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FLEUR SAUVAGE

La vie est un jeu : à toi de jouer de manière pro-active (+ avis de Val)

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53min |15/10/2025
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Description

🎙️ Épisode 16 : "La vie est un jeu : à toi de jouer de manière pro-active (+ avis de Val)"


Hola chicos y chicas,


Je vous ai tourné un épisode spontané +++ ,


Dans cet épisode, j'ai souhaité répondre à un commentaire reçu (au passage, merci). Il me semblait intéressant et important de vous donner les clés qui me servent au quotidien.


Val intervient en fin d'épisode avec ses conseils de Virgo :)


Je n'ai pas plus de choses à ajouter dans cette bio, je vous souhaite une très belle écoute !

______________


Instagram : @ninou.vlog

Site internet : Ninoufood.com

Crédit photo : Pinterest


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hola chicos y chicas, j'espère que vous allez bien, ça fait plus d'un mois que je n'ai pas tourné d'épisode, là j'ai pas trop de temps mais je me suis dit comme Val n'est pas là, je vais quand même prendre mon micro, potentiellement que ça va résonner parce que je suis pas dans la pièce dans laquelle je tourne mes épisodes habituellement, mais voilà je me suis dit je peux pas vous laisser comme ça sachant que là je vais en retraite à la fin de la semaine pour plusieurs jours donc je vais pas pouvoir tourner d'épisode à ce moment là et voilà je voulais quand même vous dire faire un retour par rapport à tout ce qui se passe en ce moment dans ma vie depuis plus d'un mois. J'ai réalisé plein de choses, j'ai avancé sur plein de points, il y a plein de triggers qui sont ressortis et du coup j'ai dû travailler sur plein de parties de moi. Je pense que c'est pareil pour vous parce que c'est la période qui veut ça. J'ai reçu un message sur Instagram d'une personne qui s'appelle Johanna, coucou Johanna, qui m'a dit Hello, comment fais-tu pour être aussi rayonnante ? L'amour, le sport, les amis ou une philosophie, mais laquelle ? Tu es rayonnante, on kiffe. Et je me disais que c'était important que je réponde de manière générale, parce que c'est pas la première personne qui me dit ça, mais souvent c'est des nouvelles personnes qui me suivent, donc ils ont pas le background, ils voient juste quelqu'un qui rigole tout le temps, et du coup ils se disent, bon bah toute ma life en fait je suis comme ça. Aux personnes qui pensent la même chose que Johanna, sachez que ce n'est pas toujours comme ça. Je pense que ceux qui écoutent le podcast, vous me connaissez déjà, donc vous savez que ce n'est pas le cas. Mais c'est vrai que je suis plus de nature optimiste que pessimiste. Je me suis dit que j'en ferais un épisode parce qu'il y a plein de choses à dire autour de cette question. Je pense que, déjà de 1, arrêtez de croire que ce que vous voyez sur les réseaux sociaux. Il y a des gens qui ont des batailles en silence. et qui ne vous le montrent pas. Mais la chose que je voulais dire, c'est que ça fait quand même un certain temps, plusieurs années, que j'ai un autre fonctionnement. Je vous en ai déjà parlé dans l'épisode sur la victimisation, mais j'ai arrêté de subir les choses de la vie en me disant « mais pourquoi ça m'arrive à moi ? » Et ça, déjà, ça a été un gros déclic dans tout ce que j'ai fait dans ma vie. Parce que du coup, quand il t'arrive quelque chose, Le fait de ne pas se flageller ou de dire « ah mais c'est moi la miskine dans l'histoire » , ça change tout. Ça veut dire que déjà tu prends les devants, tu prends tes responsabilités et tu cherches à résoudre le problème si tu peux le résoudre. Vraiment, le fait de ne pas se lamenter sur son sort, c'est une libération. C'est quelque chose qui m'a beaucoup aidée. Là, pour ceux qui ont suivi, en septembre, j'étais en conflit avec un client qui ne veut pas payer une facture. parce que la personne a annulé en last minute et du coup, ça m'a mis dans une situation inconfortable parce que j'aurais pu mettre un autre client à ce moment-là sachant que c'était ma haute saison. Et du coup, j'étais quand même en colère parce qu'elle m'a fait passer pour une personne qui ne savait pas gérer. Elle m'a dit « Oui, tu n'avais qu'à me faire signer un truc. Moi, je ne vois pas de quoi tu parles. » Bref, vous avez suivi l'histoire. Et auparavant... Je me serais vraiment mis dans un état où je me victimise. En mode, putain, ça me fait chier, parce que voilà, tatati, tatata. Mais en fait, il m'est arrivé ça. Et le premier truc que je me suis dit, c'est, j'ai merdé, parce que j'ai pas su protéger mon travail. C'est de ma faute, en fait. Enfin, c'est en partie de ma faute. Après, le fait qu'elle soit malhonnête, c'est de sa faute, tu vois. Mais factuellement parlant, je suis responsable, tu vois. Même s'il y en a plein qui m'ont dit que légalement, je peux quand même porter plainte contre elle, parce qu'on a des échanges de mail, etc. Mais voilà, je me suis dit, j'ai fauté. Alors qu'il y a trois ans, je ne me serais jamais remise en question. J'aurais pété les plombs, cette histoire, j'aurais encore eu le seum aujourd'hui. Donc de cette histoire, ce qui s'est passé, c'est que j'ai refait tout mon site internet de manière claire, lisible. propre, j'ai mis à jour mes conditions générales de vente de manière claire, correcte tout est carré et j'ai tout remis et les conditions générales de vente, avant elles étaient en tout petit en bas de mon site internet, maintenant elles sont en Ausha droite en gros, donc tu vois en fait et maintenant j'ai tous les documents donc à chaque fois qu'on me fait une demande, j'envoie les conditions générales de vente et toutes les informations complémentaires dans l'email comme ça en fait je me protège ... Donc, de cette histoire où, entre guillemets, on me l'a mise à l'envers, j'en ai tiré des leçons. Et en fait, c'est ça que vous devez faire à chaque fois que vous rencontrez une situation où vous sentez que vous êtes, entre guillemets, victime. Ok, je suis victime, mais qu'est-ce que je peux faire de cette situation ? Où est ma part de responsabilité ? Comment est-ce que je peux m'en sortir ? Donc, voilà, cette histoire, elle est passée derrière moi. Voilà, je pense qu'elle ne paiera jamais cette facture. Tant pis, mais pour les prochains, je ne me ferai pas avoir. Autre point, si on peut rester dans le business, cet épisode, je vais aller dans tous les sens parce que je n'ai pas beaucoup de temps pour vous parler, mais je vais vous dire un peu toutes les réalisations que j'ai faites ces derniers temps. Et du coup, je voulais dire quoi ? Attendez, j'ai dit le plan professionnel. Ouais, voilà. Sur le plan professionnel, je vous avais dit en story Instagram, si tu veux réussir dans un business, tu ne dois pas mettre d'émotionnel dedans. Il y en a peut-être qui ne seront pas d'accord avec moi. Mais je pense sincèrement que le fait de mettre trop de compassion, trop de laxisme, trop d'émotionnel et de sentimental dans un business, ça fait qu'il n'avance pas. Ou en fait, ça fait comme si tu mettais des trous dans un sac d'argent. Et en fait, du coup, l'argent fuit, tu vois. Et ça, j'en suis convaincue. Là, ça fait quatre ans que maintenant, j'ai mon business. Quatre ans que c'est quelque chose qui est récurrent. à chaque fois que je vais mettre du sentimental. Ah non, mais vas-y, c'est parce que je la connais. Ah, mais parce que tu vois, sa situation, elle est compliquée. Tu vois, dès que je commence à travailler comme ça dans mon cerveau, tu peux être sûr qu'à la fin, je n'ai pas de bénéf. Tu vois, où il se passe quelque chose, une couille dans le pâté, comme on dit, qui fait que ça me plombe, en fait. Ça ne me met pas à un next level. Donc, quand j'ai compris ça, j'ai commencé à fermer l'entonnoir. Tu vois, j'ai vraiment resserré, comment dire ? J'ai vraiment refermé les vannes et à chaque fois, les rares fois où j'ai rouvert un peu les vannes, je me suis faite niquer. Tu vois ce que je veux dire ? Donc après, je sais que moi dans le business, j'ai une très forte blessure de trahison. Donc je vais vouloir tout contrôler, je vais vouloir ne pas laisser l'autre avoir une grosse marge de manœuvre. Je vais vouloir garder en fait mon truc à moi, tu vois. C'est vraiment... Mon travail, c'est ma créativité. Je n'ai pas envie de la partager avec quelqu'un d'autre. Par exemple, je ne me vois jamais m'associer avec quelqu'un parce que je ne vois pas l'intérêt. Parce que dans ma tête, je peux tout faire toute seule. Là, à l'heure où je vous parle, je ne me vois toujours pas m'associer avec quelqu'un. Quand je parle de mon business, tout ce que je fais, par exemple, le podcast, les retraites, etc., je ne me vois pas... être en duo avec quelqu'un, pour l'instant, tu vois. Parce que j'ai pas envie de me faire avoir, j'ai pas envie qu'on profite de moi, et j'ai pas envie qu'on m'utilise. Donc c'est pour ça aussi que je refuse quand même beaucoup de collaborations, et il y en a qui vont se reconnaître en écoutant l'épisode, parce que j'ai pas envie, tu vois. Pour moi, c'est encore une zone inconfortable, et j'ai pas encore réglé le problème par rapport à ça. Donc, je prends mon temps. jamais m'assouplir à ce niveau-là. C'est juste que pour le moment, je pense que j'ai encore beaucoup de travail à faire sur moi pour ouvrir un peu plus mon champ énergétique, on va dire. Donc vraiment là, ce mois de septembre et mois d'octobre, je suis en introspection profonde, beaucoup plus qu'en début d'année 2025. Là, c'est vraiment comme si je plongeais dans le fond du fond. et que j'essaye de tirer les derniers enseignements que je peux tirer de cette année 9. Autre chose pour reprendre la question principale qui est comment est-ce que tu fais pour rester toujours aussi rayonnante ? Je pense que j'essaye de ne pas me mentir à moi-même. La plupart du temps, même si on me fait des remarques, des réflexions qui ont pour but de me faire évoluer, au début ça me pique à mort, ça peut me trigger de ouf, mais le message qu'on m'a donné Je réfléchis quand même, tu vois, et je me dis « Ok » . Mais ce fonctionnement, je l'ai que avec mes proches. Si t'es quelqu'un que je connais pas, qui va m'attaquer personnellement, je m'en tape un rein, en fait. Mais tu vois, si par exemple Val me dit quelque chose, ma mère me dit quelque chose, bah, ok, sur le coup, ça m'énerve, mais je vais quand même réfléchir. Du coup, je pense le fait de ne pas se mentir à soi-même, ou au moins possible, parce qu'on se ment quand même à nous-mêmes, ça aide énormément à... Je sais pas, ça décape des couches d'ego. Sincèrement, je pense qu'on doit quand même réfléchir à ce que nos proches disent de nous. Je pense pas que la vie soit si anodine et qu'on ne doive pas réfléchir à comme on est, etc. Tu vois, les gens, en général, on a tendance à dire « Ouais, ça c'est mon trait de caractère et c'est comme ça. » « Ouais, je suis comme ci et c'est comme ça. » Mais je suis pas d'accord avec ça. Parce que le fait d'affirmer un trait de personnalité, par exemple quand je disais avant « Ouais, je suis tout le temps en colère » et alors c'est comme ça. En fait, ça m'empêche de travailler dessus. Ça veut dire que dans ma tête, je me dis, en fait, oui. Je suis une meuf en colère, je suis comme ci, comme ça, donc c'est comme ça, les gens ils n'ont qu'à composer avec. Mais en fait non, c'est pas comme ça que ça fonctionne. Déjà, comprendre d'où vient ce trait de caractère, avant qu'il ne te possède, tu vois. Parce que moi au bout d'un moment ça m'a complètement possédé. J'étais incapable de discuter avec quelqu'un sur un sujet qui me tient à cœur sans que je m'énerve, c'était pas possible. Genre il fallait que je fasse entendre à l'autre ce que j'avais à dire. Et genre vraiment c'était des états... extrême d'énervement. Clairement, j'écoutais plus du tout ce que tu disais, et si tu m'écoutais pas, vraiment, c'était pas possible. Déjà, arrêter de se répéter, je suis comme ci, et alors ? Je suis comme ci, et puis c'est comme ça. Je suis comme ci, et tatata. Je pense qu'on doit travailler sur ces points-là, que les gens remarquent de manière extrême, sans forcément se façonner aux autres, mais comprendre que c'est aussi un message. Ok, je suis tout le temps en colère, mais ça vient d'où ? Pourquoi ? Pourquoi en fait, qu'est-ce que ça vient activer chez moi ? Moi quand je m'énerve dans une discussion, c'est parce que je sens que l'autre en fait il m'écoute pas. Donc en fait, ça part du sentiment de ne pas être entendu, de ne pas être considéré. Et en fait, tu vas, tu dénoues, tu dénoues, tu dénoues, tu vas de plus en plus profond et là tu dis ok. Et là dans ta tête, t'essayes de régler le problème en te disant ok je me sens pas entendu, mais ça c'est ma blessure qui parle. Peut-être qu'il m'a écouté. Peut-être qu'il m'a entendu, mais moi aussi, je dois l'écouter et je dois entendre ce qu'il a à dire. On n'est pas obligé d'être du même avis. Et tu essayes de rééquilibrer. Parce que sinon, tu vis vraiment constamment dans un état de victimisation en te disant que les autres sont tous des bâtards et que toi, t'es le meilleur. Mais ce n'est pas comme ça qu'on fonctionne. Sinon, on serait des animaux. Donc c'est vrai qu'avant, j'avais beaucoup plus de confrontations que maintenant. Et je ne dis pas que j'ai changé d'avis par rapport à certains sujets. Il y a des sujets sur lesquels j'ai vraiment des idées fixes. C'est mes propres croyances. Et je ne vais pas déroger à ça. Par contre, je ne vais pas me confronter à toi sur ce sujet-là parce que je sais qu'en fait, on ne sera pas d'accord. Et ça ne sert à rien. Tu vas essayer de me laver le cerveau. Je vais essayer de te laver le cerveau. Et c'est stérile. Ça ne sert à rien. Donc, je n'aborde presque plus les sujets clivants et les sujets où je ne suis pas d'accord avec les gens. parce que ça mène à rien et je passe juste pour une extrémiste ou une radicale ou j'en sais rien. Donc voilà, ça c'est une tranquillité d'esprit depuis un petit moment. Ensuite, pour répondre à Johanna et sa question, pourquoi est-ce que j'ai l'air rayonnante ? Je pense que oui, parfois je suis rayonnante, mais pourquoi ? Parce que j'essaye de prendre les choses avec plus de légèreté. Je visualise sincèrement la vie. comme un jeu vidéo, comme une simulation. Vraiment, je ne vois pas autrement que comme ça. Et dès qu'il m'arrive quelque chose de dramatique, genre au bout d'aller pas longtemps, j'essaie de me rappeler, c'est une simulation, calme-toi, arrête de prendre les choses trop à cœur, parce que voilà, tu sais, j'essaie de sortir de mon rôle, je me vois de l'extérieur et je me dis, c'est qu'un jeu, tu as déjà vécu des situations... bancale, dramatique, compliquée, et à chaque fois c'est revenu dans l'ordre, et à chaque fois tu t'es rendu compte que cette situation n'est pas arrivée pour rien. Cette situation est venue t'apprendre quelque chose. Donc maintenant, à chaque fois qu'il m'arrive un truc vraiment chiant, je prends du recul très rapidement. Alors que vraiment avant, le truc pouvait durer très longtemps dans ma tête, me provoquer de l'anxiété, impossible de dormir, etc. Donc rappelez-vous que la vie est une simulation. et que n'importe quoi que tu feras, tu passeras par les checkpoints que Dieu a réservés pour toi. Et c'est comme ça, tu vois. Mais tu peux toujours moduler. En fait, c'est ça que je vous ai expliqué dans l'épisode sur l'astrologie. C'est qu'on a une destinée, mais on a un libre arbitre. La destinée, c'est vraiment que tu vas être impacté par certaines énergies, tu vas passer par des checkpoints. Ça peut être la maladie, un deuil. des choses graves, mais ton libre-arbitre, c'est comment tu décides de prendre la situation, comment tu décides de rebondir face à cette expérience. Parce que tu peux vivre des choses graves, mais c'est vraiment la manière dont tu vas prendre la chose qui va déterminer le reste. Et ça, c'est très important. Donc, je me le répète tout le temps, c'est comme ma colonne vertébrale. La vie est une simulation. Tu vas passer par des étapes, mais c'est pour évoluer. Je le vois comme... Au début, tu es au level 0. Enfin, zéro, non, parce que voilà, peut-être que dans des vies passées, tu avais atteint un certain level, mais là, dans cette incarnation, tu es au level zéro, ok ? Et donc, step by step, en fonction des expériences, tu vas passer des étapes, passer, passer, passer. Et le but de ta vie, c'est de finir avec le maximum de points possibles, ok ? Donc, rappelle-toi à chaque fois qu'il t'arrive quelque chose ou qu'il y a quelqu'un qui t'énerve, tu as envie de l'étriper, ok ? C'est une simulation, cette personne reflète juste des parts de moi. Peut-être que je n'accepte pas, peut-être que c'est juste un bâtard et que j'ai juste pas envie d'être son pote, mais essaye de comprendre le message derrière cet événement, derrière cette expérience. Voilà, donc légèreté. Ensuite, autre chose, je pense que le fait d'avoir un entourage qui m'aime, ça aide beaucoup. Moi, j'ai des copines que je kiffe, qui me kiffent, j'espère, et le fait de pouvoir parler de sujets profonds avec ces personnes, En fait, pour moi, c'est une bénédiction. Donc, je ne peux qu'être heureuse d'avoir des personnes comme ça autour de moi. Et il y a même certains d'entre vous sur Instagram, avec qui j'ai beaucoup de discussions très profondes. Je me dis, c'est un truc de ouf. On n'est pas juste en train de parler d'une recette de gratin de blette, tu vois. On parle vraiment de choses profondes. Et je vois que ça aide, tu vois. C'est vraiment un miroir entre vous et moi. Parce que moi aussi, vos histoires font écho avec moi. Et le fait que j'ai ma mère, of course, je n'ai même pas envie d'imaginer quelque chose de grave par rapport à ça. Mais le fait que j'ai ma mère avec moi, ça vaut tout l'or du monde. On peut me retirer ce que vous voulez, mais ma mère, je ne peux pas. Donc elle, c'est un petit peu mon phare. Et je pense que je suis son phare. Désolée à mes sœurs qui m'écoutent, mais je pense que je suis le phare de maman. Donc voilà, il y a ça aussi. Ensuite, il y a tous les sujets auxquels je m'intéresse. Vous avez vu que je vous parlais d'astrologie védique. La formation que je suis par rapport à ça est super intéressante. En 2026, j'ai une autre formation, toujours par rapport à ça, j'ai trop trop hâte. Déjà ça, tu vois, c'est un leitmotiv. Ça me motive à faire quelque chose. C'est un fil conducteur. Ça me parle de ouf. Je vois que c'est... Tu vois, genre, tous ces trucs-là, en fait, ça me stimule. Je sais que c'est quelque chose que je dois faire. Il y en a plein avec qui tu parles, ils sont incapables de te répondre à quelle est ta passion ou quelles sont tes passions. Et ça, c'est très problématique. Genre, je trouve que c'est grave. C'est grave parce que, pour moi, une passion, quelque chose dans lequel tu peux passer des heures à t'intéresser, etc. Ça peut être de l'art, ça peut être de l'histoire, la musique, enfin j'en sais rien. Je sais que depuis des années que je suis au lycée, etc., j'aimais trop aller à la bibliothèque du lycée et j'aimais bien lire des livres. J'adorais emprunter des livres sur la philosophie. Et à cette époque, je traînais avec une fille et elle aussi était passionnée par les lectures un peu philosophiques. Mais on était très jeunes, tu vois. à ce moment-là, quand j'étais au lycée. et que je m'intéressais à ces ouvrages philosophiques, etc., j'étais vraiment dans une remise en question de la religion. C'est vraiment... J'avais 15-16 ans et je n'étais pas d'accord, tu vois. Je ne voulais pas qu'on m'impose quelque chose. J'étais vraiment le mouton noir. Donc tout ce qui était hors religion et hors dogmatique en général m'intéressait. Et vraiment, j'ai toujours été intéressée par les trucs paranormaux, et les trucs un peu cachés, les choses comme ça. Vraiment, c'est à l'âge de 17 ans où j'ai eu l'éveil, le premier éveil pour moi. Parce que c'est vraiment à cet âge-là que j'ai commencé à me renseigner sur les réseaux pédocriminels, les mensonges d'État, les choses comme ça. Certains vont dire que c'est des recherches complotistes. Je pense qu'au bout d'un moment, en 2025, tout est vérifiable. Donc, je n'ai même pas envie de débattre là-dessus. Mais faites vos recherches. Il faut se demander au bout d'un moment pourquoi les affaires de pédophilie n'aboutissent jamais. Pourquoi à chaque fois les gens sont relaxés ? Pourquoi à chaque fois on ne croit pas les enfants ? Pourquoi Nanani ? Bref, on a un gouvernement de pédos, je suis désolée, et il faut se renseigner sur ces réseaux parce que c'est comme ça, ça existe et c'est réel. Donc dès l'âge de 17 ans, c'est des sujets qui me passionnaient. Je lisais énormément sur ça et c'est à partir de là que j'ai commencé à comprendre ce qu'était le discernement. Je vous en ai parlé aussi dans l'épisode sur les gourous, les influenceurs et le pouvoir. Et il faut se poser des questions. Il faut se poser des questions. C'est pas parce que quelqu'un est en blouse blanche ou en costard cravate qu'il a plus de crédibilité qu'un vieillard qui est sage, qui donne des cours en dessous des arbres en Grèce. Là, je me suis écartée du sujet et je ne sais plus pourquoi je vous ai raconté ça. Je ne sais pas pourquoi je vous ai dit ça, mais... En tout cas, si je peux faire un lien. Le fait de te renseigner un peu sur la réalité des choses fait que tu vas plus facilement t'émanciper des autorités extérieures. Et quand je dis autorités extérieures, là je parle plus des gouvernements, etc. Ça veut dire que vraiment tu vas être plus dans tes baskets. Parce qu'en fait, ça ne va pas t'impacter ce qu'eux décident, tu vois. Eux, ils décident, mais si tu décides de ne pas jouer leur jeu, tu ne joues pas leur jeu, tu ne fais pas partie du game. Je vous ferai un jour un épisode sur mon évolution aussi par rapport, entre guillemets, au complotisme, parce que je ne considère pas du tout que je suis complotiste, juste que je me pose des questions. Mais il y a eu aussi une grosse évolution par rapport à ça, parce que je suis passée par plein d'états d'âme, mais aujourd'hui, ce n'est plus quelque chose qui nourrit mon cerveau en permanence. Alors qu'à un moment donné, c'était devenu... Vous savez quoi, en fait, je ne vais pas vous en faire un épisode, je vais vous en parler maintenant. Vu que nous sommes dans un épisode qui ne veut rien dire, quand j'ai eu 17 ans, c'est là où j'ai commencé à me renseigner sur tous ces sujets-là. C'est un peu glauque au début, parce que tu rentres vraiment dans un truc wesh. On est dirigé par des malades mentaux, par des fous qui savent très bien ce qu'ils font et qui profitent de nous. Pendant des années, j'ai vécu en me renseignant, parce que quand je vous dis que je me renseignais, c'était que vraiment je... Je pouvais passer des heures et des heures. Le problème, c'est qu'au bout d'un moment, à force de te nourrir d'informations glauques, négatives, dark, ça impacte aussi ton mode de fonctionnement. Ça veut dire que quand j'étais à l'université, parce qu'à ce moment-là, j'étais à l'université, je me disais toujours dans ma tête, ok, là, je suis en train de faire un master, cool, je suis en train d'étudier, mais pourquoi faire ? Parce que de toute façon, notre destin, il est entre les mains des élites, tu vois. Je me remettais tout ça entre les mains des élites. Je me disais, ouais, de toute façon, tout est plafonné. Même, tu vois, si genre t'es passionné par la politique, t'as envie d'être homme politique. Pour moi, je me disais, mais en fait, tu peux pas. Parce que de toute façon, ils tiennent les ficelles d'absolument tout. Donc, tu peux rien faire. Donc, en fait, vraiment, j'avais délégué mon autorité intérieure à toutes ces recherches. Parce que ces recherches étaient en train de driver mon état émotionnel et la manière dont je visualisais l'avenir. donc À ce moment-là, je me disais non. Déjà, je ne veux pas d'enfant. Déjà, à l'époque, je vous ai dit que je ne voulais pas d'enfant. Mais je disais oui, je ne veux pas d'enfant parce que je n'ai pas envie qu'on lui mette des vaccins. Je suis toujours d'accord avec cette idée, d'ailleurs. Je ne veux pas qu'il apprenne des trucs bizarres à l'école. Je suis toujours d'accord avec cette idée. Mais tu vois, pour moi, le moteur de ma vie à ce moment-là, à cette époque, c'était vraiment la peur qu'on me contrôle, qu'eux me contrôlent. et qu'eux décident pour moi, tu vois. Et jusqu'à la période Covid, où là, c'était le pic de ma colère et de toutes ces choses-là, où vraiment, je me suis dit, mais putain, il faut que les gens se réveillent, on se fout de notre gueule, tatatitatata. Quand il y a eu ce pic, qui a duré une bonne année, voire deux ans, j'ai eu un gros moment de silence dans mon âme. Et je me suis dit, attends, est-ce que sincèrement, tu vas passer... ta vie, à lutter contre un système, ou est-ce que tu veux créer ta vie pour quelque chose de positif ? Genre vraiment, ça m'a beaucoup travaillé. Le fait que ça m'ait travaillé, c'est aussi que j'étais en couple avec Val à ce moment-là, et en fait, lui, c'est pas du tout sa lutte. C'était pas sa lutte. Lui, ok, il comprend ce que je dis, mais en fait, il comprend pas pourquoi ça me rend tellement ouf. Il dit en fait... Donc à chaque fois qu'on va sortir de la maison et que tu vas voir que dans le ciel, il y a des nuages toxiques, ça va te rendre ouf. À chaque fois, en fait, ça va te niquer tes journées. Et à force, à force, à force, je me suis dit mais il a raison. En fait, je ne peux pas constamment être impactée par des choses que je ne maîtrise pas. Je ne maîtrise pas ça. Je ne maîtrise pas les hommes politiques. Je ne maîtrise pas ce qu'ils font entre leurs quatre murs. Par contre, ce que je peux maîtriser, c'est ma réaction. C'est comment moi je drive ma vie. Ok, ils veulent nous intoxiquer, j'achète un filtre à 600 balles pour ne pas boire de l'eau intoxiquée. Ok, ils veulent nous intoxiquer avec ci, ça, ça, ok. Le but, c'est que moi, quand je fais mes courses, je les fais en conscience, j'achète au maximum de choses clean, et voilà. Et en fait, j'ai repris contrôle de ma vie en me disant je vais prendre des décisions uniquement sur les domaines où j'ai le contrôle, voilà. Et du coup, ça a tout changé. Donc avant, je n'étais pas du tout comme vous me voyez aujourd'hui. J'étais beaucoup plus dans la lutte et dans le combat. Aujourd'hui, non. En fait, ils font bien ce qu'ils veulent là-haut. J'en ai rien à foutre, moi. Je vis pour Dieu. C'est Dieu qui m'a mise sur terre. Eux, ils ont un plan machiavélique. J'en ai rien à foutre. Mais moi, qu'est-ce que je peux faire dans mon quotidien qui fait que je crée une barrière contre ça ? En fait, juste prenez vos mesures dans votre vie. Ne soyez pas victime de ce qu'on vous impose. Ne soyez pas victime de ce qu'on essaye de vous faire manger, consommer. Et la consommation, ce n'est pas que la nourriture, c'est aussi les informations. À partir du moment où tu éteins ta télé, ton cerveau, c'est chill. Moi, depuis que j'ai l'âge de 17 ans, je vous promets que je ne regarde pas les informations. Depuis cet âge-là, où j'ai compris que les médias, ils sont tous entre eux, financés par un tel, tel, tel, et en fait que tout ça, c'est qu'une mascarade, je ne regarde pas la télé. Pourquoi je vais donner du crédit à BFM ou TF1 ? À quel moment ? Les seuls moments où je regardais la télé, je me souviens, c'était mardi soir, quand il y avait Doctor House. Et c'était le seul moment où je regardais la télé. Et même Netflix ou les séries, je les compte sur les doigts de la main, les séries que j'ai regardées dans ma vie. Pour moi, c'est vraiment... Je le visualise comme une perte de temps. Je suis désolée pour les personnes qui regardent des séries, mais moi, j'arrive pas, en fait. J'arrive pas à comprendre comment on peut passer des heures, des heures, des heures. Et encore, l'année suivante, tu refais encore la même série. Mais pourquoi faire ? On dirait qu'on a un temps illimité sur Terre. Est-ce que t'as pas autre chose à faire ? Sérieusement ? Tu peux pas t'instruire sur d'autres sujets. Donc moi je le dis, le temps il est compté sur Terre. Je pense que Dieu t'a mis sur Terre pour une mission. Donc l'abrutissement et genre le loisir et le divertissement, ça doit pas être le 80% de ton temps. Il y en a qui vont me dire, oui mais tu vois quand je rentre du travail je suis fatiguée, j'ai besoin de me distraire. Ouais, je comprends. Mais à côté de ça... Ok, tu peux te distraire, mais est-ce que tu as des moments où c'est de l'intellect ? Et je ne parle pas de intellect mainstream. Et je ne parle vraiment pas des choses intellect qu'on vous impose aussi. Je pense qu'il faut creuser au-delà des apparences et vraiment derrière la porte. Parce qu'il y a d'autres choses qui s'y cachent. Il y a d'autres informations ultra intéressantes, d'autres choses qu'on nous cache volontairement. Parce que si on nous les montrait, on aurait pleinement pouvoir de nous-mêmes, tu vois. Mais voilà, on veut nous asservir. Donc, On vous présente de la télé-réalité, des trucs débiles. Vas-y, qu'on regarde des reportages à la con sur des sujets bateaux. Tu vois ce que je veux dire ? Tu sais, les titres... Je ne sais pas comment dire. Tu sais, il y a des titres sur M6 à l'époque, genre les gendarmes dans le sud de la France. Tu vois les trucs comme ça ? Qu'est-ce qu'on s'en bat les steaks, en fait ? Genre, va t'intéresser à un sujet qui va nourrir ton âme, qui va faire que tu vas évoluer, que tu vas avoir des nouvelles clés de compréhension. Qu'est-ce que t'en as à faire du taux de délinquentisme dans le sud de la France ? Qu'est-ce que t'en as à faire ? À part alimenter des clichés, alimenter la peur, alimenter je sais pas quoi. Tu vois ce que je veux dire ? Donc moi, à partir du moment où j'ai changé tout ça, je me suis sentie plus responsable de moi-même. Je suis pas l'enfant de la société, pas du tout. Pour moi, j'estime être enfant de Dieu, déjà. Mais voilà, de toute façon, t'as juste à voir comment les gouvernements infantilisent les populations. T'as juste à voir comment ils nous parlent. Genre, on te donne des directives qui n'ont ni queue ni tête, et toi t'es là, d'accord, parce qu'en fait, tu vois, c'est Olivier Véran, il a dit qu'en fait, t'en pouvais pas être debout dans un café, parce que sinon, elle était malade. Tu vois, ce genre de truc. Où était passé le discernement des gens ? Où était passé le cerveau des gens ? Je comprends pas, en fait. Je comprends pas comment on a pu faire gober des choses aussi grosses. Genre, what the fuck, putain ! Là, c'est mardi. Vous m'entendez quand c'est mardi. Je suis vraiment intense et agacée. Donc vraiment, là, c'était plus possible. Là, ça, c'était pas possible. Donc, maintenant, moi, ma responsabilité, déjà, de un, j'arrête de confronter les gens sur ça. Voilà, là, j'en fais un épisode. Ceux qui ont envie d'écouter, ils écoutent. Je cherche pas à vous convaincre. Réfléchissez par vous-même. Est-ce que vous trouvez une logique aux directives qu'ils nous ont données pendant cette période ? La période Covid. Est-ce que sincèrement, les gars, il y a une logique dans tout ça ? Je ne crois pas. On a quand même réussi à faire croire aux gens qu'ils devaient se faire piquer pour protéger les gens qui étaient piqués, qui étaient censés être protégés. Vous vous rendez compte ou pas ? Cette logique. Moi j'arrive toujours pas à m'y faire qu'on a vécu cette période de notre vie. Moi là, si je raconte à mes enfants, tu sais, il s'est passé ça, c'est une dinguerie. Est-ce que tu te rends compte ou pas ? Donc c'est bref. Toujours se poser la question, on m'impose quelque chose ? Mais moi, est-ce que ça vibre avec moi au plus profond de moi ? Est-ce que je trouve que c'est logique ou pas ? Si oui, ok. Si non, non. Oh, on est libre ou on n'est pas libre ? Oh, on a le free will ou pas ? Pour en revenir à ce que je vous disais, donc avant j'étais dans une lutte par rapport à tout ça, aujourd'hui ce n'est plus le cas. J'ai pris les mesures que je devais prendre dans mon quotidien à moi, le fait que j'assainisse un peu ma vie. que je rende les choses plus brutes, plus naturelles. Et ça, c'était ma revanche, en fait. Ça sera toujours ta revanche. Le comment, toi, tu gères ta vie. Qu'est-ce que tu manges ? Ton frigo, il est rempli de quoi ? Est-ce qu'il est rempli de choses toxiques ? Est-ce que c'est ultra transformé ? Ou est-ce que tu aggraves des légumes, tu as des choses brutes ? Ça, c'est le premier impact que vous avez sur vous-même. C'est ce que vous allez consommer, ingérer. Parce que ça, ça va driver tout le reste. Si ton alimentation est composée seulement de choses qui ne proviennent pas de la terre, excuse-moi, mais au bout d'un moment, tu vas déjà le ressentir, parce que ça va vraiment atrophier ton cerveau, tu seras incapable de prendre des décisions, parce que l'alimentation joue énormément sur la motivation, sur comment tu réfléchis, est-ce que tu as le courage de faire ci, de faire ça. Moi, si j'enchaîne deux jours à manger de la merde, déjà de 1, ma peau, je le vois sur ma peau, Et de deux, j'ai envie de rien faire. Ça me met dans un état de léthargie. Donc imaginez quelqu'un, son mode de vie, c'est que de la junk food. Tu ne peux pas te plaindre derrière en disant « Je n'arrive pas à savoir quelle est ma passion dans la vie alors que tu manges de la mayonnaise tous les jours. » J'adore la mayonnaise, mais je n'en mange pas tous les jours parce que je sais très bien que je sais ce qui se passe. Donc on n'est plus à une ère d'ignorance. Ce n'est pas possible. Aujourd'hui, tu ne peux pas me dire euh Oui, mais tu vois, c'est parce que ça me fait plaisir. Ouais, ok, ça te fait plaisir. Mais elle, où ta discipline ? Elle est où ? Je me parle à moi-même. En hiver, je suis la meuf la moins disciplinée. Je n'arrive pas à bouger. Ça me saoule. Ça me saoule de devoir me dire, je vais prendre mes baskets et je vais respirer l'air glacial de Genève. Et que genre, mon nez, il va me piquer. Ça me rend ouf. Mais je suis obligée de le faire. Je vais être obligée, là, avec tout ce que... Tout ce que je fais maintenant, je vais être obligée de le faire. Et si je ne le fais pas, c'est vraiment, je trahis ma propre personne. Je trahis ce que j'ai de plus cher. Et là, je ne parle vraiment pas que de sport, je ne parle vraiment pas que de tout ça. C'est vraiment les choix que vous faites. En vrai, c'est pour vous dire, en vrai de vrai, ce que je dis, c'est que la vie, c'est que des choix. Ok ? Tu as le choix en fait. Tu as le choix d'aller mieux ou tu as le choix de te laisser couler. T'as le choix d'allumer ta télé ou t'as le choix de prendre une autre décision. T'as le choix, t'as toujours le choix. Par contre, si tu fais les choix que tu décides de faire, plus dans le sens négatif, bah faudra pas venir te plaindre et faudra pas venir jacter sur les autres. Ah mais tu vois, elle, regarde, je la vois, elle est partie, elle voyage, ouais, elle a réussi à s'installer à tel endroit, putain, ça fait vraiment chier. Tu vois, tu peux pas rager sur la vie des autres qui ont décidé de faire des choix. Tu peux pas en fait. Et j'ai déjà entendu ce discours dans mon entourage, des personnes que je connais, qui vont vraiment rager sur le destin de quelqu'un d'autre. De un, ton destin, il est propre à toi. De deux, cette personne a fait des choix. Cette personne, en backstage, avant que tu ne vois que le résultat, elle a dû prendre des choix, inconfortables, sûrement, très sûrement. Parce qu'on n'a rien sans rien. Donc, à part ceux qui sont nés avec une cuillère en or dans la bouche, Quand tu vois quelqu'un... qui a réussi, qui est successful, il a pris des choix. Et il a été alerte Ausha. Ça veut dire que quand Dieu lui a mis sur sa route des ultimatums, il a pris des décisions. Ok ? Donc, c'est vraiment ce truc-là que j'essaie de faire comprendre. Tu ne peux pas être inactif et passif et attendre que la vie t'apporte des choses. C'est pas possible. C'est impossible. Donc, oui, j'aborde la vie avec plus de légèreté. C'est vrai. Parce que je me dis toujours, quel que soit le choix que j'ai fait, même si, admettons, sur le court terme, c'était un mauvais choix, je n'estime pas qu'il y a de mauvais choix, j'estime juste que tu vas apprendre autre chose. Même dans la vie, quand j'ai fait des « mauvais choix » , je me suis toujours dit « ok, ce n'est pas grave, on continue, on avance, en fait, on ne va pas rester bloqué sur ce truc-là » . Et ce mindset-là, je l'ai depuis quelques temps. Donc c'est vrai que ça m'aide beaucoup, ça fluidifie l'énergie. Au lieu de se prendre un mur et c'est bon, je m'assois au pied du mur et je pleure et je pleure et vas-y j'attends et je sais pas quoi et je sais pas quoi. Et en plus, je me lamente sur mon sort et en plus j'insulte tout le monde parce que tu vois, c'est toujours de la faute des autres. Non, c'est pas de la faute des autres. Prends la leçon que tu as à apprendre à ce moment-là et keep going, avance. L'énergie du mardi, elle est particulière. Je ne veux pas du tout que vous pensiez que je suis en train de vous engueuler, mais c'est des choses qui me tiennent à cœur. C'est parce que je n'aime pas être témoin de gens qui vraiment se lamentent. Ça, ça me rend ouf, ça m'aspire toute mon énergie. Je me dis, mais ok, là, il y a tel domaine de ta vie, ça ne va pas, tel domaine, ça ne va pas, tel domaine, ça ne va pas. Mais est-ce que tu t'es posé avec toi-même pour te poser des questions ? Est-ce que t'as fait un replay sur toute l'année précédente en réfléchissant, ok, qu'est-ce qui s'est passé à ce moment-là ? Est-ce qu'à ce moment-là, peut-être que j'aurais dû prendre telle décision ? Peut-être que nanana, ok. Donc avec toutes ces informations-là, qu'est-ce que je fais aujourd'hui ? Maintenant, je vais mettre des choses en place, ok ? Moi, je ne veux pas entendre les discours des personnes qui n'ont rien mis en place. Si demain, tu me dis, ouais, ça ne va toujours pas alors que j'ai mis ça, ça, ça, ça, ça en place, que je fais ça, ça, ça, ok. Regardant ton thème astral, peut-être qu'astrologiquement parlant, il y a quelque chose. Mais tu vois que tu me dises, ouais en fait la vie ça me saoule, je suis blasée, tatatitatata, et que toute la journée tu Netflix, toute la journée tu manges des pâtes, toute la journée tu sais pas quoi. Non, moi je veux pas entendre ton message en fait. Je veux que tu bouges ton cul, je veux que tu mettes tes baskets, va marcher en forêt, sens ton téléphone et réfléchis, réfléchis. Je vous engueule pas, je vous promets que je vous engueule pas. Et là, c'est des mots que j'aurais aimé entendre il y a quelques années encore, quand je me lamentais sur mon sort et que je disais que c'est la faute des autres. Et ça, ça vous renvoie à l'épisode où j'ai parlé de la victimisation, mais là, j'étais plus énervée. Là, je trouve que je suis un peu moins énervée. Et du coup, je me suis un peu écartée de mon sujet. On va revenir à la question de base. Comment fais-tu pour être aussi rayonnante ? Donc, je vous ai dit que j'ai des proches que je kiffe et qui me soutiennent énormément. Donc ça, ça aide. Je vous ai dit que je m'étais émancipée de la vision du système, c'est-à-dire que les lois peuvent être votées, les ci, les ça. Moi, je n'ai pas confiance au gouvernement, je n'ai pas confiance à la politique. Nous sommes que des numéros pour eux. Ils tuent comme ils veulent. Vous n'êtes qu'un numéro pour eux. Vous n'êtes qu'un numéro pour eux. Essayez de vous en souvenir. Vivez votre vie en dehors de tout ça. Genre... Qu'est-ce qu'on s'en tape un rein ? Essayez de vivre détachés de ça. Parce que je vous promets qu'il y a d'autres choses à travailler sur vous. Ça, vous n'avez pas de contrôle là-dessus. On essaye de vous faire croire que vous avez du contrôle, on essaye de vous faire croire qu'on est en démocratie. Vous avez juste à voir ce qui se passe actuellement en Palestine pour vous rendre compte que vous n'avez aucun contrôle, que les Nations Unies et que tous ces bordels-là sont liés main dans la main, tous ensemble, et que tout ça, c'est... Voilà. Ils sont en train d'agir en fonction de ce qu'eux ont décidé. Qu'est-ce que tu fais dans ta vie aujourd'hui pour avoir un impact pour la Palestine ? Est-ce que ton mode de consommation a changé ? Est-ce que tu continues d'alimenter toutes les personnes qui alimentent ce génocide ? Est-ce que tu continues d'armer les militaires ? Parce que l'argent est une énergie, mais l'argent circule. À qui donnes-tu ton argent ? Là est la question. Parce que tu peux pleurer toute la journée pour toutes les personnes qui sont en train de mourir là-bas. Tu peux, mais qu'est-ce que tu fais dans ton quotidien ? Où est ta part d'action dans tout ça ? Là, cette histoire, ce génocide est devenu mondial. Donc tout le monde est au courant, on ne peut pas fermer les yeux là-dessus. Quand on vous a demandé de boycotter, bizarrement, toutes les marques qu'on vous demande de boycotter sont des marques globalement ultra transformées, bourrées de sucre, bourrées de trucs... À partir du moment où tu réfléchis à ton mode de consommation, si tu décides de consommer brut, légumes, fruits, pas trop transformés, normalement, tu n'alimentes pas ça. C'est vraiment là où je dis où est-ce que tu peux agir ? Ceux qui ne croient pas au boycott, vous n'avez rien compris. Mais pour moi, ce n'est même pas une question de boycott, c'est une question de mode de vie. Si tu respectes un mode de vie sain, techniquement, Tu ne finances pas de guerre, c'est pas possible. Voilà, je m'écarte un peu du sujet, mais vraiment le fait de prendre vos responsabilités, c'est une libération, c'est une liberté, c'est... vous n'êtes pas manipulable. Quand vous prenez vos responsabilités, vous n'êtes pas manipulable, je vous le répète. C'est... vous êtes maître de votre destin, et ça c'est un truc à se rappeler. Vous pouvez pas être victime de la société en général, vous pouvez pas être victime... de ce que pensent les autres. Vivez votre vie en fonction de ce que votre âme appelle à accomplir. Et là, il ne me reste pas beaucoup de temps pour vous parler. Mais si je dois clôturer cet épisode, je pense que le plus important pour moi, à mon sens, et comment je le vis, c'est Dieu. Si Dieu ne fait pas partie de tes équations, il n'y a rien de solide. Ce n'est pas possible. Je vous l'ai dit dans l'épisode sur les gourous. Si tu n'es pas relié à quelque chose de plus grand que toi, de plus grand que les hommes, les humains, les ci, les ça, ça va s'effondrer comme un château de sable, c'est tout. Château de cartes, château de sable. Mais si pour toi, Dieu est dans tes choix, alors là tu bâtis quelque chose de plus solide. Et c'est vraiment ma conclusion pour moi, le fait vraiment de toujours me rappeler, il y aura toujours Dieu avec moi, il y aura toujours Dieu pour assurer mes arrières dans tout ce que je fais. tant que je le fais avec le cœur, même si ça foire, je sais que Dieu me rendra le centuple. Je sais que je vais récupérer quelque chose derrière. Donc ça m'aide énormément. Et je pense que c'est ma boussole. C'est ma boussole, voilà. Ma boussole, ce n'est pas un humain. Ma boussole, ce n'est pas autre chose. Et plus tu vas te relier à cette boussole intérieure qui est Dieu, appelle-le comme tu veux, le Tout-Puissant. Bref, celui qui a drive tout cet empire cosmique. Si tu te relis à lui le plus souvent, je te promets que tu vas vraiment avoir une intuition beaucoup plus développée et tu vas vraiment comprendre là où il veut t'emmener. Parfois, tu vas être dans le flou. Comme là, j'ai traversé septembre, c'était un peu... Je marchais un peu sur des oeufs, mais j'avais la conviction que Dieu m'emmènerait quelque part. Donc... Là, c'est beaucoup plus clair qu'au mois de septembre. Et je sais encore plus vers où je vais. Donc, je suis trop contente. Je suis optimiste. Et ça, en fait, c'est priceless. Parce que naviguer dans cette vie sans savoir où tu vas, il n'y a rien de plus inconfortable. Vraiment, il n'y a rien de plus inconfortable. Et c'est cyclique. Tu vas repasser par des périodes où tu vas tout remettre en question. Et c'est normal. Et heureusement. Mais pour moi, le fait de tout remettre en question... ça permet de reconsidérer chaque croyance que tu as. Donc c'est indispensable. Bref, je pourrais faire un épisode complet là-dessus. Mais voilà, globalement, soyez bien entourés, connectez-vous à Dieu, à cette essence magique, énorme. Lâchez prise sur les choses sur lesquelles vous n'avez pas le contrôle. Tu n'as pas le contrôle, donc laisse ça derrière. Genre le fait de te dire, ok, je visualise cette chose chiante, je la mets dans un sac. Et je la donne à Dieu et je dis, s'il te plaît, fais-en quelque chose. Moi, je n'ai plus l'énergie, je ne peux pas. Voilà, vous faites comme ça à chaque fois. Visualisez un sac, bam, tu lui poses le sac. S'il te plaît, fais quelque chose avec ce sac. Et parfois, avec ce sac, il va te faire un truc de ouf. Et tu vas dire, mais c'est incroyable, c'est passionnant. Donc, essayez de ne pas forcer les gens à croire absolument à ce que vous vous croyez. Genre, c'est comme ça. Je pense qu'on y a autant de personnes que de prismes différents. vous pouvez... Exposez votre vision des choses, mais ne rentrez pas dans des débats. Et autre point sous-jacent, c'est vrai que depuis que je fais la routine cosmique védique, j'ai un fil conducteur et tout est plus simple. Mais ça, maintenant, je vous l'ai assez vendu. J'y reviendrai plus tard avec autre chose par rapport à cette routine cosmique parce que là, c'était juste une introduction. Mais il y aura plein de nouvelles choses par rapport à ça. Parce que j'ai vraiment envie de travailler avec cet outil. Je pense que j'ai tout dit. N'hésitez pas, si vous avez des questions, à m'écrire en DM Instagram. Bon, non, attends.

