- Speaker #0
Rendez-vous, le podcast qui fabrique et consolide votre réseau d'apporteurs d'affaires. Salut Cyril.
- Speaker #1
Salut Jean-Christophe. Bon.
- Speaker #0
On est en live sur mon profil LinkedIn et sur YouTube. Alors je suis avec un maître des lives. Je suis ravi de t'avoir avec moi. On va passer... Allez, une demi-heure, 40 minutes ensemble.
- Speaker #1
Avec plaisir.
- Speaker #0
Et puis tu connais le principe de l'émission, trois parties. L'idée c'est de savoir d'où tu viens, qui tu es professionnellement parlant, tes étapes, tes premiers jobs, tes formations, etc. Comprendre un petit peu en filigrane qui tu es aujourd'hui et qu'est-ce que tu fais avec tes clients aujourd'hui, mais sans trop rentrer dans les détails dans un premier temps. Après, ce sera à toi de jouer. Tu auras ta carte blanche, mon ami. Une minute qui t'appartiendra totalement, dans laquelle tu me parleras du sujet qui t'est cher. À l'instant T. Et puis, on se quittera sur une dernière grande partie où tu nous expliqueras un petit peu l'immo entre pros, les tenants, les aboutissants, pourquoi t'as monté ça, etc. Voilà. Donc tu te laisses guider en toute confiance.
- Speaker #1
Ah ouais, bon... T'es venu sur mon podcast, je suis en totale confiance avec toi.
- Speaker #0
Ah, c'était un super podcast, d'ailleurs. Ouais,
- Speaker #1
sur le réseautage.
- Speaker #0
C'était il y a plus d'un an, je crois, et depuis, je m'étais dit, il faut que je monte mon propre podcast. Il faut que je fasse mes lives. Et c'est vrai qu'un peu d'inspiration de la part de Cyril Guérard, mais j'ai mis du temps à franchir le pas, mais cette fois, c'est parti.
- Speaker #1
Ouais, ça vient quand ça vient, mais c'est cool. C'est cool, la création de contenu est cool, en règle générale.
- Speaker #0
Ouais, écoute, on en parlera peut-être au cadre de nos échanges. Rendez-vous, le podcast. Allez, pour commencer, Cyril, est-ce que tu peux nous parler un petit peu de toi, alors sans vraiment rentrer dans les détails, juste ce que tu fais actuellement, juste en 30 secondes, juste te présenter en 30 secondes.
- Speaker #1
Actuellement, je suis... Je suis formateur pour les professionnels de l'immobilier. Je les forme essentiellement dans le domaine de la relation client, la transaction, ce genre de choses. C'est mon cœur de métier, je les accompagne, j'accompagne les conseillers, les conseillères, les directrices, les directeurs d'agence. Et je fais ça en solopreneur depuis bientôt trois ans.
- Speaker #0
Yes, trois ans, ok. Un cap, 3 ans. Il en dira plus tout à l'heure. Et vous recommencez, on n'en est pas encore là. Moi, je veux savoir. T'as quel âge, Cyril ? T'es dans la quarantaine comme moi, j'imagine ?
- Speaker #1
44.
- Speaker #0
44, t'as 2 ans de plus que moi. Ok. Interview entre cadras. Ça fait mal, ça fait mal.
- Speaker #1
Bon, ça va. Je me lis bien. Quand je vois les plus jeunes, je me dis, ça va.
- Speaker #0
Alors, remontons. un peu dans le temps, c'était dans les années peut-être 2000-2002. Qu'est-ce que tu faisais à l'époque ?
- Speaker #1
C'était assez particulier pour moi parce que dans cette période-là, début des années 2000, j'arrête l'université parce que j'étais dans une filière qui était beaucoup trop abstraite pour moi. Pour les plus anciens, parce que je ne crois pas que ça existe encore, c'était Mias, mathématiques, informatiques appliquées aux sciences. Ouais, ça en jette, mais non. Non, non, non, non. Ça en jette beaucoup moins. Et donc, j'ai arrêté. Et ne savant pas quoi faire, je me suis tourné vers l'entrepreneuriat à ce moment-là, dans un domaine que je m'étais juré déjà de me faire. C'était celui de mes parents. Mais quand on ne sait pas quoi faire, on va sur ce qu'on connaît. Solution de facilité. en tout cas dans les connaissances, c'était la restauration. Donc, j'ai fait moins d'un an dans la restauration. Et ça, ce n'est pas super bien terminé, on va se le dire. Oui, non, mais aujourd'hui, c'est à chaque fois, c'est ce que je dis, tout le monde te dit, ouais, mais les échecs, tu en apprends, etc. Oui, alors ça, c'est ce qu'on nous dit. Mais ça, c'est ce que je dis aujourd'hui. Mais tu vois, avec 22 ou 23 ans de recul, la réalité, c'est que... Oui. Le jour J où tu fermes le truc, tu n'es pas là en train de te dire c'est une belle leçon. Non, on se dit les choses. Ça nous embête. Et encore, je suis très, très poli dans les mots. Mais voilà, donc j'ai ça.
- Speaker #0
Qu'est-ce qui s'est passé ? Allez, dis-nous quand même.
- Speaker #1
C'est simple, ça n'a pas marché. J'ai pris un bar-pub-restaurant en banlieue parisienne et comment dire, ça n'a pas fonctionné. Donc, quand à la fin, au bout de six mois, tu es à 10 ou 15 000 de dette en plus de ce que tu as contracté et que tu ne te payes pas, à un moment, tu dis non. Tu vois, j'ai essayé des trucs, je faisais six jours sur sept, etc. Mais l'emplacement, plus moi certainement, qui me disait que ça allait être plus facile que ça, le mix n'a pas marché. On va être très clair, le mix n'a pas marché. Donc, au bout de 8 à 9 mois, j'ai décidé d'arrêter. Et puis là, se pose la question, qu'est-ce que tu fais ? Et il y avait, comment dire, j'ai commencé à rentrer dans un milieu commercial et ma petite amie de l'époque, je vais le dire, elle était dans l'immobilier. Elle était assistante de direction dans une agence immobilière. Et puis, au bout d'un an de BTS en alternance, comme elle aussi faisait un BTS en alternance et tout ça, on échangeait le soir sur nos journées. Et elle m'expliquait la journée des personnes en immobilier. Et je me suis dit, c'est génial, je veux faire ça. Je veux faire ça. Et écoute, j'ai passé mon BTS immobilier suite à ça. Et vraiment, ça a été la confirmation que... Ce n'était pas facile, mais c'était là où je voulais être. Donc ça, c'est chouette. Et donc, j'ai fait ça en alternance. J'ai continué dans l'entreprise qui m'avait pris en alternance. J'ai même continué en cours du soir, continué ma formation, parce que j'étais assez jeune, entre guillemets, pour l'immobilier. Quand tu as 23, 24 ans, tu fais encore assez jeune dans le métier. Et pour me crédibiliser et lier à un manque de confiance en moi, très clairement, J'ai voulu continuer à apprendre, à connaître des lois, ce genre de choses, savoir comment ça fonctionnait. Et donc, j'ai continué en cours du soir au CNAM. Et c'était intense, mais c'était chouette parce que là, comparé à ce que je disais sur l'université, j'avais le côté pratique et le côté théorique le soir et je pouvais appliquer, je pouvais voir un petit peu. Donc, c'était une chouette période. C'était vraiment une chouette période. Et puis, depuis, toujours dans l'immobilier.
