undefined cover
undefined cover
#57 - Coup de blouse cover
#57 - Coup de blouse cover
L'Horreur Du Dimanche

#57 - Coup de blouse

#57 - Coup de blouse

1h37 |14/09/2025
Play
undefined cover
undefined cover
#57 - Coup de blouse cover
#57 - Coup de blouse cover
L'Horreur Du Dimanche

#57 - Coup de blouse

#57 - Coup de blouse

1h37 |14/09/2025
Play

Description

C'est la rentrée de l'Horreur du Dimanche !

Aujourd’hui on parle de savants fous qui n'ont plus tous les fils qui se touchent et de films horreurs.


Les films de l'épisode :

- 5'00" Minor Premise [Eric Schultz]

- 19'51" Au-delà du réel [Ken Russell]

- 41'26" Virus [Kinji Fukasaku]

- 62'13" Invisible man [Leigh Whannell]


Quelques recos (89'00") :

- Lola recommande la cancoillotte à l'ail contre la déprime de la rentrée
- Léo a vu Alpha de Julia Ducournau, et on aime toustes

- Thomas recommande la chaîne du militant politique Wissam Xelka

- Camille soutient le vidéoclub JM Vidéo, en difficulté financière, qui est un des derniers à Paris


⚠️ Attention aux spoilers ⚠️


Lien pour soutenir JM Vidéo : https://fr.ulule.com/jm-video-a-besoin-de-vous/


Réalisation et musique : Brice Thierion

Identité visuelle : Noah Ballul


Pour nous aider n'hésitez pas à nous suivre @lhorreurdudimanche, à vous abonner et à mettre des étoiles sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Podcast Addict, ...😍


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #1

    Le retour du dimanche Le retour du dimanche

  • Speaker #0

    L'horreur

  • Speaker #1

    Le retour du dimanche

  • Speaker #0

    Hello les gens, du dimanche, l'horreur du dimanche, comment ça va ?

  • Speaker #1

    l'horreur du dimanche,

  • Speaker #2

    l'horreur du dimanche.

  • Speaker #1

    A cab !

  • Speaker #0

    Hello les gens, A cab ! comment ça va ? À cab ! À cab. C'est parti. C'est parti ! Bienvenue dans l'horreur du dimanche, Bienvenue dans l'horreur du dimanche, le podcast des films qui font bader, le podcast des films qui font bader. Le podcast de la frousse molle au chaud dans son canapé. le podcast de la frousse molle au chaud dans son canapé, Le podcast blablabla. le podcast blablabla, J'écris tout avec chat GPT, j'écris tout avec chat GPT, de toute façon, de toute façon je m'en... je m'en fous. fou. Mon prompt c'était, Mon prompt, c'était écris-moi une intro en vert dans le style de François Ruffin. écris-moi une intro en vert dans le style de François Ruffin. Donc ça a fait ça. Donc ça a fait ça. Oh non !

  • Speaker #3

    François Ruffin avant ou François Ruffin maintenant ?

  • Speaker #2

    François Ruffin avant ou François Ruffin maintenant ?

  • Speaker #0

    Maintenant, Maintenant, tu sais, tu sais, il fait les rimes. il fait les rimes. Bon allez, Bon allez, on va parler un peu plus sérieux. on va parler un peu plus sérieux. Ça a été les vacances ?

  • Speaker #1

    été et vacances ?

  • Speaker #0

    Ouais. Ouais. On a bien bronzé dans les résidences secondaires. On a bien bronzé dans les résidences secondaires. Hein ?

  • Speaker #3

    Dans tous les Hilton de la Terre.

  • Speaker #2

    Dans tous les Hilton de la Terre.

  • Speaker #0

    Non en vrai je sais que vous êtes pas ce genre d'auditeur et d'auditrice En vrai, je sais que vous n'êtes pas ce genre d'auditeur et d'auditrice, Quoique quoique, Pendant notre break estival Lola m'a montré que Renaissance pendant notre break estival, Lola m'a montré que Renaissance 19ème arrondissement nous avait follow Ouais s'il vous plaît 19e arrondissement nous avait follow.

  • Speaker #2

    Je les ai bloqués

  • Speaker #1

    Je les ai bloqués

  • Speaker #2

    Cassez-vous si vous nous écoutez Arrêtez de nous écouter

  • Speaker #3

    Cassez vous si vous nous écoutez arrêtez de nous écouter

  • Speaker #0

    On est colère là Renaissance 19ème arrondissement Du coup j'ai passé Les vacances de merde Je suis en dépression et je suis reparti Dans une phase de deep introspection

  • Speaker #2

    On est colère là

  • Speaker #0

    Du coup j'ai passé Les vacances de merde Je suis en dépression Et je suis reparti dans une phase de deep introspection En me demandant si j'étais vraiment that kind of droitard. En me demandant si j'étais vraiment That kind of droitard Est-ce à cause de mes positions réactionnaires sur Spring Breakers que je n'aime pas ? Est-ce à cause de mes positions réactionnaires Sur Spring Breakers que je n'aime pas J'ai pourtant fait mon mea culpa auprès d'Harmonie Corrine. J'ai pourtant fait mon mea culpa auprès d'Harmonie Corrine Est-ce à cause de ma chronique de cranc ? Est-ce à cause de ma chronique de cranc Merci. Et c'est à cause de mon flot marinière comptoir des cotonniers ? Est-ce à cause de mon flot marinière comptoir des cotonniers ? Je vois pas le problème. Je vois pas le problème.

  • Speaker #1

    Je pense que c'est parce qu'on a parlé de Christian Clavier. Je pense que c'est parce qu'on a parlé de Christian Clavier.

  • Speaker #0

    Peut-être.

  • Speaker #1

    Peut-être.

  • Speaker #0

    Ah j'avais pas pensé. Ah, j'avais pas pensé.

  • Speaker #1

    Ça leur a mis la puce à l'oreille. Ça leur a mis la puce à l'oreille.

  • Speaker #3

    Le C.

  • Speaker #2

    Le C.

  • Speaker #0

    Est-ce à cause de la énième startup Floppes ayant bénéficié de cadeaux fiscaux montés par Camille ? Est-ce à cause de la énième start-up Floppes qui ayant bénéficié de cadeaux fiscaux montés par Camille ? Est-ce à cause...

  • Speaker #1

    D'accord.

  • Speaker #0

    Gratuit ! Attends Camille, on sait tous, l'auto-entreprise, Est-ce à cause de Lola qui n'a pas de carte vitale tant elle ne veut pas creuser la dette ? on sait tous ce que ça veut dire. Est-ce à cause de Lola qui n'a pas de carte vitale tant elle ne veut pas creuser la dette ? Elle préfère data-miner ? Elle préfère data miner ? Putain mon micro se barre ! Putain, mon micro se barre. Est-ce à cause du t-shirt Queen B for Brigitte arboré par Léo à chaque enregistrement ? Est-ce à cause du t-shirt Queen Bee for Brigitte arboré par Léo à chaque enregistrement ?

  • Speaker #3

    Ah putain,

  • Speaker #2

    Putain mais faut pas le dire ça les gens le voient pas

  • Speaker #3

    mais faut pas le dire, ça les gens le voient pas.

  • Speaker #2

    Renaissance 19 le sait Ils sont par la fenêtre ils nous voient là comme ça

  • Speaker #1

    Renaissance 19 le sait apparemment.

  • Speaker #3

    Ils sont par la fenêtre, ils nous voient là, comme ça.

  • Speaker #0

    Franchement je vois toujours pas le problème Franchement, je vois toujours pas le problème. Bon, Bon je ne peux pas fake plus longtemps Les gens de Renaissance vous pouvez nous écouter je ne peux pas fake plus longtemps, les gens de Renaissance, vous pouvez nous écouter pour devenir meilleurs, Pour devenir meilleur, il n'y a pas de problème. il n'y a pas de problème, Moi, moi je suis pour vous aider à sortir de votre sauce. je suis pour vous aider à sortir de votre sauce. Par contre SVP, Par contre, SVP, venez pas nous follow, venez pas nous follow, c'est gênant et ça me nique mes vacances. c'est gênant et ça me nique mes vacances.

  • Speaker #3

    Ne nous mettez pas dans cette position par rapport aux gens qui nous suivent.

  • Speaker #2

    Ne nous mettez pas dans cette position par rapport aux gens qui nous suivent.

  • Speaker #0

    Et puis après je suis obligé de reprendre mes gouttes.

  • Speaker #2

    Et puis après,

  • Speaker #0

    je suis obligé de reprendre mes gouttes. Ceci étant dit... Ceci étant dit...

  • Speaker #3

    On a une réputation à dire.

  • Speaker #2

    On a une réputation à dire.

  • Speaker #1

    De l'homéopathie. De l'homéopathie, Et voilà. et voilà.

  • Speaker #0

    Ceci étant dit, Ceci étant dit, du coup, du coup c'est l'épisode de la rentrée. c'est l'épisode de la rentrée. Donc le thème, Donc le thème, parce qu'on est des oufs, parce qu'on est des oufs, c'est physique-chimie. c'est physique-chimie. Bon alors vas-y, Bon, alors, il y a une anecdote. Le thème, c'est pas con. Anecdote, anecdote, parce qu'en vrai, parce qu'en vrai c'est un peu un trauma. c'est un peu un trauma. Quand j'étais au lycée, Quand j'étais au lycée, j'avais une prof de physique chimique qui s'appelait Madame L. j'avais une prof de physique chimique qui s'appelait Madame L, Je ne sais pas si j'ai le droit de la doxer ou pas. je sais pas si j'ai le droit de la doxer ou pas, De toute façon, de toute façon elle se reconnaîtra parce qu'elle doit sûrement nous écouter. elle se reconnaîtra parce qu'elle doit sûrement nous écouter. Et bien Madame L, Madame L, quand j'arrivais en cours en retard et sans blouse, quand j'arrivais en cours en retard et sans blouse, elle me disait elle me disait « pas de blouse, « pas de blouse, pas de manipulation » . pas de manipulation » .

  • Speaker #3

    Elle avait l'accent du sud ?

  • Speaker #2

    Elle avait l'accent du Sud ?

  • Speaker #0

    Elle avait un accent bizarre, Exact, elle avait un accent bizarre en fait, en fait. c'était un mélange d'accent du sud et peut-être basque un peu, C'était un mélange d'accent du Sud et peut-être basque, je sais pas. je ne sais pas. Et du coup j'y repense souvent dans mon boulot aujourd'hui, Du coup, j'y repense souvent dans mon boulot aujourd'hui. pas de blouse, Pas de blouse, pas de manipulation. pas de manipulation. Et puis elle avait aussi une belle analyse de la société patriarcale dont elle nous a fait part une fois. et puis elle avait aussi une belle analyse de la société patriarcale dont elle nous a fait part une fois donc je cite madame L les électrons c'est comme les hommes ils n'aiment pas être seuls bon voilà ça suffit comme justification pour pour ce Donc je cite Madame L. Les électrons c'est comme les hommes, ils n'aiment pas être seuls. Bon voilà, ça suffit comme justification pour... Pour ce thème, thème tu vois tu as retenu un très beau dicton les électrons ça va les copains sinon la frite moi la frite l'Afrique.

  • Speaker #1

    tu vois tu as retenu.

  • Speaker #3

    C'est un très beau dicton.

  • Speaker #2

    Les électrons.

  • Speaker #0

    Ça va les copains sinon ? Lélé, la frite ?

  • Speaker #3

    Moi la frite. La Frite au Max, on a mangé des frites en manif aujourd'hui donc c'était super.

  • Speaker #2

    On a mangé des frites en manif aujourd'hui, donc c'était super.

  • Speaker #0

    D'ailleurs j'aime bien, D'ailleurs, j'aime bien, t'as appelé Lélé la frite, t'as appelé Lélé la frite. je trouve que ça sonne bien. Je trouve que ça sonne bien. Continue si tu veux.

  • Speaker #3

    Continue si tu veux.

  • Speaker #0

    Camille ! Camille !

  • Speaker #3

    C'est un AVC ou du DJing ?

  • Speaker #2

    C'est un AVC ou du DJing ?

  • Speaker #3

    On sait pas trop.

  • Speaker #2

    On sait pas trop.

  • Speaker #1

    Ça va Camille ?

  • Speaker #0

    Ça va Camille ? ça va super je suis trop contente d'être avec vous t'étais team Ellipse ou Manuata on en a pas parlé les deux t'étais les deux j'ai pas regardé tous les ans je me disais c'est pour ça je te posais la question moi j'étais pour les deux t'étais pour les deux pour la France en général t'étais pas déçue et

  • Speaker #1

    Ça va super, je suis trop contente d'être avec vous.

  • Speaker #0

    T'étais team Ellipse ou Manuata ? On en a pas parlé.

  • Speaker #1

    J'ai pas regardé !

  • Speaker #0

    je me disais c'est pour ça que je te posais la question moi j'étais pour les deux t'étais pour les deux ouais pour la France en général t'es pas déçu et Lola ouais tranquille ouais pas de migal dans ton PQ pendant ses vacances non ça a été, Lola tranquille pas de migal dans ton PQ pendant ses vacances non ça a été je n'avais pas là où j'étais de PQ ouais donc ça c'est ça c'est une anecdote private joke et d'ailleurs quand on deviendra payant on fera payer cette anecdote

  • Speaker #2

    il y en avait pas là où j'étais de PQ ?

  • Speaker #0

    donc ça c'est une anecdote private joke et d'ailleurs quand on deviendra payant on fera payer cette anecdote en podcast et à la technique c'est vraiment un business model ça et à la technique c'est toujours le règne du despote Brice Thirion d'ailleurs j'ai un message pour toi et à la technique c'est vraiment un business model ça et à la technique c'est toujours le règne du despote Brice Thirion d'ailleurs j'ai un message pour toi Thirion démission

  • Speaker #1

    Thirion !

  • Speaker #0

    démission Tyrion explosion Thirion explosion Thirion putain explosion bravo c'est super voilà l'horreur du dimanche épisode 57 c'est parti c'est maintenant Tyrion putain il a fait le putain explosion bravo c'est super voilà putain l'horreur du dimanche épisode 57 c'est parti c'est maintenant et bah on continue Et on commence tout de suite avec le premier film de l'épisode, On commence tout de suite avec le premier film de l'épisode, c'est moi, c'est moi, c'est moi, c'est moi, c'est moi. c'est moi. C'est mineur prémise le film. C'est minor prémise le film.

  • Speaker #2

    Ouais bah,

  • Speaker #3

    Ouais bah au lieu de dire c'est moi,

  • Speaker #2

    au lieu de dire c'est moi, c'est moi,

  • Speaker #3

    c'est moi,

  • Speaker #2

    c'est moi.

  • Speaker #3

    c'est moi.

  • Speaker #0

    C'est mineur prémise. C'est minor prémise. Ok,

  • Speaker #3

    Ok,

  • Speaker #2

    donc on a la section 1,

  • Speaker #3

    donc on a la section 1, l'anxiété,

  • Speaker #0

    l'anxiété,

  • Speaker #3

    puis l'angoisse.

  • Speaker #2

    puis l'angoisse.

  • Speaker #1

    La section 5 est l'intellect. La section 5 est l'intellect.

  • Speaker #0

    Au lieu de supprimer mes émotions compétentes, Au lieu de supprimer mes émotions compétentes, il me semble qu'on les a isolées. il me semble qu'on les a isolées.

  • Speaker #1

    Et la section 9... Et la section 9... Euphoria.

  • Speaker #0

    Euphoria.

  • Speaker #2

    Donc on a juste besoin de la section

  • Speaker #3

    Donc on a juste besoin de la section

  • Speaker #1

    8. Qui est ce gars ? 8. Qui est ce gars ?

  • Speaker #0

    Et oui, Eh oui, et oui, eh oui, et oui, eh oui ! Minor Premise, Minor Premise, film réalisé par film réalisé par Eric Schultz, Eric Schultz. Et c'est le seul et unique long métrage à ce jour réalisé par ce monsieur. et c'est le seul et unique long métrage à ce jour réalisé par ce monsieur. Film qui n'a pas coûté très cher. Film qui n'a pas coûté très cher, Moins d'un million, moins d'un million je crois, je crois. Deux dollars. deux dollars, Et le film met en scène et le film met en scène Satya Sridharan dans le rôle d'Ethan. Satya Sridharan dans le rôle d'Ethan. Alors cet acteur, Alors cet acteur, je ne peux pas vous donner de... je ne peux pas vous donner de... Il n'a pas de fiche Wikipédia, Il n'a pas de fiche Wikipédia, donc je ne peux pas vous dire ce qu'il a fait d'autre. donc... Je ne vais pas vous dire ce qu'il a fait d'autre. Peyton Ashbrook, Peyton Ashbrook, qui joue le rôle de Ali, qui joue le rôle d'Ali. et Et Dana Ashbrook, Dana Ashbrook, qui joue le rôle de Malcolm. qui joue le rôle de Malcolm. Lui, Lui, il a joué un rôle de figuration dans l'attaque des tomates tueuses. il a joué un rôle de figuration dans l'attaque des tomates tueuses.

  • Speaker #2

    Ah,

  • Speaker #3

    Moi,

  • Speaker #2

    moi, je connaissais l'attaque de la moussaka géante,

  • Speaker #3

    je connaissais l'attaque de la moussaka géante, mais pas des tomates tueuses.

  • Speaker #2

    mais pas des tomates tueuses.

  • Speaker #3

    Ah si,

  • Speaker #0

    Ah si, si, si, je crois que c'est avec George Clooney. je crois que c'est avec Georges Clooney. Super. Super. Donc, Donc, Minor Prémise, Minor Premise, ça raconte l'histoire d'Ethan. ça raconte l'histoire d'Ethan, Alors, je ne sais plus son nom de famille, je ne sais plus son nom de famille. petit prodige des neurosciences, Petit prodige des neurosciences, fils de Paul, fils de Paul, je ne sais plus son nom de famille non plus. je ne sais plus son nom de famille non plus. Au moment où j'ai écrit ces lignes, au moment où j'ai écrit ces lignes j'ai pas retrouvé la section mémoire qui est associée exactement, je n'ai pas retrouvé.

  • Speaker #3

    La section mémoire qui est associée.

  • Speaker #0

    Exactement. Et avec son daddy, et avec son daddy Ethan a inventé une machine pour traiter les informations produites par le cerveau lors d'un effort de remémoration afin de voir se matérialiser devant les yeux ébahis des investisseurs nos souvenirs en Ethan a inventé une machine pour traiter les informations produites par le cerveau lors d'un effort de remémoration afin de voir se matérialiser devant les yeux ébahis des investisseurs nos souvenirs en 480p sur un écran. 480p sur un écran alors à quoi ça sert tout ça alors qu'on fait de la 4K avec un iPhone et bien a priori ça permettrait d'effacer les 10 ou Alors, à quoi ça sert tout ça alors qu'on fait de la 4K avec un iPhone ? Eh bien, a priori, ça permettrait d'effacer les dix souvenirs et aussi de modifier la personnalité des gens. venir et aussi de modifier la personnalité des gens et ça j'ai pas trop compris comment et bon voilà alors Ethan Miskin il a perdu son père et il y a peu et du coup sa vie maintenant c'est un peu d'être un gros connard avec tout le monde donc avec ses étudiants qui l'engueulent parce qu'ils osent le critiquer sur le fait que ses ambitions avec Et ça, je n'ai pas trop compris comment. Et bon, voilà. Alors, Ethan Miskin, il a perdu son père. Et il y a peu. Et du coup, sa vie maintenant, c'est un peu d'être un gros connard avec tout le monde. Donc, avec ses étudiants qui l'engueulent parce qu'ils osent le critiquer sur le fait que ses ambitions avec sa nouvelle machine de con... sa nouvelle machine de con, il veut devenir Elon Musk donc il trouve ça un peu problématique il engueule aussi son ex Ali dont on comprend pourquoi elle a bien fait de se barrer Oui. Il veut devenir Elon Musk, donc il trouve ça un peu problématique. Il engueule aussi son ex, Ali, dont on comprend pourquoi elle a bien fait de se barrer. Et puis, Et puis, il engueule aussi son investisseur, il engueule aussi son investisseur, agent, agent, collaborateur Malcolm, collaborateur, Malcolm, qui a de toute façon, qui a de toute façon, lui aussi, lui aussi, d'être un maxi connard. d'être un maxi-cona. Et donc, Et donc, quand il se comporte pas mal avec tout le monde, quand il se comporte pas mal avec tout le monde, il kill des bouteilles de Jack Daniels. il kill des bouteilles de Jack Daniels. Et donc, Et donc, un soir, un soir, alors qu'il est bien bourré... alors qu'il est bien bourré, il se passe dans sa machine parce qu'il veut booster son intellect et sa productivité. il se passe dans sa machine parce qu'il veut booster son intellect et sa productivité. Et au lieu d'obtenir l'effet escompté, Et au lieu d'obtenir l'effet escompté, il se retrouve dissocié. il se retrouve dissocié. C'est-à-dire que toutes les trois minutes, C'est-à-dire que toutes les 3 minutes... il est habité par une... Six minutes. Ah oui, c'est six minutes, pardon. Elle a bien fait son train. Toutes les six minutes, Il est habité par une nouvelle facette de sa psyché, il est habité par une nouvelle facette de sa psyché fragmentée en huit ou neuf, fragmentée en à peu près, 8 ou 9. je ne sais plus. 9. Merci Camille qui a pris des notes Merci Camille qui a pris des notes. Et donc aidé par son ex Ali avec laquelle il se comportera Et donc, aidé par son ex, Ali, avec laquelle il se comportera de bout en bout comme un gros connard, De bout en bout comme un gros connard Il devra tenter de trouver la solution De l'équation qui permettra il devra tenter de trouver la solution de l'équation qui permettra sa réintégration. Sa réintégration Qui lui permettra de revenir une seule et unique personne Un gros connard qui lui permettra de revenir une seule et unique personne.

  • Speaker #2

    Un gros connard.

  • Speaker #0

    Et d'ailleurs, Et d'ailleurs c'est à mon sens La question posée par le film Est-ce qu'être un gros connard C'est un tout ou la somme De plusieurs fragments de connards c'est à mon sens la question posée par le film. Est-ce qu'être un gros connard, c'est un tout, ou la somme de plusieurs fragments de connards ? Eh bien, Eh bien, j'ai donc la réponse. j'ai donc la réponse. Ethan agressif est un connard. Ethan agressif est un connard, Ethan euphorique est un connard. Ethan euphorique est un connard, Ethan intello est un connard. Ethan intello est un connard, Ethan créatif est un connard qui dessine par terre. Ethan créatif est un connard qui dessine par terre. Ethan... Enfin bref, Enfin bref, vous avez compris. vous avez compris. Donc, donc le film est une espèce de de le film est une espèce de... De Nolan, De Nolan dans le montage et dans le choix de l'intrigue. dans le montage et dans le choix de l'intrigue, Un peu moins cher. un peu moins cher. Mais en vrai, Mais en vrai, ça passe, ça passe, ça m'a diverti. ça m'a diverti. Parce que moi, Parce que moi, d'une manière générale, d'une manière générale, c'est vrai que j'ai toujours tendance à apprécier, c'est vrai que j'ai toujours tendance à apprécier... de manière un petit peu, de manière un peu... peut-être, voilà, je suis un peu client, Je suis un peu client. quoi. J'aime toujours bien les films qui essayent de faire beaucoup avec peu, J'aime toujours bien les films qui essayent de faire beaucoup avec peu, avec peu de moyens. avec peu de moyens. Et autre point intéressant, Et autre point intéressant, mais bon, mais qui reste quand même du défonçage de porte ouverte, qui reste quand même du défonçage de porte ouverte. Il y a une forme de convergence formelle entre ce qui se passe à l'intérieur du personnage et à l'extérieur. il y a une forme de convergence formelle entre ce qui se passe à l'intérieur du personnage et à l'extérieur. Il est un peu enfermé à l'intérieur de son appartement. Il est un peu enfermé à l'intérieur de son appartement. Voilà, bon, bon c'est pas terrible, c'est pas terrible, ça fait pas un film mais en tout cas moi ça en fait un thriller divertissant d'une heure trente et voilà et voilà j'ai pas spécialement envie de le défendre mais j'ai pas spécialement envie de le défoncer non plus je trouve le film un bon divertissement et ça fait pas un film. Mais en tout cas, moi, ça en fait un thriller divertissant d'une heure trente. Et voilà, j'ai pas spécialement envie de le défendre. Mais j'ai pas spécialement envie de le défoncer non plus. Je trouve le film un bon divertissement. Et je trouve que, je trouve que en fait ça me fait plaisir de voir quelqu'un qui essaye et qui essaye d'aller un peu au bout de ce qu'il a envie de faire et voilà donc pourquoi pas en fait, ça me fait plaisir de voir quelqu'un qui essaye et qui essaye d'aller un peu au bout de ce qu'il a envie de faire. Et voilà. Mais donc, pourquoi pas ? Par contre, Par contre, c'est vrai que, c'est vrai que... ouais, bon, Vous parlez du personnage d'Ethan qui est insupportable de bout en bout. parler du personnage d'Ethan qui est insupportable de bout en bout. Voilà. Vous en avez pensé quoi ? Vous en avez pensé quoi ? Allez-y, Allez-y, vous pouvez... vous pouvez...

  • Speaker #3

    Ouais. Moi, je suis...

  • Speaker #2

    Moi, je suis d'accord avec toi.

  • Speaker #3

    Non, je suis d'accord avec toi.

  • Speaker #2

    Par contre,

  • Speaker #3

    Par contre,

  • Speaker #2

    Tabuz,

  • Speaker #3

    Tabuz,

  • Speaker #2

    il a une page Wikipédia,

  • Speaker #3

    il a une page Wikipédia,

  • Speaker #2

    Satya

  • Speaker #3

    Satya

  • Speaker #2

    Sridharan. Écoute,

  • Speaker #0

    Sridharan. Eh ben, écoute, sur le Wiki français, sur le Wiki français, il n'en a pas. il n'en a pas.

  • Speaker #2

    J'ai un VPN.

  • Speaker #3

    J'ai un VPN.

  • Speaker #0

    Ah ok ok ok.

  • Speaker #3

    C'est la queue ça.

  • Speaker #2

    Il accuse.

  • Speaker #3

    Il a quand même eu des tout petits rôles avant.

  • Speaker #2

    Il a quand même eu des tout petits rôles avant.

  • Speaker #3

    Mais ouais moi je trouve que pour une production plutôt fauchée,

  • Speaker #2

    Je trouve que pour une production de plutôt fauché, tu l'as dit.

  • Speaker #3

    tu l'as dit.

  • Speaker #0

    Et puis lui il est bien comme acteur en vrai. Et puis lui, il est bien comme acteur. Oui,

  • Speaker #3

    Ouais il est très bien et moi j'ai trouvé ça vraiment pas mal,

  • Speaker #2

    il est très bien. Moi, j'ai trouvé ça vraiment pas mal. Comme tu dis,

  • Speaker #3

    comme tu dis c'est un bon divertissement.

  • Speaker #2

    c'est un bon divertissement.

  • Speaker #3

    Il y a cette construction non linéaire qu'on a déjà vue,

  • Speaker #2

    Il y a cette construction non linéaire qu'on a déjà vue. Tu disais Nolan,

  • Speaker #3

    tu disais Nolan effectivement.

  • Speaker #2

    effectivement.

  • Speaker #3

    surtout dans ce genre de film mais je trouve que ça fonctionne comme tu dis il va au bout de son truc on sent qu'il avait envie de parler de ça et puis surtout sur le côté scientifique je sais que ça

  • Speaker #2

    Surtout dans ce genre de film. Mais je trouve que ça fonctionne. Comme tu dis, il va au bout de son truc. On sent qu'il avait envie de parler de ça. Et puis, surtout sur le côté scientifique, je sais que ça lui tenait vachement à cœur de travailler ce côté-là.

  • Speaker #3

    lui tenait vachement à coeur de travailler ce côté là du coup ça en fait un résultat un peu verbeux peut-être un peu trop scientifique parfois parce qu'on comprend pas tout un peu jargonneux mais

  • Speaker #2

    Du coup, ça en fait un résultat un peu verbeux, peut-être un peu trop scientifique parfois parce qu'on ne comprend pas tout.

  • Speaker #0

    Un peu jargonneux, oui.

  • Speaker #3

    Et mais...

  • Speaker #2

    Mais je trouve qu'une fois qu'on a passé ça et qu'on se dit de toute façon,

  • Speaker #3

    Je trouve qu'une fois qu'on a passé ça et qu'on se dit de toute façon je comprends pas et on sait même pas si c'est vrai ou si c'est possible,

  • Speaker #2

    je ne comprends pas et on ne sait même pas si c'est vrai ou si c'est possible.

  • Speaker #3

    ça passe.

  • Speaker #2

    Ça passe.

  • Speaker #3

    Donc moi je trouve que ça se regarde vraiment facilement,

  • Speaker #2

    Donc, moi, je trouve que ça se regarde vraiment facilement.

  • Speaker #3

    j'ai passé un bon moment.

  • Speaker #2

    J'ai passé un bon moment.

  • Speaker #0

    Oui, Ouais mais c'est vrai, mais c'est vrai, il y a un truc, il y a un truc... Pardon Léo, pardon Léo, je te laisse. je te laisse, Je rebondis juste sur ce que Lola disait. je rebondis juste sur ce que Lola disait, C'est vrai, c'est vrai il y a un truc que je trouve ok dans la facture du film, il y a un truc que je trouve OK dans la facture du film et tout. C'est le côté un peu reproduction d'interface et de logiciel, c'est le côté un peu... reproduction d'interface et de logiciels, d'ordinateur. l'importance accordée au jargon et à la reconstitution de l'environnement que pourrait être une espèce de labo clandestin dans un appartement comme il a. L'importance accordée au jargon et à la reconstitution de l'environnement que pourrait être une espèce de labo clandestin dans un appartement comme il a. Je trouve que ça, Je trouve que ça, c'est un peu crédible. c'est un peu crédible. Oui, Oui,

  • Speaker #2

    mais il a bossé avec deux autres scénaristes qui ont vraiment travaillé là-dessus.

  • Speaker #3

    mais il a bossé avec deux autres scénaristes qui ont vraiment travaillé là-dessus.

  • Speaker #2

    Donc vraiment,

  • Speaker #3

    Vraiment,

  • Speaker #2

    ça lui naît à cœur qu'on ait ce ressenti de...

  • Speaker #3

    ça lui naît à cœur qu'on ait ce ressenti de...

  • Speaker #2

    On ne comprend pas de quoi il parle.

  • Speaker #3

    On ne comprend pas de quoi il parle.

  • Speaker #2

    Et c'est plutôt pointu,

  • Speaker #3

    C'est plutôt pointu,

  • Speaker #2

    en fait, d'après ce que j'ai compris.

  • Speaker #3

    d'après ce que j'ai compris.

  • Speaker #0

    Et ça rejoint... Et ça rejoint... Pardon encore, Pardon encore, je suis désolé. je suis désolé. En fait, En fait, ça rejoint un petit peu parce que mon choix initial de film, ça rejoint un petit peu parce que mon choix initial de film, c'est un film qui s'appelle Primer, c'est un film qui s'appelle Primer, qui n'est pas du tout un film d'horreur. qui n'est pas du tout un film d'horreur. Encore moins un film de genre, Encore moins un film de genre, qui est quasiment un film... qui est quasiment un film... C'est de la hard Hard SF. C'est un film avec des gens qui parlent de maths et de physique pendant 1h30, SF, quoi. C'est un film avec des gens qui parlent de maths et de physique pendant 1h30, donc c'est extrêmement chiant. donc c'est extrêmement chiant. Et c'est des gens qui inventent un truc qui remonte dans le temps. Et c'est des gens, en fait, qui inventent un truc qui remonte dans le temps. Voilà, Une machine qui remonte dans le temps, une machine qui remonte dans le temps, mais c'est abordé sous l'angle absolument pas sexy du voyage dans le temps. mais c'est abordé... sous l'angle absolument pas sexy du Voyage dans le temps. C'est des gens dans un garage qui parlent de maths et qui se rendent compte qu'il y a des implications potentielles de leur travail. C'est les gens dans un garage qui parlent de maths et qui se rendent compte qu'il y a des implications potentielles de leur travail. C'est un film un peu connu, C'est un film un peu connu, un dé un peu connu. C'est extrêmement chiant. c'est extrêmement chiant. Donc, Donc je voulais pas vous l'infiler. je ne voulais pas vous l'infliger. Mais du coup, Mais du coup... le choix annexe de mineur-premise c'était dans l'état d'esprit de reconstitution le côté huis clos du scientifique fou, le choix annexe de Minor Premise, c'était dans l'état d'esprit de truc un peu de reconstitution.

  • Speaker #2

    Le côté huis clos du scientifique fou,

  • Speaker #3

    moi ça m'a fait penser à Ex Machina de

  • Speaker #2

    moi, ça m'a fait penser à... Ex Machina de Garland, un peu au début,

  • Speaker #3

    Garland, un peu au début,

  • Speaker #2

    après ça s'arrête là.

  • Speaker #3

    après ça s'arrête là en moins cher mais cette démarche un peu film indé thriller SF en huis clos chez un scientifique fou qui crée une machine qui se retourne un peu contre lui en tout cas et

  • Speaker #0

    En moins cher aussi.

  • Speaker #2

    En moins cher, mais cette démarche un peu film indé, thriller SF en huis clos, chez un scientifique fou qui crée une machine qui se retourne un peu contre lui, en tout cas.

  • Speaker #3

    Oui c'était divertissant,

  • Speaker #2

    Oui, c'était divertissant.

  • Speaker #3

    je trouve que c'est plutôt pas mal pour ce que ça propose puisqu'un thriller

  • Speaker #2

    Je trouve que c'est plutôt pas mal pour ce que ça propose, parce qu'un thriller SF tourné avec une personnalité splitée en huit,

  • Speaker #3

    SF tourné avec une personnalité splitée en 8, enfin le concept est sympa.

  • Speaker #2

    le concept est sympa.

  • Speaker #3

    Ah oui en 8,

  • Speaker #2

    t'as raison, il y a lui plus 8.

  • Speaker #0

    Attends elle a dit 9,

  • Speaker #2

    il y a lui plus il a dit 9 ça fait 9 dont lui et après oui sur le côté personnage connard oui et intelligence émotionnelle vraiment naze moi

  • Speaker #3

    t'as mis le temps.

  • Speaker #2

    Oui mais ça fait 9,

  • Speaker #1

    dont lui.

  • Speaker #3

    Vous voyez on s'y perd. Et après oui sur le côté personnage connard, oui, et intelligence émotionnelle vraiment naze. Moi je trouve que Vice Versa fait mieux le taf pour parler de la gestion des émotions dans le cerveau que Minor Premise.

  • Speaker #2

    je trouve que vice versa fait mieux le taf pour parler de la gestion des émotions dans le cerveau que Maynard Prémix

  • Speaker #0

    C'est vrai, c'est vrai.

  • Speaker #3

    Mais non,

  • Speaker #2

    Mais non, sinon ça se regarde quand même bien et il y a des trucs sympas même au niveau de la forme et tout.

  • Speaker #3

    sinon ça se regarde quand même bien et il y a des trucs sympas même au niveau de la forme et tout.

  • Speaker #2

    C'est un bon petit film.

  • Speaker #3

    C'est un bon petit film.

  • Speaker #0

    C'est pas déshonorant. C'est pas déshonorant.

  • Speaker #3

    C'est pas déshonorant,

  • Speaker #2

    C'est pas déshonorant, non.

  • Speaker #3

    non.

  • Speaker #2

    Voilà,

  • Speaker #3

    Voilà,

  • Speaker #2

    faut pas y chercher un propos très abouti sur par contre l'aspect psychologique.

  • Speaker #3

    faut pas y chercher un propos très abouti sur par contre l'aspect psychologique. Peut-être que l'aspect scientifique de cette machine,

  • Speaker #2

    Peut-être que l'aspect scientifique de cette machine, j'en sais rien,

  • Speaker #3

    j'en sais rien.

  • Speaker #2

    est réel. Un réel ancrage,

  • Speaker #0

    un réel ancrage mais sinon pour le reste j'ai trouvé ça un petit peu rigolo il y a le fait que cette machine soit quand même développée pour augmenter la productivité de l'humain c'est quand même naze moi j'étais un peu déçue

  • Speaker #2

    mais sinon, pour le reste, j'ai trouvé ça un petit peu rigolo.

  • Speaker #0

    Il y a le fait que cette machine soit quand même développée pour augmenter la productivité de l'humain. C'est quand même naze.

  • Speaker #1

    Moi, j'étais un peu déçue. je m'attendais pas à grand chose mais j'avoue que t'as eu moins de grand chose je trouvais l'affiche très belle en fait avec ces glitchs là et moi je pensais qu'on allait avoir des glitchs et de la couleur dans le film Je ne m'attendais pas à grand-chose, mais j'avoue que...

  • Speaker #0

    Mais tu as eu moins de grand-chose.

  • Speaker #1

    Je trouvais l'affiche très belle, en fait, avec ces glitchs-là. Et moi, je pensais qu'on allait avoir des glitchs et de la couleur dans le film. Il y a pas. Il y a pas.

  • Speaker #3

    C'est un appart de couleur marron.

  • Speaker #2

    C'est un appart couleur marron.

  • Speaker #0

    Le filtre sépia est midi le dépanne. Le filtre sépia est midi.

  • Speaker #1

    C'est ça, C'est ça, il a un t-shirt gris qui est de plus en plus transpirant. il a un t-shirt gris qui est de plus en plus transpirant. Bon, Bon, moi j'avoue que ce film, moi j'avoue que ce film, je pense qu'il va passer peut-être dans la poubelle de mon cerveau, je pense qu'il va passer peut-être dans la poubelle de mon cerveau,

  • Speaker #0

    dans le sens où je trouve que,

  • Speaker #1

    dans le sens où... Comme tu as dit, comme t'as dit Nolan, Nolan, on va parler dans quelques épisodes d'un film de Nolan qui fait beaucoup mieux le travail. on va parler dans quelques épisodes d'un film de Nolan qui fait beaucoup mieux le travail. Je trouve qu'effectivement, Je trouve que le sujet n'est pas inintéressant, le sujet n'est pas inintéressant. cette volonté de diviser l'esprit en plusieurs sections, Cette volonté de diviser l'esprit en plusieurs sections, pourquoi pas, pourquoi pas, et tout ça. et tout ça. Moi, Moi, c'est des choses qui peuvent me parler, c'est des choses qui peuvent me parler, mais le manque d'images de ces sections vient complètement annuler, mais le manque d'images de ces sections... Oui,

  • Speaker #3

    je suis d'accord.

  • Speaker #1

    vient complètement annuler pour moi l'intérêt. pour moi, l'intérêt. Parce que du coup, Parce que du coup, on est juste sur un peu un jeu d'acteur avec cet acteur qui essaye de tenir le truc de bout en bout. on est juste sur un peu un jeu d'acteur, avec cet acteur qui essaye de tenir le truc de bout en bout.

  • Speaker #3

    Il s'en sort pas trop mal.

  • Speaker #1

    Il s'en sort pas trop mal, Il s'en sort pas trop mal, mais c'est pas non plus... mais c'est pas non plus...

  • Speaker #0

    C'est pas Christian Clavier. C'est pas Christian Clavier quoi ?

  • Speaker #1

    Je peux faire Splits. Je préfère Splits.

  • Speaker #2

    Arrête,

  • Speaker #1

    Arrête, Renaissance va revenir. Renaissance va revenir. On aura le On aura le 20ème qui va venir cette fois-ci. 20ème qui va venir cette fois-ci. Ne venez pas. Ne venez pas. Et du coup, Et du coup, moi, j'avoue que je me suis un peu ennuyée. j'avoue que je me suis un peu ennuyée. Je trouvais que ça parlait effectivement beaucoup. Je trouvais que ça parlait effectivement beaucoup. Voilà. Bon, Ça a le mérite d'être court. ça a le mérite d'être court. Une heure trente. Une heure trente.

  • Speaker #2

    Je suis grave d'accord avec toi.

  • Speaker #3

    Je suis grave d'accord avec toi.

  • Speaker #2

    En fait, moi, j'avais envie de voir plusieurs scènes sur les autres sections.

  • Speaker #3

    J'avais envie de voir plusieurs scènes sur les autres sections.

  • Speaker #1

    Oui, Oui, parce qu'à part fumer des clopes, parce qu'à part fumer des clopes, la section du mal, la section du mal, je ne vois pas... là, je ne vois pas...

  • Speaker #2

    La section des clopes,

  • Speaker #3

    Les clopes,

  • Speaker #0

    c'est mal. c'est mal. Ça baisse la productivité psychotique. Ça baisse la productivité psychotique. Ça fait faire des pauses.

  • Speaker #2

    J'avoue que j'avais peur que ça se finisse trop bien.

  • Speaker #3

    J'avoue que j'avais peur que ça se finisse trop bien.

  • Speaker #2

    Et j'aime bien la fin,

  • Speaker #3

    J'aime bien la fin.

  • Speaker #2

    qui est un peu facile,

  • Speaker #3

    Qui est un peu facile, mais j'étais un peu contente.

  • Speaker #2

    mais j'étais un peu contente.

  • Speaker #1

    Oui. Oui.

  • Speaker #2

    Je me souviens pas de la...

  • Speaker #3

    Je ne me souviens pas de la...

  • Speaker #1

    Bah si, Il fume une clope.

  • Speaker #3

    il fumait une clope. Ah oui,

  • Speaker #2

    Ah oui c'est vrai,

  • Speaker #3

    c'est vrai.

  • Speaker #2

    ok.

  • Speaker #1

    Il fume une clope. Il fumait une clope et là on sait que le tabac... Et là, on sait que... Et là on sait que...

  • Speaker #3

    C'est vrai.

  • Speaker #2

    C'est vrai.

  • Speaker #3

    Talala.

  • Speaker #0

    On ne sait pas. Justement, on sait pas, Est-ce qu'il a repris le tabac parce qu'il était stressé ? est-ce qu'il a repris le tabac parce qu'il était stressé ou est-ce que...

  • Speaker #1

    Je ne sais pas. Je sais pas, il boit ce truc toute la journée, Il boit ce truc toute la journée, de la de whisky. du whisky, mais moi j'y crois pas trop. Mais moi, je n'y crois pas trop. Ce truc. Ce truc...

  • Speaker #2

    C'est de l'ICT,

  • Speaker #1

    C'est de l'ICT je pense. je pense. Non, Non, ça m'agace. ça m'agace.

  • Speaker #0

    C'est parce qu'il est torturé. C'est parce qu'il est torturé. Oui, Oui, oui.

  • Speaker #2

    oui,

  • Speaker #0

    oui. Donc pour montrer qu'un personnage est torturé... Pour montrer qu'un personnage est torturé,

  • Speaker #1

    On lui fait boire du whisky.

  • Speaker #0

    on lui fait boire du whisky. On lui fait boire du whisky.

  • Speaker #3

    Oui, oui. Et puis, c'est son ex qui revient pour lui résoudre tous ses problèmes psychologiques.

  • Speaker #2

    c'est son ex qui revient pour lui résoudre tous ses problèmes psychologiques mais elle elle a

  • Speaker #3

    Mais elle,

  • Speaker #0

    elle a... elle, elle, j'ai tellement pas compris pourquoi elle revenait l'aider. j'ai tellement pas compris pourquoi elle revenait l'aider.

  • Speaker #1

    C'était pour lui reprendre son projet. C'était pour lui reprendre son projet.

  • Speaker #0

    C'est pas hyper clair. C'est pas hyper clair.

  • Speaker #1

    Je vois pas trop le gain qu'elle a là-dedans. Je vois pas trop le gain qu'elle a là-dedans. À part s'emmerder avec À part s'emmerder avec

  • Speaker #0

    Jean-Michel. Jean-Michel névrosé, Jean-Michel. Jean-Michel névrosé,

  • Speaker #1

    fois 8.

  • Speaker #2

    fois 8. Il a tout le temps mal à la tête,

  • Speaker #3

    Il a tout le temps mal à la tête,

  • Speaker #2

    il prend jamais un Doliprane.

  • Speaker #3

    il prend jamais un Doliprane.

  • Speaker #2

    Moi,

  • Speaker #3

    Moi,

  • Speaker #2

    ça me stressait.

  • Speaker #3

    ça me stressait.

  • Speaker #0

    Même sa mère, Même sa mère, quand il est au téléphone, quand il est au téléphone,

  • Speaker #2

    elle est saoulée.

  • Speaker #3

    elle est saoulée. Il fait vraiment chier tout le monde ce man.

  • Speaker #2

    Il fait vraiment chier tout le monde ce man. Genre Ethan fait un effort.

  • Speaker #3

    Genre Ethan fait un effort.

  • Speaker #0

    Merci. Oui. Etan, Etan, soigne-nous cette vilaine migraine et puis laisse-nous tranquille avec ton FX, soigne-nous cette vilaine migraine et puis laisse-nous tranquille avec ton FX, ah oui la machine a un nom je me rappelle plus R9, ah oui la machine a un nom je me rappelle plus R9,

  • Speaker #3

    truc acheté il y a plusieurs versions c'est le nom du fils d'Elon Musk c'est très Elon

  • Speaker #2

    truc

  • Speaker #0

    HT il y a plusieurs versions c'est le nom du fils d'Elon Musk c'est très Elon Musk codé comme film à mon avis il est dans l'axe du mal ce film mais en vrai c'est divertissant oui rattrape-toi en vrai c'est divertissant Musk codé comme film à mon avis il est dans l'axe du mal ce film Mais en vrai, c'est divertissant.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #3

    rattrape-toi.

  • Speaker #0

    En vrai, c'est divertissant. enfin pour moi en tout cas ça fait rire pour les fans de Christian Clavier c'est un film à ne pas manquer le clave j'essaye de relate avec les gens qui aiment bien les films que je recommande donc je me dis qui sont ces gens pour moi en tout cas ça fait rire pour les fans de Christian Clavier c'est un film à ne pas manquer le clave pour tout le coup j'essaye de relate avec les gens qui aiment bien les films que je recommande donc je me dis qui sont ces gens ta fanbase il

  • Speaker #3

    Ta fanbase.

  • Speaker #0

    Ma fanbase.

  • Speaker #1

    Il est en craquage total.

  • Speaker #0

    en a un cracasse total c'est le premier épisode de la rentrée ils sont 4 mais ouais j'avoue t'as peut-être un TDI mon RIB dans la description de l'épisode alors non plutôt

  • Speaker #1

    C'est le premier épisode de la rentrée.

  • Speaker #0

    Ils sont quatre.

  • Speaker #2

    J'avoue, t'as peut-être un TDI.

  • Speaker #0

    Mon RIB dans la description de l'épisode. Alors, on va passer au film d'après. on va passer au film d'après et j'ai déjà oublié c'est Camille Et j'ai déjà oublié. C'est Camille. C'est Camille. Camille, Camille, quel est le film que tu as choisi pour cet épisode de rentrée exceptionnel ? quel est le film que tu as choisi pour cet épisode de rentrée exceptionnel ?

  • Speaker #1

    Pour cet épisode de rentrée exceptionnel, Pour cet épisode de rentrée exceptionnel, j'ai choisi de vous parler de... j'ai choisi de vous parler de Altered States, au-delà du réel de Ken Russell.

  • Speaker #0

    Je vous demande de mettre le experiment en place jusqu'à ce que nous comprenions un peu plus,

  • Speaker #1

    pour minimiser le risque. Il n'y a pas de façon.

  • Speaker #0

    Je suis vraiment effrayée. On pourrait être en train de se foutre de cette structure génétique. Comment est-ce que nous arrêtons ça ?

  • Speaker #1

    Nous avons des millions d'années stockées dans ce banquier de computers que nous appelons nos esprits. Nous avons des trillions de genes dormants dans nous, notre tout passé évolutionnaire. Peut-être que j'ai tapé dans ça. Il peut être en train de faire quelque chose qui est plus que notre propre compréhension. Il peut être en train de faire quelque chose qui est plus que notre propre compréhension. Maintenant, Maintenant, parce que je l'ai cru, parce que je l'ai cru, je veux que cette chose s'arrête !

  • Speaker #3

    je veux que cette chose s'arrête !

  • Speaker #2

    Quelle merde c'est ? Que diable est-ce que c'est ? Tu es d'accord ?

  • Speaker #3

    Tu vas bien ?

  • Speaker #2

    Si tu m'aimes,

  • Speaker #3

    Si tu m'aimes,

  • Speaker #1

    si tu m'aimes,

  • Speaker #2

    si tu m'aimes... Eddie !

  • Speaker #1

    Eddie,

  • Speaker #2

    Tu es en feu !

  • Speaker #1

    tu es en feu !

  • Speaker #2

    Eddie !

  • Speaker #1

    Eddie !

  • Speaker #0

    Altered States. Altered States.

  • Speaker #3

    Ça faisait un peu explosion à la fin.

  • Speaker #2

    Ça faisait un peu explosion à la fin.

  • Speaker #1

    Là, Là, il se passe des choses, il se passe des choses, effectivement. effectivement.

  • Speaker #0

    Mais on ne donne pas suffisamment souvent l'heure dans ce film,

  • Speaker #1

    Alors, donc, ce film-là...

  • Speaker #0

    Mais on ne donne pas suffisamment souvent l'heure dans ce film, par rapport à Minor Premises. par rapport à Minor Premises.

  • Speaker #1

    C'est vrai. C'est vrai. Donc, Donc, Altered States, Altered States, c'est un film de 1980. c'est un film de 1980. Et donc, Et donc, c'est un film de Ken Russell dont on avait déjà parlé avec les Diables qu'on avait adoré. c'est un film de Ken Russell dont on avait déjà parlé avec les Diables qu'on avait adoré. et qu'il avait fait en 1971. et qu'il avait fait en 1971. Pour un petit rappel, Pour un petit rappel, Ken Russell, Ken Russell, c'est un metteur en scène anglais. c'est un metteur en scène anglais. Et là, Et là, Altered State, Altered State, c'est son premier film à Hollywood. c'est son premier film à Hollywood. Donc, Donc, il est beaucoup plus contraint que pour Les Diables. il est beaucoup plus contraint que pour Les Diables. Ça se ressent parce que le film est beaucoup moins fantasque et fantastique, Ça se ressent parce que le film est beaucoup moins fantasque et fantastique, je rachèterais, je rachèterais, que que Les Diables. Les Diables.

  • Speaker #0

    Oui, Oui,

  • Speaker #1

    mais c'est moins baroque. mais c'est moins baroque, C'est moins la roue libre. c'est moins la roue libre. Là, Là,

  • Speaker #0

    c'est un peu plus cadré. c'est un peu plus cadré.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #0

    Oui,

  • Speaker #1

    c'est un peu plus cadré. c'est un peu plus cadré. Cependant, Cependant, c'est un film qui est quand même assez intéressant. c'est un film qui est quand même assez intéressant. Je vous fais un petit résumé rapide. Je vous fais un petit résumé rapide. En gros, En gros, on rencontre le professeur on rencontre le professeur Jessup, donc Eddie de son prénom, Jessup, donc Eddie de son prénom, qui s'amuse à faire des expériences en prenant des bains de 5 heures à peu près dans un cylindre vertical rempli d'eau. qui s'amuse à faire des expériences en prenant des bains de 5 heures à peu près dans un cylindre vertical rempli d'eau.

  • Speaker #0

    C'est ce que j'ai offert à Lola pour son anniversaire, C'est ce que j'ai offert à Lola pour son anniversaire, littéralement. littéralement.

  • Speaker #1

    Mais moi aussi j'ai offert ça à plein de potes de tout de flottaison. Mais moi aussi, j'ai offert ça à plein de potes de flottaison. On en parlera après. On en parlera après.

  • Speaker #2

    Je crois que ça vient de toi,

  • Speaker #3

    Je crois que ça vient de toi, D.

  • Speaker #2

    d'ailleurs.

  • Speaker #1

    Ah bah, Ah bah, je vais... je m'arrête. Donc, Donc, Eddy est dans son bain debout, Eddy est donc dans son bain de boula, en slip, en slip, coiffé d'un casque de scaphandrier. coiffé d'un casque de scaphandrier, Et il a des alus. et il a des alus. Bon, Bon, voilà, ça a l'air sympa le CNRS. ça a l'air sympa, le CNRS. À côté de ses petits temps libres, À côté de ses petits temps libres, il bosse à tenter d'isoler les facteurs responsables de la schizophrénie. il bosse à tenter d'isoler les facteurs responsables de la schizophrénie. qui ne serait pas une maladie selon lui, qui ne serait pas une maladie, selon lui, mais plutôt un autre état de conscience. mais plutôt un autre état de conscience. Lors d'une fête, Lors d'une fête, il rencontre Emily, il rencontre Émilie, qui tombe folle amoureuse de sa bizarrerie. qui tombe folle amoureuse de sa bizarrerie. Ils se marient et tout le toutime ont des enfants et compagnie. Ils se marient et tout le toutime ont des enfants et compagnie. On retrouve plusieurs années plus tard On retrouve plusieurs années plus tard Daddy Eddy, Daddy Lady, qui est donc prof à Harvard. qui est donc prof à Harvard. Il poursuit ses travaux et décide d'aller au Mexique pour étudier la tribu Inchi, Il poursuit ses travaux et décide d'aller au Mexique pour étudier la tribu Inchi. qui est connu pour ses trans hallucinatoires collectives grâce à de la drogue. qui est connue pour ses trans hallucinatoires collectives, grâce à de la drogue. Donc histoire d'en rajouter un petit peu, Donc histoire d'en rajouter un petit peu, le bain ça ne suffit pas, le bain ça ne suffit pas, il faut prendre des substances en plus. il faut prendre des substances en plus. Mais la réalité c'est que Daddy Eddy ne se satisfait pas vraiment de cette vie. Mais la réalité c'est que Daddy Eddy ne se satisfait pas vraiment de cette vie. Il souhaite en fait se barrer en se séparant de sa femme et expérimenter je cite la souffrance solitaire. Il souhaite en fait se barrer en se séparant de sa femme et expérimenter, je cite, la souffrance solitaire. Parce que Eddy, Parce que Eddy, on le comprend au fur et à mesure, on le comprend au fur et à mesure, est en fait obsédé par la vérité avec un grand V qui se cacherait dans une petite boîte caranienne. est en fait obsédé par la vérité avec un grand V. Qui se cacherait dans ne peut pas petite boîte caranienne, à l'exception de celle de Bérou et de l'Oco. A l'exception de celle de Berroux et de Le Coruche. C'est dans le film, C'est dans le film, c'est pas... c'est pas... C'est dans le film,

  • Speaker #2

    C'est en fait,

  • Speaker #1

    c'est en fait. en fait.

  • Speaker #0

    Bérou était déjà Premier ministre pendant le film. Berroux était déjà Premier ministre pendant le film. Il est resté longtemps en fait. Il est resté longtemps, en fait. Ouais, ouais,

  • Speaker #3

    ouais. Absolument.

  • Speaker #1

    Donc il va au Mexique, Donc, il va au Mexique, il prend toutes les drogues nécessaires et revient essayer un peu de trouver son true self dans ce question de privation de sensation. il prend toutes les drogues nécessaires et revient essayer un peu de trouver son true self. dans ce question de privation de sensation.

  • Speaker #2

    Je me disais,

  • Speaker #3

    Je me disais, c'est quoi ce mot français ?

  • Speaker #2

    c'est quoi ce mot français ?

  • Speaker #3

    Le trouxel.

  • Speaker #1

    Jusqu'au jour où Jusqu'au jour, c'est un fromage, jusqu'au jour où Eddie va sortir carrément transformé du question. Eddie, en fait, il va sortir carrément transformé du question. Et là, Et là, trois petits points. trois petits points.

  • Speaker #0

    Transformé en quoi ? Transformé en quoi ?

  • Speaker #1

    Il faudra le voir. Il faudra le voir.

  • Speaker #0

    On ne dit pas,

  • Speaker #1

    On ne dit pas,

  • Speaker #0

    on ne dit pas. on ne dit pas.

  • Speaker #1

    Alors, oui, ce que je voulais juste dire, Ce que je voulais juste dire, c'est que ce film-là, c'est que ce film-là, c'est un film de commande à Ken Russell. c'est un film de commande à Ken Russell. D'après le livre d'après le livre Altered States, Altered States écrit par Paddy Chayefsky écrit par Paddy Chayefsky en 1978, en 1978, qui lui-même parle des travaux de John Lilly, qui lui-même parle des travaux de John Lilly, qui est un médecin américain qui a existé, qui est un médecin américain qui a existé, qui était un neuroscientifique, qui était un neuroscientifique, psychanalyste, psychanalyste, inventeur et écrivain, inventeur et écrivain, et qui est connu pour être un pionnier dans l'étude de la conscience. et qui est connu pour être un pionnier dans l'étude de la conscience. C'est lui qui a créé ces caissons d'isolation. C'est lui qui a créé ces caissons d'isolation sensorielle, sensorielle en 1954 qu'on appelle aujourd'hui des questions de flottaison et qui ont pour but en fait de créer un espace complètement dans le noir dans lequel le patient en fait ne ressent plus enfin n'entend plus rien ne sent plus rien ne voit plus rien et en 1954, qu'on appelle aujourd'hui des caissons de flottaison, et qui ont pour but de créer un espace... Complètement dans le noir, dans lequel le patient n'entend plus rien, ne sent plus rien, ne voit plus rien, et flotte grâce à de l'eau salée, flotte grâce à de l'eau salée ce qui fait qu'en fait il perd complètement ses repères et c'est un moyen qui est encore utiliser aujourd'hui pour se détendre. ce qui fait qu'il perd complètement ses repères. Et c'est un moyen qui est encore utilisé aujourd'hui pour se détendre, pour méditer et aussi pour soigner de l'anxiété. pour méditer et aussi pour soigner de l'anxiété. Il y a beaucoup de sportifs notamment qui l'utilisent. Il y a beaucoup de sportifs notamment qui l'utilisent. Alors John Lilly, John Lilly il n'a pas fait que ça parce que c'est aussi un des grands professeurs qui a permis la communication avec les dauphins un drôle de type et il a fait aussi toutes les expériences avec les psychédéliques c'est une figure vraiment importante de la contre-culture des années 60 aux Etats-Unis il il n'a pas fait que ça, parce que c'est aussi un des grands professeurs qui a permis la communication avec les dauphins. Un drôle de type. Et il a fait aussi toutes les expériences avec les psychédéliques. C'est une figure vraiment importante de la contre-culture des années 60 aux Etats-Unis. Il a beaucoup trainé avec Ginsberg et compagnie. a beaucoup trainé avec Ginsberg et compagnie et Et en fait, c'est un peu... Et Jodorowsky aussi. Jodorowsky aussi et en fait c'est un peu comment dire ... Et en fait, c'est un peu... C'est ce personnage-là qui est incarné dans le film de Ken Russell. C'est ce personnage-là qui est incarné dans le film de Ken Russell. Le tournage ne s'est pas bien passé du tout. Le tournage ne s'est pas bien passé du tout. En fait, Au départ, au départ, Ken Russell n'était pas du tout lui qui était retenu. Ken Russell, ce n'était pas du tout lui qui était retenu. C'était un autre réalisateur qui avait fait le casting, C'était un autre réalisateur qui avait fait le casting, notamment de William Hurt, notamment de William Hurt, qui va ensuite travailler avec Ken Russell et d'autres grands réalisateurs comme qui va ensuite travailler avec Ken Russell et d'autres grands réalisateurs comme Cronenberg dans History of Violence. Cronenberg dans History of Violence. mais ça s'est pas du tout bien passé entre Chayefsky le scénariste auteur de la nouvelle et ce réalisateur là qui s'est fait virer et donc c'est Ken Russell qui reprend le projet mais il le dit avec beaucoup d'humour qu'il est arrivé Mais ça ne s'est pas du tout bien passé entre Chayefsky, donc le scénariste... auteur de la nouvelle et ce réalisateur-là qui s'est fait virer. Et donc c'est Ken Russell qui reprend le projet, mais il le dit avec beaucoup d'humour qu'il est en fait arrivé 27e dans la liste des réalisateurs qui avaient été contactés. 27ème dans la liste des réalisateurs qui avaient été contactés et le tournage se passe pas bien du tout entre Chayefsky et Et le tournage ne se passe pas bien du tout entre Chayefsky et Ken Russell parce que Ken Russell veut comment dire Ken Russell parce que Ken Russell veut intégrer beaucoup dans le film des espaces de vision. intégrer beaucoup dans le film des espaces de vision. Parce que lui, Parce que lui, c'est ça qui le fait triper. c'est ça qui le fait triper. C'est vraiment les tripes à dessinatoire. C'est vraiment les tripes à dessinatoire. Il y en a deux principaux, Il y en a deux principaux, on va dire, on va dire, qui sont dans le film, qui sont dans le film, qui sont vraiment assez géniaux et dans lesquels réside pour moi l'intérêt du film, qui sont vraiment assez géniaux et dans lesquels réside pour moi l'intérêt du film, notamment avec les délires sur Dieu, notamment avec les délires sur Dieu, etc. etc. C'est très chouette. C'est très chouette. Avec une espèce de bélier à huit lieux qui fait assez peur. Avec une espèce de bélier à huit lieux qui fait assez peur. Donc voilà. Donc voilà. C'est un film qui parle d'un scientifique complètement zinzin qui a envie de devenir le sujet de ses expérimentations et qui est dans une espèce de quête spirituelle plus que dans vraiment la recherche d'un résultat efficace C'est un film qui parle d'un scientifique complètement zinzin qui a envie en fait euh de devenir le sujet de ses expérimentations et qui est dans une espèce de quête spirituelle, plus que dans vraiment la recherche d'un résultat, disons, efficace pour les autres. pour les autres. Je trouve que c'est un personnage intéressant, Je trouve que c'est un personnage intéressant, le personnage joué par William Hurt, le personnage joué par William Hurt, Eddie, Eddie, parce qu'en fait il est très dur, parce qu'en fait, il est très dur, il n'est pas très empathique avec ses amis ou sa femme. il n'est pas très empathique avec ses amis ou sa femme, qui est jouée par qui est joué par Blair Brown, Blair Brown, qui je trouve est super bien, qui, je trouve, est super bien, elle et Emily. elle, l'émilie. Et c'est un film qui en même temps parle vachement d'une sorte d'amour, Et c'est un film qui en même temps parle vachement d'une sorte d'amour, de façon assez jolie je trouve, de façon assez jolie je trouve, entre deux. entre deux. Oui,

  • Speaker #0

    Oui, je suis grave d'accord. je suis grave d'accord.

  • Speaker #1

    Parce que c'est elle qui le ramène un peu dans le monde des vivants quoi. Parce que c'est elle qui le ramène un peu dans le monde des vivants quoi.

  • Speaker #0

    Bah et puis le simple fait que dans les années Bah et puis le simple fait que dans les années 80 il y ait un couple marié rapidement puis divorcé qui reste en fait uni et continue de s'aimer, 80 il y ait un couple... Marié rapidement puis divorcé qui reste en fait unis et continue de s'aimer, c'est quand même la trajectoire classique du couple cinéma dans ces années-là, c'est quand même... c'est pas la trajectoire classique du couple cinéma dans ces années-là et d'ailleurs même encore aujourd'hui donc sur ce point-là je trouve le film assez intéressant en tout cas mais d'ailleurs je et d'ailleurs même encore aujourd'hui. Donc sur ce point-là, je trouve le film assez intéressant en tout cas. Mais d'ailleurs, je le dis, le dis mais moi j'adore le film au même titre que moi j'adore Ken Russell de manière générale j'ai pas vu toutes ses films mais j'en ai vu pas mal et moi je trouve que c'est un peu un film pour lui malgré le fait que c'est peut-être qu'il en a fait mais moi j'adore le film. Au même titre que moi j'adore Ken Russell, de manière générale, je n'ai pas vu toutes ses films, mais j'en ai vu pas mal. Et moi, je trouve que c'est un peu un film pour lui. Malgré le fait que... Alors, c'est peut-être qu'il en a fait, un film pour lui. un film pour lui mais ouais je sais pas moi je trouve que ces deux scènes justement de tripes hallucinatoires en fait elles prennent beaucoup de place en fait dans le film parce qu'elles sont quand même assez longues elles sont très marquantes et Mais... Je ne sais pas. Moi, je trouve que ces deux scènes, justement, de tripes hallucinatoires, elles prennent beaucoup de place, en fait, dans le film. Parce qu'elles sont quand même assez longues. Elles sont très marquantes. en fait je trouve qu'elles prennent beaucoup de place à l'intérieur du film et du coup je sais pas moi ça je garde peu de choses du film en dehors de ces scènes là alors il y a la scène de transformation ... Et je trouve qu'elles prennent beaucoup de place à l'intérieur du film. Et du coup... Je ne sais pas, moi, je garde peu de choses du film en dehors de ces scènes-là. Alors, il y a la scène de transformation que je trouve assez réussie. que je trouve assez réussi. Et puis, Et puis même la scène de fin, même la scène de fin, en fait, en fait, que j'aime bien aussi. que j'aime bien aussi. Et puis moi, Et puis, moi, William Hurt, William Hurt, j'adore ce mec. j'adore ce mec. Enfin, J'aime bien, j'aime bien, je le trouve très bien dans ce rôle. je le trouve très bien dans ce rôle. J'adore la manière dont il incarne ce personnage qui n'a pas d'empathie, J'adore la manière dont il incarne ce personnage qui n'a pas d'empathie, qui est un peu un sociopathe. qui est un peu un sociopathe, Enfin, voilà. et qui est complètement obsédé par sa quête de vérité. et qui est complètement obsédé par sa quête de vérité. D'ailleurs, D'ailleurs c'est un peu grotesque, c'est un peu grotesque, parce qu'à la fin il se rend compte que la vérité... parce qu'à la fin, il se rend compte que la vérité... C'est le vivant, c'est de vivre. Bon, est-ce que ça valait la peine de se donner tant de mal ? Mais non, non, moi j'aime beaucoup Altered State. C'est un film que je peux revoir sans trop de problèmes. Donc voilà, c'est sûr que c'est moins baroque que Les Diables, ou que certains, ou même le repère du verre blanc et tout. C'est un peu moins fantasque, mais c'est un peu plus cadré. J'étais pas au courant de l'histoire autour du film, mais ça fait sens. Mais je trouve qu'il aimait quand même beaucoup de lui, Ken Russell, malgré tout. Là-dedans, dans le perso, dans ses séquences hallucinatoires, et même cette scène de transformation, que je trouve très réussie. Un banger. Un banger. Léo, toi t'as vu le film en plus. Oui.

  • Speaker #1

    Tu veux commencer ? Tu veux passer avant moi Lola ? S'il te plaît.

  • Speaker #2

    Léo vous raconterait son histoire personnelle. Oui,

  • Speaker #0

    lui aussi il a vécu une transformation dans le titre du film.

  • Speaker #2

    Ouais, moi j'ai trouvé ça bien et tu vois, pareil, c'est hyper intéressant toute l'histoire autour de la production du film. Moi j'étais pas du tout au courant et je trouve effectivement, moi je crois que j'ai vu que Les Diables de Ken Russell et celui-ci. Mais je trouve qu'il ne perd pas son identité au-delà du réel. En tout cas, moi, tu vois, je ne me suis pas dit « Oh, c'est bizarre, ça fait comment de l'Hollywoodienne ? » Sur laquelle il passe 27ème. Voilà. Moi, j'aimais bien le thème de départ. Je me suis dit « Putain, ça va être trop bien. » C'est un peu ce principe de si la majorité des gens étaient schizophrènes, en fait, ça serait nous les fous. et je... Je me suis dit, putain, c'est cool si on parle de ça. Et en fait, là, je t'écoutais parler, je me disais, mais en fait, je ne sais même pas sur quoi il fait sa recherche.

  • Speaker #3

    Très vite, c'est évacué, en fait, cette question de la schizophrénie. C'est un prétexte pour lui.

  • Speaker #2

    Oui, ok, ça me rassure, parce que je me dis, putain, ça se trouve...

  • Speaker #0

    C'est d'ailleurs le script d'Assassin's Creed. Je tiens à le préciser. La mémoire génétique et tout, c'est très Assassin's Creed.

  • Speaker #2

    Non, mais oui,

  • Speaker #3

    c'est vrai. C'est assez moderne, en vrai.

  • Speaker #2

    Non, mais c'est vrai que c'est assez... vite, on ne s'intéresse plus aux personnes schizophrènes. Et ce n'est pas grave. Moi, c'est vrai que mon souci avec le film, c'est ce personnage d'Eddie qui, moi, il est très bien écrit, mais il est détestable. Et moi, il m'énervait vraiment. Et je trouve que tous ceux qui gravitent autour de lui, il y a Arthur, Mason, Et sa future ex-femme, Émilie.

  • Speaker #0

    Arthur Mason, c'est lequel ?

  • Speaker #2

    C'est deux personnes. Arthur et Mason.

  • Speaker #3

    C'est son bras droit.

  • Speaker #0

    Mason, c'est le médecin trop chiant.

  • Speaker #2

    Ah lui, il est chiant,

  • Speaker #1

    lui. Le médecin trop chiant, il est trop chiant.

  • Speaker #2

    Je trouvais qu'on avait envie qu'il prenne plus de place. Surtout Émilie, en vrai, c'est un super personnage. Et moi, j'étais un peu bloquée par ce personnage qui est très antipathique. Après, c'est très justifié.

  • Speaker #3

    Oui, et c'est intéressant parce que Émilie, dans la relation d'amour qu'ils ont, déjà, dès qu'il apparaît dans le couloir, il a une espèce d'apparition quasiment angélique, avec de la lumière à l'arrière et tout ça.

