Speaker #0Hola à tous, bienvenue sur votre podcast. Gardons le cap, le podcast qui permet aux entrepreneurs de tendre vers le succès. Alors aujourd'hui, je vais vous parler d'un sujet qui prend de l'ampleur auprès des entrepreneurs, mais pas que d'ailleurs, vu le monde dans lequel nous sommes, et pour les entrepreneurs, le contexte économique et social, et la situation financière des entreprises. Je vois beaucoup d'entrepreneurs qui ont peur, en fait, qui ont des craintes sur le devenir de leur business, et je le comprends. Tout à fait. C'est pour ça aujourd'hui que j'ai choisi cette thématique. Je vais vous expliquer dans cette thématique comment, quand on a des situations qui sont difficiles, qui sont des situations de changement, c'est-à-dire que je veux me lancer dans l'entrepreneuriat, je dois prendre des décisions pour amener de l'amélioration de mon business. Je vais vous expliquer comment jouer avec cette peur-là pour en faire une force. Mais avant, je vais vous expliquer aussi... que la peur de l'échec, c'est finalement, c'est tout à fait humain. Et je dois dire que ça ne concerne pas d'ailleurs que les entrepreneurs, parce qu'on va retrouver la peur de l'échec quand on est enfant, étudiant, avec la peur de se planter à des examens, à des contrôles, avec derrière la peur de ne pas se sentir capable, d'avoir des doutes sur sa capacité, la peur de décevoir ses parents. La peur dans un couple de décevoir son conjoint, la peur de perdre une compétition quand on est sportif, la peur de décevoir ses amis ou la peur de ne pas réussir les défis que l'on se donne. Donc en fait, c'est tout à fait normal d'avoir peur. Le tout, c'est qu'est-ce qu'on fait de cette peur ? Ça peut être une arme redoutable parce qu'on peut s'en servir pour avancer. Je vous expliquerai dans le cas où la peur devient un moteur. Et je vous dirai aussi dans quelle situation cette peur-là peut nous paralyser. Peut-être que certains d'entre vous, vous vous reconnaissez là, et moi-même, il m'est arrivé, et il m'arrive bien normalement, pour piloter mon entreprise ou dans certaines conditions, de pouvoir avoir peur aussi de l'échec, en tout cas la peur de ne pas y arriver. Pour dire les choses telles qu'elles sont, c'est absolument normal d'être dans cette situation-là. Et j'ai même envie de dire que ceux qui n'ont pas peur, peur de rien, il y a peut-être un certain niveau d'inconscience. Donc, comment fait-on ? Pour démarrer, j'ai envie de dire que la peur pour les entrepreneurs est vraiment amplifiée par le contexte actuel. Nous traversons une période, vous le voyez tous les jours, assez particulière. Depuis 4-5 ans, où tous les ans, on a une nouveauté qui contraigne les entreprises, les entrepreneurs. Depuis 5 ans particulièrement, ça s'est accéléré. Mais on va dire depuis 25 ans, on est dans un monde en plein changement. Revenons à il y a 25 ans, Internet, pour ceux qui s'en souviennent, c'était un modem qui faisait du bruit et les applications ne sont pas du tout celles que l'on avait. On avait des rapports entre les individus dans l'entreprise qui étaient encore de l'ancien monde. Et puis les nouvelles générations qui sont entrées sur le marché du travail, les nouveaux outils d'intelligence artificielle. Une économie qui s'emballe avec différentes crises au début des années 2000, avec la bulle internet, avec la crise des subprimes. Il y a eu une onde de choc de 2008 jusqu'en 2014-2015 et au moment où progressivement tout se redresse, nous avons le Covid, l'inflation, un contexte géopolitique avec des guerres. En France particulièrement, on se retrouve là à l'heure où je vous parle. à nouveau sans gouvernement et pour tout dire on sait pas où on va et puis les informations, les médias sont là pour alimenter cette peur et alimenter tous les freins que l'on peut avoir parce qu'on se dit où va-t-on ? Je le vois moi sur mon business avec des entrepreneurs qui voient leurs