- Speaker #0
T'avais 24 ans, 25 ans à l'époque ?
- Speaker #1
Ouais, c'est ça. J'ai terminé, j'avais 25 ans. Et comment dire ? Et puis après, j'ai changé d'agence. Je suis parti de là où j'étais dans le 92 à Antony. Je suis parti un tout petit peu plus loin, un peu plus au sud dans le 91. Sauf que je suis arrivé et ça ne l'a pas fait parce que... Je voulais être dans une vraie équipe avec un directeur impliqué, etc. Et là où je suis arrivé, mon directeur était plus branché, pour ceux qui ne connaissent pas, sur la copropriété, les syndics, ce genre de choses. Et moi, j'étais dans le domaine de la transaction. Donc, la partie transaction était un peu annexe et pas forcément dans la cohésion, dans la montée en compétences, etc. Donc, au bout de quelques mois, j'ai commencé à en faire part autour de moi. et à d'anciens formateurs que j'avais en BTS, qui m'ont dit, écoute, on te verrait bien formateur. Ah bon ?
- Speaker #0
Et tu avais quel âge à l'époque ?
- Speaker #1
Toujours 25 ans ? Non, c'était un peu plus tard. Je devais avoir 26 ans. Non, mais ce n'était pas beaucoup. J'ai fait ça. Je devais avoir à peu près 26 ans. Et donc, pendant une année, la première année formateur, j'y suis allé sur mon jour de repos formateur. J'ai fait ça le lundi. Le lundi, l'agence était fermée, donc je faisais de la formation le lundi auprès des étudiants, en fait de mon ancien centre de formation, moi où j'avais été, où j'avais appris.
- Speaker #0
Très très jeune, tu es devenu formateur en fait ?
- Speaker #1
Oui, très très jeune, enfin très très jeune. Alors oui, très très jeune parce que quand tu as 26-27 ans et que tu as face à toi des gens qui ont entre 18 et 25 ans à peu près, parfois il y en a certains avec qui j'avais 3-4 ans d'écart, tu vois, donc c'est pas énorme. Mais c'était chouette. C'était chouette cette année-là, je me souviens, parce que c'était varié tout ça. Et puis quand t'es jeune, ça va. Ça poussait bien. Et puis à un moment, comme je le disais, dans l'agence, ça n'allait pas. Je n'avais pas les résultats que je voulais. Et puis surtout, la cohésion que je cherchais, cette fameuse montée, etc. Et encore une fois, j'ai changé avec ceux qui m'avaient un peu mis le pied à l'étrier. Ils m'ont dit, écoute-nous, On a des formations, on a des centres avec qui on travaille, ils ont du mal à recruter tel profil sur telle matière, etc. Et de fil en aiguille, petit à petit, j'ai travaillé dans plus en plus de centres de formation, donc j'ai lâché le côté terrain. Et je travaillais dans pas mal de centres de formation, comment dire, divers et variés, mais essentiellement sur le commercial et l'immobilier. Donc voilà, j'ai continué là-dedans. Et dans un des centres, au bout de... Ça faisait quatre ans que je faisais de la formation maintenant, tu vois, à peu près à temps plein. Ouais, quatre, cinq ans. J'ai une directrice pédagogique, enfin oui, une responsable pédagogique qui me dit... Écoute, nous, ça nous plaît bien, ça se passe bien, on voit comment tu es impliqué. On voudrait bien que tu t'occupes de la filière immobilière de l'école. Et en gros, c'était Là, tu rajoutes à la casquette de formateur, du recrutement de formateur, du développement de programme, etc. Et je fais. C'était cool. Pareil, j'ai beaucoup appris. Ça a fait… Ouais, j'ai fait ça. J'ai fait ça un petit moment, j'ai fait ça peut-être 8 ans, tu vois, en tout. Et puis, ouais, fin courant 2017, tu vois, tu fais ça 8 ans, 8-9 ans, tu commences à avoir une petite routine qui s'installe. C'est pas que tu t'ennuies, mais pas loin, tu vois. Enfin, le monde de la formation, dans les centres de formation, c'est très rythmé et ce rythme est très cyclique. C'est-à-dire que... T'as rentré en septembre, octobre, t'as les examens en juin, début juillet. Tu vois, enfin, tu sais que t'as les examens blancs, etc. Tu vois, c'est toujours comme ça. Et donc, la routine fait qu'à un moment, t'en as un peu marre, ça bouge plus. Et donc là, j'ai voulu me rapprocher à nouveau du terrain. J'étais au contact entre guillemets du terrain parce que je m'occupais énormément d'étudiants en alternance. Donc, on échangeait sur ce qu'ils vivaient en entreprise, etc. Mais je voulais me rapprocher un peu plus du terrain. Et donc... Oui, 2017, mi-2017, ça a commencé à me trotter et j'ai eu l'occasion, fin 2017, d'intégrer une franchise immobilière. Franchise immobilière au sein du siège et j'étais animateur et formateur pour cette franchise. Et ça, je l'ai fait 4 ans, de fin 2017 à fin 2021. Et depuis 2021, comme tu m'as dit qu'il fallait que je n'aille pas trop sur ce que je faisais aujourd'hui, il y a ce que je fais aujourd'hui.
- Speaker #0
Tu peux nous en parler de la franchise immobilière ? Oui,
- Speaker #1
c'était Stéphane Plaza Immobilier.
- Speaker #0
Trop bien ! Je loue bien le rôle de comédien parce que je le savais.
- Speaker #1
Oui, tu as mon LinkedIn.
