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L'esprit du temps

Le refus du corps comme destin

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1h55 |22/07/2023
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Il s’est produit dans les sociétés occidentales, à partir de la fin des années 1960, ce que la sociologue Dominique Memmi a appelé un double refus du « corps comme destin », qui s’est traduit d’une part en une résistance croissante à toute emprise sur les corps, et d’autre part en un refus de toute assignation à une destinée particulière en raison d’un trait corporel, qu’il s’agisse du sexe biologique, de la couleur de peau ou d’un handicap. Le corps, libéré des injonctions extérieures, devient alors un outil possible, un endroit, un palimpseste où signifier son ineffable singularité. C’est ainsi que l’on peut comprendre la massification de pratiques telles que le tatouage, ou la chirurgie esthétique. Que nous dit cette montée en puissance du corps comme support d’identité sur les transformations des sociétés contemporaines ?

Débat animé par Anne Dujin, rédactrice en chef d'Esprit

Rencontre enregistré le 4 novembre 2022, dans le cadre du partenariat avec Citéphilo.



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Il s’est produit dans les sociétés occidentales, à partir de la fin des années 1960, ce que la sociologue Dominique Memmi a appelé un double refus du « corps comme destin », qui s’est traduit d’une part en une résistance croissante à toute emprise sur les corps, et d’autre part en un refus de toute assignation à une destinée particulière en raison d’un trait corporel, qu’il s’agisse du sexe biologique, de la couleur de peau ou d’un handicap. Le corps, libéré des injonctions extérieures, devient alors un outil possible, un endroit, un palimpseste où signifier son ineffable singularité. C’est ainsi que l’on peut comprendre la massification de pratiques telles que le tatouage, ou la chirurgie esthétique. Que nous dit cette montée en puissance du corps comme support d’identité sur les transformations des sociétés contemporaines ?

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