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#66 Fred Le Peutrec, par amour du multicoque - 1ère partie cover
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#66 Fred Le Peutrec, par amour du multicoque - 1ère partie

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1h44 |16/12/2022
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#66 Fred Le Peutrec, par amour du multicoque - 1ère partie

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1h44 |16/12/2022
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Description

C'est l'histoire d'une passion unique : celle de la vitesse et des sensations qu'elle procure, sur deux ou trois coques - au moins. Fred Le Peutrec a consacré sa vie aux multis et uniquement à eux. Il n'y a guère qu'à ses débuts, sur la grande plage de Houat - paradis des vacances d'été du jeune Parisien qu'il est alors - qu'il fréquente un monocoque, un 485 qu'il découvre en autodidacte.


Avec son bateau suivant, un Dart 18, il découvre le cata de sport et s'embarque dans une longue idylle, qui le mène au Tornado, puis en équipe de France et à trois campagnes olympiques, dont l'une aboutit aux JO d'Atlanta en 1996, qu'il termine 6e avec Franck Citeau.


Qui dit fréquentation exclusive du multicoque ne veut pas pour autant dire voile légère uniquement. Très tôt, Fred Le Peutrec embarque au large, où sa finesse de barre fait merveille auprès de Bruno Peyron et de Jean Maurel, puis, à partir de 1996, avec Loïck Peyron.


Il sera un pilier de Fujicolor II qui domine l'Orma, avant de se lancer dans un nouveau Graal, les tours du monde - toujours en multicoque, bien sûr. Vainqueur de The Race sur Club Med en 2001, il devient skipper de Bayer Cropscience à son retour, passe ensuite chez Gitana avant d'entrer chez Groupama où il participe à toute la mise au point du légendaire Groupama 3, qui décroche le Trophée Jules Verne en 2010. Il passe ensuite chez Banque Populaire où il accroche un nouveau trophée Jules Verne à sa boutonnière.


Bloqué à terre dans l'attente d'une greffe de rein - qu'il vivra en 2017 -, il s'investit dans le circuit D35 sur le lac Léman, puis suit la construction des TF35 et du Multi50 Ciela Village, et n'oublie jamais de naviguer, avec le Maserati de Giovanni Solidini, en ce moment. Par amour de la vitesse, des bateaux et du voyage


Diffusé le 16 décembre 2022

Générique : In Closing – Days Past

Post-production : Grégoire Levillain

Description

C'est l'histoire d'une passion unique : celle de la vitesse et des sensations qu'elle procure, sur deux ou trois coques - au moins. Fred Le Peutrec a consacré sa vie aux multis et uniquement à eux. Il n'y a guère qu'à ses débuts, sur la grande plage de Houat - paradis des vacances d'été du jeune Parisien qu'il est alors - qu'il fréquente un monocoque, un 485 qu'il découvre en autodidacte.


Avec son bateau suivant, un Dart 18, il découvre le cata de sport et s'embarque dans une longue idylle, qui le mène au Tornado, puis en équipe de France et à trois campagnes olympiques, dont l'une aboutit aux JO d'Atlanta en 1996, qu'il termine 6e avec Franck Citeau.


Qui dit fréquentation exclusive du multicoque ne veut pas pour autant dire voile légère uniquement. Très tôt, Fred Le Peutrec embarque au large, où sa finesse de barre fait merveille auprès de Bruno Peyron et de Jean Maurel, puis, à partir de 1996, avec Loïck Peyron.


Il sera un pilier de Fujicolor II qui domine l'Orma, avant de se lancer dans un nouveau Graal, les tours du monde - toujours en multicoque, bien sûr. Vainqueur de The Race sur Club Med en 2001, il devient skipper de Bayer Cropscience à son retour, passe ensuite chez Gitana avant d'entrer chez Groupama où il participe à toute la mise au point du légendaire Groupama 3, qui décroche le Trophée Jules Verne en 2010. Il passe ensuite chez Banque Populaire où il accroche un nouveau trophée Jules Verne à sa boutonnière.