  • Speaker #2

    Comme si elle était hypnotisée par lui.

  • Speaker #3

    Oui, elle tombe complètement en pamoison devant lui. Et elle, elle est éthologue. Donc, ça veut dire qu'elle s'occupe des grands singes. Et ça, c'est quand même assez rigolo, vu ce qui se passe par la suite. en fait l'idée que elle elle capte chez lui cette animalité et ce truc un peu primaire quoi alors que c'est un mec très intelligent très érudit et tout ça elle ce qui l'intéresse c'est son côté primate quoi qui en fait est peut-être la solution à tous ces problèmes à lui mais il est chiant il dit en plus il laisse rien paraître il est compliqué mais c'est là où justement les scènes de la destination nous donnent accès nous en tant que spectateur à son intériorité parce que sans ça je pense que tu peux pas te durer avec ce personnage c'est vrai moi je trouve que elles ont un peu vieilli Thomas directement complètement

  • Speaker #0

    surréaliste moi je me dis en vrai pourquoi on fait plus des scènes comme ça c'était mieux avant mais non Excusez-moi, on ne peut plus rien dire.

  • Speaker #1

    Arrête, je le dis. Renaissance, pense à Renaissance. Oui,

  • Speaker #0

    ben... Alors t'inquiète que Renaissance, leur élément de langage, c'est plus ça. Ils ont bien compris. Mais non, non. Je ne comprends pas pourquoi on fait... plus de scènes avec des faux fonds comme ça, c'est trop beau.

  • Speaker #3

    Mandico, il en fait beaucoup.

  • Speaker #0

    Oui, et ben voilà, on en parlait l'autre jour avec Lola et je disais, moi je trouve que ça fait, et je voulais pas spoiler mon avis du truc, mais je trouve que ça fait écho. Il y a certains cinéastes qui refont un peu ça de temps en temps, dont Mandico, mais il n'y a pas ce cachet quand même, je trouve. Mandico, c'est très cohérent avec le reste du film, tu vois. Mais là,

  • Speaker #3

    il y a un côté vraiment...

  • Speaker #0

    Chez Ken Russell, ça arrive comme ça, ça fait... Alors oui, le film a quand même un cachet, mais... Mais ces scènes-là, elles font irruption quand même. Elles détonnent avec le reste du film.

  • Speaker #3

    On dirait du Kiriko, quoi. Vraiment. Ou du Dali surréaliste en 2D,

  • Speaker #0

    quoi. Moi, j'aime beaucoup cette esthétique-là. C'est une espèce de choc. Mais c'est clivant. Non, mais en vrai, je dis que c'est une espèce de choc. Je trouve ça vraiment... Voilà, quoi. T'es choqué, quoi. T'es quichot. Je me dis, putain, c'est incroyable. Ça peut pas vieillir, ça. Alors toi, t'es pas d'accord.

  • Speaker #2

    C'est vraiment une phrase de vieux Et Léo ?

  • Speaker #1

    Moi j'avais beaucoup aimé Les Diables Et en vrai Tommy de Ken Russell Ah oui Tommy c'est lui aussi Mais je n'ai pas vu Au-delà du réel Pourquoi ? Parce que je me suis trompé de film Une fois n'est pas coutume Et j'ai regardé plutôt Aux portes de l'au-delà From Beyond Qui marche très bien dans le thème aussi Et qui marche bien avec les films de Camille. Du coup, je ne me suis pas méfié et je n'ai pas du tout regardé le bon film, mais From Beyond, c'était super en tout cas.

  • Speaker #3

    Est-ce que tu peux en parler un peu ?

  • Speaker #0

    Ouais, tu peux.

  • Speaker #1

    From Beyond, c'est deux scientifiques, deux chercheurs, deux universitaires en gros, qui, en peignoir dans leur grenier, fabriquent une sorte de lampe à lave géante avec des diapasons.

  • Speaker #3

    J'essaie de voir où est-ce que moi je me place dans ce truc. Où est-ce que tu t'es dit c'est ok.

  • Speaker #0

    T'as pas une lampe à lèvres chez toi ?

  • Speaker #1

    Et en fait, ils ouvrent sans le vouloir en stimulant leur glande spinéale.

  • Speaker #3

    Ça doit être ça.

  • Speaker #1

    Pardon,

  • Speaker #0

    je ne veux pas faire l'expert chiant, mais je crois qu'on dit la glande pinéale.

  • Speaker #1

    Pinéale. Ils ouvrent en fait une sorte de portail vers une dimension un peu type Hellraiser avec... des créatures issues d'un autre monde qui s'emparent d'un des scientifiques qui a des délires BDSM de base et qui du coup devient un personnage. Non, non, mais non.

  • Speaker #3

    Voilà, super, c'est la rentrée.

  • Speaker #1

    Non, non, mais c'était très très dans le thème aussi et je ne me suis pas méfié du tout.

  • Speaker #3

    Mais c'était Stargate en fait.

  • Speaker #1

    Ouais, ouais, ouais, si on veut.

  • Speaker #3

    La porte des étoiles.

  • Speaker #2

    Et ça t'a plu ?

  • Speaker #1

    Ouais, c'est pas mal, c'est plutôt bien From Beyond. Je recommande From Beyond. Du coup,

  • Speaker #0

    tu vas vraiment le vrai chroniquer dans un autre épisode, il faudra que tu le fasses.

  • Speaker #1

    Non mais j'ai bien envie de regarder Alter State, j'avais déjà vu passer.

  • Speaker #0

    Pendant que nous on aura tous vu From Beyond, toi, tu devras parler d'Alter State.

  • Speaker #1

    On l'angoisse.

  • Speaker #2

    Ah ouais, c'est trop bien. ok si vous voulez on peut faire ça c'est comme écrire 100 fois je ne dois pas insulter la maîtresse j'ai dû le faire en terminale ça en terminale ?

  • Speaker #1

    avec mon prof de philo c'est des punitions 100 fois c'était super il était hyper jeune il avait genre 25 ans il avait pris l'anguille il avait pris l'anguille enfin

  • Speaker #3

    bref on n'est pas là pour parler de ça

  • Speaker #0

    Non mais ouais En vrai, ça te plairait le film, Léo, parce qu'il y a un truc un peu... Enfin, Altered State, parce que From Beyond, du coup, ça t'a plu, tu l'as vu, mais...

  • Speaker #1

    En plus, c'est un peu moins en ce moment Altered State, donc c'est super. Ouais,

  • Speaker #0

    alors déjà. Et puis en plus, je pense que t'aimerais bien le délire un peu, tu sais, recherche autour des psychédéliques...

  • Speaker #1

    Est-ce qu'il y a une réponse à la thèse ? Oui,

  • Speaker #0

    oui, oui. Alors oui, pour le coup, le film n'est pas... C'est pas comme Thesis où on ne sait pas de sur quoi est la thèse. Là, il n'y a... Ok, ça me va. Là, il y a une réponse à la question posée. Je pense que ça te plairait dans ce délire un peu recherche.

  • Speaker #1

    Je le regarderai et on fera un droit de réponse la prochaine fois.

  • Speaker #3

    Et toi, tu as fait les questions de flottaison ?

  • Speaker #2

    Les questions ?

  • Speaker #3

    Non, non. Tu as dit les questions de flottaison ?

  • Speaker #0

    J'ai dit les questions ? Bon bref,

  • Speaker #3

    on réécoutera.

  • Speaker #2

    Oui, je l'ai fait. Je n'étais pas en slip, j'étais entièrement nue.

  • Speaker #0

    d'accord c'est la seule information qu'on aura ça c'est pour les fans de Lola c'était vachement bien c'était une expérience intéressante moi j'étais entièrement nu c'était bien c'était vraiment très cool mais

  • Speaker #1

    j'ai pas eu ces visions t'avais peut-être pas pris du LSD peut-être grâce au slip aussi tu as ces visions le fait d'être entièrement nu peut-être que c'est un vrai Merci.

  • Speaker #2

    possibilités d'hallucination et toi t'as fait Camille ?

  • Speaker #0

    t'en as offert à tes potes ?

  • Speaker #3

    non j'en ai offert à tous mes potes mais non j'ai pas encore fait pas encore mais c'est typiquement le genre de truc que je pense que j'adore ah ouais c'est bien je pense que t'aimerais bien ce genre de truc et alors ? et si on faisait pas genre toute l'horreur de dimanche dans un caisson de photos.

  • Speaker #2

    Mais tous,

  • Speaker #3

    tous, tous. Non mais dans des trucs séparés.

  • Speaker #0

    Ah oui parce que si on est tous les quatre dans le même truc, on se parle.

  • Speaker #3

    Ça sert à rien. On a quand même un épisode en direct.

  • Speaker #1

    Dans une piscine en fait.

  • Speaker #0

    Moi, jamais de la vie je fais un truc pareil. Je fais, moi c'est crise d'angoisse.

  • Speaker #3

    Tu sais que tu peux laisser un peu de musique, tu peux laisser un peu de lumière si t'as trop peur.

  • Speaker #2

    Non mais c'est plutôt comme une... C'est pas le caisson, ils te mettent pas dans un... C'est pas une...

  • Speaker #0

    c'est pas fermé c'est pas un caisson c'est une pièce c'est une pièce moi en tout cas ce que j'ai fait ah non mais c'était fermé ah ouais tous les copains là c'est fermé bah t'es enfermé dans une pièce dans une boîte ah moi non j'étais pas dans une boîte ah bah c'était dans une boîte enfin une bulle j'étais dans une bassine à moitié ah d'accord un spa moi jamais de la vie je fais un truc pareil c'est ouais non instant de crise d'angoisse un petit peu un petit peu comme Quand j'ai regardé le film que Léo a sélectionné.

  • Speaker #3

    Première transition.

  • Speaker #0

    Donc voilà, on va passer au film de Léo. Euh, alors Léo, quel est ce film ?

  • Speaker #1

    Moi je vais vous parler de Virus. C'est la fin de tout.

  • Speaker #0

    Je ne sais pas comment ça va finir. Ils ont des doudounes aussi, je crois, dans le film.

  • Speaker #1

    C'est le bruit des doudounes.

  • Speaker #0

    Oh, t'aimes doudounes !

  • Speaker #3

    Attends, mais t'es fin !

  • Speaker #1

    Ouais, je suis bruiteur de bouche uniquement. Virus Fukatsunoi, sorti en 1988. Allez. Ce film aux allures de blockbuster international sorti de nulle part ne l'est pas tant, puisqu'il est réalisé par Kinji Fukasaku, qui est un grand nom du cinéma japonais. que vous connaissez sûrement pour Battle Royale.

  • Speaker #0

    Et là, c'est mon problème.

  • Speaker #1

    Mais aussi peut-être pour Sous les drapeaux, l'enfer, où l'on trouve également un fort discours antimilitariste, peut-être un peu plus subtil et pertinent que dans Virus, qui ne brille pas forcément par sa subtilité parfois. Fukasaku a aussi réalisé énormément de thrillers policiers et de sagas sur des affrontements entre familles mafieuses. Je vous laisserai les checker, il a réalisé vraiment un sacré paquet de films.

  • Speaker #2

    C'est assez impressionnant ce film.

  • Speaker #1

    Il y a vraiment 36 trucs. Il y a beaucoup de choses. Ce soir, on va parler d'un de ces films quand même pas mal oubliés. Virus. Et Virus, c'est quoi ? Virus, c'est aussi un film de 99 en mode Matrix, Virus informatique, Windows, etc. Adapté d'un comics, mais ce n'est pas celui-là.

  • Speaker #3

    On ne mélange pas tout.

  • Speaker #1

    Je n'ai pas regardé mon propre film. Je me suis trompé de film sur mon film.

  • Speaker #0

    Le méta-humour.

  • Speaker #1

    C'est super. Virus, c'est l'autodestruction programmée de l'humanité pendant la guerre froide. Une superbe arme biologique de destruction gigamassive est trimballée par des gens plus ou moins bien intentionnés dans des lieux pas du tout aux normes de sécurité. Genre un petit avion en rase mode dans la montagne. Et ce qui devait arriver arriva. Le virus MM88 s'échappe suite au crash pas du tout prévisible du dit avion. Et bim, ellipse. et en fait... toute l'humanité ou presque à succomber à la grippe italienne. Et oui, désolé à nos amis italiens désignés comme bouc émissaire dans ce film.

  • Speaker #0

    Parce qu'ils se crachent dans les Alpes ?

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #3

    parce qu'ils partent de la Suisse.

  • Speaker #0

    Ah ben oui.

  • Speaker #1

    Et ils se crachent. Je ne me l'ai même pas capté moi. Je pensais que c'était en Russie. On dirait que c'est les plaines du Caucase un peu après.

  • Speaker #0

    Après on voit des gens au Kazakhstan et tout.

  • Speaker #3

    Je me suis dit... C'est mondial le virus.

  • Speaker #1

    Oui mais ça commence par montrer ça.

  • Speaker #0

    Après ça vient en Italie.

  • Speaker #3

    Oui c'est vrai. Du coup je comprends pas.

  • Speaker #1

    Voilà, c'est la grippe italienne.

  • Speaker #0

    C'était mon seul problème avec le film, c'est bon maintenant j'adore.

  • Speaker #1

    Même 80 minutes. C'est vrai que c'était ton seul problème ? Super. Les nations et systèmes politiques se sont effondrés à l'exception d'une coalition internationale basée en Antarctique. Vestige de bases de recherche scientifiques ayant survécu grâce au froid et à l'isolement car le virus ne survit pas en dessous de moins 10 degrés. Très pratique. Cool. Pas trop en fait. Et si vous pensez que c'était pas ouf comme situation, eh bien, dites-vous que, avant leur dernier souffle, les Etats-Unis ont activé leur système de défense nucléaire automatique, et que l'URSS a fait de même. Et alors là, c'est vraiment pas de bol, parce que figurez-vous qu'un tremblement de terre pourrait en théorie être interprété comme un impact de missiles ennemis et déclencher la réponse nucléaire. Et ce qui devait arriver arriva une deuxième fois dans le film, du coup, deuxième édition, un tremblement de terre active le système de missiles américain, et maintenant, c'est l'apocalypse nucléaire imminente. en plus de la pandémie.

  • Speaker #2

    Alors qu'il n'y a déjà plus personne.

  • Speaker #1

    Il n'y a déjà plus que 3 pégus au pôle sud. Et 7 femmes. 8 femmes et 850 bougues. Donc c'est super. Et puis merde, je vais tout vous spoiler de toute façon, l'apocalypse nucléaire a bien lieu, rebelote, quelques pélos survivent et le film se conclut sur un propos un peu chelou, genre il faut faire table rase de tout parce que c'est trop nous les humains le vrai virus, pour reconstruire le monde en repeuplant la Terre avec des pots de bêtes sur la cordillère des Andes.

  • Speaker #0

    Et avec beaucoup de gens consanguins du coup à mon avis Le film ne le dit pas trop Il n'y a pas de deux

  • Speaker #1

    Le deux aurait été triste à mon avis Voilà, Virus c'est un film très dense très chelou et qui au moment de sa sortie est le film le plus cher jamais produit au Japon Et si vous avez jamais entendu parler de Virus, c'est normal puisque la volonté de faire un blockbuster d'envergure internationale n'a pas fonctionné Merci. Malgré 16 millions de dollars investis, dollars de l'époque, donc je crois que ça fait une cinquantaine je crois maintenant, en dollars actuels, un casting de stars internationales et une campagne de promotion mondiale, le film bide flop complètement et peine même à trouver des diffuseurs aux Etats-Unis, alors que c'est une coprode américaine, sinon américaine. Il est alors remonté dans un format plus court destiné à la télévision, que vous pouvez trouver sur YouTube d'ailleurs, qui fait que 1h44 au lieu de la purge de 2h40 que vous avez vue quand même.

  • Speaker #3

    C'est évidemment une louloute, il nous l'a pas dit. On était en vacances, il fallait bien se taper les 3 heures.

  • Speaker #1

    Il faut voir la version de 2h40.

  • Speaker #0

    Après, moi, je dis rien, j'ai mis le pacte des loups la dernière fois.

  • Speaker #1

    Oui, voilà, c'est ça.

  • Speaker #3

    On se tire vers le bas.

  • Speaker #0

    J'ai plus rigolé pendant le pacte des loups.

  • Speaker #1

    C'est moins marrant. En tout cas, suite à ce charcutage télé, il tombe définitivement dans l'oubli. Et là, vous vous dites, pourquoi tu nous parles de signe ? Parce qu'en fait, t'as dit que c'était pas terrible. que le propos était un peu chelou et que il devait durer 2h40 et qu'on se faisait un peu chier. En fait, je ne sais pas. Je ne sais pas, je trouve que... C'est bizarre, quoi. Oui, en fait, l'ambition, elle se ressent vachement dans le film. C'est très palpable. Vraiment, l'ambition de faire un film à portée internationale, un gros blockbuster avec plein, plein de trucs dedans. Et je me sens un peu triste qu'il soit oublié parce que ça me fait un peu de la peine, ce film de 2h36 qui essaie de nous proposer une faible apocalyptique, épique et profonde. C'est pour ça que je vous en parle, parce que c'est maladroit et imparfait, mais c'est pas inintéressant, il y a plein de choses à offrir. C'est comme toi, lui. Merci beaucoup. J'espère que je suis pas autant soporifique, mais bon.

  • Speaker #2

    Maladroit, imparfait, t'as plein de choses à offrir.

  • Speaker #1

    Ok, super.

  • Speaker #3

    Très contagieux, apparemment,

  • Speaker #1

    aussi. Très contagieux, ouais. Apocalyptique, voilà. Voilà, vous avez bien aimé, virus,

  • Speaker #3

    quand même ? Oui, en vrai, oui.

  • Speaker #0

    Ok. Cool. Alors, Camille, je crois que toi, tu es la plus enthousiaste. Oui,

  • Speaker #3

    je m'étonne moi-même. Alors, je ne sais pas, c'est peut-être parce que, je ne sais pas, ça serait qui m'a tapé sur la tête, mais sincèrement, j'ai passé un très bon moment devant ce film.

  • Speaker #1

    Oh,

  • Speaker #0

    wow. Ça se regarde bien,

  • Speaker #1

    quand même.

  • Speaker #3

    J'ai été choquée de la mise en scène. Enfin, tout le début est franchement assez fantastique. Il y a, enfin, le fait de, effectivement, le fait qu'il ait coûté cher, ça se voit parce qu'il y a énormément de... de scènes dans différents endroits différentes régions du monde et moi j'ai trouvé ça vachement beau et j'ai trouvé ça intéressant parce qu'on a l'habitude des blockbusters américains qui sont quand même centrés sur leur histoire et tout et là c'est un peu différent, il y a beaucoup les Etats-Unis il y a beaucoup le salon Oval mais déjà on voit que c'est pas les américains c'est différent c'est pas comme eux ils se représentent eux-mêmes et du coup j'ai trouvé ça vachement intéressant et en plus je dois dire que effectivement la... le Covid en tête évidemment et avant en 90 il y a eu le SRAS qui a énormément touché l'Asie et je trouve que c'est un film de virus effectivement d'apocalypse lié à une maladie qui est hyper efficace toute cette première partie là du film je la trouve vraiment top aussi avec les mecs qui sont bloqués en Antarctique c'est le bordel Ils n'ont pas de nouvelles de leur famille, évidemment, parce qu'il n'y a plus personne au fur et à mesure. Et je trouve que, franchement, on s'attache... Moi, en tout cas, j'ai trouvé qu'il y avait plein de personnages hyper chouettes. Notamment, je crois que c'est la femme ou l'infirmière...

  • Speaker #1

    Ce qui est la femme du scientifique qui est parti...

  • Speaker #3

    Voilà, exactement. Il y a cette scène avec la bougie et tout ça...

  • Speaker #1

    Dans l'hôpital.

  • Speaker #3

    Quand elle rentre chez elle, avec l'enfant et tout. Je trouve ça vachement beau. Non, j'étais hyper impressionnée. Franchement, bravo.

  • Speaker #1

    Ok,

  • Speaker #0

    bravo.

  • Speaker #2

    Je suis un peu moins enthousiaste. Non mais oui, c'est un peu un ovni. Oui,

  • Speaker #1

    c'est un film étrange.

  • Speaker #2

    Mais oui, c'est pas du tout un mauvais film. Non, non,

  • Speaker #1

    non. C'est juste un peu raté et très ambitieux. Ouais,

  • Speaker #2

    c'est ça. Moi je trouve qu'il y a trop de trucs. Ah bah bien sûr. Il y a trop de parties, trop d'histoires. Et en même temps, il y a trop de trucs. Et en même temps, je trouve qu'il ne se passe pas grand-chose. Après, c'est peut-être un peu teuteux. Mais moi, j'aurais bien aimé qu'il y ait un peu des oppositions, des rébellions. Tu vois, quand il y a ce nouveau gouvernement qui se forme en Antarctique et tout. Et que, notamment, cette histoire de 855 hommes pour 8 femmes. et que t'as une toute petite scène avec une femme qui craque complètement en disant qu'elle s'est faite violer et voilà en fait on passe très vite à autre chose il y a une petite réunion sympa il y a une petite réunion on les viale bon bah voilà c'est comme ça il y a ça pour les rapports hommes-femmes mais en fait c'est un peu ça dans tout le film il y a jamais vraiment personne il y a un peu un consensus tout le temps dans le film où ils arrivent tout le temps à être d'accord finalement ce qui est bon tant mieux on a envie de dire Mais en même temps, je trouve ça étrange. Il y a un peu des trucs qui fonctionnent pas vraiment.

  • Speaker #3

    Pour moi, c'est vraiment de l'ordre de la sidération. Parce que tous ces personnages... Moi, j'ai adoré les scènes notamment de course-poursuite. Parce qu'il y en a un qui s'échappe à un moment donné dans l'Antarctique. Et il y a une scène de course-poursuite qui est assez longue dans cette espèce d'environnement horrible avec le blizzard. C'est hyper beau. Et où en fait, c'est très pathétique. parce que c'est vraiment un micro-événement qui est montré pendant peut-être 10 minutes alors qu'effectivement l'effacement de la planète tu le vois en juste des images qui passent comme ça moi j'aime bien ce truc d'échelle un peu distordu c'est

  • Speaker #2

    pas inintéressant mais après c'est un peu long oui mais comme tu dis Léo je... C'est dommage que ce soit un peu tombé aux oubliettes,

  • Speaker #1

    parce que c'est un film bizarre. Et même pour l'année où il est sorti, avoir un gros blockbuster japonais comme ça, avec autant d'envergure internationale, je trouve que c'est assez chouette.

  • Speaker #3

    Avec un cadrage mondial,

  • Speaker #1

    c'est intéressant. Et avoir un point central qui est en dehors de la guerre froide. qui est ni du côté américain ni du côté de l'URSS qui se place un peu entre et qui propose ce truc en Antarctique avec un gouvernement formé par les pays restants c'est différent de ce qu'on pouvait voir en termes de blockbusters à cette époque c'est vrai qu'il est très beau il

  • Speaker #0

    y a des trucs qui sont vraiment chouettes moi je suis un peu d'accord avec vous trois en même temps mais non mais on a fait le truc de l'Antarctique c'est vrai sauf que je suis peut-être celui qui est le moins aimé en tout cas des échos en fait moi j'ai du mal je suis d'accord avec vous dans le sens où je trouve que l'objet est intéressant et c'est quand même c'est un film qui n'existe pas ailleurs ou en tout cas traité de manière extrêmement différente les sites et sites Après, il y a une partie de moi quand même, quand je regarde le film, qui ne peut pas s'empêcher de trouver ça dommage. Parce que je me dis, c'est vrai que faire 2h36 de...

  • Speaker #3

    On a interrompu.

  • Speaker #1

    Il y a des CRS qui passent là.

  • Speaker #0

    On a interrompu. Par les 80 000... Ouais, bon, ils sont là. Non, mais je ne peux pas m'empêcher de me dire, ouais, en fait, faire 2h36 d'un film avec une envergure aussi importante, une ambition de filmer un drame à l'échelle internationale et tout ça, pour finalement créer 6 peu de situations d'adversité, d'antagonisme poser finalement si peu de questions je trouve que c'est une occasion manquée de ce point de vue là et effectivement que tous ces gens trouvent le consensus en permanence je trouve ça extrêmement étrange et il y a un truc aussi que j'aime pas dans le film mais ça je crois que c'est Je ne sais même pas si c'est un truc qui est intentionnel ou si c'est parce que le film est prisonnier de son époque. Mais c'est quand même un film qui est très japonais dans son identité par plein de trucs, d'un point de vue formel, et qui ne peut pas s'empêcher de recracher des espèces de codes du cinéma américain que je trouve dommage. Je ne sais pas si c'est une question... de pression, d'argent qu'ont fait que les studios ont imposé cette touche américaine mais je sais pas, je trouve ça ultra chelou cette histoire de discours avec le mec l'amiral à la fin enfin le président des Etats-Unis qui dit à l'amiral en Antarctique God bless America et America fuck yeah en permanence, enfin en fait je trouve ça trop bizarre quoi que il y ait ça à l'intérieur de ce film même avec l'armée,

  • Speaker #1

    la représentation de l'armée américaine, il y a quand même

  • Speaker #0

    une volonté de caricature je pense qu'elle est assez évidente oui mais c'est pas satirique non c'est pas du tout une critique en fait oui c'est pas du tout une critique ça embrasse vraiment les codes et je pense que moi je peux pas m'empêcher de me dire parce que ce gars là tu vois on l'a vu dans Battle Royale c'est un film que j'aime pas mais pour plein d'autres raisons et d'ailleurs c'est lui aussi qui est sur le 2. Oui, oui, oui. Le 2 qui est une... à mon sens, une infâme purge. Mais ce gars-là, il a quand même une identité propre. Il a quand même... Et je trouve ça ultra bizarre.

  • Speaker #3

    Voilà. Je suis tout à fait d'accord avec toi et je crois que moi, c'est ce que j'aime bien. C'est que ça soit un objet de culture mainstream, mais au sens premier du terme. C'est-à-dire qu'à ne pas vouloir prendre de point de vue, en fait, tout est très lissé. dans une espèce d'humanité mais sous l'aune des Etats-Unis parce qu'on est coupable quand même c'est eux qui ont le plus gros temps de parole et c'est vrai que c'est particulier tu te dis bon bah je sais pas je trouve que ça en fait moi ce que je trouve marrant c'est que là où des missions impossibles, des James Bond des trucs comme ça qui vont faire des grands panoramas sur toute la planète autour d'un personnage qui se pose beaucoup de questions justement du bien du mal ces questions-là n'existent pas dans le film-là parce qu'il n'y a pas vraiment de personnage principal et il n'y a pas vraiment de questions traversées. C'est plus un état... Oui,

  • Speaker #0

    mais ça fait partie de mes problèmes avec le film. Je trouve que dès lors que effectivement le personnage du film ou en tout cas le centre du film n'est plus un personnage mais une situation... On avait vu ça avec les Tranglers de Boston. où il y a cette volonté de faire un film où il n'y a pas vraiment de personnage principal où le personnage principal dans les Tremors de Boston c'est la ville, c'est les médias c'est tous ces réseaux là là il y a un peu cette idée là c'est le monde c'est un film monde et du coup je trouve que quand ton ambition de cinéma enfin je dis ça, le mec qui donne les conseils mais quand ton ambition de cinéma c'est de faire ça ... Je trouve ça un peu dommage, si tu veux, que... Et donc, c'est pas un film, effectivement, de personnages, de destin, de narration et tout ça. Je trouve ça dommage qu'il y ait un peu cette... Oui, je trouve qu'il y a là aussi encore une occasion manquée. C'est-à-dire que malgré les moyens, je trouve qu'il n'y a pas de réel effort de mettre ça en scène. Enfin, voilà. À part au début, où il y a effectivement peut-être cette espèce d'éphéméride où on voit tous les mois ce qui se passe et on a des situations différentes. Il n'y a pas de réelle volonté de mettre ça en scène. De mettre en scène le monde... Voilà. Je trouve ça chelou. C'est un film un peu bizarre.

  • Speaker #3

    Il n'imprime pas beaucoup.

  • Speaker #2

    Je crois qu'on est d'accord sur le mot bizarre.

  • Speaker #1

    Le mot bizarre.

  • Speaker #0

    En tout cas, c'est vrai que c'est un truc à voir. Oui. J'étais un peu d'accord avec vous trois. Super. C'est vrai. Après, j'avoue, je ne me suis pas... Je l'ai regardé en deux fois. Au début, je me suis dit pourquoi Léo nous déteste tant ? Qu'est-ce qu'on a fait ? Et en fait, après, c'est passé. Tu vois, genre au bout de 45 minutes, j'étais dedans. Et j'étais dans le train. Et voilà.

  • Speaker #1

    T'étais dans le sous-marin.

  • Speaker #0

    Ouais, j'étais dans le sous-marin. Super. Et voilà. Mais oui, oui. On laissait en passer les 2h36.

  • Speaker #1

    On laissait en passer, effectivement. Je ne sais pas ce qu'elle vaut la version. Je pense que ça ne vaut pas trop le coup.

  • Speaker #0

    Je crois que ça ne vaut pas le coup, en vrai, parce que je suis allé voir sur Internet. Et je crois que le montage est complètement différent et le film n'a rien à voir, en fait. Je crois que c'est un peu un montage... Ce n'est pas complètement à l'envers, mais un peu. Ça part de la situation en Antarctique et ça remonte dans le temps. C'est très chelou. Alors qu'au début... tu vois des images de l'Antarctique et tout mais après on te dit ok la situation c'est ça et maintenant on va vous raconter comment on en est arrivé là et le film la version d'une heure quarante c'est genre c'est complètement autre chose, ça raconte complètement autre chose de ce que j'ai lu je t'avoue que je me suis pas maté après les deux heures quarante t'as pas fait les deux pour faire un petit comparatif voilà voilà virus quoi et le titre est cool le plan qui donne la pochette du film est très cool oui oui oui c'est la fin t'as tout spoilé oui oui ça va ça va par contre c'est pas du tout gore y'a pas du tout de des zombies il faut pas s'attendre à voir ça ah non non dommage Oui, oui.

  • Speaker #2

    je suis sûr que c'est pas 28 jours plus tard ou même 28 ans plus tard et oui ça l'a peut-être inspiré peut-être oui je pense que ça a eu partie des films importants oui je pense aussi,

  • Speaker #0

    t'as raison sur comment raconter une histoire mondiale et en parlant d'histoire mondiale ah bah non y'a vraiment pas de lien En parlant de virus

  • Speaker #2

    Le virus du patriarcat

  • Speaker #3

    Ah

  • Speaker #2

    C'est pas mal

  • Speaker #0

    Et double ce virus tueur invisible

  • Speaker #2

    Oui

  • Speaker #0

    Pas mal aussi On va passer au film de Lola Musique Euh... Lola, quel est ce film que tu as sélectionné pour cet épisode spécial rentrée ? Troisième rentrée d'Horreur du Dimanche.

  • Speaker #3

    Ouais, c'est vrai. Ça commence à faire long. Pardon, j'ai un bout de pain entre les dents.

  • Speaker #0

    Le respect est mort. Désolé.

  • Speaker #3

    Moi, j'ai choisi Invisible Man, le dernier. Oui, du coup, je disais le dernier, c'est celui qui est sorti en 2020, réalisé par Lee Wan-El, qui a récemment fait Wolfman, que moi j'ai beaucoup aimé malgré les mauvaises critiques.

  • Speaker #0

    Ouais, moi aussi j'ai bien aimé, je suis d'accord.

  • Speaker #3

    Bah ouais. Vous avez eu des mauvaises critiques ?

  • Speaker #0

    Ouais,

  • Speaker #3

    ouais, Wolfman.

  • Speaker #0

    Les gens ont dit que c'était bête.

  • Speaker #3

    Mais je ne suis pas d'acte. Lee Wan-El, c'est un réalisateur américain. Le film, c'est une prod... Il est australien, pardon. C'est une prod australienne et américaine.

  • Speaker #0

    Tu sais de qui c'est le meilleur pote, Lee Wan-El ?

  • Speaker #3

    Tu me regardes comme si je devais le savoir ?

  • Speaker #0

    Non, tu ne dois pas forcément le savoir.

  • Speaker #2

    James Wan ? Ah, Zingo ! Quand il a l'œil qui brille comme ça.

  • Speaker #3

    Ah oui,

  • Speaker #2

    c'est vrai qu'il avait l'œil fou un peu.

  • Speaker #0

    C'est lui qui a coréal Saw, le premier, avec James Wan. C'est son poteau.

  • Speaker #2

    Avant que The Collectionist ne vienne.

  • Speaker #0

    C'est pas The Collectionist, tu confonds.

  • Speaker #2

    Non, mais tu sais, les mecs qui... Ah oui,

  • Speaker #0

    oui, oui. Oui, oui, oui.

  • Speaker #1

    Encore en océan.

  • Speaker #3

    Tout le monde est disciple d'un star, c'est toujours pareil.

  • Speaker #0

    Non,

  • Speaker #3

    non, rien n'a changé. Ouais, du coup. Ouais. James, ouais. Ouais, ouais. Là, c'est un film avec Elisabeth Moss, qu'on connaît bien, qui est scientologue, je l'ai appris il n'y a pas longtemps. Non, mais qui surtout...

  • Speaker #0

    J'ai envie de dire...

  • Speaker #3

    Voilà, qui est l'actrice principale de The Handmaid's Tale, donc la série. un peu événement de ces dernières années. Là, qui est dans le rôle de Cecilia, il y a aussi Aldis Hodge qui joue James, qui est son ami policier. Dans le rôle d'Adrienne Griffin qui est son mari, il y a Oliver Jackson-Cohen et j'ai noté la jeune actrice Storm Red qui joue Sydney, donc la fille de James.

  • Speaker #2

    Qui joue dans Euphoria.

  • Speaker #3

    Qui joue dans Euphoria, tout à fait. Donc, de quoi ça Merci. par Invisible Man. Donc là, c'est l'histoire de Cecilia Cass, comme Patricia. Cass.

  • Speaker #0

    Mon mec ! Mais quel RT !

  • Speaker #2

    Je me fais l'entendant parce qu'on ne pourra pas beaucoup rire après pendant ce film.

  • Speaker #0

    J'ai tellement la vision de Camille en cosplay Patricia Cass. Avec une coupe courte.

  • Speaker #2

    J'adore ! Quelle star Patricia, quelle femme !

  • Speaker #3

    Mais qu'est-ce qui est bien ? Bon, on en parlera.

  • Speaker #2

    Elle travaille beaucoup en Russie ? Oui,

  • Speaker #1

    je crois qu'elle est pas mal en Russie.

  • Speaker #3

    D'accord, ok.

  • Speaker #2

    C'est marrant ce star. C'est marrant,

  • Speaker #1

    il y a...

  • Speaker #2

    Elle disparaît.

  • Speaker #3

    Bon, là, Cécilia n'a rien à voir. C'est une femme qui est victime de violences conjugales, violences perpétrées par son mari, Adrian, qui est lui un richissime scientifique, ingénieur en optique.

  • Speaker #0

    Pour moi, il est ophtalmo. Moi, j'ai tout de suite dit, c'est un ophtalmo.

  • Speaker #3

    Les ophtalmo ne gagnent pas autant d'argent.

  • Speaker #0

    Que tu crois !

  • Speaker #3

    Et bien, quand même, vu la vie qu'ils ont...

  • Speaker #0

    À faire trois cataractes à la minute, t'inquiète que ça y va. À se mettre en secteur 3, t'inquiète que ça y va.

  • Speaker #2

    Lui, il a dû inventer les verres progressifs.

  • Speaker #1

    Les verres qui se teintent tout seuls. C'est ça, en fait.

  • Speaker #3

    Bon, il n'est pas au phtalmo, Thomas dit n'importe quoi. Le film commence par la nuit où Cecilia parvient à s'échapper de son foyer violent avec l'aide de sa sœur Émilie. Et elle va se réfugier chez son ami policier que je citais tout à l'heure, James. Et en fait, elle va apprendre rapidement, je crois au bout de deux semaines, que Adrienne s'est donné la mort. Alors là, elle hérite d'une grande partie de sa fortune qui lui a légué. Et on se dit, cool, tant mieux pour elle. Elle va pouvoir essayer de recommencer à vivre correctement en essayant de surmonter son trauma. Sauf qu'il y a des événements étranges qui vont se produire autour d'elle. Ce qui va la faire douter quant au fait qu'Adriane soit vraiment morte. Que dire de ce film ? J'ai mis Météo, pas là, Mété pas là, Météo, pas là, mais voilà.

  • Speaker #2

    Oh waouh !

  • Speaker #0

    Oh waouh !

  • Speaker #2

    J'adore qu'on arrive à rire parce que ce film m'a mis en PLS. Oui,

  • Speaker #1

    oui,

  • Speaker #2

    oui.

  • Speaker #0

    Choc-bar de Bézède, là.

  • Speaker #3

    Bah oui, mais Vianney, on n'entend plus parler non plus. Allez,

  • Speaker #2

    invisible man.

  • Speaker #0

    Bah oui,

  • Speaker #3

    j'espère que vous avez compris ma blague.

  • Speaker #0

    Ah,

  • Speaker #3

    Vianney, oui. Non, c'était Météo Pala, Invisible Man, quoi. Oui, oui, oui. Putain, mais quand je vous explique sa blague, c'est vraiment qu'elle est foirée, quoi. Ça y est,

  • Speaker #0

    ça y est. Bon.

  • Speaker #3

    C'est bon,

  • Speaker #0

    je l'avais,

  • Speaker #3

    je l'avais. Donc, Invisible Man, l'homme invisible, c'est d'abord... Oui, je traduis, parce que c'est un peu compliqué. C'est d'abord un roman d'Herbert George Wells, qui a été publié en 1897. Et c'est aujourd'hui un livre qui est considéré comme un classique de la littérature fantastique, qu'évidemment je n'ai pas lu, et ça raconte l'histoire d'un scientifique qui invente la formule d'invisibilité, et comme souvent dans ce genre de scénario, il atteste sur lui-même, là dans le roman c'est pour échapper à ses créanciers.

  • Speaker #1

    Hyper bien,

  • Speaker #3

    trop smart. Ouais franchement.

  • Speaker #1

    Je vais faire ça avec les impôts aussi.

  • Speaker #2

    Oh bah d'accord.

  • Speaker #3

    On part tout après. Et bah voilà, renaissance 19ème nous reçoit Non c'est pas vrai,

  • Speaker #2

    je paye pas d'impôts Le coming out libertarien d'or Nous sommes suivis par le fisc 75,019 Je me rends invisible pour échapper aux impôts

  • Speaker #0

    Ils font n'importe quoi avec l'argent Les routes sont toujours cabossées J'étais en RP Les enfants ne savent pas lire quand ils sortent de l'école Merci beaucoup, bravo

  • Speaker #3

    Bon, dans le livre en tout cas Au début, il trouve ça marrant parce que Voilà, c'est cool d'être invisible, mais en fait, rapidement, ça le gonfle. Et c'est surtout que ce personnage, qui a été représenté après par la suite, et dans le livre aussi, avec le visage enveloppé de bandelettes, et toujours le corps recouvert de vêtements, pour pouvoir quand même continuer d'interagir avec les gens. Parce qu'il faut savoir qu'il arrive à se rendre invisible dans le livre, mais qu'il n'arrive pas à redevenir visible. Donc c'est un vrai problème. Et en gros, il devient fou, et il se met à tuer des gens. C'est l'histoire de l'homme invisible de base. Bref, suite à ce roman, il y a une vingtaine d'adaptations cinématographiques qui vont sortir. Le premier, qui est un grand classique, moi je n'ai pas vu. J'ai vu celui de Paul Verhoeven, Holoman, avec Kevin Bacon, qui est sorti en 2000, il me semble. Mais donc, entre le premier et celui de Paul Verhoeven, il y en avait déjà 20. Je crois que là, celui de 2020, c'est le 22e peut-être.

  • Speaker #0

    Mais tu vas chroniquer les 22 films.

  • Speaker #3

    Oui, super. On t'écoute. Et là, ce qui distingue L'Homme invisible de Lee Wannell, c'est que c'est la première fois que cette histoire se concentre sur la victime et non sur l'homme en question. Et quand le film sort, là en 2020, donc c'est à peu près trois ans après l'affaire Weinstein, Et Léonel, il reconnaît clairement que son film s'inscrit dans cette actualité. Après, je ne sais pas si c'est vraiment ce qui l'a poussé à transformer autant l'histoire originale. En tout cas, ce qu'il a fait fonctionne, même si on peut dire que ça surfe un peu sur ça. Mais moi, je trouve que ça fonctionne très bien. Et puis, évidemment, son homme invisible va devenir l'incarnation du traumatisme de Cécilia, son personnage principal. Et en général, l'incarnation de... tous les hommes qui frappent, violent impunément comme si personne ne les voyait. Mais en fait, on vous voit les gars maintenant. Et puis, dans ce film, on voit et on ressent avec Cécilia le fait que personne ne la croit. Je trouve que ça crée une tension. Moi, ça me tendait le film. J'étais en mode, mais putain, je comprends pas pourquoi personne ne l'écoute. On voit bien qu'il se passe des trucs bizarres et qu'elle n'est pas folle. Et on sait qu'elle est harcelée. Mais les preuves sont invisibles, comme souvent. C'est des gros parallèles avec ce qui se passe dans la réalité.

  • Speaker #0

    Je t'interromps deux secondes, mais moi, je trouve qu'on ne voit grave pas les preuves. Et justement, on a trop envie de... Non, mais du coup, moi, c'est ça que je trouve qui est horrible. C'est qu'on a trop envie de penser qu'elle est vraiment folle, tu vois.

  • Speaker #3

    Ah ouais, peut-être, mais moi je trouve que c'est vite...

  • Speaker #0

    Oui, parce que le parti pris est de son côté et le film est fait de son côté, mais en fait, d'un point de vue extérieur, quand tu regardes le truc, tu dis...

  • Speaker #3

    On est en colère parce qu'on voit qu'il n'y a pas de preuves, mais on sait très bien que...

  • Speaker #0

    Tu comprends les réactions des gens autour d'elle.

  • Speaker #3

    Oui, mais c'est ça qui met en tension, justement. Moi, ce que j'aime beaucoup aussi dans le film, c'est les scènes d'action qui sont très réussies. Il y a notamment celle de l'hôpital. Et qui se poursuit après sur un parking sous la pluie. Et en fait, là, je me suis renseignée parce que je me disais, mais c'est trop bizarre. Il y a un effet un peu jeu vidéo bizarre. La caméra fait des trucs chelous. En fait, c'est effectivement, il y a une caméra spécifique qui est utilisée, qui est une caméra robotisée dite de motion control, donc contrôle du mouvement. En fait, on va programmer par ordinateur. Tous les déplacements et les réglages de la caméra de manière hyper précise, sur un logiciel, avec un timing et tout, pour qu'on puisse ensuite répéter, modifier les prises autant qu'on veut. Et à l'inverse de ce qui se passe d'habitude quand on tourne un film, c'est que là, c'est l'acteur, l'actrice qui va suivre la caméra et pas l'inverse, parce que tout est programmé. Donc il faut que, seconde 3, on soit à tel endroit de la pièce, parce que la caméra, elle y sera. Et du coup, ça a un rendu presque... bizarre, pas réel en fait. C'est pour ça que je disais jeu vidéo mais ça fait un peu cinématique.

  • Speaker #0

    Je sais pas si tu as vu son film d'avant Upgrade.

  • Speaker #1

    Ah oui c'est 100%

  • Speaker #0

    jeu vidéo ce film. Et Upgrade il fait ça tout le temps, il utilise ce processus tout le temps dans les scènes d'action. Ce qui rend le film très... moi je trouve assez cool.

  • Speaker #1

    Oui et puis son film d'avant c'est vraiment un jeu vidéo porté en film en fait, sur le principe. C'était pas mal ouais.

  • Speaker #3

    Je ne l'ai pas vu, mais c'est vrai qu'il en parle beaucoup pour expliquer ce qu'il a fait pour ces scènes d'action. Non, du coup, très cool. Et pour finir, moi, je spoil aussi, tant pis, mais il y a un twist final qui nous interroge et qui pose la question de Est-ce qu'Adriane est vraiment un génie du mal qui a orchestré toute cette machination ou bien juste un sale type violent qui est en fait victime de la vengeance de son frère jaloux ? Donc, on ne saura pas vraiment, mais ce qui du coup... pose aussi la question de la punition sans la justice, sans le procès. Et d'un côté, c'est vrai qu'on comme disait Thomas, on est du parti de Cécilia donc on s'en fout grave que ce mec qui meurt est de l'autre, qui meurt de la main de Cécilia sans qu'on sache s'il a réellement enfilé ce costume d'homme invisible à un moment dans le film pour la torturer bah en fait ça pose question de comment, voilà quel est le jugement dans ce genre de cas. C'est pas si simple. Donc est-ce que le œil pour œil, dent pour dent, c'est ok ? Enfin, jusqu'où en tout cas ? Je ne sais pas, je n'ai pas la réponse. Mais en tout cas, c'est un film que j'ai beaucoup aimé. Voilà.

  • Speaker #0

    Camille, ça t'a fait bader,

  • Speaker #2

    toi ? Oui, je pense qu'il faut vraiment un gros trigger warning pour ce film parce qu'il est quand même hyper efficace, notamment sa scène d'ouverture, elle est assez fantastique sur l'évasion. de Cecilia qui essaie d'échapper à ce mec qu'on n'a pas vu debout. On le voit juste coucher et il nous fait très peur pour autant. Je trouve que c'est un film qui est franchement dur à regarder. Moi, je n'ai vraiment pas pris beaucoup de plaisir au début parce que je reconnais qu'il est très efficace et tout. Mais moi, je trouve que... Je veux juste dire pour les gens qui craignent un peu ce genre de sujet ou... Cette situation d'hypervigilance, on la ressent, je trouve, et on la vit avec le personnage féminin hyper, hyper fortement. Notamment dans une des premières scènes où il est dans la chambre. Et je trouve qu'il y a un truc vraiment très violent. J'ai eu très, très peur pendant ce film. Et c'est un vrai cauchemar parce que la violence qui est faite aussi... autour des gens qu'elle aime, c'est très dur. C'est surtout les femmes qui se font faire du mal dans ce film-là. Je trouve qu'Elisabeth Moss, c'est évident, mais c'est hyper important que ce soit elle qui tienne ce rôle-là parce qu'elle porte vraiment tout. Qu'il soit là ou qu'il ne soit pas là, peu importe. D'un seul coup, les vides deviennent terrifiants et deviennent pleins.

  • Speaker #3

    C'est incroyable.

  • Speaker #2

    Comment il filme les vides. Il n'y a pas de screamer, il n'y a pas de truc comme ça dans tous les sens, mais pour autant, c'est très bien. Je dois dire que les scènes d'intérieur sont assez fantastiques. Je suis moins convaincue par la fin. Moi, par le twist, le machin, le truc, ça m'intéressait moins. Mais moi, surtout, je me disais que le personnage était tellement dans une situation infernale, que la résolution ne peut être que violente. C'est soit elle, elle meurt, soit lui, il meurt. Mais en fait, les deux ne peuvent pas coexister. C'est évident, vu la situation qui se passe. Donc voilà. Mais c'est un film intéressant sur le PTSD, évidemment, sur l'emprise aussi, parce qu'il y a quand même toute cette idée que Adrienne, en mourant, lui lègue de l'argent. Et donc, elle hérite de cet argent-là. Et en même temps, c'est toujours un lien avec ce mec. C'est... Ouais. c'est assez rude tu l'avais jamais vu toi ? non j'avais jamais vu il m'avait choqué la première fois j'avais jamais vu et en fait il est limpide dans ce qu'il raconte on sait exactement de quoi ça va parler mais je trouve que c'est violent Et c'est marrant, ça m'a fait penser un peu à un film dont tu avais déjà parlé, celui qui se fait dans les bois, là, tu sais, avec la meuf muette, avec un tueur à l'extérieur. Ah ouais, ouais, ouais. Ah, oui. Que j'avais pas aimé, pour le coup, parce que je trouvais que, en fait, la torture du personnage féminin, il était... Enfin, c'était pas trop justifié. Là, je trouve que le sujet de la violence conjugale, en fait, rend les scènes, justement, d'angoisse et de torture de ce... personnage féminin comment dire plus véritable donc ouais non très chouette enfin très chouette on a compris c'est

  • Speaker #0

    rigolo t'as un peu l'avis que j'ai, ça me rappelle la première fois parce que moi je pense que c'est la 3 ou 4ème fois que je le vois mais du coup il m'a fait beaucoup d'effets la première fois aussi en salle notamment où j'avais trouvé le film dur et hyper maîtrisé j'avais un peu cet avis là que j'ai toujours un peu d'ailleurs après juste pour redonner des petits éléments quand même de contexte Livanel il est dans un truc où il a il est en train d'exploiter en gros les Universal Monsters donc Donc il fait son Invisible Man, et là il fait son Wolfman, qui est sorti l'année dernière. Et en fait, clairement, de ces deux films, il y a quand même un angle qui a l'air de se profiler, une vision qui a l'air de se profiler, c'est d'essayer de tourner ça pour décrire des situations de masculinité toxique. Et là où Invisible Man est du côté complètement du personnage d'Elizabeth Moss, n'est jamais... du côté de son bourreau, donc d'Adriane. Wolfman, lui, va se concentrer plutôt sur l'intérieur de l'homme, qui est donc le loup-garou, et donc va poser les questions de comment un homme arrive à être violent, pourquoi... Il pose la question de la transmission, en tout cas, de... Est-ce qu'il y a... En tout cas, dans Wolfman, le mec, en fait, a peur de devenir violent parce qu'il a lui-même été victime de violence quand il était gosse. donc il pose cette question là mais il est du côté du personnage masculin en montrant les conséquences sur son environnement familial les conséquences de sa transformation et là je trouve que dans Invisible Man il y a un truc qui est très très donc Wolfman marche un peu moins bien d'une certaine manière parce qu'en fait en terme de film d'horreur pur parce que ce qui est intéressant je trouve dans Invisible Man c'est qu'il y a un truc qui est hyper efficace, c'est qu'il y a une règle du film d'horreur respecté quasiment jusqu'au bout. Et je trouve que c'est là que la scène de fin a un intérêt. C'est qu'il ne montre jamais le mec. On ne le voit jamais. C'est-à-dire que le visage de ce mec n'est jamais filmé. On le voit peut-être ses dents à un moment donné parce qu'il a une dentition un peu bizarre, l'acteur. On le voit de loin.

  • Speaker #1

    On le voit courir au début.

  • Speaker #0

    Et en fait, on ne te montre jamais le monstre. Parce qu'il est invisible. C'est vraiment... Je trouve extrêmement intelligent d'avoir choisi cette histoire et de raconter ça comme ça.

  • Speaker #1

    de revisiter ce mythe là comme ça ça en fait un truc assez cohérent du coup transformer le point de vue et en faire un vrai monstre ou méchant de film d'horreur et moi je suis d'accord les scènes d'intérieur et de maison et du coup je pense que c'est pour ça que tu penses à Hush aussi où il y a beaucoup ces scènes filmées en intérieur et là la caméra qui laisse une énorme place au vide dedans C'est giga oppressant et moi c'est la deuxième fois que je le vois et pareil la première fois, le niveau d'alerte dans lequel t'es pendant tout le film, il est vraiment énorme. Et ouais, c'est vraiment maîtrisé parce que dès le début en fait, t'es comme ça, tu sais ce qui se passe dès le départ et du coup tu cherches avec elle dans la maison et tu sens la présence et c'est assez fort d'arriver à l'avoir fait sans qu'il y ait rien en fait. Alors il y a un moment où tu vois la buée quand même à l'extérieur, la condensation mais... A part ça, en fait, c'est juste de la suggestion. Moi,

  • Speaker #2

    je trouve qu'il y a le truc du drap qui est génial.

  • Speaker #1

    Les pieds sur le drap.

  • Speaker #2

    Oui, mais c'est de l'ordre du cauchemar. C'est ça qui est génial.

  • Speaker #1

    Ça fait paralyser du sommeil,

  • Speaker #2

    clairement. Au début, si tu veux, la question de est-ce qu'il est là ou pas, m'importe peu, dans le sens où, de toute façon, il est dans sa tête.

  • Speaker #1

    Et ça peut être une manifestation d'un trauma qui est encore très récent. Et en fait, ça ne s'arrête pas au moment où elle part. Ça continue. Et du coup, c'est pour ça, peut-être que tu as le doute au début. Oui, peut-être que c'est dans sa tête. Après, le film s'appelle Invisible Man, donc tu te doutes que...

  • Speaker #3

    Oui, c'est vrai que...

  • Speaker #1

    il casse le suspense rapidement en tout cas je trouve que c'est une belle façon de parler à quel point c'est inscrit partout dans ta vie après un traumatisme comme ça, et que tu ne peux pas le faire partir comme ça, et du coup le mettre sous forme d'un spectre, d'une présence qui te suit au quotidien et qui te pourrit la vie même après, même sa mort là, en l'occurrence, c'est très malin.

  • Speaker #2

    Oui, et puis ta culpabilité à elle aussi, tu vois, parce qu'il y a une part de culpabilité, évidemment, quand on pense qu'il s'est suicidé après son départ à elle.

  • Speaker #1

    Tu vois, moi, la fin, c'est pareil, j'avais pas trop aimé. Et en fait, ce que t'as dit tout à l'heure sur la réflexion, sur le jugement, je trouve que ça change le rapport à la fin aussi. Moi, je l'avais pas forcément vu comme ça et du coup, je prends un peu mieux le twist maintenant que j'ai vu,

  • Speaker #0

    je pense.

  • Speaker #3

    T'as une réflexion dans la réflexion.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #0

    je trouve ça effectivement pertinent.

  • Speaker #2

    Moi, c'est plus le personnage du frère. La fin en elle-même, je la trouve OK, tu vois. Oui, oui. C'est le personnage du frère, bon... Oui, oui,

  • Speaker #3

    je suis d'accord.

  • Speaker #0

    Non, mais ça, c'est sûr. Ce twist... En fait, ils étaient deux.

  • Speaker #2

    Oui, voilà. D'accord.

  • Speaker #3

    Mais c'est juste de poser la question de... En fait, est-ce que c'était vraiment lui qui la torturait, même après qu'elle se soit évadée ?

  • Speaker #0

    Et du coup, est-ce que t'es vraiment OK avec ça ? Et voilà.

  • Speaker #3

    Alors qu'on prend plaisir au fait qu'il meurt. Moi, clairement, à la fin, tout le monde s'en fout.

  • Speaker #0

    Mais voilà, alors que c'est ce que j'allais dire. Le film te prend quand même en otage. Il te laisse pas complètement...

  • Speaker #3

    Et avec ce personnage de son ami James

  • Speaker #0

    Je comprends la réflexion de Camille qui dit de toute façon ils peuvent pas vivre tous les deux en même temps parce que c'est vrai que la première fois que tu vois le film t'es en mode de toute façon crève tu vois donc ouais ouais au bout de plusieurs fois que je l'ai vu je me disais ah ouais c'est vrai qu'il y a peut-être ce truc là cette ambiguïté là à la fin mais c'est vrai que la première fois tu le vois c'est vrai que c'est assez

  • Speaker #2

    C'est pas un reproche mais c'est le seul petit point c'est que Merci. effectivement le je trouve le film très réussi mais je le trouve peut-être un peu trop dans le sens où ça va tellement loin cet acharnement contre elle je dis pas que ça n'existe pas au contraire mais ça va tellement loin qu'au bout d'un moment tu t'acceptes en tant que spectateur d'enlever tout esprit critique et tu joues le jeu du film et tu le sais c'est un film qui t'est livré

  • Speaker #0

    clé en main dans le sens où tu dois ressentir ça il y a une forme de prise d'otage mais c'était vraiment voulu oui bien sûr et puis au milieu de ça il y a cette scène d'action de l'hôpital qui est vraiment réussie moi je ne m'attendais pas à voir une scène de gunfight et tu te dis qu'est-ce que ça vient foutre et en fait la scène est plutôt réussie elle est vraiment bien et juste moi un petit mot parce que moi j'aimais beaucoup le Veroven

  • Speaker #3

    Oui,

  • Speaker #1

    il est bien.

  • Speaker #3

    Avec Kevin Bacon, on n'a pas dit.

  • Speaker #0

    Oui, oui.

  • Speaker #3

    Ah si, tu l'as dit. J'ai oublié. On redit, avec Kevin Bacon.

  • Speaker #0

    J'adore dire quand il y a Kevin Bacon, parce que j'adore son glace. Mais moi, j'aimais bien ce film. En plus, je l'ai vu quand j'étais ado, donc c'était un peu bizarre, parce que c'est un gros film de pervers. En gros, Kevin Bacon, il est invisible, il passe son temps à regarder des meufs se décaper.

  • Speaker #3

    Et à les tripoter pendant qu'il est invisible.

  • Speaker #2

    Étonnant pour Verhoeven.

  • Speaker #0

    Et du coup, c'est vrai que le film pose un peu... Enfin, tu vois, c'est un peu les mêmes bases. Le Invisible Man, c'est toujours un... Il tourne globalement mal, à chaque fois. Oui,

  • Speaker #3

    c'est un gros pervers pétère.

  • Speaker #2

    De toute façon, le truc de l'invisibilité, c'est terrifiant. Moi, quand il y a des gens qui te disent « Ah ouais, moi, j'aimerais bien être invisible. »

  • Speaker #1

    Non mais...

  • Speaker #2

    Euh... Ok !

  • Speaker #1

    Tu fais la blague à un gosse, tu lui dis, tu fais semblant qu'il est invisible, c'est terrifiant quand t'es petit. On me l'a jamais faite mais...

  • Speaker #2

    Toi tu l'as fait à combien d'enfants ?

  • Speaker #1

    Une dizaine quoi. D'accord. Non c'est pas vrai, j'ai jamais fait.

  • Speaker #0

    Waouh, cet épisode est à charge très lourd pour Léo. Beaucoup d'aveux, beaucoup de confessions.

  • Speaker #1

    Non mais il y a des vidéos de familles qui font ça à leurs gamins, c'est peut-être pas une bonne idée,

  • Speaker #2

    l'enfant genre chiale quoi. Et en plus il est déçu sur le...

  • Speaker #1

    Ouais, l'enfant vraiment est terrifié et pleure au milieu de la pièce quoi. on est nerveux ici

  • Speaker #0

    C'est l'effet d'option du taf. Juste pour dire que je le trouve suffisamment... Il vient très à distance du Verhoeven. C'est marrant parce que le Verhoeven, je crois qu'il est considéré comme un de ses plus mauvais. Moi, je l'aime bien. En tout cas, il arrive suffisamment à distance et il est suffisamment différent en termes de point de vue pour ne même pas avoir à subir la comparaison. C'est vraiment un film complètement différent. Et puis moi, j'aime bien l'Ivanel. Alors faut peut-être pas trop qu'il s'embourbe dans les trucs à faire toujours un peu le même film là mais en tout cas je trouve ça un... Il y a une certaine maestria, il a une maîtrise du langage du cinéma qui est cool, j'ai hâte de voir ce qu'il va faire après. C'est vrai que c'est pas du niveau de James Wan. Ah c'est hier,

  • Speaker #1

    c'est reparti.

  • Speaker #2

    Bon, allez, nous on va aller rentrer chez nous et mettre l'avion sur le tour.

  • Speaker #0

    On va le laisser. Non mais c'était...

  • Speaker #3

    Et c'est celui qui a fait aussi le chapitre 3 d'Insidious qui n'était pas terrible je crois.

  • Speaker #1

    Je ne sais même pas si je l'ai vu le 3.

  • Speaker #0

    Pour moi, ces films, c'est Upgrade, Invisible Man et Wolfman.

  • Speaker #3

    Il a fait le troisième Insidious.

  • Speaker #0

    C'était de la D.

  • Speaker #3

    Je crois que ce n'était pas ouf.

  • Speaker #0

    Ok, ok. En balai, c'est pesé ?

  • Speaker #1

    Je crois bien. Petit épisode de rentrée.

  • Speaker #0

    Petit épisode de rentrée à la bien. En fait, il n'y a pas trop de physique chimie en vrai. Ah si,

  • Speaker #2

    attends. C'est des scientifiques.

  • Speaker #3

    Moi, il est ingénieur en optique.

  • Speaker #0

    Oui, c'est vrai, ingénieur en optique. C'est vraiment... Bye. Léo c'était quoi ?

  • Speaker #3

    Bah si ton virus c'est quand même un virus créé par les russes Et oui Virus

  • Speaker #2

    Ok Et puis avec les scientifiques qui sont dans l'Antarctique

  • Speaker #0

    Oui les scientifiques sont dans l'Antarctique C'est encore des scientifiques Non mais c'est marrant il n'y a aucun film qui se passe à l'école Bah il aurait pu prendre The Faculty Ou un truc comme ça Oui ça fait plusieurs fois qu'on se dit on aurait pu prendre The Faculty Mais on n'a pas envie de revoir The Faculty

  • Speaker #1

    Ça fait chier Moi j'ai envie de le revoir La vibe année 2000...

  • Speaker #2

    T'inquiète, ça en aura.

  • Speaker #0

    On sait que c'est ton péché mignon, t'inquiète, la vibe année 2000, elle arrive lourd, lourd. Merci d'être là, merci de nous avoir écoutés. Il y a les recos. Ah putain, j'ai oublié. Oui. Il y a les recos. Avant de se quitter, avant que je vous remercie, je vous remercierai qu'après, il y a les recommandations de la rentrée. Quelles recommandations ? On commence par qui ? Quoi ? Vas-y, dites. Voilà, vas-y, lance-toi.

  • Speaker #3

    Ah putain, recommandation de la rentrée. Ouais, moi je me suis mis à la recommandation de dimanche dernier et du coup c'est nul. Du coup moi j'ai noté, j'ai rien fait, j'ai déprimé de la rentrée et puis voilà. Mais ce qui me sauve le moral c'est de retrouver ma cancoyotte à l'œil.

  • Speaker #1

    Ok,

  • Speaker #3

    super.

  • Speaker #2

    Donc, co-culinaire.

  • Speaker #0

    On va se flinguer.

  • Speaker #3

    Non, c'est bien, c'est juste après il faut accepter la mauvaise haleine.

  • Speaker #0

    T'es pas emmerdé par l'Invisible Man avec ta concroïette ça ? Ça ou moins ?

  • Speaker #3

    Je m'en tartine en crème de nuit.

  • Speaker #0

    Tu t'en mets sous les bras. Léo, t'as une reco ? Tu veux qu'on finisse le tour de table pour y penser ?

  • Speaker #1

    Non, je peux faire une reco collective, mais je sais pas si quelqu'un voulait la faire. vas-y vas-y c'est à toi que ça revient c'est ce à quoi je pense je pense que c'est ce à quoi tu penses ben Reco Alpha de Julia Ducournau en fait je croyais que t'allais faire la Reco bloquons tout et tout j'allais dire on peut aussi bloquons tout mais quand vous écouterez l'épisode ce sera peut-être pas trop tard s'il y a encore des actions et des blocages allez-y évidemment mais oui Alpha de Julia Ducournau qui est injustement critiqué avec des critiques assez horribles quand il est sorti alors que en fait ton... on l'a toutes et tous vu là ce soir et en fait on a beaucoup aimé plein de choses oui je crois qu'elle avait besoin de nous d'ailleurs Julia c'est vrai qu'on peut dire c'est pas une partie de plaisir mais on a vraiment beaucoup aimé pour plein de raisons différentes on est content de te retrouver Julia d'ailleurs si tu veux venir donc allez voir Alpha franchement parce que ne vous laissez pas avoir par les critiques négatives Soyez curieux et curieuses

  • Speaker #0

    Et moi les gens j'étais pas dans le train de Julia Ducournau Mais là je suis dans le train Même Thomas vous vous rendez compte

  • Speaker #1

    Lui qui est le sceptique de base de Julia Ducournau Il est à fond On en parle tous les jours aussi maintenant

  • Speaker #0

    C'est vrai on va être deux maintenant Eh Julia Ducournau Alors moi je fais une petite reco Petite reco streamer Moi je vais vous recommander la chaîne de Wissam Zelka Donc Wissam, W-I-S-S-A-M, plus loin que ZLK, X-E-L-K-A, c'est un militant politique associé à Parole d'honneur, le média décolonial, c'est un militant du pire, et donc il est aussi streamer chez Zawa Prod, et il n'a pas du tout besoin de moi pour l'aider parce qu'il est hyper connu et donc il n'a pas besoin de moi pour le défendre mais je voulais juste recommander sa chaîne parce que c'est quand même bien ce qu'il fait c'est best of sur youtube il fait des super donc il fait des vidéos d'actualité tout ça mais il fait aussi des entretiens avec avec des philosophes avec des sociologues avec des féministes avec tout un tas de gens différents qui sont très très C'est très bien que ça s'appelle les WeWeTalk et surtout en ce moment il se prend une sauce de fou où il y a à peu près deux articles par semaine qui sortent pour dire que... Enfin voilà, qui sont des articles un peu racistes qui sortent pour dire qu'il parle trop fort et que c'est pas bien de dire ça. Donc voilà, je voulais vous recommander sa chaîne, c'est vachement bien. Il y a une chaîne YouTube où il y a les redifs des streams, mais sinon on peut le suivre aussi sur Twitch. Voilà, donc WeSamZK, moi j'adore. Voilà, Camille ?

  • Speaker #2

    Oui, moi ma reco c'est le reco de soutien pour le vidéoclub JM vidéo qui est venu par montée à Paris qui est un des derniers si ce n'est le dernier gros vidéoclub de la capitale et qui est en grosse difficulté financière pour vous donner une idée pour ceux qui ne connaîtraient pas ce lieu c'est le décor des interviews Vidéoclub, je crois que c'est le nom, de Combini, avec plein de stars différentes. D'ailleurs, celle avec Juliette Ducournau est super bien. Je vous la recommande aussi, j'en profite. Bref, c'est un lieu super, avec vraiment des gens hyper passionnés au cinéma, et qui, moi, m'ont recommandé mes premiers films d'horreur quand j'étais gamine. Donc, voilà, si vous pouvez les soutenir, je sais qu'il y a une cagnotte Ulule, ou alors, ils m'ont dit que, si vous êtes dans le coin, N'hésitez pas à passer pour prendre un abonnement de 10 films, comme ça ça les soutient, ça les aide.

  • Speaker #0

    Ah bah on peut faire ça, parce qu'en vrai on n'est pas très loin.

  • Speaker #2

    On mettra de toute façon la cagnotulule je pense, dans notre description. Voilà !

  • Speaker #0

    Ouais il a plein de films lui, il a plein de films. Au moins, et même ne serait-ce que de rentrer dedans et se balader dedans, c'est assez fou.

  • Speaker #1

    Les Jones, la génération TikTok par exemple, allez voir ce que c'est un vidéoclub.

  • Speaker #0

    Ah c'est bien, Léo embrasse le rôle de...

  • Speaker #2

    alors malheureusement je crois qu'ils n'ont pas le petit rideau de perles derrière lequel il faut passer pour aller dans les films interdits mais c'est au fond non mais dis pas ça aux jeunes ils sont majeurs non ? les tiktokers maintenant Bon bref

  • Speaker #0

    Camille pervertit la jeunesse

  • Speaker #2

    Tata Folding

  • Speaker #0

    Tout ça partait d'une bonne intention En attendant en vrai même si t'as pas envie de louer un film je pense que rien que d'aller dedans pour voir et regarder un peu tout ça donne de fait envie de de prendre un truc de le louer, d'essayer quoi parce que c'est quand même hyper beau à l'intérieur en tout cas tous ces vestiges,

  • Speaker #2

    ils ont plein de reflets hyper blancs vraiment pour leur donner

  • Speaker #0

    un style de film que vous aimez bien et c'est vraiment leur taf ils le font bien nous avec Diane on y a été et on avait acheté Killer Joe qu'on avait maté c'était bien on en a pas encore parlé je crois non on en a pas parlé encore on a parlé de Bug mais pas de Killer Joe bon

  • Speaker #1

    bah voilà donc cette fois-ci mais t'as fait qu'une reco ça va Thomas ?

  • Speaker #0

    bah attends je fais toujours qu'une reco ? ouais ouais je sais pas si Hollow Knight Sealsong qui est sorti mais pourquoi tu lui as dit ? je sais pas Merci. Les gens, ils savent. OK, c'est tout pour cette fois. On se retrouve dans 15 jours, mais un vrai demain. Merci de nous avoir écoutés jusqu'au bout. Mettez des likes, des j'aime.

  • Speaker #3

    Parce que les likes, c'est...

  • Speaker #0

    Des pouces, des étoiles, des trucs.

  • Speaker #2

    Et des commentaires.

  • Speaker #0

    Et des commentaires. Et abonnez-vous. abonnez-vous non comment on dit sur Instagram on s'appelle on follow ça veut dire pareil il faut nous suivre sur Instagram et Letterboxd et Letterboxd qui est à jour dont on a jamais fait la promo si si on l'avait dit on l'a dit une fois mais si vous voulez un récap facile

  • Speaker #1

    de tous les films qu'on a regardé c'est classé par saison plutôt que de fouiller dans les descriptions Spotify ou Insta vous pouvez aller sur Letterboxd et on a tout listé les films qu'on a vu sur les deux saisons pour l'instant

  • Speaker #0

    Ouais, c'est vrai que tu l'as tenu à jour ?

  • Speaker #1

    Bah ouais, j'ai mis à jour cet été quand on avait fini.

  • Speaker #0

    Et ben voilà, donc merci.

  • Speaker #3

    On rend l'antenne.

