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Le sentiment de ne jamais être assez - E006 cover
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L'Audace d'être SOI

Le sentiment de ne jamais être assez - E006

Le sentiment de ne jamais être assez - E006

21min |25/03/2025
Play
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L'Audace d'être SOI

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Description

As-tu déjà ressenti ce poids invisible qui t’empêche d’être pleinement fier de toi ? Ce sac à dos rempli de doutes, d’attentes et de comparaisons qui pèse sur tes épaules, peu importe ce que tu accomplis ?

Dans cet épisode, je plonge dans un sujet qui m’a hantée pendant des années : cette impression de ne jamais être assez, même quand tout semble parfait sur le papier. Je te partage mon propre parcours, les prises de conscience qui ont changé ma vie et les clés qui m’ont aidée à me libérer de ce fardeau.

Si tu cherches à t’alléger, à briser ce cycle du perfectionnisme et à enfin reconnaître ta valeur, alors cet épisode est pour toi. Prêt à transformer ton regard sur toi-même ?

🎧 Mets tes écouteurs, respire et laisse-toi guider vers plus de légèreté et d’audace.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Allô et bienvenue dans cet épisode numéro 6 de l'audace d'être soi. Le podcast qui te permet de te choisir pour vivre une vie pleinement épanouie maintenant. Je suis Nathalie Rodrigue, motivatrice, conférencière et auteur, mais d'abord et avant tout, une passionnée de l'humain. Aujourd'hui, j'ai décidé d'aborder un sujet qui m'a longtemps hantée et... Je découvre à travers les années que je ne suis pas la seule dans ma situation. Est-ce que ça t'est déjà arrivé de ne pas te sentir à ta place, même dans ta propre vie ? As-tu déjà eu ce besoin d'en faire plus pour te faire accepter ? As-tu déjà eu tendance à te taire pour ne pas te déranger ? As-tu déjà eu l'impression que peu importe ce que tu fais, ce n'est jamais suffisant ? Quand même après des grands succès, une petite voix te murmure « c'est pas assez » . Si tu as répondu oui à au moins une de ces questions, tu dois continuer l'écoute de cet épisode. Parce que ça va te parler et surtout parce que tu vas te sentir moins seul à la fin de celui-ci. Prêt à te transformer ? Ça débute maintenant. Bienvenue dans ton espace. Laisse-moi tout d'abord te dire merci. Merci pour ta confiance et ta présence sur mon podcast. Si t'es nouveau ici, sache que ce podcast est fait en toute bienveillance et mon intention est de te faire grandir à travers mon parcours, mes apprentissages et les outils que je te partage à chaque fin d'épisode. J'ai la réelle conviction que chaque humain a tout en lui pour réussir et que parfois, il suffit d'un peu d'aide pour réveiller cette f... flamme qui dort. Ce podcast est 100% gratuit et ma plus belle rémunération est que tu le partages autour de toi. Mon souhait est d'impacter positivement des millions de personnes sur la planète. Donc, gêne-toi pas, partage à grand nombre de personnes. Et tu peux même me taguer sur les réseaux sociaux quand tu le fais. J'aime toujours voir l'impact que je crée. Plongeons maintenant dans le sujet. J'ai longtemps vécu avec cette sensation. Comme si je courais toujours après une version de moi que je n'atteindrais jamais. Aujourd'hui, je veux te partager ce que j'ai appris sur ce sentiment et comment je m'en suis libérée. Avant d'aller plus loin, je veux que tu comprennes le sentiment de ne jamais être assez. Afin de te donner une définition des plus concrètes possibles de sentiments, je vais y aller en image. Le sentiment de jamais être assez, c'est comme porter un sac à dos. invisible, rempli de pierres, que personne d'autre ne voit, mais qui pèse lourd à chaque jour. Juste de le dire, j'ai l'impression d'avoir un poids sur les épaules. Tu le ressens-tu, toi, ce poids-là ? Puis là, tu vas me dire, mais pourquoi, Nat, j'ai toujours ce sentiment qui traîne avec moi, que je traîne avec moi, peu importe ce que j'accomplis et que je réalise ? Eh bien, il y a plusieurs origines possibles. dont, entre autres, les pressions sociales et culturelles. Tu sais, le fameux, là, tu dois être parfaite, tu dois être performant, tu dois être irréprochable, hein ? Ça, ça en fait partie. La comparaison constante aussi. Toujours chercher à se comparer aux autres. Puis, tu sais, l'ère des réseaux sociaux, là, elle nous aide pas du tout avec ce phénomène-là. Il y a certains aspects aussi qui peuvent venir de nos attentes familiales ou de l'éducation qu'on a reçue. Il y a aussi des expériences passées, des échecs mal digérés, de l'absence de reconnaissance qu'on a pu faire face. C'est plein de choses qui font en sorte qu'on porte ce sac à dos invisible qui pèse très lourd sur nous. Mais comment savoir exactement si tu es aux prises avec ce sentiment ? Parce que peut-être que tu penses... que tu n'es pas touché en ce moment. Eh bien, voici quelques éléments qui peuvent t'identifier si tu es dans cette roue sans fin du « je ne suis jamais assez » . Si tu souffres de perfectionnisme excessif, j'ai une petite nouvelle pour toi. Tu fais partie de ce sentiment « je ne suis jamais assez » . Si tu as de la difficulté à accepter les compliments. Hein ? Pour certains, c'est vraiment difficile d'accepter un compliment. Tu te fais complimenter, puis tout de suite, tu le retournes vers l'autre. Tout de suite, tu n'es pas capable de juste dire « merci » . C'est un signe. Ce sentiment d'imposteur, même face à des réussites. Combien de fois on l'entend ? des plus grandes réussites et les gens se sentent encore comme des imposteurs. C'est un sentiment, justement, de ne pas te sentir jamais assez. Puis le dernier point que je te dirais, qui va peut-être te bouleverser, mais si tu es à la recherche constante de la validation extérieure, tu as peut-être un petit peu de ce syndrome à l'intérieur de toi. Donc, ça te parle jusqu'ici ? Est-ce que tu te reconnais ou tu reconnais un de tes proches ? Je te l'ai dit en dépit d'épisodes, ce sentiment de ne jamais être assez a fait partie de moi pendant des années. Écoute, pour te donner une idée, j'avais encore ce feeling il y a au moins 10 ans. Donc je peux te dire que c'est encore assez récent, mais que j'ai réussi à m'en départir. Et ça, j'en suis très, très, très reconnaissante. Un long parcours rempli d'essais et d'erreurs. Écoute, j'ai obtenu mon diplôme universitaire en me disant « Bouf, tout le monde a ça un bac maintenant. Pas très extraordinaire comme parcours. Vas-y, quand même. » J'ai décroché un emploi super bien rénuméré à la fin de mes études avec des possibilités d'avancement rapides, mais je n'ai pas gravi les échelons aussi rapidement que je pensais parce que je perdais toute mon énergie à me... comparer aux autres et à vouloir être comme eux. J'avais un conjoint, la belle grosse maison, une nouvelle voiture, un bébé, et j'étais toujours pas heureuse à 100%. Je me disais toujours que je pouvais avoir plus. C'est incroyable, hein ? Puis c'est à partir de 2015 que j'ai décidé que c'était assez. Et que j'ajouterais que... c'est la course qui est venue tout relativiser ce que je vivais. Mais encore plus précisément, c'est mon premier demi-marathon qui m'a ouvert les yeux sur qui je suis intérieurement et qui je souhaite être dorénavant. Parce que j'avais fait des épreuves, des 5, des 10 kilomètres, et je me disais encore que c'était juste un 5 kilomètres. Après avoir complété deux fois un 10 kilomètres. Bof ! J'aurais pu faire mieux. Incroyable, hein, tu me diras ? Surtout venant d'une fille qui pensait jamais courir de sa vie. J'aurais dû être tellement fière de moi, mais j'étais incapable. Je me disais toujours que les autres faisaient plus, que probablement que je serais capable de faire plus. Bof ! C'était pas si extraordinaire que ça. Tout le monde fait ça. Mais dans le fond, c'est pas tout le monde qui court des 5 puis des 10 kilomètres. Je veux dire, c'est pas tout le monde, fait que j'aurais dû être juste fière de ça. Puis c'est dans ce mindset-là que j'ai décidé de m'inscrire à mon premier demi-marathon. Dans le mindset de faire mieux, de faire plus, de faire plus, de vouloir pouvoir montrer aux autres que je peux me dépasser encore plus loin. Clairement pas le bon mindset, je te dis de suite. C'était l'intention de faire quelque chose qui est vraiment un dépassement personnel. Peu importe, ici, je te donne l'exemple de la course. Il y a plein d'exemples qui existent. Peu importe ce que tu souhaites faire, qu'il faut un dépassement personnel, s'il te plaît, ne te mets pas dans ce mindset de vouloir prouver à tout le monde autour de toi que tu es capable de plus. C'est vraiment pas bon. Je t'explique pourquoi. Parce que dans ce mindset-là, moi, j'ai débuté l'entraînement. Un entraînement pour un demi-marathon, en moyenne, dans mon cas, c'était 15 semaines d'entraînement. avant d'arriver à la date ultime de la compétition. 