  • Speaker #1

    Salam alaikum les popillettes. Attends, j'ai bugué. Salam alaikum les popillettes. Comment ça va ?

  • Speaker #0

    Bon, du coup, j'ai Val avec moi qui va répondre à la question aussi. C'est une manière de clôturer l'épisode. Donc la question c'est, monsieur Pep's, qu'est-ce que t'as dans ta mallette magique, les conseils pour rayonner au plus possible, être optimiste au plus possible ? Voilà, c'est vraiment en réponse au message de Johanna.

  • Speaker #1

    Alors, un truc que je dis tout le temps à Ninou, quand elle est un peu down ou quoi, j'essaye de lui dire de toujours... voir le positif c'est à dire que dans chaque situation il ya du négatif mais dans chaque situation il ya du positif aussi et du coup essayer juste de se de feinter son cerveau en disant je sais pas moi il fait froid Mais se dire, ah bah tiens aujourd'hui il y a la bise, il fait froid, mais ça veut dire qu'il y a grand soleil, du coup c'est cool, il y a du soleil, au moins il ne pleut pas. Et toujours penser positif, je pense qu'à la fin de la journée on se sent mieux. Et après, je pense qu'une des choses, les petits conseils que tout le monde donne, bien manger, faire du sport, tout ça c'est important pour se sentir bien. Mais un que moi j'ai remarqué il y a quelques années, enfin il y a quoi, il y a 2-3 ans maintenant, sur lequel je travaille beaucoup, c'est le sommeil. Et vraiment, quand on dort bien, on passe une super journée. Quand on a l'habitude de bien dormir, on se rend compte que le jour où on a mal dormi, où on n'a pas assez dormi, par exemple, moi j'essaie de dormir 8h par nuit, mais imaginons des jours où si je ne dors que 6h, je me rends compte à quel point je ne suis pas bien quand je n'ai pas beaucoup dormi. Et il y a plein de choses derrière. Il y a des gens qui ont un comportement mauvais avec l'alimentation, ça, ça peut être réglé avec le sommeil. Parce que quand on est fatigué et qu'on s'ennuie, qu'on est un peu pas bien dans notre nu, la tête dans le brouillard, pas bien, la valeur refuge c'est la bouffe. Et moi je me rends compte quand je dors pas bien ou quand j'ai pas assez dormi, je mange beaucoup mais j'ai envie de trucs dégueulasses, de sucre et de junk food. Alors que les autres jours, franchement ça va. Donc le sommeil je pense que c'est vraiment un des gros gros gros piliers. à côté de la nutrition et de faire du sport et d'avoir un comme on dit une activité sociale en gros de sociabiliser avec des gens que ce soit des collègues ou que ce soit des gens à la salle de sport que ce soit votre femme ou vos enfants enfin c'est faut sociabiliser on n'est pas fait pour être tout seul à rien faire quoi et le sommeil donc voilà je sais pas si ça peut vous aider après c'est normal il ya aussi des jours on n'est pas bien et à tout qui nous saoule c'est pas grave, on peut faire avec. Maintenant, si c'est régulier, ou que ça dure toute la journée, ou bien que c'est tout le temps, là, il faut quand même se poser des questions, et essayer de changer sa perception du monde, ou changer des choses dans son quotidien. Et puis, si vous avez une croquette, comme notre croquette, elle apporte tellement de bonheur. Franchement, des fois, je rentre du boulot, j'ai la tête dans le cul, je suis pas bien, je suis fatigué, et juste de la voir contente de me voir, je me dis... Ce petit être, il est là toute la journée, il m'a attendu. Il pourrait se dire qu'il a une vie de merde parce que tout ce qu'il a envie de faire, c'est nous qui lui validons. C'est-à-dire qu'elle a envie de faire ses besoins, c'est nous qui lui donnons la possibilité de faire ses besoins en allant la promener. Elle a envie de manger, c'est nous qui ouvrons le frigo ou qui lui donnons à manger. Alors que nous, c'est pas pareil. Nous, on a faim, on va s'acheter à manger. On a envie d'aller aux toilettes, on va aux toilettes. Du coup, quand je la vois, elle, mais... toute contente, après une journée à m'avoir attendu toute la journée et que je la vois toute contente de me voir ça fait tellement du bien et du coup ça aussi ça participe au fait que j'ai pas beaucoup de moments de down après faut pas être une fragile comme Ninou elle

  • Speaker #0

    c'est vraiment une fragile déjà parle dans le micro ici comment ça je suis une fragile ?

  • Speaker #1

    bien sûr que t'es une fragile par rapport à quoi ? t'es une fragile C'est l'hiver, oh non ! Alors, on était encore au mois de septembre, qu'elle disait Ça va être l'hiver, on va se réveiller, il va faire nuit. Mais pourquoi tu penses déjà à ça ? Pourquoi t'es en train de, dans ton corps, d'envoyer des ondes négatives ? Alors que le truc, c'est dans trois mois qu'on se lève et qu'il fait nuit.

  • Speaker #0

    Écoute.

  • Speaker #1

    Donc, non, vraiment, il faut se dire Ah, c'est trop bien, on est en septembre, ça veut dire qu'il fait encore chaud, on va peut-être encore avoir un été indien. Ah bah tiens, on est en septembre, je peux quand même encore aller rouler en mettant un cuisse à recours. à toujours voir du positif, toujours, toujours, toujours penser positif. Il y a des fois où ce n'est pas possible, quand on est trop énervé, où vraiment il faut essayer de penser positif, mais il y a des moments où ça ne peut pas venir tout de suite. Mais à chaque fois, quelque chose qui ne va pas, réfléchir à une vision en se disant qu'est-ce qui est quand même positif là-dedans ? Et il y a toujours quelque chose en général.

  • Speaker #0

    Bon alors c'est assez ouf parce qu'on a à peu près dit la même chose mais c'est vrai que moi la météo c'est... Toi tu me répètes, toi tu répètes. Tu peux... Attends !

  • Speaker #1

    Tu répètes tout ce que je dis parce que...

  • Speaker #0

    Mais bébé j'ai parlé avant toi, j'ai parlé avant toi.

  • Speaker #1

    En fait le podcast c'est moi qui devrais le faire, tout ce qu'elle dit ce sont mes paroles, elle boit mes mots. Donc peut-être que je devrais sortir mon podcast. Bah fais, fais seulement. Comment je pourrais m'appeler ? Le sportif sauvage.

  • Speaker #0

    Monsieur je sais tout, le vélo sauvage. Bref. Ah ouais. Mais arrête ! Vélo sauvage Non mais bouge Sérieux tu m'énerves là Basket sauvage

  • Speaker #1

    Quoi tu m'as fait mal Allez t'es pas sympa Tu m'as fait mal Là je pourrais penser positif Mais non je vais penser Mais vas-y Non mais là t'es relou Tu m'as fait mal Ah mais c'est cool Parce que ça veut dire Que dans 3 minutes J'aurai plus mal Et je me rendrai compte Qu'il y a quelque chose C'est cool de pas avoir mal Allez dégage Mais du coup T'as pas du tout répondu A la question C'était quoi la question La question c'était

  • Speaker #0

    Du coup t'as pas répondu Parle dans le micro Bon, je me rends compte que lui, il a répondu à la question de manière virgo, c'est-à-dire donner des points basiques lambda. Moi, je te demandais d'aller plus loin dans la réflexion. Mais c'est ok aussi, c'est une réponse qui me convient. Non,

  • Speaker #1

    non, attends, je vais te dire. Pour aller plus loin dans la... Comment t'as dit ? Pour aller plus loin dans quoi ?

  • Speaker #0

    Dans la réflexion.

  • Speaker #1

    Dans la réflexion. Si vous commencez par ces bases-là que je vous ai données, après ça vous ouvre le champ des possibles pour aller plus loin dans la réflexion. Tandis que si déjà là vous avez un mur pour les trucs de base, vous pourrez jamais aller plus loin dans la réflexion. Ça sert à rien d'aller chercher des trucs hyper compliqués quand vous avez pas commencé par... faire les choses qui sont simples.

  • Speaker #0

    Oui, ça, je suis d'accord.

  • Speaker #1

    Donc, les premières choses à faire, c'est les choses simples.

  • Speaker #0

    On est complémentaires.

  • Speaker #1

    On est complémentaires de quoi ? Dans nos réponses ?

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #1

    Car Duka... La pauvre, elle est en train de se péter la gueule. Salut, ma fille. Enfin, voilà. Si vous voulez, je vous loue Duka. C'est 1000 francs la journée. C'est une consultante. Ah non, à Genève, c'est 1500 francs la journée. Hein croquis, je te loue

  • Speaker #0

    Tu m'énerves.

  • Speaker #1

    Pourquoi ?

  • Speaker #0

    Tu me fatigues. Attends,

  • Speaker #1

    attends.

  • Speaker #0

    Attends, attends, attends.

  • Speaker #1

    Donc, je l'énerve, mais c'est elle, là, je dois aller faire cette peinture. Donc là, vous voyez, il y a un truc qui me saoule. Mais qui me saoule, c'est cette peinture. Je pensais que ça allait me prendre 4 jours. Au final, ça me prend 7 jours parce que je ne prends pas en compte les temps de séchage pour faire la chambre. Donc, je dois faire le plafond, 6 heures de séchage. Donc, comme je travaille, je fais quoi ? Ça pousse au lendemain. Donc, le lendemain, je dois faire la deuxième couche, 6 heures de séchage. C'est hyper dur à dire. Qu'est-ce que je dois faire ? Je dois attendre le lendemain. Après j'ai les murs de couche, donc ça veut dire que ça, ça va me prendre 4 jours juste pour faire la peinture. Plus avant la sous-couche, ça m'a pris une journée. Plus l'enduit de rebouchage, ça m'a pris une journée. Les joints en silicone que j'avais oublié de faire, ça m'a pris une journée d'attente encore. Vraiment c'est... Force à vous les potes.

  • Speaker #0

    Du coup t'as appris quoi pendant cette expérience dramatique ? Qu'avez-vous appris pendant ces heures de peinture ?

  • Speaker #1

    Alors déjà, je me suis dit... J'ai beaucoup de respect pour ceux qui font ça comme métier à vie. Je suis reconnaissant de ne pas avoir besoin de faire ça pour gagner ma vie. Je me suis dit, c'est trop bien, j'ai appris une nouvelle chose. Parce que moi je kiffe bien apprendre ça et c'est toujours cool quand on peut le faire soi-même. Ensuite, qu'est-ce que j'ai appris d'autre ? Il y a quand même la satisfaction de l'avoir fait soi-même. Donc là, c'est une galère, mais je sais que pour le résultat final, je vais être super content. Parce que j'en pouvais plus de cette chambre qui était beaucoup trop sombre, dans laquelle j'aimais pas aller, j'aimais pas rester. Donc on avait une chambre qui servait à rien au final, c'était le bidonville de Nino. Bah là maintenant on va avoir une vraie chambre, avec un lit d'un mètre quatre-vingt, comme ça on va mieux dormir tous les deux. Donc voilà, je pense à ce côté positif, c'est chiant mais j'y vais. C'est comme pour le sport, il y a des moments où on a pas envie d'y aller, mais il faut penser pour le positif derrière. Si t'as une prépa et que t'as un objectif, tu penses à l'objectif, tu te dis ok, là c'est la galère, mais j'ai un objectif derrière. Après, bon.

  • Speaker #0

    Et voilà, je vous souhaite une très bonne semaine. Je ne sais pas quand est-ce que je vais pouvoir monter cet épisode. Je pense demain, mercredi. Et je vous le poste mercredi. Voilà. Bisous, prenez soin de vous.