clients mettre le pied sur le frein à la consommation, à l'investissement. Et je le vois aussi moi-même avec des entrepreneurs qui hésitent à prendre des accompagnements parce qu'ils ont peur de dépenser, de ne pas s'en sortir. Et on fait l'odoron et on attend que ça passe. Est-ce la solution ? Alors, nous allons en parler ensemble. Je le disais tout à l'heure, pour corroborer tout ça, le nombre de défaillants d'entreprises a augmenté, la concurrence est rude, les marchés se contractent. Et les crises successives ont fragilisé de nombreux secteurs d'activité, notamment le commerce de détails, les vêtements, on voit des grandes enseignes. qui diminuent leur présence sur le territoire, comme Maison du Monde, Enseignement d'Ambassade, Casa, qui est à nouveau en grande difficulté. J'ai appris que le plus grand fournisseur de batteries en Europe, de batteries électriques pour les véhicules, est en train de se mettre en situation de redressement judiciaire. C'est un Suédois. Et donc, j'ai envie de dire que toutes ces nouvelles, en fait, ça ne met pas la patate. On est d'accord avec ça. Ça ne met pas la patate. et donc beaucoup de gens se découragent et et la peur peut aussi envahir le mental des entrepreneurs mais une peur qui amène peut-être pour beaucoup aujourd'hui une espèce d'inaction et d'attentisme nous échangions hier avec quelques banquiers lors d'un déjeuner et il me demandait comment je trouvais moi le mindset des entrepreneurs de leur côté il trouvait beaucoup d'attentisme et je le comprends Maintenant, trop attendre va peut-être nous éviter de voir des opportunités et ça c'est bien dommage. Et l'idée c'est comment je vais profiter d'opportunités plutôt que de me focaliser sur le problème. C'est pas évident, nous allons en parler. En tout cas, dans ce contexte tendu, il est facile de comprendre pourquoi la peur de l'échec est plus présente que jamais chez les entrepreneurs. L'environnement actuel impose une pression constante. Chaque décision semble cruciale, chaque erreur potentiellement fatale. Les trésoreries se tendent et puis, on doit le dire, les équipes, les collaborateurs, parfois, manquent de repères. Et c'est là où on va retrouver ce que je vous disais dans un précédent podcast. Verrouiller son écosystème et son équipe est une nécessité. Nous parlerons d'ailleurs de... Comment bâtir une équipe solide lors d'un prochain podcast. Et moi, j'ai envie de dire que c'est justement dans ces moments de turbulence que le courage entrepreneurial prend tout son sens. La peur de l'échec peut soit vous paralyser, soit devenir un moteur de vigilance et d'innovation. L'échec est une réalité possible, mais la pire des choses, ce serait de ne rien faire, par crainte de tomber. Et comme j'aime à le dire, ne pas évoluer, c'est déjà échouer. D'abord, avant d'aller plus loin... J'aimerais qu'on fasse une petite définition de l'échec. Parce que je crois que là aussi, il y a une grande confusion. Pour moi, ce qui constitue le plus grand échec, c'est de ne rien faire et d'attendre. Et de passer à côté d'opportunités. Quand on tente quelque chose et qu'on se plante, d'accord ? On ne peut jamais savoir si c'est mieux que d'avoir rien fait. Mais au moins, j'ai tenté et j'ai appris. Alors évidemment, il ne faut pas que le plantus soit énorme. Donc on dira tout à l'heure qu'évidemment, il faut rester vigilant parce qu'il ne s'agit pas de faire n'importe quoi. Mais l'échec est souvent perçu comme un manque de résultat, une perte financière ou une erreur stratégique. Le véritable échec, je le redis, c'est l'inaction face aux défis. Ne rien tenter par peur de mal faire, c'est s'empêcher de grandir et d'apprendre. Et on peut le retrouver effectivement chez des gens qui craignent beaucoup de choses, qui ont peur de perdre, qui s'empêchent finalement de grandir et d'apprendre. Chez moi, comme manager, avec mon équipe, nous voyons l'échec comme une étape nécessaire