- Speaker #0
Tu me l'as déjà dit. C'est génial, Stéphane Plaza Immobilier, je crois que c'est un peu un des précurseurs de la marque.
- Speaker #1
personnel de l'agent immobilier il s'est construit un personnage on l'aime on l'aime pas ouais il ya plein de choses ça laisse pas indifférent et moi sur le côté franchi je vais plus parler du côté franchise c'est vrai que il ya eu un développement je pense assez assez assez impressionnant assez assez grand parce que moi quand je suis arrivé il y avait entre 150 et 200 agences et quand je suis reparti avec le travail du développement de la marque, etc. Tout ce qui avait été mis en place. Il y avait à peu près 600 agences. Donc, quatre ans pour multiplier à peu près par quatre. Voilà, à peu près. Mais donc, oui, oui. Et puis plein de choses, des belles découvertes, des belles personnes. Un travail là où moi, j'étais très sédentaire dans un centre de formation en banlieue parisienne. Bon, là, j'avais l'occasion de parcourir la France entière, de me rendre compte de ce que les gens vivaient. Que ce soit dans le sud, dans le nord, à l'est, à l'ouest. Donc, oui, quatre ans.
- Speaker #0
600 agences, tu estimes que tu en as visité combien ?
- Speaker #1
Alors, visiter, je pense que sur les quatre ans, j'ai dû en faire une centaine visite physique. Après, j'ai accompagné plus de mémoire, 200 à 250 directeurs ou directrices à différents stades. Je n'arrive plus à compter le nombre de conseillers parce qu'il y a eu des grosses sessions. On avait des sessions en région parisienne où c'est les conseillers et les conseillères qui venaient. Et nous, nous dépassions en atelier aussi, où parfois on avait jusqu'à 120 personnes. Donc, ça fait du monde. Mais quel plaisir de rencontrer, moi, des personnes qui font le métier que j'ai fait. des personnes qui vivent et qui s'occupent du projet de leurs clients. Moi, c'est souvent ce que je dis, l'immobilier, pourquoi j'aime ça ? Parce qu'il n'y a pas beaucoup de projets d'achat plus importants que celui du bien immobilier dans la vie des gens. Il y a plein d'achats importants, mais quand même celui du lieu de vie, il cristallise beaucoup de questions, il cristallise de l'enthousiasme, pas mal de remises en cause, des peurs. Et donc, pouvoir accompagner, ce n'est pas simple, les clients là-dedans, mais c'est pour ça que j'aime les personnes qui font ce métier en fait. Parce que quand elles le font, je mets des guillemets, parce qu'il n'y a pas de définition, mais quand elles le font bien, je trouve que... C'est un métier où la gratitude, la reconnaissance, la joie qu'on peut avoir et donner, c'est quand même assez palpable.
- Speaker #0
Et à un moment donné, du coup, tu en as eu un peu marre ? Tu as voulu faire autre chose ?
- Speaker #1
Oui, c'est... Alors, c'est... Comment dire ? On a eu... Est-ce que c'est fin 2017 ? Je suis parti fin 2021, il y a eu une période, un moment, Covid. Donc, ou pas simple. Pas simple parce que confinement, parce que... quand tu as 500 agences à peu près à ce moment-là, qui doivent continuer à tourner mais qui sont fermées, qu'est-ce qu'on peut mettre en place, qu'est-ce qu'on ne peut pas faire, que vivent les clients, comment on peut les accompagner, etc. Et moi, toujours ce besoin de former, de partager, d'accompagner, et de plus en plus. Je me suis dit, tiens, c'est chouette, et je le comprends totalement, mais après tu as des idées. mais que tu ne peux pas mettre en place parce que la marque, parce que ceci, parce que cela, les stratégies d'entreprise. Donc, l'envie d'indépendance. Si tu regardes, j'ai 44 ans, fin 2021, 2022, j'avais 41, 42 ans. L'envie d'indépendance à ce moment-là, la crise de la quarantaine peut-être. C'est ça.
- Speaker #0
Il y en a beaucoup qui me parlent de leur crise de la quarantaine.
- Speaker #1
Non, ça va. C'est une crise qui était cool, celle-là. Mais donc, tu vois, l'envie de... L'envie d'aller un cran plus loin et de faire ce qui résonne en toi, tu sais, parfois, tu vas te dire, tiens, ça, je le sens, il faut vraiment que je le fasse, que je le mette en place. Et comme tu n'as pas l'opportunité de pouvoir le faire, l'amener comme toi tu voudrais ou comme toi tu le vois, tu te dis, bon, à un moment, voilà. C'est plus un choix personnel qu'autre chose. Mais voilà.
- Speaker #0
Ça a été ton déclencheur à rentrer dans le monde.
- Speaker #1
Et puis, tu vois, c'est ce que je me dis. Si je boucle... Peut-être que l'entrepreneuriat. Alors moi, j'ai des parents qui étaient entrepreneurs. Ça a toujours été peut-être un peu en moi. Parce que je me dis, tiens, à 21 ans, à peu près, je me suis lancé dedans, dans la restauration. Mais là, ce n'était pas un domaine qui me faisait vibrer. Donc, on a vu le résultat. Bon, là, je suis content parce que ça fait trois ans. Donc, ça ne dure plus longtemps déjà que la première fois dans la restauration. Donc, ça, c'est cool. Et puis, ça se passe plutôt bien. Donc, c'est chouette.
- Speaker #0
Rendez-vous. Du coup, ce côté un peu geek, il a été boosté un peu, si j'ose dire, par rapport à ton statut d'entrepreneur. J'imagine que tu t'en es servi de toutes ces habilités-là. Je sais que tu es un podcasteur de talent, que tu es équipé, que tous les logiciels SaaS, tu connais. Le Restream qu'on est en train d'utiliser, tu m'as dit juste avant que tu connaissais un peu, enfin même plutôt bien même. Alors, le fait de te lancer en tant qu'entrepreneur, ça t'a aidé d'avoir ce profil un peu touche-à-tout, un peu technophile ?