Description

🎙️ Épisode 16 : "La vie est un jeu : à toi de jouer de manière pro-active (+ avis de Val)"


Hola chicos y chicas,


Je vous ai tourné un épisode spontané +++ ,


Dans cet épisode, j'ai souhaité répondre à un commentaire reçu (au passage, merci). Il me semblait intéressant et important de vous donner les clés qui me servent au quotidien.


Val intervient en fin d'épisode avec ses conseils de Virgo :)


Je n'ai pas plus de choses à ajouter dans cette bio, je vous souhaite une très belle écoute !

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Instagram : @ninou.vlog

Site internet : Ninoufood.com

Crédit photo : Pinterest


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hola chicos y chicas, j'espère que vous allez bien, ça fait plus d'un mois que je n'ai pas tourné d'épisode, là j'ai pas trop de temps mais je me suis dit comme Val n'est pas là, je vais quand même prendre mon micro, potentiellement que ça va résonner parce que je suis pas dans la pièce dans laquelle je tourne mes épisodes habituellement, mais voilà je me suis dit je peux pas vous laisser comme ça sachant que là je vais en retraite à la fin de la semaine pour plusieurs jours donc je vais pas pouvoir tourner d'épisode à ce moment là et voilà je voulais quand même vous dire faire un retour par rapport à tout ce qui se passe en ce moment dans ma vie depuis plus d'un mois. J'ai réalisé plein de choses, j'ai avancé sur plein de points, il y a plein de triggers qui sont ressortis et du coup j'ai dû travailler sur plein de parties de moi. Je pense que c'est pareil pour vous parce que c'est la période qui veut ça. J'ai reçu un message sur Instagram d'une personne qui s'appelle Johanna, coucou Johanna, qui m'a dit Hello, comment fais-tu pour être aussi rayonnante ? L'amour, le sport, les amis ou une philosophie, mais laquelle ? Tu es rayonnante, on kiffe. Et je me disais que c'était important que je réponde de manière générale, parce que c'est pas la première personne qui me dit ça, mais souvent c'est des nouvelles personnes qui me suivent, donc ils ont pas le background, ils voient juste quelqu'un qui rigole tout le temps, et du coup ils se disent, bon bah toute ma life en fait je suis comme ça. Aux personnes qui pensent la même chose que Johanna, sachez que ce n'est pas toujours comme ça. Je pense que ceux qui écoutent le podcast, vous me connaissez déjà, donc vous savez que ce n'est pas le cas. Mais c'est vrai que je suis plus de nature optimiste que pessimiste. Je me suis dit que j'en ferais un épisode parce qu'il y a plein de choses à dire autour de cette question. Je pense que, déjà de 1, arrêtez de croire que ce que vous voyez sur les réseaux sociaux. Il y a des gens qui ont des batailles en silence. et qui ne vous le montrent pas. Mais la chose que je voulais dire, c'est que ça fait quand même un certain temps, plusieurs années, que j'ai un autre fonctionnement. Je vous en ai déjà parlé dans l'épisode sur la victimisation, mais j'ai arrêté de subir les choses de la vie en me disant « mais pourquoi ça m'arrive à moi ? » Et ça, déjà, ça a été un gros déclic dans tout ce que j'ai fait dans ma vie. Parce que du coup, quand il t'arrive quelque chose, Le fait de ne pas se flageller ou de dire « ah mais c'est moi la miskine dans l'histoire » , ça change tout. Ça veut dire que déjà tu prends les devants, tu prends tes responsabilités et tu cherches à résoudre le problème si tu peux le résoudre. Vraiment, le fait de ne pas se lamenter sur son sort, c'est une libération. C'est quelque chose qui m'a beaucoup aidée. Là, pour ceux qui ont suivi, en septembre, j'étais en conflit avec un client qui ne veut pas payer une facture. parce que la personne a annulé en last minute et du coup, ça m'a mis dans une situation inconfortable parce que j'aurais pu mettre un autre client à ce moment-là sachant que c'était ma haute saison. Et du coup, j'étais quand même en colère parce qu'elle m'a fait passer pour une personne qui ne savait pas gérer. Elle m'a dit « Oui, tu n'avais qu'à me faire signer un truc. Moi, je ne vois pas de quoi tu parles. » Bref, vous avez suivi l'histoire. Et auparavant... Je me serais vraiment mis dans un état où je me victimise. En mode, putain, ça me fait chier, parce que voilà, tatati, tatata. Mais en fait, il m'est arrivé ça. Et le premier truc que je me suis dit, c'est, j'ai merdé, parce que j'ai pas su protéger mon travail. C'est de ma faute, en fait. Enfin, c'est en partie de ma faute. Après, le fait qu'elle soit malhonnête, c'est de sa faute, tu vois. Mais factuellement parlant, je suis responsable, tu vois. Même s'il y en a plein qui m'ont dit que légalement, je peux quand même porter plainte contre elle, parce qu'on a des échanges de mail, etc. Mais voilà, je me suis dit, j'ai fauté. Alors qu'il y a trois ans, je ne me serais jamais remise en question. J'aurais pété les plombs, cette histoire, j'aurais encore eu le seum aujourd'hui. Donc de cette histoire, ce qui s'est passé, c'est que j'ai refait tout mon site internet de manière claire, lisible. propre, j'ai mis à jour mes conditions générales de vente de manière claire, correcte tout est carré et j'ai tout remis et les conditions générales de vente, avant elles étaient en tout petit en bas de mon site internet, maintenant elles sont en Ausha droite en gros, donc tu vois en fait et maintenant j'ai tous les documents donc à chaque fois qu'on me fait une demande, j'envoie les conditions générales de vente et toutes les informations complémentaires dans l'email comme ça en fait je me protège ... Donc, de cette histoire où, entre guillemets, on me l'a mise à l'envers, j'en ai tiré des leçons. Et en fait, c'est ça que vous devez faire à chaque fois que vous rencontrez une situation où vous sentez que vous êtes, entre guillemets, victime. Ok, je suis victime, mais qu'est-ce que je peux faire de cette situation ? Où est ma part de responsabilité ? Comment est-ce que je peux m'en sortir ? Donc, voilà, cette histoire, elle est passée derrière moi. Voilà, je pense qu'elle ne paiera jamais cette facture. Tant pis, mais pour les prochains, je ne me ferai pas avoir. Autre point, si on peut rester dans le business, cet épisode, je vais aller dans tous les sens parce que je n'ai pas beaucoup de temps pour vous parler, mais je vais vous dire un peu toutes les réalisations que j'ai faites ces derniers temps. Et du coup, je voulais dire quoi ? Attendez, j'ai dit le plan professionnel. Ouais, voilà. Sur le plan professionnel, je vous avais dit en story Instagram, si tu veux réussir dans un business, tu ne dois pas mettre d'émotionnel dedans. Il y en a peut-être qui ne seront pas d'accord avec moi. Mais je pense sincèrement que le fait de mettre trop de compassion, trop de laxisme, trop d'émotionnel et de sentimental dans un business, ça fait qu'il n'avance pas. Ou en fait, ça fait comme si tu mettais des trous dans un sac d'argent. Et en fait, du coup, l'argent fuit, tu vois. Et ça, j'en suis convaincue. Là, ça fait quatre ans que maintenant, j'ai mon business. Quatre ans que c'est quelque chose qui est récurrent. à chaque fois que je vais mettre du sentimental. Ah non, mais vas-y, c'est parce que je la connais. Ah, mais parce que tu vois, sa situation, elle est compliquée. Tu vois, dès que je commence à travailler comme ça dans mon cerveau, tu peux être sûr qu'à la fin, je n'ai pas de bénéf. Tu vois, où il se passe quelque chose, une couille dans le pâté, comme on dit, qui fait que ça me plombe, en fait. Ça ne me met pas à un next level. Donc, quand j'ai compris ça, j'ai commencé à fermer l'entonnoir. Tu vois, j'ai vraiment resserré, comment dire ? J'ai vraiment refermé les vannes et à chaque fois, les rares fois où j'ai rouvert un peu les vannes, je me suis faite niquer. Tu vois ce que je veux dire ? Donc après, je sais que moi dans le business, j'ai une très forte blessure de trahison. Donc je vais vouloir tout contrôler, je vais vouloir ne pas laisser l'autre avoir une grosse marge de manœuvre. Je vais vouloir garder en fait mon truc à moi, tu vois. C'est vraiment... Mon travail, c'est ma créativité. Je n'ai pas envie de la partager avec quelqu'un d'autre. Par exemple, je ne me vois jamais m'associer avec quelqu'un parce que je ne vois pas l'intérêt. Parce que dans ma tête, je peux tout faire toute seule. Là, à l'heure où je vous parle, je ne me vois toujours pas m'associer avec quelqu'un. Quand je parle de mon business, tout ce que je fais, par exemple, le podcast, les retraites, etc., je ne me vois pas... être en duo avec quelqu'un, pour l'instant, tu vois. Parce que j'ai pas envie de me faire avoir, j'ai pas envie qu'on profite de moi, et j'ai pas envie qu'on m'utilise. Donc c'est pour ça aussi que je refuse quand même beaucoup de collaborations, et il y en a qui vont se reconnaître en écoutant l'épisode, parce que j'ai pas envie, tu vois. Pour moi, c'est encore une zone inconfortable, et j'ai pas encore réglé le problème par rapport à ça. Donc, je prends mon temps. jamais m'assouplir à ce niveau-là. C'est juste que pour le moment, je pense que j'ai encore beaucoup de travail à faire sur moi pour ouvrir un peu plus mon champ énergétique, on va dire. Donc vraiment là, ce mois de septembre et mois d'octobre, je suis en introspection profonde, beaucoup plus qu'en début d'année 2025. Là, c'est vraiment comme si je plongeais dans le fond du fond. et que j'essaye de tirer les derniers enseignements que je peux tirer de cette année 9. Autre chose pour reprendre la question principale qui est comment est-ce que tu fais pour rester toujours aussi rayonnante ? Je pense que j'essaye de ne pas me mentir à moi-même. La plupart du temps, même si on me fait des remarques, des réflexions qui ont pour but de me faire évoluer, au début ça me pique à mort, ça peut me trigger de ouf, mais le message qu'on m'a donné Je réfléchis quand même, tu vois, et je me dis « Ok » . Mais ce fonctionnement, je l'ai que avec mes proches. Si t'es quelqu'un que je connais pas, qui va m'attaquer personnellement, je m'en tape un rein, en fait. Mais tu vois, si par exemple Val me dit quelque chose, ma mère me dit quelque chose, bah, ok, sur le coup, ça m'énerve, mais je vais quand même réfléchir. Du coup, je pense le fait de ne pas se mentir à soi-même, ou au moins possible, parce qu'on se ment quand même à nous-mêmes, ça aide énormément à... Je sais pas, ça décape des couches d'ego. Sincèrement, je pense qu'on doit quand même réfléchir à ce que nos proches disent de nous. Je pense pas que la vie soit si anodine et qu'on ne doive pas réfléchir à comme on est, etc. Tu vois, les gens, en général, on a tendance à dire « Ouais, ça c'est mon trait de caractère et c'est comme ça. » « Ouais, je suis comme ci et c'est comme ça. » Mais je suis pas d'accord avec ça. Parce que le fait d'affirmer un trait de personnalité, par exemple quand je disais avant « Ouais, je suis tout le temps en colère » et alors c'est comme ça. En fait, ça m'empêche de travailler dessus. Ça veut dire que dans ma tête, je me dis, en fait, oui. Je suis une meuf en colère, je suis comme ci, comme ça, donc c'est comme ça, les gens ils n'ont qu'à composer avec. Mais en fait non, c'est pas comme ça que ça fonctionne. Déjà, comprendre d'où vient ce trait de caractère, avant qu'il ne te possède, tu vois. Parce que moi au bout d'un moment ça m'a complètement possédé. J'étais incapable de discuter avec quelqu'un sur un sujet qui me tient à cœur sans que je m'énerve, c'était pas possible. Genre il fallait que je fasse entendre à l'autre ce que j'avais à dire. Et genre vraiment c'était des états... extrême d'énervement. Clairement, j'écoutais plus du tout ce que tu disais, et si tu m'écoutais pas, vraiment, c'était pas possible. Déjà, arrêter de se répéter, je suis comme ci, et alors ? Je suis comme ci, et puis c'est comme ça. Je suis comme ci, et tatata. Je pense qu'on doit travailler sur ces points-là, que les gens remarquent de manière extrême, sans forcément se façonner aux autres, mais comprendre que c'est aussi un message. Ok, je suis tout le temps en colère, mais ça vient d'où ? Pourquoi ? Pourquoi en fait, qu'est-ce que ça vient activer chez moi ? Moi quand je m'énerve dans une discussion, c'est parce que je sens que l'autre en fait il m'écoute pas. Donc en fait, ça part du sentiment de ne pas être entendu, de ne pas être considéré. Et en fait, tu vas, tu dénoues, tu dénoues, tu dénoues, tu vas de plus en plus profond et là tu dis ok. Et là dans ta tête, t'essayes de régler le problème en te disant ok je me sens pas entendu, mais ça c'est ma blessure qui parle. Peut-être qu'il m'a écouté. Peut-être qu'il m'a entendu, mais moi aussi, je dois l'écouter et je dois entendre ce qu'il a à dire. On n'est pas obligé d'être du même avis. Et tu essayes de rééquilibrer. Parce que sinon, tu vis vraiment constamment dans un état de victimisation en te disant que les autres sont tous des bâtards et que toi, t'es le meilleur. Mais ce n'est pas comme ça qu'on fonctionne. Sinon, on serait des animaux. Donc c'est vrai qu'avant, j'avais beaucoup plus de confrontations que maintenant. Et je ne dis pas que j'ai changé d'avis par rapport à certains sujets. Il y a des sujets sur lesquels j'ai vraiment des idées fixes. C'est mes propres croyances. Et je ne vais pas déroger à ça. Par contre, je ne vais pas me confronter à toi sur ce sujet-là parce que je sais qu'en fait, on ne sera pas d'accord. Et ça ne sert à rien. Tu vas essayer de me laver le cerveau. Je vais essayer de te laver le cerveau. Et c'est stérile. Ça ne sert à rien. Donc, je n'aborde presque plus les sujets clivants et les sujets où je ne suis pas d'accord avec les gens. parce que ça mène à rien et je passe juste pour une extrémiste ou une radicale ou j'en sais rien. Donc voilà, ça c'est une tranquillité d'esprit depuis un petit moment. Ensuite, pour répondre à Johanna et sa question, pourquoi est-ce que j'ai l'air rayonnante ? Je pense que oui, parfois je suis rayonnante, mais pourquoi ? Parce que j'essaye de prendre les choses avec plus de légèreté. Je visualise sincèrement la vie. comme un jeu vidéo, comme une simulation. Vraiment, je ne vois pas autrement que comme ça. Et dès qu'il m'arrive quelque chose de dramatique, genre au bout d'aller pas longtemps, j'essaie de me rappeler, c'est une simulation, calme-toi, arrête de prendre les choses trop à cœur, parce que voilà, tu sais, j'essaie de sortir de mon rôle, je me vois de l'extérieur et je me dis, c'est qu'un jeu, tu as déjà vécu des situations... bancale, dramatique, compliquée, et à chaque fois c'est revenu dans l'ordre, et à chaque fois tu t'es rendu compte que cette situation n'est pas arrivée pour rien. Cette situation est venue t'apprendre quelque chose. Donc maintenant, à chaque fois qu'il m'arrive un truc vraiment chiant, je prends du recul très rapidement. Alors que vraiment avant, le truc pouvait durer très longtemps dans ma tête, me provoquer de l'anxiété, impossible de dormir, etc. Donc rappelez-vous que la vie est une simulation. et que n'importe quoi que tu feras, tu passeras par les checkpoints que Dieu a réservés pour toi. Et c'est comme ça, tu vois. Mais tu peux toujours moduler. En fait, c'est ça que je vous ai expliqué dans l'épisode sur l'astrologie. C'est qu'on a une destinée, mais on a un libre arbitre. La destinée, c'est vraiment que tu vas être impacté par certaines énergies, tu vas passer par des checkpoints. Ça peut être la maladie, un deuil. des choses graves, mais ton libre-arbitre, c'est comment tu décides de prendre la situation, comment tu décides de rebondir face à cette expérience. Parce que tu peux vivre des choses graves, mais c'est vraiment la manière dont tu vas prendre la chose qui va déterminer le reste. Et ça, c'est très important. Donc, je me le répète tout le temps, c'est comme ma colonne vertébrale. La vie est une simulation. Tu vas passer par des étapes, mais c'est pour évoluer. Je le vois comme... Au début, tu es au level 0. Enfin, zéro, non, parce que voilà, peut-être que dans des vies passées, tu avais atteint un certain level, mais là, dans cette incarnation, tu es au level zéro, ok ? Et donc, step by step, en fonction des expériences, tu vas passer des étapes, passer, passer, passer. Et le but de ta vie, c'est de finir avec le maximum de points possibles, ok ? Donc, rappelle-toi à chaque fois qu'il t'arrive quelque chose ou qu'il y a quelqu'un qui t'énerve, tu as envie de l'étriper, ok ? C'est une simulation, cette personne reflète juste des parts de moi. Peut-être que je n'accepte pas, peut-être que c'est juste un bâtard et que j'ai juste pas envie d'être son pote, mais essaye de comprendre le message derrière cet événement, derrière cette expérience. Voilà, donc légèreté. Ensuite, autre chose, je pense que le fait d'avoir un entourage qui m'aime, ça aide beaucoup. Moi, j'ai des copines que je kiffe, qui me kiffent, j'espère, et le fait de pouvoir parler de sujets profonds avec ces personnes, En fait, pour moi, c'est une bénédiction. Donc, je ne peux qu'être heureuse d'avoir des personnes comme ça autour de moi. Et il y a même certains d'entre vous sur Instagram, avec qui j'ai beaucoup de discussions très profondes. Je me dis, c'est un truc de ouf. On n'est pas juste en train de parler d'une recette de gratin de blette, tu vois. On parle vraiment de choses profondes. Et je vois que ça aide, tu vois. C'est vraiment un miroir entre vous et moi. Parce que moi aussi, vos histoires font écho avec moi. Et le fait que j'ai ma mère, of course, je n'ai même pas envie d'imaginer quelque chose de grave par rapport à ça. Mais le fait que j'ai ma mère avec moi, ça vaut tout l'or du monde. On peut me retirer ce que vous voulez, mais ma mère, je ne peux pas. Donc elle, c'est un petit peu mon phare. Et je pense que je suis son phare. Désolée à mes sœurs qui m'écoutent, mais je pense que je suis le phare de maman. Donc voilà, il y a ça aussi. Ensuite, il y a tous les sujets auxquels je m'intéresse. Vous avez vu que je vous parlais d'astrologie védique. La formation que je suis par rapport à ça est super intéressante. En 2026, j'ai une autre formation, toujours par rapport à ça, j'ai trop trop hâte. Déjà ça, tu vois, c'est un leitmotiv. Ça me motive à faire quelque chose. C'est un fil conducteur. Ça me parle de ouf. Je vois que c'est... Tu vois, genre, tous ces trucs-là, en fait, ça me stimule. Je sais que c'est quelque chose que je dois faire. Il y en a plein avec qui tu parles, ils sont incapables de te répondre à quelle est ta passion ou quelles sont tes passions. Et ça, c'est très problématique. Genre, je trouve que c'est grave. C'est grave parce que, pour moi, une passion, quelque chose dans lequel tu peux passer des heures à t'intéresser, etc. Ça peut être de l'art, ça peut être de l'histoire, la musique, enfin j'en sais rien. Je sais que depuis des années que je suis au lycée, etc., j'aimais trop aller à la bibliothèque du lycée et j'aimais bien lire des livres. J'adorais emprunter des livres sur la philosophie. Et à cette époque, je traînais avec une fille et elle aussi était passionnée par les lectures un peu philosophiques. Mais on était très jeunes, tu vois. à ce moment-là, quand j'étais au lycée. et que je m'intéressais à ces ouvrages philosophiques, etc., j'étais vraiment dans une remise en question de la religion. C'est vraiment... J'avais 15-16 ans et je n'étais pas d'accord, tu vois. Je ne voulais pas qu'on m'impose quelque chose. J'étais vraiment le mouton noir. Donc tout ce qui était hors religion et hors dogmatique en général m'intéressait. Et vraiment, j'ai toujours été intéressée par les trucs paranormaux, et les trucs un peu cachés, les choses comme ça. Vraiment, c'est à l'âge de 17 ans où j'ai eu l'éveil, le premier éveil pour moi. Parce que c'est vraiment à cet âge-là que j'ai commencé à me renseigner sur les réseaux pédocriminels, les mensonges d'État, les choses comme ça. Certains vont dire que c'est des recherches complotistes. Je pense qu'au bout d'un moment, en 2025, tout est vérifiable. Donc, je n'ai même pas envie de débattre là-dessus. Mais faites vos recherches. Il faut se demander au bout d'un moment pourquoi les affaires de pédophilie n'aboutissent jamais. Pourquoi à chaque fois les gens sont relaxés ? Pourquoi à chaque fois on ne croit pas les enfants ? Pourquoi Nanani ? Bref, on a un gouvernement de pédos, je suis désolée, et il faut se renseigner sur ces réseaux parce que c'est comme ça, ça existe et c'est réel. Donc dès l'âge de 17 ans, c'est des sujets qui me passionnaient. Je lisais énormément sur ça et c'est à partir de là que j'ai commencé à comprendre ce qu'était le discernement. Je vous en ai parlé aussi dans l'épisode sur les gourous, les influenceurs et le pouvoir. Et il faut se poser des questions. Il faut se poser des questions. C'est pas parce que quelqu'un est en blouse blanche ou en costard cravate qu'il a plus de crédibilité qu'un vieillard qui est sage, qui donne des cours en dessous des arbres en Grèce. Là, je me suis écartée du sujet et je ne sais plus pourquoi je vous ai raconté ça. Je ne sais pas pourquoi je vous ai dit ça, mais... En tout cas, si je peux faire un lien. Le fait de te renseigner un peu sur la réalité des choses fait que tu vas plus facilement t'émanciper des autorités extérieures. Et quand je dis autorités extérieures, là je parle plus des gouvernements, etc. Ça veut dire que vraiment tu vas être plus dans tes baskets. Parce qu'en fait, ça ne va pas t'impacter ce qu'eux décident, tu vois. Eux, ils décident, mais si tu décides de ne pas jouer leur jeu, tu ne joues pas leur jeu, tu ne fais pas partie du game. Je vous ferai un jour un épisode sur mon évolution aussi par rapport, entre guillemets, au complotisme, parce que je ne considère pas du tout que je suis complotiste, juste que je me pose des questions. Mais il y a eu aussi une grosse évolution par rapport à ça, parce que je suis passée par plein d'états d'âme, mais aujourd'hui, ce n'est plus quelque chose qui nourrit mon cerveau en permanence. Alors qu'à un moment donné, c'était devenu... Vous savez quoi, en fait, je ne vais pas vous en faire un épisode, je vais vous en parler maintenant. Vu que nous sommes dans un épisode qui ne veut rien dire, quand j'ai eu 17 ans, c'est là où j'ai commencé à me renseigner sur tous ces sujets-là. C'est un peu glauque au début, parce que tu rentres vraiment dans un truc wesh. On est dirigé par des malades mentaux, par des fous qui savent très bien ce qu'ils font et qui profitent de nous. Pendant des années, j'ai vécu en me renseignant, parce que quand je vous dis que je me renseignais, c'était que vraiment je... Je pouvais passer des heures et des heures. Le problème, c'est qu'au bout d'un moment, à force de te nourrir d'informations glauques, négatives, dark, ça impacte aussi ton mode de fonctionnement. Ça veut dire que quand j'étais à l'université, parce qu'à ce moment-là, j'étais à l'université, je me disais toujours dans ma tête, ok, là, je suis en train de faire un master, cool, je suis en train d'étudier, mais pourquoi faire ? Parce que de toute façon, notre destin, il est entre les mains des élites, tu vois. Je me remettais tout ça entre les mains des élites. Je me disais, ouais, de toute façon, tout est plafonné. Même, tu vois, si genre t'es passionné par la politique, t'as envie d'être homme politique. Pour moi, je me disais, mais en fait, tu peux pas. Parce que de toute façon, ils tiennent les ficelles d'absolument tout. Donc, tu peux rien faire. Donc, en fait, vraiment, j'avais délégué mon autorité intérieure à toutes ces recherches. Parce que ces recherches étaient en train de driver mon état émotionnel et la manière dont je visualisais l'avenir. donc À ce moment-là, je me disais non. Déjà, je ne veux pas d'enfant. Déjà, à l'époque, je vous ai dit que je ne voulais pas d'enfant. Mais je disais oui, je ne veux pas d'enfant parce que je n'ai pas envie qu'on lui mette des vaccins. Je suis toujours d'accord avec cette idée, d'ailleurs. Je ne veux pas qu'il apprenne des trucs bizarres à l'école. Je suis toujours d'accord avec cette idée. Mais tu vois, pour moi, le moteur de ma vie à ce moment-là, à cette époque, c'était vraiment la peur qu'on me contrôle, qu'eux me contrôlent. et qu'eux décident pour moi, tu vois. Et jusqu'à la période Covid, où là, c'était le pic de ma colère et de toutes ces choses-là, où vraiment, je me suis dit, mais putain, il faut que les gens se réveillent, on se fout de notre gueule, tatatitatata. Quand il y a eu ce pic, qui a duré une bonne année, voire deux ans, j'ai eu un gros moment de silence dans mon âme. Et je me suis dit, attends, est-ce que sincèrement, tu vas passer... ta vie, à lutter contre un système, ou est-ce que tu veux créer ta vie pour quelque chose de positif ? Genre vraiment, ça m'a beaucoup travaillé. Le fait que ça m'ait travaillé, c'est aussi que j'étais en couple avec Val à ce moment-là, et en fait, lui, c'est pas du tout sa lutte. C'était pas sa lutte. Lui, ok, il comprend ce que je dis, mais en fait, il comprend pas pourquoi ça me rend tellement ouf. Il dit en fait... Donc à chaque fois qu'on va sortir de la maison et que tu vas voir que dans le ciel, il y a des nuages toxiques, ça va te rendre ouf. À chaque fois, en fait, ça va te niquer tes journées. Et à force, à force, à force, je me suis dit mais il a raison. En fait, je ne peux pas constamment être impactée par des choses que je ne maîtrise pas. Je ne maîtrise pas ça. Je ne maîtrise pas les hommes politiques. Je ne maîtrise pas ce qu'ils font entre leurs quatre murs. Par contre, ce que je peux maîtriser, c'est ma réaction. C'est comment moi je drive ma vie. Ok, ils veulent nous intoxiquer, j'achète un filtre à 600 balles pour ne pas boire de l'eau intoxiquée. Ok, ils veulent nous intoxiquer avec ci, ça, ça, ok. Le but, c'est que moi, quand je fais mes courses, je les fais en conscience, j'achète au maximum de choses clean, et voilà. Et en fait, j'ai repris contrôle de ma vie en me disant je vais prendre des décisions uniquement sur les domaines où j'ai le contrôle, voilà. Et du coup, ça a tout changé. Donc avant, je n'étais pas du tout comme vous me voyez aujourd'hui. J'étais beaucoup plus dans la lutte et dans le combat. Aujourd'hui, non. En fait, ils font bien ce qu'ils veulent là-haut. J'en ai rien à foutre, moi. Je vis pour Dieu. C'est Dieu qui m'a mise sur terre. Eux, ils ont un plan machiavélique. J'en ai rien à foutre. Mais moi, qu'est-ce que je peux faire dans mon quotidien qui fait que je crée une barrière contre ça ? En fait, juste prenez vos mesures dans votre vie. Ne soyez pas victime de ce qu'on vous impose. Ne soyez pas victime de ce qu'on essaye de vous faire manger, consommer. Et la consommation, ce n'est pas que la nourriture, c'est aussi les informations. À partir du moment où tu éteins ta télé, ton cerveau, c'est chill. Moi, depuis que j'ai l'âge de 17 ans, je vous promets que je ne regarde pas les informations. Depuis cet âge-là, où j'ai compris que les médias, ils sont tous entre eux, financés par un tel, tel, tel, et en fait que tout ça, c'est qu'une mascarade, je ne regarde pas la télé. Pourquoi je vais donner du crédit à BFM ou TF1 ? À quel moment ? Les seuls moments où je regardais la télé, je me souviens, c'était mardi soir, quand il y avait Doctor House. Et c'était le seul moment où je regardais la télé. Et même Netflix ou les séries, je les compte sur les doigts de la main, les séries que j'ai regardées dans ma vie. Pour moi, c'est vraiment... Je le visualise comme une perte de temps. Je suis désolée pour les personnes qui regardent des séries, mais moi, j'arrive pas, en fait. J'arrive pas à comprendre comment on peut passer des heures, des heures, des heures. Et encore, l'année suivante, tu refais encore la même série. Mais pourquoi faire ? On dirait qu'on a un temps illimité sur Terre. Est-ce que t'as pas autre chose à faire ? Sérieusement ? Tu peux pas t'instruire sur d'autres sujets. Donc moi je le dis, le temps il est compté sur Terre. Je pense que Dieu t'a mis sur Terre pour une mission. Donc l'abrutissement et genre le loisir et le divertissement, ça doit pas être le 80% de ton temps. Il y en a qui vont me dire, oui mais tu vois quand je rentre du travail je suis fatiguée, j'ai besoin de me distraire. Ouais, je comprends. Mais à côté de ça... Ok, tu peux te distraire, mais est-ce que tu as des moments où c'est de l'intellect ? Et je ne parle pas de intellect mainstream. Et je ne parle vraiment pas des choses intellect qu'on vous impose aussi. Je pense qu'il faut creuser au-delà des apparences et vraiment derrière la porte. Parce qu'il y a d'autres choses qui s'y cachent. Il y a d'autres informations ultra intéressantes, d'autres choses qu'on nous cache volontairement. Parce que si on nous les montrait, on aurait pleinement pouvoir de nous-mêmes, tu vois. Mais voilà, on veut nous asservir. Donc, On vous présente de la télé-réalité, des trucs débiles. Vas-y, qu'on regarde des reportages à la con sur des sujets bateaux. Tu vois ce que je veux dire ? Tu sais, les titres... Je ne sais pas comment dire. Tu sais, il y a des titres sur M6 à l'époque, genre les gendarmes dans le sud de la France. Tu vois les trucs comme ça ? Qu'est-ce qu'on s'en bat les steaks, en fait ? Genre, va t'intéresser à un sujet qui va nourrir ton âme, qui va faire que tu vas évoluer, que tu vas avoir des nouvelles clés de compréhension. Qu'est-ce que t'en as à faire du taux de délinquentisme dans le sud de la France ? Qu'est-ce que t'en as à faire ? À part alimenter des clichés, alimenter la peur, alimenter je sais pas quoi. Tu vois ce que je veux dire ? Donc moi, à partir du moment où j'ai changé tout ça, je me suis sentie plus responsable de moi-même. Je suis pas l'enfant de la société, pas du tout. Pour moi, j'estime être enfant de Dieu, déjà. Mais voilà, de toute façon, t'as juste à voir comment les gouvernements infantilisent les populations. T'as juste à voir comment ils nous parlent. Genre, on te donne des directives qui n'ont ni queue ni tête, et toi t'es là, d'accord, parce qu'en fait, tu vois, c'est Olivier Véran, il a dit qu'en fait, t'en pouvais pas être debout dans un café, parce que sinon, elle était malade. Tu vois, ce genre de truc. Où était passé le discernement des gens ? Où était passé le cerveau des gens ? Je comprends pas, en fait. Je comprends pas comment on a pu faire gober des choses aussi grosses. Genre, what the fuck, putain ! Là, c'est mardi. Vous m'entendez quand c'est mardi. Je suis vraiment intense et agacée. Donc vraiment, là, c'était plus possible. Là, ça, c'était pas possible. Donc, maintenant, moi, ma responsabilité, déjà, de un, j'arrête de confronter les gens sur ça. Voilà, là, j'en fais un épisode. Ceux qui ont envie d'écouter, ils écoutent. Je cherche pas à vous convaincre. Réfléchissez par vous-même. Est-ce que vous trouvez une logique aux directives qu'ils nous ont données pendant cette période ? La période Covid. Est-ce que sincèrement, les gars, il y a une logique dans tout ça ? Je ne crois pas. On a quand même réussi à faire croire aux gens qu'ils devaient se faire piquer pour protéger les gens qui étaient piqués, qui étaient censés être protégés. Vous vous rendez compte ou pas ? Cette logique. Moi j'arrive toujours pas à m'y faire qu'on a vécu cette période de notre vie. Moi là, si je raconte à mes enfants, tu sais, il s'est passé ça, c'est une dinguerie. Est-ce que tu te rends compte ou pas ? Donc c'est bref. Toujours se poser la question, on m'impose quelque chose ? Mais moi, est-ce que ça vibre avec moi au plus profond de moi ? Est-ce que je trouve que c'est logique ou pas ? Si oui, ok. Si non, non. Oh, on est libre ou on n'est pas libre ? Oh, on a le free will ou pas ? Pour en revenir à ce que je vous disais, donc avant j'étais dans une lutte par rapport à tout ça, aujourd'hui ce n'est plus le cas. J'ai pris les mesures que je devais prendre dans mon quotidien à moi, le fait que j'assainisse un peu ma vie. que je rende les choses plus brutes, plus naturelles. Et ça, c'était ma revanche, en fait. Ça sera toujours ta revanche. Le comment, toi, tu gères ta vie. Qu'est-ce que tu manges ? Ton frigo, il est rempli de quoi ? Est-ce qu'il est rempli de choses toxiques ? Est-ce que c'est ultra transformé ? Ou est-ce que tu aggraves des légumes, tu as des choses brutes ? Ça, c'est le premier impact que vous avez sur vous-même. C'est ce que vous allez consommer, ingérer. Parce que ça, ça va driver tout le reste. Si ton alimentation est composée seulement de choses qui ne proviennent pas de la terre, excuse-moi, mais au bout d'un moment, tu vas déjà le ressentir, parce que ça va vraiment atrophier ton cerveau, tu seras incapable de prendre des décisions, parce que l'alimentation joue énormément sur la motivation, sur comment tu réfléchis, est-ce que tu as le courage de faire ci, de faire ça. Moi, si j'enchaîne deux jours à manger de la merde, déjà de 1, ma peau, je le vois sur ma peau, Et de deux, j'ai envie de rien faire. Ça me met dans un état de léthargie. Donc imaginez quelqu'un, son mode de vie, c'est que de la junk food. Tu ne peux pas te plaindre derrière en disant « Je n'arrive pas à savoir quelle est ma passion dans la vie alors que tu manges de la mayonnaise tous les jours. » J'adore la mayonnaise, mais je n'en mange pas tous les jours parce que je sais très bien que je sais ce qui se passe. Donc on n'est plus à une ère d'ignorance. Ce n'est pas possible. Aujourd'hui, tu ne peux pas me dire euh Oui, mais tu vois, c'est parce que ça me fait plaisir. Ouais, ok, ça te fait plaisir. Mais elle, où ta discipline ? Elle est où ? Je me parle à moi-même. En hiver, je suis la meuf la moins disciplinée. Je n'arrive pas à bouger. Ça me saoule. Ça me saoule de devoir me dire, je vais prendre mes baskets et je vais respirer l'air glacial de Genève. Et que genre, mon nez, il va me piquer. Ça me rend ouf. Mais je suis obligée de le faire. Je vais être obligée, là, avec tout ce que... Tout ce que je fais maintenant, je vais être obligée de le faire. Et si je ne le fais pas, c'est vraiment, je trahis ma propre personne. Je trahis ce que j'ai de plus cher. Et là, je ne parle vraiment pas que de sport, je ne parle vraiment pas que de tout ça. C'est vraiment les choix que vous faites. En vrai, c'est pour vous dire, en vrai de vrai, ce que je dis, c'est que la vie, c'est que des choix. Ok ? Tu as le choix en fait. Tu as le choix d'aller mieux ou tu as le choix de te laisser couler. T'as le choix d'allumer ta télé ou t'as le choix de prendre une autre décision. T'as le choix, t'as toujours le choix. Par contre, si tu fais les choix que tu décides de faire, plus dans le sens négatif, bah faudra pas venir te plaindre et faudra pas venir jacter sur les autres. Ah mais tu vois, elle, regarde, je la vois, elle est partie, elle voyage, ouais, elle a réussi à s'installer à tel endroit, putain, ça fait vraiment chier. Tu vois, tu peux pas rager sur la vie des autres qui ont décidé de faire des choix. Tu peux pas en fait. Et j'ai déjà entendu ce discours dans mon entourage, des personnes que je connais, qui vont vraiment rager sur le destin de quelqu'un d'autre. De un, ton destin, il est propre à toi. De deux, cette personne a fait des choix. Cette personne, en backstage, avant que tu ne vois que le résultat, elle a dû prendre des choix, inconfortables, sûrement, très sûrement. Parce qu'on n'a rien sans rien. Donc, à part ceux qui sont nés avec une cuillère en or dans la bouche, Quand tu vois quelqu'un... qui a réussi, qui est successful, il a pris des choix. Et il a été alerte Ausha. Ça veut dire que quand Dieu lui a mis sur sa route des ultimatums, il a pris des décisions. Ok ? Donc, c'est vraiment ce truc-là que j'essaie de faire comprendre. Tu ne peux pas être inactif et passif et attendre que la vie t'apporte des choses. C'est pas possible. C'est impossible. Donc, oui, j'aborde la vie avec plus de légèreté. C'est vrai. Parce que je me dis toujours, quel que soit le choix que j'ai fait, même si, admettons, sur le court terme, c'était un mauvais choix, je n'estime pas qu'il y a de mauvais choix, j'estime juste que tu vas apprendre autre chose. Même dans la vie, quand j'ai fait des « mauvais choix » , je me suis toujours dit « ok, ce n'est pas grave, on continue, on avance, en fait, on ne va pas rester bloqué sur ce truc-là » . Et ce mindset-là, je l'ai depuis quelques temps. Donc c'est vrai que ça m'aide beaucoup, ça fluidifie l'énergie. Au lieu de se prendre un mur et c'est bon, je m'assois au pied du mur et je pleure et je pleure et vas-y j'attends et je sais pas quoi et je sais pas quoi. Et en plus, je me lamente sur mon sort et en plus j'insulte tout le monde parce que tu vois, c'est toujours de la faute des autres. Non, c'est pas de la faute des autres. Prends la leçon que tu as à apprendre à ce moment-là et keep going, avance. L'énergie du mardi, elle est particulière. Je ne veux pas du tout que vous pensiez que je suis en train de vous engueuler, mais c'est des choses qui me tiennent à cœur. C'est parce que je n'aime pas être témoin de gens qui vraiment se lamentent. Ça, ça me rend ouf, ça m'aspire toute mon énergie. Je me dis, mais ok, là, il y a tel domaine de ta vie, ça ne va pas, tel domaine, ça ne va pas, tel domaine, ça ne va pas. Mais est-ce que tu t'es posé avec toi-même pour te poser des questions ? Est-ce que t'as fait un replay sur toute l'année précédente en réfléchissant, ok, qu'est-ce qui s'est passé à ce moment-là ? Est-ce qu'à ce moment-là, peut-être que j'aurais dû prendre telle décision ? Peut-être que nanana, ok. Donc avec toutes ces informations-là, qu'est-ce que je fais aujourd'hui ? Maintenant, je vais mettre des choses en place, ok ? Moi, je ne veux pas entendre les discours des personnes qui n'ont rien mis en place. Si demain, tu me dis, ouais, ça ne va toujours pas alors que j'ai mis ça, ça, ça, ça, ça en place, que je fais ça, ça, ça, ok. Regardant ton thème astral, peut-être qu'astrologiquement parlant, il y a quelque chose. Mais tu vois que tu me dises, ouais en fait la vie ça me saoule, je suis blasée, tatatitatata, et que toute la journée tu Netflix, toute la journée tu manges des pâtes, toute la journée tu sais pas quoi. Non, moi je veux pas entendre ton message en fait. Je veux que tu bouges ton cul, je veux que tu mettes tes baskets, va marcher en forêt, sens ton téléphone et réfléchis, réfléchis. Je vous engueule pas, je vous promets que je vous engueule pas. Et là, c'est des mots que j'aurais aimé entendre il y a quelques années encore, quand je me lamentais sur mon sort et que je disais que c'est la faute des autres. Et ça, ça vous renvoie à l'épisode où j'ai parlé de la victimisation, mais là, j'étais plus énervée. Là, je trouve que je suis un peu moins énervée. Et du coup, je me suis un peu écartée de mon sujet. On va revenir à la question de base. Comment fais-tu pour être aussi rayonnante ? Donc, je vous ai dit que j'ai des proches que je kiffe et qui me soutiennent énormément. Donc ça, ça aide. Je vous ai dit que je m'étais émancipée de la vision du système, c'est-à-dire que les lois peuvent être votées, les ci, les ça. Moi, je n'ai pas confiance au gouvernement, je n'ai pas confiance à la politique. Nous sommes que des numéros pour eux. Ils tuent comme ils veulent. Vous n'êtes qu'un numéro pour eux. Vous n'êtes qu'un numéro pour eux. Essayez de vous en souvenir. Vivez votre vie en dehors de tout ça. Genre... Qu'est-ce qu'on s'en tape un rein ? Essayez de vivre détachés de ça. Parce que je vous promets qu'il y a d'autres choses à travailler sur vous. Ça, vous n'avez pas de contrôle là-dessus. On essaye de vous faire croire que vous avez du contrôle, on essaye de vous faire croire qu'on est en démocratie. Vous avez juste à voir ce qui se passe actuellement en Palestine pour vous rendre compte que vous n'avez aucun contrôle, que les Nations Unies et que tous ces bordels-là sont liés main dans la main, tous ensemble, et que tout ça, c'est... Voilà. Ils sont en train d'agir en fonction de ce qu'eux ont décidé. Qu'est-ce que tu fais dans ta vie aujourd'hui pour avoir un impact pour la Palestine ? Est-ce que ton mode de consommation a changé ? Est-ce que tu continues d'alimenter toutes les personnes qui alimentent ce génocide ? Est-ce que tu continues d'armer les militaires ? Parce que l'argent est une énergie, mais l'argent circule. À qui donnes-tu ton argent ? Là est la question. Parce que tu peux pleurer toute la journée pour toutes les personnes qui sont en train de mourir là-bas. Tu peux, mais qu'est-ce que tu fais dans ton quotidien ? Où est ta part d'action dans tout ça ? Là, cette histoire, ce génocide est devenu mondial. Donc tout le monde est au courant, on ne peut pas fermer les yeux là-dessus. Quand on vous a demandé de boycotter, bizarrement, toutes les marques qu'on vous demande de boycotter sont des marques globalement ultra transformées, bourrées de sucre, bourrées de trucs... À partir du moment où tu réfléchis à ton mode de consommation, si tu décides de consommer brut, légumes, fruits, pas trop transformés, normalement, tu n'alimentes pas ça. C'est vraiment là où je dis où est-ce que tu peux agir ? Ceux qui ne croient pas au boycott, vous n'avez rien compris. Mais pour moi, ce n'est même pas une question de boycott, c'est une question de mode de vie. Si tu respectes un mode de vie sain, techniquement, Tu ne finances pas de guerre, c'est pas possible. Voilà, je m'écarte un peu du sujet, mais vraiment le fait de prendre vos responsabilités, c'est une libération, c'est une liberté, c'est... vous n'êtes pas manipulable. Quand vous prenez vos responsabilités, vous n'êtes pas manipulable, je vous le répète. C'est... vous êtes maître de votre destin, et ça c'est un truc à se rappeler. Vous pouvez pas être victime de la société en général, vous pouvez pas être victime... de ce que pensent les autres. Vivez votre vie en fonction de ce que votre âme appelle à accomplir. Et là, il ne me reste pas beaucoup de temps pour vous parler. Mais si je dois clôturer cet épisode, je pense que le plus important pour moi, à mon sens, et comment je le vis, c'est Dieu. Si Dieu ne fait pas partie de tes équations, il n'y a rien de solide. Ce n'est pas possible. Je vous l'ai dit dans l'épisode sur les gourous. Si tu n'es pas relié à quelque chose de plus grand que toi, de plus grand que les hommes, les humains, les ci, les ça, ça va s'effondrer comme un château de sable, c'est tout. Château de cartes, château de sable. Mais si pour toi, Dieu est dans tes choix, alors là tu bâtis quelque chose de plus solide. Et c'est vraiment ma conclusion pour moi, le fait vraiment de toujours me rappeler, il y aura toujours Dieu avec moi, il y aura toujours Dieu pour assurer mes arrières dans tout ce que je fais. tant que je le fais avec le cœur, même si ça foire, je sais que Dieu me rendra le centuple. Je sais que je vais récupérer quelque chose derrière. Donc ça m'aide énormément. Et je pense que c'est ma boussole. C'est ma boussole, voilà. Ma boussole, ce n'est pas un humain. Ma boussole, ce n'est pas autre chose. Et plus tu vas te relier à cette boussole intérieure qui est Dieu, appelle-le comme tu veux, le Tout-Puissant. Bref, celui qui a drive tout cet empire cosmique. Si tu te relis à lui le plus souvent, je te promets que tu vas vraiment avoir une intuition beaucoup plus développée et tu vas vraiment comprendre là où il veut t'emmener. Parfois, tu vas être dans le flou. Comme là, j'ai traversé septembre, c'était un peu... Je marchais un peu sur des oeufs, mais j'avais la conviction que Dieu m'emmènerait quelque part. Donc... Là, c'est beaucoup plus clair qu'au mois de septembre. Et je sais encore plus vers où je vais. Donc, je suis trop contente. Je suis optimiste. Et ça, en fait, c'est priceless. Parce que naviguer dans cette vie sans savoir où tu vas, il n'y a rien de plus inconfortable. Vraiment, il n'y a rien de plus inconfortable. Et c'est cyclique. Tu vas repasser par des périodes où tu vas tout remettre en question. Et c'est normal. Et heureusement. Mais pour moi, le fait de tout remettre en question... ça permet de reconsidérer chaque croyance que tu as. Donc c'est indispensable. Bref, je pourrais faire un épisode complet là-dessus. Mais voilà, globalement, soyez bien entourés, connectez-vous à Dieu, à cette essence magique, énorme. Lâchez prise sur les choses sur lesquelles vous n'avez pas le contrôle. Tu n'as pas le contrôle, donc laisse ça derrière. Genre le fait de te dire, ok, je visualise cette chose chiante, je la mets dans un sac. Et je la donne à Dieu et je dis, s'il te plaît, fais-en quelque chose. Moi, je n'ai plus l'énergie, je ne peux pas. Voilà, vous faites comme ça à chaque fois. Visualisez un sac, bam, tu lui poses le sac. S'il te plaît, fais quelque chose avec ce sac. Et parfois, avec ce sac, il va te faire un truc de ouf. Et tu vas dire, mais c'est incroyable, c'est passionnant. Donc, essayez de ne pas forcer les gens à croire absolument à ce que vous vous croyez. Genre, c'est comme ça. Je pense qu'on y a autant de personnes que de prismes différents. vous pouvez... Exposez votre vision des choses, mais ne rentrez pas dans des débats. Et autre point sous-jacent, c'est vrai que depuis que je fais la routine cosmique védique, j'ai un fil conducteur et tout est plus simple. Mais ça, maintenant, je vous l'ai assez vendu. J'y reviendrai plus tard avec autre chose par rapport à cette routine cosmique parce que là, c'était juste une introduction. Mais il y aura plein de nouvelles choses par rapport à ça. Parce que j'ai vraiment envie de travailler avec cet outil. Je pense que j'ai tout dit. N'hésitez pas, si vous avez des questions, à m'écrire en DM Instagram. Bon, non, attends.