15 semaines, c'est long, nous, quand il passe. C'est plus de 60 sorties de course au total. C'est du dépassement à toutes les sorties. C'est de la douleur physique et mentale. C'est du découragement. C'est du doute. Mais c'est surtout... beaucoup de temps seul avec moi-même. Puis je te dirais que le déclic s'est produit environ après cinq semaines d'entraînement et d'efforts constants. Tous ces kilomètres parcourus dans la solitude m'ont permis de faire une grande introspective. Et j'ai réalisé que je n'avais pas du tout le bon mindset pour conserver ma motivation d'aller jusqu'au bout de ce défi. Parce que personne ne m'attendait à la ligne d'arrivée de mes entraînements pour me féliciter. Personne ne me récompensait pour les 12 kilomètres que je venais de faire au lever du jour. Un dimanche matin de juillet, personne d'autre que moi. Et c'est là que j'ai compris. J'ai compris que je dois être fière de moi. J'ai compris que je cours pour moi. J'ai compris que ma motivation doit venir de l'intérieur de moi. Les dix semaines suivantes d'entraînement ont été plus douces, légères et valorisantes. Une grande libération ! En plus, j'ai commencé à appliquer cette façon de penser dans toutes les autres sphères de ma vie. Et quelle transformation sur tous les plans de ma vie ! Je te rassure, t'as pas à t'inscrire à un demi-marathon pour faire ce travail sur toi, OK ? Si, c'est pas quelque chose qui te... te parle, t'as pas besoin d'aller t'inscrire à un demi-marathon. Mais tu peux toujours le faire si t'en as envie. Je te le dis, c'est un beau dépassement de soi. Mais ma petite mise en garde ici, c'est fais confiance au processus. Je te le dis souvent à travers mes épisodes, puis je vais te le redire régulièrement encore. Pourquoi ? Parce que tu peux pas changer 20 ans, 30 ans ou... 40 ans de mauvaises pensées en une semaine. Si j'avais la recette miracle, je te jure que je te partagerais. Mais sans avoir la formule de l'instantanéité, je te partage ici des pratiques que j'ai moi-même faites et continue à faire pour me mettre dans des bons mindsets, dans un bon état d'esprit, si tu veux en bon français. Je les partage également à mes clients en accompagnement privé et les retours sont positifs. Donc, je ne suis pas gênée de te dire que ça fonctionne. Mais ça fonctionne si tu le fais. Si tu fais juste écouter aujourd'hui et que tu ne mets rien en application, ça ne fonctionnera pas évidemment. Tu sais que tout passe par l'action. Une des premières choses que tu peux faire, c'est l'exercice de l'inventaire de tes succès personnels. Prends-tu le temps de faire ça ? On est bon pour voir où est-ce qu'on a eu des échecs, où est-ce que ça n'a pas bien été. Mais quand vient le temps de faire une introspection sur nos succès personnels, on dirait qu'on ne prend jamais le temps de s'attarder pour ça. Donc, ce que tu peux faire, tu prends une feuille et tu notes cinq moments où tu as accompli quelque chose dont tu es fier, peu importe la taille de l'accomplissement. C'est bien important ici. Peu importe la taille de l'accomplissement. Ça n'a pas besoin d'être un demi-marathon. Comme moi, j'aurais dû mettre sur ma feuille courir 5 km. Même ma première vraie sortie de course, qui était possiblement 1 km environ, c'est une fierté pour quelqu'un qui n'a jamais couru avant. Prends une feuille de papier, note les cinq moments où tu as accompli quelque chose dont tu es fier, peu importe la taille de l'accomplissement. Et relis cette liste chaque fois que tu ressens que tu n'es pas assez. Puis permets-toi de la bonifier, de l'augmenter. Je t'ai dit cinq moments parce que des fois, pour quelqu'un qui n'a pas l'habitude de faire ça, ça peut être énorme. Mais si tu en as plus, vas-y. Puis quand tu as une baisse d'énergie, quand tu te dis « Ah non, ça c'est pas assez, j'ai peut-être pas assez donné » , retourne lire. Sois fier de toi. Il y a aussi l'exercice du miroir. Le fameux exercice du miroir. Se regarder dans un miroir, se nommer avec bienveillance. Qu'est-ce que je veux dire par là ? Ça veut dire je suis assez. Parce que j'ai fait ceci ou cela, peu importe ce que tu veux dire. Mais parce que je suis moi. Avec mes forces et mes imperfections. C'est puissant, hein ? Tu sais, moi, je te l'ai dit, c'est mon enregistrement numéro 6 de podcast. Je pourrais me taper sur la tête, je voulais être absolument constante. J'ai eu beaucoup de choses dans ma vie qui ont fait en sorte que j'ai dû mettre quelques semaines sur pause. Je pourrais me dire que je ne suis pas bonne, mais non. Je me dis, je suis assez parce que j'ai fait cet épisode-ci. Je suis en train d'enregistrer mon épisode numéro 6. Puis parce que je suis moi, avec mes forces et mes imperfections. C'est correct. C'est correct d'être ainsi. C'est normal, en fait, d'être ainsi. Fait que prends le temps de te regarder dans le miroir et de te parler franchement, mais surtout de te parler avec amour. On oublie de se parler avec amour. C'est vraiment important. Une autre chose que tu peux faire, c'est de changer la question intérieure. Qu'est-ce que je veux dire par là ? Au lieu de demander, est-ce que c'était... Est-ce que c'était assez bien ? Est-ce que c'était bon ? On se demande toujours ça. On le demande aux autres parce que justement, on veut la valorisation du monde extérieur. Mais là, même envers nous-mêmes, « Ah, il me semble que ce n'était pas assez. Il me semble que j'aurais pu faire plus. Il me semble que si j'avais fait ça, ça aurait été mieux. Ah, j'ai oublié de dire telle chose. Ah, peut-être que j'aurais pu positionner telle chose avant l'autre. » On est toujours en train de reconstruire ce qu'on a fait. Au lieu de ça, qu'est-ce que tu penserais de dire de... questionner, à dire, est-ce que j'ai donné le meilleur de moi aujourd'hui avec ce que j'avais entre les mains ? Pense-y. La plupart du temps, c'est ce qu'on fait. On donne le meilleur de soi-même. On donne le meilleur de soi-même dans la situation dans laquelle on est, avec les circonstances qui nous entourent. On donne le meilleur de nous-mêmes. C'est comme ça. Si tu écoutes ce podcast-ci, c'est sûr que tu es une personne comme ça. Tu veux toujours donner le meilleur de toi-même. Donc, tu donnes le meilleur de toi-même avec ce que tu as au moment où est-ce que ça se présente. Donc, sois reconnaissant pour ça. Donc, change ta question. Arrête de te demander « est-ce que j'ai fait assez ? Est-ce que j'aurais pu faire plus ? » Non. Questionne-toi plutôt « est-ce que j'ai donné le meilleur de moi-même aujourd'hui avec ce que j'avais entre les mains ? » Tu vas voir, la réponse va être souvent « oui » . Ça fait du bien, hein ? Tu t'ouvres pas. Puis, une dernière chose, je te dirais pratique la gratitude. personnelles. On l'entend souvent, il faut faire preuve de gratitude, il faut être reconnaissant pour ce qu'on a, il faut être dans la gratitude envers plein de choses dans la vie. Ça peut sonner cliché, ça peut sonner un peu trop spirituel pour toi, mais je te garantis, ça fonctionne. Ça fonctionne parce que trop souvent, on ne prend pas le temps de s'arrêter et d'apprécier ce qui nous entoure. On prend tout pour acquis. Mais quand tu t'arrêtes, et que tu réalises les gratitudes. Comme je te propose ici, c'est de le faire à chaque soir. Ou tu peux le faire à tous les matins aussi. Moi, j'aime bien le faire le soir parce que ça fait un retour sur ta journée. Parce que souvent, on va se coucher le soir et on va dire « Ah oui, aujourd'hui, je n'ai pas fait ça. Je n'ai pas fait ça. Ah non, j'ai oublié de plier mon linge. » Peu importe quoi. Mais dis-toi si tu te couchais en disant trois gratitudes, trois choses pour lesquelles ça fait que ta journée, t'as eu une belle journée puis que ça t'a rendu fière dans ta journée. Si aujourd'hui, t'as décidé de sortir dehors, durant le temps que j'enregistre aujourd'hui, il y a un soleil magnifique. T'as pris le temps de sortir dehors pour dix minutes, chose que tu ne fais jamais normalement. Sois fière, sois en gratitude. Merci. d'être sorti aujourd'hui et d'avoir profité du beau temps. Merci pour ce beau soleil. Merci pour cette dose d'énergie. Parce qu'on le sait, le soleil, c'est une source d'énergie incroyable. Donc, prends vraiment le temps. Ça n'a pas besoin, regarde. Ça n'a pas besoin d'être grandiose. Je viens de te dire, si tu es sorti dix minutes dehors pour profiter du soleil et que c'est quelque chose que tu ne fais jamais, c'est grandiose pour toi. Donc, sois en gratitude pour ça. Ça peut être juste d'avoir pris soin de toi. C'est suffisant. Si aujourd'hui, tu as décidé de prendre un bain parce que tu avais besoin de ça, de ce moment de relaxation, sois en gratitude pour ce moment-là, ce moment que tu as pris pour toi. Parce que pense à toutes les autres fois que tu n'as pas pris ce temps-là pour toi. Sois en gratitude, sois reconnaissant. Donc, je te répète les quatre astuces que je t'ai mentionnées. Faire l'exercice de l'inventaire de tes succès personnels. Il y a l'exercice du miroir. Il y a de changer ta question intérieure et il y a la pratique de la gratitude personnelle. Je t'encourage fortement à mettre une ou plusieurs de ces pratiques-là en action dès maintenant. Puis comme je dis toujours, je suis toujours curieuse de savoir comment ça se passe. Donc, si tu as le goût de venir partager avec moi, ça me fait grand plaisir de te lire par la suite. Donc, je termine l'enregistrement de cet épisode avec la conviction que je vais changer la vie d'au moins. une personne aujourd'hui. Si cette personne est toi, eh bien, merci de venir me le partager. En terminant, si tu as trouvé de la valeur dans cet épisode, merci de laisser un commentaire ou même de le partager avec un ami proche de toi qui a besoin d'entendre ce message. On se voit la semaine prochaine et n'oublie jamais, tu es ta priorité, sois toi pour toi.

