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Je suis indépendant.e

*REDIFFUSION* Je suis indépendant.e -Yumie -Travailleuse du sexe

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45min |15/10/2020
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Description

Vous aller écouter une rediffusion d'un épisode enregistré au printemps dernier, à la sortie du semi-confinement. A l'heure où les mesures pour freiner le virus se durcissent une nouvelle fois,  les travailleurs.euses du sexe risquent encore d'être en première ligne des victimes collatérales de cette lutte contre le Covid19. Alors écoutez ou réécoutez, le témoignage de Yumie, et son point de vu construit et argumenté sur le travail du sexe. 


Je dois vous le dire, cet épisode me tient particulièrement à cœur. Déjà parce, cette semaine, nous allons fêter les un an de la grève des femmes. C’était le 14 juin 2019, et sans emphase je crois qu’on peut dire que c’était une journée historique. Alors il me semblait important de marquer le coup, en recevant ici, une femme majuscule: indépendante, affirmée, forte, déconstruite et évidemment féministe. Et au détour des réseaux sociaux, je suis tombée sur une interview de Yumie. Et j’ai su que c’était elle. Yumie a 25 ans, elle est originaire de Normandie, et elle est travailleuse du sexe. Son métier, elle l’a choisi. Elle l’aime. Et comme toutes les passionnées, elle le sublime et le défend avec ferveur et réalisme, loin des poncifs et de clichés. 

Alors, la première question que j’ai posé à Yumie, c’est comment, en société, elle expliquait la nature de son travail? 

Ce podcast est né pendant la crise du coronavirus, et il a vu le jour grâce à une campagne de crowdfunding. Parmi les très généreux donateurs, j’aimerais en citer deux. 

Le premier, tient à rester anonyme. Ce chef d’entreprise établi à Genève, je le cite « a pris conscience de plein fouet, non seulement de la précarité des indépendants mais surtout de leur essor économique dans le monde de demain. Un monde qui est déjà celui d’aujourd'hui.» Mécène et philanthrope, il a décidé de soutenir ce podcast pour donner un écho à la voix des indépendants. 

Le second, s’appelle Thibaut Gallineau. Il a d’abord été salarié. Puis à moins de 30 ans, il s’est lancé pour devenir consultant indépendant à Genève pour les Services Financiers et les PME. Insatiable curieux, il est aussi enseignant chercheur et papa de 4 enfants. Bref, pas de quoi s’ennuyer. Son dynamisme l’a poussé à soutenir plusieurs projets pour venir en aide aux indépendants qui restent trop souvent invisibles selon lui. 

Je tiens à les remercier ici chaleureusement tous les deux. Sans eux, ce projet n’aurait jamais pu prendre la forme actuelle. Merci également à Farah Jouffroy de Human Challenge, et à  l’OPPIF, l’Ørganisation de Promotion de Projets Inventifs & Farfelus qui ont également soutenu le projet.  Et place au podcast ! 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Vous aller écouter une rediffusion d'un épisode enregistré au printemps dernier, à la sortie du semi-confinement. A l'heure où les mesures pour freiner le virus se durcissent une nouvelle fois,  les travailleurs.euses du sexe risquent encore d'être en première ligne des victimes collatérales de cette lutte contre le Covid19. Alors écoutez ou réécoutez, le témoignage de Yumie, et son point de vu construit et argumenté sur le travail du sexe. 


Je dois vous le dire, cet épisode me tient particulièrement à cœur. Déjà parce, cette semaine, nous allons fêter les un an de la grève des femmes. C’était le 14 juin 2019, et sans emphase je crois qu’on peut dire que c’était une journée historique. Alors il me semblait important de marquer le coup, en recevant ici, une femme majuscule: indépendante, affirmée, forte, déconstruite et évidemment féministe. Et au détour des réseaux sociaux, je suis tombée sur une interview de Yumie. Et j’ai su que c’était elle. Yumie a 25 ans, elle est originaire de Normandie, et elle est travailleuse du sexe. Son métier, elle l’a choisi. Elle l’aime. Et comme toutes les passionnées, elle le sublime et le défend avec ferveur et réalisme, loin des poncifs et de clichés. 

Alors, la première question que j’ai posé à Yumie, c’est comment, en société, elle expliquait la nature de son travail? 

Ce podcast est né pendant la crise du coronavirus, et il a vu le jour grâce à une campagne de crowdfunding. Parmi les très généreux donateurs, j’aimerais en citer deux. 

Le premier, tient à rester anonyme. Ce chef d’entreprise établi à Genève, je le cite « a pris conscience de plein fouet, non seulement de la précarité des indépendants mais surtout de leur essor économique dans le monde de demain. Un monde qui est déjà celui d’aujourd'hui.» Mécène et philanthrope, il a décidé de soutenir ce podcast pour donner un écho à la voix des indépendants. 

Le second, s’appelle Thibaut Gallineau. Il a d’abord été salarié. Puis à moins de 30 ans, il s’est lancé pour devenir consultant indépendant à Genève pour les Services Financiers et les PME. Insatiable curieux, il est aussi enseignant chercheur et papa de 4 enfants. Bref, pas de quoi s’ennuyer. Son dynamisme l’a poussé à soutenir plusieurs projets pour venir en aide aux indépendants qui restent trop souvent invisibles selon lui. 

