Speaker #0L'Odyssée intérieure, un podcast tel un voyage initiatique pour révéler l'essence de notre être et activer notre pouvoir créateur. Je suis Christelle, exploratrice passionnée des chemins qui nous révèlent à notre essence véritable. Je t'accompagne pour incarner ta puissance créatrice et manifester une vie alignée, épanouissante et authentique. Aujourd'hui, nous allons explorer ensemble un sujet qui me tient particulièrement à cœur, l'amour de soi. Alors, dans notre société, l'amour de soi est souvent mal compris, voire parfois perçu comme de l'égoïsme ou encore du narcissisme. Ces perceptions peuvent nous avoir construits depuis notre enfance, nous conditionner, et elles ont une influence sur notre façon de nous percevoir, d'être avec nous-mêmes et avec les autres. Prenons un instant pour réfléchir ensemble. Comment pouvons-nous offrir aux autres ce que nous ne nous accordons pas à nous-mêmes ? Comment pouvons-nous créer une vie qui nous ressemble, si nous ne sommes pas en paix avec qui nous sommes ? L'amour de soi n'est pas un luxe ou une option, c'est le fondement même de notre épanouissement. Dans notre société qui valorise tant le faire et l'apparence, nous avons parfois oublié l'art d'être. simplement être. Être en accord avec nous-mêmes. Nous courons après des validations externes, des accomplissements, des réussites, des likes sur les réseaux sociaux, pendant que l'essence de ce qu'ils nous sommes attend patiemment d'être reconnue et célébrée. Avant d'aller plus loin, j'aimerais prendre un moment pour définir ensemble ce qu'est vraiment l'amour de soi. L'amour de soi, qu'est-ce que c'est vraiment ? On pourrait le définir comme une relation profondément bienveillante avec soi-même. C'est apprendre à se regarder et à s'accueillir avec la même tendresse, la même compassion qu'on offrirait à un être cher. Pour moi, c'est devenir ma meilleure amie. Cette relation s'exprime à travers différentes dimensions. Je vais revenir... sur certains points importants pour mieux illustrer ce qu'englobe l'amour de soi pour moi. Il y a d'abord cette notion d'acceptation, l'acceptation de qui je suis, non pas par résignation, mais avec une reconnaissance apaisée de qui je suis, avec mes forces et mes vulnérabilités. Pour moi, c'est passer par l'accueil d'un corps qui ne correspondait pas à mes projections et des injonctions que je percevais, que ce soit par des moqueries, parfois plus jeunes, ou par l'image que je me représentais de la femme, via les médias notamment. Et cela vaut aussi pour ma façon d'être. Je pensais que je n'étais pas assez ceci, pas assez cela, et parfois... Je le ressens encore. Mais arrêter de me battre contre moi-même et commencer à m'accueillir tel que je suis, c'est mettre fin à une certaine souffrance. Car la résistance à ce qui est génère de la souffrance. Et d'ailleurs, c'est un cercle vertueux. Car j'ai observé que les plaisanteries que les personnes de mon entourage pouvaient me faire ne me font plus réagir. Et du coup, comme ça ne me fait plus réagir, cela n'a plus d'emprise en fait sur moi, elles ont cessé. Peut-être qu'ils n'y trouvaient plus un intérêt. Et donc de fait, j'ai de moins en moins eu de plaisanteries sur des aspects de ma personne. Mais l'amour de soi, c'est aussi l'autocompassion. C'est cette capacité à être présent pour soi dans les moments difficiles, à se soutenir plutôt que se juger quand on traverse des épreuves, quand on échoue, quand on a l'impression de rater quelque chose. Pour moi, les moments difficiles, c'était notamment des périodes d'examen, dans le cadre de mes études. Alors, il n'y a pas eu que ça, mais c'était un exemple très frappant pour moi. Je me mettais une pression incroyable. La peur de l'échec, de ne pas être à la hauteur, et donc d'être derrière tout ça. la peur d'être moins aimée, faisait que je devenais mon propre bourreau. Je me jugeais énormément, et même plus jeune, je n'avais pas besoin que mes parents me punissent. Je le faisais toute