Description

As-tu déjà ressenti ce poids invisible qui t’empêche d’être pleinement fier de toi ? Ce sac à dos rempli de doutes, d’attentes et de comparaisons qui pèse sur tes épaules, peu importe ce que tu accomplis ?

Dans cet épisode, je plonge dans un sujet qui m’a hantée pendant des années : cette impression de ne jamais être assez, même quand tout semble parfait sur le papier. Je te partage mon propre parcours, les prises de conscience qui ont changé ma vie et les clés qui m’ont aidée à me libérer de ce fardeau.

Si tu cherches à t’alléger, à briser ce cycle du perfectionnisme et à enfin reconnaître ta valeur, alors cet épisode est pour toi. Prêt à transformer ton regard sur toi-même ?

🎧 Mets tes écouteurs, respire et laisse-toi guider vers plus de légèreté et d’audace.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Allô et bienvenue dans cet épisode numéro 6 de l'audace d'être soi. Le podcast qui te permet de te choisir pour vivre une vie pleinement épanouie maintenant. Je suis Nathalie Rodrigue, motivatrice, conférencière et auteur, mais d'abord et avant tout, une passionnée de l'humain. Aujourd'hui, j'ai décidé d'aborder un sujet qui m'a longtemps hantée et... Je découvre à travers les années que je ne suis pas la seule dans ma situation. Est-ce que ça t'est déjà arrivé de ne pas te sentir à ta place, même dans ta propre vie ? As-tu déjà eu ce besoin d'en faire plus pour te faire accepter ? As-tu déjà eu tendance à te taire pour ne pas te déranger ? As-tu déjà eu l'impression que peu importe ce que tu fais, ce n'est jamais suffisant ? Quand même après des grands succès, une petite voix te murmure « c'est pas assez » . Si tu as répondu oui à au moins une de ces questions, tu dois continuer l'écoute de cet épisode. Parce que ça va te parler et surtout parce que tu vas te sentir moins seul à la fin de celui-ci. Prêt à te transformer ? Ça débute maintenant. Bienvenue dans ton espace. Laisse-moi tout d'abord te dire merci. Merci pour ta confiance et ta présence sur mon podcast. Si t'es nouveau ici, sache que ce podcast est fait en toute bienveillance et mon intention est de te faire grandir à travers mon parcours, mes apprentissages et les outils que je te partage à chaque fin d'épisode. J'ai la réelle conviction que chaque humain a tout en lui pour réussir et que parfois, il suffit d'un peu d'aide pour réveiller cette f... flamme qui dort. Ce podcast est 100% gratuit et ma plus belle rémunération est que tu le partages autour de toi. Mon souhait est d'impacter positivement des millions de personnes sur la planète. Donc, gêne-toi pas, partage à grand nombre de personnes. Et tu peux même me taguer sur les réseaux sociaux quand tu le fais. J'aime toujours voir l'impact que je crée. Plongeons maintenant dans le sujet. J'ai longtemps vécu avec cette sensation. Comme si je courais toujours après une version de moi que je n'atteindrais jamais. Aujourd'hui, je veux te partager ce que j'ai appris sur ce sentiment et comment je m'en suis libérée. Avant d'aller plus loin, je veux que tu comprennes le sentiment de ne jamais être assez. Afin de te donner une définition des plus concrètes possibles de sentiments, je vais y aller en image. Le sentiment de jamais être assez, c'est comme porter un sac à dos. invisible, rempli de pierres, que personne d'autre ne voit, mais qui pèse lourd à chaque jour. Juste de le dire, j'ai l'impression d'avoir un poids sur les épaules. Tu le ressens-tu, toi, ce poids-là ? Puis là, tu vas me dire, mais pourquoi, Nat, j'ai toujours ce sentiment qui traîne avec moi, que je traîne avec moi, peu importe ce que j'accomplis et que je réalise ? Eh bien, il y a plusieurs origines possibles. dont, entre autres, les pressions sociales et culturelles. Tu sais, le fameux, là, tu dois être parfaite, tu dois être performant, tu dois être irréprochable, hein ? Ça, ça en fait partie. La comparaison constante aussi. Toujours chercher à se comparer aux autres. Puis, tu sais, l'ère des réseaux sociaux, là, elle nous aide pas du tout avec ce phénomène-là. Il y a certains aspects aussi qui peuvent venir de nos attentes familiales ou de l'éducation qu'on a reçue. Il y a aussi des expériences passées, des échecs mal digérés, de l'absence de reconnaissance qu'on a pu faire face. C'est plein de choses qui font en sorte qu'on porte ce sac à dos invisible qui pèse très lourd sur nous. Mais comment savoir exactement si tu es aux prises avec ce sentiment ? Parce que peut-être que tu penses... que tu n'es pas touché en ce moment. Eh bien, voici quelques éléments qui peuvent t'identifier si tu es dans cette roue sans fin du « je ne suis jamais assez » . Si tu souffres de perfectionnisme excessif, j'ai une petite nouvelle pour toi. Tu fais partie de ce sentiment « je ne suis jamais assez » . Si tu as de la difficulté à accepter les compliments. Hein ? Pour certains, c'est vraiment difficile d'accepter un compliment. Tu te fais complimenter, puis tout de suite, tu le retournes vers l'autre. Tout de suite, tu n'es pas capable de juste dire « merci » . C'est un signe. Ce sentiment d'imposteur, même face à des réussites. Combien de fois on l'entend ? des plus grandes réussites et les gens se sentent encore comme des imposteurs. C'est un sentiment, justement, de ne pas te sentir jamais assez. Puis le dernier point que je te dirais, qui va peut-être te bouleverser, mais si tu es à la recherche constante de la validation extérieure, tu as peut-être un petit peu de ce syndrome à l'intérieur de toi. Donc, ça te parle jusqu'ici ? Est-ce que tu te reconnais ou tu reconnais un de tes proches ? Je te l'ai dit en dépit d'épisodes, ce sentiment de ne jamais être assez a fait partie de moi pendant des années. Écoute, pour te donner une idée, j'avais encore ce feeling il y a au moins 10 ans. Donc je peux te dire que c'est encore assez récent, mais que j'ai réussi à m'en départir. Et ça, j'en suis très, très, très reconnaissante. Un long parcours rempli d'essais et d'erreurs. Écoute, j'ai obtenu mon diplôme universitaire en me disant « Bouf, tout le monde a ça un bac maintenant. Pas très extraordinaire comme parcours. Vas-y, quand même. » J'ai décroché un emploi super bien rénuméré à la fin de mes études avec des possibilités d'avancement rapides, mais je n'ai pas gravi les échelons aussi rapidement que je pensais parce que je perdais toute mon énergie à me... comparer aux autres et à vouloir être comme eux. J'avais un conjoint, la belle grosse maison, une nouvelle voiture, un bébé, et j'étais toujours pas heureuse à 100%. Je me disais toujours que je pouvais avoir plus. C'est incroyable, hein ? Puis c'est à partir de 2015 que j'ai décidé que c'était assez. Et que j'ajouterais que... c'est la course qui est venue tout relativiser ce que je vivais. Mais encore plus précisément, c'est mon premier demi-marathon qui m'a ouvert les yeux sur qui je suis intérieurement et qui je souhaite être dorénavant. Parce que j'avais fait des épreuves, des 5, des 10 kilomètres, et je me disais encore que c'était juste un 5 kilomètres. Après avoir complété deux fois un 10 kilomètres. Bof ! J'aurais pu faire mieux. Incroyable, hein, tu me diras ? Surtout venant d'une fille qui pensait jamais courir de sa vie. J'aurais dû être tellement fière de moi, mais j'étais incapable. Je me disais toujours que les autres faisaient plus, que probablement que je serais capable de faire plus. Bof ! C'était pas si extraordinaire que ça. Tout le monde fait ça. Mais dans le fond, c'est pas tout le monde qui court des 5 puis des 10 kilomètres. Je veux dire, c'est pas tout le monde, fait que j'aurais dû être juste fière de ça. Puis c'est dans ce mindset-là que j'ai décidé de m'inscrire à mon premier demi-marathon. Dans le mindset de faire mieux, de faire plus, de faire plus, de vouloir pouvoir montrer aux autres que je peux me dépasser encore plus loin. Clairement pas le bon mindset, je te dis de suite. C'était l'intention de faire quelque chose qui est vraiment un dépassement personnel. Peu importe, ici, je te donne l'exemple de la course. Il y a plein d'exemples qui existent. Peu importe ce que tu souhaites faire, qu'il faut un dépassement personnel, s'il te plaît, ne te mets pas dans ce mindset de vouloir prouver à tout le monde autour de toi que tu es capable de plus. C'est vraiment pas bon. Je t'explique pourquoi. Parce que dans ce mindset-là, moi, j'ai débuté l'entraînement. Un entraînement pour un demi-marathon, en moyenne, dans mon cas, c'était 15 semaines d'entraînement. avant d'arriver à la date ultime de la compétition. 