- Speaker #0
Comment es-tu à l'aise avec ton corps, avec ta sexualité ? C'est ce qu'on va parler aujourd'hui, dans notre saison du bonheur, avec Karine Lafleur, coach médium qui porte plusieurs chapeaux, mais qui peut vraiment t'aider à retrouver du bonheur à travers ton corps et ta sexualité.
- Speaker #1
Bienvenue au podcast de la magie du pouvoir mental. Nous sommes Maud et Marjorie. deux magiciennes et créatrices du système de la magie du pouvoir mental.
- Speaker #0
Nous avons créé ce podcast pour faire connaître au plus grand nombre le grand pouvoir que nous avons tous sur notre mental, pour mettre plus de magie dans nos vies et créer notre vie rêvée. Oui, c'est possible pour tous. Attends-toi à ce que la magie se manifeste dans ta vie. Aujourd'hui, on reçoit Karine Lafleur, qui va parler de connexion à son corps, de connexion à sa sexualité. Parce que pour retrouver un bonheur, ça fait partie de l'équation. Bonjour Karine, je suis vraiment contente d'avoir l'opportunité de te rencontrer et de parler de corps, de sexualité, et de comment refusionner et retrouver un bien-être à travers ces deux sphères essentielles à notre bonheur.
- Speaker #1
Allô Marjorie, ça va bien ?
- Speaker #0
Oui ! Oui ! Donc, pour les gens qui ne te connaissent pas, ma belle Karine, parce que moi je te suis sur les vidéos TikTok, puis t'as vraiment, t'sais, t'as une grande communauté qui te suit, mais est-ce que t'aimerais te présenter pour commencer ?
- Speaker #1
Ben oui, ben oui, ben premièrement, ben je m'appelle Karine Lafleur, alias Lafleur Spirituelle, vous allez plus me trouver ce nom-là sur les réseaux sociaux. Je suis voyante et coach en connexion corporelle et sexuelle. J'ai fait un grand travail sur moi les dernières années et j'ai réalisé que la question n'est pas dans ton corps, la question n'est pas une question de poids, mais une question de connexion à soi. Il n'y a rien de mieux que d'être connecté à sa sexualité pour... être connecté à soi et être dans son plein pouvoir. Parce que quand tu es dans ta sexualité et que tu assumes ta sexualité, tu es bien dans ton corps et que c'est fou comment tu te dégages à l'extérieur de toi. Ce n'est pas une question de poids. C'est juste ça que je veux dire. Ce n'est pas une question de poids.
- Speaker #0
Non, parce que là, les gens nous écoutent, mais ne nous voient pas à l'écran. Je pense que tu assumes assez ton corps pour dire que tu ne rentres pas dans les standards. Non. de beauté, de sans-livre, tout mouillé. Non,
- Speaker #1
je n'ai jamais rentré.
- Speaker #0
Non, c'est ça. Puis tu disais que tu avais pris du poids dans les dernières années puis que c'est tout ce processus-là qui t'a permis de prendre conscience de comment c'était important d'être à l'aise avec soi.
- Speaker #1
Oui, bien en fait, c'est que moi, je suis une ancienne toxicomane dans la vingtaine. Puis tu sais, je pesais 120-130 livres. Puis je me rappelle, j'ai regardé des photos de moi récemment puis j'étais comme, j'étais pas bien dans mon... corps, je me dénigrais, je me voyais comme très grosse. Puis tu sais, aujourd'hui, je vis 60-70 livres de plus que dans ce temps-là, parce que j'ai arrêté de fumer il y a trois ans. Pourtant, je suis aussi bien dans mon corps aujourd'hui que dans le temps. Fait que tout n'est pas une question de poids, mais de comment tu te vois, puis comment tu as envie d'être bien dans ton corps aussi. Il faut juste se débrancher de la société. C'est vrai, là.
- Speaker #0
Oui, parce que la société présentement nous amène toujours à... à vouloir être plus, à être mieux.
- Speaker #1
Une beauté sociétale, en fait.
