#27 - 3/4 - Comment partager le pouvoir pour transformer ? (Emmanuel Vivier - Hub Institute) cover
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Flashback, podcast marketing par Intuiti

#27 - 3/4 - Comment partager le pouvoir pour transformer ? (Emmanuel Vivier - Hub Institute)

#27 - 3/4 - Comment partager le pouvoir pour transformer ? (Emmanuel Vivier - Hub Institute)

13min |11/10/2021
Play
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Description

Dans cet épisode, nous abordons un thème qui revient fréquemment en off avec nos clients : l’égo et le pouvoir. Avec le développement du digital, ce pouvoir tout le monde peut y avoir accès. Emmanuel Vivier rappelle la réalité en expliquant qu’au sein d’une même entreprise, la compétition peut exister entre les dirigeants ou encore entre l’actionnariat et les syndicats.  Il nous explique pourquoi il est parfois difficile pour des dirigeants de partager le pouvoir et donc de lancer un projet de transformation.  


“Donc potentiellement dès que je vais ouvrir le robinet de la transformation,
je vais potentiellement être dans les premiers à sauter.” 


Nous parlons ensuite de dirigeants qui ont réussi à intégrer intelligemment un ou des enjeux de transformation. Emmanuel nous donne donne des exemples concrets : 

  • Le Groupe TF1, plus grande chaîne européenne, qui s’est vu être rattrapé par Netflix ou encore Facebook. Après quelques années, ils acceptent de repasser en mode “challenger” notamment avec l’arrivée de leur nouveau dirigeant, Gilles Pélisson. 
  • Un ancien manager de chez TF1, maintenant qui est chez Canal, a choisi de faire un “Destroy Day”. Un format qu'Emmanuel Vivier encourage vivement car, cela consiste à libérer les personnes d’anciennes tâches pour en effectuer des nouvelles, en adéquation avec la transformation en cours.  

“Si on libère pas un tout petit peu de temps, 5 ou 10% du temps des personnes,
alors elles ne pourront jamais innover.” 


Emmanuel Vivier nous donne également son analyse sur une notion qui revient très souvent au cœur des débats : l’agilité au sein d’une entreprise.  


"Être agile demain, c’est peut-être faire un peu plus confiance, donner plus de marge de manœuvre, plus d’autonomie.” 


Pour terminer cette partie, nous parlons, avec un homme cette fois, de la place des femmes dirigeantes et de la diversité dans un sens plus global. Selon lui, le choix de la France d’interdire les statistiques ethniques est un bon moyen de se voiler la face. Il fait remarquer également que le niveau de mixité au sein de certaines entreprises en France est choquant.  


“A partir du moment où on ne peut pas le quantifier, c’est plus dur à combattre.”


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Dans cet épisode, nous abordons un thème qui revient fréquemment en off avec nos clients : l’égo et le pouvoir. Avec le développement du digital, ce pouvoir tout le monde peut y avoir accès. Emmanuel Vivier rappelle la réalité en expliquant qu’au sein d’une même entreprise, la compétition peut exister entre les dirigeants ou encore entre l’actionnariat et les syndicats.  Il nous explique pourquoi il est parfois difficile pour des dirigeants de partager le pouvoir et donc de lancer un projet de transformation.  


“Donc potentiellement dès que je vais ouvrir le robinet de la transformation,
je vais potentiellement être dans les premiers à sauter.” 


Nous parlons ensuite de dirigeants qui ont réussi à intégrer intelligemment un ou des enjeux de transformation. Emmanuel nous donne donne des exemples concrets : 

  • Le Groupe TF1, plus grande chaîne européenne, qui s’est vu être rattrapé par Netflix ou encore Facebook. Après quelques années, ils acceptent de repasser en mode “challenger” notamment avec l’arrivée de leur nouveau dirigeant, Gilles Pélisson. 
  • Un ancien manager de chez TF1, maintenant qui est chez Canal, a choisi de faire un “Destroy Day”. Un format qu'Emmanuel Vivier encourage vivement car, cela consiste à libérer les personnes d’anciennes tâches pour en effectuer des nouvelles, en adéquation avec la transformation en cours.  

“Si on libère pas un tout petit peu de temps, 5 ou 10% du temps des personnes,
alors elles ne pourront jamais innover.” 


Emmanuel Vivier nous donne également son analyse sur une notion qui revient très souvent au cœur des débats : l’agilité au sein d’une entreprise.  


"Être agile demain, c’est peut-être faire un peu plus confiance, donner plus de marge de manœuvre, plus d’autonomie.” 