15 semaines, c'est long, nous, quand il passe. C'est plus de 60 sorties de course au total. C'est du dépassement à toutes les sorties. C'est de la douleur physique et mentale. C'est du découragement. C'est du doute. Mais c'est surtout... beaucoup de temps seul avec moi-même. Puis je te dirais que le déclic s'est produit environ après cinq semaines d'entraînement et d'efforts constants. Tous ces kilomètres parcourus dans la solitude m'ont permis de faire une grande introspective. Et j'ai réalisé que je n'avais pas du tout le bon mindset pour conserver ma motivation d'aller jusqu'au bout de ce défi. Parce que personne ne m'attendait à la ligne d'arrivée de mes entraînements pour me féliciter. Personne ne me récompensait pour les 12 kilomètres que je venais de faire au lever du jour. Un dimanche matin de juillet, personne d'autre que moi. Et c'est là que j'ai compris. J'ai compris que je dois être fière de moi. J'ai compris que je cours pour moi. J'ai compris que ma motivation doit venir de l'intérieur de moi. Les dix semaines suivantes d'entraînement ont été plus douces, légères et valorisantes. Une grande libération ! En plus, j'ai commencé à appliquer cette façon de penser dans toutes les autres sphères de ma vie. Et quelle transformation sur tous les plans de ma vie ! Je te rassure, t'as pas à t'inscrire à un demi-marathon pour faire ce travail sur toi, OK ? Si, c'est pas quelque chose qui te... te parle, t'as pas besoin d'aller t'inscrire à un demi-marathon. Mais tu peux toujours le faire si t'en as envie. Je te le dis, c'est un beau dépassement de soi. Mais ma petite mise en garde ici, c'est fais confiance au processus. Je te le dis souvent à travers mes épisodes, puis je vais te le redire régulièrement encore. Pourquoi ? Parce que tu peux pas changer 20 ans, 30 ans ou... 40 ans de mauvaises pensées en une semaine. Si j'avais la recette miracle, je te jure que je te partagerais. Mais sans avoir la formule de l'instantanéité, je te partage ici des pratiques que j'ai moi-même faites et continue à faire pour me mettre dans des bons mindsets, dans un bon état d'esprit, si tu veux en bon français. Je les partage également à mes clients en accompagnement privé et les retours sont positifs. Donc, je ne suis pas gênée de te dire que ça fonctionne. Mais ça fonctionne si tu le fais. Si tu fais juste écouter aujourd'hui et que tu ne mets rien en application, ça ne fonctionnera pas évidemment. Tu sais que tout passe par l'action. Une des premières choses que tu peux faire, c'est l'exercice de l'inventaire de tes succès personnels. Prends-tu le temps de faire ça ? On est bon pour voir où est-ce qu'on a eu des échecs, où est-ce que ça n'a pas bien été. Mais quand vient le temps de faire une introspection sur nos succès personnels, on dirait qu'on ne prend jamais le temps de s'attarder pour ça. Donc, ce que tu peux faire, tu prends une feuille et tu notes cinq moments où tu as accompli quelque chose dont tu es fier, peu importe la taille de l'accomplissement. C'est bien important ici. Peu importe la taille de l'accomplissement. Ça n'a pas besoin d'être un demi-marathon. Comme moi, j'aurais dû mettre sur ma feuille courir 5 km. Même ma première vraie sortie de course, qui était possiblement 1 km environ, c'est une fierté pour quelqu'un qui n'a jamais couru avant. Prends une feuille de papier, note les cinq moments où tu as accompli quelque chose dont tu es fier, peu importe la taille de l'accomplissement. Et relis cette liste chaque fois que tu ressens que tu n'es pas assez. Puis permets-toi de la bonifier, de l'augmenter. Je t'ai dit cinq moments parce que des fois, pour quelqu'un qui n'a pas l'habitude de faire ça, ça peut être énorme. Mais si tu en as plus, vas-y. Puis quand tu as une baisse d'énergie, quand tu te dis « Ah non, ça c'est pas assez, j'ai peut-être pas assez donné » , retourne lire. Sois fier de toi. Il y a aussi l'exercice du miroir. Le fameux exercice du miroir. Se regarder dans un miroir, se nommer avec bienveillance. Qu'est-ce que je veux dire par là ? Ça veut dire je suis assez. Parce que j'ai fait ceci ou cela, peu importe ce que tu veux dire. Mais parce que je suis moi. Avec mes forces et mes imperfections. C'est puissant, hein ? Tu sais, moi, je te l'ai dit, c'est mon enregistrement numéro 6 de podcast. Je pourrais me taper sur la tête, je voulais être absolument constante. J'ai eu beaucoup de choses dans ma vie qui ont fait en sorte que j'ai dû mettre quelques semaines sur pause. Je pourrais me dire que je ne suis pas bonne, mais non. Je me dis, je suis assez parce que j'ai fait cet épisode-ci. Je suis en train d'enregistrer mon épisode numéro 6. Puis parce que je suis moi, avec mes forces et mes imperfections. C'est correct. C'est correct d'être ainsi. C'est normal, en fait, d'être ainsi. Fait que prends le temps de te regarder dans le miroir et de te parler franchement, mais surtout de te parler avec amour. On oublie de se parler avec amour. C'est vraiment important. Une autre chose que tu peux faire, c'est de changer la question intérieure. Qu'est-ce que je veux dire par là ? Au lieu de demander, est-ce que c'était... Est-ce que c'était assez bien ? Est-ce que c'était bon ? On se demande toujours ça. On le demande aux autres parce que justement, on veut la valorisation du monde extérieur. Mais là, même envers nous-mêmes, « Ah, il me semble que ce n'était pas assez. Il me semble que j'aurais pu faire plus. Il me semble que si j'avais fait ça, ça aurait été mieux. Ah, j'ai oublié de dire telle chose. Ah, peut-être que j'aurais pu positionner telle chose avant l'autre. » On est toujours en train de reconstruire ce qu'on a fait. Au lieu de ça, qu'est-ce que tu penserais de dire de... questionner, à dire, est-ce que j'ai donné le meilleur de moi aujourd'hui avec ce que j'avais entre les mains ? Pense-y. La plupart du temps, c'est ce qu'on fait. On donne le meilleur de soi-même. On donne le meilleur de soi-même dans la situation dans laquelle on est, avec les circonstances qui nous entourent. On donne le meilleur de nous-mêmes. C'est comme ça. Si tu écoutes ce podcast-ci, c'est sûr que tu es une personne comme ça. Tu veux toujours donner le meilleur de toi-même. Donc, tu donnes le meilleur de toi-même avec ce que tu as au moment où est-ce que ça se présente. Donc, sois reconnaissant pour ça. Donc, change ta question. Arrête de te demander « est-ce que j'ai fait assez ? Est-ce que j'aurais pu faire plus ? » Non. Questionne-toi plutôt « est-ce que j'ai donné le meilleur de moi-même aujourd'hui avec ce que j'avais entre les mains ? » Tu vas voir, la réponse va être souvent « oui » . Ça fait du bien, hein ? Tu t'ouvres pas. Puis, une dernière chose, je te dirais pratique la gratitude. personnelles. On l'entend souvent, il faut faire preuve de gratitude, il faut être reconnaissant pour ce qu'on a, il faut être dans la gratitude envers plein de choses dans la vie. Ça peut sonner cliché, ça peut sonner un peu trop spirituel pour toi, mais je te garantis, ça fonctionne. Ça fonctionne parce que trop souvent, on ne prend pas le temps de s'arrêter et d'apprécier ce qui nous entoure. On prend tout pour acquis. Mais quand tu t'arrêtes, et que tu réalises les gratitudes. Comme je te propose ici, c'est de le faire à chaque soir. Ou tu peux le faire à tous les matins aussi. Moi, j'aime bien le faire le soir parce que ça fait un retour sur ta journée. Parce que souvent, on va se coucher le soir et on va dire « Ah oui, aujourd'hui, je n'ai pas fait ça. Je n'ai pas fait ça. Ah non, j'ai oublié de plier mon linge. » Peu importe quoi. Mais dis-toi si tu te couchais en disant trois gratitudes, trois choses pour lesquelles ça fait que ta journée, t'as eu une belle journée puis que ça t'a rendu fière dans ta journée. Si aujourd'hui, t'as décidé de sortir dehors, durant le temps que j'enregistre aujourd'hui, il y a un soleil magnifique. T'as pris le temps de sortir dehors pour dix minutes, chose que tu ne fais jamais normalement. Sois fière, sois en gratitude. Merci. d'être sorti aujourd'hui et d'avoir profité du beau temps. Merci pour ce beau soleil. Merci pour cette dose d'énergie. Parce qu'on le sait, le soleil, c'est une source d'énergie incroyable. Donc, prends vraiment le temps. Ça n'a pas besoin, regarde. Ça n'a pas besoin d'être grandiose. Je viens de te dire, si tu es sorti dix minutes dehors pour profiter du soleil et que c'est quelque chose que tu ne fais jamais, c'est grandiose pour toi. Donc, sois en gratitude pour ça. Ça peut être juste d'avoir pris soin de toi. C'est suffisant. Si aujourd'hui, tu as décidé de prendre un bain parce que tu avais besoin de ça, de ce moment de relaxation, sois en gratitude pour ce moment-là, ce moment que tu as pris pour toi. Parce que pense à toutes les autres fois que tu n'as pas pris ce temps-là pour toi. Sois en gratitude, sois reconnaissant. Donc, je te répète les quatre astuces que je t'ai mentionnées. Faire l'exercice de l'inventaire de tes succès personnels. Il y a l'exercice du miroir. Il y a de changer ta question intérieure et il y a la pratique de la gratitude personnelle. Je t'encourage fortement à mettre une ou plusieurs de ces pratiques-là en action dès maintenant. Puis comme je dis toujours, je suis toujours curieuse de savoir comment ça se passe. Donc, si tu as le goût de venir partager avec moi, ça me fait grand plaisir de te lire par la suite. Donc, je termine l'enregistrement de cet épisode avec la conviction que je vais changer la vie d'au moins. une personne aujourd'hui. Si cette personne est toi, eh bien, merci de venir me le partager. En terminant, si tu as trouvé de la valeur dans cet épisode, merci de laisser un commentaire ou même de le partager avec un ami proche de toi qui a besoin d'entendre ce message. On se voit la semaine prochaine et n'oublie jamais, tu es ta priorité, sois toi pour toi.

