#Pionnières #8. Pauline Broqua, l'appel de la vigne cover
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Finta! L'Aveyron par ses voix

#Pionnières #8. Pauline Broqua, l'appel de la vigne

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42min |28/01/2023
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Après Marie-Thérèse Lacombe, Daniele Puech, Nicole Fagegaltier, Danielle Dastugue, Emmanuelle Gazel, Sarah Singla et Josette Hart, qui se sont livrées dans la première saison des Pionnières, je vous propose de compléter la collection. Aujourd’hui, avec Pauline Broqua.


Premières gelées, la brume s’accroche encore aux pieds de vigne. Sur les coteaux d’Entraygues, littéralement entre les eaux, à la confluence de la Truyère et du Lot, vit Pauline Broqua. Elle a posé ses valises ici il y a près de 5 ans, après avoir troqué son tablier de sommelière, à Toulouse, contre le sécateur de vigneronne, en Aveyron. Moins de 5 ans et déjà une reconnaissance qui dépasse largement les frontières du département pour son vin naturel sous l’AOP Entraygues le Fel.

Son caractère, sa détermination et sa revanche sur la terre s’entendent dans sa voix. Être vigneronne c’est signer, pour elle, un retour au monde agricole dans lequel elle a grandi et qu’elle s’était promis de ne jamais retrouver. Si l’appel de la terre a été plus fort, c’est parce qu’elle a trouvé, sur ce bout de terre nord-aveyronnaise, un terrain de jeu préservé de l’agriculture intensive, en phase avec sa volonté de travailler éco-logique.

Comme toutes les Pionnières de la collection de Finta, je lui ai demandé de commencer par cette phrase, à la manière d’Annick Cojean. Je ne serais pas arrivée là, si…

Retrouvez ici l'intégralité de la collection des #Pionnières.  


Les #Pionnières ont défriché des chemins, ouvert des voies, porté une voix en Aveyron et parfois bien au-delà. Toutes ont en commun ce territoire.


A partir de la ruralité, qui les a naturellement façonnées, le témoignage de ces « Pionnières » contribue à penser le rapport à l’accomplissement des femmes à la campagne, au féminisme et à l’enclavement, d’hier à aujourd’hui.  


Et si la journaliste Annick Cojean compare le parcours des femmes à des « courses d’obstacles », la ruralité en est-il un... de plus ? C’est la question, en creux, à laquelle répondent les « Pionnières » que j’ai invitées au micro de Finta!


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Après Marie-Thérèse Lacombe, Daniele Puech, Nicole Fagegaltier, Danielle Dastugue, Emmanuelle Gazel, Sarah Singla et Josette Hart, qui se sont livrées dans la première saison des Pionnières, je vous propose de compléter la collection. Aujourd’hui, avec Pauline Broqua.


Premières gelées, la brume s’accroche encore aux pieds de vigne. Sur les coteaux d’Entraygues, littéralement entre les eaux, à la confluence de la Truyère et du Lot, vit Pauline Broqua. Elle a posé ses valises ici il y a près de 5 ans, après avoir troqué son tablier de sommelière, à Toulouse, contre le sécateur de vigneronne, en Aveyron. Moins de 5 ans et déjà une reconnaissance qui dépasse largement les frontières du département pour son vin naturel sous l’AOP Entraygues le Fel.

Son caractère, sa détermination et sa revanche sur la terre s’entendent dans sa voix. Être vigneronne c’est signer, pour elle, un retour au monde agricole dans lequel elle a grandi et qu’elle s’était promis de ne jamais retrouver. Si l’appel de la terre a été plus fort, c’est parce qu’elle a trouvé, sur ce bout de terre nord-aveyronnaise, un terrain de jeu préservé de l’agriculture intensive, en phase avec sa volonté de travailler éco-logique.

