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FLOW AND CASH FLOW : Les hacks business de la creator economy

25. Construire une communauté qui achète : l'anti-viralité (1/2 Cynthia Bailly)

25. Construire une communauté qui achète : l'anti-viralité (1/2 Cynthia Bailly)

15min |02/07/2025
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Description

Tu veux vendre sans courir après la viralité ?


Dans cet épisode, Cynthia partage comment elle a construit une communauté ultra-engagée, sans hack, sans tunnel, sans pub.


Coach, mentor, autrice et fondatrice d’une agence digitale, elle raconte son parcours, ses prises de décisions et sa manière bien à elle de croître sans s’épuiser.


📊 Au programme :

  • Pourquoi la viralité ne crée pas de ventes (et quoi faire à la place)

  • Comment elle attire des clients fidèles grâce à une com' qui lui ressemble

  • Les coulisses de son livre “Les abonnés sont les acheteurs”

  • Son organisation pour éviter l’épuisement malgré plusieurs casquettes

  • Sa vision d’un management sain, après un burn-out professionnel

  • Ses routines pour aligner business et vie perso


Un épisode à écouter si tu veux un business qui respecte ton rythme et qui cartonne sans virer influenceur.


▶️▶️ Retrouve mon invité ici:

Instagram

Linkedin


💡Autres épisodes:

Episode 22 : De la présence terrain au digital (Gaelle Pouilloux)

Episode 23 : Libérer les dirigeants du BTP de l'administratif (Coralie Saumell)


☀️☀️QUIZ gratuit : Où en est la croissance de ta boîte? Découvre ton score business et les 5 leviers à activer maintenant


👉 Soutiens ce podcast : Abonne toi pour ne rien rater


🌬️Me suivre


▶️ Demande de sponsoring / partenariats - suggestion d'invités : hello @braidstars.com


-------


🎧 FLOW & CASH FLOW – Le shot d’optimisme pour une vie qui fait sens ET qui rapporte 💸


Pour les entrepreneurs, freelances et dirigeants qui veulent croître, structurer et s’aligner.


Tu y trouveras :
✔️ Des process internes optimisés
✔️ Un business model structuré
✔️ Des automatisations rentables
✔️ Un cash-flow libéré sans t’épuiser
✔️ Une vision stratégique transformée en action
✔️ Une croissance humaine et cohérente


🌟 Tu es au bon endroit si tu écoutes Génération Do It Yourself, Le Gratin ou InPower — mais que tu veux passer à l’action, avec plus de structure et d’impact.


🎙️ Animé par Chloé Domon – consultante, coach stratégique et fondatrice de Braidstars.


2 formats par semaine :


  • Des conseils activables maintenant

  • Des témoignages lucides et inspirants


Belle journée, soft and sharp 🌺☀️
Chloé Domon


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Flow & Cash Flow, c'est ce moment capsule où tu vas pouvoir prendre un shot d'énergie, te recharger et apprendre des tips et des insights pour entreprendre ta vie. Parce que nous ne sommes pas juste des employés ou des entrepreneurs, nous pouvons tous cultiver l'art de conjuguer toutes nos facettes. Alors que tu sois entrepreneur, salarié avec un side project, artisan ou juste un humain, reste à l'écoute. Ma vision, c'est qu'il est temps que tout un chacun puisse se révéler, sublimer ses talents tout en ayant du succès, avec sa propre définition du succès. accomplir et s'accomplir. Ici, je te parlerai de rayonner, de compter, d'optimiser, d'organiser, de sublimer et de kiffer. Alors, si tu te sens concerné, abonne-toi. Tu risques d'adorer ce moment.

  • Speaker #1

    Je n'ai jamais été sur le côté viralité des réseaux sociaux. J'ai toujours pris le contre-pied de créer une communauté qui soit soudée. qui nous suivent, peu importe ce qu'on a prévu, les projets qu'on veut mener. Et au final, c'est ce qui commence à ressortir aujourd'hui de plus en plus en 2025. C'est le côté authentique, le côté communauté, plus que le côté viralité. Et ça, c'est un truc que moi, j'avais dès le début.

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast Flow & Cashflow. Aujourd'hui, on reçoit Cynthia. Bonjour, Cynthia.

  • Speaker #1

    Bonjour, Chloé.

  • Speaker #0

    La première question que je voudrais te poser, c'est quelle est la dernière action qui t'a rendu très, très fière de toi récemment, côté pro ?

  • Speaker #1

    Côté pro, c'est la sortie de mon livre. Et je me suis... motivé à écrire un livre et en fait le fait de réaliser ce livre de le sortir de le voir en ligne et de le voir en physique c'est vraiment le truc qui m'a fait réaliser que ça y est j'ai passé une étape supplémentaire dans l'entrepreneuriat et c'est un livre sur quoi alors tu peux pas nous laisser comme ça il faut que tu nous en parle J'ai un exemplaire c'est en gros c'est en français c'est les abonnés sont les acheteurs et dedans j'explique que justement c'est pas le côté viralité qui fait que ça amène des abonnés mais c'est plus le côté communauté qui on est, son storytelling, son personal branding et toute l'histoire qu'on va partager parce que mine de rien des produits sur le marché il y en a des millions, des milliards et des services c'est pareil et les gens ils vont acheter un produit ou un service par rapport à la personnalité de la personne plutôt que par rapport aux produits ou aux services en lui-même.

  • Speaker #0

    Et du coup ça c'est ton domaine d'expertise est ce que tu peux nous en dire un peu plus sur quelles sont tes casquettes professionnelles pour que tu en... Merci. pour que tu puisses écrire justement un livre avec tous ces détails, j'imagine, actionnables ? Pas de souci.

  • Speaker #1

    En fait, moi, je me suis lancée à l'entrepreneuriat il y a cinq ans de ça maintenant. J'ai commencé en tant qu'assistante virtuelle où je testais un peu toutes différentes missions pour voir ce qui pouvait me plaire dans l'entrepreneuriat. Et je me suis naturellement dirigée vers le community management parce que j'ai un diplôme, j'ai un MBA en communication et événementiel. Et donc, en fait, je me suis retrouvée à refaire ce que je faisais dans mes études en quelque sorte. Et donc, je me suis spécialisée sur le community management, je me suis formée sur le métier et j'ai commencé pendant deux ans à faire du community management pour mes clients. Et on m'a proposé l'opportunité de devenir coach dans une formation. Et en gros, ça a été un peu le déclic de « je deviens coach pour des entrepreneurs qui se lancent sur les réseaux sociaux, qui sont un peu avancés sur les réseaux sociaux, mais qui sont complètement perdus » . Et il y a un an, une des personnes, enfin, les jumeaux, qui ont la formation, m'ont proposé de s'associer avec moi pour créer une agence de communication digitale. Donc aujourd'hui, je suis à la fois mentor sur tout ce qui est stratégie réseau sociaux, où aujourd'hui je mêle aussi l'IA, qui est devenu un point non négligeable du quotidien d'un entrepreneur, et aussi directrice d'une agence de communication digitale. Et j'ai aussi une agence de production vidéo pour justement tourner tout ce qui est contenu pour les clients qu'on a dans l'agence.

  • Speaker #0

    C'est quelle typologie de clients que tu vas accompagner ? C'est des entreprises en B2B ou c'est des solopreneurs qui sont en hypercroissance ? C'est quelle typologie de clientèle ?

  • Speaker #1

    J'ai différentes typologies de clientèle pour le coup dans l'agence. Je vais avoir des entrepreneurs qui sont avancés et qui ont une équipe, comme des solopreneurs qui se font tout seuls. On a surtout beaucoup de thérapeutes, mine de rien. On a un hypnothérapeute, on a quelqu'un qui fait de la médecine traditionnelle chinoise, on a un chiropracteur. Je ne sais pas si ça se dit au féminin ou pas. On a une coach en business mindset qui est spécialisée sur les neurosciences. On en a un qui fait des meta-ads aussi, qui est une agence de meta-ads. En fait, on en a une quinzaine des clients et on a tout type de profils. Et c'est ça qui est hyper intéressant parce que, mine de rien, ça challenge l'équipe de travailler sur différents types de profils de clients. Et au moment, on est sûr qu'il n'y a pas de concurrence entre nos clients. et on ne prend pas des clients... qui ont déjà la même activité qu'un client qu'on a déjà dans l'agence.

  • Speaker #0

    Ok, intéressant. Et du coup, tu es sur tous les fronts, j'imagine. Qu'est-ce que tu mets au quotidien en place, toi, pour prendre soin de ta santé mentale avec tout ça ?

  • Speaker #1

    Je déconnecte les week-ends. En fait, c'est un truc que j'ai mis en place il n'y a pas si longtemps que ça, parce que ça faisait plusieurs mois que je me faisais du 9h-19h, que je bossais le samedi, que je bossais le dimanche. Et mon corps m'a fait comprendre qu'il fallait que j'arrête de faire ça. Et donc du coup, depuis quelques semaines, ce que je fais, c'est que les week-ends, je déconnecte totalement des réseaux sociaux, de WhatsApp, des mails. Je réponds à plus personne. Les équipes, elles sont prévenues qu'il ne faut pas me contacter pendant les week-ends, parce que sinon, ils vont stresser, parce qu'ils ne sont plus habitués à ça. Mais j'ai mis ça en place et j'ai repris le sport aussi. Parce que ça faisait partie de mon quotidien quand je me suis lancée. Et pendant facile un an, je n'avais plus le temps de faire du sport, entre les déplacements pour les tournages clients, gérer les clients au quotidien, les coachings que j'avais. Et je me retrouvais à faire des journées de 9h-19h sans avoir de pause pour moi, pour pouvoir me poser. Et donc là, depuis 2-3 mois, j'ai revu un peu tout mon organisation. toute ma gestion entre vie perso et vie pro. Et ça, ça a été vraiment un gros changement dans le quotidien, à la fois sur le mental et sur le physique. Parce que je le sens aussi physiquement, je suis moins fatiguée.

  • Speaker #0

    Et j'imagine, du coup, tu as dû t'entourer pour pouvoir absorber cette charge de travail. Tu menais tout de front, toute seule au début. Et après, tu as fait comment ? Tu as délégué ? Tu as pris un peu des freelance ? Comment ça s'est passé pour ton orga ?