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Description

As-tu déjà ressenti ce poids invisible qui t’empêche d’être pleinement fier de toi ? Ce sac à dos rempli de doutes, d’attentes et de comparaisons qui pèse sur tes épaules, peu importe ce que tu accomplis ?

Dans cet épisode, je plonge dans un sujet qui m’a hantée pendant des années : cette impression de ne jamais être assez, même quand tout semble parfait sur le papier. Je te partage mon propre parcours, les prises de conscience qui ont changé ma vie et les clés qui m’ont aidée à me libérer de ce fardeau.

Si tu cherches à t’alléger, à briser ce cycle du perfectionnisme et à enfin reconnaître ta valeur, alors cet épisode est pour toi. Prêt à transformer ton regard sur toi-même ?

🎧 Mets tes écouteurs, respire et laisse-toi guider vers plus de légèreté et d’audace.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Allô et bienvenue dans cet épisode numéro 6 de l'audace d'être soi. Le podcast qui te permet de te choisir pour vivre une vie pleinement épanouie maintenant. Je suis Nathalie Rodrigue, motivatrice, conférencière et auteur, mais d'abord et avant tout, une passionnée de l'humain. Aujourd'hui, j'ai décidé d'aborder un sujet qui m'a longtemps hantée et... Je découvre à travers les années que je ne suis pas la seule dans ma situation. Est-ce que ça t'est déjà arrivé de ne pas te sentir à ta place, même dans ta propre vie ? As-tu déjà eu ce besoin d'en faire plus pour te faire accepter ? As-tu déjà eu tendance à te taire pour ne pas te déranger ? As-tu déjà eu l'impression que peu importe ce que tu fais, ce n'est jamais suffisant ? Quand même après des grands succès, une petite voix te murmure « c'est pas assez » . Si tu as répondu oui à au moins une de ces questions, tu dois continuer l'écoute de cet épisode. Parce que ça va te parler et surtout parce que tu vas te sentir moins seul à la fin de celui-ci. Prêt à te transformer ? Ça débute maintenant. Bienvenue dans ton espace. Laisse-moi tout d'abord te dire merci. Merci pour ta confiance et ta présence sur mon podcast. Si t'es nouveau ici, sache que ce podcast est fait en toute bienveillance et mon intention est de te faire grandir à travers mon parcours, mes apprentissages et les outils que je te partage à chaque fin d'épisode. J'ai la réelle conviction que chaque humain a tout en lui pour réussir et que parfois, il suffit d'un peu d'aide pour réveiller cette f... flamme qui dort. Ce podcast est 100% gratuit et ma plus belle rémunération est que tu le partages autour de toi. Mon souhait est d'impacter positivement des millions de personnes sur la planète. Donc, gêne-toi pas, partage à grand nombre de personnes. Et tu peux même me taguer sur les réseaux sociaux quand tu le fais. J'aime toujours voir l'impact que je crée. Plongeons maintenant dans le sujet. J'ai longtemps vécu avec cette sensation. Comme si je courais toujours après une version de moi que je n'atteindrais jamais. Aujourd'hui, je veux te partager ce que j'ai appris sur ce sentiment et comment je m'en suis libérée. Avant d'aller plus loin, je veux que tu comprennes le sentiment de ne jamais être assez. Afin de te donner une définition des plus concrètes possibles de sentiments, je vais y aller en image. Le sentiment de jamais être assez, c'est comme porter un sac à dos. invisible, rempli de pierres, que personne d'autre ne voit, mais qui pèse lourd à chaque jour. Juste de le dire, j'ai l'impression d'avoir un poids sur les épaules. Tu le ressens-tu, toi, ce poids-là ? Puis là, tu vas me dire, mais pourquoi, Nat, j'ai toujours ce sentiment qui traîne avec moi, que je traîne avec moi, peu importe ce que j'accomplis et que je réalise ? Eh bien, il y a plusieurs origines possibles. dont, entre autres, les pressions sociales et culturelles. Tu sais, le fameux, là, tu dois être parfaite, tu dois être performant, tu dois être irréprochable, hein ? Ça, ça en fait partie. La comparaison constante aussi. Toujours chercher à se comparer aux autres. Puis, tu sais, l'ère des réseaux sociaux, là, elle nous aide pas du tout avec ce phénomène-là. Il y a certains aspects aussi qui peuvent venir de nos attentes familiales ou de l'éducation qu'on a reçue. Il y a aussi des expériences passées, des échecs mal digérés, de l'absence de reconnaissance qu'on a pu faire face. C'est plein de choses qui font en sorte qu'on porte ce sac à dos invisible qui pèse très lourd sur nous. Mais comment savoir exactement si tu es aux prises avec ce sentiment ? Parce que peut-être que tu penses... que tu n'es pas touché en ce moment. Eh bien, voici quelques éléments qui peuvent t'identifier si tu es dans cette roue sans fin du « je ne suis jamais assez » . Si tu souffres de perfectionnisme excessif, j'ai une petite nouvelle pour toi. Tu fais partie de ce sentiment « je ne suis jamais assez » . Si tu as de la difficulté à accepter les compliments. Hein ? Pour certains, c'est vraiment difficile d'accepter un compliment. Tu te fais complimenter, puis tout de suite, tu le retournes vers l'autre. Tout de suite, tu n'es pas capable de juste dire « merci » . C'est un signe. Ce sentiment d'imposteur, même face à des réussites. Combien de fois on l'entend ? des plus grandes réussites et les gens se sentent encore comme des imposteurs. C'est un sentiment, justement, de ne pas te sentir jamais assez. Puis le dernier point que je te dirais, qui va peut-être te bouleverser, mais si tu es à la recherche constante de la validation extérieure, tu as peut-être un petit peu de ce syndrome à l'intérieur de toi. Donc, ça te parle jusqu'ici ? Est-ce que tu te reconnais ou tu reconnais un de tes proches ? Je te l'ai dit en dépit d'épisodes, ce sentiment de ne jamais être assez a fait partie de moi pendant des années. Écoute, pour te donner une idée, j'avais encore ce feeling il y a au moins 10 ans. Donc je peux te dire que c'est encore assez récent, mais que j'ai réussi à m'en départir. Et ça, j'en suis très, très, très reconnaissante. Un long parcours rempli d'essais et d'erreurs. Écoute, j'ai obtenu mon diplôme universitaire en me disant « Bouf, tout le monde a ça un bac maintenant. Pas très extraordinaire comme parcours. Vas-y, quand même. » J'ai décroché un emploi super bien rénuméré à la fin de mes études avec des possibilités d'avancement rapides, mais je n'ai pas gravi les échelons aussi rapidement que je pensais parce que je perdais toute mon énergie à me... comparer aux autres et à vouloir être comme eux. J'avais un conjoint, la belle grosse maison, une nouvelle voiture, un bébé, et j'étais toujours pas heureuse à 100%. Je me disais toujours que je pouvais avoir plus. C'est incroyable, hein ? Puis c'est à partir de 2015 que j'ai décidé que c'était assez. Et que j'ajouterais que... c'est la course qui est venue tout relativiser ce que je vivais. Mais encore plus précisément, c'est mon premier demi-marathon qui m'a ouvert les yeux sur qui je suis intérieurement et qui je souhaite être dorénavant. Parce que j'avais fait des épreuves, des 5, des 10 kilomètres, et je me disais encore que c'était juste un 5 kilomètres. Après avoir complété deux fois un 10 kilomètres. Bof ! J'aurais pu faire mieux. Incroyable, hein, tu me diras ? Surtout venant d'une fille qui pensait jamais courir de sa vie. J'aurais dû être tellement fière de moi, mais j'étais incapable. Je me disais toujours que les autres faisaient plus, que probablement que je serais capable de faire plus. Bof ! C'était pas si extraordinaire que ça. Tout le monde fait ça. Mais dans le fond, c'est pas tout le monde qui court des 5 puis des 10 kilomètres. Je veux dire, c'est pas tout le monde, fait que j'aurais dû être juste fière de ça. Puis c'est dans ce mindset-là que j'ai décidé de m'inscrire à mon premier demi-marathon. Dans le mindset de faire mieux, de faire plus, de faire plus, de vouloir pouvoir montrer aux autres que je peux me dépasser encore plus loin. Clairement pas le bon mindset, je te dis de suite. C'était l'intention de faire quelque chose qui est vraiment un dépassement personnel. Peu importe, ici, je te donne l'exemple de la course. Il y a plein d'exemples qui existent. Peu importe ce que tu souhaites faire, qu'il faut un dépassement personnel, s'il te plaît, ne te mets pas dans ce mindset de vouloir prouver à tout le monde autour de toi que tu es capable de plus. C'est vraiment pas bon. Je t'explique pourquoi. Parce que dans ce mindset-là, moi, j'ai débuté l'entraînement. Un entraînement pour un demi-marathon, en moyenne, dans mon cas, c'était 15 semaines d'entraînement. avant d'arriver à la date ultime de la compétition. 