de l'apprentissage. Et en fait, j'ai même envie de dire, se tromper une fois, ce n'est pas un échec. Répéter les mêmes erreurs sans en tirer des leçons, c'est là que l'échec devient réel. Je ne sais pas ceux qui ont lu la cinquième montagne de Paulo Coelho, livre que je recommande absolument. Il explique que se tromper une fois, c'est une expérience. Faire la même erreur plusieurs fois devient un échec. Donc en fait, l'idée, c'est d'être conscient de ce que l'on fait et c'est d'être conscient que... Tentez quelque chose pour évoluer. Par exemple, je veux devenir entrepreneur mais j'ai peur de me planter. Faites un comparatif entre votre situation actuelle et la vision que vous avez de vous, entrepreneur. Pour ça, vous pouvez vous faire accompagner parce que parfois on n'a pas les outils pour s'imaginer autre chose que ce que l'on est. J'ai expliqué, je crois, dans le deuxième podcast ou le troisième, comment j'étais devenu entrepreneur. Et c'est vrai que j'étais face à une falaise, si on peut comparer ça comme ça. Et la falaise, c'est je dois sauter de l'autre côté de la falaise. Et j'avais le choix de rester sur le côté où j'étais. À l'époque, j'étais à la banque ou passer sur un autre univers. Et en fait, ça nécessite de vraiment se focaliser sur le devenir plutôt que sur... la situation dans laquelle j'étais, où j'avais un bon job, qui me plaisait, mais qui ne m'excitait pas trop. Je vais vous dire pourquoi la peur de l'échec peut être un frein et que cette peur peut prendre des formes multiples. Tout d'abord, la peur de l'échec, c'est la peur de perdre confiance en soi et en ses capacités. C'est-à-dire que si on se dit, je veux tenter une nouveauté, je veux tenter une action, une stratégie, je veux changer de statut, la peur c'est de se dire, et si ça ne marche pas, qu'est-ce que je deviens ? C'est une belle question. et je vous propose d'ailleurs d'y répondre. En fait, ayons un plan B, de manière à se dire, vous savez, c'est comme je parlais de la falaise tout à l'heure, imaginez que vous ayez comme un filet de protection avant de vous lancer dans quelque chose. Quand vous regardez votre situation aujourd'hui, vous comparez aussi la situation dans laquelle vous êtes et vous regardez la tendance. Ce que je disais, un entrepreneur qui hésitait à prendre un accompagnement avec nous, je lui ai montré un graphique par rapport aux chiffres qu'il m'avait donnés. Et je dis si vous continuez comme ça, vous êtes en échec à coup sûr dans les 2-3 ans parce que rien ne se fait. L'entreprise se dégrade, la rentabilité diminue, la trésorerie se dégrade fil de l'eau, il y a de moins en moins de clients, moins de marge. Et du coup, il avait peur de se lancer dans une nouvelle stratégie. Mais je dis vous êtes déjà en situation où il y a eu quelques erreurs de fait parce que vous n'avez pas évolué. Donc maintenant. Il est temps de passer à autre chose. Et il me disait si ça ne marche pas. Oui, mais la situation dans laquelle vous êtes ne marche plus non plus. Donc, c'est la nécessité dont je parle bien souvent de se renouveler quand on est un entrepreneur. Ensuite, effectivement, la peur de l'échec est liée à la peur de perdre des finances et d'aller en insécurité financière. Faites un comparatif toujours entre, je vais me répéter, est-ce que le modèle dans lequel vous êtes, est-ce que la situation dans laquelle vous êtes est pérenne ? ou bien on a besoin de renouveau. Moi je vais vous dire, et je suis un adepte du renouveau, pas de changement systématique surtout, mais de l'adaptation plutôt, j'ai envie de vous dire, adaptons-nous à notre contexte. Et les recettes d'hier, d'avant-hier, ne marchent plus toutes. Les fondamentaux marchent, mais plus toutes. On a aussi, par rapport à la peur d'échec, l'idée de la dégradation de l'image de soi. Alors ça c'est vrai, il faut se détacher de ça parce qu'on peut se dire finalement, si j'annonce que je me plante, etc., qu'est-ce