  • Speaker #1

    Sur la partie coaching, mentoring, j'ai pris une OBM. C'est Office Business Manager. C'est une sorte de bras droit que je connais depuis plus de deux ans et avec qui je travaille depuis maintenant un an, qui m'aide au quotidien sur les tâches un peu plus administratives, tout ce qui est Customer Care aussi, et tout ce qui est mise en place de système I.O., Notion, les trucs qui prennent beaucoup de temps dans mon quotidien à paramétrer, à mettre en place. Donc c'est elle qui s'en occupe. Donc ça, ça m'a vraiment dégagé énormément de temps. Et sur la partie agence... j'ai deux community managers qui travaillent pour nos clients. On a une personne qui s'occupe de la publicité. On a deux monteurs vidéo. On a un vidéaste. Donc, du coup, c'est pareil. On a toute une équipe qui est mise en place sur l'agence qui m'a permis de déléguer énormément. Et ça aussi, c'était un gros challenge d'apprendre à déléguer sans micromanager.

  • Speaker #0

    Oui, c'est important le micromanagement. C'est souvent un piège. Et quand on a été un peu contrôle fric et qu'on a tout... Du tout mené de A à Z, c'est vrai que c'est en général la dynamique qu'on prend. Comment tu as fait du coup ? Tu as appris, tu t'es documentée pour savoir comment il fallait manager une équipe, une agence. C'est vrai que ce n'est pas la même configuration que quand on est solopreneur.

  • Speaker #1

    Je me suis appuyée sur du coup, avant que je devienne entrepreneur, parce que comme ce que je te disais avant qu'on lance le live, je me suis fait licencier quand j'avais 27 ans, via une manager qui était toxique. qui du coup ne me laissait pas de place pour prendre mon job, qui était tout le temps sur mon dos. Et l'environnement était vraiment devenu insupportable. J'avais la boule au ventre tous les matins quand je devais aller bosser. Donc du coup, je me suis fait licencier. Et quand on a commencé à monter l'équipe, je me suis dit, je ne veux pas tomber dans ce type de management. Et avant de rentrer dans cette entreprise, j'avais été dans une autre entreprise, en région parisienne avant que je descende vivre à Marseille, où j'avais eu le meilleur manager de ma vie. Et je me suis appuyée en fait sur son exemple à lui de, s'il y a un problème, j'écoute les deux parties et ensuite je vois ce que je fais. Et pas je tape sur les doigts d'un des deux parties sans avoir la deuxième version et sans prendre un peu plus de recul. Donc aujourd'hui, la manière dont je manage les équipes, c'est que je suis dans l'écoute et dans la bienveillance. Mais par contre, s'il y a une des personnes de l'équipe qui fait une erreur, qui n'est pas réactive avec le client, ce genre de choses, ou qui fait quelque chose qui nuit à la notoriété ou à la visibilité du client, ou même au projet du client, là, pour le coup, je vais être un peu plus sévère, et on va faire un point, et on va voir où est-ce que ça a bloqué, et je vais secouer un peu plus la personne. Mais je n'ai pas voulu être dans le management toxique de ce que moi, j'ai vécu.

  • Speaker #0

    Du coup, ça m'amène à la question suivante, mais je pense que tu as en partie répondu, à moins que ce soit une autre réponse que tu vas nous fournir. Quel événement dans ta vie a été game changer ?

  • Speaker #1

    Le licenciement. forcément, ça a été vraiment game changer parce que j'avais deux possibilités, soit retourner en entreprise, sauf que j'avais décroché un entretien d'embauche et j'avais la boule au ventre de passer l'entretien, donc du coup je l'ai annulé, et donc profiter des deux ans de chômage, parce qu'à l'époque on avait encore deux ans de chômage, soit profiter de ces deux ans de chômage, mais d'une autre manière, pour lancer mon business, mon activité. Et donc du coup c'est ce que j'ai fait, c'est comme ça que je me suis lancée dans l'entrepreneuriat. Et après, il y en a eu un deuxième, c'est un événement d'entrepreneurs, où j'ai rencontré des entrepreneurs qui... pour moi, étaient des entrepreneurs avancés. Donc, ils faisaient déjà le million de chiffre d'affaires annuel, qu'il y avait déjà des équipes en place. Là où, moi, j'étais encore solopreneur, je n'avais pas d'équipe, je faisais tout toute seule. Et en échangeant avec ces personnes, je me suis rendu compte qu'il y avait toute une autre vision de l'entreprenariat que je n'avais pas encore et que je ne connaissais pas encore. Et ensuite, après cet événement avec ces entrepreneurs, je me suis dit, OK, maintenant, il faut que je recrute une équipe, il faut que je fasse appel à Sabrina du Monobm, pour l'agence, voir que je trouve des profits qui sont vraiment... investis dans l'agence et pas juste qui passent en one shot et qui ensuite partent de leur côté. Donc là, c'était vraiment le but du recrutement. Une fois cet événement terminé, c'était trouver des équipes qui sont investies dans l'agence, même s'ils sont à leur compte.

  • Speaker #0

    Super intéressant. On y reviendra dans le deuxième épisode. On craisera un peu plus cet aspect-là. Une autre question, ça concerne justement le fait que tu aies changé de voie et que tu te sois lancée comme entrepreneur. Et là, récemment, avec tes nouveaux ajustements, Quelles autres actions tu as pu mettre au quotidien pour petit à petit, pas après pas, aligner ta vie professionnelle et ta vie personnelle pour que vraiment tout aille dans la direction de ta vision et que ce soit vraiment ajusté ? Est-ce que tu as des routines, des tips, des vision boards, des choses concrètement applicables ?

  • Speaker #1

    Oui. Après, j'ai toujours eu un problème avec la notion de vision parce que ça a toujours été un concept un peu abstrait. On entend souvent parler de sa vision de l'entrepreneuriat, de ce qu'on veut mettre en place, etc. Et pendant longtemps, je ne savais pas comment faire ma vision, comment me voir, me projeter sur l'Onda. J'arrivais à me projeter à six mois, un an, mais plus que ça, c'était mission impossible. Et donc, du coup, ce que j'ai fait, c'est qu'à chaque fin d'année, je fais un bilan sur l'année qui vient de s'écouler. Je fais mes objectifs sur l'année qui va arriver. et à chaque fin de mois... je fais un point sur le mois passé. Et ça me permet de voir ce qui s'est bien passé, ce qui s'est mal passé, à la fois sur le côté perso et à la fois sur le côté pro. Et en plus de ça, tous les jours, j'ai une to-do list. Donc, je n'ai pas une to-do list à rallonge, pour le coup. Je me force à ne pas avoir une to-do list à rallonge. Mais je me force à avoir à peu près trois tâches par jour hyper importantes que je dois absolument réaliser en plus de tout ce que j'ai au quotidien.

  • Speaker #0

    OK, merci pour tout ça. Quelles actions tu poses ? surtout... Au début de ta carrière d'entrepreneur, quelles actions as-tu posées pour attirer à toi de nouveaux clients ? Qu'est-ce que tu as mis en place ? Alors, c'est un peu ton cœur de métier, mais pour toi, vraiment, quand tu étais solopreneur, qu'est-ce que tu as mis en place ? Et après, on donnera aussi peut-être les clés que tu as maintenant avec l'agence là où elle en est aujourd'hui.

  • Speaker #1

    Pas de souci. Ce que j'ai mis en place, déjà, c'était une communication qui me ressemble. Je n'ai jamais été sur le côté viralité des réseaux sociaux. J'ai toujours pris le contre-pied de créer une communauté qui soit soudée, qui nous suive peu importe ce qu'on a prévu, tous les projets qu'on veut mener. Et au final, c'est ce qui commence à ressortir aujourd'hui de plus en plus en 2025, c'est le côté authentique, le côté communauté, plus que le côté viralité. Et ça, c'est un truc que moi j'avais dès le début, parce que la viralité, c'est vraiment passager. Il suffit d'être viral sur une publication, puis ensuite c'est fini, il n'y a plus de viralité. donc déjà avoir une communication qui nous ressemble, pas copier ce qui se fait sur les autres, et vraiment être alignée avec le message que j'avais envie de véhiculer. Et l'autre point, c'était aussi... Attends, j'ai un bug. Non, c'était quoi déjà le reste de la question ?

  • Speaker #0

    Quand tu étais solopreneur, comment tu as fait pour que les clients viennent jusqu'à toi, du coup ? Je vais rebondir sur ce que tu viens de dire. Ça veut dire que tu as fait quoi ? Tu as commencé à poster sur Instagram et sur LinkedIn ? ou t'as mis en place d'autres choses concrètement ?

  • Speaker #1

    J'ai commencé à poster sur Instagram et sur LinkedIn, et ce que je faisais aussi, c'était que je prospectais. Alors même si aujourd'hui, c'est un truc que j'ai toujours détesté, la prospection, et qu'aujourd'hui je ne fais plus, mais je prospectais de manière naturelle, parce que je n'ai jamais été à l'aise avec le « Hey, salut, j'ai vu que tu faisais ça, ah bah ça sent bien, moi je fais ça, je peux t'aider » . Je n'ai jamais été à l'aise avec ce type de prospection, et donc du coup, c'était plus de la prospection conversationnelle, naturelle. où on s'intéresse vraiment à la personne qui est en face de nous. Et ça, c'est un truc que je dis à toutes les personnes que j'ai en mentoring ou en coaching, que les gens, s'ils ne sentent pas qu'on s'intéresse à eux, ils ne vont pas s'intéresser à nous, ils ne vont pas s'intéresser à ce qu'on va leur proposer. Donc, il faut être 100% naturel dans ce qu'on veut mettre en place. Et après, quand j'ai commencé dans l'entreprenariat, j'étais beaucoup sur les sites de freelance. Et dès qu'il y avait une offre qui sortait, j'allais dessus. Et pour trouver au moins mes premiers clients. Et une fois que j'avais trouvé mes premiers clients, ça s'est fait naturellement avec le bouche à oreille. Et après six mois, une fois que j'avais déjà une bonne base de clients, je n'ai plus besoin de prospecter, je n'ai plus besoin de faire des tunnels d'acquisition, ce genre de choses. Parce que les clients venaient naturellement à moi avec le bouche à oreille.

  • Speaker #0

    Ok, merci pour tous ces conseils. C'est la fin de notre premier épisode. Où est-ce qu'on te retrouve sur les réseaux si on te cherche ?