- Speaker #1
Alors, oui, ça m'a aidé parce que, en fait, pour la petite histoire, moi, depuis le confinement 2020, en fait, j'ai ouvert une chaîne YouTube en 2016, Geek, voilà. J'ai fait une vingt-quinzaine peut-être de vidéos dessus, tu vois, qui marchaient pas et tout ça, mais c'était vraiment par pur plaisir. Et puis surtout, je l'ai commencé en juin 2016 et en août 2016, je suis devenu papa. Et un bébé... Et vouloir lancer une chaîne YouTube et en faire un truc comme ça, non. Enfin, moi, non. Je ne suis pas assez bien organisé, donc voilà. Et donc, j'ai commencé ça, machin, etc. Et puis en 2020, ma fille ayant 3-4 ans, et puis en étant confinée et en ayant un peu de temps quand même, il faut se le dire, et puis pas à savoir faire grand-chose, j'ai dit, tiens, je reprends. Et depuis 2020, à peu près, je fais une vidéo par mois là-dessus. Et donc, là où je boucle sur le geek, bah oui. Alors... Je me rends compte qu'aujourd'hui, tous les logiciels, etc., vont dans le sens de, aujourd'hui, sans compétence, sans être un guide, tu peux réussir à faire des choses. Aujourd'hui, je le vois, moi, avec un podcast. Là où avant, les gens en podcast, il fallait qu'ils sortent le gros micro, qu'ils enregistrent, qu'ils savent faire un montage, qu'ils savent régler l'équaliseur, etc. Aujourd'hui, tu as des trucs, ils t'arrangent le son. C'est moins bon que si c'était vraiment quelqu'un qui maîtrisait, mais sincèrement, en cliquant sur deux boutons, le son est déjà pas mal amélioré. Tu t'aperçois qu'aujourd'hui, sur les plateformes, tu peux juste enregistrer soit directement, soit avec ton smartphone et tu as tout ce qu'il faut et tu fais ça. Donc, moi, ça m'a aidé parce que je suis passé face caméra. Parce que moi, mes 15 premières vidéos de 2016, on voyait que mes mains. Tu ne voyais pas qui j'étais, je n'étais pas face caméra. Et puis, à un moment, j'en ai eu marre. Et puis, j'ai regardé un petit peu, plus un petit travail sur soi, en me disant, tiens, attends, pourquoi je ne me montre pas ? Qu'est-ce que ça apporterait ? Et puis depuis, je ne regrette pas. Parce que oui, forcément, ce côté geek a justifié auprès de ma femme mes achats. et puis voilà on essaie de justifier comme on peut donc t'as vu j'ai acheté ça mais c'est pour mon entreprise moi etc et voilà ça va me permettre de faire ça voilà si elle regarde ce live je suis dans le pétrin mais c'est pas grave et comment dire en tout cas voilà et donc ouais et puis depuis que je suis passé dans l'entrepreneuriat tu vois j'ai créé un podcast je fais un live là je l'ai mis un peu en pause parce que en fait j'arrive au centième et le centième je me suis dit je vais pas le faire en plein mois d'août J'ai mis un peu en pause, on le fera à la rentrée, on va faire la fête du centième épisode de podcast, centième live, parce que j'adore la création de contenu au final. Et un truc là où moi je ne me sentais pas créatif, je me rends compte qu'en fait on l'a tous un peu en nous, il faut juste avoir ce qui nous booste et comment on peut aller le chercher.
- Speaker #0
C'est des choses que tu transfères à tes clients ou pas du tout ?
- Speaker #1
C'est des choses sur lesquelles je les sensibilise. C'est vrai que je prends un exemple dans l'immobilier, j'en vois certains qui... qui se mettent déjà face à leur smartphone, qui se filment, etc. Et parfois, c'est des trucs tout bêtes, mais un smartphone, un appartement vide, c'est cool. Mais quand toi, tu es à deux mètres, ça résonne de dingue. Donc, je leur dis d'investir sur un petit micro sans fil. Ça ne coûte pas si cher que ça. Et puis, si ça fonctionne, ça fait un son qui va être dix fois meilleur. Et donc, c'est des choses sur lesquelles... Mais parfois, je fais même des lives où je n'ai pas de formation à proposer, mais je veux sensibiliser. Tu vois, par exemple, j'ai fait un live sur la newsletter. La newsletter, pour moi, c'est un bon vecteur, je pense, dans l'immobilier. Je ne connais pas beaucoup d'agences qui ont leur propre newsletter, alors qu'en plus, elles ont la matière première.
- Speaker #0
En 2024, quoi. Oui,
- Speaker #1
c'est correct. Oui, mais moi, le plus gros gâchis, c'est qu'on a la matière première. C'est que les agents immobiliers, nos clients nous donnent leur adresse mail. Là où tous les infopreneurs font tout pour avoir l'adresse mail des gens, dans l'immobilier, nous, on nous la jette à la figure. Prenez mon adresse mail, tenez-moi informé, tenez-moi au courant, dites-moi si vous avez des biens à me proposer. Les gens nous la donnent sans restriction. Et on sait que pour ceux qui créent des newsletters, etc., tous ceux qui veulent créer ce côté, je sais qu'il y en a plein qui galèrent. C'est quoi ? Tu vois bien, même moi en tant que formateur. Ça va être quoi mon lit de magnète ? Comment je vais attirer les gens pour qu'ils me laissent leur adresse mail ? Alors que dans les agences immobilières, même les conseillers, les mandataires, les gens nous donnent leur adresse mail. Et parfois, on en a des centaines et des centaines qui dorment dans les CRM et dont on ne fait rien ou pas grand-chose. Ok,
- Speaker #0
tu vas nous expliquer tout ça par la suite. Bon, il est grand temps maintenant de... Je pense qu'on a vu un peu ton parcours. Tu n'as jamais quitté vraiment l'immobilier ? Tu n'as jamais quitté du tout l'immobilier ?
- Speaker #1
Depuis que j'ai commencé l'immobilier, je n'ai jamais arrêté. Tu vois, depuis 2003.
- Speaker #0
Tu as eu des hauts et des bas quand même dans ton parcours, j'imagine ?
- Speaker #1
Oui, quand je suis passé d'une agence à une autre. La première, j'avais fait 4-5 ans. La deuxième, j'ai fait un an. J'ai été 5 ans sur le terrain. Ça n'a pas été que des réussites. Il y a eu des années, la première année a été très compliquée, c'est ce que je dis souvent. Moi, je disais oui à tout. Je leur dis souvent en formation, on m'appelait Oui Oui. Oui Oui, c'était oui pour une revisite entre midi et deux, oui pour une revisite à 21h, oui pour rencontrer un client un dimanche, etc. Et souvent, ce que je disais, c'est que ma fiche de paye, elle faisait non, non. Donc, ouais, non, j'ai pas eu que des années, mais ça m'a permis aussi de, comment dire, de me rendre compte de tout ce qu'on pouvait vivre, tout ce qu'on pouvait avoir. Et puis de développer, je pense, certains comportements face à ça. Donc, j'essaye d'en faire profiter les gens. en plus de tout ce que moi j'apprends à côté parce que j'adore apprendre. Je pense que ce serait dommage qu'un formateur n'aime pas apprendre.