Pour terminer cette partie, nous parlons, avec un homme cette fois, de la place des femmes dirigeantes et de la diversité dans un sens plus global. Selon lui, le choix de la France d’interdire les statistiques ethniques est un bon moyen de se voiler la face. Il fait remarquer également que le niveau de mixité au sein de certaines entreprises en France est choquant.  


“A partir du moment où on ne peut pas le quantifier, c’est plus dur à combattre.”


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“Donc potentiellement dès que je vais ouvrir le robinet de la transformation,
je vais potentiellement être dans les premiers à sauter.” 


Nous parlons ensuite de dirigeants qui ont réussi à intégrer intelligemment un ou des enjeux de transformation. Emmanuel nous donne donne des exemples concrets : 

  • Le Groupe TF1, plus grande chaîne européenne, qui s’est vu être rattrapé par Netflix ou encore Facebook. Après quelques années, ils acceptent de repasser en mode “challenger” notamment avec l’arrivée de leur nouveau dirigeant, Gilles Pélisson. 
  • Un ancien manager de chez TF1, maintenant qui est chez Canal, a choisi de faire un “Destroy Day”. Un format qu'Emmanuel Vivier encourage vivement car, cela consiste à libérer les personnes d’anciennes tâches pour en effectuer des nouvelles, en adéquation avec la transformation en cours.  

“Si on libère pas un tout petit peu de temps, 5 ou 10% du temps des personnes,
alors elles ne pourront jamais innover.” 


Emmanuel Vivier nous donne également son analyse sur une notion qui revient très souvent au cœur des débats : l’agilité au sein d’une entreprise.  


"Être agile demain, c’est peut-être faire un peu plus confiance, donner plus de marge de manœuvre, plus d’autonomie.” 


Pour terminer cette partie, nous parlons, avec un homme cette fois, de la place des femmes dirigeantes et de la diversité dans un sens plus global. Selon lui, le choix de la France d’interdire les statistiques ethniques est un bon moyen de se voiler la face. Il fait remarquer également que le niveau de mixité au sein de certaines entreprises en France est choquant.  


“A partir du moment où on ne peut pas le quantifier, c’est plus dur à combattre.”


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Dans cet épisode, nous abordons un thème qui revient fréquemment en off avec nos clients : l’égo et le pouvoir. Avec le développement du digital, ce pouvoir tout le monde peut y avoir accès. Emmanuel Vivier rappelle la réalité en expliquant qu’au sein d’une même entreprise, la compétition peut exister entre les dirigeants ou encore entre l’actionnariat et les syndicats.  Il nous explique pourquoi il est parfois difficile pour des dirigeants de partager le pouvoir et donc de lancer un projet de transformation.  


“Donc potentiellement dès que je vais ouvrir le robinet de la transformation,
je vais potentiellement être dans les premiers à sauter.” 


Nous parlons ensuite de dirigeants qui ont réussi à intégrer intelligemment un ou des enjeux de transformation. Emmanuel nous donne donne des exemples concrets : 

  • Le Groupe TF1, plus grande chaîne européenne, qui s’est vu être rattrapé par Netflix ou encore Facebook. Après quelques années, ils acceptent de repasser en mode “challenger” notamment avec l’arrivée de leur nouveau dirigeant, Gilles Pélisson. 
  • Un ancien manager de chez TF1, maintenant qui est chez Canal, a choisi de faire un “Destroy Day”. Un format qu'Emmanuel Vivier encourage vivement car, cela consiste à libérer les personnes d’anciennes tâches pour en effectuer des nouvelles, en adéquation avec la transformation en cours.  

“Si on libère pas un tout petit peu de temps, 5 ou 10% du temps des personnes,
alors elles ne pourront jamais innover.” 


Emmanuel Vivier nous donne également son analyse sur une notion qui revient très souvent au cœur des débats : l’agilité au sein d’une entreprise.  


"Être agile demain, c’est peut-être faire un peu plus confiance, donner plus de marge de manœuvre, plus d’autonomie.” 


Pour terminer cette partie, nous parlons, avec un homme cette fois, de la place des femmes dirigeantes et de la diversité dans un sens plus global. Selon lui, le choix de la France d’interdire les statistiques ethniques est un bon moyen de se voiler la face. Il fait remarquer également que le niveau de mixité au sein de certaines entreprises en France est choquant.  


“A partir du moment où on ne peut pas le quantifier, c’est plus dur à combattre.”


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