  • Speaker #1

    Vous pouvez me trouver sur Instagram, à arrobase 18BSpartner. Je pense que Chloé mettra le lien directement. Je suis aussi présente sur LinkedIn. Je poste régulièrement sur LinkedIn. Et puis, c'est à peu près tout.

  • Speaker #0

    Super, merci Cynthia.

  • Speaker #1

    Salut, bonne journée.

  • Speaker #0

    Si tu as aimé cet épisode, tu peux laisser 5 étoiles sur Apple Podcasts ou Spotify. Et bien sûr, partage-le à quelqu'un qui pourrait en avoir besoin. Tu peux me taguer et laisser un commentaire. J'adore avoir ton feedback. Ça m'aide à grandir et à proposer des épisodes qui te ressemblent. Belle journée.

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Tu veux vendre sans courir après la viralité ?


Dans cet épisode, Cynthia partage comment elle a construit une communauté ultra-engagée, sans hack, sans tunnel, sans pub.


Coach, mentor, autrice et fondatrice d’une agence digitale, elle raconte son parcours, ses prises de décisions et sa manière bien à elle de croître sans s’épuiser.


📊 Au programme :

  • Pourquoi la viralité ne crée pas de ventes (et quoi faire à la place)

  • Comment elle attire des clients fidèles grâce à une com' qui lui ressemble

  • Les coulisses de son livre “Les abonnés sont les acheteurs”

  • Son organisation pour éviter l’épuisement malgré plusieurs casquettes

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Tu y trouveras :
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🎙️ Animé par Chloé Domon – consultante, coach stratégique et fondatrice de Braidstars.


2 formats par semaine :


  • Des conseils activables maintenant

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Chloé Domon


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Flow & Cash Flow, c'est ce moment capsule où tu vas pouvoir prendre un shot d'énergie, te recharger et apprendre des tips et des insights pour entreprendre ta vie. Parce que nous ne sommes pas juste des employés ou des entrepreneurs, nous pouvons tous cultiver l'art de conjuguer toutes nos facettes. Alors que tu sois entrepreneur, salarié avec un side project, artisan ou juste un humain, reste à l'écoute. Ma vision, c'est qu'il est temps que tout un chacun puisse se révéler, sublimer ses talents tout en ayant du succès, avec sa propre définition du succès. accomplir et s'accomplir. Ici, je te parlerai de rayonner, de compter, d'optimiser, d'organiser, de sublimer et de kiffer. Alors, si tu te sens concerné, abonne-toi. Tu risques d'adorer ce moment.

  • Speaker #1

    Je n'ai jamais été sur le côté viralité des réseaux sociaux. J'ai toujours pris le contre-pied de créer une communauté qui soit soudée. qui nous suivent, peu importe ce qu'on a prévu, les projets qu'on veut mener. Et au final, c'est ce qui commence à ressortir aujourd'hui de plus en plus en 2025. C'est le côté authentique, le côté communauté, plus que le côté viralité. Et ça, c'est un truc que moi, j'avais dès le début.

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast Flow & Cashflow. Aujourd'hui, on reçoit Cynthia. Bonjour, Cynthia.

  • Speaker #1

    Bonjour, Chloé.

  • Speaker #0

    La première question que je voudrais te poser, c'est quelle est la dernière action qui t'a rendu très, très fière de toi récemment, côté pro ?

  • Speaker #1

    Côté pro, c'est la sortie de mon livre. Et je me suis... motivé à écrire un livre et en fait le fait de réaliser ce livre de le sortir de le voir en ligne et de le voir en physique c'est vraiment le truc qui m'a fait réaliser que ça y est j'ai passé une étape supplémentaire dans l'entrepreneuriat et c'est un livre sur quoi alors tu peux pas nous laisser comme ça il faut que tu nous en parle J'ai un exemplaire c'est en gros c'est en français c'est les abonnés sont les acheteurs et dedans j'explique que justement c'est pas le côté viralité qui fait que ça amène des abonnés mais c'est plus le côté communauté qui on est, son storytelling, son personal branding et toute l'histoire qu'on va partager parce que mine de rien des produits sur le marché il y en a des millions, des milliards et des services c'est pareil et les gens ils vont acheter un produit ou un service par rapport à la personnalité de la personne plutôt que par rapport aux produits ou aux services en lui-même.

  • Speaker #0

    Et du coup ça c'est ton domaine d'expertise est ce que tu peux nous en dire un peu plus sur quelles sont tes casquettes professionnelles pour que tu en... Merci. pour que tu puisses écrire justement un livre avec tous ces détails, j'imagine, actionnables ? Pas de souci.

  • Speaker #1

    En fait, moi, je me suis lancée à l'entrepreneuriat il y a cinq ans de ça maintenant. J'ai commencé en tant qu'assistante virtuelle où je testais un peu toutes différentes missions pour voir ce qui pouvait me plaire dans l'entrepreneuriat. Et je me suis naturellement dirigée vers le community management parce que j'ai un diplôme, j'ai un MBA en communication et événementiel. Et donc, en fait, je me suis retrouvée à refaire ce que je faisais dans mes études en quelque sorte. Et donc, je me suis spécialisée sur le community management, je me suis formée sur le métier et j'ai commencé pendant deux ans à faire du community management pour mes clients. Et on m'a proposé l'opportunité de devenir coach dans une formation. Et en gros, ça a été un peu le déclic de « je deviens coach pour des entrepreneurs qui se lancent sur les réseaux sociaux, qui sont un peu avancés sur les réseaux sociaux, mais qui sont complètement perdus » . Et il y a un an, une des personnes, enfin, les jumeaux, qui ont la formation, m'ont proposé de s'associer avec moi pour créer une agence de communication digitale. Donc aujourd'hui, je suis à la fois mentor sur tout ce qui est stratégie réseau sociaux, où aujourd'hui je mêle aussi l'IA, qui est devenu un point non négligeable du quotidien d'un entrepreneur, et aussi directrice d'une agence de communication digitale. Et j'ai aussi une agence de production vidéo pour justement tourner tout ce qui est contenu pour les clients qu'on a dans l'agence.

  • Speaker #0

    C'est quelle typologie de clients que tu vas accompagner ? C'est des entreprises en B2B ou c'est des solopreneurs qui sont en hypercroissance ? C'est quelle typologie de clientèle ?

  • Speaker #1

    J'ai différentes typologies de clientèle pour le coup dans l'agence. Je vais avoir des entrepreneurs qui sont avancés et qui ont une équipe, comme des solopreneurs qui se font tout seuls. On a surtout beaucoup de thérapeutes, mine de rien. On a un hypnothérapeute, on a quelqu'un qui fait de la médecine traditionnelle chinoise, on a un chiropracteur. Je ne sais pas si ça se dit au féminin ou pas. On a une coach en business mindset qui est spécialisée sur les neurosciences. On en a un qui fait des meta-ads aussi, qui est une agence de meta-ads. En fait, on en a une quinzaine des clients et on a tout type de profils. Et c'est ça qui est hyper intéressant parce que, mine de rien, ça challenge l'équipe de travailler sur différents types de profils de clients. Et au moment, on est sûr qu'il n'y a pas de concurrence entre nos clients. et on ne prend pas des clients... qui ont déjà la même activité qu'un client qu'on a déjà dans l'agence.

  • Speaker #0

    Ok, intéressant. Et du coup, tu es sur tous les fronts, j'imagine. Qu'est-ce que tu mets au quotidien en place, toi, pour prendre soin de ta santé mentale avec tout ça ?

  • Speaker #1

    Je déconnecte les week-ends. En fait, c'est un truc que j'ai mis en place il n'y a pas si longtemps que ça, parce que ça faisait plusieurs mois que je me faisais du 9h-19h, que je bossais le samedi, que je bossais le dimanche. Et mon corps m'a fait comprendre qu'il fallait que j'arrête de faire ça. Et donc du coup, depuis quelques semaines, ce que je fais, c'est que les week-ends, je déconnecte totalement des réseaux sociaux, de WhatsApp, des mails. Je réponds à plus personne. Les équipes, elles sont prévenues qu'il ne faut pas me contacter pendant les week-ends, parce que sinon, ils vont stresser, parce qu'ils ne sont plus habitués à ça. Mais j'ai mis ça en place et j'ai repris le sport aussi. Parce que ça faisait partie de mon quotidien quand je me suis lancée. Et pendant facile un an, je n'avais plus le temps de faire du sport, entre les déplacements pour les tournages clients, gérer les clients au quotidien, les coachings que j'avais. Et je me retrouvais à faire des journées de 9h-19h sans avoir de pause pour moi, pour pouvoir me poser. Et donc là, depuis 2-3 mois, j'ai revu un peu tout mon organisation. toute ma gestion entre vie perso et vie pro. Et ça, ça a été vraiment un gros changement dans le quotidien, à la fois sur le mental et sur le physique. Parce que je le sens aussi physiquement, je suis moins fatiguée.

  • Speaker #0

    Et j'imagine, du coup, tu as dû t'entourer pour pouvoir absorber cette charge de travail. Tu menais tout de front, toute seule au début. Et après, tu as fait comment ? Tu as délégué ? Tu as pris un peu des freelance ? Comment ça s'est passé pour ton orga ?

  • Speaker #1

    Sur la partie coaching, mentoring, j'ai pris une OBM. C'est Office Business Manager. C'est une sorte de bras droit que je connais depuis plus de deux ans et avec qui je travaille depuis maintenant un an, qui m'aide au quotidien sur les tâches un peu plus administratives, tout ce qui est Customer Care aussi, et tout ce qui est mise en place de système I.O., Notion, les trucs qui prennent beaucoup de temps dans mon quotidien à paramétrer, à mettre en place. Donc c'est elle qui s'en occupe. Donc ça, ça m'a vraiment dégagé énormément de temps. Et sur la partie agence... j'ai deux community managers qui travaillent pour nos clients. On a une personne qui s'occupe de la publicité. On a deux monteurs vidéo. On a un vidéaste. Donc, du coup, c'est pareil. On a toute une équipe qui est mise en place sur l'agence qui m'a permis de déléguer énormément. Et ça aussi, c'était un gros challenge d'apprendre à déléguer sans micromanager.

