Description

C'est le retour du podcast de La Machine à sens dédié aux sociétés à mission. Pour cette reprise, je vous propose de partager chaque jour une réflexion sur la société à mission tirée de mes accompagnements terrain, de mes échanges et de mon livre sorti il y a peu L'Entreprise à mission en questions (en réponses et en pratique)aux éditions ContentA.

Le principe de ces épisodes est de vous partager un peu de mon expérience, de susciter la discussion et de vous éclairer au travers d'épisodes courts.

Pour ce 2 décembre, je vous parle de la mission comme cadre de légitimation des engagements de l'entreprise et du faire-savoir.

Bonne écoute !

📩 Si vous souhaitez tout suivre de La Machine à sens, vous pouvez vous inscrire à la newsletter hebdomadaire: https://machineasens.substack.com/. Toutes les semaines, je vous apporte un éclairage sur une sélection d'actualités liées aux responsabilités d'entreprises, aux évolutions législatives et aux débats autour de tous ces sujets.

📖 Vous pouvez retrouver tous les détails de mon livre L'Entreprise à mission en questions (en réponses et en pratique) publié aux éditions ContentA via ce lien et le commander chez votre libraire ou en ligne.

🤝 Si vous souhaitez devenir société à mission ou mieux piloter le déploiement de votre mission, je peux également vous accompagner dans ces démarches. Rendez-vous sur mon site pour plus de détails : https://lamachineasens.fr/. 

🎧 Credits : French 79 - FOIX.

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

• Speaker #0

  Chers auditeurs, bienvenue sur le podcast de la machine à sens dédié Société à Mission. Comme je le disais hier, une série d'épisodes un peu particulière pour ce mois de décembre avec un calendrier de l'avant de l'émission. Chaque jour, je vous partage une réflexion, une analyse sur la Société à Mission tirée du terrain, des accompagnements que je peux faire, des nombreux échanges que je peux avoir sur le sujet, ou de mon livre qui s'intitule « L'entreprise à mission en question » . En réponse et en pratique, il a été publié aux éditions Contenda il y a quelques mois et que je ne peux que vous inviter à consulter, à commander, à éplucher, à recommander, à relire et à noter. Aujourd'hui, deuxième épisode, puisque nous sommes le 2 décembre, et je vous partage une réflexion sur la manière dont on peut utiliser la mission pour légitimer des engagements et le faire savoir. La société à mission, c'est un cadre juridique volontaire. Il n'est pas régi par un cadre normatif ou... réglementaires comme c'est le cas de la CSRD, de certification, de labellisation ou d'évaluation. Il s'adapte à toutes les tailles d'entreprise. C'est d'ailleurs une des raisons qui expliquent que 81% des sociétés à mission sont des PME et 14% sont des ETI, selon l'Observatoire des sociétés à mission. Donc clairement, ce n'est pas un outil uniquement pour les grands groupes. Cette souplesse est d'ailleurs un énorme atout quand une direction d'entreprise souhaite valoriser ses engagements auprès de ses équipes, de ses financeurs, de ses clients, de ses fournisseurs ou d'autres parties prenantes. Les entreprises déterminent leur cahier des charges en fonction de leurs ambitions, de leurs intérêts et de leurs ambitions. Et ça, c'est vraiment important d'avoir à l'esprit. Cette dimension séduit beaucoup de monde, surtout les entreprises qui ne sont pas soumises à des réglementations ou ne recherchent pas forcément un label qui ne reflèterait pas forcément bien les dimensions sur lesquelles l'entreprise a axé ses efforts ou la manière dont elle l'a fait. En parallèle, il s'agit de traiter un point que beaucoup de PME et de TI ont du mal à aborder. il s'agit de répondre à la question comment faire connaître les engagements pris sans que cela ne paraisse faux ou exagéré. Par sa dimension statutaire, la mission donne un cadre clair, pérenne et juridique aux actions que l'entreprise mène. En fait, elle légitime les efforts passés, présents et futurs que l'entreprise avait jusqu'alors du mal à expliquer en interne ou en externe. En bref, elle légitime le faire savoir. Voilà pour cette deuxième réflexion. Je vous dis à demain. pour la troisième réflexion. Et bien évidemment, n'hésitez pas à partager cet épisode, à le noter sur vos différentes plateformes. Et je vous dis à demain !