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Into The Wind

#36 Kevin Escoffier, l'ingénieur passionné devenu marin qui ne lâche rien

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2h26 |21/05/2021
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2h26 |21/05/2021
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Description

Il fut d'abord joueur de rugby, déjà attiré par la mer. Mais quand on est malouin, bercé par les départs de Route du Rhum, avec un père - Franck-Yves Escoffier - marin-pêcheur-coureur, on est tôt ou tard rattrapé par la patrouille...

A 41 ans, Kevin Escoffier est un cas rare : celui d'un ingénieur passionné, passé des bureaux d'études pointus, où il a participé à la conception de machines hors normes, aux courses au large les plus engagées.

Après ses études, il est lancé dans le grand bain par Michel Desjoyeaux qui le recrute chez Mer Agitée, où il participe à la conception du Multi50 de son père - avec qui il gagne la Transat Jacques Vabre 2005 - et du PRB sur plan Farr de Vincent Riou pour le Vendée Globe 2008. Avant de renter, à 26 ans, chez Banque Populaire, pour la construction de Banque Populaire V, le plus grand trimaran de course du monde...

Il a beau être passionné, l'envie de naviguer ne cesse de grandir. Avec Pascal Bidégorry, skipper Banque Populaire à l'époque, il gagne sa place à bord et devient un naviguant indispensable, établissant nombre de records, dont le Jules Verne.

Quand le Basque, débarqué du team Banque Pop, s'engage auprès de Charles Caudrelier sur Dongfeng dans la Volvo Ocean Race 2014-15, les deux hommes font appel à Kevin Escoffier. Le Malouin s'éclate et reviendra dans l'édition suivante pour gagner avec eux.

L'ingénieur fera des allers-retours entre le BE de Banque Populaire et ses engagements en équipage, jusqu'à ce que Vincent Riou l'appelle pour lui succéder chez PRB. Sans jamais avoir participé à la Solitaire du Figaro, il s'aligne au départ du dernier Vendée Globe, le préparant en quelques mois où l'on comprend vite qu'il sera à l'aise après nombre de podiums en 2019 avec Nicolas Lunven.

Il est dans le paquet de tête quand son Imoca s'ouvre en deux sous ses pieds, le 30 novembre. On connaît l'histoire : sauvé par Jean Le Cam, avec qui il traverse l'Indien, Kevin Escoffier est rapatrié par la Marine nationale à La Réunion.

Rien qui ne le décourage de repartir pour le Vendée Globe 2024, avec le soutien de son sponsor. En attendant, Kevin Escoffier est retourné, une fois de plus, chez Banque Populaire, non plus au bureau d'études, mais comme équipier d'Armel Le Cléac'h sur le nouvel Ultim pour la prochaine Transat Jacques Vabre.

Un parcours, dense et original, que le skipper de PRB raconte pendant 2h30 avec passion et franchise, et ce ton toujours clair, précis, direct.

Générique : In Closing – Days Past
Post-production : Clovis Tisserand


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Il fut d'abord joueur de rugby, déjà attiré par la mer. Mais quand on est malouin, bercé par les départs de Route du Rhum, avec un père - Franck-Yves Escoffier - marin-pêcheur-coureur, on est tôt ou tard rattrapé par la patrouille...

A 41 ans, Kevin Escoffier est un cas rare : celui d'un ingénieur passionné, passé des bureaux d'études pointus, où il a participé à la conception de machines hors normes, aux courses au large les plus engagées.

Après ses études, il est lancé dans le grand bain par Michel Desjoyeaux qui le recrute chez Mer Agitée, où il participe à la conception du Multi50 de son père - avec qui il gagne la Transat Jacques Vabre 2005 - et du PRB sur plan Farr de Vincent Riou pour le Vendée Globe 2008. Avant de renter, à 26 ans, chez Banque Populaire, pour la construction de Banque Populaire V, le plus grand trimaran de course du monde...

Il a beau être passionné, l'envie de naviguer ne cesse de grandir. Avec Pascal Bidégorry, skipper Banque Populaire à l'époque, il gagne sa place à bord et devient un naviguant indispensable, établissant nombre de records, dont le Jules Verne.

Quand le Basque, débarqué du team Banque Pop, s'engage auprès de Charles Caudrelier sur Dongfeng dans la Volvo Ocean Race 2014-15, les deux hommes font appel à Kevin Escoffier. Le Malouin s'éclate et reviendra dans l'édition suivante pour gagner avec eux.

L'ingénieur fera des allers-retours entre le BE de Banque Populaire et ses engagements en équipage, jusqu'à ce que Vincent Riou l'appelle pour lui succéder chez PRB. Sans jamais avoir participé à la Solitaire du Figaro, il s'aligne au départ du dernier Vendée Globe, le préparant en quelques mois où l'on comprend vite qu'il sera à l'aise après nombre de podiums en 2019 avec Nicolas Lunven.

Il est dans le paquet de tête quand son Imoca s'ouvre en deux sous ses pieds, le 30 novembre. On connaît l'histoire : sauvé par Jean Le Cam, avec qui il traverse l'Indien, Kevin Escoffier est rapatrié par la Marine nationale à La Réunion.

Rien qui ne le décourage de repartir pour le Vendée Globe 2024, avec le soutien de son sponsor. En attendant, Kevin Escoffier est retourné, une fois de plus, chez Banque Populaire, non plus au bureau d'études, mais comme équipier d'Armel Le Cléac'h sur le nouvel Ultim pour la prochaine Transat Jacques Vabre.