  • Speaker #0

    Oui, c'est important le micromanagement. C'est souvent un piège. Et quand on a été un peu contrôle fric et qu'on a tout... Du tout mené de A à Z, c'est vrai que c'est en général la dynamique qu'on prend. Comment tu as fait du coup ? Tu as appris, tu t'es documentée pour savoir comment il fallait manager une équipe, une agence. C'est vrai que ce n'est pas la même configuration que quand on est solopreneur.

  • Speaker #1

    Je me suis appuyée sur du coup, avant que je devienne entrepreneur, parce que comme ce que je te disais avant qu'on lance le live, je me suis fait licencier quand j'avais 27 ans, via une manager qui était toxique. qui du coup ne me laissait pas de place pour prendre mon job, qui était tout le temps sur mon dos. Et l'environnement était vraiment devenu insupportable. J'avais la boule au ventre tous les matins quand je devais aller bosser. Donc du coup, je me suis fait licencier. Et quand on a commencé à monter l'équipe, je me suis dit, je ne veux pas tomber dans ce type de management. Et avant de rentrer dans cette entreprise, j'avais été dans une autre entreprise, en région parisienne avant que je descende vivre à Marseille, où j'avais eu le meilleur manager de ma vie. Et je me suis appuyée en fait sur son exemple à lui de, s'il y a un problème, j'écoute les deux parties et ensuite je vois ce que je fais. Et pas je tape sur les doigts d'un des deux parties sans avoir la deuxième version et sans prendre un peu plus de recul. Donc aujourd'hui, la manière dont je manage les équipes, c'est que je suis dans l'écoute et dans la bienveillance. Mais par contre, s'il y a une des personnes de l'équipe qui fait une erreur, qui n'est pas réactive avec le client, ce genre de choses, ou qui fait quelque chose qui nuit à la notoriété ou à la visibilité du client, ou même au projet du client, là, pour le coup, je vais être un peu plus sévère, et on va faire un point, et on va voir où est-ce que ça a bloqué, et je vais secouer un peu plus la personne. Mais je n'ai pas voulu être dans le management toxique de ce que moi, j'ai vécu.

  • Speaker #0

    Du coup, ça m'amène à la question suivante, mais je pense que tu as en partie répondu, à moins que ce soit une autre réponse que tu vas nous fournir. Quel événement dans ta vie a été game changer ?

  • Speaker #1

    Le licenciement. forcément, ça a été vraiment game changer parce que j'avais deux possibilités, soit retourner en entreprise, sauf que j'avais décroché un entretien d'embauche et j'avais la boule au ventre de passer l'entretien, donc du coup je l'ai annulé, et donc profiter des deux ans de chômage, parce qu'à l'époque on avait encore deux ans de chômage, soit profiter de ces deux ans de chômage, mais d'une autre manière, pour lancer mon business, mon activité. Et donc du coup c'est ce que j'ai fait, c'est comme ça que je me suis lancée dans l'entrepreneuriat. Et après, il y en a eu un deuxième, c'est un événement d'entrepreneurs, où j'ai rencontré des entrepreneurs qui... pour moi, étaient des entrepreneurs avancés. Donc, ils faisaient déjà le million de chiffre d'affaires annuel, qu'il y avait déjà des équipes en place. Là où, moi, j'étais encore solopreneur, je n'avais pas d'équipe, je faisais tout toute seule. Et en échangeant avec ces personnes, je me suis rendu compte qu'il y avait toute une autre vision de l'entreprenariat que je n'avais pas encore et que je ne connaissais pas encore. Et ensuite, après cet événement avec ces entrepreneurs, je me suis dit, OK, maintenant, il faut que je recrute une équipe, il faut que je fasse appel à Sabrina du Monobm, pour l'agence, voir que je trouve des profits qui sont vraiment... investis dans l'agence et pas juste qui passent en one shot et qui ensuite partent de leur côté. Donc là, c'était vraiment le but du recrutement. Une fois cet événement terminé, c'était trouver des équipes qui sont investies dans l'agence, même s'ils sont à leur compte.

  • Speaker #0

    Super intéressant. On y reviendra dans le deuxième épisode. On craisera un peu plus cet aspect-là. Une autre question, ça concerne justement le fait que tu aies changé de voie et que tu te sois lancée comme entrepreneur. Et là, récemment, avec tes nouveaux ajustements, Quelles autres actions tu as pu mettre au quotidien pour petit à petit, pas après pas, aligner ta vie professionnelle et ta vie personnelle pour que vraiment tout aille dans la direction de ta vision et que ce soit vraiment ajusté ? Est-ce que tu as des routines, des tips, des vision boards, des choses concrètement applicables ?

  • Speaker #1

    Oui. Après, j'ai toujours eu un problème avec la notion de vision parce que ça a toujours été un concept un peu abstrait. On entend souvent parler de sa vision de l'entrepreneuriat, de ce qu'on veut mettre en place, etc. Et pendant longtemps, je ne savais pas comment faire ma vision, comment me voir, me projeter sur l'Onda. J'arrivais à me projeter à six mois, un an, mais plus que ça, c'était mission impossible. Et donc, du coup, ce que j'ai fait, c'est qu'à chaque fin d'année, je fais un bilan sur l'année qui vient de s'écouler. Je fais mes objectifs sur l'année qui va arriver. et à chaque fin de mois... je fais un point sur le mois passé. Et ça me permet de voir ce qui s'est bien passé, ce qui s'est mal passé, à la fois sur le côté perso et à la fois sur le côté pro. Et en plus de ça, tous les jours, j'ai une to-do list. Donc, je n'ai pas une to-do list à rallonge, pour le coup. Je me force à ne pas avoir une to-do list à rallonge. Mais je me force à avoir à peu près trois tâches par jour hyper importantes que je dois absolument réaliser en plus de tout ce que j'ai au quotidien.

  • Speaker #0

    OK, merci pour tout ça. Quelles actions tu poses ? surtout... Au début de ta carrière d'entrepreneur, quelles actions as-tu posées pour attirer à toi de nouveaux clients ? Qu'est-ce que tu as mis en place ? Alors, c'est un peu ton cœur de métier, mais pour toi, vraiment, quand tu étais solopreneur, qu'est-ce que tu as mis en place ? Et après, on donnera aussi peut-être les clés que tu as maintenant avec l'agence là où elle en est aujourd'hui.

  • Speaker #1

    Pas de souci. Ce que j'ai mis en place, déjà, c'était une communication qui me ressemble. Je n'ai jamais été sur le côté viralité des réseaux sociaux. J'ai toujours pris le contre-pied de créer une communauté qui soit soudée, qui nous suive peu importe ce qu'on a prévu, tous les projets qu'on veut mener. Et au final, c'est ce qui commence à ressortir aujourd'hui de plus en plus en 2025, c'est le côté authentique, le côté communauté, plus que le côté viralité. Et ça, c'est un truc que moi j'avais dès le début, parce que la viralité, c'est vraiment passager. Il suffit d'être viral sur une publication, puis ensuite c'est fini, il n'y a plus de viralité. donc déjà avoir une communication qui nous ressemble, pas copier ce qui se fait sur les autres, et vraiment être alignée avec le message que j'avais envie de véhiculer. Et l'autre point, c'était aussi... Attends, j'ai un bug. Non, c'était quoi déjà le reste de la question ?

  • Speaker #0

    Quand tu étais solopreneur, comment tu as fait pour que les clients viennent jusqu'à toi, du coup ? Je vais rebondir sur ce que tu viens de dire. Ça veut dire que tu as fait quoi ? Tu as commencé à poster sur Instagram et sur LinkedIn ? ou t'as mis en place d'autres choses concrètement ?

  • Speaker #1

    J'ai commencé à poster sur Instagram et sur LinkedIn, et ce que je faisais aussi, c'était que je prospectais. Alors même si aujourd'hui, c'est un truc que j'ai toujours détesté, la prospection, et qu'aujourd'hui je ne fais plus, mais je prospectais de manière naturelle, parce que je n'ai jamais été à l'aise avec le « Hey, salut, j'ai vu que tu faisais ça, ah bah ça sent bien, moi je fais ça, je peux t'aider » . Je n'ai jamais été à l'aise avec ce type de prospection, et donc du coup, c'était plus de la prospection conversationnelle, naturelle. où on s'intéresse vraiment à la personne qui est en face de nous. Et ça, c'est un truc que je dis à toutes les personnes que j'ai en mentoring ou en coaching, que les gens, s'ils ne sentent pas qu'on s'intéresse à eux, ils ne vont pas s'intéresser à nous, ils ne vont pas s'intéresser à ce qu'on va leur proposer. Donc, il faut être 100% naturel dans ce qu'on veut mettre en place. Et après, quand j'ai commencé dans l'entreprenariat, j'étais beaucoup sur les sites de freelance. Et dès qu'il y avait une offre qui sortait, j'allais dessus. Et pour trouver au moins mes premiers clients. Et une fois que j'avais trouvé mes premiers clients, ça s'est fait naturellement avec le bouche à oreille. Et après six mois, une fois que j'avais déjà une bonne base de clients, je n'ai plus besoin de prospecter, je n'ai plus besoin de faire des tunnels d'acquisition, ce genre de choses. Parce que les clients venaient naturellement à moi avec le bouche à oreille.

  • Speaker #0

    Ok, merci pour tous ces conseils. C'est la fin de notre premier épisode. Où est-ce qu'on te retrouve sur les réseaux si on te cherche ?

  • Speaker #1

    Vous pouvez me trouver sur Instagram, à arrobase 18BSpartner. Je pense que Chloé mettra le lien directement. Je suis aussi présente sur LinkedIn. Je poste régulièrement sur LinkedIn. Et puis, c'est à peu près tout.

  • Speaker #0

    Super, merci Cynthia.

  • Speaker #1

    Salut, bonne journée.

  • Speaker #0

    Si tu as aimé cet épisode, tu peux laisser 5 étoiles sur Apple Podcasts ou Spotify. Et bien sûr, partage-le à quelqu'un qui pourrait en avoir besoin. Tu peux me taguer et laisser un commentaire. J'adore avoir ton feedback. Ça m'aide à grandir et à proposer des épisodes qui te ressemblent. Belle journée.

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Tu veux vendre sans courir après la viralité ?


Dans cet épisode, Cynthia partage comment elle a construit une communauté ultra-engagée, sans hack, sans tunnel, sans pub.