que vont penser les autres ? On va revenir sur la dégradation de l'image de soi liée à la crainte du jugement des autres. J'ai envie de dire, alors c'est facile à dire, je reconnais, mais les personnes qui peuvent se réjouir, il y en a certains que vous plantiez, ou en tout cas vous jugez du style, il n'est pas capable, il y aura toujours des gens comme ça. Sachez-le, il y aura toujours des gens comme ça. sachez que ces gens là ne sont pas capables d'avoir eu le cran on va dire ça comme ça le cran de pouvoir faire ce que vous avez fait et ils se réjouissent parfois de se dire bon tu vois je te l'avais dit il n'était pas capable etc donc ça il ya un travail sur soi pour avancer et faire en sorte que comparez vous à vous ne cherchez pas à plaire aux autres et à réagir par rapport au regard des autres J'ai envie de dire, vous savez, c'est comme quand on pilote son entreprise. L'entreprise, il faut savoir si on subit par rapport à l'environnement, ou si je suis acteur de cet environnement-là, en m'y adaptant et en trouvant des solutions au fil de l'eau. Et enfin, on va parler de la baisse d'estime de soi face aux attentes non réalisées. Donc, dans un contexte économique instable, ces inquiétudes sont vraiment légitimes, mais elles peuvent devenir des chaînes qui vous empêchent d'avancer. Et là, c'est là qu'est tout le problème. Je reviens un petit peu sur ce que j'ai dit précédemment en disant que l'échec, c'est finalement un magnifique outil d'apprentissage. L'échec est gommé dès qu'on en fait quelque chose. L'échec, c'est comme un outil d'apprentissage. À partir du moment où on en tire des leçons et qu'on avance, nous gommons l'échec. Je répète, si nous faisons quelque chose de l'échec pour aller plus haut, vous savez ce qu'on appelle l'effet rebond et on va aller plus haut. que ce qui était la situation avant. Et dans ce cas-là, l'échec est gommé. Bon, j'espère que j'ai été clair, parce que chaque erreur contient en lui une leçon, qui bien exploitée devient une force. Et je vais vous citer quelques exemples. Il y a cinq ans, j'ai dû perdre du ménage dans l'entreprise parce que j'étais sur une impasse. À un moment donné, j'avais un écosystème qui ne fonctionnait plus, avec une équipe qui était démotivée, et puis j'en tiens toutes les responsabilités. J'ai dû me couper de tous les collaborateurs avec lesquels j'étais. Et c'était assez violent en fait, parce que je n'imaginais pas faire ça. Et finalement, ça a été très bénéfique. Et avec Laetitia, ma femme avec qui je travaille, on s'est fait du brainstorming pour analyser ce qu'étaient les causes de cette situation-là et comment on a fait pour revenir plus haut. En 2019, j'ai fait ma plus mauvaise année entrepreneuriale. En 2020, j'ai fait la meilleure. Puis en 2021, la meilleure. Puis en 2022, etc. Et après, la conjoncture s'est à nouveau durcie en 2023. Donc, il faut s'adapter et faire de nouvelles offres, etc. Mais ce que je veux dire par là, c'est que cette violence qu'on a connue en 2019, en termes entrepreneuriels, on en a fait une force parce que ça nous a permis de créer de nouvelles offres. Ça nous a permis de revoir notre manière de manager notre équipe. Ça nous a permis aussi de voir... avec qui on voulait travailler et de quoi devait être fait notre écosystème. Et faire de l'élagage, comme disent les paysagistes ou les personnes qui travaillent dans les espaces verts, c'est nécessaire aussi en entrepreneuriat. Ce que je veux dire, c'est que vraiment, on a rebondi beaucoup plus haut avec un écosystème beaucoup plus fort parce qu'on a tiré des leçons de notre situation. Et du coup, cet échec a été gommé. Par rapport à l'échec, j'ai envie de dire que nous sommes dans une culture aussi qui est vraiment hermétique à l'expérience et à l'échec. Alors pour rebondir, comment j'ai fait ? En fait, moi ce que je recommande, c'est effectivement, il faut toujours analyser ce qui s'est