- Speaker #0
Oui, puis on est aussi beaucoup dans le « on n'est jamais assez » . Je comprends ce que tu me dis, parce que moi aussi, j'ai eu une période où je m'entraînais énormément, c'était rendu malsain, je me pesais tous les jours, je pesais 120 livres. Je me disais, un petit deux livres de plus, je suis capable de perdre un petit deux livres de plus. Quand j'ai perdu une partie du poids que je voulais par rapport à une zone de mon corps, c'était une autre zone de mon corps qui s'est mise à me déranger. Quand on ne s'aime pas, c'est sans fin.
- Speaker #1
Oui, c'est sans fin. Moi, dans ce processus-là, j'ai réalisé qu'il fallait que j'apprenne à m'aimer. Aujourd'hui, pas de « je vais m'aimer quand je vais perdre tranquille, je vais m'aimer quand je vais me refaire faire les lèvres, je vais m'aimer quand je vais teindre mes cheveux telle couleur. » Non, il faut que tu teimes. Aujourd'hui, tu te regardes dans le miroir et tu seras capable de dire « Je suis magnifique comme je suis » . Peu importe les chirurgies que tu vas faire, peu importe si tu perds du poids, si tu prends du poids, ça ne va rien changer au regard que tu te portes. ça va surtout t'amener à être bien dans ta sexualité.
- Speaker #0
Oui, parce qu'en quoi il y a un lien entre être à l'aise avec son corps et la sexualité, justement ? C'est quoi le lien que tu fais ?
- Speaker #1
Bien, le lien est que quand tu es bien dans ton corps, tu es épanouie au lit parce que tu peux te laisser aller. Tu n'es pas comme, ah bien là, il faut fermer la lumière. Ah bien là, regarde mon poche tout nu. Je sens tout découvert. Quand tu es bien dans ton corps, bien, tu es comme... regarde-moi, je suis magnifique comme que je suis. Tu sais, comme les statues tout nus dans le temps, les grecs, ils ont des statues tout nus.
- Speaker #0
Oui, oui. Oui, il y a le petit garçon qui fait pipi aussi, tout nu. Oui,
- Speaker #1
oui.
- Speaker #0
Il y a eu quand même...
- Speaker #1
Le petit pénis, tu sais. Puis dans ce temps-là, c'était ça qui faisait que l'homme était masculin, dans ce temps-là. Comme je vous dis, c'est toute une beauté sociétale. Est-ce que c'est sain ? Est-ce que c'est bon ? Non. Parce qu'on ne rentre pas tous dans ce standard-là. Puis, on a-tu le goût d'être dans ce standard-là ? Non. Parce que ça prend beaucoup de sacrifices. Ça prend beaucoup... C'est de rentrer dans un moule, finalement. Tu sais, ce moule-là, est-il vraiment le fun ? Bof, pas vraiment.
- Speaker #0
Non, puis... Tu sais, c'est quelque chose, ça, qui est important. Parce qu'on pense toujours, comme tu dis, que quand on va rentrer dans le moule,
- Speaker #1
on va être heureux.
- Speaker #0
Quand on va avoir telle affaire, bien là, on va être bien. Là, on va être beau. Là, on va être belle. Là, on va être content. Mais comme tu dis, c'est une quête sans fin.
- Speaker #1
Ben non, c'est une quête sans fin. Si tu t'aimes pas comme tu es là, t'aurais beau perdre 50 livres, ça sera jamais assez. Tu vas toujours trouver quelque chose à te dire et à te dénigrer. Tu vas être aimée là. Tu vas voir que l'épanouissement que tu vas ressentir et l'énergie que tu vas dégager tout simplement va être tellement différent. Parce que tu vas faire comme... ça va paraître. Même si tu pèses 200 livres, si t'es bien dans ta peau, les gens vont se retourner parce que tu dégages.
- Speaker #0
Exact.