Coach, mentor, autrice et fondatrice d’une agence digitale, elle raconte son parcours, ses prises de décisions et sa manière bien à elle de croître sans s’épuiser.


📊 Au programme :

  • Pourquoi la viralité ne crée pas de ventes (et quoi faire à la place)

  • Comment elle attire des clients fidèles grâce à une com' qui lui ressemble

  • Les coulisses de son livre “Les abonnés sont les acheteurs”

  • Son organisation pour éviter l’épuisement malgré plusieurs casquettes

  • Sa vision d’un management sain, après un burn-out professionnel

  • Ses routines pour aligner business et vie perso


Un épisode à écouter si tu veux un business qui respecte ton rythme et qui cartonne sans virer influenceur.


▶️▶️ Retrouve mon invité ici:

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💡Autres épisodes:

Episode 22 : De la présence terrain au digital (Gaelle Pouilloux)

Episode 23 : Libérer les dirigeants du BTP de l'administratif (Coralie Saumell)


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-------


🎧 FLOW & CASH FLOW – Le shot d’optimisme pour une vie qui fait sens ET qui rapporte 💸


Pour les entrepreneurs, freelances et dirigeants qui veulent croître, structurer et s’aligner.


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🌟 Tu es au bon endroit si tu écoutes Génération Do It Yourself, Le Gratin ou InPower — mais que tu veux passer à l’action, avec plus de structure et d’impact.


🎙️ Animé par Chloé Domon – consultante, coach stratégique et fondatrice de Braidstars.


2 formats par semaine :


  • Des conseils activables maintenant

  • Des témoignages lucides et inspirants


Belle journée, soft and sharp 🌺☀️
Chloé Domon


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Flow & Cash Flow, c'est ce moment capsule où tu vas pouvoir prendre un shot d'énergie, te recharger et apprendre des tips et des insights pour entreprendre ta vie. Parce que nous ne sommes pas juste des employés ou des entrepreneurs, nous pouvons tous cultiver l'art de conjuguer toutes nos facettes. Alors que tu sois entrepreneur, salarié avec un side project, artisan ou juste un humain, reste à l'écoute. Ma vision, c'est qu'il est temps que tout un chacun puisse se révéler, sublimer ses talents tout en ayant du succès, avec sa propre définition du succès. accomplir et s'accomplir. Ici, je te parlerai de rayonner, de compter, d'optimiser, d'organiser, de sublimer et de kiffer. Alors, si tu te sens concerné, abonne-toi. Tu risques d'adorer ce moment.

  • Speaker #1

    Je n'ai jamais été sur le côté viralité des réseaux sociaux. J'ai toujours pris le contre-pied de créer une communauté qui soit soudée. qui nous suivent, peu importe ce qu'on a prévu, les projets qu'on veut mener. Et au final, c'est ce qui commence à ressortir aujourd'hui de plus en plus en 2025. C'est le côté authentique, le côté communauté, plus que le côté viralité. Et ça, c'est un truc que moi, j'avais dès le début.

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast Flow & Cashflow. Aujourd'hui, on reçoit Cynthia. Bonjour, Cynthia.

  • Speaker #1

    Bonjour, Chloé.

  • Speaker #0

    La première question que je voudrais te poser, c'est quelle est la dernière action qui t'a rendu très, très fière de toi récemment, côté pro ?

  • Speaker #1

    Côté pro, c'est la sortie de mon livre. Et je me suis... motivé à écrire un livre et en fait le fait de réaliser ce livre de le sortir de le voir en ligne et de le voir en physique c'est vraiment le truc qui m'a fait réaliser que ça y est j'ai passé une étape supplémentaire dans l'entrepreneuriat et c'est un livre sur quoi alors tu peux pas nous laisser comme ça il faut que tu nous en parle J'ai un exemplaire c'est en gros c'est en français c'est les abonnés sont les acheteurs et dedans j'explique que justement c'est pas le côté viralité qui fait que ça amène des abonnés mais c'est plus le côté communauté qui on est, son storytelling, son personal branding et toute l'histoire qu'on va partager parce que mine de rien des produits sur le marché il y en a des millions, des milliards et des services c'est pareil et les gens ils vont acheter un produit ou un service par rapport à la personnalité de la personne plutôt que par rapport aux produits ou aux services en lui-même.

  • Speaker #0

    Et du coup ça c'est ton domaine d'expertise est ce que tu peux nous en dire un peu plus sur quelles sont tes casquettes professionnelles pour que tu en... Merci. pour que tu puisses écrire justement un livre avec tous ces détails, j'imagine, actionnables ? Pas de souci.

  • Speaker #1

    En fait, moi, je me suis lancée à l'entrepreneuriat il y a cinq ans de ça maintenant. J'ai commencé en tant qu'assistante virtuelle où je testais un peu toutes différentes missions pour voir ce qui pouvait me plaire dans l'entrepreneuriat. Et je me suis naturellement dirigée vers le community management parce que j'ai un diplôme, j'ai un MBA en communication et événementiel. Et donc, en fait, je me suis retrouvée à refaire ce que je faisais dans mes études en quelque sorte. Et donc, je me suis spécialisée sur le community management, je me suis formée sur le métier et j'ai commencé pendant deux ans à faire du community management pour mes clients. Et on m'a proposé l'opportunité de devenir coach dans une formation. Et en gros, ça a été un peu le déclic de « je deviens coach pour des entrepreneurs qui se lancent sur les réseaux sociaux, qui sont un peu avancés sur les réseaux sociaux, mais qui sont complètement perdus » . Et il y a un an, une des personnes, enfin, les jumeaux, qui ont la formation, m'ont proposé de s'associer avec moi pour créer une agence de communication digitale. Donc aujourd'hui, je suis à la fois mentor sur tout ce qui est stratégie réseau sociaux, où aujourd'hui je mêle aussi l'IA, qui est devenu un point non négligeable du quotidien d'un entrepreneur, et aussi directrice d'une agence de communication digitale. Et j'ai aussi une agence de production vidéo pour justement tourner tout ce qui est contenu pour les clients qu'on a dans l'agence.

  • Speaker #0

    C'est quelle typologie de clients que tu vas accompagner ? C'est des entreprises en B2B ou c'est des solopreneurs qui sont en hypercroissance ? C'est quelle typologie de clientèle ?

  • Speaker #1

    J'ai différentes typologies de clientèle pour le coup dans l'agence. Je vais avoir des entrepreneurs qui sont avancés et qui ont une équipe, comme des solopreneurs qui se font tout seuls. On a surtout beaucoup de thérapeutes, mine de rien. On a un hypnothérapeute, on a quelqu'un qui fait de la médecine traditionnelle chinoise, on a un chiropracteur. Je ne sais pas si ça se dit au féminin ou pas. On a une coach en business mindset qui est spécialisée sur les neurosciences. On en a un qui fait des meta-ads aussi, qui est une agence de meta-ads. En fait, on en a une quinzaine des clients et on a tout type de profils. Et c'est ça qui est hyper intéressant parce que, mine de rien, ça challenge l'équipe de travailler sur différents types de profils de clients. Et au moment, on est sûr qu'il n'y a pas de concurrence entre nos clients. et on ne prend pas des clients... qui ont déjà la même activité qu'un client qu'on a déjà dans l'agence.

  • Speaker #0

    Ok, intéressant. Et du coup, tu es sur tous les fronts, j'imagine. Qu'est-ce que tu mets au quotidien en place, toi, pour prendre soin de ta santé mentale avec tout ça ?

  • Speaker #1

    Je déconnecte les week-ends. En fait, c'est un truc que j'ai mis en place il n'y a pas si longtemps que ça, parce que ça faisait plusieurs mois que je me faisais du 9h-19h, que je bossais le samedi, que je bossais le dimanche. Et mon corps m'a fait comprendre qu'il fallait que j'arrête de faire ça. Et donc du coup, depuis quelques semaines, ce que je fais, c'est que les week-ends, je déconnecte totalement des réseaux sociaux, de WhatsApp, des mails. Je réponds à plus personne. Les équipes, elles sont prévenues qu'il ne faut pas me contacter pendant les week-ends, parce que sinon, ils vont stresser, parce qu'ils ne sont plus habitués à ça. Mais j'ai mis ça en place et j'ai repris le sport aussi. Parce que ça faisait partie de mon quotidien quand je me suis lancée. Et pendant facile un an, je n'avais plus le temps de faire du sport, entre les déplacements pour les tournages clients, gérer les clients au quotidien, les coachings que j'avais. Et je me retrouvais à faire des journées de 9h-19h sans avoir de pause pour moi, pour pouvoir me poser. Et donc là, depuis 2-3 mois, j'ai revu un peu tout mon organisation. toute ma gestion entre vie perso et vie pro. Et ça, ça a été vraiment un gros changement dans le quotidien, à la fois sur le mental et sur le physique. Parce que je le sens aussi physiquement, je suis moins fatiguée.

  • Speaker #0

    Et j'imagine, du coup, tu as dû t'entourer pour pouvoir absorber cette charge de travail. Tu menais tout de front, toute seule au début. Et après, tu as fait comment ? Tu as délégué ? Tu as pris un peu des freelance ? Comment ça s'est passé pour ton orga ?

  • Speaker #1

    Sur la partie coaching, mentoring, j'ai pris une OBM. C'est Office Business Manager. C'est une sorte de bras droit que je connais depuis plus de deux ans et avec qui je travaille depuis maintenant un an, qui m'aide au quotidien sur les tâches un peu plus administratives, tout ce qui est Customer Care aussi, et tout ce qui est mise en place de système I.O., Notion, les trucs qui prennent beaucoup de temps dans mon quotidien à paramétrer, à mettre en place. Donc c'est elle qui s'en occupe. Donc ça, ça m'a vraiment dégagé énormément de temps. Et sur la partie agence... j'ai deux community managers qui travaillent pour nos clients. On a une personne qui s'occupe de la publicité. On a deux monteurs vidéo. On a un vidéaste. Donc, du coup, c'est pareil. On a toute une équipe qui est mise en place sur l'agence qui m'a permis de déléguer énormément. Et ça aussi, c'était un gros challenge d'apprendre à déléguer sans micromanager.