- Speaker #0
Oui, tu as quand même un parcours assez linéaire. Tu es toujours resté dans la même sphère et c'est intéressant. Les personnes que j'interview, des fois, il faut creuser un peu pour voir un petit peu les ponts, comprendre. Toi, c'est l'immobilier, super. C'est aussi une parfaite cohérence, c'est ta force. Alors maintenant, ce que je te propose, c'est de passer... parce qu'il est vraiment temps, là, on est déjà depuis 25 minutes en live, de passer à ta carte blanche. Alors, une minute, c'est parti. À toi de jouer.
- Speaker #1
Eh bien, ma carte blanche, ça va être l'humain. Moi, souvent, ce que je dis, c'est remettre l'humain avant le bien. J'ai envie de dire l'humain avant tout, dans tout. Je pense que tu en es un bel exemple avec le réseautage, mais ça vaut pour tout, je pense, aux entrepreneurs, aux... aux conseillers, conseillères dans l'immobilier, mais en dehors, aux gens en règle générale, aux commerçants, si on s'intéresse d'abord aux personnes, qu'on comprend comment ils peuvent interpréter les choses, on se met un peu dans leur soulier. Ça fait partie, je pense, d'un cheminement qui va nous arranger aussi bien d'un point de vue business, professionnel, que personnel. Et cet humain, je le prône parce que... On parlait de cohérence dans mon parcours, moi j'ai toujours été quelqu'un plutôt introverti, plutôt dans l'observation. Et aujourd'hui, je me rends compte que ce que je voyais comme de l'introversion, de la timidité, ce qui était certainement le cas, aujourd'hui ça me permet d'anticiper certaines choses, de voir les choses différemment, de trouver des solutions différentes. Et ça, c'est un vrai coup de cœur. Donc j'invite les gens à s'orienter vers l'humain. et après de s'orienter comme ils veulent mais d'essayer de comprendre l'autre d'avoir cette volonté de comprendre l'autre c'est pour moi un game changer dans tout ce que je peux faire
- Speaker #0
Yes Merci d'avoir partagé ça avec nous
- Speaker #1
Avec plaisir
- Speaker #0
Rendez-vous le podcast Allez, on attaque la dernière ligne droite. C'est le troisième combat de Teddy Riner. Ça va pas tarder. Il est passé, il a fait deux victoires. Toi, ta victoire de l'époque, on remet les choses dans le contexte. C'était 2020-2021, la crise sanitaire. Là, t'es au bout d'un cycle, envie d'indépendance. Tu commences à fabriquer les premières pierres, finalement. sans mauvais jeu de mots parce qu'on est dans l'IMO, de ton projet, l'IMO entre pros. Quelle est ton idée de départ ? Tu te dis, est-ce que je vais faire une étude de marché ? Est-ce que j'ai déjà une ressource client, une base de contact ? Je repars de zéro ? Comment tu étais à ce moment-là ?
- Speaker #1
J'étais vraiment dans une découverte. C'est-à-dire que moi, je suis reparti de zéro. Je n'ai sollicité personne. Peut-être une erreur, après, je pense qu'il faut le faire aussi en fonction de sa nature, sa personnalité. Moi, l'idée de départ, c'est quoi ? C'est de dire comment on peut faire différemment. Moi, c'est mon postulat de base. C'est qu'aujourd'hui, les gens, et on le voit, et peu importe le domaine d'ailleurs, il n'y a pas que l'immobilier, on voit que dès qu'il y a un truc qui sort, il y a une hype dessus, tout le monde s'engouffre dessus, te dit que c'est la méthode miracle, etc. Et puis, six mois après, c'est un peu l'effet soufflé, tu vois. Je ne dis pas que ça a disparu, je ne dis pas que ce n'est pas bien. Jusque là, hype est un peu descendu et donc les gens trouvent ça... J'ai déjà GPT, je pense qu'il y a six mois, on entendait énormément parler, il y a un an encore, en se disant c'est extraordinaire tout ce qu'on peut faire avec Je ne dis pas que l'intelligence artificielle n'est pas extraordinaire. Jusqu'après, au quotidien, c'est peut-être un peu moins l'effet waouh et c'est un peu dans tout comme ça, alors que pourtant je suis un geek. Donc moi, je serais plutôt d'avis à dire c'est génial et tout ça Mais je dis toujours c'est génial je laisse juste un petit peu de temps. Et donc... Quand j'ai démarré, je me suis dit tiens, comment je peux faire différemment ? Comment je peux amener un autre regard, une approche plus, je mets des guillemets, parce que je ne suis pas spécialiste là-dedans, mais plus psychologique de son client. Et aujourd'hui, en tout cas, ça a été une vraie étincelle. Et à côté de ça, en partant de zéro, je me suis dit, moi, ce que j'aime faire, j'ai ma chaîne YouTube Geek, c'est de la création de contenu. Donc, je me suis dit, attends, écoute.
- Speaker #0
j'ai pas fait de business plan, je vais être très clair je ne me suis pas posé de questions là-dessus ce qui est très bizarre d'ailleurs venant de moi, parce que moi j'aime bien tout regarder mais non, j'ai mis de côté et je me suis dit non, je vais faire de la création de contenu, donc un podcast un live, des échanges avec les gens s'intéresser à eux et comment dire certains m'ont sollicité de là où j'étais avant, donc forcément j'y vais avec plaisir, tu vois, tu revois des gens 2, 3, 4, 5 ans après en disant ben voilà Il y a une certaine confiance qui s'est installée, où ils avaient apprécié. C'est chouette aussi. C'est pour la petite histoire. Là, en début d'année 2024, je suis retourné chez un de mes étudiants que j'avais en 2011-2012, je crois, qui a passé son BTS. J'étais son formateur. Aujourd'hui, 10-12 ans après, il est directeur d'une agence. Il m'a fait venir. Je lui ai dit, il a bouclé, bouclé. Parce que moi, quand je les avais en BTS, il y a une dizaine d'années, Je leur disais peut-être qu'un jour, c'est moi qui vous enverrai mon CV. Bon, ben voilà. C'est des gens, tu vois. Il a bouclé bouclé,
- Speaker #1
c'est clair.