15 semaines, c'est long, nous, quand il passe. C'est plus de 60 sorties de course au total. C'est du dépassement à toutes les sorties. C'est de la douleur physique et mentale. C'est du découragement. C'est du doute. Mais c'est surtout... beaucoup de temps seul avec moi-même. Puis je te dirais que le déclic s'est produit environ après cinq semaines d'entraînement et d'efforts constants. Tous ces kilomètres parcourus dans la solitude m'ont permis de faire une grande introspective. Et j'ai réalisé que je n'avais pas du tout le bon mindset pour conserver ma motivation d'aller jusqu'au bout de ce défi. Parce que personne ne m'attendait à la ligne d'arrivée de mes entraînements pour me féliciter. Personne ne me récompensait pour les 12 kilomètres que je venais de faire au lever du jour. Un dimanche matin de juillet, personne d'autre que moi. Et c'est là que j'ai compris. J'ai compris que je dois être fière de moi. J'ai compris que je cours pour moi. J'ai compris que ma motivation doit venir de l'intérieur de moi. Les dix semaines suivantes d'entraînement ont été plus douces, légères et valorisantes. Une grande libération ! En plus, j'ai commencé à appliquer cette façon de penser dans toutes les autres sphères de ma vie. Et quelle transformation sur tous les plans de ma vie ! Je te rassure, t'as pas à t'inscrire à un demi-marathon pour faire ce travail sur toi, OK ? Si, c'est pas quelque chose qui te... te parle, t'as pas besoin d'aller t'inscrire à un demi-marathon. Mais tu peux toujours le faire si t'en as envie. Je te le dis, c'est un beau dépassement de soi. Mais ma petite mise en garde ici, c'est fais confiance au processus. Je te le dis souvent à travers mes épisodes, puis je vais te le redire régulièrement encore. Pourquoi ? Parce que tu peux pas changer 20 ans, 30 ans ou... 40 ans de mauvaises pensées en une semaine. Si j'avais la recette miracle, je te jure que je te partagerais. Mais sans avoir la formule de l'instantanéité, je te partage ici des pratiques que j'ai moi-même faites et continue à faire pour me mettre dans des bons mindsets, dans un bon état d'esprit, si tu veux en bon français. Je les partage également à mes clients en accompagnement privé et les retours sont positifs. Donc, je ne suis pas gênée de te dire que ça fonctionne. Mais ça fonctionne si tu le fais. Si tu fais juste écouter aujourd'hui et que tu ne mets rien en application, ça ne fonctionnera pas évidemment. Tu sais que tout passe par l'action. Une des premières choses que tu peux faire, c'est l'exercice de l'inventaire de tes succès personnels. Prends-tu le temps de faire ça ? On est bon pour voir où est-ce qu'on a eu des échecs, où est-ce que ça n'a pas bien été. Mais quand vient le temps de faire une introspection sur nos succès personnels, on dirait qu'on ne prend jamais le temps de s'attarder pour ça. Donc, ce que tu peux faire, tu prends une feuille et tu notes cinq moments où tu as accompli quelque chose dont tu es fier, peu importe la taille de l'accomplissement. C'est bien important ici. Peu importe la taille de l'accomplissement. Ça n'a pas besoin d'être un demi-marathon. Comme moi, j'aurais dû mettre sur ma feuille courir 5 km. Même ma première vraie sortie de course, qui était possiblement 1 km environ, c'est une fierté pour quelqu'un qui n'a jamais couru avant. Prends une feuille de papier, note les cinq moments où tu as accompli quelque chose dont tu es fier, peu importe la taille de l'accomplissement. Et relis cette liste chaque fois que tu ressens que tu n'es pas assez. Puis permets-toi de la bonifier, de l'augmenter. Je t'ai dit cinq moments parce que des fois, pour quelqu'un qui n'a pas l'habitude de faire ça, ça peut être énorme. Mais si tu en as plus, vas-y. Puis quand tu as une baisse d'énergie, quand tu te dis « Ah non, ça c'est pas assez, j'ai peut-être pas assez donné » , retourne lire. Sois fier de toi. Il y a aussi l'exercice du miroir. Le fameux exercice du miroir. Se regarder dans un miroir, se nommer avec bienveillance. Qu'est-ce que je veux dire par là ? Ça veut dire je suis assez. Parce que j'ai fait ceci ou cela, peu importe ce que tu veux dire. Mais parce que je suis moi. Avec mes forces et mes imperfections. C'est puissant, hein ? Tu sais, moi, je te l'ai dit, c'est mon enregistrement numéro 6 de podcast. Je pourrais me taper sur la tête, je voulais être absolument constante. J'ai eu beaucoup de choses dans ma vie qui ont fait en sorte que j'ai dû mettre quelques semaines sur pause. Je pourrais me dire que je ne suis pas bonne, mais non. Je me dis, je suis assez parce que j'ai fait cet épisode-ci. Je suis en train d'enregistrer mon épisode numéro 6. Puis parce que je suis moi, avec mes forces et mes imperfections. C'est correct. C'est correct d'être ainsi. C'est normal, en fait, d'être ainsi. Fait que prends le temps de te regarder dans le miroir et de te parler franchement, mais surtout de te parler avec amour. On oublie de se parler avec amour. C'est vraiment important. Une autre chose que tu peux faire, c'est de changer la question intérieure. Qu'est-ce que je veux dire par là ? Au lieu de demander, est-ce que c'était... Est-ce que c'était assez bien ? Est-ce que c'était bon ? On se demande toujours ça. On le demande aux autres parce que justement, on veut la valorisation du monde extérieur. Mais là, même envers nous-mêmes, « Ah, il me semble que ce n'était pas assez. Il me semble que j'aurais pu faire plus. Il me semble que si j'avais fait ça, ça aurait été mieux. Ah, j'ai oublié de dire telle chose. Ah, peut-être que j'aurais pu positionner telle chose avant l'autre. » On est toujours en train de reconstruire ce qu'on a fait. Au lieu de ça, qu'est-ce que tu penserais de dire de... questionner, à dire, est-ce que j'ai donné le meilleur de moi aujourd'hui avec ce que j'avais entre les mains ? Pense-y. La plupart du temps, c'est ce qu'on fait. On donne le meilleur de soi-même. On donne le meilleur de soi-même dans la situation dans laquelle on est, avec les circonstances qui nous entourent. On donne le meilleur de nous-mêmes. C'est comme ça. Si tu écoutes ce podcast-ci, c'est sûr que tu es une personne comme ça. Tu veux toujours donner le meilleur de toi-même. Donc, tu donnes le meilleur de toi-même avec ce que tu as au moment où est-ce que ça se présente. Donc, sois reconnaissant pour ça. Donc, change ta question. Arrête de te demander « est-ce que j'ai fait assez ? Est-ce que j'aurais pu faire plus ? » Non. Questionne-toi plutôt « est-ce que j'ai donné le meilleur de moi-même aujourd'hui avec ce que j'avais entre les mains ? » Tu vas voir, la réponse va être souvent « oui » . Ça fait du bien, hein ? Tu t'ouvres pas. Puis, une dernière chose, je te dirais pratique la gratitude. personnelles. On l'entend souvent, il faut faire preuve de gratitude, il faut être reconnaissant pour ce qu'on a, il faut être dans la gratitude envers plein de choses dans la vie. Ça peut sonner cliché, ça peut sonner un peu trop spirituel pour toi, mais je te garantis, ça fonctionne. Ça fonctionne parce que trop souvent, on ne prend pas le temps de s'arrêter et d'apprécier ce qui nous entoure. On prend tout pour acquis. Mais quand tu t'arrêtes, et que tu réalises les gratitudes. Comme je te propose ici, c'est de le faire à chaque soir. Ou tu peux le faire à tous les matins aussi. Moi, j'aime bien le faire le soir parce que ça fait un retour sur ta journée. Parce que souvent, on va se coucher le soir et on va dire « Ah oui, aujourd'hui, je n'ai pas fait ça. Je n'ai pas fait ça. Ah non, j'ai oublié de plier mon linge. » Peu importe quoi. Mais dis-toi si tu te couchais en disant trois gratitudes, trois choses pour lesquelles ça fait que ta journée, t'as eu une belle journée puis que ça t'a rendu fière dans ta journée. Si aujourd'hui, t'as décidé de sortir dehors, durant le temps que j'enregistre aujourd'hui, il y a un soleil magnifique. T'as pris le temps de sortir dehors pour dix minutes, chose que tu ne fais jamais normalement. Sois fière, sois en gratitude. Merci. d'être sorti aujourd'hui et d'avoir profité du beau temps. Merci pour ce beau soleil. Merci pour cette dose d'énergie. Parce qu'on le sait, le soleil, c'est une source d'énergie incroyable. Donc, prends vraiment le temps. Ça n'a pas besoin, regarde. Ça n'a pas besoin d'être grandiose. Je viens de te dire, si tu es sorti dix minutes dehors pour profiter du soleil et que c'est quelque chose que tu ne fais jamais, c'est grandiose pour toi. Donc, sois en gratitude pour ça. Ça peut être juste d'avoir pris soin de toi. C'est suffisant. Si aujourd'hui, tu as décidé de prendre un bain parce que tu avais besoin de ça, de ce moment de relaxation, sois en gratitude pour ce moment-là, ce moment que tu as pris pour toi. Parce que pense à toutes les autres fois que tu n'as pas pris ce temps-là pour toi. Sois en gratitude, sois reconnaissant. Donc, je te répète les quatre astuces que je t'ai mentionnées. Faire l'exercice de l'inventaire de tes succès personnels. Il y a l'exercice du miroir. Il y a de changer ta question intérieure et il y a la pratique de la gratitude personnelle. Je t'encourage fortement à mettre une ou plusieurs de ces pratiques-là en action dès maintenant. Puis comme je dis toujours, je suis toujours curieuse de savoir comment ça se passe. Donc, si tu as le goût de venir partager avec moi, ça me fait grand plaisir de te lire par la suite. Donc, je termine l'enregistrement de cet épisode avec la conviction que je vais changer la vie d'au moins. une personne aujourd'hui. Si cette personne est toi, eh bien, merci de venir me le partager. En terminant, si tu as trouvé de la valeur dans cet épisode, merci de laisser un commentaire ou même de le partager avec un ami proche de toi qui a besoin d'entendre ce message. On se voit la semaine prochaine et n'oublie jamais, tu es ta priorité, sois toi pour toi.