  • Speaker #0

    Oui, c'est important le micromanagement. C'est souvent un piège. Et quand on a été un peu contrôle fric et qu'on a tout... Du tout mené de A à Z, c'est vrai que c'est en général la dynamique qu'on prend. Comment tu as fait du coup ? Tu as appris, tu t'es documentée pour savoir comment il fallait manager une équipe, une agence. C'est vrai que ce n'est pas la même configuration que quand on est solopreneur.

  • Speaker #1

    Je me suis appuyée sur du coup, avant que je devienne entrepreneur, parce que comme ce que je te disais avant qu'on lance le live, je me suis fait licencier quand j'avais 27 ans, via une manager qui était toxique. qui du coup ne me laissait pas de place pour prendre mon job, qui était tout le temps sur mon dos. Et l'environnement était vraiment devenu insupportable. J'avais la boule au ventre tous les matins quand je devais aller bosser. Donc du coup, je me suis fait licencier. Et quand on a commencé à monter l'équipe, je me suis dit, je ne veux pas tomber dans ce type de management. Et avant de rentrer dans cette entreprise, j'avais été dans une autre entreprise, en région parisienne avant que je descende vivre à Marseille, où j'avais eu le meilleur manager de ma vie. Et je me suis appuyée en fait sur son exemple à lui de, s'il y a un problème, j'écoute les deux parties et ensuite je vois ce que je fais. Et pas je tape sur les doigts d'un des deux parties sans avoir la deuxième version et sans prendre un peu plus de recul. Donc aujourd'hui, la manière dont je manage les équipes, c'est que je suis dans l'écoute et dans la bienveillance. Mais par contre, s'il y a une des personnes de l'équipe qui fait une erreur, qui n'est pas réactive avec le client, ce genre de choses, ou qui fait quelque chose qui nuit à la notoriété ou à la visibilité du client, ou même au projet du client, là, pour le coup, je vais être un peu plus sévère, et on va faire un point, et on va voir où est-ce que ça a bloqué, et je vais secouer un peu plus la personne. Mais je n'ai pas voulu être dans le management toxique de ce que moi, j'ai vécu.

  • Speaker #0

    Du coup, ça m'amène à la question suivante, mais je pense que tu as en partie répondu, à moins que ce soit une autre réponse que tu vas nous fournir. Quel événement dans ta vie a été game changer ?

  • Speaker #1

    Le licenciement. forcément, ça a été vraiment game changer parce que j'avais deux possibilités, soit retourner en entreprise, sauf que j'avais décroché un entretien d'embauche et j'avais la boule au ventre de passer l'entretien, donc du coup je l'ai annulé, et donc profiter des deux ans de chômage, parce qu'à l'époque on avait encore deux ans de chômage, soit profiter de ces deux ans de chômage, mais d'une autre manière, pour lancer mon business, mon activité. Et donc du coup c'est ce que j'ai fait, c'est comme ça que je me suis lancée dans l'entrepreneuriat. Et après, il y en a eu un deuxième, c'est un événement d'entrepreneurs, où j'ai rencontré des entrepreneurs qui... pour moi, étaient des entrepreneurs avancés. Donc, ils faisaient déjà le million de chiffre d'affaires annuel, qu'il y avait déjà des équipes en place. Là où, moi, j'étais encore solopreneur, je n'avais pas d'équipe, je faisais tout toute seule. Et en échangeant avec ces personnes, je me suis rendu compte qu'il y avait toute une autre vision de l'entreprenariat que je n'avais pas encore et que je ne connaissais pas encore. Et ensuite, après cet événement avec ces entrepreneurs, je me suis dit, OK, maintenant, il faut que je recrute une équipe, il faut que je fasse appel à Sabrina du Monobm, pour l'agence, voir que je trouve des profits qui sont vraiment... investis dans l'agence et pas juste qui passent en one shot et qui ensuite partent de leur côté. Donc là, c'était vraiment le but du recrutement. Une fois cet événement terminé, c'était trouver des équipes qui sont investies dans l'agence, même s'ils sont à leur compte.

  • Speaker #0

    Super intéressant. On y reviendra dans le deuxième épisode. On craisera un peu plus cet aspect-là. Une autre question, ça concerne justement le fait que tu aies changé de voie et que tu te sois lancée comme entrepreneur. Et là, récemment, avec tes nouveaux ajustements, Quelles autres actions tu as pu mettre au quotidien pour petit à petit, pas après pas, aligner ta vie professionnelle et ta vie personnelle pour que vraiment tout aille dans la direction de ta vision et que ce soit vraiment ajusté ? Est-ce que tu as des routines, des tips, des vision boards, des choses concrètement applicables ?

  • Speaker #1

    Oui. Après, j'ai toujours eu un problème avec la notion de vision parce que ça a toujours été un concept un peu abstrait. On entend souvent parler de sa vision de l'entrepreneuriat, de ce qu'on veut mettre en place, etc. Et pendant longtemps, je ne savais pas comment faire ma vision, comment me voir, me projeter sur l'Onda. J'arrivais à me projeter à six mois, un an, mais plus que ça, c'était mission impossible. Et donc, du coup, ce que j'ai fait, c'est qu'à chaque fin d'année, je fais un bilan sur l'année qui vient de s'écouler. Je fais mes objectifs sur l'année qui va arriver. et à chaque fin de mois... je fais un point sur le mois passé. Et ça me permet de voir ce qui s'est bien passé, ce qui s'est mal passé, à la fois sur le côté perso et à la fois sur le côté pro. Et en plus de ça, tous les jours, j'ai une to-do list. Donc, je n'ai pas une to-do list à rallonge, pour le coup. Je me force à ne pas avoir une to-do list à rallonge. Mais je me force à avoir à peu près trois tâches par jour hyper importantes que je dois absolument réaliser en plus de tout ce que j'ai au quotidien.

  • Speaker #0

    OK, merci pour tout ça. Quelles actions tu poses ? surtout... Au début de ta carrière d'entrepreneur, quelles actions as-tu posées pour attirer à toi de nouveaux clients ? Qu'est-ce que tu as mis en place ? Alors, c'est un peu ton cœur de métier, mais pour toi, vraiment, quand tu étais solopreneur, qu'est-ce que tu as mis en place ? Et après, on donnera aussi peut-être les clés que tu as maintenant avec l'agence là où elle en est aujourd'hui.

  • Speaker #1

    Pas de souci. Ce que j'ai mis en place, déjà, c'était une communication qui me ressemble. Je n'ai jamais été sur le côté viralité des réseaux sociaux. J'ai toujours pris le contre-pied de créer une communauté qui soit soudée, qui nous suive peu importe ce qu'on a prévu, tous les projets qu'on veut mener. Et au final, c'est ce qui commence à ressortir aujourd'hui de plus en plus en 2025, c'est le côté authentique, le côté communauté, plus que le côté viralité. Et ça, c'est un truc que moi j'avais dès le début, parce que la viralité, c'est vraiment passager. Il suffit d'être viral sur une publication, puis ensuite c'est fini, il n'y a plus de viralité. donc déjà avoir une communication qui nous ressemble, pas copier ce qui se fait sur les autres, et vraiment être alignée avec le message que j'avais envie de véhiculer. Et l'autre point, c'était aussi... Attends, j'ai un bug. Non, c'était quoi déjà le reste de la question ?

  • Speaker #0

    Quand tu étais solopreneur, comment tu as fait pour que les clients viennent jusqu'à toi, du coup ? Je vais rebondir sur ce que tu viens de dire. Ça veut dire que tu as fait quoi ? Tu as commencé à poster sur Instagram et sur LinkedIn ? ou t'as mis en place d'autres choses concrètement ?

  • Speaker #1

    J'ai commencé à poster sur Instagram et sur LinkedIn, et ce que je faisais aussi, c'était que je prospectais. Alors même si aujourd'hui, c'est un truc que j'ai toujours détesté, la prospection, et qu'aujourd'hui je ne fais plus, mais je prospectais de manière naturelle, parce que je n'ai jamais été à l'aise avec le « Hey, salut, j'ai vu que tu faisais ça, ah bah ça sent bien, moi je fais ça, je peux t'aider » . Je n'ai jamais été à l'aise avec ce type de prospection, et donc du coup, c'était plus de la prospection conversationnelle, naturelle. où on s'intéresse vraiment à la personne qui est en face de nous. Et ça, c'est un truc que je dis à toutes les personnes que j'ai en mentoring ou en coaching, que les gens, s'ils ne sentent pas qu'on s'intéresse à eux, ils ne vont pas s'intéresser à nous, ils ne vont pas s'intéresser à ce qu'on va leur proposer. Donc, il faut être 100% naturel dans ce qu'on veut mettre en place. Et après, quand j'ai commencé dans l'entreprenariat, j'étais beaucoup sur les sites de freelance. Et dès qu'il y avait une offre qui sortait, j'allais dessus. Et pour trouver au moins mes premiers clients. Et une fois que j'avais trouvé mes premiers clients, ça s'est fait naturellement avec le bouche à oreille. Et après six mois, une fois que j'avais déjà une bonne base de clients, je n'ai plus besoin de prospecter, je n'ai plus besoin de faire des tunnels d'acquisition, ce genre de choses. Parce que les clients venaient naturellement à moi avec le bouche à oreille.

  • Speaker #0

    Ok, merci pour tous ces conseils. C'est la fin de notre premier épisode. Où est-ce qu'on te retrouve sur les réseaux si on te cherche ?

  • Speaker #1

    Vous pouvez me trouver sur Instagram, à arrobase 18BSpartner. Je pense que Chloé mettra le lien directement. Je suis aussi présente sur LinkedIn. Je poste régulièrement sur LinkedIn. Et puis, c'est à peu près tout.

  • Speaker #0

    Super, merci Cynthia.

  • Speaker #1

    Salut, bonne journée.

  • Speaker #0

    Si tu as aimé cet épisode, tu peux laisser 5 étoiles sur Apple Podcasts ou Spotify. Et bien sûr, partage-le à quelqu'un qui pourrait en avoir besoin. Tu peux me taguer et laisser un commentaire. J'adore avoir ton feedback. Ça m'aide à grandir et à proposer des épisodes qui te ressemblent. Belle journée.

Description

Tu veux vendre sans courir après la viralité ?


Dans cet épisode, Cynthia partage comment elle a construit une communauté ultra-engagée, sans hack, sans tunnel, sans pub.