- Speaker #1
Quelqu'un qui est tout le temps comme, oh mon Dieu, oh mon Dieu, c'est parce que là, j'ai toute la raclette, parce que là, qu'est-ce que c'est que les gens vont dire ? C'est pas tirant, c'est comme... Puis il y a deux ans, trois ans, je vais toujours me rappeler, je me traitais tout le temps au bureau, je me regardais dans le miroir, j'avais le goût de pleurer puis moi puis mon chum au lit, ça allait moins bien. Puis à un moment donné, je... Je lui disais à mon chum, on dirait que tu n'as plus envie de moi. Il m'a dit, Karine, tu ne sais pas que j'ai envie de toi, mais regarde comment tu parles de toi. Ce n'est pas attirant. Ce n'est pas attirant. Il y a quelqu'un qui est tout le temps, je suis grosse, je ne suis pas belle, je ne suis pas ci, je ne suis pas ça. Il me dit, ce n'est pas le fun. C'est là que le déclic a commencé dans ma tête. J'ai fait comme, oh my God, OK. Là, je dégage que je ne suis pas belle. C'est sûr que tu ne me diras pas que je suis belle. C'est sûr que je dégage.
- Speaker #0
Puis comment on fait justement, parce que c'est beau, on comprend que l'amour de soi, que de s'accepter, ça a un impact dans la sexualité, que ça a un impact aussi sur comment les autres nous voient, sont attirés par nous. Mais comment on entame ce processus pour justement apprendre à être à l'aise avec son corps ? C'est quoi la première étape ? C'est quoi qu'on peut mettre en action dès maintenant pour se permettre ? ce cheminement-là ?
- Speaker #1
C'est de regarder dans le miroir, d'accepter, d'aller dans l'acceptation. Je suis comme ça, mon corps est fait comme ça. Je n'ai pas des défauts. Je n'aime pas le mot défaut, parce qu'encore là, ça vient mettre du négatif. Je ne rentre pas dans le standard. Comment je peux me sentir belle maintenant avec le corps que j'ai ? Deuxième étape, je vous dirais d'aller magasiner. Allez changer, allez habiller comme vous voulez. Mettez du linge qui vous fait... Pas qu'il vous met en valeur, puis que les gens... Qu'est-ce que les gens vont dire ? Non, comment toi, tu vas te sentir dans ce linge-là ? Comment toi, tu vas te sentir belle ? Comment toi, tu vas te sentir sexy ? Comment toi, tu vas te regarder, tu vas faire comme... Oh my God, je suis donc bien malade habillée de main, tu sais ? Faut que tu te regardes, puis t'ailles le goût. Mais avant de passer à l'offre, t'as l'acceptation.
- Speaker #0
Non, c'est ça, parce que... Tu sais, ça, c'est un point important. Combien de fois on va au magasin, on va magasiner, Puis justement, moi, ça m'est déjà arrivé, je mets une robe, je ne suis pas grosse, puis je me regarde, je suis là, oh mon Dieu, ça me fait un gros ventre. Parce que notre perception, souvent, elle est démesurée par rapport à la réalité. Donc, c'est important d'apprendre à s'accepter avant d'aller se magasiner du linge pour se permettre d'être à l'aise et de se dire, je me mets en valeur. Mon corps, je le fais rayonner, je le fais vibrer, je le fais rayonner.
- Speaker #1
Oui. En fait, c'est qu'il faut te mettre en priorité. Tu fais comme excusez mon langage, mais c'est pas pire que tout le monde. Moi, c'est moins la priorité. C'est moins que j'ai envie de sentir belle. C'est moins, moins, moins, moins. Parce qu'on est dans une société où être égoïste, c'est mal vu. Mais c'est pas mal vu. Au contraire, c'est parce que c'est la société qui est égoïste. Arrête de penser à toi, puis pense à moi. Oui. Finalement, commencez à être égoïste. Allez accepter votre corps. Allez vous habiller comme vous voulez. Allez vous rendre magnétique. C'est ça la clé. Après ça, vous allez voir que dans votre sexualité, ça va changer. Même pas juste avec un partenaire, même solo. Même solo.
- Speaker #0
Oui, parce qu'il y a beaucoup de femmes qui nous écoutent présentement et qui ne sont pas nécessairement à l'aise avec leur sexualité propre. Parce que la sexualité, ce n'est pas juste avec le partenaire. Il y a une partie qui se passe avec soi-même. Et comment on fait justement pour apprendre à être à l'aise avec soi-même dans sa sexualité, sans que ce soit par rapport à l'autre ?