Bloqué à terre dans l'attente d'une greffe de rein - qu'il vivra en 2017 -, il s'investit dans le circuit D35 sur le lac Léman, puis suit la construction des TF35 et du Multi50 Ciela Village, et n'oublie jamais de naviguer, avec le Maserati de Giovanni Solidini, en ce moment. Par amour de la vitesse, des bateaux et du voyage


Diffusé le 16 décembre 2022

Générique : In Closing – Days Past

Post-production : Grégoire Levillain

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C'est l'histoire d'une passion unique : celle de la vitesse et des sensations qu'elle procure, sur deux ou trois coques - au moins. Fred Le Peutrec a consacré sa vie aux multis et uniquement à eux. Il n'y a guère qu'à ses débuts, sur la grande plage de Houat - paradis des vacances d'été du jeune Parisien qu'il est alors - qu'il fréquente un monocoque, un 485 qu'il découvre en autodidacte.


Avec son bateau suivant, un Dart 18, il découvre le cata de sport et s'embarque dans une longue idylle, qui le mène au Tornado, puis en équipe de France et à trois campagnes olympiques, dont l'une aboutit aux JO d'Atlanta en 1996, qu'il termine 6e avec Franck Citeau.


Qui dit fréquentation exclusive du multicoque ne veut pas pour autant dire voile légère uniquement. Très tôt, Fred Le Peutrec embarque au large, où sa finesse de barre fait merveille auprès de Bruno Peyron et de Jean Maurel, puis, à partir de 1996, avec Loïck Peyron.


Il sera un pilier de Fujicolor II qui domine l'Orma, avant de se lancer dans un nouveau Graal, les tours du monde - toujours en multicoque, bien sûr. Vainqueur de The Race sur Club Med en 2001, il devient skipper de Bayer Cropscience à son retour, passe ensuite chez Gitana avant d'entrer chez Groupama où il participe à toute la mise au point du légendaire Groupama 3, qui décroche le Trophée Jules Verne en 2010. Il passe ensuite chez Banque Populaire où il accroche un nouveau trophée Jules Verne à sa boutonnière.


Bloqué à terre dans l'attente d'une greffe de rein - qu'il vivra en 2017 -, il s'investit dans le circuit D35 sur le lac Léman, puis suit la construction des TF35 et du Multi50 Ciela Village, et n'oublie jamais de naviguer, avec le Maserati de Giovanni Solidini, en ce moment. Par amour de la vitesse, des bateaux et du voyage


Diffusé le 16 décembre 2022

Générique : In Closing – Days Past

Post-production : Grégoire Levillain

Description

C'est l'histoire d'une passion unique : celle de la vitesse et des sensations qu'elle procure, sur deux ou trois coques - au moins. Fred Le Peutrec a consacré sa vie aux multis et uniquement à eux. Il n'y a guère qu'à ses débuts, sur la grande plage de Houat - paradis des vacances d'été du jeune Parisien qu'il est alors - qu'il fréquente un monocoque, un 485 qu'il découvre en autodidacte.


Avec son bateau suivant, un Dart 18, il découvre le cata de sport et s'embarque dans une longue idylle, qui le mène au Tornado, puis en équipe de France et à trois campagnes olympiques, dont l'une aboutit aux JO d'Atlanta en 1996, qu'il termine 6e avec Franck Citeau.


Qui dit fréquentation exclusive du multicoque ne veut pas pour autant dire voile légère uniquement. Très tôt, Fred Le Peutrec embarque au large, où sa finesse de barre fait merveille auprès de Bruno Peyron et de Jean Maurel, puis, à partir de 1996, avec Loïck Peyron.


Il sera un pilier de Fujicolor II qui domine l'Orma, avant de se lancer dans un nouveau Graal, les tours du monde - toujours en multicoque, bien sûr. Vainqueur de The Race sur Club Med en 2001, il devient skipper de Bayer Cropscience à son retour, passe ensuite chez Gitana avant d'entrer chez Groupama où il participe à toute la mise au point du légendaire Groupama 3, qui décroche le Trophée Jules Verne en 2010. Il passe ensuite chez Banque Populaire où il accroche un nouveau trophée Jules Verne à sa boutonnière.


Bloqué à terre dans l'attente d'une greffe de rein - qu'il vivra en 2017 -, il s'investit dans le circuit D35 sur le lac Léman, puis suit la construction des TF35 et du Multi50 Ciela Village, et n'oublie jamais de naviguer, avec le Maserati de Giovanni Solidini, en ce moment. Par amour de la vitesse, des bateaux et du voyage


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Générique : In Closing – Days Past

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