Coach, mentor, autrice et fondatrice d’une agence digitale, elle raconte son parcours, ses prises de décisions et sa manière bien à elle de croître sans s’épuiser.


📊 Au programme :

  • Pourquoi la viralité ne crée pas de ventes (et quoi faire à la place)

  • Comment elle attire des clients fidèles grâce à une com' qui lui ressemble

  • Les coulisses de son livre “Les abonnés sont les acheteurs”

  • Son organisation pour éviter l’épuisement malgré plusieurs casquettes

  • Sa vision d’un management sain, après un burn-out professionnel

  • Ses routines pour aligner business et vie perso


Un épisode à écouter si tu veux un business qui respecte ton rythme et qui cartonne sans virer influenceur.


▶️▶️ Retrouve mon invité ici:

Instagram

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💡Autres épisodes:

Episode 22 : De la présence terrain au digital (Gaelle Pouilloux)

Episode 23 : Libérer les dirigeants du BTP de l'administratif (Coralie Saumell)


☀️☀️QUIZ gratuit : Où en est la croissance de ta boîte? Découvre ton score business et les 5 leviers à activer maintenant


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🎧 FLOW & CASH FLOW – Le shot d’optimisme pour une vie qui fait sens ET qui rapporte 💸


Pour les entrepreneurs, freelances et dirigeants qui veulent croître, structurer et s’aligner.


Tu y trouveras :
✔️ Des process internes optimisés
✔️ Un business model structuré
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✔️ Un cash-flow libéré sans t’épuiser
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🌟 Tu es au bon endroit si tu écoutes Génération Do It Yourself, Le Gratin ou InPower — mais que tu veux passer à l’action, avec plus de structure et d’impact.


🎙️ Animé par Chloé Domon – consultante, coach stratégique et fondatrice de Braidstars.


2 formats par semaine :


  • Des conseils activables maintenant

  • Des témoignages lucides et inspirants


Belle journée, soft and sharp 🌺☀️
Chloé Domon


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Flow & Cash Flow, c'est ce moment capsule où tu vas pouvoir prendre un shot d'énergie, te recharger et apprendre des tips et des insights pour entreprendre ta vie. Parce que nous ne sommes pas juste des employés ou des entrepreneurs, nous pouvons tous cultiver l'art de conjuguer toutes nos facettes. Alors que tu sois entrepreneur, salarié avec un side project, artisan ou juste un humain, reste à l'écoute. Ma vision, c'est qu'il est temps que tout un chacun puisse se révéler, sublimer ses talents tout en ayant du succès, avec sa propre définition du succès. accomplir et s'accomplir. Ici, je te parlerai de rayonner, de compter, d'optimiser, d'organiser, de sublimer et de kiffer. Alors, si tu te sens concerné, abonne-toi. Tu risques d'adorer ce moment.

  • Speaker #1

    Je n'ai jamais été sur le côté viralité des réseaux sociaux. J'ai toujours pris le contre-pied de créer une communauté qui soit soudée. qui nous suivent, peu importe ce qu'on a prévu, les projets qu'on veut mener. Et au final, c'est ce qui commence à ressortir aujourd'hui de plus en plus en 2025. C'est le côté authentique, le côté communauté, plus que le côté viralité. Et ça, c'est un truc que moi, j'avais dès le début.

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast Flow & Cashflow. Aujourd'hui, on reçoit Cynthia. Bonjour, Cynthia.

  • Speaker #1

    Bonjour, Chloé.

  • Speaker #0

    La première question que je voudrais te poser, c'est quelle est la dernière action qui t'a rendu très, très fière de toi récemment, côté pro ?

  • Speaker #1

    Côté pro, c'est la sortie de mon livre. Et je me suis... motivé à écrire un livre et en fait le fait de réaliser ce livre de le sortir de le voir en ligne et de le voir en physique c'est vraiment le truc qui m'a fait réaliser que ça y est j'ai passé une étape supplémentaire dans l'entrepreneuriat et c'est un livre sur quoi alors tu peux pas nous laisser comme ça il faut que tu nous en parle J'ai un exemplaire c'est en gros c'est en français c'est les abonnés sont les acheteurs et dedans j'explique que justement c'est pas le côté viralité qui fait que ça amène des abonnés mais c'est plus le côté communauté qui on est, son storytelling, son personal branding et toute l'histoire qu'on va partager parce que mine de rien des produits sur le marché il y en a des millions, des milliards et des services c'est pareil et les gens ils vont acheter un produit ou un service par rapport à la personnalité de la personne plutôt que par rapport aux produits ou aux services en lui-même.

  • Speaker #0

    Et du coup ça c'est ton domaine d'expertise est ce que tu peux nous en dire un peu plus sur quelles sont tes casquettes professionnelles pour que tu en... Merci. pour que tu puisses écrire justement un livre avec tous ces détails, j'imagine, actionnables ? Pas de souci.

  • Speaker #1

    En fait, moi, je me suis lancée à l'entrepreneuriat il y a cinq ans de ça maintenant. J'ai commencé en tant qu'assistante virtuelle où je testais un peu toutes différentes missions pour voir ce qui pouvait me plaire dans l'entrepreneuriat. Et je me suis naturellement dirigée vers le community management parce que j'ai un diplôme, j'ai un MBA en communication et événementiel. Et donc, en fait, je me suis retrouvée à refaire ce que je faisais dans mes études en quelque sorte. Et donc, je me suis spécialisée sur le community management, je me suis formée sur le métier et j'ai commencé pendant deux ans à faire du community management pour mes clients. Et on m'a proposé l'opportunité de devenir coach dans une formation. Et en gros, ça a été un peu le déclic de « je deviens coach pour des entrepreneurs qui se lancent sur les réseaux sociaux, qui sont un peu avancés sur les réseaux sociaux, mais qui sont complètement perdus » . Et il y a un an, une des personnes, enfin, les jumeaux, qui ont la formation, m'ont proposé de s'associer avec moi pour créer une agence de communication digitale. Donc aujourd'hui, je suis à la fois mentor sur tout ce qui est stratégie réseau sociaux, où aujourd'hui je mêle aussi l'IA, qui est devenu un point non négligeable du quotidien d'un entrepreneur, et aussi directrice d'une agence de communication digitale. Et j'ai aussi une agence de production vidéo pour justement tourner tout ce qui est contenu pour les clients qu'on a dans l'agence.

  • Speaker #0

    C'est quelle typologie de clients que tu vas accompagner ? C'est des entreprises en B2B ou c'est des solopreneurs qui sont en hypercroissance ? C'est quelle typologie de clientèle ?

  • Speaker #1

    J'ai différentes typologies de clientèle pour le coup dans l'agence. Je vais avoir des entrepreneurs qui sont avancés et qui ont une équipe, comme des solopreneurs qui se font tout seuls. On a surtout beaucoup de thérapeutes, mine de rien. On a un hypnothérapeute, on a quelqu'un qui fait de la médecine traditionnelle chinoise, on a un chiropracteur. Je ne sais pas si ça se dit au féminin ou pas. On a une coach en business mindset qui est spécialisée sur les neurosciences. On en a un qui fait des meta-ads aussi, qui est une agence de meta-ads. En fait, on en a une quinzaine des clients et on a tout type de profils. Et c'est ça qui est hyper intéressant parce que, mine de rien, ça challenge l'équipe de travailler sur différents types de profils de clients. Et au moment, on est sûr qu'il n'y a pas de concurrence entre nos clients. et on ne prend pas des clients... qui ont déjà la même activité qu'un client qu'on a déjà dans l'agence.

  • Speaker #0

    Ok, intéressant. Et du coup, tu es sur tous les fronts, j'imagine. Qu'est-ce que tu mets au quotidien en place, toi, pour prendre soin de ta santé mentale avec tout ça ?

  • Speaker #1

    Je déconnecte les week-ends. En fait, c'est un truc que j'ai mis en place il n'y a pas si longtemps que ça, parce que ça faisait plusieurs mois que je me faisais du 9h-19h, que je bossais le samedi, que je bossais le dimanche. Et mon corps m'a fait comprendre qu'il fallait que j'arrête de faire ça. Et donc du coup, depuis quelques semaines, ce que je fais, c'est que les week-ends, je déconnecte totalement des réseaux sociaux, de WhatsApp, des mails. Je réponds à plus personne. Les équipes, elles sont prévenues qu'il ne faut pas me contacter pendant les week-ends, parce que sinon, ils vont stresser, parce qu'ils ne sont plus habitués à ça. Mais j'ai mis ça en place et j'ai repris le sport aussi. Parce que ça faisait partie de mon quotidien quand je me suis lancée. Et pendant facile un an, je n'avais plus le temps de faire du sport, entre les déplacements pour les tournages clients, gérer les clients au quotidien, les coachings que j'avais. Et je me retrouvais à faire des journées de 9h-19h sans avoir de pause pour moi, pour pouvoir me poser. Et donc là, depuis 2-3 mois, j'ai revu un peu tout mon organisation. toute ma gestion entre vie perso et vie pro. Et ça, ça a été vraiment un gros changement dans le quotidien, à la fois sur le mental et sur le physique. Parce que je le sens aussi physiquement, je suis moins fatiguée.

  • Speaker #0

    Et j'imagine, du coup, tu as dû t'entourer pour pouvoir absorber cette charge de travail. Tu menais tout de front, toute seule au début. Et après, tu as fait comment ? Tu as délégué ? Tu as pris un peu des freelance ? Comment ça s'est passé pour ton orga ?

  • Speaker #1

    Sur la partie coaching, mentoring, j'ai pris une OBM. C'est Office Business Manager. C'est une sorte de bras droit que je connais depuis plus de deux ans et avec qui je travaille depuis maintenant un an, qui m'aide au quotidien sur les tâches un peu plus administratives, tout ce qui est Customer Care aussi, et tout ce qui est mise en place de système I.O., Notion, les trucs qui prennent beaucoup de temps dans mon quotidien à paramétrer, à mettre en place. Donc c'est elle qui s'en occupe. Donc ça, ça m'a vraiment dégagé énormément de temps. Et sur la partie agence... j'ai deux community managers qui travaillent pour nos clients. On a une personne qui s'occupe de la publicité. On a deux monteurs vidéo. On a un vidéaste. Donc, du coup, c'est pareil. On a toute une équipe qui est mise en place sur l'agence qui m'a permis de déléguer énormément. Et ça aussi, c'était un gros challenge d'apprendre à déléguer sans micromanager.

