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Soleil intérieur & météo énergétique : numérologie, intuition et transformation avec Anne-Fleur. cover
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Flammes des années 80. Le podcast qui allume la femme.

Soleil intérieur & météo énergétique : numérologie, intuition et transformation avec Anne-Fleur.

Soleil intérieur & météo énergétique : numérologie, intuition et transformation avec Anne-Fleur.

40min |20/07/2025
Play
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Description

Comment mieux vivre les turbulences énergétiques de l’été 2025 ?
Dans cet épisode lumineux et profond, Sara reçoit Anne-Fleur, créatrice du compte Soleil Quartz, numérologue et voyante. Ensemble, elles explorent l’impact des énergies collectives et personnelles sur nos émotions, nos décisions, et nos chemins de vie.

Anne-Fleur nous partage la genèse de la météo énergétique, une grille de lecture intuitive et sensible du monde invisible, née de ses ressentis, de la numérologie et de sa capacité à capter l’intensité vibratoire des journées. Elle nous parle aussi de sa méthode Soleil, un accompagnement énergétique puissant mêlant radiesthésie, magnétisme et déprogrammation cellulaire.

L’épisode aborde en profondeur :

🌞 Ce que nous réserve l’été 2025 sur le plan énergétique
🔢 Comment calculer son année personnelle en numérologie
🔥 Les grands enseignements de l’année 9 collective
⚡️ Le triangle de Karpman (victime / bourreau / sauveur) et comment s’en libérer
🌀 La part d’ombre, la colère comme boussole intérieure
🌿 Le pouvoir de l’instant présent et du recentrage
💛 La transformation par l’épreuve : accident, maladie, deuil
🌙 La puissance des synchronicités quand on s’écoute vraiment

Avec douceur et lucidité, Anne-Fleur nous livre aussi son témoignage de transformation radicale : un accident en 2017, puis l’accompagnement spirituel de son père en fin de vie. Elle partage avec sincérité la traversée du deuil, l’intuition profonde qui guide ses choix, et cette certitude :
👉 L’invisible nous parle… encore faut-il s’arrêter pour l’écouter.

Un épisode intime et vibrant pour toutes celles qui sentent que quelque chose est en train de changer.
Pour celles qui veulent se relier à leur intuition, accueillir l’imprévu, transformer la colère en message, et traverser la vie en se laissant guider par leur lumière intérieure.


🎧 Flammes des Années 80, c’est le podcast qui accompagne les femmes dans leur développement personnel, leur bien-être et leur liberté d’être.

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🎙️ Flammes des Années 80 – Le podcast qui allume la femme.
Chaque semaine, des conversations autour du développement personnel féminin, de la confiance en soi, du bien-être, de la transmission et de l’épanouissement personnel. On y explore l’introspection, les émotions, la résilience, la maternité, l’amour, la psychologie et les témoignages inspirants de femmes et d’hommes audacieux. Un podcast pour femmes, pour révéler sa flamme intérieure, oser être soi et nourrir sa spiritualité féminine.
Flammes des Années 80, pour écouter votre flamme intérieure grandir. 🔥


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Flamme des années 80. Le podcast qui allume la femme. Bonjour, je suis très heureuse aujourd'hui de recevoir Anne-Fleur. Alors Anne-Fleur, je l'ai rencontrée par Instagram et elle a un compte que j'adore qui s'appelle Soleil Quartz. Donc merci Anne-Fleur d'être là aujourd'hui. Est-ce que tu veux te présenter pour les auditeurs et auditrices qui ne te connaissent pas encore ou qui ne suivent pas ton compte ?

  • Speaker #1

    Bonjour Sarah, déjà merci pour ton invitation. Je suis très heureuse aussi d'être ici avec toi. J'allais dire parmi vous, mais nous sommes toutes les deux. Donc, je m'appelle Anne Fleur. J'ai créé mon compte Soleil de Quartz en 2020, quelque part, 20-21. Je n'ai plus en tête. L'idée, c'est de pouvoir mettre des mots sur les ressentis énergétiques qu'il y a autour de nous. Et donc, j'ai créé la météo énergétique. Ça a été ma première création sur Instagram. Aujourd'hui, je suis numérologue et voyante. et ce depuis 2022. Je me suis lancée en 2022 et c'est déjà pas mal.

  • Speaker #0

    C'est déjà tout un programme. J'avoue, en fait, moi, je trouve que ta particularité, c'est assez sympa, c'est que c'est assez léger. Il y a un côté léger, il y a un côté lumineux, il y a un côté soleil, quoi, parce que c'est le nom. Pourquoi tu as choisi Soleil Quartz, du coup ?

  • Speaker #1

    Alors, au départ, c'était pas du tout Soleil de Quartz, c'était Fleur de Quartz, parce que je m'appelle Anne Fleur. Et au tout début, la première intention que j'avais, c'était de partager de la litho, créer des bijoux, etc. Et je n'aimais pas trop fleurs de quartz. Et en fait, j'ai une amie qui m'a dit, mais tu es très solaire et tu illumines beaucoup. Et c'est du coup le mot soleil de quartz qui m'est venu à ce moment-là.

  • Speaker #0

    Ah sympa, j'aime bien voir les origines des titres. Enfin des titres, les origines des noms.

  • Speaker #1

    Et finalement, c'était annonciateur de ce que j'allais faire, parce que j'ai créé la météo très peu de temps après. Donc le soleil a créé la météo.

  • Speaker #0

    Alors, comment est-ce que tu fais pour faire voir en sorte qu'il y a une météo énergétique ? On trouve ça toutes géniales, ou tous, mais comment est-ce que toi, tu canalises ces choses-là ? Comment ça se passe ?

  • Speaker #1

    Je le ressens. Il y a deux choses. Il y a toutes les canalisations que j'ai par ma clairvoyance. En fait, je me pose et je me dis tiens, qu'est-ce qui va se passer ? Plus des petits calculs numérologiques sur lesquels je m'appuie aujourd'hui pour pouvoir... J'ai créé en plus l'intensité énergétique des journées, lourde, explosive et intense. électrique. Et l'autre chose, je capte les ressentis qui vont être... qui vont nous suivre tout au long du mois et puis après, je me concentre jour après jour. Et en fait, je ne peux pas t'expliquer, ça vient, c'est des mots qui viennent, des phrases qui viennent toutes seules que je capte. Je suis assez terre-à-terre, donc au début, je n'y croyais pas beaucoup. Et en fait, à force de l'avoir fait avec mon entourage, mes amis, en leur disant « demain, ça va être chaud, machin » , j'ai vu que c'était plutôt juste et c'est comme ça. J'ai commencé très doucement. un peu timidement. Et puis, au fur et à mesure, j'ai pris confiance. Après, le syndrome de l'imposteur fait que j'ai regardé la résonance de Schumann et autres trucs. Et en fait, parfois, je n'étais pas d'accord avec... Enfin, pas d'accord. Je ne ressentais pas la même chose. Donc, je me suis détachée de ça et je le fais maintenant complètement de manière intuitive.

  • Speaker #0

    D'accord. Et là, c'est bien parce que comme on arrive au début de l'été, est-ce que cet été sera chaud ? Comment va être cet été ? Parce qu'on a tous envie de vivre l'été parce que c'est une période qui est vraiment toujours assez sympa. Qu'est-ce que tu peux nous en dire de cet été ?

  • Speaker #1

    Alors cet été, il sera chaud, il sera beau, il sera chaud. Il faut savoir que le mois de septembre, l'année 2025, c'est une année d'ascension. C'est une année en numérologie, une année neuve, donc c'est la fin d'un cycle. Ce qui veut donc dire que janvier a commencé à un niveau et pour moi, le point culminant sera septembre. Donc cet été, on va sentir déjà les prémices de la canicule de septembre. Et je pèse mes mots quand je dis canicule de septembre. canicule énergétique, bien sûr, je ne sais pas quelles seront les prévisions météo à ce moment-là, mais du coup, juin, juillet, août vont être des mois de préparation. Ça va monter petit à petit. Forcément, ça peut être parfois désagréable. Après, ça dépend de la vie de chacun. Parce qu'il y a ce qu'on capte pour le collectif et comment chacun le vit. Et ça dépend aussi de l'avancée de chacun, si on a des soucis ou si on n'a pas des soucis. Ce qui est certain, c'est qu'on n'a plus le choix et c'est ce qui se passe. Il y a beaucoup d'événements qu'on ne voyait pas venir qui sont en train de se produire. Il y a des imprévus et il y en aura encore plus cet été. Par peur, par exemple, si tu ne vas pas à gauche, l'univers risque de te pousser fortement à aller à gauche. Parce que c'est souvent là où on a peur qu'il faut aller. Donc, je sens un été caniculaire énergétiquement parlant. Ça ne veut pas forcément dire qu'on le vivra hyper mal, parce que l'été, on a tendance à vivre des énergies de manière plus légère, puisqu'on n'est pas dans l'hiver, le froid, le machin. Pour autant, ça va un peu remuer, secouer. Tu vois, c'est un peu comme la bouteille d'orangina. Secouer là, sinon la pull, c'est un peu... Tu vois, c'est comme ça que je capte la météo. C'est que j'ai des phrases qui me viennent toutes faites. J'ai vraiment ce truc de secouer. On va être secoués cet été, c'est certain. Ce n'est pas pour nous mettre à mal, c'est vraiment parce qu'on doit bouger, parce qu'il y a des choses qui doivent avancer, parce qu'on doit se libérer, parce que d'une manière collective, il y a des relations qui doivent s'arrêter, quelles qu'elles soient. Ce n'est pas que dans le sentimental, c'est professionnellement, amicalement, etc. En astrologie, Saturne vient de passer en bélier, et est passé en bélier au mois de mai. Il a quitté le poisson. Le poisson, c'était typiquement le triangle de Cartman. Je fais un raccourci, très raccourci. Au niveau des relations, on doit avoir des relations très alignées à nous et non pas s'abandonner, s'effacer, etc. Du coup, il y a un espèce de ménage qui va être fait.

  • Speaker #0

    Je disais juste pour le triangle de Cartman, parce que certaines personnes ne connaissent pas forcément. Victime, bourreau, sauveur. Et c'est... Moi, je l'explique toujours comme si on était dans une troisième dimension de conscience, c'est-à-dire que 80% de la population sont vraiment dans ce triangle-là de toujours se positionner en victime ou se plaindre, ou alors de venir... C'est toute une petite danse que tout le monde connaît, on y passe encore, et de prendre conscience de ça pour aller un peu plus haut et pour ne plus être dans ces relations-là. C'est ça que tu entends dire ? On va essayer d'en sortir ?

  • Speaker #1

    Oui, on doit en sortir. Chacun doit reprendre sa responsabilité, reprendre un peu sa juste place dans sa vie. Et juste pour revenir sur le triangle de Karpman, pour le sauveur, parce que souvent, le sauveur, c'est quelque chose qu'on a du mal à percevoir. On se dit, bah oui, mais moi, j'aide. En fait, le sauveur dans le triangle de Karpman, il est toxique parce qu'il est... C'est souvent des personnes qui font des choses sans le consentement de l'autre. Tu vois, je viens t'aider, mais je te demande pas si t'as envie que je t'aide. Et c'est souvent comme ça qu'on rentre dans le triangle de Karpman par le rôle du sauveur. Ça, c'était en aparté. Et aujourd'hui, le 9 en numérologie, c'est justement le sauveur. Donc, on a beaucoup ce côté sauveur qui peut être activé cette année. Sauf que l'idée n'est pas d'aller sauver pour sauver. L'idée, c'est de proposer son aide et de laisser libre la personne en face de l'accepter ou non. Et de sortir de ces relations. Parce que même si on le joue très souvent dans notre vie, ce n'est pas pour autant un schéma relationnel positif. Et souvent, ça nous entraîne un peu dans des relations assez déséquilibrées, puisque ce n'est pas les gens qui sont toxiques, c'est la relation qui le devient de par la position qu'on prend. Donc, ce que je te disais, c'est qu'effectivement, on doit sortir de ce rôle-là, de ce schéma de fonctionnement-là, et pouvoir reprendre sa juste place dans notre vie, être libre de se réaliser comme on l'a envie, selon le chemin que... Notre âme avait, si on croit à ça, ce que notre âme avait décidé de vivre juste avant de s'incarner, en fait. Être pleinement... Passer les vacances. Non, c'est pas vrai. Après, non, c'est... C'est le 9e mois de l'année d'une année neuve. Donc, il y aura sans doute beaucoup de séparations. Le 9, c'est la fin d'une étape. Donc, sans doute beaucoup de séparations, beaucoup de... Quand je dis séparations, c'est pas que humain, c'est matériel, etc. Après, j'ai quand même constaté qu'il y a beaucoup de décès aussi cette année, des décès auxquels on ne s'attendait pas. Et comme je te l'ai dit, j'en ai vécu un mois à titre personnel. Donc jusqu'en septembre, de toute façon, il y a beaucoup de choses qui vont un peu nous tomber dessus. Et ensuite, sur les trois derniers mois de l'année, c'est un peu comme un récap de tout ce qui vient de se passer cette année, mais sur une énergie qu'on connaît déjà. Donc ça va être moins difficile que ce qu'on va vivre jusqu'en septembre. Et ensuite, en 2026, nouveau départ, nouvel élan. Tu vois, c'est vraiment le chemin du renouveau qui arrive sur 2026. Donc 2025, c'est le grand ménage.

  • Speaker #0

    Et comment influence notre chemin de vie personnel, par exemple ? Moi, par exemple, je suis en année 1. Toi, je ne sais pas en quelle année tu es. Mais du coup, ça influence comment par rapport... Après, ce n'est peut-être pas ta spécialité. Là, je te lance là-dessus parce que ça me donne envie d'imaginer.

  • Speaker #1

    Je suis très formée. C'est une passion, la numéro, donc ça va. Une question qui m'a déjà été posée, je te remercie de la poser. Ce n'est pas facile de faire ce rapport parce que toi, en année 1, on est collectivement en année 9, ça veut dire que tu es un peu aux deux opposés. Donc, je ne sais pas comment toi, ça se matérialise, mais tu as envie de nouveautés, tu as des choses qui peuvent émerger dans ton quotidien ou des nouveaux projets. Le 1, il ose tenter des nouvelles expériences. Il y a aussi tout un travail sur la place, comment prendre sa juste place ou incarner une nouvelle facette. Le 1, c'est un peu le guide, le leader, etc. en année 1, on a tendance à commencer des nouvelles choses. Ce qui veut donc dire que tu dois jongler entre... Collectivement, il y a des choses qui vont s'arrêter, mais toi, personnellement, t'as vraiment envie de créer quelque chose de nouveau. Et donc, c'est vraiment le côté... Parce que le neuf, c'est vraiment je me laisse porter par l'univers. Moi, je parle de l'univers, chacun a ses croyances, mais se laisser porter par l'univers, c'est lui qui est un peu le chef d'orchestre. Et toi, en fonction de ce qui se passe dans ton quotidien, et bien euh c'est tu instaures du nouveau. Et ça peut être des nouvelles propositions. Il y a plein de possibilités et c'est assez riche. Moi, je suis personnellement en année 5. Le 5, c'est la liberté, la passion, le mouvement, le changement, les déplacements, etc. Mais c'est aussi suivre le flot. Donc, de toute façon, cette année, je n'ai pas le choix. Je dois suivre le flot d'une façon ou d'une autre. Je n'ai pas la main, je me laisse guider et j'avance. Pour des personnes qui vont être en année 4, c'est une année de structuration et d'organisation. Ce n'est pas facile. Parce qu'avec le côté « je dois arrêter, je dois faire du ménage dans l'année 9, dans le collectif » , ce n'est pas facile de se structurer un peu quand c'est le chaos autour de toi. C'est difficile de retrouver son cadre. Mais le cadre, c'est aussi l'instant présent. Donc souvent, c'est revenir dans l'instant présent qui permettra d'avancer.

  • Speaker #0

    Et du coup, pour nos auditeurs et auditrices qui ne savent pas calculer, entre guillemets, leurs chiffres de numérologie pour l'année, comment est-ce qu'il faut faire ?

  • Speaker #1

    Alors, pour l'année personnelle, C'est le jour de naissance additionné au mois de naissance additionné à l'année 2025 et le tout réduit à 1. Donc, tu réduis systématiquement à un chiffre.

  • Speaker #0

    C'est ça, parce que dans la numérologie, il y a l'année collective, notre année personnelle et on a aussi notre chemin de vie qui part avec notre année de naissance. Il y a trois, on peut avoir trois chiffres.

  • Speaker #1

    On peut en avoir plein d'autres, mais là, on va rentrer dans une formation complète en numérologie. Ce n'est pas le but, mais effectivement, il y a le chemin de vie. qui est l'addition du jour, du mois et de l'année de naissance. L'année personnelle, c'est jour plus mois plus année en cours. Et là, ça te donnera un chiffre d'année. Et après, tu as l'année collective, c'est juste la réduction de 2025 qui fait 9.

  • Speaker #0

    Ah là, c'était trop intéressant. Je n'avais pas prévu de parler de numérologie, mais je trouve ça trop chouette. Et toi, du coup, tu t'es formée à tout ce qui est genre astro, parce que c'est très compliqué l'astro. Il y a beaucoup de choses à comprendre. Toi, comment est-ce que tu fais ? Tu mets aussi ton intuition à l'intérieur de ça ? Tu as fait ta petite tombouille personnelle ?

  • Speaker #1

    Je n'ai aucune formation astrologique. C'est à force de discuter. J'ai une amie astrologue. Donc, à force de discuter avec elle, j'ai acquis du savoir. Je viens de démarrer une formation en astrologie, mais jusqu'alors, je refusais de me former parce que je voulais vraiment laisser que mon intuition parler. Et après, je me suis beaucoup formée en numérologie et j'ai compris. Tu sais, j'ai ramené... La numérologie, en général, c'est plutôt pour... son âme, son thème personnel, etc. Et j'en ai... En fait, je l'ai détourné pour en créer une numérologie plutôt énergétique qui m'aide à capter, tu vois, à voir un peu au-delà de... à pouvoir capter plus facilement, en fait, ce qui va se passer en amont. Parce que je sais le faire au fur et à mesure, jour après jour, mais j'avais à cœur, j'avais envie de vraiment pouvoir faire comme en astrologie, une prévision, tu vois, sur l'année complète. C'est ce que j'ai fait, d'ailleurs. cette année en 2025, c'était la première année où je créais le calendrier énergétique sur l'année 2025 qui donnait l'intensité des journées. Donc aujourd'hui, c'est numérologie plus mes propres canalisations.

  • Speaker #0

    Trop bien. Et en fait, tu proposes aussi la méthode soleil, tu proposes plein de choses pour nous accompagner, parce que c'est vrai que moi, ça me donne envie. Et ce que j'aime trop, c'est que le matin, je peux regarder, tu fais des petits tests aussi, enfin pas des petits tests, mais des petits, pour faire marcher notre intuition, choisir une petite... cartes. Le matin, je trouve ça assez agréable pour commencer bien la journée. Mais tu ne fais pas que ça. Et donc après, tu la météo énergétique et d'autres, justement, formule que tu proposes pour nous éclairer.

  • Speaker #1

    Le matin, je fais le mood du jour. Ça te donne un peu une indication de ce qui va se passer pour toi aujourd'hui d'une manière personnelle, personnelle collective. Et après, j'ai créé la méthode soleil il y a un peu plus de deux ans, qui est mon accompagnement collectif énergétique. J'en parlais ce matin en story. Ce n'est pas facile d'en parler parce que ce n'est Ce n'est pas un... Un frigo chez l'Arctique, tu peux palper. C'est vraiment un accompagnement. Donc ça se vit, c'est de l'humain. Il est énergétique, j'y pratique la radiesthésie, donc c'est le pendule, le magnétisme, les déprogrammations des morts cellulaires, parce que c'est une formation que j'ai faite aussi. Je mets en fait tous mes outils à disposition dans la méthode soleil, en plus de mes canalisations, mes captations énergétiques des journées. L'idée, c'est que quand tu rentres dans la méthode soleil, tu sois accompagné. un peu comme tu vois, tu regardes ta météo sur TF1, dans la méthode soleil, tu as la météo du jour ou des deux jours à venir. Et comme ça, comme je dis, une âme avertie en vaut deux. Tu sais comment appréhender les journées qui arrivent. Et si tu dois prévoir des événements importants, je le conseille souvent, on ne fait pas ça en journée électrique, tu vois, par exemple, parce que c'est très électrique autour de nous et ce n'est pas propice au développement de projets, par exemple. Après, quand on n'a pas le choix, on n'a pas le choix. Du coup, ça permet d'appréhender et ensuite... Il y a aussi un accompagnement, c'est du collectif, mais je suis très disponible en message privé pour les gens qui sont dans la méthode soleil. Pour les aider, en fait, à éplucher, c'est pas joliment dit, mais éplucher l'oignon. Tu vois, quand tu commences à travailler un peu sur toi, tu identifies les masques, les blessures, etc. Et c'est pas forcément facile à faire seul, de se regarder soi-même et de se dire, je suis comme ci, je suis comme ça. Et donc, c'est ce que je fais aussi au travers de la méthode soleil. Je les aide à avoir un regard extérieur sur la situation dans laquelle ils sont, pour comprendre ce qui s'est joué à ce moment-là et que chacun reprenne sa place et ses responsabilités.

  • Speaker #0

    Ah, trop bien.

  • Speaker #1

    Ça, c'est la bonne. Et après, je propose le Mood du mois en ce moment. J'ai fermé les consultations pour l'instant. Je ne sais pas exactement quand est-ce que je les reprendrai. Mais j'ai fermé les consultations. J'ai encore besoin de temps pour atterrir après tout ce que j'ai vécu. Mais j'ai quand même créé le Mood du mois qui est un mix entre ta numérologie personnelle, parce que tu as l'année, mais tu as aussi les mois et les jours qui vibrent selon des chiffres. Donc, tu as ton Mood du mois qui te donne une information selon ton thème personnel en numérologie. Et je prends une carte d'un oracle en support et je te livre une canalisation de ce qui va possiblement se passer sur ton moi. Comme ça, ça t'aide à mieux vivre ou mieux appréhender ce qui va se passer.

  • Speaker #0

    Mais ce que je trouve vachement intéressant dans tout ça, c'est ce que tu dis, c'est que tu vas nous donner le mood du moi. Et en fait, à un moment donné, ça permet aussi de prendre du recul. Ça ne veut pas dire que ça ne va pas se passer, mais ça veut dire que prendre du recul par rapport au fait que des fois, on peut peut-être se sentir énervé et du coup, on va peut-être blâmer l'autre. Donc, rentrer dans le triangle de Karpman ou être... Sauf qu'en fait, quand on est averti, comme tu dis, une âme avertie en vaut deux, c'est qu'on va plus prendre du recul, mettre en conscience des choses. Et du coup, ça va nous aider justement à faire ce petit décalage comme ça entre ce qui se passe, qui n'est pas forcément ancré dans nous, mais que de pouvoir en fait prendre du recul. Et je pense que ça permet de vivre les choses de plus apaisé. Même si la vie, elle n'est pas que... Même si quand on va voir un voyant ou quand on va voir une astrologue, on a envie qu'on ne dise que des bonnes choses, mais... La vie, elle n'est pas toujours linéaire, elle n'est pas toujours positive. Il faut juste apprendre à danser sous la pluie, j'ai envie de dire. Et à toujours voir le soleil, quoi qu'il arrive, à travers les nuages. Moi, c'est cette philosophie-là que j'entends de toi et que je trouve ça assez chouette, en fait.

  • Speaker #1

    Ce que je dis souvent, c'est que si tout était facile et fluide, il n'y aurait aucun intérêt à travailler sur soi. Si on avait tous une vie magique, etc. Ça ne te pousserait pas à aller regarder les blessures, à régler quelques bagages que tu traînes d'ici ou d'ailleurs, carmique ou trangé. Donc, tu sais, c'est quand on est dans la difficulté que là, on s'active en se disant, bon, il faut que je sorte de là. Donc, comment je sors de là ? Et c'est à ce moment-là que le travail s'enclenche. Ça, c'est la première chose. La deuxième chose, c'est qu'il n'y a pas de travail sans part d'ombre. Et l'idée n'est pas de se dire, je ne veux plus de ma part d'ombre. C'est qu'elle fait intégralement partie de soi. et donc du coup c'est accepté pleinement sa pardon. Par exemple, je suis quelqu'un qui se met en colère. Mon intuition s'exprime par la colère, c'est-à-dire que dès que ma colère s'éveille à l'intérieur de mon corps, c'est qu'il y a un truc qu'il faut que je regarde. Et j'ai longtemps voulu apaiser cette colère en me disant « quand même, elle ne peut pas exister, tu ne peux pas te mettre en colère comme ça » . Et en fait, je me suis dit « elle fait partie de moi, je suis comme ça, c'est mon radar en fait » . Et donc du coup, la deuxième chose que je dis, c'est que Merci. On est autant l'ombre que la lumière. Et donc, quand on va bien, c'est vrai qu'on a tendance à briller, etc. Mais quand on a des difficultés, on a le droit aussi d'activer nos parts d'ombre. Et la troisième chose que je voulais te dire par rapport à ça, sur le mood du mois, si par exemple, ce qui m'est venu quand tu m'en parlais, si par exemple, tu es en mois 11-2 le mois prochain, le 11 va te rendre plus sensible, plus hypersensible, plus à fleur de peau. C'est comme ça, ça ne s'explique pas, ça s'active. C'est vraiment de l'énergie. Parce que l'énergie, elle circule toute autour de nous. Et donc... Donc, la manière dont tu reçois l'énergie à ce moment-là te rend plus sensible. Si tu sais que tu vas plus facilement te vexer, plus facilement mal prendre les choses, etc., bouffée d'oxygène, tu recules et le mois se passe différemment.

  • Speaker #0

    Oui, tu ne vas pas forcément prendre le rendez-vous avec la personne. Tu sais qu'à la base, si tu te saoules, là, ce n'est pas l'idée. Tu diras, on se verra le mois prochain.

  • Speaker #1

    Voilà.