  • Speaker #1

    Ouais.

  • Speaker #0

    On rend l'antenne.

  • Speaker #2

    Ciao !

  • Speaker #1

    On l'aurait pas, non, on l'aurait pas celle-ci.

  • Speaker #2

    On la rend pas.

  • Speaker #0

    Salut. Pas grand.

Description

C'est la rentrée de l'Horreur du Dimanche !

Aujourd’hui on parle de savants fous qui n'ont plus tous les fils qui se touchent et de films horreurs.


Les films de l'épisode :

- 5'00" Minor Premise [Eric Schultz]

- 19'51" Au-delà du réel [Ken Russell]

- 41'26" Virus [Kinji Fukasaku]

- 62'13" Invisible man [Leigh Whannell]


Quelques recos (89'00") :

- Lola recommande la cancoillotte à l'ail contre la déprime de la rentrée
- Léo a vu Alpha de Julia Ducournau, et on aime toustes

- Thomas recommande la chaîne du militant politique Wissam Xelka

- Camille soutient le vidéoclub JM Vidéo, en difficulté financière, qui est un des derniers à Paris


⚠️ Attention aux spoilers ⚠️


Lien pour soutenir JM Vidéo : https://fr.ulule.com/jm-video-a-besoin-de-vous/


Réalisation et musique : Brice Thierion

Identité visuelle : Noah Ballul


Pour nous aider n'hésitez pas à nous suivre @lhorreurdudimanche, à vous abonner et à mettre des étoiles sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Podcast Addict, ...😍


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #1

    Le retour du dimanche Le retour du dimanche

  • Speaker #0

    L'horreur

  • Speaker #1

    Le retour du dimanche

  • Speaker #0

    Hello les gens, du dimanche, l'horreur du dimanche, comment ça va ?

  • Speaker #1

    l'horreur du dimanche,

  • Speaker #2

    l'horreur du dimanche.

  • Speaker #1

    A cab !

  • Speaker #0

    Hello les gens, A cab ! comment ça va ? À cab ! À cab. C'est parti. C'est parti ! Bienvenue dans l'horreur du dimanche, Bienvenue dans l'horreur du dimanche, le podcast des films qui font bader, le podcast des films qui font bader. Le podcast de la frousse molle au chaud dans son canapé. le podcast de la frousse molle au chaud dans son canapé, Le podcast blablabla. le podcast blablabla, J'écris tout avec chat GPT, j'écris tout avec chat GPT, de toute façon, de toute façon je m'en... je m'en fous. fou. Mon prompt c'était, Mon prompt, c'était écris-moi une intro en vert dans le style de François Ruffin. écris-moi une intro en vert dans le style de François Ruffin. Donc ça a fait ça. Donc ça a fait ça. Oh non !

  • Speaker #3

    François Ruffin avant ou François Ruffin maintenant ?

  • Speaker #2

    François Ruffin avant ou François Ruffin maintenant ?

  • Speaker #0

    Maintenant, Maintenant, tu sais, tu sais, il fait les rimes. il fait les rimes. Bon allez, Bon allez, on va parler un peu plus sérieux. on va parler un peu plus sérieux. Ça a été les vacances ?

  • Speaker #1

    été et vacances ?

  • Speaker #0

    Ouais. Ouais. On a bien bronzé dans les résidences secondaires. On a bien bronzé dans les résidences secondaires. Hein ?

  • Speaker #3

    Dans tous les Hilton de la Terre.

  • Speaker #2

    Dans tous les Hilton de la Terre.

  • Speaker #0

    Non en vrai je sais que vous êtes pas ce genre d'auditeur et d'auditrice En vrai, je sais que vous n'êtes pas ce genre d'auditeur et d'auditrice, Quoique quoique, Pendant notre break estival Lola m'a montré que Renaissance pendant notre break estival, Lola m'a montré que Renaissance 19ème arrondissement nous avait follow Ouais s'il vous plaît 19e arrondissement nous avait follow.

  • Speaker #2

    Je les ai bloqués

  • Speaker #1

    Je les ai bloqués

  • Speaker #2

    Cassez-vous si vous nous écoutez Arrêtez de nous écouter

  • Speaker #3

    Cassez vous si vous nous écoutez arrêtez de nous écouter

  • Speaker #0

    On est colère là Renaissance 19ème arrondissement Du coup j'ai passé Les vacances de merde Je suis en dépression et je suis reparti Dans une phase de deep introspection

  • Speaker #2

    On est colère là

  • Speaker #0

    Du coup j'ai passé Les vacances de merde Je suis en dépression Et je suis reparti dans une phase de deep introspection En me demandant si j'étais vraiment that kind of droitard. En me demandant si j'étais vraiment That kind of droitard Est-ce à cause de mes positions réactionnaires sur Spring Breakers que je n'aime pas ? Est-ce à cause de mes positions réactionnaires Sur Spring Breakers que je n'aime pas J'ai pourtant fait mon mea culpa auprès d'Harmonie Corrine. J'ai pourtant fait mon mea culpa auprès d'Harmonie Corrine Est-ce à cause de ma chronique de cranc ? Est-ce à cause de ma chronique de cranc Merci. Et c'est à cause de mon flot marinière comptoir des cotonniers ? Est-ce à cause de mon flot marinière comptoir des cotonniers ? Je vois pas le problème. Je vois pas le problème.

  • Speaker #1

    Je pense que c'est parce qu'on a parlé de Christian Clavier. Je pense que c'est parce qu'on a parlé de Christian Clavier.

  • Speaker #0

    Peut-être.

  • Speaker #1

    Peut-être.

  • Speaker #0

    Ah j'avais pas pensé. Ah, j'avais pas pensé.

  • Speaker #1

    Ça leur a mis la puce à l'oreille. Ça leur a mis la puce à l'oreille.

  • Speaker #3

    Le C.

  • Speaker #2

    Le C.

  • Speaker #0

    Est-ce à cause de la énième startup Floppes ayant bénéficié de cadeaux fiscaux montés par Camille ? Est-ce à cause de la énième start-up Floppes qui ayant bénéficié de cadeaux fiscaux montés par Camille ? Est-ce à cause...

  • Speaker #1

    D'accord.

  • Speaker #0

    Gratuit ! Attends Camille, on sait tous, l'auto-entreprise, Est-ce à cause de Lola qui n'a pas de carte vitale tant elle ne veut pas creuser la dette ? on sait tous ce que ça veut dire. Est-ce à cause de Lola qui n'a pas de carte vitale tant elle ne veut pas creuser la dette ? Elle préfère data-miner ? Elle préfère data miner ? Putain mon micro se barre ! Putain, mon micro se barre. Est-ce à cause du t-shirt Queen B for Brigitte arboré par Léo à chaque enregistrement ? Est-ce à cause du t-shirt Queen Bee for Brigitte arboré par Léo à chaque enregistrement ?

  • Speaker #3

    Ah putain,

  • Speaker #2

    Putain mais faut pas le dire ça les gens le voient pas

  • Speaker #3

    mais faut pas le dire, ça les gens le voient pas.

  • Speaker #2

    Renaissance 19 le sait Ils sont par la fenêtre ils nous voient là comme ça

  • Speaker #1

    Renaissance 19 le sait apparemment.

  • Speaker #3

    Ils sont par la fenêtre, ils nous voient là, comme ça.

  • Speaker #0

    Franchement je vois toujours pas le problème Franchement, je vois toujours pas le problème. Bon, Bon je ne peux pas fake plus longtemps Les gens de Renaissance vous pouvez nous écouter je ne peux pas fake plus longtemps, les gens de Renaissance, vous pouvez nous écouter pour devenir meilleurs, Pour devenir meilleur, il n'y a pas de problème. il n'y a pas de problème, Moi, moi je suis pour vous aider à sortir de votre sauce. je suis pour vous aider à sortir de votre sauce. Par contre SVP, Par contre, SVP, venez pas nous follow, venez pas nous follow, c'est gênant et ça me nique mes vacances. c'est gênant et ça me nique mes vacances.

  • Speaker #3

    Ne nous mettez pas dans cette position par rapport aux gens qui nous suivent.

  • Speaker #2

    Ne nous mettez pas dans cette position par rapport aux gens qui nous suivent.

  • Speaker #0

    Et puis après je suis obligé de reprendre mes gouttes.

  • Speaker #2

    Et puis après,

  • Speaker #0

    je suis obligé de reprendre mes gouttes. Ceci étant dit... Ceci étant dit...

  • Speaker #3

    On a une réputation à dire.

  • Speaker #2

    On a une réputation à dire.

  • Speaker #1

    De l'homéopathie. De l'homéopathie, Et voilà. et voilà.

  • Speaker #0

    Ceci étant dit, Ceci étant dit, du coup, du coup c'est l'épisode de la rentrée. c'est l'épisode de la rentrée. Donc le thème, Donc le thème, parce qu'on est des oufs, parce qu'on est des oufs, c'est physique-chimie. c'est physique-chimie. Bon alors vas-y, Bon, alors, il y a une anecdote. Le thème, c'est pas con. Anecdote, anecdote, parce qu'en vrai, parce qu'en vrai c'est un peu un trauma. c'est un peu un trauma. Quand j'étais au lycée, Quand j'étais au lycée, j'avais une prof de physique chimique qui s'appelait Madame L. j'avais une prof de physique chimique qui s'appelait Madame L, Je ne sais pas si j'ai le droit de la doxer ou pas. je sais pas si j'ai le droit de la doxer ou pas, De toute façon, de toute façon elle se reconnaîtra parce qu'elle doit sûrement nous écouter. elle se reconnaîtra parce qu'elle doit sûrement nous écouter. Et bien Madame L, Madame L, quand j'arrivais en cours en retard et sans blouse, quand j'arrivais en cours en retard et sans blouse, elle me disait elle me disait « pas de blouse, « pas de blouse, pas de manipulation » . pas de manipulation » .

  • Speaker #3

    Elle avait l'accent du sud ?

  • Speaker #2

    Elle avait l'accent du Sud ?

  • Speaker #0

    Elle avait un accent bizarre, Exact, elle avait un accent bizarre en fait, en fait. c'était un mélange d'accent du sud et peut-être basque un peu, C'était un mélange d'accent du Sud et peut-être basque, je sais pas. je ne sais pas. Et du coup j'y repense souvent dans mon boulot aujourd'hui, Du coup, j'y repense souvent dans mon boulot aujourd'hui. pas de blouse, Pas de blouse, pas de manipulation. pas de manipulation. Et puis elle avait aussi une belle analyse de la société patriarcale dont elle nous a fait part une fois. et puis elle avait aussi une belle analyse de la société patriarcale dont elle nous a fait part une fois donc je cite madame L les électrons c'est comme les hommes ils n'aiment pas être seuls bon voilà ça suffit comme justification pour pour ce Donc je cite Madame L. Les électrons c'est comme les hommes, ils n'aiment pas être seuls. Bon voilà, ça suffit comme justification pour... Pour ce thème, thème tu vois tu as retenu un très beau dicton les électrons ça va les copains sinon la frite moi la frite l'Afrique.

  • Speaker #1

    tu vois tu as retenu.

  • Speaker #3

    C'est un très beau dicton.

  • Speaker #2

    Les électrons.

  • Speaker #0

    Ça va les copains sinon ? Lélé, la frite ?

  • Speaker #3

    Moi la frite. La Frite au Max, on a mangé des frites en manif aujourd'hui donc c'était super.

  • Speaker #2

    On a mangé des frites en manif aujourd'hui, donc c'était super.

  • Speaker #0

    D'ailleurs j'aime bien, D'ailleurs, j'aime bien, t'as appelé Lélé la frite, t'as appelé Lélé la frite. je trouve que ça sonne bien. Je trouve que ça sonne bien. Continue si tu veux.

  • Speaker #3

    Continue si tu veux.

  • Speaker #0

    Camille ! Camille !

  • Speaker #3

    C'est un AVC ou du DJing ?

  • Speaker #2

    C'est un AVC ou du DJing ?

  • Speaker #3

    On sait pas trop.

  • Speaker #2

    On sait pas trop.

  • Speaker #1

    Ça va Camille ?

  • Speaker #0

    Ça va Camille ? ça va super je suis trop contente d'être avec vous t'étais team Ellipse ou Manuata on en a pas parlé les deux t'étais les deux j'ai pas regardé tous les ans je me disais c'est pour ça je te posais la question moi j'étais pour les deux t'étais pour les deux pour la France en général t'étais pas déçue et

  • Speaker #1

    Ça va super, je suis trop contente d'être avec vous.

  • Speaker #0

    T'étais team Ellipse ou Manuata ? On en a pas parlé.

  • Speaker #1

    J'ai pas regardé !

  • Speaker #0

    je me disais c'est pour ça que je te posais la question moi j'étais pour les deux t'étais pour les deux ouais pour la France en général t'es pas déçu et Lola ouais tranquille ouais pas de migal dans ton PQ pendant ses vacances non ça a été, Lola tranquille pas de migal dans ton PQ pendant ses vacances non ça a été je n'avais pas là où j'étais de PQ ouais donc ça c'est ça c'est une anecdote private joke et d'ailleurs quand on deviendra payant on fera payer cette anecdote

  • Speaker #2

    il y en avait pas là où j'étais de PQ ?

  • Speaker #0

    donc ça c'est une anecdote private joke et d'ailleurs quand on deviendra payant on fera payer cette anecdote en podcast et à la technique c'est vraiment un business model ça et à la technique c'est toujours le règne du despote Brice Thirion d'ailleurs j'ai un message pour toi et à la technique c'est vraiment un business model ça et à la technique c'est toujours le règne du despote Brice Thirion d'ailleurs j'ai un message pour toi Thirion démission

  • Speaker #1

    Thirion !

  • Speaker #0

    démission Tyrion explosion Thirion explosion Thirion putain explosion bravo c'est super voilà l'horreur du dimanche épisode 57 c'est parti c'est maintenant Tyrion putain il a fait le putain explosion bravo c'est super voilà putain l'horreur du dimanche épisode 57 c'est parti c'est maintenant et bah on continue Et on commence tout de suite avec le premier film de l'épisode, On commence tout de suite avec le premier film de l'épisode, c'est moi, c'est moi, c'est moi, c'est moi, c'est moi. c'est moi. C'est mineur prémise le film. C'est minor prémise le film.

  • Speaker #2

    Ouais bah,

  • Speaker #3

    Ouais bah au lieu de dire c'est moi,

  • Speaker #2

    au lieu de dire c'est moi, c'est moi,

  • Speaker #3

    c'est moi,

  • Speaker #2

    c'est moi.

  • Speaker #3

    c'est moi.

  • Speaker #0

    C'est mineur prémise. C'est minor prémise. Ok,

  • Speaker #3

    Ok,

  • Speaker #2

    donc on a la section 1,

  • Speaker #3

    donc on a la section 1, l'anxiété,

  • Speaker #0

    l'anxiété,

  • Speaker #3

    puis l'angoisse.

  • Speaker #2

    puis l'angoisse.

  • Speaker #1

    La section 5 est l'intellect. La section 5 est l'intellect.

  • Speaker #0

    Au lieu de supprimer mes émotions compétentes, Au lieu de supprimer mes émotions compétentes, il me semble qu'on les a isolées. il me semble qu'on les a isolées.

  • Speaker #1

    Et la section 9... Et la section 9... Euphoria.

  • Speaker #0

    Euphoria.

  • Speaker #2

    Donc on a juste besoin de la section

  • Speaker #3

    Donc on a juste besoin de la section

  • Speaker #1

    8. Qui est ce gars ? 8. Qui est ce gars ?

  • Speaker #0

    Et oui, Eh oui, et oui, eh oui, et oui, eh oui ! Minor Premise, Minor Premise, film réalisé par film réalisé par Eric Schultz, Eric Schultz. Et c'est le seul et unique long métrage à ce jour réalisé par ce monsieur. et c'est le seul et unique long métrage à ce jour réalisé par ce monsieur. Film qui n'a pas coûté très cher. Film qui n'a pas coûté très cher, Moins d'un million, moins d'un million je crois, je crois. Deux dollars. deux dollars, Et le film met en scène et le film met en scène Satya Sridharan dans le rôle d'Ethan. Satya Sridharan dans le rôle d'Ethan. Alors cet acteur, Alors cet acteur, je ne peux pas vous donner de... je ne peux pas vous donner de... Il n'a pas de fiche Wikipédia, Il n'a pas de fiche Wikipédia, donc je ne peux pas vous dire ce qu'il a fait d'autre. donc... Je ne vais pas vous dire ce qu'il a fait d'autre. Peyton Ashbrook, Peyton Ashbrook, qui joue le rôle de Ali, qui joue le rôle d'Ali. et Et Dana Ashbrook, Dana Ashbrook, qui joue le rôle de Malcolm. qui joue le rôle de Malcolm. Lui, Lui, il a joué un rôle de figuration dans l'attaque des tomates tueuses. il a joué un rôle de figuration dans l'attaque des tomates tueuses.

  • Speaker #2

    Ah,

  • Speaker #3

    Moi,

  • Speaker #2

    moi, je connaissais l'attaque de la moussaka géante,

  • Speaker #3

    je connaissais l'attaque de la moussaka géante, mais pas des tomates tueuses.

  • Speaker #2

    mais pas des tomates tueuses.

  • Speaker #3

    Ah si,

  • Speaker #0

    Ah si, si, si, je crois que c'est avec George Clooney. je crois que c'est avec Georges Clooney. Super. Super. Donc, Donc, Minor Prémise, Minor Premise, ça raconte l'histoire d'Ethan. ça raconte l'histoire d'Ethan, Alors, je ne sais plus son nom de famille, je ne sais plus son nom de famille. petit prodige des neurosciences, Petit prodige des neurosciences, fils de Paul, fils de Paul, je ne sais plus son nom de famille non plus. je ne sais plus son nom de famille non plus. Au moment où j'ai écrit ces lignes, au moment où j'ai écrit ces lignes j'ai pas retrouvé la section mémoire qui est associée exactement, je n'ai pas retrouvé.

  • Speaker #3

    La section mémoire qui est associée.

  • Speaker #0

    Exactement. Et avec son daddy, et avec son daddy Ethan a inventé une machine pour traiter les informations produites par le cerveau lors d'un effort de remémoration afin de voir se matérialiser devant les yeux ébahis des investisseurs nos souvenirs en Ethan a inventé une machine pour traiter les informations produites par le cerveau lors d'un effort de remémoration afin de voir se matérialiser devant les yeux ébahis des investisseurs nos souvenirs en 480p sur un écran. 480p sur un écran alors à quoi ça sert tout ça alors qu'on fait de la 4K avec un iPhone et bien a priori ça permettrait d'effacer les 10 ou Alors, à quoi ça sert tout ça alors qu'on fait de la 4K avec un iPhone ? Eh bien, a priori, ça permettrait d'effacer les dix souvenirs et aussi de modifier la personnalité des gens. venir et aussi de modifier la personnalité des gens et ça j'ai pas trop compris comment et bon voilà alors Ethan Miskin il a perdu son père et il y a peu et du coup sa vie maintenant c'est un peu d'être un gros connard avec tout le monde donc avec ses étudiants qui l'engueulent parce qu'ils osent le critiquer sur le fait que ses ambitions avec Et ça, je n'ai pas trop compris comment. Et bon, voilà. Alors, Ethan Miskin, il a perdu son père. Et il y a peu. Et du coup, sa vie maintenant, c'est un peu d'être un gros connard avec tout le monde. Donc, avec ses étudiants qui l'engueulent parce qu'ils osent le critiquer sur le fait que ses ambitions avec sa nouvelle machine de con... sa nouvelle machine de con, il veut devenir Elon Musk donc il trouve ça un peu problématique il engueule aussi son ex Ali dont on comprend pourquoi elle a bien fait de se barrer Oui. Il veut devenir Elon Musk, donc il trouve ça un peu problématique. Il engueule aussi son ex, Ali, dont on comprend pourquoi elle a bien fait de se barrer. Et puis, Et puis, il engueule aussi son investisseur, il engueule aussi son investisseur, agent, agent, collaborateur Malcolm, collaborateur, Malcolm, qui a de toute façon, qui a de toute façon, lui aussi, lui aussi, d'être un maxi connard. d'être un maxi-cona. Et donc, Et donc, quand il se comporte pas mal avec tout le monde, quand il se comporte pas mal avec tout le monde, il kill des bouteilles de Jack Daniels. il kill des bouteilles de Jack Daniels. Et donc, Et donc, un soir, un soir, alors qu'il est bien bourré... alors qu'il est bien bourré, il se passe dans sa machine parce qu'il veut booster son intellect et sa productivité. il se passe dans sa machine parce qu'il veut booster son intellect et sa productivité. Et au lieu d'obtenir l'effet escompté, Et au lieu d'obtenir l'effet escompté, il se retrouve dissocié. il se retrouve dissocié. C'est-à-dire que toutes les trois minutes, C'est-à-dire que toutes les 3 minutes... il est habité par une... Six minutes. Ah oui, c'est six minutes, pardon. Elle a bien fait son train. Toutes les six minutes, Il est habité par une nouvelle facette de sa psyché, il est habité par une nouvelle facette de sa psyché fragmentée en huit ou neuf, fragmentée en à peu près, 8 ou 9. je ne sais plus. 9. Merci Camille qui a pris des notes Merci Camille qui a pris des notes. Et donc aidé par son ex Ali avec laquelle il se comportera Et donc, aidé par son ex, Ali, avec laquelle il se comportera de bout en bout comme un gros connard, De bout en bout comme un gros connard Il devra tenter de trouver la solution De l'équation qui permettra il devra tenter de trouver la solution de l'équation qui permettra sa réintégration. Sa réintégration Qui lui permettra de revenir une seule et unique personne Un gros connard qui lui permettra de revenir une seule et unique personne.

  • Speaker #2

    Un gros connard.

  • Speaker #0

    Et d'ailleurs, Et d'ailleurs c'est à mon sens La question posée par le film Est-ce qu'être un gros connard C'est un tout ou la somme De plusieurs fragments de connards c'est à mon sens la question posée par le film. Est-ce qu'être un gros connard, c'est un tout, ou la somme de plusieurs fragments de connards ? Eh bien, Eh bien, j'ai donc la réponse. j'ai donc la réponse. Ethan agressif est un connard. Ethan agressif est un connard, Ethan euphorique est un connard. Ethan euphorique est un connard, Ethan intello est un connard. Ethan intello est un connard, Ethan créatif est un connard qui dessine par terre. Ethan créatif est un connard qui dessine par terre. Ethan... Enfin bref, Enfin bref, vous avez compris. vous avez compris. Donc, donc le film est une espèce de de le film est une espèce de... De Nolan, De Nolan dans le montage et dans le choix de l'intrigue. dans le montage et dans le choix de l'intrigue, Un peu moins cher. un peu moins cher. Mais en vrai, Mais en vrai, ça passe, ça passe, ça m'a diverti. ça m'a diverti. Parce que moi, Parce que moi, d'une manière générale, d'une manière générale, c'est vrai que j'ai toujours tendance à apprécier, c'est vrai que j'ai toujours tendance à apprécier... de manière un petit peu, de manière un peu... peut-être, voilà, je suis un peu client, Je suis un peu client. quoi. J'aime toujours bien les films qui essayent de faire beaucoup avec peu, J'aime toujours bien les films qui essayent de faire beaucoup avec peu, avec peu de moyens. avec peu de moyens. Et autre point intéressant, Et autre point intéressant, mais bon, mais qui reste quand même du défonçage de porte ouverte, qui reste quand même du défonçage de porte ouverte. Il y a une forme de convergence formelle entre ce qui se passe à l'intérieur du personnage et à l'extérieur. il y a une forme de convergence formelle entre ce qui se passe à l'intérieur du personnage et à l'extérieur. Il est un peu enfermé à l'intérieur de son appartement. Il est un peu enfermé à l'intérieur de son appartement. Voilà, bon, bon c'est pas terrible, c'est pas terrible, ça fait pas un film mais en tout cas moi ça en fait un thriller divertissant d'une heure trente et voilà et voilà j'ai pas spécialement envie de le défendre mais j'ai pas spécialement envie de le défoncer non plus je trouve le film un bon divertissement et ça fait pas un film. Mais en tout cas, moi, ça en fait un thriller divertissant d'une heure trente. Et voilà, j'ai pas spécialement envie de le défendre. Mais j'ai pas spécialement envie de le défoncer non plus. Je trouve le film un bon divertissement. Et je trouve que, je trouve que en fait ça me fait plaisir de voir quelqu'un qui essaye et qui essaye d'aller un peu au bout de ce qu'il a envie de faire et voilà donc pourquoi pas en fait, ça me fait plaisir de voir quelqu'un qui essaye et qui essaye d'aller un peu au bout de ce qu'il a envie de faire. Et voilà. Mais donc, pourquoi pas ? Par contre, Par contre, c'est vrai que, c'est vrai que... ouais, bon, Vous parlez du personnage d'Ethan qui est insupportable de bout en bout. parler du personnage d'Ethan qui est insupportable de bout en bout. Voilà. Vous en avez pensé quoi ? Vous en avez pensé quoi ? Allez-y, Allez-y, vous pouvez... vous pouvez...

  • Speaker #3

    Ouais. Moi, je suis...

  • Speaker #2

    Moi, je suis d'accord avec toi.

  • Speaker #3

    Non, je suis d'accord avec toi.

  • Speaker #2

    Par contre,

  • Speaker #3

    Par contre,

  • Speaker #2

    Tabuz,

  • Speaker #3

    Tabuz,

  • Speaker #2

    il a une page Wikipédia,

  • Speaker #3

    il a une page Wikipédia,

  • Speaker #2

    Satya

  • Speaker #3

    Satya

  • Speaker #2

    Sridharan. Écoute,

  • Speaker #0

    Sridharan. Eh ben, écoute, sur le Wiki français, sur le Wiki français, il n'en a pas. il n'en a pas.

  • Speaker #2

    J'ai un VPN.

  • Speaker #3

    J'ai un VPN.

  • Speaker #0

    Ah ok ok ok.

  • Speaker #3

    C'est la queue ça.

  • Speaker #2

    Il accuse.

  • Speaker #3

    Il a quand même eu des tout petits rôles avant.

  • Speaker #2

    Il a quand même eu des tout petits rôles avant.

  • Speaker #3

    Mais ouais moi je trouve que pour une production plutôt fauchée,

  • Speaker #2

    Je trouve que pour une production de plutôt fauché, tu l'as dit.

  • Speaker #3

    tu l'as dit.

  • Speaker #0

    Et puis lui il est bien comme acteur en vrai. Et puis lui, il est bien comme acteur. Oui,

  • Speaker #3

    Ouais il est très bien et moi j'ai trouvé ça vraiment pas mal,

  • Speaker #2

    il est très bien. Moi, j'ai trouvé ça vraiment pas mal. Comme tu dis,

  • Speaker #3

    comme tu dis c'est un bon divertissement.

  • Speaker #2

    c'est un bon divertissement.

  • Speaker #3

    Il y a cette construction non linéaire qu'on a déjà vue,

  • Speaker #2

    Il y a cette construction non linéaire qu'on a déjà vue. Tu disais Nolan,

  • Speaker #3

    tu disais Nolan effectivement.

  • Speaker #2

    effectivement.

  • Speaker #3

    surtout dans ce genre de film mais je trouve que ça fonctionne comme tu dis il va au bout de son truc on sent qu'il avait envie de parler de ça et puis surtout sur le côté scientifique je sais que ça

  • Speaker #2

    Surtout dans ce genre de film. Mais je trouve que ça fonctionne. Comme tu dis, il va au bout de son truc. On sent qu'il avait envie de parler de ça. Et puis, surtout sur le côté scientifique, je sais que ça lui tenait vachement à cœur de travailler ce côté-là.

  • Speaker #3

    lui tenait vachement à coeur de travailler ce côté là du coup ça en fait un résultat un peu verbeux peut-être un peu trop scientifique parfois parce qu'on comprend pas tout un peu jargonneux mais

  • Speaker #2

    Du coup, ça en fait un résultat un peu verbeux, peut-être un peu trop scientifique parfois parce qu'on ne comprend pas tout.

  • Speaker #0

    Un peu jargonneux, oui.

  • Speaker #3

    Et mais...

  • Speaker #2

    Mais je trouve qu'une fois qu'on a passé ça et qu'on se dit de toute façon,

  • Speaker #3

    Je trouve qu'une fois qu'on a passé ça et qu'on se dit de toute façon je comprends pas et on sait même pas si c'est vrai ou si c'est possible,

  • Speaker #2

    je ne comprends pas et on ne sait même pas si c'est vrai ou si c'est possible.

  • Speaker #3

    ça passe.

  • Speaker #2

    Ça passe.

  • Speaker #3

    Donc moi je trouve que ça se regarde vraiment facilement,

  • Speaker #2

    Donc, moi, je trouve que ça se regarde vraiment facilement.

  • Speaker #3

    j'ai passé un bon moment.

  • Speaker #2

    J'ai passé un bon moment.

  • Speaker #0

    Oui, Ouais mais c'est vrai, mais c'est vrai, il y a un truc, il y a un truc... Pardon Léo, pardon Léo, je te laisse. je te laisse, Je rebondis juste sur ce que Lola disait. je rebondis juste sur ce que Lola disait, C'est vrai, c'est vrai il y a un truc que je trouve ok dans la facture du film, il y a un truc que je trouve OK dans la facture du film et tout. C'est le côté un peu reproduction d'interface et de logiciel, c'est le côté un peu... reproduction d'interface et de logiciels, d'ordinateur. l'importance accordée au jargon et à la reconstitution de l'environnement que pourrait être une espèce de labo clandestin dans un appartement comme il a. L'importance accordée au jargon et à la reconstitution de l'environnement que pourrait être une espèce de labo clandestin dans un appartement comme il a. Je trouve que ça, Je trouve que ça, c'est un peu crédible. c'est un peu crédible. Oui, Oui,

  • Speaker #2

    mais il a bossé avec deux autres scénaristes qui ont vraiment travaillé là-dessus.

  • Speaker #3

    mais il a bossé avec deux autres scénaristes qui ont vraiment travaillé là-dessus.

  • Speaker #2

    Donc vraiment,

  • Speaker #3

    Vraiment,

  • Speaker #2

    ça lui naît à cœur qu'on ait ce ressenti de...

  • Speaker #3

    ça lui naît à cœur qu'on ait ce ressenti de...

  • Speaker #2

    On ne comprend pas de quoi il parle.

  • Speaker #3

    On ne comprend pas de quoi il parle.

  • Speaker #2

    Et c'est plutôt pointu,

  • Speaker #3

    C'est plutôt pointu,

  • Speaker #2

    en fait, d'après ce que j'ai compris.

  • Speaker #3

    d'après ce que j'ai compris.

  • Speaker #0

    Et ça rejoint... Et ça rejoint... Pardon encore, Pardon encore, je suis désolé. je suis désolé. En fait, En fait, ça rejoint un petit peu parce que mon choix initial de film, ça rejoint un petit peu parce que mon choix initial de film, c'est un film qui s'appelle Primer, c'est un film qui s'appelle Primer, qui n'est pas du tout un film d'horreur. qui n'est pas du tout un film d'horreur. Encore moins un film de genre, Encore moins un film de genre, qui est quasiment un film... qui est quasiment un film... C'est de la hard Hard SF. C'est un film avec des gens qui parlent de maths et de physique pendant 1h30, SF, quoi. C'est un film avec des gens qui parlent de maths et de physique pendant 1h30, donc c'est extrêmement chiant. donc c'est extrêmement chiant. Et c'est des gens qui inventent un truc qui remonte dans le temps. Et c'est des gens, en fait, qui inventent un truc qui remonte dans le temps. Voilà, Une machine qui remonte dans le temps, une machine qui remonte dans le temps, mais c'est abordé sous l'angle absolument pas sexy du voyage dans le temps. mais c'est abordé... sous l'angle absolument pas sexy du Voyage dans le temps. C'est des gens dans un garage qui parlent de maths et qui se rendent compte qu'il y a des implications potentielles de leur travail. C'est les gens dans un garage qui parlent de maths et qui se rendent compte qu'il y a des implications potentielles de leur travail. C'est un film un peu connu, C'est un film un peu connu, un dé un peu connu. C'est extrêmement chiant. c'est extrêmement chiant. Donc, Donc je voulais pas vous l'infiler. je ne voulais pas vous l'infliger. Mais du coup, Mais du coup... le choix annexe de mineur-premise c'était dans l'état d'esprit de reconstitution le côté huis clos du scientifique fou, le choix annexe de Minor Premise, c'était dans l'état d'esprit de truc un peu de reconstitution.

  • Speaker #2

    Le côté huis clos du scientifique fou,

  • Speaker #3

    moi ça m'a fait penser à Ex Machina de

  • Speaker #2

    moi, ça m'a fait penser à... Ex Machina de Garland, un peu au début,

  • Speaker #3

    Garland, un peu au début,

  • Speaker #2

    après ça s'arrête là.

  • Speaker #3

    après ça s'arrête là en moins cher mais cette démarche un peu film indé thriller SF en huis clos chez un scientifique fou qui crée une machine qui se retourne un peu contre lui en tout cas et

  • Speaker #0

    En moins cher aussi.

  • Speaker #2

    En moins cher, mais cette démarche un peu film indé, thriller SF en huis clos, chez un scientifique fou qui crée une machine qui se retourne un peu contre lui, en tout cas.

  • Speaker #3

    Oui c'était divertissant,

  • Speaker #2

    Oui, c'était divertissant.

  • Speaker #3

    je trouve que c'est plutôt pas mal pour ce que ça propose puisqu'un thriller

  • Speaker #2

    Je trouve que c'est plutôt pas mal pour ce que ça propose, parce qu'un thriller SF tourné avec une personnalité splitée en huit,

  • Speaker #3

    SF tourné avec une personnalité splitée en 8, enfin le concept est sympa.

  • Speaker #2

    le concept est sympa.

  • Speaker #3

    Ah oui en 8,

  • Speaker #2

    t'as raison, il y a lui plus 8.

  • Speaker #0

    Attends elle a dit 9,

  • Speaker #2

    il y a lui plus il a dit 9 ça fait 9 dont lui et après oui sur le côté personnage connard oui et intelligence émotionnelle vraiment naze moi

  • Speaker #3

    t'as mis le temps.

  • Speaker #2

    Oui mais ça fait 9,

  • Speaker #1

    dont lui.

  • Speaker #3

    Vous voyez on s'y perd. Et après oui sur le côté personnage connard, oui, et intelligence émotionnelle vraiment naze. Moi je trouve que Vice Versa fait mieux le taf pour parler de la gestion des émotions dans le cerveau que Minor Premise.

  • Speaker #2

    je trouve que vice versa fait mieux le taf pour parler de la gestion des émotions dans le cerveau que Maynard Prémix

  • Speaker #0

    C'est vrai, c'est vrai.

  • Speaker #3

    Mais non,

  • Speaker #2

    Mais non, sinon ça se regarde quand même bien et il y a des trucs sympas même au niveau de la forme et tout.

  • Speaker #3

    sinon ça se regarde quand même bien et il y a des trucs sympas même au niveau de la forme et tout.

  • Speaker #2

    C'est un bon petit film.

  • Speaker #3

    C'est un bon petit film.

  • Speaker #0

    C'est pas déshonorant. C'est pas déshonorant.

  • Speaker #3

    C'est pas déshonorant,

  • Speaker #2

    C'est pas déshonorant, non.

  • Speaker #3

    non.

  • Speaker #2

    Voilà,

  • Speaker #3

    Voilà,

  • Speaker #2

    faut pas y chercher un propos très abouti sur par contre l'aspect psychologique.

  • Speaker #3

    faut pas y chercher un propos très abouti sur par contre l'aspect psychologique. Peut-être que l'aspect scientifique de cette machine,

  • Speaker #2

    Peut-être que l'aspect scientifique de cette machine, j'en sais rien,

  • Speaker #3

    j'en sais rien.

  • Speaker #2

    est réel. Un réel ancrage,

  • Speaker #0

    un réel ancrage mais sinon pour le reste j'ai trouvé ça un petit peu rigolo il y a le fait que cette machine soit quand même développée pour augmenter la productivité de l'humain c'est quand même naze moi j'étais un peu déçue

  • Speaker #2

    mais sinon, pour le reste, j'ai trouvé ça un petit peu rigolo.

  • Speaker #0

    Il y a le fait que cette machine soit quand même développée pour augmenter la productivité de l'humain. C'est quand même naze.

  • Speaker #1

    Moi, j'étais un peu déçue. je m'attendais pas à grand chose mais j'avoue que t'as eu moins de grand chose je trouvais l'affiche très belle en fait avec ces glitchs là et moi je pensais qu'on allait avoir des glitchs et de la couleur dans le film Je ne m'attendais pas à grand-chose, mais j'avoue que...

  • Speaker #0

    Mais tu as eu moins de grand-chose.

  • Speaker #1

    Je trouvais l'affiche très belle, en fait, avec ces glitchs-là. Et moi, je pensais qu'on allait avoir des glitchs et de la couleur dans le film. Il y a pas. Il y a pas.

  • Speaker #3

    C'est un appart de couleur marron.

  • Speaker #2

    C'est un appart couleur marron.

  • Speaker #0

    Le filtre sépia est midi le dépanne. Le filtre sépia est midi.

  • Speaker #1

    C'est ça, C'est ça, il a un t-shirt gris qui est de plus en plus transpirant. il a un t-shirt gris qui est de plus en plus transpirant. Bon, Bon, moi j'avoue que ce film, moi j'avoue que ce film, je pense qu'il va passer peut-être dans la poubelle de mon cerveau, je pense qu'il va passer peut-être dans la poubelle de mon cerveau,

  • Speaker #0

    dans le sens où je trouve que,

  • Speaker #1

    dans le sens où... Comme tu as dit, comme t'as dit Nolan, Nolan, on va parler dans quelques épisodes d'un film de Nolan qui fait beaucoup mieux le travail. on va parler dans quelques épisodes d'un film de Nolan qui fait beaucoup mieux le travail. Je trouve qu'effectivement, Je trouve que le sujet n'est pas inintéressant, le sujet n'est pas inintéressant. cette volonté de diviser l'esprit en plusieurs sections, Cette volonté de diviser l'esprit en plusieurs sections, pourquoi pas, pourquoi pas, et tout ça. et tout ça. Moi, Moi, c'est des choses qui peuvent me parler, c'est des choses qui peuvent me parler, mais le manque d'images de ces sections vient complètement annuler, mais le manque d'images de ces sections... Oui,

  • Speaker #3

    je suis d'accord.

  • Speaker #1

    vient complètement annuler pour moi l'intérêt. pour moi, l'intérêt. Parce que du coup, Parce que du coup, on est juste sur un peu un jeu d'acteur avec cet acteur qui essaye de tenir le truc de bout en bout. on est juste sur un peu un jeu d'acteur, avec cet acteur qui essaye de tenir le truc de bout en bout.

  • Speaker #3

    Il s'en sort pas trop mal.

  • Speaker #1

    Il s'en sort pas trop mal, Il s'en sort pas trop mal, mais c'est pas non plus... mais c'est pas non plus...

  • Speaker #0

    C'est pas Christian Clavier. C'est pas Christian Clavier quoi ?

  • Speaker #1

    Je peux faire Splits. Je préfère Splits.

  • Speaker #2

    Arrête,

  • Speaker #1

    Arrête, Renaissance va revenir. Renaissance va revenir. On aura le On aura le 20ème qui va venir cette fois-ci. 20ème qui va venir cette fois-ci. Ne venez pas. Ne venez pas. Et du coup, Et du coup, moi, j'avoue que je me suis un peu ennuyée. j'avoue que je me suis un peu ennuyée. Je trouvais que ça parlait effectivement beaucoup. Je trouvais que ça parlait effectivement beaucoup. Voilà. Bon, Ça a le mérite d'être court. ça a le mérite d'être court. Une heure trente. Une heure trente.

  • Speaker #2

    Je suis grave d'accord avec toi.

  • Speaker #3

    Je suis grave d'accord avec toi.

  • Speaker #2

    En fait, moi, j'avais envie de voir plusieurs scènes sur les autres sections.

  • Speaker #3

    J'avais envie de voir plusieurs scènes sur les autres sections.

  • Speaker #1

    Oui, Oui, parce qu'à part fumer des clopes, parce qu'à part fumer des clopes, la section du mal, la section du mal, je ne vois pas... là, je ne vois pas...

  • Speaker #2

    La section des clopes,

  • Speaker #3

    Les clopes,

  • Speaker #0

    c'est mal. c'est mal. Ça baisse la productivité psychotique. Ça baisse la productivité psychotique. Ça fait faire des pauses.

  • Speaker #2

    J'avoue que j'avais peur que ça se finisse trop bien.

  • Speaker #3

    J'avoue que j'avais peur que ça se finisse trop bien.

  • Speaker #2

    Et j'aime bien la fin,

  • Speaker #3

    J'aime bien la fin.

  • Speaker #2

    qui est un peu facile,

  • Speaker #3

    Qui est un peu facile, mais j'étais un peu contente.

  • Speaker #2

    mais j'étais un peu contente.

  • Speaker #1

    Oui. Oui.

  • Speaker #2

    Je me souviens pas de la...

  • Speaker #3

    Je ne me souviens pas de la...

  • Speaker #1

    Bah si, Il fume une clope.

  • Speaker #3

    il fumait une clope. Ah oui,

  • Speaker #2

    Ah oui c'est vrai,

  • Speaker #3

    c'est vrai.

  • Speaker #2

    ok.

  • Speaker #1

    Il fume une clope. Il fumait une clope et là on sait que le tabac... Et là, on sait que... Et là on sait que...

  • Speaker #3

    C'est vrai.

  • Speaker #2

    C'est vrai.

  • Speaker #3

    Talala.

  • Speaker #0

    On ne sait pas. Justement, on sait pas, Est-ce qu'il a repris le tabac parce qu'il était stressé ? est-ce qu'il a repris le tabac parce qu'il était stressé ou est-ce que...

  • Speaker #1

    Je ne sais pas. Je sais pas, il boit ce truc toute la journée, Il boit ce truc toute la journée, de la de whisky. du whisky, mais moi j'y crois pas trop. Mais moi, je n'y crois pas trop. Ce truc. Ce truc...

  • Speaker #2

    C'est de l'ICT,

  • Speaker #1

    C'est de l'ICT je pense. je pense. Non, Non, ça m'agace. ça m'agace.

  • Speaker #0

    C'est parce qu'il est torturé. C'est parce qu'il est torturé. Oui, Oui, oui.

  • Speaker #2

    oui,

  • Speaker #0

    oui. Donc pour montrer qu'un personnage est torturé... Pour montrer qu'un personnage est torturé,

  • Speaker #1

    On lui fait boire du whisky.

  • Speaker #0

    on lui fait boire du whisky. On lui fait boire du whisky.

  • Speaker #3

    Oui, oui. Et puis, c'est son ex qui revient pour lui résoudre tous ses problèmes psychologiques.

  • Speaker #2

    c'est son ex qui revient pour lui résoudre tous ses problèmes psychologiques mais elle elle a

  • Speaker #3

    Mais elle,

  • Speaker #0

    elle a... elle, elle, j'ai tellement pas compris pourquoi elle revenait l'aider. j'ai tellement pas compris pourquoi elle revenait l'aider.

  • Speaker #1

    C'était pour lui reprendre son projet. C'était pour lui reprendre son projet.

  • Speaker #0

    C'est pas hyper clair. C'est pas hyper clair.

  • Speaker #1

    Je vois pas trop le gain qu'elle a là-dedans. Je vois pas trop le gain qu'elle a là-dedans. À part s'emmerder avec À part s'emmerder avec

  • Speaker #0

    Jean-Michel. Jean-Michel névrosé, Jean-Michel. Jean-Michel névrosé,

  • Speaker #1

    fois 8.

  • Speaker #2

    fois 8. Il a tout le temps mal à la tête,

  • Speaker #3

    Il a tout le temps mal à la tête,

  • Speaker #2

    il prend jamais un Doliprane.

  • Speaker #3

    il prend jamais un Doliprane.

  • Speaker #2

    Moi,

  • Speaker #3

    Moi,

  • Speaker #2

    ça me stressait.

  • Speaker #3

    ça me stressait.

  • Speaker #0

    Même sa mère, Même sa mère, quand il est au téléphone, quand il est au téléphone,

  • Speaker #2

    elle est saoulée.

  • Speaker #3

    elle est saoulée. Il fait vraiment chier tout le monde ce man.

  • Speaker #2

    Il fait vraiment chier tout le monde ce man. Genre Ethan fait un effort.

  • Speaker #3

    Genre Ethan fait un effort.

  • Speaker #0

    Merci. Oui. Etan, Etan, soigne-nous cette vilaine migraine et puis laisse-nous tranquille avec ton FX, soigne-nous cette vilaine migraine et puis laisse-nous tranquille avec ton FX, ah oui la machine a un nom je me rappelle plus R9, ah oui la machine a un nom je me rappelle plus R9,

  • Speaker #3

    truc acheté il y a plusieurs versions c'est le nom du fils d'Elon Musk c'est très Elon

  • Speaker #2

    truc

  • Speaker #0

    HT il y a plusieurs versions c'est le nom du fils d'Elon Musk c'est très Elon Musk codé comme film à mon avis il est dans l'axe du mal ce film mais en vrai c'est divertissant oui rattrape-toi en vrai c'est divertissant Musk codé comme film à mon avis il est dans l'axe du mal ce film Mais en vrai, c'est divertissant.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #3

    rattrape-toi.

  • Speaker #0

    En vrai, c'est divertissant. enfin pour moi en tout cas ça fait rire pour les fans de Christian Clavier c'est un film à ne pas manquer le clave j'essaye de relate avec les gens qui aiment bien les films que je recommande donc je me dis qui sont ces gens pour moi en tout cas ça fait rire pour les fans de Christian Clavier c'est un film à ne pas manquer le clave pour tout le coup j'essaye de relate avec les gens qui aiment bien les films que je recommande donc je me dis qui sont ces gens ta fanbase il

  • Speaker #3

    Ta fanbase.

  • Speaker #0

    Ma fanbase.

  • Speaker #1

    Il est en craquage total.

  • Speaker #0

    en a un cracasse total c'est le premier épisode de la rentrée ils sont 4 mais ouais j'avoue t'as peut-être un TDI mon RIB dans la description de l'épisode alors non plutôt

  • Speaker #1

    C'est le premier épisode de la rentrée.

  • Speaker #0

    Ils sont quatre.

  • Speaker #2

    J'avoue, t'as peut-être un TDI.

  • Speaker #0

    Mon RIB dans la description de l'épisode. Alors, on va passer au film d'après. on va passer au film d'après et j'ai déjà oublié c'est Camille Et j'ai déjà oublié. C'est Camille. C'est Camille. Camille, Camille, quel est le film que tu as choisi pour cet épisode de rentrée exceptionnel ? quel est le film que tu as choisi pour cet épisode de rentrée exceptionnel ?

  • Speaker #1

    Pour cet épisode de rentrée exceptionnel, Pour cet épisode de rentrée exceptionnel, j'ai choisi de vous parler de... j'ai choisi de vous parler de Altered States, au-delà du réel de Ken Russell.

  • Speaker #0

    Je vous demande de mettre le experiment en place jusqu'à ce que nous comprenions un peu plus,

  • Speaker #1

    pour minimiser le risque. Il n'y a pas de façon.

  • Speaker #0

    Je suis vraiment effrayée. On pourrait être en train de se foutre de cette structure génétique. Comment est-ce que nous arrêtons ça ?

  • Speaker #1

    Nous avons des millions d'années stockées dans ce banquier de computers que nous appelons nos esprits. Nous avons des trillions de genes dormants dans nous, notre tout passé évolutionnaire. Peut-être que j'ai tapé dans ça. Il peut être en train de faire quelque chose qui est plus que notre propre compréhension. Il peut être en train de faire quelque chose qui est plus que notre propre compréhension. Maintenant, Maintenant, parce que je l'ai cru, parce que je l'ai cru, je veux que cette chose s'arrête !

  • Speaker #3

    je veux que cette chose s'arrête !

  • Speaker #2

    Quelle merde c'est ? Que diable est-ce que c'est ? Tu es d'accord ?

  • Speaker #3

    Tu vas bien ?

  • Speaker #2

    Si tu m'aimes,

  • Speaker #3

    Si tu m'aimes,

  • Speaker #1

    si tu m'aimes,

  • Speaker #2

    si tu m'aimes... Eddie !

  • Speaker #1

    Eddie,

  • Speaker #2

    Tu es en feu !

  • Speaker #1

    tu es en feu !

  • Speaker #2

    Eddie !

  • Speaker #1

    Eddie !

  • Speaker #0

    Altered States. Altered States.

  • Speaker #3

    Ça faisait un peu explosion à la fin.

  • Speaker #2

    Ça faisait un peu explosion à la fin.

  • Speaker #1

    Là, Là, il se passe des choses, il se passe des choses, effectivement. effectivement.

  • Speaker #0

    Mais on ne donne pas suffisamment souvent l'heure dans ce film,

  • Speaker #1

    Alors, donc, ce film-là...

  • Speaker #0

    Mais on ne donne pas suffisamment souvent l'heure dans ce film, par rapport à Minor Premises. par rapport à Minor Premises.

  • Speaker #1

    C'est vrai. C'est vrai. Donc, Donc, Altered States, Altered States, c'est un film de 1980. c'est un film de 1980. Et donc, Et donc, c'est un film de Ken Russell dont on avait déjà parlé avec les Diables qu'on avait adoré. c'est un film de Ken Russell dont on avait déjà parlé avec les Diables qu'on avait adoré. et qu'il avait fait en 1971. et qu'il avait fait en 1971. Pour un petit rappel, Pour un petit rappel, Ken Russell, Ken Russell, c'est un metteur en scène anglais. c'est un metteur en scène anglais. Et là, Et là, Altered State, Altered State, c'est son premier film à Hollywood. c'est son premier film à Hollywood. Donc, Donc, il est beaucoup plus contraint que pour Les Diables. il est beaucoup plus contraint que pour Les Diables. Ça se ressent parce que le film est beaucoup moins fantasque et fantastique, Ça se ressent parce que le film est beaucoup moins fantasque et fantastique, je rachèterais, je rachèterais, que que Les Diables. Les Diables.

  • Speaker #0

    Oui, Oui,

  • Speaker #1

    mais c'est moins baroque. mais c'est moins baroque, C'est moins la roue libre. c'est moins la roue libre. Là, Là,

  • Speaker #0

    c'est un peu plus cadré. c'est un peu plus cadré.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #0

    Oui,

  • Speaker #1

    c'est un peu plus cadré. c'est un peu plus cadré. Cependant, Cependant, c'est un film qui est quand même assez intéressant. c'est un film qui est quand même assez intéressant. Je vous fais un petit résumé rapide. Je vous fais un petit résumé rapide. En gros, En gros, on rencontre le professeur on rencontre le professeur Jessup, donc Eddie de son prénom, Jessup, donc Eddie de son prénom, qui s'amuse à faire des expériences en prenant des bains de 5 heures à peu près dans un cylindre vertical rempli d'eau. qui s'amuse à faire des expériences en prenant des bains de 5 heures à peu près dans un cylindre vertical rempli d'eau.

  • Speaker #0

    C'est ce que j'ai offert à Lola pour son anniversaire, C'est ce que j'ai offert à Lola pour son anniversaire, littéralement. littéralement.

  • Speaker #1

    Mais moi aussi j'ai offert ça à plein de potes de tout de flottaison. Mais moi aussi, j'ai offert ça à plein de potes de flottaison. On en parlera après. On en parlera après.

  • Speaker #2

    Je crois que ça vient de toi,

  • Speaker #3

    Je crois que ça vient de toi, D.

  • Speaker #2

    d'ailleurs.

  • Speaker #1

    Ah bah, Ah bah, je vais... je m'arrête. Donc, Donc, Eddy est dans son bain debout, Eddy est donc dans son bain de boula, en slip, en slip, coiffé d'un casque de scaphandrier. coiffé d'un casque de scaphandrier, Et il a des alus. et il a des alus. Bon, Bon, voilà, ça a l'air sympa le CNRS. ça a l'air sympa, le CNRS. À côté de ses petits temps libres, À côté de ses petits temps libres, il bosse à tenter d'isoler les facteurs responsables de la schizophrénie. il bosse à tenter d'isoler les facteurs responsables de la schizophrénie. qui ne serait pas une maladie selon lui, qui ne serait pas une maladie, selon lui, mais plutôt un autre état de conscience. mais plutôt un autre état de conscience. Lors d'une fête, Lors d'une fête, il rencontre Emily, il rencontre Émilie, qui tombe folle amoureuse de sa bizarrerie. qui tombe folle amoureuse de sa bizarrerie. Ils se marient et tout le toutime ont des enfants et compagnie. Ils se marient et tout le toutime ont des enfants et compagnie. On retrouve plusieurs années plus tard On retrouve plusieurs années plus tard Daddy Eddy, Daddy Lady, qui est donc prof à Harvard. qui est donc prof à Harvard. Il poursuit ses travaux et décide d'aller au Mexique pour étudier la tribu Inchi, Il poursuit ses travaux et décide d'aller au Mexique pour étudier la tribu Inchi. qui est connu pour ses trans hallucinatoires collectives grâce à de la drogue. qui est connue pour ses trans hallucinatoires collectives, grâce à de la drogue. Donc histoire d'en rajouter un petit peu, Donc histoire d'en rajouter un petit peu, le bain ça ne suffit pas, le bain ça ne suffit pas, il faut prendre des substances en plus. il faut prendre des substances en plus. Mais la réalité c'est que Daddy Eddy ne se satisfait pas vraiment de cette vie. Mais la réalité c'est que Daddy Eddy ne se satisfait pas vraiment de cette vie. Il souhaite en fait se barrer en se séparant de sa femme et expérimenter je cite la souffrance solitaire. Il souhaite en fait se barrer en se séparant de sa femme et expérimenter, je cite, la souffrance solitaire. Parce que Eddy, Parce que Eddy, on le comprend au fur et à mesure, on le comprend au fur et à mesure, est en fait obsédé par la vérité avec un grand V qui se cacherait dans une petite boîte caranienne. est en fait obsédé par la vérité avec un grand V. Qui se cacherait dans ne peut pas petite boîte caranienne, à l'exception de celle de Bérou et de l'Oco. A l'exception de celle de Berroux et de Le Coruche. C'est dans le film, C'est dans le film, c'est pas... c'est pas... C'est dans le film,

  • Speaker #2

    C'est en fait,

  • Speaker #1

    c'est en fait. en fait.

  • Speaker #0

    Bérou était déjà Premier ministre pendant le film. Berroux était déjà Premier ministre pendant le film. Il est resté longtemps en fait. Il est resté longtemps, en fait. Ouais, ouais,

  • Speaker #3

    ouais. Absolument.

  • Speaker #1

    Donc il va au Mexique, Donc, il va au Mexique, il prend toutes les drogues nécessaires et revient essayer un peu de trouver son true self dans ce question de privation de sensation. il prend toutes les drogues nécessaires et revient essayer un peu de trouver son true self. dans ce question de privation de sensation.

  • Speaker #2

    Je me disais,

  • Speaker #3

    Je me disais, c'est quoi ce mot français ?

  • Speaker #2

    c'est quoi ce mot français ?

  • Speaker #3

    Le trouxel.

  • Speaker #1

    Jusqu'au jour où Jusqu'au jour, c'est un fromage, jusqu'au jour où Eddie va sortir carrément transformé du question. Eddie, en fait, il va sortir carrément transformé du question. Et là, Et là, trois petits points. trois petits points.

  • Speaker #0

    Transformé en quoi ? Transformé en quoi ?

  • Speaker #1

    Il faudra le voir. Il faudra le voir.

  • Speaker #0

    On ne dit pas,

  • Speaker #1

    On ne dit pas,

  • Speaker #0

    on ne dit pas. on ne dit pas.

  • Speaker #1

    Alors, oui, ce que je voulais juste dire, Ce que je voulais juste dire, c'est que ce film-là, c'est que ce film-là, c'est un film de commande à Ken Russell. c'est un film de commande à Ken Russell. D'après le livre d'après le livre Altered States, Altered States écrit par Paddy Chayefsky écrit par Paddy Chayefsky en 1978, en 1978, qui lui-même parle des travaux de John Lilly, qui lui-même parle des travaux de John Lilly, qui est un médecin américain qui a existé, qui est un médecin américain qui a existé, qui était un neuroscientifique, qui était un neuroscientifique, psychanalyste, psychanalyste, inventeur et écrivain, inventeur et écrivain, et qui est connu pour être un pionnier dans l'étude de la conscience. et qui est connu pour être un pionnier dans l'étude de la conscience. C'est lui qui a créé ces caissons d'isolation. C'est lui qui a créé ces caissons d'isolation sensorielle, sensorielle en 1954 qu'on appelle aujourd'hui des questions de flottaison et qui ont pour but en fait de créer un espace complètement dans le noir dans lequel le patient en fait ne ressent plus enfin n'entend plus rien ne sent plus rien ne voit plus rien et en 1954, qu'on appelle aujourd'hui des caissons de flottaison, et qui ont pour but de créer un espace... Complètement dans le noir, dans lequel le patient n'entend plus rien, ne sent plus rien, ne voit plus rien, et flotte grâce à de l'eau salée, flotte grâce à de l'eau salée ce qui fait qu'en fait il perd complètement ses repères et c'est un moyen qui est encore utiliser aujourd'hui pour se détendre. ce qui fait qu'il perd complètement ses repères. Et c'est un moyen qui est encore utilisé aujourd'hui pour se détendre, pour méditer et aussi pour soigner de l'anxiété. pour méditer et aussi pour soigner de l'anxiété. Il y a beaucoup de sportifs notamment qui l'utilisent. Il y a beaucoup de sportifs notamment qui l'utilisent. Alors John Lilly, John Lilly il n'a pas fait que ça parce que c'est aussi un des grands professeurs qui a permis la communication avec les dauphins un drôle de type et il a fait aussi toutes les expériences avec les psychédéliques c'est une figure vraiment importante de la contre-culture des années 60 aux Etats-Unis il il n'a pas fait que ça, parce que c'est aussi un des grands professeurs qui a permis la communication avec les dauphins. Un drôle de type. Et il a fait aussi toutes les expériences avec les psychédéliques. C'est une figure vraiment importante de la contre-culture des années 60 aux Etats-Unis. Il a beaucoup trainé avec Ginsberg et compagnie. a beaucoup trainé avec Ginsberg et compagnie et Et en fait, c'est un peu... Et Jodorowsky aussi. Jodorowsky aussi et en fait c'est un peu comment dire ... Et en fait, c'est un peu... C'est ce personnage-là qui est incarné dans le film de Ken Russell. C'est ce personnage-là qui est incarné dans le film de Ken Russell. Le tournage ne s'est pas bien passé du tout. Le tournage ne s'est pas bien passé du tout. En fait, Au départ, au départ, Ken Russell n'était pas du tout lui qui était retenu. Ken Russell, ce n'était pas du tout lui qui était retenu. C'était un autre réalisateur qui avait fait le casting, C'était un autre réalisateur qui avait fait le casting, notamment de William Hurt, notamment de William Hurt, qui va ensuite travailler avec Ken Russell et d'autres grands réalisateurs comme qui va ensuite travailler avec Ken Russell et d'autres grands réalisateurs comme Cronenberg dans History of Violence. Cronenberg dans History of Violence. mais ça s'est pas du tout bien passé entre Chayefsky le scénariste auteur de la nouvelle et ce réalisateur là qui s'est fait virer et donc c'est Ken Russell qui reprend le projet mais il le dit avec beaucoup d'humour qu'il est arrivé Mais ça ne s'est pas du tout bien passé entre Chayefsky, donc le scénariste... auteur de la nouvelle et ce réalisateur-là qui s'est fait virer. Et donc c'est Ken Russell qui reprend le projet, mais il le dit avec beaucoup d'humour qu'il est en fait arrivé 27e dans la liste des réalisateurs qui avaient été contactés. 27ème dans la liste des réalisateurs qui avaient été contactés et le tournage se passe pas bien du tout entre Chayefsky et Et le tournage ne se passe pas bien du tout entre Chayefsky et Ken Russell parce que Ken Russell veut comment dire Ken Russell parce que Ken Russell veut intégrer beaucoup dans le film des espaces de vision. intégrer beaucoup dans le film des espaces de vision. Parce que lui, Parce que lui, c'est ça qui le fait triper. c'est ça qui le fait triper. C'est vraiment les tripes à dessinatoire. C'est vraiment les tripes à dessinatoire. Il y en a deux principaux, Il y en a deux principaux, on va dire, on va dire, qui sont dans le film, qui sont dans le film, qui sont vraiment assez géniaux et dans lesquels réside pour moi l'intérêt du film, qui sont vraiment assez géniaux et dans lesquels réside pour moi l'intérêt du film, notamment avec les délires sur Dieu, notamment avec les délires sur Dieu, etc. etc. C'est très chouette. C'est très chouette. Avec une espèce de bélier à huit lieux qui fait assez peur. Avec une espèce de bélier à huit lieux qui fait assez peur. Donc voilà. Donc voilà. C'est un film qui parle d'un scientifique complètement zinzin qui a envie de devenir le sujet de ses expérimentations et qui est dans une espèce de quête spirituelle plus que dans vraiment la recherche d'un résultat efficace C'est un film qui parle d'un scientifique complètement zinzin qui a envie en fait euh de devenir le sujet de ses expérimentations et qui est dans une espèce de quête spirituelle, plus que dans vraiment la recherche d'un résultat, disons, efficace pour les autres. pour les autres. Je trouve que c'est un personnage intéressant, Je trouve que c'est un personnage intéressant, le personnage joué par William Hurt, le personnage joué par William Hurt, Eddie, Eddie, parce qu'en fait il est très dur, parce qu'en fait, il est très dur, il n'est pas très empathique avec ses amis ou sa femme. il n'est pas très empathique avec ses amis ou sa femme, qui est jouée par qui est joué par Blair Brown, Blair Brown, qui je trouve est super bien, qui, je trouve, est super bien, elle et Emily. elle, l'émilie. Et c'est un film qui en même temps parle vachement d'une sorte d'amour, Et c'est un film qui en même temps parle vachement d'une sorte d'amour, de façon assez jolie je trouve, de façon assez jolie je trouve, entre deux. entre deux. Oui,

  • Speaker #0

    Oui, je suis grave d'accord. je suis grave d'accord.

  • Speaker #1

    Parce que c'est elle qui le ramène un peu dans le monde des vivants quoi. Parce que c'est elle qui le ramène un peu dans le monde des vivants quoi.

  • Speaker #0

    Bah et puis le simple fait que dans les années Bah et puis le simple fait que dans les années 80 il y ait un couple marié rapidement puis divorcé qui reste en fait uni et continue de s'aimer, 80 il y ait un couple... Marié rapidement puis divorcé qui reste en fait unis et continue de s'aimer, c'est quand même la trajectoire classique du couple cinéma dans ces années-là, c'est quand même... c'est pas la trajectoire classique du couple cinéma dans ces années-là et d'ailleurs même encore aujourd'hui donc sur ce point-là je trouve le film assez intéressant en tout cas mais d'ailleurs je et d'ailleurs même encore aujourd'hui. Donc sur ce point-là, je trouve le film assez intéressant en tout cas. Mais d'ailleurs, je le dis, le dis mais moi j'adore le film au même titre que moi j'adore Ken Russell de manière générale j'ai pas vu toutes ses films mais j'en ai vu pas mal et moi je trouve que c'est un peu un film pour lui malgré le fait que c'est peut-être qu'il en a fait mais moi j'adore le film. Au même titre que moi j'adore Ken Russell, de manière générale, je n'ai pas vu toutes ses films, mais j'en ai vu pas mal. Et moi, je trouve que c'est un peu un film pour lui. Malgré le fait que... Alors, c'est peut-être qu'il en a fait, un film pour lui. un film pour lui mais ouais je sais pas moi je trouve que ces deux scènes justement de tripes hallucinatoires en fait elles prennent beaucoup de place en fait dans le film parce qu'elles sont quand même assez longues elles sont très marquantes et Mais... Je ne sais pas. Moi, je trouve que ces deux scènes, justement, de tripes hallucinatoires, elles prennent beaucoup de place, en fait, dans le film. Parce qu'elles sont quand même assez longues. Elles sont très marquantes. en fait je trouve qu'elles prennent beaucoup de place à l'intérieur du film et du coup je sais pas moi ça je garde peu de choses du film en dehors de ces scènes là alors il y a la scène de transformation ... Et je trouve qu'elles prennent beaucoup de place à l'intérieur du film. Et du coup... Je ne sais pas, moi, je garde peu de choses du film en dehors de ces scènes-là. Alors, il y a la scène de transformation que je trouve assez réussie. que je trouve assez réussi. Et puis, Et puis même la scène de fin, même la scène de fin, en fait, en fait, que j'aime bien aussi. que j'aime bien aussi. Et puis moi, Et puis, moi, William Hurt, William Hurt, j'adore ce mec. j'adore ce mec. Enfin, J'aime bien, j'aime bien, je le trouve très bien dans ce rôle. je le trouve très bien dans ce rôle. J'adore la manière dont il incarne ce personnage qui n'a pas d'empathie, J'adore la manière dont il incarne ce personnage qui n'a pas d'empathie, qui est un peu un sociopathe. qui est un peu un sociopathe, Enfin, voilà. et qui est complètement obsédé par sa quête de vérité. et qui est complètement obsédé par sa quête de vérité. D'ailleurs, D'ailleurs c'est un peu grotesque, c'est un peu grotesque, parce qu'à la fin il se rend compte que la vérité... parce qu'à la fin, il se rend compte que la vérité... C'est le vivant, c'est de vivre. Bon, est-ce que ça valait la peine de se donner tant de mal ? Mais non, non, moi j'aime beaucoup Altered State. C'est un film que je peux revoir sans trop de problèmes. Donc voilà, c'est sûr que c'est moins baroque que Les Diables, ou que certains, ou même le repère du verre blanc et tout. C'est un peu moins fantasque, mais c'est un peu plus cadré. J'étais pas au courant de l'histoire autour du film, mais ça fait sens. Mais je trouve qu'il aimait quand même beaucoup de lui, Ken Russell, malgré tout. Là-dedans, dans le perso, dans ses séquences hallucinatoires, et même cette scène de transformation, que je trouve très réussie. Un banger. Un banger. Léo, toi t'as vu le film en plus. Oui.

  • Speaker #1

    Tu veux commencer ? Tu veux passer avant moi Lola ? S'il te plaît.

  • Speaker #2

    Léo vous raconterait son histoire personnelle. Oui,

  • Speaker #0

    lui aussi il a vécu une transformation dans le titre du film.

  • Speaker #2

    Ouais, moi j'ai trouvé ça bien et tu vois, pareil, c'est hyper intéressant toute l'histoire autour de la production du film. Moi j'étais pas du tout au courant et je trouve effectivement, moi je crois que j'ai vu que Les Diables de Ken Russell et celui-ci. Mais je trouve qu'il ne perd pas son identité au-delà du réel. En tout cas, moi, tu vois, je ne me suis pas dit « Oh, c'est bizarre, ça fait comment de l'Hollywoodienne ? » Sur laquelle il passe 27ème. Voilà. Moi, j'aimais bien le thème de départ. Je me suis dit « Putain, ça va être trop bien. » C'est un peu ce principe de si la majorité des gens étaient schizophrènes, en fait, ça serait nous les fous. et je... Je me suis dit, putain, c'est cool si on parle de ça. Et en fait, là, je t'écoutais parler, je me disais, mais en fait, je ne sais même pas sur quoi il fait sa recherche.

  • Speaker #3

    Très vite, c'est évacué, en fait, cette question de la schizophrénie. C'est un prétexte pour lui.

  • Speaker #2

    Oui, ok, ça me rassure, parce que je me dis, putain, ça se trouve...

  • Speaker #0

    C'est d'ailleurs le script d'Assassin's Creed. Je tiens à le préciser. La mémoire génétique et tout, c'est très Assassin's Creed.

  • Speaker #2

    Non, mais oui,

  • Speaker #3

    c'est vrai. C'est assez moderne, en vrai.

  • Speaker #2

    Non, mais c'est vrai que c'est assez... vite, on ne s'intéresse plus aux personnes schizophrènes. Et ce n'est pas grave. Moi, c'est vrai que mon souci avec le film, c'est ce personnage d'Eddie qui, moi, il est très bien écrit, mais il est détestable. Et moi, il m'énervait vraiment. Et je trouve que tous ceux qui gravitent autour de lui, il y a Arthur, Mason, Et sa future ex-femme, Émilie.

  • Speaker #0

    Arthur Mason, c'est lequel ?

  • Speaker #2

    C'est deux personnes. Arthur et Mason.

  • Speaker #3

    C'est son bras droit.

  • Speaker #0

    Mason, c'est le médecin trop chiant.

  • Speaker #2

    Ah lui, il est chiant,

  • Speaker #1

    lui. Le médecin trop chiant, il est trop chiant.

  • Speaker #2

    Je trouvais qu'on avait envie qu'il prenne plus de place. Surtout Émilie, en vrai, c'est un super personnage. Et moi, j'étais un peu bloquée par ce personnage qui est très antipathique. Après, c'est très justifié.

  • Speaker #3

    Oui, et c'est intéressant parce que Émilie, dans la relation d'amour qu'ils ont, déjà, dès qu'il apparaît dans le couloir, il a une espèce d'apparition quasiment angélique, avec de la lumière à l'arrière et tout ça.

  • Speaker #2

    Comme si elle était hypnotisée par lui.

