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Investia

On ne pense pas assez long terme en investissement...

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34min |22/04/2025
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Description

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Transcription

  • Speaker #0

    Les amis, bienvenue à tous dans cet épisode Investia du vendredi 18 avril 2025, j'espère que vous allez tous bien. Enfin, enfin une semaine, vous savez, un peu haussière, où il se passe pas grand chose. Mais en vrai on prend, on s'est fait rouler dessus. Genre les dernières semaines étaient vraiment horribles et j'ai plus le souvenir d'une semaine comme ça dans les deux dernières mois, vraiment. En fait une semaine, la semaine n'est pas terminée, attention calmons-nous, mais en fait une semaine où Trump s'embrouille pas avec la moitié du monde, où l'économie mondiale n'est pas à deux doigts d'un plosé, et où j'ai entendu que trois, quatre fois par jour le mot récession. Ça fait vraiment du bien, on est dans une période de merde, mais les choses avancent. C'est assez cool, j'espère que vous allez tous bien. Je suis très content de ma semaine, en vrai. J'ai fini toutes les vidéos que je voulais tourner, j'ai fini mes scripts, j'ai été assez productif. Ma chaîne sort une vidéo sur la... Sur Sui Dimanche, sur la dette la semaine prochaine, qui va être assez cool, je pense. Sur ma chaîne Sport aussi, je sors une vidéo et j'en ai tourné une autre. Donc je suis vraiment content de la semaine, j'ai été assez productif. À part ce fucking pollen qui casse les... bonbons, mais on est ensemble. Si jamais vous êtes allergique aux pollens, je sors avec un masque Covid. Bon, je partais un peu pour un complotiste, mais en vrai, c'est pas grave parce que c'est vraiment... Ça m'aide vraiment de ouf. Je fais de l'asthme et tout, c'est trop chiant. Si jamais vous êtes aussi allergique aux pollens, mettez un masque si vous n'avez pas envie de passer pour un complotiste. Bon, let's go pour Investia. Je vous rappelle le principe du podcast. Investia, c'est un podcast orienté autour, évidemment, de l'investissement, mais... beaucoup plus large que simplement la finance ça peut être l'investissement dans son développement ça peut être un investissement personnel ça peut être un investissement sur les marchés psychologiques en crypto peu importe et vous avez bien aimé le dernier format donc je suis très content avant une vaisselle c'était format un peu plus mono sujet où je faisais un épisode où je vous parlais de la psychologie un épisode des crypto un épisode de la dette etc la semaine dernière j'ai un peu changé j'ai fait multi sujets donc il y avait quatre cinq sujets très vastes très larges qui sont en fait les sujets que j'écris dans ce que j'appelle les écrits journaliers où tous les jours j'écris un petit paragraphe, ça me prend 20 minutes, sur ce que j'ai appris, sur les trucs qui me viennent en tête, donc que ça soit dans l'investissement pur ou pas. Et je me suis dit que ça pouvait être pas mal de vous les lire aussi et que vous avez bien kiffé. Donc on va refaire ça aujourd'hui avec 1, 2, 3, 4, 5, 6... sujet l'idée c'est que vous voulez supporter si jamais vous avez des sujets un peu plus de prédilection ils sont affichés dans la timeline de de la vidéo youtube donc si jamais il ya un sujet qui vous parle moins vous passez au prochain et si jamais vous avez plus envie je peux vous êtes en train de courir vous êtes en train vous êtes en voiture laissez vous porter allons-y alors écrit Vous allez voir que cette semaine, c'est un peu moins orienté à l'investissement. Je crois qu'il y a deux écrits investissement, les autres c'est un peu plus globaux dans le développement, vous allez voir. Tout simplement parce que c'est une semaine où il ne se passe pas grand chose, donc les thèses ne changent pas forcément, il n'y a pas de nouvelles choses à vraiment apprendre. Donc je suis aussi porté sur d'autres éléments sur cette semaine. Le 14 avril, j'ai écrit... Le titre, faire ce sur quoi on est bon, laisser le reste aux autres. En ce moment, je suis en train de lire le livre de Ray Dalio qui s'appelle Principles, qui est une masterclass absolue en français. C'est un titre bien énervant qui s'appelle Principles du succès. Donc je peux vous dire que vous lisez ça dans le train, vous passez pour un bon gros connard, mais le livre est exceptionnel. Lisez-le vraiment. Je vous mets un petit lien. Allez l'acheter, il coûte un peu cher, mais il est incroyable. Et en gros, Redalio, c'est l'un des plus gros gestionnaires de fonds. Il a créé Bridgewater, qui est le fonds qui a surperformé quasiment tous les autres fonds, qui a fait des gains pendant la crise de 2008 en l'anticipant. Enfin, le mec est monstrueux. Et il explique dans son livre, qui n'est pas forcément que orienté sur l'investissement, loin de là, que lui, il a eu un gros choc. Quand les membres de sa team sont arrivés vers lui en lui disant que, en fait, il était bon dans ce qu'il faisait, mais il était très antipathique. Et ça lui a fait mal, il a fait un gros travail sur le management et sur la gestion de ses équipes. Et il a travaillé sur un truc que j'ai trouvé hyper stylé, qu'il a appelé lui les baseball cards. Bon c'est des américains, c'est le baseball, c'est la NFL, c'est les monster trucks. Mais l'idée des baseball cards, tout part du principe que chacun fonctionne différemment. Et dans une entreprise on a deux choix. Soit on manage tout le monde de la même façon, soit on manage les gens en fonction de leur profil. Ça marche aussi dans la vie avec les gens avec qui on travaille, on fréquente, peu importe. Et maintenant, je commence à avoir une équipe de six personnes à gérer dans mon entreprise. Et j'ai commencé en manageant un peu tout le monde de la même façon parce que je voulais créer une sorte de culture d'entreprise. et donc je me disais pour créer une culture d'entreprise il faut que j'aligne tout le monde dans ma façon de faire en tout cas la façon que j'estime que l'entreprise devrait faire et du coup je mettais un peu tous les profils dans le même sac parce que je me suis dit c'est la culture d'entreprise avant tout spoiler c'est chiant ça ne marche pas et l'idée des cartes de baseball je la trouve incroyable moi ça me parle un peu plus avec les cartes de foot les cartes panini et tout tu sais tu as le joueur carte fifa où tu as une note sur 100 pour le tir, le physique, la vitesse, etc. Et l'idée de la carte de baseball, c'est de donner une note à chaque attribut d'un membre de l'équipe. Donc l'autonomie, la gestion du risque, la capacité d'aller loin dans un projet, l'adaptabilité, est-ce que la personne a du mal à changer de domaine ou pas. Et en fait, ça ne permet pas de juger spécialement, c'est pas dans cette optique-là, mais c'est de savoir dans quoi chacun est bon ou moins bon. Et ça a deux intérêts. déjà le premier intérêt c'est que les gens sont plus naturels et moins bridés en essayant de fake un peu certaines caractéristiques. C'est-à-dire que si jamais dans une entreprise c'est connu que tel profil par exemple, c'est pas quelqu'un qui va forcément faire très attention aux détails, par contre c'est quelqu'un qui va bouger les choses au moment où il faut lancer les projets, ben lui ça va lui permettre, si jamais il le sait que c'est connu dans la boîte qu'il est comme ça, ça va lui permettre... de rester 100% lui-même et de pas faire semblant d'être quelqu'un qui met de l'attention aux détails et au final de brider un peu sa personnalité. Et donc c'est vraiment une bonne chose. La deuxième chose, c'est que ça permet de 1. de ne pas donner aux gens des tâches qui ne leur correspondent pas et de 2. de donner aux gens des tâches où ils vont être les meilleurs. Et c'est extrêmement important. dont un management, je donne des cours de management, mais c'est très broussillant ça, je ne suis pas du tout expert là-dedans, de faire ce sur quoi on est bon et de laisser le reste aux autres. Et je pense qu'il y a beaucoup de gens qui connaissaient un plafond là-dedans, peu importe dans quel domaine en fait, ça peut être dans l'entrepreneuriat, ça peut être dans la vie, ça peut être dans tout, parce qu'ils n'arrivent pas à déléguer les tâches sur lesquelles ils sont moins bons ou qu'ils n'ont pas forcément envie de faire, dans la mesure du possible évidemment. Et donc... L'idée des cartes de baseball m'a vraiment donné pas mal d'éléments. Vous pouvez faire une carte de baseball sur vous, par exemple. Je l'ai écrit, ça va être un peu long si je vous dis tout, mais dans les critères, j'ai compétence cognitive et résolution de problèmes, donc pensée analytique, créativité, attention aux détails, vision d'ensemble, agilité d'apprentissage. Après, on a le style de travail. Est-ce que la personne est autonome, fiable, prend des initiatives, a une belle éthique de travail, etc. Et vous pouvez le faire pour vous, essayez de vous donner une note sur 100 pour voir où est-ce que vous pouvez évoluer. Et l'idée, alors c'est encore une fois très personnel de ce que vous faites, mais l'idée c'est plus, en tout cas dans cette réflexion-là, de partir du principe qu'on n'est pas là pour avoir une note de 80 partout, mais plutôt d'avoir des notes où on est excellent. Et ça rentre dans une réflexion que j'ai, qu'on arrive dans un monde avec l'IA, etc., où être tout terrain ne sert pas. plus à grand chose et où il faut être spécialisé. Et donc pour être spécialisé il faut accepter d'être moins bon dans certains domaines. C'était ma petite réflexion du 14-04. Le 15-04 j'ai été un peu plus inspiré sur l'investissement. J'étais en train d'écrire un script d'une vidéo qui sort la semaine prochaine ou la semaine d'après je crois. D'ailleurs dans ce script j'ai hâte de voir comment ça va réagir. Il y a un petit coup de gueule sur le fait que les Youtubers ne sont pas responsables des investissements des gens. Et c'est la première fois que je prends un peu de position sur ça. J'ai hâte de voir un peu comment les gens réagissent, sinon je vais me faire déchirer, mais c'est pas grave. Et ma réflexion du 15-04, elle s'appelle « On fait beaucoup trop de mouvements » . Le crash qu'on a eu sur les marchés ces dernières semaines, ça a été objectivement une opportunité de fou pendant plusieurs semaines. On avait des prix qui étaient extrêmement bons. La réalité, c'est que personne n'avait de cash. Personne n'avait de cash parce qu'on fait beaucoup trop de mouvements, et moi le premier. je vais faire beaucoup moins de mouvements sur mon portefeuille ces prochaines années, quitte à parfois avoir beaucoup plus de cash en réserve. Mais j'ai vraiment besoin de devenir à l'aise avec cette idée, parce que ces moments qu'on vit et on en vivra d'autres représentent objectivement les meilleures opportunités et historiquement les meilleures opportunités. Et c'est une énorme perte d'argent et de rentabilité à long terme de ne pas avoir assez de cash. En 2024, j'ai dû faire genre... 15, 20 mouvements des achats, etc. Alors que j'aurais pu en faire en vrai 2 max, tu vois. En juin et en août, quand on a eu les crashes, j'aurais peut-être sûrement eu un meilleur ROI. Warren Buffett, Red Alio, tous les grands investisseurs, ils disent deux choses en commun. Première chose, il faut acheter quand il y a du son dans les rues. Deuxième chose, il faut garder du cash pour ces moments-là. Donc la prochaine fois, je vais mettre en place un nouveau truc. C'est que quand je me demanderai... Si on est dans un bon moment pour acheter, je vais essayer de me demander à quel point je suis sûr qu'on est dans un bon moment de 0 à 100. Là ok, le marché est en train de monter, j'ai envie d'acheter, mais est-ce que je suis sûr que c'est un bon moment ? Ok, de 0 à 100 je suis sûr à combien ? Il y a une bonne opportunité, mais on est quand même pas mal monté, allez, 70. Et si c'est en dessous de 80, je n'achète pas en étant à l'aise avec le fait que j'ai raté des opportunités. Parce qu'en fait, typiquement... Les moments comme celui qu'on a vécu là, qu'on a eu le crash le lundi, le Black Monday du 8 avril, un truc comme ça, dans ce délire-là, si on se demandait de 0 à 100 si c'était une bonne opportunité, objectivement, on était sur un 95. Je suis sûr et certain que c'est une bonne opportunité à long terme. Et ça rentre dans l'idée que si je me demande si je dois acheter, c'est que je ne dois pas le faire parce qu'il n'y a pas assez de sang dans les rues. Et les gens ont tendance... Et ça, je trouve que c'est vraiment important. Je trouve que les gens ont tendance à racheter ce que j'appelle les faux dips, les corrections qui n'en sont pas spécialement très difficiles et qui restent des moments satisfaisants à racheter. Les dips satisfaisants, il ne faut pas les racheter. Vous savez, ce moment où... Bitcoin passe de 60 000 à 80 000. Et là, il y a une correction à 73 000. Là, tu te dis, oh cool, j'ai une opportunité d'achat. Ça, c'est ce que je pourrais appeler un faux dip. Et à mon avis, ces faux dips détruisent la rentabilité. Donc, si une correction est satisfaisante à racheter et qu'il n'y a pas un maximum d'incertitude sur la suite, c'est que ce n'est pas une vraie correction et qu'on ne doit pas forcément faire ce mouvement-là. 16-04, là j'étais d'humeur spirituelle, spirituelle c'est un peu un grand mot, les gens ne vous croiront pas tant que vous n'avez pas prouvé quand j'ai lancé ma chaîne youtube, et je parle de la chaîne youtube crypto, j'avais lancé d'autres chaînes youtube avant j'en ai parlé à très très peu de gens et encore j'étais pas au stade zéro de la création de vidéos youtube donc mes vidéos youtube étaient un petit peu mieux de 0 à 10, elles étaient à 3 sur l'échelle du mec qui vient de commencer mais même avec ça tous les gens à qui j'en ai parlé Merci. qui étaient des très bons potes à moi, des gens proches, peu importe, soit ils s'en sont complètement battus les couilles, soit ils étaient un peu taquins. Ouais, c'est marrant, c'est bien de s'envu. Et c'était un peu, c'était pas vraiment pour tirer vers le bas, mais voilà, on sentait que c'était une réaction habituelle à quelqu'un qui lance quelque chose. Et plus j'ai avancé, encore une fois, j'ai 24 pi, je fais ça depuis 3 ans, je suis pas Bill Gates, mais Dans ce que j'ai traversé, je me suis rendu compte que les gens n'ont aucune considération pour ce qu'on fait tant qu'on n'a pas prouvé. Peu importe le domaine, en fait, c'est comme ça, c'est ancré dans la nature humaine. Et j'ai réfléchi pourquoi, je pense que c'est quand même aussi extrêmement français, pourquoi, j'en sais rien, pourquoi en France on est comme ça, mais c'est un fait. On n'aime pas encourager les petits projets parce que je pense qu'on se dit, ok, et quand je dis on, c'est la plupart des gens, tout le monde n'est pas comme ça, évidemment. On n'aime pas encourager les petits projets parce qu'on se dit, si ça marche ce qu'il est en train de faire, lui l'aura fait, j'aurais vu comment il l'a fait parce que j'étais là avant que ça marche, et pas moi. Et donc ça nous perturbe dans notre réalité, et ça rabaisse un peu notre propre perception personnelle, donc on n'a pas spécialement envie que le gars réussisse. Par contre, une fois que ça marche... Ça devient stylé de dire qu'on a un pote qui a réussi. Ça augmente un peu notre perception sociale, notre perception personnelle. Donc les gens vous encouragent seulement quand vous avez prouvé ou quand vous avez réussi. Et maintenant, j'ai des gens autour de moi qui sont très contents de dire qu'ils me connaissent. Et je suis hyper fier de ça, attention. Mais je me dis, putain, les mecs, j'aurais bien aimé un peu plus de soutien au début. Et en fait, c'est juste que tu ne peux pas... Le demander, c'est comme ça, ça fait partie de la réalité. C'est très frustrant. Mais je vous fais un exemple par exemple. Pour l'instant, j'ai connu aucun bullrun en tant que créateur de contenu. D'accord ? Depuis que je fais des vidéos, j'ai pas eu spécialement d'énormes bullruns dans les cryptos. Et mes analyses sont poussées, on travaille dur, et je sais qu'on fait beaucoup plus qu'énormément de gens. Mais tant que l'analyse ne s'est pas réalisée, personne ne considérera que je fais du travail. A la hauteur de ce que je pense qu'il est, en tout cas. Et je pense pas que ce soit ni bien ni mal, c'est juste assez factuel. Et ça fait partie de la réalité. Les gens ne vous considèrent pas tant que vous n'avez pas prouvé. Donc il faut pas essayer d'aller chercher l'approbation des gens. Si elle n'arrive pas, ça veut dire qu'on n'a pas fait assez. C'est comme, j'avais vu un truc sur les... Quand t'essaies de maigrir. T'essaies de maigrir ou de te mettre au sport. Tu maigris, toi tu t'en rends compte, mais il y a un niveau encore plus avancé pour que les gens te fassent la remarque. Tu perds 2 kilos, tu te dis « Ah cool, j'ai perdu 2 kilos, les gens vont le remarquer » , tu te rends compte qu'ils ne le remarquent pas. Et tu te dis « Putain les mecs, je suis en train de perdre » . Et là quand tu perds vraiment, et que t'es sharp, t'es jacked, t'as un six-pack, tu cours, tu fais voilà. Là les gens commencent à te dire « Ah ouais, t'es solide » . Et c'est exactement la même chose. c'est les gens ont besoin de plus que ce qu'on croit pour nous donner de la reconnaissance. Donc il ne faut pas aller chercher la reconnaissance. 