  • Speaker #0

    Mais ce ne sont que des petites choses comme ça. Et puis surtout, c'est apprendre à mieux se connaître parce que je trouve que... On apprend tous les jours à se connaître déjà et même on peut se surprendre soi-même et donc de travailler sur soi pour apprendre à se connaître. Comme tu disais, par rapport à la colère, c'est un moteur que tout le monde peut avoir. Après, l'idée, j'imagine, comme tu travailles sur toi, ce n'est pas de quand tu as la colère, du coup, de la déverser sur les autres, ce que peut-être tu pouvais faire avant, mais maintenant de le prendre dans quelque chose d'un moteur qui fait en sorte que d'accord, ça me donne l'idée. Mais je pense que tout le monde, par rapport à toutes les émotions, elles sont là pour juste nous montrer le chemin, entre guillemets. Là, c'est dangereux. Là, ça te met en colère. Donc, c'est un truc que tu n'as pas forcément réglé. Là, je pense.

  • Speaker #1

    Quand la colère s'active, ça me permet de faire une pause. C'est souvent ce qu'on conseille quand tu es prise par une émotion très forte. Pause avant de réagir. Prends du recul, quitte à laisser trois jours, on s'en fiche. Mais les émotions primaires, je ne parle pas de toutes, parce qu'il y a un panel d'émotions qui existent, mais on reste sur des émotions basiques. Je dis qu'il y en a cinq à la hauteur des cinq blessures de l'âme. Je travaille beaucoup autour des blessures de l'âme, de l'isbourbeau. La colère, quand elle s'active chez moi, je préviens la personne en face. Là, j'ai un truc qui s'est activé en moi. Soit je prends le temps de débriefer avec la personne en face de moi parce qu'elle est capable de le faire. et c'est ok, soit elle l'est pas et dans ces cas là je prends le temps moi de regarder je me fais accompagner s'il y a besoin parce que souvent quand on est soit avec soi c'est compliqué de comprendre ce qui s'est activé avant j'étais pas du tout comme ça avant 2020 j'étais, parce que c'est que récemment que je suis rentrée ça fait 5 ans mais c'est quand même assez récent avant j'étais pas du tout comme ça et ma vie elle a basculé elle m'a poussée, tout à l'heure quand je te disais l'univers ne nous laisse pas le choix à un moment donné je l'ai personnellement vécu en 2017. C'est-à-dire que j'ai accumulé, accumulé les années précédentes, jusqu'à ce jour où ça a stoppé et ça s'est arrêté. Et en fait, j'ai eu mon accident qui m'a forcé à regarder à l'intérieur de moi ma vie. Où est-ce que j'avais dit oui, tu vois, le 2 mai 2017, je signais un appartement alors que je savais pertinemment, j'avais dit cinq jours plus tôt à ma psychologue, je ne peux pas acheter avec mon ex-mari. Ce n'est pas possible. Enfin, mon mari à l'époque. Mais j'y suis quand même allée, j'ai signé. Le 16 novembre 2017, je suis tombée. J'ai eu mon accident avec mon fils qui m'a valu d'être handicapée, qui m'a valu un an de rééducation, etc. Ça a été une période très sombre, mais aujourd'hui, ça a été ma plus belle transformation. Avant l'accident, je suis mariée, propriétaire, maman, j'ai un job. Je suis adjointe chef des ventes dans l'automobile après 2017. Je suis divorcée, handicapée, maman solo, je viens de déménager dans le sud et à mon compte, tu vois. Mais je suis pleinement, je me sens à ma place aujourd'hui, alors que je ne l'étais pas avant du tout.

  • Speaker #0

    C'est intéressant parce que souvent, on imagine que la vie décase tout le monde, même quand moi, je suis célibataire. Donc du coup, souvent, c'est mais alors quand tu vas vraiment rencontrer quelqu'un, mais en fait, je suis très heureuse. Alors, je ne dis pas que je ne rencontrerai personne et que c'est super, mais on peut être très heureux sans être dans la feuille de route que... On a décidé il y a je ne sais pas combien d'années que ça doit se passer comme ça. Et c'est ça qui est intéressant, c'est de s'écouter. Chacun est très heureux de vivre sa vie et que sa vie peut évoluer, peut changer. Et comme tu dis, si jamais on ne s'écoute pas, des fois, on ne laisse pas trop le choix.

  • Speaker #1

    Non, on n'a pas le choix. Parfois, c'est plus fort que nous. Je suis issue d'une famille où il fallait être mariée, avoir des enfants, travailler, machin, machin. Et aujourd'hui, je ne suis pas du tout dans ce schéma-là. Pour autant, je suis... très heureuse. Bien sûr, il y a des jours où c'est moins bien. Tout n'est pas linéaire. Et il y a des moments où c'est plus dur que d'autres. Mais je me sens beaucoup plus à ma place aujourd'hui que je ne l'étais avant. Pourtant, avant, j'avais tout pour être heureuse. Un mari, un job, machin. Mais ce n'était pas ce qui m'animait. Ça n'allumait pas la flamme que j'ai à l'intérieur de moi. Là, aujourd'hui, quand j'accompagne, quand j'accompagne les gens dans leur transformation et qu'on arrive à débloquer des situations, etc., et que je vois l'autre, vraiment s'épanouir, là je me dis, là t'es à ta place. Hier j'étais en séance avec quelqu'un, pendant la séance elle a eu un appel, elle me l'a dit après, elle m'a dit écoute, il y a quelqu'un qui, j'ai un recruteur qui m'a appelé pendant la séance, c'est quelque chose, c'est un job, enfin elle voulait changer de job, ça ne s'activait pas, etc. Bref, et tu vois, pendant la séance ça travaillait déjà, après la séance elle était capable de dire oui, et là je sais qu'elle va partir sur le chemin là où elle doit aller, mais parce qu'elle était à un Carrefour. Et souvent, j'arrive au Carrefour. Je dis souvent, quand je rentre dans la vie des gens, c'est que c'est le moment. C'est le moment du grand changement. J'ai accompagné des centaines de personnes à travers la méthode Soleil et aussi en individuel. Toutes les personnes que j'ai accompagnées, c'était vraiment à l'aube du grand saut. Je ne sais pas si tu l'as vécu toi, mais c'est principalement des personnes qui ont une première partie de vie. Et maintenant, j'ai envie de vivre pour moi. J'ai envie de découvrir qui je suis, où est-ce que je vais, etc.

  • Speaker #0

    C'est intéressant ce que tu dis parce que je pense que quand on accompagne des gens, on les accompagne à la hauteur de nous, ce qu'on a vécu. Et comment est-ce qu'on peut justement les accompagner ? Parce que toi, tu as traversé le feu. Ce que tu racontes, c'est exactement ce que tu as vécu. Donc, les gens qui sont en train de vivre ça, ils vont aller te voir toi parce que toi, tu es la lumière qui est déjà... Moi, j'aime bien cette allégorie de... Bon, t'as traversé le feu, t'es passé de l'autre côté, donc maintenant tu connais le chemin, donc tu peux leur dire « Hey, c'est par là, c'est super ! » Et moi, dans mes accompagnements, c'est autre chose que je développe et que... Et je trouve ça merveilleux parce que souvent, c'est pour ça même par rapport à l'astro, que tu n'as pas forcément la formation, mais que tu es en train de la faire. C'est quand on est dans notre intuition et dans notre vécu, dans notre chair surtout, quand on vit les choses, il n'y a pas de formation pour ça. Tu ne peux pas te former à avoir vécu ce que tu as vécu là et il n'y a personne d'autre qui peut accompagner mieux sur cette problématique-là que toi, parce que toi, tu l'as vécu. Et donc, du coup, tu le sais dans ta chair, tu sais ce que c'est. Donc forcément, tu vas comprendre l'autre et la personne va se sentir beaucoup plus comprise.

  • Speaker #1

    Tu ne peux pas dire à quelqu'un « fais quelque chose » si toi-même tu ne le fais pas ou tu ne l'as pas fait. Et en plus, c'est beaucoup plus légitime et crédible d'être accompagnée par quelqu'un qui a déjà traversé, même si ce n'est pas exactement la même chose, mais c'est les mêmes émotions. Tu ne peux pas te sentir légitime si je n'avais pas vécu tout ce que j'avais vécu. parce que si tu veux, j'ai... Je n'ai pas été à la rue, mais je n'étais pas loin de la rue. Donc, j'ai connu une situation financière hyper stable. J'ai connu le moment où tu te dis comment je vais faire. Et aujourd'hui, la stabilité financière à nouveau, tu veux, mais par moi-même. Dans mes accompagnements, j'ai beaucoup de gens qui ont un vrai problème. De toute façon, l'argent a toujours été un problème, mais ont un vrai problème de si je quitte. Souvent, c'est ça. Si je quitte le foyer que j'ai là, comment je vais faire pour m'en sortir toute seule ? souvent c'est financier, puis après il y a tout le côté gestion du quotidien, etc. Et parce que je l'ai fait, elles me le disent, tu nous inspires, parce que j'ai fait et je parle de quelque chose que j'ai fait. Et là, dans la méthode soleil ces derniers mois, c'est la seule chose que j'ai gardée pendant l'accompagnement de fin de vie de mon papa. Donc pour situer, je suis arrivée en octobre dans le sud, le 1er novembre dans le sud, et le 14 novembre, mon papa a été diagnostiqué d'un cancer du cerveau foudroyant, un glioblastome. Et donc, j'ai vécu et il est décédé le 8 avril. Tu vois, donc, c'est allé très, très vite. Je le savais. En fait, tout ce que j'ai vécu ces quatre dernières années, tu vois, juste avant l'annonce du diagnostic, m'a permis de me faire confiance. Je savais le diagnostic avant qu'on nous le donne. C'est-à-dire que le lundi soir, on nous l'a annoncé le mardi. Le lundi soir, j'ai eu une montée d'angoisse. Mon corps a parlé avant même qu'on nous ait mis les mots dessus. Et j'ai préparé, j'ai dit à ma sœur. Je sais que c'est quelque chose qui fait qu'il ne restera pas longtemps. Et ensuite, j'ai vécu l'accompagnement de la maladie de mon père. J'ai accompagné mon père dans son dernier chemin. Et je me souviens de lui avoir dit, j'avais fait cette transition-là, je lui avais dit, tu sais, Dad, quand tu as pris ta retraite, tu t'es fait coacher. Et bien là, tu vas devoir faire pareil. C'est-à-dire que tu n'as pas le choix. Tu sais que tu vas décider. Parce que le glioblastome, c'est souvent... Les médecins le... disent que le pronostic vital est engagé. Même si la personne est en bonne santé, on sait que l'issue est fatale, il n'y a pas de traitement, il n'y a rien. Ce qu'on ne sait pas, c'est à quel moment. Donc, il faut savoir vivre dans l'instant présent, profiter de l'instant présent. Et en plus, j'ai accompagné mon père à ce moment-là spirituellement, parce que c'est à ce moment-là que lui s'est complètement ouvert. Tu vois, il a été vachement... Il a tout retenu. En fait, le cancer a touché une zone qui fait qu'il était complètement désinhibé. Donc, plus de filtre sur ses émotions, etc. Donc j'ai découvert une nouvelle personne. Mais j'ai surtout fait confiance à mon intuition. Et dès le début, elle m'a dit profites-en. Jusqu'au bout, profites-en. Parce que j'ai déménagé en 15 jours et je suis arrivée au moment où on découvre son cancer. Donc j'ai pu accompagner mon père et j'ai vraiment la chance de l'avoir fait. Je l'ai accompagné jusqu'au dernier jour. Je l'accompagne ma mère encore aujourd'hui. Mais ça m'a permis de vivre cette expérience d'une manière complètement différente. Parce que déjà, je sais qu'il y a autre chose après. Je sais que la mort n'est pas une fin en soi. Je sais qu'à un moment donné, quand lui, il aura atterri aussi, on pourra... réavoir des signes, des échanges, etc. Mais surtout, j'ai pu être dans l'instant présent, alors qu'avant, je contrôlais beaucoup, j'avais besoin d'avoir la projection, la vision, le machin, le truc. Là, j'ai pu les jours comme elles venaient, et j'avais même dit à mon père « Viens, Dad, on fait un kiff par jour. Tous les jours, tu me dis ce que tu veux, et je t'emmène où tu veux. » Donc, tous les jours, on faisait un truc jusqu'à ce qu'il ne puisse plus marcher. Mais j'ai vraiment pu profiter. Et si je n'avais pas fait tout le travail en amont que j'avais fait, je n'aurais pas profité de la même façon. et je ne me serais pas fait confiance. Ce n'est pas facile de se dire... de savoir que ton père ou ta mère est condamné, de le savoir. Et les gens autour de moi me disaient, mais comment tu sais ? Je sais, tu vois ce que je veux dire ? C'est vraiment pas facile, mais mon père, ça lui a permis de tout préparer, parce que c'est un grand contrôlant. Il a pu préparer son dernier voyage comme il le voulait et à l'image qu'il voulait.

  • Speaker #0

    Tu vois, après, laisser des souvenirs pour les enfants, un message pour ma mère, etc. Et il m'a dit, toi, tu es vraiment extraordinaire parce que je peux tout te demander. Il n'y a rien qui te choque. Non, il n'y a rien qui me choque.

  • Speaker #1

    Ah, c'est beau. C'est hyper, hyper touchant. Et souvent, c'est marrant parce que pour les gens qui ne vivent pas forcément la maladie et qui ont la chance de ne pas la vivre, il y a aussi une part. Alors, c'est des cadeaux très, très mal emballés. Et moi, je vis la même chose avec mon papa. Ce n'est pas un cancer, mais c'est une maladie d'Alzheimer. et en fait c'est un très beau cadeau qui me... Je le dis comme ça parce que je n'ai pas eu le choix aussi à un moment donné de le prendre comme un cadeau et du coup d'être dans le moment présent, de voir parce qu'avec Alzheimer, tu ne peux plus avoir vraiment de conversation existentielle. Tu peux juste être là, regarder l'oiseau, partager des choses très simples et se connecter sur un autre plan déjà. Je trouve ça hyper intéressant, c'est ça que je rebondis là-dessus parce que ça me touche. Et en fait, c'est vrai que ça met un peu de temps d'acceptation et les gens qui ne vivent pas ça ne l'entendent pas en fait. et ils entendent peu de la peur et ils fuient un petit peu ces situations ils disent mais comment tu fais moi je pourrais jamais et ces phrases je pense que tu as déjà dû les entendre moi je pourrais pas vivre avec ça et en fait tu te dis déjà t'as pas le choix et en plus ça t'apporte beaucoup d'amour et une nouvelle compréhension aussi de la vie parce que quand t'as dit la phrase ça a fait résonance quand tu sais que tes parents sont condamnés mais en fait on est tous condamnés on sait pas quand mais on y pense pas tous les jours mais peut-être qu'on va mourir demain et qu'on le savait pas Et donc, du coup, c'est juste reprendre conscience qu'en fait, il va y avoir une fin. Mais sauf qu'en fait, pour le coup, moi, j'ai décidé que je n'allais pas mourir, mais normalement, on va tous y passer.

  • Speaker #0

    La peur de la mort, c'est une vraie peur. Mais j'ai eu un accident qui fait que j'ai eu la peur de la mort pendant... Tu sais, quand ça bascule dans ta vie. Le traumatisme, il est puissant et souvent, il y a des peurs de mort qui se réactivent à ce moment-là. Donc, je l'ai eu, mais j'ai aussi compris que de toute façon, je n'ai aucun... aucun poids sur la date, sur le jour où je vais partir. Quand je disais tout à l'heure, quand tu sais qu'un de tes parents est condamné, là, c'est parce que je savais qu'il était condamné rapidement. J'avais cette notion de rapidité à l'intérieur. Le cancer, le glioblastome, c'est un... Comment dire ? C'est un espèce d'aperçu de la maladie d'Alzheimer parce que, alors, autant au début, il était encore parmi nous, autant il y a des moments, et à la fin, complètement ailleurs. Tu vois, vraiment... J'avais encore des contacts physiques quand je lui disais je t'aime. Il me répondait un peu, mais... Mon père, il est parti. Je lui ai dit ton âme, elle a choisi sa sortie. Il nous a toujours dit si j'ai Alzheimer, vous me larguez devant la mer, je nage jusqu'à la mort. Il ne voulait pas Alzheimer. Écoute, il a eu un truc qui fait que ça a duré 4 mois et demi, 5 mois. Il a filé à l'anglaise. Il était anglais. Il nous a toujours dit je file à l'anglaise. Mais il a pu dire au revoir à qui il voulait. Il a pu faire... Et du coup... il a dû aussi se confronter à sa propre peur de la mort. Parce qu'il savait qu'il allait mourir. Il a fait le taf. Et il n'est pas parti dans les meilleures dispositions, mais il est parti plus apaisé qu'il ne l'était au début. Et l'autre chose sur laquelle je voulais rebondir, parce que tu dis ça, les gens qui ne sont pas confrontés ne comprennent pas forcément ou te disent je ne sais pas comment tu fais, le regard de l'autre. Alors ça, c'est un truc. Je ne m'y attendais pas. mais le regard de l'autre pendant la maladie de mon père, parce qu'il y a un vrai décalage. Tu vois, Alzheimer, c'est une maladie qui se passe intérieurement, c'est-à-dire que la personne va physiquement bien, mais en fait, c'est au niveau des conditions que ça se passe, enfin qu'elle n'est plus là. Et mon père, c'était ça. C'est-à-dire qu'on avait un diagnostic et un pronostic très sombres, et quand on le disait aux gens qu'il allait mourir, on ne savait pas exactement quand, puisqu'au début, on nous a dit deux ans, puis après, on nous a dit six mois, et en réalité, il est parti. très vite, tout le monde autour ne nous croyait pas. Et donc, on a eu une vague de gens qui nous ont fait la misère, qui ont été en colère, qui n'ont pas voulu nous parler, qui ne sont pas allés voir mon père. De gens qui nous ont dit, mais de toute façon, vous mentez. Ça a créé des tensions familiales, qui ont accusé ma mère de colporter des mauvaises informations, etc.

  • Speaker #1

    On plaint dans le triangle de Carmen, pour le coup.

  • Speaker #0

    Ouais, on était les bourreaux de mon père, en fait, ma mère et moi, à ce moment-là. pour l'entourage amical, etc. et quelques personnes de la famille, on était les bourreaux de mon père parce qu'on l'enterrait trop vite. Le jour de l'enterrement, j'ai une personne qui a eu le courage de me dire « t'avais raison » . Une seule, tu vois. Et ça a été une des personnes qui a colporté le plus de trucs sur « c'est pas vrai, elle l'enterre, etc. » Bah oui, mais parce qu'en fait, c'est pas parce que physiquement, il renvoie quelqu'un de fort et de vaillant, etc. que là, tout va bien, en fait.

  • Speaker #1

    Oui, c'est souvent, mais c'est intéressant ce que tu dis sur le regard des autres, les autres, parce que souvent, même toutes les choses invisibles qu'on peut vivre, que forcément, on ne va pas forcément dire, les gens vont juger ou parce qu'en fait, ils ne se connectent pas forcément à tout ça. Mais en tout cas, je trouve que tu en parles d'une façon hyper belle, hyper douce et ça fait plaisir de pouvoir parler de la mort comme d'un passage et de la vie qui fait en sorte que c'est... Ça fait partie de tout ça. Mais du coup, parce que là, on arrive presque à la fin, est-ce qu'on pourrait partir sur une note un peu plus gaie ?

  • Speaker #0

    Ah oui.

  • Speaker #1

    Mais en même temps, moi, j'ai trouvé ça trop chouette et je trouve qu'on n'en parle pas assez. C'est longtemps que j'avais envie d'en parler dans les émissions et que, tu vois, ce n'était pas prévu. Je n'avais pas... Et que ça se fait comme ça. Et je trouve ça super beau parce qu'on est beaucoup de gens à vivre de plus en plus des maladies dégénératives et d'être touchés par ces maladies-là. Et c'est vrai que pour l'entourage, c'est vraiment pas évident Et donc là, peut-être qu'on a donné une expérience, en tout cas, pour justement que les gens...

  • Speaker #0

    On a semé des graines.

  • Speaker #1

    Voilà, on a semé des graines pour que les gens...

  • Speaker #0

    Tu sais, c'est comme je te disais au début de notre entretien, il y a l'ombre et la lumière. On ne peut pas vivre sans ombre, tu vois. Pour moi, la mort, ça fait partie de la vie aussi. C'est le processus de la vie. Et du coup, si je reviens à notre sujet de base... Pour moi, les énergies, elles sont le guide du chemin sur lequel on va. Et donc, quand ça devient dur, c'est que le chemin, il y a un truc qui ne va pas sur ton chemin. Et donc, c'est à réadapter. C'est parce que j'ai commencé à être à l'écoute de ce qui se passait autour de moi que du coup, j'ai pu faire le taf et cheminer et avancer. Et aujourd'hui, je prends mes décisions comme ça. C'est-à-dire que dès que ça bloque, j'arrête et je regarde les choses différemment. Même sur les réseaux, je fais ça. Même Instagram, dès le début, je me suis dit qu'il faut que je le prenne comme un radar. Si ça prend, c'est que c'est le bon chemin. Si ça ne prend pas, c'est que ce n'est pas le bon chemin. Et j'ai toujours fait comme ça. Je suis à l'écoute des opportunités, des synchronicités. Tu l'appelleras comme tu veux. Mais c'est parce que j'ai accepté l'inconfort. J'ai accepté la personne que je suis. Je suis solaire, etc. Mais parfois aussi, je me mets en colère.

  • Speaker #1

    Ça, c'est bien en même temps de le montrer aussi. Le développement personnel ou le travail sur soi, ce n'est pas pour devenir Bouddha. C'est justement pour apprendre à... Moi, je vois ça un peu comme des vagues, à réussir à surfer et de ne pas se casser la gueule et se dire qu'on peut être en haut ou en bas. Mais en même temps, quand on est en bas, on sait qu'on va remonter. Quand on est en haut, on sait qu'un moment donné, on va redescendre. Et donc, de profiter de chaque moment et d'être dans le moment présent. Est-ce que tu n'aurais pas un petit tip ou quelque chose pour que les gens arrivent à... Souvent, le moment présent, c'est assez compliqué. et comment est-ce que toi tu t'es appris ? à être dans ton moment présent le plus souvent possible.

  • Speaker #0

    À chaque fois que j'ai commencé à projeter oui mais si, oui mais si, etc. Tu sais, au moment où tu commences à te poser plein de questions sur si je fais ça comme ça, est-ce que ça va fonctionner ? Là, on est déjà parti de l'instant présent. Et donc, dans ces moments-là, quand il y a trop de questions, je fais vraiment ce truc de... Là, par exemple, je serais avec Sarah en train de répondre à ses questions. Je reviens là, tout de suite, maintenant. Il y a l'enjeu, ce qui est en train de se passer. Si tu es en train de faire tes courses, reviens à l'instant où tu fais tes courses. Ça, ça a été, pour moi, c'est l'exercice le plus puissant, c'est revenir à ce que tu fais à l'instant T, quand tu es en train de projeter sur autre chose. L'autre truc qui m'a beaucoup aidée, mais ça dépend vraiment des gens, il y a des gens qui aiment méditer, qui ont besoin de méditer, mais c'est pareil, la méditation n'est pas forcément adaptée pour tout le monde. Et en plus, il y a différentes façons de méditer. Moi, je sais que ce que je préfère faire... c'est faire le ménage. Parce qu'à ce moment-là, je suis à mon ménage, c'est-à-dire que mon cerveau n'est pas concentré sur des sujets, et je laisse la place à l'intuition. Je ne suis pas en train de penser, penser, penser. Le souci du questionnement et de l'hyper-questionnement et du fait de projeter, c'est qu'on laisse plus la place au ressenti et à l'intuition. Et c'est ce dont l'intuition a besoin pour pouvoir revenir. Donc l'instant présent, c'est aussi cette capacité à se dire, là dans l'instant présent, qu'est-ce qui se passe ? Et quel est l'enjeu ?

  • Speaker #1

    Trop bien. Bah écoute... Comme vous êtes peut-être à la plage ou en train de préparer vos vacances ou vous allez peut-être essayer de faire cet exercice sur la plage, ne réfléchissez pas à comment va se passer la rentrée, qu'est-ce que je vais faire, mon Dieu, tout ça. Mais regardez le sable, le soleil, reconcentrez-vous sur ça parce que ça ne va pas durer l'instant présent. Et vous serez bientôt en train de vous poser toutes ces questions ou en train de dans plein d'autres problématiques. Mais ouais, qu'est-ce qu'on peut leur dire ? Profitez cet été aussi, de profiter, même si ça va être un peu chamboulant, de s'écouter, de respirer, de profiter de... du moment présent le plus possible. Essayer justement de s'exercer à l'atteindre tous les jours, un peu plus.

  • Speaker #0

    L'instant présent, oui, et de se laisser guider. Si ça bloque, c'est que c'est pas le bon endroit. Si c'est fluide, c'est que c'est le bon endroit. Juste cette phrase-là, ça nous fait changer de perspective.

  • Speaker #1

    Oui, et des fois, on s'accroche à des trucs alors qu'en fait, ça va pas du tout.

  • Speaker #0

    On y va, on y va, on y va, on y va, comme un petit bélier qui fonde sur... Ben non, ça bloque. Anne-Fleur, elle a dit, tu vois Anne-Fleur avait dit que quand ça bloque c'est pas le bon endroit et ben si ça bloque regarde autrement, change les choses, ou c'est juste pas le bon timing en fait. C'est même pas une question de... que c'est pas le bon truc, c'est peut-être juste pas le bon moment.

  • Speaker #1

    Trop bien. En tout cas, c'était le bon moment pour faire cette émission ensemble. J'ai trouvé ça trop chouette. Merci beaucoup. Et puis, en tout cas, vous êtes un bon été. Moi, je vous dis à la semaine prochaine et Anne-Fleur, à bientôt, j'espère. Est-ce que tu reviendras nous faire un petit coucou ?

  • Speaker #0

    Avec plaisir. Merci beaucoup.