  • Speaker #3

    Oui, elle tombe complètement en pamoison devant lui. Et elle, elle est éthologue. Donc, ça veut dire qu'elle s'occupe des grands singes. Et ça, c'est quand même assez rigolo, vu ce qui se passe par la suite. en fait l'idée que elle elle capte chez lui cette animalité et ce truc un peu primaire quoi alors que c'est un mec très intelligent très érudit et tout ça elle ce qui l'intéresse c'est son côté primate quoi qui en fait est peut-être la solution à tous ces problèmes à lui mais il est chiant il dit en plus il laisse rien paraître il est compliqué mais c'est là où justement les scènes de la destination nous donnent accès nous en tant que spectateur à son intériorité parce que sans ça je pense que tu peux pas te durer avec ce personnage c'est vrai moi je trouve que elles ont un peu vieilli Thomas directement complètement

  • Speaker #0

    surréaliste moi je me dis en vrai pourquoi on fait plus des scènes comme ça c'était mieux avant mais non Excusez-moi, on ne peut plus rien dire.

  • Speaker #1

    Arrête, je le dis. Renaissance, pense à Renaissance. Oui,

  • Speaker #0

    ben... Alors t'inquiète que Renaissance, leur élément de langage, c'est plus ça. Ils ont bien compris. Mais non, non. Je ne comprends pas pourquoi on fait... plus de scènes avec des faux fonds comme ça, c'est trop beau.

  • Speaker #3

    Mandico, il en fait beaucoup.

  • Speaker #0

    Oui, et ben voilà, on en parlait l'autre jour avec Lola et je disais, moi je trouve que ça fait, et je voulais pas spoiler mon avis du truc, mais je trouve que ça fait écho. Il y a certains cinéastes qui refont un peu ça de temps en temps, dont Mandico, mais il n'y a pas ce cachet quand même, je trouve. Mandico, c'est très cohérent avec le reste du film, tu vois. Mais là,

  • Speaker #3

    il y a un côté vraiment...

  • Speaker #0

    Chez Ken Russell, ça arrive comme ça, ça fait... Alors oui, le film a quand même un cachet, mais... Mais ces scènes-là, elles font irruption quand même. Elles détonnent avec le reste du film.

  • Speaker #3

    On dirait du Kiriko, quoi. Vraiment. Ou du Dali surréaliste en 2D,

  • Speaker #0

    quoi. Moi, j'aime beaucoup cette esthétique-là. C'est une espèce de choc. Mais c'est clivant. Non, mais en vrai, je dis que c'est une espèce de choc. Je trouve ça vraiment... Voilà, quoi. T'es choqué, quoi. T'es quichot. Je me dis, putain, c'est incroyable. Ça peut pas vieillir, ça. Alors toi, t'es pas d'accord.

  • Speaker #2

    C'est vraiment une phrase de vieux Et Léo ?

  • Speaker #1

    Moi j'avais beaucoup aimé Les Diables Et en vrai Tommy de Ken Russell Ah oui Tommy c'est lui aussi Mais je n'ai pas vu Au-delà du réel Pourquoi ? Parce que je me suis trompé de film Une fois n'est pas coutume Et j'ai regardé plutôt Aux portes de l'au-delà From Beyond Qui marche très bien dans le thème aussi Et qui marche bien avec les films de Camille. Du coup, je ne me suis pas méfié et je n'ai pas du tout regardé le bon film, mais From Beyond, c'était super en tout cas.

  • Speaker #3

    Est-ce que tu peux en parler un peu ?

  • Speaker #0

    Ouais, tu peux.

  • Speaker #1

    From Beyond, c'est deux scientifiques, deux chercheurs, deux universitaires en gros, qui, en peignoir dans leur grenier, fabriquent une sorte de lampe à lave géante avec des diapasons.

  • Speaker #3

    J'essaie de voir où est-ce que moi je me place dans ce truc. Où est-ce que tu t'es dit c'est ok.

  • Speaker #0

    T'as pas une lampe à lèvres chez toi ?

  • Speaker #1

    Et en fait, ils ouvrent sans le vouloir en stimulant leur glande spinéale.

  • Speaker #3

    Ça doit être ça.

  • Speaker #1

    Pardon,

  • Speaker #0

    je ne veux pas faire l'expert chiant, mais je crois qu'on dit la glande pinéale.

  • Speaker #1

    Pinéale. Ils ouvrent en fait une sorte de portail vers une dimension un peu type Hellraiser avec... des créatures issues d'un autre monde qui s'emparent d'un des scientifiques qui a des délires BDSM de base et qui du coup devient un personnage. Non, non, mais non.

  • Speaker #3

    Voilà, super, c'est la rentrée.

  • Speaker #1

    Non, non, mais c'était très très dans le thème aussi et je ne me suis pas méfié du tout.

  • Speaker #3

    Mais c'était Stargate en fait.

  • Speaker #1

    Ouais, ouais, ouais, si on veut.

  • Speaker #3

    La porte des étoiles.

  • Speaker #2

    Et ça t'a plu ?

  • Speaker #1

    Ouais, c'est pas mal, c'est plutôt bien From Beyond. Je recommande From Beyond. Du coup,

  • Speaker #0

    tu vas vraiment le vrai chroniquer dans un autre épisode, il faudra que tu le fasses.

  • Speaker #1

    Non mais j'ai bien envie de regarder Alter State, j'avais déjà vu passer.

  • Speaker #0

    Pendant que nous on aura tous vu From Beyond, toi, tu devras parler d'Alter State.

  • Speaker #1

    On l'angoisse.

  • Speaker #2

    Ah ouais, c'est trop bien. ok si vous voulez on peut faire ça c'est comme écrire 100 fois je ne dois pas insulter la maîtresse j'ai dû le faire en terminale ça en terminale ?

  • Speaker #1

    avec mon prof de philo c'est des punitions 100 fois c'était super il était hyper jeune il avait genre 25 ans il avait pris l'anguille il avait pris l'anguille enfin

  • Speaker #3

    bref on n'est pas là pour parler de ça

  • Speaker #0

    Non mais ouais En vrai, ça te plairait le film, Léo, parce qu'il y a un truc un peu... Enfin, Altered State, parce que From Beyond, du coup, ça t'a plu, tu l'as vu, mais...

  • Speaker #1

    En plus, c'est un peu moins en ce moment Altered State, donc c'est super. Ouais,

  • Speaker #0

    alors déjà. Et puis en plus, je pense que t'aimerais bien le délire un peu, tu sais, recherche autour des psychédéliques...

  • Speaker #1

    Est-ce qu'il y a une réponse à la thèse ? Oui,

  • Speaker #0

    oui, oui. Alors oui, pour le coup, le film n'est pas... C'est pas comme Thesis où on ne sait pas de sur quoi est la thèse. Là, il n'y a... Ok, ça me va. Là, il y a une réponse à la question posée. Je pense que ça te plairait dans ce délire un peu recherche.

  • Speaker #1

    Je le regarderai et on fera un droit de réponse la prochaine fois.

  • Speaker #3

    Et toi, tu as fait les questions de flottaison ?

  • Speaker #2

    Les questions ?

  • Speaker #3

    Non, non. Tu as dit les questions de flottaison ?

  • Speaker #0

    J'ai dit les questions ? Bon bref,

  • Speaker #3

    on réécoutera.

  • Speaker #2

    Oui, je l'ai fait. Je n'étais pas en slip, j'étais entièrement nue.

  • Speaker #0

    d'accord c'est la seule information qu'on aura ça c'est pour les fans de Lola c'était vachement bien c'était une expérience intéressante moi j'étais entièrement nu c'était bien c'était vraiment très cool mais

  • Speaker #1

    j'ai pas eu ces visions t'avais peut-être pas pris du LSD peut-être grâce au slip aussi tu as ces visions le fait d'être entièrement nu peut-être que c'est un vrai Merci.

  • Speaker #2

    possibilités d'hallucination et toi t'as fait Camille ?

  • Speaker #0

    t'en as offert à tes potes ?

  • Speaker #3

    non j'en ai offert à tous mes potes mais non j'ai pas encore fait pas encore mais c'est typiquement le genre de truc que je pense que j'adore ah ouais c'est bien je pense que t'aimerais bien ce genre de truc et alors ? et si on faisait pas genre toute l'horreur de dimanche dans un caisson de photos.

  • Speaker #2

    Mais tous,

  • Speaker #3

    tous, tous. Non mais dans des trucs séparés.

  • Speaker #0

    Ah oui parce que si on est tous les quatre dans le même truc, on se parle.

  • Speaker #3

    Ça sert à rien. On a quand même un épisode en direct.

  • Speaker #1

    Dans une piscine en fait.

  • Speaker #0

    Moi, jamais de la vie je fais un truc pareil. Je fais, moi c'est crise d'angoisse.

  • Speaker #3

    Tu sais que tu peux laisser un peu de musique, tu peux laisser un peu de lumière si t'as trop peur.

  • Speaker #2

    Non mais c'est plutôt comme une... C'est pas le caisson, ils te mettent pas dans un... C'est pas une...

  • Speaker #0

    c'est pas fermé c'est pas un caisson c'est une pièce c'est une pièce moi en tout cas ce que j'ai fait ah non mais c'était fermé ah ouais tous les copains là c'est fermé bah t'es enfermé dans une pièce dans une boîte ah moi non j'étais pas dans une boîte ah bah c'était dans une boîte enfin une bulle j'étais dans une bassine à moitié ah d'accord un spa moi jamais de la vie je fais un truc pareil c'est ouais non instant de crise d'angoisse un petit peu un petit peu comme Quand j'ai regardé le film que Léo a sélectionné.

  • Speaker #3

    Première transition.

  • Speaker #0

    Donc voilà, on va passer au film de Léo. Euh, alors Léo, quel est ce film ?

  • Speaker #1

    Moi je vais vous parler de Virus. C'est la fin de tout.

  • Speaker #0

    Je ne sais pas comment ça va finir. Ils ont des doudounes aussi, je crois, dans le film.

  • Speaker #1

    C'est le bruit des doudounes.

  • Speaker #0

    Oh, t'aimes doudounes !

  • Speaker #3

    Attends, mais t'es fin !

  • Speaker #1

    Ouais, je suis bruiteur de bouche uniquement. Virus Fukatsunoi, sorti en 1988. Allez. Ce film aux allures de blockbuster international sorti de nulle part ne l'est pas tant, puisqu'il est réalisé par Kinji Fukasaku, qui est un grand nom du cinéma japonais. que vous connaissez sûrement pour Battle Royale.

  • Speaker #0

    Et là, c'est mon problème.

  • Speaker #1

    Mais aussi peut-être pour Sous les drapeaux, l'enfer, où l'on trouve également un fort discours antimilitariste, peut-être un peu plus subtil et pertinent que dans Virus, qui ne brille pas forcément par sa subtilité parfois. Fukasaku a aussi réalisé énormément de thrillers policiers et de sagas sur des affrontements entre familles mafieuses. Je vous laisserai les checker, il a réalisé vraiment un sacré paquet de films.

  • Speaker #2

    C'est assez impressionnant ce film.

  • Speaker #1

    Il y a vraiment 36 trucs. Il y a beaucoup de choses. Ce soir, on va parler d'un de ces films quand même pas mal oubliés. Virus. Et Virus, c'est quoi ? Virus, c'est aussi un film de 99 en mode Matrix, Virus informatique, Windows, etc. Adapté d'un comics, mais ce n'est pas celui-là.

  • Speaker #3

    On ne mélange pas tout.

  • Speaker #1

    Je n'ai pas regardé mon propre film. Je me suis trompé de film sur mon film.

  • Speaker #0

    Le méta-humour.

  • Speaker #1

    C'est super. Virus, c'est l'autodestruction programmée de l'humanité pendant la guerre froide. Une superbe arme biologique de destruction gigamassive est trimballée par des gens plus ou moins bien intentionnés dans des lieux pas du tout aux normes de sécurité. Genre un petit avion en rase mode dans la montagne. Et ce qui devait arriver arriva. Le virus MM88 s'échappe suite au crash pas du tout prévisible du dit avion. Et bim, ellipse. et en fait... toute l'humanité ou presque à succomber à la grippe italienne. Et oui, désolé à nos amis italiens désignés comme bouc émissaire dans ce film.

  • Speaker #0

    Parce qu'ils se crachent dans les Alpes ?

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #3

    parce qu'ils partent de la Suisse.

  • Speaker #0

    Ah ben oui.

  • Speaker #1

    Et ils se crachent. Je ne me l'ai même pas capté moi. Je pensais que c'était en Russie. On dirait que c'est les plaines du Caucase un peu après.

  • Speaker #0

    Après on voit des gens au Kazakhstan et tout.

  • Speaker #3

    Je me suis dit... C'est mondial le virus.

  • Speaker #1

    Oui mais ça commence par montrer ça.

  • Speaker #0

    Après ça vient en Italie.

  • Speaker #3

    Oui c'est vrai. Du coup je comprends pas.

  • Speaker #1

    Voilà, c'est la grippe italienne.

  • Speaker #0

    C'était mon seul problème avec le film, c'est bon maintenant j'adore.

  • Speaker #1

    Même 80 minutes. C'est vrai que c'était ton seul problème ? Super. Les nations et systèmes politiques se sont effondrés à l'exception d'une coalition internationale basée en Antarctique. Vestige de bases de recherche scientifiques ayant survécu grâce au froid et à l'isolement car le virus ne survit pas en dessous de moins 10 degrés. Très pratique. Cool. Pas trop en fait. Et si vous pensez que c'était pas ouf comme situation, eh bien, dites-vous que, avant leur dernier souffle, les Etats-Unis ont activé leur système de défense nucléaire automatique, et que l'URSS a fait de même. Et alors là, c'est vraiment pas de bol, parce que figurez-vous qu'un tremblement de terre pourrait en théorie être interprété comme un impact de missiles ennemis et déclencher la réponse nucléaire. Et ce qui devait arriver arriva une deuxième fois dans le film, du coup, deuxième édition, un tremblement de terre active le système de missiles américain, et maintenant, c'est l'apocalypse nucléaire imminente. en plus de la pandémie.

  • Speaker #2

    Alors qu'il n'y a déjà plus personne.

  • Speaker #1

    Il n'y a déjà plus que 3 pégus au pôle sud. Et 7 femmes. 8 femmes et 850 bougues. Donc c'est super. Et puis merde, je vais tout vous spoiler de toute façon, l'apocalypse nucléaire a bien lieu, rebelote, quelques pélos survivent et le film se conclut sur un propos un peu chelou, genre il faut faire table rase de tout parce que c'est trop nous les humains le vrai virus, pour reconstruire le monde en repeuplant la Terre avec des pots de bêtes sur la cordillère des Andes.

  • Speaker #0

    Et avec beaucoup de gens consanguins du coup à mon avis Le film ne le dit pas trop Il n'y a pas de deux

  • Speaker #1

    Le deux aurait été triste à mon avis Voilà, Virus c'est un film très dense très chelou et qui au moment de sa sortie est le film le plus cher jamais produit au Japon Et si vous avez jamais entendu parler de Virus, c'est normal puisque la volonté de faire un blockbuster d'envergure internationale n'a pas fonctionné Merci. Malgré 16 millions de dollars investis, dollars de l'époque, donc je crois que ça fait une cinquantaine je crois maintenant, en dollars actuels, un casting de stars internationales et une campagne de promotion mondiale, le film bide flop complètement et peine même à trouver des diffuseurs aux Etats-Unis, alors que c'est une coprode américaine, sinon américaine. Il est alors remonté dans un format plus court destiné à la télévision, que vous pouvez trouver sur YouTube d'ailleurs, qui fait que 1h44 au lieu de la purge de 2h40 que vous avez vue quand même.

  • Speaker #3

    C'est évidemment une louloute, il nous l'a pas dit. On était en vacances, il fallait bien se taper les 3 heures.

  • Speaker #1

    Il faut voir la version de 2h40.

  • Speaker #0

    Après, moi, je dis rien, j'ai mis le pacte des loups la dernière fois.

  • Speaker #1

    Oui, voilà, c'est ça.

  • Speaker #3

    On se tire vers le bas.

  • Speaker #0

    J'ai plus rigolé pendant le pacte des loups.

  • Speaker #1

    C'est moins marrant. En tout cas, suite à ce charcutage télé, il tombe définitivement dans l'oubli. Et là, vous vous dites, pourquoi tu nous parles de signe ? Parce qu'en fait, t'as dit que c'était pas terrible. que le propos était un peu chelou et que il devait durer 2h40 et qu'on se faisait un peu chier. En fait, je ne sais pas. Je ne sais pas, je trouve que... C'est bizarre, quoi. Oui, en fait, l'ambition, elle se ressent vachement dans le film. C'est très palpable. Vraiment, l'ambition de faire un film à portée internationale, un gros blockbuster avec plein, plein de trucs dedans. Et je me sens un peu triste qu'il soit oublié parce que ça me fait un peu de la peine, ce film de 2h36 qui essaie de nous proposer une faible apocalyptique, épique et profonde. C'est pour ça que je vous en parle, parce que c'est maladroit et imparfait, mais c'est pas inintéressant, il y a plein de choses à offrir. C'est comme toi, lui. Merci beaucoup. J'espère que je suis pas autant soporifique, mais bon.

  • Speaker #2

    Maladroit, imparfait, t'as plein de choses à offrir.

  • Speaker #1

    Ok, super.

  • Speaker #3

    Très contagieux, apparemment,

  • Speaker #1

    aussi. Très contagieux, ouais. Apocalyptique, voilà. Voilà, vous avez bien aimé, virus,

  • Speaker #3

    quand même ? Oui, en vrai, oui.

  • Speaker #0

    Ok. Cool. Alors, Camille, je crois que toi, tu es la plus enthousiaste. Oui,

  • Speaker #3

    je m'étonne moi-même. Alors, je ne sais pas, c'est peut-être parce que, je ne sais pas, ça serait qui m'a tapé sur la tête, mais sincèrement, j'ai passé un très bon moment devant ce film.

  • Speaker #1

    Oh,

  • Speaker #0

    wow. Ça se regarde bien,

  • Speaker #1

    quand même.

  • Speaker #3

    J'ai été choquée de la mise en scène. Enfin, tout le début est franchement assez fantastique. Il y a, enfin, le fait de, effectivement, le fait qu'il ait coûté cher, ça se voit parce qu'il y a énormément de... de scènes dans différents endroits différentes régions du monde et moi j'ai trouvé ça vachement beau et j'ai trouvé ça intéressant parce qu'on a l'habitude des blockbusters américains qui sont quand même centrés sur leur histoire et tout et là c'est un peu différent, il y a beaucoup les Etats-Unis il y a beaucoup le salon Oval mais déjà on voit que c'est pas les américains c'est différent c'est pas comme eux ils se représentent eux-mêmes et du coup j'ai trouvé ça vachement intéressant et en plus je dois dire que effectivement la... le Covid en tête évidemment et avant en 90 il y a eu le SRAS qui a énormément touché l'Asie et je trouve que c'est un film de virus effectivement d'apocalypse lié à une maladie qui est hyper efficace toute cette première partie là du film je la trouve vraiment top aussi avec les mecs qui sont bloqués en Antarctique c'est le bordel Ils n'ont pas de nouvelles de leur famille, évidemment, parce qu'il n'y a plus personne au fur et à mesure. Et je trouve que, franchement, on s'attache... Moi, en tout cas, j'ai trouvé qu'il y avait plein de personnages hyper chouettes. Notamment, je crois que c'est la femme ou l'infirmière...

  • Speaker #1

    Ce qui est la femme du scientifique qui est parti...

  • Speaker #3

    Voilà, exactement. Il y a cette scène avec la bougie et tout ça...

  • Speaker #1

    Dans l'hôpital.

  • Speaker #3

    Quand elle rentre chez elle, avec l'enfant et tout. Je trouve ça vachement beau. Non, j'étais hyper impressionnée. Franchement, bravo.

  • Speaker #1

    Ok,

  • Speaker #0

    bravo.

  • Speaker #2

    Je suis un peu moins enthousiaste. Non mais oui, c'est un peu un ovni. Oui,

  • Speaker #1

    c'est un film étrange.

  • Speaker #2

    Mais oui, c'est pas du tout un mauvais film. Non, non,

  • Speaker #1

    non. C'est juste un peu raté et très ambitieux. Ouais,

  • Speaker #2

    c'est ça. Moi je trouve qu'il y a trop de trucs. Ah bah bien sûr. Il y a trop de parties, trop d'histoires. Et en même temps, il y a trop de trucs. Et en même temps, je trouve qu'il ne se passe pas grand-chose. Après, c'est peut-être un peu teuteux. Mais moi, j'aurais bien aimé qu'il y ait un peu des oppositions, des rébellions. Tu vois, quand il y a ce nouveau gouvernement qui se forme en Antarctique et tout. Et que, notamment, cette histoire de 855 hommes pour 8 femmes. et que t'as une toute petite scène avec une femme qui craque complètement en disant qu'elle s'est faite violer et voilà en fait on passe très vite à autre chose il y a une petite réunion sympa il y a une petite réunion on les viale bon bah voilà c'est comme ça il y a ça pour les rapports hommes-femmes mais en fait c'est un peu ça dans tout le film il y a jamais vraiment personne il y a un peu un consensus tout le temps dans le film où ils arrivent tout le temps à être d'accord finalement ce qui est bon tant mieux on a envie de dire Mais en même temps, je trouve ça étrange. Il y a un peu des trucs qui fonctionnent pas vraiment.

  • Speaker #3

    Pour moi, c'est vraiment de l'ordre de la sidération. Parce que tous ces personnages... Moi, j'ai adoré les scènes notamment de course-poursuite. Parce qu'il y en a un qui s'échappe à un moment donné dans l'Antarctique. Et il y a une scène de course-poursuite qui est assez longue dans cette espèce d'environnement horrible avec le blizzard. C'est hyper beau. Et où en fait, c'est très pathétique. parce que c'est vraiment un micro-événement qui est montré pendant peut-être 10 minutes alors qu'effectivement l'effacement de la planète tu le vois en juste des images qui passent comme ça moi j'aime bien ce truc d'échelle un peu distordu c'est

  • Speaker #2

    pas inintéressant mais après c'est un peu long oui mais comme tu dis Léo je... C'est dommage que ce soit un peu tombé aux oubliettes,

  • Speaker #1

    parce que c'est un film bizarre. Et même pour l'année où il est sorti, avoir un gros blockbuster japonais comme ça, avec autant d'envergure internationale, je trouve que c'est assez chouette.

  • Speaker #3

    Avec un cadrage mondial,

  • Speaker #1

    c'est intéressant. Et avoir un point central qui est en dehors de la guerre froide. qui est ni du côté américain ni du côté de l'URSS qui se place un peu entre et qui propose ce truc en Antarctique avec un gouvernement formé par les pays restants c'est différent de ce qu'on pouvait voir en termes de blockbusters à cette époque c'est vrai qu'il est très beau il

  • Speaker #0

    y a des trucs qui sont vraiment chouettes moi je suis un peu d'accord avec vous trois en même temps mais non mais on a fait le truc de l'Antarctique c'est vrai sauf que je suis peut-être celui qui est le moins aimé en tout cas des échos en fait moi j'ai du mal je suis d'accord avec vous dans le sens où je trouve que l'objet est intéressant et c'est quand même c'est un film qui n'existe pas ailleurs ou en tout cas traité de manière extrêmement différente les sites et sites Après, il y a une partie de moi quand même, quand je regarde le film, qui ne peut pas s'empêcher de trouver ça dommage. Parce que je me dis, c'est vrai que faire 2h36 de...

  • Speaker #3

    On a interrompu.

  • Speaker #1

    Il y a des CRS qui passent là.

  • Speaker #0

    On a interrompu. Par les 80 000... Ouais, bon, ils sont là. Non, mais je ne peux pas m'empêcher de me dire, ouais, en fait, faire 2h36 d'un film avec une envergure aussi importante, une ambition de filmer un drame à l'échelle internationale et tout ça, pour finalement créer 6 peu de situations d'adversité, d'antagonisme poser finalement si peu de questions je trouve que c'est une occasion manquée de ce point de vue là et effectivement que tous ces gens trouvent le consensus en permanence je trouve ça extrêmement étrange et il y a un truc aussi que j'aime pas dans le film mais ça je crois que c'est Je ne sais même pas si c'est un truc qui est intentionnel ou si c'est parce que le film est prisonnier de son époque. Mais c'est quand même un film qui est très japonais dans son identité par plein de trucs, d'un point de vue formel, et qui ne peut pas s'empêcher de recracher des espèces de codes du cinéma américain que je trouve dommage. Je ne sais pas si c'est une question... de pression, d'argent qu'ont fait que les studios ont imposé cette touche américaine mais je sais pas, je trouve ça ultra chelou cette histoire de discours avec le mec l'amiral à la fin enfin le président des Etats-Unis qui dit à l'amiral en Antarctique God bless America et America fuck yeah en permanence, enfin en fait je trouve ça trop bizarre quoi que il y ait ça à l'intérieur de ce film même avec l'armée,

  • Speaker #1

    la représentation de l'armée américaine, il y a quand même

  • Speaker #0

    une volonté de caricature je pense qu'elle est assez évidente oui mais c'est pas satirique non c'est pas du tout une critique en fait oui c'est pas du tout une critique ça embrasse vraiment les codes et je pense que moi je peux pas m'empêcher de me dire parce que ce gars là tu vois on l'a vu dans Battle Royale c'est un film que j'aime pas mais pour plein d'autres raisons et d'ailleurs c'est lui aussi qui est sur le 2. Oui, oui, oui. Le 2 qui est une... à mon sens, une infâme purge. Mais ce gars-là, il a quand même une identité propre. Il a quand même... Et je trouve ça ultra bizarre.

  • Speaker #3

    Voilà. Je suis tout à fait d'accord avec toi et je crois que moi, c'est ce que j'aime bien. C'est que ça soit un objet de culture mainstream, mais au sens premier du terme. C'est-à-dire qu'à ne pas vouloir prendre de point de vue, en fait, tout est très lissé. dans une espèce d'humanité mais sous l'aune des Etats-Unis parce qu'on est coupable quand même c'est eux qui ont le plus gros temps de parole et c'est vrai que c'est particulier tu te dis bon bah je sais pas je trouve que ça en fait moi ce que je trouve marrant c'est que là où des missions impossibles, des James Bond des trucs comme ça qui vont faire des grands panoramas sur toute la planète autour d'un personnage qui se pose beaucoup de questions justement du bien du mal ces questions-là n'existent pas dans le film-là parce qu'il n'y a pas vraiment de personnage principal et il n'y a pas vraiment de questions traversées. C'est plus un état... Oui,

  • Speaker #0

    mais ça fait partie de mes problèmes avec le film. Je trouve que dès lors que effectivement le personnage du film ou en tout cas le centre du film n'est plus un personnage mais une situation... On avait vu ça avec les Tranglers de Boston. où il y a cette volonté de faire un film où il n'y a pas vraiment de personnage principal où le personnage principal dans les Tremors de Boston c'est la ville, c'est les médias c'est tous ces réseaux là là il y a un peu cette idée là c'est le monde c'est un film monde et du coup je trouve que quand ton ambition de cinéma enfin je dis ça, le mec qui donne les conseils mais quand ton ambition de cinéma c'est de faire ça ... Je trouve ça un peu dommage, si tu veux, que... Et donc, c'est pas un film, effectivement, de personnages, de destin, de narration et tout ça. Je trouve ça dommage qu'il y ait un peu cette... Oui, je trouve qu'il y a là aussi encore une occasion manquée. C'est-à-dire que malgré les moyens, je trouve qu'il n'y a pas de réel effort de mettre ça en scène. Enfin, voilà. À part au début, où il y a effectivement peut-être cette espèce d'éphéméride où on voit tous les mois ce qui se passe et on a des situations différentes. Il n'y a pas de réelle volonté de mettre ça en scène. De mettre en scène le monde... Voilà. Je trouve ça chelou. C'est un film un peu bizarre.

  • Speaker #3

    Il n'imprime pas beaucoup.

  • Speaker #2

    Je crois qu'on est d'accord sur le mot bizarre.

  • Speaker #1

    Le mot bizarre.

  • Speaker #0

    En tout cas, c'est vrai que c'est un truc à voir. Oui. J'étais un peu d'accord avec vous trois. Super. C'est vrai. Après, j'avoue, je ne me suis pas... Je l'ai regardé en deux fois. Au début, je me suis dit pourquoi Léo nous déteste tant ? Qu'est-ce qu'on a fait ? Et en fait, après, c'est passé. Tu vois, genre au bout de 45 minutes, j'étais dedans. Et j'étais dans le train. Et voilà.

  • Speaker #1

    T'étais dans le sous-marin.

  • Speaker #0

    Ouais, j'étais dans le sous-marin. Super. Et voilà. Mais oui, oui. On laissait en passer les 2h36.

  • Speaker #1

    On laissait en passer, effectivement. Je ne sais pas ce qu'elle vaut la version. Je pense que ça ne vaut pas trop le coup.

  • Speaker #0

    Je crois que ça ne vaut pas le coup, en vrai, parce que je suis allé voir sur Internet. Et je crois que le montage est complètement différent et le film n'a rien à voir, en fait. Je crois que c'est un peu un montage... Ce n'est pas complètement à l'envers, mais un peu. Ça part de la situation en Antarctique et ça remonte dans le temps. C'est très chelou. Alors qu'au début... tu vois des images de l'Antarctique et tout mais après on te dit ok la situation c'est ça et maintenant on va vous raconter comment on en est arrivé là et le film la version d'une heure quarante c'est genre c'est complètement autre chose, ça raconte complètement autre chose de ce que j'ai lu je t'avoue que je me suis pas maté après les deux heures quarante t'as pas fait les deux pour faire un petit comparatif voilà voilà virus quoi et le titre est cool le plan qui donne la pochette du film est très cool oui oui oui c'est la fin t'as tout spoilé oui oui ça va ça va par contre c'est pas du tout gore y'a pas du tout de des zombies il faut pas s'attendre à voir ça ah non non dommage Oui, oui.

  • Speaker #2

    je suis sûr que c'est pas 28 jours plus tard ou même 28 ans plus tard et oui ça l'a peut-être inspiré peut-être oui je pense que ça a eu partie des films importants oui je pense aussi,

  • Speaker #0

    t'as raison sur comment raconter une histoire mondiale et en parlant d'histoire mondiale ah bah non y'a vraiment pas de lien En parlant de virus

  • Speaker #2

    Le virus du patriarcat

  • Speaker #3

    Ah

  • Speaker #2

    C'est pas mal

  • Speaker #0

    Et double ce virus tueur invisible

  • Speaker #2

    Oui

  • Speaker #0

    Pas mal aussi On va passer au film de Lola Musique Euh... Lola, quel est ce film que tu as sélectionné pour cet épisode spécial rentrée ? Troisième rentrée d'Horreur du Dimanche.

  • Speaker #3

    Ouais, c'est vrai. Ça commence à faire long. Pardon, j'ai un bout de pain entre les dents.

  • Speaker #0

    Le respect est mort. Désolé.

  • Speaker #3

    Moi, j'ai choisi Invisible Man, le dernier. Oui, du coup, je disais le dernier, c'est celui qui est sorti en 2020, réalisé par Lee Wan-El, qui a récemment fait Wolfman, que moi j'ai beaucoup aimé malgré les mauvaises critiques.

  • Speaker #0

    Ouais, moi aussi j'ai bien aimé, je suis d'accord.

  • Speaker #3

    Bah ouais. Vous avez eu des mauvaises critiques ?

  • Speaker #0

    Ouais,

  • Speaker #3

    ouais, Wolfman.

  • Speaker #0

    Les gens ont dit que c'était bête.

  • Speaker #3

    Mais je ne suis pas d'acte. Lee Wan-El, c'est un réalisateur américain. Le film, c'est une prod... Il est australien, pardon. C'est une prod australienne et américaine.

  • Speaker #0

    Tu sais de qui c'est le meilleur pote, Lee Wan-El ?

  • Speaker #3

    Tu me regardes comme si je devais le savoir ?

  • Speaker #0

    Non, tu ne dois pas forcément le savoir.

  • Speaker #2

    James Wan ? Ah, Zingo ! Quand il a l'œil qui brille comme ça.

  • Speaker #3

    Ah oui,

  • Speaker #2

    c'est vrai qu'il avait l'œil fou un peu.

  • Speaker #0

    C'est lui qui a coréal Saw, le premier, avec James Wan. C'est son poteau.

  • Speaker #2

    Avant que The Collectionist ne vienne.

  • Speaker #0

    C'est pas The Collectionist, tu confonds.

  • Speaker #2

    Non, mais tu sais, les mecs qui... Ah oui,

  • Speaker #0

    oui, oui. Oui, oui, oui.

  • Speaker #1

    Encore en océan.

  • Speaker #3

    Tout le monde est disciple d'un star, c'est toujours pareil.

  • Speaker #0

    Non,

  • Speaker #3

    non, rien n'a changé. Ouais, du coup. Ouais. James, ouais. Ouais, ouais. Là, c'est un film avec Elisabeth Moss, qu'on connaît bien, qui est scientologue, je l'ai appris il n'y a pas longtemps. Non, mais qui surtout...

  • Speaker #0

    J'ai envie de dire...

  • Speaker #3

    Voilà, qui est l'actrice principale de The Handmaid's Tale, donc la série. un peu événement de ces dernières années. Là, qui est dans le rôle de Cecilia, il y a aussi Aldis Hodge qui joue James, qui est son ami policier. Dans le rôle d'Adrienne Griffin qui est son mari, il y a Oliver Jackson-Cohen et j'ai noté la jeune actrice Storm Red qui joue Sydney, donc la fille de James.

  • Speaker #2

    Qui joue dans Euphoria.

  • Speaker #3

    Qui joue dans Euphoria, tout à fait. Donc, de quoi ça Merci. par Invisible Man. Donc là, c'est l'histoire de Cecilia Cass, comme Patricia. Cass.

  • Speaker #0

    Mon mec ! Mais quel RT !

  • Speaker #2

    Je me fais l'entendant parce qu'on ne pourra pas beaucoup rire après pendant ce film.

  • Speaker #0

    J'ai tellement la vision de Camille en cosplay Patricia Cass. Avec une coupe courte.

  • Speaker #2

    J'adore ! Quelle star Patricia, quelle femme !

  • Speaker #3

    Mais qu'est-ce qui est bien ? Bon, on en parlera.

  • Speaker #2

    Elle travaille beaucoup en Russie ? Oui,

  • Speaker #1

    je crois qu'elle est pas mal en Russie.

  • Speaker #3

    D'accord, ok.

  • Speaker #2

    C'est marrant ce star. C'est marrant,

  • Speaker #1

    il y a...

  • Speaker #2

    Elle disparaît.

  • Speaker #3

    Bon, là, Cécilia n'a rien à voir. C'est une femme qui est victime de violences conjugales, violences perpétrées par son mari, Adrian, qui est lui un richissime scientifique, ingénieur en optique.

  • Speaker #0

    Pour moi, il est ophtalmo. Moi, j'ai tout de suite dit, c'est un ophtalmo.

  • Speaker #3

    Les ophtalmo ne gagnent pas autant d'argent.

  • Speaker #0

    Que tu crois !

  • Speaker #3

    Et bien, quand même, vu la vie qu'ils ont...

  • Speaker #0

    À faire trois cataractes à la minute, t'inquiète que ça y va. À se mettre en secteur 3, t'inquiète que ça y va.

  • Speaker #2

    Lui, il a dû inventer les verres progressifs.

  • Speaker #1

    Les verres qui se teintent tout seuls. C'est ça, en fait.

  • Speaker #3

    Bon, il n'est pas au phtalmo, Thomas dit n'importe quoi. Le film commence par la nuit où Cecilia parvient à s'échapper de son foyer violent avec l'aide de sa sœur Émilie. Et elle va se réfugier chez son ami policier que je citais tout à l'heure, James. Et en fait, elle va apprendre rapidement, je crois au bout de deux semaines, que Adrienne s'est donné la mort. Alors là, elle hérite d'une grande partie de sa fortune qui lui a légué. Et on se dit, cool, tant mieux pour elle. Elle va pouvoir essayer de recommencer à vivre correctement en essayant de surmonter son trauma. Sauf qu'il y a des événements étranges qui vont se produire autour d'elle. Ce qui va la faire douter quant au fait qu'Adriane soit vraiment morte. Que dire de ce film ? J'ai mis Météo, pas là, Mété pas là, Météo, pas là, mais voilà.

  • Speaker #2

    Oh waouh !

  • Speaker #0

    Oh waouh !

  • Speaker #2

    J'adore qu'on arrive à rire parce que ce film m'a mis en PLS. Oui,

  • Speaker #1

    oui,

  • Speaker #2

    oui.

  • Speaker #0

    Choc-bar de Bézède, là.

  • Speaker #3

    Bah oui, mais Vianney, on n'entend plus parler non plus. Allez,

  • Speaker #2

    invisible man.

  • Speaker #0

    Bah oui,

  • Speaker #3

    j'espère que vous avez compris ma blague.

  • Speaker #0

    Ah,

  • Speaker #3

    Vianney, oui. Non, c'était Météo Pala, Invisible Man, quoi. Oui, oui, oui. Putain, mais quand je vous explique sa blague, c'est vraiment qu'elle est foirée, quoi. Ça y est,

  • Speaker #0

    ça y est. Bon.

  • Speaker #3

    C'est bon,

  • Speaker #0

    je l'avais,

  • Speaker #3

    je l'avais. Donc, Invisible Man, l'homme invisible, c'est d'abord... Oui, je traduis, parce que c'est un peu compliqué. C'est d'abord un roman d'Herbert George Wells, qui a été publié en 1897. Et c'est aujourd'hui un livre qui est considéré comme un classique de la littérature fantastique, qu'évidemment je n'ai pas lu, et ça raconte l'histoire d'un scientifique qui invente la formule d'invisibilité, et comme souvent dans ce genre de scénario, il atteste sur lui-même, là dans le roman c'est pour échapper à ses créanciers.

  • Speaker #1

    Hyper bien,

  • Speaker #3

    trop smart. Ouais franchement.

  • Speaker #1

    Je vais faire ça avec les impôts aussi.

  • Speaker #2

    Oh bah d'accord.

  • Speaker #3

    On part tout après. Et bah voilà, renaissance 19ème nous reçoit Non c'est pas vrai,

  • Speaker #2

    je paye pas d'impôts Le coming out libertarien d'or Nous sommes suivis par le fisc 75,019 Je me rends invisible pour échapper aux impôts

  • Speaker #0

    Ils font n'importe quoi avec l'argent Les routes sont toujours cabossées J'étais en RP Les enfants ne savent pas lire quand ils sortent de l'école Merci beaucoup, bravo

  • Speaker #3

    Bon, dans le livre en tout cas Au début, il trouve ça marrant parce que Voilà, c'est cool d'être invisible, mais en fait, rapidement, ça le gonfle. Et c'est surtout que ce personnage, qui a été représenté après par la suite, et dans le livre aussi, avec le visage enveloppé de bandelettes, et toujours le corps recouvert de vêtements, pour pouvoir quand même continuer d'interagir avec les gens. Parce qu'il faut savoir qu'il arrive à se rendre invisible dans le livre, mais qu'il n'arrive pas à redevenir visible. Donc c'est un vrai problème. Et en gros, il devient fou, et il se met à tuer des gens. C'est l'histoire de l'homme invisible de base. Bref, suite à ce roman, il y a une vingtaine d'adaptations cinématographiques qui vont sortir. Le premier, qui est un grand classique, moi je n'ai pas vu. J'ai vu celui de Paul Verhoeven, Holoman, avec Kevin Bacon, qui est sorti en 2000, il me semble. Mais donc, entre le premier et celui de Paul Verhoeven, il y en avait déjà 20. Je crois que là, celui de 2020, c'est le 22e peut-être.

  • Speaker #0

    Mais tu vas chroniquer les 22 films.

  • Speaker #3

    Oui, super. On t'écoute. Et là, ce qui distingue L'Homme invisible de Lee Wannell, c'est que c'est la première fois que cette histoire se concentre sur la victime et non sur l'homme en question. Et quand le film sort, là en 2020, donc c'est à peu près trois ans après l'affaire Weinstein, Et Léonel, il reconnaît clairement que son film s'inscrit dans cette actualité. Après, je ne sais pas si c'est vraiment ce qui l'a poussé à transformer autant l'histoire originale. En tout cas, ce qu'il a fait fonctionne, même si on peut dire que ça surfe un peu sur ça. Mais moi, je trouve que ça fonctionne très bien. Et puis, évidemment, son homme invisible va devenir l'incarnation du traumatisme de Cécilia, son personnage principal. Et en général, l'incarnation de... tous les hommes qui frappent, violent impunément comme si personne ne les voyait. Mais en fait, on vous voit les gars maintenant. Et puis, dans ce film, on voit et on ressent avec Cécilia le fait que personne ne la croit. Je trouve que ça crée une tension. Moi, ça me tendait le film. J'étais en mode, mais putain, je comprends pas pourquoi personne ne l'écoute. On voit bien qu'il se passe des trucs bizarres et qu'elle n'est pas folle. Et on sait qu'elle est harcelée. Mais les preuves sont invisibles, comme souvent. C'est des gros parallèles avec ce qui se passe dans la réalité.

  • Speaker #0

    Je t'interromps deux secondes, mais moi, je trouve qu'on ne voit grave pas les preuves. Et justement, on a trop envie de... Non, mais du coup, moi, c'est ça que je trouve qui est horrible. C'est qu'on a trop envie de penser qu'elle est vraiment folle, tu vois.

  • Speaker #3

    Ah ouais, peut-être, mais moi je trouve que c'est vite...

  • Speaker #0

    Oui, parce que le parti pris est de son côté et le film est fait de son côté, mais en fait, d'un point de vue extérieur, quand tu regardes le truc, tu dis...

  • Speaker #3

    On est en colère parce qu'on voit qu'il n'y a pas de preuves, mais on sait très bien que...

  • Speaker #0

    Tu comprends les réactions des gens autour d'elle.

  • Speaker #3

    Oui, mais c'est ça qui met en tension, justement. Moi, ce que j'aime beaucoup aussi dans le film, c'est les scènes d'action qui sont très réussies. Il y a notamment celle de l'hôpital. Et qui se poursuit après sur un parking sous la pluie. Et en fait, là, je me suis renseignée parce que je me disais, mais c'est trop bizarre. Il y a un effet un peu jeu vidéo bizarre. La caméra fait des trucs chelous. En fait, c'est effectivement, il y a une caméra spécifique qui est utilisée, qui est une caméra robotisée dite de motion control, donc contrôle du mouvement. En fait, on va programmer par ordinateur. Tous les déplacements et les réglages de la caméra de manière hyper précise, sur un logiciel, avec un timing et tout, pour qu'on puisse ensuite répéter, modifier les prises autant qu'on veut. Et à l'inverse de ce qui se passe d'habitude quand on tourne un film, c'est que là, c'est l'acteur, l'actrice qui va suivre la caméra et pas l'inverse, parce que tout est programmé. Donc il faut que, seconde 3, on soit à tel endroit de la pièce, parce que la caméra, elle y sera. Et du coup, ça a un rendu presque... bizarre, pas réel en fait. C'est pour ça que je disais jeu vidéo mais ça fait un peu cinématique.

  • Speaker #0

    Je sais pas si tu as vu son film d'avant Upgrade.

  • Speaker #1

    Ah oui c'est 100%

  • Speaker #0

    jeu vidéo ce film. Et Upgrade il fait ça tout le temps, il utilise ce processus tout le temps dans les scènes d'action. Ce qui rend le film très... moi je trouve assez cool.

  • Speaker #1

    Oui et puis son film d'avant c'est vraiment un jeu vidéo porté en film en fait, sur le principe. C'était pas mal ouais.

  • Speaker #3

    Je ne l'ai pas vu, mais c'est vrai qu'il en parle beaucoup pour expliquer ce qu'il a fait pour ces scènes d'action. Non, du coup, très cool. Et pour finir, moi, je spoil aussi, tant pis, mais il y a un twist final qui nous interroge et qui pose la question de Est-ce qu'Adriane est vraiment un génie du mal qui a orchestré toute cette machination ou bien juste un sale type violent qui est en fait victime de la vengeance de son frère jaloux ? Donc, on ne saura pas vraiment, mais ce qui du coup... pose aussi la question de la punition sans la justice, sans le procès. Et d'un côté, c'est vrai qu'on comme disait Thomas, on est du parti de Cécilia donc on s'en fout grave que ce mec qui meurt est de l'autre, qui meurt de la main de Cécilia sans qu'on sache s'il a réellement enfilé ce costume d'homme invisible à un moment dans le film pour la torturer bah en fait ça pose question de comment, voilà quel est le jugement dans ce genre de cas. C'est pas si simple. Donc est-ce que le œil pour œil, dent pour dent, c'est ok ? Enfin, jusqu'où en tout cas ? Je ne sais pas, je n'ai pas la réponse. Mais en tout cas, c'est un film que j'ai beaucoup aimé. Voilà.

  • Speaker #0

    Camille, ça t'a fait bader,

  • Speaker #2

    toi ? Oui, je pense qu'il faut vraiment un gros trigger warning pour ce film parce qu'il est quand même hyper efficace, notamment sa scène d'ouverture, elle est assez fantastique sur l'évasion. de Cecilia qui essaie d'échapper à ce mec qu'on n'a pas vu debout. On le voit juste coucher et il nous fait très peur pour autant. Je trouve que c'est un film qui est franchement dur à regarder. Moi, je n'ai vraiment pas pris beaucoup de plaisir au début parce que je reconnais qu'il est très efficace et tout. Mais moi, je trouve que... Je veux juste dire pour les gens qui craignent un peu ce genre de sujet ou... Cette situation d'hypervigilance, on la ressent, je trouve, et on la vit avec le personnage féminin hyper, hyper fortement. Notamment dans une des premières scènes où il est dans la chambre. Et je trouve qu'il y a un truc vraiment très violent. J'ai eu très, très peur pendant ce film. Et c'est un vrai cauchemar parce que la violence qui est faite aussi... autour des gens qu'elle aime, c'est très dur. C'est surtout les femmes qui se font faire du mal dans ce film-là. Je trouve qu'Elisabeth Moss, c'est évident, mais c'est hyper important que ce soit elle qui tienne ce rôle-là parce qu'elle porte vraiment tout. Qu'il soit là ou qu'il ne soit pas là, peu importe. D'un seul coup, les vides deviennent terrifiants et deviennent pleins.

  • Speaker #3

    C'est incroyable.

  • Speaker #2

    Comment il filme les vides. Il n'y a pas de screamer, il n'y a pas de truc comme ça dans tous les sens, mais pour autant, c'est très bien. Je dois dire que les scènes d'intérieur sont assez fantastiques. Je suis moins convaincue par la fin. Moi, par le twist, le machin, le truc, ça m'intéressait moins. Mais moi, surtout, je me disais que le personnage était tellement dans une situation infernale, que la résolution ne peut être que violente. C'est soit elle, elle meurt, soit lui, il meurt. Mais en fait, les deux ne peuvent pas coexister. C'est évident, vu la situation qui se passe. Donc voilà. Mais c'est un film intéressant sur le PTSD, évidemment, sur l'emprise aussi, parce qu'il y a quand même toute cette idée que Adrienne, en mourant, lui lègue de l'argent. Et donc, elle hérite de cet argent-là. Et en même temps, c'est toujours un lien avec ce mec. C'est... Ouais. c'est assez rude tu l'avais jamais vu toi ? non j'avais jamais vu il m'avait choqué la première fois j'avais jamais vu et en fait il est limpide dans ce qu'il raconte on sait exactement de quoi ça va parler mais je trouve que c'est violent Et c'est marrant, ça m'a fait penser un peu à un film dont tu avais déjà parlé, celui qui se fait dans les bois, là, tu sais, avec la meuf muette, avec un tueur à l'extérieur. Ah ouais, ouais, ouais. Ah, oui. Que j'avais pas aimé, pour le coup, parce que je trouvais que, en fait, la torture du personnage féminin, il était... Enfin, c'était pas trop justifié. Là, je trouve que le sujet de la violence conjugale, en fait, rend les scènes, justement, d'angoisse et de torture de ce... personnage féminin comment dire plus véritable donc ouais non très chouette enfin très chouette on a compris c'est

  • Speaker #0

    rigolo t'as un peu l'avis que j'ai, ça me rappelle la première fois parce que moi je pense que c'est la 3 ou 4ème fois que je le vois mais du coup il m'a fait beaucoup d'effets la première fois aussi en salle notamment où j'avais trouvé le film dur et hyper maîtrisé j'avais un peu cet avis là que j'ai toujours un peu d'ailleurs après juste pour redonner des petits éléments quand même de contexte Livanel il est dans un truc où il a il est en train d'exploiter en gros les Universal Monsters donc Donc il fait son Invisible Man, et là il fait son Wolfman, qui est sorti l'année dernière. Et en fait, clairement, de ces deux films, il y a quand même un angle qui a l'air de se profiler, une vision qui a l'air de se profiler, c'est d'essayer de tourner ça pour décrire des situations de masculinité toxique. Et là où Invisible Man est du côté complètement du personnage d'Elizabeth Moss, n'est jamais... du côté de son bourreau, donc d'Adriane. Wolfman, lui, va se concentrer plutôt sur l'intérieur de l'homme, qui est donc le loup-garou, et donc va poser les questions de comment un homme arrive à être violent, pourquoi... Il pose la question de la transmission, en tout cas, de... Est-ce qu'il y a... En tout cas, dans Wolfman, le mec, en fait, a peur de devenir violent parce qu'il a lui-même été victime de violence quand il était gosse. donc il pose cette question là mais il est du côté du personnage masculin en montrant les conséquences sur son environnement familial les conséquences de sa transformation et là je trouve que dans Invisible Man il y a un truc qui est très très donc Wolfman marche un peu moins bien d'une certaine manière parce qu'en fait en terme de film d'horreur pur parce que ce qui est intéressant je trouve dans Invisible Man c'est qu'il y a un truc qui est hyper efficace, c'est qu'il y a une règle du film d'horreur respecté quasiment jusqu'au bout. Et je trouve que c'est là que la scène de fin a un intérêt. C'est qu'il ne montre jamais le mec. On ne le voit jamais. C'est-à-dire que le visage de ce mec n'est jamais filmé. On le voit peut-être ses dents à un moment donné parce qu'il a une dentition un peu bizarre, l'acteur. On le voit de loin.

  • Speaker #1

    On le voit courir au début.

  • Speaker #0

    Et en fait, on ne te montre jamais le monstre. Parce qu'il est invisible. C'est vraiment... Je trouve extrêmement intelligent d'avoir choisi cette histoire et de raconter ça comme ça.

  • Speaker #1

    de revisiter ce mythe là comme ça ça en fait un truc assez cohérent du coup transformer le point de vue et en faire un vrai monstre ou méchant de film d'horreur et moi je suis d'accord les scènes d'intérieur et de maison et du coup je pense que c'est pour ça que tu penses à Hush aussi où il y a beaucoup ces scènes filmées en intérieur et là la caméra qui laisse une énorme place au vide dedans C'est giga oppressant et moi c'est la deuxième fois que je le vois et pareil la première fois, le niveau d'alerte dans lequel t'es pendant tout le film, il est vraiment énorme. Et ouais, c'est vraiment maîtrisé parce que dès le début en fait, t'es comme ça, tu sais ce qui se passe dès le départ et du coup tu cherches avec elle dans la maison et tu sens la présence et c'est assez fort d'arriver à l'avoir fait sans qu'il y ait rien en fait. Alors il y a un moment où tu vois la buée quand même à l'extérieur, la condensation mais... A part ça, en fait, c'est juste de la suggestion. Moi,

  • Speaker #2

    je trouve qu'il y a le truc du drap qui est génial.

  • Speaker #1

    Les pieds sur le drap.

  • Speaker #2

    Oui, mais c'est de l'ordre du cauchemar. C'est ça qui est génial.

  • Speaker #1

    Ça fait paralyser du sommeil,

  • Speaker #2

    clairement. Au début, si tu veux, la question de est-ce qu'il est là ou pas, m'importe peu, dans le sens où, de toute façon, il est dans sa tête.

  • Speaker #1

    Et ça peut être une manifestation d'un trauma qui est encore très récent. Et en fait, ça ne s'arrête pas au moment où elle part. Ça continue. Et du coup, c'est pour ça, peut-être que tu as le doute au début. Oui, peut-être que c'est dans sa tête. Après, le film s'appelle Invisible Man, donc tu te doutes que...

  • Speaker #3

    Oui, c'est vrai que...

  • Speaker #1

    il casse le suspense rapidement en tout cas je trouve que c'est une belle façon de parler à quel point c'est inscrit partout dans ta vie après un traumatisme comme ça, et que tu ne peux pas le faire partir comme ça, et du coup le mettre sous forme d'un spectre, d'une présence qui te suit au quotidien et qui te pourrit la vie même après, même sa mort là, en l'occurrence, c'est très malin.

  • Speaker #2

    Oui, et puis ta culpabilité à elle aussi, tu vois, parce qu'il y a une part de culpabilité, évidemment, quand on pense qu'il s'est suicidé après son départ à elle.

  • Speaker #1

    Tu vois, moi, la fin, c'est pareil, j'avais pas trop aimé. Et en fait, ce que t'as dit tout à l'heure sur la réflexion, sur le jugement, je trouve que ça change le rapport à la fin aussi. Moi, je l'avais pas forcément vu comme ça et du coup, je prends un peu mieux le twist maintenant que j'ai vu,

  • Speaker #0

    je pense.

  • Speaker #3

    T'as une réflexion dans la réflexion.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #0

    je trouve ça effectivement pertinent.

  • Speaker #2

    Moi, c'est plus le personnage du frère. La fin en elle-même, je la trouve OK, tu vois. Oui, oui. C'est le personnage du frère, bon... Oui, oui,

  • Speaker #3

    je suis d'accord.

  • Speaker #0

    Non, mais ça, c'est sûr. Ce twist... En fait, ils étaient deux.

  • Speaker #2

    Oui, voilà. D'accord.

  • Speaker #3

    Mais c'est juste de poser la question de... En fait, est-ce que c'était vraiment lui qui la torturait, même après qu'elle se soit évadée ?

  • Speaker #0

    Et du coup, est-ce que t'es vraiment OK avec ça ? Et voilà.

  • Speaker #3

    Alors qu'on prend plaisir au fait qu'il meurt. Moi, clairement, à la fin, tout le monde s'en fout.

  • Speaker #0

    Mais voilà, alors que c'est ce que j'allais dire. Le film te prend quand même en otage. Il te laisse pas complètement...

  • Speaker #3

    Et avec ce personnage de son ami James

  • Speaker #0

    Je comprends la réflexion de Camille qui dit de toute façon ils peuvent pas vivre tous les deux en même temps parce que c'est vrai que la première fois que tu vois le film t'es en mode de toute façon crève tu vois donc ouais ouais au bout de plusieurs fois que je l'ai vu je me disais ah ouais c'est vrai qu'il y a peut-être ce truc là cette ambiguïté là à la fin mais c'est vrai que la première fois tu le vois c'est vrai que c'est assez

  • Speaker #2

    C'est pas un reproche mais c'est le seul petit point c'est que Merci. effectivement le je trouve le film très réussi mais je le trouve peut-être un peu trop dans le sens où ça va tellement loin cet acharnement contre elle je dis pas que ça n'existe pas au contraire mais ça va tellement loin qu'au bout d'un moment tu t'acceptes en tant que spectateur d'enlever tout esprit critique et tu joues le jeu du film et tu le sais c'est un film qui t'est livré

  • Speaker #0

    clé en main dans le sens où tu dois ressentir ça il y a une forme de prise d'otage mais c'était vraiment voulu oui bien sûr et puis au milieu de ça il y a cette scène d'action de l'hôpital qui est vraiment réussie moi je ne m'attendais pas à voir une scène de gunfight et tu te dis qu'est-ce que ça vient foutre et en fait la scène est plutôt réussie elle est vraiment bien et juste moi un petit mot parce que moi j'aimais beaucoup le Veroven

  • Speaker #3

    Oui,

  • Speaker #1

    il est bien.

  • Speaker #3

    Avec Kevin Bacon, on n'a pas dit.

  • Speaker #0

    Oui, oui.

  • Speaker #3

    Ah si, tu l'as dit. J'ai oublié. On redit, avec Kevin Bacon.

  • Speaker #0

    J'adore dire quand il y a Kevin Bacon, parce que j'adore son glace. Mais moi, j'aimais bien ce film. En plus, je l'ai vu quand j'étais ado, donc c'était un peu bizarre, parce que c'est un gros film de pervers. En gros, Kevin Bacon, il est invisible, il passe son temps à regarder des meufs se décaper.

  • Speaker #3

    Et à les tripoter pendant qu'il est invisible.

  • Speaker #2

    Étonnant pour Verhoeven.

  • Speaker #0

    Et du coup, c'est vrai que le film pose un peu... Enfin, tu vois, c'est un peu les mêmes bases. Le Invisible Man, c'est toujours un... Il tourne globalement mal, à chaque fois. Oui,

  • Speaker #3

    c'est un gros pervers pétère.

  • Speaker #2

    De toute façon, le truc de l'invisibilité, c'est terrifiant. Moi, quand il y a des gens qui te disent « Ah ouais, moi, j'aimerais bien être invisible. »

  • Speaker #1

    Non mais...

  • Speaker #2

    Euh... Ok !

  • Speaker #1

    Tu fais la blague à un gosse, tu lui dis, tu fais semblant qu'il est invisible, c'est terrifiant quand t'es petit. On me l'a jamais faite mais...

  • Speaker #2

    Toi tu l'as fait à combien d'enfants ?

  • Speaker #1

    Une dizaine quoi. D'accord. Non c'est pas vrai, j'ai jamais fait.

  • Speaker #0

    Waouh, cet épisode est à charge très lourd pour Léo. Beaucoup d'aveux, beaucoup de confessions.

  • Speaker #1

    Non mais il y a des vidéos de familles qui font ça à leurs gamins, c'est peut-être pas une bonne idée,

  • Speaker #2

    l'enfant genre chiale quoi. Et en plus il est déçu sur le...

  • Speaker #1

    Ouais, l'enfant vraiment est terrifié et pleure au milieu de la pièce quoi. on est nerveux ici

  • Speaker #0

    C'est l'effet d'option du taf. Juste pour dire que je le trouve suffisamment... Il vient très à distance du Verhoeven. C'est marrant parce que le Verhoeven, je crois qu'il est considéré comme un de ses plus mauvais. Moi, je l'aime bien. En tout cas, il arrive suffisamment à distance et il est suffisamment différent en termes de point de vue pour ne même pas avoir à subir la comparaison. C'est vraiment un film complètement différent. Et puis moi, j'aime bien l'Ivanel. Alors faut peut-être pas trop qu'il s'embourbe dans les trucs à faire toujours un peu le même film là mais en tout cas je trouve ça un... Il y a une certaine maestria, il a une maîtrise du langage du cinéma qui est cool, j'ai hâte de voir ce qu'il va faire après. C'est vrai que c'est pas du niveau de James Wan. Ah c'est hier,

  • Speaker #1

    c'est reparti.

  • Speaker #2

    Bon, allez, nous on va aller rentrer chez nous et mettre l'avion sur le tour.

  • Speaker #0

    On va le laisser. Non mais c'était...

  • Speaker #3

    Et c'est celui qui a fait aussi le chapitre 3 d'Insidious qui n'était pas terrible je crois.

  • Speaker #1

    Je ne sais même pas si je l'ai vu le 3.

  • Speaker #0

    Pour moi, ces films, c'est Upgrade, Invisible Man et Wolfman.

  • Speaker #3

    Il a fait le troisième Insidious.

  • Speaker #0

    C'était de la D.

  • Speaker #3

    Je crois que ce n'était pas ouf.

  • Speaker #0

    Ok, ok. En balai, c'est pesé ?

  • Speaker #1

    Je crois bien. Petit épisode de rentrée.

  • Speaker #0

    Petit épisode de rentrée à la bien. En fait, il n'y a pas trop de physique chimie en vrai. Ah si,

  • Speaker #2

    attends. C'est des scientifiques.

  • Speaker #3

    Moi, il est ingénieur en optique.

  • Speaker #0

    Oui, c'est vrai, ingénieur en optique. C'est vraiment... Bye. Léo c'était quoi ?

  • Speaker #3

    Bah si ton virus c'est quand même un virus créé par les russes Et oui Virus

  • Speaker #2

    Ok Et puis avec les scientifiques qui sont dans l'Antarctique

  • Speaker #0

    Oui les scientifiques sont dans l'Antarctique C'est encore des scientifiques Non mais c'est marrant il n'y a aucun film qui se passe à l'école Bah il aurait pu prendre The Faculty Ou un truc comme ça Oui ça fait plusieurs fois qu'on se dit on aurait pu prendre The Faculty Mais on n'a pas envie de revoir The Faculty

  • Speaker #1

    Ça fait chier Moi j'ai envie de le revoir La vibe année 2000...

  • Speaker #2

    T'inquiète, ça en aura.

  • Speaker #0

    On sait que c'est ton péché mignon, t'inquiète, la vibe année 2000, elle arrive lourd, lourd. Merci d'être là, merci de nous avoir écoutés. Il y a les recos. Ah putain, j'ai oublié. Oui. Il y a les recos. Avant de se quitter, avant que je vous remercie, je vous remercierai qu'après, il y a les recommandations de la rentrée. Quelles recommandations ? On commence par qui ? Quoi ? Vas-y, dites. Voilà, vas-y, lance-toi.

  • Speaker #3

    Ah putain, recommandation de la rentrée. Ouais, moi je me suis mis à la recommandation de dimanche dernier et du coup c'est nul. Du coup moi j'ai noté, j'ai rien fait, j'ai déprimé de la rentrée et puis voilà. Mais ce qui me sauve le moral c'est de retrouver ma cancoyotte à l'œil.

  • Speaker #1

    Ok,

  • Speaker #3

    super.

  • Speaker #2

    Donc, co-culinaire.

  • Speaker #0

    On va se flinguer.

  • Speaker #3

    Non, c'est bien, c'est juste après il faut accepter la mauvaise haleine.

  • Speaker #0

    T'es pas emmerdé par l'Invisible Man avec ta concroïette ça ? Ça ou moins ?

  • Speaker #3

    Je m'en tartine en crème de nuit.

  • Speaker #0

    Tu t'en mets sous les bras. Léo, t'as une reco ? Tu veux qu'on finisse le tour de table pour y penser ?

  • Speaker #1

    Non, je peux faire une reco collective, mais je sais pas si quelqu'un voulait la faire. vas-y vas-y c'est à toi que ça revient c'est ce à quoi je pense je pense que c'est ce à quoi tu penses ben Reco Alpha de Julia Ducournau en fait je croyais que t'allais faire la Reco bloquons tout et tout j'allais dire on peut aussi bloquons tout mais quand vous écouterez l'épisode ce sera peut-être pas trop tard s'il y a encore des actions et des blocages allez-y évidemment mais oui Alpha de Julia Ducournau qui est injustement critiqué avec des critiques assez horribles quand il est sorti alors que en fait ton... on l'a toutes et tous vu là ce soir et en fait on a beaucoup aimé plein de choses oui je crois qu'elle avait besoin de nous d'ailleurs Julia c'est vrai qu'on peut dire c'est pas une partie de plaisir mais on a vraiment beaucoup aimé pour plein de raisons différentes on est content de te retrouver Julia d'ailleurs si tu veux venir donc allez voir Alpha franchement parce que ne vous laissez pas avoir par les critiques négatives Soyez curieux et curieuses

  • Speaker #0

    Et moi les gens j'étais pas dans le train de Julia Ducournau Mais là je suis dans le train Même Thomas vous vous rendez compte

  • Speaker #1

    Lui qui est le sceptique de base de Julia Ducournau Il est à fond On en parle tous les jours aussi maintenant

  • Speaker #0

    C'est vrai on va être deux maintenant Eh Julia Ducournau Alors moi je fais une petite reco Petite reco streamer Moi je vais vous recommander la chaîne de Wissam Zelka Donc Wissam, W-I-S-S-A-M, plus loin que ZLK, X-E-L-K-A, c'est un militant politique associé à Parole d'honneur, le média décolonial, c'est un militant du pire, et donc il est aussi streamer chez Zawa Prod, et il n'a pas du tout besoin de moi pour l'aider parce qu'il est hyper connu et donc il n'a pas besoin de moi pour le défendre mais je voulais juste recommander sa chaîne parce que c'est quand même bien ce qu'il fait c'est best of sur youtube il fait des super donc il fait des vidéos d'actualité tout ça mais il fait aussi des entretiens avec avec des philosophes avec des sociologues avec des féministes avec tout un tas de gens différents qui sont très très C'est très bien que ça s'appelle les WeWeTalk et surtout en ce moment il se prend une sauce de fou où il y a à peu près deux articles par semaine qui sortent pour dire que... Enfin voilà, qui sont des articles un peu racistes qui sortent pour dire qu'il parle trop fort et que c'est pas bien de dire ça. Donc voilà, je voulais vous recommander sa chaîne, c'est vachement bien. Il y a une chaîne YouTube où il y a les redifs des streams, mais sinon on peut le suivre aussi sur Twitch. Voilà, donc WeSamZK, moi j'adore. Voilà, Camille ?

  • Speaker #2

    Oui, moi ma reco c'est le reco de soutien pour le vidéoclub JM vidéo qui est venu par montée à Paris qui est un des derniers si ce n'est le dernier gros vidéoclub de la capitale et qui est en grosse difficulté financière pour vous donner une idée pour ceux qui ne connaîtraient pas ce lieu c'est le décor des interviews Vidéoclub, je crois que c'est le nom, de Combini, avec plein de stars différentes. D'ailleurs, celle avec Juliette Ducournau est super bien. Je vous la recommande aussi, j'en profite. Bref, c'est un lieu super, avec vraiment des gens hyper passionnés au cinéma, et qui, moi, m'ont recommandé mes premiers films d'horreur quand j'étais gamine. Donc, voilà, si vous pouvez les soutenir, je sais qu'il y a une cagnotte Ulule, ou alors, ils m'ont dit que, si vous êtes dans le coin, N'hésitez pas à passer pour prendre un abonnement de 10 films, comme ça ça les soutient, ça les aide.

  • Speaker #0

    Ah bah on peut faire ça, parce qu'en vrai on n'est pas très loin.

  • Speaker #2

    On mettra de toute façon la cagnotulule je pense, dans notre description. Voilà !

  • Speaker #0

    Ouais il a plein de films lui, il a plein de films. Au moins, et même ne serait-ce que de rentrer dedans et se balader dedans, c'est assez fou.

  • Speaker #1

    Les Jones, la génération TikTok par exemple, allez voir ce que c'est un vidéoclub.

  • Speaker #0

    Ah c'est bien, Léo embrasse le rôle de...

  • Speaker #2

    alors malheureusement je crois qu'ils n'ont pas le petit rideau de perles derrière lequel il faut passer pour aller dans les films interdits mais c'est au fond non mais dis pas ça aux jeunes ils sont majeurs non ? les tiktokers maintenant Bon bref

  • Speaker #0

    Camille pervertit la jeunesse

  • Speaker #2

    Tata Folding

  • Speaker #0

    Tout ça partait d'une bonne intention En attendant en vrai même si t'as pas envie de louer un film je pense que rien que d'aller dedans pour voir et regarder un peu tout ça donne de fait envie de de prendre un truc de le louer, d'essayer quoi parce que c'est quand même hyper beau à l'intérieur en tout cas tous ces vestiges,

  • Speaker #2

    ils ont plein de reflets hyper blancs vraiment pour leur donner

  • Speaker #0

    un style de film que vous aimez bien et c'est vraiment leur taf ils le font bien nous avec Diane on y a été et on avait acheté Killer Joe qu'on avait maté c'était bien on en a pas encore parlé je crois non on en a pas parlé encore on a parlé de Bug mais pas de Killer Joe bon

  • Speaker #1

    bah voilà donc cette fois-ci mais t'as fait qu'une reco ça va Thomas ?

  • Speaker #0

    bah attends je fais toujours qu'une reco ? ouais ouais je sais pas si Hollow Knight Sealsong qui est sorti mais pourquoi tu lui as dit ? je sais pas Merci. Les gens, ils savent. OK, c'est tout pour cette fois. On se retrouve dans 15 jours, mais un vrai demain. Merci de nous avoir écoutés jusqu'au bout. Mettez des likes, des j'aime.

  • Speaker #3

    Parce que les likes, c'est...

  • Speaker #0

    Des pouces, des étoiles, des trucs.

  • Speaker #2

    Et des commentaires.

  • Speaker #0

    Et des commentaires. Et abonnez-vous. abonnez-vous non comment on dit sur Instagram on s'appelle on follow ça veut dire pareil il faut nous suivre sur Instagram et Letterboxd et Letterboxd qui est à jour dont on a jamais fait la promo si si on l'avait dit on l'a dit une fois mais si vous voulez un récap facile

  • Speaker #1

    de tous les films qu'on a regardé c'est classé par saison plutôt que de fouiller dans les descriptions Spotify ou Insta vous pouvez aller sur Letterboxd et on a tout listé les films qu'on a vu sur les deux saisons pour l'instant

  • Speaker #0

    Ouais, c'est vrai que tu l'as tenu à jour ?

  • Speaker #1

    Bah ouais, j'ai mis à jour cet été quand on avait fini.

  • Speaker #0

    Et ben voilà, donc merci.

  • Speaker #3

    On rend l'antenne.

  • Speaker #1

    Ouais.

  • Speaker #0

    On rend l'antenne.

  • Speaker #2

    Ciao !