1804, on ne voit pas assez long terme. En crypto surtout, on ne voit pas assez long terme. Tout est fait, surtout dans la crypto, dans l'investissement oui, mais surtout dans la crypto, pour qu'on croit et qu'on ait cette sensation un peu désagréable que ce cycle c'est peut-être le dernier, et qu'on doit vite faire des gains générationnels pour devenir riche. Et en vrai, peu importe combien on vise comme multiple, on a tous un petit multiple en tête, on peut faire l'exercice de comment serait notre vie si on rajoutait 10 ans à cet objectif. Je veux faire un x20 sur mon portefeuille à ce cycle. Ok, ça va être dur, il y a de fortes chances que ça n'arrive pas. Maintenant, réfléchissons à je veux faire un x20 sur 10 ans. Là, on commence à se dire, ok, il y a un plan qui se dégage. Vous voyez ce que je veux dire ? On se crée un plan. Et je trouve qu'on ne voit pas assez long terme. C'est à cause de plein d'éléments, c'est à cause de l'information omniprésente sur les réseaux, sur YouTube. Je contribue à ça, je crée des vidéos toutes les semaines, alors que je pourrais en faire une tous les deux, trois mois. Sauf que si je faisais une vidéo tous les deux mois, l'algorithme de YouTube ne me mettrait pas en avant. Donc en fait, il y a des intérêts croisés qui font qu'on croit... qu'on doit voir plus court terme que ce qui est le cas. Il y a de l'information partout, ça nous fait prendre dans le bruit, à cause un peu des espoirs inutiles qu'on se fait en croyant qu'on pourra changer de vie comme on le veut aussi. Et quand on se crée un portefeuille, quand on lance un projet, peu importe, ça peut être bien de rajouter 10 ans à ce qu'on fait. J'avais discuté avec quelqu'un qui m'a dit un truc hyper intéressant, c'est que, vous savez, on fait toujours le « c'est pas un sprint, c'est un marathon » , ok. Un marathon, c'est 42 km. Dans la création d'un portefeuille, d'un profil d'investisseur, d'un projet, peu importe, on est à l'année combien de notre marathon ? En partant du principe que le marathon de ma carrière d'entrepreneur, c'est 42 ans. Je suis à l'année 3, je suis au kilomètre 3. Du coup, au kilomètre 3, tu es censé juste être tranquille, regarder un peu autour, continuer d'apprendre. Ouais, ok, je suis allé un peu lentement. Ah, je suis allé un peu trop vite, on s'en fout. Parce que les vrais marathoniens, c'est pas mon cas, je suis pas du tout un vrai marathonien, mais savent et disent tous qu'un marathon, ça se commence au kilomètre 30. Et donc, tant que t'es pas au bout de 10, 20, 30 ans de ce que tu fais, peut-être qu'on s'en fout, tu vois. On n'a juste pas de retour, mais c'est absolument normal. C'est le temps que les choses se mettent en place. et demandez-vous combien d'années de votre marathon vous êtes, que ce soit dans le projet que vous essayez de lancer qui ne marche pas, dans votre portefeuille qui ne performe pas spécialement, et arrêtons de penser qu'on va forcément avoir, comme en 2017 ou en 2021, un x50 qui va nous rendre riches dans les cryptos, ce n'est pas le cas. En vrai, à part des même coins, je n'ai pas vu de x50 public comme ça. Donc en plus, croyez-moi qu'il y a des gens qui rentrent en insider avant dans des projets early, et c'est eux qui les visent les x50, et même là-dedans, c'est dur de les chercher. Donc voyons plus long terme, ça va nous aider à faire moins d'erreurs. Et ça je l'ai pas écrit, mais quand j'ai réfléchi aussi, ça c'est intéressant, le fait que... Il y a beaucoup de... Quand je reviens un peu les biographies des mecs un peu connus, des gros investisseurs, je reviens sur mon père spirituel du moment Redaglio. Il explique à chaque fois qu'il a toujours un biais de surconfiance qui croyait que les choses allaient se passer comme il pensait. Il a perdu beaucoup d'argent et il a appris par ça. Et c'est un peu pareil, tu vois. En général, on passe cinq ans à vouloir chercher un x20, on se rend compte que ça ne marche pas, on commence à acheter de l'or et du S&P, on... On est trop safe dans notre position, on commence à l'équilibrer et on commence à avoir long terme. Et donc on pourrait gagner quand même pas mal de temps, un bon 5-10 ans, en commençant directement à avoir long terme. Et il y a encore pire, parce que ça, ça va créer des gens comme ça. Des gens qui arrivent entre 20 et 25 ans, peu importe l'âge en fait, mais qui investissent, qui sont bien placés, qui pourraient se créer un beau patrimoine à 40, 45, 50 ans. ou 30-35 c'est pareil, ça marche pas, ils arrêtent l'investissement et ils reviennent genre 10 ans après. Et du coup ils ont perdu 10-15 ans en intérêt composé, regardez ce que ça fait, juste parce qu'ils étaient trop risqués. Et c'est aussi l'un des risques du risque, c'est que si tu risques trop... Tu vas avoir une douleur qui est proportionnelle, et donc tu vas mettre du temps à revenir, et donc tu vas perdre du temps sur le marché. Et gardez en tête cette citation, c'est une citation qui me parle beaucoup, que le temps passé sur les marchés est supérieur au timing. Le temps passé sur les marchés est supérieur au timing. Encore faut-il être sur des projets de qualité, évidemment. La jauge d'attention. Ah, je l'aime bien, celle-là. Ah oui, j'ai beaucoup écrit. Il y avait un livre ou un article que j'ai lu il y a quelque temps, je sais plus c'est quoi, qui parlait de l'évolution d'une population en fonction de sa technologie. Vous allez comprendre. En fait, d'après le livre, il y a un cycle qui dure à peu près 80 ans, qui existe dans la relation d'une population à la technologie. En gros, le cycle se fait en à peu près 4 phases. La première phase, c'est l'émergence de la technologie. On a des nouvelles expérimentations, rien de bien fou, la vie est belle, mais ça perturbe pas grand chose, ça dure 20, 30, 40 ans. Au bout d'un moment, on arrive dans le deuxième cycle, où la technologie est suffisamment prête et on a une diffusion massive à la population. Tout le monde commence à l'utiliser, c'est très accessible et ça transforme un peu les habitudes et les comportements. Pareil, ça dure entre 20 et 40 ans. On a la phase 3, qui est la période de maturité, la période de saturation. où la technologie est partout, mais on sent qu'il commence à y avoir une sorte de trop-plein. On sent que là, c'est trop là, c'est trop ce qui se passe autour. Et ça, c'est la phase la plus intense du cycle. Et ensuite, on a la phase 4, qui est la phase de déclin et de transition. Là, c'est peut-être un peu abstrait. Maintenant, regardez. On prend depuis la Deuxième Guerre mondiale. De 1950 à 1970-80, on développait des ordis, des PGP, Internet, etc. Mais c'était vraiment un truc de geek. Personne n'utilisait ça. Ensuite, entre 1980 à 2005-2010, c'est devenu beaucoup plus accessible à tout le monde. On avait les premiers ordis, on avait le numérique, les DVD, etc. L'émergence de cette technologie-là qui commençait à être adoptée. Les parents, ils avaient leurs premiers ordinateurs, il se passait un truc. Et là, depuis, je dirais, 2010, on est dans la troisième phase. Tout le monde passe 4 heures sur son téléphone. Tout le monde a au moins 3-4 réseaux sociaux. On a Netflix, on a Amazon Prime, on a YouTube. On lit des dizaines d'articles, des commentaires de réseaux sociaux. On a des tonnes d'informations qui nous arrivent dessus. C'est comme si on avait un PMU permanent sur les réseaux avec des commentaires Twitter de gens qu'on connaît pas, qu'on accepte, qui nous donnent notre avis. On a l'IA, bordel. Tous les 6 mois, il y a une nouvelle IA exceptionnelle qui sort. C'est une folie. Tu regardes, il y a 3 ans, ça a 3 ans, le chat de GPT ? ça max 3 ans, 2 ans regardez ce qui se passe c'est abusé et ça c'est la phase 3 et on est en plein dans la phase 3 la phase la plus difficile à gérer parce que notre cerveau nous on s'en rend pas compte je pense parce qu'on a grandi là dedans mais notre cerveau est complètement saturé et le taux de dépression est en train d'exploser les burn out, les quêtes de sens et il y a un truc qu'on nous a jamais appris Merci. qui est littéralement ultra important, c'est de protéger notre énergie et notre attention. Protéger notre tête, en fait. On doit accepter qu'on ne peut pas tout connaître, qu'on ne peut pas tout savoir, qu'on ne peut pas tout contrôler. On n'est plus dans une économie de l'information. Vous savez, avant, c'était l'économie de l'information. Celui qui avait l'accès à l'information détenait la valeur. Un journal, on l'achetait parce qu'ils avaient l'accès à l'information. Magazine, c'était pareil. Internet, au début, c'était ça. Maintenant, tout le monde a accès à l'information. Si je demande, là je vais sur Grok de Twitter, l'IA c'est gratuit, tu dis donne-moi les plus grosses les plus grosses actualités de la journée, il te les fait. Tout le monde a accès à l'information. Donc on n'est plus dans une économie de l'information, c'est plus l'information qui a de la valeur. Qu'est-ce qui a de la valeur maintenant ? C'est l'attention. On est dans une économie de l'attention. Là par exemple avec ce podcast, vous choisissez de regarder ce podcast. Qu'est-ce que vous me vendez derrière ça ? Parce que le podcast c'est gratuit, c'est gratuit si vous le produisez. Vous me vendez de l'attention, vous me donnez de l'attention. L'attention se référence dans un algorithme qui va propulser mon podcast, que je vais pouvoir monétiser par plein de façons. Et donc, l'attention devient la monnaie, la ressource la plus rare pour nous. Et pour les grosses entreprises, les réseaux, les IA et compagnie. Twitter, Facebook, TikTok, les IA, etc. Elles étudient le cerveau humain pour aller le plus facilement et longtemps chercher et tenir notre attention. C'est terrifiant, TikTok c'est ça. TikTok, je ne sais pas si vous avez déjà vu des vidéos, je crois Léo Duff qui avait fait une vidéo sur TikTok. En gros, TikTok, tu arrives, dès que tu arrives, c'est même pas comme YouTube, tu arrives, tu consommes directement, tu appuies sur TikTok, tu as une vidéo qui est faite. L'algorithme sait ce que tu veux, il sait ce qui te fait rester, ça te donne des pics de dopamine, c'est terrifiant. C'est terrifiant, vraiment, ça me fait un peu flipper tout ça. Et du coup, derrière ça, j'aime bien réfléchir avec cette notion de jauge d'attention. Imaginez une jauge de 100 points d'attention, des points d'attention qui se renouvellent un peu tous les jours. Maintenant imaginez que, je sais pas, discuter avec des amis ça vous coûte 5 points d'attention. Ça dépend si vous êtes introverti, extraverti, etc. évidemment. Mais vous pouvez réfléchir pour vous. Discuter avec des potes, que vous connaissez très bien, 5 points d'attention. Sortir le soir c'est 10 points. Passer 2 heures de taf c'est 20 points. Sauf qu'on a un nombre limité de points d'attention. Et je ne veux pas qu'un seul de mes points et de ma jauge d'attention soit alloué à des choses inutiles. Le problème c'est que... Tout est fait pour que notre attention soit allouée à des choses inutiles. Les choses inutiles, c'est des articles sur les réseaux que j'ai pas envie de voir. C'est la politique. Ça ne m'intéresse pas, la politique. C'est un choix. C'est très polarisé. Il y a des gens qui peuvent m'insulter quand je dis que la politique ne m'intéresse pas. Mais j'estime que je n'ai aucun contrôle sur ça. Donc je n'ai pas besoin ni envie de savoir ce qui se passe. L'actualité, c'est pareil. Et les informations anxiogènes coûtent beaucoup plus de points d'attention. Parce que... Quand tu vois une actualité négative, et l'actualité c'est très négatif, ça te prend de l'énergie, ça te prend de l'attention, ça te fait un peu de cortisol, et le cortisol reste plus longtemps dans le corps. Les commentaires des gens par exemple, tout le monde est aigri, les commentaires YouTube, Facebook, Twitter, c'est horrible, et ça nous prend des points d'attention. Et en fait on peut vite faire une journée où notre jauge d'attention se fait laver par des trucs inutiles, et on revient le soir comme ça, et on n'a plus aucune capacité d'attention. Et bon, je vais pas faire le boomer sur la nouvelle génération, etc. Mais tu vois, moi j'ai grandi, je jouais aux jeux vidéo, je jouais à Pokémon, c'était cool, tu vois. Et en fait, ça a créé des souvenirs. Là, je pense que la nouvelle génération, et pas que la nouvelle génération en fait, il y a aussi les plus vieux, etc. En tout cas, les gens qui sont happés par la consommation passive TikTok, Insta, les réseaux, c'est tellement de la passivité que... Tu leur demandes ce qu'ils ont fait et de quoi, de quel moment ils se souviennent dans cette activité-là, ils ne savent même plus, parce que leur jauge d'attention a été dévastée, et du coup tout le reste, ça rentre par une oreille, ça sort de l'autre. Et bon bref, tout ça pour dire qu'on a démocratisé, je trouve, depuis une dizaine d'années, le fait de considérer son corps comme un... temple, un peu. Vous voyez ce que je veux dire ? Ça fait un peu 10 ans qu'on dit, ok, il faut bien manger. Enfin, en tout cas, c'est démocratisé. Il faut faire attention, il faut boire de l'eau, il faut bien dormir. Avant, c'était un peu plus, ouais, tu peux dormir à 5, 6 heures, il faut se lever tôt, machin. Là, on a un peu démocratisé ça. Et je pense que dans les 10 années qui suivent, on va démocratiser le fait qu'on doit absolument protéger notre cerveau de toutes les distractions, de tous les éléments qui détruisent notre jauge d'énergie. Et je pense que vraiment lancer des business de méditation, des trucs comme ça, ça va avec toute l'émergence de l'IA, si on va un peu à l'encontre de ça, ça va être quelque chose qui va prendre de l'essor parce que les gens au bout d'un moment vont sentir la saturation. Et je sais pas ce qui va se passer honnêtement mais ça peut être un peu compliqué. Et on arrive les amis à notre dernier écrit. 75% des gens riches sont des entrepreneurs. Qu'est-ce que c'est que ça ? Statistiquement, les gens les plus riches du monde sont à 75% des entrepreneurs, 15% des investisseurs, pardon, et 7% des sportifs. C'est un fait. Donc, factuellement, la meilleure probabilité de devenir riche, c'est en entreprenant. Et je trouve que... En France, les gens n'entreprennent pas assez. Et c'est assez terrible. C'est assez terrible parce que, en fait, quand tu discutes avec des gens, j'aime bien faire ça. Et toi, si... tu vois j'ai beaucoup de potes qui sont en médecine pharma qui sont un peu blasés et tout et tu leur dis ok si tu pouvais tous les métiers sont payés pareil tu peux faire ce que tu veux, qu'est-ce que tu ferais il y en a pas un qui me dit médecin évidemment parce qu'en même temps c'est trop dur c'est aberrant et ils me disent tous ouais je voudrais lancer un café je voudrais élever des chiens des trucs trop bien et tout le monde a une idée de projet vous avez une idée de projet très sûrement vous vous êtes dit putain ça serait trop bien si je pouvais faire ça Je sais pas, ouais, lancer un café, faire un TikTok avec son chien, faire des vidéos de sport. Et après, demandez-vous si jamais vous pouviez vivre de ça, comment serait votre vie ? Est-ce qu'elle serait peut-être mieux ? Sûrement. Mais bon, je sais pas vous dire d'arrêter votre taf et de faire un TikTok parce que votre chien vous le trouvez mignon. Il y a de fortes chances qu'il soit bien moche et que vous soyez biaisé et que ça marche pas. Mais... C'est un fait. Et quasi personne le fait, quasi personne n'entreprend parce que, un, les gens ont peur de l'échec, et deux, les gens ont peur du regard des autres. Et en vrai, j'ai envie de dire, si jamais vous avez un projet entrepreneurial, même petit, et j'ai surtout petit, lancez-le. Au pire, ça marchera pas et vous aurez appris des choses au lieu de rester sur TikTok ou de regarder une série le soir. Tu vois, genre... laissez-vous la chance de voir si vous pouvez pas faire un truc de vos projets sans forcément quitter votre travail ou sacrifier votre vie. Genre il y a des gens qui n'ont pas le temps mais très peu de gens n'ont pas le temps en vrai si jamais vous regardez une série en ce moment bah au lieu de regarder la série deux heures par jour voilà on essaye deux heures par jour pendant un an et on voit Si jamais vous voulez, je sais pas, lancer un TikTok, faire des trucs marrants, devenir graphiste, devenir monteur, faire de la photo, tous les trucs en fait où t'as pas besoin de fond, où t'as pas besoin de quitter ton taf, tu vois, lancer un café c'est un peu plus dur, mais on a la chance d'être dans un milieu numérique où tu peux faire plein de trucs comme ça. Et essayer, et n'en parler à personne, ils ont pas besoin de savoir, mais j'ai... En fait c'est aussi comme ça que personnellement j'ai commencé, tu vois. J'étais étudiant. Je me suis dit, vas-y, j'en parle à personne, j'essaye. À la base, c'était pour ceux qui connaissent, c'était pour ce qui peut. L'usine, l'été, je me disais, ok, si j'arrive à gagner un peu d'argent tous les mois, je peux ne pas aller à l'usine si j'économise. Et au final, je me retrouve à faire un truc que j'adore, qui est oui, dur, oui, stressant, etc. Mais la plus-value de tenter de lancer quelque chose, de tenter de lancer quelque chose, Si on parle en ROI, en Risk Reward, ce que vous voulez, c'est exceptionnel. Genre, ça ne coûte rien. Donc en fait, il n'y a aucun risque. Si vous en parlez à personne, il n'y a pas de risque de peur, etc. Et les potentielles récompenses sont pire scénario, rien. Pire scénario, il ne se passe rien de plus. Et meilleur scénario, vous avez un truc qui vous plaît, qui vous a appris des choses, qui vous a ouvert des portes, et avec lequel vous passez un bon moment. Je ne dis pas que c'est facile, attention. Mais je pense qu'il y a beaucoup de gens qui aimeraient, mais en fait, c'est tellement pas la mode de lancer son petit projet le soir que personne ne le fait. Et je ne sais plus où c'est, c'est en Inde, je crois, où ils n'ont plus pas du tout cette culture. En Inde, ce n'est pas études, tu travailles. C'est tu entreprends, tu entreprends, tu entreprends. Et la question, ce n'est pas dans quoi tu vas étudier, c'est dans quoi tu vas entreprendre. J'aimerais bien en vrai accompagner des gens. à créer leur projet depuis zéro. Juste des petits projets, tu vois. Je sais pas. Peut-être que je suis un peu dans mon délire et qu'en fait, personne n'est vraiment attiré par ça. Mettez-le dans les commentaires. En vrai. Et s'il y a assez de gens, je peux créer un petit Discord pour qu'on s'entraîne un petit peu tous. Peu importe au stade où vous en êtes, si vous êtes au début, si vous êtes au milieu. Si vous êtes... Si vous avez 70 employés et que vous lisez ça, on peut aussi faire un truc. Mais... Ça peut être quand même quelque chose qui découle vraiment du positif. Merci beaucoup. C'était les 5 écrits de la semaine. Très orienté, réflexion, entrepreneuriat. Parce que le marché est un petit peu chiant. J'espère que vous avez passé un bon moment. C'était Loving. Prenez soin de vous. Ciao les potes.

