimes éventuelles, mais qui, parallèlement, se montra coupable de correspondre au profil du terroriste selon le FBI et une presse en recherche de sensationnalisme.


C’est plus discrètement que le metteur en scène chilien Aléjandro Aménabar fait son retour aux affaires dans sa contrée d’adoption en nous contant la guerre civile espagnole du point de vue de l’écrivain Miguel de Unamano, témoin privilégié de la prise de pouvoir de l’armée nationaliste et de l’ascension du futur dictateur Franco. Plus que son combat symbolique contre l’oppresseur c’est d’abord l’aveuglement et la passivité puis la prise de conscience d’un intellectuel, antiroyaliste et anti communiste, envers l’ennemi de la démocratie, qui est au cœur de ce récit lui aussi classique mais néanmoins pertinent au vu de notre l’actualité.


Pour désamorcer la lourdeur du sujet des deux œuvres plongeant dans les arcanes du passé et des secrets d’histoire, on peut toujours compter sur l’analyse pointue mais détendue de nos experts : le généralissime Pierre « j’allais la faire » Delort de Fanfootage.fr et des déclassés de cinévibe.fr, Ilan « De héros… » Ferry et Julien « …à zéro » Munoz


Crédits : "Fin de Séance" est un podcast animé par Thomas Camacho & Pierre Delort (FanFootage.fr) . Enregistré le vendredi 21 février 2020. Générique : Frédéric Delort (@fr-d-ric-delort)


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Deux films « inspiré d’une histoire vraie » qui chacun à leur façon auscultent au microscope un drame du passé pour mieux décrypter les agitations de notre époque.


Priorité à l’âge avec la dernière cuvée annuelle de notre presque nonagénaire Clint Eastwood qui, dans le sillage de SULLY, continu tranquillement son introspection de l’héroïsme américain. Ce coup-ci, il revient sur un épisode oublié de l’attentat à la bombe ayant eu lieu en périphérie des Jeux Olympiques d’Atlanta de 1996 : soit l’héroïsation puis la diabolisation du pauvre agent de sécurité qui trouva l’engin du délit, et permis d’alléger grandement le décompte des victimes éventuelles, mais qui, parallèlement, se montra coupable de correspondre au profil du terroriste selon le FBI et une presse en recherche de sensationnalisme.


C’est plus discrètement que le metteur en scène chilien Aléjandro Aménabar fait son retour aux affaires dans sa contrée d’adoption en nous contant la guerre civile espagnole du point de vue de l’écrivain Miguel de Unamano, témoin privilégié de la prise de pouvoir de l’armée nationaliste et de l’ascension du futur dictateur Franco. Plus que son combat symbolique contre l’oppresseur c’est d’abord l’aveuglement et la passivité puis la prise de conscience d’un intellectuel, antiroyaliste et anti communiste, envers l’ennemi de la démocratie, qui est au cœur de ce récit lui aussi classique mais néanmoins pertinent au vu de notre l’actualité.


Pour désamorcer la lourdeur du sujet des deux œuvres plongeant dans les arcanes du passé et des secrets d’histoire, on peut toujours compter sur l’analyse pointue mais détendue de nos experts : le généralissime Pierre « j’allais la faire » Delort de Fanfootage.fr et des déclassés de cinévibe.fr, Ilan « De héros… » Ferry et Julien « …à zéro » Munoz


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