Je tiens à les remercier ici chaleureusement tous les deux. Sans eux, ce projet n’aurait jamais pu prendre la forme actuelle. Merci également à Farah Jouffroy de Human Challenge, et à  l’OPPIF, l’Ørganisation de Promotion de Projets Inventifs & Farfelus qui ont également soutenu le projet.  Et place au podcast ! 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Vous aller écouter une rediffusion d'un épisode enregistré au printemps dernier, à la sortie du semi-confinement. A l'heure où les mesures pour freiner le virus se durcissent une nouvelle fois,  les travailleurs.euses du sexe risquent encore d'être en première ligne des victimes collatérales de cette lutte contre le Covid19. Alors écoutez ou réécoutez, le témoignage de Yumie, et son point de vu construit et argumenté sur le travail du sexe. 


Je dois vous le dire, cet épisode me tient particulièrement à cœur. Déjà parce, cette semaine, nous allons fêter les un an de la grève des femmes. C’était le 14 juin 2019, et sans emphase je crois qu’on peut dire que c’était une journée historique. Alors il me semblait important de marquer le coup, en recevant ici, une femme majuscule: indépendante, affirmée, forte, déconstruite et évidemment féministe. Et au détour des réseaux sociaux, je suis tombée sur une interview de Yumie. Et j’ai su que c’était elle. Yumie a 25 ans, elle est originaire de Normandie, et elle est travailleuse du sexe. Son métier, elle l’a choisi. Elle l’aime. Et comme toutes les passionnées, elle le sublime et le défend avec ferveur et réalisme, loin des poncifs et de clichés. 

Alors, la première question que j’ai posé à Yumie, c’est comment, en société, elle expliquait la nature de son travail? 

Ce podcast est né pendant la crise du coronavirus, et il a vu le jour grâce à une campagne de crowdfunding. Parmi les très généreux donateurs, j’aimerais en citer deux. 

Le premier, tient à rester anonyme. Ce chef d’entreprise établi à Genève, je le cite « a pris conscience de plein fouet, non seulement de la précarité des indépendants mais surtout de leur essor économique dans le monde de demain. Un monde qui est déjà celui d’aujourd'hui.» Mécène et philanthrope, il a décidé de soutenir ce podcast pour donner un écho à la voix des indépendants. 

Le second, s’appelle Thibaut Gallineau. Il a d’abord été salarié. Puis à moins de 30 ans, il s’est lancé pour devenir consultant indépendant à Genève pour les Services Financiers et les PME. Insatiable curieux, il est aussi enseignant chercheur et papa de 4 enfants. Bref, pas de quoi s’ennuyer. Son dynamisme l’a poussé à soutenir plusieurs projets pour venir en aide aux indépendants qui restent trop souvent invisibles selon lui. 

Je tiens à les remercier ici chaleureusement tous les deux. Sans eux, ce projet n’aurait jamais pu prendre la forme actuelle. Merci également à Farah Jouffroy de Human Challenge, et à  l’OPPIF, l’Ørganisation de Promotion de Projets Inventifs & Farfelus qui ont également soutenu le projet.  Et place au podcast ! 


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Vous aller écouter une rediffusion d'un épisode enregistré au printemps dernier, à la sortie du semi-confinement. A l'heure où les mesures pour freiner le virus se durcissent une nouvelle fois,  les travailleurs.euses du sexe risquent encore d'être en première ligne des victimes collatérales de cette lutte contre le Covid19. Alors écoutez ou réécoutez, le témoignage de Yumie, et son point de vu construit et argumenté sur le travail du sexe. 


Je dois vous le dire, cet épisode me tient particulièrement à cœur. Déjà parce, cette semaine, nous allons fêter les un an de la grève des femmes. C’était le 14 juin 2019, et sans emphase je crois qu’on peut dire que c’était une journée historique. Alors il me semblait important de marquer le coup, en recevant ici, une femme majuscule: indépendante, affirmée, forte, déconstruite et évidemment féministe. Et au détour des réseaux sociaux, je suis tombée sur une interview de Yumie. Et j’ai su que c’était elle. Yumie a 25 ans, elle est originaire de Normandie, et elle est travailleuse du sexe. Son métier, elle l’a choisi. Elle l’aime. Et comme toutes les passionnées, elle le sublime et le défend avec ferveur et réalisme, loin des poncifs et de clichés. 

Alors, la première question que j’ai posé à Yumie, c’est comment, en société, elle expliquait la nature de son travail? 

Ce podcast est né pendant la crise du coronavirus, et il a vu le jour grâce à une campagne de crowdfunding. Parmi les très généreux donateurs, j’aimerais en citer deux. 

Le premier, tient à rester anonyme. Ce chef d’entreprise établi à Genève, je le cite « a pris conscience de plein fouet, non seulement de la précarité des indépendants mais surtout de leur essor économique dans le monde de demain. Un monde qui est déjà celui d’aujourd'hui.» Mécène et philanthrope, il a décidé de soutenir ce podcast pour donner un écho à la voix des indépendants. 

Le second, s’appelle Thibaut Gallineau. Il a d’abord été salarié. Puis à moins de 30 ans, il s’est lancé pour devenir consultant indépendant à Genève pour les Services Financiers et les PME. Insatiable curieux, il est aussi enseignant chercheur et papa de 4 enfants. Bref, pas de quoi s’ennuyer. Son dynamisme l’a poussé à soutenir plusieurs projets pour venir en aide aux indépendants qui restent trop souvent invisibles selon lui. 

Je tiens à les remercier ici chaleureusement tous les deux. Sans eux, ce projet n’aurait jamais pu prendre la forme actuelle. Merci également à Farah Jouffroy de Human Challenge, et à  l’OPPIF, l’Ørganisation de Promotion de Projets Inventifs & Farfelus qui ont également soutenu le projet.  Et place au podcast ! 


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