  • Speaker #1

    Flamme des années 80. Le podcast qui allume la femme.

Chapters

  • Introduction à Anne-Fleur et son parcours

    00:10

  • La création de Soleil Quartz et la météo énergétique

    00:19

  • Prédictions pour l'été et l'année 2025

    03:27

  • Le triangle de Karpman et les relations

    05:29

  • Conclusion et encouragements pour l'été

    40:04

Description

Comment mieux vivre les turbulences énergétiques de l’été 2025 ?
Dans cet épisode lumineux et profond, Sara reçoit Anne-Fleur, créatrice du compte Soleil Quartz, numérologue et voyante. Ensemble, elles explorent l’impact des énergies collectives et personnelles sur nos émotions, nos décisions, et nos chemins de vie.

Anne-Fleur nous partage la genèse de la météo énergétique, une grille de lecture intuitive et sensible du monde invisible, née de ses ressentis, de la numérologie et de sa capacité à capter l’intensité vibratoire des journées. Elle nous parle aussi de sa méthode Soleil, un accompagnement énergétique puissant mêlant radiesthésie, magnétisme et déprogrammation cellulaire.

L’épisode aborde en profondeur :

🌞 Ce que nous réserve l’été 2025 sur le plan énergétique
🔢 Comment calculer son année personnelle en numérologie
🔥 Les grands enseignements de l’année 9 collective
⚡️ Le triangle de Karpman (victime / bourreau / sauveur) et comment s’en libérer
🌀 La part d’ombre, la colère comme boussole intérieure
🌿 Le pouvoir de l’instant présent et du recentrage
💛 La transformation par l’épreuve : accident, maladie, deuil
🌙 La puissance des synchronicités quand on s’écoute vraiment

Avec douceur et lucidité, Anne-Fleur nous livre aussi son témoignage de transformation radicale : un accident en 2017, puis l’accompagnement spirituel de son père en fin de vie. Elle partage avec sincérité la traversée du deuil, l’intuition profonde qui guide ses choix, et cette certitude :
👉 L’invisible nous parle… encore faut-il s’arrêter pour l’écouter.

Un épisode intime et vibrant pour toutes celles qui sentent que quelque chose est en train de changer.
Pour celles qui veulent se relier à leur intuition, accueillir l’imprévu, transformer la colère en message, et traverser la vie en se laissant guider par leur lumière intérieure.


🎧 Flammes des Années 80, c’est le podcast qui accompagne les femmes dans leur développement personnel, leur bien-être et leur liberté d’être.

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Chaque semaine, des conversations autour du développement personnel féminin, de la confiance en soi, du bien-être, de la transmission et de l’épanouissement personnel. On y explore l’introspection, les émotions, la résilience, la maternité, l’amour, la psychologie et les témoignages inspirants de femmes et d’hommes audacieux. Un podcast pour femmes, pour révéler sa flamme intérieure, oser être soi et nourrir sa spiritualité féminine.
Flammes des Années 80, pour écouter votre flamme intérieure grandir. 🔥


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Flamme des années 80. Le podcast qui allume la femme. Bonjour, je suis très heureuse aujourd'hui de recevoir Anne-Fleur. Alors Anne-Fleur, je l'ai rencontrée par Instagram et elle a un compte que j'adore qui s'appelle Soleil Quartz. Donc merci Anne-Fleur d'être là aujourd'hui. Est-ce que tu veux te présenter pour les auditeurs et auditrices qui ne te connaissent pas encore ou qui ne suivent pas ton compte ?

  • Speaker #1

    Bonjour Sarah, déjà merci pour ton invitation. Je suis très heureuse aussi d'être ici avec toi. J'allais dire parmi vous, mais nous sommes toutes les deux. Donc, je m'appelle Anne Fleur. J'ai créé mon compte Soleil de Quartz en 2020, quelque part, 20-21. Je n'ai plus en tête. L'idée, c'est de pouvoir mettre des mots sur les ressentis énergétiques qu'il y a autour de nous. Et donc, j'ai créé la météo énergétique. Ça a été ma première création sur Instagram. Aujourd'hui, je suis numérologue et voyante. et ce depuis 2022. Je me suis lancée en 2022 et c'est déjà pas mal.

  • Speaker #0

    C'est déjà tout un programme. J'avoue, en fait, moi, je trouve que ta particularité, c'est assez sympa, c'est que c'est assez léger. Il y a un côté léger, il y a un côté lumineux, il y a un côté soleil, quoi, parce que c'est le nom. Pourquoi tu as choisi Soleil Quartz, du coup ?

  • Speaker #1

    Alors, au départ, c'était pas du tout Soleil de Quartz, c'était Fleur de Quartz, parce que je m'appelle Anne Fleur. Et au tout début, la première intention que j'avais, c'était de partager de la litho, créer des bijoux, etc. Et je n'aimais pas trop fleurs de quartz. Et en fait, j'ai une amie qui m'a dit, mais tu es très solaire et tu illumines beaucoup. Et c'est du coup le mot soleil de quartz qui m'est venu à ce moment-là.

  • Speaker #0

    Ah sympa, j'aime bien voir les origines des titres. Enfin des titres, les origines des noms.

  • Speaker #1

    Et finalement, c'était annonciateur de ce que j'allais faire, parce que j'ai créé la météo très peu de temps après. Donc le soleil a créé la météo.

  • Speaker #0

    Alors, comment est-ce que tu fais pour faire voir en sorte qu'il y a une météo énergétique ? On trouve ça toutes géniales, ou tous, mais comment est-ce que toi, tu canalises ces choses-là ? Comment ça se passe ?

  • Speaker #1

    Je le ressens. Il y a deux choses. Il y a toutes les canalisations que j'ai par ma clairvoyance. En fait, je me pose et je me dis tiens, qu'est-ce qui va se passer ? Plus des petits calculs numérologiques sur lesquels je m'appuie aujourd'hui pour pouvoir... J'ai créé en plus l'intensité énergétique des journées, lourde, explosive et intense. électrique. Et l'autre chose, je capte les ressentis qui vont être... qui vont nous suivre tout au long du mois et puis après, je me concentre jour après jour. Et en fait, je ne peux pas t'expliquer, ça vient, c'est des mots qui viennent, des phrases qui viennent toutes seules que je capte. Je suis assez terre-à-terre, donc au début, je n'y croyais pas beaucoup. Et en fait, à force de l'avoir fait avec mon entourage, mes amis, en leur disant « demain, ça va être chaud, machin » , j'ai vu que c'était plutôt juste et c'est comme ça. J'ai commencé très doucement. un peu timidement. Et puis, au fur et à mesure, j'ai pris confiance. Après, le syndrome de l'imposteur fait que j'ai regardé la résonance de Schumann et autres trucs. Et en fait, parfois, je n'étais pas d'accord avec... Enfin, pas d'accord. Je ne ressentais pas la même chose. Donc, je me suis détachée de ça et je le fais maintenant complètement de manière intuitive.

  • Speaker #0

    D'accord. Et là, c'est bien parce que comme on arrive au début de l'été, est-ce que cet été sera chaud ? Comment va être cet été ? Parce qu'on a tous envie de vivre l'été parce que c'est une période qui est vraiment toujours assez sympa. Qu'est-ce que tu peux nous en dire de cet été ?

  • Speaker #1

    Alors cet été, il sera chaud, il sera beau, il sera chaud. Il faut savoir que le mois de septembre, l'année 2025, c'est une année d'ascension. C'est une année en numérologie, une année neuve, donc c'est la fin d'un cycle. Ce qui veut donc dire que janvier a commencé à un niveau et pour moi, le point culminant sera septembre. Donc cet été, on va sentir déjà les prémices de la canicule de septembre. Et je pèse mes mots quand je dis canicule de septembre. canicule énergétique, bien sûr, je ne sais pas quelles seront les prévisions météo à ce moment-là, mais du coup, juin, juillet, août vont être des mois de préparation. Ça va monter petit à petit. Forcément, ça peut être parfois désagréable. Après, ça dépend de la vie de chacun. Parce qu'il y a ce qu'on capte pour le collectif et comment chacun le vit. Et ça dépend aussi de l'avancée de chacun, si on a des soucis ou si on n'a pas des soucis. Ce qui est certain, c'est qu'on n'a plus le choix et c'est ce qui se passe. Il y a beaucoup d'événements qu'on ne voyait pas venir qui sont en train de se produire. Il y a des imprévus et il y en aura encore plus cet été. Par peur, par exemple, si tu ne vas pas à gauche, l'univers risque de te pousser fortement à aller à gauche. Parce que c'est souvent là où on a peur qu'il faut aller. Donc, je sens un été caniculaire énergétiquement parlant. Ça ne veut pas forcément dire qu'on le vivra hyper mal, parce que l'été, on a tendance à vivre des énergies de manière plus légère, puisqu'on n'est pas dans l'hiver, le froid, le machin. Pour autant, ça va un peu remuer, secouer. Tu vois, c'est un peu comme la bouteille d'orangina. Secouer là, sinon la pull, c'est un peu... Tu vois, c'est comme ça que je capte la météo. C'est que j'ai des phrases qui me viennent toutes faites. J'ai vraiment ce truc de secouer. On va être secoués cet été, c'est certain. Ce n'est pas pour nous mettre à mal, c'est vraiment parce qu'on doit bouger, parce qu'il y a des choses qui doivent avancer, parce qu'on doit se libérer, parce que d'une manière collective, il y a des relations qui doivent s'arrêter, quelles qu'elles soient. Ce n'est pas que dans le sentimental, c'est professionnellement, amicalement, etc. En astrologie, Saturne vient de passer en bélier, et est passé en bélier au mois de mai. Il a quitté le poisson. Le poisson, c'était typiquement le triangle de Cartman. Je fais un raccourci, très raccourci. Au niveau des relations, on doit avoir des relations très alignées à nous et non pas s'abandonner, s'effacer, etc. Du coup, il y a un espèce de ménage qui va être fait.

  • Speaker #0

    Je disais juste pour le triangle de Cartman, parce que certaines personnes ne connaissent pas forcément. Victime, bourreau, sauveur. Et c'est... Moi, je l'explique toujours comme si on était dans une troisième dimension de conscience, c'est-à-dire que 80% de la population sont vraiment dans ce triangle-là de toujours se positionner en victime ou se plaindre, ou alors de venir... C'est toute une petite danse que tout le monde connaît, on y passe encore, et de prendre conscience de ça pour aller un peu plus haut et pour ne plus être dans ces relations-là. C'est ça que tu entends dire ? On va essayer d'en sortir ?

  • Speaker #1

    Oui, on doit en sortir. Chacun doit reprendre sa responsabilité, reprendre un peu sa juste place dans sa vie. Et juste pour revenir sur le triangle de Karpman, pour le sauveur, parce que souvent, le sauveur, c'est quelque chose qu'on a du mal à percevoir. On se dit, bah oui, mais moi, j'aide. En fait, le sauveur dans le triangle de Karpman, il est toxique parce qu'il est... C'est souvent des personnes qui font des choses sans le consentement de l'autre. Tu vois, je viens t'aider, mais je te demande pas si t'as envie que je t'aide. Et c'est souvent comme ça qu'on rentre dans le triangle de Karpman par le rôle du sauveur. Ça, c'était en aparté. Et aujourd'hui, le 9 en numérologie, c'est justement le sauveur. Donc, on a beaucoup ce côté sauveur qui peut être activé cette année. Sauf que l'idée n'est pas d'aller sauver pour sauver. L'idée, c'est de proposer son aide et de laisser libre la personne en face de l'accepter ou non. Et de sortir de ces relations. Parce que même si on le joue très souvent dans notre vie, ce n'est pas pour autant un schéma relationnel positif. Et souvent, ça nous entraîne un peu dans des relations assez déséquilibrées, puisque ce n'est pas les gens qui sont toxiques, c'est la relation qui le devient de par la position qu'on prend. Donc, ce que je te disais, c'est qu'effectivement, on doit sortir de ce rôle-là, de ce schéma de fonctionnement-là, et pouvoir reprendre sa juste place dans notre vie, être libre de se réaliser comme on l'a envie, selon le chemin que... Notre âme avait, si on croit à ça, ce que notre âme avait décidé de vivre juste avant de s'incarner, en fait. Être pleinement... Passer les vacances. Non, c'est pas vrai. Après, non, c'est... C'est le 9e mois de l'année d'une année neuve. Donc, il y aura sans doute beaucoup de séparations. Le 9, c'est la fin d'une étape. Donc, sans doute beaucoup de séparations, beaucoup de... Quand je dis séparations, c'est pas que humain, c'est matériel, etc. Après, j'ai quand même constaté qu'il y a beaucoup de décès aussi cette année, des décès auxquels on ne s'attendait pas. Et comme je te l'ai dit, j'en ai vécu un mois à titre personnel. Donc jusqu'en septembre, de toute façon, il y a beaucoup de choses qui vont un peu nous tomber dessus. Et ensuite, sur les trois derniers mois de l'année, c'est un peu comme un récap de tout ce qui vient de se passer cette année, mais sur une énergie qu'on connaît déjà. Donc ça va être moins difficile que ce qu'on va vivre jusqu'en septembre. Et ensuite, en 2026, nouveau départ, nouvel élan. Tu vois, c'est vraiment le chemin du renouveau qui arrive sur 2026. Donc 2025, c'est le grand ménage.

  • Speaker #0

    Et comment influence notre chemin de vie personnel, par exemple ? Moi, par exemple, je suis en année 1. Toi, je ne sais pas en quelle année tu es. Mais du coup, ça influence comment par rapport... Après, ce n'est peut-être pas ta spécialité. Là, je te lance là-dessus parce que ça me donne envie d'imaginer.

  • Speaker #1

    Je suis très formée. C'est une passion, la numéro, donc ça va. Une question qui m'a déjà été posée, je te remercie de la poser. Ce n'est pas facile de faire ce rapport parce que toi, en année 1, on est collectivement en année 9, ça veut dire que tu es un peu aux deux opposés. Donc, je ne sais pas comment toi, ça se matérialise, mais tu as envie de nouveautés, tu as des choses qui peuvent émerger dans ton quotidien ou des nouveaux projets. Le 1, il ose tenter des nouvelles expériences. Il y a aussi tout un travail sur la place, comment prendre sa juste place ou incarner une nouvelle facette. Le 1, c'est un peu le guide, le leader, etc. en année 1, on a tendance à commencer des nouvelles choses. Ce qui veut donc dire que tu dois jongler entre... Collectivement, il y a des choses qui vont s'arrêter, mais toi, personnellement, t'as vraiment envie de créer quelque chose de nouveau. Et donc, c'est vraiment le côté... Parce que le neuf, c'est vraiment je me laisse porter par l'univers. Moi, je parle de l'univers, chacun a ses croyances, mais se laisser porter par l'univers, c'est lui qui est un peu le chef d'orchestre. Et toi, en fonction de ce qui se passe dans ton quotidien, et bien euh c'est tu instaures du nouveau. Et ça peut être des nouvelles propositions. Il y a plein de possibilités et c'est assez riche. Moi, je suis personnellement en année 5. Le 5, c'est la liberté, la passion, le mouvement, le changement, les déplacements, etc. Mais c'est aussi suivre le flot. Donc, de toute façon, cette année, je n'ai pas le choix. Je dois suivre le flot d'une façon ou d'une autre. Je n'ai pas la main, je me laisse guider et j'avance. Pour des personnes qui vont être en année 4, c'est une année de structuration et d'organisation. Ce n'est pas facile. Parce qu'avec le côté « je dois arrêter, je dois faire du ménage dans l'année 9, dans le collectif » , ce n'est pas facile de se structurer un peu quand c'est le chaos autour de toi. C'est difficile de retrouver son cadre. Mais le cadre, c'est aussi l'instant présent. Donc souvent, c'est revenir dans l'instant présent qui permettra d'avancer.

  • Speaker #0

    Et du coup, pour nos auditeurs et auditrices qui ne savent pas calculer, entre guillemets, leurs chiffres de numérologie pour l'année, comment est-ce qu'il faut faire ?

  • Speaker #1

    Alors, pour l'année personnelle, C'est le jour de naissance additionné au mois de naissance additionné à l'année 2025 et le tout réduit à 1. Donc, tu réduis systématiquement à un chiffre.

  • Speaker #0

    C'est ça, parce que dans la numérologie, il y a l'année collective, notre année personnelle et on a aussi notre chemin de vie qui part avec notre année de naissance. Il y a trois, on peut avoir trois chiffres.

  • Speaker #1

    On peut en avoir plein d'autres, mais là, on va rentrer dans une formation complète en numérologie. Ce n'est pas le but, mais effectivement, il y a le chemin de vie. qui est l'addition du jour, du mois et de l'année de naissance. L'année personnelle, c'est jour plus mois plus année en cours. Et là, ça te donnera un chiffre d'année. Et après, tu as l'année collective, c'est juste la réduction de 2025 qui fait 9.

  • Speaker #0

    Ah là, c'était trop intéressant. Je n'avais pas prévu de parler de numérologie, mais je trouve ça trop chouette. Et toi, du coup, tu t'es formée à tout ce qui est genre astro, parce que c'est très compliqué l'astro. Il y a beaucoup de choses à comprendre. Toi, comment est-ce que tu fais ? Tu mets aussi ton intuition à l'intérieur de ça ? Tu as fait ta petite tombouille personnelle ?

  • Speaker #1

    Je n'ai aucune formation astrologique. C'est à force de discuter. J'ai une amie astrologue. Donc, à force de discuter avec elle, j'ai acquis du savoir. Je viens de démarrer une formation en astrologie, mais jusqu'alors, je refusais de me former parce que je voulais vraiment laisser que mon intuition parler. Et après, je me suis beaucoup formée en numérologie et j'ai compris. Tu sais, j'ai ramené... La numérologie, en général, c'est plutôt pour... son âme, son thème personnel, etc. Et j'en ai... En fait, je l'ai détourné pour en créer une numérologie plutôt énergétique qui m'aide à capter, tu vois, à voir un peu au-delà de... à pouvoir capter plus facilement, en fait, ce qui va se passer en amont. Parce que je sais le faire au fur et à mesure, jour après jour, mais j'avais à cœur, j'avais envie de vraiment pouvoir faire comme en astrologie, une prévision, tu vois, sur l'année complète. C'est ce que j'ai fait, d'ailleurs. cette année en 2025, c'était la première année où je créais le calendrier énergétique sur l'année 2025 qui donnait l'intensité des journées. Donc aujourd'hui, c'est numérologie plus mes propres canalisations.

  • Speaker #0

    Trop bien. Et en fait, tu proposes aussi la méthode soleil, tu proposes plein de choses pour nous accompagner, parce que c'est vrai que moi, ça me donne envie. Et ce que j'aime trop, c'est que le matin, je peux regarder, tu fais des petits tests aussi, enfin pas des petits tests, mais des petits, pour faire marcher notre intuition, choisir une petite... cartes. Le matin, je trouve ça assez agréable pour commencer bien la journée. Mais tu ne fais pas que ça. Et donc après, tu la météo énergétique et d'autres, justement, formule que tu proposes pour nous éclairer.

  • Speaker #1

    Le matin, je fais le mood du jour. Ça te donne un peu une indication de ce qui va se passer pour toi aujourd'hui d'une manière personnelle, personnelle collective. Et après, j'ai créé la méthode soleil il y a un peu plus de deux ans, qui est mon accompagnement collectif énergétique. J'en parlais ce matin en story. Ce n'est pas facile d'en parler parce que ce n'est Ce n'est pas un... Un frigo chez l'Arctique, tu peux palper. C'est vraiment un accompagnement. Donc ça se vit, c'est de l'humain. Il est énergétique, j'y pratique la radiesthésie, donc c'est le pendule, le magnétisme, les déprogrammations des morts cellulaires, parce que c'est une formation que j'ai faite aussi. Je mets en fait tous mes outils à disposition dans la méthode soleil, en plus de mes canalisations, mes captations énergétiques des journées. L'idée, c'est que quand tu rentres dans la méthode soleil, tu sois accompagné. un peu comme tu vois, tu regardes ta météo sur TF1, dans la méthode soleil, tu as la météo du jour ou des deux jours à venir. Et comme ça, comme je dis, une âme avertie en vaut deux. Tu sais comment appréhender les journées qui arrivent. Et si tu dois prévoir des événements importants, je le conseille souvent, on ne fait pas ça en journée électrique, tu vois, par exemple, parce que c'est très électrique autour de nous et ce n'est pas propice au développement de projets, par exemple. Après, quand on n'a pas le choix, on n'a pas le choix. Du coup, ça permet d'appréhender et ensuite... Il y a aussi un accompagnement, c'est du collectif, mais je suis très disponible en message privé pour les gens qui sont dans la méthode soleil. Pour les aider, en fait, à éplucher, c'est pas joliment dit, mais éplucher l'oignon. Tu vois, quand tu commences à travailler un peu sur toi, tu identifies les masques, les blessures, etc. Et c'est pas forcément facile à faire seul, de se regarder soi-même et de se dire, je suis comme ci, je suis comme ça. Et donc, c'est ce que je fais aussi au travers de la méthode soleil. Je les aide à avoir un regard extérieur sur la situation dans laquelle ils sont, pour comprendre ce qui s'est joué à ce moment-là et que chacun reprenne sa place et ses responsabilités.

  • Speaker #0

    Ah, trop bien.

  • Speaker #1

    Ça, c'est la bonne. Et après, je propose le Mood du mois en ce moment. J'ai fermé les consultations pour l'instant. Je ne sais pas exactement quand est-ce que je les reprendrai. Mais j'ai fermé les consultations. J'ai encore besoin de temps pour atterrir après tout ce que j'ai vécu. Mais j'ai quand même créé le Mood du mois qui est un mix entre ta numérologie personnelle, parce que tu as l'année, mais tu as aussi les mois et les jours qui vibrent selon des chiffres. Donc, tu as ton Mood du mois qui te donne une information selon ton thème personnel en numérologie. Et je prends une carte d'un oracle en support et je te livre une canalisation de ce qui va possiblement se passer sur ton moi. Comme ça, ça t'aide à mieux vivre ou mieux appréhender ce qui va se passer.

  • Speaker #0

    Mais ce que je trouve vachement intéressant dans tout ça, c'est ce que tu dis, c'est que tu vas nous donner le mood du moi. Et en fait, à un moment donné, ça permet aussi de prendre du recul. Ça ne veut pas dire que ça ne va pas se passer, mais ça veut dire que prendre du recul par rapport au fait que des fois, on peut peut-être se sentir énervé et du coup, on va peut-être blâmer l'autre. Donc, rentrer dans le triangle de Karpman ou être... Sauf qu'en fait, quand on est averti, comme tu dis, une âme avertie en vaut deux, c'est qu'on va plus prendre du recul, mettre en conscience des choses. Et du coup, ça va nous aider justement à faire ce petit décalage comme ça entre ce qui se passe, qui n'est pas forcément ancré dans nous, mais que de pouvoir en fait prendre du recul. Et je pense que ça permet de vivre les choses de plus apaisé. Même si la vie, elle n'est pas que... Même si quand on va voir un voyant ou quand on va voir une astrologue, on a envie qu'on ne dise que des bonnes choses, mais... La vie, elle n'est pas toujours linéaire, elle n'est pas toujours positive. Il faut juste apprendre à danser sous la pluie, j'ai envie de dire. Et à toujours voir le soleil, quoi qu'il arrive, à travers les nuages. Moi, c'est cette philosophie-là que j'entends de toi et que je trouve ça assez chouette, en fait.

  • Speaker #1

    Ce que je dis souvent, c'est que si tout était facile et fluide, il n'y aurait aucun intérêt à travailler sur soi. Si on avait tous une vie magique, etc. Ça ne te pousserait pas à aller regarder les blessures, à régler quelques bagages que tu traînes d'ici ou d'ailleurs, carmique ou trangé. Donc, tu sais, c'est quand on est dans la difficulté que là, on s'active en se disant, bon, il faut que je sorte de là. Donc, comment je sors de là ? Et c'est à ce moment-là que le travail s'enclenche. Ça, c'est la première chose. La deuxième chose, c'est qu'il n'y a pas de travail sans part d'ombre. Et l'idée n'est pas de se dire, je ne veux plus de ma part d'ombre. C'est qu'elle fait intégralement partie de soi. et donc du coup c'est accepté pleinement sa pardon. Par exemple, je suis quelqu'un qui se met en colère. Mon intuition s'exprime par la colère, c'est-à-dire que dès que ma colère s'éveille à l'intérieur de mon corps, c'est qu'il y a un truc qu'il faut que je regarde. Et j'ai longtemps voulu apaiser cette colère en me disant « quand même, elle ne peut pas exister, tu ne peux pas te mettre en colère comme ça » . Et en fait, je me suis dit « elle fait partie de moi, je suis comme ça, c'est mon radar en fait » . Et donc du coup, la deuxième chose que je dis, c'est que Merci. On est autant l'ombre que la lumière. Et donc, quand on va bien, c'est vrai qu'on a tendance à briller, etc. Mais quand on a des difficultés, on a le droit aussi d'activer nos parts d'ombre. Et la troisième chose que je voulais te dire par rapport à ça, sur le mood du mois, si par exemple, ce qui m'est venu quand tu m'en parlais, si par exemple, tu es en mois 11-2 le mois prochain, le 11 va te rendre plus sensible, plus hypersensible, plus à fleur de peau. C'est comme ça, ça ne s'explique pas, ça s'active. C'est vraiment de l'énergie. Parce que l'énergie, elle circule toute autour de nous. Et donc... Donc, la manière dont tu reçois l'énergie à ce moment-là te rend plus sensible. Si tu sais que tu vas plus facilement te vexer, plus facilement mal prendre les choses, etc., bouffée d'oxygène, tu recules et le mois se passe différemment.

  • Speaker #0

    Oui, tu ne vas pas forcément prendre le rendez-vous avec la personne. Tu sais qu'à la base, si tu te saoules, là, ce n'est pas l'idée. Tu diras, on se verra le mois prochain.

  • Speaker #1

    Voilà.