seule. Quand je ne réussissais pas à l'école et que j'avais une mauvaise note, je me punissais finalement toute seule. Maintenant, quand je vis ces moments qui viennent me challenger, qui sont inconfortables, Je veille à m'apporter du soutien et prendre soin de moi en fonction de mes ressources. Parfois, je n'ai pas les ressources suffisantes. Et dans ces cas-là, je demande du soutien à l'extérieur. Je vais prendre soin de moi en demandant à être soutenu. Et c'est vraiment un point très important. Ça pourrait faire à lui seul l'objet d'un épisode. Ne pas attendre que cela vienne de l'extérieur, des autres. mais d'exprimer ses besoins. Et ça, c'est un point fondamental que j'ai vraiment appris à faire dans ce chemin vers l'amour de soi, c'est le respect de mes besoins. À l'origine de beaucoup de tensions en soi, mais aussi avec les autres, il y a ce non-respect de ses besoins personnels. Être à l'écoute de ses besoins, c'est comme être à l'écoute d'une voix intérieure qui nous guide vers ce qui est juste pour nous. Cela demande du discernement et parfois du courage pour honorer ses besoins. D'autant plus quand c'est inconfortable dans des situations difficiles pour nous. Par exemple, dans mon cas, dans une relation amoureuse, je pensais que l'autre devait deviner quoi faire pour me soutenir ou me consoler. quand je vivais quelque chose de difficile. Que c'était évident s'il m'aimait. Et que s'il ne le faisait pas, c'est qu'il ne m'aimait pas vraiment. Et du coup, j'en voulais à l'autre. Alors qu'en réalité, c'est juste une projection de ma croyance. Car il y a une infinité de raisons pour lesquelles l'autre n'agit pas comme moi j'aimerais qu'il agisse. Et qui ne remettent pas forcément en cause son amour pour moi. Car mon mode de fonctionnement, ce dont j'ai besoin moi dans ces moments-là, ça m'est propre. Nous sommes tous différents. Nous avons des besoins différents qui peuvent aussi évoluer dans le temps et en fonction de la situation. Donc la meilleure façon d'avoir ce dont j'ai besoin, c'est encore de le demander. Mais cela me demande d'être en capacité. à être en présence avec ce que je vis, d'évaluer de quoi j'ai besoin et de l'exprimer. Et bien souvent, j'ai observé que quand il y a des blocages ici, c'est que cela vient nous chercher sur des peurs et des croyances. Et c'est ça qui est magnifique. C'est que l'amour de soi, ce n'est pas une destination, c'est un chemin. Et c'est particulièrement dans mes relations que je peux observer ce qui est vraiment intégré et ce qui me demande encore de l'attention. Chaque friction, chaque tension devient une invitation à plonger plus profond, à regarder ce qui se cache derrière. Alors, non pas pour m'analyser sans fin, et vraiment j'insiste là-dessus, c'est important d'être en paix avec soi. Et de ne pas non plus... Tout analyser en permanence. Là, si je rentre là-dedans, je me fais juste embarquer par mon égo qui pense qu'il n'est encore pas assez bien et qui du coup va toujours tout analyser pour s'améliorer et je vais rester bloquée dans mon mental analytique. Donc c'est pas du tout de ça dont il est question. L'invitation ici, c'est plutôt d'avoir cette capacité. à faire un pas de côté quand je sens que je vis une résistance. ou quelque chose qui me fait souffrir. Pour observer ce qui se passe au lieu d'en devenir l'esclave. Voilà, pour juste, ok, j'observe, qu'est-ce que je ressens là ? Et c'est vraiment ça, c'est d'être davantage à l'écoute de mes ressentis, pour en faire des guides dans ma vie. Et cette écoute-là va me permettre aussi de pouvoir m'épanouir pleinement et d'être de moins en moins esclave ou prisonnière de schémas, de cœurs et de conditionnements. Cette paix intérieure que j'ai trouvée, elle n'est pas figée. C'est vraiment un chemin. Elle s'approfondit à chaque fois que je choisis de rester fidèle à moi-même. À chaque fois que j'ose regarder ce qui demande à être vu, l'amour de soi, c'est un chemin. Et j'aimerais partager avec vous une expérience