- Speaker #0
Ah ouais ? Ça, c'est vrai. Les gens que tu as eus qui faisaient le jour 1 en immobilier avec toi, entre guillemets, tu vois, alors dans leur agence en alternance, mais qui rentraient là-dedans, tu vois, et que tu as vu évoluer et tout ça. Et puis, avec qui tu gardes pas forcément un contact assidu, mais... tu es toujours un peu dans la sphère où les gens voient etc. et un jour tu as un message, un appel il faudrait qu'on se revoie, il faudrait qu'on se rencontre et puis il en découle des choses géniales moi je trouve ça juste génial il n'y a pas de recette secrète mais c'est la création de contenu si je comprends bien,
- Speaker #1
tu n'as pas créé une offre spécifique tu as continué de faire ce que tu faisais jusqu'alors avec tes formations alors
- Speaker #0
Je ne dis pas que je ne ferai jamais ça, mais tous les trucs qu'on voit, j'aime bien le côté contre-courant. Fais ton offre irrésistible, indique que tu vas faire x3 à ton client et en 15 jours. C'est un peu comme les régimes à la télé. J'en parle parce que j'ai juste été client de ces choses-là dans une jeunesse passée. Non. tu veux perdre du poids il faut travailler sur la longueur il faut apprendre les choses il faut te comprendre si en plus tu veux rester en santé c'est encore plus important c'est pas la pilule magique qui va te faire perdre 50 kilos en une nuit non ça marche pas comme ça je pense que c'est la même chose pour l'entrepreneuriat et puis moi je suis là pour le durer je suis là pour être dans la longévité Je prends ma chaîne YouTube geek, qui n'a rien à voir. Je me rends compte d'une chose, c'est qu'il n'y a rien qui est parti viral. Dans tout ce que j'ai proposé depuis quatre ans, de façon assidue, il n'y a rien qui est parti viral. Mais aujourd'hui, après quatre années vraiment d'assiduité là-dedans, j'ai des marques qui me contactent, qui me proposent des produits. J'ai aujourd'hui 15 000 personnes qui sont abonnées à la chaîne, etc. Et donc, je sais que ça me plaît, ça c'est une passion. dans quatre ans les gens me retrouveront donc peut-être que je serai à 20, 30, 40 milles, j'en sais rien, abonnés, peut-être qu'il y aura des plus grosses marques, peut-être que je pourrai faire tu vois des 13 tours, j'en sais rien moi là dessus, et bien je veux l'appliquer dans mon entrepreneuriat, c'est à dire qu'aujourd'hui les gens avec qui je travaille dans un an, deux ans, trois ans, s'ils ont encore besoin d'échanger avec moi, pas forcément que dans le cadre de m'acheter entre guillemets une formation mais juste dans de l'échange, ils savent que, en tout cas ils peuvent savoir que moi je suis là. et que je répondrai présent.
- Speaker #1
Et tu fais que de l'IMO, du coup ? Quand on lit un peu en filigrane ce que tu es en train d'expliquer, on a l'impression qu'il y a peut-être aussi d'autres modèles économiques liés à l'influence ou...
- Speaker #0
Pour l'instant, je fais que de l'IMO dans mon domaine pro, tu vois. Parce que le domaine geek, je vais dire que c'est vraiment une passion plus qu'autre chose. Je m'aperçois que, peut-être, que, tu vois, pour certains métiers ou certains entrepreneurs, solopreneurs, Je prends un exemple parce que ça, ça m'a traversé l'esprit. Il y a, tu vois, les objections, gérer les objections clients. Dans l'immobilier, ça va, on est plutôt servi, on en a plutôt pas mal et plutôt bien en permanence dans la figure. Je m'aperçois que j'en ai pas mal, tu vois, des entrepreneurs avec qui j'échange, dans des groupes, machin, etc., qui eux, quand ils ont des objections, ne savent pas les gérer. Tu vois, c'est soit ils disent oui à tout et à la fin, ils disent purée, j'ai accepté, mais j'aurais pas dû Soit au contraire, ils sont tellement fermés à dire c'est comme ça et pas autrement, qu'ils perdent des contrats. Et je me suis dit tiens, un moment, c'est encore un peu tôt, enfin je ne sais rien, mais... J'aimerais bien accompagner un autre public sur d'autres objections que celle de l'immobilier, parce que je pense qu'on peut décliner des choses que j'ai vues dans l'immobilier et les décliner à d'autres domaines plus généraux. Et puis l'influence, je ne suis pas encore à un niveau où je veux devenir là-dedans, mais on ne sait jamais. Depuis que je suis entrepreneur, je suis ouvert aux opportunités. Et quand on me fait une proposition, avant là où j'aurais dit, il faut que je réfléchisse et dans 80% des cas, ce serait terminé par non. Il y a 95% des cas où on vient me voir, on me propose un truc, ça vibre en moi, je vais dire oui d'un coup, et après, je verrai comment je fais.
- Speaker #1
Je me répète un peu, je vais peut-être reformuler. En fait, si j'ai bien compris, tu continues d'être le formateur en IMO que tu as toujours été, sauf que tu es en indépendant, et que tu as aussi tissé peut-être un relationnel supplémentaire. Comment tu te positionnes par rapport à tous les contacts que tu as dans ton métier ? C'est beaucoup d'agents IMO ?
- Speaker #0
Oui.
- Speaker #1
ils ont tous la carteté, il y a certainement des mandataires, est-ce qu'il y a un autre écosystème aussi secondaire, comme les marchands de biens, ou alors ceux qui font le métier d'agent immobilier en étant uniquement chasseurs ? Comment se constitue ton réseau, à la fois de partenaires et de clients aujourd'hui ?