Chapters

  • Format multisujets

    00:00

  • Focus sur nos expertises

    03:28

  • On fait trop de mouvements en investissement

    08:26

  • Prouver pour faire croire

    11:58

  • On ne pense pas assez long terme

    15:42

  • La jauge d’attention

    20:46

  • 75% des riches sont entrepreneurs

    29:12

Description

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Transcription

  • Speaker #0

    Les amis, bienvenue à tous dans cet épisode Investia du vendredi 18 avril 2025, j'espère que vous allez tous bien. Enfin, enfin une semaine, vous savez, un peu haussière, où il se passe pas grand chose. Mais en vrai on prend, on s'est fait rouler dessus. Genre les dernières semaines étaient vraiment horribles et j'ai plus le souvenir d'une semaine comme ça dans les deux dernières mois, vraiment. En fait une semaine, la semaine n'est pas terminée, attention calmons-nous, mais en fait une semaine où Trump s'embrouille pas avec la moitié du monde, où l'économie mondiale n'est pas à deux doigts d'un plosé, et où j'ai entendu que trois, quatre fois par jour le mot récession. Ça fait vraiment du bien, on est dans une période de merde, mais les choses avancent. C'est assez cool, j'espère que vous allez tous bien. Je suis très content de ma semaine, en vrai. J'ai fini toutes les vidéos que je voulais tourner, j'ai fini mes scripts, j'ai été assez productif. Ma chaîne sort une vidéo sur la... Sur Sui Dimanche, sur la dette la semaine prochaine, qui va être assez cool, je pense. Sur ma chaîne Sport aussi, je sors une vidéo et j'en ai tourné une autre. Donc je suis vraiment content de la semaine, j'ai été assez productif. À part ce fucking pollen qui casse les... bonbons, mais on est ensemble. Si jamais vous êtes allergique aux pollens, je sors avec un masque Covid. Bon, je partais un peu pour un complotiste, mais en vrai, c'est pas grave parce que c'est vraiment... Ça m'aide vraiment de ouf. Je fais de l'asthme et tout, c'est trop chiant. Si jamais vous êtes aussi allergique aux pollens, mettez un masque si vous n'avez pas envie de passer pour un complotiste. Bon, let's go pour Investia. Je vous rappelle le principe du podcast. Investia, c'est un podcast orienté autour, évidemment, de l'investissement, mais... beaucoup plus large que simplement la finance ça peut être l'investissement dans son développement ça peut être un investissement personnel ça peut être un investissement sur les marchés psychologiques en crypto peu importe et vous avez bien aimé le dernier format donc je suis très content avant une vaisselle c'était format un peu plus mono sujet où je faisais un épisode où je vous parlais de la psychologie un épisode des crypto un épisode de la dette etc la semaine dernière j'ai un peu changé j'ai fait multi sujets donc il y avait quatre cinq sujets très vastes très larges qui sont en fait les sujets que j'écris dans ce que j'appelle les écrits journaliers où tous les jours j'écris un petit paragraphe, ça me prend 20 minutes, sur ce que j'ai appris, sur les trucs qui me viennent en tête, donc que ça soit dans l'investissement pur ou pas. Et je me suis dit que ça pouvait être pas mal de vous les lire aussi et que vous avez bien kiffé. Donc on va refaire ça aujourd'hui avec 1, 2, 3, 4, 5, 6... sujet l'idée c'est que vous voulez supporter si jamais vous avez des sujets un peu plus de prédilection ils sont affichés dans la timeline de de la vidéo youtube donc si jamais il ya un sujet qui vous parle moins vous passez au prochain et si jamais vous avez plus envie je peux vous êtes en train de courir vous êtes en train vous êtes en voiture laissez vous porter allons-y alors écrit Vous allez voir que cette semaine, c'est un peu moins orienté à l'investissement. Je crois qu'il y a deux écrits investissement, les autres c'est un peu plus globaux dans le développement, vous allez voir. Tout simplement parce que c'est une semaine où il ne se passe pas grand chose, donc les thèses ne changent pas forcément, il n'y a pas de nouvelles choses à vraiment apprendre. Donc je suis aussi porté sur d'autres éléments sur cette semaine. Le 14 avril, j'ai écrit... Le titre, faire ce sur quoi on est bon, laisser le reste aux autres. En ce moment, je suis en train de lire le livre de Ray Dalio qui s'appelle Principles, qui est une masterclass absolue en français. C'est un titre bien énervant qui s'appelle Principles du succès. Donc je peux vous dire que vous lisez ça dans le train, vous passez pour un bon gros connard, mais le livre est exceptionnel. Lisez-le vraiment. Je vous mets un petit lien. Allez l'acheter, il coûte un peu cher, mais il est incroyable. Et en gros, Redalio, c'est l'un des plus gros gestionnaires de fonds. Il a créé Bridgewater, qui est le fonds qui a surperformé quasiment tous les autres fonds, qui a fait des gains pendant la crise de 2008 en l'anticipant. Enfin, le mec est monstrueux. Et il explique dans son livre, qui n'est pas forcément que orienté sur l'investissement, loin de là, que lui, il a eu un gros choc. Quand les membres de sa team sont arrivés vers lui en lui disant que, en fait, il était bon dans ce qu'il faisait, mais il était très antipathique. Et ça lui a fait mal, il a fait un gros travail sur le management et sur la gestion de ses équipes. Et il a travaillé sur un truc que j'ai trouvé hyper stylé, qu'il a appelé lui les baseball cards. Bon c'est des américains, c'est le baseball, c'est la NFL, c'est les monster trucks. Mais l'idée des baseball cards, tout part du principe que chacun fonctionne différemment. Et dans une entreprise on a deux choix. Soit on manage tout le monde de la même façon, soit on manage les gens en fonction de leur profil. Ça marche aussi dans la vie avec les gens avec qui on travaille, on fréquente, peu importe. Et maintenant, je commence à avoir une équipe de six personnes à gérer dans mon entreprise. Et j'ai commencé en manageant un peu tout le monde de la même façon parce que je voulais créer une sorte de culture d'entreprise. et donc je me disais pour créer une culture d'entreprise il faut que j'aligne tout le monde dans ma façon de faire en tout cas la façon que j'estime que l'entreprise devrait faire et du coup je mettais un peu tous les profils dans le même sac parce que je me suis dit c'est la culture d'entreprise avant tout spoiler c'est chiant ça ne marche pas et l'idée des cartes de baseball je la trouve incroyable moi ça me parle un peu plus avec les cartes de foot les cartes panini et tout tu sais tu as le joueur carte fifa où tu as une note sur 100 pour le tir, le physique, la vitesse, etc. Et l'idée de la carte de baseball, c'est de donner une note à chaque attribut d'un membre de l'équipe. Donc l'autonomie, la gestion du risque, la capacité d'aller loin dans un projet, l'adaptabilité, est-ce que la personne a du mal à changer de domaine ou pas. Et en fait, ça ne permet pas de juger spécialement, c'est pas dans cette optique-là, mais c'est de savoir dans quoi chacun est bon ou moins bon. Et ça a deux intérêts. déjà le premier intérêt c'est que les gens sont plus naturels et moins bridés en essayant de fake un peu certaines caractéristiques. C'est-à-dire que si jamais dans une entreprise c'est connu que tel profil par exemple, c'est pas quelqu'un qui va forcément faire très attention aux détails, par contre c'est quelqu'un qui va bouger les choses au moment où il faut lancer les projets, ben lui ça va lui permettre, si jamais il le sait que c'est connu dans la boîte qu'il est comme ça, ça va lui permettre... de rester 100% lui-même et de pas faire semblant d'être quelqu'un qui met de l'attention aux détails et au final de brider un peu sa personnalité. Et donc c'est vraiment une bonne chose. La deuxième chose, c'est que ça permet de 1. de ne pas donner aux gens des tâches qui ne leur correspondent pas et de 2. de donner aux gens des tâches où ils vont être les meilleurs. Et c'est extrêmement important. dont un management, je donne des cours de management, mais c'est très broussillant ça, je ne suis pas du tout expert là-dedans, de faire ce sur quoi on est bon et de laisser le reste aux autres. Et je pense qu'il y a beaucoup de gens qui connaissaient un plafond là-dedans, peu importe dans quel domaine en fait, ça peut être dans l'entrepreneuriat, ça peut être dans la vie, ça peut être dans tout, parce qu'ils n'arrivent pas à déléguer les tâches sur lesquelles ils sont moins bons ou qu'ils n'ont pas forcément envie de faire, dans la mesure du possible évidemment. Et donc... L'idée des cartes de baseball m'a vraiment donné pas mal d'éléments. Vous pouvez faire une carte de baseball sur vous, par exemple. Je l'ai écrit, ça va être un peu long si je vous dis tout, mais dans les critères, j'ai compétence cognitive et résolution de problèmes, donc pensée analytique, créativité, attention aux détails, vision d'ensemble, agilité d'apprentissage. Après, on a le style de travail. Est-ce que la personne est autonome, fiable, prend des initiatives, a une belle éthique de travail, etc. Et vous pouvez le faire pour vous, essayez de vous donner une note sur 100 pour voir où est-ce que vous pouvez évoluer. Et l'idée, alors c'est encore une fois très personnel de ce que vous faites, mais l'idée c'est plus, en tout cas dans cette réflexion-là, de partir du principe qu'on n'est pas là pour avoir une note de 80 partout, mais plutôt d'avoir des notes où on est excellent. Et ça rentre dans une réflexion que j'ai, qu'on arrive dans un monde avec l'IA, etc., où être tout terrain ne sert pas. plus à grand chose et où il faut être spécialisé. Et donc pour être spécialisé il faut accepter d'être moins bon dans certains domaines. C'était ma petite réflexion du 14-04. Le 15-04 j'ai été un peu plus inspiré sur l'investissement. J'étais en train d'écrire un script d'une vidéo qui sort la semaine prochaine ou la semaine d'après je crois. D'ailleurs dans ce script j'ai hâte de voir comment ça va réagir. Il y a un petit coup de gueule sur le fait que les Youtubers ne sont pas responsables des investissements des gens. Et c'est la première fois que je prends un peu de position sur ça. J'ai hâte de voir un peu comment les gens réagissent, sinon je vais me faire déchirer, mais c'est pas grave. Et ma réflexion du 15-04, elle s'appelle « On fait beaucoup trop de mouvements » . Le crash qu'on a eu sur les marchés ces dernières semaines, ça a été objectivement une opportunité de fou pendant plusieurs semaines. On avait des prix qui étaient extrêmement bons. La réalité, c'est que personne n'avait de cash. Personne n'avait de cash parce qu'on fait beaucoup trop de mouvements, et moi le premier. je vais faire beaucoup moins de mouvements sur mon portefeuille ces prochaines années, quitte à parfois avoir beaucoup plus de cash en réserve. Mais j'ai vraiment besoin de devenir à l'aise avec cette idée, parce que ces moments qu'on vit et on en vivra d'autres représentent objectivement les meilleures opportunités et historiquement les meilleures opportunités. Et c'est une énorme perte d'argent et de rentabilité à long terme de ne pas avoir assez de cash. En 2024, j'ai dû faire genre... 15, 20 mouvements des achats, etc. Alors que j'aurais pu en faire en vrai 2 max, tu vois. En juin et en août, quand on a eu les crashes, j'aurais peut-être sûrement eu un meilleur ROI. Warren Buffett, Red Alio, tous les grands investisseurs, ils disent deux choses en commun. Première chose, il faut acheter quand il y a du son dans les rues. Deuxième chose, il faut garder du cash pour ces moments-là. Donc la prochaine fois, je vais mettre en place un nouveau truc. C'est que quand je me demanderai... Si on est dans un bon moment pour acheter, je vais essayer de me demander à quel point je suis sûr qu'on est dans un bon moment de 0 à 100. Là ok, le marché est en train de monter, j'ai envie d'acheter, mais est-ce que je suis sûr que c'est un bon moment ? Ok, de 0 à 100 je suis sûr à combien ? Il y a une bonne opportunité, mais on est quand même pas mal monté, allez, 70. Et si c'est en dessous de 80, je n'achète pas en étant à l'aise avec le fait que j'ai raté des opportunités. Parce qu'en fait, typiquement... Les moments comme celui qu'on a vécu là, qu'on a eu le crash le lundi, le Black Monday du 8 avril, un truc comme ça, dans ce délire-là, si on se demandait de 0 à 100 si c'était une bonne opportunité, objectivement, on était sur un 95. Je suis sûr et certain que c'est une bonne opportunité à long terme. Et ça rentre dans l'idée que si je me demande si je dois acheter, c'est que je ne dois pas le faire parce qu'il n'y a pas assez de sang dans les rues. Et les gens ont tendance... Et ça, je trouve que c'est vraiment important. Je trouve que les gens ont tendance à racheter ce que j'appelle les faux dips, les corrections qui n'en sont pas spécialement très difficiles et qui restent des moments satisfaisants à racheter. Les dips satisfaisants, il ne faut pas les racheter. Vous savez, ce moment où... Bitcoin passe de 60 000 à 80 000. Et là, il y a une correction à 73 000. Là, tu te dis, oh cool, j'ai une opportunité d'achat. Ça, c'est ce que je pourrais appeler un faux dip. Et à mon avis, ces faux dips détruisent la rentabilité. Donc, si une correction est satisfaisante à racheter et qu'il n'y a pas un maximum d'incertitude sur la suite, c'est que ce n'est pas une vraie correction et qu'on ne doit pas forcément faire ce mouvement-là. 16-04, là j'étais d'humeur spirituelle, spirituelle c'est un peu un grand mot, les gens ne vous croiront pas tant que vous n'avez pas prouvé quand j'ai lancé ma chaîne youtube, et je parle de la chaîne youtube crypto, j'avais lancé d'autres chaînes youtube avant j'en ai parlé à très très peu de gens et encore j'étais pas au stade zéro de la création de vidéos youtube donc mes vidéos youtube étaient un petit peu mieux de 0 à 10, elles étaient à 3 sur l'échelle du mec qui vient de commencer mais même avec ça tous les gens à qui j'en ai parlé Merci. qui étaient des très bons potes à moi, des gens proches, peu importe, soit ils s'en sont complètement battus les couilles, soit ils étaient un peu taquins. Ouais, c'est marrant, c'est bien de s'envu. Et c'était un peu, c'était pas vraiment pour tirer vers le bas, mais voilà, on sentait que c'était une réaction habituelle à quelqu'un qui lance quelque chose. Et plus j'ai avancé, encore une fois, j'ai 24 pi, je fais ça depuis 3 ans, je suis pas Bill Gates, mais Dans ce que j'ai traversé, je me suis rendu compte que les gens n'ont aucune considération pour ce qu'on fait tant qu'on n'a pas prouvé. Peu importe le domaine, en fait, c'est comme ça, c'est ancré dans la nature humaine. Et j'ai réfléchi pourquoi, je pense que c'est quand même aussi extrêmement français, pourquoi, j'en sais rien, pourquoi en France on est comme ça, mais c'est un fait. On n'aime pas encourager les petits projets parce que je pense qu'on se dit, ok, et quand je dis on, c'est la plupart des gens, tout le monde n'est pas comme ça, évidemment. On n'aime pas encourager les petits projets parce qu'on se dit, si ça marche ce qu'il est en train de faire, lui l'aura fait, j'aurais vu comment il l'a fait parce que j'étais là avant que ça marche, et pas moi. Et donc ça nous perturbe dans notre réalité, et ça rabaisse un peu notre propre perception personnelle, donc on n'a pas spécialement envie que le gars réussisse. Par contre, une fois que ça marche... Ça devient stylé de dire qu'on a un pote qui a réussi. Ça augmente un peu notre perception sociale, notre perception personnelle. Donc les gens vous encouragent seulement quand vous avez prouvé ou quand vous avez réussi. Et maintenant, j'ai des gens autour de moi qui sont très contents de dire qu'ils me connaissent. Et je suis hyper fier de ça, attention. Mais je me dis, putain, les mecs, j'aurais bien aimé un peu plus de soutien au début. Et en fait, c'est juste que tu ne peux pas... Le demander, c'est comme ça, ça fait partie de la réalité. C'est très frustrant. Mais je vous fais un exemple par exemple. Pour l'instant, j'ai connu aucun bullrun en tant que créateur de contenu. D'accord ? Depuis que je fais des vidéos, j'ai pas eu spécialement d'énormes bullruns dans les cryptos. Et mes analyses sont poussées, on travaille dur, et je sais qu'on fait beaucoup plus qu'énormément de gens. Mais tant que l'analyse ne s'est pas réalisée, personne ne considérera que je fais du travail. A la hauteur de ce que je pense qu'il est, en tout cas. Et je pense pas que ce soit ni bien ni mal, c'est juste assez factuel. Et ça fait partie de la réalité. Les gens ne vous considèrent pas tant que vous n'avez pas prouvé. Donc il faut pas essayer d'aller chercher l'approbation des gens. Si elle n'arrive pas, ça veut dire qu'on n'a pas fait assez. C'est comme, j'avais vu un truc sur les... Quand t'essaies de maigrir. T'essaies de maigrir ou de te mettre au sport. Tu maigris, toi tu t'en rends compte, mais il y a un niveau encore plus avancé pour que les gens te fassent la remarque. Tu perds 2 kilos, tu te dis « Ah cool, j'ai perdu 2 kilos, les gens vont le remarquer » , tu te rends compte qu'ils ne le remarquent pas. Et tu te dis « Putain les mecs, je suis en train de perdre » . Et là quand tu perds vraiment, et que t'es sharp, t'es jacked, t'as un six-pack, tu cours, tu fais voilà. Là les gens commencent à te dire « Ah ouais, t'es solide » . Et c'est exactement la même chose. c'est les gens ont besoin de plus que ce qu'on croit pour nous donner de la reconnaissance. Donc il ne faut pas aller chercher la reconnaissance. 