  • Speaker #0

    Mais ce ne sont que des petites choses comme ça. Et puis surtout, c'est apprendre à mieux se connaître parce que je trouve que... On apprend tous les jours à se connaître déjà et même on peut se surprendre soi-même et donc de travailler sur soi pour apprendre à se connaître. Comme tu disais, par rapport à la colère, c'est un moteur que tout le monde peut avoir. Après, l'idée, j'imagine, comme tu travailles sur toi, ce n'est pas de quand tu as la colère, du coup, de la déverser sur les autres, ce que peut-être tu pouvais faire avant, mais maintenant de le prendre dans quelque chose d'un moteur qui fait en sorte que d'accord, ça me donne l'idée. Mais je pense que tout le monde, par rapport à toutes les émotions, elles sont là pour juste nous montrer le chemin, entre guillemets. Là, c'est dangereux. Là, ça te met en colère. Donc, c'est un truc que tu n'as pas forcément réglé. Là, je pense.

  • Speaker #1

    Quand la colère s'active, ça me permet de faire une pause. C'est souvent ce qu'on conseille quand tu es prise par une émotion très forte. Pause avant de réagir. Prends du recul, quitte à laisser trois jours, on s'en fiche. Mais les émotions primaires, je ne parle pas de toutes, parce qu'il y a un panel d'émotions qui existent, mais on reste sur des émotions basiques. Je dis qu'il y en a cinq à la hauteur des cinq blessures de l'âme. Je travaille beaucoup autour des blessures de l'âme, de l'isbourbeau. La colère, quand elle s'active chez moi, je préviens la personne en face. Là, j'ai un truc qui s'est activé en moi. Soit je prends le temps de débriefer avec la personne en face de moi parce qu'elle est capable de le faire. et c'est ok, soit elle l'est pas et dans ces cas là je prends le temps moi de regarder je me fais accompagner s'il y a besoin parce que souvent quand on est soit avec soi c'est compliqué de comprendre ce qui s'est activé avant j'étais pas du tout comme ça avant 2020 j'étais, parce que c'est que récemment que je suis rentrée ça fait 5 ans mais c'est quand même assez récent avant j'étais pas du tout comme ça et ma vie elle a basculé elle m'a poussée, tout à l'heure quand je te disais l'univers ne nous laisse pas le choix à un moment donné je l'ai personnellement vécu en 2017. C'est-à-dire que j'ai accumulé, accumulé les années précédentes, jusqu'à ce jour où ça a stoppé et ça s'est arrêté. Et en fait, j'ai eu mon accident qui m'a forcé à regarder à l'intérieur de moi ma vie. Où est-ce que j'avais dit oui, tu vois, le 2 mai 2017, je signais un appartement alors que je savais pertinemment, j'avais dit cinq jours plus tôt à ma psychologue, je ne peux pas acheter avec mon ex-mari. Ce n'est pas possible. Enfin, mon mari à l'époque. Mais j'y suis quand même allée, j'ai signé. Le 16 novembre 2017, je suis tombée. J'ai eu mon accident avec mon fils qui m'a valu d'être handicapée, qui m'a valu un an de rééducation, etc. Ça a été une période très sombre, mais aujourd'hui, ça a été ma plus belle transformation. Avant l'accident, je suis mariée, propriétaire, maman, j'ai un job. Je suis adjointe chef des ventes dans l'automobile après 2017. Je suis divorcée, handicapée, maman solo, je viens de déménager dans le sud et à mon compte, tu vois. Mais je suis pleinement, je me sens à ma place aujourd'hui, alors que je ne l'étais pas avant du tout.

  • Speaker #0

    C'est intéressant parce que souvent, on imagine que la vie décase tout le monde, même quand moi, je suis célibataire. Donc du coup, souvent, c'est mais alors quand tu vas vraiment rencontrer quelqu'un, mais en fait, je suis très heureuse. Alors, je ne dis pas que je ne rencontrerai personne et que c'est super, mais on peut être très heureux sans être dans la feuille de route que... On a décidé il y a je ne sais pas combien d'années que ça doit se passer comme ça. Et c'est ça qui est intéressant, c'est de s'écouter. Chacun est très heureux de vivre sa vie et que sa vie peut évoluer, peut changer. Et comme tu dis, si jamais on ne s'écoute pas, des fois, on ne laisse pas trop le choix.

  • Speaker #1

    Non, on n'a pas le choix. Parfois, c'est plus fort que nous. Je suis issue d'une famille où il fallait être mariée, avoir des enfants, travailler, machin, machin. Et aujourd'hui, je ne suis pas du tout dans ce schéma-là. Pour autant, je suis... très heureuse. Bien sûr, il y a des jours où c'est moins bien. Tout n'est pas linéaire. Et il y a des moments où c'est plus dur que d'autres. Mais je me sens beaucoup plus à ma place aujourd'hui que je ne l'étais avant. Pourtant, avant, j'avais tout pour être heureuse. Un mari, un job, machin. Mais ce n'était pas ce qui m'animait. Ça n'allumait pas la flamme que j'ai à l'intérieur de moi. Là, aujourd'hui, quand j'accompagne, quand j'accompagne les gens dans leur transformation et qu'on arrive à débloquer des situations, etc., et que je vois l'autre, vraiment s'épanouir, là je me dis, là t'es à ta place. Hier j'étais en séance avec quelqu'un, pendant la séance elle a eu un appel, elle me l'a dit après, elle m'a dit écoute, il y a quelqu'un qui, j'ai un recruteur qui m'a appelé pendant la séance, c'est quelque chose, c'est un job, enfin elle voulait changer de job, ça ne s'activait pas, etc. Bref, et tu vois, pendant la séance ça travaillait déjà, après la séance elle était capable de dire oui, et là je sais qu'elle va partir sur le chemin là où elle doit aller, mais parce qu'elle était à un Carrefour. Et souvent, j'arrive au Carrefour. Je dis souvent, quand je rentre dans la vie des gens, c'est que c'est le moment. C'est le moment du grand changement. J'ai accompagné des centaines de personnes à travers la méthode Soleil et aussi en individuel. Toutes les personnes que j'ai accompagnées, c'était vraiment à l'aube du grand saut. Je ne sais pas si tu l'as vécu toi, mais c'est principalement des personnes qui ont une première partie de vie. Et maintenant, j'ai envie de vivre pour moi. J'ai envie de découvrir qui je suis, où est-ce que je vais, etc.

  • Speaker #0

    C'est intéressant ce que tu dis parce que je pense que quand on accompagne des gens, on les accompagne à la hauteur de nous, ce qu'on a vécu. Et comment est-ce qu'on peut justement les accompagner ? Parce que toi, tu as traversé le feu. Ce que tu racontes, c'est exactement ce que tu as vécu. Donc, les gens qui sont en train de vivre ça, ils vont aller te voir toi parce que toi, tu es la lumière qui est déjà... Moi, j'aime bien cette allégorie de... Bon, t'as traversé le feu, t'es passé de l'autre côté, donc maintenant tu connais le chemin, donc tu peux leur dire « Hey, c'est par là, c'est super ! » Et moi, dans mes accompagnements, c'est autre chose que je développe et que... Et je trouve ça merveilleux parce que souvent, c'est pour ça même par rapport à l'astro, que tu n'as pas forcément la formation, mais que tu es en train de la faire. C'est quand on est dans notre intuition et dans notre vécu, dans notre chair surtout, quand on vit les choses, il n'y a pas de formation pour ça. Tu ne peux pas te former à avoir vécu ce que tu as vécu là et il n'y a personne d'autre qui peut accompagner mieux sur cette problématique-là que toi, parce que toi, tu l'as vécu. Et donc, du coup, tu le sais dans ta chair, tu sais ce que c'est. Donc forcément, tu vas comprendre l'autre et la personne va se sentir beaucoup plus comprise.

  • Speaker #1

    Tu ne peux pas dire à quelqu'un « fais quelque chose » si toi-même tu ne le fais pas ou tu ne l'as pas fait. Et en plus, c'est beaucoup plus légitime et crédible d'être accompagnée par quelqu'un qui a déjà traversé, même si ce n'est pas exactement la même chose, mais c'est les mêmes émotions. Tu ne peux pas te sentir légitime si je n'avais pas vécu tout ce que j'avais vécu. parce que si tu veux, j'ai... Je n'ai pas été à la rue, mais je n'étais pas loin de la rue. Donc, j'ai connu une situation financière hyper stable. J'ai connu le moment où tu te dis comment je vais faire. Et aujourd'hui, la stabilité financière à nouveau, tu veux, mais par moi-même. Dans mes accompagnements, j'ai beaucoup de gens qui ont un vrai problème. De toute façon, l'argent a toujours été un problème, mais ont un vrai problème de si je quitte. Souvent, c'est ça. Si je quitte le foyer que j'ai là, comment je vais faire pour m'en sortir toute seule ? souvent c'est financier, puis après il y a tout le côté gestion du quotidien, etc. Et parce que je l'ai fait, elles me le disent, tu nous inspires, parce que j'ai fait et je parle de quelque chose que j'ai fait. Et là, dans la méthode soleil ces derniers mois, c'est la seule chose que j'ai gardée pendant l'accompagnement de fin de vie de mon papa. Donc pour situer, je suis arrivée en octobre dans le sud, le 1er novembre dans le sud, et le 14 novembre, mon papa a été diagnostiqué d'un cancer du cerveau foudroyant, un glioblastome. Et donc, j'ai vécu et il est décédé le 8 avril. Tu vois, donc, c'est allé très, très vite. Je le savais. En fait, tout ce que j'ai vécu ces quatre dernières années, tu vois, juste avant l'annonce du diagnostic, m'a permis de me faire confiance. Je savais le diagnostic avant qu'on nous le donne. C'est-à-dire que le lundi soir, on nous l'a annoncé le mardi. Le lundi soir, j'ai eu une montée d'angoisse. Mon corps a parlé avant même qu'on nous ait mis les mots dessus. Et j'ai préparé, j'ai dit à ma sœur. Je sais que c'est quelque chose qui fait qu'il ne restera pas longtemps. Et ensuite, j'ai vécu l'accompagnement de la maladie de mon père. J'ai accompagné mon père dans son dernier chemin. Et je me souviens de lui avoir dit, j'avais fait cette transition-là, je lui avais dit, tu sais, Dad, quand tu as pris ta retraite, tu t'es fait coacher. Et bien là, tu vas devoir faire pareil. C'est-à-dire que tu n'as pas le choix. Tu sais que tu vas décider. Parce que le glioblastome, c'est souvent... Les médecins le... disent que le pronostic vital est engagé. Même si la personne est en bonne santé, on sait que l'issue est fatale, il n'y a pas de traitement, il n'y a rien. Ce qu'on ne sait pas, c'est à quel moment. Donc, il faut savoir vivre dans l'instant présent, profiter de l'instant présent. Et en plus, j'ai accompagné mon père à ce moment-là spirituellement, parce que c'est à ce moment-là que lui s'est complètement ouvert. Tu vois, il a été vachement... Il a tout retenu. En fait, le cancer a touché une zone qui fait qu'il était complètement désinhibé. Donc, plus de filtre sur ses émotions, etc. Donc j'ai découvert une nouvelle personne. Mais j'ai surtout fait confiance à mon intuition. Et dès le début, elle m'a dit profites-en. Jusqu'au bout, profites-en. Parce que j'ai déménagé en 15 jours et je suis arrivée au moment où on découvre son cancer. Donc j'ai pu accompagner mon père et j'ai vraiment la chance de l'avoir fait. Je l'ai accompagné jusqu'au dernier jour. Je l'accompagne ma mère encore aujourd'hui. Mais ça m'a permis de vivre cette expérience d'une manière complètement différente. Parce que déjà, je sais qu'il y a autre chose après. Je sais que la mort n'est pas une fin en soi. Je sais qu'à un moment donné, quand lui, il aura atterri aussi, on pourra... réavoir des signes, des échanges, etc. Mais surtout, j'ai pu être dans l'instant présent, alors qu'avant, je contrôlais beaucoup, j'avais besoin d'avoir la projection, la vision, le machin, le truc. Là, j'ai pu les jours comme elles venaient, et j'avais même dit à mon père « Viens, Dad, on fait un kiff par jour. Tous les jours, tu me dis ce que tu veux, et je t'emmène où tu veux. » Donc, tous les jours, on faisait un truc jusqu'à ce qu'il ne puisse plus marcher. Mais j'ai vraiment pu profiter. Et si je n'avais pas fait tout le travail en amont que j'avais fait, je n'aurais pas profité de la même façon. et je ne me serais pas fait confiance. Ce n'est pas facile de se dire... de savoir que ton père ou ta mère est condamné, de le savoir. Et les gens autour de moi me disaient, mais comment tu sais ? Je sais, tu vois ce que je veux dire ? C'est vraiment pas facile, mais mon père, ça lui a permis de tout préparer, parce que c'est un grand contrôlant. Il a pu préparer son dernier voyage comme il le voulait et à l'image qu'il voulait.

  • Speaker #0

    Tu vois, après, laisser des souvenirs pour les enfants, un message pour ma mère, etc. Et il m'a dit, toi, tu es vraiment extraordinaire parce que je peux tout te demander. Il n'y a rien qui te choque. Non, il n'y a rien qui me choque.

  • Speaker #1

    Ah, c'est beau. C'est hyper, hyper touchant. Et souvent, c'est marrant parce que pour les gens qui ne vivent pas forcément la maladie et qui ont la chance de ne pas la vivre, il y a aussi une part. Alors, c'est des cadeaux très, très mal emballés. Et moi, je vis la même chose avec mon papa. Ce n'est pas un cancer, mais c'est une maladie d'Alzheimer. et en fait c'est un très beau cadeau qui me... Je le dis comme ça parce que je n'ai pas eu le choix aussi à un moment donné de le prendre comme un cadeau et du coup d'être dans le moment présent, de voir parce qu'avec Alzheimer, tu ne peux plus avoir vraiment de conversation existentielle. Tu peux juste être là, regarder l'oiseau, partager des choses très simples et se connecter sur un autre plan déjà. Je trouve ça hyper intéressant, c'est ça que je rebondis là-dessus parce que ça me touche. Et en fait, c'est vrai que ça met un peu de temps d'acceptation et les gens qui ne vivent pas ça ne l'entendent pas en fait. et ils entendent peu de la peur et ils fuient un petit peu ces situations ils disent mais comment tu fais moi je pourrais jamais et ces phrases je pense que tu as déjà dû les entendre moi je pourrais pas vivre avec ça et en fait tu te dis déjà t'as pas le choix et en plus ça t'apporte beaucoup d'amour et une nouvelle compréhension aussi de la vie parce que quand t'as dit la phrase ça a fait résonance quand tu sais que tes parents sont condamnés mais en fait on est tous condamnés on sait pas quand mais on y pense pas tous les jours mais peut-être qu'on va mourir demain et qu'on le savait pas Et donc, du coup, c'est juste reprendre conscience qu'en fait, il va y avoir une fin. Mais sauf qu'en fait, pour le coup, moi, j'ai décidé que je n'allais pas mourir, mais normalement, on va tous y passer.

  • Speaker #0

    La peur de la mort, c'est une vraie peur. Mais j'ai eu un accident qui fait que j'ai eu la peur de la mort pendant... Tu sais, quand ça bascule dans ta vie. Le traumatisme, il est puissant et souvent, il y a des peurs de mort qui se réactivent à ce moment-là. Donc, je l'ai eu, mais j'ai aussi compris que de toute façon, je n'ai aucun... aucun poids sur la date, sur le jour où je vais partir. Quand je disais tout à l'heure, quand tu sais qu'un de tes parents est condamné, là, c'est parce que je savais qu'il était condamné rapidement. J'avais cette notion de rapidité à l'intérieur. Le cancer, le glioblastome, c'est un... Comment dire ? C'est un espèce d'aperçu de la maladie d'Alzheimer parce que, alors, autant au début, il était encore parmi nous, autant il y a des moments, et à la fin, complètement ailleurs. Tu vois, vraiment... J'avais encore des contacts physiques quand je lui disais je t'aime. Il me répondait un peu, mais... Mon père, il est parti. Je lui ai dit ton âme, elle a choisi sa sortie. Il nous a toujours dit si j'ai Alzheimer, vous me larguez devant la mer, je nage jusqu'à la mort. Il ne voulait pas Alzheimer. Écoute, il a eu un truc qui fait que ça a duré 4 mois et demi, 5 mois. Il a filé à l'anglaise. Il était anglais. Il nous a toujours dit je file à l'anglaise. Mais il a pu dire au revoir à qui il voulait. Il a pu faire... Et du coup... il a dû aussi se confronter à sa propre peur de la mort. Parce qu'il savait qu'il allait mourir. Il a fait le taf. Et il n'est pas parti dans les meilleures dispositions, mais il est parti plus apaisé qu'il ne l'était au début. Et l'autre chose sur laquelle je voulais rebondir, parce que tu dis ça, les gens qui ne sont pas confrontés ne comprennent pas forcément ou te disent je ne sais pas comment tu fais, le regard de l'autre. Alors ça, c'est un truc. Je ne m'y attendais pas. mais le regard de l'autre pendant la maladie de mon père, parce qu'il y a un vrai décalage. Tu vois, Alzheimer, c'est une maladie qui se passe intérieurement, c'est-à-dire que la personne va physiquement bien, mais en fait, c'est au niveau des conditions que ça se passe, enfin qu'elle n'est plus là. Et mon père, c'était ça. C'est-à-dire qu'on avait un diagnostic et un pronostic très sombres, et quand on le disait aux gens qu'il allait mourir, on ne savait pas exactement quand, puisqu'au début, on nous a dit deux ans, puis après, on nous a dit six mois, et en réalité, il est parti. très vite, tout le monde autour ne nous croyait pas. Et donc, on a eu une vague de gens qui nous ont fait la misère, qui ont été en colère, qui n'ont pas voulu nous parler, qui ne sont pas allés voir mon père. De gens qui nous ont dit, mais de toute façon, vous mentez. Ça a créé des tensions familiales, qui ont accusé ma mère de colporter des mauvaises informations, etc.

  • Speaker #1

    On plaint dans le triangle de Carmen, pour le coup.

  • Speaker #0

    Ouais, on était les bourreaux de mon père, en fait, ma mère et moi, à ce moment-là. pour l'entourage amical, etc. et quelques personnes de la famille, on était les bourreaux de mon père parce qu'on l'enterrait trop vite. Le jour de l'enterrement, j'ai une personne qui a eu le courage de me dire « t'avais raison » . Une seule, tu vois. Et ça a été une des personnes qui a colporté le plus de trucs sur « c'est pas vrai, elle l'enterre, etc. » Bah oui, mais parce qu'en fait, c'est pas parce que physiquement, il renvoie quelqu'un de fort et de vaillant, etc. que là, tout va bien, en fait.

  • Speaker #1

    Oui, c'est souvent, mais c'est intéressant ce que tu dis sur le regard des autres, les autres, parce que souvent, même toutes les choses invisibles qu'on peut vivre, que forcément, on ne va pas forcément dire, les gens vont juger ou parce qu'en fait, ils ne se connectent pas forcément à tout ça. Mais en tout cas, je trouve que tu en parles d'une façon hyper belle, hyper douce et ça fait plaisir de pouvoir parler de la mort comme d'un passage et de la vie qui fait en sorte que c'est... Ça fait partie de tout ça. Mais du coup, parce que là, on arrive presque à la fin, est-ce qu'on pourrait partir sur une note un peu plus gaie ?

  • Speaker #0

    Ah oui.

  • Speaker #1

    Mais en même temps, moi, j'ai trouvé ça trop chouette et je trouve qu'on n'en parle pas assez. C'est longtemps que j'avais envie d'en parler dans les émissions et que, tu vois, ce n'était pas prévu. Je n'avais pas... Et que ça se fait comme ça. Et je trouve ça super beau parce qu'on est beaucoup de gens à vivre de plus en plus des maladies dégénératives et d'être touchés par ces maladies-là. Et c'est vrai que pour l'entourage, c'est vraiment pas évident Et donc là, peut-être qu'on a donné une expérience, en tout cas, pour justement que les gens...

  • Speaker #0

    On a semé des graines.

  • Speaker #1

    Voilà, on a semé des graines pour que les gens...

  • Speaker #0

    Tu sais, c'est comme je te disais au début de notre entretien, il y a l'ombre et la lumière. On ne peut pas vivre sans ombre, tu vois. Pour moi, la mort, ça fait partie de la vie aussi. C'est le processus de la vie. Et du coup, si je reviens à notre sujet de base... Pour moi, les énergies, elles sont le guide du chemin sur lequel on va. Et donc, quand ça devient dur, c'est que le chemin, il y a un truc qui ne va pas sur ton chemin. Et donc, c'est à réadapter. C'est parce que j'ai commencé à être à l'écoute de ce qui se passait autour de moi que du coup, j'ai pu faire le taf et cheminer et avancer. Et aujourd'hui, je prends mes décisions comme ça. C'est-à-dire que dès que ça bloque, j'arrête et je regarde les choses différemment. Même sur les réseaux, je fais ça. Même Instagram, dès le début, je me suis dit qu'il faut que je le prenne comme un radar. Si ça prend, c'est que c'est le bon chemin. Si ça ne prend pas, c'est que ce n'est pas le bon chemin. Et j'ai toujours fait comme ça. Je suis à l'écoute des opportunités, des synchronicités. Tu l'appelleras comme tu veux. Mais c'est parce que j'ai accepté l'inconfort. J'ai accepté la personne que je suis. Je suis solaire, etc. Mais parfois aussi, je me mets en colère.

  • Speaker #1

    Ça, c'est bien en même temps de le montrer aussi. Le développement personnel ou le travail sur soi, ce n'est pas pour devenir Bouddha. C'est justement pour apprendre à... Moi, je vois ça un peu comme des vagues, à réussir à surfer et de ne pas se casser la gueule et se dire qu'on peut être en haut ou en bas. Mais en même temps, quand on est en bas, on sait qu'on va remonter. Quand on est en haut, on sait qu'un moment donné, on va redescendre. Et donc, de profiter de chaque moment et d'être dans le moment présent. Est-ce que tu n'aurais pas un petit tip ou quelque chose pour que les gens arrivent à... Souvent, le moment présent, c'est assez compliqué. et comment est-ce que toi tu t'es appris ? à être dans ton moment présent le plus souvent possible.

  • Speaker #0

    À chaque fois que j'ai commencé à projeter oui mais si, oui mais si, etc. Tu sais, au moment où tu commences à te poser plein de questions sur si je fais ça comme ça, est-ce que ça va fonctionner ? Là, on est déjà parti de l'instant présent. Et donc, dans ces moments-là, quand il y a trop de questions, je fais vraiment ce truc de... Là, par exemple, je serais avec Sarah en train de répondre à ses questions. Je reviens là, tout de suite, maintenant. Il y a l'enjeu, ce qui est en train de se passer. Si tu es en train de faire tes courses, reviens à l'instant où tu fais tes courses. Ça, ça a été, pour moi, c'est l'exercice le plus puissant, c'est revenir à ce que tu fais à l'instant T, quand tu es en train de projeter sur autre chose. L'autre truc qui m'a beaucoup aidée, mais ça dépend vraiment des gens, il y a des gens qui aiment méditer, qui ont besoin de méditer, mais c'est pareil, la méditation n'est pas forcément adaptée pour tout le monde. Et en plus, il y a différentes façons de méditer. Moi, je sais que ce que je préfère faire... c'est faire le ménage. Parce qu'à ce moment-là, je suis à mon ménage, c'est-à-dire que mon cerveau n'est pas concentré sur des sujets, et je laisse la place à l'intuition. Je ne suis pas en train de penser, penser, penser. Le souci du questionnement et de l'hyper-questionnement et du fait de projeter, c'est qu'on laisse plus la place au ressenti et à l'intuition. Et c'est ce dont l'intuition a besoin pour pouvoir revenir. Donc l'instant présent, c'est aussi cette capacité à se dire, là dans l'instant présent, qu'est-ce qui se passe ? Et quel est l'enjeu ?

  • Speaker #1

    Trop bien. Bah écoute... Comme vous êtes peut-être à la plage ou en train de préparer vos vacances ou vous allez peut-être essayer de faire cet exercice sur la plage, ne réfléchissez pas à comment va se passer la rentrée, qu'est-ce que je vais faire, mon Dieu, tout ça. Mais regardez le sable, le soleil, reconcentrez-vous sur ça parce que ça ne va pas durer l'instant présent. Et vous serez bientôt en train de vous poser toutes ces questions ou en train de dans plein d'autres problématiques. Mais ouais, qu'est-ce qu'on peut leur dire ? Profitez cet été aussi, de profiter, même si ça va être un peu chamboulant, de s'écouter, de respirer, de profiter de... du moment présent le plus possible. Essayer justement de s'exercer à l'atteindre tous les jours, un peu plus.

  • Speaker #0

    L'instant présent, oui, et de se laisser guider. Si ça bloque, c'est que c'est pas le bon endroit. Si c'est fluide, c'est que c'est le bon endroit. Juste cette phrase-là, ça nous fait changer de perspective.

  • Speaker #1

    Oui, et des fois, on s'accroche à des trucs alors qu'en fait, ça va pas du tout.

  • Speaker #0

    On y va, on y va, on y va, on y va, comme un petit bélier qui fonde sur... Ben non, ça bloque. Anne-Fleur, elle a dit, tu vois Anne-Fleur avait dit que quand ça bloque c'est pas le bon endroit et ben si ça bloque regarde autrement, change les choses, ou c'est juste pas le bon timing en fait. C'est même pas une question de... que c'est pas le bon truc, c'est peut-être juste pas le bon moment.

  • Speaker #1

    Trop bien. En tout cas, c'était le bon moment pour faire cette émission ensemble. J'ai trouvé ça trop chouette. Merci beaucoup. Et puis, en tout cas, vous êtes un bon été. Moi, je vous dis à la semaine prochaine et Anne-Fleur, à bientôt, j'espère. Est-ce que tu reviendras nous faire un petit coucou ?

  • Speaker #0

    Avec plaisir. Merci beaucoup.

  • Speaker #1

    Flamme des années 80. Le podcast qui allume la femme.

