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Do you speak “researcher” ? - Hervé Le Sourne #4 cover
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L'Icam en mémoire(s)

Do you speak “researcher” ? - Hervé Le Sourne #4

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07min |14/12/2021
Play
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Hervé le Sourne évoque avec nous les ambitions de l’Icam en matière de recherche, pour les cinq années à venir. Avant cela, je lui ai posé une question très pragmatique : faut-il parfaitement maîtriser l’anglais pour devenir enseignant-chercheur ? Que ce soit pour les publications, les colloques, ou les échanges avec d’autres chercheurs à travers le monde, ce métier exige en effet d’avoir un niveau d’anglais technique assez poussé. Hervé nous explique de quelle manière lui et ses collègues deviennent fluent au fil du temps et de l’expérience.

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Hervé le Sourne évoque avec nous les ambitions de l’Icam en matière de recherche, pour les cinq années à venir. Avant cela, je lui ai posé une question très pragmatique : faut-il parfaitement maîtriser l’anglais pour devenir enseignant-chercheur ? Que ce soit pour les publications, les colloques, ou les échanges avec d’autres chercheurs à travers le monde, ce métier exige en effet d’avoir un niveau d’anglais technique assez poussé. Hervé nous explique de quelle manière lui et ses collègues deviennent fluent au fil du temps et de l’expérience.

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Hervé le Sourne évoque avec nous les ambitions de l’Icam en matière de recherche, pour les cinq années à venir. Avant cela, je lui ai posé une question très pragmatique : faut-il parfaitement maîtriser l’anglais pour devenir enseignant-chercheur ? Que ce soit pour les publications, les colloques, ou les échanges avec d’autres chercheurs à travers le monde, ce métier exige en effet d’avoir un niveau d’anglais technique assez poussé. Hervé nous explique de quelle manière lui et ses collègues deviennent fluent au fil du temps et de l’expérience.

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Hervé le Sourne évoque avec nous les ambitions de l’Icam en matière de recherche, pour les cinq années à venir. Avant cela, je lui ai posé une question très pragmatique : faut-il parfaitement maîtriser l’anglais pour devenir enseignant-chercheur ? Que ce soit pour les publications, les colloques, ou les échanges avec d’autres chercheurs à travers le monde, ce métier exige en effet d’avoir un niveau d’anglais technique assez poussé. Hervé nous explique de quelle manière lui et ses collègues deviennent fluent au fil du temps et de l’expérience.

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