1804, on ne voit pas assez long terme. En crypto surtout, on ne voit pas assez long terme. Tout est fait, surtout dans la crypto, dans l'investissement oui, mais surtout dans la crypto, pour qu'on croit et qu'on ait cette sensation un peu désagréable que ce cycle c'est peut-être le dernier, et qu'on doit vite faire des gains générationnels pour devenir riche. Et en vrai, peu importe combien on vise comme multiple, on a tous un petit multiple en tête, on peut faire l'exercice de comment serait notre vie si on rajoutait 10 ans à cet objectif. Je veux faire un x20 sur mon portefeuille à ce cycle. Ok, ça va être dur, il y a de fortes chances que ça n'arrive pas. Maintenant, réfléchissons à je veux faire un x20 sur 10 ans. Là, on commence à se dire, ok, il y a un plan qui se dégage. Vous voyez ce que je veux dire ? On se crée un plan. Et je trouve qu'on ne voit pas assez long terme. C'est à cause de plein d'éléments, c'est à cause de l'information omniprésente sur les réseaux, sur YouTube. Je contribue à ça, je crée des vidéos toutes les semaines, alors que je pourrais en faire une tous les deux, trois mois. Sauf que si je faisais une vidéo tous les deux mois, l'algorithme de YouTube ne me mettrait pas en avant. Donc en fait, il y a des intérêts croisés qui font qu'on croit... qu'on doit voir plus court terme que ce qui est le cas. Il y a de l'information partout, ça nous fait prendre dans le bruit, à cause un peu des espoirs inutiles qu'on se fait en croyant qu'on pourra changer de vie comme on le veut aussi. Et quand on se crée un portefeuille, quand on lance un projet, peu importe, ça peut être bien de rajouter 10 ans à ce qu'on fait. J'avais discuté avec quelqu'un qui m'a dit un truc hyper intéressant, c'est que, vous savez, on fait toujours le « c'est pas un sprint, c'est un marathon » , ok. Un marathon, c'est 42 km. Dans la création d'un portefeuille, d'un profil d'investisseur, d'un projet, peu importe, on est à l'année combien de notre marathon ? En partant du principe que le marathon de ma carrière d'entrepreneur, c'est 42 ans. Je suis à l'année 3, je suis au kilomètre 3. Du coup, au kilomètre 3, tu es censé juste être tranquille, regarder un peu autour, continuer d'apprendre. Ouais, ok, je suis allé un peu lentement. Ah, je suis allé un peu trop vite, on s'en fout. Parce que les vrais marathoniens, c'est pas mon cas, je suis pas du tout un vrai marathonien, mais savent et disent tous qu'un marathon, ça se commence au kilomètre 30. Et donc, tant que t'es pas au bout de 10, 20, 30 ans de ce que tu fais, peut-être qu'on s'en fout, tu vois. On n'a juste pas de retour, mais c'est absolument normal. C'est le temps que les choses se mettent en place. et demandez-vous combien d'années de votre marathon vous êtes, que ce soit dans le projet que vous essayez de lancer qui ne marche pas, dans votre portefeuille qui ne performe pas spécialement, et arrêtons de penser qu'on va forcément avoir, comme en 2017 ou en 2021, un x50 qui va nous rendre riches dans les cryptos, ce n'est pas le cas. En vrai, à part des même coins, je n'ai pas vu de x50 public comme ça. Donc en plus, croyez-moi qu'il y a des gens qui rentrent en insider avant dans des projets early, et c'est eux qui les visent les x50, et même là-dedans, c'est dur de les chercher. Donc voyons plus long terme, ça va nous aider à faire moins d'erreurs. Et ça je l'ai pas écrit, mais quand j'ai réfléchi aussi, ça c'est intéressant, le fait que... Il y a beaucoup de... Quand je reviens un peu les biographies des mecs un peu connus, des gros investisseurs, je reviens sur mon père spirituel du moment Redaglio. Il explique à chaque fois qu'il a toujours un biais de surconfiance qui croyait que les choses allaient se passer comme il pensait. Il a perdu beaucoup d'argent et il a appris par ça. Et c'est un peu pareil, tu vois. En général, on passe cinq ans à vouloir chercher un x20, on se rend compte que ça ne marche pas, on commence à acheter de l'or et du S&P, on... On est trop safe dans notre position, on commence à l'équilibrer et on commence à avoir long terme. Et donc on pourrait gagner quand même pas mal de temps, un bon 5-10 ans, en commençant directement à avoir long terme. Et il y a encore pire, parce que ça, ça va créer des gens comme ça. Des gens qui arrivent entre 20 et 25 ans, peu importe l'âge en fait, mais qui investissent, qui sont bien placés, qui pourraient se créer un beau patrimoine à 40, 45, 50 ans. ou 30-35 c'est pareil, ça marche pas, ils arrêtent l'investissement et ils reviennent genre 10 ans après. Et du coup ils ont perdu 10-15 ans en intérêt composé, regardez ce que ça fait, juste parce qu'ils étaient trop risqués. Et c'est aussi l'un des risques du risque, c'est que si tu risques trop... Tu vas avoir une douleur qui est proportionnelle, et donc tu vas mettre du temps à revenir, et donc tu vas perdre du temps sur le marché. Et gardez en tête cette citation, c'est une citation qui me parle beaucoup, que le temps passé sur les marchés est supérieur au timing. Le temps passé sur les marchés est supérieur au timing. Encore faut-il être sur des projets de qualité, évidemment. La jauge d'attention. Ah, je l'aime bien, celle-là. Ah oui, j'ai beaucoup écrit. Il y avait un livre ou un article que j'ai lu il y a quelque temps, je sais plus c'est quoi, qui parlait de l'évolution d'une population en fonction de sa technologie. Vous allez comprendre. En fait, d'après le livre, il y a un cycle qui dure à peu près 80 ans, qui existe dans la relation d'une population à la technologie. En gros, le cycle se fait en à peu près 4 phases. La première phase, c'est l'émergence de la technologie. On a des nouvelles expérimentations, rien de bien fou, la vie est belle, mais ça perturbe pas grand chose, ça dure 20, 30, 40 ans. Au bout d'un moment, on arrive dans le deuxième cycle, où la technologie est suffisamment prête et on a une diffusion massive à la population. Tout le monde commence à l'utiliser, c'est très accessible et ça transforme un peu les habitudes et les comportements. Pareil, ça dure entre 20 et 40 ans. On a la phase 3, qui est la période de maturité, la période de saturation. où la technologie est partout, mais on sent qu'il commence à y avoir une sorte de trop-plein. On sent que là, c'est trop là, c'est trop ce qui se passe autour. Et ça, c'est la phase la plus intense du cycle. Et ensuite, on a la phase 4, qui est la phase de déclin et de transition. Là, c'est peut-être un peu abstrait. Maintenant, regardez. On prend depuis la Deuxième Guerre mondiale. De 1950 à 1970-80, on développait des ordis, des PGP, Internet, etc. Mais c'était vraiment un truc de geek. Personne n'utilisait ça. Ensuite, entre 1980 à 2005-2010, c'est devenu beaucoup plus accessible à tout le monde. On avait les premiers ordis, on avait le numérique, les DVD, etc. L'émergence de cette technologie-là qui commençait à être adoptée. Les parents, ils avaient leurs premiers ordinateurs, il se passait un truc. Et là, depuis, je dirais, 2010, on est dans la troisième phase. Tout le monde passe 4 heures sur son téléphone. Tout le monde a au moins 3-4 réseaux sociaux. On a Netflix, on a Amazon Prime, on a YouTube. On lit des dizaines d'articles, des commentaires de réseaux sociaux. On a des tonnes d'informations qui nous arrivent dessus. C'est comme si on avait un PMU permanent sur les réseaux avec des commentaires Twitter de gens qu'on connaît pas, qu'on accepte, qui nous donnent notre avis. On a l'IA, bordel. Tous les 6 mois, il y a une nouvelle IA exceptionnelle qui sort. C'est une folie. Tu regardes, il y a 3 ans, ça a 3 ans, le chat de GPT ? ça max 3 ans, 2 ans regardez ce qui se passe c'est abusé et ça c'est la phase 3 et on est en plein dans la phase 3 la phase la plus difficile à gérer parce que notre cerveau nous on s'en rend pas compte je pense parce qu'on a grandi là dedans mais notre cerveau est complètement saturé et le taux de dépression est en train d'exploser les burn out, les quêtes de sens et il y a un truc qu'on nous a jamais appris Merci. qui est littéralement ultra important, c'est de protéger notre énergie et notre attention. Protéger notre tête, en fait. On doit accepter qu'on ne peut pas tout connaître, qu'on ne peut pas tout savoir, qu'on ne peut pas tout contrôler. On n'est plus dans une économie de l'information. Vous savez, avant, c'était l'économie de l'information. Celui qui avait l'accès à l'information détenait la valeur. Un journal, on l'achetait parce qu'ils avaient l'accès à l'information. Magazine, c'était pareil. Internet, au début, c'était ça. Maintenant, tout le monde a accès à l'information. Si je demande, là je vais sur Grok de Twitter, l'IA c'est gratuit, tu dis donne-moi les plus grosses les plus grosses actualités de la journée, il te les fait. Tout le monde a accès à l'information. Donc on n'est plus dans une économie de l'information, c'est plus l'information qui a de la valeur. Qu'est-ce qui a de la valeur maintenant ? C'est l'attention. On est dans une économie de l'attention. Là par exemple avec ce podcast, vous choisissez de regarder ce podcast. Qu'est-ce que vous me vendez derrière ça ? Parce que le podcast c'est gratuit, c'est gratuit si vous le produisez. Vous me vendez de l'attention, vous me donnez de l'attention. L'attention se référence dans un algorithme qui va propulser mon podcast, que je vais pouvoir monétiser par plein de façons. Et donc, l'attention devient la monnaie, la ressource la plus rare pour nous. Et pour les grosses entreprises, les réseaux, les IA et compagnie. Twitter, Facebook, TikTok, les IA, etc. Elles étudient le cerveau humain pour aller le plus facilement et longtemps chercher et tenir notre attention. C'est terrifiant, TikTok c'est ça. TikTok, je ne sais pas si vous avez déjà vu des vidéos, je crois Léo Duff qui avait fait une vidéo sur TikTok. En gros, TikTok, tu arrives, dès que tu arrives, c'est même pas comme YouTube, tu arrives, tu consommes directement, tu appuies sur TikTok, tu as une vidéo qui est faite. L'algorithme sait ce que tu veux, il sait ce qui te fait rester, ça te donne des pics de dopamine, c'est terrifiant. C'est terrifiant, vraiment, ça me fait un peu flipper tout ça. Et du coup, derrière ça, j'aime bien réfléchir avec cette notion de jauge d'attention. Imaginez une jauge de 100 points d'attention, des points d'attention qui se renouvellent un peu tous les jours. Maintenant imaginez que, je sais pas, discuter avec des amis ça vous coûte 5 points d'attention. Ça dépend si vous êtes introverti, extraverti, etc. évidemment. Mais vous pouvez réfléchir pour vous. Discuter avec des potes, que vous connaissez très bien, 5 points d'attention. Sortir le soir c'est 10 points. Passer 2 heures de taf c'est 20 points. Sauf qu'on a un nombre limité de points d'attention. Et je ne veux pas qu'un seul de mes points et de ma jauge d'attention soit alloué à des choses inutiles. Le problème c'est que... Tout est fait pour que notre attention soit allouée à des choses inutiles. Les choses inutiles, c'est des articles sur les réseaux que j'ai pas envie de voir. C'est la politique. Ça ne m'intéresse pas, la politique. C'est un choix. C'est très polarisé. Il y a des gens qui peuvent m'insulter quand je dis que la politique ne m'intéresse pas. Mais j'estime que je n'ai aucun contrôle sur ça. Donc je n'ai pas besoin ni envie de savoir ce qui se passe. L'actualité, c'est pareil. Et les informations anxiogènes coûtent beaucoup plus de points d'attention. Parce que... Quand tu vois une actualité négative, et l'actualité c'est très négatif, ça te prend de l'énergie, ça te prend de l'attention, ça te fait un peu de cortisol, et le cortisol reste plus longtemps dans le corps. Les commentaires des gens par exemple, tout le monde est aigri, les commentaires YouTube, Facebook, Twitter, c'est horrible, et ça nous prend des points d'attention. Et en fait on peut vite faire une journée où notre jauge d'attention se fait laver par des trucs inutiles, et on revient le soir comme ça, et on n'a plus aucune capacité d'attention. Et bon, je vais pas faire le boomer sur la nouvelle génération, etc. Mais tu vois, moi j'ai grandi, je jouais aux jeux vidéo, je jouais à Pokémon, c'était cool, tu vois. Et en fait, ça a créé des souvenirs. Là, je pense que la nouvelle génération, et pas que la nouvelle génération en fait, il y a aussi les plus vieux, etc. En tout cas, les gens qui sont happés par la consommation passive TikTok, Insta, les réseaux, c'est tellement de la passivité que... Tu leur demandes ce qu'ils ont fait et de quoi, de quel moment ils se souviennent dans cette activité-là, ils ne savent même plus, parce que leur jauge d'attention a été dévastée, et du coup tout le reste, ça rentre par une oreille, ça sort de l'autre. Et bon bref, tout ça pour dire qu'on a démocratisé, je trouve, depuis une dizaine d'années, le fait de considérer son corps comme un... temple, un peu. Vous voyez ce que je veux dire ? Ça fait un peu 10 ans qu'on dit, ok, il faut bien manger. Enfin, en tout cas, c'est démocratisé. Il faut faire attention, il faut boire de l'eau, il faut bien dormir. Avant, c'était un peu plus, ouais, tu peux dormir à 5, 6 heures, il faut se lever tôt, machin. Là, on a un peu démocratisé ça. Et je pense que dans les 10 années qui suivent, on va démocratiser le fait qu'on doit absolument protéger notre cerveau de toutes les distractions, de tous les éléments qui détruisent notre jauge d'énergie. Et je pense que vraiment lancer des business de méditation, des trucs comme ça, ça va avec toute l'émergence de l'IA, si on va un peu à l'encontre de ça, ça va être quelque chose qui va prendre de l'essor parce que les gens au bout d'un moment vont sentir la saturation. Et je sais pas ce qui va se passer honnêtement mais ça peut être un peu compliqué. Et on arrive les amis à notre dernier écrit. 75% des gens riches sont des entrepreneurs. Qu'est-ce que c'est que ça ? Statistiquement, les gens les plus riches du monde sont à 75% des entrepreneurs, 15% des investisseurs, pardon, et 7% des sportifs. C'est un fait. Donc, factuellement, la meilleure probabilité de devenir riche, c'est en entreprenant. Et je trouve que... En France, les gens n'entreprennent pas assez. Et c'est assez terrible. C'est assez terrible parce que, en fait, quand tu discutes avec des gens, j'aime bien faire ça. Et toi, si... tu vois j'ai beaucoup de potes qui sont en médecine pharma qui sont un peu blasés et tout et tu leur dis ok si tu pouvais tous les métiers sont payés pareil tu peux faire ce que tu veux, qu'est-ce que tu ferais il y en a pas un qui me dit médecin évidemment parce qu'en même temps c'est trop dur c'est aberrant et ils me disent tous ouais je voudrais lancer un café je voudrais élever des chiens des trucs trop bien et tout le monde a une idée de projet vous avez une idée de projet très sûrement vous vous êtes dit putain ça serait trop bien si je pouvais faire ça Je sais pas, ouais, lancer un café, faire un TikTok avec son chien, faire des vidéos de sport. Et après, demandez-vous si jamais vous pouviez vivre de ça, comment serait votre vie ? Est-ce qu'elle serait peut-être mieux ? Sûrement. Mais bon, je sais pas vous dire d'arrêter votre taf et de faire un TikTok parce que votre chien vous le trouvez mignon. Il y a de fortes chances qu'il soit bien moche et que vous soyez biaisé et que ça marche pas. Mais... C'est un fait. Et quasi personne le fait, quasi personne n'entreprend parce que, un, les gens ont peur de l'échec, et deux, les gens ont peur du regard des autres. Et en vrai, j'ai envie de dire, si jamais vous avez un projet entrepreneurial, même petit, et j'ai surtout petit, lancez-le. Au pire, ça marchera pas et vous aurez appris des choses au lieu de rester sur TikTok ou de regarder une série le soir. Tu vois, genre... laissez-vous la chance de voir si vous pouvez pas faire un truc de vos projets sans forcément quitter votre travail ou sacrifier votre vie. Genre il y a des gens qui n'ont pas le temps mais très peu de gens n'ont pas le temps en vrai si jamais vous regardez une série en ce moment bah au lieu de regarder la série deux heures par jour voilà on essaye deux heures par jour pendant un an et on voit Si jamais vous voulez, je sais pas, lancer un TikTok, faire des trucs marrants, devenir graphiste, devenir monteur, faire de la photo, tous les trucs en fait où t'as pas besoin de fond, où t'as pas besoin de quitter ton taf, tu vois, lancer un café c'est un peu plus dur, mais on a la chance d'être dans un milieu numérique où tu peux faire plein de trucs comme ça. Et essayer, et n'en parler à personne, ils ont pas besoin de savoir, mais j'ai... En fait c'est aussi comme ça que personnellement j'ai commencé, tu vois. J'étais étudiant. Je me suis dit, vas-y, j'en parle à personne, j'essaye. À la base, c'était pour ceux qui connaissent, c'était pour ce qui peut. L'usine, l'été, je me disais, ok, si j'arrive à gagner un peu d'argent tous les mois, je peux ne pas aller à l'usine si j'économise. Et au final, je me retrouve à faire un truc que j'adore, qui est oui, dur, oui, stressant, etc. Mais la plus-value de tenter de lancer quelque chose, de tenter de lancer quelque chose, Si on parle en ROI, en Risk Reward, ce que vous voulez, c'est exceptionnel. Genre, ça ne coûte rien. Donc en fait, il n'y a aucun risque. Si vous en parlez à personne, il n'y a pas de risque de peur, etc. Et les potentielles récompenses sont pire scénario, rien. Pire scénario, il ne se passe rien de plus. Et meilleur scénario, vous avez un truc qui vous plaît, qui vous a appris des choses, qui vous a ouvert des portes, et avec lequel vous passez un bon moment. Je ne dis pas que c'est facile, attention. Mais je pense qu'il y a beaucoup de gens qui aimeraient, mais en fait, c'est tellement pas la mode de lancer son petit projet le soir que personne ne le fait. Et je ne sais plus où c'est, c'est en Inde, je crois, où ils n'ont plus pas du tout cette culture. En Inde, ce n'est pas études, tu travailles. C'est tu entreprends, tu entreprends, tu entreprends. Et la question, ce n'est pas dans quoi tu vas étudier, c'est dans quoi tu vas entreprendre. J'aimerais bien en vrai accompagner des gens. à créer leur projet depuis zéro. Juste des petits projets, tu vois. Je sais pas. Peut-être que je suis un peu dans mon délire et qu'en fait, personne n'est vraiment attiré par ça. Mettez-le dans les commentaires. En vrai. Et s'il y a assez de gens, je peux créer un petit Discord pour qu'on s'entraîne un petit peu tous. Peu importe au stade où vous en êtes, si vous êtes au début, si vous êtes au milieu. Si vous êtes... Si vous avez 70 employés et que vous lisez ça, on peut aussi faire un truc. Mais... Ça peut être quand même quelque chose qui découle vraiment du positif. Merci beaucoup. C'était les 5 écrits de la semaine. Très orienté, réflexion, entrepreneuriat. Parce que le marché est un petit peu chiant. J'espère que vous avez passé un bon moment. C'était Loving. Prenez soin de vous. Ciao les potes.