Chapters

  • Introduction à Anne-Fleur et son parcours

    00:10

  • La création de Soleil Quartz et la météo énergétique

    00:19

  • Prédictions pour l'été et l'année 2025

    03:27

  • Le triangle de Karpman et les relations

    05:29

  • Conclusion et encouragements pour l'été

    40:04

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Description

Comment mieux vivre les turbulences énergétiques de l’été 2025 ?
Dans cet épisode lumineux et profond, Sara reçoit Anne-Fleur, créatrice du compte Soleil Quartz, numérologue et voyante. Ensemble, elles explorent l’impact des énergies collectives et personnelles sur nos émotions, nos décisions, et nos chemins de vie.

Anne-Fleur nous partage la genèse de la météo énergétique, une grille de lecture intuitive et sensible du monde invisible, née de ses ressentis, de la numérologie et de sa capacité à capter l’intensité vibratoire des journées. Elle nous parle aussi de sa méthode Soleil, un accompagnement énergétique puissant mêlant radiesthésie, magnétisme et déprogrammation cellulaire.

L’épisode aborde en profondeur :

🌞 Ce que nous réserve l’été 2025 sur le plan énergétique
🔢 Comment calculer son année personnelle en numérologie
🔥 Les grands enseignements de l’année 9 collective
⚡️ Le triangle de Karpman (victime / bourreau / sauveur) et comment s’en libérer
🌀 La part d’ombre, la colère comme boussole intérieure
🌿 Le pouvoir de l’instant présent et du recentrage
💛 La transformation par l’épreuve : accident, maladie, deuil
🌙 La puissance des synchronicités quand on s’écoute vraiment

Avec douceur et lucidité, Anne-Fleur nous livre aussi son témoignage de transformation radicale : un accident en 2017, puis l’accompagnement spirituel de son père en fin de vie. Elle partage avec sincérité la traversée du deuil, l’intuition profonde qui guide ses choix, et cette certitude :
👉 L’invisible nous parle… encore faut-il s’arrêter pour l’écouter.

Un épisode intime et vibrant pour toutes celles qui sentent que quelque chose est en train de changer.
Pour celles qui veulent se relier à leur intuition, accueillir l’imprévu, transformer la colère en message, et traverser la vie en se laissant guider par leur lumière intérieure.


🎧 Flammes des Années 80, c’est le podcast qui accompagne les femmes dans leur développement personnel, leur bien-être et leur liberté d’être.

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Chaque semaine, des conversations autour du développement personnel féminin, de la confiance en soi, du bien-être, de la transmission et de l’épanouissement personnel. On y explore l’introspection, les émotions, la résilience, la maternité, l’amour, la psychologie et les témoignages inspirants de femmes et d’hommes audacieux. Un podcast pour femmes, pour révéler sa flamme intérieure, oser être soi et nourrir sa spiritualité féminine.
Flammes des Années 80, pour écouter votre flamme intérieure grandir. 🔥


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Flamme des années 80. Le podcast qui allume la femme. Bonjour, je suis très heureuse aujourd'hui de recevoir Anne-Fleur. Alors Anne-Fleur, je l'ai rencontrée par Instagram et elle a un compte que j'adore qui s'appelle Soleil Quartz. Donc merci Anne-Fleur d'être là aujourd'hui. Est-ce que tu veux te présenter pour les auditeurs et auditrices qui ne te connaissent pas encore ou qui ne suivent pas ton compte ?

  • Speaker #1

    Bonjour Sarah, déjà merci pour ton invitation. Je suis très heureuse aussi d'être ici avec toi. J'allais dire parmi vous, mais nous sommes toutes les deux. Donc, je m'appelle Anne Fleur. J'ai créé mon compte Soleil de Quartz en 2020, quelque part, 20-21. Je n'ai plus en tête. L'idée, c'est de pouvoir mettre des mots sur les ressentis énergétiques qu'il y a autour de nous. Et donc, j'ai créé la météo énergétique. Ça a été ma première création sur Instagram. Aujourd'hui, je suis numérologue et voyante. et ce depuis 2022. Je me suis lancée en 2022 et c'est déjà pas mal.

  • Speaker #0

    C'est déjà tout un programme. J'avoue, en fait, moi, je trouve que ta particularité, c'est assez sympa, c'est que c'est assez léger. Il y a un côté léger, il y a un côté lumineux, il y a un côté soleil, quoi, parce que c'est le nom. Pourquoi tu as choisi Soleil Quartz, du coup ?

  • Speaker #1

    Alors, au départ, c'était pas du tout Soleil de Quartz, c'était Fleur de Quartz, parce que je m'appelle Anne Fleur. Et au tout début, la première intention que j'avais, c'était de partager de la litho, créer des bijoux, etc. Et je n'aimais pas trop fleurs de quartz. Et en fait, j'ai une amie qui m'a dit, mais tu es très solaire et tu illumines beaucoup. Et c'est du coup le mot soleil de quartz qui m'est venu à ce moment-là.

  • Speaker #0

    Ah sympa, j'aime bien voir les origines des titres. Enfin des titres, les origines des noms.

  • Speaker #1

    Et finalement, c'était annonciateur de ce que j'allais faire, parce que j'ai créé la météo très peu de temps après. Donc le soleil a créé la météo.

  • Speaker #0

    Alors, comment est-ce que tu fais pour faire voir en sorte qu'il y a une météo énergétique ? On trouve ça toutes géniales, ou tous, mais comment est-ce que toi, tu canalises ces choses-là ? Comment ça se passe ?

  • Speaker #1

    Je le ressens. Il y a deux choses. Il y a toutes les canalisations que j'ai par ma clairvoyance. En fait, je me pose et je me dis tiens, qu'est-ce qui va se passer ? Plus des petits calculs numérologiques sur lesquels je m'appuie aujourd'hui pour pouvoir... J'ai créé en plus l'intensité énergétique des journées, lourde, explosive et intense. électrique. Et l'autre chose, je capte les ressentis qui vont être... qui vont nous suivre tout au long du mois et puis après, je me concentre jour après jour. Et en fait, je ne peux pas t'expliquer, ça vient, c'est des mots qui viennent, des phrases qui viennent toutes seules que je capte. Je suis assez terre-à-terre, donc au début, je n'y croyais pas beaucoup. Et en fait, à force de l'avoir fait avec mon entourage, mes amis, en leur disant « demain, ça va être chaud, machin » , j'ai vu que c'était plutôt juste et c'est comme ça. J'ai commencé très doucement. un peu timidement. Et puis, au fur et à mesure, j'ai pris confiance. Après, le syndrome de l'imposteur fait que j'ai regardé la résonance de Schumann et autres trucs. Et en fait, parfois, je n'étais pas d'accord avec... Enfin, pas d'accord. Je ne ressentais pas la même chose. Donc, je me suis détachée de ça et je le fais maintenant complètement de manière intuitive.

  • Speaker #0

    D'accord. Et là, c'est bien parce que comme on arrive au début de l'été, est-ce que cet été sera chaud ? Comment va être cet été ? Parce qu'on a tous envie de vivre l'été parce que c'est une période qui est vraiment toujours assez sympa. Qu'est-ce que tu peux nous en dire de cet été ?

  • Speaker #1

    Alors cet été, il sera chaud, il sera beau, il sera chaud. Il faut savoir que le mois de septembre, l'année 2025, c'est une année d'ascension. C'est une année en numérologie, une année neuve, donc c'est la fin d'un cycle. Ce qui veut donc dire que janvier a commencé à un niveau et pour moi, le point culminant sera septembre. Donc cet été, on va sentir déjà les prémices de la canicule de septembre. Et je pèse mes mots quand je dis canicule de septembre. canicule énergétique, bien sûr, je ne sais pas quelles seront les prévisions météo à ce moment-là, mais du coup, juin, juillet, août vont être des mois de préparation. Ça va monter petit à petit. Forcément, ça peut être parfois désagréable. Après, ça dépend de la vie de chacun. Parce qu'il y a ce qu'on capte pour le collectif et comment chacun le vit. Et ça dépend aussi de l'avancée de chacun, si on a des soucis ou si on n'a pas des soucis. Ce qui est certain, c'est qu'on n'a plus le choix et c'est ce qui se passe. Il y a beaucoup d'événements qu'on ne voyait pas venir qui sont en train de se produire. Il y a des imprévus et il y en aura encore plus cet été. Par peur, par exemple, si tu ne vas pas à gauche, l'univers risque de te pousser fortement à aller à gauche. Parce que c'est souvent là où on a peur qu'il faut aller. Donc, je sens un été caniculaire énergétiquement parlant. Ça ne veut pas forcément dire qu'on le vivra hyper mal, parce que l'été, on a tendance à vivre des énergies de manière plus légère, puisqu'on n'est pas dans l'hiver, le froid, le machin. Pour autant, ça va un peu remuer, secouer. Tu vois, c'est un peu comme la bouteille d'orangina. Secouer là, sinon la pull, c'est un peu... Tu vois, c'est comme ça que je capte la météo. C'est que j'ai des phrases qui me viennent toutes faites. J'ai vraiment ce truc de secouer. On va être secoués cet été, c'est certain. Ce n'est pas pour nous mettre à mal, c'est vraiment parce qu'on doit bouger, parce qu'il y a des choses qui doivent avancer, parce qu'on doit se libérer, parce que d'une manière collective, il y a des relations qui doivent s'arrêter, quelles qu'elles soient. Ce n'est pas que dans le sentimental, c'est professionnellement, amicalement, etc. En astrologie, Saturne vient de passer en bélier, et est passé en bélier au mois de mai. Il a quitté le poisson. Le poisson, c'était typiquement le triangle de Cartman. Je fais un raccourci, très raccourci. Au niveau des relations, on doit avoir des relations très alignées à nous et non pas s'abandonner, s'effacer, etc. Du coup, il y a un espèce de ménage qui va être fait.

  • Speaker #0

    Je disais juste pour le triangle de Cartman, parce que certaines personnes ne connaissent pas forcément. Victime, bourreau, sauveur. Et c'est... Moi, je l'explique toujours comme si on était dans une troisième dimension de conscience, c'est-à-dire que 80% de la population sont vraiment dans ce triangle-là de toujours se positionner en victime ou se plaindre, ou alors de venir... C'est toute une petite danse que tout le monde connaît, on y passe encore, et de prendre conscience de ça pour aller un peu plus haut et pour ne plus être dans ces relations-là. C'est ça que tu entends dire ? On va essayer d'en sortir ?

  • Speaker #1

    Oui, on doit en sortir. Chacun doit reprendre sa responsabilité, reprendre un peu sa juste place dans sa vie. Et juste pour revenir sur le triangle de Karpman, pour le sauveur, parce que souvent, le sauveur, c'est quelque chose qu'on a du mal à percevoir. On se dit, bah oui, mais moi, j'aide. En fait, le sauveur dans le triangle de Karpman, il est toxique parce qu'il est... C'est souvent des personnes qui font des choses sans le consentement de l'autre. Tu vois, je viens t'aider, mais je te demande pas si t'as envie que je t'aide. Et c'est souvent comme ça qu'on rentre dans le triangle de Karpman par le rôle du sauveur. Ça, c'était en aparté. Et aujourd'hui, le 9 en numérologie, c'est justement le sauveur. Donc, on a beaucoup ce côté sauveur qui peut être activé cette année. Sauf que l'idée n'est pas d'aller sauver pour sauver. L'idée, c'est de proposer son aide et de laisser libre la personne en face de l'accepter ou non. Et de sortir de ces relations. Parce que même si on le joue très souvent dans notre vie, ce n'est pas pour autant un schéma relationnel positif. Et souvent, ça nous entraîne un peu dans des relations assez déséquilibrées, puisque ce n'est pas les gens qui sont toxiques, c'est la relation qui le devient de par la position qu'on prend. Donc, ce que je te disais, c'est qu'effectivement, on doit sortir de ce rôle-là, de ce schéma de fonctionnement-là, et pouvoir reprendre sa juste place dans notre vie, être libre de se réaliser comme on l'a envie, selon le chemin que... Notre âme avait, si on croit à ça, ce que notre âme avait décidé de vivre juste avant de s'incarner, en fait. Être pleinement... Passer les vacances. Non, c'est pas vrai. Après, non, c'est... C'est le 9e mois de l'année d'une année neuve. Donc, il y aura sans doute beaucoup de séparations. Le 9, c'est la fin d'une étape. Donc, sans doute beaucoup de séparations, beaucoup de... Quand je dis séparations, c'est pas que humain, c'est matériel, etc. Après, j'ai quand même constaté qu'il y a beaucoup de décès aussi cette année, des décès auxquels on ne s'attendait pas. Et comme je te l'ai dit, j'en ai vécu un mois à titre personnel. Donc jusqu'en septembre, de toute façon, il y a beaucoup de choses qui vont un peu nous tomber dessus. Et ensuite, sur les trois derniers mois de l'année, c'est un peu comme un récap de tout ce qui vient de se passer cette année, mais sur une énergie qu'on connaît déjà. Donc ça va être moins difficile que ce qu'on va vivre jusqu'en septembre. Et ensuite, en 2026, nouveau départ, nouvel élan. Tu vois, c'est vraiment le chemin du renouveau qui arrive sur 2026. Donc 2025, c'est le grand ménage.

  • Speaker #0

    Et comment influence notre chemin de vie personnel, par exemple ? Moi, par exemple, je suis en année 1. Toi, je ne sais pas en quelle année tu es. Mais du coup, ça influence comment par rapport... Après, ce n'est peut-être pas ta spécialité. Là, je te lance là-dessus parce que ça me donne envie d'imaginer.

  • Speaker #1

    Je suis très formée. C'est une passion, la numéro, donc ça va. Une question qui m'a déjà été posée, je te remercie de la poser. Ce n'est pas facile de faire ce rapport parce que toi, en année 1, on est collectivement en année 9, ça veut dire que tu es un peu aux deux opposés. Donc, je ne sais pas comment toi, ça se matérialise, mais tu as envie de nouveautés, tu as des choses qui peuvent émerger dans ton quotidien ou des nouveaux projets. Le 1, il ose tenter des nouvelles expériences. Il y a aussi tout un travail sur la place, comment prendre sa juste place ou incarner une nouvelle facette. Le 1, c'est un peu le guide, le leader, etc. en année 1, on a tendance à commencer des nouvelles choses. Ce qui veut donc dire que tu dois jongler entre... Collectivement, il y a des choses qui vont s'arrêter, mais toi, personnellement, t'as vraiment envie de créer quelque chose de nouveau. Et donc, c'est vraiment le côté... Parce que le neuf, c'est vraiment je me laisse porter par l'univers. Moi, je parle de l'univers, chacun a ses croyances, mais se laisser porter par l'univers, c'est lui qui est un peu le chef d'orchestre. Et toi, en fonction de ce qui se passe dans ton quotidien, et bien euh c'est tu instaures du nouveau. Et ça peut être des nouvelles propositions. Il y a plein de possibilités et c'est assez riche. Moi, je suis personnellement en année 5. Le 5, c'est la liberté, la passion, le mouvement, le changement, les déplacements, etc. Mais c'est aussi suivre le flot. Donc, de toute façon, cette année, je n'ai pas le choix. Je dois suivre le flot d'une façon ou d'une autre. Je n'ai pas la main, je me laisse guider et j'avance. Pour des personnes qui vont être en année 4, c'est une année de structuration et d'organisation. Ce n'est pas facile. Parce qu'avec le côté « je dois arrêter, je dois faire du ménage dans l'année 9, dans le collectif » , ce n'est pas facile de se structurer un peu quand c'est le chaos autour de toi. C'est difficile de retrouver son cadre. Mais le cadre, c'est aussi l'instant présent. Donc souvent, c'est revenir dans l'instant présent qui permettra d'avancer.

  • Speaker #0

    Et du coup, pour nos auditeurs et auditrices qui ne savent pas calculer, entre guillemets, leurs chiffres de numérologie pour l'année, comment est-ce qu'il faut faire ?

  • Speaker #1

    Alors, pour l'année personnelle, C'est le jour de naissance additionné au mois de naissance additionné à l'année 2025 et le tout réduit à 1. Donc, tu réduis systématiquement à un chiffre.

  • Speaker #0

    C'est ça, parce que dans la numérologie, il y a l'année collective, notre année personnelle et on a aussi notre chemin de vie qui part avec notre année de naissance. Il y a trois, on peut avoir trois chiffres.

  • Speaker #1

    On peut en avoir plein d'autres, mais là, on va rentrer dans une formation complète en numérologie. Ce n'est pas le but, mais effectivement, il y a le chemin de vie. qui est l'addition du jour, du mois et de l'année de naissance. L'année personnelle, c'est jour plus mois plus année en cours. Et là, ça te donnera un chiffre d'année. Et après, tu as l'année collective, c'est juste la réduction de 2025 qui fait 9.

  • Speaker #0

    Ah là, c'était trop intéressant. Je n'avais pas prévu de parler de numérologie, mais je trouve ça trop chouette. Et toi, du coup, tu t'es formée à tout ce qui est genre astro, parce que c'est très compliqué l'astro. Il y a beaucoup de choses à comprendre. Toi, comment est-ce que tu fais ? Tu mets aussi ton intuition à l'intérieur de ça ? Tu as fait ta petite tombouille personnelle ?

  • Speaker #1

    Je n'ai aucune formation astrologique. C'est à force de discuter. J'ai une amie astrologue. Donc, à force de discuter avec elle, j'ai acquis du savoir. Je viens de démarrer une formation en astrologie, mais jusqu'alors, je refusais de me former parce que je voulais vraiment laisser que mon intuition parler. Et après, je me suis beaucoup formée en numérologie et j'ai compris. Tu sais, j'ai ramené... La numérologie, en général, c'est plutôt pour... son âme, son thème personnel, etc. Et j'en ai... En fait, je l'ai détourné pour en créer une numérologie plutôt énergétique qui m'aide à capter, tu vois, à voir un peu au-delà de... à pouvoir capter plus facilement, en fait, ce qui va se passer en amont. Parce que je sais le faire au fur et à mesure, jour après jour, mais j'avais à cœur, j'avais envie de vraiment pouvoir faire comme en astrologie, une prévision, tu vois, sur l'année complète. C'est ce que j'ai fait, d'ailleurs. cette année en 2025, c'était la première année où je créais le calendrier énergétique sur l'année 2025 qui donnait l'intensité des journées. Donc aujourd'hui, c'est numérologie plus mes propres canalisations.

  • Speaker #0

    Trop bien. Et en fait, tu proposes aussi la méthode soleil, tu proposes plein de choses pour nous accompagner, parce que c'est vrai que moi, ça me donne envie. Et ce que j'aime trop, c'est que le matin, je peux regarder, tu fais des petits tests aussi, enfin pas des petits tests, mais des petits, pour faire marcher notre intuition, choisir une petite... cartes. Le matin, je trouve ça assez agréable pour commencer bien la journée. Mais tu ne fais pas que ça. Et donc après, tu la météo énergétique et d'autres, justement, formule que tu proposes pour nous éclairer.

  • Speaker #1

    Le matin, je fais le mood du jour. Ça te donne un peu une indication de ce qui va se passer pour toi aujourd'hui d'une manière personnelle, personnelle collective. Et après, j'ai créé la méthode soleil il y a un peu plus de deux ans, qui est mon accompagnement collectif énergétique. J'en parlais ce matin en story. Ce n'est pas facile d'en parler parce que ce n'est Ce n'est pas un... Un frigo chez l'Arctique, tu peux palper. C'est vraiment un accompagnement. Donc ça se vit, c'est de l'humain. Il est énergétique, j'y pratique la radiesthésie, donc c'est le pendule, le magnétisme, les déprogrammations des morts cellulaires, parce que c'est une formation que j'ai faite aussi. Je mets en fait tous mes outils à disposition dans la méthode soleil, en plus de mes canalisations, mes captations énergétiques des journées. L'idée, c'est que quand tu rentres dans la méthode soleil, tu sois accompagné. un peu comme tu vois, tu regardes ta météo sur TF1, dans la méthode soleil, tu as la météo du jour ou des deux jours à venir. Et comme ça, comme je dis, une âme avertie en vaut deux. Tu sais comment appréhender les journées qui arrivent. Et si tu dois prévoir des événements importants, je le conseille souvent, on ne fait pas ça en journée électrique, tu vois, par exemple, parce que c'est très électrique autour de nous et ce n'est pas propice au développement de projets, par exemple. Après, quand on n'a pas le choix, on n'a pas le choix. Du coup, ça permet d'appréhender et ensuite... Il y a aussi un accompagnement, c'est du collectif, mais je suis très disponible en message privé pour les gens qui sont dans la méthode soleil. Pour les aider, en fait, à éplucher, c'est pas joliment dit, mais éplucher l'oignon. Tu vois, quand tu commences à travailler un peu sur toi, tu identifies les masques, les blessures, etc. Et c'est pas forcément facile à faire seul, de se regarder soi-même et de se dire, je suis comme ci, je suis comme ça. Et donc, c'est ce que je fais aussi au travers de la méthode soleil. Je les aide à avoir un regard extérieur sur la situation dans laquelle ils sont, pour comprendre ce qui s'est joué à ce moment-là et que chacun reprenne sa place et ses responsabilités.

  • Speaker #0

    Ah, trop bien.

  • Speaker #1

    Ça, c'est la bonne. Et après, je propose le Mood du mois en ce moment. J'ai fermé les consultations pour l'instant. Je ne sais pas exactement quand est-ce que je les reprendrai. Mais j'ai fermé les consultations. J'ai encore besoin de temps pour atterrir après tout ce que j'ai vécu. Mais j'ai quand même créé le Mood du mois qui est un mix entre ta numérologie personnelle, parce que tu as l'année, mais tu as aussi les mois et les jours qui vibrent selon des chiffres. Donc, tu as ton Mood du mois qui te donne une information selon ton thème personnel en numérologie. Et je prends une carte d'un oracle en support et je te livre une canalisation de ce qui va possiblement se passer sur ton moi. Comme ça, ça t'aide à mieux vivre ou mieux appréhender ce qui va se passer.

  • Speaker #0

    Mais ce que je trouve vachement intéressant dans tout ça, c'est ce que tu dis, c'est que tu vas nous donner le mood du moi. Et en fait, à un moment donné, ça permet aussi de prendre du recul. Ça ne veut pas dire que ça ne va pas se passer, mais ça veut dire que prendre du recul par rapport au fait que des fois, on peut peut-être se sentir énervé et du coup, on va peut-être blâmer l'autre. Donc, rentrer dans le triangle de Karpman ou être... Sauf qu'en fait, quand on est averti, comme tu dis, une âme avertie en vaut deux, c'est qu'on va plus prendre du recul, mettre en conscience des choses. Et du coup, ça va nous aider justement à faire ce petit décalage comme ça entre ce qui se passe, qui n'est pas forcément ancré dans nous, mais que de pouvoir en fait prendre du recul. Et je pense que ça permet de vivre les choses de plus apaisé. Même si la vie, elle n'est pas que... Même si quand on va voir un voyant ou quand on va voir une astrologue, on a envie qu'on ne dise que des bonnes choses, mais... La vie, elle n'est pas toujours linéaire, elle n'est pas toujours positive. Il faut juste apprendre à danser sous la pluie, j'ai envie de dire. Et à toujours voir le soleil, quoi qu'il arrive, à travers les nuages. Moi, c'est cette philosophie-là que j'entends de toi et que je trouve ça assez chouette, en fait.

  • Speaker #1

    Ce que je dis souvent, c'est que si tout était facile et fluide, il n'y aurait aucun intérêt à travailler sur soi. Si on avait tous une vie magique, etc. Ça ne te pousserait pas à aller regarder les blessures, à régler quelques bagages que tu traînes d'ici ou d'ailleurs, carmique ou trangé. Donc, tu sais, c'est quand on est dans la difficulté que là, on s'active en se disant, bon, il faut que je sorte de là. Donc, comment je sors de là ? Et c'est à ce moment-là que le travail s'enclenche. Ça, c'est la première chose. La deuxième chose, c'est qu'il n'y a pas de travail sans part d'ombre. Et l'idée n'est pas de se dire, je ne veux plus de ma part d'ombre. C'est qu'elle fait intégralement partie de soi. et donc du coup c'est accepté pleinement sa pardon. Par exemple, je suis quelqu'un qui se met en colère. Mon intuition s'exprime par la colère, c'est-à-dire que dès que ma colère s'éveille à l'intérieur de mon corps, c'est qu'il y a un truc qu'il faut que je regarde. Et j'ai longtemps voulu apaiser cette colère en me disant « quand même, elle ne peut pas exister, tu ne peux pas te mettre en colère comme ça » . Et en fait, je me suis dit « elle fait partie de moi, je suis comme ça, c'est mon radar en fait » . Et donc du coup, la deuxième chose que je dis, c'est que Merci. On est autant l'ombre que la lumière. Et donc, quand on va bien, c'est vrai qu'on a tendance à briller, etc. Mais quand on a des difficultés, on a le droit aussi d'activer nos parts d'ombre. Et la troisième chose que je voulais te dire par rapport à ça, sur le mood du mois, si par exemple, ce qui m'est venu quand tu m'en parlais, si par exemple, tu es en mois 11-2 le mois prochain, le 11 va te rendre plus sensible, plus hypersensible, plus à fleur de peau. C'est comme ça, ça ne s'explique pas, ça s'active. C'est vraiment de l'énergie. Parce que l'énergie, elle circule toute autour de nous. Et donc... Donc, la manière dont tu reçois l'énergie à ce moment-là te rend plus sensible. Si tu sais que tu vas plus facilement te vexer, plus facilement mal prendre les choses, etc., bouffée d'oxygène, tu recules et le mois se passe différemment.

  • Speaker #0

    Oui, tu ne vas pas forcément prendre le rendez-vous avec la personne. Tu sais qu'à la base, si tu te saoules, là, ce n'est pas l'idée. Tu diras, on se verra le mois prochain.

  • Speaker #1

    Voilà.