Un parcours, dense et original, que le skipper de PRB raconte pendant 2h30 avec passion et franchise, et ce ton toujours clair, précis, direct.

Générique : In Closing – Days Past
Post-production : Clovis Tisserand


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Il fut d'abord joueur de rugby, déjà attiré par la mer. Mais quand on est malouin, bercé par les départs de Route du Rhum, avec un père - Franck-Yves Escoffier - marin-pêcheur-coureur, on est tôt ou tard rattrapé par la patrouille...

A 41 ans, Kevin Escoffier est un cas rare : celui d'un ingénieur passionné, passé des bureaux d'études pointus, où il a participé à la conception de machines hors normes, aux courses au large les plus engagées.

Après ses études, il est lancé dans le grand bain par Michel Desjoyeaux qui le recrute chez Mer Agitée, où il participe à la conception du Multi50 de son père - avec qui il gagne la Transat Jacques Vabre 2005 - et du PRB sur plan Farr de Vincent Riou pour le Vendée Globe 2008. Avant de renter, à 26 ans, chez Banque Populaire, pour la construction de Banque Populaire V, le plus grand trimaran de course du monde...

Il a beau être passionné, l'envie de naviguer ne cesse de grandir. Avec Pascal Bidégorry, skipper Banque Populaire à l'époque, il gagne sa place à bord et devient un naviguant indispensable, établissant nombre de records, dont le Jules Verne.

Quand le Basque, débarqué du team Banque Pop, s'engage auprès de Charles Caudrelier sur Dongfeng dans la Volvo Ocean Race 2014-15, les deux hommes font appel à Kevin Escoffier. Le Malouin s'éclate et reviendra dans l'édition suivante pour gagner avec eux.

L'ingénieur fera des allers-retours entre le BE de Banque Populaire et ses engagements en équipage, jusqu'à ce que Vincent Riou l'appelle pour lui succéder chez PRB. Sans jamais avoir participé à la Solitaire du Figaro, il s'aligne au départ du dernier Vendée Globe, le préparant en quelques mois où l'on comprend vite qu'il sera à l'aise après nombre de podiums en 2019 avec Nicolas Lunven.

Il est dans le paquet de tête quand son Imoca s'ouvre en deux sous ses pieds, le 30 novembre. On connaît l'histoire : sauvé par Jean Le Cam, avec qui il traverse l'Indien, Kevin Escoffier est rapatrié par la Marine nationale à La Réunion.

Rien qui ne le décourage de repartir pour le Vendée Globe 2024, avec le soutien de son sponsor. En attendant, Kevin Escoffier est retourné, une fois de plus, chez Banque Populaire, non plus au bureau d'études, mais comme équipier d'Armel Le Cléac'h sur le nouvel Ultim pour la prochaine Transat Jacques Vabre.

Un parcours, dense et original, que le skipper de PRB raconte pendant 2h30 avec passion et franchise, et ce ton toujours clair, précis, direct.

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Description

Il fut d'abord joueur de rugby, déjà attiré par la mer. Mais quand on est malouin, bercé par les départs de Route du Rhum, avec un père - Franck-Yves Escoffier - marin-pêcheur-coureur, on est tôt ou tard rattrapé par la patrouille...

A 41 ans, Kevin Escoffier est un cas rare : celui d'un ingénieur passionné, passé des bureaux d'études pointus, où il a participé à la conception de machines hors normes, aux courses au large les plus engagées.

Après ses études, il est lancé dans le grand bain par Michel Desjoyeaux qui le recrute chez Mer Agitée, où il participe à la conception du Multi50 de son père - avec qui il gagne la Transat Jacques Vabre 2005 - et du PRB sur plan Farr de Vincent Riou pour le Vendée Globe 2008. Avant de renter, à 26 ans, chez Banque Populaire, pour la construction de Banque Populaire V, le plus grand trimaran de course du monde...

Il a beau être passionné, l'envie de naviguer ne cesse de grandir. Avec Pascal Bidégorry, skipper Banque Populaire à l'époque, il gagne sa place à bord et devient un naviguant indispensable, établissant nombre de records, dont le Jules Verne.

Quand le Basque, débarqué du team Banque Pop, s'engage auprès de Charles Caudrelier sur Dongfeng dans la Volvo Ocean Race 2014-15, les deux hommes font appel à Kevin Escoffier. Le Malouin s'éclate et reviendra dans l'édition suivante pour gagner avec eux.

L'ingénieur fera des allers-retours entre le BE de Banque Populaire et ses engagements en équipage, jusqu'à ce que Vincent Riou l'appelle pour lui succéder chez PRB. Sans jamais avoir participé à la Solitaire du Figaro, il s'aligne au départ du dernier Vendée Globe, le préparant en quelques mois où l'on comprend vite qu'il sera à l'aise après nombre de podiums en 2019 avec Nicolas Lunven.

Il est dans le paquet de tête quand son Imoca s'ouvre en deux sous ses pieds, le 30 novembre. On connaît l'histoire : sauvé par Jean Le Cam, avec qui il traverse l'Indien, Kevin Escoffier est rapatrié par la Marine nationale à La Réunion.

Rien qui ne le décourage de repartir pour le Vendée Globe 2024, avec le soutien de son sponsor. En attendant, Kevin Escoffier est retourné, une fois de plus, chez Banque Populaire, non plus au bureau d'études, mais comme équipier d'Armel Le Cléac'h sur le nouvel Ultim pour la prochaine Transat Jacques Vabre.

Un parcours, dense et original, que le skipper de PRB raconte pendant 2h30 avec passion et franchise, et ce ton toujours clair, précis, direct.

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