  • Speaker #1

    On l'aurait pas, non, on l'aurait pas celle-ci.

  • Speaker #2

    On la rend pas.

  • Speaker #0

    Salut. Pas grand.

Share

Embed

You may also like

Description

C'est la rentrée de l'Horreur du Dimanche !

Aujourd’hui on parle de savants fous qui n'ont plus tous les fils qui se touchent et de films horreurs.


Les films de l'épisode :

- 5'00" Minor Premise [Eric Schultz]

- 19'51" Au-delà du réel [Ken Russell]

- 41'26" Virus [Kinji Fukasaku]

- 62'13" Invisible man [Leigh Whannell]


Quelques recos (89'00") :

- Lola recommande la cancoillotte à l'ail contre la déprime de la rentrée
- Léo a vu Alpha de Julia Ducournau, et on aime toustes

- Thomas recommande la chaîne du militant politique Wissam Xelka

- Camille soutient le vidéoclub JM Vidéo, en difficulté financière, qui est un des derniers à Paris


⚠️ Attention aux spoilers ⚠️


Lien pour soutenir JM Vidéo : https://fr.ulule.com/jm-video-a-besoin-de-vous/


Réalisation et musique : Brice Thierion

Identité visuelle : Noah Ballul


Pour nous aider n'hésitez pas à nous suivre @lhorreurdudimanche, à vous abonner et à mettre des étoiles sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Podcast Addict, ...😍


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #1

    Le retour du dimanche Le retour du dimanche

  • Speaker #0

    L'horreur

  • Speaker #1

    Le retour du dimanche

  • Speaker #0

    Hello les gens, du dimanche, l'horreur du dimanche, comment ça va ?

  • Speaker #1

    l'horreur du dimanche,

  • Speaker #2

    l'horreur du dimanche.

  • Speaker #1

    A cab !

  • Speaker #0

    Hello les gens, A cab ! comment ça va ? À cab ! À cab. C'est parti. C'est parti ! Bienvenue dans l'horreur du dimanche, Bienvenue dans l'horreur du dimanche, le podcast des films qui font bader, le podcast des films qui font bader. Le podcast de la frousse molle au chaud dans son canapé. le podcast de la frousse molle au chaud dans son canapé, Le podcast blablabla. le podcast blablabla, J'écris tout avec chat GPT, j'écris tout avec chat GPT, de toute façon, de toute façon je m'en... je m'en fous. fou. Mon prompt c'était, Mon prompt, c'était écris-moi une intro en vert dans le style de François Ruffin. écris-moi une intro en vert dans le style de François Ruffin. Donc ça a fait ça. Donc ça a fait ça. Oh non !

  • Speaker #3

    François Ruffin avant ou François Ruffin maintenant ?

  • Speaker #2

    François Ruffin avant ou François Ruffin maintenant ?

  • Speaker #0

    Maintenant, Maintenant, tu sais, tu sais, il fait les rimes. il fait les rimes. Bon allez, Bon allez, on va parler un peu plus sérieux. on va parler un peu plus sérieux. Ça a été les vacances ?

  • Speaker #1

    été et vacances ?

  • Speaker #0

    Ouais. Ouais. On a bien bronzé dans les résidences secondaires. On a bien bronzé dans les résidences secondaires. Hein ?

  • Speaker #3

    Dans tous les Hilton de la Terre.

  • Speaker #2

    Dans tous les Hilton de la Terre.

  • Speaker #0

    Non en vrai je sais que vous êtes pas ce genre d'auditeur et d'auditrice En vrai, je sais que vous n'êtes pas ce genre d'auditeur et d'auditrice, Quoique quoique, Pendant notre break estival Lola m'a montré que Renaissance pendant notre break estival, Lola m'a montré que Renaissance 19ème arrondissement nous avait follow Ouais s'il vous plaît 19e arrondissement nous avait follow.

  • Speaker #2

    Je les ai bloqués

  • Speaker #1

    Je les ai bloqués

  • Speaker #2

    Cassez-vous si vous nous écoutez Arrêtez de nous écouter

  • Speaker #3

    Cassez vous si vous nous écoutez arrêtez de nous écouter

  • Speaker #0

    On est colère là Renaissance 19ème arrondissement Du coup j'ai passé Les vacances de merde Je suis en dépression et je suis reparti Dans une phase de deep introspection

  • Speaker #2

    On est colère là

  • Speaker #0

    Du coup j'ai passé Les vacances de merde Je suis en dépression Et je suis reparti dans une phase de deep introspection En me demandant si j'étais vraiment that kind of droitard. En me demandant si j'étais vraiment That kind of droitard Est-ce à cause de mes positions réactionnaires sur Spring Breakers que je n'aime pas ? Est-ce à cause de mes positions réactionnaires Sur Spring Breakers que je n'aime pas J'ai pourtant fait mon mea culpa auprès d'Harmonie Corrine. J'ai pourtant fait mon mea culpa auprès d'Harmonie Corrine Est-ce à cause de ma chronique de cranc ? Est-ce à cause de ma chronique de cranc Merci. Et c'est à cause de mon flot marinière comptoir des cotonniers ? Est-ce à cause de mon flot marinière comptoir des cotonniers ? Je vois pas le problème. Je vois pas le problème.

  • Speaker #1

    Je pense que c'est parce qu'on a parlé de Christian Clavier. Je pense que c'est parce qu'on a parlé de Christian Clavier.

  • Speaker #0

    Peut-être.

  • Speaker #1

    Peut-être.

  • Speaker #0

    Ah j'avais pas pensé. Ah, j'avais pas pensé.

  • Speaker #1

    Ça leur a mis la puce à l'oreille. Ça leur a mis la puce à l'oreille.

  • Speaker #3

    Le C.

  • Speaker #2

    Le C.

  • Speaker #0

    Est-ce à cause de la énième startup Floppes ayant bénéficié de cadeaux fiscaux montés par Camille ? Est-ce à cause de la énième start-up Floppes qui ayant bénéficié de cadeaux fiscaux montés par Camille ? Est-ce à cause...

  • Speaker #1

    D'accord.

  • Speaker #0

    Gratuit ! Attends Camille, on sait tous, l'auto-entreprise, Est-ce à cause de Lola qui n'a pas de carte vitale tant elle ne veut pas creuser la dette ? on sait tous ce que ça veut dire. Est-ce à cause de Lola qui n'a pas de carte vitale tant elle ne veut pas creuser la dette ? Elle préfère data-miner ? Elle préfère data miner ? Putain mon micro se barre ! Putain, mon micro se barre. Est-ce à cause du t-shirt Queen B for Brigitte arboré par Léo à chaque enregistrement ? Est-ce à cause du t-shirt Queen Bee for Brigitte arboré par Léo à chaque enregistrement ?

  • Speaker #3

    Ah putain,

  • Speaker #2

    Putain mais faut pas le dire ça les gens le voient pas

  • Speaker #3

    mais faut pas le dire, ça les gens le voient pas.

  • Speaker #2

    Renaissance 19 le sait Ils sont par la fenêtre ils nous voient là comme ça

  • Speaker #1

    Renaissance 19 le sait apparemment.

  • Speaker #3

    Ils sont par la fenêtre, ils nous voient là, comme ça.

  • Speaker #0

    Franchement je vois toujours pas le problème Franchement, je vois toujours pas le problème. Bon, Bon je ne peux pas fake plus longtemps Les gens de Renaissance vous pouvez nous écouter je ne peux pas fake plus longtemps, les gens de Renaissance, vous pouvez nous écouter pour devenir meilleurs, Pour devenir meilleur, il n'y a pas de problème. il n'y a pas de problème, Moi, moi je suis pour vous aider à sortir de votre sauce. je suis pour vous aider à sortir de votre sauce. Par contre SVP, Par contre, SVP, venez pas nous follow, venez pas nous follow, c'est gênant et ça me nique mes vacances. c'est gênant et ça me nique mes vacances.

  • Speaker #3

    Ne nous mettez pas dans cette position par rapport aux gens qui nous suivent.

  • Speaker #2

    Ne nous mettez pas dans cette position par rapport aux gens qui nous suivent.

  • Speaker #0

    Et puis après je suis obligé de reprendre mes gouttes.

  • Speaker #2

    Et puis après,

  • Speaker #0

    je suis obligé de reprendre mes gouttes. Ceci étant dit... Ceci étant dit...

  • Speaker #3

    On a une réputation à dire.

  • Speaker #2

    On a une réputation à dire.

  • Speaker #1

    De l'homéopathie. De l'homéopathie, Et voilà. et voilà.

  • Speaker #0

    Ceci étant dit, Ceci étant dit, du coup, du coup c'est l'épisode de la rentrée. c'est l'épisode de la rentrée. Donc le thème, Donc le thème, parce qu'on est des oufs, parce qu'on est des oufs, c'est physique-chimie. c'est physique-chimie. Bon alors vas-y, Bon, alors, il y a une anecdote. Le thème, c'est pas con. Anecdote, anecdote, parce qu'en vrai, parce qu'en vrai c'est un peu un trauma. c'est un peu un trauma. Quand j'étais au lycée, Quand j'étais au lycée, j'avais une prof de physique chimique qui s'appelait Madame L. j'avais une prof de physique chimique qui s'appelait Madame L, Je ne sais pas si j'ai le droit de la doxer ou pas. je sais pas si j'ai le droit de la doxer ou pas, De toute façon, de toute façon elle se reconnaîtra parce qu'elle doit sûrement nous écouter. elle se reconnaîtra parce qu'elle doit sûrement nous écouter. Et bien Madame L, Madame L, quand j'arrivais en cours en retard et sans blouse, quand j'arrivais en cours en retard et sans blouse, elle me disait elle me disait « pas de blouse, « pas de blouse, pas de manipulation » . pas de manipulation » .

  • Speaker #3

    Elle avait l'accent du sud ?

  • Speaker #2

    Elle avait l'accent du Sud ?

  • Speaker #0

    Elle avait un accent bizarre, Exact, elle avait un accent bizarre en fait, en fait. c'était un mélange d'accent du sud et peut-être basque un peu, C'était un mélange d'accent du Sud et peut-être basque, je sais pas. je ne sais pas. Et du coup j'y repense souvent dans mon boulot aujourd'hui, Du coup, j'y repense souvent dans mon boulot aujourd'hui. pas de blouse, Pas de blouse, pas de manipulation. pas de manipulation. Et puis elle avait aussi une belle analyse de la société patriarcale dont elle nous a fait part une fois. et puis elle avait aussi une belle analyse de la société patriarcale dont elle nous a fait part une fois donc je cite madame L les électrons c'est comme les hommes ils n'aiment pas être seuls bon voilà ça suffit comme justification pour pour ce Donc je cite Madame L. Les électrons c'est comme les hommes, ils n'aiment pas être seuls. Bon voilà, ça suffit comme justification pour... Pour ce thème, thème tu vois tu as retenu un très beau dicton les électrons ça va les copains sinon la frite moi la frite l'Afrique.

  • Speaker #1

    tu vois tu as retenu.

  • Speaker #3

    C'est un très beau dicton.

  • Speaker #2

    Les électrons.

  • Speaker #0

    Ça va les copains sinon ? Lélé, la frite ?

  • Speaker #3

    Moi la frite. La Frite au Max, on a mangé des frites en manif aujourd'hui donc c'était super.

  • Speaker #2

    On a mangé des frites en manif aujourd'hui, donc c'était super.

  • Speaker #0

    D'ailleurs j'aime bien, D'ailleurs, j'aime bien, t'as appelé Lélé la frite, t'as appelé Lélé la frite. je trouve que ça sonne bien. Je trouve que ça sonne bien. Continue si tu veux.

  • Speaker #3

    Continue si tu veux.

  • Speaker #0

    Camille ! Camille !

  • Speaker #3

    C'est un AVC ou du DJing ?

  • Speaker #2

    C'est un AVC ou du DJing ?

  • Speaker #3

    On sait pas trop.

  • Speaker #2

    On sait pas trop.

  • Speaker #1

    Ça va Camille ?

  • Speaker #0

    Ça va Camille ? ça va super je suis trop contente d'être avec vous t'étais team Ellipse ou Manuata on en a pas parlé les deux t'étais les deux j'ai pas regardé tous les ans je me disais c'est pour ça je te posais la question moi j'étais pour les deux t'étais pour les deux pour la France en général t'étais pas déçue et

  • Speaker #1

    Ça va super, je suis trop contente d'être avec vous.

  • Speaker #0

    T'étais team Ellipse ou Manuata ? On en a pas parlé.

  • Speaker #1

    J'ai pas regardé !

  • Speaker #0

    je me disais c'est pour ça que je te posais la question moi j'étais pour les deux t'étais pour les deux ouais pour la France en général t'es pas déçu et Lola ouais tranquille ouais pas de migal dans ton PQ pendant ses vacances non ça a été, Lola tranquille pas de migal dans ton PQ pendant ses vacances non ça a été je n'avais pas là où j'étais de PQ ouais donc ça c'est ça c'est une anecdote private joke et d'ailleurs quand on deviendra payant on fera payer cette anecdote

  • Speaker #2

    il y en avait pas là où j'étais de PQ ?

  • Speaker #0

    donc ça c'est une anecdote private joke et d'ailleurs quand on deviendra payant on fera payer cette anecdote en podcast et à la technique c'est vraiment un business model ça et à la technique c'est toujours le règne du despote Brice Thirion d'ailleurs j'ai un message pour toi et à la technique c'est vraiment un business model ça et à la technique c'est toujours le règne du despote Brice Thirion d'ailleurs j'ai un message pour toi Thirion démission

  • Speaker #1

    Thirion !

  • Speaker #0

    démission Tyrion explosion Thirion explosion Thirion putain explosion bravo c'est super voilà l'horreur du dimanche épisode 57 c'est parti c'est maintenant Tyrion putain il a fait le putain explosion bravo c'est super voilà putain l'horreur du dimanche épisode 57 c'est parti c'est maintenant et bah on continue Et on commence tout de suite avec le premier film de l'épisode, On commence tout de suite avec le premier film de l'épisode, c'est moi, c'est moi, c'est moi, c'est moi, c'est moi. c'est moi. C'est mineur prémise le film. C'est minor prémise le film.

  • Speaker #2

    Ouais bah,

  • Speaker #3

    Ouais bah au lieu de dire c'est moi,

  • Speaker #2

    au lieu de dire c'est moi, c'est moi,

  • Speaker #3

    c'est moi,

  • Speaker #2

    c'est moi.

  • Speaker #3

    c'est moi.

  • Speaker #0

    C'est mineur prémise. C'est minor prémise. Ok,

  • Speaker #3

    Ok,

  • Speaker #2

    donc on a la section 1,

  • Speaker #3

    donc on a la section 1, l'anxiété,

  • Speaker #0

    l'anxiété,

  • Speaker #3

    puis l'angoisse.

  • Speaker #2

    puis l'angoisse.

  • Speaker #1

    La section 5 est l'intellect. La section 5 est l'intellect.

  • Speaker #0

    Au lieu de supprimer mes émotions compétentes, Au lieu de supprimer mes émotions compétentes, il me semble qu'on les a isolées. il me semble qu'on les a isolées.

  • Speaker #1

    Et la section 9... Et la section 9... Euphoria.

  • Speaker #0

    Euphoria.

  • Speaker #2

    Donc on a juste besoin de la section

  • Speaker #3

    Donc on a juste besoin de la section

  • Speaker #1

    8. Qui est ce gars ? 8. Qui est ce gars ?

  • Speaker #0

    Et oui, Eh oui, et oui, eh oui, et oui, eh oui ! Minor Premise, Minor Premise, film réalisé par film réalisé par Eric Schultz, Eric Schultz. Et c'est le seul et unique long métrage à ce jour réalisé par ce monsieur. et c'est le seul et unique long métrage à ce jour réalisé par ce monsieur. Film qui n'a pas coûté très cher. Film qui n'a pas coûté très cher, Moins d'un million, moins d'un million je crois, je crois. Deux dollars. deux dollars, Et le film met en scène et le film met en scène Satya Sridharan dans le rôle d'Ethan. Satya Sridharan dans le rôle d'Ethan. Alors cet acteur, Alors cet acteur, je ne peux pas vous donner de... je ne peux pas vous donner de... Il n'a pas de fiche Wikipédia, Il n'a pas de fiche Wikipédia, donc je ne peux pas vous dire ce qu'il a fait d'autre. donc... Je ne vais pas vous dire ce qu'il a fait d'autre. Peyton Ashbrook, Peyton Ashbrook, qui joue le rôle de Ali, qui joue le rôle d'Ali. et Et Dana Ashbrook, Dana Ashbrook, qui joue le rôle de Malcolm. qui joue le rôle de Malcolm. Lui, Lui, il a joué un rôle de figuration dans l'attaque des tomates tueuses. il a joué un rôle de figuration dans l'attaque des tomates tueuses.

  • Speaker #2

    Ah,

  • Speaker #3

    Moi,

  • Speaker #2

    moi, je connaissais l'attaque de la moussaka géante,

  • Speaker #3

    je connaissais l'attaque de la moussaka géante, mais pas des tomates tueuses.

  • Speaker #2

    mais pas des tomates tueuses.

  • Speaker #3

    Ah si,

  • Speaker #0

    Ah si, si, si, je crois que c'est avec George Clooney. je crois que c'est avec Georges Clooney. Super. Super. Donc, Donc, Minor Prémise, Minor Premise, ça raconte l'histoire d'Ethan. ça raconte l'histoire d'Ethan, Alors, je ne sais plus son nom de famille, je ne sais plus son nom de famille. petit prodige des neurosciences, Petit prodige des neurosciences, fils de Paul, fils de Paul, je ne sais plus son nom de famille non plus. je ne sais plus son nom de famille non plus. Au moment où j'ai écrit ces lignes, au moment où j'ai écrit ces lignes j'ai pas retrouvé la section mémoire qui est associée exactement, je n'ai pas retrouvé.

  • Speaker #3

    La section mémoire qui est associée.

  • Speaker #0

    Exactement. Et avec son daddy, et avec son daddy Ethan a inventé une machine pour traiter les informations produites par le cerveau lors d'un effort de remémoration afin de voir se matérialiser devant les yeux ébahis des investisseurs nos souvenirs en Ethan a inventé une machine pour traiter les informations produites par le cerveau lors d'un effort de remémoration afin de voir se matérialiser devant les yeux ébahis des investisseurs nos souvenirs en 480p sur un écran. 480p sur un écran alors à quoi ça sert tout ça alors qu'on fait de la 4K avec un iPhone et bien a priori ça permettrait d'effacer les 10 ou Alors, à quoi ça sert tout ça alors qu'on fait de la 4K avec un iPhone ? Eh bien, a priori, ça permettrait d'effacer les dix souvenirs et aussi de modifier la personnalité des gens. venir et aussi de modifier la personnalité des gens et ça j'ai pas trop compris comment et bon voilà alors Ethan Miskin il a perdu son père et il y a peu et du coup sa vie maintenant c'est un peu d'être un gros connard avec tout le monde donc avec ses étudiants qui l'engueulent parce qu'ils osent le critiquer sur le fait que ses ambitions avec Et ça, je n'ai pas trop compris comment. Et bon, voilà. Alors, Ethan Miskin, il a perdu son père. Et il y a peu. Et du coup, sa vie maintenant, c'est un peu d'être un gros connard avec tout le monde. Donc, avec ses étudiants qui l'engueulent parce qu'ils osent le critiquer sur le fait que ses ambitions avec sa nouvelle machine de con... sa nouvelle machine de con, il veut devenir Elon Musk donc il trouve ça un peu problématique il engueule aussi son ex Ali dont on comprend pourquoi elle a bien fait de se barrer Oui. Il veut devenir Elon Musk, donc il trouve ça un peu problématique. Il engueule aussi son ex, Ali, dont on comprend pourquoi elle a bien fait de se barrer. Et puis, Et puis, il engueule aussi son investisseur, il engueule aussi son investisseur, agent, agent, collaborateur Malcolm, collaborateur, Malcolm, qui a de toute façon, qui a de toute façon, lui aussi, lui aussi, d'être un maxi connard. d'être un maxi-cona. Et donc, Et donc, quand il se comporte pas mal avec tout le monde, quand il se comporte pas mal avec tout le monde, il kill des bouteilles de Jack Daniels. il kill des bouteilles de Jack Daniels. Et donc, Et donc, un soir, un soir, alors qu'il est bien bourré... alors qu'il est bien bourré, il se passe dans sa machine parce qu'il veut booster son intellect et sa productivité. il se passe dans sa machine parce qu'il veut booster son intellect et sa productivité. Et au lieu d'obtenir l'effet escompté, Et au lieu d'obtenir l'effet escompté, il se retrouve dissocié. il se retrouve dissocié. C'est-à-dire que toutes les trois minutes, C'est-à-dire que toutes les 3 minutes... il est habité par une... Six minutes. Ah oui, c'est six minutes, pardon. Elle a bien fait son train. Toutes les six minutes, Il est habité par une nouvelle facette de sa psyché, il est habité par une nouvelle facette de sa psyché fragmentée en huit ou neuf, fragmentée en à peu près, 8 ou 9. je ne sais plus. 9. Merci Camille qui a pris des notes Merci Camille qui a pris des notes. Et donc aidé par son ex Ali avec laquelle il se comportera Et donc, aidé par son ex, Ali, avec laquelle il se comportera de bout en bout comme un gros connard, De bout en bout comme un gros connard Il devra tenter de trouver la solution De l'équation qui permettra il devra tenter de trouver la solution de l'équation qui permettra sa réintégration. Sa réintégration Qui lui permettra de revenir une seule et unique personne Un gros connard qui lui permettra de revenir une seule et unique personne.

  • Speaker #2

    Un gros connard.

  • Speaker #0

    Et d'ailleurs, Et d'ailleurs c'est à mon sens La question posée par le film Est-ce qu'être un gros connard C'est un tout ou la somme De plusieurs fragments de connards c'est à mon sens la question posée par le film. Est-ce qu'être un gros connard, c'est un tout, ou la somme de plusieurs fragments de connards ? Eh bien, Eh bien, j'ai donc la réponse. j'ai donc la réponse. Ethan agressif est un connard. Ethan agressif est un connard, Ethan euphorique est un connard. Ethan euphorique est un connard, Ethan intello est un connard. Ethan intello est un connard, Ethan créatif est un connard qui dessine par terre. Ethan créatif est un connard qui dessine par terre. Ethan... Enfin bref, Enfin bref, vous avez compris. vous avez compris. Donc, donc le film est une espèce de de le film est une espèce de... De Nolan, De Nolan dans le montage et dans le choix de l'intrigue. dans le montage et dans le choix de l'intrigue, Un peu moins cher. un peu moins cher. Mais en vrai, Mais en vrai, ça passe, ça passe, ça m'a diverti. ça m'a diverti. Parce que moi, Parce que moi, d'une manière générale, d'une manière générale, c'est vrai que j'ai toujours tendance à apprécier, c'est vrai que j'ai toujours tendance à apprécier... de manière un petit peu, de manière un peu... peut-être, voilà, je suis un peu client, Je suis un peu client. quoi. J'aime toujours bien les films qui essayent de faire beaucoup avec peu, J'aime toujours bien les films qui essayent de faire beaucoup avec peu, avec peu de moyens. avec peu de moyens. Et autre point intéressant, Et autre point intéressant, mais bon, mais qui reste quand même du défonçage de porte ouverte, qui reste quand même du défonçage de porte ouverte. Il y a une forme de convergence formelle entre ce qui se passe à l'intérieur du personnage et à l'extérieur. il y a une forme de convergence formelle entre ce qui se passe à l'intérieur du personnage et à l'extérieur. Il est un peu enfermé à l'intérieur de son appartement. Il est un peu enfermé à l'intérieur de son appartement. Voilà, bon, bon c'est pas terrible, c'est pas terrible, ça fait pas un film mais en tout cas moi ça en fait un thriller divertissant d'une heure trente et voilà et voilà j'ai pas spécialement envie de le défendre mais j'ai pas spécialement envie de le défoncer non plus je trouve le film un bon divertissement et ça fait pas un film. Mais en tout cas, moi, ça en fait un thriller divertissant d'une heure trente. Et voilà, j'ai pas spécialement envie de le défendre. Mais j'ai pas spécialement envie de le défoncer non plus. Je trouve le film un bon divertissement. Et je trouve que, je trouve que en fait ça me fait plaisir de voir quelqu'un qui essaye et qui essaye d'aller un peu au bout de ce qu'il a envie de faire et voilà donc pourquoi pas en fait, ça me fait plaisir de voir quelqu'un qui essaye et qui essaye d'aller un peu au bout de ce qu'il a envie de faire. Et voilà. Mais donc, pourquoi pas ? Par contre, Par contre, c'est vrai que, c'est vrai que... ouais, bon, Vous parlez du personnage d'Ethan qui est insupportable de bout en bout. parler du personnage d'Ethan qui est insupportable de bout en bout. Voilà. Vous en avez pensé quoi ? Vous en avez pensé quoi ? Allez-y, Allez-y, vous pouvez... vous pouvez...

  • Speaker #3

    Ouais. Moi, je suis...

  • Speaker #2

    Moi, je suis d'accord avec toi.

  • Speaker #3

    Non, je suis d'accord avec toi.

  • Speaker #2

    Par contre,

  • Speaker #3

    Par contre,

  • Speaker #2

    Tabuz,

  • Speaker #3

    Tabuz,

  • Speaker #2

    il a une page Wikipédia,

  • Speaker #3

    il a une page Wikipédia,

  • Speaker #2

    Satya

  • Speaker #3

    Satya

  • Speaker #2

    Sridharan. Écoute,

  • Speaker #0

    Sridharan. Eh ben, écoute, sur le Wiki français, sur le Wiki français, il n'en a pas. il n'en a pas.

  • Speaker #2

    J'ai un VPN.

  • Speaker #3

    J'ai un VPN.

  • Speaker #0

    Ah ok ok ok.

  • Speaker #3

    C'est la queue ça.

  • Speaker #2

    Il accuse.

  • Speaker #3

    Il a quand même eu des tout petits rôles avant.

  • Speaker #2

    Il a quand même eu des tout petits rôles avant.

  • Speaker #3

    Mais ouais moi je trouve que pour une production plutôt fauchée,

  • Speaker #2

    Je trouve que pour une production de plutôt fauché, tu l'as dit.

  • Speaker #3

    tu l'as dit.

  • Speaker #0

    Et puis lui il est bien comme acteur en vrai. Et puis lui, il est bien comme acteur. Oui,

  • Speaker #3

    Ouais il est très bien et moi j'ai trouvé ça vraiment pas mal,

  • Speaker #2

    il est très bien. Moi, j'ai trouvé ça vraiment pas mal. Comme tu dis,

  • Speaker #3

    comme tu dis c'est un bon divertissement.

  • Speaker #2

    c'est un bon divertissement.

  • Speaker #3

    Il y a cette construction non linéaire qu'on a déjà vue,

  • Speaker #2

    Il y a cette construction non linéaire qu'on a déjà vue. Tu disais Nolan,

  • Speaker #3

    tu disais Nolan effectivement.

  • Speaker #2

    effectivement.

  • Speaker #3

    surtout dans ce genre de film mais je trouve que ça fonctionne comme tu dis il va au bout de son truc on sent qu'il avait envie de parler de ça et puis surtout sur le côté scientifique je sais que ça

  • Speaker #2

    Surtout dans ce genre de film. Mais je trouve que ça fonctionne. Comme tu dis, il va au bout de son truc. On sent qu'il avait envie de parler de ça. Et puis, surtout sur le côté scientifique, je sais que ça lui tenait vachement à cœur de travailler ce côté-là.

  • Speaker #3

    lui tenait vachement à coeur de travailler ce côté là du coup ça en fait un résultat un peu verbeux peut-être un peu trop scientifique parfois parce qu'on comprend pas tout un peu jargonneux mais

  • Speaker #2

    Du coup, ça en fait un résultat un peu verbeux, peut-être un peu trop scientifique parfois parce qu'on ne comprend pas tout.

  • Speaker #0

    Un peu jargonneux, oui.

  • Speaker #3

    Et mais...

  • Speaker #2

    Mais je trouve qu'une fois qu'on a passé ça et qu'on se dit de toute façon,

  • Speaker #3

    Je trouve qu'une fois qu'on a passé ça et qu'on se dit de toute façon je comprends pas et on sait même pas si c'est vrai ou si c'est possible,

  • Speaker #2

    je ne comprends pas et on ne sait même pas si c'est vrai ou si c'est possible.

  • Speaker #3

    ça passe.

  • Speaker #2

    Ça passe.

  • Speaker #3

    Donc moi je trouve que ça se regarde vraiment facilement,

  • Speaker #2

    Donc, moi, je trouve que ça se regarde vraiment facilement.

  • Speaker #3

    j'ai passé un bon moment.

  • Speaker #2

    J'ai passé un bon moment.

  • Speaker #0

    Oui, Ouais mais c'est vrai, mais c'est vrai, il y a un truc, il y a un truc... Pardon Léo, pardon Léo, je te laisse. je te laisse, Je rebondis juste sur ce que Lola disait. je rebondis juste sur ce que Lola disait, C'est vrai, c'est vrai il y a un truc que je trouve ok dans la facture du film, il y a un truc que je trouve OK dans la facture du film et tout. C'est le côté un peu reproduction d'interface et de logiciel, c'est le côté un peu... reproduction d'interface et de logiciels, d'ordinateur. l'importance accordée au jargon et à la reconstitution de l'environnement que pourrait être une espèce de labo clandestin dans un appartement comme il a. L'importance accordée au jargon et à la reconstitution de l'environnement que pourrait être une espèce de labo clandestin dans un appartement comme il a. Je trouve que ça, Je trouve que ça, c'est un peu crédible. c'est un peu crédible. Oui, Oui,

  • Speaker #2

    mais il a bossé avec deux autres scénaristes qui ont vraiment travaillé là-dessus.

  • Speaker #3

    mais il a bossé avec deux autres scénaristes qui ont vraiment travaillé là-dessus.

  • Speaker #2

    Donc vraiment,

  • Speaker #3

    Vraiment,

  • Speaker #2

    ça lui naît à cœur qu'on ait ce ressenti de...

  • Speaker #3

    ça lui naît à cœur qu'on ait ce ressenti de...

  • Speaker #2

    On ne comprend pas de quoi il parle.

  • Speaker #3

    On ne comprend pas de quoi il parle.

  • Speaker #2

    Et c'est plutôt pointu,

  • Speaker #3

    C'est plutôt pointu,

  • Speaker #2

    en fait, d'après ce que j'ai compris.

  • Speaker #3

    d'après ce que j'ai compris.

  • Speaker #0

    Et ça rejoint... Et ça rejoint... Pardon encore, Pardon encore, je suis désolé. je suis désolé. En fait, En fait, ça rejoint un petit peu parce que mon choix initial de film, ça rejoint un petit peu parce que mon choix initial de film, c'est un film qui s'appelle Primer, c'est un film qui s'appelle Primer, qui n'est pas du tout un film d'horreur. qui n'est pas du tout un film d'horreur. Encore moins un film de genre, Encore moins un film de genre, qui est quasiment un film... qui est quasiment un film... C'est de la hard Hard SF. C'est un film avec des gens qui parlent de maths et de physique pendant 1h30, SF, quoi. C'est un film avec des gens qui parlent de maths et de physique pendant 1h30, donc c'est extrêmement chiant. donc c'est extrêmement chiant. Et c'est des gens qui inventent un truc qui remonte dans le temps. Et c'est des gens, en fait, qui inventent un truc qui remonte dans le temps. Voilà, Une machine qui remonte dans le temps, une machine qui remonte dans le temps, mais c'est abordé sous l'angle absolument pas sexy du voyage dans le temps. mais c'est abordé... sous l'angle absolument pas sexy du Voyage dans le temps. C'est des gens dans un garage qui parlent de maths et qui se rendent compte qu'il y a des implications potentielles de leur travail. C'est les gens dans un garage qui parlent de maths et qui se rendent compte qu'il y a des implications potentielles de leur travail. C'est un film un peu connu, C'est un film un peu connu, un dé un peu connu. C'est extrêmement chiant. c'est extrêmement chiant. Donc, Donc je voulais pas vous l'infiler. je ne voulais pas vous l'infliger. Mais du coup, Mais du coup... le choix annexe de mineur-premise c'était dans l'état d'esprit de reconstitution le côté huis clos du scientifique fou, le choix annexe de Minor Premise, c'était dans l'état d'esprit de truc un peu de reconstitution.

  • Speaker #2

    Le côté huis clos du scientifique fou,

  • Speaker #3

    moi ça m'a fait penser à Ex Machina de

  • Speaker #2

    moi, ça m'a fait penser à... Ex Machina de Garland, un peu au début,

  • Speaker #3

    Garland, un peu au début,

  • Speaker #2

    après ça s'arrête là.

  • Speaker #3

    après ça s'arrête là en moins cher mais cette démarche un peu film indé thriller SF en huis clos chez un scientifique fou qui crée une machine qui se retourne un peu contre lui en tout cas et

  • Speaker #0

    En moins cher aussi.

  • Speaker #2

    En moins cher, mais cette démarche un peu film indé, thriller SF en huis clos, chez un scientifique fou qui crée une machine qui se retourne un peu contre lui, en tout cas.

  • Speaker #3

    Oui c'était divertissant,

  • Speaker #2

    Oui, c'était divertissant.

  • Speaker #3

    je trouve que c'est plutôt pas mal pour ce que ça propose puisqu'un thriller

  • Speaker #2

    Je trouve que c'est plutôt pas mal pour ce que ça propose, parce qu'un thriller SF tourné avec une personnalité splitée en huit,

  • Speaker #3

    SF tourné avec une personnalité splitée en 8, enfin le concept est sympa.

  • Speaker #2

    le concept est sympa.

  • Speaker #3

    Ah oui en 8,

  • Speaker #2

    t'as raison, il y a lui plus 8.

  • Speaker #0

    Attends elle a dit 9,

  • Speaker #2

    il y a lui plus il a dit 9 ça fait 9 dont lui et après oui sur le côté personnage connard oui et intelligence émotionnelle vraiment naze moi

  • Speaker #3

    t'as mis le temps.

  • Speaker #2

    Oui mais ça fait 9,

  • Speaker #1

    dont lui.

  • Speaker #3

    Vous voyez on s'y perd. Et après oui sur le côté personnage connard, oui, et intelligence émotionnelle vraiment naze. Moi je trouve que Vice Versa fait mieux le taf pour parler de la gestion des émotions dans le cerveau que Minor Premise.

  • Speaker #2

    je trouve que vice versa fait mieux le taf pour parler de la gestion des émotions dans le cerveau que Maynard Prémix

  • Speaker #0

    C'est vrai, c'est vrai.

  • Speaker #3

    Mais non,

  • Speaker #2

    Mais non, sinon ça se regarde quand même bien et il y a des trucs sympas même au niveau de la forme et tout.

  • Speaker #3

    sinon ça se regarde quand même bien et il y a des trucs sympas même au niveau de la forme et tout.

  • Speaker #2

    C'est un bon petit film.

  • Speaker #3

    C'est un bon petit film.

  • Speaker #0

    C'est pas déshonorant. C'est pas déshonorant.

  • Speaker #3

    C'est pas déshonorant,

  • Speaker #2

    C'est pas déshonorant, non.

  • Speaker #3

    non.

  • Speaker #2

    Voilà,

  • Speaker #3

    Voilà,

  • Speaker #2

    faut pas y chercher un propos très abouti sur par contre l'aspect psychologique.

  • Speaker #3

    faut pas y chercher un propos très abouti sur par contre l'aspect psychologique. Peut-être que l'aspect scientifique de cette machine,

  • Speaker #2

    Peut-être que l'aspect scientifique de cette machine, j'en sais rien,

  • Speaker #3

    j'en sais rien.

  • Speaker #2

    est réel. Un réel ancrage,

  • Speaker #0

    un réel ancrage mais sinon pour le reste j'ai trouvé ça un petit peu rigolo il y a le fait que cette machine soit quand même développée pour augmenter la productivité de l'humain c'est quand même naze moi j'étais un peu déçue

  • Speaker #2

    mais sinon, pour le reste, j'ai trouvé ça un petit peu rigolo.

  • Speaker #0

    Il y a le fait que cette machine soit quand même développée pour augmenter la productivité de l'humain. C'est quand même naze.

  • Speaker #1

    Moi, j'étais un peu déçue. je m'attendais pas à grand chose mais j'avoue que t'as eu moins de grand chose je trouvais l'affiche très belle en fait avec ces glitchs là et moi je pensais qu'on allait avoir des glitchs et de la couleur dans le film Je ne m'attendais pas à grand-chose, mais j'avoue que...

  • Speaker #0

    Mais tu as eu moins de grand-chose.

  • Speaker #1

    Je trouvais l'affiche très belle, en fait, avec ces glitchs-là. Et moi, je pensais qu'on allait avoir des glitchs et de la couleur dans le film. Il y a pas. Il y a pas.

  • Speaker #3

    C'est un appart de couleur marron.

  • Speaker #2

    C'est un appart couleur marron.

  • Speaker #0

    Le filtre sépia est midi le dépanne. Le filtre sépia est midi.

  • Speaker #1

    C'est ça, C'est ça, il a un t-shirt gris qui est de plus en plus transpirant. il a un t-shirt gris qui est de plus en plus transpirant. Bon, Bon, moi j'avoue que ce film, moi j'avoue que ce film, je pense qu'il va passer peut-être dans la poubelle de mon cerveau, je pense qu'il va passer peut-être dans la poubelle de mon cerveau,

  • Speaker #0

    dans le sens où je trouve que,

  • Speaker #1

    dans le sens où... Comme tu as dit, comme t'as dit Nolan, Nolan, on va parler dans quelques épisodes d'un film de Nolan qui fait beaucoup mieux le travail. on va parler dans quelques épisodes d'un film de Nolan qui fait beaucoup mieux le travail. Je trouve qu'effectivement, Je trouve que le sujet n'est pas inintéressant, le sujet n'est pas inintéressant. cette volonté de diviser l'esprit en plusieurs sections, Cette volonté de diviser l'esprit en plusieurs sections, pourquoi pas, pourquoi pas, et tout ça. et tout ça. Moi, Moi, c'est des choses qui peuvent me parler, c'est des choses qui peuvent me parler, mais le manque d'images de ces sections vient complètement annuler, mais le manque d'images de ces sections... Oui,

  • Speaker #3

    je suis d'accord.

  • Speaker #1

    vient complètement annuler pour moi l'intérêt. pour moi, l'intérêt. Parce que du coup, Parce que du coup, on est juste sur un peu un jeu d'acteur avec cet acteur qui essaye de tenir le truc de bout en bout. on est juste sur un peu un jeu d'acteur, avec cet acteur qui essaye de tenir le truc de bout en bout.

  • Speaker #3

    Il s'en sort pas trop mal.

  • Speaker #1

    Il s'en sort pas trop mal, Il s'en sort pas trop mal, mais c'est pas non plus... mais c'est pas non plus...

  • Speaker #0

    C'est pas Christian Clavier. C'est pas Christian Clavier quoi ?

  • Speaker #1

    Je peux faire Splits. Je préfère Splits.

  • Speaker #2

    Arrête,

  • Speaker #1

    Arrête, Renaissance va revenir. Renaissance va revenir. On aura le On aura le 20ème qui va venir cette fois-ci. 20ème qui va venir cette fois-ci. Ne venez pas. Ne venez pas. Et du coup, Et du coup, moi, j'avoue que je me suis un peu ennuyée. j'avoue que je me suis un peu ennuyée. Je trouvais que ça parlait effectivement beaucoup. Je trouvais que ça parlait effectivement beaucoup. Voilà. Bon, Ça a le mérite d'être court. ça a le mérite d'être court. Une heure trente. Une heure trente.

  • Speaker #2

    Je suis grave d'accord avec toi.

  • Speaker #3

    Je suis grave d'accord avec toi.

  • Speaker #2

    En fait, moi, j'avais envie de voir plusieurs scènes sur les autres sections.

  • Speaker #3

    J'avais envie de voir plusieurs scènes sur les autres sections.

  • Speaker #1

    Oui, Oui, parce qu'à part fumer des clopes, parce qu'à part fumer des clopes, la section du mal, la section du mal, je ne vois pas... là, je ne vois pas...

  • Speaker #2

    La section des clopes,

  • Speaker #3

    Les clopes,

  • Speaker #0

    c'est mal. c'est mal. Ça baisse la productivité psychotique. Ça baisse la productivité psychotique. Ça fait faire des pauses.

  • Speaker #2

    J'avoue que j'avais peur que ça se finisse trop bien.

  • Speaker #3

    J'avoue que j'avais peur que ça se finisse trop bien.

  • Speaker #2

    Et j'aime bien la fin,

  • Speaker #3

    J'aime bien la fin.

  • Speaker #2

    qui est un peu facile,

  • Speaker #3

    Qui est un peu facile, mais j'étais un peu contente.

  • Speaker #2

    mais j'étais un peu contente.

  • Speaker #1

    Oui. Oui.

  • Speaker #2

    Je me souviens pas de la...

  • Speaker #3

    Je ne me souviens pas de la...

  • Speaker #1

    Bah si, Il fume une clope.

  • Speaker #3

    il fumait une clope. Ah oui,

  • Speaker #2

    Ah oui c'est vrai,

  • Speaker #3

    c'est vrai.

  • Speaker #2

    ok.

  • Speaker #1

    Il fume une clope. Il fumait une clope et là on sait que le tabac... Et là, on sait que... Et là on sait que...

  • Speaker #3

    C'est vrai.

  • Speaker #2

    C'est vrai.

  • Speaker #3

    Talala.

  • Speaker #0

    On ne sait pas. Justement, on sait pas, Est-ce qu'il a repris le tabac parce qu'il était stressé ? est-ce qu'il a repris le tabac parce qu'il était stressé ou est-ce que...

  • Speaker #1

    Je ne sais pas. Je sais pas, il boit ce truc toute la journée, Il boit ce truc toute la journée, de la de whisky. du whisky, mais moi j'y crois pas trop. Mais moi, je n'y crois pas trop. Ce truc. Ce truc...

  • Speaker #2

    C'est de l'ICT,

  • Speaker #1

    C'est de l'ICT je pense. je pense. Non, Non, ça m'agace. ça m'agace.

  • Speaker #0

    C'est parce qu'il est torturé. C'est parce qu'il est torturé. Oui, Oui, oui.

  • Speaker #2

    oui,

  • Speaker #0

    oui. Donc pour montrer qu'un personnage est torturé... Pour montrer qu'un personnage est torturé,

  • Speaker #1

    On lui fait boire du whisky.

  • Speaker #0

    on lui fait boire du whisky. On lui fait boire du whisky.

  • Speaker #3

    Oui, oui. Et puis, c'est son ex qui revient pour lui résoudre tous ses problèmes psychologiques.

  • Speaker #2

    c'est son ex qui revient pour lui résoudre tous ses problèmes psychologiques mais elle elle a

  • Speaker #3

    Mais elle,

  • Speaker #0

    elle a... elle, elle, j'ai tellement pas compris pourquoi elle revenait l'aider. j'ai tellement pas compris pourquoi elle revenait l'aider.

  • Speaker #1

    C'était pour lui reprendre son projet. C'était pour lui reprendre son projet.

  • Speaker #0

    C'est pas hyper clair. C'est pas hyper clair.

  • Speaker #1

    Je vois pas trop le gain qu'elle a là-dedans. Je vois pas trop le gain qu'elle a là-dedans. À part s'emmerder avec À part s'emmerder avec

  • Speaker #0

    Jean-Michel. Jean-Michel névrosé, Jean-Michel. Jean-Michel névrosé,

  • Speaker #1

    fois 8.

  • Speaker #2

    fois 8. Il a tout le temps mal à la tête,

  • Speaker #3

    Il a tout le temps mal à la tête,

  • Speaker #2

    il prend jamais un Doliprane.

  • Speaker #3

    il prend jamais un Doliprane.

  • Speaker #2

    Moi,

  • Speaker #3

    Moi,

  • Speaker #2

    ça me stressait.

  • Speaker #3

    ça me stressait.

  • Speaker #0

    Même sa mère, Même sa mère, quand il est au téléphone, quand il est au téléphone,

  • Speaker #2

    elle est saoulée.

  • Speaker #3

    elle est saoulée. Il fait vraiment chier tout le monde ce man.

  • Speaker #2

    Il fait vraiment chier tout le monde ce man. Genre Ethan fait un effort.

  • Speaker #3

    Genre Ethan fait un effort.

  • Speaker #0

    Merci. Oui. Etan, Etan, soigne-nous cette vilaine migraine et puis laisse-nous tranquille avec ton FX, soigne-nous cette vilaine migraine et puis laisse-nous tranquille avec ton FX, ah oui la machine a un nom je me rappelle plus R9, ah oui la machine a un nom je me rappelle plus R9,

  • Speaker #3

    truc acheté il y a plusieurs versions c'est le nom du fils d'Elon Musk c'est très Elon

  • Speaker #2

    truc

  • Speaker #0

    HT il y a plusieurs versions c'est le nom du fils d'Elon Musk c'est très Elon Musk codé comme film à mon avis il est dans l'axe du mal ce film mais en vrai c'est divertissant oui rattrape-toi en vrai c'est divertissant Musk codé comme film à mon avis il est dans l'axe du mal ce film Mais en vrai, c'est divertissant.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #3

    rattrape-toi.

  • Speaker #0

    En vrai, c'est divertissant. enfin pour moi en tout cas ça fait rire pour les fans de Christian Clavier c'est un film à ne pas manquer le clave j'essaye de relate avec les gens qui aiment bien les films que je recommande donc je me dis qui sont ces gens pour moi en tout cas ça fait rire pour les fans de Christian Clavier c'est un film à ne pas manquer le clave pour tout le coup j'essaye de relate avec les gens qui aiment bien les films que je recommande donc je me dis qui sont ces gens ta fanbase il

  • Speaker #3

    Ta fanbase.

  • Speaker #0

    Ma fanbase.

  • Speaker #1

    Il est en craquage total.

  • Speaker #0

    en a un cracasse total c'est le premier épisode de la rentrée ils sont 4 mais ouais j'avoue t'as peut-être un TDI mon RIB dans la description de l'épisode alors non plutôt

  • Speaker #1

    C'est le premier épisode de la rentrée.

  • Speaker #0

    Ils sont quatre.

  • Speaker #2

    J'avoue, t'as peut-être un TDI.

  • Speaker #0

    Mon RIB dans la description de l'épisode. Alors, on va passer au film d'après. on va passer au film d'après et j'ai déjà oublié c'est Camille Et j'ai déjà oublié. C'est Camille. C'est Camille. Camille, Camille, quel est le film que tu as choisi pour cet épisode de rentrée exceptionnel ? quel est le film que tu as choisi pour cet épisode de rentrée exceptionnel ?

  • Speaker #1

    Pour cet épisode de rentrée exceptionnel, Pour cet épisode de rentrée exceptionnel, j'ai choisi de vous parler de... j'ai choisi de vous parler de Altered States, au-delà du réel de Ken Russell.

  • Speaker #0

    Je vous demande de mettre le experiment en place jusqu'à ce que nous comprenions un peu plus,

  • Speaker #1

    pour minimiser le risque. Il n'y a pas de façon.

  • Speaker #0

    Je suis vraiment effrayée. On pourrait être en train de se foutre de cette structure génétique. Comment est-ce que nous arrêtons ça ?

  • Speaker #1

    Nous avons des millions d'années stockées dans ce banquier de computers que nous appelons nos esprits. Nous avons des trillions de genes dormants dans nous, notre tout passé évolutionnaire. Peut-être que j'ai tapé dans ça. Il peut être en train de faire quelque chose qui est plus que notre propre compréhension. Il peut être en train de faire quelque chose qui est plus que notre propre compréhension. Maintenant, Maintenant, parce que je l'ai cru, parce que je l'ai cru, je veux que cette chose s'arrête !

  • Speaker #3

    je veux que cette chose s'arrête !

  • Speaker #2

    Quelle merde c'est ? Que diable est-ce que c'est ? Tu es d'accord ?

  • Speaker #3

    Tu vas bien ?

  • Speaker #2

    Si tu m'aimes,

  • Speaker #3

    Si tu m'aimes,

  • Speaker #1

    si tu m'aimes,

  • Speaker #2

    si tu m'aimes... Eddie !

  • Speaker #1

    Eddie,

  • Speaker #2

    Tu es en feu !

  • Speaker #1

    tu es en feu !

  • Speaker #2

    Eddie !

  • Speaker #1

    Eddie !

  • Speaker #0

    Altered States. Altered States.

  • Speaker #3

    Ça faisait un peu explosion à la fin.

  • Speaker #2

    Ça faisait un peu explosion à la fin.

  • Speaker #1

    Là, Là, il se passe des choses, il se passe des choses, effectivement. effectivement.

  • Speaker #0

    Mais on ne donne pas suffisamment souvent l'heure dans ce film,

  • Speaker #1

    Alors, donc, ce film-là...

  • Speaker #0

    Mais on ne donne pas suffisamment souvent l'heure dans ce film, par rapport à Minor Premises. par rapport à Minor Premises.

  • Speaker #1

    C'est vrai. C'est vrai. Donc, Donc, Altered States, Altered States, c'est un film de 1980. c'est un film de 1980. Et donc, Et donc, c'est un film de Ken Russell dont on avait déjà parlé avec les Diables qu'on avait adoré. c'est un film de Ken Russell dont on avait déjà parlé avec les Diables qu'on avait adoré. et qu'il avait fait en 1971. et qu'il avait fait en 1971. Pour un petit rappel, Pour un petit rappel, Ken Russell, Ken Russell, c'est un metteur en scène anglais. c'est un metteur en scène anglais. Et là, Et là, Altered State, Altered State, c'est son premier film à Hollywood. c'est son premier film à Hollywood. Donc, Donc, il est beaucoup plus contraint que pour Les Diables. il est beaucoup plus contraint que pour Les Diables. Ça se ressent parce que le film est beaucoup moins fantasque et fantastique, Ça se ressent parce que le film est beaucoup moins fantasque et fantastique, je rachèterais, je rachèterais, que que Les Diables. Les Diables.

  • Speaker #0

    Oui, Oui,

  • Speaker #1

    mais c'est moins baroque. mais c'est moins baroque, C'est moins la roue libre. c'est moins la roue libre. Là, Là,

  • Speaker #0

    c'est un peu plus cadré. c'est un peu plus cadré.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #0

    Oui,

  • Speaker #1

    c'est un peu plus cadré. c'est un peu plus cadré. Cependant, Cependant, c'est un film qui est quand même assez intéressant. c'est un film qui est quand même assez intéressant. Je vous fais un petit résumé rapide. Je vous fais un petit résumé rapide. En gros, En gros, on rencontre le professeur on rencontre le professeur Jessup, donc Eddie de son prénom, Jessup, donc Eddie de son prénom, qui s'amuse à faire des expériences en prenant des bains de 5 heures à peu près dans un cylindre vertical rempli d'eau. qui s'amuse à faire des expériences en prenant des bains de 5 heures à peu près dans un cylindre vertical rempli d'eau.

  • Speaker #0

    C'est ce que j'ai offert à Lola pour son anniversaire, C'est ce que j'ai offert à Lola pour son anniversaire, littéralement. littéralement.

  • Speaker #1

    Mais moi aussi j'ai offert ça à plein de potes de tout de flottaison. Mais moi aussi, j'ai offert ça à plein de potes de flottaison. On en parlera après. On en parlera après.

  • Speaker #2

    Je crois que ça vient de toi,

  • Speaker #3

    Je crois que ça vient de toi, D.

  • Speaker #2

    d'ailleurs.

  • Speaker #1

    Ah bah, Ah bah, je vais... je m'arrête. Donc, Donc, Eddy est dans son bain debout, Eddy est donc dans son bain de boula, en slip, en slip, coiffé d'un casque de scaphandrier. coiffé d'un casque de scaphandrier, Et il a des alus. et il a des alus. Bon, Bon, voilà, ça a l'air sympa le CNRS. ça a l'air sympa, le CNRS. À côté de ses petits temps libres, À côté de ses petits temps libres, il bosse à tenter d'isoler les facteurs responsables de la schizophrénie. il bosse à tenter d'isoler les facteurs responsables de la schizophrénie. qui ne serait pas une maladie selon lui, qui ne serait pas une maladie, selon lui, mais plutôt un autre état de conscience. mais plutôt un autre état de conscience. Lors d'une fête, Lors d'une fête, il rencontre Emily, il rencontre Émilie, qui tombe folle amoureuse de sa bizarrerie. qui tombe folle amoureuse de sa bizarrerie. Ils se marient et tout le toutime ont des enfants et compagnie. Ils se marient et tout le toutime ont des enfants et compagnie. On retrouve plusieurs années plus tard On retrouve plusieurs années plus tard Daddy Eddy, Daddy Lady, qui est donc prof à Harvard. qui est donc prof à Harvard. Il poursuit ses travaux et décide d'aller au Mexique pour étudier la tribu Inchi, Il poursuit ses travaux et décide d'aller au Mexique pour étudier la tribu Inchi. qui est connu pour ses trans hallucinatoires collectives grâce à de la drogue. qui est connue pour ses trans hallucinatoires collectives, grâce à de la drogue. Donc histoire d'en rajouter un petit peu, Donc histoire d'en rajouter un petit peu, le bain ça ne suffit pas, le bain ça ne suffit pas, il faut prendre des substances en plus. il faut prendre des substances en plus. Mais la réalité c'est que Daddy Eddy ne se satisfait pas vraiment de cette vie. Mais la réalité c'est que Daddy Eddy ne se satisfait pas vraiment de cette vie. Il souhaite en fait se barrer en se séparant de sa femme et expérimenter je cite la souffrance solitaire. Il souhaite en fait se barrer en se séparant de sa femme et expérimenter, je cite, la souffrance solitaire. Parce que Eddy, Parce que Eddy, on le comprend au fur et à mesure, on le comprend au fur et à mesure, est en fait obsédé par la vérité avec un grand V qui se cacherait dans une petite boîte caranienne. est en fait obsédé par la vérité avec un grand V. Qui se cacherait dans ne peut pas petite boîte caranienne, à l'exception de celle de Bérou et de l'Oco. A l'exception de celle de Berroux et de Le Coruche. C'est dans le film, C'est dans le film, c'est pas... c'est pas... C'est dans le film,

  • Speaker #2

    C'est en fait,

  • Speaker #1

    c'est en fait. en fait.

  • Speaker #0

    Bérou était déjà Premier ministre pendant le film. Berroux était déjà Premier ministre pendant le film. Il est resté longtemps en fait. Il est resté longtemps, en fait. Ouais, ouais,

  • Speaker #3

    ouais. Absolument.

  • Speaker #1

    Donc il va au Mexique, Donc, il va au Mexique, il prend toutes les drogues nécessaires et revient essayer un peu de trouver son true self dans ce question de privation de sensation. il prend toutes les drogues nécessaires et revient essayer un peu de trouver son true self. dans ce question de privation de sensation.

  • Speaker #2

    Je me disais,

  • Speaker #3

    Je me disais, c'est quoi ce mot français ?

  • Speaker #2

    c'est quoi ce mot français ?

  • Speaker #3

    Le trouxel.

  • Speaker #1

    Jusqu'au jour où Jusqu'au jour, c'est un fromage, jusqu'au jour où Eddie va sortir carrément transformé du question. Eddie, en fait, il va sortir carrément transformé du question. Et là, Et là, trois petits points. trois petits points.

  • Speaker #0

    Transformé en quoi ? Transformé en quoi ?

  • Speaker #1

    Il faudra le voir. Il faudra le voir.

  • Speaker #0

    On ne dit pas,

  • Speaker #1

    On ne dit pas,

  • Speaker #0

    on ne dit pas. on ne dit pas.

  • Speaker #1

    Alors, oui, ce que je voulais juste dire, Ce que je voulais juste dire, c'est que ce film-là, c'est que ce film-là, c'est un film de commande à Ken Russell. c'est un film de commande à Ken Russell. D'après le livre d'après le livre Altered States, Altered States écrit par Paddy Chayefsky écrit par Paddy Chayefsky en 1978, en 1978, qui lui-même parle des travaux de John Lilly, qui lui-même parle des travaux de John Lilly, qui est un médecin américain qui a existé, qui est un médecin américain qui a existé, qui était un neuroscientifique, qui était un neuroscientifique, psychanalyste, psychanalyste, inventeur et écrivain, inventeur et écrivain, et qui est connu pour être un pionnier dans l'étude de la conscience. et qui est connu pour être un pionnier dans l'étude de la conscience. C'est lui qui a créé ces caissons d'isolation. C'est lui qui a créé ces caissons d'isolation sensorielle, sensorielle en 1954 qu'on appelle aujourd'hui des questions de flottaison et qui ont pour but en fait de créer un espace complètement dans le noir dans lequel le patient en fait ne ressent plus enfin n'entend plus rien ne sent plus rien ne voit plus rien et en 1954, qu'on appelle aujourd'hui des caissons de flottaison, et qui ont pour but de créer un espace... Complètement dans le noir, dans lequel le patient n'entend plus rien, ne sent plus rien, ne voit plus rien, et flotte grâce à de l'eau salée, flotte grâce à de l'eau salée ce qui fait qu'en fait il perd complètement ses repères et c'est un moyen qui est encore utiliser aujourd'hui pour se détendre. ce qui fait qu'il perd complètement ses repères. Et c'est un moyen qui est encore utilisé aujourd'hui pour se détendre, pour méditer et aussi pour soigner de l'anxiété. pour méditer et aussi pour soigner de l'anxiété. Il y a beaucoup de sportifs notamment qui l'utilisent. Il y a beaucoup de sportifs notamment qui l'utilisent. Alors John Lilly, John Lilly il n'a pas fait que ça parce que c'est aussi un des grands professeurs qui a permis la communication avec les dauphins un drôle de type et il a fait aussi toutes les expériences avec les psychédéliques c'est une figure vraiment importante de la contre-culture des années 60 aux Etats-Unis il il n'a pas fait que ça, parce que c'est aussi un des grands professeurs qui a permis la communication avec les dauphins. Un drôle de type. Et il a fait aussi toutes les expériences avec les psychédéliques. C'est une figure vraiment importante de la contre-culture des années 60 aux Etats-Unis. Il a beaucoup trainé avec Ginsberg et compagnie. a beaucoup trainé avec Ginsberg et compagnie et Et en fait, c'est un peu... Et Jodorowsky aussi. Jodorowsky aussi et en fait c'est un peu comment dire ... Et en fait, c'est un peu... C'est ce personnage-là qui est incarné dans le film de Ken Russell. C'est ce personnage-là qui est incarné dans le film de Ken Russell. Le tournage ne s'est pas bien passé du tout. Le tournage ne s'est pas bien passé du tout. En fait, Au départ, au départ, Ken Russell n'était pas du tout lui qui était retenu. Ken Russell, ce n'était pas du tout lui qui était retenu. C'était un autre réalisateur qui avait fait le casting, C'était un autre réalisateur qui avait fait le casting, notamment de William Hurt, notamment de William Hurt, qui va ensuite travailler avec Ken Russell et d'autres grands réalisateurs comme qui va ensuite travailler avec Ken Russell et d'autres grands réalisateurs comme Cronenberg dans History of Violence. Cronenberg dans History of Violence. mais ça s'est pas du tout bien passé entre Chayefsky le scénariste auteur de la nouvelle et ce réalisateur là qui s'est fait virer et donc c'est Ken Russell qui reprend le projet mais il le dit avec beaucoup d'humour qu'il est arrivé Mais ça ne s'est pas du tout bien passé entre Chayefsky, donc le scénariste... auteur de la nouvelle et ce réalisateur-là qui s'est fait virer. Et donc c'est Ken Russell qui reprend le projet, mais il le dit avec beaucoup d'humour qu'il est en fait arrivé 27e dans la liste des réalisateurs qui avaient été contactés. 27ème dans la liste des réalisateurs qui avaient été contactés et le tournage se passe pas bien du tout entre Chayefsky et Et le tournage ne se passe pas bien du tout entre Chayefsky et Ken Russell parce que Ken Russell veut comment dire Ken Russell parce que Ken Russell veut intégrer beaucoup dans le film des espaces de vision. intégrer beaucoup dans le film des espaces de vision. Parce que lui, Parce que lui, c'est ça qui le fait triper. c'est ça qui le fait triper. C'est vraiment les tripes à dessinatoire. C'est vraiment les tripes à dessinatoire. Il y en a deux principaux, Il y en a deux principaux, on va dire, on va dire, qui sont dans le film, qui sont dans le film, qui sont vraiment assez géniaux et dans lesquels réside pour moi l'intérêt du film, qui sont vraiment assez géniaux et dans lesquels réside pour moi l'intérêt du film, notamment avec les délires sur Dieu, notamment avec les délires sur Dieu, etc. etc. C'est très chouette. C'est très chouette. Avec une espèce de bélier à huit lieux qui fait assez peur. Avec une espèce de bélier à huit lieux qui fait assez peur. Donc voilà. Donc voilà. C'est un film qui parle d'un scientifique complètement zinzin qui a envie de devenir le sujet de ses expérimentations et qui est dans une espèce de quête spirituelle plus que dans vraiment la recherche d'un résultat efficace C'est un film qui parle d'un scientifique complètement zinzin qui a envie en fait euh de devenir le sujet de ses expérimentations et qui est dans une espèce de quête spirituelle, plus que dans vraiment la recherche d'un résultat, disons, efficace pour les autres. pour les autres. Je trouve que c'est un personnage intéressant, Je trouve que c'est un personnage intéressant, le personnage joué par William Hurt, le personnage joué par William Hurt, Eddie, Eddie, parce qu'en fait il est très dur, parce qu'en fait, il est très dur, il n'est pas très empathique avec ses amis ou sa femme. il n'est pas très empathique avec ses amis ou sa femme, qui est jouée par qui est joué par Blair Brown, Blair Brown, qui je trouve est super bien, qui, je trouve, est super bien, elle et Emily. elle, l'émilie. Et c'est un film qui en même temps parle vachement d'une sorte d'amour, Et c'est un film qui en même temps parle vachement d'une sorte d'amour, de façon assez jolie je trouve, de façon assez jolie je trouve, entre deux. entre deux. Oui,

  • Speaker #0

    Oui, je suis grave d'accord. je suis grave d'accord.

  • Speaker #1

    Parce que c'est elle qui le ramène un peu dans le monde des vivants quoi. Parce que c'est elle qui le ramène un peu dans le monde des vivants quoi.

  • Speaker #0

    Bah et puis le simple fait que dans les années Bah et puis le simple fait que dans les années 80 il y ait un couple marié rapidement puis divorcé qui reste en fait uni et continue de s'aimer, 80 il y ait un couple... Marié rapidement puis divorcé qui reste en fait unis et continue de s'aimer, c'est quand même la trajectoire classique du couple cinéma dans ces années-là, c'est quand même... c'est pas la trajectoire classique du couple cinéma dans ces années-là et d'ailleurs même encore aujourd'hui donc sur ce point-là je trouve le film assez intéressant en tout cas mais d'ailleurs je et d'ailleurs même encore aujourd'hui. Donc sur ce point-là, je trouve le film assez intéressant en tout cas. Mais d'ailleurs, je le dis, le dis mais moi j'adore le film au même titre que moi j'adore Ken Russell de manière générale j'ai pas vu toutes ses films mais j'en ai vu pas mal et moi je trouve que c'est un peu un film pour lui malgré le fait que c'est peut-être qu'il en a fait mais moi j'adore le film. Au même titre que moi j'adore Ken Russell, de manière générale, je n'ai pas vu toutes ses films, mais j'en ai vu pas mal. Et moi, je trouve que c'est un peu un film pour lui. Malgré le fait que... Alors, c'est peut-être qu'il en a fait, un film pour lui. un film pour lui mais ouais je sais pas moi je trouve que ces deux scènes justement de tripes hallucinatoires en fait elles prennent beaucoup de place en fait dans le film parce qu'elles sont quand même assez longues elles sont très marquantes et Mais... Je ne sais pas. Moi, je trouve que ces deux scènes, justement, de tripes hallucinatoires, elles prennent beaucoup de place, en fait, dans le film. Parce qu'elles sont quand même assez longues. Elles sont très marquantes. en fait je trouve qu'elles prennent beaucoup de place à l'intérieur du film et du coup je sais pas moi ça je garde peu de choses du film en dehors de ces scènes là alors il y a la scène de transformation ... Et je trouve qu'elles prennent beaucoup de place à l'intérieur du film. Et du coup... Je ne sais pas, moi, je garde peu de choses du film en dehors de ces scènes-là. Alors, il y a la scène de transformation que je trouve assez réussie. que je trouve assez réussi. Et puis, Et puis même la scène de fin, même la scène de fin, en fait, en fait, que j'aime bien aussi. que j'aime bien aussi. Et puis moi, Et puis, moi, William Hurt, William Hurt, j'adore ce mec. j'adore ce mec. Enfin, J'aime bien, j'aime bien, je le trouve très bien dans ce rôle. je le trouve très bien dans ce rôle. J'adore la manière dont il incarne ce personnage qui n'a pas d'empathie, J'adore la manière dont il incarne ce personnage qui n'a pas d'empathie, qui est un peu un sociopathe. qui est un peu un sociopathe, Enfin, voilà. et qui est complètement obsédé par sa quête de vérité. et qui est complètement obsédé par sa quête de vérité. D'ailleurs, D'ailleurs c'est un peu grotesque, c'est un peu grotesque, parce qu'à la fin il se rend compte que la vérité... parce qu'à la fin, il se rend compte que la vérité... C'est le vivant, c'est de vivre. Bon, est-ce que ça valait la peine de se donner tant de mal ? Mais non, non, moi j'aime beaucoup Altered State. C'est un film que je peux revoir sans trop de problèmes. Donc voilà, c'est sûr que c'est moins baroque que Les Diables, ou que certains, ou même le repère du verre blanc et tout. C'est un peu moins fantasque, mais c'est un peu plus cadré. J'étais pas au courant de l'histoire autour du film, mais ça fait sens. Mais je trouve qu'il aimait quand même beaucoup de lui, Ken Russell, malgré tout. Là-dedans, dans le perso, dans ses séquences hallucinatoires, et même cette scène de transformation, que je trouve très réussie. Un banger. Un banger. Léo, toi t'as vu le film en plus. Oui.

  • Speaker #1

    Tu veux commencer ? Tu veux passer avant moi Lola ? S'il te plaît.

  • Speaker #2

    Léo vous raconterait son histoire personnelle. Oui,

  • Speaker #0

    lui aussi il a vécu une transformation dans le titre du film.

  • Speaker #2

    Ouais, moi j'ai trouvé ça bien et tu vois, pareil, c'est hyper intéressant toute l'histoire autour de la production du film. Moi j'étais pas du tout au courant et je trouve effectivement, moi je crois que j'ai vu que Les Diables de Ken Russell et celui-ci. Mais je trouve qu'il ne perd pas son identité au-delà du réel. En tout cas, moi, tu vois, je ne me suis pas dit « Oh, c'est bizarre, ça fait comment de l'Hollywoodienne ? » Sur laquelle il passe 27ème. Voilà. Moi, j'aimais bien le thème de départ. Je me suis dit « Putain, ça va être trop bien. » C'est un peu ce principe de si la majorité des gens étaient schizophrènes, en fait, ça serait nous les fous. et je... Je me suis dit, putain, c'est cool si on parle de ça. Et en fait, là, je t'écoutais parler, je me disais, mais en fait, je ne sais même pas sur quoi il fait sa recherche.

  • Speaker #3

    Très vite, c'est évacué, en fait, cette question de la schizophrénie. C'est un prétexte pour lui.

  • Speaker #2

    Oui, ok, ça me rassure, parce que je me dis, putain, ça se trouve...

  • Speaker #0

    C'est d'ailleurs le script d'Assassin's Creed. Je tiens à le préciser. La mémoire génétique et tout, c'est très Assassin's Creed.

  • Speaker #2

    Non, mais oui,

  • Speaker #3

    c'est vrai. C'est assez moderne, en vrai.

  • Speaker #2

    Non, mais c'est vrai que c'est assez... vite, on ne s'intéresse plus aux personnes schizophrènes. Et ce n'est pas grave. Moi, c'est vrai que mon souci avec le film, c'est ce personnage d'Eddie qui, moi, il est très bien écrit, mais il est détestable. Et moi, il m'énervait vraiment. Et je trouve que tous ceux qui gravitent autour de lui, il y a Arthur, Mason, Et sa future ex-femme, Émilie.

  • Speaker #0

    Arthur Mason, c'est lequel ?

  • Speaker #2

    C'est deux personnes. Arthur et Mason.

  • Speaker #3

    C'est son bras droit.

  • Speaker #0

    Mason, c'est le médecin trop chiant.

  • Speaker #2

    Ah lui, il est chiant,

  • Speaker #1

    lui. Le médecin trop chiant, il est trop chiant.

  • Speaker #2

    Je trouvais qu'on avait envie qu'il prenne plus de place. Surtout Émilie, en vrai, c'est un super personnage. Et moi, j'étais un peu bloquée par ce personnage qui est très antipathique. Après, c'est très justifié.

  • Speaker #3

    Oui, et c'est intéressant parce que Émilie, dans la relation d'amour qu'ils ont, déjà, dès qu'il apparaît dans le couloir, il a une espèce d'apparition quasiment angélique, avec de la lumière à l'arrière et tout ça.

  • Speaker #2

    Comme si elle était hypnotisée par lui.