Chapters

  • Format multisujets

    00:00

  • Focus sur nos expertises

    03:28

  • On fait trop de mouvements en investissement

    08:26

  • Prouver pour faire croire

    11:58

  • On ne pense pas assez long terme

    15:42

  • La jauge d’attention

    20:46

  • 75% des riches sont entrepreneurs

    29:12

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Transcription

  • Speaker #0

    Les amis, bienvenue à tous dans cet épisode Investia du vendredi 18 avril 2025, j'espère que vous allez tous bien. Enfin, enfin une semaine, vous savez, un peu haussière, où il se passe pas grand chose. Mais en vrai on prend, on s'est fait rouler dessus. Genre les dernières semaines étaient vraiment horribles et j'ai plus le souvenir d'une semaine comme ça dans les deux dernières mois, vraiment. En fait une semaine, la semaine n'est pas terminée, attention calmons-nous, mais en fait une semaine où Trump s'embrouille pas avec la moitié du monde, où l'économie mondiale n'est pas à deux doigts d'un plosé, et où j'ai entendu que trois, quatre fois par jour le mot récession. Ça fait vraiment du bien, on est dans une période de merde, mais les choses avancent. C'est assez cool, j'espère que vous allez tous bien. Je suis très content de ma semaine, en vrai. J'ai fini toutes les vidéos que je voulais tourner, j'ai fini mes scripts, j'ai été assez productif. Ma chaîne sort une vidéo sur la... Sur Sui Dimanche, sur la dette la semaine prochaine, qui va être assez cool, je pense. Sur ma chaîne Sport aussi, je sors une vidéo et j'en ai tourné une autre. Donc je suis vraiment content de la semaine, j'ai été assez productif. À part ce fucking pollen qui casse les... bonbons, mais on est ensemble. Si jamais vous êtes allergique aux pollens, je sors avec un masque Covid. Bon, je partais un peu pour un complotiste, mais en vrai, c'est pas grave parce que c'est vraiment... Ça m'aide vraiment de ouf. Je fais de l'asthme et tout, c'est trop chiant. Si jamais vous êtes aussi allergique aux pollens, mettez un masque si vous n'avez pas envie de passer pour un complotiste. Bon, let's go pour Investia. Je vous rappelle le principe du podcast. Investia, c'est un podcast orienté autour, évidemment, de l'investissement, mais... beaucoup plus large que simplement la finance ça peut être l'investissement dans son développement ça peut être un investissement personnel ça peut être un investissement sur les marchés psychologiques en crypto peu importe et vous avez bien aimé le dernier format donc je suis très content avant une vaisselle c'était format un peu plus mono sujet où je faisais un épisode où je vous parlais de la psychologie un épisode des crypto un épisode de la dette etc la semaine dernière j'ai un peu changé j'ai fait multi sujets donc il y avait quatre cinq sujets très vastes très larges qui sont en fait les sujets que j'écris dans ce que j'appelle les écrits journaliers où tous les jours j'écris un petit paragraphe, ça me prend 20 minutes, sur ce que j'ai appris, sur les trucs qui me viennent en tête, donc que ça soit dans l'investissement pur ou pas. Et je me suis dit que ça pouvait être pas mal de vous les lire aussi et que vous avez bien kiffé. Donc on va refaire ça aujourd'hui avec 1, 2, 3, 4, 5, 6... sujet l'idée c'est que vous voulez supporter si jamais vous avez des sujets un peu plus de prédilection ils sont affichés dans la timeline de de la vidéo youtube donc si jamais il ya un sujet qui vous parle moins vous passez au prochain et si jamais vous avez plus envie je peux vous êtes en train de courir vous êtes en train vous êtes en voiture laissez vous porter allons-y alors écrit Vous allez voir que cette semaine, c'est un peu moins orienté à l'investissement. Je crois qu'il y a deux écrits investissement, les autres c'est un peu plus globaux dans le développement, vous allez voir. Tout simplement parce que c'est une semaine où il ne se passe pas grand chose, donc les thèses ne changent pas forcément, il n'y a pas de nouvelles choses à vraiment apprendre. Donc je suis aussi porté sur d'autres éléments sur cette semaine. Le 14 avril, j'ai écrit... Le titre, faire ce sur quoi on est bon, laisser le reste aux autres. En ce moment, je suis en train de lire le livre de Ray Dalio qui s'appelle Principles, qui est une masterclass absolue en français. C'est un titre bien énervant qui s'appelle Principles du succès. Donc je peux vous dire que vous lisez ça dans le train, vous passez pour un bon gros connard, mais le livre est exceptionnel. Lisez-le vraiment. Je vous mets un petit lien. Allez l'acheter, il coûte un peu cher, mais il est incroyable. Et en gros, Redalio, c'est l'un des plus gros gestionnaires de fonds. Il a créé Bridgewater, qui est le fonds qui a surperformé quasiment tous les autres fonds, qui a fait des gains pendant la crise de 2008 en l'anticipant. Enfin, le mec est monstrueux. Et il explique dans son livre, qui n'est pas forcément que orienté sur l'investissement, loin de là, que lui, il a eu un gros choc. Quand les membres de sa team sont arrivés vers lui en lui disant que, en fait, il était bon dans ce qu'il faisait, mais il était très antipathique. Et ça lui a fait mal, il a fait un gros travail sur le management et sur la gestion de ses équipes. Et il a travaillé sur un truc que j'ai trouvé hyper stylé, qu'il a appelé lui les baseball cards. Bon c'est des américains, c'est le baseball, c'est la NFL, c'est les monster trucks. Mais l'idée des baseball cards, tout part du principe que chacun fonctionne différemment. Et dans une entreprise on a deux choix. Soit on manage tout le monde de la même façon, soit on manage les gens en fonction de leur profil. Ça marche aussi dans la vie avec les gens avec qui on travaille, on fréquente, peu importe. Et maintenant, je commence à avoir une équipe de six personnes à gérer dans mon entreprise. Et j'ai commencé en manageant un peu tout le monde de la même façon parce que je voulais créer une sorte de culture d'entreprise. et donc je me disais pour créer une culture d'entreprise il faut que j'aligne tout le monde dans ma façon de faire en tout cas la façon que j'estime que l'entreprise devrait faire et du coup je mettais un peu tous les profils dans le même sac parce que je me suis dit c'est la culture d'entreprise avant tout spoiler c'est chiant ça ne marche pas et l'idée des cartes de baseball je la trouve incroyable moi ça me parle un peu plus avec les cartes de foot les cartes panini et tout tu sais tu as le joueur carte fifa où tu as une note sur 100 pour le tir, le physique, la vitesse, etc. Et l'idée de la carte de baseball, c'est de donner une note à chaque attribut d'un membre de l'équipe. Donc l'autonomie, la gestion du risque, la capacité d'aller loin dans un projet, l'adaptabilité, est-ce que la personne a du mal à changer de domaine ou pas. Et en fait, ça ne permet pas de juger spécialement, c'est pas dans cette optique-là, mais c'est de savoir dans quoi chacun est bon ou moins bon. Et ça a deux intérêts. déjà le premier intérêt c'est que les gens sont plus naturels et moins bridés en essayant de fake un peu certaines caractéristiques. C'est-à-dire que si jamais dans une entreprise c'est connu que tel profil par exemple, c'est pas quelqu'un qui va forcément faire très attention aux détails, par contre c'est quelqu'un qui va bouger les choses au moment où il faut lancer les projets, ben lui ça va lui permettre, si jamais il le sait que c'est connu dans la boîte qu'il est comme ça, ça va lui permettre... de rester 100% lui-même et de pas faire semblant d'être quelqu'un qui met de l'attention aux détails et au final de brider un peu sa personnalité. Et donc c'est vraiment une bonne chose. La deuxième chose, c'est que ça permet de 1. de ne pas donner aux gens des tâches qui ne leur correspondent pas et de 2. de donner aux gens des tâches où ils vont être les meilleurs. Et c'est extrêmement important. dont un management, je donne des cours de management, mais c'est très broussillant ça, je ne suis pas du tout expert là-dedans, de faire ce sur quoi on est bon et de laisser le reste aux autres. Et je pense qu'il y a beaucoup de gens qui connaissaient un plafond là-dedans, peu importe dans quel domaine en fait, ça peut être dans l'entrepreneuriat, ça peut être dans la vie, ça peut être dans tout, parce qu'ils n'arrivent pas à déléguer les tâches sur lesquelles ils sont moins bons ou qu'ils n'ont pas forcément envie de faire, dans la mesure du possible évidemment. Et donc... L'idée des cartes de baseball m'a vraiment donné pas mal d'éléments. Vous pouvez faire une carte de baseball sur vous, par exemple. Je l'ai écrit, ça va être un peu long si je vous dis tout, mais dans les critères, j'ai compétence cognitive et résolution de problèmes, donc pensée analytique, créativité, attention aux détails, vision d'ensemble, agilité d'apprentissage. Après, on a le style de travail. Est-ce que la personne est autonome, fiable, prend des initiatives, a une belle éthique de travail, etc. Et vous pouvez le faire pour vous, essayez de vous donner une note sur 100 pour voir où est-ce que vous pouvez évoluer. Et l'idée, alors c'est encore une fois très personnel de ce que vous faites, mais l'idée c'est plus, en tout cas dans cette réflexion-là, de partir du principe qu'on n'est pas là pour avoir une note de 80 partout, mais plutôt d'avoir des notes où on est excellent. Et ça rentre dans une réflexion que j'ai, qu'on arrive dans un monde avec l'IA, etc., où être tout terrain ne sert pas. plus à grand chose et où il faut être spécialisé. Et donc pour être spécialisé il faut accepter d'être moins bon dans certains domaines. C'était ma petite réflexion du 14-04. Le 15-04 j'ai été un peu plus inspiré sur l'investissement. J'étais en train d'écrire un script d'une vidéo qui sort la semaine prochaine ou la semaine d'après je crois. D'ailleurs dans ce script j'ai hâte de voir comment ça va réagir. Il y a un petit coup de gueule sur le fait que les Youtubers ne sont pas responsables des investissements des gens. Et c'est la première fois que je prends un peu de position sur ça. J'ai hâte de voir un peu comment les gens réagissent, sinon je vais me faire déchirer, mais c'est pas grave. Et ma réflexion du 15-04, elle s'appelle « On fait beaucoup trop de mouvements » . Le crash qu'on a eu sur les marchés ces dernières semaines, ça a été objectivement une opportunité de fou pendant plusieurs semaines. On avait des prix qui étaient extrêmement bons. La réalité, c'est que personne n'avait de cash. Personne n'avait de cash parce qu'on fait beaucoup trop de mouvements, et moi le premier. je vais faire beaucoup moins de mouvements sur mon portefeuille ces prochaines années, quitte à parfois avoir beaucoup plus de cash en réserve. Mais j'ai vraiment besoin de devenir à l'aise avec cette idée, parce que ces moments qu'on vit et on en vivra d'autres représentent objectivement les meilleures opportunités et historiquement les meilleures opportunités. Et c'est une énorme perte d'argent et de rentabilité à long terme de ne pas avoir assez de cash. En 2024, j'ai dû faire genre... 15, 20 mouvements des achats, etc. Alors que j'aurais pu en faire en vrai 2 max, tu vois. En juin et en août, quand on a eu les crashes, j'aurais peut-être sûrement eu un meilleur ROI. Warren Buffett, Red Alio, tous les grands investisseurs, ils disent deux choses en commun. Première chose, il faut acheter quand il y a du son dans les rues. Deuxième chose, il faut garder du cash pour ces moments-là. Donc la prochaine fois, je vais mettre en place un nouveau truc. C'est que quand je me demanderai... Si on est dans un bon moment pour acheter, je vais essayer de me demander à quel point je suis sûr qu'on est dans un bon moment de 0 à 100. Là ok, le marché est en train de monter, j'ai envie d'acheter, mais est-ce que je suis sûr que c'est un bon moment ? Ok, de 0 à 100 je suis sûr à combien ? Il y a une bonne opportunité, mais on est quand même pas mal monté, allez, 70. Et si c'est en dessous de 80, je n'achète pas en étant à l'aise avec le fait que j'ai raté des opportunités. Parce qu'en fait, typiquement... Les moments comme celui qu'on a vécu là, qu'on a eu le crash le lundi, le Black Monday du 8 avril, un truc comme ça, dans ce délire-là, si on se demandait de 0 à 100 si c'était une bonne opportunité, objectivement, on était sur un 95. Je suis sûr et certain que c'est une bonne opportunité à long terme. Et ça rentre dans l'idée que si je me demande si je dois acheter, c'est que je ne dois pas le faire parce qu'il n'y a pas assez de sang dans les rues. Et les gens ont tendance... Et ça, je trouve que c'est vraiment important. Je trouve que les gens ont tendance à racheter ce que j'appelle les faux dips, les corrections qui n'en sont pas spécialement très difficiles et qui restent des moments satisfaisants à racheter. Les dips satisfaisants, il ne faut pas les racheter. Vous savez, ce moment où... Bitcoin passe de 60 000 à 80 000. Et là, il y a une correction à 73 000. Là, tu te dis, oh cool, j'ai une opportunité d'achat. Ça, c'est ce que je pourrais appeler un faux dip. Et à mon avis, ces faux dips détruisent la rentabilité. Donc, si une correction est satisfaisante à racheter et qu'il n'y a pas un maximum d'incertitude sur la suite, c'est que ce n'est pas une vraie correction et qu'on ne doit pas forcément faire ce mouvement-là. 16-04, là j'étais d'humeur spirituelle, spirituelle c'est un peu un grand mot, les gens ne vous croiront pas tant que vous n'avez pas prouvé quand j'ai lancé ma chaîne youtube, et je parle de la chaîne youtube crypto, j'avais lancé d'autres chaînes youtube avant j'en ai parlé à très très peu de gens et encore j'étais pas au stade zéro de la création de vidéos youtube donc mes vidéos youtube étaient un petit peu mieux de 0 à 10, elles étaient à 3 sur l'échelle du mec qui vient de commencer mais même avec ça tous les gens à qui j'en ai parlé Merci. qui étaient des très bons potes à moi, des gens proches, peu importe, soit ils s'en sont complètement battus les couilles, soit ils étaient un peu taquins. Ouais, c'est marrant, c'est bien de s'envu. Et c'était un peu, c'était pas vraiment pour tirer vers le bas, mais voilà, on sentait que c'était une réaction habituelle à quelqu'un qui lance quelque chose. Et plus j'ai avancé, encore une fois, j'ai 24 pi, je fais ça depuis 3 ans, je suis pas Bill Gates, mais Dans ce que j'ai traversé, je me suis rendu compte que les gens n'ont aucune considération pour ce qu'on fait tant qu'on n'a pas prouvé. Peu importe le domaine, en fait, c'est comme ça, c'est ancré dans la nature humaine. Et j'ai réfléchi pourquoi, je pense que c'est quand même aussi extrêmement français, pourquoi, j'en sais rien, pourquoi en France on est comme ça, mais c'est un fait. On n'aime pas encourager les petits projets parce que je pense qu'on se dit, ok, et quand je dis on, c'est la plupart des gens, tout le monde n'est pas comme ça, évidemment. On n'aime pas encourager les petits projets parce qu'on se dit, si ça marche ce qu'il est en train de faire, lui l'aura fait, j'aurais vu comment il l'a fait parce que j'étais là avant que ça marche, et pas moi. Et donc ça nous perturbe dans notre réalité, et ça rabaisse un peu notre propre perception personnelle, donc on n'a pas spécialement envie que le gars réussisse. Par contre, une fois que ça marche... Ça devient stylé de dire qu'on a un pote qui a réussi. Ça augmente un peu notre perception sociale, notre perception personnelle. Donc les gens vous encouragent seulement quand vous avez prouvé ou quand vous avez réussi. Et maintenant, j'ai des gens autour de moi qui sont très contents de dire qu'ils me connaissent. Et je suis hyper fier de ça, attention. Mais je me dis, putain, les mecs, j'aurais bien aimé un peu plus de soutien au début. Et en fait, c'est juste que tu ne peux pas... Le demander, c'est comme ça, ça fait partie de la réalité. C'est très frustrant. Mais je vous fais un exemple par exemple. Pour l'instant, j'ai connu aucun bullrun en tant que créateur de contenu. D'accord ? Depuis que je fais des vidéos, j'ai pas eu spécialement d'énormes bullruns dans les cryptos. Et mes analyses sont poussées, on travaille dur, et je sais qu'on fait beaucoup plus qu'énormément de gens. Mais tant que l'analyse ne s'est pas réalisée, personne ne considérera que je fais du travail. A la hauteur de ce que je pense qu'il est, en tout cas. Et je pense pas que ce soit ni bien ni mal, c'est juste assez factuel. Et ça fait partie de la réalité. Les gens ne vous considèrent pas tant que vous n'avez pas prouvé. Donc il faut pas essayer d'aller chercher l'approbation des gens. Si elle n'arrive pas, ça veut dire qu'on n'a pas fait assez. C'est comme, j'avais vu un truc sur les... Quand t'essaies de maigrir. T'essaies de maigrir ou de te mettre au sport. Tu maigris, toi tu t'en rends compte, mais il y a un niveau encore plus avancé pour que les gens te fassent la remarque. Tu perds 2 kilos, tu te dis « Ah cool, j'ai perdu 2 kilos, les gens vont le remarquer » , tu te rends compte qu'ils ne le remarquent pas. Et tu te dis « Putain les mecs, je suis en train de perdre » . Et là quand tu perds vraiment, et que t'es sharp, t'es jacked, t'as un six-pack, tu cours, tu fais voilà. Là les gens commencent à te dire « Ah ouais, t'es solide » . Et c'est exactement la même chose. c'est les gens ont besoin de plus que ce qu'on croit pour nous donner de la reconnaissance. Donc il ne faut pas aller chercher la reconnaissance. 