  • Speaker #0

    Oui, c'est important le micromanagement. C'est souvent un piège. Et quand on a été un peu contrôle fric et qu'on a tout... Du tout mené de A à Z, c'est vrai que c'est en général la dynamique qu'on prend. Comment tu as fait du coup ? Tu as appris, tu t'es documentée pour savoir comment il fallait manager une équipe, une agence. C'est vrai que ce n'est pas la même configuration que quand on est solopreneur.

  • Speaker #1

    Je me suis appuyée sur du coup, avant que je devienne entrepreneur, parce que comme ce que je te disais avant qu'on lance le live, je me suis fait licencier quand j'avais 27 ans, via une manager qui était toxique. qui du coup ne me laissait pas de place pour prendre mon job, qui était tout le temps sur mon dos. Et l'environnement était vraiment devenu insupportable. J'avais la boule au ventre tous les matins quand je devais aller bosser. Donc du coup, je me suis fait licencier. Et quand on a commencé à monter l'équipe, je me suis dit, je ne veux pas tomber dans ce type de management. Et avant de rentrer dans cette entreprise, j'avais été dans une autre entreprise, en région parisienne avant que je descende vivre à Marseille, où j'avais eu le meilleur manager de ma vie. Et je me suis appuyée en fait sur son exemple à lui de, s'il y a un problème, j'écoute les deux parties et ensuite je vois ce que je fais. Et pas je tape sur les doigts d'un des deux parties sans avoir la deuxième version et sans prendre un peu plus de recul. Donc aujourd'hui, la manière dont je manage les équipes, c'est que je suis dans l'écoute et dans la bienveillance. Mais par contre, s'il y a une des personnes de l'équipe qui fait une erreur, qui n'est pas réactive avec le client, ce genre de choses, ou qui fait quelque chose qui nuit à la notoriété ou à la visibilité du client, ou même au projet du client, là, pour le coup, je vais être un peu plus sévère, et on va faire un point, et on va voir où est-ce que ça a bloqué, et je vais secouer un peu plus la personne. Mais je n'ai pas voulu être dans le management toxique de ce que moi, j'ai vécu.

  • Speaker #0

    Du coup, ça m'amène à la question suivante, mais je pense que tu as en partie répondu, à moins que ce soit une autre réponse que tu vas nous fournir. Quel événement dans ta vie a été game changer ?

  • Speaker #1

    Le licenciement. forcément, ça a été vraiment game changer parce que j'avais deux possibilités, soit retourner en entreprise, sauf que j'avais décroché un entretien d'embauche et j'avais la boule au ventre de passer l'entretien, donc du coup je l'ai annulé, et donc profiter des deux ans de chômage, parce qu'à l'époque on avait encore deux ans de chômage, soit profiter de ces deux ans de chômage, mais d'une autre manière, pour lancer mon business, mon activité. Et donc du coup c'est ce que j'ai fait, c'est comme ça que je me suis lancée dans l'entrepreneuriat. Et après, il y en a eu un deuxième, c'est un événement d'entrepreneurs, où j'ai rencontré des entrepreneurs qui... pour moi, étaient des entrepreneurs avancés. Donc, ils faisaient déjà le million de chiffre d'affaires annuel, qu'il y avait déjà des équipes en place. Là où, moi, j'étais encore solopreneur, je n'avais pas d'équipe, je faisais tout toute seule. Et en échangeant avec ces personnes, je me suis rendu compte qu'il y avait toute une autre vision de l'entreprenariat que je n'avais pas encore et que je ne connaissais pas encore. Et ensuite, après cet événement avec ces entrepreneurs, je me suis dit, OK, maintenant, il faut que je recrute une équipe, il faut que je fasse appel à Sabrina du Monobm, pour l'agence, voir que je trouve des profits qui sont vraiment... investis dans l'agence et pas juste qui passent en one shot et qui ensuite partent de leur côté. Donc là, c'était vraiment le but du recrutement. Une fois cet événement terminé, c'était trouver des équipes qui sont investies dans l'agence, même s'ils sont à leur compte.

  • Speaker #0

    Super intéressant. On y reviendra dans le deuxième épisode. On craisera un peu plus cet aspect-là. Une autre question, ça concerne justement le fait que tu aies changé de voie et que tu te sois lancée comme entrepreneur. Et là, récemment, avec tes nouveaux ajustements, Quelles autres actions tu as pu mettre au quotidien pour petit à petit, pas après pas, aligner ta vie professionnelle et ta vie personnelle pour que vraiment tout aille dans la direction de ta vision et que ce soit vraiment ajusté ? Est-ce que tu as des routines, des tips, des vision boards, des choses concrètement applicables ?

  • Speaker #1

    Oui. Après, j'ai toujours eu un problème avec la notion de vision parce que ça a toujours été un concept un peu abstrait. On entend souvent parler de sa vision de l'entrepreneuriat, de ce qu'on veut mettre en place, etc. Et pendant longtemps, je ne savais pas comment faire ma vision, comment me voir, me projeter sur l'Onda. J'arrivais à me projeter à six mois, un an, mais plus que ça, c'était mission impossible. Et donc, du coup, ce que j'ai fait, c'est qu'à chaque fin d'année, je fais un bilan sur l'année qui vient de s'écouler. Je fais mes objectifs sur l'année qui va arriver. et à chaque fin de mois... je fais un point sur le mois passé. Et ça me permet de voir ce qui s'est bien passé, ce qui s'est mal passé, à la fois sur le côté perso et à la fois sur le côté pro. Et en plus de ça, tous les jours, j'ai une to-do list. Donc, je n'ai pas une to-do list à rallonge, pour le coup. Je me force à ne pas avoir une to-do list à rallonge. Mais je me force à avoir à peu près trois tâches par jour hyper importantes que je dois absolument réaliser en plus de tout ce que j'ai au quotidien.

  • Speaker #0

    OK, merci pour tout ça. Quelles actions tu poses ? surtout... Au début de ta carrière d'entrepreneur, quelles actions as-tu posées pour attirer à toi de nouveaux clients ? Qu'est-ce que tu as mis en place ? Alors, c'est un peu ton cœur de métier, mais pour toi, vraiment, quand tu étais solopreneur, qu'est-ce que tu as mis en place ? Et après, on donnera aussi peut-être les clés que tu as maintenant avec l'agence là où elle en est aujourd'hui.

  • Speaker #1

    Pas de souci. Ce que j'ai mis en place, déjà, c'était une communication qui me ressemble. Je n'ai jamais été sur le côté viralité des réseaux sociaux. J'ai toujours pris le contre-pied de créer une communauté qui soit soudée, qui nous suive peu importe ce qu'on a prévu, tous les projets qu'on veut mener. Et au final, c'est ce qui commence à ressortir aujourd'hui de plus en plus en 2025, c'est le côté authentique, le côté communauté, plus que le côté viralité. Et ça, c'est un truc que moi j'avais dès le début, parce que la viralité, c'est vraiment passager. Il suffit d'être viral sur une publication, puis ensuite c'est fini, il n'y a plus de viralité. donc déjà avoir une communication qui nous ressemble, pas copier ce qui se fait sur les autres, et vraiment être alignée avec le message que j'avais envie de véhiculer. Et l'autre point, c'était aussi... Attends, j'ai un bug. Non, c'était quoi déjà le reste de la question ?

  • Speaker #0

    Quand tu étais solopreneur, comment tu as fait pour que les clients viennent jusqu'à toi, du coup ? Je vais rebondir sur ce que tu viens de dire. Ça veut dire que tu as fait quoi ? Tu as commencé à poster sur Instagram et sur LinkedIn ? ou t'as mis en place d'autres choses concrètement ?

  • Speaker #1

    J'ai commencé à poster sur Instagram et sur LinkedIn, et ce que je faisais aussi, c'était que je prospectais. Alors même si aujourd'hui, c'est un truc que j'ai toujours détesté, la prospection, et qu'aujourd'hui je ne fais plus, mais je prospectais de manière naturelle, parce que je n'ai jamais été à l'aise avec le « Hey, salut, j'ai vu que tu faisais ça, ah bah ça sent bien, moi je fais ça, je peux t'aider » . Je n'ai jamais été à l'aise avec ce type de prospection, et donc du coup, c'était plus de la prospection conversationnelle, naturelle. où on s'intéresse vraiment à la personne qui est en face de nous. Et ça, c'est un truc que je dis à toutes les personnes que j'ai en mentoring ou en coaching, que les gens, s'ils ne sentent pas qu'on s'intéresse à eux, ils ne vont pas s'intéresser à nous, ils ne vont pas s'intéresser à ce qu'on va leur proposer. Donc, il faut être 100% naturel dans ce qu'on veut mettre en place. Et après, quand j'ai commencé dans l'entreprenariat, j'étais beaucoup sur les sites de freelance. Et dès qu'il y avait une offre qui sortait, j'allais dessus. Et pour trouver au moins mes premiers clients. Et une fois que j'avais trouvé mes premiers clients, ça s'est fait naturellement avec le bouche à oreille. Et après six mois, une fois que j'avais déjà une bonne base de clients, je n'ai plus besoin de prospecter, je n'ai plus besoin de faire des tunnels d'acquisition, ce genre de choses. Parce que les clients venaient naturellement à moi avec le bouche à oreille.

  • Speaker #0

    Ok, merci pour tous ces conseils. C'est la fin de notre premier épisode. Où est-ce qu'on te retrouve sur les réseaux si on te cherche ?

  • Speaker #1

    Vous pouvez me trouver sur Instagram, à arrobase 18BSpartner. Je pense que Chloé mettra le lien directement. Je suis aussi présente sur LinkedIn. Je poste régulièrement sur LinkedIn. Et puis, c'est à peu près tout.

  • Speaker #0

    Super, merci Cynthia.

  • Speaker #1

    Salut, bonne journée.

  • Speaker #0

    Si tu as aimé cet épisode, tu peux laisser 5 étoiles sur Apple Podcasts ou Spotify. Et bien sûr, partage-le à quelqu'un qui pourrait en avoir besoin. Tu peux me taguer et laisser un commentaire. J'adore avoir ton feedback. Ça m'aide à grandir et à proposer des épisodes qui te ressemblent. Belle journée.

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