  • Speaker #0

    Mais ce ne sont que des petites choses comme ça. Et puis surtout, c'est apprendre à mieux se connaître parce que je trouve que... On apprend tous les jours à se connaître déjà et même on peut se surprendre soi-même et donc de travailler sur soi pour apprendre à se connaître. Comme tu disais, par rapport à la colère, c'est un moteur que tout le monde peut avoir. Après, l'idée, j'imagine, comme tu travailles sur toi, ce n'est pas de quand tu as la colère, du coup, de la déverser sur les autres, ce que peut-être tu pouvais faire avant, mais maintenant de le prendre dans quelque chose d'un moteur qui fait en sorte que d'accord, ça me donne l'idée. Mais je pense que tout le monde, par rapport à toutes les émotions, elles sont là pour juste nous montrer le chemin, entre guillemets. Là, c'est dangereux. Là, ça te met en colère. Donc, c'est un truc que tu n'as pas forcément réglé. Là, je pense.

  • Speaker #1

    Quand la colère s'active, ça me permet de faire une pause. C'est souvent ce qu'on conseille quand tu es prise par une émotion très forte. Pause avant de réagir. Prends du recul, quitte à laisser trois jours, on s'en fiche. Mais les émotions primaires, je ne parle pas de toutes, parce qu'il y a un panel d'émotions qui existent, mais on reste sur des émotions basiques. Je dis qu'il y en a cinq à la hauteur des cinq blessures de l'âme. Je travaille beaucoup autour des blessures de l'âme, de l'isbourbeau. La colère, quand elle s'active chez moi, je préviens la personne en face. Là, j'ai un truc qui s'est activé en moi. Soit je prends le temps de débriefer avec la personne en face de moi parce qu'elle est capable de le faire. et c'est ok, soit elle l'est pas et dans ces cas là je prends le temps moi de regarder je me fais accompagner s'il y a besoin parce que souvent quand on est soit avec soi c'est compliqué de comprendre ce qui s'est activé avant j'étais pas du tout comme ça avant 2020 j'étais, parce que c'est que récemment que je suis rentrée ça fait 5 ans mais c'est quand même assez récent avant j'étais pas du tout comme ça et ma vie elle a basculé elle m'a poussée, tout à l'heure quand je te disais l'univers ne nous laisse pas le choix à un moment donné je l'ai personnellement vécu en 2017. C'est-à-dire que j'ai accumulé, accumulé les années précédentes, jusqu'à ce jour où ça a stoppé et ça s'est arrêté. Et en fait, j'ai eu mon accident qui m'a forcé à regarder à l'intérieur de moi ma vie. Où est-ce que j'avais dit oui, tu vois, le 2 mai 2017, je signais un appartement alors que je savais pertinemment, j'avais dit cinq jours plus tôt à ma psychologue, je ne peux pas acheter avec mon ex-mari. Ce n'est pas possible. Enfin, mon mari à l'époque. Mais j'y suis quand même allée, j'ai signé. Le 16 novembre 2017, je suis tombée. J'ai eu mon accident avec mon fils qui m'a valu d'être handicapée, qui m'a valu un an de rééducation, etc. Ça a été une période très sombre, mais aujourd'hui, ça a été ma plus belle transformation. Avant l'accident, je suis mariée, propriétaire, maman, j'ai un job. Je suis adjointe chef des ventes dans l'automobile après 2017. Je suis divorcée, handicapée, maman solo, je viens de déménager dans le sud et à mon compte, tu vois. Mais je suis pleinement, je me sens à ma place aujourd'hui, alors que je ne l'étais pas avant du tout.

  • Speaker #0

    C'est intéressant parce que souvent, on imagine que la vie décase tout le monde, même quand moi, je suis célibataire. Donc du coup, souvent, c'est mais alors quand tu vas vraiment rencontrer quelqu'un, mais en fait, je suis très heureuse. Alors, je ne dis pas que je ne rencontrerai personne et que c'est super, mais on peut être très heureux sans être dans la feuille de route que... On a décidé il y a je ne sais pas combien d'années que ça doit se passer comme ça. Et c'est ça qui est intéressant, c'est de s'écouter. Chacun est très heureux de vivre sa vie et que sa vie peut évoluer, peut changer. Et comme tu dis, si jamais on ne s'écoute pas, des fois, on ne laisse pas trop le choix.

  • Speaker #1

    Non, on n'a pas le choix. Parfois, c'est plus fort que nous. Je suis issue d'une famille où il fallait être mariée, avoir des enfants, travailler, machin, machin. Et aujourd'hui, je ne suis pas du tout dans ce schéma-là. Pour autant, je suis... très heureuse. Bien sûr, il y a des jours où c'est moins bien. Tout n'est pas linéaire. Et il y a des moments où c'est plus dur que d'autres. Mais je me sens beaucoup plus à ma place aujourd'hui que je ne l'étais avant. Pourtant, avant, j'avais tout pour être heureuse. Un mari, un job, machin. Mais ce n'était pas ce qui m'animait. Ça n'allumait pas la flamme que j'ai à l'intérieur de moi. Là, aujourd'hui, quand j'accompagne, quand j'accompagne les gens dans leur transformation et qu'on arrive à débloquer des situations, etc., et que je vois l'autre, vraiment s'épanouir, là je me dis, là t'es à ta place. Hier j'étais en séance avec quelqu'un, pendant la séance elle a eu un appel, elle me l'a dit après, elle m'a dit écoute, il y a quelqu'un qui, j'ai un recruteur qui m'a appelé pendant la séance, c'est quelque chose, c'est un job, enfin elle voulait changer de job, ça ne s'activait pas, etc. Bref, et tu vois, pendant la séance ça travaillait déjà, après la séance elle était capable de dire oui, et là je sais qu'elle va partir sur le chemin là où elle doit aller, mais parce qu'elle était à un Carrefour. Et souvent, j'arrive au Carrefour. Je dis souvent, quand je rentre dans la vie des gens, c'est que c'est le moment. C'est le moment du grand changement. J'ai accompagné des centaines de personnes à travers la méthode Soleil et aussi en individuel. Toutes les personnes que j'ai accompagnées, c'était vraiment à l'aube du grand saut. Je ne sais pas si tu l'as vécu toi, mais c'est principalement des personnes qui ont une première partie de vie. Et maintenant, j'ai envie de vivre pour moi. J'ai envie de découvrir qui je suis, où est-ce que je vais, etc.

  • Speaker #0

    C'est intéressant ce que tu dis parce que je pense que quand on accompagne des gens, on les accompagne à la hauteur de nous, ce qu'on a vécu. Et comment est-ce qu'on peut justement les accompagner ? Parce que toi, tu as traversé le feu. Ce que tu racontes, c'est exactement ce que tu as vécu. Donc, les gens qui sont en train de vivre ça, ils vont aller te voir toi parce que toi, tu es la lumière qui est déjà... Moi, j'aime bien cette allégorie de... Bon, t'as traversé le feu, t'es passé de l'autre côté, donc maintenant tu connais le chemin, donc tu peux leur dire « Hey, c'est par là, c'est super ! » Et moi, dans mes accompagnements, c'est autre chose que je développe et que... Et je trouve ça merveilleux parce que souvent, c'est pour ça même par rapport à l'astro, que tu n'as pas forcément la formation, mais que tu es en train de la faire. C'est quand on est dans notre intuition et dans notre vécu, dans notre chair surtout, quand on vit les choses, il n'y a pas de formation pour ça. Tu ne peux pas te former à avoir vécu ce que tu as vécu là et il n'y a personne d'autre qui peut accompagner mieux sur cette problématique-là que toi, parce que toi, tu l'as vécu. Et donc, du coup, tu le sais dans ta chair, tu sais ce que c'est. Donc forcément, tu vas comprendre l'autre et la personne va se sentir beaucoup plus comprise.

  • Speaker #1

    Tu ne peux pas dire à quelqu'un « fais quelque chose » si toi-même tu ne le fais pas ou tu ne l'as pas fait. Et en plus, c'est beaucoup plus légitime et crédible d'être accompagnée par quelqu'un qui a déjà traversé, même si ce n'est pas exactement la même chose, mais c'est les mêmes émotions. Tu ne peux pas te sentir légitime si je n'avais pas vécu tout ce que j'avais vécu. parce que si tu veux, j'ai... Je n'ai pas été à la rue, mais je n'étais pas loin de la rue. Donc, j'ai connu une situation financière hyper stable. J'ai connu le moment où tu te dis comment je vais faire. Et aujourd'hui, la stabilité financière à nouveau, tu veux, mais par moi-même. Dans mes accompagnements, j'ai beaucoup de gens qui ont un vrai problème. De toute façon, l'argent a toujours été un problème, mais ont un vrai problème de si je quitte. Souvent, c'est ça. Si je quitte le foyer que j'ai là, comment je vais faire pour m'en sortir toute seule ? souvent c'est financier, puis après il y a tout le côté gestion du quotidien, etc. Et parce que je l'ai fait, elles me le disent, tu nous inspires, parce que j'ai fait et je parle de quelque chose que j'ai fait. Et là, dans la méthode soleil ces derniers mois, c'est la seule chose que j'ai gardée pendant l'accompagnement de fin de vie de mon papa. Donc pour situer, je suis arrivée en octobre dans le sud, le 1er novembre dans le sud, et le 14 novembre, mon papa a été diagnostiqué d'un cancer du cerveau foudroyant, un glioblastome. Et donc, j'ai vécu et il est décédé le 8 avril. Tu vois, donc, c'est allé très, très vite. Je le savais. En fait, tout ce que j'ai vécu ces quatre dernières années, tu vois, juste avant l'annonce du diagnostic, m'a permis de me faire confiance. Je savais le diagnostic avant qu'on nous le donne. C'est-à-dire que le lundi soir, on nous l'a annoncé le mardi. Le lundi soir, j'ai eu une montée d'angoisse. Mon corps a parlé avant même qu'on nous ait mis les mots dessus. Et j'ai préparé, j'ai dit à ma sœur. Je sais que c'est quelque chose qui fait qu'il ne restera pas longtemps. Et ensuite, j'ai vécu l'accompagnement de la maladie de mon père. J'ai accompagné mon père dans son dernier chemin. Et je me souviens de lui avoir dit, j'avais fait cette transition-là, je lui avais dit, tu sais, Dad, quand tu as pris ta retraite, tu t'es fait coacher. Et bien là, tu vas devoir faire pareil. C'est-à-dire que tu n'as pas le choix. Tu sais que tu vas décider. Parce que le glioblastome, c'est souvent... Les médecins le... disent que le pronostic vital est engagé. Même si la personne est en bonne santé, on sait que l'issue est fatale, il n'y a pas de traitement, il n'y a rien. Ce qu'on ne sait pas, c'est à quel moment. Donc, il faut savoir vivre dans l'instant présent, profiter de l'instant présent. Et en plus, j'ai accompagné mon père à ce moment-là spirituellement, parce que c'est à ce moment-là que lui s'est complètement ouvert. Tu vois, il a été vachement... Il a tout retenu. En fait, le cancer a touché une zone qui fait qu'il était complètement désinhibé. Donc, plus de filtre sur ses émotions, etc. Donc j'ai découvert une nouvelle personne. Mais j'ai surtout fait confiance à mon intuition. Et dès le début, elle m'a dit profites-en. Jusqu'au bout, profites-en. Parce que j'ai déménagé en 15 jours et je suis arrivée au moment où on découvre son cancer. Donc j'ai pu accompagner mon père et j'ai vraiment la chance de l'avoir fait. Je l'ai accompagné jusqu'au dernier jour. Je l'accompagne ma mère encore aujourd'hui. Mais ça m'a permis de vivre cette expérience d'une manière complètement différente. Parce que déjà, je sais qu'il y a autre chose après. Je sais que la mort n'est pas une fin en soi. Je sais qu'à un moment donné, quand lui, il aura atterri aussi, on pourra... réavoir des signes, des échanges, etc. Mais surtout, j'ai pu être dans l'instant présent, alors qu'avant, je contrôlais beaucoup, j'avais besoin d'avoir la projection, la vision, le machin, le truc. Là, j'ai pu les jours comme elles venaient, et j'avais même dit à mon père « Viens, Dad, on fait un kiff par jour. Tous les jours, tu me dis ce que tu veux, et je t'emmène où tu veux. » Donc, tous les jours, on faisait un truc jusqu'à ce qu'il ne puisse plus marcher. Mais j'ai vraiment pu profiter. Et si je n'avais pas fait tout le travail en amont que j'avais fait, je n'aurais pas profité de la même façon. et je ne me serais pas fait confiance. Ce n'est pas facile de se dire... de savoir que ton père ou ta mère est condamné, de le savoir. Et les gens autour de moi me disaient, mais comment tu sais ? Je sais, tu vois ce que je veux dire ? C'est vraiment pas facile, mais mon père, ça lui a permis de tout préparer, parce que c'est un grand contrôlant. Il a pu préparer son dernier voyage comme il le voulait et à l'image qu'il voulait.

  • Speaker #0

    Tu vois, après, laisser des souvenirs pour les enfants, un message pour ma mère, etc. Et il m'a dit, toi, tu es vraiment extraordinaire parce que je peux tout te demander. Il n'y a rien qui te choque. Non, il n'y a rien qui me choque.

  • Speaker #1

    Ah, c'est beau. C'est hyper, hyper touchant. Et souvent, c'est marrant parce que pour les gens qui ne vivent pas forcément la maladie et qui ont la chance de ne pas la vivre, il y a aussi une part. Alors, c'est des cadeaux très, très mal emballés. Et moi, je vis la même chose avec mon papa. Ce n'est pas un cancer, mais c'est une maladie d'Alzheimer. et en fait c'est un très beau cadeau qui me... Je le dis comme ça parce que je n'ai pas eu le choix aussi à un moment donné de le prendre comme un cadeau et du coup d'être dans le moment présent, de voir parce qu'avec Alzheimer, tu ne peux plus avoir vraiment de conversation existentielle. Tu peux juste être là, regarder l'oiseau, partager des choses très simples et se connecter sur un autre plan déjà. Je trouve ça hyper intéressant, c'est ça que je rebondis là-dessus parce que ça me touche. Et en fait, c'est vrai que ça met un peu de temps d'acceptation et les gens qui ne vivent pas ça ne l'entendent pas en fait. et ils entendent peu de la peur et ils fuient un petit peu ces situations ils disent mais comment tu fais moi je pourrais jamais et ces phrases je pense que tu as déjà dû les entendre moi je pourrais pas vivre avec ça et en fait tu te dis déjà t'as pas le choix et en plus ça t'apporte beaucoup d'amour et une nouvelle compréhension aussi de la vie parce que quand t'as dit la phrase ça a fait résonance quand tu sais que tes parents sont condamnés mais en fait on est tous condamnés on sait pas quand mais on y pense pas tous les jours mais peut-être qu'on va mourir demain et qu'on le savait pas Et donc, du coup, c'est juste reprendre conscience qu'en fait, il va y avoir une fin. Mais sauf qu'en fait, pour le coup, moi, j'ai décidé que je n'allais pas mourir, mais normalement, on va tous y passer.

  • Speaker #0

    La peur de la mort, c'est une vraie peur. Mais j'ai eu un accident qui fait que j'ai eu la peur de la mort pendant... Tu sais, quand ça bascule dans ta vie. Le traumatisme, il est puissant et souvent, il y a des peurs de mort qui se réactivent à ce moment-là. Donc, je l'ai eu, mais j'ai aussi compris que de toute façon, je n'ai aucun... aucun poids sur la date, sur le jour où je vais partir. Quand je disais tout à l'heure, quand tu sais qu'un de tes parents est condamné, là, c'est parce que je savais qu'il était condamné rapidement. J'avais cette notion de rapidité à l'intérieur. Le cancer, le glioblastome, c'est un... Comment dire ? C'est un espèce d'aperçu de la maladie d'Alzheimer parce que, alors, autant au début, il était encore parmi nous, autant il y a des moments, et à la fin, complètement ailleurs. Tu vois, vraiment... J'avais encore des contacts physiques quand je lui disais je t'aime. Il me répondait un peu, mais... Mon père, il est parti. Je lui ai dit ton âme, elle a choisi sa sortie. Il nous a toujours dit si j'ai Alzheimer, vous me larguez devant la mer, je nage jusqu'à la mort. Il ne voulait pas Alzheimer. Écoute, il a eu un truc qui fait que ça a duré 4 mois et demi, 5 mois. Il a filé à l'anglaise. Il était anglais. Il nous a toujours dit je file à l'anglaise. Mais il a pu dire au revoir à qui il voulait. Il a pu faire... Et du coup... il a dû aussi se confronter à sa propre peur de la mort. Parce qu'il savait qu'il allait mourir. Il a fait le taf. Et il n'est pas parti dans les meilleures dispositions, mais il est parti plus apaisé qu'il ne l'était au début. Et l'autre chose sur laquelle je voulais rebondir, parce que tu dis ça, les gens qui ne sont pas confrontés ne comprennent pas forcément ou te disent je ne sais pas comment tu fais, le regard de l'autre. Alors ça, c'est un truc. Je ne m'y attendais pas. mais le regard de l'autre pendant la maladie de mon père, parce qu'il y a un vrai décalage. Tu vois, Alzheimer, c'est une maladie qui se passe intérieurement, c'est-à-dire que la personne va physiquement bien, mais en fait, c'est au niveau des conditions que ça se passe, enfin qu'elle n'est plus là. Et mon père, c'était ça. C'est-à-dire qu'on avait un diagnostic et un pronostic très sombres, et quand on le disait aux gens qu'il allait mourir, on ne savait pas exactement quand, puisqu'au début, on nous a dit deux ans, puis après, on nous a dit six mois, et en réalité, il est parti. très vite, tout le monde autour ne nous croyait pas. Et donc, on a eu une vague de gens qui nous ont fait la misère, qui ont été en colère, qui n'ont pas voulu nous parler, qui ne sont pas allés voir mon père. De gens qui nous ont dit, mais de toute façon, vous mentez. Ça a créé des tensions familiales, qui ont accusé ma mère de colporter des mauvaises informations, etc.

  • Speaker #1

    On plaint dans le triangle de Carmen, pour le coup.

  • Speaker #0

    Ouais, on était les bourreaux de mon père, en fait, ma mère et moi, à ce moment-là. pour l'entourage amical, etc. et quelques personnes de la famille, on était les bourreaux de mon père parce qu'on l'enterrait trop vite. Le jour de l'enterrement, j'ai une personne qui a eu le courage de me dire « t'avais raison » . Une seule, tu vois. Et ça a été une des personnes qui a colporté le plus de trucs sur « c'est pas vrai, elle l'enterre, etc. » Bah oui, mais parce qu'en fait, c'est pas parce que physiquement, il renvoie quelqu'un de fort et de vaillant, etc. que là, tout va bien, en fait.

  • Speaker #1

    Oui, c'est souvent, mais c'est intéressant ce que tu dis sur le regard des autres, les autres, parce que souvent, même toutes les choses invisibles qu'on peut vivre, que forcément, on ne va pas forcément dire, les gens vont juger ou parce qu'en fait, ils ne se connectent pas forcément à tout ça. Mais en tout cas, je trouve que tu en parles d'une façon hyper belle, hyper douce et ça fait plaisir de pouvoir parler de la mort comme d'un passage et de la vie qui fait en sorte que c'est... Ça fait partie de tout ça. Mais du coup, parce que là, on arrive presque à la fin, est-ce qu'on pourrait partir sur une note un peu plus gaie ?

  • Speaker #0

    Ah oui.

  • Speaker #1

    Mais en même temps, moi, j'ai trouvé ça trop chouette et je trouve qu'on n'en parle pas assez. C'est longtemps que j'avais envie d'en parler dans les émissions et que, tu vois, ce n'était pas prévu. Je n'avais pas... Et que ça se fait comme ça. Et je trouve ça super beau parce qu'on est beaucoup de gens à vivre de plus en plus des maladies dégénératives et d'être touchés par ces maladies-là. Et c'est vrai que pour l'entourage, c'est vraiment pas évident Et donc là, peut-être qu'on a donné une expérience, en tout cas, pour justement que les gens...

  • Speaker #0

    On a semé des graines.

  • Speaker #1

    Voilà, on a semé des graines pour que les gens...

  • Speaker #0

    Tu sais, c'est comme je te disais au début de notre entretien, il y a l'ombre et la lumière. On ne peut pas vivre sans ombre, tu vois. Pour moi, la mort, ça fait partie de la vie aussi. C'est le processus de la vie. Et du coup, si je reviens à notre sujet de base... Pour moi, les énergies, elles sont le guide du chemin sur lequel on va. Et donc, quand ça devient dur, c'est que le chemin, il y a un truc qui ne va pas sur ton chemin. Et donc, c'est à réadapter. C'est parce que j'ai commencé à être à l'écoute de ce qui se passait autour de moi que du coup, j'ai pu faire le taf et cheminer et avancer. Et aujourd'hui, je prends mes décisions comme ça. C'est-à-dire que dès que ça bloque, j'arrête et je regarde les choses différemment. Même sur les réseaux, je fais ça. Même Instagram, dès le début, je me suis dit qu'il faut que je le prenne comme un radar. Si ça prend, c'est que c'est le bon chemin. Si ça ne prend pas, c'est que ce n'est pas le bon chemin. Et j'ai toujours fait comme ça. Je suis à l'écoute des opportunités, des synchronicités. Tu l'appelleras comme tu veux. Mais c'est parce que j'ai accepté l'inconfort. J'ai accepté la personne que je suis. Je suis solaire, etc. Mais parfois aussi, je me mets en colère.

  • Speaker #1

    Ça, c'est bien en même temps de le montrer aussi. Le développement personnel ou le travail sur soi, ce n'est pas pour devenir Bouddha. C'est justement pour apprendre à... Moi, je vois ça un peu comme des vagues, à réussir à surfer et de ne pas se casser la gueule et se dire qu'on peut être en haut ou en bas. Mais en même temps, quand on est en bas, on sait qu'on va remonter. Quand on est en haut, on sait qu'un moment donné, on va redescendre. Et donc, de profiter de chaque moment et d'être dans le moment présent. Est-ce que tu n'aurais pas un petit tip ou quelque chose pour que les gens arrivent à... Souvent, le moment présent, c'est assez compliqué. et comment est-ce que toi tu t'es appris ? à être dans ton moment présent le plus souvent possible.

  • Speaker #0

    À chaque fois que j'ai commencé à projeter oui mais si, oui mais si, etc. Tu sais, au moment où tu commences à te poser plein de questions sur si je fais ça comme ça, est-ce que ça va fonctionner ? Là, on est déjà parti de l'instant présent. Et donc, dans ces moments-là, quand il y a trop de questions, je fais vraiment ce truc de... Là, par exemple, je serais avec Sarah en train de répondre à ses questions. Je reviens là, tout de suite, maintenant. Il y a l'enjeu, ce qui est en train de se passer. Si tu es en train de faire tes courses, reviens à l'instant où tu fais tes courses. Ça, ça a été, pour moi, c'est l'exercice le plus puissant, c'est revenir à ce que tu fais à l'instant T, quand tu es en train de projeter sur autre chose. L'autre truc qui m'a beaucoup aidée, mais ça dépend vraiment des gens, il y a des gens qui aiment méditer, qui ont besoin de méditer, mais c'est pareil, la méditation n'est pas forcément adaptée pour tout le monde. Et en plus, il y a différentes façons de méditer. Moi, je sais que ce que je préfère faire... c'est faire le ménage. Parce qu'à ce moment-là, je suis à mon ménage, c'est-à-dire que mon cerveau n'est pas concentré sur des sujets, et je laisse la place à l'intuition. Je ne suis pas en train de penser, penser, penser. Le souci du questionnement et de l'hyper-questionnement et du fait de projeter, c'est qu'on laisse plus la place au ressenti et à l'intuition. Et c'est ce dont l'intuition a besoin pour pouvoir revenir. Donc l'instant présent, c'est aussi cette capacité à se dire, là dans l'instant présent, qu'est-ce qui se passe ? Et quel est l'enjeu ?

  • Speaker #1

    Trop bien. Bah écoute... Comme vous êtes peut-être à la plage ou en train de préparer vos vacances ou vous allez peut-être essayer de faire cet exercice sur la plage, ne réfléchissez pas à comment va se passer la rentrée, qu'est-ce que je vais faire, mon Dieu, tout ça. Mais regardez le sable, le soleil, reconcentrez-vous sur ça parce que ça ne va pas durer l'instant présent. Et vous serez bientôt en train de vous poser toutes ces questions ou en train de dans plein d'autres problématiques. Mais ouais, qu'est-ce qu'on peut leur dire ? Profitez cet été aussi, de profiter, même si ça va être un peu chamboulant, de s'écouter, de respirer, de profiter de... du moment présent le plus possible. Essayer justement de s'exercer à l'atteindre tous les jours, un peu plus.

  • Speaker #0

    L'instant présent, oui, et de se laisser guider. Si ça bloque, c'est que c'est pas le bon endroit. Si c'est fluide, c'est que c'est le bon endroit. Juste cette phrase-là, ça nous fait changer de perspective.

  • Speaker #1

    Oui, et des fois, on s'accroche à des trucs alors qu'en fait, ça va pas du tout.

  • Speaker #0

    On y va, on y va, on y va, on y va, comme un petit bélier qui fonde sur... Ben non, ça bloque. Anne-Fleur, elle a dit, tu vois Anne-Fleur avait dit que quand ça bloque c'est pas le bon endroit et ben si ça bloque regarde autrement, change les choses, ou c'est juste pas le bon timing en fait. C'est même pas une question de... que c'est pas le bon truc, c'est peut-être juste pas le bon moment.

  • Speaker #1

    Trop bien. En tout cas, c'était le bon moment pour faire cette émission ensemble. J'ai trouvé ça trop chouette. Merci beaucoup. Et puis, en tout cas, vous êtes un bon été. Moi, je vous dis à la semaine prochaine et Anne-Fleur, à bientôt, j'espère. Est-ce que tu reviendras nous faire un petit coucou ?

  • Speaker #0

    Avec plaisir. Merci beaucoup.

  • Speaker #1

    Flamme des années 80. Le podcast qui allume la femme.