- Speaker #0
Alors, aujourd'hui, essentiellement, il y a les directeurs, directrices d'agences qui veulent une formation pour leur agence et leur équipe. Ensuite, il y a des personnes, des partenaires avec qui je travaille comme des réseaux, des réseaux de mandataires. Je travaille et je forme les équipes des réseaux de mandataires. Et puis après, il y a tout ce qui est individuel. Donc, il y a soit des conseillers, des conseillères qui peuvent être salariés ou indépendants, que ce soit à Janko, etc. Et qui veulent, eux, aller un peu plus loin, mais qui veulent le faire de leur côté. Donc, ça peut être des mandataires, mais ça peut être aussi des personnes en agence, dans une équipe, qui veulent être accompagnées d'un point de vue un peu plus solo. C'est essentiellement ça. Je n'ai pas encore eu... de contacts de personnes, tu vois, type marchands de biens, comme tu disais, parce que je ne pense pas qu'aujourd'hui, ça résonne en eux, ce que je propose, et je peux le concevoir totalement. Mais c'est essentiellement ça, ma typologie de client. Après, il y en a certains, tu vois, qui n'ont pas la carte. Ils dépendent de la carte d'un réseau ou d'un directeur ou d'une directrice. Et c'est OK. Encore une fois, je pense que pour comprendre ces clients, Il n'y a pas vraiment besoin d'un titre ou d'un diplôme spécifique. Mais par contre, après, il y a des trucs à aller chercher, je pense, pour déclencher des choses, pour engager. Et puis, tu vois, quand tu m'en parles, c'est marrant, parce que ça commence à cheminer un peu dans la tête en se disant Tiens, intéressant de faire l'interface, de connecter. Et parfois, c'est arrivé. Avec le podcast, il y a des personnes que j'ai invitées qui n'ont rien à voir avec le domaine de l'immobilier, mais qui, moi, je trouve, et c'est ça que j'aime bien aussi.
- Speaker #1
Il y a une vraie résonance.
- Speaker #0
Ouais, tu vois, ou tu dis, tiens, ce que tu es en train de me dire là, tu vois, je pourrais le ramener dans le domaine de l'immobilier. En fait, j'adore ça. Moi, j'adore aller chercher dans d'autres domaines et après de les ramener dans l'immobilier, tu vois.
- Speaker #1
Tu es dans des communautés aujourd'hui, qu'elles soient physiques ou en ligne ?
- Speaker #0
Oui, je suis dans un mastermind d'entrepreneur, tu vois, où on a un coach et tout ça. Donc ça, c'est vraiment, moi, je trouve aujourd'hui un truc sur lequel, tu me l'aurais dit encore. Oui, 4-5 ans, j'aurais dit se faire coacher, non, jamais. Et puis, en fin de compte, quand tu te lances dans l'entrepreneuriat et que tu commences à mettre le doigt sur les choses que j'avais déjà avant, mais dans mon salariat, ça ne me posait pas de problème, mais sur le fait de ne pas y aller, le fait d'avoir des blocages, ce genre de choses, tu te dis, bon, c'est un truc à aller chercher. Et ensuite, dans un autre groupement d'entrepreneurs, j'aime bien ça, en fait, moi, les entrepreneurs. Et ce qui est très drôle, c'est que c'est tellement varié. Dedans, il y a des personnes qui sont censées dans l'assistanat virtuel, le copywriting, mais d'autres, c'est dans des cours de méditation, ce genre de choses, de yoga, machin. Et c'est ce que j'adore parce que ça fait une telle richesse. Dans les échanges, je pense que si j'avais été entouré de formateurs immobiliers, ça m'aurait fatigué aussi.
- Speaker #1
C'était dans des réseaux liés à l'immobilier ?
- Speaker #0
Non, je ne suis pas encore rentré.
- Speaker #1
Des corporations ?
- Speaker #0
Non, j'ai invité quelqu'un qui a monté son club d'affaires spécialisé immobilier sur le podcast. C'est Winter ! Oui, c'est Winter, exactement. J'ai eu Winter sur le podcast, sur un live. On s'est recroisés sur un salon au mois de novembre. Toujours un plaisir d'aller voir les gens comme ça. Là, tu vois, j'ai eu des invitations sur des choses plus généralistes. Tu vois, et je ne sais pas. Je suis toujours en fait... partager entre le fait que tu deviens un nouveau membre. Moi, en plus, je suis quelqu'un qui est assez niché aujourd'hui. Ma cible professionnelle de l'immobilier, c'est assez restreint. Et de me dire dans ces clubs, qu'est-ce que moi, je peux apporter ? J'ai encore un doute, mais peut-être que c'est une barrière à sauter. Mais non, je ne suis pas encore rentré dans des clubs par rapport à ça, même si je connais des ambassadeurs sur les petits génies de l'immobilier. Et je pense que... Alors, la dernière fois, ça ne s'est pas fait parce qu'il y avait Joe Biden à Paris et que tout était bloqué et que les gens ont mis je ne sais pas combien de temps pour aller d'un point A à un point B. Mais là, d'ici la fin de l'année, je crois qu'il y aura encore une ou deux dates. Et je pense que oui, j'irai y traîner. Et puis, il y a un salon professionnel immobilier, le RENT, qui va avoir lieu début novembre, sur lequel je vais tout le temps chaque année parce que nouvelles technologies et immobiliers, si moi, je n'y vais pas, ça va être compliqué. Mon côté geek et immobilier.
- Speaker #1
Justement, tu as des astuces ou des infos à partager par rapport à ce qu'on appelle la prop tech, tout ça ?
- Speaker #0
C'est de suivre. La création de contenu, il y a plein de choses. Moi, c'est de suivre les gens qui sont des acteurs là-dedans. Je pense à Imo 2.0, par exemple, qui est un site qui est là depuis très longtemps. Ça fait longtemps qu'ils ont pris cette niche. de l'innovation technologique, etc. Et qu'aujourd'hui, ils sont toujours là. Donc, ça se porte bien. Il y a, je pense, Samuel de Saint-Laurent, qui est un acteur aussi de la PropTech et qui met en avant souvent des entreprises de la PropTech. Tu peux juste,
- Speaker #1
pour ceux qui nous écoutent et qui savent pas ce que c'est que la PropTech, tu l'expliqueras mieux que moi. Tu peux juste nous la présenter.
- Speaker #0
Voilà. Oui, c'est essentiellement des entreprises aujourd'hui qui délivrent des services, que ce soit même pour les particuliers ou les professionnels, parce que là, on pourrait croire que je ne parle qu'aux professionnels, mais non, des services auprès des professionnels ou des particuliers liés à l'immobilier. Donc, je prends, ça va d'un financement de dépôt de garantie, mais à du homestaging directement avec votre smartphone lié à l'intelligence artificielle. Il y a vraiment… Plein, plein, c'est tellement varié. Moi, je l'ai découvert vraiment il y a un peu plus d'un an, alors que ça fait plus longtemps que ça, mais vraiment m'y intéresser. Quand j'arrive dans des endroits où on me dit Tiens, ça pour les états des lieux, ça pour la gestion de vos biens tu vois, où par exemple, tu as plusieurs biens et tu vas tout regrouper dans la même application pour suivre tes biens, les loyers, les impayés éventuels, mais surtout les travaux, toute la partie fiscalité. Et puis, alors, surtout, j'ai toujours l'impression que les personnes qui se lancent là-dedans, c'est les idées infinies, tu vois, parce qu'il y a une brique, une deuxième brique, une troisième brique, et à chaque fois, tu vois, des services. Alors, je pense que c'est des vrais entrepreneurs parce qu'ils testent, et je pense qu'il y a parfois des retours qui font que la brique numéro 3, elle ne marche pas. Mais ce n'est pas grave parce qu'ils ont encore la 4, la 5, la 6 qui vont venir, et que même s'il n'y en a qu'une qui fonctionne, ce sera un service pris. Donc, moi, je l'ai… C'est un truc, voilà, et ça bouge énormément.