  • Speaker #3

    Oui, elle tombe complètement en pamoison devant lui. Et elle, elle est éthologue. Donc, ça veut dire qu'elle s'occupe des grands singes. Et ça, c'est quand même assez rigolo, vu ce qui se passe par la suite. en fait l'idée que elle elle capte chez lui cette animalité et ce truc un peu primaire quoi alors que c'est un mec très intelligent très érudit et tout ça elle ce qui l'intéresse c'est son côté primate quoi qui en fait est peut-être la solution à tous ces problèmes à lui mais il est chiant il dit en plus il laisse rien paraître il est compliqué mais c'est là où justement les scènes de la destination nous donnent accès nous en tant que spectateur à son intériorité parce que sans ça je pense que tu peux pas te durer avec ce personnage c'est vrai moi je trouve que elles ont un peu vieilli Thomas directement complètement

  • Speaker #0

    surréaliste moi je me dis en vrai pourquoi on fait plus des scènes comme ça c'était mieux avant mais non Excusez-moi, on ne peut plus rien dire.

  • Speaker #1

    Arrête, je le dis. Renaissance, pense à Renaissance. Oui,

  • Speaker #0

    ben... Alors t'inquiète que Renaissance, leur élément de langage, c'est plus ça. Ils ont bien compris. Mais non, non. Je ne comprends pas pourquoi on fait... plus de scènes avec des faux fonds comme ça, c'est trop beau.

  • Speaker #3

    Mandico, il en fait beaucoup.

  • Speaker #0

    Oui, et ben voilà, on en parlait l'autre jour avec Lola et je disais, moi je trouve que ça fait, et je voulais pas spoiler mon avis du truc, mais je trouve que ça fait écho. Il y a certains cinéastes qui refont un peu ça de temps en temps, dont Mandico, mais il n'y a pas ce cachet quand même, je trouve. Mandico, c'est très cohérent avec le reste du film, tu vois. Mais là,

  • Speaker #3

    il y a un côté vraiment...

  • Speaker #0

    Chez Ken Russell, ça arrive comme ça, ça fait... Alors oui, le film a quand même un cachet, mais... Mais ces scènes-là, elles font irruption quand même. Elles détonnent avec le reste du film.

  • Speaker #3

    On dirait du Kiriko, quoi. Vraiment. Ou du Dali surréaliste en 2D,

  • Speaker #0

    quoi. Moi, j'aime beaucoup cette esthétique-là. C'est une espèce de choc. Mais c'est clivant. Non, mais en vrai, je dis que c'est une espèce de choc. Je trouve ça vraiment... Voilà, quoi. T'es choqué, quoi. T'es quichot. Je me dis, putain, c'est incroyable. Ça peut pas vieillir, ça. Alors toi, t'es pas d'accord.

  • Speaker #2

    C'est vraiment une phrase de vieux Et Léo ?

  • Speaker #1

    Moi j'avais beaucoup aimé Les Diables Et en vrai Tommy de Ken Russell Ah oui Tommy c'est lui aussi Mais je n'ai pas vu Au-delà du réel Pourquoi ? Parce que je me suis trompé de film Une fois n'est pas coutume Et j'ai regardé plutôt Aux portes de l'au-delà From Beyond Qui marche très bien dans le thème aussi Et qui marche bien avec les films de Camille. Du coup, je ne me suis pas méfié et je n'ai pas du tout regardé le bon film, mais From Beyond, c'était super en tout cas.

  • Speaker #3

    Est-ce que tu peux en parler un peu ?

  • Speaker #0

    Ouais, tu peux.

  • Speaker #1

    From Beyond, c'est deux scientifiques, deux chercheurs, deux universitaires en gros, qui, en peignoir dans leur grenier, fabriquent une sorte de lampe à lave géante avec des diapasons.

  • Speaker #3

    J'essaie de voir où est-ce que moi je me place dans ce truc. Où est-ce que tu t'es dit c'est ok.

  • Speaker #0

    T'as pas une lampe à lèvres chez toi ?

  • Speaker #1

    Et en fait, ils ouvrent sans le vouloir en stimulant leur glande spinéale.

  • Speaker #3

    Ça doit être ça.

  • Speaker #1

    Pardon,

  • Speaker #0

    je ne veux pas faire l'expert chiant, mais je crois qu'on dit la glande pinéale.

  • Speaker #1

    Pinéale. Ils ouvrent en fait une sorte de portail vers une dimension un peu type Hellraiser avec... des créatures issues d'un autre monde qui s'emparent d'un des scientifiques qui a des délires BDSM de base et qui du coup devient un personnage. Non, non, mais non.

  • Speaker #3

    Voilà, super, c'est la rentrée.

  • Speaker #1

    Non, non, mais c'était très très dans le thème aussi et je ne me suis pas méfié du tout.

  • Speaker #3

    Mais c'était Stargate en fait.

  • Speaker #1

    Ouais, ouais, ouais, si on veut.

  • Speaker #3

    La porte des étoiles.

  • Speaker #2

    Et ça t'a plu ?

  • Speaker #1

    Ouais, c'est pas mal, c'est plutôt bien From Beyond. Je recommande From Beyond. Du coup,

  • Speaker #0

    tu vas vraiment le vrai chroniquer dans un autre épisode, il faudra que tu le fasses.

  • Speaker #1

    Non mais j'ai bien envie de regarder Alter State, j'avais déjà vu passer.

  • Speaker #0

    Pendant que nous on aura tous vu From Beyond, toi, tu devras parler d'Alter State.

  • Speaker #1

    On l'angoisse.

  • Speaker #2

    Ah ouais, c'est trop bien. ok si vous voulez on peut faire ça c'est comme écrire 100 fois je ne dois pas insulter la maîtresse j'ai dû le faire en terminale ça en terminale ?

  • Speaker #1

    avec mon prof de philo c'est des punitions 100 fois c'était super il était hyper jeune il avait genre 25 ans il avait pris l'anguille il avait pris l'anguille enfin

  • Speaker #3

    bref on n'est pas là pour parler de ça

  • Speaker #0

    Non mais ouais En vrai, ça te plairait le film, Léo, parce qu'il y a un truc un peu... Enfin, Altered State, parce que From Beyond, du coup, ça t'a plu, tu l'as vu, mais...

  • Speaker #1

    En plus, c'est un peu moins en ce moment Altered State, donc c'est super. Ouais,

  • Speaker #0

    alors déjà. Et puis en plus, je pense que t'aimerais bien le délire un peu, tu sais, recherche autour des psychédéliques...

  • Speaker #1

    Est-ce qu'il y a une réponse à la thèse ? Oui,

  • Speaker #0

    oui, oui. Alors oui, pour le coup, le film n'est pas... C'est pas comme Thesis où on ne sait pas de sur quoi est la thèse. Là, il n'y a... Ok, ça me va. Là, il y a une réponse à la question posée. Je pense que ça te plairait dans ce délire un peu recherche.

  • Speaker #1

    Je le regarderai et on fera un droit de réponse la prochaine fois.

  • Speaker #3

    Et toi, tu as fait les questions de flottaison ?

  • Speaker #2

    Les questions ?

  • Speaker #3

    Non, non. Tu as dit les questions de flottaison ?

  • Speaker #0

    J'ai dit les questions ? Bon bref,

  • Speaker #3

    on réécoutera.

  • Speaker #2

    Oui, je l'ai fait. Je n'étais pas en slip, j'étais entièrement nue.

  • Speaker #0

    d'accord c'est la seule information qu'on aura ça c'est pour les fans de Lola c'était vachement bien c'était une expérience intéressante moi j'étais entièrement nu c'était bien c'était vraiment très cool mais

  • Speaker #1

    j'ai pas eu ces visions t'avais peut-être pas pris du LSD peut-être grâce au slip aussi tu as ces visions le fait d'être entièrement nu peut-être que c'est un vrai Merci.

  • Speaker #2

    possibilités d'hallucination et toi t'as fait Camille ?

  • Speaker #0

    t'en as offert à tes potes ?

  • Speaker #3

    non j'en ai offert à tous mes potes mais non j'ai pas encore fait pas encore mais c'est typiquement le genre de truc que je pense que j'adore ah ouais c'est bien je pense que t'aimerais bien ce genre de truc et alors ? et si on faisait pas genre toute l'horreur de dimanche dans un caisson de photos.

  • Speaker #2

    Mais tous,

  • Speaker #3

    tous, tous. Non mais dans des trucs séparés.

  • Speaker #0

    Ah oui parce que si on est tous les quatre dans le même truc, on se parle.

  • Speaker #3

    Ça sert à rien. On a quand même un épisode en direct.

  • Speaker #1

    Dans une piscine en fait.

  • Speaker #0

    Moi, jamais de la vie je fais un truc pareil. Je fais, moi c'est crise d'angoisse.

  • Speaker #3

    Tu sais que tu peux laisser un peu de musique, tu peux laisser un peu de lumière si t'as trop peur.

  • Speaker #2

    Non mais c'est plutôt comme une... C'est pas le caisson, ils te mettent pas dans un... C'est pas une...

  • Speaker #0

    c'est pas fermé c'est pas un caisson c'est une pièce c'est une pièce moi en tout cas ce que j'ai fait ah non mais c'était fermé ah ouais tous les copains là c'est fermé bah t'es enfermé dans une pièce dans une boîte ah moi non j'étais pas dans une boîte ah bah c'était dans une boîte enfin une bulle j'étais dans une bassine à moitié ah d'accord un spa moi jamais de la vie je fais un truc pareil c'est ouais non instant de crise d'angoisse un petit peu un petit peu comme Quand j'ai regardé le film que Léo a sélectionné.

  • Speaker #3

    Première transition.

  • Speaker #0

    Donc voilà, on va passer au film de Léo. Euh, alors Léo, quel est ce film ?

  • Speaker #1

    Moi je vais vous parler de Virus. C'est la fin de tout.

  • Speaker #0

    Je ne sais pas comment ça va finir. Ils ont des doudounes aussi, je crois, dans le film.

  • Speaker #1

    C'est le bruit des doudounes.

  • Speaker #0

    Oh, t'aimes doudounes !

  • Speaker #3

    Attends, mais t'es fin !

  • Speaker #1

    Ouais, je suis bruiteur de bouche uniquement. Virus Fukatsunoi, sorti en 1988. Allez. Ce film aux allures de blockbuster international sorti de nulle part ne l'est pas tant, puisqu'il est réalisé par Kinji Fukasaku, qui est un grand nom du cinéma japonais. que vous connaissez sûrement pour Battle Royale.

  • Speaker #0

    Et là, c'est mon problème.

  • Speaker #1

    Mais aussi peut-être pour Sous les drapeaux, l'enfer, où l'on trouve également un fort discours antimilitariste, peut-être un peu plus subtil et pertinent que dans Virus, qui ne brille pas forcément par sa subtilité parfois. Fukasaku a aussi réalisé énormément de thrillers policiers et de sagas sur des affrontements entre familles mafieuses. Je vous laisserai les checker, il a réalisé vraiment un sacré paquet de films.

  • Speaker #2

    C'est assez impressionnant ce film.

  • Speaker #1

    Il y a vraiment 36 trucs. Il y a beaucoup de choses. Ce soir, on va parler d'un de ces films quand même pas mal oubliés. Virus. Et Virus, c'est quoi ? Virus, c'est aussi un film de 99 en mode Matrix, Virus informatique, Windows, etc. Adapté d'un comics, mais ce n'est pas celui-là.

  • Speaker #3

    On ne mélange pas tout.

  • Speaker #1

    Je n'ai pas regardé mon propre film. Je me suis trompé de film sur mon film.

  • Speaker #0

    Le méta-humour.

  • Speaker #1

    C'est super. Virus, c'est l'autodestruction programmée de l'humanité pendant la guerre froide. Une superbe arme biologique de destruction gigamassive est trimballée par des gens plus ou moins bien intentionnés dans des lieux pas du tout aux normes de sécurité. Genre un petit avion en rase mode dans la montagne. Et ce qui devait arriver arriva. Le virus MM88 s'échappe suite au crash pas du tout prévisible du dit avion. Et bim, ellipse. et en fait... toute l'humanité ou presque à succomber à la grippe italienne. Et oui, désolé à nos amis italiens désignés comme bouc émissaire dans ce film.

  • Speaker #0

    Parce qu'ils se crachent dans les Alpes ?

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #3

    parce qu'ils partent de la Suisse.

  • Speaker #0

    Ah ben oui.

  • Speaker #1

    Et ils se crachent. Je ne me l'ai même pas capté moi. Je pensais que c'était en Russie. On dirait que c'est les plaines du Caucase un peu après.

  • Speaker #0

    Après on voit des gens au Kazakhstan et tout.

  • Speaker #3

    Je me suis dit... C'est mondial le virus.

  • Speaker #1

    Oui mais ça commence par montrer ça.

  • Speaker #0

    Après ça vient en Italie.

  • Speaker #3

    Oui c'est vrai. Du coup je comprends pas.

  • Speaker #1

    Voilà, c'est la grippe italienne.

  • Speaker #0

    C'était mon seul problème avec le film, c'est bon maintenant j'adore.

  • Speaker #1

    Même 80 minutes. C'est vrai que c'était ton seul problème ? Super. Les nations et systèmes politiques se sont effondrés à l'exception d'une coalition internationale basée en Antarctique. Vestige de bases de recherche scientifiques ayant survécu grâce au froid et à l'isolement car le virus ne survit pas en dessous de moins 10 degrés. Très pratique. Cool. Pas trop en fait. Et si vous pensez que c'était pas ouf comme situation, eh bien, dites-vous que, avant leur dernier souffle, les Etats-Unis ont activé leur système de défense nucléaire automatique, et que l'URSS a fait de même. Et alors là, c'est vraiment pas de bol, parce que figurez-vous qu'un tremblement de terre pourrait en théorie être interprété comme un impact de missiles ennemis et déclencher la réponse nucléaire. Et ce qui devait arriver arriva une deuxième fois dans le film, du coup, deuxième édition, un tremblement de terre active le système de missiles américain, et maintenant, c'est l'apocalypse nucléaire imminente. en plus de la pandémie.

  • Speaker #2

    Alors qu'il n'y a déjà plus personne.

  • Speaker #1

    Il n'y a déjà plus que 3 pégus au pôle sud. Et 7 femmes. 8 femmes et 850 bougues. Donc c'est super. Et puis merde, je vais tout vous spoiler de toute façon, l'apocalypse nucléaire a bien lieu, rebelote, quelques pélos survivent et le film se conclut sur un propos un peu chelou, genre il faut faire table rase de tout parce que c'est trop nous les humains le vrai virus, pour reconstruire le monde en repeuplant la Terre avec des pots de bêtes sur la cordillère des Andes.

  • Speaker #0

    Et avec beaucoup de gens consanguins du coup à mon avis Le film ne le dit pas trop Il n'y a pas de deux

  • Speaker #1

    Le deux aurait été triste à mon avis Voilà, Virus c'est un film très dense très chelou et qui au moment de sa sortie est le film le plus cher jamais produit au Japon Et si vous avez jamais entendu parler de Virus, c'est normal puisque la volonté de faire un blockbuster d'envergure internationale n'a pas fonctionné Merci. Malgré 16 millions de dollars investis, dollars de l'époque, donc je crois que ça fait une cinquantaine je crois maintenant, en dollars actuels, un casting de stars internationales et une campagne de promotion mondiale, le film bide flop complètement et peine même à trouver des diffuseurs aux Etats-Unis, alors que c'est une coprode américaine, sinon américaine. Il est alors remonté dans un format plus court destiné à la télévision, que vous pouvez trouver sur YouTube d'ailleurs, qui fait que 1h44 au lieu de la purge de 2h40 que vous avez vue quand même.

  • Speaker #3

    C'est évidemment une louloute, il nous l'a pas dit. On était en vacances, il fallait bien se taper les 3 heures.

  • Speaker #1

    Il faut voir la version de 2h40.

  • Speaker #0

    Après, moi, je dis rien, j'ai mis le pacte des loups la dernière fois.

  • Speaker #1

    Oui, voilà, c'est ça.

  • Speaker #3

    On se tire vers le bas.

  • Speaker #0

    J'ai plus rigolé pendant le pacte des loups.

  • Speaker #1

    C'est moins marrant. En tout cas, suite à ce charcutage télé, il tombe définitivement dans l'oubli. Et là, vous vous dites, pourquoi tu nous parles de signe ? Parce qu'en fait, t'as dit que c'était pas terrible. que le propos était un peu chelou et que il devait durer 2h40 et qu'on se faisait un peu chier. En fait, je ne sais pas. Je ne sais pas, je trouve que... C'est bizarre, quoi. Oui, en fait, l'ambition, elle se ressent vachement dans le film. C'est très palpable. Vraiment, l'ambition de faire un film à portée internationale, un gros blockbuster avec plein, plein de trucs dedans. Et je me sens un peu triste qu'il soit oublié parce que ça me fait un peu de la peine, ce film de 2h36 qui essaie de nous proposer une faible apocalyptique, épique et profonde. C'est pour ça que je vous en parle, parce que c'est maladroit et imparfait, mais c'est pas inintéressant, il y a plein de choses à offrir. C'est comme toi, lui. Merci beaucoup. J'espère que je suis pas autant soporifique, mais bon.

  • Speaker #2

    Maladroit, imparfait, t'as plein de choses à offrir.

  • Speaker #1

    Ok, super.

  • Speaker #3

    Très contagieux, apparemment,

  • Speaker #1

    aussi. Très contagieux, ouais. Apocalyptique, voilà. Voilà, vous avez bien aimé, virus,

  • Speaker #3

    quand même ? Oui, en vrai, oui.

  • Speaker #0

    Ok. Cool. Alors, Camille, je crois que toi, tu es la plus enthousiaste. Oui,

  • Speaker #3

    je m'étonne moi-même. Alors, je ne sais pas, c'est peut-être parce que, je ne sais pas, ça serait qui m'a tapé sur la tête, mais sincèrement, j'ai passé un très bon moment devant ce film.

  • Speaker #1

    Oh,

  • Speaker #0

    wow. Ça se regarde bien,

  • Speaker #1

    quand même.

  • Speaker #3

    J'ai été choquée de la mise en scène. Enfin, tout le début est franchement assez fantastique. Il y a, enfin, le fait de, effectivement, le fait qu'il ait coûté cher, ça se voit parce qu'il y a énormément de... de scènes dans différents endroits différentes régions du monde et moi j'ai trouvé ça vachement beau et j'ai trouvé ça intéressant parce qu'on a l'habitude des blockbusters américains qui sont quand même centrés sur leur histoire et tout et là c'est un peu différent, il y a beaucoup les Etats-Unis il y a beaucoup le salon Oval mais déjà on voit que c'est pas les américains c'est différent c'est pas comme eux ils se représentent eux-mêmes et du coup j'ai trouvé ça vachement intéressant et en plus je dois dire que effectivement la... le Covid en tête évidemment et avant en 90 il y a eu le SRAS qui a énormément touché l'Asie et je trouve que c'est un film de virus effectivement d'apocalypse lié à une maladie qui est hyper efficace toute cette première partie là du film je la trouve vraiment top aussi avec les mecs qui sont bloqués en Antarctique c'est le bordel Ils n'ont pas de nouvelles de leur famille, évidemment, parce qu'il n'y a plus personne au fur et à mesure. Et je trouve que, franchement, on s'attache... Moi, en tout cas, j'ai trouvé qu'il y avait plein de personnages hyper chouettes. Notamment, je crois que c'est la femme ou l'infirmière...

  • Speaker #1

    Ce qui est la femme du scientifique qui est parti...

  • Speaker #3

    Voilà, exactement. Il y a cette scène avec la bougie et tout ça...

  • Speaker #1

    Dans l'hôpital.

  • Speaker #3

    Quand elle rentre chez elle, avec l'enfant et tout. Je trouve ça vachement beau. Non, j'étais hyper impressionnée. Franchement, bravo.

  • Speaker #1

    Ok,

  • Speaker #0

    bravo.

  • Speaker #2

    Je suis un peu moins enthousiaste. Non mais oui, c'est un peu un ovni. Oui,

  • Speaker #1

    c'est un film étrange.

  • Speaker #2

    Mais oui, c'est pas du tout un mauvais film. Non, non,

  • Speaker #1

    non. C'est juste un peu raté et très ambitieux. Ouais,

  • Speaker #2

    c'est ça. Moi je trouve qu'il y a trop de trucs. Ah bah bien sûr. Il y a trop de parties, trop d'histoires. Et en même temps, il y a trop de trucs. Et en même temps, je trouve qu'il ne se passe pas grand-chose. Après, c'est peut-être un peu teuteux. Mais moi, j'aurais bien aimé qu'il y ait un peu des oppositions, des rébellions. Tu vois, quand il y a ce nouveau gouvernement qui se forme en Antarctique et tout. Et que, notamment, cette histoire de 855 hommes pour 8 femmes. et que t'as une toute petite scène avec une femme qui craque complètement en disant qu'elle s'est faite violer et voilà en fait on passe très vite à autre chose il y a une petite réunion sympa il y a une petite réunion on les viale bon bah voilà c'est comme ça il y a ça pour les rapports hommes-femmes mais en fait c'est un peu ça dans tout le film il y a jamais vraiment personne il y a un peu un consensus tout le temps dans le film où ils arrivent tout le temps à être d'accord finalement ce qui est bon tant mieux on a envie de dire Mais en même temps, je trouve ça étrange. Il y a un peu des trucs qui fonctionnent pas vraiment.

  • Speaker #3

    Pour moi, c'est vraiment de l'ordre de la sidération. Parce que tous ces personnages... Moi, j'ai adoré les scènes notamment de course-poursuite. Parce qu'il y en a un qui s'échappe à un moment donné dans l'Antarctique. Et il y a une scène de course-poursuite qui est assez longue dans cette espèce d'environnement horrible avec le blizzard. C'est hyper beau. Et où en fait, c'est très pathétique. parce que c'est vraiment un micro-événement qui est montré pendant peut-être 10 minutes alors qu'effectivement l'effacement de la planète tu le vois en juste des images qui passent comme ça moi j'aime bien ce truc d'échelle un peu distordu c'est

  • Speaker #2

    pas inintéressant mais après c'est un peu long oui mais comme tu dis Léo je... C'est dommage que ce soit un peu tombé aux oubliettes,

  • Speaker #1

    parce que c'est un film bizarre. Et même pour l'année où il est sorti, avoir un gros blockbuster japonais comme ça, avec autant d'envergure internationale, je trouve que c'est assez chouette.

  • Speaker #3

    Avec un cadrage mondial,

  • Speaker #1

    c'est intéressant. Et avoir un point central qui est en dehors de la guerre froide. qui est ni du côté américain ni du côté de l'URSS qui se place un peu entre et qui propose ce truc en Antarctique avec un gouvernement formé par les pays restants c'est différent de ce qu'on pouvait voir en termes de blockbusters à cette époque c'est vrai qu'il est très beau il

  • Speaker #0

    y a des trucs qui sont vraiment chouettes moi je suis un peu d'accord avec vous trois en même temps mais non mais on a fait le truc de l'Antarctique c'est vrai sauf que je suis peut-être celui qui est le moins aimé en tout cas des échos en fait moi j'ai du mal je suis d'accord avec vous dans le sens où je trouve que l'objet est intéressant et c'est quand même c'est un film qui n'existe pas ailleurs ou en tout cas traité de manière extrêmement différente les sites et sites Après, il y a une partie de moi quand même, quand je regarde le film, qui ne peut pas s'empêcher de trouver ça dommage. Parce que je me dis, c'est vrai que faire 2h36 de...

  • Speaker #3

    On a interrompu.

  • Speaker #1

    Il y a des CRS qui passent là.

  • Speaker #0

    On a interrompu. Par les 80 000... Ouais, bon, ils sont là. Non, mais je ne peux pas m'empêcher de me dire, ouais, en fait, faire 2h36 d'un film avec une envergure aussi importante, une ambition de filmer un drame à l'échelle internationale et tout ça, pour finalement créer 6 peu de situations d'adversité, d'antagonisme poser finalement si peu de questions je trouve que c'est une occasion manquée de ce point de vue là et effectivement que tous ces gens trouvent le consensus en permanence je trouve ça extrêmement étrange et il y a un truc aussi que j'aime pas dans le film mais ça je crois que c'est Je ne sais même pas si c'est un truc qui est intentionnel ou si c'est parce que le film est prisonnier de son époque. Mais c'est quand même un film qui est très japonais dans son identité par plein de trucs, d'un point de vue formel, et qui ne peut pas s'empêcher de recracher des espèces de codes du cinéma américain que je trouve dommage. Je ne sais pas si c'est une question... de pression, d'argent qu'ont fait que les studios ont imposé cette touche américaine mais je sais pas, je trouve ça ultra chelou cette histoire de discours avec le mec l'amiral à la fin enfin le président des Etats-Unis qui dit à l'amiral en Antarctique God bless America et America fuck yeah en permanence, enfin en fait je trouve ça trop bizarre quoi que il y ait ça à l'intérieur de ce film même avec l'armée,

  • Speaker #1

    la représentation de l'armée américaine, il y a quand même

  • Speaker #0

    une volonté de caricature je pense qu'elle est assez évidente oui mais c'est pas satirique non c'est pas du tout une critique en fait oui c'est pas du tout une critique ça embrasse vraiment les codes et je pense que moi je peux pas m'empêcher de me dire parce que ce gars là tu vois on l'a vu dans Battle Royale c'est un film que j'aime pas mais pour plein d'autres raisons et d'ailleurs c'est lui aussi qui est sur le 2. Oui, oui, oui. Le 2 qui est une... à mon sens, une infâme purge. Mais ce gars-là, il a quand même une identité propre. Il a quand même... Et je trouve ça ultra bizarre.

  • Speaker #3

    Voilà. Je suis tout à fait d'accord avec toi et je crois que moi, c'est ce que j'aime bien. C'est que ça soit un objet de culture mainstream, mais au sens premier du terme. C'est-à-dire qu'à ne pas vouloir prendre de point de vue, en fait, tout est très lissé. dans une espèce d'humanité mais sous l'aune des Etats-Unis parce qu'on est coupable quand même c'est eux qui ont le plus gros temps de parole et c'est vrai que c'est particulier tu te dis bon bah je sais pas je trouve que ça en fait moi ce que je trouve marrant c'est que là où des missions impossibles, des James Bond des trucs comme ça qui vont faire des grands panoramas sur toute la planète autour d'un personnage qui se pose beaucoup de questions justement du bien du mal ces questions-là n'existent pas dans le film-là parce qu'il n'y a pas vraiment de personnage principal et il n'y a pas vraiment de questions traversées. C'est plus un état... Oui,

  • Speaker #0

    mais ça fait partie de mes problèmes avec le film. Je trouve que dès lors que effectivement le personnage du film ou en tout cas le centre du film n'est plus un personnage mais une situation... On avait vu ça avec les Tranglers de Boston. où il y a cette volonté de faire un film où il n'y a pas vraiment de personnage principal où le personnage principal dans les Tremors de Boston c'est la ville, c'est les médias c'est tous ces réseaux là là il y a un peu cette idée là c'est le monde c'est un film monde et du coup je trouve que quand ton ambition de cinéma enfin je dis ça, le mec qui donne les conseils mais quand ton ambition de cinéma c'est de faire ça ... Je trouve ça un peu dommage, si tu veux, que... Et donc, c'est pas un film, effectivement, de personnages, de destin, de narration et tout ça. Je trouve ça dommage qu'il y ait un peu cette... Oui, je trouve qu'il y a là aussi encore une occasion manquée. C'est-à-dire que malgré les moyens, je trouve qu'il n'y a pas de réel effort de mettre ça en scène. Enfin, voilà. À part au début, où il y a effectivement peut-être cette espèce d'éphéméride où on voit tous les mois ce qui se passe et on a des situations différentes. Il n'y a pas de réelle volonté de mettre ça en scène. De mettre en scène le monde... Voilà. Je trouve ça chelou. C'est un film un peu bizarre.

  • Speaker #3

    Il n'imprime pas beaucoup.

  • Speaker #2

    Je crois qu'on est d'accord sur le mot bizarre.

  • Speaker #1

    Le mot bizarre.

  • Speaker #0

    En tout cas, c'est vrai que c'est un truc à voir. Oui. J'étais un peu d'accord avec vous trois. Super. C'est vrai. Après, j'avoue, je ne me suis pas... Je l'ai regardé en deux fois. Au début, je me suis dit pourquoi Léo nous déteste tant ? Qu'est-ce qu'on a fait ? Et en fait, après, c'est passé. Tu vois, genre au bout de 45 minutes, j'étais dedans. Et j'étais dans le train. Et voilà.

  • Speaker #1

    T'étais dans le sous-marin.

  • Speaker #0

    Ouais, j'étais dans le sous-marin. Super. Et voilà. Mais oui, oui. On laissait en passer les 2h36.

  • Speaker #1

    On laissait en passer, effectivement. Je ne sais pas ce qu'elle vaut la version. Je pense que ça ne vaut pas trop le coup.

  • Speaker #0

    Je crois que ça ne vaut pas le coup, en vrai, parce que je suis allé voir sur Internet. Et je crois que le montage est complètement différent et le film n'a rien à voir, en fait. Je crois que c'est un peu un montage... Ce n'est pas complètement à l'envers, mais un peu. Ça part de la situation en Antarctique et ça remonte dans le temps. C'est très chelou. Alors qu'au début... tu vois des images de l'Antarctique et tout mais après on te dit ok la situation c'est ça et maintenant on va vous raconter comment on en est arrivé là et le film la version d'une heure quarante c'est genre c'est complètement autre chose, ça raconte complètement autre chose de ce que j'ai lu je t'avoue que je me suis pas maté après les deux heures quarante t'as pas fait les deux pour faire un petit comparatif voilà voilà virus quoi et le titre est cool le plan qui donne la pochette du film est très cool oui oui oui c'est la fin t'as tout spoilé oui oui ça va ça va par contre c'est pas du tout gore y'a pas du tout de des zombies il faut pas s'attendre à voir ça ah non non dommage Oui, oui.

  • Speaker #2

    je suis sûr que c'est pas 28 jours plus tard ou même 28 ans plus tard et oui ça l'a peut-être inspiré peut-être oui je pense que ça a eu partie des films importants oui je pense aussi,

  • Speaker #0

    t'as raison sur comment raconter une histoire mondiale et en parlant d'histoire mondiale ah bah non y'a vraiment pas de lien En parlant de virus

  • Speaker #2

    Le virus du patriarcat

  • Speaker #3

    Ah

  • Speaker #2

    C'est pas mal

  • Speaker #0

    Et double ce virus tueur invisible

  • Speaker #2

    Oui

  • Speaker #0

    Pas mal aussi On va passer au film de Lola Musique Euh... Lola, quel est ce film que tu as sélectionné pour cet épisode spécial rentrée ? Troisième rentrée d'Horreur du Dimanche.

  • Speaker #3

    Ouais, c'est vrai. Ça commence à faire long. Pardon, j'ai un bout de pain entre les dents.

  • Speaker #0

    Le respect est mort. Désolé.

  • Speaker #3

    Moi, j'ai choisi Invisible Man, le dernier. Oui, du coup, je disais le dernier, c'est celui qui est sorti en 2020, réalisé par Lee Wan-El, qui a récemment fait Wolfman, que moi j'ai beaucoup aimé malgré les mauvaises critiques.

  • Speaker #0

    Ouais, moi aussi j'ai bien aimé, je suis d'accord.

  • Speaker #3

    Bah ouais. Vous avez eu des mauvaises critiques ?

  • Speaker #0

    Ouais,

  • Speaker #3

    ouais, Wolfman.

  • Speaker #0

    Les gens ont dit que c'était bête.

  • Speaker #3

    Mais je ne suis pas d'acte. Lee Wan-El, c'est un réalisateur américain. Le film, c'est une prod... Il est australien, pardon. C'est une prod australienne et américaine.

  • Speaker #0

    Tu sais de qui c'est le meilleur pote, Lee Wan-El ?

  • Speaker #3

    Tu me regardes comme si je devais le savoir ?

  • Speaker #0

    Non, tu ne dois pas forcément le savoir.

  • Speaker #2

    James Wan ? Ah, Zingo ! Quand il a l'œil qui brille comme ça.

  • Speaker #3

    Ah oui,

  • Speaker #2

    c'est vrai qu'il avait l'œil fou un peu.

  • Speaker #0

    C'est lui qui a coréal Saw, le premier, avec James Wan. C'est son poteau.

  • Speaker #2

    Avant que The Collectionist ne vienne.

  • Speaker #0

    C'est pas The Collectionist, tu confonds.

  • Speaker #2

    Non, mais tu sais, les mecs qui... Ah oui,

  • Speaker #0

    oui, oui. Oui, oui, oui.

  • Speaker #1

    Encore en océan.

  • Speaker #3

    Tout le monde est disciple d'un star, c'est toujours pareil.

  • Speaker #0

    Non,

  • Speaker #3

    non, rien n'a changé. Ouais, du coup. Ouais. James, ouais. Ouais, ouais. Là, c'est un film avec Elisabeth Moss, qu'on connaît bien, qui est scientologue, je l'ai appris il n'y a pas longtemps. Non, mais qui surtout...

  • Speaker #0

    J'ai envie de dire...

  • Speaker #3

    Voilà, qui est l'actrice principale de The Handmaid's Tale, donc la série. un peu événement de ces dernières années. Là, qui est dans le rôle de Cecilia, il y a aussi Aldis Hodge qui joue James, qui est son ami policier. Dans le rôle d'Adrienne Griffin qui est son mari, il y a Oliver Jackson-Cohen et j'ai noté la jeune actrice Storm Red qui joue Sydney, donc la fille de James.

  • Speaker #2

    Qui joue dans Euphoria.

  • Speaker #3

    Qui joue dans Euphoria, tout à fait. Donc, de quoi ça Merci. par Invisible Man. Donc là, c'est l'histoire de Cecilia Cass, comme Patricia. Cass.

  • Speaker #0

    Mon mec ! Mais quel RT !

  • Speaker #2

    Je me fais l'entendant parce qu'on ne pourra pas beaucoup rire après pendant ce film.

  • Speaker #0

    J'ai tellement la vision de Camille en cosplay Patricia Cass. Avec une coupe courte.

  • Speaker #2

    J'adore ! Quelle star Patricia, quelle femme !

  • Speaker #3

    Mais qu'est-ce qui est bien ? Bon, on en parlera.

  • Speaker #2

    Elle travaille beaucoup en Russie ? Oui,

  • Speaker #1

    je crois qu'elle est pas mal en Russie.

  • Speaker #3

    D'accord, ok.

  • Speaker #2

    C'est marrant ce star. C'est marrant,

  • Speaker #1

    il y a...

  • Speaker #2

    Elle disparaît.

  • Speaker #3

    Bon, là, Cécilia n'a rien à voir. C'est une femme qui est victime de violences conjugales, violences perpétrées par son mari, Adrian, qui est lui un richissime scientifique, ingénieur en optique.

  • Speaker #0

    Pour moi, il est ophtalmo. Moi, j'ai tout de suite dit, c'est un ophtalmo.

  • Speaker #3

    Les ophtalmo ne gagnent pas autant d'argent.

  • Speaker #0

    Que tu crois !

  • Speaker #3

    Et bien, quand même, vu la vie qu'ils ont...

  • Speaker #0

    À faire trois cataractes à la minute, t'inquiète que ça y va. À se mettre en secteur 3, t'inquiète que ça y va.

  • Speaker #2

    Lui, il a dû inventer les verres progressifs.

  • Speaker #1

    Les verres qui se teintent tout seuls. C'est ça, en fait.

  • Speaker #3

    Bon, il n'est pas au phtalmo, Thomas dit n'importe quoi. Le film commence par la nuit où Cecilia parvient à s'échapper de son foyer violent avec l'aide de sa sœur Émilie. Et elle va se réfugier chez son ami policier que je citais tout à l'heure, James. Et en fait, elle va apprendre rapidement, je crois au bout de deux semaines, que Adrienne s'est donné la mort. Alors là, elle hérite d'une grande partie de sa fortune qui lui a légué. Et on se dit, cool, tant mieux pour elle. Elle va pouvoir essayer de recommencer à vivre correctement en essayant de surmonter son trauma. Sauf qu'il y a des événements étranges qui vont se produire autour d'elle. Ce qui va la faire douter quant au fait qu'Adriane soit vraiment morte. Que dire de ce film ? J'ai mis Météo, pas là, Mété pas là, Météo, pas là, mais voilà.

  • Speaker #2

    Oh waouh !

  • Speaker #0

    Oh waouh !

  • Speaker #2

    J'adore qu'on arrive à rire parce que ce film m'a mis en PLS. Oui,

  • Speaker #1

    oui,

  • Speaker #2

    oui.

  • Speaker #0

    Choc-bar de Bézède, là.

  • Speaker #3

    Bah oui, mais Vianney, on n'entend plus parler non plus. Allez,

  • Speaker #2

    invisible man.

  • Speaker #0

    Bah oui,

  • Speaker #3

    j'espère que vous avez compris ma blague.

  • Speaker #0

    Ah,

  • Speaker #3

    Vianney, oui. Non, c'était Météo Pala, Invisible Man, quoi. Oui, oui, oui. Putain, mais quand je vous explique sa blague, c'est vraiment qu'elle est foirée, quoi. Ça y est,

  • Speaker #0

    ça y est. Bon.

  • Speaker #3

    C'est bon,

  • Speaker #0

    je l'avais,

  • Speaker #3

    je l'avais. Donc, Invisible Man, l'homme invisible, c'est d'abord... Oui, je traduis, parce que c'est un peu compliqué. C'est d'abord un roman d'Herbert George Wells, qui a été publié en 1897. Et c'est aujourd'hui un livre qui est considéré comme un classique de la littérature fantastique, qu'évidemment je n'ai pas lu, et ça raconte l'histoire d'un scientifique qui invente la formule d'invisibilité, et comme souvent dans ce genre de scénario, il atteste sur lui-même, là dans le roman c'est pour échapper à ses créanciers.

  • Speaker #1

    Hyper bien,

  • Speaker #3

    trop smart. Ouais franchement.

  • Speaker #1

    Je vais faire ça avec les impôts aussi.

  • Speaker #2

    Oh bah d'accord.

  • Speaker #3

    On part tout après. Et bah voilà, renaissance 19ème nous reçoit Non c'est pas vrai,

  • Speaker #2

    je paye pas d'impôts Le coming out libertarien d'or Nous sommes suivis par le fisc 75,019 Je me rends invisible pour échapper aux impôts

  • Speaker #0

    Ils font n'importe quoi avec l'argent Les routes sont toujours cabossées J'étais en RP Les enfants ne savent pas lire quand ils sortent de l'école Merci beaucoup, bravo

  • Speaker #3

    Bon, dans le livre en tout cas Au début, il trouve ça marrant parce que Voilà, c'est cool d'être invisible, mais en fait, rapidement, ça le gonfle. Et c'est surtout que ce personnage, qui a été représenté après par la suite, et dans le livre aussi, avec le visage enveloppé de bandelettes, et toujours le corps recouvert de vêtements, pour pouvoir quand même continuer d'interagir avec les gens. Parce qu'il faut savoir qu'il arrive à se rendre invisible dans le livre, mais qu'il n'arrive pas à redevenir visible. Donc c'est un vrai problème. Et en gros, il devient fou, et il se met à tuer des gens. C'est l'histoire de l'homme invisible de base. Bref, suite à ce roman, il y a une vingtaine d'adaptations cinématographiques qui vont sortir. Le premier, qui est un grand classique, moi je n'ai pas vu. J'ai vu celui de Paul Verhoeven, Holoman, avec Kevin Bacon, qui est sorti en 2000, il me semble. Mais donc, entre le premier et celui de Paul Verhoeven, il y en avait déjà 20. Je crois que là, celui de 2020, c'est le 22e peut-être.

  • Speaker #0

    Mais tu vas chroniquer les 22 films.

  • Speaker #3

    Oui, super. On t'écoute. Et là, ce qui distingue L'Homme invisible de Lee Wannell, c'est que c'est la première fois que cette histoire se concentre sur la victime et non sur l'homme en question. Et quand le film sort, là en 2020, donc c'est à peu près trois ans après l'affaire Weinstein, Et Léonel, il reconnaît clairement que son film s'inscrit dans cette actualité. Après, je ne sais pas si c'est vraiment ce qui l'a poussé à transformer autant l'histoire originale. En tout cas, ce qu'il a fait fonctionne, même si on peut dire que ça surfe un peu sur ça. Mais moi, je trouve que ça fonctionne très bien. Et puis, évidemment, son homme invisible va devenir l'incarnation du traumatisme de Cécilia, son personnage principal. Et en général, l'incarnation de... tous les hommes qui frappent, violent impunément comme si personne ne les voyait. Mais en fait, on vous voit les gars maintenant. Et puis, dans ce film, on voit et on ressent avec Cécilia le fait que personne ne la croit. Je trouve que ça crée une tension. Moi, ça me tendait le film. J'étais en mode, mais putain, je comprends pas pourquoi personne ne l'écoute. On voit bien qu'il se passe des trucs bizarres et qu'elle n'est pas folle. Et on sait qu'elle est harcelée. Mais les preuves sont invisibles, comme souvent. C'est des gros parallèles avec ce qui se passe dans la réalité.

  • Speaker #0

    Je t'interromps deux secondes, mais moi, je trouve qu'on ne voit grave pas les preuves. Et justement, on a trop envie de... Non, mais du coup, moi, c'est ça que je trouve qui est horrible. C'est qu'on a trop envie de penser qu'elle est vraiment folle, tu vois.

  • Speaker #3

    Ah ouais, peut-être, mais moi je trouve que c'est vite...

  • Speaker #0

    Oui, parce que le parti pris est de son côté et le film est fait de son côté, mais en fait, d'un point de vue extérieur, quand tu regardes le truc, tu dis...

  • Speaker #3

    On est en colère parce qu'on voit qu'il n'y a pas de preuves, mais on sait très bien que...

  • Speaker #0

    Tu comprends les réactions des gens autour d'elle.

  • Speaker #3

    Oui, mais c'est ça qui met en tension, justement. Moi, ce que j'aime beaucoup aussi dans le film, c'est les scènes d'action qui sont très réussies. Il y a notamment celle de l'hôpital. Et qui se poursuit après sur un parking sous la pluie. Et en fait, là, je me suis renseignée parce que je me disais, mais c'est trop bizarre. Il y a un effet un peu jeu vidéo bizarre. La caméra fait des trucs chelous. En fait, c'est effectivement, il y a une caméra spécifique qui est utilisée, qui est une caméra robotisée dite de motion control, donc contrôle du mouvement. En fait, on va programmer par ordinateur. Tous les déplacements et les réglages de la caméra de manière hyper précise, sur un logiciel, avec un timing et tout, pour qu'on puisse ensuite répéter, modifier les prises autant qu'on veut. Et à l'inverse de ce qui se passe d'habitude quand on tourne un film, c'est que là, c'est l'acteur, l'actrice qui va suivre la caméra et pas l'inverse, parce que tout est programmé. Donc il faut que, seconde 3, on soit à tel endroit de la pièce, parce que la caméra, elle y sera. Et du coup, ça a un rendu presque... bizarre, pas réel en fait. C'est pour ça que je disais jeu vidéo mais ça fait un peu cinématique.

  • Speaker #0

    Je sais pas si tu as vu son film d'avant Upgrade.

  • Speaker #1

    Ah oui c'est 100%

  • Speaker #0

    jeu vidéo ce film. Et Upgrade il fait ça tout le temps, il utilise ce processus tout le temps dans les scènes d'action. Ce qui rend le film très... moi je trouve assez cool.

  • Speaker #1

    Oui et puis son film d'avant c'est vraiment un jeu vidéo porté en film en fait, sur le principe. C'était pas mal ouais.

  • Speaker #3

    Je ne l'ai pas vu, mais c'est vrai qu'il en parle beaucoup pour expliquer ce qu'il a fait pour ces scènes d'action. Non, du coup, très cool. Et pour finir, moi, je spoil aussi, tant pis, mais il y a un twist final qui nous interroge et qui pose la question de Est-ce qu'Adriane est vraiment un génie du mal qui a orchestré toute cette machination ou bien juste un sale type violent qui est en fait victime de la vengeance de son frère jaloux ? Donc, on ne saura pas vraiment, mais ce qui du coup... pose aussi la question de la punition sans la justice, sans le procès. Et d'un côté, c'est vrai qu'on comme disait Thomas, on est du parti de Cécilia donc on s'en fout grave que ce mec qui meurt est de l'autre, qui meurt de la main de Cécilia sans qu'on sache s'il a réellement enfilé ce costume d'homme invisible à un moment dans le film pour la torturer bah en fait ça pose question de comment, voilà quel est le jugement dans ce genre de cas. C'est pas si simple. Donc est-ce que le œil pour œil, dent pour dent, c'est ok ? Enfin, jusqu'où en tout cas ? Je ne sais pas, je n'ai pas la réponse. Mais en tout cas, c'est un film que j'ai beaucoup aimé. Voilà.

  • Speaker #0

    Camille, ça t'a fait bader,

  • Speaker #2

    toi ? Oui, je pense qu'il faut vraiment un gros trigger warning pour ce film parce qu'il est quand même hyper efficace, notamment sa scène d'ouverture, elle est assez fantastique sur l'évasion. de Cecilia qui essaie d'échapper à ce mec qu'on n'a pas vu debout. On le voit juste coucher et il nous fait très peur pour autant. Je trouve que c'est un film qui est franchement dur à regarder. Moi, je n'ai vraiment pas pris beaucoup de plaisir au début parce que je reconnais qu'il est très efficace et tout. Mais moi, je trouve que... Je veux juste dire pour les gens qui craignent un peu ce genre de sujet ou... Cette situation d'hypervigilance, on la ressent, je trouve, et on la vit avec le personnage féminin hyper, hyper fortement. Notamment dans une des premières scènes où il est dans la chambre. Et je trouve qu'il y a un truc vraiment très violent. J'ai eu très, très peur pendant ce film. Et c'est un vrai cauchemar parce que la violence qui est faite aussi... autour des gens qu'elle aime, c'est très dur. C'est surtout les femmes qui se font faire du mal dans ce film-là. Je trouve qu'Elisabeth Moss, c'est évident, mais c'est hyper important que ce soit elle qui tienne ce rôle-là parce qu'elle porte vraiment tout. Qu'il soit là ou qu'il ne soit pas là, peu importe. D'un seul coup, les vides deviennent terrifiants et deviennent pleins.

  • Speaker #3

    C'est incroyable.

  • Speaker #2

    Comment il filme les vides. Il n'y a pas de screamer, il n'y a pas de truc comme ça dans tous les sens, mais pour autant, c'est très bien. Je dois dire que les scènes d'intérieur sont assez fantastiques. Je suis moins convaincue par la fin. Moi, par le twist, le machin, le truc, ça m'intéressait moins. Mais moi, surtout, je me disais que le personnage était tellement dans une situation infernale, que la résolution ne peut être que violente. C'est soit elle, elle meurt, soit lui, il meurt. Mais en fait, les deux ne peuvent pas coexister. C'est évident, vu la situation qui se passe. Donc voilà. Mais c'est un film intéressant sur le PTSD, évidemment, sur l'emprise aussi, parce qu'il y a quand même toute cette idée que Adrienne, en mourant, lui lègue de l'argent. Et donc, elle hérite de cet argent-là. Et en même temps, c'est toujours un lien avec ce mec. C'est... Ouais. c'est assez rude tu l'avais jamais vu toi ? non j'avais jamais vu il m'avait choqué la première fois j'avais jamais vu et en fait il est limpide dans ce qu'il raconte on sait exactement de quoi ça va parler mais je trouve que c'est violent Et c'est marrant, ça m'a fait penser un peu à un film dont tu avais déjà parlé, celui qui se fait dans les bois, là, tu sais, avec la meuf muette, avec un tueur à l'extérieur. Ah ouais, ouais, ouais. Ah, oui. Que j'avais pas aimé, pour le coup, parce que je trouvais que, en fait, la torture du personnage féminin, il était... Enfin, c'était pas trop justifié. Là, je trouve que le sujet de la violence conjugale, en fait, rend les scènes, justement, d'angoisse et de torture de ce... personnage féminin comment dire plus véritable donc ouais non très chouette enfin très chouette on a compris c'est

  • Speaker #0

    rigolo t'as un peu l'avis que j'ai, ça me rappelle la première fois parce que moi je pense que c'est la 3 ou 4ème fois que je le vois mais du coup il m'a fait beaucoup d'effets la première fois aussi en salle notamment où j'avais trouvé le film dur et hyper maîtrisé j'avais un peu cet avis là que j'ai toujours un peu d'ailleurs après juste pour redonner des petits éléments quand même de contexte Livanel il est dans un truc où il a il est en train d'exploiter en gros les Universal Monsters donc Donc il fait son Invisible Man, et là il fait son Wolfman, qui est sorti l'année dernière. Et en fait, clairement, de ces deux films, il y a quand même un angle qui a l'air de se profiler, une vision qui a l'air de se profiler, c'est d'essayer de tourner ça pour décrire des situations de masculinité toxique. Et là où Invisible Man est du côté complètement du personnage d'Elizabeth Moss, n'est jamais... du côté de son bourreau, donc d'Adriane. Wolfman, lui, va se concentrer plutôt sur l'intérieur de l'homme, qui est donc le loup-garou, et donc va poser les questions de comment un homme arrive à être violent, pourquoi... Il pose la question de la transmission, en tout cas, de... Est-ce qu'il y a... En tout cas, dans Wolfman, le mec, en fait, a peur de devenir violent parce qu'il a lui-même été victime de violence quand il était gosse. donc il pose cette question là mais il est du côté du personnage masculin en montrant les conséquences sur son environnement familial les conséquences de sa transformation et là je trouve que dans Invisible Man il y a un truc qui est très très donc Wolfman marche un peu moins bien d'une certaine manière parce qu'en fait en terme de film d'horreur pur parce que ce qui est intéressant je trouve dans Invisible Man c'est qu'il y a un truc qui est hyper efficace, c'est qu'il y a une règle du film d'horreur respecté quasiment jusqu'au bout. Et je trouve que c'est là que la scène de fin a un intérêt. C'est qu'il ne montre jamais le mec. On ne le voit jamais. C'est-à-dire que le visage de ce mec n'est jamais filmé. On le voit peut-être ses dents à un moment donné parce qu'il a une dentition un peu bizarre, l'acteur. On le voit de loin.

  • Speaker #1

    On le voit courir au début.

  • Speaker #0

    Et en fait, on ne te montre jamais le monstre. Parce qu'il est invisible. C'est vraiment... Je trouve extrêmement intelligent d'avoir choisi cette histoire et de raconter ça comme ça.

  • Speaker #1

    de revisiter ce mythe là comme ça ça en fait un truc assez cohérent du coup transformer le point de vue et en faire un vrai monstre ou méchant de film d'horreur et moi je suis d'accord les scènes d'intérieur et de maison et du coup je pense que c'est pour ça que tu penses à Hush aussi où il y a beaucoup ces scènes filmées en intérieur et là la caméra qui laisse une énorme place au vide dedans C'est giga oppressant et moi c'est la deuxième fois que je le vois et pareil la première fois, le niveau d'alerte dans lequel t'es pendant tout le film, il est vraiment énorme. Et ouais, c'est vraiment maîtrisé parce que dès le début en fait, t'es comme ça, tu sais ce qui se passe dès le départ et du coup tu cherches avec elle dans la maison et tu sens la présence et c'est assez fort d'arriver à l'avoir fait sans qu'il y ait rien en fait. Alors il y a un moment où tu vois la buée quand même à l'extérieur, la condensation mais... A part ça, en fait, c'est juste de la suggestion. Moi,

  • Speaker #2

    je trouve qu'il y a le truc du drap qui est génial.

  • Speaker #1

    Les pieds sur le drap.

  • Speaker #2

    Oui, mais c'est de l'ordre du cauchemar. C'est ça qui est génial.

  • Speaker #1

    Ça fait paralyser du sommeil,

  • Speaker #2

    clairement. Au début, si tu veux, la question de est-ce qu'il est là ou pas, m'importe peu, dans le sens où, de toute façon, il est dans sa tête.

  • Speaker #1

    Et ça peut être une manifestation d'un trauma qui est encore très récent. Et en fait, ça ne s'arrête pas au moment où elle part. Ça continue. Et du coup, c'est pour ça, peut-être que tu as le doute au début. Oui, peut-être que c'est dans sa tête. Après, le film s'appelle Invisible Man, donc tu te doutes que...

  • Speaker #3

    Oui, c'est vrai que...

  • Speaker #1

    il casse le suspense rapidement en tout cas je trouve que c'est une belle façon de parler à quel point c'est inscrit partout dans ta vie après un traumatisme comme ça, et que tu ne peux pas le faire partir comme ça, et du coup le mettre sous forme d'un spectre, d'une présence qui te suit au quotidien et qui te pourrit la vie même après, même sa mort là, en l'occurrence, c'est très malin.

  • Speaker #2

    Oui, et puis ta culpabilité à elle aussi, tu vois, parce qu'il y a une part de culpabilité, évidemment, quand on pense qu'il s'est suicidé après son départ à elle.

  • Speaker #1

    Tu vois, moi, la fin, c'est pareil, j'avais pas trop aimé. Et en fait, ce que t'as dit tout à l'heure sur la réflexion, sur le jugement, je trouve que ça change le rapport à la fin aussi. Moi, je l'avais pas forcément vu comme ça et du coup, je prends un peu mieux le twist maintenant que j'ai vu,

  • Speaker #0

    je pense.

  • Speaker #3

    T'as une réflexion dans la réflexion.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #0

    je trouve ça effectivement pertinent.

  • Speaker #2

    Moi, c'est plus le personnage du frère. La fin en elle-même, je la trouve OK, tu vois. Oui, oui. C'est le personnage du frère, bon... Oui, oui,

  • Speaker #3

    je suis d'accord.

  • Speaker #0

    Non, mais ça, c'est sûr. Ce twist... En fait, ils étaient deux.

  • Speaker #2

    Oui, voilà. D'accord.

  • Speaker #3

    Mais c'est juste de poser la question de... En fait, est-ce que c'était vraiment lui qui la torturait, même après qu'elle se soit évadée ?

  • Speaker #0

    Et du coup, est-ce que t'es vraiment OK avec ça ? Et voilà.

  • Speaker #3

    Alors qu'on prend plaisir au fait qu'il meurt. Moi, clairement, à la fin, tout le monde s'en fout.

  • Speaker #0

    Mais voilà, alors que c'est ce que j'allais dire. Le film te prend quand même en otage. Il te laisse pas complètement...

  • Speaker #3

    Et avec ce personnage de son ami James

  • Speaker #0

    Je comprends la réflexion de Camille qui dit de toute façon ils peuvent pas vivre tous les deux en même temps parce que c'est vrai que la première fois que tu vois le film t'es en mode de toute façon crève tu vois donc ouais ouais au bout de plusieurs fois que je l'ai vu je me disais ah ouais c'est vrai qu'il y a peut-être ce truc là cette ambiguïté là à la fin mais c'est vrai que la première fois tu le vois c'est vrai que c'est assez

  • Speaker #2

    C'est pas un reproche mais c'est le seul petit point c'est que Merci. effectivement le je trouve le film très réussi mais je le trouve peut-être un peu trop dans le sens où ça va tellement loin cet acharnement contre elle je dis pas que ça n'existe pas au contraire mais ça va tellement loin qu'au bout d'un moment tu t'acceptes en tant que spectateur d'enlever tout esprit critique et tu joues le jeu du film et tu le sais c'est un film qui t'est livré

  • Speaker #0

    clé en main dans le sens où tu dois ressentir ça il y a une forme de prise d'otage mais c'était vraiment voulu oui bien sûr et puis au milieu de ça il y a cette scène d'action de l'hôpital qui est vraiment réussie moi je ne m'attendais pas à voir une scène de gunfight et tu te dis qu'est-ce que ça vient foutre et en fait la scène est plutôt réussie elle est vraiment bien et juste moi un petit mot parce que moi j'aimais beaucoup le Veroven

  • Speaker #3

    Oui,

  • Speaker #1

    il est bien.

  • Speaker #3

    Avec Kevin Bacon, on n'a pas dit.

  • Speaker #0

    Oui, oui.

  • Speaker #3

    Ah si, tu l'as dit. J'ai oublié. On redit, avec Kevin Bacon.

  • Speaker #0

    J'adore dire quand il y a Kevin Bacon, parce que j'adore son glace. Mais moi, j'aimais bien ce film. En plus, je l'ai vu quand j'étais ado, donc c'était un peu bizarre, parce que c'est un gros film de pervers. En gros, Kevin Bacon, il est invisible, il passe son temps à regarder des meufs se décaper.

  • Speaker #3

    Et à les tripoter pendant qu'il est invisible.

  • Speaker #2

    Étonnant pour Verhoeven.

  • Speaker #0

    Et du coup, c'est vrai que le film pose un peu... Enfin, tu vois, c'est un peu les mêmes bases. Le Invisible Man, c'est toujours un... Il tourne globalement mal, à chaque fois. Oui,

  • Speaker #3

    c'est un gros pervers pétère.

  • Speaker #2

    De toute façon, le truc de l'invisibilité, c'est terrifiant. Moi, quand il y a des gens qui te disent « Ah ouais, moi, j'aimerais bien être invisible. »

  • Speaker #1

    Non mais...

  • Speaker #2

    Euh... Ok !

  • Speaker #1

    Tu fais la blague à un gosse, tu lui dis, tu fais semblant qu'il est invisible, c'est terrifiant quand t'es petit. On me l'a jamais faite mais...

  • Speaker #2

    Toi tu l'as fait à combien d'enfants ?

  • Speaker #1

    Une dizaine quoi. D'accord. Non c'est pas vrai, j'ai jamais fait.

  • Speaker #0

    Waouh, cet épisode est à charge très lourd pour Léo. Beaucoup d'aveux, beaucoup de confessions.

  • Speaker #1

    Non mais il y a des vidéos de familles qui font ça à leurs gamins, c'est peut-être pas une bonne idée,

  • Speaker #2

    l'enfant genre chiale quoi. Et en plus il est déçu sur le...

  • Speaker #1

    Ouais, l'enfant vraiment est terrifié et pleure au milieu de la pièce quoi. on est nerveux ici

  • Speaker #0

    C'est l'effet d'option du taf. Juste pour dire que je le trouve suffisamment... Il vient très à distance du Verhoeven. C'est marrant parce que le Verhoeven, je crois qu'il est considéré comme un de ses plus mauvais. Moi, je l'aime bien. En tout cas, il arrive suffisamment à distance et il est suffisamment différent en termes de point de vue pour ne même pas avoir à subir la comparaison. C'est vraiment un film complètement différent. Et puis moi, j'aime bien l'Ivanel. Alors faut peut-être pas trop qu'il s'embourbe dans les trucs à faire toujours un peu le même film là mais en tout cas je trouve ça un... Il y a une certaine maestria, il a une maîtrise du langage du cinéma qui est cool, j'ai hâte de voir ce qu'il va faire après. C'est vrai que c'est pas du niveau de James Wan. Ah c'est hier,

  • Speaker #1

    c'est reparti.

  • Speaker #2

    Bon, allez, nous on va aller rentrer chez nous et mettre l'avion sur le tour.

  • Speaker #0

    On va le laisser. Non mais c'était...

  • Speaker #3

    Et c'est celui qui a fait aussi le chapitre 3 d'Insidious qui n'était pas terrible je crois.

  • Speaker #1

    Je ne sais même pas si je l'ai vu le 3.

  • Speaker #0

    Pour moi, ces films, c'est Upgrade, Invisible Man et Wolfman.

  • Speaker #3

    Il a fait le troisième Insidious.

  • Speaker #0

    C'était de la D.

  • Speaker #3

    Je crois que ce n'était pas ouf.

  • Speaker #0

    Ok, ok. En balai, c'est pesé ?

  • Speaker #1

    Je crois bien. Petit épisode de rentrée.

  • Speaker #0

    Petit épisode de rentrée à la bien. En fait, il n'y a pas trop de physique chimie en vrai. Ah si,

  • Speaker #2

    attends. C'est des scientifiques.

  • Speaker #3

    Moi, il est ingénieur en optique.

  • Speaker #0

    Oui, c'est vrai, ingénieur en optique. C'est vraiment... Bye. Léo c'était quoi ?

  • Speaker #3

    Bah si ton virus c'est quand même un virus créé par les russes Et oui Virus

  • Speaker #2

    Ok Et puis avec les scientifiques qui sont dans l'Antarctique

  • Speaker #0

    Oui les scientifiques sont dans l'Antarctique C'est encore des scientifiques Non mais c'est marrant il n'y a aucun film qui se passe à l'école Bah il aurait pu prendre The Faculty Ou un truc comme ça Oui ça fait plusieurs fois qu'on se dit on aurait pu prendre The Faculty Mais on n'a pas envie de revoir The Faculty

  • Speaker #1

    Ça fait chier Moi j'ai envie de le revoir La vibe année 2000...

  • Speaker #2

    T'inquiète, ça en aura.

  • Speaker #0

    On sait que c'est ton péché mignon, t'inquiète, la vibe année 2000, elle arrive lourd, lourd. Merci d'être là, merci de nous avoir écoutés. Il y a les recos. Ah putain, j'ai oublié. Oui. Il y a les recos. Avant de se quitter, avant que je vous remercie, je vous remercierai qu'après, il y a les recommandations de la rentrée. Quelles recommandations ? On commence par qui ? Quoi ? Vas-y, dites. Voilà, vas-y, lance-toi.

  • Speaker #3

    Ah putain, recommandation de la rentrée. Ouais, moi je me suis mis à la recommandation de dimanche dernier et du coup c'est nul. Du coup moi j'ai noté, j'ai rien fait, j'ai déprimé de la rentrée et puis voilà. Mais ce qui me sauve le moral c'est de retrouver ma cancoyotte à l'œil.

  • Speaker #1

    Ok,

  • Speaker #3

    super.

  • Speaker #2

    Donc, co-culinaire.

  • Speaker #0

    On va se flinguer.

  • Speaker #3

    Non, c'est bien, c'est juste après il faut accepter la mauvaise haleine.

  • Speaker #0

    T'es pas emmerdé par l'Invisible Man avec ta concroïette ça ? Ça ou moins ?

  • Speaker #3

    Je m'en tartine en crème de nuit.

  • Speaker #0

    Tu t'en mets sous les bras. Léo, t'as une reco ? Tu veux qu'on finisse le tour de table pour y penser ?

  • Speaker #1

    Non, je peux faire une reco collective, mais je sais pas si quelqu'un voulait la faire. vas-y vas-y c'est à toi que ça revient c'est ce à quoi je pense je pense que c'est ce à quoi tu penses ben Reco Alpha de Julia Ducournau en fait je croyais que t'allais faire la Reco bloquons tout et tout j'allais dire on peut aussi bloquons tout mais quand vous écouterez l'épisode ce sera peut-être pas trop tard s'il y a encore des actions et des blocages allez-y évidemment mais oui Alpha de Julia Ducournau qui est injustement critiqué avec des critiques assez horribles quand il est sorti alors que en fait ton... on l'a toutes et tous vu là ce soir et en fait on a beaucoup aimé plein de choses oui je crois qu'elle avait besoin de nous d'ailleurs Julia c'est vrai qu'on peut dire c'est pas une partie de plaisir mais on a vraiment beaucoup aimé pour plein de raisons différentes on est content de te retrouver Julia d'ailleurs si tu veux venir donc allez voir Alpha franchement parce que ne vous laissez pas avoir par les critiques négatives Soyez curieux et curieuses

  • Speaker #0

    Et moi les gens j'étais pas dans le train de Julia Ducournau Mais là je suis dans le train Même Thomas vous vous rendez compte

  • Speaker #1

    Lui qui est le sceptique de base de Julia Ducournau Il est à fond On en parle tous les jours aussi maintenant

  • Speaker #0

    C'est vrai on va être deux maintenant Eh Julia Ducournau Alors moi je fais une petite reco Petite reco streamer Moi je vais vous recommander la chaîne de Wissam Zelka Donc Wissam, W-I-S-S-A-M, plus loin que ZLK, X-E-L-K-A, c'est un militant politique associé à Parole d'honneur, le média décolonial, c'est un militant du pire, et donc il est aussi streamer chez Zawa Prod, et il n'a pas du tout besoin de moi pour l'aider parce qu'il est hyper connu et donc il n'a pas besoin de moi pour le défendre mais je voulais juste recommander sa chaîne parce que c'est quand même bien ce qu'il fait c'est best of sur youtube il fait des super donc il fait des vidéos d'actualité tout ça mais il fait aussi des entretiens avec avec des philosophes avec des sociologues avec des féministes avec tout un tas de gens différents qui sont très très C'est très bien que ça s'appelle les WeWeTalk et surtout en ce moment il se prend une sauce de fou où il y a à peu près deux articles par semaine qui sortent pour dire que... Enfin voilà, qui sont des articles un peu racistes qui sortent pour dire qu'il parle trop fort et que c'est pas bien de dire ça. Donc voilà, je voulais vous recommander sa chaîne, c'est vachement bien. Il y a une chaîne YouTube où il y a les redifs des streams, mais sinon on peut le suivre aussi sur Twitch. Voilà, donc WeSamZK, moi j'adore. Voilà, Camille ?

  • Speaker #2

    Oui, moi ma reco c'est le reco de soutien pour le vidéoclub JM vidéo qui est venu par montée à Paris qui est un des derniers si ce n'est le dernier gros vidéoclub de la capitale et qui est en grosse difficulté financière pour vous donner une idée pour ceux qui ne connaîtraient pas ce lieu c'est le décor des interviews Vidéoclub, je crois que c'est le nom, de Combini, avec plein de stars différentes. D'ailleurs, celle avec Juliette Ducournau est super bien. Je vous la recommande aussi, j'en profite. Bref, c'est un lieu super, avec vraiment des gens hyper passionnés au cinéma, et qui, moi, m'ont recommandé mes premiers films d'horreur quand j'étais gamine. Donc, voilà, si vous pouvez les soutenir, je sais qu'il y a une cagnotte Ulule, ou alors, ils m'ont dit que, si vous êtes dans le coin, N'hésitez pas à passer pour prendre un abonnement de 10 films, comme ça ça les soutient, ça les aide.

  • Speaker #0

    Ah bah on peut faire ça, parce qu'en vrai on n'est pas très loin.

  • Speaker #2

    On mettra de toute façon la cagnotulule je pense, dans notre description. Voilà !

  • Speaker #0

    Ouais il a plein de films lui, il a plein de films. Au moins, et même ne serait-ce que de rentrer dedans et se balader dedans, c'est assez fou.

  • Speaker #1

    Les Jones, la génération TikTok par exemple, allez voir ce que c'est un vidéoclub.

  • Speaker #0

    Ah c'est bien, Léo embrasse le rôle de...

  • Speaker #2

    alors malheureusement je crois qu'ils n'ont pas le petit rideau de perles derrière lequel il faut passer pour aller dans les films interdits mais c'est au fond non mais dis pas ça aux jeunes ils sont majeurs non ? les tiktokers maintenant Bon bref

  • Speaker #0

    Camille pervertit la jeunesse

  • Speaker #2

    Tata Folding

  • Speaker #0

    Tout ça partait d'une bonne intention En attendant en vrai même si t'as pas envie de louer un film je pense que rien que d'aller dedans pour voir et regarder un peu tout ça donne de fait envie de de prendre un truc de le louer, d'essayer quoi parce que c'est quand même hyper beau à l'intérieur en tout cas tous ces vestiges,

  • Speaker #2

    ils ont plein de reflets hyper blancs vraiment pour leur donner

  • Speaker #0

    un style de film que vous aimez bien et c'est vraiment leur taf ils le font bien nous avec Diane on y a été et on avait acheté Killer Joe qu'on avait maté c'était bien on en a pas encore parlé je crois non on en a pas parlé encore on a parlé de Bug mais pas de Killer Joe bon

  • Speaker #1

    bah voilà donc cette fois-ci mais t'as fait qu'une reco ça va Thomas ?

  • Speaker #0

    bah attends je fais toujours qu'une reco ? ouais ouais je sais pas si Hollow Knight Sealsong qui est sorti mais pourquoi tu lui as dit ? je sais pas Merci. Les gens, ils savent. OK, c'est tout pour cette fois. On se retrouve dans 15 jours, mais un vrai demain. Merci de nous avoir écoutés jusqu'au bout. Mettez des likes, des j'aime.

  • Speaker #3

    Parce que les likes, c'est...

  • Speaker #0

    Des pouces, des étoiles, des trucs.

  • Speaker #2

    Et des commentaires.

  • Speaker #0

    Et des commentaires. Et abonnez-vous. abonnez-vous non comment on dit sur Instagram on s'appelle on follow ça veut dire pareil il faut nous suivre sur Instagram et Letterboxd et Letterboxd qui est à jour dont on a jamais fait la promo si si on l'avait dit on l'a dit une fois mais si vous voulez un récap facile

  • Speaker #1

    de tous les films qu'on a regardé c'est classé par saison plutôt que de fouiller dans les descriptions Spotify ou Insta vous pouvez aller sur Letterboxd et on a tout listé les films qu'on a vu sur les deux saisons pour l'instant

  • Speaker #0

    Ouais, c'est vrai que tu l'as tenu à jour ?

  • Speaker #1

    Bah ouais, j'ai mis à jour cet été quand on avait fini.

  • Speaker #0

    Et ben voilà, donc merci.

  • Speaker #3

    On rend l'antenne.

  • Speaker #1

    Ouais.

  • Speaker #0

    On rend l'antenne.

  • Speaker #2

    Ciao !

  • Speaker #1

    On l'aurait pas, non, on l'aurait pas celle-ci.

  • Speaker #2

    On la rend pas.