- Speaker #1
Je vais être un peu crue, mais…
- Speaker #0
Oui, vas-y, vas-y.
- Speaker #1
Touchez-vous à vos masturbants. Il faut aller se connecter avec son corps, il faut aller se toucher, il faut aller… C'est comme fermer vos yeux et faire juste… Quand vous faites l'amour avec quelqu'un, vous n'êtes pas gêné. Vous vous touchez, c'est comme la tension est là. Elle va trouver cette passion-là avec toi-même. Elle va t'acheter des jouets chez Eros et compagnie. Let's go, elle va te faire plaisir. Elle va te faire jouer. Tu vas voir qu'elle a ton énergie. Après, wow, elle fait 40.
- Speaker #0
C'est difficile aussi de savoir comment l'autre peut nous procurer du plaisir si nous-mêmes, on ne le sait pas par soi-même.
- Speaker #1
C'est là que je m'en allais, en fait. C'est que dans un programme que je suis en train de monter. je l'apprends ça que avant d'être bien avec quelqu'un, il faut apprendre d'être bien avec soi-même. Même si tu es en relation, c'est simple la masturbation, c'est simple de te faire l'amour avec toi-même parce que c'est une connexion avec soi avant la connexion avec un autre. Avant de vouloir être épanouie avec quelqu'un et de s'affaiblir avec toi-même avant. Si tu veux apprendre à gauger et à guider l'autre, il faut que tu saches que tu aimes. ce que ton corps est capable d'accepter pas capable d'accepter si t'as vécu des abus sexuels si t'as vécu des viols c'est rare c'est plusieurs dans une vie en tout cas si t'as vécu un viol peu importe ou au contraire t'es vierge de 30 ans va explorer ton corps va le toucher, va chercher des jouets ces femmes là sont là pour ça oui,
- Speaker #0
pis là Karine, ça c'est important OK. Parce qu'on est en train de déconstruire quelque chose de super important avec l'auditoire, je trouve. Parce que combien de fois il y a des femmes qui vont être insultées si leur homme se masturbe ou au contraire que l'homme va être insulté si la femme se procure du plaisir par elle-même. Mais là, toi, tu es en train de dire que justement, c'est important autant pour l'un que pour l'autre.
- Speaker #1
C'est ça, oui. C'est sûr que si ton conjoint ou toi, tu vas dire à ton chum, « Ah, bien, je m'en vais me masturber » , c'est normal que ça va déclencher l'autre. Mais si l'autre n'a pas, il est en train de le faire, c'est simple, c'est normal. C'est juste d'aller rejoindre et de finir le plaisir à deux, c'est tout. Mais il n'y a rien. Moi, ce que je ne trouve pas simple, c'est que les deux s'empêchent de se toucher parce que c'est juste ensemble, c'est égocentrique. C'est d'affaire comme, bien là, c'est juste ensemble ou rien pour tout. Personnellement, je trouve que non. Parce que la personne, avant d'être un couple, vous êtes deux personnes à part entière. Puis vous aviez des habitudes tout seul. Vous aviez des connexions corporelles. Vous aviez des connexions avec soi avant une connexion avec une autre personne. Fait que tu peux pas dire dans un couple... Tu sais, moi, ça fait 13 ans que je suis en couple. Tu peux pas dire dans un couple, ben moi, je me touche plus juste pour me donner à toi. Parce qu'à un moment donné, ça va te manquer. qui, ce côté-là, cette connexion-là avec toi. Ce n'est pas une orgasme, tu vas chercher cette connexion avec toi-même. Moi, c'est comme ça, je le vois.
- Speaker #0
C'est vraiment intéressant, Karine, parce que justement, ce n'est pas nécessairement d'aller chercher l'orgasme ultimatum dans tout ça. C'est vraiment d'aller rechercher une connexion avec soi-même et une relation saine avec son corps.
