Episode 18 - Promo 2023-2024, Entre ″déranger″ et s’arranger. cover
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Histoires de psy

Episode 18 - Promo 2023-2024, Entre ″déranger″ et s’arranger.

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50min |01/06/2024
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Une fois n’est pas coutume, voici un épisode tout à fait particulier ! Un épisode qui part de l’enregistrement d’une journée clinique, celle des étudiants du master 2 de psychopathologie clinique de l’Université Catholique de Lille mais qui part également d’un désir partagé entre étudiants et enseignants, entre cliniciens, un désir de transmettre.

L’enjeu pour ces étudiants, en plus de terminer leurs études et d’obtenir leur diplôme, c’est de pouvoir se poser les questions : qu’est-ce que je fous là maintenant ? Où est-ce que je me vois travailler ? Quel sens je vais bien pouvoir donner à mon diplôme ?

Alors transmettre, oui et ce n’était pas l’enregistrement en tant que tel qui leur posait problème mais le « Qu’est-ce que l’on en fait ? Quelle adresse ? ». Faut-il rester dans un « entre soi », un « entre nous » ? Comment rendre compte de son parcours lorsque c’est la fin de celui d’étudiant et le début, tout proche, de celui de professionnel ? Ces questions sont celles auxquelles se sont confrontés les M2 à partir du thème donné à leur journée : « Entre ″déranger″ et s’arranger. Quelle place pour le clinicien dans le contemporain ? ».

Tout symboliquement le jour de l’enregistrement, le jour de cette journée clinique, c’est le dernier jour des cours, la fin de leur cursus universitaire mais c’est aussi le début de leur parcours professionnel. Parce qu’il s’agit ici pour eux de s’autoriser à prendre la parole, à prendre position, à vous partager leurs expériences cliniques, leurs rencontres en stage, à vous partager leurs réflexions concernant leurs lieux de stages, l’institution, la pratique, l’accueil, tout ce qui peut amener un clinicien à se mettre à penser.

Un épisode vraiment spécial donc pour moi aussi, parce que c’est un épisode qui parle de transmission mais cette fois avec de futurs cliniciens, des étudiants, aujourd’hui encore, que je rencontre pour certains depuis 5 ans. Chaque un ici présent tentera donc de rendre compte, sans rendre des comptes, sur ce qui fait vivre la clinique et plus précisément leur clinique aujourd’hui dans ce moment de transition voire de passage.

Je vous invite donc, avec eux, à vous laisser déranger par ce que vous entendrez !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Une fois n’est pas coutume, voici un épisode tout à fait particulier ! Un épisode qui part de l’enregistrement d’une journée clinique, celle des étudiants du master 2 de psychopathologie clinique de l’Université Catholique de Lille mais qui part également d’un désir partagé entre étudiants et enseignants, entre cliniciens, un désir de transmettre.

L’enjeu pour ces étudiants, en plus de terminer leurs études et d’obtenir leur diplôme, c’est de pouvoir se poser les questions : qu’est-ce que je fous là maintenant ? Où est-ce que je me vois travailler ? Quel sens je vais bien pouvoir donner à mon diplôme ?

Alors transmettre, oui et ce n’était pas l’enregistrement en tant que tel qui leur posait problème mais le « Qu’est-ce que l’on en fait ? Quelle adresse ? ». Faut-il rester dans un « entre soi », un « entre nous » ? Comment rendre compte de son parcours lorsque c’est la fin de celui d’étudiant et le début, tout proche, de celui de professionnel ? Ces questions sont celles auxquelles se sont confrontés les M2 à partir du thème donné à leur journée : « Entre ″déranger″ et s’arranger. Quelle place pour le clinicien dans le contemporain ? ».

Tout symboliquement le jour de l’enregistrement, le jour de cette journée clinique, c’est le dernier jour des cours, la fin de leur cursus universitaire mais c’est aussi le début de leur parcours professionnel. Parce qu’il s’agit ici pour eux de s’autoriser à prendre la parole, à prendre position, à vous partager leurs expériences cliniques, leurs rencontres en stage, à vous partager leurs réflexions concernant leurs lieux de stages, l’institution, la pratique, l’accueil, tout ce qui peut amener un clinicien à se mettre à penser.