  • Speaker #1

    Salam alaikum les popillettes. Attends, j'ai bugué. Salam alaikum les popillettes. Comment ça va ?

  • Speaker #0

    Bon, du coup, j'ai Val avec moi qui va répondre à la question aussi. C'est une manière de clôturer l'épisode. Donc la question c'est, monsieur Pep's, qu'est-ce que t'as dans ta mallette magique, les conseils pour rayonner au plus possible, être optimiste au plus possible ? Voilà, c'est vraiment en réponse au message de Johanna.

  • Speaker #1

    Alors, un truc que je dis tout le temps à Ninou, quand elle est un peu down ou quoi, j'essaye de lui dire de toujours... voir le positif c'est à dire que dans chaque situation il ya du négatif mais dans chaque situation il ya du positif aussi et du coup essayer juste de se de feinter son cerveau en disant je sais pas moi il fait froid Mais se dire, ah bah tiens aujourd'hui il y a la bise, il fait froid, mais ça veut dire qu'il y a grand soleil, du coup c'est cool, il y a du soleil, au moins il ne pleut pas. Et toujours penser positif, je pense qu'à la fin de la journée on se sent mieux. Et après, je pense qu'une des choses, les petits conseils que tout le monde donne, bien manger, faire du sport, tout ça c'est important pour se sentir bien. Mais un que moi j'ai remarqué il y a quelques années, enfin il y a quoi, il y a 2-3 ans maintenant, sur lequel je travaille beaucoup, c'est le sommeil. Et vraiment, quand on dort bien, on passe une super journée. Quand on a l'habitude de bien dormir, on se rend compte que le jour où on a mal dormi, où on n'a pas assez dormi, par exemple, moi j'essaie de dormir 8h par nuit, mais imaginons des jours où si je ne dors que 6h, je me rends compte à quel point je ne suis pas bien quand je n'ai pas beaucoup dormi. Et il y a plein de choses derrière. Il y a des gens qui ont un comportement mauvais avec l'alimentation, ça, ça peut être réglé avec le sommeil. Parce que quand on est fatigué et qu'on s'ennuie, qu'on est un peu pas bien dans notre nu, la tête dans le brouillard, pas bien, la valeur refuge c'est la bouffe. Et moi je me rends compte quand je dors pas bien ou quand j'ai pas assez dormi, je mange beaucoup mais j'ai envie de trucs dégueulasses, de sucre et de junk food. Alors que les autres jours, franchement ça va. Donc le sommeil je pense que c'est vraiment un des gros gros gros piliers. à côté de la nutrition et de faire du sport et d'avoir un comme on dit une activité sociale en gros de sociabiliser avec des gens que ce soit des collègues ou que ce soit des gens à la salle de sport que ce soit votre femme ou vos enfants enfin c'est faut sociabiliser on n'est pas fait pour être tout seul à rien faire quoi et le sommeil donc voilà je sais pas si ça peut vous aider après c'est normal il ya aussi des jours on n'est pas bien et à tout qui nous saoule c'est pas grave, on peut faire avec. Maintenant, si c'est régulier, ou que ça dure toute la journée, ou bien que c'est tout le temps, là, il faut quand même se poser des questions, et essayer de changer sa perception du monde, ou changer des choses dans son quotidien. Et puis, si vous avez une croquette, comme notre croquette, elle apporte tellement de bonheur. Franchement, des fois, je rentre du boulot, j'ai la tête dans le cul, je suis pas bien, je suis fatigué, et juste de la voir contente de me voir, je me dis... Ce petit être, il est là toute la journée, il m'a attendu. Il pourrait se dire qu'il a une vie de merde parce que tout ce qu'il a envie de faire, c'est nous qui lui validons. C'est-à-dire qu'elle a envie de faire ses besoins, c'est nous qui lui donnons la possibilité de faire ses besoins en allant la promener. Elle a envie de manger, c'est nous qui ouvrons le frigo ou qui lui donnons à manger. Alors que nous, c'est pas pareil. Nous, on a faim, on va s'acheter à manger. On a envie d'aller aux toilettes, on va aux toilettes. Du coup, quand je la vois, elle, mais... toute contente, après une journée à m'avoir attendu toute la journée et que je la vois toute contente de me voir ça fait tellement du bien et du coup ça aussi ça participe au fait que j'ai pas beaucoup de moments de down après faut pas être une fragile comme Ninou elle

  • Speaker #0

    c'est vraiment une fragile déjà parle dans le micro ici comment ça je suis une fragile ?

  • Speaker #1

    bien sûr que t'es une fragile par rapport à quoi ? t'es une fragile C'est l'hiver, oh non ! Alors, on était encore au mois de septembre, qu'elle disait Ça va être l'hiver, on va se réveiller, il va faire nuit. Mais pourquoi tu penses déjà à ça ? Pourquoi t'es en train de, dans ton corps, d'envoyer des ondes négatives ? Alors que le truc, c'est dans trois mois qu'on se lève et qu'il fait nuit.

  • Speaker #0

    Écoute.

  • Speaker #1

    Donc, non, vraiment, il faut se dire Ah, c'est trop bien, on est en septembre, ça veut dire qu'il fait encore chaud, on va peut-être encore avoir un été indien. Ah bah tiens, on est en septembre, je peux quand même encore aller rouler en mettant un cuisse à recours. à toujours voir du positif, toujours, toujours, toujours penser positif. Il y a des fois où ce n'est pas possible, quand on est trop énervé, où vraiment il faut essayer de penser positif, mais il y a des moments où ça ne peut pas venir tout de suite. Mais à chaque fois, quelque chose qui ne va pas, réfléchir à une vision en se disant qu'est-ce qui est quand même positif là-dedans ? Et il y a toujours quelque chose en général.

  • Speaker #0

    Bon alors c'est assez ouf parce qu'on a à peu près dit la même chose mais c'est vrai que moi la météo c'est... Toi tu me répètes, toi tu répètes. Tu peux... Attends !

  • Speaker #1

    Tu répètes tout ce que je dis parce que...

  • Speaker #0

    Mais bébé j'ai parlé avant toi, j'ai parlé avant toi.

  • Speaker #1

    En fait le podcast c'est moi qui devrais le faire, tout ce qu'elle dit ce sont mes paroles, elle boit mes mots. Donc peut-être que je devrais sortir mon podcast. Bah fais, fais seulement. Comment je pourrais m'appeler ? Le sportif sauvage.

  • Speaker #0

    Monsieur je sais tout, le vélo sauvage. Bref. Ah ouais. Mais arrête ! Vélo sauvage Non mais bouge Sérieux tu m'énerves là Basket sauvage

  • Speaker #1

    Quoi tu m'as fait mal Allez t'es pas sympa Tu m'as fait mal Là je pourrais penser positif Mais non je vais penser Mais vas-y Non mais là t'es relou Tu m'as fait mal Ah mais c'est cool Parce que ça veut dire Que dans 3 minutes J'aurai plus mal Et je me rendrai compte Qu'il y a quelque chose C'est cool de pas avoir mal Allez dégage Mais du coup T'as pas du tout répondu A la question C'était quoi la question La question c'était

  • Speaker #0

    Du coup t'as pas répondu Parle dans le micro Bon, je me rends compte que lui, il a répondu à la question de manière virgo, c'est-à-dire donner des points basiques lambda. Moi, je te demandais d'aller plus loin dans la réflexion. Mais c'est ok aussi, c'est une réponse qui me convient. Non,

  • Speaker #1

    non, attends, je vais te dire. Pour aller plus loin dans la... Comment t'as dit ? Pour aller plus loin dans quoi ?

  • Speaker #0

    Dans la réflexion.

  • Speaker #1

    Dans la réflexion. Si vous commencez par ces bases-là que je vous ai données, après ça vous ouvre le champ des possibles pour aller plus loin dans la réflexion. Tandis que si déjà là vous avez un mur pour les trucs de base, vous pourrez jamais aller plus loin dans la réflexion. Ça sert à rien d'aller chercher des trucs hyper compliqués quand vous avez pas commencé par... faire les choses qui sont simples.

  • Speaker #0

    Oui, ça, je suis d'accord.

  • Speaker #1

    Donc, les premières choses à faire, c'est les choses simples.

  • Speaker #0

    On est complémentaires.

  • Speaker #1

    On est complémentaires de quoi ? Dans nos réponses ?

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #1

    Car Duka... La pauvre, elle est en train de se péter la gueule. Salut, ma fille. Enfin, voilà. Si vous voulez, je vous loue Duka. C'est 1000 francs la journée. C'est une consultante. Ah non, à Genève, c'est 1500 francs la journée. Hein croquis, je te loue

  • Speaker #0

    Tu m'énerves.

  • Speaker #1

    Pourquoi ?

  • Speaker #0

    Tu me fatigues. Attends,

  • Speaker #1

    attends.

  • Speaker #0

    Attends, attends, attends.

  • Speaker #1

    Donc, je l'énerve, mais c'est elle, là, je dois aller faire cette peinture. Donc là, vous voyez, il y a un truc qui me saoule. Mais qui me saoule, c'est cette peinture. Je pensais que ça allait me prendre 4 jours. Au final, ça me prend 7 jours parce que je ne prends pas en compte les temps de séchage pour faire la chambre. Donc, je dois faire le plafond, 6 heures de séchage. Donc, comme je travaille, je fais quoi ? Ça pousse au lendemain. Donc, le lendemain, je dois faire la deuxième couche, 6 heures de séchage. C'est hyper dur à dire. Qu'est-ce que je dois faire ? Je dois attendre le lendemain. Après j'ai les murs de couche, donc ça veut dire que ça, ça va me prendre 4 jours juste pour faire la peinture. Plus avant la sous-couche, ça m'a pris une journée. Plus l'enduit de rebouchage, ça m'a pris une journée. Les joints en silicone que j'avais oublié de faire, ça m'a pris une journée d'attente encore. Vraiment c'est... Force à vous les potes.

  • Speaker #0

    Du coup t'as appris quoi pendant cette expérience dramatique ? Qu'avez-vous appris pendant ces heures de peinture ?

  • Speaker #1

    Alors déjà, je me suis dit... J'ai beaucoup de respect pour ceux qui font ça comme métier à vie. Je suis reconnaissant de ne pas avoir besoin de faire ça pour gagner ma vie. Je me suis dit, c'est trop bien, j'ai appris une nouvelle chose. Parce que moi je kiffe bien apprendre ça et c'est toujours cool quand on peut le faire soi-même. Ensuite, qu'est-ce que j'ai appris d'autre ? Il y a quand même la satisfaction de l'avoir fait soi-même. Donc là, c'est une galère, mais je sais que pour le résultat final, je vais être super content. Parce que j'en pouvais plus de cette chambre qui était beaucoup trop sombre, dans laquelle j'aimais pas aller, j'aimais pas rester. Donc on avait une chambre qui servait à rien au final, c'était le bidonville de Nino. Bah là maintenant on va avoir une vraie chambre, avec un lit d'un mètre quatre-vingt, comme ça on va mieux dormir tous les deux. Donc voilà, je pense à ce côté positif, c'est chiant mais j'y vais. C'est comme pour le sport, il y a des moments où on a pas envie d'y aller, mais il faut penser pour le positif derrière. Si t'as une prépa et que t'as un objectif, tu penses à l'objectif, tu te dis ok, là c'est la galère, mais j'ai un objectif derrière. Après, bon.

  • Speaker #0

    Et voilà, je vous souhaite une très bonne semaine. Je ne sais pas quand est-ce que je vais pouvoir monter cet épisode. Je pense demain, mercredi. Et je vous le poste mercredi. Voilà. Bisous, prenez soin de vous.

