#44 - Nabil Ouali : "Je ne voulais pas être perçu comme l'arabe" cover
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Joyeux Bazar

#44 - Nabil Ouali : "Je ne voulais pas être perçu comme l'arabe"

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31min |28/03/2023
Play
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Description

[🥇🏆Cet épisode a permis à Joyeux Bazar de remporter le prix du meilleur podcast de conversation 2023 au Paris Podcast Festival🥳]

Nabil Ouali est né en France de parents marocains. 

Dans cet épisode, il parle de « la honte d’être arabe ». 

  

Dès l’enfance, il se questionne sur son identité d’ « enfant issu de l’immigration » qui, en toute situation, s’observe pour définir les contours de sa différence. 

Il cherche constamment, par son style vestimentaire, son éloquence et son comportement, à ne pas être perçu comme « l’arabe ». 

  

Aujourd’hui, Nabil a fait la paix avec la langue qu’il avait rejetée, avec la honte qu’il a pu éprouver, avec son déni (qui l’a aussi beaucoup protégé). Il accueille ce qu’il n’a pas accueilli avant et accepte d’être « culturellement difforme ». 


Cette conversation parle de racisme intériorisé, mais aussi de réinvention, d'amour de soi, de résilience.


Bonne écoute !

   


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Nabil Ouali est né en France de parents marocains. 

Dans cet épisode, il parle de « la honte d’être arabe ». 

  

Dès l’enfance, il se questionne sur son identité d’ « enfant issu de l’immigration » qui, en toute situation, s’observe pour définir les contours de sa différence. 

Il cherche constamment, par son style vestimentaire, son éloquence et son comportement, à ne pas être perçu comme « l’arabe ». 

  

Aujourd’hui, Nabil a fait la paix avec la langue qu’il avait rejetée, avec la honte qu’il a pu éprouver, avec son déni (qui l’a aussi beaucoup protégé). Il accueille ce qu’il n’a pas accueilli avant et accepte d’être « culturellement difforme ». 


Cette conversation parle de racisme intériorisé, mais aussi de réinvention, d'amour de soi, de résilience.


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Nabil Ouali est né en France de parents marocains. 

Dans cet épisode, il parle de « la honte d’être arabe ». 

  

Dès l’enfance, il se questionne sur son identité d’ « enfant issu de l’immigration » qui, en toute situation, s’observe pour définir les contours de sa différence. 

Il cherche constamment, par son style vestimentaire, son éloquence et son comportement, à ne pas être perçu comme « l’arabe ». 

  

Aujourd’hui, Nabil a fait la paix avec la langue qu’il avait rejetée, avec la honte qu’il a pu éprouver, avec son déni (qui l’a aussi beaucoup protégé). Il accueille ce qu’il n’a pas accueilli avant et accepte d’être « culturellement difforme ». 


Cette conversation parle de racisme intériorisé, mais aussi de réinvention, d'amour de soi, de résilience.


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Dès l’enfance, il se questionne sur son identité d’ « enfant issu de l’immigration » qui, en toute situation, s’observe pour définir les contours de sa différence. 

Il cherche constamment, par son style vestimentaire, son éloquence et son comportement, à ne pas être perçu comme « l’arabe ». 

  

Aujourd’hui, Nabil a fait la paix avec la langue qu’il avait rejetée, avec la honte qu’il a pu éprouver, avec son déni (qui l’a aussi beaucoup protégé). Il accueille ce qu’il n’a pas accueilli avant et accepte d’être « culturellement difforme ». 


Cette conversation parle de racisme intériorisé, mais aussi de réinvention, d'amour de soi, de résilience.


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