undefined cover
undefined cover
#21 – Patrick Aps, Directeur Général du groupe NatUp cover
#21 – Patrick Aps, Directeur Général du groupe NatUp cover
Histoires d'Entreprises

#21 – Patrick Aps, Directeur Général du groupe NatUp

#21 – Patrick Aps, Directeur Général du groupe NatUp

59min |03/11/2022
Play
undefined cover
undefined cover
#21 – Patrick Aps, Directeur Général du groupe NatUp cover
#21 – Patrick Aps, Directeur Général du groupe NatUp cover
Histoires d'Entreprises

#21 – Patrick Aps, Directeur Général du groupe NatUp

#21 – Patrick Aps, Directeur Général du groupe NatUp

59min |03/11/2022
Play

Description

« Les sociétés ont souvent tendance à surestimer ce qu’elles peuvent faire en un an et à minorer ce qu’elles peuvent faire en trois ». Je crois beaucoup cette assertion que j’ai entendue pour la dernière fois venant d’Isabelle Kocher qui a dirigé pendant un temps au destin d’Engie. Je tente de l’appliquer à la jeune pousse que j’ai moi-même créée.

En écoutant Patrick Aps me raconter l’histoire de NatUp qu’il dirige, j’ai repensé à cette façon de diriger qui fait du temps votre allié. La société réalisait 500M€ de CA en 2012. 10 ans plus tard, elle réalise 1,3Md€ de CA. Prenez votre calculette et vous vous rendrez compte que la société a grandi de 10% par an pendant une décennie. Cela semble peu 10% par an, mais quand 10 ans passent, on mesure le saut gigantesque que la société a réalisé. 

Ayant grandi dans un territoire « béni des dieux » - ce sont les mots de Patrick - l’activité territoriale de NatUp s’étend du Havre à Amiens et de Dieppe à Chartres. Et comme son Président rajoute que « l’on ne s’interdit rien », les adhérents de la coopérative se sont lancés dans des multiples projets de transformation de leur matière première au point de devenir un industriel, de racheter, restructurer et vendre des usines jusqu’en Pologne et de faire de Faurecia l’un de ses plus grands clients. Je sais, c’est un peu fou, mais on peut être une coopérative et devenir acteur du secteur automobile.  

Et puis écoutez Patrick nous raconter comme il a lancé « la « French Filature », c’est-à-dire la relocalisation sur notre sol de la filature du lin 20 ans après qu’elle l’ait quitté ! Serait-ce les prémices d’un retour du textile en France ? Je me plais à y croire après avoir écouté Karine Schrenzel des 3 Suisses nous raconter comment elle a relocalisé en France la production du prêt-à-porter qui siégeait historiquement en Chine. 

Patrick se définit en premier lieu comme fils de paysan. Quand je lui demande quels sont les traits d’un paysan, il me répond en quatre points, le dernier étant le « bon sens ». Pour découvrir si vous aussi vous avez les traits de ces hommes et des femmes qui nous nourrissent mais sont également des entrepreneurs, il faudra écouter Patrick nous raconter l’histoire de NatUp !  


Si cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast) et rédigez un avis. 


N’hésitez pas à m’écrire sur LinkedIn si vous avez envie de passer sur le podcast ➡️ LinkedIn/MartinVidelaine 


Toutes les Histoires d’Entreprises sont également disponibles sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d’indépendants que j’anime et qui conseille ou remplace des dirigeants.


Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard


 

Description

« Les sociétés ont souvent tendance à surestimer ce qu’elles peuvent faire en un an et à minorer ce qu’elles peuvent faire en trois ». Je crois beaucoup cette assertion que j’ai entendue pour la dernière fois venant d’Isabelle Kocher qui a dirigé pendant un temps au destin d’Engie. Je tente de l’appliquer à la jeune pousse que j’ai moi-même créée.

En écoutant Patrick Aps me raconter l’histoire de NatUp qu’il dirige, j’ai repensé à cette façon de diriger qui fait du temps votre allié. La société réalisait 500M€ de CA en 2012. 10 ans plus tard, elle réalise 1,3Md€ de CA. Prenez votre calculette et vous vous rendrez compte que la société a grandi de 10% par an pendant une décennie. Cela semble peu 10% par an, mais quand 10 ans passent, on mesure le saut gigantesque que la société a réalisé. 

Ayant grandi dans un territoire « béni des dieux » - ce sont les mots de Patrick - l’activité territoriale de NatUp s’étend du Havre à Amiens et de Dieppe à Chartres. Et comme son Président rajoute que « l’on ne s’interdit rien », les adhérents de la coopérative se sont lancés dans des multiples projets de transformation de leur matière première au point de devenir un industriel, de racheter, restructurer et vendre des usines jusqu’en Pologne et de faire de Faurecia l’un de ses plus grands clients. Je sais, c’est un peu fou, mais on peut être une coopérative et devenir acteur du secteur automobile.  

Et puis écoutez Patrick nous raconter comme il a lancé « la « French Filature », c’est-à-dire la relocalisation sur notre sol de la filature du lin 20 ans après qu’elle l’ait quitté ! Serait-ce les prémices d’un retour du textile en France ? Je me plais à y croire après avoir écouté Karine Schrenzel des 3 Suisses nous raconter comment elle a relocalisé en France la production du prêt-à-porter qui siégeait historiquement en Chine. 

Patrick se définit en premier lieu comme fils de paysan. Quand je lui demande quels sont les traits d’un paysan, il me répond en quatre points, le dernier étant le « bon sens ». Pour découvrir si vous aussi vous avez les traits de ces hommes et des femmes qui nous nourrissent mais sont également des entrepreneurs, il faudra écouter Patrick nous raconter l’histoire de NatUp !  


Si cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast) et rédigez un avis. 