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As-tu déjà ressenti ce poids invisible qui t’empêche d’être pleinement fier de toi ? Ce sac à dos rempli de doutes, d’attentes et de comparaisons qui pèse sur tes épaules, peu importe ce que tu accomplis ?

Dans cet épisode, je plonge dans un sujet qui m’a hantée pendant des années : cette impression de ne jamais être assez, même quand tout semble parfait sur le papier. Je te partage mon propre parcours, les prises de conscience qui ont changé ma vie et les clés qui m’ont aidée à me libérer de ce fardeau.

Si tu cherches à t’alléger, à briser ce cycle du perfectionnisme et à enfin reconnaître ta valeur, alors cet épisode est pour toi. Prêt à transformer ton regard sur toi-même ?

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    Allô et bienvenue dans cet épisode numéro 6 de l'audace d'être soi. Le podcast qui te permet de te choisir pour vivre une vie pleinement épanouie maintenant. Je suis Nathalie Rodrigue, motivatrice, conférencière et auteur, mais d'abord et avant tout, une passionnée de l'humain. Aujourd'hui, j'ai décidé d'aborder un sujet qui m'a longtemps hantée et... Je découvre à travers les années que je ne suis pas la seule dans ma situation. Est-ce que ça t'est déjà arrivé de ne pas te sentir à ta place, même dans ta propre vie ? As-tu déjà eu ce besoin d'en faire plus pour te faire accepter ? As-tu déjà eu tendance à te taire pour ne pas te déranger ? As-tu déjà eu l'impression que peu importe ce que tu fais, ce n'est jamais suffisant ? Quand même après des grands succès, une petite voix te murmure « c'est pas assez » . Si tu as répondu oui à au moins une de ces questions, tu dois continuer l'écoute de cet épisode. Parce que ça va te parler et surtout parce que tu vas te sentir moins seul à la fin de celui-ci. Prêt à te transformer ? Ça débute maintenant. Bienvenue dans ton espace. Laisse-moi tout d'abord te dire merci. Merci pour ta confiance et ta présence sur mon podcast. Si t'es nouveau ici, sache que ce podcast est fait en toute bienveillance et mon intention est de te faire grandir à travers mon parcours, mes apprentissages et les outils que je te partage à chaque fin d'épisode. J'ai la réelle conviction que chaque humain a tout en lui pour réussir et que parfois, il suffit d'un peu d'aide pour réveiller cette f... flamme qui dort. Ce podcast est 100% gratuit et ma plus belle rémunération est que tu le partages autour de toi. Mon souhait est d'impacter positivement des millions de personnes sur la planète. Donc, gêne-toi pas, partage à grand nombre de personnes. Et tu peux même me taguer sur les réseaux sociaux quand tu le fais. J'aime toujours voir l'impact que je crée. Plongeons maintenant dans le sujet. J'ai longtemps vécu avec cette sensation. Comme si je courais toujours après une version de moi que je n'atteindrais jamais. Aujourd'hui, je veux te partager ce que j'ai appris sur ce sentiment et comment je m'en suis libérée. Avant d'aller plus loin, je veux que tu comprennes le sentiment de ne jamais être assez. Afin de te donner une définition des plus concrètes possibles de sentiments, je vais y aller en image. Le sentiment de jamais être assez, c'est comme porter un sac à dos. invisible, rempli de pierres, que personne d'autre ne voit, mais qui pèse lourd à chaque jour. Juste de le dire, j'ai l'impression d'avoir un poids sur les épaules. Tu le ressens-tu, toi, ce poids-là ? Puis là, tu vas me dire, mais pourquoi, Nat, j'ai toujours ce sentiment qui traîne avec moi, que je traîne avec moi, peu importe ce que j'accomplis et que je réalise ? Eh bien, il y a plusieurs origines possibles. dont, entre autres, les pressions sociales et culturelles. Tu sais, le fameux, là, tu dois être parfaite, tu dois être performant, tu dois être irréprochable, hein ? Ça, ça en fait partie. La comparaison constante aussi. Toujours chercher à se comparer aux autres. Puis, tu sais, l'ère des réseaux sociaux, là, elle nous aide pas du tout avec ce phénomène-là. Il y a certains aspects aussi qui peuvent venir de nos attentes familiales ou de l'éducation qu'on a reçue. Il y a aussi des expériences passées, des échecs mal digérés, de l'absence de reconnaissance qu'on a pu faire face. C'est plein de choses qui font en sorte qu'on porte ce sac à dos invisible qui pèse très lourd sur nous. Mais comment savoir exactement si tu es aux prises avec ce sentiment ? Parce que peut-être que tu penses... que tu n'es pas touché en ce moment. Eh bien, voici quelques éléments qui peuvent t'identifier si tu es dans cette roue sans fin du « je ne suis jamais assez » . Si tu souffres de perfectionnisme excessif, j'ai une petite nouvelle pour toi. Tu fais partie de ce sentiment « je ne suis jamais assez » . Si tu as de la difficulté à accepter les compliments. Hein ? Pour certains, c'est vraiment difficile d'accepter un compliment. Tu te fais complimenter, puis tout de suite, tu le retournes vers l'autre. Tout de suite, tu n'es pas capable de juste dire « merci » . C'est un signe. Ce sentiment d'imposteur, même face à des réussites. Combien de fois on l'entend ? des plus grandes réussites et les gens se sentent encore comme des imposteurs. C'est un sentiment, justement, de ne pas te sentir jamais assez. Puis le dernier point que je te dirais, qui va peut-être te bouleverser, mais si tu es à la recherche constante de la validation extérieure, tu as peut-être un petit peu de ce syndrome à l'intérieur de toi. Donc, ça te parle jusqu'ici ? Est-ce que tu te reconnais ou tu reconnais un de tes proches ? Je te l'ai dit en dépit d'épisodes, ce sentiment de ne jamais être assez a fait partie de moi pendant des années. Écoute, pour te donner une idée, j'avais encore ce feeling il y a au moins 10 ans. Donc je peux te dire que c'est encore assez récent, mais que j'ai réussi à m'en départir. Et ça, j'en suis très, très, très reconnaissante. Un long parcours rempli d'essais et d'erreurs. Écoute, j'ai obtenu mon diplôme universitaire en me disant « Bouf, tout le monde a ça un bac maintenant. Pas très extraordinaire comme parcours. Vas-y, quand même. » J'ai décroché un emploi super bien rénuméré à la fin de mes études avec des possibilités d'avancement rapides, mais je n'ai pas gravi les échelons aussi rapidement que je pensais parce que je perdais toute mon énergie à me... comparer aux autres et à vouloir être comme eux. J'avais un conjoint, la belle grosse maison, une nouvelle voiture, un bébé, et j'étais toujours pas heureuse à 100%. Je me disais toujours que je pouvais avoir plus. C'est incroyable, hein ? Puis c'est à partir de 2015 que j'ai décidé que c'était assez. Et que j'ajouterais que... c'est la course qui est venue tout relativiser ce que je vivais. Mais encore plus précisément, c'est mon premier demi-marathon qui m'a ouvert les yeux sur qui je suis intérieurement et qui je souhaite être dorénavant. Parce que j'avais fait des épreuves, des 5, des 10 kilomètres, et je me disais encore que c'était juste un 5 kilomètres. Après avoir complété deux fois un 10 kilomètres. Bof ! J'aurais pu faire mieux. Incroyable, hein, tu me diras ? Surtout venant d'une fille qui pensait jamais courir de sa vie. J'aurais dû être tellement fière de moi, mais j'étais incapable. Je me disais toujours que les autres faisaient plus, que probablement que je serais capable de faire plus. Bof ! C'était pas si extraordinaire que ça. Tout le monde fait ça. Mais dans le fond, c'est pas tout le monde qui court des 5 puis des 10 kilomètres. Je veux dire, c'est pas tout le monde, fait que j'aurais dû être juste fière de ça. Puis c'est dans ce mindset-là que j'ai décidé de m'inscrire à mon premier demi-marathon. Dans le mindset de faire mieux, de faire plus, de faire plus, de vouloir pouvoir montrer aux autres que je peux me dépasser encore plus loin. Clairement pas le bon mindset, je te dis de suite. C'était l'intention de faire quelque chose qui est vraiment un dépassement personnel. Peu importe, ici, je te donne l'exemple de la course. Il y a plein d'exemples qui existent. Peu importe ce que tu souhaites faire, qu'il faut un dépassement personnel, s'il te plaît, ne te mets pas dans ce mindset de vouloir prouver à tout le monde autour de toi que tu es capable de plus. C'est vraiment pas bon. Je t'explique pourquoi. Parce que dans ce mindset-là, moi, j'ai débuté l'entraînement. Un entraînement pour un demi-marathon, en moyenne, dans mon cas, c'était 15 semaines d'entraînement. avant d'arriver à la date ultime de la compétition. 