Comme toutes les Pionnières de la collection de Finta, je lui ai demandé de commencer par cette phrase, à la manière d’Annick Cojean. Je ne serais pas arrivée là, si…

Retrouvez ici l'intégralité de la collection des #Pionnières.  


Les #Pionnières ont défriché des chemins, ouvert des voies, porté une voix en Aveyron et parfois bien au-delà. Toutes ont en commun ce territoire.


A partir de la ruralité, qui les a naturellement façonnées, le témoignage de ces « Pionnières » contribue à penser le rapport à l’accomplissement des femmes à la campagne, au féminisme et à l’enclavement, d’hier à aujourd’hui.  


Et si la journaliste Annick Cojean compare le parcours des femmes à des « courses d’obstacles », la ruralité en est-il un... de plus ? C’est la question, en creux, à laquelle répondent les « Pionnières » que j’ai invitées au micro de Finta!


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Premières gelées, la brume s’accroche encore aux pieds de vigne. Sur les coteaux d’Entraygues, littéralement entre les eaux, à la confluence de la Truyère et du Lot, vit Pauline Broqua. Elle a posé ses valises ici il y a près de 5 ans, après avoir troqué son tablier de sommelière, à Toulouse, contre le sécateur de vigneronne, en Aveyron. Moins de 5 ans et déjà une reconnaissance qui dépasse largement les frontières du département pour son vin naturel sous l’AOP Entraygues le Fel.

Son caractère, sa détermination et sa revanche sur la terre s’entendent dans sa voix. Être vigneronne c’est signer, pour elle, un retour au monde agricole dans lequel elle a grandi et qu’elle s’était promis de ne jamais retrouver. Si l’appel de la terre a été plus fort, c’est parce qu’elle a trouvé, sur ce bout de terre nord-aveyronnaise, un terrain de jeu préservé de l’agriculture intensive, en phase avec sa volonté de travailler éco-logique.

Comme toutes les Pionnières de la collection de Finta, je lui ai demandé de commencer par cette phrase, à la manière d’Annick Cojean. Je ne serais pas arrivée là, si…

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Les #Pionnières ont défriché des chemins, ouvert des voies, porté une voix en Aveyron et parfois bien au-delà. Toutes ont en commun ce territoire.


A partir de la ruralité, qui les a naturellement façonnées, le témoignage de ces « Pionnières » contribue à penser le rapport à l’accomplissement des femmes à la campagne, au féminisme et à l’enclavement, d’hier à aujourd’hui.  


Et si la journaliste Annick Cojean compare le parcours des femmes à des « courses d’obstacles », la ruralité en est-il un... de plus ? C’est la question, en creux, à laquelle répondent les « Pionnières » que j’ai invitées au micro de Finta!


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Premières gelées, la brume s’accroche encore aux pieds de vigne. Sur les coteaux d’Entraygues, littéralement entre les eaux, à la confluence de la Truyère et du Lot, vit Pauline Broqua. Elle a posé ses valises ici il y a près de 5 ans, après avoir troqué son tablier de sommelière, à Toulouse, contre le sécateur de vigneronne, en Aveyron. Moins de 5 ans et déjà une reconnaissance qui dépasse largement les frontières du département pour son vin naturel sous l’AOP Entraygues le Fel.

Son caractère, sa détermination et sa revanche sur la terre s’entendent dans sa voix. Être vigneronne c’est signer, pour elle, un retour au monde agricole dans lequel elle a grandi et qu’elle s’était promis de ne jamais retrouver. Si l’appel de la terre a été plus fort, c’est parce qu’elle a trouvé, sur ce bout de terre nord-aveyronnaise, un terrain de jeu préservé de l’agriculture intensive, en phase avec sa volonté de travailler éco-logique.

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Et si la journaliste Annick Cojean compare le parcours des femmes à des « courses d’obstacles », la ruralité en est-il un... de plus ? C’est la question, en creux, à laquelle répondent les « Pionnières » que j’ai invitées au micro de Finta!


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