passé et ensuite je me focalise sur ma vision, le futur que je souhaite. J'en parlais un peu plus haut au début du podcast. Je me focalise sur vraiment qu'est-ce que je veux dans le futur, qu'est-ce que je ne veux plus aussi. Et ensuite, je dessine mon futur en écrivant la destination. Dans 5 ans, qu'est-ce que je veux être, qu'est-ce que je veux devenir ? Et je vais décrire toute la stratégie pour arriver à ce que je souhaite avec une vision financière. Et je me focalise là-dessus. Si je me focalise sur la situation difficile, sans arrêt, je n'en sors pas. Ça veut dire qu'il est nécessaire de faire le deuil quand on a un échec pour pouvoir se relever. Comprendre, réagir. et ensuite agir sur la stratégie et la vision qu'on se donne. C'est ça le rebond. Maintenant, la peur peut être un moteur. La peur peut devenir une force motrice si nous l'utilisons. Elle permet de renforcer notre vigilance en ayant tiré les leçons de l'échec ou même si on a pété en situation de difficulté, de renforcer tout simplement notre vigilance. Sur quoi nous devons faire attention pour éviter des difficultés ? Ça permet aussi de stimuler notre créativité pour trouver des solutions. Quand j'ai peur de l'échec, je vais me focaliser sur des situations qui ne sont pas encore arrivées, mais qui pourraient arriver. Et plus je me focalise sur ces situations difficiles, plus je vais les attirer. Donc, focalisons-nous sur des solutions aux problèmes qui pourront arriver. Voir les problèmes qui peuvent arriver, c'est excellent. Mais justement, si j'évite de me focaliser dessus, d'accord, mais que je les énonce, je vais... travailler sur les solutions pour éviter ces problèmes. Et enfin, moi je pense que pour sortir de notre peur et transformer la peur en moteur, cette peur va nous permettre de sortir de notre zone de confort pour innover. Moi j'ai un client qui est dans la distribution, qui a un supermarché. C'est quelqu'un qui est vraiment au fond de lui, a beaucoup de peur, mais justement, ses peurs, il les transcende pour avancer, pour investir. C'est quelqu'un qui est parti de zéro, et puis il a acheté un super U de quelques centaines de milliers d'euros. puis un autre, il a vendu, et puis il a grandi, grandi, et c'est quelqu'un qui, de ses peurs, parce que voilà, il n'en parle jamais, mais en tout cas, il est dans l'extrême vigilance, il sort de sa zone de confort, il a toujours investi, parce qu'il sait très bien que ce qui est statique finit par amener à l'échec. Donc si la prudence est nécessaire, l'audace l'est tout autant, et face à l'incertitude actuelle, l'inaction est le plus grand risque. Donc moi j'ai envie de vous dire que plutôt que de vous concentrer sur ce qui pourrait mal tourner, En conclusion, focalisez-vous sur ce qui peut réussir en étant conscient de ce qui peut mal tourner et que la peur paralysante amène systématiquement à l'échec, que chaque défi surmonté vous rapproche de votre objectif. Et chez nous, chez K-Manager, nous conseillons que derrière chaque obstacle se cache une opportunité de croissance et un nouveau monde qu'on passe sur un nouvel univers. Pour finir, j'ai envie de vous dire que dans un contexte économique difficile, Rappelons-nous que le plus grand échec est de ne pas essayer, que le plus grand échec est de se focaliser sur ce qui pourrait arriver et que souvent nous imaginons plus le pire que la réalité possible. La réussite appartient à ceux qui osent, apprennent de leurs erreurs et avancent avec détermination. Donc j'ai envie de dire que vous n'avez rien à perdre à oser en toute conscience, avec une méthode, pour pouvoir... éviter les regrets futurs et rester dans l'inaction. Alors, entreprenez avec courage, transformez vos obstacles en opportunités, dépassez vos limites et nous sommes là pour vous aider. Passez une magnifique journée et je vous dis à très vite. Je ferai un spécial podcast pour la fin de l'année. Ciao, ciao les amis !