1804, on ne voit pas assez long terme. En crypto surtout, on ne voit pas assez long terme. Tout est fait, surtout dans la crypto, dans l'investissement oui, mais surtout dans la crypto, pour qu'on croit et qu'on ait cette sensation un peu désagréable que ce cycle c'est peut-être le dernier, et qu'on doit vite faire des gains générationnels pour devenir riche. Et en vrai, peu importe combien on vise comme multiple, on a tous un petit multiple en tête, on peut faire l'exercice de comment serait notre vie si on rajoutait 10 ans à cet objectif. Je veux faire un x20 sur mon portefeuille à ce cycle. Ok, ça va être dur, il y a de fortes chances que ça n'arrive pas. Maintenant, réfléchissons à je veux faire un x20 sur 10 ans. Là, on commence à se dire, ok, il y a un plan qui se dégage. Vous voyez ce que je veux dire ? On se crée un plan. Et je trouve qu'on ne voit pas assez long terme. C'est à cause de plein d'éléments, c'est à cause de l'information omniprésente sur les réseaux, sur YouTube. Je contribue à ça, je crée des vidéos toutes les semaines, alors que je pourrais en faire une tous les deux, trois mois. Sauf que si je faisais une vidéo tous les deux mois, l'algorithme de YouTube ne me mettrait pas en avant. Donc en fait, il y a des intérêts croisés qui font qu'on croit... qu'on doit voir plus court terme que ce qui est le cas. Il y a de l'information partout, ça nous fait prendre dans le bruit, à cause un peu des espoirs inutiles qu'on se fait en croyant qu'on pourra changer de vie comme on le veut aussi. Et quand on se crée un portefeuille, quand on lance un projet, peu importe, ça peut être bien de rajouter 10 ans à ce qu'on fait. J'avais discuté avec quelqu'un qui m'a dit un truc hyper intéressant, c'est que, vous savez, on fait toujours le « c'est pas un sprint, c'est un marathon » , ok. Un marathon, c'est 42 km. Dans la création d'un portefeuille, d'un profil d'investisseur, d'un projet, peu importe, on est à l'année combien de notre marathon ? En partant du principe que le marathon de ma carrière d'entrepreneur, c'est 42 ans. Je suis à l'année 3, je suis au kilomètre 3. Du coup, au kilomètre 3, tu es censé juste être tranquille, regarder un peu autour, continuer d'apprendre. Ouais, ok, je suis allé un peu lentement. Ah, je suis allé un peu trop vite, on s'en fout. Parce que les vrais marathoniens, c'est pas mon cas, je suis pas du tout un vrai marathonien, mais savent et disent tous qu'un marathon, ça se commence au kilomètre 30. Et donc, tant que t'es pas au bout de 10, 20, 30 ans de ce que tu fais, peut-être qu'on s'en fout, tu vois. On n'a juste pas de retour, mais c'est absolument normal. C'est le temps que les choses se mettent en place. et demandez-vous combien d'années de votre marathon vous êtes, que ce soit dans le projet que vous essayez de lancer qui ne marche pas, dans votre portefeuille qui ne performe pas spécialement, et arrêtons de penser qu'on va forcément avoir, comme en 2017 ou en 2021, un x50 qui va nous rendre riches dans les cryptos, ce n'est pas le cas. En vrai, à part des même coins, je n'ai pas vu de x50 public comme ça. Donc en plus, croyez-moi qu'il y a des gens qui rentrent en insider avant dans des projets early, et c'est eux qui les visent les x50, et même là-dedans, c'est dur de les chercher. Donc voyons plus long terme, ça va nous aider à faire moins d'erreurs. Et ça je l'ai pas écrit, mais quand j'ai réfléchi aussi, ça c'est intéressant, le fait que... Il y a beaucoup de... Quand je reviens un peu les biographies des mecs un peu connus, des gros investisseurs, je reviens sur mon père spirituel du moment Redaglio. Il explique à chaque fois qu'il a toujours un biais de surconfiance qui croyait que les choses allaient se passer comme il pensait. Il a perdu beaucoup d'argent et il a appris par ça. Et c'est un peu pareil, tu vois. En général, on passe cinq ans à vouloir chercher un x20, on se rend compte que ça ne marche pas, on commence à acheter de l'or et du S&P, on... On est trop safe dans notre position, on commence à l'équilibrer et on commence à avoir long terme. Et donc on pourrait gagner quand même pas mal de temps, un bon 5-10 ans, en commençant directement à avoir long terme. Et il y a encore pire, parce que ça, ça va créer des gens comme ça. Des gens qui arrivent entre 20 et 25 ans, peu importe l'âge en fait, mais qui investissent, qui sont bien placés, qui pourraient se créer un beau patrimoine à 40, 45, 50 ans. ou 30-35 c'est pareil, ça marche pas, ils arrêtent l'investissement et ils reviennent genre 10 ans après. Et du coup ils ont perdu 10-15 ans en intérêt composé, regardez ce que ça fait, juste parce qu'ils étaient trop risqués. Et c'est aussi l'un des risques du risque, c'est que si tu risques trop... Tu vas avoir une douleur qui est proportionnelle, et donc tu vas mettre du temps à revenir, et donc tu vas perdre du temps sur le marché. Et gardez en tête cette citation, c'est une citation qui me parle beaucoup, que le temps passé sur les marchés est supérieur au timing. Le temps passé sur les marchés est supérieur au timing. Encore faut-il être sur des projets de qualité, évidemment. La jauge d'attention. Ah, je l'aime bien, celle-là. Ah oui, j'ai beaucoup écrit. Il y avait un livre ou un article que j'ai lu il y a quelque temps, je sais plus c'est quoi, qui parlait de l'évolution d'une population en fonction de sa technologie. Vous allez comprendre. En fait, d'après le livre, il y a un cycle qui dure à peu près 80 ans, qui existe dans la relation d'une population à la technologie. En gros, le cycle se fait en à peu près 4 phases. La première phase, c'est l'émergence de la technologie. On a des nouvelles expérimentations, rien de bien fou, la vie est belle, mais ça perturbe pas grand chose, ça dure 20, 30, 40 ans. Au bout d'un moment, on arrive dans le deuxième cycle, où la technologie est suffisamment prête et on a une diffusion massive à la population. Tout le monde commence à l'utiliser, c'est très accessible et ça transforme un peu les habitudes et les comportements. Pareil, ça dure entre 20 et 40 ans. On a la phase 3, qui est la période de maturité, la période de saturation. où la technologie est partout, mais on sent qu'il commence à y avoir une sorte de trop-plein. On sent que là, c'est trop là, c'est trop ce qui se passe autour. Et ça, c'est la phase la plus intense du cycle. Et ensuite, on a la phase 4, qui est la phase de déclin et de transition. Là, c'est peut-être un peu abstrait. Maintenant, regardez. On prend depuis la Deuxième Guerre mondiale. De 1950 à 1970-80, on développait des ordis, des PGP, Internet, etc. Mais c'était vraiment un truc de geek. Personne n'utilisait ça. Ensuite, entre 1980 à 2005-2010, c'est devenu beaucoup plus accessible à tout le monde. On avait les premiers ordis, on avait le numérique, les DVD, etc. L'émergence de cette technologie-là qui commençait à être adoptée. Les parents, ils avaient leurs premiers ordinateurs, il se passait un truc. Et là, depuis, je dirais, 2010, on est dans la troisième phase. Tout le monde passe 4 heures sur son téléphone. Tout le monde a au moins 3-4 réseaux sociaux. On a Netflix, on a Amazon Prime, on a YouTube. On lit des dizaines d'articles, des commentaires de réseaux sociaux. On a des tonnes d'informations qui nous arrivent dessus. C'est comme si on avait un PMU permanent sur les réseaux avec des commentaires Twitter de gens qu'on connaît pas, qu'on accepte, qui nous donnent notre avis. On a l'IA, bordel. Tous les 6 mois, il y a une nouvelle IA exceptionnelle qui sort. C'est une folie. Tu regardes, il y a 3 ans, ça a 3 ans, le chat de GPT ? ça max 3 ans, 2 ans regardez ce qui se passe c'est abusé et ça c'est la phase 3 et on est en plein dans la phase 3 la phase la plus difficile à gérer parce que notre cerveau nous on s'en rend pas compte je pense parce qu'on a grandi là dedans mais notre cerveau est complètement saturé et le taux de dépression est en train d'exploser les burn out, les quêtes de sens et il y a un truc qu'on nous a jamais appris Merci. qui est littéralement ultra important, c'est de protéger notre énergie et notre attention. Protéger notre tête, en fait. On doit accepter qu'on ne peut pas tout connaître, qu'on ne peut pas tout savoir, qu'on ne peut pas tout contrôler. On n'est plus dans une économie de l'information. Vous savez, avant, c'était l'économie de l'information. Celui qui avait l'accès à l'information détenait la valeur. Un journal, on l'achetait parce qu'ils avaient l'accès à l'information. Magazine, c'était pareil. Internet, au début, c'était ça. Maintenant, tout le monde a accès à l'information. Si je demande, là je vais sur Grok de Twitter, l'IA c'est gratuit, tu dis donne-moi les plus grosses les plus grosses actualités de la journée, il te les fait. Tout le monde a accès à l'information. Donc on n'est plus dans une économie de l'information, c'est plus l'information qui a de la valeur. Qu'est-ce qui a de la valeur maintenant ? C'est l'attention. On est dans une économie de l'attention. Là par exemple avec ce podcast, vous choisissez de regarder ce podcast. Qu'est-ce que vous me vendez derrière ça ? Parce que le podcast c'est gratuit, c'est gratuit si vous le produisez. Vous me vendez de l'attention, vous me donnez de l'attention. L'attention se référence dans un algorithme qui va propulser mon podcast, que je vais pouvoir monétiser par plein de façons. Et donc, l'attention devient la monnaie, la ressource la plus rare pour nous. Et pour les grosses entreprises, les réseaux, les IA et compagnie. Twitter, Facebook, TikTok, les IA, etc. Elles étudient le cerveau humain pour aller le plus facilement et longtemps chercher et tenir notre attention. C'est terrifiant, TikTok c'est ça. TikTok, je ne sais pas si vous avez déjà vu des vidéos, je crois Léo Duff qui avait fait une vidéo sur TikTok. En gros, TikTok, tu arrives, dès que tu arrives, c'est même pas comme YouTube, tu arrives, tu consommes directement, tu appuies sur TikTok, tu as une vidéo qui est faite. L'algorithme sait ce que tu veux, il sait ce qui te fait rester, ça te donne des pics de dopamine, c'est terrifiant. C'est terrifiant, vraiment, ça me fait un peu flipper tout ça. Et du coup, derrière ça, j'aime bien réfléchir avec cette notion de jauge d'attention. Imaginez une jauge de 100 points d'attention, des points d'attention qui se renouvellent un peu tous les jours. Maintenant imaginez que, je sais pas, discuter avec des amis ça vous coûte 5 points d'attention. Ça dépend si vous êtes introverti, extraverti, etc. évidemment. Mais vous pouvez réfléchir pour vous. Discuter avec des potes, que vous connaissez très bien, 5 points d'attention. Sortir le soir c'est 10 points. Passer 2 heures de taf c'est 20 points. Sauf qu'on a un nombre limité de points d'attention. Et je ne veux pas qu'un seul de mes points et de ma jauge d'attention soit alloué à des choses inutiles. Le problème c'est que... Tout est fait pour que notre attention soit allouée à des choses inutiles. Les choses inutiles, c'est des articles sur les réseaux que j'ai pas envie de voir. C'est la politique. Ça ne m'intéresse pas, la politique. C'est un choix. C'est très polarisé. Il y a des gens qui peuvent m'insulter quand je dis que la politique ne m'intéresse pas. Mais j'estime que je n'ai aucun contrôle sur ça. Donc je n'ai pas besoin ni envie de savoir ce qui se passe. L'actualité, c'est pareil. Et les informations anxiogènes coûtent beaucoup plus de points d'attention. Parce que... Quand tu vois une actualité négative, et l'actualité c'est très négatif, ça te prend de l'énergie, ça te prend de l'attention, ça te fait un peu de cortisol, et le cortisol reste plus longtemps dans le corps. Les commentaires des gens par exemple, tout le monde est aigri, les commentaires YouTube, Facebook, Twitter, c'est horrible, et ça nous prend des points d'attention. Et en fait on peut vite faire une journée où notre jauge d'attention se fait laver par des trucs inutiles, et on revient le soir comme ça, et on n'a plus aucune capacité d'attention. Et bon, je vais pas faire le boomer sur la nouvelle génération, etc. Mais tu vois, moi j'ai grandi, je jouais aux jeux vidéo, je jouais à Pokémon, c'était cool, tu vois. Et en fait, ça a créé des souvenirs. Là, je pense que la nouvelle génération, et pas que la nouvelle génération en fait, il y a aussi les plus vieux, etc. En tout cas, les gens qui sont happés par la consommation passive TikTok, Insta, les réseaux, c'est tellement de la passivité que... Tu leur demandes ce qu'ils ont fait et de quoi, de quel moment ils se souviennent dans cette activité-là, ils ne savent même plus, parce que leur jauge d'attention a été dévastée, et du coup tout le reste, ça rentre par une oreille, ça sort de l'autre. Et bon bref, tout ça pour dire qu'on a démocratisé, je trouve, depuis une dizaine d'années, le fait de considérer son corps comme un... temple, un peu. Vous voyez ce que je veux dire ? Ça fait un peu 10 ans qu'on dit, ok, il faut bien manger. Enfin, en tout cas, c'est démocratisé. Il faut faire attention, il faut boire de l'eau, il faut bien dormir. Avant, c'était un peu plus, ouais, tu peux dormir à 5, 6 heures, il faut se lever tôt, machin. Là, on a un peu démocratisé ça. Et je pense que dans les 10 années qui suivent, on va démocratiser le fait qu'on doit absolument protéger notre cerveau de toutes les distractions, de tous les éléments qui détruisent notre jauge d'énergie. Et je pense que vraiment lancer des business de méditation, des trucs comme ça, ça va avec toute l'émergence de l'IA, si on va un peu à l'encontre de ça, ça va être quelque chose qui va prendre de l'essor parce que les gens au bout d'un moment vont sentir la saturation. Et je sais pas ce qui va se passer honnêtement mais ça peut être un peu compliqué. Et on arrive les amis à notre dernier écrit. 75% des gens riches sont des entrepreneurs. Qu'est-ce que c'est que ça ? Statistiquement, les gens les plus riches du monde sont à 75% des entrepreneurs, 15% des investisseurs, pardon, et 7% des sportifs. C'est un fait. Donc, factuellement, la meilleure probabilité de devenir riche, c'est en entreprenant. Et je trouve que... En France, les gens n'entreprennent pas assez. Et c'est assez terrible. C'est assez terrible parce que, en fait, quand tu discutes avec des gens, j'aime bien faire ça. Et toi, si... tu vois j'ai beaucoup de potes qui sont en médecine pharma qui sont un peu blasés et tout et tu leur dis ok si tu pouvais tous les métiers sont payés pareil tu peux faire ce que tu veux, qu'est-ce que tu ferais il y en a pas un qui me dit médecin évidemment parce qu'en même temps c'est trop dur c'est aberrant et ils me disent tous ouais je voudrais lancer un café je voudrais élever des chiens des trucs trop bien et tout le monde a une idée de projet vous avez une idée de projet très sûrement vous vous êtes dit putain ça serait trop bien si je pouvais faire ça Je sais pas, ouais, lancer un café, faire un TikTok avec son chien, faire des vidéos de sport. Et après, demandez-vous si jamais vous pouviez vivre de ça, comment serait votre vie ? Est-ce qu'elle serait peut-être mieux ? Sûrement. Mais bon, je sais pas vous dire d'arrêter votre taf et de faire un TikTok parce que votre chien vous le trouvez mignon. Il y a de fortes chances qu'il soit bien moche et que vous soyez biaisé et que ça marche pas. Mais... C'est un fait. Et quasi personne le fait, quasi personne n'entreprend parce que, un, les gens ont peur de l'échec, et deux, les gens ont peur du regard des autres. Et en vrai, j'ai envie de dire, si jamais vous avez un projet entrepreneurial, même petit, et j'ai surtout petit, lancez-le. Au pire, ça marchera pas et vous aurez appris des choses au lieu de rester sur TikTok ou de regarder une série le soir. Tu vois, genre... laissez-vous la chance de voir si vous pouvez pas faire un truc de vos projets sans forcément quitter votre travail ou sacrifier votre vie. Genre il y a des gens qui n'ont pas le temps mais très peu de gens n'ont pas le temps en vrai si jamais vous regardez une série en ce moment bah au lieu de regarder la série deux heures par jour voilà on essaye deux heures par jour pendant un an et on voit Si jamais vous voulez, je sais pas, lancer un TikTok, faire des trucs marrants, devenir graphiste, devenir monteur, faire de la photo, tous les trucs en fait où t'as pas besoin de fond, où t'as pas besoin de quitter ton taf, tu vois, lancer un café c'est un peu plus dur, mais on a la chance d'être dans un milieu numérique où tu peux faire plein de trucs comme ça. Et essayer, et n'en parler à personne, ils ont pas besoin de savoir, mais j'ai... En fait c'est aussi comme ça que personnellement j'ai commencé, tu vois. J'étais étudiant. Je me suis dit, vas-y, j'en parle à personne, j'essaye. À la base, c'était pour ceux qui connaissent, c'était pour ce qui peut. L'usine, l'été, je me disais, ok, si j'arrive à gagner un peu d'argent tous les mois, je peux ne pas aller à l'usine si j'économise. Et au final, je me retrouve à faire un truc que j'adore, qui est oui, dur, oui, stressant, etc. Mais la plus-value de tenter de lancer quelque chose, de tenter de lancer quelque chose, Si on parle en ROI, en Risk Reward, ce que vous voulez, c'est exceptionnel. Genre, ça ne coûte rien. Donc en fait, il n'y a aucun risque. Si vous en parlez à personne, il n'y a pas de risque de peur, etc. Et les potentielles récompenses sont pire scénario, rien. Pire scénario, il ne se passe rien de plus. Et meilleur scénario, vous avez un truc qui vous plaît, qui vous a appris des choses, qui vous a ouvert des portes, et avec lequel vous passez un bon moment. Je ne dis pas que c'est facile, attention. Mais je pense qu'il y a beaucoup de gens qui aimeraient, mais en fait, c'est tellement pas la mode de lancer son petit projet le soir que personne ne le fait. Et je ne sais plus où c'est, c'est en Inde, je crois, où ils n'ont plus pas du tout cette culture. En Inde, ce n'est pas études, tu travailles. C'est tu entreprends, tu entreprends, tu entreprends. Et la question, ce n'est pas dans quoi tu vas étudier, c'est dans quoi tu vas entreprendre. J'aimerais bien en vrai accompagner des gens. à créer leur projet depuis zéro. Juste des petits projets, tu vois. Je sais pas. Peut-être que je suis un peu dans mon délire et qu'en fait, personne n'est vraiment attiré par ça. Mettez-le dans les commentaires. En vrai. Et s'il y a assez de gens, je peux créer un petit Discord pour qu'on s'entraîne un petit peu tous. Peu importe au stade où vous en êtes, si vous êtes au début, si vous êtes au milieu. Si vous êtes... Si vous avez 70 employés et que vous lisez ça, on peut aussi faire un truc. Mais... Ça peut être quand même quelque chose qui découle vraiment du positif. Merci beaucoup. C'était les 5 écrits de la semaine. Très orienté, réflexion, entrepreneuriat. Parce que le marché est un petit peu chiant. J'espère que vous avez passé un bon moment. C'était Loving. Prenez soin de vous. Ciao les potes.