Chapters

  • Introduction à Anne-Fleur et son parcours

    00:10

  • La création de Soleil Quartz et la météo énergétique

    00:19

  • Prédictions pour l'été et l'année 2025

    03:27

  • Le triangle de Karpman et les relations

    05:29

  • Conclusion et encouragements pour l'été

    40:04

Description

Comment mieux vivre les turbulences énergétiques de l’été 2025 ?
Dans cet épisode lumineux et profond, Sara reçoit Anne-Fleur, créatrice du compte Soleil Quartz, numérologue et voyante. Ensemble, elles explorent l’impact des énergies collectives et personnelles sur nos émotions, nos décisions, et nos chemins de vie.

Anne-Fleur nous partage la genèse de la météo énergétique, une grille de lecture intuitive et sensible du monde invisible, née de ses ressentis, de la numérologie et de sa capacité à capter l’intensité vibratoire des journées. Elle nous parle aussi de sa méthode Soleil, un accompagnement énergétique puissant mêlant radiesthésie, magnétisme et déprogrammation cellulaire.

L’épisode aborde en profondeur :

🌞 Ce que nous réserve l’été 2025 sur le plan énergétique
🔢 Comment calculer son année personnelle en numérologie
🔥 Les grands enseignements de l’année 9 collective
⚡️ Le triangle de Karpman (victime / bourreau / sauveur) et comment s’en libérer
🌀 La part d’ombre, la colère comme boussole intérieure
🌿 Le pouvoir de l’instant présent et du recentrage
💛 La transformation par l’épreuve : accident, maladie, deuil
🌙 La puissance des synchronicités quand on s’écoute vraiment

Avec douceur et lucidité, Anne-Fleur nous livre aussi son témoignage de transformation radicale : un accident en 2017, puis l’accompagnement spirituel de son père en fin de vie. Elle partage avec sincérité la traversée du deuil, l’intuition profonde qui guide ses choix, et cette certitude :
👉 L’invisible nous parle… encore faut-il s’arrêter pour l’écouter.

Un épisode intime et vibrant pour toutes celles qui sentent que quelque chose est en train de changer.
Pour celles qui veulent se relier à leur intuition, accueillir l’imprévu, transformer la colère en message, et traverser la vie en se laissant guider par leur lumière intérieure.


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Chaque semaine, des conversations autour du développement personnel féminin, de la confiance en soi, du bien-être, de la transmission et de l’épanouissement personnel. On y explore l’introspection, les émotions, la résilience, la maternité, l’amour, la psychologie et les témoignages inspirants de femmes et d’hommes audacieux. Un podcast pour femmes, pour révéler sa flamme intérieure, oser être soi et nourrir sa spiritualité féminine.
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Transcription

  • Speaker #0

    Flamme des années 80. Le podcast qui allume la femme. Bonjour, je suis très heureuse aujourd'hui de recevoir Anne-Fleur. Alors Anne-Fleur, je l'ai rencontrée par Instagram et elle a un compte que j'adore qui s'appelle Soleil Quartz. Donc merci Anne-Fleur d'être là aujourd'hui. Est-ce que tu veux te présenter pour les auditeurs et auditrices qui ne te connaissent pas encore ou qui ne suivent pas ton compte ?

  • Speaker #1

    Bonjour Sarah, déjà merci pour ton invitation. Je suis très heureuse aussi d'être ici avec toi. J'allais dire parmi vous, mais nous sommes toutes les deux. Donc, je m'appelle Anne Fleur. J'ai créé mon compte Soleil de Quartz en 2020, quelque part, 20-21. Je n'ai plus en tête. L'idée, c'est de pouvoir mettre des mots sur les ressentis énergétiques qu'il y a autour de nous. Et donc, j'ai créé la météo énergétique. Ça a été ma première création sur Instagram. Aujourd'hui, je suis numérologue et voyante. et ce depuis 2022. Je me suis lancée en 2022 et c'est déjà pas mal.

  • Speaker #0

    C'est déjà tout un programme. J'avoue, en fait, moi, je trouve que ta particularité, c'est assez sympa, c'est que c'est assez léger. Il y a un côté léger, il y a un côté lumineux, il y a un côté soleil, quoi, parce que c'est le nom. Pourquoi tu as choisi Soleil Quartz, du coup ?

  • Speaker #1

    Alors, au départ, c'était pas du tout Soleil de Quartz, c'était Fleur de Quartz, parce que je m'appelle Anne Fleur. Et au tout début, la première intention que j'avais, c'était de partager de la litho, créer des bijoux, etc. Et je n'aimais pas trop fleurs de quartz. Et en fait, j'ai une amie qui m'a dit, mais tu es très solaire et tu illumines beaucoup. Et c'est du coup le mot soleil de quartz qui m'est venu à ce moment-là.

  • Speaker #0

    Ah sympa, j'aime bien voir les origines des titres. Enfin des titres, les origines des noms.

  • Speaker #1

    Et finalement, c'était annonciateur de ce que j'allais faire, parce que j'ai créé la météo très peu de temps après. Donc le soleil a créé la météo.

  • Speaker #0

    Alors, comment est-ce que tu fais pour faire voir en sorte qu'il y a une météo énergétique ? On trouve ça toutes géniales, ou tous, mais comment est-ce que toi, tu canalises ces choses-là ? Comment ça se passe ?

  • Speaker #1

    Je le ressens. Il y a deux choses. Il y a toutes les canalisations que j'ai par ma clairvoyance. En fait, je me pose et je me dis tiens, qu'est-ce qui va se passer ? Plus des petits calculs numérologiques sur lesquels je m'appuie aujourd'hui pour pouvoir... J'ai créé en plus l'intensité énergétique des journées, lourde, explosive et intense. électrique. Et l'autre chose, je capte les ressentis qui vont être... qui vont nous suivre tout au long du mois et puis après, je me concentre jour après jour. Et en fait, je ne peux pas t'expliquer, ça vient, c'est des mots qui viennent, des phrases qui viennent toutes seules que je capte. Je suis assez terre-à-terre, donc au début, je n'y croyais pas beaucoup. Et en fait, à force de l'avoir fait avec mon entourage, mes amis, en leur disant « demain, ça va être chaud, machin » , j'ai vu que c'était plutôt juste et c'est comme ça. J'ai commencé très doucement. un peu timidement. Et puis, au fur et à mesure, j'ai pris confiance. Après, le syndrome de l'imposteur fait que j'ai regardé la résonance de Schumann et autres trucs. Et en fait, parfois, je n'étais pas d'accord avec... Enfin, pas d'accord. Je ne ressentais pas la même chose. Donc, je me suis détachée de ça et je le fais maintenant complètement de manière intuitive.

  • Speaker #0

    D'accord. Et là, c'est bien parce que comme on arrive au début de l'été, est-ce que cet été sera chaud ? Comment va être cet été ? Parce qu'on a tous envie de vivre l'été parce que c'est une période qui est vraiment toujours assez sympa. Qu'est-ce que tu peux nous en dire de cet été ?

  • Speaker #1

    Alors cet été, il sera chaud, il sera beau, il sera chaud. Il faut savoir que le mois de septembre, l'année 2025, c'est une année d'ascension. C'est une année en numérologie, une année neuve, donc c'est la fin d'un cycle. Ce qui veut donc dire que janvier a commencé à un niveau et pour moi, le point culminant sera septembre. Donc cet été, on va sentir déjà les prémices de la canicule de septembre. Et je pèse mes mots quand je dis canicule de septembre. canicule énergétique, bien sûr, je ne sais pas quelles seront les prévisions météo à ce moment-là, mais du coup, juin, juillet, août vont être des mois de préparation. Ça va monter petit à petit. Forcément, ça peut être parfois désagréable. Après, ça dépend de la vie de chacun. Parce qu'il y a ce qu'on capte pour le collectif et comment chacun le vit. Et ça dépend aussi de l'avancée de chacun, si on a des soucis ou si on n'a pas des soucis. Ce qui est certain, c'est qu'on n'a plus le choix et c'est ce qui se passe. Il y a beaucoup d'événements qu'on ne voyait pas venir qui sont en train de se produire. Il y a des imprévus et il y en aura encore plus cet été. Par peur, par exemple, si tu ne vas pas à gauche, l'univers risque de te pousser fortement à aller à gauche. Parce que c'est souvent là où on a peur qu'il faut aller. Donc, je sens un été caniculaire énergétiquement parlant. Ça ne veut pas forcément dire qu'on le vivra hyper mal, parce que l'été, on a tendance à vivre des énergies de manière plus légère, puisqu'on n'est pas dans l'hiver, le froid, le machin. Pour autant, ça va un peu remuer, secouer. Tu vois, c'est un peu comme la bouteille d'orangina. Secouer là, sinon la pull, c'est un peu... Tu vois, c'est comme ça que je capte la météo. C'est que j'ai des phrases qui me viennent toutes faites. J'ai vraiment ce truc de secouer. On va être secoués cet été, c'est certain. Ce n'est pas pour nous mettre à mal, c'est vraiment parce qu'on doit bouger, parce qu'il y a des choses qui doivent avancer, parce qu'on doit se libérer, parce que d'une manière collective, il y a des relations qui doivent s'arrêter, quelles qu'elles soient. Ce n'est pas que dans le sentimental, c'est professionnellement, amicalement, etc. En astrologie, Saturne vient de passer en bélier, et est passé en bélier au mois de mai. Il a quitté le poisson. Le poisson, c'était typiquement le triangle de Cartman. Je fais un raccourci, très raccourci. Au niveau des relations, on doit avoir des relations très alignées à nous et non pas s'abandonner, s'effacer, etc. Du coup, il y a un espèce de ménage qui va être fait.

  • Speaker #0

    Je disais juste pour le triangle de Cartman, parce que certaines personnes ne connaissent pas forcément. Victime, bourreau, sauveur. Et c'est... Moi, je l'explique toujours comme si on était dans une troisième dimension de conscience, c'est-à-dire que 80% de la population sont vraiment dans ce triangle-là de toujours se positionner en victime ou se plaindre, ou alors de venir... C'est toute une petite danse que tout le monde connaît, on y passe encore, et de prendre conscience de ça pour aller un peu plus haut et pour ne plus être dans ces relations-là. C'est ça que tu entends dire ? On va essayer d'en sortir ?

  • Speaker #1

    Oui, on doit en sortir. Chacun doit reprendre sa responsabilité, reprendre un peu sa juste place dans sa vie. Et juste pour revenir sur le triangle de Karpman, pour le sauveur, parce que souvent, le sauveur, c'est quelque chose qu'on a du mal à percevoir. On se dit, bah oui, mais moi, j'aide. En fait, le sauveur dans le triangle de Karpman, il est toxique parce qu'il est... C'est souvent des personnes qui font des choses sans le consentement de l'autre. Tu vois, je viens t'aider, mais je te demande pas si t'as envie que je t'aide. Et c'est souvent comme ça qu'on rentre dans le triangle de Karpman par le rôle du sauveur. Ça, c'était en aparté. Et aujourd'hui, le 9 en numérologie, c'est justement le sauveur. Donc, on a beaucoup ce côté sauveur qui peut être activé cette année. Sauf que l'idée n'est pas d'aller sauver pour sauver. L'idée, c'est de proposer son aide et de laisser libre la personne en face de l'accepter ou non. Et de sortir de ces relations. Parce que même si on le joue très souvent dans notre vie, ce n'est pas pour autant un schéma relationnel positif. Et souvent, ça nous entraîne un peu dans des relations assez déséquilibrées, puisque ce n'est pas les gens qui sont toxiques, c'est la relation qui le devient de par la position qu'on prend. Donc, ce que je te disais, c'est qu'effectivement, on doit sortir de ce rôle-là, de ce schéma de fonctionnement-là, et pouvoir reprendre sa juste place dans notre vie, être libre de se réaliser comme on l'a envie, selon le chemin que... Notre âme avait, si on croit à ça, ce que notre âme avait décidé de vivre juste avant de s'incarner, en fait. Être pleinement... Passer les vacances. Non, c'est pas vrai. Après, non, c'est... C'est le 9e mois de l'année d'une année neuve. Donc, il y aura sans doute beaucoup de séparations. Le 9, c'est la fin d'une étape. Donc, sans doute beaucoup de séparations, beaucoup de... Quand je dis séparations, c'est pas que humain, c'est matériel, etc. Après, j'ai quand même constaté qu'il y a beaucoup de décès aussi cette année, des décès auxquels on ne s'attendait pas. Et comme je te l'ai dit, j'en ai vécu un mois à titre personnel. Donc jusqu'en septembre, de toute façon, il y a beaucoup de choses qui vont un peu nous tomber dessus. Et ensuite, sur les trois derniers mois de l'année, c'est un peu comme un récap de tout ce qui vient de se passer cette année, mais sur une énergie qu'on connaît déjà. Donc ça va être moins difficile que ce qu'on va vivre jusqu'en septembre. Et ensuite, en 2026, nouveau départ, nouvel élan. Tu vois, c'est vraiment le chemin du renouveau qui arrive sur 2026. Donc 2025, c'est le grand ménage.

  • Speaker #0

    Et comment influence notre chemin de vie personnel, par exemple ? Moi, par exemple, je suis en année 1. Toi, je ne sais pas en quelle année tu es. Mais du coup, ça influence comment par rapport... Après, ce n'est peut-être pas ta spécialité. Là, je te lance là-dessus parce que ça me donne envie d'imaginer.

  • Speaker #1

    Je suis très formée. C'est une passion, la numéro, donc ça va. Une question qui m'a déjà été posée, je te remercie de la poser. Ce n'est pas facile de faire ce rapport parce que toi, en année 1, on est collectivement en année 9, ça veut dire que tu es un peu aux deux opposés. Donc, je ne sais pas comment toi, ça se matérialise, mais tu as envie de nouveautés, tu as des choses qui peuvent émerger dans ton quotidien ou des nouveaux projets. Le 1, il ose tenter des nouvelles expériences. Il y a aussi tout un travail sur la place, comment prendre sa juste place ou incarner une nouvelle facette. Le 1, c'est un peu le guide, le leader, etc. en année 1, on a tendance à commencer des nouvelles choses. Ce qui veut donc dire que tu dois jongler entre... Collectivement, il y a des choses qui vont s'arrêter, mais toi, personnellement, t'as vraiment envie de créer quelque chose de nouveau. Et donc, c'est vraiment le côté... Parce que le neuf, c'est vraiment je me laisse porter par l'univers. Moi, je parle de l'univers, chacun a ses croyances, mais se laisser porter par l'univers, c'est lui qui est un peu le chef d'orchestre. Et toi, en fonction de ce qui se passe dans ton quotidien, et bien euh c'est tu instaures du nouveau. Et ça peut être des nouvelles propositions. Il y a plein de possibilités et c'est assez riche. Moi, je suis personnellement en année 5. Le 5, c'est la liberté, la passion, le mouvement, le changement, les déplacements, etc. Mais c'est aussi suivre le flot. Donc, de toute façon, cette année, je n'ai pas le choix. Je dois suivre le flot d'une façon ou d'une autre. Je n'ai pas la main, je me laisse guider et j'avance. Pour des personnes qui vont être en année 4, c'est une année de structuration et d'organisation. Ce n'est pas facile. Parce qu'avec le côté « je dois arrêter, je dois faire du ménage dans l'année 9, dans le collectif » , ce n'est pas facile de se structurer un peu quand c'est le chaos autour de toi. C'est difficile de retrouver son cadre. Mais le cadre, c'est aussi l'instant présent. Donc souvent, c'est revenir dans l'instant présent qui permettra d'avancer.

  • Speaker #0

    Et du coup, pour nos auditeurs et auditrices qui ne savent pas calculer, entre guillemets, leurs chiffres de numérologie pour l'année, comment est-ce qu'il faut faire ?

  • Speaker #1

    Alors, pour l'année personnelle, C'est le jour de naissance additionné au mois de naissance additionné à l'année 2025 et le tout réduit à 1. Donc, tu réduis systématiquement à un chiffre.

  • Speaker #0

    C'est ça, parce que dans la numérologie, il y a l'année collective, notre année personnelle et on a aussi notre chemin de vie qui part avec notre année de naissance. Il y a trois, on peut avoir trois chiffres.

  • Speaker #1

    On peut en avoir plein d'autres, mais là, on va rentrer dans une formation complète en numérologie. Ce n'est pas le but, mais effectivement, il y a le chemin de vie. qui est l'addition du jour, du mois et de l'année de naissance. L'année personnelle, c'est jour plus mois plus année en cours. Et là, ça te donnera un chiffre d'année. Et après, tu as l'année collective, c'est juste la réduction de 2025 qui fait 9.

  • Speaker #0

    Ah là, c'était trop intéressant. Je n'avais pas prévu de parler de numérologie, mais je trouve ça trop chouette. Et toi, du coup, tu t'es formée à tout ce qui est genre astro, parce que c'est très compliqué l'astro. Il y a beaucoup de choses à comprendre. Toi, comment est-ce que tu fais ? Tu mets aussi ton intuition à l'intérieur de ça ? Tu as fait ta petite tombouille personnelle ?

  • Speaker #1

    Je n'ai aucune formation astrologique. C'est à force de discuter. J'ai une amie astrologue. Donc, à force de discuter avec elle, j'ai acquis du savoir. Je viens de démarrer une formation en astrologie, mais jusqu'alors, je refusais de me former parce que je voulais vraiment laisser que mon intuition parler. Et après, je me suis beaucoup formée en numérologie et j'ai compris. Tu sais, j'ai ramené... La numérologie, en général, c'est plutôt pour... son âme, son thème personnel, etc. Et j'en ai... En fait, je l'ai détourné pour en créer une numérologie plutôt énergétique qui m'aide à capter, tu vois, à voir un peu au-delà de... à pouvoir capter plus facilement, en fait, ce qui va se passer en amont. Parce que je sais le faire au fur et à mesure, jour après jour, mais j'avais à cœur, j'avais envie de vraiment pouvoir faire comme en astrologie, une prévision, tu vois, sur l'année complète. C'est ce que j'ai fait, d'ailleurs. cette année en 2025, c'était la première année où je créais le calendrier énergétique sur l'année 2025 qui donnait l'intensité des journées. Donc aujourd'hui, c'est numérologie plus mes propres canalisations.

  • Speaker #0

    Trop bien. Et en fait, tu proposes aussi la méthode soleil, tu proposes plein de choses pour nous accompagner, parce que c'est vrai que moi, ça me donne envie. Et ce que j'aime trop, c'est que le matin, je peux regarder, tu fais des petits tests aussi, enfin pas des petits tests, mais des petits, pour faire marcher notre intuition, choisir une petite... cartes. Le matin, je trouve ça assez agréable pour commencer bien la journée. Mais tu ne fais pas que ça. Et donc après, tu la météo énergétique et d'autres, justement, formule que tu proposes pour nous éclairer.

  • Speaker #1

    Le matin, je fais le mood du jour. Ça te donne un peu une indication de ce qui va se passer pour toi aujourd'hui d'une manière personnelle, personnelle collective. Et après, j'ai créé la méthode soleil il y a un peu plus de deux ans, qui est mon accompagnement collectif énergétique. J'en parlais ce matin en story. Ce n'est pas facile d'en parler parce que ce n'est Ce n'est pas un... Un frigo chez l'Arctique, tu peux palper. C'est vraiment un accompagnement. Donc ça se vit, c'est de l'humain. Il est énergétique, j'y pratique la radiesthésie, donc c'est le pendule, le magnétisme, les déprogrammations des morts cellulaires, parce que c'est une formation que j'ai faite aussi. Je mets en fait tous mes outils à disposition dans la méthode soleil, en plus de mes canalisations, mes captations énergétiques des journées. L'idée, c'est que quand tu rentres dans la méthode soleil, tu sois accompagné. un peu comme tu vois, tu regardes ta météo sur TF1, dans la méthode soleil, tu as la météo du jour ou des deux jours à venir. Et comme ça, comme je dis, une âme avertie en vaut deux. Tu sais comment appréhender les journées qui arrivent. Et si tu dois prévoir des événements importants, je le conseille souvent, on ne fait pas ça en journée électrique, tu vois, par exemple, parce que c'est très électrique autour de nous et ce n'est pas propice au développement de projets, par exemple. Après, quand on n'a pas le choix, on n'a pas le choix. Du coup, ça permet d'appréhender et ensuite... Il y a aussi un accompagnement, c'est du collectif, mais je suis très disponible en message privé pour les gens qui sont dans la méthode soleil. Pour les aider, en fait, à éplucher, c'est pas joliment dit, mais éplucher l'oignon. Tu vois, quand tu commences à travailler un peu sur toi, tu identifies les masques, les blessures, etc. Et c'est pas forcément facile à faire seul, de se regarder soi-même et de se dire, je suis comme ci, je suis comme ça. Et donc, c'est ce que je fais aussi au travers de la méthode soleil. Je les aide à avoir un regard extérieur sur la situation dans laquelle ils sont, pour comprendre ce qui s'est joué à ce moment-là et que chacun reprenne sa place et ses responsabilités.

  • Speaker #0

    Ah, trop bien.

  • Speaker #1

    Ça, c'est la bonne. Et après, je propose le Mood du mois en ce moment. J'ai fermé les consultations pour l'instant. Je ne sais pas exactement quand est-ce que je les reprendrai. Mais j'ai fermé les consultations. J'ai encore besoin de temps pour atterrir après tout ce que j'ai vécu. Mais j'ai quand même créé le Mood du mois qui est un mix entre ta numérologie personnelle, parce que tu as l'année, mais tu as aussi les mois et les jours qui vibrent selon des chiffres. Donc, tu as ton Mood du mois qui te donne une information selon ton thème personnel en numérologie. Et je prends une carte d'un oracle en support et je te livre une canalisation de ce qui va possiblement se passer sur ton moi. Comme ça, ça t'aide à mieux vivre ou mieux appréhender ce qui va se passer.

  • Speaker #0

    Mais ce que je trouve vachement intéressant dans tout ça, c'est ce que tu dis, c'est que tu vas nous donner le mood du moi. Et en fait, à un moment donné, ça permet aussi de prendre du recul. Ça ne veut pas dire que ça ne va pas se passer, mais ça veut dire que prendre du recul par rapport au fait que des fois, on peut peut-être se sentir énervé et du coup, on va peut-être blâmer l'autre. Donc, rentrer dans le triangle de Karpman ou être... Sauf qu'en fait, quand on est averti, comme tu dis, une âme avertie en vaut deux, c'est qu'on va plus prendre du recul, mettre en conscience des choses. Et du coup, ça va nous aider justement à faire ce petit décalage comme ça entre ce qui se passe, qui n'est pas forcément ancré dans nous, mais que de pouvoir en fait prendre du recul. Et je pense que ça permet de vivre les choses de plus apaisé. Même si la vie, elle n'est pas que... Même si quand on va voir un voyant ou quand on va voir une astrologue, on a envie qu'on ne dise que des bonnes choses, mais... La vie, elle n'est pas toujours linéaire, elle n'est pas toujours positive. Il faut juste apprendre à danser sous la pluie, j'ai envie de dire. Et à toujours voir le soleil, quoi qu'il arrive, à travers les nuages. Moi, c'est cette philosophie-là que j'entends de toi et que je trouve ça assez chouette, en fait.

  • Speaker #1

    Ce que je dis souvent, c'est que si tout était facile et fluide, il n'y aurait aucun intérêt à travailler sur soi. Si on avait tous une vie magique, etc. Ça ne te pousserait pas à aller regarder les blessures, à régler quelques bagages que tu traînes d'ici ou d'ailleurs, carmique ou trangé. Donc, tu sais, c'est quand on est dans la difficulté que là, on s'active en se disant, bon, il faut que je sorte de là. Donc, comment je sors de là ? Et c'est à ce moment-là que le travail s'enclenche. Ça, c'est la première chose. La deuxième chose, c'est qu'il n'y a pas de travail sans part d'ombre. Et l'idée n'est pas de se dire, je ne veux plus de ma part d'ombre. C'est qu'elle fait intégralement partie de soi. et donc du coup c'est accepté pleinement sa pardon. Par exemple, je suis quelqu'un qui se met en colère. Mon intuition s'exprime par la colère, c'est-à-dire que dès que ma colère s'éveille à l'intérieur de mon corps, c'est qu'il y a un truc qu'il faut que je regarde. Et j'ai longtemps voulu apaiser cette colère en me disant « quand même, elle ne peut pas exister, tu ne peux pas te mettre en colère comme ça » . Et en fait, je me suis dit « elle fait partie de moi, je suis comme ça, c'est mon radar en fait » . Et donc du coup, la deuxième chose que je dis, c'est que Merci. On est autant l'ombre que la lumière. Et donc, quand on va bien, c'est vrai qu'on a tendance à briller, etc. Mais quand on a des difficultés, on a le droit aussi d'activer nos parts d'ombre. Et la troisième chose que je voulais te dire par rapport à ça, sur le mood du mois, si par exemple, ce qui m'est venu quand tu m'en parlais, si par exemple, tu es en mois 11-2 le mois prochain, le 11 va te rendre plus sensible, plus hypersensible, plus à fleur de peau. C'est comme ça, ça ne s'explique pas, ça s'active. C'est vraiment de l'énergie. Parce que l'énergie, elle circule toute autour de nous. Et donc... Donc, la manière dont tu reçois l'énergie à ce moment-là te rend plus sensible. Si tu sais que tu vas plus facilement te vexer, plus facilement mal prendre les choses, etc., bouffée d'oxygène, tu recules et le mois se passe différemment.

  • Speaker #0

    Oui, tu ne vas pas forcément prendre le rendez-vous avec la personne. Tu sais qu'à la base, si tu te saoules, là, ce n'est pas l'idée. Tu diras, on se verra le mois prochain.

  • Speaker #1

    Voilà.