N’hésitez pas à m’écrire sur LinkedIn si vous avez envie de passer sur le podcast ➡️ LinkedIn/MartinVidelaine 


Toutes les Histoires d’Entreprises sont également disponibles sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d’indépendants que j’anime et qui conseille ou remplace des dirigeants.


Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard


 

Share

Embed

You may also like

Description

« Les sociétés ont souvent tendance à surestimer ce qu’elles peuvent faire en un an et à minorer ce qu’elles peuvent faire en trois ». Je crois beaucoup cette assertion que j’ai entendue pour la dernière fois venant d’Isabelle Kocher qui a dirigé pendant un temps au destin d’Engie. Je tente de l’appliquer à la jeune pousse que j’ai moi-même créée.

En écoutant Patrick Aps me raconter l’histoire de NatUp qu’il dirige, j’ai repensé à cette façon de diriger qui fait du temps votre allié. La société réalisait 500M€ de CA en 2012. 10 ans plus tard, elle réalise 1,3Md€ de CA. Prenez votre calculette et vous vous rendrez compte que la société a grandi de 10% par an pendant une décennie. Cela semble peu 10% par an, mais quand 10 ans passent, on mesure le saut gigantesque que la société a réalisé. 

Ayant grandi dans un territoire « béni des dieux » - ce sont les mots de Patrick - l’activité territoriale de NatUp s’étend du Havre à Amiens et de Dieppe à Chartres. Et comme son Président rajoute que « l’on ne s’interdit rien », les adhérents de la coopérative se sont lancés dans des multiples projets de transformation de leur matière première au point de devenir un industriel, de racheter, restructurer et vendre des usines jusqu’en Pologne et de faire de Faurecia l’un de ses plus grands clients. Je sais, c’est un peu fou, mais on peut être une coopérative et devenir acteur du secteur automobile.  

Et puis écoutez Patrick nous raconter comme il a lancé « la « French Filature », c’est-à-dire la relocalisation sur notre sol de la filature du lin 20 ans après qu’elle l’ait quitté ! Serait-ce les prémices d’un retour du textile en France ? Je me plais à y croire après avoir écouté Karine Schrenzel des 3 Suisses nous raconter comment elle a relocalisé en France la production du prêt-à-porter qui siégeait historiquement en Chine. 

Patrick se définit en premier lieu comme fils de paysan. Quand je lui demande quels sont les traits d’un paysan, il me répond en quatre points, le dernier étant le « bon sens ». Pour découvrir si vous aussi vous avez les traits de ces hommes et des femmes qui nous nourrissent mais sont également des entrepreneurs, il faudra écouter Patrick nous raconter l’histoire de NatUp !  


Si cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast) et rédigez un avis. 


N’hésitez pas à m’écrire sur LinkedIn si vous avez envie de passer sur le podcast ➡️ LinkedIn/MartinVidelaine 


Toutes les Histoires d’Entreprises sont également disponibles sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d’indépendants que j’anime et qui conseille ou remplace des dirigeants.


Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard


 

Description

« Les sociétés ont souvent tendance à surestimer ce qu’elles peuvent faire en un an et à minorer ce qu’elles peuvent faire en trois ». Je crois beaucoup cette assertion que j’ai entendue pour la dernière fois venant d’Isabelle Kocher qui a dirigé pendant un temps au destin d’Engie. Je tente de l’appliquer à la jeune pousse que j’ai moi-même créée.

En écoutant Patrick Aps me raconter l’histoire de NatUp qu’il dirige, j’ai repensé à cette façon de diriger qui fait du temps votre allié. La société réalisait 500M€ de CA en 2012. 10 ans plus tard, elle réalise 1,3Md€ de CA. Prenez votre calculette et vous vous rendrez compte que la société a grandi de 10% par an pendant une décennie. Cela semble peu 10% par an, mais quand 10 ans passent, on mesure le saut gigantesque que la société a réalisé. 

Ayant grandi dans un territoire « béni des dieux » - ce sont les mots de Patrick - l’activité territoriale de NatUp s’étend du Havre à Amiens et de Dieppe à Chartres. Et comme son Président rajoute que « l’on ne s’interdit rien », les adhérents de la coopérative se sont lancés dans des multiples projets de transformation de leur matière première au point de devenir un industriel, de racheter, restructurer et vendre des usines jusqu’en Pologne et de faire de Faurecia l’un de ses plus grands clients. Je sais, c’est un peu fou, mais on peut être une coopérative et devenir acteur du secteur automobile.  

Et puis écoutez Patrick nous raconter comme il a lancé « la « French Filature », c’est-à-dire la relocalisation sur notre sol de la filature du lin 20 ans après qu’elle l’ait quitté ! Serait-ce les prémices d’un retour du textile en France ? Je me plais à y croire après avoir écouté Karine Schrenzel des 3 Suisses nous raconter comment elle a relocalisé en France la production du prêt-à-porter qui siégeait historiquement en Chine. 

Patrick se définit en premier lieu comme fils de paysan. Quand je lui demande quels sont les traits d’un paysan, il me répond en quatre points, le dernier étant le « bon sens ». Pour découvrir si vous aussi vous avez les traits de ces hommes et des femmes qui nous nourrissent mais sont également des entrepreneurs, il faudra écouter Patrick nous raconter l’histoire de NatUp !  


Si cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast) et rédigez un avis. 


N’hésitez pas à m’écrire sur LinkedIn si vous avez envie de passer sur le podcast ➡️ LinkedIn/MartinVidelaine 


Toutes les Histoires d’Entreprises sont également disponibles sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d’indépendants que j’anime et qui conseille ou remplace des dirigeants.


Un podcast co-réalisé avec Agnès Guillard


 

Share

Embed

You may also like