  • Speaker #0

    Salut. Pas grand.

Description

C'est la rentrée de l'Horreur du Dimanche !

Aujourd’hui on parle de savants fous qui n'ont plus tous les fils qui se touchent et de films horreurs.


Les films de l'épisode :

- 5'00" Minor Premise [Eric Schultz]

- 19'51" Au-delà du réel [Ken Russell]

- 41'26" Virus [Kinji Fukasaku]

- 62'13" Invisible man [Leigh Whannell]


Quelques recos (89'00") :

- Lola recommande la cancoillotte à l'ail contre la déprime de la rentrée
- Léo a vu Alpha de Julia Ducournau, et on aime toustes

- Thomas recommande la chaîne du militant politique Wissam Xelka

- Camille soutient le vidéoclub JM Vidéo, en difficulté financière, qui est un des derniers à Paris


⚠️ Attention aux spoilers ⚠️


Lien pour soutenir JM Vidéo : https://fr.ulule.com/jm-video-a-besoin-de-vous/


Réalisation et musique : Brice Thierion

Identité visuelle : Noah Ballul


Pour nous aider n'hésitez pas à nous suivre @lhorreurdudimanche, à vous abonner et à mettre des étoiles sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Podcast Addict, ...😍


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #1

    Le retour du dimanche Le retour du dimanche

  • Speaker #0

    L'horreur

  • Speaker #1

    Le retour du dimanche

  • Speaker #0

    Hello les gens, du dimanche, l'horreur du dimanche, comment ça va ?

  • Speaker #1

    l'horreur du dimanche,

  • Speaker #2

    l'horreur du dimanche.

  • Speaker #1

    A cab !

  • Speaker #0

    Hello les gens, A cab ! comment ça va ? À cab ! À cab. C'est parti. C'est parti ! Bienvenue dans l'horreur du dimanche, Bienvenue dans l'horreur du dimanche, le podcast des films qui font bader, le podcast des films qui font bader. Le podcast de la frousse molle au chaud dans son canapé. le podcast de la frousse molle au chaud dans son canapé, Le podcast blablabla. le podcast blablabla, J'écris tout avec chat GPT, j'écris tout avec chat GPT, de toute façon, de toute façon je m'en... je m'en fous. fou. Mon prompt c'était, Mon prompt, c'était écris-moi une intro en vert dans le style de François Ruffin. écris-moi une intro en vert dans le style de François Ruffin. Donc ça a fait ça. Donc ça a fait ça. Oh non !

  • Speaker #3

    François Ruffin avant ou François Ruffin maintenant ?

  • Speaker #2

    François Ruffin avant ou François Ruffin maintenant ?

  • Speaker #0

    Maintenant, Maintenant, tu sais, tu sais, il fait les rimes. il fait les rimes. Bon allez, Bon allez, on va parler un peu plus sérieux. on va parler un peu plus sérieux. Ça a été les vacances ?

  • Speaker #1

    été et vacances ?

  • Speaker #0

    Ouais. Ouais. On a bien bronzé dans les résidences secondaires. On a bien bronzé dans les résidences secondaires. Hein ?

  • Speaker #3

    Dans tous les Hilton de la Terre.

  • Speaker #2

    Dans tous les Hilton de la Terre.

  • Speaker #0

    Non en vrai je sais que vous êtes pas ce genre d'auditeur et d'auditrice En vrai, je sais que vous n'êtes pas ce genre d'auditeur et d'auditrice, Quoique quoique, Pendant notre break estival Lola m'a montré que Renaissance pendant notre break estival, Lola m'a montré que Renaissance 19ème arrondissement nous avait follow Ouais s'il vous plaît 19e arrondissement nous avait follow.

  • Speaker #2

    Je les ai bloqués

  • Speaker #1

    Je les ai bloqués

  • Speaker #2

    Cassez-vous si vous nous écoutez Arrêtez de nous écouter

  • Speaker #3

    Cassez vous si vous nous écoutez arrêtez de nous écouter

  • Speaker #0

    On est colère là Renaissance 19ème arrondissement Du coup j'ai passé Les vacances de merde Je suis en dépression et je suis reparti Dans une phase de deep introspection

  • Speaker #2

    On est colère là

  • Speaker #0

    Du coup j'ai passé Les vacances de merde Je suis en dépression Et je suis reparti dans une phase de deep introspection En me demandant si j'étais vraiment that kind of droitard. En me demandant si j'étais vraiment That kind of droitard Est-ce à cause de mes positions réactionnaires sur Spring Breakers que je n'aime pas ? Est-ce à cause de mes positions réactionnaires Sur Spring Breakers que je n'aime pas J'ai pourtant fait mon mea culpa auprès d'Harmonie Corrine. J'ai pourtant fait mon mea culpa auprès d'Harmonie Corrine Est-ce à cause de ma chronique de cranc ? Est-ce à cause de ma chronique de cranc Merci. Et c'est à cause de mon flot marinière comptoir des cotonniers ? Est-ce à cause de mon flot marinière comptoir des cotonniers ? Je vois pas le problème. Je vois pas le problème.

  • Speaker #1

    Je pense que c'est parce qu'on a parlé de Christian Clavier. Je pense que c'est parce qu'on a parlé de Christian Clavier.

  • Speaker #0

    Peut-être.

  • Speaker #1

    Peut-être.

  • Speaker #0

    Ah j'avais pas pensé. Ah, j'avais pas pensé.

  • Speaker #1

    Ça leur a mis la puce à l'oreille. Ça leur a mis la puce à l'oreille.

  • Speaker #3

    Le C.

  • Speaker #2

    Le C.

  • Speaker #0

    Est-ce à cause de la énième startup Floppes ayant bénéficié de cadeaux fiscaux montés par Camille ? Est-ce à cause de la énième start-up Floppes qui ayant bénéficié de cadeaux fiscaux montés par Camille ? Est-ce à cause...

  • Speaker #1

    D'accord.

  • Speaker #0

    Gratuit ! Attends Camille, on sait tous, l'auto-entreprise, Est-ce à cause de Lola qui n'a pas de carte vitale tant elle ne veut pas creuser la dette ? on sait tous ce que ça veut dire. Est-ce à cause de Lola qui n'a pas de carte vitale tant elle ne veut pas creuser la dette ? Elle préfère data-miner ? Elle préfère data miner ? Putain mon micro se barre ! Putain, mon micro se barre. Est-ce à cause du t-shirt Queen B for Brigitte arboré par Léo à chaque enregistrement ? Est-ce à cause du t-shirt Queen Bee for Brigitte arboré par Léo à chaque enregistrement ?

  • Speaker #3

    Ah putain,

  • Speaker #2

    Putain mais faut pas le dire ça les gens le voient pas

  • Speaker #3

    mais faut pas le dire, ça les gens le voient pas.

  • Speaker #2

    Renaissance 19 le sait Ils sont par la fenêtre ils nous voient là comme ça

  • Speaker #1

    Renaissance 19 le sait apparemment.

  • Speaker #3

    Ils sont par la fenêtre, ils nous voient là, comme ça.

  • Speaker #0

    Franchement je vois toujours pas le problème Franchement, je vois toujours pas le problème. Bon, Bon je ne peux pas fake plus longtemps Les gens de Renaissance vous pouvez nous écouter je ne peux pas fake plus longtemps, les gens de Renaissance, vous pouvez nous écouter pour devenir meilleurs, Pour devenir meilleur, il n'y a pas de problème. il n'y a pas de problème, Moi, moi je suis pour vous aider à sortir de votre sauce. je suis pour vous aider à sortir de votre sauce. Par contre SVP, Par contre, SVP, venez pas nous follow, venez pas nous follow, c'est gênant et ça me nique mes vacances. c'est gênant et ça me nique mes vacances.

  • Speaker #3

    Ne nous mettez pas dans cette position par rapport aux gens qui nous suivent.

  • Speaker #2

    Ne nous mettez pas dans cette position par rapport aux gens qui nous suivent.

  • Speaker #0

    Et puis après je suis obligé de reprendre mes gouttes.

  • Speaker #2

    Et puis après,

  • Speaker #0

    je suis obligé de reprendre mes gouttes. Ceci étant dit... Ceci étant dit...

  • Speaker #3

    On a une réputation à dire.

  • Speaker #2

    On a une réputation à dire.

  • Speaker #1

    De l'homéopathie. De l'homéopathie, Et voilà. et voilà.

  • Speaker #0

    Ceci étant dit, Ceci étant dit, du coup, du coup c'est l'épisode de la rentrée. c'est l'épisode de la rentrée. Donc le thème, Donc le thème, parce qu'on est des oufs, parce qu'on est des oufs, c'est physique-chimie. c'est physique-chimie. Bon alors vas-y, Bon, alors, il y a une anecdote. Le thème, c'est pas con. Anecdote, anecdote, parce qu'en vrai, parce qu'en vrai c'est un peu un trauma. c'est un peu un trauma. Quand j'étais au lycée, Quand j'étais au lycée, j'avais une prof de physique chimique qui s'appelait Madame L. j'avais une prof de physique chimique qui s'appelait Madame L, Je ne sais pas si j'ai le droit de la doxer ou pas. je sais pas si j'ai le droit de la doxer ou pas, De toute façon, de toute façon elle se reconnaîtra parce qu'elle doit sûrement nous écouter. elle se reconnaîtra parce qu'elle doit sûrement nous écouter. Et bien Madame L, Madame L, quand j'arrivais en cours en retard et sans blouse, quand j'arrivais en cours en retard et sans blouse, elle me disait elle me disait « pas de blouse, « pas de blouse, pas de manipulation » . pas de manipulation » .

  • Speaker #3

    Elle avait l'accent du sud ?

  • Speaker #2

    Elle avait l'accent du Sud ?

  • Speaker #0

    Elle avait un accent bizarre, Exact, elle avait un accent bizarre en fait, en fait. c'était un mélange d'accent du sud et peut-être basque un peu, C'était un mélange d'accent du Sud et peut-être basque, je sais pas. je ne sais pas. Et du coup j'y repense souvent dans mon boulot aujourd'hui, Du coup, j'y repense souvent dans mon boulot aujourd'hui. pas de blouse, Pas de blouse, pas de manipulation. pas de manipulation. Et puis elle avait aussi une belle analyse de la société patriarcale dont elle nous a fait part une fois. et puis elle avait aussi une belle analyse de la société patriarcale dont elle nous a fait part une fois donc je cite madame L les électrons c'est comme les hommes ils n'aiment pas être seuls bon voilà ça suffit comme justification pour pour ce Donc je cite Madame L. Les électrons c'est comme les hommes, ils n'aiment pas être seuls. Bon voilà, ça suffit comme justification pour... Pour ce thème, thème tu vois tu as retenu un très beau dicton les électrons ça va les copains sinon la frite moi la frite l'Afrique.

  • Speaker #1

    tu vois tu as retenu.

  • Speaker #3

    C'est un très beau dicton.

  • Speaker #2

    Les électrons.

  • Speaker #0

    Ça va les copains sinon ? Lélé, la frite ?

  • Speaker #3

    Moi la frite. La Frite au Max, on a mangé des frites en manif aujourd'hui donc c'était super.

  • Speaker #2

    On a mangé des frites en manif aujourd'hui, donc c'était super.

  • Speaker #0

    D'ailleurs j'aime bien, D'ailleurs, j'aime bien, t'as appelé Lélé la frite, t'as appelé Lélé la frite. je trouve que ça sonne bien. Je trouve que ça sonne bien. Continue si tu veux.

  • Speaker #3

    Continue si tu veux.

  • Speaker #0

    Camille ! Camille !

  • Speaker #3

    C'est un AVC ou du DJing ?

  • Speaker #2

    C'est un AVC ou du DJing ?

  • Speaker #3

    On sait pas trop.

  • Speaker #2

    On sait pas trop.

  • Speaker #1

    Ça va Camille ?

  • Speaker #0

    Ça va Camille ? ça va super je suis trop contente d'être avec vous t'étais team Ellipse ou Manuata on en a pas parlé les deux t'étais les deux j'ai pas regardé tous les ans je me disais c'est pour ça je te posais la question moi j'étais pour les deux t'étais pour les deux pour la France en général t'étais pas déçue et

  • Speaker #1

    Ça va super, je suis trop contente d'être avec vous.

  • Speaker #0

    T'étais team Ellipse ou Manuata ? On en a pas parlé.

  • Speaker #1

    J'ai pas regardé !

  • Speaker #0

    je me disais c'est pour ça que je te posais la question moi j'étais pour les deux t'étais pour les deux ouais pour la France en général t'es pas déçu et Lola ouais tranquille ouais pas de migal dans ton PQ pendant ses vacances non ça a été, Lola tranquille pas de migal dans ton PQ pendant ses vacances non ça a été je n'avais pas là où j'étais de PQ ouais donc ça c'est ça c'est une anecdote private joke et d'ailleurs quand on deviendra payant on fera payer cette anecdote

  • Speaker #2

    il y en avait pas là où j'étais de PQ ?

  • Speaker #0

    donc ça c'est une anecdote private joke et d'ailleurs quand on deviendra payant on fera payer cette anecdote en podcast et à la technique c'est vraiment un business model ça et à la technique c'est toujours le règne du despote Brice Thirion d'ailleurs j'ai un message pour toi et à la technique c'est vraiment un business model ça et à la technique c'est toujours le règne du despote Brice Thirion d'ailleurs j'ai un message pour toi Thirion démission

  • Speaker #1

    Thirion !

  • Speaker #0

    démission Tyrion explosion Thirion explosion Thirion putain explosion bravo c'est super voilà l'horreur du dimanche épisode 57 c'est parti c'est maintenant Tyrion putain il a fait le putain explosion bravo c'est super voilà putain l'horreur du dimanche épisode 57 c'est parti c'est maintenant et bah on continue Et on commence tout de suite avec le premier film de l'épisode, On commence tout de suite avec le premier film de l'épisode, c'est moi, c'est moi, c'est moi, c'est moi, c'est moi. c'est moi. C'est mineur prémise le film. C'est minor prémise le film.

  • Speaker #2

    Ouais bah,

  • Speaker #3

    Ouais bah au lieu de dire c'est moi,

  • Speaker #2

    au lieu de dire c'est moi, c'est moi,

  • Speaker #3

    c'est moi,

  • Speaker #2

    c'est moi.

  • Speaker #3

    c'est moi.

  • Speaker #0

    C'est mineur prémise. C'est minor prémise. Ok,

  • Speaker #3

    Ok,

  • Speaker #2

    donc on a la section 1,

  • Speaker #3

    donc on a la section 1, l'anxiété,

  • Speaker #0

    l'anxiété,

  • Speaker #3

    puis l'angoisse.

  • Speaker #2

    puis l'angoisse.

  • Speaker #1

    La section 5 est l'intellect. La section 5 est l'intellect.

  • Speaker #0

    Au lieu de supprimer mes émotions compétentes, Au lieu de supprimer mes émotions compétentes, il me semble qu'on les a isolées. il me semble qu'on les a isolées.

  • Speaker #1

    Et la section 9... Et la section 9... Euphoria.

  • Speaker #0

    Euphoria.

  • Speaker #2

    Donc on a juste besoin de la section

  • Speaker #3

    Donc on a juste besoin de la section

  • Speaker #1

    8. Qui est ce gars ? 8. Qui est ce gars ?

  • Speaker #0

    Et oui, Eh oui, et oui, eh oui, et oui, eh oui ! Minor Premise, Minor Premise, film réalisé par film réalisé par Eric Schultz, Eric Schultz. Et c'est le seul et unique long métrage à ce jour réalisé par ce monsieur. et c'est le seul et unique long métrage à ce jour réalisé par ce monsieur. Film qui n'a pas coûté très cher. Film qui n'a pas coûté très cher, Moins d'un million, moins d'un million je crois, je crois. Deux dollars. deux dollars, Et le film met en scène et le film met en scène Satya Sridharan dans le rôle d'Ethan. Satya Sridharan dans le rôle d'Ethan. Alors cet acteur, Alors cet acteur, je ne peux pas vous donner de... je ne peux pas vous donner de... Il n'a pas de fiche Wikipédia, Il n'a pas de fiche Wikipédia, donc je ne peux pas vous dire ce qu'il a fait d'autre. donc... Je ne vais pas vous dire ce qu'il a fait d'autre. Peyton Ashbrook, Peyton Ashbrook, qui joue le rôle de Ali, qui joue le rôle d'Ali. et Et Dana Ashbrook, Dana Ashbrook, qui joue le rôle de Malcolm. qui joue le rôle de Malcolm. Lui, Lui, il a joué un rôle de figuration dans l'attaque des tomates tueuses. il a joué un rôle de figuration dans l'attaque des tomates tueuses.

  • Speaker #2

    Ah,

  • Speaker #3

    Moi,

  • Speaker #2

    moi, je connaissais l'attaque de la moussaka géante,

  • Speaker #3

    je connaissais l'attaque de la moussaka géante, mais pas des tomates tueuses.

  • Speaker #2

    mais pas des tomates tueuses.

  • Speaker #3

    Ah si,

  • Speaker #0

    Ah si, si, si, je crois que c'est avec George Clooney. je crois que c'est avec Georges Clooney. Super. Super. Donc, Donc, Minor Prémise, Minor Premise, ça raconte l'histoire d'Ethan. ça raconte l'histoire d'Ethan, Alors, je ne sais plus son nom de famille, je ne sais plus son nom de famille. petit prodige des neurosciences, Petit prodige des neurosciences, fils de Paul, fils de Paul, je ne sais plus son nom de famille non plus. je ne sais plus son nom de famille non plus. Au moment où j'ai écrit ces lignes, au moment où j'ai écrit ces lignes j'ai pas retrouvé la section mémoire qui est associée exactement, je n'ai pas retrouvé.

  • Speaker #3

    La section mémoire qui est associée.

  • Speaker #0

    Exactement. Et avec son daddy, et avec son daddy Ethan a inventé une machine pour traiter les informations produites par le cerveau lors d'un effort de remémoration afin de voir se matérialiser devant les yeux ébahis des investisseurs nos souvenirs en Ethan a inventé une machine pour traiter les informations produites par le cerveau lors d'un effort de remémoration afin de voir se matérialiser devant les yeux ébahis des investisseurs nos souvenirs en 480p sur un écran. 480p sur un écran alors à quoi ça sert tout ça alors qu'on fait de la 4K avec un iPhone et bien a priori ça permettrait d'effacer les 10 ou Alors, à quoi ça sert tout ça alors qu'on fait de la 4K avec un iPhone ? Eh bien, a priori, ça permettrait d'effacer les dix souvenirs et aussi de modifier la personnalité des gens. venir et aussi de modifier la personnalité des gens et ça j'ai pas trop compris comment et bon voilà alors Ethan Miskin il a perdu son père et il y a peu et du coup sa vie maintenant c'est un peu d'être un gros connard avec tout le monde donc avec ses étudiants qui l'engueulent parce qu'ils osent le critiquer sur le fait que ses ambitions avec Et ça, je n'ai pas trop compris comment. Et bon, voilà. Alors, Ethan Miskin, il a perdu son père. Et il y a peu. Et du coup, sa vie maintenant, c'est un peu d'être un gros connard avec tout le monde. Donc, avec ses étudiants qui l'engueulent parce qu'ils osent le critiquer sur le fait que ses ambitions avec sa nouvelle machine de con... sa nouvelle machine de con, il veut devenir Elon Musk donc il trouve ça un peu problématique il engueule aussi son ex Ali dont on comprend pourquoi elle a bien fait de se barrer Oui. Il veut devenir Elon Musk, donc il trouve ça un peu problématique. Il engueule aussi son ex, Ali, dont on comprend pourquoi elle a bien fait de se barrer. Et puis, Et puis, il engueule aussi son investisseur, il engueule aussi son investisseur, agent, agent, collaborateur Malcolm, collaborateur, Malcolm, qui a de toute façon, qui a de toute façon, lui aussi, lui aussi, d'être un maxi connard. d'être un maxi-cona. Et donc, Et donc, quand il se comporte pas mal avec tout le monde, quand il se comporte pas mal avec tout le monde, il kill des bouteilles de Jack Daniels. il kill des bouteilles de Jack Daniels. Et donc, Et donc, un soir, un soir, alors qu'il est bien bourré... alors qu'il est bien bourré, il se passe dans sa machine parce qu'il veut booster son intellect et sa productivité. il se passe dans sa machine parce qu'il veut booster son intellect et sa productivité. Et au lieu d'obtenir l'effet escompté, Et au lieu d'obtenir l'effet escompté, il se retrouve dissocié. il se retrouve dissocié. C'est-à-dire que toutes les trois minutes, C'est-à-dire que toutes les 3 minutes... il est habité par une... Six minutes. Ah oui, c'est six minutes, pardon. Elle a bien fait son train. Toutes les six minutes, Il est habité par une nouvelle facette de sa psyché, il est habité par une nouvelle facette de sa psyché fragmentée en huit ou neuf, fragmentée en à peu près, 8 ou 9. je ne sais plus. 9. Merci Camille qui a pris des notes Merci Camille qui a pris des notes. Et donc aidé par son ex Ali avec laquelle il se comportera Et donc, aidé par son ex, Ali, avec laquelle il se comportera de bout en bout comme un gros connard, De bout en bout comme un gros connard Il devra tenter de trouver la solution De l'équation qui permettra il devra tenter de trouver la solution de l'équation qui permettra sa réintégration. Sa réintégration Qui lui permettra de revenir une seule et unique personne Un gros connard qui lui permettra de revenir une seule et unique personne.

  • Speaker #2

    Un gros connard.

  • Speaker #0

    Et d'ailleurs, Et d'ailleurs c'est à mon sens La question posée par le film Est-ce qu'être un gros connard C'est un tout ou la somme De plusieurs fragments de connards c'est à mon sens la question posée par le film. Est-ce qu'être un gros connard, c'est un tout, ou la somme de plusieurs fragments de connards ? Eh bien, Eh bien, j'ai donc la réponse. j'ai donc la réponse. Ethan agressif est un connard. Ethan agressif est un connard, Ethan euphorique est un connard. Ethan euphorique est un connard, Ethan intello est un connard. Ethan intello est un connard, Ethan créatif est un connard qui dessine par terre. Ethan créatif est un connard qui dessine par terre. Ethan... Enfin bref, Enfin bref, vous avez compris. vous avez compris. Donc, donc le film est une espèce de de le film est une espèce de... De Nolan, De Nolan dans le montage et dans le choix de l'intrigue. dans le montage et dans le choix de l'intrigue, Un peu moins cher. un peu moins cher. Mais en vrai, Mais en vrai, ça passe, ça passe, ça m'a diverti. ça m'a diverti. Parce que moi, Parce que moi, d'une manière générale, d'une manière générale, c'est vrai que j'ai toujours tendance à apprécier, c'est vrai que j'ai toujours tendance à apprécier... de manière un petit peu, de manière un peu... peut-être, voilà, je suis un peu client, Je suis un peu client. quoi. J'aime toujours bien les films qui essayent de faire beaucoup avec peu, J'aime toujours bien les films qui essayent de faire beaucoup avec peu, avec peu de moyens. avec peu de moyens. Et autre point intéressant, Et autre point intéressant, mais bon, mais qui reste quand même du défonçage de porte ouverte, qui reste quand même du défonçage de porte ouverte. Il y a une forme de convergence formelle entre ce qui se passe à l'intérieur du personnage et à l'extérieur. il y a une forme de convergence formelle entre ce qui se passe à l'intérieur du personnage et à l'extérieur. Il est un peu enfermé à l'intérieur de son appartement. Il est un peu enfermé à l'intérieur de son appartement. Voilà, bon, bon c'est pas terrible, c'est pas terrible, ça fait pas un film mais en tout cas moi ça en fait un thriller divertissant d'une heure trente et voilà et voilà j'ai pas spécialement envie de le défendre mais j'ai pas spécialement envie de le défoncer non plus je trouve le film un bon divertissement et ça fait pas un film. Mais en tout cas, moi, ça en fait un thriller divertissant d'une heure trente. Et voilà, j'ai pas spécialement envie de le défendre. Mais j'ai pas spécialement envie de le défoncer non plus. Je trouve le film un bon divertissement. Et je trouve que, je trouve que en fait ça me fait plaisir de voir quelqu'un qui essaye et qui essaye d'aller un peu au bout de ce qu'il a envie de faire et voilà donc pourquoi pas en fait, ça me fait plaisir de voir quelqu'un qui essaye et qui essaye d'aller un peu au bout de ce qu'il a envie de faire. Et voilà. Mais donc, pourquoi pas ? Par contre, Par contre, c'est vrai que, c'est vrai que... ouais, bon, Vous parlez du personnage d'Ethan qui est insupportable de bout en bout. parler du personnage d'Ethan qui est insupportable de bout en bout. Voilà. Vous en avez pensé quoi ? Vous en avez pensé quoi ? Allez-y, Allez-y, vous pouvez... vous pouvez...

  • Speaker #3

    Ouais. Moi, je suis...

  • Speaker #2

    Moi, je suis d'accord avec toi.

  • Speaker #3

    Non, je suis d'accord avec toi.

  • Speaker #2

    Par contre,

  • Speaker #3

    Par contre,

  • Speaker #2

    Tabuz,

  • Speaker #3

    Tabuz,

  • Speaker #2

    il a une page Wikipédia,

  • Speaker #3

    il a une page Wikipédia,

  • Speaker #2

    Satya

  • Speaker #3

    Satya

  • Speaker #2

    Sridharan. Écoute,

  • Speaker #0

    Sridharan. Eh ben, écoute, sur le Wiki français, sur le Wiki français, il n'en a pas. il n'en a pas.

  • Speaker #2

    J'ai un VPN.

  • Speaker #3

    J'ai un VPN.

  • Speaker #0

    Ah ok ok ok.

  • Speaker #3

    C'est la queue ça.

  • Speaker #2

    Il accuse.

  • Speaker #3

    Il a quand même eu des tout petits rôles avant.

  • Speaker #2

    Il a quand même eu des tout petits rôles avant.

  • Speaker #3

    Mais ouais moi je trouve que pour une production plutôt fauchée,

  • Speaker #2

    Je trouve que pour une production de plutôt fauché, tu l'as dit.

  • Speaker #3

    tu l'as dit.

  • Speaker #0

    Et puis lui il est bien comme acteur en vrai. Et puis lui, il est bien comme acteur. Oui,

  • Speaker #3

    Ouais il est très bien et moi j'ai trouvé ça vraiment pas mal,

  • Speaker #2

    il est très bien. Moi, j'ai trouvé ça vraiment pas mal. Comme tu dis,

  • Speaker #3

    comme tu dis c'est un bon divertissement.

  • Speaker #2

    c'est un bon divertissement.

  • Speaker #3

    Il y a cette construction non linéaire qu'on a déjà vue,

  • Speaker #2

    Il y a cette construction non linéaire qu'on a déjà vue. Tu disais Nolan,

  • Speaker #3

    tu disais Nolan effectivement.

  • Speaker #2

    effectivement.

  • Speaker #3

    surtout dans ce genre de film mais je trouve que ça fonctionne comme tu dis il va au bout de son truc on sent qu'il avait envie de parler de ça et puis surtout sur le côté scientifique je sais que ça

  • Speaker #2

    Surtout dans ce genre de film. Mais je trouve que ça fonctionne. Comme tu dis, il va au bout de son truc. On sent qu'il avait envie de parler de ça. Et puis, surtout sur le côté scientifique, je sais que ça lui tenait vachement à cœur de travailler ce côté-là.

  • Speaker #3

    lui tenait vachement à coeur de travailler ce côté là du coup ça en fait un résultat un peu verbeux peut-être un peu trop scientifique parfois parce qu'on comprend pas tout un peu jargonneux mais

  • Speaker #2

    Du coup, ça en fait un résultat un peu verbeux, peut-être un peu trop scientifique parfois parce qu'on ne comprend pas tout.

  • Speaker #0

    Un peu jargonneux, oui.

  • Speaker #3

    Et mais...

  • Speaker #2

    Mais je trouve qu'une fois qu'on a passé ça et qu'on se dit de toute façon,

  • Speaker #3

    Je trouve qu'une fois qu'on a passé ça et qu'on se dit de toute façon je comprends pas et on sait même pas si c'est vrai ou si c'est possible,

  • Speaker #2

    je ne comprends pas et on ne sait même pas si c'est vrai ou si c'est possible.

  • Speaker #3

    ça passe.

  • Speaker #2

    Ça passe.

  • Speaker #3

    Donc moi je trouve que ça se regarde vraiment facilement,

  • Speaker #2

    Donc, moi, je trouve que ça se regarde vraiment facilement.

  • Speaker #3

    j'ai passé un bon moment.

  • Speaker #2

    J'ai passé un bon moment.

  • Speaker #0

    Oui, Ouais mais c'est vrai, mais c'est vrai, il y a un truc, il y a un truc... Pardon Léo, pardon Léo, je te laisse. je te laisse, Je rebondis juste sur ce que Lola disait. je rebondis juste sur ce que Lola disait, C'est vrai, c'est vrai il y a un truc que je trouve ok dans la facture du film, il y a un truc que je trouve OK dans la facture du film et tout. C'est le côté un peu reproduction d'interface et de logiciel, c'est le côté un peu... reproduction d'interface et de logiciels, d'ordinateur. l'importance accordée au jargon et à la reconstitution de l'environnement que pourrait être une espèce de labo clandestin dans un appartement comme il a. L'importance accordée au jargon et à la reconstitution de l'environnement que pourrait être une espèce de labo clandestin dans un appartement comme il a. Je trouve que ça, Je trouve que ça, c'est un peu crédible. c'est un peu crédible. Oui, Oui,

  • Speaker #2

    mais il a bossé avec deux autres scénaristes qui ont vraiment travaillé là-dessus.

  • Speaker #3

    mais il a bossé avec deux autres scénaristes qui ont vraiment travaillé là-dessus.

  • Speaker #2

    Donc vraiment,

  • Speaker #3

    Vraiment,

  • Speaker #2

    ça lui naît à cœur qu'on ait ce ressenti de...

  • Speaker #3

    ça lui naît à cœur qu'on ait ce ressenti de...

  • Speaker #2

    On ne comprend pas de quoi il parle.

  • Speaker #3

    On ne comprend pas de quoi il parle.

  • Speaker #2

    Et c'est plutôt pointu,

  • Speaker #3

    C'est plutôt pointu,

  • Speaker #2

    en fait, d'après ce que j'ai compris.

  • Speaker #3

    d'après ce que j'ai compris.

  • Speaker #0

    Et ça rejoint... Et ça rejoint... Pardon encore, Pardon encore, je suis désolé. je suis désolé. En fait, En fait, ça rejoint un petit peu parce que mon choix initial de film, ça rejoint un petit peu parce que mon choix initial de film, c'est un film qui s'appelle Primer, c'est un film qui s'appelle Primer, qui n'est pas du tout un film d'horreur. qui n'est pas du tout un film d'horreur. Encore moins un film de genre, Encore moins un film de genre, qui est quasiment un film... qui est quasiment un film... C'est de la hard Hard SF. C'est un film avec des gens qui parlent de maths et de physique pendant 1h30, SF, quoi. C'est un film avec des gens qui parlent de maths et de physique pendant 1h30, donc c'est extrêmement chiant. donc c'est extrêmement chiant. Et c'est des gens qui inventent un truc qui remonte dans le temps. Et c'est des gens, en fait, qui inventent un truc qui remonte dans le temps. Voilà, Une machine qui remonte dans le temps, une machine qui remonte dans le temps, mais c'est abordé sous l'angle absolument pas sexy du voyage dans le temps. mais c'est abordé... sous l'angle absolument pas sexy du Voyage dans le temps. C'est des gens dans un garage qui parlent de maths et qui se rendent compte qu'il y a des implications potentielles de leur travail. C'est les gens dans un garage qui parlent de maths et qui se rendent compte qu'il y a des implications potentielles de leur travail. C'est un film un peu connu, C'est un film un peu connu, un dé un peu connu. C'est extrêmement chiant. c'est extrêmement chiant. Donc, Donc je voulais pas vous l'infiler. je ne voulais pas vous l'infliger. Mais du coup, Mais du coup... le choix annexe de mineur-premise c'était dans l'état d'esprit de reconstitution le côté huis clos du scientifique fou, le choix annexe de Minor Premise, c'était dans l'état d'esprit de truc un peu de reconstitution.

  • Speaker #2

    Le côté huis clos du scientifique fou,

  • Speaker #3

    moi ça m'a fait penser à Ex Machina de

  • Speaker #2

    moi, ça m'a fait penser à... Ex Machina de Garland, un peu au début,

  • Speaker #3

    Garland, un peu au début,

  • Speaker #2

    après ça s'arrête là.

  • Speaker #3

    après ça s'arrête là en moins cher mais cette démarche un peu film indé thriller SF en huis clos chez un scientifique fou qui crée une machine qui se retourne un peu contre lui en tout cas et

  • Speaker #0

    En moins cher aussi.

  • Speaker #2

    En moins cher, mais cette démarche un peu film indé, thriller SF en huis clos, chez un scientifique fou qui crée une machine qui se retourne un peu contre lui, en tout cas.

  • Speaker #3

    Oui c'était divertissant,

  • Speaker #2

    Oui, c'était divertissant.

  • Speaker #3

    je trouve que c'est plutôt pas mal pour ce que ça propose puisqu'un thriller

  • Speaker #2

    Je trouve que c'est plutôt pas mal pour ce que ça propose, parce qu'un thriller SF tourné avec une personnalité splitée en huit,

  • Speaker #3

    SF tourné avec une personnalité splitée en 8, enfin le concept est sympa.

  • Speaker #2

    le concept est sympa.

  • Speaker #3

    Ah oui en 8,

  • Speaker #2

    t'as raison, il y a lui plus 8.

  • Speaker #0

    Attends elle a dit 9,

  • Speaker #2

    il y a lui plus il a dit 9 ça fait 9 dont lui et après oui sur le côté personnage connard oui et intelligence émotionnelle vraiment naze moi

  • Speaker #3

    t'as mis le temps.

  • Speaker #2

    Oui mais ça fait 9,

  • Speaker #1

    dont lui.

  • Speaker #3

    Vous voyez on s'y perd. Et après oui sur le côté personnage connard, oui, et intelligence émotionnelle vraiment naze. Moi je trouve que Vice Versa fait mieux le taf pour parler de la gestion des émotions dans le cerveau que Minor Premise.

  • Speaker #2

    je trouve que vice versa fait mieux le taf pour parler de la gestion des émotions dans le cerveau que Maynard Prémix

  • Speaker #0

    C'est vrai, c'est vrai.

  • Speaker #3

    Mais non,

  • Speaker #2

    Mais non, sinon ça se regarde quand même bien et il y a des trucs sympas même au niveau de la forme et tout.

  • Speaker #3

    sinon ça se regarde quand même bien et il y a des trucs sympas même au niveau de la forme et tout.

  • Speaker #2

    C'est un bon petit film.

  • Speaker #3

    C'est un bon petit film.

  • Speaker #0

    C'est pas déshonorant. C'est pas déshonorant.

  • Speaker #3

    C'est pas déshonorant,

  • Speaker #2

    C'est pas déshonorant, non.

  • Speaker #3

    non.

  • Speaker #2

    Voilà,

  • Speaker #3

    Voilà,

  • Speaker #2

    faut pas y chercher un propos très abouti sur par contre l'aspect psychologique.

  • Speaker #3

    faut pas y chercher un propos très abouti sur par contre l'aspect psychologique. Peut-être que l'aspect scientifique de cette machine,

  • Speaker #2

    Peut-être que l'aspect scientifique de cette machine, j'en sais rien,

  • Speaker #3

    j'en sais rien.

  • Speaker #2

    est réel. Un réel ancrage,

  • Speaker #0

    un réel ancrage mais sinon pour le reste j'ai trouvé ça un petit peu rigolo il y a le fait que cette machine soit quand même développée pour augmenter la productivité de l'humain c'est quand même naze moi j'étais un peu déçue

  • Speaker #2

    mais sinon, pour le reste, j'ai trouvé ça un petit peu rigolo.

  • Speaker #0

    Il y a le fait que cette machine soit quand même développée pour augmenter la productivité de l'humain. C'est quand même naze.

  • Speaker #1

    Moi, j'étais un peu déçue. je m'attendais pas à grand chose mais j'avoue que t'as eu moins de grand chose je trouvais l'affiche très belle en fait avec ces glitchs là et moi je pensais qu'on allait avoir des glitchs et de la couleur dans le film Je ne m'attendais pas à grand-chose, mais j'avoue que...

  • Speaker #0

    Mais tu as eu moins de grand-chose.

  • Speaker #1

    Je trouvais l'affiche très belle, en fait, avec ces glitchs-là. Et moi, je pensais qu'on allait avoir des glitchs et de la couleur dans le film. Il y a pas. Il y a pas.

  • Speaker #3

    C'est un appart de couleur marron.

  • Speaker #2

    C'est un appart couleur marron.

  • Speaker #0

    Le filtre sépia est midi le dépanne. Le filtre sépia est midi.

  • Speaker #1

    C'est ça, C'est ça, il a un t-shirt gris qui est de plus en plus transpirant. il a un t-shirt gris qui est de plus en plus transpirant. Bon, Bon, moi j'avoue que ce film, moi j'avoue que ce film, je pense qu'il va passer peut-être dans la poubelle de mon cerveau, je pense qu'il va passer peut-être dans la poubelle de mon cerveau,

  • Speaker #0

    dans le sens où je trouve que,

  • Speaker #1

    dans le sens où... Comme tu as dit, comme t'as dit Nolan, Nolan, on va parler dans quelques épisodes d'un film de Nolan qui fait beaucoup mieux le travail. on va parler dans quelques épisodes d'un film de Nolan qui fait beaucoup mieux le travail. Je trouve qu'effectivement, Je trouve que le sujet n'est pas inintéressant, le sujet n'est pas inintéressant. cette volonté de diviser l'esprit en plusieurs sections, Cette volonté de diviser l'esprit en plusieurs sections, pourquoi pas, pourquoi pas, et tout ça. et tout ça. Moi, Moi, c'est des choses qui peuvent me parler, c'est des choses qui peuvent me parler, mais le manque d'images de ces sections vient complètement annuler, mais le manque d'images de ces sections... Oui,

  • Speaker #3

    je suis d'accord.

  • Speaker #1

    vient complètement annuler pour moi l'intérêt. pour moi, l'intérêt. Parce que du coup, Parce que du coup, on est juste sur un peu un jeu d'acteur avec cet acteur qui essaye de tenir le truc de bout en bout. on est juste sur un peu un jeu d'acteur, avec cet acteur qui essaye de tenir le truc de bout en bout.

  • Speaker #3

    Il s'en sort pas trop mal.

  • Speaker #1

    Il s'en sort pas trop mal, Il s'en sort pas trop mal, mais c'est pas non plus... mais c'est pas non plus...

  • Speaker #0

    C'est pas Christian Clavier. C'est pas Christian Clavier quoi ?

  • Speaker #1

    Je peux faire Splits. Je préfère Splits.

  • Speaker #2

    Arrête,

  • Speaker #1

    Arrête, Renaissance va revenir. Renaissance va revenir. On aura le On aura le 20ème qui va venir cette fois-ci. 20ème qui va venir cette fois-ci. Ne venez pas. Ne venez pas. Et du coup, Et du coup, moi, j'avoue que je me suis un peu ennuyée. j'avoue que je me suis un peu ennuyée. Je trouvais que ça parlait effectivement beaucoup. Je trouvais que ça parlait effectivement beaucoup. Voilà. Bon, Ça a le mérite d'être court. ça a le mérite d'être court. Une heure trente. Une heure trente.

  • Speaker #2

    Je suis grave d'accord avec toi.

  • Speaker #3

    Je suis grave d'accord avec toi.

  • Speaker #2

    En fait, moi, j'avais envie de voir plusieurs scènes sur les autres sections.

  • Speaker #3

    J'avais envie de voir plusieurs scènes sur les autres sections.

  • Speaker #1

    Oui, Oui, parce qu'à part fumer des clopes, parce qu'à part fumer des clopes, la section du mal, la section du mal, je ne vois pas... là, je ne vois pas...

  • Speaker #2

    La section des clopes,

  • Speaker #3

    Les clopes,

  • Speaker #0

    c'est mal. c'est mal. Ça baisse la productivité psychotique. Ça baisse la productivité psychotique. Ça fait faire des pauses.

  • Speaker #2

    J'avoue que j'avais peur que ça se finisse trop bien.

  • Speaker #3

    J'avoue que j'avais peur que ça se finisse trop bien.

  • Speaker #2

    Et j'aime bien la fin,

  • Speaker #3

    J'aime bien la fin.

  • Speaker #2

    qui est un peu facile,

  • Speaker #3

    Qui est un peu facile, mais j'étais un peu contente.

  • Speaker #2

    mais j'étais un peu contente.

  • Speaker #1

    Oui. Oui.

  • Speaker #2

    Je me souviens pas de la...

  • Speaker #3

    Je ne me souviens pas de la...

  • Speaker #1

    Bah si, Il fume une clope.

  • Speaker #3

    il fumait une clope. Ah oui,

  • Speaker #2

    Ah oui c'est vrai,

  • Speaker #3

    c'est vrai.

  • Speaker #2

    ok.

  • Speaker #1

    Il fume une clope. Il fumait une clope et là on sait que le tabac... Et là, on sait que... Et là on sait que...

  • Speaker #3

    C'est vrai.

  • Speaker #2

    C'est vrai.

  • Speaker #3

    Talala.

  • Speaker #0

    On ne sait pas. Justement, on sait pas, Est-ce qu'il a repris le tabac parce qu'il était stressé ? est-ce qu'il a repris le tabac parce qu'il était stressé ou est-ce que...

  • Speaker #1

    Je ne sais pas. Je sais pas, il boit ce truc toute la journée, Il boit ce truc toute la journée, de la de whisky. du whisky, mais moi j'y crois pas trop. Mais moi, je n'y crois pas trop. Ce truc. Ce truc...

  • Speaker #2

    C'est de l'ICT,

  • Speaker #1

    C'est de l'ICT je pense. je pense. Non, Non, ça m'agace. ça m'agace.

  • Speaker #0

    C'est parce qu'il est torturé. C'est parce qu'il est torturé. Oui, Oui, oui.

  • Speaker #2

    oui,

  • Speaker #0

    oui. Donc pour montrer qu'un personnage est torturé... Pour montrer qu'un personnage est torturé,

  • Speaker #1

    On lui fait boire du whisky.

  • Speaker #0

    on lui fait boire du whisky. On lui fait boire du whisky.

  • Speaker #3

    Oui, oui. Et puis, c'est son ex qui revient pour lui résoudre tous ses problèmes psychologiques.

  • Speaker #2

    c'est son ex qui revient pour lui résoudre tous ses problèmes psychologiques mais elle elle a

  • Speaker #3

    Mais elle,

  • Speaker #0

    elle a... elle, elle, j'ai tellement pas compris pourquoi elle revenait l'aider. j'ai tellement pas compris pourquoi elle revenait l'aider.

  • Speaker #1

    C'était pour lui reprendre son projet. C'était pour lui reprendre son projet.

  • Speaker #0

    C'est pas hyper clair. C'est pas hyper clair.

  • Speaker #1

    Je vois pas trop le gain qu'elle a là-dedans. Je vois pas trop le gain qu'elle a là-dedans. À part s'emmerder avec À part s'emmerder avec

  • Speaker #0

    Jean-Michel. Jean-Michel névrosé, Jean-Michel. Jean-Michel névrosé,

  • Speaker #1

    fois 8.

  • Speaker #2

    fois 8. Il a tout le temps mal à la tête,

  • Speaker #3

    Il a tout le temps mal à la tête,

  • Speaker #2

    il prend jamais un Doliprane.

  • Speaker #3

    il prend jamais un Doliprane.

  • Speaker #2

    Moi,

  • Speaker #3

    Moi,

  • Speaker #2

    ça me stressait.

  • Speaker #3

    ça me stressait.

  • Speaker #0

    Même sa mère, Même sa mère, quand il est au téléphone, quand il est au téléphone,

  • Speaker #2

    elle est saoulée.

  • Speaker #3

    elle est saoulée. Il fait vraiment chier tout le monde ce man.

  • Speaker #2

    Il fait vraiment chier tout le monde ce man. Genre Ethan fait un effort.

  • Speaker #3

    Genre Ethan fait un effort.

  • Speaker #0

    Merci. Oui. Etan, Etan, soigne-nous cette vilaine migraine et puis laisse-nous tranquille avec ton FX, soigne-nous cette vilaine migraine et puis laisse-nous tranquille avec ton FX, ah oui la machine a un nom je me rappelle plus R9, ah oui la machine a un nom je me rappelle plus R9,

  • Speaker #3

    truc acheté il y a plusieurs versions c'est le nom du fils d'Elon Musk c'est très Elon

  • Speaker #2

    truc

  • Speaker #0

    HT il y a plusieurs versions c'est le nom du fils d'Elon Musk c'est très Elon Musk codé comme film à mon avis il est dans l'axe du mal ce film mais en vrai c'est divertissant oui rattrape-toi en vrai c'est divertissant Musk codé comme film à mon avis il est dans l'axe du mal ce film Mais en vrai, c'est divertissant.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #3

    rattrape-toi.

  • Speaker #0

    En vrai, c'est divertissant. enfin pour moi en tout cas ça fait rire pour les fans de Christian Clavier c'est un film à ne pas manquer le clave j'essaye de relate avec les gens qui aiment bien les films que je recommande donc je me dis qui sont ces gens pour moi en tout cas ça fait rire pour les fans de Christian Clavier c'est un film à ne pas manquer le clave pour tout le coup j'essaye de relate avec les gens qui aiment bien les films que je recommande donc je me dis qui sont ces gens ta fanbase il

  • Speaker #3

    Ta fanbase.

  • Speaker #0

    Ma fanbase.

  • Speaker #1

    Il est en craquage total.

  • Speaker #0

    en a un cracasse total c'est le premier épisode de la rentrée ils sont 4 mais ouais j'avoue t'as peut-être un TDI mon RIB dans la description de l'épisode alors non plutôt

  • Speaker #1

    C'est le premier épisode de la rentrée.

  • Speaker #0

    Ils sont quatre.

  • Speaker #2

    J'avoue, t'as peut-être un TDI.

  • Speaker #0

    Mon RIB dans la description de l'épisode. Alors, on va passer au film d'après. on va passer au film d'après et j'ai déjà oublié c'est Camille Et j'ai déjà oublié. C'est Camille. C'est Camille. Camille, Camille, quel est le film que tu as choisi pour cet épisode de rentrée exceptionnel ? quel est le film que tu as choisi pour cet épisode de rentrée exceptionnel ?

  • Speaker #1

    Pour cet épisode de rentrée exceptionnel, Pour cet épisode de rentrée exceptionnel, j'ai choisi de vous parler de... j'ai choisi de vous parler de Altered States, au-delà du réel de Ken Russell.

  • Speaker #0

    Je vous demande de mettre le experiment en place jusqu'à ce que nous comprenions un peu plus,

  • Speaker #1

    pour minimiser le risque. Il n'y a pas de façon.

  • Speaker #0

    Je suis vraiment effrayée. On pourrait être en train de se foutre de cette structure génétique. Comment est-ce que nous arrêtons ça ?

  • Speaker #1

    Nous avons des millions d'années stockées dans ce banquier de computers que nous appelons nos esprits. Nous avons des trillions de genes dormants dans nous, notre tout passé évolutionnaire. Peut-être que j'ai tapé dans ça. Il peut être en train de faire quelque chose qui est plus que notre propre compréhension. Il peut être en train de faire quelque chose qui est plus que notre propre compréhension. Maintenant, Maintenant, parce que je l'ai cru, parce que je l'ai cru, je veux que cette chose s'arrête !

  • Speaker #3

    je veux que cette chose s'arrête !

  • Speaker #2

    Quelle merde c'est ? Que diable est-ce que c'est ? Tu es d'accord ?

  • Speaker #3

    Tu vas bien ?

  • Speaker #2

    Si tu m'aimes,

  • Speaker #3

    Si tu m'aimes,

  • Speaker #1

    si tu m'aimes,

  • Speaker #2

    si tu m'aimes... Eddie !

  • Speaker #1

    Eddie,

  • Speaker #2

    Tu es en feu !

  • Speaker #1

    tu es en feu !

  • Speaker #2

    Eddie !

  • Speaker #1

    Eddie !

  • Speaker #0

    Altered States. Altered States.

  • Speaker #3

    Ça faisait un peu explosion à la fin.

  • Speaker #2

    Ça faisait un peu explosion à la fin.

  • Speaker #1

    Là, Là, il se passe des choses, il se passe des choses, effectivement. effectivement.

  • Speaker #0

    Mais on ne donne pas suffisamment souvent l'heure dans ce film,

  • Speaker #1

    Alors, donc, ce film-là...

  • Speaker #0

    Mais on ne donne pas suffisamment souvent l'heure dans ce film, par rapport à Minor Premises. par rapport à Minor Premises.

  • Speaker #1

    C'est vrai. C'est vrai. Donc, Donc, Altered States, Altered States, c'est un film de 1980. c'est un film de 1980. Et donc, Et donc, c'est un film de Ken Russell dont on avait déjà parlé avec les Diables qu'on avait adoré. c'est un film de Ken Russell dont on avait déjà parlé avec les Diables qu'on avait adoré. et qu'il avait fait en 1971. et qu'il avait fait en 1971. Pour un petit rappel, Pour un petit rappel, Ken Russell, Ken Russell, c'est un metteur en scène anglais. c'est un metteur en scène anglais. Et là, Et là, Altered State, Altered State, c'est son premier film à Hollywood. c'est son premier film à Hollywood. Donc, Donc, il est beaucoup plus contraint que pour Les Diables. il est beaucoup plus contraint que pour Les Diables. Ça se ressent parce que le film est beaucoup moins fantasque et fantastique, Ça se ressent parce que le film est beaucoup moins fantasque et fantastique, je rachèterais, je rachèterais, que que Les Diables. Les Diables.

  • Speaker #0

    Oui, Oui,

  • Speaker #1

    mais c'est moins baroque. mais c'est moins baroque, C'est moins la roue libre. c'est moins la roue libre. Là, Là,

  • Speaker #0

    c'est un peu plus cadré. c'est un peu plus cadré.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #0

    Oui,

  • Speaker #1

    c'est un peu plus cadré. c'est un peu plus cadré. Cependant, Cependant, c'est un film qui est quand même assez intéressant. c'est un film qui est quand même assez intéressant. Je vous fais un petit résumé rapide. Je vous fais un petit résumé rapide. En gros, En gros, on rencontre le professeur on rencontre le professeur Jessup, donc Eddie de son prénom, Jessup, donc Eddie de son prénom, qui s'amuse à faire des expériences en prenant des bains de 5 heures à peu près dans un cylindre vertical rempli d'eau. qui s'amuse à faire des expériences en prenant des bains de 5 heures à peu près dans un cylindre vertical rempli d'eau.

  • Speaker #0

    C'est ce que j'ai offert à Lola pour son anniversaire, C'est ce que j'ai offert à Lola pour son anniversaire, littéralement. littéralement.

  • Speaker #1

    Mais moi aussi j'ai offert ça à plein de potes de tout de flottaison. Mais moi aussi, j'ai offert ça à plein de potes de flottaison. On en parlera après. On en parlera après.

  • Speaker #2

    Je crois que ça vient de toi,

  • Speaker #3

    Je crois que ça vient de toi, D.

  • Speaker #2

    d'ailleurs.

  • Speaker #1

    Ah bah, Ah bah, je vais... je m'arrête. Donc, Donc, Eddy est dans son bain debout, Eddy est donc dans son bain de boula, en slip, en slip, coiffé d'un casque de scaphandrier. coiffé d'un casque de scaphandrier, Et il a des alus. et il a des alus. Bon, Bon, voilà, ça a l'air sympa le CNRS. ça a l'air sympa, le CNRS. À côté de ses petits temps libres, À côté de ses petits temps libres, il bosse à tenter d'isoler les facteurs responsables de la schizophrénie. il bosse à tenter d'isoler les facteurs responsables de la schizophrénie. qui ne serait pas une maladie selon lui, qui ne serait pas une maladie, selon lui, mais plutôt un autre état de conscience. mais plutôt un autre état de conscience. Lors d'une fête, Lors d'une fête, il rencontre Emily, il rencontre Émilie, qui tombe folle amoureuse de sa bizarrerie. qui tombe folle amoureuse de sa bizarrerie. Ils se marient et tout le toutime ont des enfants et compagnie. Ils se marient et tout le toutime ont des enfants et compagnie. On retrouve plusieurs années plus tard On retrouve plusieurs années plus tard Daddy Eddy, Daddy Lady, qui est donc prof à Harvard. qui est donc prof à Harvard. Il poursuit ses travaux et décide d'aller au Mexique pour étudier la tribu Inchi, Il poursuit ses travaux et décide d'aller au Mexique pour étudier la tribu Inchi. qui est connu pour ses trans hallucinatoires collectives grâce à de la drogue. qui est connue pour ses trans hallucinatoires collectives, grâce à de la drogue. Donc histoire d'en rajouter un petit peu, Donc histoire d'en rajouter un petit peu, le bain ça ne suffit pas, le bain ça ne suffit pas, il faut prendre des substances en plus. il faut prendre des substances en plus. Mais la réalité c'est que Daddy Eddy ne se satisfait pas vraiment de cette vie. Mais la réalité c'est que Daddy Eddy ne se satisfait pas vraiment de cette vie. Il souhaite en fait se barrer en se séparant de sa femme et expérimenter je cite la souffrance solitaire. Il souhaite en fait se barrer en se séparant de sa femme et expérimenter, je cite, la souffrance solitaire. Parce que Eddy, Parce que Eddy, on le comprend au fur et à mesure, on le comprend au fur et à mesure, est en fait obsédé par la vérité avec un grand V qui se cacherait dans une petite boîte caranienne. est en fait obsédé par la vérité avec un grand V. Qui se cacherait dans ne peut pas petite boîte caranienne, à l'exception de celle de Bérou et de l'Oco. A l'exception de celle de Berroux et de Le Coruche. C'est dans le film, C'est dans le film, c'est pas... c'est pas... C'est dans le film,

  • Speaker #2

    C'est en fait,

  • Speaker #1

    c'est en fait. en fait.

  • Speaker #0

    Bérou était déjà Premier ministre pendant le film. Berroux était déjà Premier ministre pendant le film. Il est resté longtemps en fait. Il est resté longtemps, en fait. Ouais, ouais,

  • Speaker #3

    ouais. Absolument.

  • Speaker #1

    Donc il va au Mexique, Donc, il va au Mexique, il prend toutes les drogues nécessaires et revient essayer un peu de trouver son true self dans ce question de privation de sensation. il prend toutes les drogues nécessaires et revient essayer un peu de trouver son true self. dans ce question de privation de sensation.

  • Speaker #2

    Je me disais,

  • Speaker #3

    Je me disais, c'est quoi ce mot français ?

  • Speaker #2

    c'est quoi ce mot français ?

  • Speaker #3

    Le trouxel.

  • Speaker #1

    Jusqu'au jour où Jusqu'au jour, c'est un fromage, jusqu'au jour où Eddie va sortir carrément transformé du question. Eddie, en fait, il va sortir carrément transformé du question. Et là, Et là, trois petits points. trois petits points.

  • Speaker #0

    Transformé en quoi ? Transformé en quoi ?

  • Speaker #1

    Il faudra le voir. Il faudra le voir.

  • Speaker #0

    On ne dit pas,

  • Speaker #1

    On ne dit pas,

  • Speaker #0

    on ne dit pas. on ne dit pas.

  • Speaker #1

    Alors, oui, ce que je voulais juste dire, Ce que je voulais juste dire, c'est que ce film-là, c'est que ce film-là, c'est un film de commande à Ken Russell. c'est un film de commande à Ken Russell. D'après le livre d'après le livre Altered States, Altered States écrit par Paddy Chayefsky écrit par Paddy Chayefsky en 1978, en 1978, qui lui-même parle des travaux de John Lilly, qui lui-même parle des travaux de John Lilly, qui est un médecin américain qui a existé, qui est un médecin américain qui a existé, qui était un neuroscientifique, qui était un neuroscientifique, psychanalyste, psychanalyste, inventeur et écrivain, inventeur et écrivain, et qui est connu pour être un pionnier dans l'étude de la conscience. et qui est connu pour être un pionnier dans l'étude de la conscience. C'est lui qui a créé ces caissons d'isolation. C'est lui qui a créé ces caissons d'isolation sensorielle, sensorielle en 1954 qu'on appelle aujourd'hui des questions de flottaison et qui ont pour but en fait de créer un espace complètement dans le noir dans lequel le patient en fait ne ressent plus enfin n'entend plus rien ne sent plus rien ne voit plus rien et en 1954, qu'on appelle aujourd'hui des caissons de flottaison, et qui ont pour but de créer un espace... Complètement dans le noir, dans lequel le patient n'entend plus rien, ne sent plus rien, ne voit plus rien, et flotte grâce à de l'eau salée, flotte grâce à de l'eau salée ce qui fait qu'en fait il perd complètement ses repères et c'est un moyen qui est encore utiliser aujourd'hui pour se détendre. ce qui fait qu'il perd complètement ses repères. Et c'est un moyen qui est encore utilisé aujourd'hui pour se détendre, pour méditer et aussi pour soigner de l'anxiété. pour méditer et aussi pour soigner de l'anxiété. Il y a beaucoup de sportifs notamment qui l'utilisent. Il y a beaucoup de sportifs notamment qui l'utilisent. Alors John Lilly, John Lilly il n'a pas fait que ça parce que c'est aussi un des grands professeurs qui a permis la communication avec les dauphins un drôle de type et il a fait aussi toutes les expériences avec les psychédéliques c'est une figure vraiment importante de la contre-culture des années 60 aux Etats-Unis il il n'a pas fait que ça, parce que c'est aussi un des grands professeurs qui a permis la communication avec les dauphins. Un drôle de type. Et il a fait aussi toutes les expériences avec les psychédéliques. C'est une figure vraiment importante de la contre-culture des années 60 aux Etats-Unis. Il a beaucoup trainé avec Ginsberg et compagnie. a beaucoup trainé avec Ginsberg et compagnie et Et en fait, c'est un peu... Et Jodorowsky aussi. Jodorowsky aussi et en fait c'est un peu comment dire ... Et en fait, c'est un peu... C'est ce personnage-là qui est incarné dans le film de Ken Russell. C'est ce personnage-là qui est incarné dans le film de Ken Russell. Le tournage ne s'est pas bien passé du tout. Le tournage ne s'est pas bien passé du tout. En fait, Au départ, au départ, Ken Russell n'était pas du tout lui qui était retenu. Ken Russell, ce n'était pas du tout lui qui était retenu. C'était un autre réalisateur qui avait fait le casting, C'était un autre réalisateur qui avait fait le casting, notamment de William Hurt, notamment de William Hurt, qui va ensuite travailler avec Ken Russell et d'autres grands réalisateurs comme qui va ensuite travailler avec Ken Russell et d'autres grands réalisateurs comme Cronenberg dans History of Violence. Cronenberg dans History of Violence. mais ça s'est pas du tout bien passé entre Chayefsky le scénariste auteur de la nouvelle et ce réalisateur là qui s'est fait virer et donc c'est Ken Russell qui reprend le projet mais il le dit avec beaucoup d'humour qu'il est arrivé Mais ça ne s'est pas du tout bien passé entre Chayefsky, donc le scénariste... auteur de la nouvelle et ce réalisateur-là qui s'est fait virer. Et donc c'est Ken Russell qui reprend le projet, mais il le dit avec beaucoup d'humour qu'il est en fait arrivé 27e dans la liste des réalisateurs qui avaient été contactés. 27ème dans la liste des réalisateurs qui avaient été contactés et le tournage se passe pas bien du tout entre Chayefsky et Et le tournage ne se passe pas bien du tout entre Chayefsky et Ken Russell parce que Ken Russell veut comment dire Ken Russell parce que Ken Russell veut intégrer beaucoup dans le film des espaces de vision. intégrer beaucoup dans le film des espaces de vision. Parce que lui, Parce que lui, c'est ça qui le fait triper. c'est ça qui le fait triper. C'est vraiment les tripes à dessinatoire. C'est vraiment les tripes à dessinatoire. Il y en a deux principaux, Il y en a deux principaux, on va dire, on va dire, qui sont dans le film, qui sont dans le film, qui sont vraiment assez géniaux et dans lesquels réside pour moi l'intérêt du film, qui sont vraiment assez géniaux et dans lesquels réside pour moi l'intérêt du film, notamment avec les délires sur Dieu, notamment avec les délires sur Dieu, etc. etc. C'est très chouette. C'est très chouette. Avec une espèce de bélier à huit lieux qui fait assez peur. Avec une espèce de bélier à huit lieux qui fait assez peur. Donc voilà. Donc voilà. C'est un film qui parle d'un scientifique complètement zinzin qui a envie de devenir le sujet de ses expérimentations et qui est dans une espèce de quête spirituelle plus que dans vraiment la recherche d'un résultat efficace C'est un film qui parle d'un scientifique complètement zinzin qui a envie en fait euh de devenir le sujet de ses expérimentations et qui est dans une espèce de quête spirituelle, plus que dans vraiment la recherche d'un résultat, disons, efficace pour les autres. pour les autres. Je trouve que c'est un personnage intéressant, Je trouve que c'est un personnage intéressant, le personnage joué par William Hurt, le personnage joué par William Hurt, Eddie, Eddie, parce qu'en fait il est très dur, parce qu'en fait, il est très dur, il n'est pas très empathique avec ses amis ou sa femme. il n'est pas très empathique avec ses amis ou sa femme, qui est jouée par qui est joué par Blair Brown, Blair Brown, qui je trouve est super bien, qui, je trouve, est super bien, elle et Emily. elle, l'émilie. Et c'est un film qui en même temps parle vachement d'une sorte d'amour, Et c'est un film qui en même temps parle vachement d'une sorte d'amour, de façon assez jolie je trouve, de façon assez jolie je trouve, entre deux. entre deux. Oui,

  • Speaker #0

    Oui, je suis grave d'accord. je suis grave d'accord.

  • Speaker #1

    Parce que c'est elle qui le ramène un peu dans le monde des vivants quoi. Parce que c'est elle qui le ramène un peu dans le monde des vivants quoi.

  • Speaker #0

    Bah et puis le simple fait que dans les années Bah et puis le simple fait que dans les années 80 il y ait un couple marié rapidement puis divorcé qui reste en fait uni et continue de s'aimer, 80 il y ait un couple... Marié rapidement puis divorcé qui reste en fait unis et continue de s'aimer, c'est quand même la trajectoire classique du couple cinéma dans ces années-là, c'est quand même... c'est pas la trajectoire classique du couple cinéma dans ces années-là et d'ailleurs même encore aujourd'hui donc sur ce point-là je trouve le film assez intéressant en tout cas mais d'ailleurs je et d'ailleurs même encore aujourd'hui. Donc sur ce point-là, je trouve le film assez intéressant en tout cas. Mais d'ailleurs, je le dis, le dis mais moi j'adore le film au même titre que moi j'adore Ken Russell de manière générale j'ai pas vu toutes ses films mais j'en ai vu pas mal et moi je trouve que c'est un peu un film pour lui malgré le fait que c'est peut-être qu'il en a fait mais moi j'adore le film. Au même titre que moi j'adore Ken Russell, de manière générale, je n'ai pas vu toutes ses films, mais j'en ai vu pas mal. Et moi, je trouve que c'est un peu un film pour lui. Malgré le fait que... Alors, c'est peut-être qu'il en a fait, un film pour lui. un film pour lui mais ouais je sais pas moi je trouve que ces deux scènes justement de tripes hallucinatoires en fait elles prennent beaucoup de place en fait dans le film parce qu'elles sont quand même assez longues elles sont très marquantes et Mais... Je ne sais pas. Moi, je trouve que ces deux scènes, justement, de tripes hallucinatoires, elles prennent beaucoup de place, en fait, dans le film. Parce qu'elles sont quand même assez longues. Elles sont très marquantes. en fait je trouve qu'elles prennent beaucoup de place à l'intérieur du film et du coup je sais pas moi ça je garde peu de choses du film en dehors de ces scènes là alors il y a la scène de transformation ... Et je trouve qu'elles prennent beaucoup de place à l'intérieur du film. Et du coup... Je ne sais pas, moi, je garde peu de choses du film en dehors de ces scènes-là. Alors, il y a la scène de transformation que je trouve assez réussie. que je trouve assez réussi. Et puis, Et puis même la scène de fin, même la scène de fin, en fait, en fait, que j'aime bien aussi. que j'aime bien aussi. Et puis moi, Et puis, moi, William Hurt, William Hurt, j'adore ce mec. j'adore ce mec. Enfin, J'aime bien, j'aime bien, je le trouve très bien dans ce rôle. je le trouve très bien dans ce rôle. J'adore la manière dont il incarne ce personnage qui n'a pas d'empathie, J'adore la manière dont il incarne ce personnage qui n'a pas d'empathie, qui est un peu un sociopathe. qui est un peu un sociopathe, Enfin, voilà. et qui est complètement obsédé par sa quête de vérité. et qui est complètement obsédé par sa quête de vérité. D'ailleurs, D'ailleurs c'est un peu grotesque, c'est un peu grotesque, parce qu'à la fin il se rend compte que la vérité... parce qu'à la fin, il se rend compte que la vérité... C'est le vivant, c'est de vivre. Bon, est-ce que ça valait la peine de se donner tant de mal ? Mais non, non, moi j'aime beaucoup Altered State. C'est un film que je peux revoir sans trop de problèmes. Donc voilà, c'est sûr que c'est moins baroque que Les Diables, ou que certains, ou même le repère du verre blanc et tout. C'est un peu moins fantasque, mais c'est un peu plus cadré. J'étais pas au courant de l'histoire autour du film, mais ça fait sens. Mais je trouve qu'il aimait quand même beaucoup de lui, Ken Russell, malgré tout. Là-dedans, dans le perso, dans ses séquences hallucinatoires, et même cette scène de transformation, que je trouve très réussie. Un banger. Un banger. Léo, toi t'as vu le film en plus. Oui.

  • Speaker #1

    Tu veux commencer ? Tu veux passer avant moi Lola ? S'il te plaît.

  • Speaker #2

    Léo vous raconterait son histoire personnelle. Oui,

  • Speaker #0

    lui aussi il a vécu une transformation dans le titre du film.

  • Speaker #2

    Ouais, moi j'ai trouvé ça bien et tu vois, pareil, c'est hyper intéressant toute l'histoire autour de la production du film. Moi j'étais pas du tout au courant et je trouve effectivement, moi je crois que j'ai vu que Les Diables de Ken Russell et celui-ci. Mais je trouve qu'il ne perd pas son identité au-delà du réel. En tout cas, moi, tu vois, je ne me suis pas dit « Oh, c'est bizarre, ça fait comment de l'Hollywoodienne ? » Sur laquelle il passe 27ème. Voilà. Moi, j'aimais bien le thème de départ. Je me suis dit « Putain, ça va être trop bien. » C'est un peu ce principe de si la majorité des gens étaient schizophrènes, en fait, ça serait nous les fous. et je... Je me suis dit, putain, c'est cool si on parle de ça. Et en fait, là, je t'écoutais parler, je me disais, mais en fait, je ne sais même pas sur quoi il fait sa recherche.

  • Speaker #3

    Très vite, c'est évacué, en fait, cette question de la schizophrénie. C'est un prétexte pour lui.

  • Speaker #2

    Oui, ok, ça me rassure, parce que je me dis, putain, ça se trouve...

  • Speaker #0

    C'est d'ailleurs le script d'Assassin's Creed. Je tiens à le préciser. La mémoire génétique et tout, c'est très Assassin's Creed.

  • Speaker #2

    Non, mais oui,

  • Speaker #3

    c'est vrai. C'est assez moderne, en vrai.

  • Speaker #2

    Non, mais c'est vrai que c'est assez... vite, on ne s'intéresse plus aux personnes schizophrènes. Et ce n'est pas grave. Moi, c'est vrai que mon souci avec le film, c'est ce personnage d'Eddie qui, moi, il est très bien écrit, mais il est détestable. Et moi, il m'énervait vraiment. Et je trouve que tous ceux qui gravitent autour de lui, il y a Arthur, Mason, Et sa future ex-femme, Émilie.

  • Speaker #0

    Arthur Mason, c'est lequel ?

  • Speaker #2

    C'est deux personnes. Arthur et Mason.

  • Speaker #3

    C'est son bras droit.

  • Speaker #0

    Mason, c'est le médecin trop chiant.

  • Speaker #2

    Ah lui, il est chiant,

  • Speaker #1

    lui. Le médecin trop chiant, il est trop chiant.

  • Speaker #2

    Je trouvais qu'on avait envie qu'il prenne plus de place. Surtout Émilie, en vrai, c'est un super personnage. Et moi, j'étais un peu bloquée par ce personnage qui est très antipathique. Après, c'est très justifié.

  • Speaker #3

    Oui, et c'est intéressant parce que Émilie, dans la relation d'amour qu'ils ont, déjà, dès qu'il apparaît dans le couloir, il a une espèce d'apparition quasiment angélique, avec de la lumière à l'arrière et tout ça.

  • Speaker #2

    Comme si elle était hypnotisée par lui.