- Speaker #1
Oui, parce que Ton corps, il est à toi, il t'appartient, puis il change, il évolue. Mon corps n'est plus le même qu'il y a dix ans. J'ai eu trois enfants, puis j'ai pris du poids. Fait que c'est sûr qu'il y a des affaires qui changent, puis c'est correct. Faut juste accepter ce changement. La vie est cyclique. Notre corps aussi. Fait que c'est sûr qu'il y a des affaires que t'aimais il y a dix ans qu'aujourd'hui, t'aimerais plus. Mais pour le savoir, faut peut-être te connecter avec toi-même.
- Speaker #0
Yes. Alors, je pense que...
- Speaker #1
Ça, là, je vous dirais.
- Speaker #0
Les filles et les gars qui nous écoutent, je vous invite à... prendre comme outil, justement, puis à mettre à la jaillida ou à prendre un moment en tout cas, pour aller à l'exploration de vous-même, pour apprendre à accueillir votre corps de plus en plus. Parce que, comme tu dis, Karine, c'est à travers cette connexion-là, ce respect de soi-là, qui se fait en s'apprivoisant soi-même, qu'on va pouvoir apprendre de plus en plus à s'aimer. Qu'on va apprendre de plus en plus à... être épanouie en tant qu'individu sans répondre nécessairement aux attentes puis aux moules que la société nous inclut.
- Speaker #1
Effectivement, parce que ce que la société attend de vous, c'est que vous rentrez dans le moule, mais selon moi, il n'y a personne qui rentre dans le moule. Il y en a qui arrivent à se faire, puis c'est correct, mais ce n'est pas pour tout le monde.
- Speaker #0
Non, puis j'ai envie de dire, c'est pas parce qu'on est dans le moule qu'on est nécessairement heureux puis qu'on est nécessairement bien avec nous-mêmes. Parce que souvent, ça devient très contraignant, comme tu disais en début d'entrevue, puis on est poigné. Bien, c'est ça.
- Speaker #1
Ça devient étroit. Manette étouffe. Oui. C'est pas le fun, tu sais. C'est d'aller trouver un équilibre entre... Je fais partie de la société, mais je suis moi. On n'est pas des robots.
- Speaker #0
Non, tout à fait. Et si justement, tu avais un mot de la fin qui n'a rien à dire à nos auditrices, à nos auditeurs qui nous écoutent présentement, pour leur permettre justement cette réconciliation-là avec eux-mêmes ?
- Speaker #1
Moi, je vous dirais, allez faire le travail de miroir. Allez mettre un miroir devant vous et regardez-vous. Au début, je ne vous mentirais pas. Ce ne sera pas... Ce ne sera pas agréable, vous avez l'impression de vous mentir, vous allez être gêné devant vous-même. Mais continuez à pratiquer, puis regardez-vous dans les yeux et dites-vous que vous vous aimez, à quel point vous vous trouvez belle. Puis tu sais, n'oubliez pas que vous vous mentez déjà en vous disant que vous êtes grosse, que vous n'êtes pas belle, que vous êtes ci, que vous êtes ça. Fait que mentez-vous donc côté positif en vous disant que vous êtes belle, puis vous allez finir par y croire, parce que c'est ça le mindset, c'est comme ça. Si tu vas changer la donne, Ton état d'esprit va changer aussi. Moi, je commencerais par là.
- Speaker #0
Merci beaucoup, Karine, pour cette magnifique entrevue, pour cette opportunité de se réconcilier avec soi-même.
- Speaker #1
Ça fait plaisir. Merci à vous de l'invitation.
- Speaker #0
Oui, et on se retrouve très bientôt pour une autre entrevue sous le thème du bonheur. Et je t'invite parce que tu peux tout avoir. Tu peux tout transformer dans ta vie. que tout ça commence par l'amour de toi à venir à notre prochain webinaire 100% gratuit pour te donner des outils magistraux, magiques, transformateurs pour te permettre de réapprendre à t'aimer ou si tu ne l'as jamais appris de te donner des bases solides, importantes pour te permettre d'apprendre à t'aimer toi d'abord pour après être encore mieux avec les autres alors c'est un rendez-vous au www.maudeetmarjorie.com. On t'embrasse. Bye.