Chapters

  • Format multisujets

    00:00

  • Focus sur nos expertises

    03:28

  • On fait trop de mouvements en investissement

    08:26

  • Prouver pour faire croire

    11:58

  • On ne pense pas assez long terme

    15:42

  • La jauge d’attention

    20:46

  • 75% des riches sont entrepreneurs

    29:12

Description

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  • Speaker #0

    Les amis, bienvenue à tous dans cet épisode Investia du vendredi 18 avril 2025, j'espère que vous allez tous bien. Enfin, enfin une semaine, vous savez, un peu haussière, où il se passe pas grand chose. Mais en vrai on prend, on s'est fait rouler dessus. Genre les dernières semaines étaient vraiment horribles et j'ai plus le souvenir d'une semaine comme ça dans les deux dernières mois, vraiment. En fait une semaine, la semaine n'est pas terminée, attention calmons-nous, mais en fait une semaine où Trump s'embrouille pas avec la moitié du monde, où l'économie mondiale n'est pas à deux doigts d'un plosé, et où j'ai entendu que trois, quatre fois par jour le mot récession. Ça fait vraiment du bien, on est dans une période de merde, mais les choses avancent. C'est assez cool, j'espère que vous allez tous bien. Je suis très content de ma semaine, en vrai. J'ai fini toutes les vidéos que je voulais tourner, j'ai fini mes scripts, j'ai été assez productif. Ma chaîne sort une vidéo sur la... Sur Sui Dimanche, sur la dette la semaine prochaine, qui va être assez cool, je pense. Sur ma chaîne Sport aussi, je sors une vidéo et j'en ai tourné une autre. Donc je suis vraiment content de la semaine, j'ai été assez productif. À part ce fucking pollen qui casse les... bonbons, mais on est ensemble. Si jamais vous êtes allergique aux pollens, je sors avec un masque Covid. Bon, je partais un peu pour un complotiste, mais en vrai, c'est pas grave parce que c'est vraiment... Ça m'aide vraiment de ouf. Je fais de l'asthme et tout, c'est trop chiant. Si jamais vous êtes aussi allergique aux pollens, mettez un masque si vous n'avez pas envie de passer pour un complotiste. Bon, let's go pour Investia. Je vous rappelle le principe du podcast. Investia, c'est un podcast orienté autour, évidemment, de l'investissement, mais... beaucoup plus large que simplement la finance ça peut être l'investissement dans son développement ça peut être un investissement personnel ça peut être un investissement sur les marchés psychologiques en crypto peu importe et vous avez bien aimé le dernier format donc je suis très content avant une vaisselle c'était format un peu plus mono sujet où je faisais un épisode où je vous parlais de la psychologie un épisode des crypto un épisode de la dette etc la semaine dernière j'ai un peu changé j'ai fait multi sujets donc il y avait quatre cinq sujets très vastes très larges qui sont en fait les sujets que j'écris dans ce que j'appelle les écrits journaliers où tous les jours j'écris un petit paragraphe, ça me prend 20 minutes, sur ce que j'ai appris, sur les trucs qui me viennent en tête, donc que ça soit dans l'investissement pur ou pas. Et je me suis dit que ça pouvait être pas mal de vous les lire aussi et que vous avez bien kiffé. Donc on va refaire ça aujourd'hui avec 1, 2, 3, 4, 5, 6... sujet l'idée c'est que vous voulez supporter si jamais vous avez des sujets un peu plus de prédilection ils sont affichés dans la timeline de de la vidéo youtube donc si jamais il ya un sujet qui vous parle moins vous passez au prochain et si jamais vous avez plus envie je peux vous êtes en train de courir vous êtes en train vous êtes en voiture laissez vous porter allons-y alors écrit Vous allez voir que cette semaine, c'est un peu moins orienté à l'investissement. Je crois qu'il y a deux écrits investissement, les autres c'est un peu plus globaux dans le développement, vous allez voir. Tout simplement parce que c'est une semaine où il ne se passe pas grand chose, donc les thèses ne changent pas forcément, il n'y a pas de nouvelles choses à vraiment apprendre. Donc je suis aussi porté sur d'autres éléments sur cette semaine. Le 14 avril, j'ai écrit... Le titre, faire ce sur quoi on est bon, laisser le reste aux autres. En ce moment, je suis en train de lire le livre de Ray Dalio qui s'appelle Principles, qui est une masterclass absolue en français. C'est un titre bien énervant qui s'appelle Principles du succès. Donc je peux vous dire que vous lisez ça dans le train, vous passez pour un bon gros connard, mais le livre est exceptionnel. Lisez-le vraiment. Je vous mets un petit lien. Allez l'acheter, il coûte un peu cher, mais il est incroyable. Et en gros, Redalio, c'est l'un des plus gros gestionnaires de fonds. Il a créé Bridgewater, qui est le fonds qui a surperformé quasiment tous les autres fonds, qui a fait des gains pendant la crise de 2008 en l'anticipant. Enfin, le mec est monstrueux. Et il explique dans son livre, qui n'est pas forcément que orienté sur l'investissement, loin de là, que lui, il a eu un gros choc. Quand les membres de sa team sont arrivés vers lui en lui disant que, en fait, il était bon dans ce qu'il faisait, mais il était très antipathique. Et ça lui a fait mal, il a fait un gros travail sur le management et sur la gestion de ses équipes. Et il a travaillé sur un truc que j'ai trouvé hyper stylé, qu'il a appelé lui les baseball cards. Bon c'est des américains, c'est le baseball, c'est la NFL, c'est les monster trucks. Mais l'idée des baseball cards, tout part du principe que chacun fonctionne différemment. Et dans une entreprise on a deux choix. Soit on manage tout le monde de la même façon, soit on manage les gens en fonction de leur profil. Ça marche aussi dans la vie avec les gens avec qui on travaille, on fréquente, peu importe. Et maintenant, je commence à avoir une équipe de six personnes à gérer dans mon entreprise. Et j'ai commencé en manageant un peu tout le monde de la même façon parce que je voulais créer une sorte de culture d'entreprise. et donc je me disais pour créer une culture d'entreprise il faut que j'aligne tout le monde dans ma façon de faire en tout cas la façon que j'estime que l'entreprise devrait faire et du coup je mettais un peu tous les profils dans le même sac parce que je me suis dit c'est la culture d'entreprise avant tout spoiler c'est chiant ça ne marche pas et l'idée des cartes de baseball je la trouve incroyable moi ça me parle un peu plus avec les cartes de foot les cartes panini et tout tu sais tu as le joueur carte fifa où tu as une note sur 100 pour le tir, le physique, la vitesse, etc. Et l'idée de la carte de baseball, c'est de donner une note à chaque attribut d'un membre de l'équipe. Donc l'autonomie, la gestion du risque, la capacité d'aller loin dans un projet, l'adaptabilité, est-ce que la personne a du mal à changer de domaine ou pas. Et en fait, ça ne permet pas de juger spécialement, c'est pas dans cette optique-là, mais c'est de savoir dans quoi chacun est bon ou moins bon. Et ça a deux intérêts. déjà le premier intérêt c'est que les gens sont plus naturels et moins bridés en essayant de fake un peu certaines caractéristiques. C'est-à-dire que si jamais dans une entreprise c'est connu que tel profil par exemple, c'est pas quelqu'un qui va forcément faire très attention aux détails, par contre c'est quelqu'un qui va bouger les choses au moment où il faut lancer les projets, ben lui ça va lui permettre, si jamais il le sait que c'est connu dans la boîte qu'il est comme ça, ça va lui permettre... de rester 100% lui-même et de pas faire semblant d'être quelqu'un qui met de l'attention aux détails et au final de brider un peu sa personnalité. Et donc c'est vraiment une bonne chose. La deuxième chose, c'est que ça permet de 1. de ne pas donner aux gens des tâches qui ne leur correspondent pas et de 2. de donner aux gens des tâches où ils vont être les meilleurs. Et c'est extrêmement important. dont un management, je donne des cours de management, mais c'est très broussillant ça, je ne suis pas du tout expert là-dedans, de faire ce sur quoi on est bon et de laisser le reste aux autres. Et je pense qu'il y a beaucoup de gens qui connaissaient un plafond là-dedans, peu importe dans quel domaine en fait, ça peut être dans l'entrepreneuriat, ça peut être dans la vie, ça peut être dans tout, parce qu'ils n'arrivent pas à déléguer les tâches sur lesquelles ils sont moins bons ou qu'ils n'ont pas forcément envie de faire, dans la mesure du possible évidemment. Et donc... L'idée des cartes de baseball m'a vraiment donné pas mal d'éléments. Vous pouvez faire une carte de baseball sur vous, par exemple. Je l'ai écrit, ça va être un peu long si je vous dis tout, mais dans les critères, j'ai compétence cognitive et résolution de problèmes, donc pensée analytique, créativité, attention aux détails, vision d'ensemble, agilité d'apprentissage. Après, on a le style de travail. Est-ce que la personne est autonome, fiable, prend des initiatives, a une belle éthique de travail, etc. Et vous pouvez le faire pour vous, essayez de vous donner une note sur 100 pour voir où est-ce que vous pouvez évoluer. Et l'idée, alors c'est encore une fois très personnel de ce que vous faites, mais l'idée c'est plus, en tout cas dans cette réflexion-là, de partir du principe qu'on n'est pas là pour avoir une note de 80 partout, mais plutôt d'avoir des notes où on est excellent. Et ça rentre dans une réflexion que j'ai, qu'on arrive dans un monde avec l'IA, etc., où être tout terrain ne sert pas. plus à grand chose et où il faut être spécialisé. Et donc pour être spécialisé il faut accepter d'être moins bon dans certains domaines. C'était ma petite réflexion du 14-04. Le 15-04 j'ai été un peu plus inspiré sur l'investissement. J'étais en train d'écrire un script d'une vidéo qui sort la semaine prochaine ou la semaine d'après je crois. D'ailleurs dans ce script j'ai hâte de voir comment ça va réagir. Il y a un petit coup de gueule sur le fait que les Youtubers ne sont pas responsables des investissements des gens. Et c'est la première fois que je prends un peu de position sur ça. J'ai hâte de voir un peu comment les gens réagissent, sinon je vais me faire déchirer, mais c'est pas grave. Et ma réflexion du 15-04, elle s'appelle « On fait beaucoup trop de mouvements » . Le crash qu'on a eu sur les marchés ces dernières semaines, ça a été objectivement une opportunité de fou pendant plusieurs semaines. On avait des prix qui étaient extrêmement bons. La réalité, c'est que personne n'avait de cash. Personne n'avait de cash parce qu'on fait beaucoup trop de mouvements, et moi le premier. je vais faire beaucoup moins de mouvements sur mon portefeuille ces prochaines années, quitte à parfois avoir beaucoup plus de cash en réserve. Mais j'ai vraiment besoin de devenir à l'aise avec cette idée, parce que ces moments qu'on vit et on en vivra d'autres représentent objectivement les meilleures opportunités et historiquement les meilleures opportunités. Et c'est une énorme perte d'argent et de rentabilité à long terme de ne pas avoir assez de cash. En 2024, j'ai dû faire genre... 15, 20 mouvements des achats, etc. Alors que j'aurais pu en faire en vrai 2 max, tu vois. En juin et en août, quand on a eu les crashes, j'aurais peut-être sûrement eu un meilleur ROI. Warren Buffett, Red Alio, tous les grands investisseurs, ils disent deux choses en commun. Première chose, il faut acheter quand il y a du son dans les rues. Deuxième chose, il faut garder du cash pour ces moments-là. Donc la prochaine fois, je vais mettre en place un nouveau truc. C'est que quand je me demanderai... Si on est dans un bon moment pour acheter, je vais essayer de me demander à quel point je suis sûr qu'on est dans un bon moment de 0 à 100. Là ok, le marché est en train de monter, j'ai envie d'acheter, mais est-ce que je suis sûr que c'est un bon moment ? Ok, de 0 à 100 je suis sûr à combien ? Il y a une bonne opportunité, mais on est quand même pas mal monté, allez, 70. Et si c'est en dessous de 80, je n'achète pas en étant à l'aise avec le fait que j'ai raté des opportunités. Parce qu'en fait, typiquement... Les moments comme celui qu'on a vécu là, qu'on a eu le crash le lundi, le Black Monday du 8 avril, un truc comme ça, dans ce délire-là, si on se demandait de 0 à 100 si c'était une bonne opportunité, objectivement, on était sur un 95. Je suis sûr et certain que c'est une bonne opportunité à long terme. Et ça rentre dans l'idée que si je me demande si je dois acheter, c'est que je ne dois pas le faire parce qu'il n'y a pas assez de sang dans les rues. Et les gens ont tendance... Et ça, je trouve que c'est vraiment important. Je trouve que les gens ont tendance à racheter ce que j'appelle les faux dips, les corrections qui n'en sont pas spécialement très difficiles et qui restent des moments satisfaisants à racheter. Les dips satisfaisants, il ne faut pas les racheter. Vous savez, ce moment où... Bitcoin passe de 60 000 à 80 000. Et là, il y a une correction à 73 000. Là, tu te dis, oh cool, j'ai une opportunité d'achat. Ça, c'est ce que je pourrais appeler un faux dip. Et à mon avis, ces faux dips détruisent la rentabilité. Donc, si une correction est satisfaisante à racheter et qu'il n'y a pas un maximum d'incertitude sur la suite, c'est que ce n'est pas une vraie correction et qu'on ne doit pas forcément faire ce mouvement-là. 16-04, là j'étais d'humeur spirituelle, spirituelle c'est un peu un grand mot, les gens ne vous croiront pas tant que vous n'avez pas prouvé quand j'ai lancé ma chaîne youtube, et je parle de la chaîne youtube crypto, j'avais lancé d'autres chaînes youtube avant j'en ai parlé à très très peu de gens et encore j'étais pas au stade zéro de la création de vidéos youtube donc mes vidéos youtube étaient un petit peu mieux de 0 à 10, elles étaient à 3 sur l'échelle du mec qui vient de commencer mais même avec ça tous les gens à qui j'en ai parlé Merci. qui étaient des très bons potes à moi, des gens proches, peu importe, soit ils s'en sont complètement battus les couilles, soit ils étaient un peu taquins. Ouais, c'est marrant, c'est bien de s'envu. Et c'était un peu, c'était pas vraiment pour tirer vers le bas, mais voilà, on sentait que c'était une réaction habituelle à quelqu'un qui lance quelque chose. Et plus j'ai avancé, encore une fois, j'ai 24 pi, je fais ça depuis 3 ans, je suis pas Bill Gates, mais Dans ce que j'ai traversé, je me suis rendu compte que les gens n'ont aucune considération pour ce qu'on fait tant qu'on n'a pas prouvé. Peu importe le domaine, en fait, c'est comme ça, c'est ancré dans la nature humaine. Et j'ai réfléchi pourquoi, je pense que c'est quand même aussi extrêmement français, pourquoi, j'en sais rien, pourquoi en France on est comme ça, mais c'est un fait. On n'aime pas encourager les petits projets parce que je pense qu'on se dit, ok, et quand je dis on, c'est la plupart des gens, tout le monde n'est pas comme ça, évidemment. On n'aime pas encourager les petits projets parce qu'on se dit, si ça marche ce qu'il est en train de faire, lui l'aura fait, j'aurais vu comment il l'a fait parce que j'étais là avant que ça marche, et pas moi. Et donc ça nous perturbe dans notre réalité, et ça rabaisse un peu notre propre perception personnelle, donc on n'a pas spécialement envie que le gars réussisse. Par contre, une fois que ça marche... Ça devient stylé de dire qu'on a un pote qui a réussi. Ça augmente un peu notre perception sociale, notre perception personnelle. Donc les gens vous encouragent seulement quand vous avez prouvé ou quand vous avez réussi. Et maintenant, j'ai des gens autour de moi qui sont très contents de dire qu'ils me connaissent. Et je suis hyper fier de ça, attention. Mais je me dis, putain, les mecs, j'aurais bien aimé un peu plus de soutien au début. Et en fait, c'est juste que tu ne peux pas... Le demander, c'est comme ça, ça fait partie de la réalité. C'est très frustrant. Mais je vous fais un exemple par exemple. Pour l'instant, j'ai connu aucun bullrun en tant que créateur de contenu. D'accord ? Depuis que je fais des vidéos, j'ai pas eu spécialement d'énormes bullruns dans les cryptos. Et mes analyses sont poussées, on travaille dur, et je sais qu'on fait beaucoup plus qu'énormément de gens. Mais tant que l'analyse ne s'est pas réalisée, personne ne considérera que je fais du travail. A la hauteur de ce que je pense qu'il est, en tout cas. Et je pense pas que ce soit ni bien ni mal, c'est juste assez factuel. Et ça fait partie de la réalité. Les gens ne vous considèrent pas tant que vous n'avez pas prouvé. Donc il faut pas essayer d'aller chercher l'approbation des gens. Si elle n'arrive pas, ça veut dire qu'on n'a pas fait assez. C'est comme, j'avais vu un truc sur les... Quand t'essaies de maigrir. T'essaies de maigrir ou de te mettre au sport. Tu maigris, toi tu t'en rends compte, mais il y a un niveau encore plus avancé pour que les gens te fassent la remarque. Tu perds 2 kilos, tu te dis « Ah cool, j'ai perdu 2 kilos, les gens vont le remarquer » , tu te rends compte qu'ils ne le remarquent pas. Et tu te dis « Putain les mecs, je suis en train de perdre » . Et là quand tu perds vraiment, et que t'es sharp, t'es jacked, t'as un six-pack, tu cours, tu fais voilà. Là les gens commencent à te dire « Ah ouais, t'es solide » . Et c'est exactement la même chose. c'est les gens ont besoin de plus que ce qu'on croit pour nous donner de la reconnaissance. Donc il ne faut pas aller chercher la reconnaissance. 