  • Speaker #3

    Oui, elle tombe complètement en pamoison devant lui. Et elle, elle est éthologue. Donc, ça veut dire qu'elle s'occupe des grands singes. Et ça, c'est quand même assez rigolo, vu ce qui se passe par la suite. en fait l'idée que elle elle capte chez lui cette animalité et ce truc un peu primaire quoi alors que c'est un mec très intelligent très érudit et tout ça elle ce qui l'intéresse c'est son côté primate quoi qui en fait est peut-être la solution à tous ces problèmes à lui mais il est chiant il dit en plus il laisse rien paraître il est compliqué mais c'est là où justement les scènes de la destination nous donnent accès nous en tant que spectateur à son intériorité parce que sans ça je pense que tu peux pas te durer avec ce personnage c'est vrai moi je trouve que elles ont un peu vieilli Thomas directement complètement

  • Speaker #0

    surréaliste moi je me dis en vrai pourquoi on fait plus des scènes comme ça c'était mieux avant mais non Excusez-moi, on ne peut plus rien dire.

  • Speaker #1

    Arrête, je le dis. Renaissance, pense à Renaissance. Oui,

  • Speaker #0

    ben... Alors t'inquiète que Renaissance, leur élément de langage, c'est plus ça. Ils ont bien compris. Mais non, non. Je ne comprends pas pourquoi on fait... plus de scènes avec des faux fonds comme ça, c'est trop beau.

  • Speaker #3

    Mandico, il en fait beaucoup.

  • Speaker #0

    Oui, et ben voilà, on en parlait l'autre jour avec Lola et je disais, moi je trouve que ça fait, et je voulais pas spoiler mon avis du truc, mais je trouve que ça fait écho. Il y a certains cinéastes qui refont un peu ça de temps en temps, dont Mandico, mais il n'y a pas ce cachet quand même, je trouve. Mandico, c'est très cohérent avec le reste du film, tu vois. Mais là,

  • Speaker #3

    il y a un côté vraiment...

  • Speaker #0

    Chez Ken Russell, ça arrive comme ça, ça fait... Alors oui, le film a quand même un cachet, mais... Mais ces scènes-là, elles font irruption quand même. Elles détonnent avec le reste du film.

  • Speaker #3

    On dirait du Kiriko, quoi. Vraiment. Ou du Dali surréaliste en 2D,

  • Speaker #0

    quoi. Moi, j'aime beaucoup cette esthétique-là. C'est une espèce de choc. Mais c'est clivant. Non, mais en vrai, je dis que c'est une espèce de choc. Je trouve ça vraiment... Voilà, quoi. T'es choqué, quoi. T'es quichot. Je me dis, putain, c'est incroyable. Ça peut pas vieillir, ça. Alors toi, t'es pas d'accord.

  • Speaker #2

    C'est vraiment une phrase de vieux Et Léo ?

  • Speaker #1

    Moi j'avais beaucoup aimé Les Diables Et en vrai Tommy de Ken Russell Ah oui Tommy c'est lui aussi Mais je n'ai pas vu Au-delà du réel Pourquoi ? Parce que je me suis trompé de film Une fois n'est pas coutume Et j'ai regardé plutôt Aux portes de l'au-delà From Beyond Qui marche très bien dans le thème aussi Et qui marche bien avec les films de Camille. Du coup, je ne me suis pas méfié et je n'ai pas du tout regardé le bon film, mais From Beyond, c'était super en tout cas.

  • Speaker #3

    Est-ce que tu peux en parler un peu ?

  • Speaker #0

    Ouais, tu peux.

  • Speaker #1

    From Beyond, c'est deux scientifiques, deux chercheurs, deux universitaires en gros, qui, en peignoir dans leur grenier, fabriquent une sorte de lampe à lave géante avec des diapasons.

  • Speaker #3

    J'essaie de voir où est-ce que moi je me place dans ce truc. Où est-ce que tu t'es dit c'est ok.

  • Speaker #0

    T'as pas une lampe à lèvres chez toi ?

  • Speaker #1

    Et en fait, ils ouvrent sans le vouloir en stimulant leur glande spinéale.

  • Speaker #3

    Ça doit être ça.

  • Speaker #1

    Pardon,

  • Speaker #0

    je ne veux pas faire l'expert chiant, mais je crois qu'on dit la glande pinéale.

  • Speaker #1

    Pinéale. Ils ouvrent en fait une sorte de portail vers une dimension un peu type Hellraiser avec... des créatures issues d'un autre monde qui s'emparent d'un des scientifiques qui a des délires BDSM de base et qui du coup devient un personnage. Non, non, mais non.

  • Speaker #3

    Voilà, super, c'est la rentrée.

  • Speaker #1

    Non, non, mais c'était très très dans le thème aussi et je ne me suis pas méfié du tout.

  • Speaker #3

    Mais c'était Stargate en fait.

  • Speaker #1

    Ouais, ouais, ouais, si on veut.

  • Speaker #3

    La porte des étoiles.

  • Speaker #2

    Et ça t'a plu ?

  • Speaker #1

    Ouais, c'est pas mal, c'est plutôt bien From Beyond. Je recommande From Beyond. Du coup,

  • Speaker #0

    tu vas vraiment le vrai chroniquer dans un autre épisode, il faudra que tu le fasses.

  • Speaker #1

    Non mais j'ai bien envie de regarder Alter State, j'avais déjà vu passer.

  • Speaker #0

    Pendant que nous on aura tous vu From Beyond, toi, tu devras parler d'Alter State.

  • Speaker #1

    On l'angoisse.

  • Speaker #2

    Ah ouais, c'est trop bien. ok si vous voulez on peut faire ça c'est comme écrire 100 fois je ne dois pas insulter la maîtresse j'ai dû le faire en terminale ça en terminale ?

  • Speaker #1

    avec mon prof de philo c'est des punitions 100 fois c'était super il était hyper jeune il avait genre 25 ans il avait pris l'anguille il avait pris l'anguille enfin

  • Speaker #3

    bref on n'est pas là pour parler de ça

  • Speaker #0

    Non mais ouais En vrai, ça te plairait le film, Léo, parce qu'il y a un truc un peu... Enfin, Altered State, parce que From Beyond, du coup, ça t'a plu, tu l'as vu, mais...

  • Speaker #1

    En plus, c'est un peu moins en ce moment Altered State, donc c'est super. Ouais,

  • Speaker #0

    alors déjà. Et puis en plus, je pense que t'aimerais bien le délire un peu, tu sais, recherche autour des psychédéliques...

  • Speaker #1

    Est-ce qu'il y a une réponse à la thèse ? Oui,

  • Speaker #0

    oui, oui. Alors oui, pour le coup, le film n'est pas... C'est pas comme Thesis où on ne sait pas de sur quoi est la thèse. Là, il n'y a... Ok, ça me va. Là, il y a une réponse à la question posée. Je pense que ça te plairait dans ce délire un peu recherche.

  • Speaker #1

    Je le regarderai et on fera un droit de réponse la prochaine fois.

  • Speaker #3

    Et toi, tu as fait les questions de flottaison ?

  • Speaker #2

    Les questions ?

  • Speaker #3

    Non, non. Tu as dit les questions de flottaison ?

  • Speaker #0

    J'ai dit les questions ? Bon bref,

  • Speaker #3

    on réécoutera.

  • Speaker #2

    Oui, je l'ai fait. Je n'étais pas en slip, j'étais entièrement nue.

  • Speaker #0

    d'accord c'est la seule information qu'on aura ça c'est pour les fans de Lola c'était vachement bien c'était une expérience intéressante moi j'étais entièrement nu c'était bien c'était vraiment très cool mais

  • Speaker #1

    j'ai pas eu ces visions t'avais peut-être pas pris du LSD peut-être grâce au slip aussi tu as ces visions le fait d'être entièrement nu peut-être que c'est un vrai Merci.

  • Speaker #2

    possibilités d'hallucination et toi t'as fait Camille ?

  • Speaker #0

    t'en as offert à tes potes ?

  • Speaker #3

    non j'en ai offert à tous mes potes mais non j'ai pas encore fait pas encore mais c'est typiquement le genre de truc que je pense que j'adore ah ouais c'est bien je pense que t'aimerais bien ce genre de truc et alors ? et si on faisait pas genre toute l'horreur de dimanche dans un caisson de photos.

  • Speaker #2

    Mais tous,

  • Speaker #3

    tous, tous. Non mais dans des trucs séparés.

  • Speaker #0

    Ah oui parce que si on est tous les quatre dans le même truc, on se parle.

  • Speaker #3

    Ça sert à rien. On a quand même un épisode en direct.

  • Speaker #1

    Dans une piscine en fait.

  • Speaker #0

    Moi, jamais de la vie je fais un truc pareil. Je fais, moi c'est crise d'angoisse.

  • Speaker #3

    Tu sais que tu peux laisser un peu de musique, tu peux laisser un peu de lumière si t'as trop peur.

  • Speaker #2

    Non mais c'est plutôt comme une... C'est pas le caisson, ils te mettent pas dans un... C'est pas une...

  • Speaker #0

    c'est pas fermé c'est pas un caisson c'est une pièce c'est une pièce moi en tout cas ce que j'ai fait ah non mais c'était fermé ah ouais tous les copains là c'est fermé bah t'es enfermé dans une pièce dans une boîte ah moi non j'étais pas dans une boîte ah bah c'était dans une boîte enfin une bulle j'étais dans une bassine à moitié ah d'accord un spa moi jamais de la vie je fais un truc pareil c'est ouais non instant de crise d'angoisse un petit peu un petit peu comme Quand j'ai regardé le film que Léo a sélectionné.

  • Speaker #3

    Première transition.

  • Speaker #0

    Donc voilà, on va passer au film de Léo. Euh, alors Léo, quel est ce film ?

  • Speaker #1

    Moi je vais vous parler de Virus. C'est la fin de tout.

  • Speaker #0

    Je ne sais pas comment ça va finir. Ils ont des doudounes aussi, je crois, dans le film.

  • Speaker #1

    C'est le bruit des doudounes.

  • Speaker #0

    Oh, t'aimes doudounes !

  • Speaker #3

    Attends, mais t'es fin !

  • Speaker #1

    Ouais, je suis bruiteur de bouche uniquement. Virus Fukatsunoi, sorti en 1988. Allez. Ce film aux allures de blockbuster international sorti de nulle part ne l'est pas tant, puisqu'il est réalisé par Kinji Fukasaku, qui est un grand nom du cinéma japonais. que vous connaissez sûrement pour Battle Royale.

  • Speaker #0

    Et là, c'est mon problème.

  • Speaker #1

    Mais aussi peut-être pour Sous les drapeaux, l'enfer, où l'on trouve également un fort discours antimilitariste, peut-être un peu plus subtil et pertinent que dans Virus, qui ne brille pas forcément par sa subtilité parfois. Fukasaku a aussi réalisé énormément de thrillers policiers et de sagas sur des affrontements entre familles mafieuses. Je vous laisserai les checker, il a réalisé vraiment un sacré paquet de films.

  • Speaker #2

    C'est assez impressionnant ce film.

  • Speaker #1

    Il y a vraiment 36 trucs. Il y a beaucoup de choses. Ce soir, on va parler d'un de ces films quand même pas mal oubliés. Virus. Et Virus, c'est quoi ? Virus, c'est aussi un film de 99 en mode Matrix, Virus informatique, Windows, etc. Adapté d'un comics, mais ce n'est pas celui-là.

  • Speaker #3

    On ne mélange pas tout.

  • Speaker #1

    Je n'ai pas regardé mon propre film. Je me suis trompé de film sur mon film.

  • Speaker #0

    Le méta-humour.

  • Speaker #1

    C'est super. Virus, c'est l'autodestruction programmée de l'humanité pendant la guerre froide. Une superbe arme biologique de destruction gigamassive est trimballée par des gens plus ou moins bien intentionnés dans des lieux pas du tout aux normes de sécurité. Genre un petit avion en rase mode dans la montagne. Et ce qui devait arriver arriva. Le virus MM88 s'échappe suite au crash pas du tout prévisible du dit avion. Et bim, ellipse. et en fait... toute l'humanité ou presque à succomber à la grippe italienne. Et oui, désolé à nos amis italiens désignés comme bouc émissaire dans ce film.

  • Speaker #0

    Parce qu'ils se crachent dans les Alpes ?

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #3

    parce qu'ils partent de la Suisse.

  • Speaker #0

    Ah ben oui.

  • Speaker #1

    Et ils se crachent. Je ne me l'ai même pas capté moi. Je pensais que c'était en Russie. On dirait que c'est les plaines du Caucase un peu après.

  • Speaker #0

    Après on voit des gens au Kazakhstan et tout.

  • Speaker #3

    Je me suis dit... C'est mondial le virus.

  • Speaker #1

    Oui mais ça commence par montrer ça.

  • Speaker #0

    Après ça vient en Italie.

  • Speaker #3

    Oui c'est vrai. Du coup je comprends pas.

  • Speaker #1

    Voilà, c'est la grippe italienne.

  • Speaker #0

    C'était mon seul problème avec le film, c'est bon maintenant j'adore.

  • Speaker #1

    Même 80 minutes. C'est vrai que c'était ton seul problème ? Super. Les nations et systèmes politiques se sont effondrés à l'exception d'une coalition internationale basée en Antarctique. Vestige de bases de recherche scientifiques ayant survécu grâce au froid et à l'isolement car le virus ne survit pas en dessous de moins 10 degrés. Très pratique. Cool. Pas trop en fait. Et si vous pensez que c'était pas ouf comme situation, eh bien, dites-vous que, avant leur dernier souffle, les Etats-Unis ont activé leur système de défense nucléaire automatique, et que l'URSS a fait de même. Et alors là, c'est vraiment pas de bol, parce que figurez-vous qu'un tremblement de terre pourrait en théorie être interprété comme un impact de missiles ennemis et déclencher la réponse nucléaire. Et ce qui devait arriver arriva une deuxième fois dans le film, du coup, deuxième édition, un tremblement de terre active le système de missiles américain, et maintenant, c'est l'apocalypse nucléaire imminente. en plus de la pandémie.

  • Speaker #2

    Alors qu'il n'y a déjà plus personne.

  • Speaker #1

    Il n'y a déjà plus que 3 pégus au pôle sud. Et 7 femmes. 8 femmes et 850 bougues. Donc c'est super. Et puis merde, je vais tout vous spoiler de toute façon, l'apocalypse nucléaire a bien lieu, rebelote, quelques pélos survivent et le film se conclut sur un propos un peu chelou, genre il faut faire table rase de tout parce que c'est trop nous les humains le vrai virus, pour reconstruire le monde en repeuplant la Terre avec des pots de bêtes sur la cordillère des Andes.

  • Speaker #0

    Et avec beaucoup de gens consanguins du coup à mon avis Le film ne le dit pas trop Il n'y a pas de deux

  • Speaker #1

    Le deux aurait été triste à mon avis Voilà, Virus c'est un film très dense très chelou et qui au moment de sa sortie est le film le plus cher jamais produit au Japon Et si vous avez jamais entendu parler de Virus, c'est normal puisque la volonté de faire un blockbuster d'envergure internationale n'a pas fonctionné Merci. Malgré 16 millions de dollars investis, dollars de l'époque, donc je crois que ça fait une cinquantaine je crois maintenant, en dollars actuels, un casting de stars internationales et une campagne de promotion mondiale, le film bide flop complètement et peine même à trouver des diffuseurs aux Etats-Unis, alors que c'est une coprode américaine, sinon américaine. Il est alors remonté dans un format plus court destiné à la télévision, que vous pouvez trouver sur YouTube d'ailleurs, qui fait que 1h44 au lieu de la purge de 2h40 que vous avez vue quand même.

  • Speaker #3

    C'est évidemment une louloute, il nous l'a pas dit. On était en vacances, il fallait bien se taper les 3 heures.

  • Speaker #1

    Il faut voir la version de 2h40.

  • Speaker #0

    Après, moi, je dis rien, j'ai mis le pacte des loups la dernière fois.

  • Speaker #1

    Oui, voilà, c'est ça.

  • Speaker #3

    On se tire vers le bas.

  • Speaker #0

    J'ai plus rigolé pendant le pacte des loups.

  • Speaker #1

    C'est moins marrant. En tout cas, suite à ce charcutage télé, il tombe définitivement dans l'oubli. Et là, vous vous dites, pourquoi tu nous parles de signe ? Parce qu'en fait, t'as dit que c'était pas terrible. que le propos était un peu chelou et que il devait durer 2h40 et qu'on se faisait un peu chier. En fait, je ne sais pas. Je ne sais pas, je trouve que... C'est bizarre, quoi. Oui, en fait, l'ambition, elle se ressent vachement dans le film. C'est très palpable. Vraiment, l'ambition de faire un film à portée internationale, un gros blockbuster avec plein, plein de trucs dedans. Et je me sens un peu triste qu'il soit oublié parce que ça me fait un peu de la peine, ce film de 2h36 qui essaie de nous proposer une faible apocalyptique, épique et profonde. C'est pour ça que je vous en parle, parce que c'est maladroit et imparfait, mais c'est pas inintéressant, il y a plein de choses à offrir. C'est comme toi, lui. Merci beaucoup. J'espère que je suis pas autant soporifique, mais bon.

  • Speaker #2

    Maladroit, imparfait, t'as plein de choses à offrir.

  • Speaker #1

    Ok, super.

  • Speaker #3

    Très contagieux, apparemment,

  • Speaker #1

    aussi. Très contagieux, ouais. Apocalyptique, voilà. Voilà, vous avez bien aimé, virus,

  • Speaker #3

    quand même ? Oui, en vrai, oui.

  • Speaker #0

    Ok. Cool. Alors, Camille, je crois que toi, tu es la plus enthousiaste. Oui,

  • Speaker #3

    je m'étonne moi-même. Alors, je ne sais pas, c'est peut-être parce que, je ne sais pas, ça serait qui m'a tapé sur la tête, mais sincèrement, j'ai passé un très bon moment devant ce film.

  • Speaker #1

    Oh,

  • Speaker #0

    wow. Ça se regarde bien,

  • Speaker #1

    quand même.

  • Speaker #3

    J'ai été choquée de la mise en scène. Enfin, tout le début est franchement assez fantastique. Il y a, enfin, le fait de, effectivement, le fait qu'il ait coûté cher, ça se voit parce qu'il y a énormément de... de scènes dans différents endroits différentes régions du monde et moi j'ai trouvé ça vachement beau et j'ai trouvé ça intéressant parce qu'on a l'habitude des blockbusters américains qui sont quand même centrés sur leur histoire et tout et là c'est un peu différent, il y a beaucoup les Etats-Unis il y a beaucoup le salon Oval mais déjà on voit que c'est pas les américains c'est différent c'est pas comme eux ils se représentent eux-mêmes et du coup j'ai trouvé ça vachement intéressant et en plus je dois dire que effectivement la... le Covid en tête évidemment et avant en 90 il y a eu le SRAS qui a énormément touché l'Asie et je trouve que c'est un film de virus effectivement d'apocalypse lié à une maladie qui est hyper efficace toute cette première partie là du film je la trouve vraiment top aussi avec les mecs qui sont bloqués en Antarctique c'est le bordel Ils n'ont pas de nouvelles de leur famille, évidemment, parce qu'il n'y a plus personne au fur et à mesure. Et je trouve que, franchement, on s'attache... Moi, en tout cas, j'ai trouvé qu'il y avait plein de personnages hyper chouettes. Notamment, je crois que c'est la femme ou l'infirmière...

  • Speaker #1

    Ce qui est la femme du scientifique qui est parti...

  • Speaker #3

    Voilà, exactement. Il y a cette scène avec la bougie et tout ça...

  • Speaker #1

    Dans l'hôpital.

  • Speaker #3

    Quand elle rentre chez elle, avec l'enfant et tout. Je trouve ça vachement beau. Non, j'étais hyper impressionnée. Franchement, bravo.

  • Speaker #1

    Ok,

  • Speaker #0

    bravo.

  • Speaker #2

    Je suis un peu moins enthousiaste. Non mais oui, c'est un peu un ovni. Oui,

  • Speaker #1

    c'est un film étrange.

  • Speaker #2

    Mais oui, c'est pas du tout un mauvais film. Non, non,

  • Speaker #1

    non. C'est juste un peu raté et très ambitieux. Ouais,

  • Speaker #2

    c'est ça. Moi je trouve qu'il y a trop de trucs. Ah bah bien sûr. Il y a trop de parties, trop d'histoires. Et en même temps, il y a trop de trucs. Et en même temps, je trouve qu'il ne se passe pas grand-chose. Après, c'est peut-être un peu teuteux. Mais moi, j'aurais bien aimé qu'il y ait un peu des oppositions, des rébellions. Tu vois, quand il y a ce nouveau gouvernement qui se forme en Antarctique et tout. Et que, notamment, cette histoire de 855 hommes pour 8 femmes. et que t'as une toute petite scène avec une femme qui craque complètement en disant qu'elle s'est faite violer et voilà en fait on passe très vite à autre chose il y a une petite réunion sympa il y a une petite réunion on les viale bon bah voilà c'est comme ça il y a ça pour les rapports hommes-femmes mais en fait c'est un peu ça dans tout le film il y a jamais vraiment personne il y a un peu un consensus tout le temps dans le film où ils arrivent tout le temps à être d'accord finalement ce qui est bon tant mieux on a envie de dire Mais en même temps, je trouve ça étrange. Il y a un peu des trucs qui fonctionnent pas vraiment.

  • Speaker #3

    Pour moi, c'est vraiment de l'ordre de la sidération. Parce que tous ces personnages... Moi, j'ai adoré les scènes notamment de course-poursuite. Parce qu'il y en a un qui s'échappe à un moment donné dans l'Antarctique. Et il y a une scène de course-poursuite qui est assez longue dans cette espèce d'environnement horrible avec le blizzard. C'est hyper beau. Et où en fait, c'est très pathétique. parce que c'est vraiment un micro-événement qui est montré pendant peut-être 10 minutes alors qu'effectivement l'effacement de la planète tu le vois en juste des images qui passent comme ça moi j'aime bien ce truc d'échelle un peu distordu c'est

  • Speaker #2

    pas inintéressant mais après c'est un peu long oui mais comme tu dis Léo je... C'est dommage que ce soit un peu tombé aux oubliettes,

  • Speaker #1

    parce que c'est un film bizarre. Et même pour l'année où il est sorti, avoir un gros blockbuster japonais comme ça, avec autant d'envergure internationale, je trouve que c'est assez chouette.

  • Speaker #3

    Avec un cadrage mondial,

  • Speaker #1

    c'est intéressant. Et avoir un point central qui est en dehors de la guerre froide. qui est ni du côté américain ni du côté de l'URSS qui se place un peu entre et qui propose ce truc en Antarctique avec un gouvernement formé par les pays restants c'est différent de ce qu'on pouvait voir en termes de blockbusters à cette époque c'est vrai qu'il est très beau il

  • Speaker #0

    y a des trucs qui sont vraiment chouettes moi je suis un peu d'accord avec vous trois en même temps mais non mais on a fait le truc de l'Antarctique c'est vrai sauf que je suis peut-être celui qui est le moins aimé en tout cas des échos en fait moi j'ai du mal je suis d'accord avec vous dans le sens où je trouve que l'objet est intéressant et c'est quand même c'est un film qui n'existe pas ailleurs ou en tout cas traité de manière extrêmement différente les sites et sites Après, il y a une partie de moi quand même, quand je regarde le film, qui ne peut pas s'empêcher de trouver ça dommage. Parce que je me dis, c'est vrai que faire 2h36 de...

  • Speaker #3

    On a interrompu.

  • Speaker #1

    Il y a des CRS qui passent là.

  • Speaker #0

    On a interrompu. Par les 80 000... Ouais, bon, ils sont là. Non, mais je ne peux pas m'empêcher de me dire, ouais, en fait, faire 2h36 d'un film avec une envergure aussi importante, une ambition de filmer un drame à l'échelle internationale et tout ça, pour finalement créer 6 peu de situations d'adversité, d'antagonisme poser finalement si peu de questions je trouve que c'est une occasion manquée de ce point de vue là et effectivement que tous ces gens trouvent le consensus en permanence je trouve ça extrêmement étrange et il y a un truc aussi que j'aime pas dans le film mais ça je crois que c'est Je ne sais même pas si c'est un truc qui est intentionnel ou si c'est parce que le film est prisonnier de son époque. Mais c'est quand même un film qui est très japonais dans son identité par plein de trucs, d'un point de vue formel, et qui ne peut pas s'empêcher de recracher des espèces de codes du cinéma américain que je trouve dommage. Je ne sais pas si c'est une question... de pression, d'argent qu'ont fait que les studios ont imposé cette touche américaine mais je sais pas, je trouve ça ultra chelou cette histoire de discours avec le mec l'amiral à la fin enfin le président des Etats-Unis qui dit à l'amiral en Antarctique God bless America et America fuck yeah en permanence, enfin en fait je trouve ça trop bizarre quoi que il y ait ça à l'intérieur de ce film même avec l'armée,

  • Speaker #1

    la représentation de l'armée américaine, il y a quand même

  • Speaker #0

    une volonté de caricature je pense qu'elle est assez évidente oui mais c'est pas satirique non c'est pas du tout une critique en fait oui c'est pas du tout une critique ça embrasse vraiment les codes et je pense que moi je peux pas m'empêcher de me dire parce que ce gars là tu vois on l'a vu dans Battle Royale c'est un film que j'aime pas mais pour plein d'autres raisons et d'ailleurs c'est lui aussi qui est sur le 2. Oui, oui, oui. Le 2 qui est une... à mon sens, une infâme purge. Mais ce gars-là, il a quand même une identité propre. Il a quand même... Et je trouve ça ultra bizarre.

  • Speaker #3

    Voilà. Je suis tout à fait d'accord avec toi et je crois que moi, c'est ce que j'aime bien. C'est que ça soit un objet de culture mainstream, mais au sens premier du terme. C'est-à-dire qu'à ne pas vouloir prendre de point de vue, en fait, tout est très lissé. dans une espèce d'humanité mais sous l'aune des Etats-Unis parce qu'on est coupable quand même c'est eux qui ont le plus gros temps de parole et c'est vrai que c'est particulier tu te dis bon bah je sais pas je trouve que ça en fait moi ce que je trouve marrant c'est que là où des missions impossibles, des James Bond des trucs comme ça qui vont faire des grands panoramas sur toute la planète autour d'un personnage qui se pose beaucoup de questions justement du bien du mal ces questions-là n'existent pas dans le film-là parce qu'il n'y a pas vraiment de personnage principal et il n'y a pas vraiment de questions traversées. C'est plus un état... Oui,

  • Speaker #0

    mais ça fait partie de mes problèmes avec le film. Je trouve que dès lors que effectivement le personnage du film ou en tout cas le centre du film n'est plus un personnage mais une situation... On avait vu ça avec les Tranglers de Boston. où il y a cette volonté de faire un film où il n'y a pas vraiment de personnage principal où le personnage principal dans les Tremors de Boston c'est la ville, c'est les médias c'est tous ces réseaux là là il y a un peu cette idée là c'est le monde c'est un film monde et du coup je trouve que quand ton ambition de cinéma enfin je dis ça, le mec qui donne les conseils mais quand ton ambition de cinéma c'est de faire ça ... Je trouve ça un peu dommage, si tu veux, que... Et donc, c'est pas un film, effectivement, de personnages, de destin, de narration et tout ça. Je trouve ça dommage qu'il y ait un peu cette... Oui, je trouve qu'il y a là aussi encore une occasion manquée. C'est-à-dire que malgré les moyens, je trouve qu'il n'y a pas de réel effort de mettre ça en scène. Enfin, voilà. À part au début, où il y a effectivement peut-être cette espèce d'éphéméride où on voit tous les mois ce qui se passe et on a des situations différentes. Il n'y a pas de réelle volonté de mettre ça en scène. De mettre en scène le monde... Voilà. Je trouve ça chelou. C'est un film un peu bizarre.

  • Speaker #3

    Il n'imprime pas beaucoup.

  • Speaker #2

    Je crois qu'on est d'accord sur le mot bizarre.

  • Speaker #1

    Le mot bizarre.

  • Speaker #0

    En tout cas, c'est vrai que c'est un truc à voir. Oui. J'étais un peu d'accord avec vous trois. Super. C'est vrai. Après, j'avoue, je ne me suis pas... Je l'ai regardé en deux fois. Au début, je me suis dit pourquoi Léo nous déteste tant ? Qu'est-ce qu'on a fait ? Et en fait, après, c'est passé. Tu vois, genre au bout de 45 minutes, j'étais dedans. Et j'étais dans le train. Et voilà.

  • Speaker #1

    T'étais dans le sous-marin.

  • Speaker #0

    Ouais, j'étais dans le sous-marin. Super. Et voilà. Mais oui, oui. On laissait en passer les 2h36.

  • Speaker #1

    On laissait en passer, effectivement. Je ne sais pas ce qu'elle vaut la version. Je pense que ça ne vaut pas trop le coup.

  • Speaker #0

    Je crois que ça ne vaut pas le coup, en vrai, parce que je suis allé voir sur Internet. Et je crois que le montage est complètement différent et le film n'a rien à voir, en fait. Je crois que c'est un peu un montage... Ce n'est pas complètement à l'envers, mais un peu. Ça part de la situation en Antarctique et ça remonte dans le temps. C'est très chelou. Alors qu'au début... tu vois des images de l'Antarctique et tout mais après on te dit ok la situation c'est ça et maintenant on va vous raconter comment on en est arrivé là et le film la version d'une heure quarante c'est genre c'est complètement autre chose, ça raconte complètement autre chose de ce que j'ai lu je t'avoue que je me suis pas maté après les deux heures quarante t'as pas fait les deux pour faire un petit comparatif voilà voilà virus quoi et le titre est cool le plan qui donne la pochette du film est très cool oui oui oui c'est la fin t'as tout spoilé oui oui ça va ça va par contre c'est pas du tout gore y'a pas du tout de des zombies il faut pas s'attendre à voir ça ah non non dommage Oui, oui.

  • Speaker #2

    je suis sûr que c'est pas 28 jours plus tard ou même 28 ans plus tard et oui ça l'a peut-être inspiré peut-être oui je pense que ça a eu partie des films importants oui je pense aussi,

  • Speaker #0

    t'as raison sur comment raconter une histoire mondiale et en parlant d'histoire mondiale ah bah non y'a vraiment pas de lien En parlant de virus

  • Speaker #2

    Le virus du patriarcat

  • Speaker #3

    Ah

  • Speaker #2

    C'est pas mal

  • Speaker #0

    Et double ce virus tueur invisible

  • Speaker #2

    Oui

  • Speaker #0

    Pas mal aussi On va passer au film de Lola Musique Euh... Lola, quel est ce film que tu as sélectionné pour cet épisode spécial rentrée ? Troisième rentrée d'Horreur du Dimanche.

  • Speaker #3

    Ouais, c'est vrai. Ça commence à faire long. Pardon, j'ai un bout de pain entre les dents.

  • Speaker #0

    Le respect est mort. Désolé.

  • Speaker #3

    Moi, j'ai choisi Invisible Man, le dernier. Oui, du coup, je disais le dernier, c'est celui qui est sorti en 2020, réalisé par Lee Wan-El, qui a récemment fait Wolfman, que moi j'ai beaucoup aimé malgré les mauvaises critiques.

  • Speaker #0

    Ouais, moi aussi j'ai bien aimé, je suis d'accord.

  • Speaker #3

    Bah ouais. Vous avez eu des mauvaises critiques ?

  • Speaker #0

    Ouais,

  • Speaker #3

    ouais, Wolfman.

  • Speaker #0

    Les gens ont dit que c'était bête.

  • Speaker #3

    Mais je ne suis pas d'acte. Lee Wan-El, c'est un réalisateur américain. Le film, c'est une prod... Il est australien, pardon. C'est une prod australienne et américaine.

  • Speaker #0

    Tu sais de qui c'est le meilleur pote, Lee Wan-El ?

  • Speaker #3

    Tu me regardes comme si je devais le savoir ?

  • Speaker #0

    Non, tu ne dois pas forcément le savoir.

  • Speaker #2

    James Wan ? Ah, Zingo ! Quand il a l'œil qui brille comme ça.

  • Speaker #3

    Ah oui,

  • Speaker #2

    c'est vrai qu'il avait l'œil fou un peu.

  • Speaker #0

    C'est lui qui a coréal Saw, le premier, avec James Wan. C'est son poteau.

  • Speaker #2

    Avant que The Collectionist ne vienne.

  • Speaker #0

    C'est pas The Collectionist, tu confonds.

  • Speaker #2

    Non, mais tu sais, les mecs qui... Ah oui,

  • Speaker #0

    oui, oui. Oui, oui, oui.

  • Speaker #1

    Encore en océan.

  • Speaker #3

    Tout le monde est disciple d'un star, c'est toujours pareil.

  • Speaker #0

    Non,

  • Speaker #3

    non, rien n'a changé. Ouais, du coup. Ouais. James, ouais. Ouais, ouais. Là, c'est un film avec Elisabeth Moss, qu'on connaît bien, qui est scientologue, je l'ai appris il n'y a pas longtemps. Non, mais qui surtout...

  • Speaker #0

    J'ai envie de dire...

  • Speaker #3

    Voilà, qui est l'actrice principale de The Handmaid's Tale, donc la série. un peu événement de ces dernières années. Là, qui est dans le rôle de Cecilia, il y a aussi Aldis Hodge qui joue James, qui est son ami policier. Dans le rôle d'Adrienne Griffin qui est son mari, il y a Oliver Jackson-Cohen et j'ai noté la jeune actrice Storm Red qui joue Sydney, donc la fille de James.

  • Speaker #2

    Qui joue dans Euphoria.

  • Speaker #3

    Qui joue dans Euphoria, tout à fait. Donc, de quoi ça Merci. par Invisible Man. Donc là, c'est l'histoire de Cecilia Cass, comme Patricia. Cass.

  • Speaker #0

    Mon mec ! Mais quel RT !

  • Speaker #2

    Je me fais l'entendant parce qu'on ne pourra pas beaucoup rire après pendant ce film.

  • Speaker #0

    J'ai tellement la vision de Camille en cosplay Patricia Cass. Avec une coupe courte.

  • Speaker #2

    J'adore ! Quelle star Patricia, quelle femme !

  • Speaker #3

    Mais qu'est-ce qui est bien ? Bon, on en parlera.

  • Speaker #2

    Elle travaille beaucoup en Russie ? Oui,

  • Speaker #1

    je crois qu'elle est pas mal en Russie.

  • Speaker #3

    D'accord, ok.

  • Speaker #2

    C'est marrant ce star. C'est marrant,

  • Speaker #1

    il y a...

  • Speaker #2

    Elle disparaît.

  • Speaker #3

    Bon, là, Cécilia n'a rien à voir. C'est une femme qui est victime de violences conjugales, violences perpétrées par son mari, Adrian, qui est lui un richissime scientifique, ingénieur en optique.

  • Speaker #0

    Pour moi, il est ophtalmo. Moi, j'ai tout de suite dit, c'est un ophtalmo.

  • Speaker #3

    Les ophtalmo ne gagnent pas autant d'argent.

  • Speaker #0

    Que tu crois !

  • Speaker #3

    Et bien, quand même, vu la vie qu'ils ont...

  • Speaker #0

    À faire trois cataractes à la minute, t'inquiète que ça y va. À se mettre en secteur 3, t'inquiète que ça y va.

  • Speaker #2

    Lui, il a dû inventer les verres progressifs.

  • Speaker #1

    Les verres qui se teintent tout seuls. C'est ça, en fait.

  • Speaker #3

    Bon, il n'est pas au phtalmo, Thomas dit n'importe quoi. Le film commence par la nuit où Cecilia parvient à s'échapper de son foyer violent avec l'aide de sa sœur Émilie. Et elle va se réfugier chez son ami policier que je citais tout à l'heure, James. Et en fait, elle va apprendre rapidement, je crois au bout de deux semaines, que Adrienne s'est donné la mort. Alors là, elle hérite d'une grande partie de sa fortune qui lui a légué. Et on se dit, cool, tant mieux pour elle. Elle va pouvoir essayer de recommencer à vivre correctement en essayant de surmonter son trauma. Sauf qu'il y a des événements étranges qui vont se produire autour d'elle. Ce qui va la faire douter quant au fait qu'Adriane soit vraiment morte. Que dire de ce film ? J'ai mis Météo, pas là, Mété pas là, Météo, pas là, mais voilà.

  • Speaker #2

    Oh waouh !

  • Speaker #0

    Oh waouh !

  • Speaker #2

    J'adore qu'on arrive à rire parce que ce film m'a mis en PLS. Oui,

  • Speaker #1

    oui,

  • Speaker #2

    oui.

  • Speaker #0

    Choc-bar de Bézède, là.

  • Speaker #3

    Bah oui, mais Vianney, on n'entend plus parler non plus. Allez,

  • Speaker #2

    invisible man.

  • Speaker #0

    Bah oui,

  • Speaker #3

    j'espère que vous avez compris ma blague.

  • Speaker #0

    Ah,

  • Speaker #3

    Vianney, oui. Non, c'était Météo Pala, Invisible Man, quoi. Oui, oui, oui. Putain, mais quand je vous explique sa blague, c'est vraiment qu'elle est foirée, quoi. Ça y est,

  • Speaker #0

    ça y est. Bon.

  • Speaker #3

    C'est bon,

  • Speaker #0

    je l'avais,

  • Speaker #3

    je l'avais. Donc, Invisible Man, l'homme invisible, c'est d'abord... Oui, je traduis, parce que c'est un peu compliqué. C'est d'abord un roman d'Herbert George Wells, qui a été publié en 1897. Et c'est aujourd'hui un livre qui est considéré comme un classique de la littérature fantastique, qu'évidemment je n'ai pas lu, et ça raconte l'histoire d'un scientifique qui invente la formule d'invisibilité, et comme souvent dans ce genre de scénario, il atteste sur lui-même, là dans le roman c'est pour échapper à ses créanciers.

  • Speaker #1

    Hyper bien,

  • Speaker #3

    trop smart. Ouais franchement.

  • Speaker #1

    Je vais faire ça avec les impôts aussi.

  • Speaker #2

    Oh bah d'accord.

  • Speaker #3

    On part tout après. Et bah voilà, renaissance 19ème nous reçoit Non c'est pas vrai,

  • Speaker #2

    je paye pas d'impôts Le coming out libertarien d'or Nous sommes suivis par le fisc 75,019 Je me rends invisible pour échapper aux impôts

  • Speaker #0

    Ils font n'importe quoi avec l'argent Les routes sont toujours cabossées J'étais en RP Les enfants ne savent pas lire quand ils sortent de l'école Merci beaucoup, bravo

  • Speaker #3

    Bon, dans le livre en tout cas Au début, il trouve ça marrant parce que Voilà, c'est cool d'être invisible, mais en fait, rapidement, ça le gonfle. Et c'est surtout que ce personnage, qui a été représenté après par la suite, et dans le livre aussi, avec le visage enveloppé de bandelettes, et toujours le corps recouvert de vêtements, pour pouvoir quand même continuer d'interagir avec les gens. Parce qu'il faut savoir qu'il arrive à se rendre invisible dans le livre, mais qu'il n'arrive pas à redevenir visible. Donc c'est un vrai problème. Et en gros, il devient fou, et il se met à tuer des gens. C'est l'histoire de l'homme invisible de base. Bref, suite à ce roman, il y a une vingtaine d'adaptations cinématographiques qui vont sortir. Le premier, qui est un grand classique, moi je n'ai pas vu. J'ai vu celui de Paul Verhoeven, Holoman, avec Kevin Bacon, qui est sorti en 2000, il me semble. Mais donc, entre le premier et celui de Paul Verhoeven, il y en avait déjà 20. Je crois que là, celui de 2020, c'est le 22e peut-être.

  • Speaker #0

    Mais tu vas chroniquer les 22 films.

  • Speaker #3

    Oui, super. On t'écoute. Et là, ce qui distingue L'Homme invisible de Lee Wannell, c'est que c'est la première fois que cette histoire se concentre sur la victime et non sur l'homme en question. Et quand le film sort, là en 2020, donc c'est à peu près trois ans après l'affaire Weinstein, Et Léonel, il reconnaît clairement que son film s'inscrit dans cette actualité. Après, je ne sais pas si c'est vraiment ce qui l'a poussé à transformer autant l'histoire originale. En tout cas, ce qu'il a fait fonctionne, même si on peut dire que ça surfe un peu sur ça. Mais moi, je trouve que ça fonctionne très bien. Et puis, évidemment, son homme invisible va devenir l'incarnation du traumatisme de Cécilia, son personnage principal. Et en général, l'incarnation de... tous les hommes qui frappent, violent impunément comme si personne ne les voyait. Mais en fait, on vous voit les gars maintenant. Et puis, dans ce film, on voit et on ressent avec Cécilia le fait que personne ne la croit. Je trouve que ça crée une tension. Moi, ça me tendait le film. J'étais en mode, mais putain, je comprends pas pourquoi personne ne l'écoute. On voit bien qu'il se passe des trucs bizarres et qu'elle n'est pas folle. Et on sait qu'elle est harcelée. Mais les preuves sont invisibles, comme souvent. C'est des gros parallèles avec ce qui se passe dans la réalité.

  • Speaker #0

    Je t'interromps deux secondes, mais moi, je trouve qu'on ne voit grave pas les preuves. Et justement, on a trop envie de... Non, mais du coup, moi, c'est ça que je trouve qui est horrible. C'est qu'on a trop envie de penser qu'elle est vraiment folle, tu vois.

  • Speaker #3

    Ah ouais, peut-être, mais moi je trouve que c'est vite...

  • Speaker #0

    Oui, parce que le parti pris est de son côté et le film est fait de son côté, mais en fait, d'un point de vue extérieur, quand tu regardes le truc, tu dis...

  • Speaker #3

    On est en colère parce qu'on voit qu'il n'y a pas de preuves, mais on sait très bien que...

  • Speaker #0

    Tu comprends les réactions des gens autour d'elle.

  • Speaker #3

    Oui, mais c'est ça qui met en tension, justement. Moi, ce que j'aime beaucoup aussi dans le film, c'est les scènes d'action qui sont très réussies. Il y a notamment celle de l'hôpital. Et qui se poursuit après sur un parking sous la pluie. Et en fait, là, je me suis renseignée parce que je me disais, mais c'est trop bizarre. Il y a un effet un peu jeu vidéo bizarre. La caméra fait des trucs chelous. En fait, c'est effectivement, il y a une caméra spécifique qui est utilisée, qui est une caméra robotisée dite de motion control, donc contrôle du mouvement. En fait, on va programmer par ordinateur. Tous les déplacements et les réglages de la caméra de manière hyper précise, sur un logiciel, avec un timing et tout, pour qu'on puisse ensuite répéter, modifier les prises autant qu'on veut. Et à l'inverse de ce qui se passe d'habitude quand on tourne un film, c'est que là, c'est l'acteur, l'actrice qui va suivre la caméra et pas l'inverse, parce que tout est programmé. Donc il faut que, seconde 3, on soit à tel endroit de la pièce, parce que la caméra, elle y sera. Et du coup, ça a un rendu presque... bizarre, pas réel en fait. C'est pour ça que je disais jeu vidéo mais ça fait un peu cinématique.

  • Speaker #0

    Je sais pas si tu as vu son film d'avant Upgrade.

  • Speaker #1

    Ah oui c'est 100%

  • Speaker #0

    jeu vidéo ce film. Et Upgrade il fait ça tout le temps, il utilise ce processus tout le temps dans les scènes d'action. Ce qui rend le film très... moi je trouve assez cool.

  • Speaker #1

    Oui et puis son film d'avant c'est vraiment un jeu vidéo porté en film en fait, sur le principe. C'était pas mal ouais.

  • Speaker #3

    Je ne l'ai pas vu, mais c'est vrai qu'il en parle beaucoup pour expliquer ce qu'il a fait pour ces scènes d'action. Non, du coup, très cool. Et pour finir, moi, je spoil aussi, tant pis, mais il y a un twist final qui nous interroge et qui pose la question de Est-ce qu'Adriane est vraiment un génie du mal qui a orchestré toute cette machination ou bien juste un sale type violent qui est en fait victime de la vengeance de son frère jaloux ? Donc, on ne saura pas vraiment, mais ce qui du coup... pose aussi la question de la punition sans la justice, sans le procès. Et d'un côté, c'est vrai qu'on comme disait Thomas, on est du parti de Cécilia donc on s'en fout grave que ce mec qui meurt est de l'autre, qui meurt de la main de Cécilia sans qu'on sache s'il a réellement enfilé ce costume d'homme invisible à un moment dans le film pour la torturer bah en fait ça pose question de comment, voilà quel est le jugement dans ce genre de cas. C'est pas si simple. Donc est-ce que le œil pour œil, dent pour dent, c'est ok ? Enfin, jusqu'où en tout cas ? Je ne sais pas, je n'ai pas la réponse. Mais en tout cas, c'est un film que j'ai beaucoup aimé. Voilà.

  • Speaker #0

    Camille, ça t'a fait bader,

  • Speaker #2

    toi ? Oui, je pense qu'il faut vraiment un gros trigger warning pour ce film parce qu'il est quand même hyper efficace, notamment sa scène d'ouverture, elle est assez fantastique sur l'évasion. de Cecilia qui essaie d'échapper à ce mec qu'on n'a pas vu debout. On le voit juste coucher et il nous fait très peur pour autant. Je trouve que c'est un film qui est franchement dur à regarder. Moi, je n'ai vraiment pas pris beaucoup de plaisir au début parce que je reconnais qu'il est très efficace et tout. Mais moi, je trouve que... Je veux juste dire pour les gens qui craignent un peu ce genre de sujet ou... Cette situation d'hypervigilance, on la ressent, je trouve, et on la vit avec le personnage féminin hyper, hyper fortement. Notamment dans une des premières scènes où il est dans la chambre. Et je trouve qu'il y a un truc vraiment très violent. J'ai eu très, très peur pendant ce film. Et c'est un vrai cauchemar parce que la violence qui est faite aussi... autour des gens qu'elle aime, c'est très dur. C'est surtout les femmes qui se font faire du mal dans ce film-là. Je trouve qu'Elisabeth Moss, c'est évident, mais c'est hyper important que ce soit elle qui tienne ce rôle-là parce qu'elle porte vraiment tout. Qu'il soit là ou qu'il ne soit pas là, peu importe. D'un seul coup, les vides deviennent terrifiants et deviennent pleins.

  • Speaker #3

    C'est incroyable.

  • Speaker #2

    Comment il filme les vides. Il n'y a pas de screamer, il n'y a pas de truc comme ça dans tous les sens, mais pour autant, c'est très bien. Je dois dire que les scènes d'intérieur sont assez fantastiques. Je suis moins convaincue par la fin. Moi, par le twist, le machin, le truc, ça m'intéressait moins. Mais moi, surtout, je me disais que le personnage était tellement dans une situation infernale, que la résolution ne peut être que violente. C'est soit elle, elle meurt, soit lui, il meurt. Mais en fait, les deux ne peuvent pas coexister. C'est évident, vu la situation qui se passe. Donc voilà. Mais c'est un film intéressant sur le PTSD, évidemment, sur l'emprise aussi, parce qu'il y a quand même toute cette idée que Adrienne, en mourant, lui lègue de l'argent. Et donc, elle hérite de cet argent-là. Et en même temps, c'est toujours un lien avec ce mec. C'est... Ouais. c'est assez rude tu l'avais jamais vu toi ? non j'avais jamais vu il m'avait choqué la première fois j'avais jamais vu et en fait il est limpide dans ce qu'il raconte on sait exactement de quoi ça va parler mais je trouve que c'est violent Et c'est marrant, ça m'a fait penser un peu à un film dont tu avais déjà parlé, celui qui se fait dans les bois, là, tu sais, avec la meuf muette, avec un tueur à l'extérieur. Ah ouais, ouais, ouais. Ah, oui. Que j'avais pas aimé, pour le coup, parce que je trouvais que, en fait, la torture du personnage féminin, il était... Enfin, c'était pas trop justifié. Là, je trouve que le sujet de la violence conjugale, en fait, rend les scènes, justement, d'angoisse et de torture de ce... personnage féminin comment dire plus véritable donc ouais non très chouette enfin très chouette on a compris c'est

  • Speaker #0

    rigolo t'as un peu l'avis que j'ai, ça me rappelle la première fois parce que moi je pense que c'est la 3 ou 4ème fois que je le vois mais du coup il m'a fait beaucoup d'effets la première fois aussi en salle notamment où j'avais trouvé le film dur et hyper maîtrisé j'avais un peu cet avis là que j'ai toujours un peu d'ailleurs après juste pour redonner des petits éléments quand même de contexte Livanel il est dans un truc où il a il est en train d'exploiter en gros les Universal Monsters donc Donc il fait son Invisible Man, et là il fait son Wolfman, qui est sorti l'année dernière. Et en fait, clairement, de ces deux films, il y a quand même un angle qui a l'air de se profiler, une vision qui a l'air de se profiler, c'est d'essayer de tourner ça pour décrire des situations de masculinité toxique. Et là où Invisible Man est du côté complètement du personnage d'Elizabeth Moss, n'est jamais... du côté de son bourreau, donc d'Adriane. Wolfman, lui, va se concentrer plutôt sur l'intérieur de l'homme, qui est donc le loup-garou, et donc va poser les questions de comment un homme arrive à être violent, pourquoi... Il pose la question de la transmission, en tout cas, de... Est-ce qu'il y a... En tout cas, dans Wolfman, le mec, en fait, a peur de devenir violent parce qu'il a lui-même été victime de violence quand il était gosse. donc il pose cette question là mais il est du côté du personnage masculin en montrant les conséquences sur son environnement familial les conséquences de sa transformation et là je trouve que dans Invisible Man il y a un truc qui est très très donc Wolfman marche un peu moins bien d'une certaine manière parce qu'en fait en terme de film d'horreur pur parce que ce qui est intéressant je trouve dans Invisible Man c'est qu'il y a un truc qui est hyper efficace, c'est qu'il y a une règle du film d'horreur respecté quasiment jusqu'au bout. Et je trouve que c'est là que la scène de fin a un intérêt. C'est qu'il ne montre jamais le mec. On ne le voit jamais. C'est-à-dire que le visage de ce mec n'est jamais filmé. On le voit peut-être ses dents à un moment donné parce qu'il a une dentition un peu bizarre, l'acteur. On le voit de loin.

  • Speaker #1

    On le voit courir au début.

  • Speaker #0

    Et en fait, on ne te montre jamais le monstre. Parce qu'il est invisible. C'est vraiment... Je trouve extrêmement intelligent d'avoir choisi cette histoire et de raconter ça comme ça.

  • Speaker #1

    de revisiter ce mythe là comme ça ça en fait un truc assez cohérent du coup transformer le point de vue et en faire un vrai monstre ou méchant de film d'horreur et moi je suis d'accord les scènes d'intérieur et de maison et du coup je pense que c'est pour ça que tu penses à Hush aussi où il y a beaucoup ces scènes filmées en intérieur et là la caméra qui laisse une énorme place au vide dedans C'est giga oppressant et moi c'est la deuxième fois que je le vois et pareil la première fois, le niveau d'alerte dans lequel t'es pendant tout le film, il est vraiment énorme. Et ouais, c'est vraiment maîtrisé parce que dès le début en fait, t'es comme ça, tu sais ce qui se passe dès le départ et du coup tu cherches avec elle dans la maison et tu sens la présence et c'est assez fort d'arriver à l'avoir fait sans qu'il y ait rien en fait. Alors il y a un moment où tu vois la buée quand même à l'extérieur, la condensation mais... A part ça, en fait, c'est juste de la suggestion. Moi,

  • Speaker #2

    je trouve qu'il y a le truc du drap qui est génial.

  • Speaker #1

    Les pieds sur le drap.

  • Speaker #2

    Oui, mais c'est de l'ordre du cauchemar. C'est ça qui est génial.

  • Speaker #1

    Ça fait paralyser du sommeil,

  • Speaker #2

    clairement. Au début, si tu veux, la question de est-ce qu'il est là ou pas, m'importe peu, dans le sens où, de toute façon, il est dans sa tête.

  • Speaker #1

    Et ça peut être une manifestation d'un trauma qui est encore très récent. Et en fait, ça ne s'arrête pas au moment où elle part. Ça continue. Et du coup, c'est pour ça, peut-être que tu as le doute au début. Oui, peut-être que c'est dans sa tête. Après, le film s'appelle Invisible Man, donc tu te doutes que...

  • Speaker #3

    Oui, c'est vrai que...

  • Speaker #1

    il casse le suspense rapidement en tout cas je trouve que c'est une belle façon de parler à quel point c'est inscrit partout dans ta vie après un traumatisme comme ça, et que tu ne peux pas le faire partir comme ça, et du coup le mettre sous forme d'un spectre, d'une présence qui te suit au quotidien et qui te pourrit la vie même après, même sa mort là, en l'occurrence, c'est très malin.

  • Speaker #2

    Oui, et puis ta culpabilité à elle aussi, tu vois, parce qu'il y a une part de culpabilité, évidemment, quand on pense qu'il s'est suicidé après son départ à elle.

  • Speaker #1

    Tu vois, moi, la fin, c'est pareil, j'avais pas trop aimé. Et en fait, ce que t'as dit tout à l'heure sur la réflexion, sur le jugement, je trouve que ça change le rapport à la fin aussi. Moi, je l'avais pas forcément vu comme ça et du coup, je prends un peu mieux le twist maintenant que j'ai vu,

  • Speaker #0

    je pense.

  • Speaker #3

    T'as une réflexion dans la réflexion.

  • Speaker #1

    Oui,

  • Speaker #0

    je trouve ça effectivement pertinent.

  • Speaker #2

    Moi, c'est plus le personnage du frère. La fin en elle-même, je la trouve OK, tu vois. Oui, oui. C'est le personnage du frère, bon... Oui, oui,

  • Speaker #3

    je suis d'accord.

  • Speaker #0

    Non, mais ça, c'est sûr. Ce twist... En fait, ils étaient deux.

  • Speaker #2

    Oui, voilà. D'accord.

  • Speaker #3

    Mais c'est juste de poser la question de... En fait, est-ce que c'était vraiment lui qui la torturait, même après qu'elle se soit évadée ?

  • Speaker #0

    Et du coup, est-ce que t'es vraiment OK avec ça ? Et voilà.

  • Speaker #3

    Alors qu'on prend plaisir au fait qu'il meurt. Moi, clairement, à la fin, tout le monde s'en fout.

  • Speaker #0

    Mais voilà, alors que c'est ce que j'allais dire. Le film te prend quand même en otage. Il te laisse pas complètement...

  • Speaker #3

    Et avec ce personnage de son ami James

  • Speaker #0

    Je comprends la réflexion de Camille qui dit de toute façon ils peuvent pas vivre tous les deux en même temps parce que c'est vrai que la première fois que tu vois le film t'es en mode de toute façon crève tu vois donc ouais ouais au bout de plusieurs fois que je l'ai vu je me disais ah ouais c'est vrai qu'il y a peut-être ce truc là cette ambiguïté là à la fin mais c'est vrai que la première fois tu le vois c'est vrai que c'est assez

  • Speaker #2

    C'est pas un reproche mais c'est le seul petit point c'est que Merci. effectivement le je trouve le film très réussi mais je le trouve peut-être un peu trop dans le sens où ça va tellement loin cet acharnement contre elle je dis pas que ça n'existe pas au contraire mais ça va tellement loin qu'au bout d'un moment tu t'acceptes en tant que spectateur d'enlever tout esprit critique et tu joues le jeu du film et tu le sais c'est un film qui t'est livré

  • Speaker #0

    clé en main dans le sens où tu dois ressentir ça il y a une forme de prise d'otage mais c'était vraiment voulu oui bien sûr et puis au milieu de ça il y a cette scène d'action de l'hôpital qui est vraiment réussie moi je ne m'attendais pas à voir une scène de gunfight et tu te dis qu'est-ce que ça vient foutre et en fait la scène est plutôt réussie elle est vraiment bien et juste moi un petit mot parce que moi j'aimais beaucoup le Veroven

  • Speaker #3

    Oui,

  • Speaker #1

    il est bien.

  • Speaker #3

    Avec Kevin Bacon, on n'a pas dit.

  • Speaker #0

    Oui, oui.

  • Speaker #3

    Ah si, tu l'as dit. J'ai oublié. On redit, avec Kevin Bacon.

  • Speaker #0

    J'adore dire quand il y a Kevin Bacon, parce que j'adore son glace. Mais moi, j'aimais bien ce film. En plus, je l'ai vu quand j'étais ado, donc c'était un peu bizarre, parce que c'est un gros film de pervers. En gros, Kevin Bacon, il est invisible, il passe son temps à regarder des meufs se décaper.

  • Speaker #3

    Et à les tripoter pendant qu'il est invisible.

  • Speaker #2

    Étonnant pour Verhoeven.

  • Speaker #0

    Et du coup, c'est vrai que le film pose un peu... Enfin, tu vois, c'est un peu les mêmes bases. Le Invisible Man, c'est toujours un... Il tourne globalement mal, à chaque fois. Oui,

  • Speaker #3

    c'est un gros pervers pétère.

  • Speaker #2

    De toute façon, le truc de l'invisibilité, c'est terrifiant. Moi, quand il y a des gens qui te disent « Ah ouais, moi, j'aimerais bien être invisible. »

  • Speaker #1

    Non mais...

  • Speaker #2

    Euh... Ok !

  • Speaker #1

    Tu fais la blague à un gosse, tu lui dis, tu fais semblant qu'il est invisible, c'est terrifiant quand t'es petit. On me l'a jamais faite mais...

  • Speaker #2

    Toi tu l'as fait à combien d'enfants ?

  • Speaker #1

    Une dizaine quoi. D'accord. Non c'est pas vrai, j'ai jamais fait.

  • Speaker #0

    Waouh, cet épisode est à charge très lourd pour Léo. Beaucoup d'aveux, beaucoup de confessions.

  • Speaker #1

    Non mais il y a des vidéos de familles qui font ça à leurs gamins, c'est peut-être pas une bonne idée,

  • Speaker #2

    l'enfant genre chiale quoi. Et en plus il est déçu sur le...

  • Speaker #1

    Ouais, l'enfant vraiment est terrifié et pleure au milieu de la pièce quoi. on est nerveux ici

  • Speaker #0

    C'est l'effet d'option du taf. Juste pour dire que je le trouve suffisamment... Il vient très à distance du Verhoeven. C'est marrant parce que le Verhoeven, je crois qu'il est considéré comme un de ses plus mauvais. Moi, je l'aime bien. En tout cas, il arrive suffisamment à distance et il est suffisamment différent en termes de point de vue pour ne même pas avoir à subir la comparaison. C'est vraiment un film complètement différent. Et puis moi, j'aime bien l'Ivanel. Alors faut peut-être pas trop qu'il s'embourbe dans les trucs à faire toujours un peu le même film là mais en tout cas je trouve ça un... Il y a une certaine maestria, il a une maîtrise du langage du cinéma qui est cool, j'ai hâte de voir ce qu'il va faire après. C'est vrai que c'est pas du niveau de James Wan. Ah c'est hier,

  • Speaker #1

    c'est reparti.

  • Speaker #2

    Bon, allez, nous on va aller rentrer chez nous et mettre l'avion sur le tour.

  • Speaker #0

    On va le laisser. Non mais c'était...

  • Speaker #3

    Et c'est celui qui a fait aussi le chapitre 3 d'Insidious qui n'était pas terrible je crois.

  • Speaker #1

    Je ne sais même pas si je l'ai vu le 3.

  • Speaker #0

    Pour moi, ces films, c'est Upgrade, Invisible Man et Wolfman.

  • Speaker #3

    Il a fait le troisième Insidious.

  • Speaker #0

    C'était de la D.

  • Speaker #3

    Je crois que ce n'était pas ouf.

  • Speaker #0

    Ok, ok. En balai, c'est pesé ?

  • Speaker #1

    Je crois bien. Petit épisode de rentrée.

  • Speaker #0

    Petit épisode de rentrée à la bien. En fait, il n'y a pas trop de physique chimie en vrai. Ah si,

  • Speaker #2

    attends. C'est des scientifiques.

  • Speaker #3

    Moi, il est ingénieur en optique.

  • Speaker #0

    Oui, c'est vrai, ingénieur en optique. C'est vraiment... Bye. Léo c'était quoi ?

  • Speaker #3

    Bah si ton virus c'est quand même un virus créé par les russes Et oui Virus

  • Speaker #2

    Ok Et puis avec les scientifiques qui sont dans l'Antarctique

  • Speaker #0

    Oui les scientifiques sont dans l'Antarctique C'est encore des scientifiques Non mais c'est marrant il n'y a aucun film qui se passe à l'école Bah il aurait pu prendre The Faculty Ou un truc comme ça Oui ça fait plusieurs fois qu'on se dit on aurait pu prendre The Faculty Mais on n'a pas envie de revoir The Faculty

  • Speaker #1

    Ça fait chier Moi j'ai envie de le revoir La vibe année 2000...

  • Speaker #2

    T'inquiète, ça en aura.

  • Speaker #0

    On sait que c'est ton péché mignon, t'inquiète, la vibe année 2000, elle arrive lourd, lourd. Merci d'être là, merci de nous avoir écoutés. Il y a les recos. Ah putain, j'ai oublié. Oui. Il y a les recos. Avant de se quitter, avant que je vous remercie, je vous remercierai qu'après, il y a les recommandations de la rentrée. Quelles recommandations ? On commence par qui ? Quoi ? Vas-y, dites. Voilà, vas-y, lance-toi.

  • Speaker #3

    Ah putain, recommandation de la rentrée. Ouais, moi je me suis mis à la recommandation de dimanche dernier et du coup c'est nul. Du coup moi j'ai noté, j'ai rien fait, j'ai déprimé de la rentrée et puis voilà. Mais ce qui me sauve le moral c'est de retrouver ma cancoyotte à l'œil.

  • Speaker #1

    Ok,

  • Speaker #3

    super.

  • Speaker #2

    Donc, co-culinaire.

  • Speaker #0

    On va se flinguer.

  • Speaker #3

    Non, c'est bien, c'est juste après il faut accepter la mauvaise haleine.

  • Speaker #0

    T'es pas emmerdé par l'Invisible Man avec ta concroïette ça ? Ça ou moins ?

  • Speaker #3

    Je m'en tartine en crème de nuit.

  • Speaker #0

    Tu t'en mets sous les bras. Léo, t'as une reco ? Tu veux qu'on finisse le tour de table pour y penser ?

  • Speaker #1

    Non, je peux faire une reco collective, mais je sais pas si quelqu'un voulait la faire. vas-y vas-y c'est à toi que ça revient c'est ce à quoi je pense je pense que c'est ce à quoi tu penses ben Reco Alpha de Julia Ducournau en fait je croyais que t'allais faire la Reco bloquons tout et tout j'allais dire on peut aussi bloquons tout mais quand vous écouterez l'épisode ce sera peut-être pas trop tard s'il y a encore des actions et des blocages allez-y évidemment mais oui Alpha de Julia Ducournau qui est injustement critiqué avec des critiques assez horribles quand il est sorti alors que en fait ton... on l'a toutes et tous vu là ce soir et en fait on a beaucoup aimé plein de choses oui je crois qu'elle avait besoin de nous d'ailleurs Julia c'est vrai qu'on peut dire c'est pas une partie de plaisir mais on a vraiment beaucoup aimé pour plein de raisons différentes on est content de te retrouver Julia d'ailleurs si tu veux venir donc allez voir Alpha franchement parce que ne vous laissez pas avoir par les critiques négatives Soyez curieux et curieuses

  • Speaker #0

    Et moi les gens j'étais pas dans le train de Julia Ducournau Mais là je suis dans le train Même Thomas vous vous rendez compte

  • Speaker #1

    Lui qui est le sceptique de base de Julia Ducournau Il est à fond On en parle tous les jours aussi maintenant

  • Speaker #0

    C'est vrai on va être deux maintenant Eh Julia Ducournau Alors moi je fais une petite reco Petite reco streamer Moi je vais vous recommander la chaîne de Wissam Zelka Donc Wissam, W-I-S-S-A-M, plus loin que ZLK, X-E-L-K-A, c'est un militant politique associé à Parole d'honneur, le média décolonial, c'est un militant du pire, et donc il est aussi streamer chez Zawa Prod, et il n'a pas du tout besoin de moi pour l'aider parce qu'il est hyper connu et donc il n'a pas besoin de moi pour le défendre mais je voulais juste recommander sa chaîne parce que c'est quand même bien ce qu'il fait c'est best of sur youtube il fait des super donc il fait des vidéos d'actualité tout ça mais il fait aussi des entretiens avec avec des philosophes avec des sociologues avec des féministes avec tout un tas de gens différents qui sont très très C'est très bien que ça s'appelle les WeWeTalk et surtout en ce moment il se prend une sauce de fou où il y a à peu près deux articles par semaine qui sortent pour dire que... Enfin voilà, qui sont des articles un peu racistes qui sortent pour dire qu'il parle trop fort et que c'est pas bien de dire ça. Donc voilà, je voulais vous recommander sa chaîne, c'est vachement bien. Il y a une chaîne YouTube où il y a les redifs des streams, mais sinon on peut le suivre aussi sur Twitch. Voilà, donc WeSamZK, moi j'adore. Voilà, Camille ?

  • Speaker #2

    Oui, moi ma reco c'est le reco de soutien pour le vidéoclub JM vidéo qui est venu par montée à Paris qui est un des derniers si ce n'est le dernier gros vidéoclub de la capitale et qui est en grosse difficulté financière pour vous donner une idée pour ceux qui ne connaîtraient pas ce lieu c'est le décor des interviews Vidéoclub, je crois que c'est le nom, de Combini, avec plein de stars différentes. D'ailleurs, celle avec Juliette Ducournau est super bien. Je vous la recommande aussi, j'en profite. Bref, c'est un lieu super, avec vraiment des gens hyper passionnés au cinéma, et qui, moi, m'ont recommandé mes premiers films d'horreur quand j'étais gamine. Donc, voilà, si vous pouvez les soutenir, je sais qu'il y a une cagnotte Ulule, ou alors, ils m'ont dit que, si vous êtes dans le coin, N'hésitez pas à passer pour prendre un abonnement de 10 films, comme ça ça les soutient, ça les aide.

  • Speaker #0

    Ah bah on peut faire ça, parce qu'en vrai on n'est pas très loin.

  • Speaker #2

    On mettra de toute façon la cagnotulule je pense, dans notre description. Voilà !

  • Speaker #0

    Ouais il a plein de films lui, il a plein de films. Au moins, et même ne serait-ce que de rentrer dedans et se balader dedans, c'est assez fou.

  • Speaker #1

    Les Jones, la génération TikTok par exemple, allez voir ce que c'est un vidéoclub.

  • Speaker #0

    Ah c'est bien, Léo embrasse le rôle de...

  • Speaker #2

    alors malheureusement je crois qu'ils n'ont pas le petit rideau de perles derrière lequel il faut passer pour aller dans les films interdits mais c'est au fond non mais dis pas ça aux jeunes ils sont majeurs non ? les tiktokers maintenant Bon bref

  • Speaker #0

    Camille pervertit la jeunesse

  • Speaker #2

    Tata Folding

  • Speaker #0

    Tout ça partait d'une bonne intention En attendant en vrai même si t'as pas envie de louer un film je pense que rien que d'aller dedans pour voir et regarder un peu tout ça donne de fait envie de de prendre un truc de le louer, d'essayer quoi parce que c'est quand même hyper beau à l'intérieur en tout cas tous ces vestiges,

  • Speaker #2

    ils ont plein de reflets hyper blancs vraiment pour leur donner

  • Speaker #0

    un style de film que vous aimez bien et c'est vraiment leur taf ils le font bien nous avec Diane on y a été et on avait acheté Killer Joe qu'on avait maté c'était bien on en a pas encore parlé je crois non on en a pas parlé encore on a parlé de Bug mais pas de Killer Joe bon

  • Speaker #1

    bah voilà donc cette fois-ci mais t'as fait qu'une reco ça va Thomas ?

  • Speaker #0

    bah attends je fais toujours qu'une reco ? ouais ouais je sais pas si Hollow Knight Sealsong qui est sorti mais pourquoi tu lui as dit ? je sais pas Merci. Les gens, ils savent. OK, c'est tout pour cette fois. On se retrouve dans 15 jours, mais un vrai demain. Merci de nous avoir écoutés jusqu'au bout. Mettez des likes, des j'aime.

  • Speaker #3

    Parce que les likes, c'est...

  • Speaker #0

    Des pouces, des étoiles, des trucs.

  • Speaker #2

    Et des commentaires.

  • Speaker #0

    Et des commentaires. Et abonnez-vous. abonnez-vous non comment on dit sur Instagram on s'appelle on follow ça veut dire pareil il faut nous suivre sur Instagram et Letterboxd et Letterboxd qui est à jour dont on a jamais fait la promo si si on l'avait dit on l'a dit une fois mais si vous voulez un récap facile

  • Speaker #1

    de tous les films qu'on a regardé c'est classé par saison plutôt que de fouiller dans les descriptions Spotify ou Insta vous pouvez aller sur Letterboxd et on a tout listé les films qu'on a vu sur les deux saisons pour l'instant

  • Speaker #0

    Ouais, c'est vrai que tu l'as tenu à jour ?

  • Speaker #1

    Bah ouais, j'ai mis à jour cet été quand on avait fini.

  • Speaker #0

    Et ben voilà, donc merci.

  • Speaker #3

    On rend l'antenne.

  • Speaker #1

    Ouais.

  • Speaker #0

    On rend l'antenne.

  • Speaker #2

    Ciao !

  • Speaker #1

    On l'aurait pas, non, on l'aurait pas celle-ci.

  • Speaker #2

    On la rend pas.

  • Speaker #0

    Salut. Pas grand.

Share

Embed

You may also like