15 semaines, c'est long, nous, quand il passe. C'est plus de 60 sorties de course au total. C'est du dépassement à toutes les sorties. C'est de la douleur physique et mentale. C'est du découragement. C'est du doute. Mais c'est surtout... beaucoup de temps seul avec moi-même. Puis je te dirais que le déclic s'est produit environ après cinq semaines d'entraînement et d'efforts constants. Tous ces kilomètres parcourus dans la solitude m'ont permis de faire une grande introspective. Et j'ai réalisé que je n'avais pas du tout le bon mindset pour conserver ma motivation d'aller jusqu'au bout de ce défi. Parce que personne ne m'attendait à la ligne d'arrivée de mes entraînements pour me féliciter. Personne ne me récompensait pour les 12 kilomètres que je venais de faire au lever du jour. Un dimanche matin de juillet, personne d'autre que moi. Et c'est là que j'ai compris. J'ai compris que je dois être fière de moi. J'ai compris que je cours pour moi. J'ai compris que ma motivation doit venir de l'intérieur de moi. Les dix semaines suivantes d'entraînement ont été plus douces, légères et valorisantes. Une grande libération ! En plus, j'ai commencé à appliquer cette façon de penser dans toutes les autres sphères de ma vie. Et quelle transformation sur tous les plans de ma vie ! Je te rassure, t'as pas à t'inscrire à un demi-marathon pour faire ce travail sur toi, OK ? Si, c'est pas quelque chose qui te... te parle, t'as pas besoin d'aller t'inscrire à un demi-marathon. Mais tu peux toujours le faire si t'en as envie. Je te le dis, c'est un beau dépassement de soi. Mais ma petite mise en garde ici, c'est fais confiance au processus. Je te le dis souvent à travers mes épisodes, puis je vais te le redire régulièrement encore. Pourquoi ? Parce que tu peux pas changer 20 ans, 30 ans ou... 40 ans de mauvaises pensées en une semaine. Si j'avais la recette miracle, je te jure que je te partagerais. Mais sans avoir la formule de l'instantanéité, je te partage ici des pratiques que j'ai moi-même faites et continue à faire pour me mettre dans des bons mindsets, dans un bon état d'esprit, si tu veux en bon français. Je les partage également à mes clients en accompagnement privé et les retours sont positifs. Donc, je ne suis pas gênée de te dire que ça fonctionne. Mais ça fonctionne si tu le fais. Si tu fais juste écouter aujourd'hui et que tu ne mets rien en application, ça ne fonctionnera pas évidemment. Tu sais que tout passe par l'action. Une des premières choses que tu peux faire, c'est l'exercice de l'inventaire de tes succès personnels. Prends-tu le temps de faire ça ? On est bon pour voir où est-ce qu'on a eu des échecs, où est-ce que ça n'a pas bien été. Mais quand vient le temps de faire une introspection sur nos succès personnels, on dirait qu'on ne prend jamais le temps de s'attarder pour ça. Donc, ce que tu peux faire, tu prends une feuille et tu notes cinq moments où tu as accompli quelque chose dont tu es fier, peu importe la taille de l'accomplissement. C'est bien important ici. Peu importe la taille de l'accomplissement. Ça n'a pas besoin d'être un demi-marathon. Comme moi, j'aurais dû mettre sur ma feuille courir 5 km. Même ma première vraie sortie de course, qui était possiblement 1 km environ, c'est une fierté pour quelqu'un qui n'a jamais couru avant. Prends une feuille de papier, note les cinq moments où tu as accompli quelque chose dont tu es fier, peu importe la taille de l'accomplissement. Et relis cette liste chaque fois que tu ressens que tu n'es pas assez. Puis permets-toi de la bonifier, de l'augmenter. Je t'ai dit cinq moments parce que des fois, pour quelqu'un qui n'a pas l'habitude de faire ça, ça peut être énorme. Mais si tu en as plus, vas-y. Puis quand tu as une baisse d'énergie, quand tu te dis « Ah non, ça c'est pas assez, j'ai peut-être pas assez donné » , retourne lire. Sois fier de toi. Il y a aussi l'exercice du miroir. Le fameux exercice du miroir. Se regarder dans un miroir, se nommer avec bienveillance. Qu'est-ce que je veux dire par là ? Ça veut dire je suis assez. Parce que j'ai fait ceci ou cela, peu importe ce que tu veux dire. Mais parce que je suis moi. Avec mes forces et mes imperfections. C'est puissant, hein ? Tu sais, moi, je te l'ai dit, c'est mon enregistrement numéro 6 de podcast. Je pourrais me taper sur la tête, je voulais être absolument constante. J'ai eu beaucoup de choses dans ma vie qui ont fait en sorte que j'ai dû mettre quelques semaines sur pause. Je pourrais me dire que je ne suis pas bonne, mais non. Je me dis, je suis assez parce que j'ai fait cet épisode-ci. Je suis en train d'enregistrer mon épisode numéro 6. Puis parce que je suis moi, avec mes forces et mes imperfections. C'est correct. C'est correct d'être ainsi. C'est normal, en fait, d'être ainsi. Fait que prends le temps de te regarder dans le miroir et de te parler franchement, mais surtout de te parler avec amour. On oublie de se parler avec amour. C'est vraiment important. Une autre chose que tu peux faire, c'est de changer la question intérieure. Qu'est-ce que je veux dire par là ? Au lieu de demander, est-ce que c'était... Est-ce que c'était assez bien ? Est-ce que c'était bon ? On se demande toujours ça. On le demande aux autres parce que justement, on veut la valorisation du monde extérieur. Mais là, même envers nous-mêmes, « Ah, il me semble que ce n'était pas assez. Il me semble que j'aurais pu faire plus. Il me semble que si j'avais fait ça, ça aurait été mieux. Ah, j'ai oublié de dire telle chose. Ah, peut-être que j'aurais pu positionner telle chose avant l'autre. » On est toujours en train de reconstruire ce qu'on a fait. Au lieu de ça, qu'est-ce que tu penserais de dire de... questionner, à dire, est-ce que j'ai donné le meilleur de moi aujourd'hui avec ce que j'avais entre les mains ? Pense-y. La plupart du temps, c'est ce qu'on fait. On donne le meilleur de soi-même. On donne le meilleur de soi-même dans la situation dans laquelle on est, avec les circonstances qui nous entourent. On donne le meilleur de nous-mêmes. C'est comme ça. Si tu écoutes ce podcast-ci, c'est sûr que tu es une personne comme ça. Tu veux toujours donner le meilleur de toi-même. Donc, tu donnes le meilleur de toi-même avec ce que tu as au moment où est-ce que ça se présente. Donc, sois reconnaissant pour ça. Donc, change ta question. Arrête de te demander « est-ce que j'ai fait assez ? Est-ce que j'aurais pu faire plus ? » Non. Questionne-toi plutôt « est-ce que j'ai donné le meilleur de moi-même aujourd'hui avec ce que j'avais entre les mains ? » Tu vas voir, la réponse va être souvent « oui » . Ça fait du bien, hein ? Tu t'ouvres pas. Puis, une dernière chose, je te dirais pratique la gratitude. personnelles. On l'entend souvent, il faut faire preuve de gratitude, il faut être reconnaissant pour ce qu'on a, il faut être dans la gratitude envers plein de choses dans la vie. Ça peut sonner cliché, ça peut sonner un peu trop spirituel pour toi, mais je te garantis, ça fonctionne. Ça fonctionne parce que trop souvent, on ne prend pas le temps de s'arrêter et d'apprécier ce qui nous entoure. On prend tout pour acquis. Mais quand tu t'arrêtes, et que tu réalises les gratitudes. Comme je te propose ici, c'est de le faire à chaque soir. Ou tu peux le faire à tous les matins aussi. Moi, j'aime bien le faire le soir parce que ça fait un retour sur ta journée. Parce que souvent, on va se coucher le soir et on va dire « Ah oui, aujourd'hui, je n'ai pas fait ça. Je n'ai pas fait ça. Ah non, j'ai oublié de plier mon linge. » Peu importe quoi. Mais dis-toi si tu te couchais en disant trois gratitudes, trois choses pour lesquelles ça fait que ta journée, t'as eu une belle journée puis que ça t'a rendu fière dans ta journée. Si aujourd'hui, t'as décidé de sortir dehors, durant le temps que j'enregistre aujourd'hui, il y a un soleil magnifique. T'as pris le temps de sortir dehors pour dix minutes, chose que tu ne fais jamais normalement. Sois fière, sois en gratitude. Merci. d'être sorti aujourd'hui et d'avoir profité du beau temps. Merci pour ce beau soleil. Merci pour cette dose d'énergie. Parce qu'on le sait, le soleil, c'est une source d'énergie incroyable. Donc, prends vraiment le temps. Ça n'a pas besoin, regarde. Ça n'a pas besoin d'être grandiose. Je viens de te dire, si tu es sorti dix minutes dehors pour profiter du soleil et que c'est quelque chose que tu ne fais jamais, c'est grandiose pour toi. Donc, sois en gratitude pour ça. Ça peut être juste d'avoir pris soin de toi. C'est suffisant. Si aujourd'hui, tu as décidé de prendre un bain parce que tu avais besoin de ça, de ce moment de relaxation, sois en gratitude pour ce moment-là, ce moment que tu as pris pour toi. Parce que pense à toutes les autres fois que tu n'as pas pris ce temps-là pour toi. Sois en gratitude, sois reconnaissant. Donc, je te répète les quatre astuces que je t'ai mentionnées. Faire l'exercice de l'inventaire de tes succès personnels. Il y a l'exercice du miroir. Il y a de changer ta question intérieure et il y a la pratique de la gratitude personnelle. Je t'encourage fortement à mettre une ou plusieurs de ces pratiques-là en action dès maintenant. Puis comme je dis toujours, je suis toujours curieuse de savoir comment ça se passe. Donc, si tu as le goût de venir partager avec moi, ça me fait grand plaisir de te lire par la suite. Donc, je termine l'enregistrement de cet épisode avec la conviction que je vais changer la vie d'au moins. une personne aujourd'hui. Si cette personne est toi, eh bien, merci de venir me le partager. En terminant, si tu as trouvé de la valeur dans cet épisode, merci de laisser un commentaire ou même de le partager avec un ami proche de toi qui a besoin d'entendre ce message. On se voit la semaine prochaine et n'oublie jamais, tu es ta priorité, sois toi pour toi.

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