  • Speaker #0

    Mais ce ne sont que des petites choses comme ça. Et puis surtout, c'est apprendre à mieux se connaître parce que je trouve que... On apprend tous les jours à se connaître déjà et même on peut se surprendre soi-même et donc de travailler sur soi pour apprendre à se connaître. Comme tu disais, par rapport à la colère, c'est un moteur que tout le monde peut avoir. Après, l'idée, j'imagine, comme tu travailles sur toi, ce n'est pas de quand tu as la colère, du coup, de la déverser sur les autres, ce que peut-être tu pouvais faire avant, mais maintenant de le prendre dans quelque chose d'un moteur qui fait en sorte que d'accord, ça me donne l'idée. Mais je pense que tout le monde, par rapport à toutes les émotions, elles sont là pour juste nous montrer le chemin, entre guillemets. Là, c'est dangereux. Là, ça te met en colère. Donc, c'est un truc que tu n'as pas forcément réglé. Là, je pense.

  • Speaker #1

    Quand la colère s'active, ça me permet de faire une pause. C'est souvent ce qu'on conseille quand tu es prise par une émotion très forte. Pause avant de réagir. Prends du recul, quitte à laisser trois jours, on s'en fiche. Mais les émotions primaires, je ne parle pas de toutes, parce qu'il y a un panel d'émotions qui existent, mais on reste sur des émotions basiques. Je dis qu'il y en a cinq à la hauteur des cinq blessures de l'âme. Je travaille beaucoup autour des blessures de l'âme, de l'isbourbeau. La colère, quand elle s'active chez moi, je préviens la personne en face. Là, j'ai un truc qui s'est activé en moi. Soit je prends le temps de débriefer avec la personne en face de moi parce qu'elle est capable de le faire. et c'est ok, soit elle l'est pas et dans ces cas là je prends le temps moi de regarder je me fais accompagner s'il y a besoin parce que souvent quand on est soit avec soi c'est compliqué de comprendre ce qui s'est activé avant j'étais pas du tout comme ça avant 2020 j'étais, parce que c'est que récemment que je suis rentrée ça fait 5 ans mais c'est quand même assez récent avant j'étais pas du tout comme ça et ma vie elle a basculé elle m'a poussée, tout à l'heure quand je te disais l'univers ne nous laisse pas le choix à un moment donné je l'ai personnellement vécu en 2017. C'est-à-dire que j'ai accumulé, accumulé les années précédentes, jusqu'à ce jour où ça a stoppé et ça s'est arrêté. Et en fait, j'ai eu mon accident qui m'a forcé à regarder à l'intérieur de moi ma vie. Où est-ce que j'avais dit oui, tu vois, le 2 mai 2017, je signais un appartement alors que je savais pertinemment, j'avais dit cinq jours plus tôt à ma psychologue, je ne peux pas acheter avec mon ex-mari. Ce n'est pas possible. Enfin, mon mari à l'époque. Mais j'y suis quand même allée, j'ai signé. Le 16 novembre 2017, je suis tombée. J'ai eu mon accident avec mon fils qui m'a valu d'être handicapée, qui m'a valu un an de rééducation, etc. Ça a été une période très sombre, mais aujourd'hui, ça a été ma plus belle transformation. Avant l'accident, je suis mariée, propriétaire, maman, j'ai un job. Je suis adjointe chef des ventes dans l'automobile après 2017. Je suis divorcée, handicapée, maman solo, je viens de déménager dans le sud et à mon compte, tu vois. Mais je suis pleinement, je me sens à ma place aujourd'hui, alors que je ne l'étais pas avant du tout.

  • Speaker #0

    C'est intéressant parce que souvent, on imagine que la vie décase tout le monde, même quand moi, je suis célibataire. Donc du coup, souvent, c'est mais alors quand tu vas vraiment rencontrer quelqu'un, mais en fait, je suis très heureuse. Alors, je ne dis pas que je ne rencontrerai personne et que c'est super, mais on peut être très heureux sans être dans la feuille de route que... On a décidé il y a je ne sais pas combien d'années que ça doit se passer comme ça. Et c'est ça qui est intéressant, c'est de s'écouter. Chacun est très heureux de vivre sa vie et que sa vie peut évoluer, peut changer. Et comme tu dis, si jamais on ne s'écoute pas, des fois, on ne laisse pas trop le choix.

  • Speaker #1

    Non, on n'a pas le choix. Parfois, c'est plus fort que nous. Je suis issue d'une famille où il fallait être mariée, avoir des enfants, travailler, machin, machin. Et aujourd'hui, je ne suis pas du tout dans ce schéma-là. Pour autant, je suis... très heureuse. Bien sûr, il y a des jours où c'est moins bien. Tout n'est pas linéaire. Et il y a des moments où c'est plus dur que d'autres. Mais je me sens beaucoup plus à ma place aujourd'hui que je ne l'étais avant. Pourtant, avant, j'avais tout pour être heureuse. Un mari, un job, machin. Mais ce n'était pas ce qui m'animait. Ça n'allumait pas la flamme que j'ai à l'intérieur de moi. Là, aujourd'hui, quand j'accompagne, quand j'accompagne les gens dans leur transformation et qu'on arrive à débloquer des situations, etc., et que je vois l'autre, vraiment s'épanouir, là je me dis, là t'es à ta place. Hier j'étais en séance avec quelqu'un, pendant la séance elle a eu un appel, elle me l'a dit après, elle m'a dit écoute, il y a quelqu'un qui, j'ai un recruteur qui m'a appelé pendant la séance, c'est quelque chose, c'est un job, enfin elle voulait changer de job, ça ne s'activait pas, etc. Bref, et tu vois, pendant la séance ça travaillait déjà, après la séance elle était capable de dire oui, et là je sais qu'elle va partir sur le chemin là où elle doit aller, mais parce qu'elle était à un Carrefour. Et souvent, j'arrive au Carrefour. Je dis souvent, quand je rentre dans la vie des gens, c'est que c'est le moment. C'est le moment du grand changement. J'ai accompagné des centaines de personnes à travers la méthode Soleil et aussi en individuel. Toutes les personnes que j'ai accompagnées, c'était vraiment à l'aube du grand saut. Je ne sais pas si tu l'as vécu toi, mais c'est principalement des personnes qui ont une première partie de vie. Et maintenant, j'ai envie de vivre pour moi. J'ai envie de découvrir qui je suis, où est-ce que je vais, etc.

  • Speaker #0

    C'est intéressant ce que tu dis parce que je pense que quand on accompagne des gens, on les accompagne à la hauteur de nous, ce qu'on a vécu. Et comment est-ce qu'on peut justement les accompagner ? Parce que toi, tu as traversé le feu. Ce que tu racontes, c'est exactement ce que tu as vécu. Donc, les gens qui sont en train de vivre ça, ils vont aller te voir toi parce que toi, tu es la lumière qui est déjà... Moi, j'aime bien cette allégorie de... Bon, t'as traversé le feu, t'es passé de l'autre côté, donc maintenant tu connais le chemin, donc tu peux leur dire « Hey, c'est par là, c'est super ! » Et moi, dans mes accompagnements, c'est autre chose que je développe et que... Et je trouve ça merveilleux parce que souvent, c'est pour ça même par rapport à l'astro, que tu n'as pas forcément la formation, mais que tu es en train de la faire. C'est quand on est dans notre intuition et dans notre vécu, dans notre chair surtout, quand on vit les choses, il n'y a pas de formation pour ça. Tu ne peux pas te former à avoir vécu ce que tu as vécu là et il n'y a personne d'autre qui peut accompagner mieux sur cette problématique-là que toi, parce que toi, tu l'as vécu. Et donc, du coup, tu le sais dans ta chair, tu sais ce que c'est. Donc forcément, tu vas comprendre l'autre et la personne va se sentir beaucoup plus comprise.

  • Speaker #1

    Tu ne peux pas dire à quelqu'un « fais quelque chose » si toi-même tu ne le fais pas ou tu ne l'as pas fait. Et en plus, c'est beaucoup plus légitime et crédible d'être accompagnée par quelqu'un qui a déjà traversé, même si ce n'est pas exactement la même chose, mais c'est les mêmes émotions. Tu ne peux pas te sentir légitime si je n'avais pas vécu tout ce que j'avais vécu. parce que si tu veux, j'ai... Je n'ai pas été à la rue, mais je n'étais pas loin de la rue. Donc, j'ai connu une situation financière hyper stable. J'ai connu le moment où tu te dis comment je vais faire. Et aujourd'hui, la stabilité financière à nouveau, tu veux, mais par moi-même. Dans mes accompagnements, j'ai beaucoup de gens qui ont un vrai problème. De toute façon, l'argent a toujours été un problème, mais ont un vrai problème de si je quitte. Souvent, c'est ça. Si je quitte le foyer que j'ai là, comment je vais faire pour m'en sortir toute seule ? souvent c'est financier, puis après il y a tout le côté gestion du quotidien, etc. Et parce que je l'ai fait, elles me le disent, tu nous inspires, parce que j'ai fait et je parle de quelque chose que j'ai fait. Et là, dans la méthode soleil ces derniers mois, c'est la seule chose que j'ai gardée pendant l'accompagnement de fin de vie de mon papa. Donc pour situer, je suis arrivée en octobre dans le sud, le 1er novembre dans le sud, et le 14 novembre, mon papa a été diagnostiqué d'un cancer du cerveau foudroyant, un glioblastome. Et donc, j'ai vécu et il est décédé le 8 avril. Tu vois, donc, c'est allé très, très vite. Je le savais. En fait, tout ce que j'ai vécu ces quatre dernières années, tu vois, juste avant l'annonce du diagnostic, m'a permis de me faire confiance. Je savais le diagnostic avant qu'on nous le donne. C'est-à-dire que le lundi soir, on nous l'a annoncé le mardi. Le lundi soir, j'ai eu une montée d'angoisse. Mon corps a parlé avant même qu'on nous ait mis les mots dessus. Et j'ai préparé, j'ai dit à ma sœur. Je sais que c'est quelque chose qui fait qu'il ne restera pas longtemps. Et ensuite, j'ai vécu l'accompagnement de la maladie de mon père. J'ai accompagné mon père dans son dernier chemin. Et je me souviens de lui avoir dit, j'avais fait cette transition-là, je lui avais dit, tu sais, Dad, quand tu as pris ta retraite, tu t'es fait coacher. Et bien là, tu vas devoir faire pareil. C'est-à-dire que tu n'as pas le choix. Tu sais que tu vas décider. Parce que le glioblastome, c'est souvent... Les médecins le... disent que le pronostic vital est engagé. Même si la personne est en bonne santé, on sait que l'issue est fatale, il n'y a pas de traitement, il n'y a rien. Ce qu'on ne sait pas, c'est à quel moment. Donc, il faut savoir vivre dans l'instant présent, profiter de l'instant présent. Et en plus, j'ai accompagné mon père à ce moment-là spirituellement, parce que c'est à ce moment-là que lui s'est complètement ouvert. Tu vois, il a été vachement... Il a tout retenu. En fait, le cancer a touché une zone qui fait qu'il était complètement désinhibé. Donc, plus de filtre sur ses émotions, etc. Donc j'ai découvert une nouvelle personne. Mais j'ai surtout fait confiance à mon intuition. Et dès le début, elle m'a dit profites-en. Jusqu'au bout, profites-en. Parce que j'ai déménagé en 15 jours et je suis arrivée au moment où on découvre son cancer. Donc j'ai pu accompagner mon père et j'ai vraiment la chance de l'avoir fait. Je l'ai accompagné jusqu'au dernier jour. Je l'accompagne ma mère encore aujourd'hui. Mais ça m'a permis de vivre cette expérience d'une manière complètement différente. Parce que déjà, je sais qu'il y a autre chose après. Je sais que la mort n'est pas une fin en soi. Je sais qu'à un moment donné, quand lui, il aura atterri aussi, on pourra... réavoir des signes, des échanges, etc. Mais surtout, j'ai pu être dans l'instant présent, alors qu'avant, je contrôlais beaucoup, j'avais besoin d'avoir la projection, la vision, le machin, le truc. Là, j'ai pu les jours comme elles venaient, et j'avais même dit à mon père « Viens, Dad, on fait un kiff par jour. Tous les jours, tu me dis ce que tu veux, et je t'emmène où tu veux. » Donc, tous les jours, on faisait un truc jusqu'à ce qu'il ne puisse plus marcher. Mais j'ai vraiment pu profiter. Et si je n'avais pas fait tout le travail en amont que j'avais fait, je n'aurais pas profité de la même façon. et je ne me serais pas fait confiance. Ce n'est pas facile de se dire... de savoir que ton père ou ta mère est condamné, de le savoir. Et les gens autour de moi me disaient, mais comment tu sais ? Je sais, tu vois ce que je veux dire ? C'est vraiment pas facile, mais mon père, ça lui a permis de tout préparer, parce que c'est un grand contrôlant. Il a pu préparer son dernier voyage comme il le voulait et à l'image qu'il voulait.

  • Speaker #0

    Tu vois, après, laisser des souvenirs pour les enfants, un message pour ma mère, etc. Et il m'a dit, toi, tu es vraiment extraordinaire parce que je peux tout te demander. Il n'y a rien qui te choque. Non, il n'y a rien qui me choque.

  • Speaker #1

    Ah, c'est beau. C'est hyper, hyper touchant. Et souvent, c'est marrant parce que pour les gens qui ne vivent pas forcément la maladie et qui ont la chance de ne pas la vivre, il y a aussi une part. Alors, c'est des cadeaux très, très mal emballés. Et moi, je vis la même chose avec mon papa. Ce n'est pas un cancer, mais c'est une maladie d'Alzheimer. et en fait c'est un très beau cadeau qui me... Je le dis comme ça parce que je n'ai pas eu le choix aussi à un moment donné de le prendre comme un cadeau et du coup d'être dans le moment présent, de voir parce qu'avec Alzheimer, tu ne peux plus avoir vraiment de conversation existentielle. Tu peux juste être là, regarder l'oiseau, partager des choses très simples et se connecter sur un autre plan déjà. Je trouve ça hyper intéressant, c'est ça que je rebondis là-dessus parce que ça me touche. Et en fait, c'est vrai que ça met un peu de temps d'acceptation et les gens qui ne vivent pas ça ne l'entendent pas en fait. et ils entendent peu de la peur et ils fuient un petit peu ces situations ils disent mais comment tu fais moi je pourrais jamais et ces phrases je pense que tu as déjà dû les entendre moi je pourrais pas vivre avec ça et en fait tu te dis déjà t'as pas le choix et en plus ça t'apporte beaucoup d'amour et une nouvelle compréhension aussi de la vie parce que quand t'as dit la phrase ça a fait résonance quand tu sais que tes parents sont condamnés mais en fait on est tous condamnés on sait pas quand mais on y pense pas tous les jours mais peut-être qu'on va mourir demain et qu'on le savait pas Et donc, du coup, c'est juste reprendre conscience qu'en fait, il va y avoir une fin. Mais sauf qu'en fait, pour le coup, moi, j'ai décidé que je n'allais pas mourir, mais normalement, on va tous y passer.

  • Speaker #0

    La peur de la mort, c'est une vraie peur. Mais j'ai eu un accident qui fait que j'ai eu la peur de la mort pendant... Tu sais, quand ça bascule dans ta vie. Le traumatisme, il est puissant et souvent, il y a des peurs de mort qui se réactivent à ce moment-là. Donc, je l'ai eu, mais j'ai aussi compris que de toute façon, je n'ai aucun... aucun poids sur la date, sur le jour où je vais partir. Quand je disais tout à l'heure, quand tu sais qu'un de tes parents est condamné, là, c'est parce que je savais qu'il était condamné rapidement. J'avais cette notion de rapidité à l'intérieur. Le cancer, le glioblastome, c'est un... Comment dire ? C'est un espèce d'aperçu de la maladie d'Alzheimer parce que, alors, autant au début, il était encore parmi nous, autant il y a des moments, et à la fin, complètement ailleurs. Tu vois, vraiment... J'avais encore des contacts physiques quand je lui disais je t'aime. Il me répondait un peu, mais... Mon père, il est parti. Je lui ai dit ton âme, elle a choisi sa sortie. Il nous a toujours dit si j'ai Alzheimer, vous me larguez devant la mer, je nage jusqu'à la mort. Il ne voulait pas Alzheimer. Écoute, il a eu un truc qui fait que ça a duré 4 mois et demi, 5 mois. Il a filé à l'anglaise. Il était anglais. Il nous a toujours dit je file à l'anglaise. Mais il a pu dire au revoir à qui il voulait. Il a pu faire... Et du coup... il a dû aussi se confronter à sa propre peur de la mort. Parce qu'il savait qu'il allait mourir. Il a fait le taf. Et il n'est pas parti dans les meilleures dispositions, mais il est parti plus apaisé qu'il ne l'était au début. Et l'autre chose sur laquelle je voulais rebondir, parce que tu dis ça, les gens qui ne sont pas confrontés ne comprennent pas forcément ou te disent je ne sais pas comment tu fais, le regard de l'autre. Alors ça, c'est un truc. Je ne m'y attendais pas. mais le regard de l'autre pendant la maladie de mon père, parce qu'il y a un vrai décalage. Tu vois, Alzheimer, c'est une maladie qui se passe intérieurement, c'est-à-dire que la personne va physiquement bien, mais en fait, c'est au niveau des conditions que ça se passe, enfin qu'elle n'est plus là. Et mon père, c'était ça. C'est-à-dire qu'on avait un diagnostic et un pronostic très sombres, et quand on le disait aux gens qu'il allait mourir, on ne savait pas exactement quand, puisqu'au début, on nous a dit deux ans, puis après, on nous a dit six mois, et en réalité, il est parti. très vite, tout le monde autour ne nous croyait pas. Et donc, on a eu une vague de gens qui nous ont fait la misère, qui ont été en colère, qui n'ont pas voulu nous parler, qui ne sont pas allés voir mon père. De gens qui nous ont dit, mais de toute façon, vous mentez. Ça a créé des tensions familiales, qui ont accusé ma mère de colporter des mauvaises informations, etc.

  • Speaker #1

    On plaint dans le triangle de Carmen, pour le coup.

  • Speaker #0

    Ouais, on était les bourreaux de mon père, en fait, ma mère et moi, à ce moment-là. pour l'entourage amical, etc. et quelques personnes de la famille, on était les bourreaux de mon père parce qu'on l'enterrait trop vite. Le jour de l'enterrement, j'ai une personne qui a eu le courage de me dire « t'avais raison » . Une seule, tu vois. Et ça a été une des personnes qui a colporté le plus de trucs sur « c'est pas vrai, elle l'enterre, etc. » Bah oui, mais parce qu'en fait, c'est pas parce que physiquement, il renvoie quelqu'un de fort et de vaillant, etc. que là, tout va bien, en fait.

  • Speaker #1

    Oui, c'est souvent, mais c'est intéressant ce que tu dis sur le regard des autres, les autres, parce que souvent, même toutes les choses invisibles qu'on peut vivre, que forcément, on ne va pas forcément dire, les gens vont juger ou parce qu'en fait, ils ne se connectent pas forcément à tout ça. Mais en tout cas, je trouve que tu en parles d'une façon hyper belle, hyper douce et ça fait plaisir de pouvoir parler de la mort comme d'un passage et de la vie qui fait en sorte que c'est... Ça fait partie de tout ça. Mais du coup, parce que là, on arrive presque à la fin, est-ce qu'on pourrait partir sur une note un peu plus gaie ?

  • Speaker #0

    Ah oui.

  • Speaker #1

    Mais en même temps, moi, j'ai trouvé ça trop chouette et je trouve qu'on n'en parle pas assez. C'est longtemps que j'avais envie d'en parler dans les émissions et que, tu vois, ce n'était pas prévu. Je n'avais pas... Et que ça se fait comme ça. Et je trouve ça super beau parce qu'on est beaucoup de gens à vivre de plus en plus des maladies dégénératives et d'être touchés par ces maladies-là. Et c'est vrai que pour l'entourage, c'est vraiment pas évident Et donc là, peut-être qu'on a donné une expérience, en tout cas, pour justement que les gens...

  • Speaker #0

    On a semé des graines.

  • Speaker #1

    Voilà, on a semé des graines pour que les gens...

  • Speaker #0

    Tu sais, c'est comme je te disais au début de notre entretien, il y a l'ombre et la lumière. On ne peut pas vivre sans ombre, tu vois. Pour moi, la mort, ça fait partie de la vie aussi. C'est le processus de la vie. Et du coup, si je reviens à notre sujet de base... Pour moi, les énergies, elles sont le guide du chemin sur lequel on va. Et donc, quand ça devient dur, c'est que le chemin, il y a un truc qui ne va pas sur ton chemin. Et donc, c'est à réadapter. C'est parce que j'ai commencé à être à l'écoute de ce qui se passait autour de moi que du coup, j'ai pu faire le taf et cheminer et avancer. Et aujourd'hui, je prends mes décisions comme ça. C'est-à-dire que dès que ça bloque, j'arrête et je regarde les choses différemment. Même sur les réseaux, je fais ça. Même Instagram, dès le début, je me suis dit qu'il faut que je le prenne comme un radar. Si ça prend, c'est que c'est le bon chemin. Si ça ne prend pas, c'est que ce n'est pas le bon chemin. Et j'ai toujours fait comme ça. Je suis à l'écoute des opportunités, des synchronicités. Tu l'appelleras comme tu veux. Mais c'est parce que j'ai accepté l'inconfort. J'ai accepté la personne que je suis. Je suis solaire, etc. Mais parfois aussi, je me mets en colère.

  • Speaker #1

    Ça, c'est bien en même temps de le montrer aussi. Le développement personnel ou le travail sur soi, ce n'est pas pour devenir Bouddha. C'est justement pour apprendre à... Moi, je vois ça un peu comme des vagues, à réussir à surfer et de ne pas se casser la gueule et se dire qu'on peut être en haut ou en bas. Mais en même temps, quand on est en bas, on sait qu'on va remonter. Quand on est en haut, on sait qu'un moment donné, on va redescendre. Et donc, de profiter de chaque moment et d'être dans le moment présent. Est-ce que tu n'aurais pas un petit tip ou quelque chose pour que les gens arrivent à... Souvent, le moment présent, c'est assez compliqué. et comment est-ce que toi tu t'es appris ? à être dans ton moment présent le plus souvent possible.

  • Speaker #0

    À chaque fois que j'ai commencé à projeter oui mais si, oui mais si, etc. Tu sais, au moment où tu commences à te poser plein de questions sur si je fais ça comme ça, est-ce que ça va fonctionner ? Là, on est déjà parti de l'instant présent. Et donc, dans ces moments-là, quand il y a trop de questions, je fais vraiment ce truc de... Là, par exemple, je serais avec Sarah en train de répondre à ses questions. Je reviens là, tout de suite, maintenant. Il y a l'enjeu, ce qui est en train de se passer. Si tu es en train de faire tes courses, reviens à l'instant où tu fais tes courses. Ça, ça a été, pour moi, c'est l'exercice le plus puissant, c'est revenir à ce que tu fais à l'instant T, quand tu es en train de projeter sur autre chose. L'autre truc qui m'a beaucoup aidée, mais ça dépend vraiment des gens, il y a des gens qui aiment méditer, qui ont besoin de méditer, mais c'est pareil, la méditation n'est pas forcément adaptée pour tout le monde. Et en plus, il y a différentes façons de méditer. Moi, je sais que ce que je préfère faire... c'est faire le ménage. Parce qu'à ce moment-là, je suis à mon ménage, c'est-à-dire que mon cerveau n'est pas concentré sur des sujets, et je laisse la place à l'intuition. Je ne suis pas en train de penser, penser, penser. Le souci du questionnement et de l'hyper-questionnement et du fait de projeter, c'est qu'on laisse plus la place au ressenti et à l'intuition. Et c'est ce dont l'intuition a besoin pour pouvoir revenir. Donc l'instant présent, c'est aussi cette capacité à se dire, là dans l'instant présent, qu'est-ce qui se passe ? Et quel est l'enjeu ?

  • Speaker #1

    Trop bien. Bah écoute... Comme vous êtes peut-être à la plage ou en train de préparer vos vacances ou vous allez peut-être essayer de faire cet exercice sur la plage, ne réfléchissez pas à comment va se passer la rentrée, qu'est-ce que je vais faire, mon Dieu, tout ça. Mais regardez le sable, le soleil, reconcentrez-vous sur ça parce que ça ne va pas durer l'instant présent. Et vous serez bientôt en train de vous poser toutes ces questions ou en train de dans plein d'autres problématiques. Mais ouais, qu'est-ce qu'on peut leur dire ? Profitez cet été aussi, de profiter, même si ça va être un peu chamboulant, de s'écouter, de respirer, de profiter de... du moment présent le plus possible. Essayer justement de s'exercer à l'atteindre tous les jours, un peu plus.

  • Speaker #0

    L'instant présent, oui, et de se laisser guider. Si ça bloque, c'est que c'est pas le bon endroit. Si c'est fluide, c'est que c'est le bon endroit. Juste cette phrase-là, ça nous fait changer de perspective.

  • Speaker #1

    Oui, et des fois, on s'accroche à des trucs alors qu'en fait, ça va pas du tout.

  • Speaker #0

    On y va, on y va, on y va, on y va, comme un petit bélier qui fonde sur... Ben non, ça bloque. Anne-Fleur, elle a dit, tu vois Anne-Fleur avait dit que quand ça bloque c'est pas le bon endroit et ben si ça bloque regarde autrement, change les choses, ou c'est juste pas le bon timing en fait. C'est même pas une question de... que c'est pas le bon truc, c'est peut-être juste pas le bon moment.

  • Speaker #1

    Trop bien. En tout cas, c'était le bon moment pour faire cette émission ensemble. J'ai trouvé ça trop chouette. Merci beaucoup. Et puis, en tout cas, vous êtes un bon été. Moi, je vous dis à la semaine prochaine et Anne-Fleur, à bientôt, j'espère. Est-ce que tu reviendras nous faire un petit coucou ?

  • Speaker #0

    Avec plaisir. Merci beaucoup.

  • Speaker #1

    Flamme des années 80. Le podcast qui allume la femme.

Chapters

  • Introduction à Anne-Fleur et son parcours

    00:10

  • La création de Soleil Quartz et la météo énergétique

    00:19

  • Prédictions pour l'été et l'année 2025

    03:27

  • Le triangle de Karpman et les relations

    05:29

  • Conclusion et encouragements pour l'été

    40:04

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