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Description

🎙️ Épisode 16 : "La vie est un jeu : à toi de jouer de manière pro-active (+ avis de Val)"


Hola chicos y chicas,


Je vous ai tourné un épisode spontané +++ ,


Dans cet épisode, j'ai souhaité répondre à un commentaire reçu (au passage, merci). Il me semblait intéressant et important de vous donner les clés qui me servent au quotidien.


Val intervient en fin d'épisode avec ses conseils de Virgo :)


Je n'ai pas plus de choses à ajouter dans cette bio, je vous souhaite une très belle écoute !

______________


Instagram : @ninou.vlog

Site internet : Ninoufood.com

Crédit photo : Pinterest


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hola chicos y chicas, j'espère que vous allez bien, ça fait plus d'un mois que je n'ai pas tourné d'épisode, là j'ai pas trop de temps mais je me suis dit comme Val n'est pas là, je vais quand même prendre mon micro, potentiellement que ça va résonner parce que je suis pas dans la pièce dans laquelle je tourne mes épisodes habituellement, mais voilà je me suis dit je peux pas vous laisser comme ça sachant que là je vais en retraite à la fin de la semaine pour plusieurs jours donc je vais pas pouvoir tourner d'épisode à ce moment là et voilà je voulais quand même vous dire faire un retour par rapport à tout ce qui se passe en ce moment dans ma vie depuis plus d'un mois. J'ai réalisé plein de choses, j'ai avancé sur plein de points, il y a plein de triggers qui sont ressortis et du coup j'ai dû travailler sur plein de parties de moi. Je pense que c'est pareil pour vous parce que c'est la période qui veut ça. J'ai reçu un message sur Instagram d'une personne qui s'appelle Johanna, coucou Johanna, qui m'a dit Hello, comment fais-tu pour être aussi rayonnante ? L'amour, le sport, les amis ou une philosophie, mais laquelle ? Tu es rayonnante, on kiffe. Et je me disais que c'était important que je réponde de manière générale, parce que c'est pas la première personne qui me dit ça, mais souvent c'est des nouvelles personnes qui me suivent, donc ils ont pas le background, ils voient juste quelqu'un qui rigole tout le temps, et du coup ils se disent, bon bah toute ma life en fait je suis comme ça. Aux personnes qui pensent la même chose que Johanna, sachez que ce n'est pas toujours comme ça. Je pense que ceux qui écoutent le podcast, vous me connaissez déjà, donc vous savez que ce n'est pas le cas. Mais c'est vrai que je suis plus de nature optimiste que pessimiste. Je me suis dit que j'en ferais un épisode parce qu'il y a plein de choses à dire autour de cette question. Je pense que, déjà de 1, arrêtez de croire que ce que vous voyez sur les réseaux sociaux. Il y a des gens qui ont des batailles en silence. et qui ne vous le montrent pas. Mais la chose que je voulais dire, c'est que ça fait quand même un certain temps, plusieurs années, que j'ai un autre fonctionnement. Je vous en ai déjà parlé dans l'épisode sur la victimisation, mais j'ai arrêté de subir les choses de la vie en me disant « mais pourquoi ça m'arrive à moi ? » Et ça, déjà, ça a été un gros déclic dans tout ce que j'ai fait dans ma vie. Parce que du coup, quand il t'arrive quelque chose, Le fait de ne pas se flageller ou de dire « ah mais c'est moi la miskine dans l'histoire » , ça change tout. Ça veut dire que déjà tu prends les devants, tu prends tes responsabilités et tu cherches à résoudre le problème si tu peux le résoudre. Vraiment, le fait de ne pas se lamenter sur son sort, c'est une libération. C'est quelque chose qui m'a beaucoup aidée. Là, pour ceux qui ont suivi, en septembre, j'étais en conflit avec un client qui ne veut pas payer une facture. parce que la personne a annulé en last minute et du coup, ça m'a mis dans une situation inconfortable parce que j'aurais pu mettre un autre client à ce moment-là sachant que c'était ma haute saison. Et du coup, j'étais quand même en colère parce qu'elle m'a fait passer pour une personne qui ne savait pas gérer. Elle m'a dit « Oui, tu n'avais qu'à me faire signer un truc. Moi, je ne vois pas de quoi tu parles. » Bref, vous avez suivi l'histoire. Et auparavant... Je me serais vraiment mis dans un état où je me victimise. En mode, putain, ça me fait chier, parce que voilà, tatati, tatata. Mais en fait, il m'est arrivé ça. Et le premier truc que je me suis dit, c'est, j'ai merdé, parce que j'ai pas su protéger mon travail. C'est de ma faute, en fait. Enfin, c'est en partie de ma faute. Après, le fait qu'elle soit malhonnête, c'est de sa faute, tu vois. Mais factuellement parlant, je suis responsable, tu vois. Même s'il y en a plein qui m'ont dit que légalement, je peux quand même porter plainte contre elle, parce qu'on a des échanges de mail, etc. Mais voilà, je me suis dit, j'ai fauté. Alors qu'il y a trois ans, je ne me serais jamais remise en question. J'aurais pété les plombs, cette histoire, j'aurais encore eu le seum aujourd'hui. Donc de cette histoire, ce qui s'est passé, c'est que j'ai refait tout mon site internet de manière claire, lisible. propre, j'ai mis à jour mes conditions générales de vente de manière claire, correcte tout est carré et j'ai tout remis et les conditions générales de vente, avant elles étaient en tout petit en bas de mon site internet, maintenant elles sont en Ausha droite en gros, donc tu vois en fait et maintenant j'ai tous les documents donc à chaque fois qu'on me fait une demande, j'envoie les conditions générales de vente et toutes les informations complémentaires dans l'email comme ça en fait je me protège ... Donc, de cette histoire où, entre guillemets, on me l'a mise à l'envers, j'en ai tiré des leçons. Et en fait, c'est ça que vous devez faire à chaque fois que vous rencontrez une situation où vous sentez que vous êtes, entre guillemets, victime. Ok, je suis victime, mais qu'est-ce que je peux faire de cette situation ? Où est ma part de responsabilité ? Comment est-ce que je peux m'en sortir ? Donc, voilà, cette histoire, elle est passée derrière moi. Voilà, je pense qu'elle ne paiera jamais cette facture. Tant pis, mais pour les prochains, je ne me ferai pas avoir. Autre point, si on peut rester dans le business, cet épisode, je vais aller dans tous les sens parce que je n'ai pas beaucoup de temps pour vous parler, mais je vais vous dire un peu toutes les réalisations que j'ai faites ces derniers temps. Et du coup, je voulais dire quoi ? Attendez, j'ai dit le plan professionnel. Ouais, voilà. Sur le plan professionnel, je vous avais dit en story Instagram, si tu veux réussir dans un business, tu ne dois pas mettre d'émotionnel dedans. Il y en a peut-être qui ne seront pas d'accord avec moi. Mais je pense sincèrement que le fait de mettre trop de compassion, trop de laxisme, trop d'émotionnel et de sentimental dans un business, ça fait qu'il n'avance pas. Ou en fait, ça fait comme si tu mettais des trous dans un sac d'argent. Et en fait, du coup, l'argent fuit, tu vois. Et ça, j'en suis convaincue. Là, ça fait quatre ans que maintenant, j'ai mon business. Quatre ans que c'est quelque chose qui est récurrent. à chaque fois que je vais mettre du sentimental. Ah non, mais vas-y, c'est parce que je la connais. Ah, mais parce que tu vois, sa situation, elle est compliquée. Tu vois, dès que je commence à travailler comme ça dans mon cerveau, tu peux être sûr qu'à la fin, je n'ai pas de bénéf. Tu vois, où il se passe quelque chose, une couille dans le pâté, comme on dit, qui fait que ça me plombe, en fait. Ça ne me met pas à un next level. Donc, quand j'ai compris ça, j'ai commencé à fermer l'entonnoir. Tu vois, j'ai vraiment resserré, comment dire ? J'ai vraiment refermé les vannes et à chaque fois, les rares fois où j'ai rouvert un peu les vannes, je me suis faite niquer. Tu vois ce que je veux dire ? Donc après, je sais que moi dans le business, j'ai une très forte blessure de trahison. Donc je vais vouloir tout contrôler, je vais vouloir ne pas laisser l'autre avoir une grosse marge de manœuvre. Je vais vouloir garder en fait mon truc à moi, tu vois. C'est vraiment... Mon travail, c'est ma créativité. Je n'ai pas envie de la partager avec quelqu'un d'autre. Par exemple, je ne me vois jamais m'associer avec quelqu'un parce que je ne vois pas l'intérêt. Parce que dans ma tête, je peux tout faire toute seule. Là, à l'heure où je vous parle, je ne me vois toujours pas m'associer avec quelqu'un. Quand je parle de mon business, tout ce que je fais, par exemple, le podcast, les retraites, etc., je ne me vois pas... être en duo avec quelqu'un, pour l'instant, tu vois. Parce que j'ai pas envie de me faire avoir, j'ai pas envie qu'on profite de moi, et j'ai pas envie qu'on m'utilise. Donc c'est pour ça aussi que je refuse quand même beaucoup de collaborations, et il y en a qui vont se reconnaître en écoutant l'épisode, parce que j'ai pas envie, tu vois. Pour moi, c'est encore une zone inconfortable, et j'ai pas encore réglé le problème par rapport à ça. Donc, je prends mon temps. jamais m'assouplir à ce niveau-là. C'est juste que pour le moment, je pense que j'ai encore beaucoup de travail à faire sur moi pour ouvrir un peu plus mon champ énergétique, on va dire. Donc vraiment là, ce mois de septembre et mois d'octobre, je suis en introspection profonde, beaucoup plus qu'en début d'année 2025. Là, c'est vraiment comme si je plongeais dans le fond du fond. et que j'essaye de tirer les derniers enseignements que je peux tirer de cette année 9. Autre chose pour reprendre la question principale qui est comment est-ce que tu fais pour rester toujours aussi rayonnante ? Je pense que j'essaye de ne pas me mentir à moi-même. La plupart du temps, même si on me fait des remarques, des réflexions qui ont pour but de me faire évoluer, au début ça me pique à mort, ça peut me trigger de ouf, mais le message qu'on m'a donné Je réfléchis quand même, tu vois, et je me dis « Ok » . Mais ce fonctionnement, je l'ai que avec mes proches. Si t'es quelqu'un que je connais pas, qui va m'attaquer personnellement, je m'en tape un rein, en fait. Mais tu vois, si par exemple Val me dit quelque chose, ma mère me dit quelque chose, bah, ok, sur le coup, ça m'énerve, mais je vais quand même réfléchir. Du coup, je pense le fait de ne pas se mentir à soi-même, ou au moins possible, parce qu'on se ment quand même à nous-mêmes, ça aide énormément à... Je sais pas, ça décape des couches d'ego. Sincèrement, je pense qu'on doit quand même réfléchir à ce que nos proches disent de nous. Je pense pas que la vie soit si anodine et qu'on ne doive pas réfléchir à comme on est, etc. Tu vois, les gens, en général, on a tendance à dire « Ouais, ça c'est mon trait de caractère et c'est comme ça. » « Ouais, je suis comme ci et c'est comme ça. » Mais je suis pas d'accord avec ça. Parce que le fait d'affirmer un trait de personnalité, par exemple quand je disais avant « Ouais, je suis tout le temps en colère » et alors c'est comme ça. En fait, ça m'empêche de travailler dessus. Ça veut dire que dans ma tête, je me dis, en fait, oui. Je suis une meuf en colère, je suis comme ci, comme ça, donc c'est comme ça, les gens ils n'ont qu'à composer avec. Mais en fait non, c'est pas comme ça que ça fonctionne. Déjà, comprendre d'où vient ce trait de caractère, avant qu'il ne te possède, tu vois. Parce que moi au bout d'un moment ça m'a complètement possédé. J'étais incapable de discuter avec quelqu'un sur un sujet qui me tient à cœur sans que je m'énerve, c'était pas possible. Genre il fallait que je fasse entendre à l'autre ce que j'avais à dire. Et genre vraiment c'était des états... extrême d'énervement. Clairement, j'écoutais plus du tout ce que tu disais, et si tu m'écoutais pas, vraiment, c'était pas possible. Déjà, arrêter de se répéter, je suis comme ci, et alors ? Je suis comme ci, et puis c'est comme ça. Je suis comme ci, et tatata. Je pense qu'on doit travailler sur ces points-là, que les gens remarquent de manière extrême, sans forcément se façonner aux autres, mais comprendre que c'est aussi un message. Ok, je suis tout le temps en colère, mais ça vient d'où ? Pourquoi ? Pourquoi en fait, qu'est-ce que ça vient activer chez moi ? Moi quand je m'énerve dans une discussion, c'est parce que je sens que l'autre en fait il m'écoute pas. Donc en fait, ça part du sentiment de ne pas être entendu, de ne pas être considéré. Et en fait, tu vas, tu dénoues, tu dénoues, tu dénoues, tu vas de plus en plus profond et là tu dis ok. Et là dans ta tête, t'essayes de régler le problème en te disant ok je me sens pas entendu, mais ça c'est ma blessure qui parle. Peut-être qu'il m'a écouté. Peut-être qu'il m'a entendu, mais moi aussi, je dois l'écouter et je dois entendre ce qu'il a à dire. On n'est pas obligé d'être du même avis. Et tu essayes de rééquilibrer. Parce que sinon, tu vis vraiment constamment dans un état de victimisation en te disant que les autres sont tous des bâtards et que toi, t'es le meilleur. Mais ce n'est pas comme ça qu'on fonctionne. Sinon, on serait des animaux. Donc c'est vrai qu'avant, j'avais beaucoup plus de confrontations que maintenant. Et je ne dis pas que j'ai changé d'avis par rapport à certains sujets. Il y a des sujets sur lesquels j'ai vraiment des idées fixes. C'est mes propres croyances. Et je ne vais pas déroger à ça. Par contre, je ne vais pas me confronter à toi sur ce sujet-là parce que je sais qu'en fait, on ne sera pas d'accord. Et ça ne sert à rien. Tu vas essayer de me laver le cerveau. Je vais essayer de te laver le cerveau. Et c'est stérile. Ça ne sert à rien. Donc, je n'aborde presque plus les sujets clivants et les sujets où je ne suis pas d'accord avec les gens. parce que ça mène à rien et je passe juste pour une extrémiste ou une radicale ou j'en sais rien. Donc voilà, ça c'est une tranquillité d'esprit depuis un petit moment. Ensuite, pour répondre à Johanna et sa question, pourquoi est-ce que j'ai l'air rayonnante ? Je pense que oui, parfois je suis rayonnante, mais pourquoi ? Parce que j'essaye de prendre les choses avec plus de légèreté. Je visualise sincèrement la vie. comme un jeu vidéo, comme une simulation. Vraiment, je ne vois pas autrement que comme ça. Et dès qu'il m'arrive quelque chose de dramatique, genre au bout d'aller pas longtemps, j'essaie de me rappeler, c'est une simulation, calme-toi, arrête de prendre les choses trop à cœur, parce que voilà, tu sais, j'essaie de sortir de mon rôle, je me vois de l'extérieur et je me dis, c'est qu'un jeu, tu as déjà vécu des situations... bancale, dramatique, compliquée, et à chaque fois c'est revenu dans l'ordre, et à chaque fois tu t'es rendu compte que cette situation n'est pas arrivée pour rien. Cette situation est venue t'apprendre quelque chose. Donc maintenant, à chaque fois qu'il m'arrive un truc vraiment chiant, je prends du recul très rapidement. Alors que vraiment avant, le truc pouvait durer très longtemps dans ma tête, me provoquer de l'anxiété, impossible de dormir, etc. Donc rappelez-vous que la vie est une simulation. et que n'importe quoi que tu feras, tu passeras par les checkpoints que Dieu a réservés pour toi. Et c'est comme ça, tu vois. Mais tu peux toujours moduler. En fait, c'est ça que je vous ai expliqué dans l'épisode sur l'astrologie. C'est qu'on a une destinée, mais on a un libre arbitre. La destinée, c'est vraiment que tu vas être impacté par certaines énergies, tu vas passer par des checkpoints. Ça peut être la maladie, un deuil. des choses graves, mais ton libre-arbitre, c'est comment tu décides de prendre la situation, comment tu décides de rebondir face à cette expérience. Parce que tu peux vivre des choses graves, mais c'est vraiment la manière dont tu vas prendre la chose qui va déterminer le reste. Et ça, c'est très important. Donc, je me le répète tout le temps, c'est comme ma colonne vertébrale. La vie est une simulation. Tu vas passer par des étapes, mais c'est pour évoluer. Je le vois comme... Au début, tu es au level 0. Enfin, zéro, non, parce que voilà, peut-être que dans des vies passées, tu avais atteint un certain level, mais là, dans cette incarnation, tu es au level zéro, ok ? Et donc, step by step, en fonction des expériences, tu vas passer des étapes, passer, passer, passer. Et le but de ta vie, c'est de finir avec le maximum de points possibles, ok ? Donc, rappelle-toi à chaque fois qu'il t'arrive quelque chose ou qu'il y a quelqu'un qui t'énerve, tu as envie de l'étriper, ok ? C'est une simulation, cette personne reflète juste des parts de moi. Peut-être que je n'accepte pas, peut-être que c'est juste un bâtard et que j'ai juste pas envie d'être son pote, mais essaye de comprendre le message derrière cet événement, derrière cette expérience. Voilà, donc légèreté. Ensuite, autre chose, je pense que le fait d'avoir un entourage qui m'aime, ça aide beaucoup. Moi, j'ai des copines que je kiffe, qui me kiffent, j'espère, et le fait de pouvoir parler de sujets profonds avec ces personnes, En fait, pour moi, c'est une bénédiction. Donc, je ne peux qu'être heureuse d'avoir des personnes comme ça autour de moi. Et il y a même certains d'entre vous sur Instagram, avec qui j'ai beaucoup de discussions très profondes. Je me dis, c'est un truc de ouf. On n'est pas juste en train de parler d'une recette de gratin de blette, tu vois. On parle vraiment de choses profondes. Et je vois que ça aide, tu vois. C'est vraiment un miroir entre vous et moi. Parce que moi aussi, vos histoires font écho avec moi. Et le fait que j'ai ma mère, of course, je n'ai même pas envie d'imaginer quelque chose de grave par rapport à ça. Mais le fait que j'ai ma mère avec moi, ça vaut tout l'or du monde. On peut me retirer ce que vous voulez, mais ma mère, je ne peux pas. Donc elle, c'est un petit peu mon phare. Et je pense que je suis son phare. Désolée à mes sœurs qui m'écoutent, mais je pense que je suis le phare de maman. Donc voilà, il y a ça aussi. Ensuite, il y a tous les sujets auxquels je m'intéresse. Vous avez vu que je vous parlais d'astrologie védique. La formation que je suis par rapport à ça est super intéressante. En 2026, j'ai une autre formation, toujours par rapport à ça, j'ai trop trop hâte. Déjà ça, tu vois, c'est un leitmotiv. Ça me motive à faire quelque chose. C'est un fil conducteur. Ça me parle de ouf. Je vois que c'est... Tu vois, genre, tous ces trucs-là, en fait, ça me stimule. Je sais que c'est quelque chose que je dois faire. Il y en a plein avec qui tu parles, ils sont incapables de te répondre à quelle est ta passion ou quelles sont tes passions. Et ça, c'est très problématique. Genre, je trouve que c'est grave. C'est grave parce que, pour moi, une passion, quelque chose dans lequel tu peux passer des heures à t'intéresser, etc. Ça peut être de l'art, ça peut être de l'histoire, la musique, enfin j'en sais rien. Je sais que depuis des années que je suis au lycée, etc., j'aimais trop aller à la bibliothèque du lycée et j'aimais bien lire des livres. J'adorais emprunter des livres sur la philosophie. Et à cette époque, je traînais avec une fille et elle aussi était passionnée par les lectures un peu philosophiques. Mais on était très jeunes, tu vois. à ce moment-là, quand j'étais au lycée. et que je m'intéressais à ces ouvrages philosophiques, etc., j'étais vraiment dans une remise en question de la religion. C'est vraiment... J'avais 15-16 ans et je n'étais pas d'accord, tu vois. Je ne voulais pas qu'on m'impose quelque chose. J'étais vraiment le mouton noir. Donc tout ce qui était hors religion et hors dogmatique en général m'intéressait. Et vraiment, j'ai toujours été intéressée par les trucs paranormaux, et les trucs un peu cachés, les choses comme ça. Vraiment, c'est à l'âge de 17 ans où j'ai eu l'éveil, le premier éveil pour moi. Parce que c'est vraiment à cet âge-là que j'ai commencé à me renseigner sur les réseaux pédocriminels, les mensonges d'État, les choses comme ça. Certains vont dire que c'est des recherches complotistes. Je pense qu'au bout d'un moment, en 2025, tout est vérifiable. Donc, je n'ai même pas envie de débattre là-dessus. Mais faites vos recherches. Il faut se demander au bout d'un moment pourquoi les affaires de pédophilie n'aboutissent jamais. Pourquoi à chaque fois les gens sont relaxés ? Pourquoi à chaque fois on ne croit pas les enfants ? Pourquoi Nanani ? Bref, on a un gouvernement de pédos, je suis désolée, et il faut se renseigner sur ces réseaux parce que c'est comme ça, ça existe et c'est réel. Donc dès l'âge de 17 ans, c'est des sujets qui me passionnaient. Je lisais énormément sur ça et c'est à partir de là que j'ai commencé à comprendre ce qu'était le discernement. Je vous en ai parlé aussi dans l'épisode sur les gourous, les influenceurs et le pouvoir. Et il faut se poser des questions. Il faut se poser des questions. C'est pas parce que quelqu'un est en blouse blanche ou en costard cravate qu'il a plus de crédibilité qu'un vieillard qui est sage, qui donne des cours en dessous des arbres en Grèce. Là, je me suis écartée du sujet et je ne sais plus pourquoi je vous ai raconté ça. Je ne sais pas pourquoi je vous ai dit ça, mais... En tout cas, si je peux faire un lien. Le fait de te renseigner un peu sur la réalité des choses fait que tu vas plus facilement t'émanciper des autorités extérieures. Et quand je dis autorités extérieures, là je parle plus des gouvernements, etc. Ça veut dire que vraiment tu vas être plus dans tes baskets. Parce qu'en fait, ça ne va pas t'impacter ce qu'eux décident, tu vois. Eux, ils décident, mais si tu décides de ne pas jouer leur jeu, tu ne joues pas leur jeu, tu ne fais pas partie du game. Je vous ferai un jour un épisode sur mon évolution aussi par rapport, entre guillemets, au complotisme, parce que je ne considère pas du tout que je suis complotiste, juste que je me pose des questions. Mais il y a eu aussi une grosse évolution par rapport à ça, parce que je suis passée par plein d'états d'âme, mais aujourd'hui, ce n'est plus quelque chose qui nourrit mon cerveau en permanence. Alors qu'à un moment donné, c'était devenu... Vous savez quoi, en fait, je ne vais pas vous en faire un épisode, je vais vous en parler maintenant. Vu que nous sommes dans un épisode qui ne veut rien dire, quand j'ai eu 17 ans, c'est là où j'ai commencé à me renseigner sur tous ces sujets-là. C'est un peu glauque au début, parce que tu rentres vraiment dans un truc wesh. On est dirigé par des malades mentaux, par des fous qui savent très bien ce qu'ils font et qui profitent de nous. Pendant des années, j'ai vécu en me renseignant, parce que quand je vous dis que je me renseignais, c'était que vraiment je... Je pouvais passer des heures et des heures. Le problème, c'est qu'au bout d'un moment, à force de te nourrir d'informations glauques, négatives, dark, ça impacte aussi ton mode de fonctionnement. Ça veut dire que quand j'étais à l'université, parce qu'à ce moment-là, j'étais à l'université, je me disais toujours dans ma tête, ok, là, je suis en train de faire un master, cool, je suis en train d'étudier, mais pourquoi faire ? Parce que de toute façon, notre destin, il est entre les mains des élites, tu vois. Je me remettais tout ça entre les mains des élites. Je me disais, ouais, de toute façon, tout est plafonné. Même, tu vois, si genre t'es passionné par la politique, t'as envie d'être homme politique. Pour moi, je me disais, mais en fait, tu peux pas. Parce que de toute façon, ils tiennent les ficelles d'absolument tout. Donc, tu peux rien faire. Donc, en fait, vraiment, j'avais délégué mon autorité intérieure à toutes ces recherches. Parce que ces recherches étaient en train de driver mon état émotionnel et la manière dont je visualisais l'avenir. donc À ce moment-là, je me disais non. Déjà, je ne veux pas d'enfant. Déjà, à l'époque, je vous ai dit que je ne voulais pas d'enfant. Mais je disais oui, je ne veux pas d'enfant parce que je n'ai pas envie qu'on lui mette des vaccins. Je suis toujours d'accord avec cette idée, d'ailleurs. Je ne veux pas qu'il apprenne des trucs bizarres à l'école. Je suis toujours d'accord avec cette idée. Mais tu vois, pour moi, le moteur de ma vie à ce moment-là, à cette époque, c'était vraiment la peur qu'on me contrôle, qu'eux me contrôlent. et qu'eux décident pour moi, tu vois. Et jusqu'à la période Covid, où là, c'était le pic de ma colère et de toutes ces choses-là, où vraiment, je me suis dit, mais putain, il faut que les gens se réveillent, on se fout de notre gueule, tatatitatata. Quand il y a eu ce pic, qui a duré une bonne année, voire deux ans, j'ai eu un gros moment de silence dans mon âme. Et je me suis dit, attends, est-ce que sincèrement, tu vas passer... ta vie, à lutter contre un système, ou est-ce que tu veux créer ta vie pour quelque chose de positif ? Genre vraiment, ça m'a beaucoup travaillé. Le fait que ça m'ait travaillé, c'est aussi que j'étais en couple avec Val à ce moment-là, et en fait, lui, c'est pas du tout sa lutte. C'était pas sa lutte. Lui, ok, il comprend ce que je dis, mais en fait, il comprend pas pourquoi ça me rend tellement ouf. Il dit en fait... Donc à chaque fois qu'on va sortir de la maison et que tu vas voir que dans le ciel, il y a des nuages toxiques, ça va te rendre ouf. À chaque fois, en fait, ça va te niquer tes journées. Et à force, à force, à force, je me suis dit mais il a raison. En fait, je ne peux pas constamment être impactée par des choses que je ne maîtrise pas. Je ne maîtrise pas ça. Je ne maîtrise pas les hommes politiques. Je ne maîtrise pas ce qu'ils font entre leurs quatre murs. Par contre, ce que je peux maîtriser, c'est ma réaction. C'est comment moi je drive ma vie. Ok, ils veulent nous intoxiquer, j'achète un filtre à 600 balles pour ne pas boire de l'eau intoxiquée. Ok, ils veulent nous intoxiquer avec ci, ça, ça, ok. Le but, c'est que moi, quand je fais mes courses, je les fais en conscience, j'achète au maximum de choses clean, et voilà. Et en fait, j'ai repris contrôle de ma vie en me disant je vais prendre des décisions uniquement sur les domaines où j'ai le contrôle, voilà. Et du coup, ça a tout changé. Donc avant, je n'étais pas du tout comme vous me voyez aujourd'hui. J'étais beaucoup plus dans la lutte et dans le combat. Aujourd'hui, non. En fait, ils font bien ce qu'ils veulent là-haut. J'en ai rien à foutre, moi. Je vis pour Dieu. C'est Dieu qui m'a mise sur terre. Eux, ils ont un plan machiavélique. J'en ai rien à foutre. Mais moi, qu'est-ce que je peux faire dans mon quotidien qui fait que je crée une barrière contre ça ? En fait, juste prenez vos mesures dans votre vie. Ne soyez pas victime de ce qu'on vous impose. Ne soyez pas victime de ce qu'on essaye de vous faire manger, consommer. Et la consommation, ce n'est pas que la nourriture, c'est aussi les informations. À partir du moment où tu éteins ta télé, ton cerveau, c'est chill. Moi, depuis que j'ai l'âge de 17 ans, je vous promets que je ne regarde pas les informations. Depuis cet âge-là, où j'ai compris que les médias, ils sont tous entre eux, financés par un tel, tel, tel, et en fait que tout ça, c'est qu'une mascarade, je ne regarde pas la télé. Pourquoi je vais donner du crédit à BFM ou TF1 ? À quel moment ? Les seuls moments où je regardais la télé, je me souviens, c'était mardi soir, quand il y avait Doctor House. Et c'était le seul moment où je regardais la télé. Et même Netflix ou les séries, je les compte sur les doigts de la main, les séries que j'ai regardées dans ma vie. Pour moi, c'est vraiment... Je le visualise comme une perte de temps. Je suis désolée pour les personnes qui regardent des séries, mais moi, j'arrive pas, en fait. J'arrive pas à comprendre comment on peut passer des heures, des heures, des heures. Et encore, l'année suivante, tu refais encore la même série. Mais pourquoi faire ? On dirait qu'on a un temps illimité sur Terre. Est-ce que t'as pas autre chose à faire ? Sérieusement ? Tu peux pas t'instruire sur d'autres sujets. Donc moi je le dis, le temps il est compté sur Terre. Je pense que Dieu t'a mis sur Terre pour une mission. Donc l'abrutissement et genre le loisir et le divertissement, ça doit pas être le 80% de ton temps. Il y en a qui vont me dire, oui mais tu vois quand je rentre du travail je suis fatiguée, j'ai besoin de me distraire. Ouais, je comprends. Mais à côté de ça... Ok, tu peux te distraire, mais est-ce que tu as des moments où c'est de l'intellect ? Et je ne parle pas de intellect mainstream. Et je ne parle vraiment pas des choses intellect qu'on vous impose aussi. Je pense qu'il faut creuser au-delà des apparences et vraiment derrière la porte. Parce qu'il y a d'autres choses qui s'y cachent. Il y a d'autres informations ultra intéressantes, d'autres choses qu'on nous cache volontairement. Parce que si on nous les montrait, on aurait pleinement pouvoir de nous-mêmes, tu vois. Mais voilà, on veut nous asservir. Donc, On vous présente de la télé-réalité, des trucs débiles. Vas-y, qu'on regarde des reportages à la con sur des sujets bateaux. Tu vois ce que je veux dire ? Tu sais, les titres... Je ne sais pas comment dire. Tu sais, il y a des titres sur M6 à l'époque, genre les gendarmes dans le sud de la France. Tu vois les trucs comme ça ? Qu'est-ce qu'on s'en bat les steaks, en fait ? Genre, va t'intéresser à un sujet qui va nourrir ton âme, qui va faire que tu vas évoluer, que tu vas avoir des nouvelles clés de compréhension. Qu'est-ce que t'en as à faire du taux de délinquentisme dans le sud de la France ? Qu'est-ce que t'en as à faire ? À part alimenter des clichés, alimenter la peur, alimenter je sais pas quoi. Tu vois ce que je veux dire ? Donc moi, à partir du moment où j'ai changé tout ça, je me suis sentie plus responsable de moi-même. Je suis pas l'enfant de la société, pas du tout. Pour moi, j'estime être enfant de Dieu, déjà. Mais voilà, de toute façon, t'as juste à voir comment les gouvernements infantilisent les populations. T'as juste à voir comment ils nous parlent. Genre, on te donne des directives qui n'ont ni queue ni tête, et toi t'es là, d'accord, parce qu'en fait, tu vois, c'est Olivier Véran, il a dit qu'en fait, t'en pouvais pas être debout dans un café, parce que sinon, elle était malade. Tu vois, ce genre de truc. Où était passé le discernement des gens ? Où était passé le cerveau des gens ? Je comprends pas, en fait. Je comprends pas comment on a pu faire gober des choses aussi grosses. Genre, what the fuck, putain ! Là, c'est mardi. Vous m'entendez quand c'est mardi. Je suis vraiment intense et agacée. Donc vraiment, là, c'était plus possible. Là, ça, c'était pas possible. Donc, maintenant, moi, ma responsabilité, déjà, de un, j'arrête de confronter les gens sur ça. Voilà, là, j'en fais un épisode. Ceux qui ont envie d'écouter, ils écoutent. Je cherche pas à vous convaincre. Réfléchissez par vous-même. Est-ce que vous trouvez une logique aux directives qu'ils nous ont données pendant cette période ? La période Covid. Est-ce que sincèrement, les gars, il y a une logique dans tout ça ? Je ne crois pas. On a quand même réussi à faire croire aux gens qu'ils devaient se faire piquer pour protéger les gens qui étaient piqués, qui étaient censés être protégés. Vous vous rendez compte ou pas ? Cette logique. Moi j'arrive toujours pas à m'y faire qu'on a vécu cette période de notre vie. Moi là, si je raconte à mes enfants, tu sais, il s'est passé ça, c'est une dinguerie. Est-ce que tu te rends compte ou pas ? Donc c'est bref. Toujours se poser la question, on m'impose quelque chose ? Mais moi, est-ce que ça vibre avec moi au plus profond de moi ? Est-ce que je trouve que c'est logique ou pas ? Si oui, ok. Si non, non. Oh, on est libre ou on n'est pas libre ? Oh, on a le free will ou pas ? Pour en revenir à ce que je vous disais, donc avant j'étais dans une lutte par rapport à tout ça, aujourd'hui ce n'est plus le cas. J'ai pris les mesures que je devais prendre dans mon quotidien à moi, le fait que j'assainisse un peu ma vie. que je rende les choses plus brutes, plus naturelles. Et ça, c'était ma revanche, en fait. Ça sera toujours ta revanche. Le comment, toi, tu gères ta vie. Qu'est-ce que tu manges ? Ton frigo, il est rempli de quoi ? Est-ce qu'il est rempli de choses toxiques ? Est-ce que c'est ultra transformé ? Ou est-ce que tu aggraves des légumes, tu as des choses brutes ? Ça, c'est le premier impact que vous avez sur vous-même. C'est ce que vous allez consommer, ingérer. Parce que ça, ça va driver tout le reste. Si ton alimentation est composée seulement de choses qui ne proviennent pas de la terre, excuse-moi, mais au bout d'un moment, tu vas déjà le ressentir, parce que ça va vraiment atrophier ton cerveau, tu seras incapable de prendre des décisions, parce que l'alimentation joue énormément sur la motivation, sur comment tu réfléchis, est-ce que tu as le courage de faire ci, de faire ça. Moi, si j'enchaîne deux jours à manger de la merde, déjà de 1, ma peau, je le vois sur ma peau, Et de deux, j'ai envie de rien faire. Ça me met dans un état de léthargie. Donc imaginez quelqu'un, son mode de vie, c'est que de la junk food. Tu ne peux pas te plaindre derrière en disant « Je n'arrive pas à savoir quelle est ma passion dans la vie alors que tu manges de la mayonnaise tous les jours. » J'adore la mayonnaise, mais je n'en mange pas tous les jours parce que je sais très bien que je sais ce qui se passe. Donc on n'est plus à une ère d'ignorance. Ce n'est pas possible. Aujourd'hui, tu ne peux pas me dire euh Oui, mais tu vois, c'est parce que ça me fait plaisir. Ouais, ok, ça te fait plaisir. Mais elle, où ta discipline ? Elle est où ? Je me parle à moi-même. En hiver, je suis la meuf la moins disciplinée. Je n'arrive pas à bouger. Ça me saoule. Ça me saoule de devoir me dire, je vais prendre mes baskets et je vais respirer l'air glacial de Genève. Et que genre, mon nez, il va me piquer. Ça me rend ouf. Mais je suis obligée de le faire. Je vais être obligée, là, avec tout ce que... Tout ce que je fais maintenant, je vais être obligée de le faire. Et si je ne le fais pas, c'est vraiment, je trahis ma propre personne. Je trahis ce que j'ai de plus cher. Et là, je ne parle vraiment pas que de sport, je ne parle vraiment pas que de tout ça. C'est vraiment les choix que vous faites. En vrai, c'est pour vous dire, en vrai de vrai, ce que je dis, c'est que la vie, c'est que des choix. Ok ? Tu as le choix en fait. Tu as le choix d'aller mieux ou tu as le choix de te laisser couler. T'as le choix d'allumer ta télé ou t'as le choix de prendre une autre décision. T'as le choix, t'as toujours le choix. Par contre, si tu fais les choix que tu décides de faire, plus dans le sens négatif, bah faudra pas venir te plaindre et faudra pas venir jacter sur les autres. Ah mais tu vois, elle, regarde, je la vois, elle est partie, elle voyage, ouais, elle a réussi à s'installer à tel endroit, putain, ça fait vraiment chier. Tu vois, tu peux pas rager sur la vie des autres qui ont décidé de faire des choix. Tu peux pas en fait. Et j'ai déjà entendu ce discours dans mon entourage, des personnes que je connais, qui vont vraiment rager sur le destin de quelqu'un d'autre. De un, ton destin, il est propre à toi. De deux, cette personne a fait des choix. Cette personne, en backstage, avant que tu ne vois que le résultat, elle a dû prendre des choix, inconfortables, sûrement, très sûrement. Parce qu'on n'a rien sans rien. Donc, à part ceux qui sont nés avec une cuillère en or dans la bouche, Quand tu vois quelqu'un... qui a réussi, qui est successful, il a pris des choix. Et il a été alerte Ausha. Ça veut dire que quand Dieu lui a mis sur sa route des ultimatums, il a pris des décisions. Ok ? Donc, c'est vraiment ce truc-là que j'essaie de faire comprendre. Tu ne peux pas être inactif et passif et attendre que la vie t'apporte des choses. C'est pas possible. C'est impossible. Donc, oui, j'aborde la vie avec plus de légèreté. C'est vrai. Parce que je me dis toujours, quel que soit le choix que j'ai fait, même si, admettons, sur le court terme, c'était un mauvais choix, je n'estime pas qu'il y a de mauvais choix, j'estime juste que tu vas apprendre autre chose. Même dans la vie, quand j'ai fait des « mauvais choix » , je me suis toujours dit « ok, ce n'est pas grave, on continue, on avance, en fait, on ne va pas rester bloqué sur ce truc-là » . Et ce mindset-là, je l'ai depuis quelques temps. Donc c'est vrai que ça m'aide beaucoup, ça fluidifie l'énergie. Au lieu de se prendre un mur et c'est bon, je m'assois au pied du mur et je pleure et je pleure et vas-y j'attends et je sais pas quoi et je sais pas quoi. Et en plus, je me lamente sur mon sort et en plus j'insulte tout le monde parce que tu vois, c'est toujours de la faute des autres. Non, c'est pas de la faute des autres. Prends la leçon que tu as à apprendre à ce moment-là et keep going, avance. L'énergie du mardi, elle est particulière. Je ne veux pas du tout que vous pensiez que je suis en train de vous engueuler, mais c'est des choses qui me tiennent à cœur. C'est parce que je n'aime pas être témoin de gens qui vraiment se lamentent. Ça, ça me rend ouf, ça m'aspire toute mon énergie. Je me dis, mais ok, là, il y a tel domaine de ta vie, ça ne va pas, tel domaine, ça ne va pas, tel domaine, ça ne va pas. Mais est-ce que tu t'es posé avec toi-même pour te poser des questions ? Est-ce que t'as fait un replay sur toute l'année précédente en réfléchissant, ok, qu'est-ce qui s'est passé à ce moment-là ? Est-ce qu'à ce moment-là, peut-être que j'aurais dû prendre telle décision ? Peut-être que nanana, ok. Donc avec toutes ces informations-là, qu'est-ce que je fais aujourd'hui ? Maintenant, je vais mettre des choses en place, ok ? Moi, je ne veux pas entendre les discours des personnes qui n'ont rien mis en place. Si demain, tu me dis, ouais, ça ne va toujours pas alors que j'ai mis ça, ça, ça, ça, ça en place, que je fais ça, ça, ça, ok. Regardant ton thème astral, peut-être qu'astrologiquement parlant, il y a quelque chose. Mais tu vois que tu me dises, ouais en fait la vie ça me saoule, je suis blasée, tatatitatata, et que toute la journée tu Netflix, toute la journée tu manges des pâtes, toute la journée tu sais pas quoi. Non, moi je veux pas entendre ton message en fait. Je veux que tu bouges ton cul, je veux que tu mettes tes baskets, va marcher en forêt, sens ton téléphone et réfléchis, réfléchis. Je vous engueule pas, je vous promets que je vous engueule pas. Et là, c'est des mots que j'aurais aimé entendre il y a quelques années encore, quand je me lamentais sur mon sort et que je disais que c'est la faute des autres. Et ça, ça vous renvoie à l'épisode où j'ai parlé de la victimisation, mais là, j'étais plus énervée. Là, je trouve que je suis un peu moins énervée. Et du coup, je me suis un peu écartée de mon sujet. On va revenir à la question de base. Comment fais-tu pour être aussi rayonnante ? Donc, je vous ai dit que j'ai des proches que je kiffe et qui me soutiennent énormément. Donc ça, ça aide. Je vous ai dit que je m'étais émancipée de la vision du système, c'est-à-dire que les lois peuvent être votées, les ci, les ça. Moi, je n'ai pas confiance au gouvernement, je n'ai pas confiance à la politique. Nous sommes que des numéros pour eux. Ils tuent comme ils veulent. Vous n'êtes qu'un numéro pour eux. Vous n'êtes qu'un numéro pour eux. Essayez de vous en souvenir. Vivez votre vie en dehors de tout ça. Genre... Qu'est-ce qu'on s'en tape un rein ? Essayez de vivre détachés de ça. Parce que je vous promets qu'il y a d'autres choses à travailler sur vous. Ça, vous n'avez pas de contrôle là-dessus. On essaye de vous faire croire que vous avez du contrôle, on essaye de vous faire croire qu'on est en démocratie. Vous avez juste à voir ce qui se passe actuellement en Palestine pour vous rendre compte que vous n'avez aucun contrôle, que les Nations Unies et que tous ces bordels-là sont liés main dans la main, tous ensemble, et que tout ça, c'est... Voilà. Ils sont en train d'agir en fonction de ce qu'eux ont décidé. Qu'est-ce que tu fais dans ta vie aujourd'hui pour avoir un impact pour la Palestine ? Est-ce que ton mode de consommation a changé ? Est-ce que tu continues d'alimenter toutes les personnes qui alimentent ce génocide ? Est-ce que tu continues d'armer les militaires ? Parce que l'argent est une énergie, mais l'argent circule. À qui donnes-tu ton argent ? Là est la question. Parce que tu peux pleurer toute la journée pour toutes les personnes qui sont en train de mourir là-bas. Tu peux, mais qu'est-ce que tu fais dans ton quotidien ? Où est ta part d'action dans tout ça ? Là, cette histoire, ce génocide est devenu mondial. Donc tout le monde est au courant, on ne peut pas fermer les yeux là-dessus. Quand on vous a demandé de boycotter, bizarrement, toutes les marques qu'on vous demande de boycotter sont des marques globalement ultra transformées, bourrées de sucre, bourrées de trucs... À partir du moment où tu réfléchis à ton mode de consommation, si tu décides de consommer brut, légumes, fruits, pas trop transformés, normalement, tu n'alimentes pas ça. C'est vraiment là où je dis où est-ce que tu peux agir ? Ceux qui ne croient pas au boycott, vous n'avez rien compris. Mais pour moi, ce n'est même pas une question de boycott, c'est une question de mode de vie. Si tu respectes un mode de vie sain, techniquement, Tu ne finances pas de guerre, c'est pas possible. Voilà, je m'écarte un peu du sujet, mais vraiment le fait de prendre vos responsabilités, c'est une libération, c'est une liberté, c'est... vous n'êtes pas manipulable. Quand vous prenez vos responsabilités, vous n'êtes pas manipulable, je vous le répète. C'est... vous êtes maître de votre destin, et ça c'est un truc à se rappeler. Vous pouvez pas être victime de la société en général, vous pouvez pas être victime... de ce que pensent les autres. Vivez votre vie en fonction de ce que votre âme appelle à accomplir. Et là, il ne me reste pas beaucoup de temps pour vous parler. Mais si je dois clôturer cet épisode, je pense que le plus important pour moi, à mon sens, et comment je le vis, c'est Dieu. Si Dieu ne fait pas partie de tes équations, il n'y a rien de solide. Ce n'est pas possible. Je vous l'ai dit dans l'épisode sur les gourous. Si tu n'es pas relié à quelque chose de plus grand que toi, de plus grand que les hommes, les humains, les ci, les ça, ça va s'effondrer comme un château de sable, c'est tout. Château de cartes, château de sable. Mais si pour toi, Dieu est dans tes choix, alors là tu bâtis quelque chose de plus solide. Et c'est vraiment ma conclusion pour moi, le fait vraiment de toujours me rappeler, il y aura toujours Dieu avec moi, il y aura toujours Dieu pour assurer mes arrières dans tout ce que je fais. tant que je le fais avec le cœur, même si ça foire, je sais que Dieu me rendra le centuple. Je sais que je vais récupérer quelque chose derrière. Donc ça m'aide énormément. Et je pense que c'est ma boussole. C'est ma boussole, voilà. Ma boussole, ce n'est pas un humain. Ma boussole, ce n'est pas autre chose. Et plus tu vas te relier à cette boussole intérieure qui est Dieu, appelle-le comme tu veux, le Tout-Puissant. Bref, celui qui a drive tout cet empire cosmique. Si tu te relis à lui le plus souvent, je te promets que tu vas vraiment avoir une intuition beaucoup plus développée et tu vas vraiment comprendre là où il veut t'emmener. Parfois, tu vas être dans le flou. Comme là, j'ai traversé septembre, c'était un peu... Je marchais un peu sur des oeufs, mais j'avais la conviction que Dieu m'emmènerait quelque part. Donc... Là, c'est beaucoup plus clair qu'au mois de septembre. Et je sais encore plus vers où je vais. Donc, je suis trop contente. Je suis optimiste. Et ça, en fait, c'est priceless. Parce que naviguer dans cette vie sans savoir où tu vas, il n'y a rien de plus inconfortable. Vraiment, il n'y a rien de plus inconfortable. Et c'est cyclique. Tu vas repasser par des périodes où tu vas tout remettre en question. Et c'est normal. Et heureusement. Mais pour moi, le fait de tout remettre en question... ça permet de reconsidérer chaque croyance que tu as. Donc c'est indispensable. Bref, je pourrais faire un épisode complet là-dessus. Mais voilà, globalement, soyez bien entourés, connectez-vous à Dieu, à cette essence magique, énorme. Lâchez prise sur les choses sur lesquelles vous n'avez pas le contrôle. Tu n'as pas le contrôle, donc laisse ça derrière. Genre le fait de te dire, ok, je visualise cette chose chiante, je la mets dans un sac. Et je la donne à Dieu et je dis, s'il te plaît, fais-en quelque chose. Moi, je n'ai plus l'énergie, je ne peux pas. Voilà, vous faites comme ça à chaque fois. Visualisez un sac, bam, tu lui poses le sac. S'il te plaît, fais quelque chose avec ce sac. Et parfois, avec ce sac, il va te faire un truc de ouf. Et tu vas dire, mais c'est incroyable, c'est passionnant. Donc, essayez de ne pas forcer les gens à croire absolument à ce que vous vous croyez. Genre, c'est comme ça. Je pense qu'on y a autant de personnes que de prismes différents. vous pouvez... Exposez votre vision des choses, mais ne rentrez pas dans des débats. Et autre point sous-jacent, c'est vrai que depuis que je fais la routine cosmique védique, j'ai un fil conducteur et tout est plus simple. Mais ça, maintenant, je vous l'ai assez vendu. J'y reviendrai plus tard avec autre chose par rapport à cette routine cosmique parce que là, c'était juste une introduction. Mais il y aura plein de nouvelles choses par rapport à ça. Parce que j'ai vraiment envie de travailler avec cet outil. Je pense que j'ai tout dit. N'hésitez pas, si vous avez des questions, à m'écrire en DM Instagram. Bon, non, attends.