qui illustre bien ce passage d'une compréhension purement mentale à une véritable incarnation. Pendant longtemps, je comprenais le concept d'amour de soi, mais je le comprenais de façon... intellectuelle. J'avais lu sur le sujet, j'apprenais des choses, on m'en parlait. J'essayais bien sûr d'appliquer les principes, plus de bienveillance, plus d'acceptation. Et effectivement, dans certains pans de ma vie, ça a fonctionné. Ça s'est fait par étapes. J'ai eu des expériences spirituelles profondes avec les plantes sacrées, avec la méditation qui m'ont permis de toucher aussi. à une dimension sacrée en moi qui m'ont permis d'ouvrir davantage mon cœur. Et pourtant, il y avait encore certaines zones d'ombre qui persistaient, je le sentais. À certains endroits, là où j'avais des blessures plus profondes, c'était moins évident à mettre en place. Ça me dépassait, j'avais ce sentiment-là que c'était plus fort que moi. Et j'ai eu un tournant, notamment dans... une relation amoureuse particulièrement intense et confrontante, où, dans cette relation, je reproduisais un schéma profondément ancré. Par peur de perdre l'autre, je m'effaçais complètement. Je mettais mes besoins de côté, je n'écoutais pas mes limites. Alors, cette situation, bien sûr, elle a généré énormément de souffrance. Je n'étais pas du tout à l'écoute. de ce dont j'avais vraiment besoin, de ce qui était bon pour moi et de ce que j'avais vraiment envie de vivre dans cette relation. Et un jour, alors que j'étais vraiment au plus bas, parce que du coup forcément ça entraîne le fait de vivre une relation assez toxique, au lieu de résister à ma souffrance, Je l'ai laissé me traverser entièrement. C'était comme être emportée par un tsunami émotionnel, plongée dans mes profondeurs. Ça n'a vraiment pas été facile. Mais à ce moment-là, c'est comme si une part de moi sentait que là, vraiment, il n'y avait pas le choix. Ça ne pouvait pas continuer comme ça. Et là, je me suis retrouvée seule face à mes ombres. les plus enfouies, face à mes peurs les plus anciennes, parce que bien sûr c'était lié à des traumas d'enfance, à des schémas qui ont pris place dans l'enfance. Et à cet endroit-là, j'ai eu vraiment un sursaut de vie, un élan d'amour pour moi-même, si puissant qu'il a tout bouleversé. C'était comme une renaissance. Et vraiment, je suis sortie de cet état-là, j'ai vécu ça comme une remontée, comme aller toucher le fond, donner un coup de pied, remonter à la surface, et là pousser un énorme cri d'amour pour moi. Et cet énorme cri d'amour pour moi, ça a été un grand oui à la vie, un grand oui à l'amour que je me porte, et un grand non. à la relation que j'étais en train de vivre. L'amour de soi, ça a été vraiment un chemin, et c'est un chemin, ça l'est toujours, qui me ramène à ma vérité, à mon pouvoir intérieur. C'est la clé qui ouvre la porte de mon potentiel créateur. Car quand je m'aime vraiment, j'ose être qui je suis vraiment, j'ose rêver plus grand. créer plus librement, manifester une vie qui résonne profondément avec mon âme. Et toutes ces expériences, parce qu'elles ont été nombreuses sur le chemin, m'ont amenée à voir plus clairement aussi toutes les croyances qui m'avaient limitée jusque-là. Et c'est de ces croyances dont j'aimerais vous parler maintenant. pour pouvoir déconstruire aussi certains mythes, comme j'en ai parlé en introduction, qui sont derrière cette notion de l'amour de soi. J'aimerais aborder avec vous la première croyance que j'ai rencontrée sur mon chemin, cette idée que l'amour de soi serait égoïste. Cette croyance était profondément ancrée dans mon histoire personnelle. En y regardant de plus près, j'ai réalisé que j'avais grandi entourée de femmes qui se sacrifiaient constamment pour les autres. Il y avait vraiment cette idée que pour être une bonne personne, il fallait s'oublier soi-même, mettre les autres en premier. Penser à soi, c'était considéré comme de l'égoïsme. Mais vous savez ce que j'ai découvert ? C'est exactement l'inverse