Un épisode vraiment spécial donc pour moi aussi, parce que c’est un épisode qui parle de transmission mais cette fois avec de futurs cliniciens, des étudiants, aujourd’hui encore, que je rencontre pour certains depuis 5 ans. Chaque un ici présent tentera donc de rendre compte, sans rendre des comptes, sur ce qui fait vivre la clinique et plus précisément leur clinique aujourd’hui dans ce moment de transition voire de passage.

Je vous invite donc, avec eux, à vous laisser déranger par ce que vous entendrez !


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L’enjeu pour ces étudiants, en plus de terminer leurs études et d’obtenir leur diplôme, c’est de pouvoir se poser les questions : qu’est-ce que je fous là maintenant ? Où est-ce que je me vois travailler ? Quel sens je vais bien pouvoir donner à mon diplôme ?

Alors transmettre, oui et ce n’était pas l’enregistrement en tant que tel qui leur posait problème mais le « Qu’est-ce que l’on en fait ? Quelle adresse ? ». Faut-il rester dans un « entre soi », un « entre nous » ? Comment rendre compte de son parcours lorsque c’est la fin de celui d’étudiant et le début, tout proche, de celui de professionnel ? Ces questions sont celles auxquelles se sont confrontés les M2 à partir du thème donné à leur journée : « Entre ″déranger″ et s’arranger. Quelle place pour le clinicien dans le contemporain ? ».

Tout symboliquement le jour de l’enregistrement, le jour de cette journée clinique, c’est le dernier jour des cours, la fin de leur cursus universitaire mais c’est aussi le début de leur parcours professionnel. Parce qu’il s’agit ici pour eux de s’autoriser à prendre la parole, à prendre position, à vous partager leurs expériences cliniques, leurs rencontres en stage, à vous partager leurs réflexions concernant leurs lieux de stages, l’institution, la pratique, l’accueil, tout ce qui peut amener un clinicien à se mettre à penser.

Un épisode vraiment spécial donc pour moi aussi, parce que c’est un épisode qui parle de transmission mais cette fois avec de futurs cliniciens, des étudiants, aujourd’hui encore, que je rencontre pour certains depuis 5 ans. Chaque un ici présent tentera donc de rendre compte, sans rendre des comptes, sur ce qui fait vivre la clinique et plus précisément leur clinique aujourd’hui dans ce moment de transition voire de passage.

Je vous invite donc, avec eux, à vous laisser déranger par ce que vous entendrez !


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L’enjeu pour ces étudiants, en plus de terminer leurs études et d’obtenir leur diplôme, c’est de pouvoir se poser les questions : qu’est-ce que je fous là maintenant ? Où est-ce que je me vois travailler ? Quel sens je vais bien pouvoir donner à mon diplôme ?

Alors transmettre, oui et ce n’était pas l’enregistrement en tant que tel qui leur posait problème mais le « Qu’est-ce que l’on en fait ? Quelle adresse ? ». Faut-il rester dans un « entre soi », un « entre nous » ? Comment rendre compte de son parcours lorsque c’est la fin de celui d’étudiant et le début, tout proche, de celui de professionnel ? Ces questions sont celles auxquelles se sont confrontés les M2 à partir du thème donné à leur journée : « Entre ″déranger″ et s’arranger. Quelle place pour le clinicien dans le contemporain ? ».

Tout symboliquement le jour de l’enregistrement, le jour de cette journée clinique, c’est le dernier jour des cours, la fin de leur cursus universitaire mais c’est aussi le début de leur parcours professionnel. Parce qu’il s’agit ici pour eux de s’autoriser à prendre la parole, à prendre position, à vous partager leurs expériences cliniques, leurs rencontres en stage, à vous partager leurs réflexions concernant leurs lieux de stages, l’institution, la pratique, l’accueil, tout ce qui peut amener un clinicien à se mettre à penser.

Un épisode vraiment spécial donc pour moi aussi, parce que c’est un épisode qui parle de transmission mais cette fois avec de futurs cliniciens, des étudiants, aujourd’hui encore, que je rencontre pour certains depuis 5 ans. Chaque un ici présent tentera donc de rendre compte, sans rendre des comptes, sur ce qui fait vivre la clinique et plus précisément leur clinique aujourd’hui dans ce moment de transition voire de passage.

Je vous invite donc, avec eux, à vous laisser déranger par ce que vous entendrez !


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