  • Speaker #1

    Salam alaikum les popillettes. Attends, j'ai bugué. Salam alaikum les popillettes. Comment ça va ?

  • Speaker #0

    Bon, du coup, j'ai Val avec moi qui va répondre à la question aussi. C'est une manière de clôturer l'épisode. Donc la question c'est, monsieur Pep's, qu'est-ce que t'as dans ta mallette magique, les conseils pour rayonner au plus possible, être optimiste au plus possible ? Voilà, c'est vraiment en réponse au message de Johanna.

  • Speaker #1

    Alors, un truc que je dis tout le temps à Ninou, quand elle est un peu down ou quoi, j'essaye de lui dire de toujours... voir le positif c'est à dire que dans chaque situation il ya du négatif mais dans chaque situation il ya du positif aussi et du coup essayer juste de se de feinter son cerveau en disant je sais pas moi il fait froid Mais se dire, ah bah tiens aujourd'hui il y a la bise, il fait froid, mais ça veut dire qu'il y a grand soleil, du coup c'est cool, il y a du soleil, au moins il ne pleut pas. Et toujours penser positif, je pense qu'à la fin de la journée on se sent mieux. Et après, je pense qu'une des choses, les petits conseils que tout le monde donne, bien manger, faire du sport, tout ça c'est important pour se sentir bien. Mais un que moi j'ai remarqué il y a quelques années, enfin il y a quoi, il y a 2-3 ans maintenant, sur lequel je travaille beaucoup, c'est le sommeil. Et vraiment, quand on dort bien, on passe une super journée. Quand on a l'habitude de bien dormir, on se rend compte que le jour où on a mal dormi, où on n'a pas assez dormi, par exemple, moi j'essaie de dormir 8h par nuit, mais imaginons des jours où si je ne dors que 6h, je me rends compte à quel point je ne suis pas bien quand je n'ai pas beaucoup dormi. Et il y a plein de choses derrière. Il y a des gens qui ont un comportement mauvais avec l'alimentation, ça, ça peut être réglé avec le sommeil. Parce que quand on est fatigué et qu'on s'ennuie, qu'on est un peu pas bien dans notre nu, la tête dans le brouillard, pas bien, la valeur refuge c'est la bouffe. Et moi je me rends compte quand je dors pas bien ou quand j'ai pas assez dormi, je mange beaucoup mais j'ai envie de trucs dégueulasses, de sucre et de junk food. Alors que les autres jours, franchement ça va. Donc le sommeil je pense que c'est vraiment un des gros gros gros piliers. à côté de la nutrition et de faire du sport et d'avoir un comme on dit une activité sociale en gros de sociabiliser avec des gens que ce soit des collègues ou que ce soit des gens à la salle de sport que ce soit votre femme ou vos enfants enfin c'est faut sociabiliser on n'est pas fait pour être tout seul à rien faire quoi et le sommeil donc voilà je sais pas si ça peut vous aider après c'est normal il ya aussi des jours on n'est pas bien et à tout qui nous saoule c'est pas grave, on peut faire avec. Maintenant, si c'est régulier, ou que ça dure toute la journée, ou bien que c'est tout le temps, là, il faut quand même se poser des questions, et essayer de changer sa perception du monde, ou changer des choses dans son quotidien. Et puis, si vous avez une croquette, comme notre croquette, elle apporte tellement de bonheur. Franchement, des fois, je rentre du boulot, j'ai la tête dans le cul, je suis pas bien, je suis fatigué, et juste de la voir contente de me voir, je me dis... Ce petit être, il est là toute la journée, il m'a attendu. Il pourrait se dire qu'il a une vie de merde parce que tout ce qu'il a envie de faire, c'est nous qui lui validons. C'est-à-dire qu'elle a envie de faire ses besoins, c'est nous qui lui donnons la possibilité de faire ses besoins en allant la promener. Elle a envie de manger, c'est nous qui ouvrons le frigo ou qui lui donnons à manger. Alors que nous, c'est pas pareil. Nous, on a faim, on va s'acheter à manger. On a envie d'aller aux toilettes, on va aux toilettes. Du coup, quand je la vois, elle, mais... toute contente, après une journée à m'avoir attendu toute la journée et que je la vois toute contente de me voir ça fait tellement du bien et du coup ça aussi ça participe au fait que j'ai pas beaucoup de moments de down après faut pas être une fragile comme Ninou elle

  • Speaker #0

    c'est vraiment une fragile déjà parle dans le micro ici comment ça je suis une fragile ?

  • Speaker #1

    bien sûr que t'es une fragile par rapport à quoi ? t'es une fragile C'est l'hiver, oh non ! Alors, on était encore au mois de septembre, qu'elle disait Ça va être l'hiver, on va se réveiller, il va faire nuit. Mais pourquoi tu penses déjà à ça ? Pourquoi t'es en train de, dans ton corps, d'envoyer des ondes négatives ? Alors que le truc, c'est dans trois mois qu'on se lève et qu'il fait nuit.

  • Speaker #0

    Écoute.

  • Speaker #1

    Donc, non, vraiment, il faut se dire Ah, c'est trop bien, on est en septembre, ça veut dire qu'il fait encore chaud, on va peut-être encore avoir un été indien. Ah bah tiens, on est en septembre, je peux quand même encore aller rouler en mettant un cuisse à recours. à toujours voir du positif, toujours, toujours, toujours penser positif. Il y a des fois où ce n'est pas possible, quand on est trop énervé, où vraiment il faut essayer de penser positif, mais il y a des moments où ça ne peut pas venir tout de suite. Mais à chaque fois, quelque chose qui ne va pas, réfléchir à une vision en se disant qu'est-ce qui est quand même positif là-dedans ? Et il y a toujours quelque chose en général.

  • Speaker #0

    Bon alors c'est assez ouf parce qu'on a à peu près dit la même chose mais c'est vrai que moi la météo c'est... Toi tu me répètes, toi tu répètes. Tu peux... Attends !

  • Speaker #1

    Tu répètes tout ce que je dis parce que...

  • Speaker #0

    Mais bébé j'ai parlé avant toi, j'ai parlé avant toi.

  • Speaker #1

    En fait le podcast c'est moi qui devrais le faire, tout ce qu'elle dit ce sont mes paroles, elle boit mes mots. Donc peut-être que je devrais sortir mon podcast. Bah fais, fais seulement. Comment je pourrais m'appeler ? Le sportif sauvage.

  • Speaker #0

    Monsieur je sais tout, le vélo sauvage. Bref. Ah ouais. Mais arrête ! Vélo sauvage Non mais bouge Sérieux tu m'énerves là Basket sauvage

  • Speaker #1

    Quoi tu m'as fait mal Allez t'es pas sympa Tu m'as fait mal Là je pourrais penser positif Mais non je vais penser Mais vas-y Non mais là t'es relou Tu m'as fait mal Ah mais c'est cool Parce que ça veut dire Que dans 3 minutes J'aurai plus mal Et je me rendrai compte Qu'il y a quelque chose C'est cool de pas avoir mal Allez dégage Mais du coup T'as pas du tout répondu A la question C'était quoi la question La question c'était

  • Speaker #0

    Du coup t'as pas répondu Parle dans le micro Bon, je me rends compte que lui, il a répondu à la question de manière virgo, c'est-à-dire donner des points basiques lambda. Moi, je te demandais d'aller plus loin dans la réflexion. Mais c'est ok aussi, c'est une réponse qui me convient. Non,

  • Speaker #1

    non, attends, je vais te dire. Pour aller plus loin dans la... Comment t'as dit ? Pour aller plus loin dans quoi ?

  • Speaker #0

    Dans la réflexion.

  • Speaker #1

    Dans la réflexion. Si vous commencez par ces bases-là que je vous ai données, après ça vous ouvre le champ des possibles pour aller plus loin dans la réflexion. Tandis que si déjà là vous avez un mur pour les trucs de base, vous pourrez jamais aller plus loin dans la réflexion. Ça sert à rien d'aller chercher des trucs hyper compliqués quand vous avez pas commencé par... faire les choses qui sont simples.

  • Speaker #0

    Oui, ça, je suis d'accord.

  • Speaker #1

    Donc, les premières choses à faire, c'est les choses simples.

  • Speaker #0

    On est complémentaires.

  • Speaker #1

    On est complémentaires de quoi ? Dans nos réponses ?

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #1

    Car Duka... La pauvre, elle est en train de se péter la gueule. Salut, ma fille. Enfin, voilà. Si vous voulez, je vous loue Duka. C'est 1000 francs la journée. C'est une consultante. Ah non, à Genève, c'est 1500 francs la journée. Hein croquis, je te loue

  • Speaker #0

    Tu m'énerves.

  • Speaker #1

    Pourquoi ?

  • Speaker #0

    Tu me fatigues. Attends,

  • Speaker #1

    attends.

  • Speaker #0

    Attends, attends, attends.

  • Speaker #1

    Donc, je l'énerve, mais c'est elle, là, je dois aller faire cette peinture. Donc là, vous voyez, il y a un truc qui me saoule. Mais qui me saoule, c'est cette peinture. Je pensais que ça allait me prendre 4 jours. Au final, ça me prend 7 jours parce que je ne prends pas en compte les temps de séchage pour faire la chambre. Donc, je dois faire le plafond, 6 heures de séchage. Donc, comme je travaille, je fais quoi ? Ça pousse au lendemain. Donc, le lendemain, je dois faire la deuxième couche, 6 heures de séchage. C'est hyper dur à dire. Qu'est-ce que je dois faire ? Je dois attendre le lendemain. Après j'ai les murs de couche, donc ça veut dire que ça, ça va me prendre 4 jours juste pour faire la peinture. Plus avant la sous-couche, ça m'a pris une journée. Plus l'enduit de rebouchage, ça m'a pris une journée. Les joints en silicone que j'avais oublié de faire, ça m'a pris une journée d'attente encore. Vraiment c'est... Force à vous les potes.

  • Speaker #0

    Du coup t'as appris quoi pendant cette expérience dramatique ? Qu'avez-vous appris pendant ces heures de peinture ?

  • Speaker #1

    Alors déjà, je me suis dit... J'ai beaucoup de respect pour ceux qui font ça comme métier à vie. Je suis reconnaissant de ne pas avoir besoin de faire ça pour gagner ma vie. Je me suis dit, c'est trop bien, j'ai appris une nouvelle chose. Parce que moi je kiffe bien apprendre ça et c'est toujours cool quand on peut le faire soi-même. Ensuite, qu'est-ce que j'ai appris d'autre ? Il y a quand même la satisfaction de l'avoir fait soi-même. Donc là, c'est une galère, mais je sais que pour le résultat final, je vais être super content. Parce que j'en pouvais plus de cette chambre qui était beaucoup trop sombre, dans laquelle j'aimais pas aller, j'aimais pas rester. Donc on avait une chambre qui servait à rien au final, c'était le bidonville de Nino. Bah là maintenant on va avoir une vraie chambre, avec un lit d'un mètre quatre-vingt, comme ça on va mieux dormir tous les deux. Donc voilà, je pense à ce côté positif, c'est chiant mais j'y vais. C'est comme pour le sport, il y a des moments où on a pas envie d'y aller, mais il faut penser pour le positif derrière. Si t'as une prépa et que t'as un objectif, tu penses à l'objectif, tu te dis ok, là c'est la galère, mais j'ai un objectif derrière. Après, bon.

  • Speaker #0

    Et voilà, je vous souhaite une très bonne semaine. Je ne sais pas quand est-ce que je vais pouvoir monter cet épisode. Je pense demain, mercredi. Et je vous le poste mercredi. Voilà. Bisous, prenez soin de vous.