1804, on ne voit pas assez long terme. En crypto surtout, on ne voit pas assez long terme. Tout est fait, surtout dans la crypto, dans l'investissement oui, mais surtout dans la crypto, pour qu'on croit et qu'on ait cette sensation un peu désagréable que ce cycle c'est peut-être le dernier, et qu'on doit vite faire des gains générationnels pour devenir riche. Et en vrai, peu importe combien on vise comme multiple, on a tous un petit multiple en tête, on peut faire l'exercice de comment serait notre vie si on rajoutait 10 ans à cet objectif. Je veux faire un x20 sur mon portefeuille à ce cycle. Ok, ça va être dur, il y a de fortes chances que ça n'arrive pas. Maintenant, réfléchissons à je veux faire un x20 sur 10 ans. Là, on commence à se dire, ok, il y a un plan qui se dégage. Vous voyez ce que je veux dire ? On se crée un plan. Et je trouve qu'on ne voit pas assez long terme. C'est à cause de plein d'éléments, c'est à cause de l'information omniprésente sur les réseaux, sur YouTube. Je contribue à ça, je crée des vidéos toutes les semaines, alors que je pourrais en faire une tous les deux, trois mois. Sauf que si je faisais une vidéo tous les deux mois, l'algorithme de YouTube ne me mettrait pas en avant. Donc en fait, il y a des intérêts croisés qui font qu'on croit... qu'on doit voir plus court terme que ce qui est le cas. Il y a de l'information partout, ça nous fait prendre dans le bruit, à cause un peu des espoirs inutiles qu'on se fait en croyant qu'on pourra changer de vie comme on le veut aussi. Et quand on se crée un portefeuille, quand on lance un projet, peu importe, ça peut être bien de rajouter 10 ans à ce qu'on fait. J'avais discuté avec quelqu'un qui m'a dit un truc hyper intéressant, c'est que, vous savez, on fait toujours le « c'est pas un sprint, c'est un marathon » , ok. Un marathon, c'est 42 km. Dans la création d'un portefeuille, d'un profil d'investisseur, d'un projet, peu importe, on est à l'année combien de notre marathon ? En partant du principe que le marathon de ma carrière d'entrepreneur, c'est 42 ans. Je suis à l'année 3, je suis au kilomètre 3. Du coup, au kilomètre 3, tu es censé juste être tranquille, regarder un peu autour, continuer d'apprendre. Ouais, ok, je suis allé un peu lentement. Ah, je suis allé un peu trop vite, on s'en fout. Parce que les vrais marathoniens, c'est pas mon cas, je suis pas du tout un vrai marathonien, mais savent et disent tous qu'un marathon, ça se commence au kilomètre 30. Et donc, tant que t'es pas au bout de 10, 20, 30 ans de ce que tu fais, peut-être qu'on s'en fout, tu vois. On n'a juste pas de retour, mais c'est absolument normal. C'est le temps que les choses se mettent en place. et demandez-vous combien d'années de votre marathon vous êtes, que ce soit dans le projet que vous essayez de lancer qui ne marche pas, dans votre portefeuille qui ne performe pas spécialement, et arrêtons de penser qu'on va forcément avoir, comme en 2017 ou en 2021, un x50 qui va nous rendre riches dans les cryptos, ce n'est pas le cas. En vrai, à part des même coins, je n'ai pas vu de x50 public comme ça. Donc en plus, croyez-moi qu'il y a des gens qui rentrent en insider avant dans des projets early, et c'est eux qui les visent les x50, et même là-dedans, c'est dur de les chercher. Donc voyons plus long terme, ça va nous aider à faire moins d'erreurs. Et ça je l'ai pas écrit, mais quand j'ai réfléchi aussi, ça c'est intéressant, le fait que... Il y a beaucoup de... Quand je reviens un peu les biographies des mecs un peu connus, des gros investisseurs, je reviens sur mon père spirituel du moment Redaglio. Il explique à chaque fois qu'il a toujours un biais de surconfiance qui croyait que les choses allaient se passer comme il pensait. Il a perdu beaucoup d'argent et il a appris par ça. Et c'est un peu pareil, tu vois. En général, on passe cinq ans à vouloir chercher un x20, on se rend compte que ça ne marche pas, on commence à acheter de l'or et du S&P, on... On est trop safe dans notre position, on commence à l'équilibrer et on commence à avoir long terme. Et donc on pourrait gagner quand même pas mal de temps, un bon 5-10 ans, en commençant directement à avoir long terme. Et il y a encore pire, parce que ça, ça va créer des gens comme ça. Des gens qui arrivent entre 20 et 25 ans, peu importe l'âge en fait, mais qui investissent, qui sont bien placés, qui pourraient se créer un beau patrimoine à 40, 45, 50 ans. ou 30-35 c'est pareil, ça marche pas, ils arrêtent l'investissement et ils reviennent genre 10 ans après. Et du coup ils ont perdu 10-15 ans en intérêt composé, regardez ce que ça fait, juste parce qu'ils étaient trop risqués. Et c'est aussi l'un des risques du risque, c'est que si tu risques trop... Tu vas avoir une douleur qui est proportionnelle, et donc tu vas mettre du temps à revenir, et donc tu vas perdre du temps sur le marché. Et gardez en tête cette citation, c'est une citation qui me parle beaucoup, que le temps passé sur les marchés est supérieur au timing. Le temps passé sur les marchés est supérieur au timing. Encore faut-il être sur des projets de qualité, évidemment. La jauge d'attention. Ah, je l'aime bien, celle-là. Ah oui, j'ai beaucoup écrit. Il y avait un livre ou un article que j'ai lu il y a quelque temps, je sais plus c'est quoi, qui parlait de l'évolution d'une population en fonction de sa technologie. Vous allez comprendre. En fait, d'après le livre, il y a un cycle qui dure à peu près 80 ans, qui existe dans la relation d'une population à la technologie. En gros, le cycle se fait en à peu près 4 phases. La première phase, c'est l'émergence de la technologie. On a des nouvelles expérimentations, rien de bien fou, la vie est belle, mais ça perturbe pas grand chose, ça dure 20, 30, 40 ans. Au bout d'un moment, on arrive dans le deuxième cycle, où la technologie est suffisamment prête et on a une diffusion massive à la population. Tout le monde commence à l'utiliser, c'est très accessible et ça transforme un peu les habitudes et les comportements. Pareil, ça dure entre 20 et 40 ans. On a la phase 3, qui est la période de maturité, la période de saturation. où la technologie est partout, mais on sent qu'il commence à y avoir une sorte de trop-plein. On sent que là, c'est trop là, c'est trop ce qui se passe autour. Et ça, c'est la phase la plus intense du cycle. Et ensuite, on a la phase 4, qui est la phase de déclin et de transition. Là, c'est peut-être un peu abstrait. Maintenant, regardez. On prend depuis la Deuxième Guerre mondiale. De 1950 à 1970-80, on développait des ordis, des PGP, Internet, etc. Mais c'était vraiment un truc de geek. Personne n'utilisait ça. Ensuite, entre 1980 à 2005-2010, c'est devenu beaucoup plus accessible à tout le monde. On avait les premiers ordis, on avait le numérique, les DVD, etc. L'émergence de cette technologie-là qui commençait à être adoptée. Les parents, ils avaient leurs premiers ordinateurs, il se passait un truc. Et là, depuis, je dirais, 2010, on est dans la troisième phase. Tout le monde passe 4 heures sur son téléphone. Tout le monde a au moins 3-4 réseaux sociaux. On a Netflix, on a Amazon Prime, on a YouTube. On lit des dizaines d'articles, des commentaires de réseaux sociaux. On a des tonnes d'informations qui nous arrivent dessus. C'est comme si on avait un PMU permanent sur les réseaux avec des commentaires Twitter de gens qu'on connaît pas, qu'on accepte, qui nous donnent notre avis. On a l'IA, bordel. Tous les 6 mois, il y a une nouvelle IA exceptionnelle qui sort. C'est une folie. Tu regardes, il y a 3 ans, ça a 3 ans, le chat de GPT ? ça max 3 ans, 2 ans regardez ce qui se passe c'est abusé et ça c'est la phase 3 et on est en plein dans la phase 3 la phase la plus difficile à gérer parce que notre cerveau nous on s'en rend pas compte je pense parce qu'on a grandi là dedans mais notre cerveau est complètement saturé et le taux de dépression est en train d'exploser les burn out, les quêtes de sens et il y a un truc qu'on nous a jamais appris Merci. qui est littéralement ultra important, c'est de protéger notre énergie et notre attention. Protéger notre tête, en fait. On doit accepter qu'on ne peut pas tout connaître, qu'on ne peut pas tout savoir, qu'on ne peut pas tout contrôler. On n'est plus dans une économie de l'information. Vous savez, avant, c'était l'économie de l'information. Celui qui avait l'accès à l'information détenait la valeur. Un journal, on l'achetait parce qu'ils avaient l'accès à l'information. Magazine, c'était pareil. Internet, au début, c'était ça. Maintenant, tout le monde a accès à l'information. Si je demande, là je vais sur Grok de Twitter, l'IA c'est gratuit, tu dis donne-moi les plus grosses les plus grosses actualités de la journée, il te les fait. Tout le monde a accès à l'information. Donc on n'est plus dans une économie de l'information, c'est plus l'information qui a de la valeur. Qu'est-ce qui a de la valeur maintenant ? C'est l'attention. On est dans une économie de l'attention. Là par exemple avec ce podcast, vous choisissez de regarder ce podcast. Qu'est-ce que vous me vendez derrière ça ? Parce que le podcast c'est gratuit, c'est gratuit si vous le produisez. Vous me vendez de l'attention, vous me donnez de l'attention. L'attention se référence dans un algorithme qui va propulser mon podcast, que je vais pouvoir monétiser par plein de façons. Et donc, l'attention devient la monnaie, la ressource la plus rare pour nous. Et pour les grosses entreprises, les réseaux, les IA et compagnie. Twitter, Facebook, TikTok, les IA, etc. Elles étudient le cerveau humain pour aller le plus facilement et longtemps chercher et tenir notre attention. C'est terrifiant, TikTok c'est ça. TikTok, je ne sais pas si vous avez déjà vu des vidéos, je crois Léo Duff qui avait fait une vidéo sur TikTok. En gros, TikTok, tu arrives, dès que tu arrives, c'est même pas comme YouTube, tu arrives, tu consommes directement, tu appuies sur TikTok, tu as une vidéo qui est faite. L'algorithme sait ce que tu veux, il sait ce qui te fait rester, ça te donne des pics de dopamine, c'est terrifiant. C'est terrifiant, vraiment, ça me fait un peu flipper tout ça. Et du coup, derrière ça, j'aime bien réfléchir avec cette notion de jauge d'attention. Imaginez une jauge de 100 points d'attention, des points d'attention qui se renouvellent un peu tous les jours. Maintenant imaginez que, je sais pas, discuter avec des amis ça vous coûte 5 points d'attention. Ça dépend si vous êtes introverti, extraverti, etc. évidemment. Mais vous pouvez réfléchir pour vous. Discuter avec des potes, que vous connaissez très bien, 5 points d'attention. Sortir le soir c'est 10 points. Passer 2 heures de taf c'est 20 points. Sauf qu'on a un nombre limité de points d'attention. Et je ne veux pas qu'un seul de mes points et de ma jauge d'attention soit alloué à des choses inutiles. Le problème c'est que... Tout est fait pour que notre attention soit allouée à des choses inutiles. Les choses inutiles, c'est des articles sur les réseaux que j'ai pas envie de voir. C'est la politique. Ça ne m'intéresse pas, la politique. C'est un choix. C'est très polarisé. Il y a des gens qui peuvent m'insulter quand je dis que la politique ne m'intéresse pas. Mais j'estime que je n'ai aucun contrôle sur ça. Donc je n'ai pas besoin ni envie de savoir ce qui se passe. L'actualité, c'est pareil. Et les informations anxiogènes coûtent beaucoup plus de points d'attention. Parce que... Quand tu vois une actualité négative, et l'actualité c'est très négatif, ça te prend de l'énergie, ça te prend de l'attention, ça te fait un peu de cortisol, et le cortisol reste plus longtemps dans le corps. Les commentaires des gens par exemple, tout le monde est aigri, les commentaires YouTube, Facebook, Twitter, c'est horrible, et ça nous prend des points d'attention. Et en fait on peut vite faire une journée où notre jauge d'attention se fait laver par des trucs inutiles, et on revient le soir comme ça, et on n'a plus aucune capacité d'attention. Et bon, je vais pas faire le boomer sur la nouvelle génération, etc. Mais tu vois, moi j'ai grandi, je jouais aux jeux vidéo, je jouais à Pokémon, c'était cool, tu vois. Et en fait, ça a créé des souvenirs. Là, je pense que la nouvelle génération, et pas que la nouvelle génération en fait, il y a aussi les plus vieux, etc. En tout cas, les gens qui sont happés par la consommation passive TikTok, Insta, les réseaux, c'est tellement de la passivité que... Tu leur demandes ce qu'ils ont fait et de quoi, de quel moment ils se souviennent dans cette activité-là, ils ne savent même plus, parce que leur jauge d'attention a été dévastée, et du coup tout le reste, ça rentre par une oreille, ça sort de l'autre. Et bon bref, tout ça pour dire qu'on a démocratisé, je trouve, depuis une dizaine d'années, le fait de considérer son corps comme un... temple, un peu. Vous voyez ce que je veux dire ? Ça fait un peu 10 ans qu'on dit, ok, il faut bien manger. Enfin, en tout cas, c'est démocratisé. Il faut faire attention, il faut boire de l'eau, il faut bien dormir. Avant, c'était un peu plus, ouais, tu peux dormir à 5, 6 heures, il faut se lever tôt, machin. Là, on a un peu démocratisé ça. Et je pense que dans les 10 années qui suivent, on va démocratiser le fait qu'on doit absolument protéger notre cerveau de toutes les distractions, de tous les éléments qui détruisent notre jauge d'énergie. Et je pense que vraiment lancer des business de méditation, des trucs comme ça, ça va avec toute l'émergence de l'IA, si on va un peu à l'encontre de ça, ça va être quelque chose qui va prendre de l'essor parce que les gens au bout d'un moment vont sentir la saturation. Et je sais pas ce qui va se passer honnêtement mais ça peut être un peu compliqué. Et on arrive les amis à notre dernier écrit. 75% des gens riches sont des entrepreneurs. Qu'est-ce que c'est que ça ? Statistiquement, les gens les plus riches du monde sont à 75% des entrepreneurs, 15% des investisseurs, pardon, et 7% des sportifs. C'est un fait. Donc, factuellement, la meilleure probabilité de devenir riche, c'est en entreprenant. Et je trouve que... En France, les gens n'entreprennent pas assez. Et c'est assez terrible. C'est assez terrible parce que, en fait, quand tu discutes avec des gens, j'aime bien faire ça. Et toi, si... tu vois j'ai beaucoup de potes qui sont en médecine pharma qui sont un peu blasés et tout et tu leur dis ok si tu pouvais tous les métiers sont payés pareil tu peux faire ce que tu veux, qu'est-ce que tu ferais il y en a pas un qui me dit médecin évidemment parce qu'en même temps c'est trop dur c'est aberrant et ils me disent tous ouais je voudrais lancer un café je voudrais élever des chiens des trucs trop bien et tout le monde a une idée de projet vous avez une idée de projet très sûrement vous vous êtes dit putain ça serait trop bien si je pouvais faire ça Je sais pas, ouais, lancer un café, faire un TikTok avec son chien, faire des vidéos de sport. Et après, demandez-vous si jamais vous pouviez vivre de ça, comment serait votre vie ? Est-ce qu'elle serait peut-être mieux ? Sûrement. Mais bon, je sais pas vous dire d'arrêter votre taf et de faire un TikTok parce que votre chien vous le trouvez mignon. Il y a de fortes chances qu'il soit bien moche et que vous soyez biaisé et que ça marche pas. Mais... C'est un fait. Et quasi personne le fait, quasi personne n'entreprend parce que, un, les gens ont peur de l'échec, et deux, les gens ont peur du regard des autres. Et en vrai, j'ai envie de dire, si jamais vous avez un projet entrepreneurial, même petit, et j'ai surtout petit, lancez-le. Au pire, ça marchera pas et vous aurez appris des choses au lieu de rester sur TikTok ou de regarder une série le soir. Tu vois, genre... laissez-vous la chance de voir si vous pouvez pas faire un truc de vos projets sans forcément quitter votre travail ou sacrifier votre vie. Genre il y a des gens qui n'ont pas le temps mais très peu de gens n'ont pas le temps en vrai si jamais vous regardez une série en ce moment bah au lieu de regarder la série deux heures par jour voilà on essaye deux heures par jour pendant un an et on voit Si jamais vous voulez, je sais pas, lancer un TikTok, faire des trucs marrants, devenir graphiste, devenir monteur, faire de la photo, tous les trucs en fait où t'as pas besoin de fond, où t'as pas besoin de quitter ton taf, tu vois, lancer un café c'est un peu plus dur, mais on a la chance d'être dans un milieu numérique où tu peux faire plein de trucs comme ça. Et essayer, et n'en parler à personne, ils ont pas besoin de savoir, mais j'ai... En fait c'est aussi comme ça que personnellement j'ai commencé, tu vois. J'étais étudiant. Je me suis dit, vas-y, j'en parle à personne, j'essaye. À la base, c'était pour ceux qui connaissent, c'était pour ce qui peut. L'usine, l'été, je me disais, ok, si j'arrive à gagner un peu d'argent tous les mois, je peux ne pas aller à l'usine si j'économise. Et au final, je me retrouve à faire un truc que j'adore, qui est oui, dur, oui, stressant, etc. Mais la plus-value de tenter de lancer quelque chose, de tenter de lancer quelque chose, Si on parle en ROI, en Risk Reward, ce que vous voulez, c'est exceptionnel. Genre, ça ne coûte rien. Donc en fait, il n'y a aucun risque. Si vous en parlez à personne, il n'y a pas de risque de peur, etc. Et les potentielles récompenses sont pire scénario, rien. Pire scénario, il ne se passe rien de plus. Et meilleur scénario, vous avez un truc qui vous plaît, qui vous a appris des choses, qui vous a ouvert des portes, et avec lequel vous passez un bon moment. Je ne dis pas que c'est facile, attention. Mais je pense qu'il y a beaucoup de gens qui aimeraient, mais en fait, c'est tellement pas la mode de lancer son petit projet le soir que personne ne le fait. Et je ne sais plus où c'est, c'est en Inde, je crois, où ils n'ont plus pas du tout cette culture. En Inde, ce n'est pas études, tu travailles. C'est tu entreprends, tu entreprends, tu entreprends. Et la question, ce n'est pas dans quoi tu vas étudier, c'est dans quoi tu vas entreprendre. J'aimerais bien en vrai accompagner des gens. à créer leur projet depuis zéro. Juste des petits projets, tu vois. Je sais pas. Peut-être que je suis un peu dans mon délire et qu'en fait, personne n'est vraiment attiré par ça. Mettez-le dans les commentaires. En vrai. Et s'il y a assez de gens, je peux créer un petit Discord pour qu'on s'entraîne un petit peu tous. Peu importe au stade où vous en êtes, si vous êtes au début, si vous êtes au milieu. Si vous êtes... Si vous avez 70 employés et que vous lisez ça, on peut aussi faire un truc. Mais... Ça peut être quand même quelque chose qui découle vraiment du positif. Merci beaucoup. C'était les 5 écrits de la semaine. Très orienté, réflexion, entrepreneuriat. Parce que le marché est un petit peu chiant. J'espère que vous avez passé un bon moment. C'était Loving. Prenez soin de vous. Ciao les potes.

Chapters

  • Format multisujets

    00:00

  • Focus sur nos expertises

    03:28

  • On fait trop de mouvements en investissement

    08:26

  • Prouver pour faire croire

    11:58

  • On ne pense pas assez long terme

    15:42

  • La jauge d’attention

    20:46

  • 75% des riches sont entrepreneurs

    29:12

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