qui est vrai. Quand nous ne nous aimons pas assez, nous devenons comme des puissants fonds, cherchant désespérément à combler ce vide à travers les autres. Nous créons des relations de dépendance. Nous nous perdons dans un besoin constant d'approbation. La magie opère quand nous commençons à nous aimer véritablement. C'est comme si nous remplissions notre propre coupe d'amour. Et une fois que notre coupe est pleine, nous n'avons plus besoin de puiser dans celle des autres. Au contraire, notre amour déborde naturellement. Nous pouvons donner depuis cet espace d'abondance. Car l'amour ne fonctionne pas comme une ressource limitée qui s'épuise quand on la partage. Il se multiplie. L'amour que je me porte n'enlève rien aux autres. Il enrichit toutes mes relations. Je peux recevoir l'amour des autres comme un cadeau précieux, tout en sachant que je peux remplir ma propre coupe si besoin. Adieu les relations de dépendance affective. Ça me rend littéralement plus libre et souveraine. Je reprends mon pouvoir personnel. Il y avait aussi cette peur qu'en m'aimant vraiment, je deviendrais narcissique, qu'on penserait que je me considère supérieur aux autres. Il est intéressant de noter que le narcissisme, souvent confondu avec l'amour de soi, en est en réalité l'opposé. Les comportements narcissiques masquent généralement une profonde blessure d'amour et d'estime de soi. C'est comme une armure brillante. qui cache une grande vulnérabilité intérieure. Là où l'amour de soi véritable nous permet d'être authentique et en paix avec qui nous sommes, le narcissisme pousse à constamment chercher la validation extérieure pour compenser un vide intérieur. C'est une quête perpétuelle d'admiration et de reconnaissance qui ne comble jamais vraiment le manque d'amour profond pour soi-même. C'est pourquoi le véritable amour de soi n'a rien à voir avec la supériorité ou l'ego. Au contraire, il nous permet d'être plus humbles, plus authentiques dans nos relations, car nous n'avons plus besoin de prouver notre valeur, puisque nous la reconnaissons déjà en nous-mêmes. Une autre croyance intéressante, c'est l'idée que s'aimer soi-même, ce serait se complaire dans ses défauts, s'en se... dans une zone de confort et ne plus vouloir évoluer. Mais mon expérience m'a montré exactement le contraire là aussi. C'est précisément quand je commence à m'accepter avec bienveillance que je me donne véritablement la permission de grandir, d'essayer de nouvelles choses, de me tromper aussi parfois. Libérée du poids du jugement et de l'autocritique, nous créons un terreau fertile pour notre évolution. J'aime beaucoup cette image du bébé qui apprend à marcher. Imaginez s'il abandonnait à la première chute. S'il se jugeait trop durement, il passerait toute sa vie à ramper. Mais non, il se relève, encore et encore, porté par cette confiance naturelle en lui-même. Je ne sais pas vous, mais moi, ça m'émerveille toujours d'observer cela chez les tout-petits. C'est ça l'amour de soi. Cette capacité à voir chaque expérience comme un apprentissage. Chaque échec comme une étape sur notre chemin. C'est oser se lancer dans l'aventure de la vie avec confiance et joie, sachant que nous sommes capables de nous relever, d'apprendre et de grandir à chaque pas. Et je le souligne à nouveau, l'amour de soi n'est pas une destination, c'est un chemin. C'est une pratique quotidienne qui demande du temps, de la patience, de la persévérance. Pourquoi ? Parce qu'on ne nous a pas appris. à le faire depuis tout petit. Alors, comment cultiver concrètement cet amour de soi dans notre vie de tous les jours ? J'aimerais maintenant partager avec toi quelques pratiques concrètes pour cultiver l'amour de soi au quotidien. Car au-delà des concepts, ce sont nos actions quotidienne qui transforme véritablement notre relation à nous-mêmes. Une première pratique essentielle pourrait être d'écouter ton dialogue intérieur. Quels mots utilises-tu pour te parler ? Comment te traites-tu dans les moments