Description

🎙️ Épisode 16 : "La vie est un jeu : à toi de jouer de manière pro-active (+ avis de Val)"


Hola chicos y chicas,


Je vous ai tourné un épisode spontané +++ ,


Dans cet épisode, j'ai souhaité répondre à un commentaire reçu (au passage, merci). Il me semblait intéressant et important de vous donner les clés qui me servent au quotidien.


Val intervient en fin d'épisode avec ses conseils de Virgo :)


Je n'ai pas plus de choses à ajouter dans cette bio, je vous souhaite une très belle écoute !

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Instagram : @ninou.vlog

Site internet : Ninoufood.com

Crédit photo : Pinterest


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hola chicos y chicas, j'espère que vous allez bien, ça fait plus d'un mois que je n'ai pas tourné d'épisode, là j'ai pas trop de temps mais je me suis dit comme Val n'est pas là, je vais quand même prendre mon micro, potentiellement que ça va résonner parce que je suis pas dans la pièce dans laquelle je tourne mes épisodes habituellement, mais voilà je me suis dit je peux pas vous laisser comme ça sachant que là je vais en retraite à la fin de la semaine pour plusieurs jours donc je vais pas pouvoir tourner d'épisode à ce moment là et voilà je voulais quand même vous dire faire un retour par rapport à tout ce qui se passe en ce moment dans ma vie depuis plus d'un mois. J'ai réalisé plein de choses, j'ai avancé sur plein de points, il y a plein de triggers qui sont ressortis et du coup j'ai dû travailler sur plein de parties de moi. Je pense que c'est pareil pour vous parce que c'est la période qui veut ça. J'ai reçu un message sur Instagram d'une personne qui s'appelle Johanna, coucou Johanna, qui m'a dit Hello, comment fais-tu pour être aussi rayonnante ? L'amour, le sport, les amis ou une philosophie, mais laquelle ? Tu es rayonnante, on kiffe. Et je me disais que c'était important que je réponde de manière générale, parce que c'est pas la première personne qui me dit ça, mais souvent c'est des nouvelles personnes qui me suivent, donc ils ont pas le background, ils voient juste quelqu'un qui rigole tout le temps, et du coup ils se disent, bon bah toute ma life en fait je suis comme ça. Aux personnes qui pensent la même chose que Johanna, sachez que ce n'est pas toujours comme ça. Je pense que ceux qui écoutent le podcast, vous me connaissez déjà, donc vous savez que ce n'est pas le cas. Mais c'est vrai que je suis plus de nature optimiste que pessimiste. Je me suis dit que j'en ferais un épisode parce qu'il y a plein de choses à dire autour de cette question. Je pense que, déjà de 1, arrêtez de croire que ce que vous voyez sur les réseaux sociaux. Il y a des gens qui ont des batailles en silence. et qui ne vous le montrent pas. Mais la chose que je voulais dire, c'est que ça fait quand même un certain temps, plusieurs années, que j'ai un autre fonctionnement. Je vous en ai déjà parlé dans l'épisode sur la victimisation, mais j'ai arrêté de subir les choses de la vie en me disant « mais pourquoi ça m'arrive à moi ? » Et ça, déjà, ça a été un gros déclic dans tout ce que j'ai fait dans ma vie. Parce que du coup, quand il t'arrive quelque chose, Le fait de ne pas se flageller ou de dire « ah mais c'est moi la miskine dans l'histoire » , ça change tout. Ça veut dire que déjà tu prends les devants, tu prends tes responsabilités et tu cherches à résoudre le problème si tu peux le résoudre. Vraiment, le fait de ne pas se lamenter sur son sort, c'est une libération. C'est quelque chose qui m'a beaucoup aidée. Là, pour ceux qui ont suivi, en septembre, j'étais en conflit avec un client qui ne veut pas payer une facture. parce que la personne a annulé en last minute et du coup, ça m'a mis dans une situation inconfortable parce que j'aurais pu mettre un autre client à ce moment-là sachant que c'était ma haute saison. Et du coup, j'étais quand même en colère parce qu'elle m'a fait passer pour une personne qui ne savait pas gérer. Elle m'a dit « Oui, tu n'avais qu'à me faire signer un truc. Moi, je ne vois pas de quoi tu parles. » Bref, vous avez suivi l'histoire. Et auparavant... Je me serais vraiment mis dans un état où je me victimise. En mode, putain, ça me fait chier, parce que voilà, tatati, tatata. Mais en fait, il m'est arrivé ça. Et le premier truc que je me suis dit, c'est, j'ai merdé, parce que j'ai pas su protéger mon travail. C'est de ma faute, en fait. Enfin, c'est en partie de ma faute. Après, le fait qu'elle soit malhonnête, c'est de sa faute, tu vois. Mais factuellement parlant, je suis responsable, tu vois. Même s'il y en a plein qui m'ont dit que légalement, je peux quand même porter plainte contre elle, parce qu'on a des échanges de mail, etc. Mais voilà, je me suis dit, j'ai fauté. Alors qu'il y a trois ans, je ne me serais jamais remise en question. J'aurais pété les plombs, cette histoire, j'aurais encore eu le seum aujourd'hui. Donc de cette histoire, ce qui s'est passé, c'est que j'ai refait tout mon site internet de manière claire, lisible. propre, j'ai mis à jour mes conditions générales de vente de manière claire, correcte tout est carré et j'ai tout remis et les conditions générales de vente, avant elles étaient en tout petit en bas de mon site internet, maintenant elles sont en Ausha droite en gros, donc tu vois en fait et maintenant j'ai tous les documents donc à chaque fois qu'on me fait une demande, j'envoie les conditions générales de vente et toutes les informations complémentaires dans l'email comme ça en fait je me protège ... Donc, de cette histoire où, entre guillemets, on me l'a mise à l'envers, j'en ai tiré des leçons. Et en fait, c'est ça que vous devez faire à chaque fois que vous rencontrez une situation où vous sentez que vous êtes, entre guillemets, victime. Ok, je suis victime, mais qu'est-ce que je peux faire de cette situation ? Où est ma part de responsabilité ? Comment est-ce que je peux m'en sortir ? Donc, voilà, cette histoire, elle est passée derrière moi. Voilà, je pense qu'elle ne paiera jamais cette facture. Tant pis, mais pour les prochains, je ne me ferai pas avoir. Autre point, si on peut rester dans le business, cet épisode, je vais aller dans tous les sens parce que je n'ai pas beaucoup de temps pour vous parler, mais je vais vous dire un peu toutes les réalisations que j'ai faites ces derniers temps. Et du coup, je voulais dire quoi ? Attendez, j'ai dit le plan professionnel. Ouais, voilà. Sur le plan professionnel, je vous avais dit en story Instagram, si tu veux réussir dans un business, tu ne dois pas mettre d'émotionnel dedans. Il y en a peut-être qui ne seront pas d'accord avec moi. Mais je pense sincèrement que le fait de mettre trop de compassion, trop de laxisme, trop d'émotionnel et de sentimental dans un business, ça fait qu'il n'avance pas. Ou en fait, ça fait comme si tu mettais des trous dans un sac d'argent. Et en fait, du coup, l'argent fuit, tu vois. Et ça, j'en suis convaincue. Là, ça fait quatre ans que maintenant, j'ai mon business. Quatre ans que c'est quelque chose qui est récurrent. à chaque fois que je vais mettre du sentimental. Ah non, mais vas-y, c'est parce que je la connais. Ah, mais parce que tu vois, sa situation, elle est compliquée. Tu vois, dès que je commence à travailler comme ça dans mon cerveau, tu peux être sûr qu'à la fin, je n'ai pas de bénéf. Tu vois, où il se passe quelque chose, une couille dans le pâté, comme on dit, qui fait que ça me plombe, en fait. Ça ne me met pas à un next level. Donc, quand j'ai compris ça, j'ai commencé à fermer l'entonnoir. Tu vois, j'ai vraiment resserré, comment dire ? J'ai vraiment refermé les vannes et à chaque fois, les rares fois où j'ai rouvert un peu les vannes, je me suis faite niquer. Tu vois ce que je veux dire ? Donc après, je sais que moi dans le business, j'ai une très forte blessure de trahison. Donc je vais vouloir tout contrôler, je vais vouloir ne pas laisser l'autre avoir une grosse marge de manœuvre. Je vais vouloir garder en fait mon truc à moi, tu vois. C'est vraiment... Mon travail, c'est ma créativité. Je n'ai pas envie de la partager avec quelqu'un d'autre. Par exemple, je ne me vois jamais m'associer avec quelqu'un parce que je ne vois pas l'intérêt. Parce que dans ma tête, je peux tout faire toute seule. Là, à l'heure où je vous parle, je ne me vois toujours pas m'associer avec quelqu'un. Quand je parle de mon business, tout ce que je fais, par exemple, le podcast, les retraites, etc., je ne me vois pas... être en duo avec quelqu'un, pour l'instant, tu vois. Parce que j'ai pas envie de me faire avoir, j'ai pas envie qu'on profite de moi, et j'ai pas envie qu'on m'utilise. Donc c'est pour ça aussi que je refuse quand même beaucoup de collaborations, et il y en a qui vont se reconnaître en écoutant l'épisode, parce que j'ai pas envie, tu vois. Pour moi, c'est encore une zone inconfortable, et j'ai pas encore réglé le problème par rapport à ça. Donc, je prends mon temps. jamais m'assouplir à ce niveau-là. C'est juste que pour le moment, je pense que j'ai encore beaucoup de travail à faire sur moi pour ouvrir un peu plus mon champ énergétique, on va dire. Donc vraiment là, ce mois de septembre et mois d'octobre, je suis en introspection profonde, beaucoup plus qu'en début d'année 2025. Là, c'est vraiment comme si je plongeais dans le fond du fond. et que j'essaye de tirer les derniers enseignements que je peux tirer de cette année 9. Autre chose pour reprendre la question principale qui est comment est-ce que tu fais pour rester toujours aussi rayonnante ? Je pense que j'essaye de ne pas me mentir à moi-même. La plupart du temps, même si on me fait des remarques, des réflexions qui ont pour but de me faire évoluer, au début ça me pique à mort, ça peut me trigger de ouf, mais le message qu'on m'a donné Je réfléchis quand même, tu vois, et je me dis « Ok » . Mais ce fonctionnement, je l'ai que avec mes proches. Si t'es quelqu'un que je connais pas, qui va m'attaquer personnellement, je m'en tape un rein, en fait. Mais tu vois, si par exemple Val me dit quelque chose, ma mère me dit quelque chose, bah, ok, sur le coup, ça m'énerve, mais je vais quand même réfléchir. Du coup, je pense le fait de ne pas se mentir à soi-même, ou au moins possible, parce qu'on se ment quand même à nous-mêmes, ça aide énormément à... Je sais pas, ça décape des couches d'ego. Sincèrement, je pense qu'on doit quand même réfléchir à ce que nos proches disent de nous. Je pense pas que la vie soit si anodine et qu'on ne doive pas réfléchir à comme on est, etc. Tu vois, les gens, en général, on a tendance à dire « Ouais, ça c'est mon trait de caractère et c'est comme ça. » « Ouais, je suis comme ci et c'est comme ça. » Mais je suis pas d'accord avec ça. Parce que le fait d'affirmer un trait de personnalité, par exemple quand je disais avant « Ouais, je suis tout le temps en colère » et alors c'est comme ça. En fait, ça m'empêche de travailler dessus. Ça veut dire que dans ma tête, je me dis, en fait, oui. Je suis une meuf en colère, je suis comme ci, comme ça, donc c'est comme ça, les gens ils n'ont qu'à composer avec. Mais en fait non, c'est pas comme ça que ça fonctionne. Déjà, comprendre d'où vient ce trait de caractère, avant qu'il ne te possède, tu vois. Parce que moi au bout d'un moment ça m'a complètement possédé. J'étais incapable de discuter avec quelqu'un sur un sujet qui me tient à cœur sans que je m'énerve, c'était pas possible. Genre il fallait que je fasse entendre à l'autre ce que j'avais à dire. Et genre vraiment c'était des états... extrême d'énervement. Clairement, j'écoutais plus du tout ce que tu disais, et si tu m'écoutais pas, vraiment, c'était pas possible. Déjà, arrêter de se répéter, je suis comme ci, et alors ? Je suis comme ci, et puis c'est comme ça. Je suis comme ci, et tatata. Je pense qu'on doit travailler sur ces points-là, que les gens remarquent de manière extrême, sans forcément se façonner aux autres, mais comprendre que c'est aussi un message. Ok, je suis tout le temps en colère, mais ça vient d'où ? Pourquoi ? Pourquoi en fait, qu'est-ce que ça vient activer chez moi ? Moi quand je m'énerve dans une discussion, c'est parce que je sens que l'autre en fait il m'écoute pas. Donc en fait, ça part du sentiment de ne pas être entendu, de ne pas être considéré. Et en fait, tu vas, tu dénoues, tu dénoues, tu dénoues, tu vas de plus en plus profond et là tu dis ok. Et là dans ta tête, t'essayes de régler le problème en te disant ok je me sens pas entendu, mais ça c'est ma blessure qui parle. Peut-être qu'il m'a écouté. Peut-être qu'il m'a entendu, mais moi aussi, je dois l'écouter et je dois entendre ce qu'il a à dire. On n'est pas obligé d'être du même avis. Et tu essayes de rééquilibrer. Parce que sinon, tu vis vraiment constamment dans un état de victimisation en te disant que les autres sont tous des bâtards et que toi, t'es le meilleur. Mais ce n'est pas comme ça qu'on fonctionne. Sinon, on serait des animaux. Donc c'est vrai qu'avant, j'avais beaucoup plus de confrontations que maintenant. Et je ne dis pas que j'ai changé d'avis par rapport à certains sujets. Il y a des sujets sur lesquels j'ai vraiment des idées fixes. C'est mes propres croyances. Et je ne vais pas déroger à ça. Par contre, je ne vais pas me confronter à toi sur ce sujet-là parce que je sais qu'en fait, on ne sera pas d'accord. Et ça ne sert à rien. Tu vas essayer de me laver le cerveau. Je vais essayer de te laver le cerveau. Et c'est stérile. Ça ne sert à rien. Donc, je n'aborde presque plus les sujets clivants et les sujets où je ne suis pas d'accord avec les gens. parce que ça mène à rien et je passe juste pour une extrémiste ou une radicale ou j'en sais rien. Donc voilà, ça c'est une tranquillité d'esprit depuis un petit moment. Ensuite, pour répondre à Johanna et sa question, pourquoi est-ce que j'ai l'air rayonnante ? Je pense que oui, parfois je suis rayonnante, mais pourquoi ? Parce que j'essaye de prendre les choses avec plus de légèreté. Je visualise sincèrement la vie. comme un jeu vidéo, comme une simulation. Vraiment, je ne vois pas autrement que comme ça. Et dès qu'il m'arrive quelque chose de dramatique, genre au bout d'aller pas longtemps, j'essaie de me rappeler, c'est une simulation, calme-toi, arrête de prendre les choses trop à cœur, parce que voilà, tu sais, j'essaie de sortir de mon rôle, je me vois de l'extérieur et je me dis, c'est qu'un jeu, tu as déjà vécu des situations... bancale, dramatique, compliquée, et à chaque fois c'est revenu dans l'ordre, et à chaque fois tu t'es rendu compte que cette situation n'est pas arrivée pour rien. Cette situation est venue t'apprendre quelque chose. Donc maintenant, à chaque fois qu'il m'arrive un truc vraiment chiant, je prends du recul très rapidement. Alors que vraiment avant, le truc pouvait durer très longtemps dans ma tête, me provoquer de l'anxiété, impossible de dormir, etc. Donc rappelez-vous que la vie est une simulation. et que n'importe quoi que tu feras, tu passeras par les checkpoints que Dieu a réservés pour toi. Et c'est comme ça, tu vois. Mais tu peux toujours moduler. En fait, c'est ça que je vous ai expliqué dans l'épisode sur l'astrologie. C'est qu'on a une destinée, mais on a un libre arbitre. La destinée, c'est vraiment que tu vas être impacté par certaines énergies, tu vas passer par des checkpoints. Ça peut être la maladie, un deuil. des choses graves, mais ton libre-arbitre, c'est comment tu décides de prendre la situation, comment tu décides de rebondir face à cette expérience. Parce que tu peux vivre des choses graves, mais c'est vraiment la manière dont tu vas prendre la chose qui va déterminer le reste. Et ça, c'est très important. Donc, je me le répète tout le temps, c'est comme ma colonne vertébrale. La vie est une simulation. Tu vas passer par des étapes, mais c'est pour évoluer. Je le vois comme... Au début, tu es au level 0. Enfin, zéro, non, parce que voilà, peut-être que dans des vies passées, tu avais atteint un certain level, mais là, dans cette incarnation, tu es au level zéro, ok ? Et donc, step by step, en fonction des expériences, tu vas passer des étapes, passer, passer, passer. Et le but de ta vie, c'est de finir avec le maximum de points possibles, ok ? Donc, rappelle-toi à chaque fois qu'il t'arrive quelque chose ou qu'il y a quelqu'un qui t'énerve, tu as envie de l'étriper, ok ? C'est une simulation, cette personne reflète juste des parts de moi. Peut-être que je n'accepte pas, peut-être que c'est juste un bâtard et que j'ai juste pas envie d'être son pote, mais essaye de comprendre le message derrière cet événement, derrière cette expérience. Voilà, donc légèreté. Ensuite, autre chose, je pense que le fait d'avoir un entourage qui m'aime, ça aide beaucoup. Moi, j'ai des copines que je kiffe, qui me kiffent, j'espère, et le fait de pouvoir parler de sujets profonds avec ces personnes, En fait, pour moi, c'est une bénédiction. Donc, je ne peux qu'être heureuse d'avoir des personnes comme ça autour de moi. Et il y a même certains d'entre vous sur Instagram, avec qui j'ai beaucoup de discussions très profondes. Je me dis, c'est un truc de ouf. On n'est pas juste en train de parler d'une recette de gratin de blette, tu vois. On parle vraiment de choses profondes. Et je vois que ça aide, tu vois. C'est vraiment un miroir entre vous et moi. Parce que moi aussi, vos histoires font écho avec moi. Et le fait que j'ai ma mère, of course, je n'ai même pas envie d'imaginer quelque chose de grave par rapport à ça. Mais le fait que j'ai ma mère avec moi, ça vaut tout l'or du monde. On peut me retirer ce que vous voulez, mais ma mère, je ne peux pas. Donc elle, c'est un petit peu mon phare. Et je pense que je suis son phare. Désolée à mes sœurs qui m'écoutent, mais je pense que je suis le phare de maman. Donc voilà, il y a ça aussi. Ensuite, il y a tous les sujets auxquels je m'intéresse. Vous avez vu que je vous parlais d'astrologie védique. La formation que je suis par rapport à ça est super intéressante. En 2026, j'ai une autre formation, toujours par rapport à ça, j'ai trop trop hâte. Déjà ça, tu vois, c'est un leitmotiv. Ça me motive à faire quelque chose. C'est un fil conducteur. Ça me parle de ouf. Je vois que c'est... Tu vois, genre, tous ces trucs-là, en fait, ça me stimule. Je sais que c'est quelque chose que je dois faire. Il y en a plein avec qui tu parles, ils sont incapables de te répondre à quelle est ta passion ou quelles sont tes passions. Et ça, c'est très problématique. Genre, je trouve que c'est grave. C'est grave parce que, pour moi, une passion, quelque chose dans lequel tu peux passer des heures à t'intéresser, etc. Ça peut être de l'art, ça peut être de l'histoire, la musique, enfin j'en sais rien. Je sais que depuis des années que je suis au lycée, etc., j'aimais trop aller à la bibliothèque du lycée et j'aimais bien lire des livres. J'adorais emprunter des livres sur la philosophie. Et à cette époque, je traînais avec une fille et elle aussi était passionnée par les lectures un peu philosophiques. Mais on était très jeunes, tu vois. à ce moment-là, quand j'étais au lycée. et que je m'intéressais à ces ouvrages philosophiques, etc., j'étais vraiment dans une remise en question de la religion. C'est vraiment... J'avais 15-16 ans et je n'étais pas d'accord, tu vois. Je ne voulais pas qu'on m'impose quelque chose. J'étais vraiment le mouton noir. Donc tout ce qui était hors religion et hors dogmatique en général m'intéressait. Et vraiment, j'ai toujours été intéressée par les trucs paranormaux, et les trucs un peu cachés, les choses comme ça. Vraiment, c'est à l'âge de 17 ans où j'ai eu l'éveil, le premier éveil pour moi. Parce que c'est vraiment à cet âge-là que j'ai commencé à me renseigner sur les réseaux pédocriminels, les mensonges d'État, les choses comme ça. Certains vont dire que c'est des recherches complotistes. Je pense qu'au bout d'un moment, en 2025, tout est vérifiable. Donc, je n'ai même pas envie de débattre là-dessus. Mais faites vos recherches. Il faut se demander au bout d'un moment pourquoi les affaires de pédophilie n'aboutissent jamais. Pourquoi à chaque fois les gens sont relaxés ? Pourquoi à chaque fois on ne croit pas les enfants ? Pourquoi Nanani ? Bref, on a un gouvernement de pédos, je suis désolée, et il faut se renseigner sur ces réseaux parce que c'est comme ça, ça existe et c'est réel. Donc dès l'âge de 17 ans, c'est des sujets qui me passionnaient. Je lisais énormément sur ça et c'est à partir de là que j'ai commencé à comprendre ce qu'était le discernement. Je vous en ai parlé aussi dans l'épisode sur les gourous, les influenceurs et le pouvoir. Et il faut se poser des questions. Il faut se poser des questions. C'est pas parce que quelqu'un est en blouse blanche ou en costard cravate qu'il a plus de crédibilité qu'un vieillard qui est sage, qui donne des cours en dessous des arbres en Grèce. Là, je me suis écartée du sujet et je ne sais plus pourquoi je vous ai raconté ça. Je ne sais pas pourquoi je vous ai dit ça, mais... En tout cas, si je peux faire un lien. Le fait de te renseigner un peu sur la réalité des choses fait que tu vas plus facilement t'émanciper des autorités extérieures. Et quand je dis autorités extérieures, là je parle plus des gouvernements, etc. Ça veut dire que vraiment tu vas être plus dans tes baskets. Parce qu'en fait, ça ne va pas t'impacter ce qu'eux décident, tu vois. Eux, ils décident, mais si tu décides de ne pas jouer leur jeu, tu ne joues pas leur jeu, tu ne fais pas partie du game. Je vous ferai un jour un épisode sur mon évolution aussi par rapport, entre guillemets, au complotisme, parce que je ne considère pas du tout que je suis complotiste, juste que je me pose des questions. Mais il y a eu aussi une grosse évolution par rapport à ça, parce que je suis passée par plein d'états d'âme, mais aujourd'hui, ce n'est plus quelque chose qui nourrit mon cerveau en permanence. Alors qu'à un moment donné, c'était devenu... Vous savez quoi, en fait, je ne vais pas vous en faire un épisode, je vais vous en parler maintenant. Vu que nous sommes dans un épisode qui ne veut rien dire, quand j'ai eu 17 ans, c'est là où j'ai commencé à me renseigner sur tous ces sujets-là. C'est un peu glauque au début, parce que tu rentres vraiment dans un truc wesh. On est dirigé par des malades mentaux, par des fous qui savent très bien ce qu'ils font et qui profitent de nous. Pendant des années, j'ai vécu en me renseignant, parce que quand je vous dis que je me renseignais, c'était que vraiment je... Je pouvais passer des heures et des heures. Le problème, c'est qu'au bout d'un moment, à force de te nourrir d'informations glauques, négatives, dark, ça impacte aussi ton mode de fonctionnement. Ça veut dire que quand j'étais à l'université, parce qu'à ce moment-là, j'étais à l'université, je me disais toujours dans ma tête, ok, là, je suis en train de faire un master, cool, je suis en train d'étudier, mais pourquoi faire ? Parce que de toute façon, notre destin, il est entre les mains des élites, tu vois. Je me remettais tout ça entre les mains des élites. Je me disais, ouais, de toute façon, tout est plafonné. Même, tu vois, si genre t'es passionné par la politique, t'as envie d'être homme politique. Pour moi, je me disais, mais en fait, tu peux pas. Parce que de toute façon, ils tiennent les ficelles d'absolument tout. Donc, tu peux rien faire. Donc, en fait, vraiment, j'avais délégué mon autorité intérieure à toutes ces recherches. Parce que ces recherches étaient en train de driver mon état émotionnel et la manière dont je visualisais l'avenir. donc À ce moment-là, je me disais non. Déjà, je ne veux pas d'enfant. Déjà, à l'époque, je vous ai dit que je ne voulais pas d'enfant. Mais je disais oui, je ne veux pas d'enfant parce que je n'ai pas envie qu'on lui mette des vaccins. Je suis toujours d'accord avec cette idée, d'ailleurs. Je ne veux pas qu'il apprenne des trucs bizarres à l'école. Je suis toujours d'accord avec cette idée. Mais tu vois, pour moi, le moteur de ma vie à ce moment-là, à cette époque, c'était vraiment la peur qu'on me contrôle, qu'eux me contrôlent. et qu'eux décident pour moi, tu vois. Et jusqu'à la période Covid, où là, c'était le pic de ma colère et de toutes ces choses-là, où vraiment, je me suis dit, mais putain, il faut que les gens se réveillent, on se fout de notre gueule, tatatitatata. Quand il y a eu ce pic, qui a duré une bonne année, voire deux ans, j'ai eu un gros moment de silence dans mon âme. Et je me suis dit, attends, est-ce que sincèrement, tu vas passer... ta vie, à lutter contre un système, ou est-ce que tu veux créer ta vie pour quelque chose de positif ? Genre vraiment, ça m'a beaucoup travaillé. Le fait que ça m'ait travaillé, c'est aussi que j'étais en couple avec Val à ce moment-là, et en fait, lui, c'est pas du tout sa lutte. C'était pas sa lutte. Lui, ok, il comprend ce que je dis, mais en fait, il comprend pas pourquoi ça me rend tellement ouf. Il dit en fait... Donc à chaque fois qu'on va sortir de la maison et que tu vas voir que dans le ciel, il y a des nuages toxiques, ça va te rendre ouf. À chaque fois, en fait, ça va te niquer tes journées. Et à force, à force, à force, je me suis dit mais il a raison. En fait, je ne peux pas constamment être impactée par des choses que je ne maîtrise pas. Je ne maîtrise pas ça. Je ne maîtrise pas les hommes politiques. Je ne maîtrise pas ce qu'ils font entre leurs quatre murs. Par contre, ce que je peux maîtriser, c'est ma réaction. C'est comment moi je drive ma vie. Ok, ils veulent nous intoxiquer, j'achète un filtre à 600 balles pour ne pas boire de l'eau intoxiquée. Ok, ils veulent nous intoxiquer avec ci, ça, ça, ok. Le but, c'est que moi, quand je fais mes courses, je les fais en conscience, j'achète au maximum de choses clean, et voilà. Et en fait, j'ai repris contrôle de ma vie en me disant je vais prendre des décisions uniquement sur les domaines où j'ai le contrôle, voilà. Et du coup, ça a tout changé. Donc avant, je n'étais pas du tout comme vous me voyez aujourd'hui. J'étais beaucoup plus dans la lutte et dans le combat. Aujourd'hui, non. En fait, ils font bien ce qu'ils veulent là-haut. J'en ai rien à foutre, moi. Je vis pour Dieu. C'est Dieu qui m'a mise sur terre. Eux, ils ont un plan machiavélique. J'en ai rien à foutre. Mais moi, qu'est-ce que je peux faire dans mon quotidien qui fait que je crée une barrière contre ça ? En fait, juste prenez vos mesures dans votre vie. Ne soyez pas victime de ce qu'on vous impose. Ne soyez pas victime de ce qu'on essaye de vous faire manger, consommer. Et la consommation, ce n'est pas que la nourriture, c'est aussi les informations. À partir du moment où tu éteins ta télé, ton cerveau, c'est chill. Moi, depuis que j'ai l'âge de 17 ans, je vous promets que je ne regarde pas les informations. Depuis cet âge-là, où j'ai compris que les médias, ils sont tous entre eux, financés par un tel, tel, tel, et en fait que tout ça, c'est qu'une mascarade, je ne regarde pas la télé. Pourquoi je vais donner du crédit à BFM ou TF1 ? À quel moment ? Les seuls moments où je regardais la télé, je me souviens, c'était mardi soir, quand il y avait Doctor House. Et c'était le seul moment où je regardais la télé. Et même Netflix ou les séries, je les compte sur les doigts de la main, les séries que j'ai regardées dans ma vie. Pour moi, c'est vraiment... Je le visualise comme une perte de temps. Je suis désolée pour les personnes qui regardent des séries, mais moi, j'arrive pas, en fait. J'arrive pas à comprendre comment on peut passer des heures, des heures, des heures. Et encore, l'année suivante, tu refais encore la même série. Mais pourquoi faire ? On dirait qu'on a un temps illimité sur Terre. Est-ce que t'as pas autre chose à faire ? Sérieusement ? Tu peux pas t'instruire sur d'autres sujets. Donc moi je le dis, le temps il est compté sur Terre. Je pense que Dieu t'a mis sur Terre pour une mission. Donc l'abrutissement et genre le loisir et le divertissement, ça doit pas être le 80% de ton temps. Il y en a qui vont me dire, oui mais tu vois quand je rentre du travail je suis fatiguée, j'ai besoin de me distraire. Ouais, je comprends. Mais à côté de ça... Ok, tu peux te distraire, mais est-ce que tu as des moments où c'est de l'intellect ? Et je ne parle pas de intellect mainstream. Et je ne parle vraiment pas des choses intellect qu'on vous impose aussi. Je pense qu'il faut creuser au-delà des apparences et vraiment derrière la porte. Parce qu'il y a d'autres choses qui s'y cachent. Il y a d'autres informations ultra intéressantes, d'autres choses qu'on nous cache volontairement. Parce que si on nous les montrait, on aurait pleinement pouvoir de nous-mêmes, tu vois. Mais voilà, on veut nous asservir. Donc, On vous présente de la télé-réalité, des trucs débiles. Vas-y, qu'on regarde des reportages à la con sur des sujets bateaux. Tu vois ce que je veux dire ? Tu sais, les titres... Je ne sais pas comment dire. Tu sais, il y a des titres sur M6 à l'époque, genre les gendarmes dans le sud de la France. Tu vois les trucs comme ça ? Qu'est-ce qu'on s'en bat les steaks, en fait ? Genre, va t'intéresser à un sujet qui va nourrir ton âme, qui va faire que tu vas évoluer, que tu vas avoir des nouvelles clés de compréhension. Qu'est-ce que t'en as à faire du taux de délinquentisme dans le sud de la France ? Qu'est-ce que t'en as à faire ? À part alimenter des clichés, alimenter la peur, alimenter je sais pas quoi. Tu vois ce que je veux dire ? Donc moi, à partir du moment où j'ai changé tout ça, je me suis sentie plus responsable de moi-même. Je suis pas l'enfant de la société, pas du tout. Pour moi, j'estime être enfant de Dieu, déjà. Mais voilà, de toute façon, t'as juste à voir comment les gouvernements infantilisent les populations. T'as juste à voir comment ils nous parlent. Genre, on te donne des directives qui n'ont ni queue ni tête, et toi t'es là, d'accord, parce qu'en fait, tu vois, c'est Olivier Véran, il a dit qu'en fait, t'en pouvais pas être debout dans un café, parce que sinon, elle était malade. Tu vois, ce genre de truc. Où était passé le discernement des gens ? Où était passé le cerveau des gens ? Je comprends pas, en fait. Je comprends pas comment on a pu faire gober des choses aussi grosses. Genre, what the fuck, putain ! Là, c'est mardi. Vous m'entendez quand c'est mardi. Je suis vraiment intense et agacée. Donc vraiment, là, c'était plus possible. Là, ça, c'était pas possible. Donc, maintenant, moi, ma responsabilité, déjà, de un, j'arrête de confronter les gens sur ça. Voilà, là, j'en fais un épisode. Ceux qui ont envie d'écouter, ils écoutent. Je cherche pas à vous convaincre. Réfléchissez par vous-même. Est-ce que vous trouvez une logique aux directives qu'ils nous ont données pendant cette période ? La période Covid. Est-ce que sincèrement, les gars, il y a une logique dans tout ça ? Je ne crois pas. On a quand même réussi à faire croire aux gens qu'ils devaient se faire piquer pour protéger les gens qui étaient piqués, qui étaient censés être protégés. Vous vous rendez compte ou pas ? Cette logique. Moi j'arrive toujours pas à m'y faire qu'on a vécu cette période de notre vie. Moi là, si je raconte à mes enfants, tu sais, il s'est passé ça, c'est une dinguerie. Est-ce que tu te rends compte ou pas ? Donc c'est bref. Toujours se poser la question, on m'impose quelque chose ? Mais moi, est-ce que ça vibre avec moi au plus profond de moi ? Est-ce que je trouve que c'est logique ou pas ? Si oui, ok. Si non, non. Oh, on est libre ou on n'est pas libre ? Oh, on a le free will ou pas ? Pour en revenir à ce que je vous disais, donc avant j'étais dans une lutte par rapport à tout ça, aujourd'hui ce n'est plus le cas. J'ai pris les mesures que je devais prendre dans mon quotidien à moi, le fait que j'assainisse un peu ma vie. que je rende les choses plus brutes, plus naturelles. Et ça, c'était ma revanche, en fait. Ça sera toujours ta revanche. Le comment, toi, tu gères ta vie. Qu'est-ce que tu manges ? Ton frigo, il est rempli de quoi ? Est-ce qu'il est rempli de choses toxiques ? Est-ce que c'est ultra transformé ? Ou est-ce que tu aggraves des légumes, tu as des choses brutes ? Ça, c'est le premier impact que vous avez sur vous-même. C'est ce que vous allez consommer, ingérer. Parce que ça, ça va driver tout le reste. Si ton alimentation est composée seulement de choses qui ne proviennent pas de la terre, excuse-moi, mais au bout d'un moment, tu vas déjà le ressentir, parce que ça va vraiment atrophier ton cerveau, tu seras incapable de prendre des décisions, parce que l'alimentation joue énormément sur la motivation, sur comment tu réfléchis, est-ce que tu as le courage de faire ci, de faire ça. Moi, si j'enchaîne deux jours à manger de la merde, déjà de 1, ma peau, je le vois sur ma peau, Et de deux, j'ai envie de rien faire. Ça me met dans un état de léthargie. Donc imaginez quelqu'un, son mode de vie, c'est que de la junk food. Tu ne peux pas te plaindre derrière en disant « Je n'arrive pas à savoir quelle est ma passion dans la vie alors que tu manges de la mayonnaise tous les jours. » J'adore la mayonnaise, mais je n'en mange pas tous les jours parce que je sais très bien que je sais ce qui se passe. Donc on n'est plus à une ère d'ignorance. Ce n'est pas possible. Aujourd'hui, tu ne peux pas me dire euh Oui, mais tu vois, c'est parce que ça me fait plaisir. Ouais, ok, ça te fait plaisir. Mais elle, où ta discipline ? Elle est où ? Je me parle à moi-même. En hiver, je suis la meuf la moins disciplinée. Je n'arrive pas à bouger. Ça me saoule. Ça me saoule de devoir me dire, je vais prendre mes baskets et je vais respirer l'air glacial de Genève. Et que genre, mon nez, il va me piquer. Ça me rend ouf. Mais je suis obligée de le faire. Je vais être obligée, là, avec tout ce que... Tout ce que je fais maintenant, je vais être obligée de le faire. Et si je ne le fais pas, c'est vraiment, je trahis ma propre personne. Je trahis ce que j'ai de plus cher. Et là, je ne parle vraiment pas que de sport, je ne parle vraiment pas que de tout ça. C'est vraiment les choix que vous faites. En vrai, c'est pour vous dire, en vrai de vrai, ce que je dis, c'est que la vie, c'est que des choix. Ok ? Tu as le choix en fait. Tu as le choix d'aller mieux ou tu as le choix de te laisser couler. T'as le choix d'allumer ta télé ou t'as le choix de prendre une autre décision. T'as le choix, t'as toujours le choix. Par contre, si tu fais les choix que tu décides de faire, plus dans le sens négatif, bah faudra pas venir te plaindre et faudra pas venir jacter sur les autres. Ah mais tu vois, elle, regarde, je la vois, elle est partie, elle voyage, ouais, elle a réussi à s'installer à tel endroit, putain, ça fait vraiment chier. Tu vois, tu peux pas rager sur la vie des autres qui ont décidé de faire des choix. Tu peux pas en fait. Et j'ai déjà entendu ce discours dans mon entourage, des personnes que je connais, qui vont vraiment rager sur le destin de quelqu'un d'autre. De un, ton destin, il est propre à toi. De deux, cette personne a fait des choix. Cette personne, en backstage, avant que tu ne vois que le résultat, elle a dû prendre des choix, inconfortables, sûrement, très sûrement. Parce qu'on n'a rien sans rien. Donc, à part ceux qui sont nés avec une cuillère en or dans la bouche, Quand tu vois quelqu'un... qui a réussi, qui est successful, il a pris des choix. Et il a été alerte Ausha. Ça veut dire que quand Dieu lui a mis sur sa route des ultimatums, il a pris des décisions. Ok ? Donc, c'est vraiment ce truc-là que j'essaie de faire comprendre. Tu ne peux pas être inactif et passif et attendre que la vie t'apporte des choses. C'est pas possible. C'est impossible. Donc, oui, j'aborde la vie avec plus de légèreté. C'est vrai. Parce que je me dis toujours, quel que soit le choix que j'ai fait, même si, admettons, sur le court terme, c'était un mauvais choix, je n'estime pas qu'il y a de mauvais choix, j'estime juste que tu vas apprendre autre chose. Même dans la vie, quand j'ai fait des « mauvais choix » , je me suis toujours dit « ok, ce n'est pas grave, on continue, on avance, en fait, on ne va pas rester bloqué sur ce truc-là » . Et ce mindset-là, je l'ai depuis quelques temps. Donc c'est vrai que ça m'aide beaucoup, ça fluidifie l'énergie. Au lieu de se prendre un mur et c'est bon, je m'assois au pied du mur et je pleure et je pleure et vas-y j'attends et je sais pas quoi et je sais pas quoi. Et en plus, je me lamente sur mon sort et en plus j'insulte tout le monde parce que tu vois, c'est toujours de la faute des autres. Non, c'est pas de la faute des autres. Prends la leçon que tu as à apprendre à ce moment-là et keep going, avance. L'énergie du mardi, elle est particulière. Je ne veux pas du tout que vous pensiez que je suis en train de vous engueuler, mais c'est des choses qui me tiennent à cœur. C'est parce que je n'aime pas être témoin de gens qui vraiment se lamentent. Ça, ça me rend ouf, ça m'aspire toute mon énergie. Je me dis, mais ok, là, il y a tel domaine de ta vie, ça ne va pas, tel domaine, ça ne va pas, tel domaine, ça ne va pas. Mais est-ce que tu t'es posé avec toi-même pour te poser des questions ? Est-ce que t'as fait un replay sur toute l'année précédente en réfléchissant, ok, qu'est-ce qui s'est passé à ce moment-là ? Est-ce qu'à ce moment-là, peut-être que j'aurais dû prendre telle décision ? Peut-être que nanana, ok. Donc avec toutes ces informations-là, qu'est-ce que je fais aujourd'hui ? Maintenant, je vais mettre des choses en place, ok ? Moi, je ne veux pas entendre les discours des personnes qui n'ont rien mis en place. Si demain, tu me dis, ouais, ça ne va toujours pas alors que j'ai mis ça, ça, ça, ça, ça en place, que je fais ça, ça, ça, ok. Regardant ton thème astral, peut-être qu'astrologiquement parlant, il y a quelque chose. Mais tu vois que tu me dises, ouais en fait la vie ça me saoule, je suis blasée, tatatitatata, et que toute la journée tu Netflix, toute la journée tu manges des pâtes, toute la journée tu sais pas quoi. Non, moi je veux pas entendre ton message en fait. Je veux que tu bouges ton cul, je veux que tu mettes tes baskets, va marcher en forêt, sens ton téléphone et réfléchis, réfléchis. Je vous engueule pas, je vous promets que je vous engueule pas. Et là, c'est des mots que j'aurais aimé entendre il y a quelques années encore, quand je me lamentais sur mon sort et que je disais que c'est la faute des autres. Et ça, ça vous renvoie à l'épisode où j'ai parlé de la victimisation, mais là, j'étais plus énervée. Là, je trouve que je suis un peu moins énervée. Et du coup, je me suis un peu écartée de mon sujet. On va revenir à la question de base. Comment fais-tu pour être aussi rayonnante ? Donc, je vous ai dit que j'ai des proches que je kiffe et qui me soutiennent énormément. Donc ça, ça aide. Je vous ai dit que je m'étais émancipée de la vision du système, c'est-à-dire que les lois peuvent être votées, les ci, les ça. Moi, je n'ai pas confiance au gouvernement, je n'ai pas confiance à la politique. Nous sommes que des numéros pour eux. Ils tuent comme ils veulent. Vous n'êtes qu'un numéro pour eux. Vous n'êtes qu'un numéro pour eux. Essayez de vous en souvenir. Vivez votre vie en dehors de tout ça. Genre... Qu'est-ce qu'on s'en tape un rein ? Essayez de vivre détachés de ça. Parce que je vous promets qu'il y a d'autres choses à travailler sur vous. Ça, vous n'avez pas de contrôle là-dessus. On essaye de vous faire croire que vous avez du contrôle, on essaye de vous faire croire qu'on est en démocratie. Vous avez juste à voir ce qui se passe actuellement en Palestine pour vous rendre compte que vous n'avez aucun contrôle, que les Nations Unies et que tous ces bordels-là sont liés main dans la main, tous ensemble, et que tout ça, c'est... Voilà. Ils sont en train d'agir en fonction de ce qu'eux ont décidé. Qu'est-ce que tu fais dans ta vie aujourd'hui pour avoir un impact pour la Palestine ? Est-ce que ton mode de consommation a changé ? Est-ce que tu continues d'alimenter toutes les personnes qui alimentent ce génocide ? Est-ce que tu continues d'armer les militaires ? Parce que l'argent est une énergie, mais l'argent circule. À qui donnes-tu ton argent ? Là est la question. Parce que tu peux pleurer toute la journée pour toutes les personnes qui sont en train de mourir là-bas. Tu peux, mais qu'est-ce que tu fais dans ton quotidien ? Où est ta part d'action dans tout ça ? Là, cette histoire, ce génocide est devenu mondial. Donc tout le monde est au courant, on ne peut pas fermer les yeux là-dessus. Quand on vous a demandé de boycotter, bizarrement, toutes les marques qu'on vous demande de boycotter sont des marques globalement ultra transformées, bourrées de sucre, bourrées de trucs... À partir du moment où tu réfléchis à ton mode de consommation, si tu décides de consommer brut, légumes, fruits, pas trop transformés, normalement, tu n'alimentes pas ça. C'est vraiment là où je dis où est-ce que tu peux agir ? Ceux qui ne croient pas au boycott, vous n'avez rien compris. Mais pour moi, ce n'est même pas une question de boycott, c'est une question de mode de vie. Si tu respectes un mode de vie sain, techniquement, Tu ne finances pas de guerre, c'est pas possible. Voilà, je m'écarte un peu du sujet, mais vraiment le fait de prendre vos responsabilités, c'est une libération, c'est une liberté, c'est... vous n'êtes pas manipulable. Quand vous prenez vos responsabilités, vous n'êtes pas manipulable, je vous le répète. C'est... vous êtes maître de votre destin, et ça c'est un truc à se rappeler. Vous pouvez pas être victime de la société en général, vous pouvez pas être victime... de ce que pensent les autres. Vivez votre vie en fonction de ce que votre âme appelle à accomplir. Et là, il ne me reste pas beaucoup de temps pour vous parler. Mais si je dois clôturer cet épisode, je pense que le plus important pour moi, à mon sens, et comment je le vis, c'est Dieu. Si Dieu ne fait pas partie de tes équations, il n'y a rien de solide. Ce n'est pas possible. Je vous l'ai dit dans l'épisode sur les gourous. Si tu n'es pas relié à quelque chose de plus grand que toi, de plus grand que les hommes, les humains, les ci, les ça, ça va s'effondrer comme un château de sable, c'est tout. Château de cartes, château de sable. Mais si pour toi, Dieu est dans tes choix, alors là tu bâtis quelque chose de plus solide. Et c'est vraiment ma conclusion pour moi, le fait vraiment de toujours me rappeler, il y aura toujours Dieu avec moi, il y aura toujours Dieu pour assurer mes arrières dans tout ce que je fais. tant que je le fais avec le cœur, même si ça foire, je sais que Dieu me rendra le centuple. Je sais que je vais récupérer quelque chose derrière. Donc ça m'aide énormément. Et je pense que c'est ma boussole. C'est ma boussole, voilà. Ma boussole, ce n'est pas un humain. Ma boussole, ce n'est pas autre chose. Et plus tu vas te relier à cette boussole intérieure qui est Dieu, appelle-le comme tu veux, le Tout-Puissant. Bref, celui qui a drive tout cet empire cosmique. Si tu te relis à lui le plus souvent, je te promets que tu vas vraiment avoir une intuition beaucoup plus développée et tu vas vraiment comprendre là où il veut t'emmener. Parfois, tu vas être dans le flou. Comme là, j'ai traversé septembre, c'était un peu... Je marchais un peu sur des oeufs, mais j'avais la conviction que Dieu m'emmènerait quelque part. Donc... Là, c'est beaucoup plus clair qu'au mois de septembre. Et je sais encore plus vers où je vais. Donc, je suis trop contente. Je suis optimiste. Et ça, en fait, c'est priceless. Parce que naviguer dans cette vie sans savoir où tu vas, il n'y a rien de plus inconfortable. Vraiment, il n'y a rien de plus inconfortable. Et c'est cyclique. Tu vas repasser par des périodes où tu vas tout remettre en question. Et c'est normal. Et heureusement. Mais pour moi, le fait de tout remettre en question... ça permet de reconsidérer chaque croyance que tu as. Donc c'est indispensable. Bref, je pourrais faire un épisode complet là-dessus. Mais voilà, globalement, soyez bien entourés, connectez-vous à Dieu, à cette essence magique, énorme. Lâchez prise sur les choses sur lesquelles vous n'avez pas le contrôle. Tu n'as pas le contrôle, donc laisse ça derrière. Genre le fait de te dire, ok, je visualise cette chose chiante, je la mets dans un sac. Et je la donne à Dieu et je dis, s'il te plaît, fais-en quelque chose. Moi, je n'ai plus l'énergie, je ne peux pas. Voilà, vous faites comme ça à chaque fois. Visualisez un sac, bam, tu lui poses le sac. S'il te plaît, fais quelque chose avec ce sac. Et parfois, avec ce sac, il va te faire un truc de ouf. Et tu vas dire, mais c'est incroyable, c'est passionnant. Donc, essayez de ne pas forcer les gens à croire absolument à ce que vous vous croyez. Genre, c'est comme ça. Je pense qu'on y a autant de personnes que de prismes différents. vous pouvez... Exposez votre vision des choses, mais ne rentrez pas dans des débats. Et autre point sous-jacent, c'est vrai que depuis que je fais la routine cosmique védique, j'ai un fil conducteur et tout est plus simple. Mais ça, maintenant, je vous l'ai assez vendu. J'y reviendrai plus tard avec autre chose par rapport à cette routine cosmique parce que là, c'était juste une introduction. Mais il y aura plein de nouvelles choses par rapport à ça. Parce que j'ai vraiment envie de travailler avec cet outil. Je pense que j'ai tout dit. N'hésitez pas, si vous avez des questions, à m'écrire en DM Instagram. Bon, non, attends.

  • Speaker #1

    Salam alaikum les popillettes. Attends, j'ai bugué. Salam alaikum les popillettes. Comment ça va ?

  • Speaker #0

    Bon, du coup, j'ai Val avec moi qui va répondre à la question aussi. C'est une manière de clôturer l'épisode. Donc la question c'est, monsieur Pep's, qu'est-ce que t'as dans ta mallette magique, les conseils pour rayonner au plus possible, être optimiste au plus possible ? Voilà, c'est vraiment en réponse au message de Johanna.

  • Speaker #1

    Alors, un truc que je dis tout le temps à Ninou, quand elle est un peu down ou quoi, j'essaye de lui dire de toujours... voir le positif c'est à dire que dans chaque situation il ya du négatif mais dans chaque situation il ya du positif aussi et du coup essayer juste de se de feinter son cerveau en disant je sais pas moi il fait froid Mais se dire, ah bah tiens aujourd'hui il y a la bise, il fait froid, mais ça veut dire qu'il y a grand soleil, du coup c'est cool, il y a du soleil, au moins il ne pleut pas. Et toujours penser positif, je pense qu'à la fin de la journée on se sent mieux. Et après, je pense qu'une des choses, les petits conseils que tout le monde donne, bien manger, faire du sport, tout ça c'est important pour se sentir bien. Mais un que moi j'ai remarqué il y a quelques années, enfin il y a quoi, il y a 2-3 ans maintenant, sur lequel je travaille beaucoup, c'est le sommeil. Et vraiment, quand on dort bien, on passe une super journée. Quand on a l'habitude de bien dormir, on se rend compte que le jour où on a mal dormi, où on n'a pas assez dormi, par exemple, moi j'essaie de dormir 8h par nuit, mais imaginons des jours où si je ne dors que 6h, je me rends compte à quel point je ne suis pas bien quand je n'ai pas beaucoup dormi. Et il y a plein de choses derrière. Il y a des gens qui ont un comportement mauvais avec l'alimentation, ça, ça peut être réglé avec le sommeil. Parce que quand on est fatigué et qu'on s'ennuie, qu'on est un peu pas bien dans notre nu, la tête dans le brouillard, pas bien, la valeur refuge c'est la bouffe. Et moi je me rends compte quand je dors pas bien ou quand j'ai pas assez dormi, je mange beaucoup mais j'ai envie de trucs dégueulasses, de sucre et de junk food. Alors que les autres jours, franchement ça va. Donc le sommeil je pense que c'est vraiment un des gros gros gros piliers. à côté de la nutrition et de faire du sport et d'avoir un comme on dit une activité sociale en gros de sociabiliser avec des gens que ce soit des collègues ou que ce soit des gens à la salle de sport que ce soit votre femme ou vos enfants enfin c'est faut sociabiliser on n'est pas fait pour être tout seul à rien faire quoi et le sommeil donc voilà je sais pas si ça peut vous aider après c'est normal il ya aussi des jours on n'est pas bien et à tout qui nous saoule c'est pas grave, on peut faire avec. Maintenant, si c'est régulier, ou que ça dure toute la journée, ou bien que c'est tout le temps, là, il faut quand même se poser des questions, et essayer de changer sa perception du monde, ou changer des choses dans son quotidien. Et puis, si vous avez une croquette, comme notre croquette, elle apporte tellement de bonheur. Franchement, des fois, je rentre du boulot, j'ai la tête dans le cul, je suis pas bien, je suis fatigué, et juste de la voir contente de me voir, je me dis... Ce petit être, il est là toute la journée, il m'a attendu. Il pourrait se dire qu'il a une vie de merde parce que tout ce qu'il a envie de faire, c'est nous qui lui validons. C'est-à-dire qu'elle a envie de faire ses besoins, c'est nous qui lui donnons la possibilité de faire ses besoins en allant la promener. Elle a envie de manger, c'est nous qui ouvrons le frigo ou qui lui donnons à manger. Alors que nous, c'est pas pareil. Nous, on a faim, on va s'acheter à manger. On a envie d'aller aux toilettes, on va aux toilettes. Du coup, quand je la vois, elle, mais... toute contente, après une journée à m'avoir attendu toute la journée et que je la vois toute contente de me voir ça fait tellement du bien et du coup ça aussi ça participe au fait que j'ai pas beaucoup de moments de down après faut pas être une fragile comme Ninou elle

  • Speaker #0

    c'est vraiment une fragile déjà parle dans le micro ici comment ça je suis une fragile ?

  • Speaker #1

    bien sûr que t'es une fragile par rapport à quoi ? t'es une fragile C'est l'hiver, oh non ! Alors, on était encore au mois de septembre, qu'elle disait Ça va être l'hiver, on va se réveiller, il va faire nuit. Mais pourquoi tu penses déjà à ça ? Pourquoi t'es en train de, dans ton corps, d'envoyer des ondes négatives ? Alors que le truc, c'est dans trois mois qu'on se lève et qu'il fait nuit.

  • Speaker #0

    Écoute.

  • Speaker #1

    Donc, non, vraiment, il faut se dire Ah, c'est trop bien, on est en septembre, ça veut dire qu'il fait encore chaud, on va peut-être encore avoir un été indien. Ah bah tiens, on est en septembre, je peux quand même encore aller rouler en mettant un cuisse à recours. à toujours voir du positif, toujours, toujours, toujours penser positif. Il y a des fois où ce n'est pas possible, quand on est trop énervé, où vraiment il faut essayer de penser positif, mais il y a des moments où ça ne peut pas venir tout de suite. Mais à chaque fois, quelque chose qui ne va pas, réfléchir à une vision en se disant qu'est-ce qui est quand même positif là-dedans ? Et il y a toujours quelque chose en général.

  • Speaker #0

    Bon alors c'est assez ouf parce qu'on a à peu près dit la même chose mais c'est vrai que moi la météo c'est... Toi tu me répètes, toi tu répètes. Tu peux... Attends !

  • Speaker #1

    Tu répètes tout ce que je dis parce que...

  • Speaker #0

    Mais bébé j'ai parlé avant toi, j'ai parlé avant toi.

  • Speaker #1

    En fait le podcast c'est moi qui devrais le faire, tout ce qu'elle dit ce sont mes paroles, elle boit mes mots. Donc peut-être que je devrais sortir mon podcast. Bah fais, fais seulement. Comment je pourrais m'appeler ? Le sportif sauvage.

  • Speaker #0

    Monsieur je sais tout, le vélo sauvage. Bref. Ah ouais. Mais arrête ! Vélo sauvage Non mais bouge Sérieux tu m'énerves là Basket sauvage

  • Speaker #1

    Quoi tu m'as fait mal Allez t'es pas sympa Tu m'as fait mal Là je pourrais penser positif Mais non je vais penser Mais vas-y Non mais là t'es relou Tu m'as fait mal Ah mais c'est cool Parce que ça veut dire Que dans 3 minutes J'aurai plus mal Et je me rendrai compte Qu'il y a quelque chose C'est cool de pas avoir mal Allez dégage Mais du coup T'as pas du tout répondu A la question C'était quoi la question La question c'était

  • Speaker #0

    Du coup t'as pas répondu Parle dans le micro Bon, je me rends compte que lui, il a répondu à la question de manière virgo, c'est-à-dire donner des points basiques lambda. Moi, je te demandais d'aller plus loin dans la réflexion. Mais c'est ok aussi, c'est une réponse qui me convient. Non,

  • Speaker #1

    non, attends, je vais te dire. Pour aller plus loin dans la... Comment t'as dit ? Pour aller plus loin dans quoi ?

  • Speaker #0

    Dans la réflexion.

  • Speaker #1

    Dans la réflexion. Si vous commencez par ces bases-là que je vous ai données, après ça vous ouvre le champ des possibles pour aller plus loin dans la réflexion. Tandis que si déjà là vous avez un mur pour les trucs de base, vous pourrez jamais aller plus loin dans la réflexion. Ça sert à rien d'aller chercher des trucs hyper compliqués quand vous avez pas commencé par... faire les choses qui sont simples.

  • Speaker #0

    Oui, ça, je suis d'accord.

  • Speaker #1

    Donc, les premières choses à faire, c'est les choses simples.

  • Speaker #0

    On est complémentaires.

  • Speaker #1

    On est complémentaires de quoi ? Dans nos réponses ?

  • Speaker #0

    Ouais.

  • Speaker #1

    Car Duka... La pauvre, elle est en train de se péter la gueule. Salut, ma fille. Enfin, voilà. Si vous voulez, je vous loue Duka. C'est 1000 francs la journée. C'est une consultante. Ah non, à Genève, c'est 1500 francs la journée. Hein croquis, je te loue

  • Speaker #0

    Tu m'énerves.

  • Speaker #1

    Pourquoi ?

  • Speaker #0

    Tu me fatigues. Attends,

  • Speaker #1

    attends.

  • Speaker #0

    Attends, attends, attends.

  • Speaker #1

    Donc, je l'énerve, mais c'est elle, là, je dois aller faire cette peinture. Donc là, vous voyez, il y a un truc qui me saoule. Mais qui me saoule, c'est cette peinture. Je pensais que ça allait me prendre 4 jours. Au final, ça me prend 7 jours parce que je ne prends pas en compte les temps de séchage pour faire la chambre. Donc, je dois faire le plafond, 6 heures de séchage. Donc, comme je travaille, je fais quoi ? Ça pousse au lendemain. Donc, le lendemain, je dois faire la deuxième couche, 6 heures de séchage. C'est hyper dur à dire. Qu'est-ce que je dois faire ? Je dois attendre le lendemain. Après j'ai les murs de couche, donc ça veut dire que ça, ça va me prendre 4 jours juste pour faire la peinture. Plus avant la sous-couche, ça m'a pris une journée. Plus l'enduit de rebouchage, ça m'a pris une journée. Les joints en silicone que j'avais oublié de faire, ça m'a pris une journée d'attente encore. Vraiment c'est... Force à vous les potes.

  • Speaker #0

    Du coup t'as appris quoi pendant cette expérience dramatique ? Qu'avez-vous appris pendant ces heures de peinture ?

  • Speaker #1

    Alors déjà, je me suis dit... J'ai beaucoup de respect pour ceux qui font ça comme métier à vie. Je suis reconnaissant de ne pas avoir besoin de faire ça pour gagner ma vie. Je me suis dit, c'est trop bien, j'ai appris une nouvelle chose. Parce que moi je kiffe bien apprendre ça et c'est toujours cool quand on peut le faire soi-même. Ensuite, qu'est-ce que j'ai appris d'autre ? Il y a quand même la satisfaction de l'avoir fait soi-même. Donc là, c'est une galère, mais je sais que pour le résultat final, je vais être super content. Parce que j'en pouvais plus de cette chambre qui était beaucoup trop sombre, dans laquelle j'aimais pas aller, j'aimais pas rester. Donc on avait une chambre qui servait à rien au final, c'était le bidonville de Nino. Bah là maintenant on va avoir une vraie chambre, avec un lit d'un mètre quatre-vingt, comme ça on va mieux dormir tous les deux. Donc voilà, je pense à ce côté positif, c'est chiant mais j'y vais. C'est comme pour le sport, il y a des moments où on a pas envie d'y aller, mais il faut penser pour le positif derrière. Si t'as une prépa et que t'as un objectif, tu penses à l'objectif, tu te dis ok, là c'est la galère, mais j'ai un objectif derrière. Après, bon.

  • Speaker #0

    Et voilà, je vous souhaite une très bonne semaine. Je ne sais pas quand est-ce que je vais pouvoir monter cet épisode. Je pense demain, mercredi. Et je vous le poste mercredi. Voilà. Bisous, prenez soin de vous.

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