difficiles ? Souvent, nous ne réalisons même pas à quel point nous pouvons être durs envers nous-mêmes. Observe quand tu te parles mal. Pour te donner un exemple, J'ai réalisé que j'avais des automatismes quand je ratais quelque chose, quand j'étais maladroite ou que je me trompais. Dans le feu de l'action, je lâchais des que je suis bête et parfois quel imbécile pour ne pas dire un mot beaucoup plus vulgaire. Je ne m'en rendais même pas compte jusqu'à ce que je mette l'intention d'observer quand je me parle mal. J'ai été choquée. Pour le coup, je ne parlerais pas à ma meilleure amie ainsi. très dur. Donc, tu peux déjà mettre l'intention de te parler comme tu parlerais à quelqu'un que tu aimes. Et observer quand ce n'est pas le cas, sans jugement, mais ramener l'attention dessus, se reprendre. Ça permet de déprogrammer à force. Et cela peut prendre du temps, et c'est ok. Parfois, ça m'arrive encore que ça sorte. Et maintenant, quand ça sort, j'en rigole. tellement je trouve ça inapproprié et je me dis une phrase d'amour pour contrebalancer. Tu peux aussi chaque soir noter une chose que tu apprécies chez toi, une petite victoire de la journée. Cela peut sembler anodin, mais c'est comme ça que nous commençons à transformer notre relation à nous-mêmes. Tu peux aussi créer des rituels de bien-être. Ce n'est pas tant la nature du rituel qui compte. Mais la conscience avec laquelle on le pratique, cela peut être aussi simple que prendre quelques minutes le matin pour respirer profondément, méditer, ou simplement être présent à soi avant de commencer sa journée. Prendre cette respiration et juste se poser avec soi quelques instants, ressentir comment je me sens, qu'est-ce qui est présent pour moi, de quoi j'ai besoin. Ça peut être quelques instants le matin, mais ça peut être à n'importe quel moment aussi dans la journée. C'est prévoir éventuellement d'avoir ces petits moments au départ, si c'est un petit peu difficile pour vous de les positionner dans la journée, d'être à l'écoute. Au départ, moi, ça m'a aidé de me faire des petits rappels. Et puis après, maintenant, ça vient plus spontanément. Un aspect crucial, et je l'ai vécu personnellement, c'est d'apprendre à poser des limites saines. C'est souvent là que réside le plus grand défi. Oser dire non quand quelque chose ne nous convient pas, sans se sentir coupable. Et ça c'est vraiment un muscle qui se développe avec la pratique, doucement, pas à pas. Avant de conclure, j'aimerais te proposer un exercice simple que tu peux faire dès maintenant. Prends une grande respiration et pose-toi cette question. Qu'est-ce que je ressens vraiment en ce moment ? Et de quoi ? ai-je besoin ? Prends le temps d'écouter la réponse qui monte, sans jugement. Cette simple pratique d'écoute est déjà un acte d'amour envers toi-même. Pour cette semaine, je t'invite à choisir l'une de ces pratiques, quelque chose qui résonne avec toi, que tu pourras facilement intégrer dans ton quotidien. Et n'hésite pas à venir partager ton expérience sous ce podcast. Ton témoignage pourrait être exactement ce dont quelqu'un d'autre a besoin d'entendre. Tu peux partager tes pratiques, tes prises de conscience, célébrer qui tu es. Alors, ose. Osons. ensemble, créons un espace d'inspiration et de soutien mutuel. Je suis très heureuse d'avoir partagé avec vous, chers auditeurs et auditrices, cette exploration de l'amour de soi. Ce n'est que le début de notre voyage ensemble et j'ai déjà hâte de poursuivre cette aventure avec vous. Je vous retrouve très bientôt pour un nouvel épisode de l'Odyssée intérieure. D'ici là, rappelez-vous que vous méritez tout l'amour que vous donnez aux autres. vous pouvez soutenir le podcast en lui donnant une étoile ou en le partageant autour de vous cela lui permettra d'être plus visible et de toucher d'autres personnes merci pour votre présence je vous retrouve très vite pour un nouveau voyage dans l'Odyssée intérieure à très bientôt pour continuer ensemble cette belle exploration