- Speaker #1
c'est passionnant,
- Speaker #0
j'imagine que dans ton métier tu dois voir un peu aussi l'évolution on pourrait parler de plein de choses les drones par exemple les visites virtuelles quand je compare moi à ce que j'appelais visite virtuelle quand moi j'ai démarré où j'arrivais avec un appareil photo avec un objectif fichail avec un œil de poisson un truc où ça faisait une photo à 180 et en fait on bougeait juste la photo et que maintenant je vois les visites virtuelles où il y a des mini-films, on peut se balader dedans Là récemment, j'ai testé l'Apple Vision Pro où ce logé a commencé à mettre son application dedans. C'est encore au balbutiement, mais je me dis, les trucs qui peuvent arriver derrière peuvent être impressionnants. Après, j'aimais juste un point de vigilance, c'est laisser le temps aussi et ne plonger pas sur le syndrome de l'objet brillant, sur tous les produits. On en parlait juste avant, tu vois un nouveau produit, c'est un abonnement, c'est ceci, c'est cela. Voilà, de temps en temps, il y a des bons marqués, il y a des bonnes personnes dans les marketing des entreprises qui vont nous vendre le truc comme révolutionnaire. Et au final, dans l'application, au quotidien, c'est un peu plus compliqué que ça.
- Speaker #1
Mais toi, tu fais un peu de marketing immobilier par la force des choses ou alors c'est dans tes domaines de compétences ?
- Speaker #0
Alors moi, je ne fais pas de marketing immobilier pur. Après, de par forcément mon statut d'entrepreneur, forcément, moi, il faut que j'arrive à marketer des choses. peut-être des produits, ce genre de choses. Mais par contre, ça m'intéresse toujours. Les gens le savent. Ils me voient en formation. Ils me voient arriver en formation. J'ai un paquet de prospectus. Et je leur dis, et encore une fois, le flyer, c'est vachement intéressant. Mais je fais le flyer estimation gratuite ou estimation offerte. On a vu combien de milliers. Je ne dis pas qu'après, le flyer n'a pas encore son intérêt. J'explique dans quel domaine, etc. En tout cas, moi, j'y vois un intérêt. Mais surtout, quel message il peut porter. Autre qu'on a l'estimation offerte ou gratuite. Je ne dis pas qu'il n'est pas intéressant, ce message. Je dis juste que quand on n'a que celui-là, C'est un peu plus... Et tu t'aperçois que quand tu demandes aux gens les autres messages qu'ils pourraient donner, tu vois, dans l'immobilier, sortir d'autres messages, à un moment, tu t'aperçois que ça marche moins. Enfin, c'est moins fluide. Donc, tu as les 4-5 habituels qui reviennent. Quand tu arrives au 7-8ème, il se passe quoi, en fait ? Et donc, oui, par la force des choses, j'en fais, tu vois. Et je sais que c'est un muscle. C'est-à-dire que plus tu vas te poser les questions sur une nouvelle thématique ou un sujet, plus c'est simple de trouver des idées. J'en suis la preuve, je ne suis pas créatif à la base. Aujourd'hui, j'arrive avec 100 épisodes de podcast, 100 épisodes de live. Ça fait 200 sujets à peu près, donc ça doit pouvoir se trouver. Et j'ai encore des idées. Donc, je pense que les idées, si on est un peu à l'écoute, si on se laisse quelques libertés, c'est possible d'en avoir. Donc, le marketing derrière, il peut en découler.
- Speaker #1
C'est quoi ta vision de l'agent immobilier en 2024 ?
- Speaker #0
C'est une super question, ça.
- Speaker #1
Est-ce que c'est un geek ? Est-ce qu'il fait des photos ou des reels sur Insta ? Est-ce qu'il est sur TikTok ?
- Speaker #0
Alors, sincèrement, je pense que si on devait regarder, même parmi ceux qui marchent bien, etc., je suis sûr qu'on trouverait une grande variété de personnes. C'est-à-dire que je suis persuadé que je peux trouver des personnes qui performent en étant énormément sur les réseaux, comme des personnes qui performent et qui ne sont pas du tout sur les réseaux. Après, c'est toujours la même chose, peu importe qui on regarde, c'est de comprendre le contexte. Tu vois, il n'y a pas longtemps, j'ai échangé avec quelqu'un, tu sais, beaucoup d'exclusivité, machin, etc., dans un coin où il y a beaucoup de concurrence, etc. Très bien, d'accord ? Mais ça fait 25 ans qu'elle est là, la personne. L'apprendre comme référence quand moi, je vais démarrer dans le métier, dans ce secteur-là, c'est oui, je peux, mais comme quelque chose que je vais devenir, mais peut-être pas comme quelque chose que je vais être tout de suite. Et c'est la même chose. Maintenant, pour moi, un agent immobilier aujourd'hui, c'est quelqu'un qui est complet. Ça, c'est la plus grosse difficulté, je pense. C'est-à-dire que tu maîtrises des parties financières, juridiques, techniques, commerciales, de la communication. tu maîtrises énormément comment dire la communication quand je parle de communication t'as la communication bien sûr les réseaux sociaux etc mais la communication aussi interpersonnelle avec ton client c'est quelqu'un de curieux et quelqu'un qui alors moi ça mais ça c'est ma vision celle-ci je la porte en moi qui s'intéresse sincèrement à l'autre quand tu dis l'humain avant le bien ouais derrière l'humain tu mets quoi ?
- Speaker #1
tu mets le client tu mets où tu mets le client et l'agent immobilier ?
- Speaker #0
Alors, je mets d'abord le client. Moi, je suis client-centrique, mais je mets aussi l'agent immobilier parce que l'humain, c'est celui qui va prendre la décision. Donc, je peux aller sur un studio ou un château. Ce n'est pas le studio ou le château qui vont s'engager auprès de moi. Ce sont les propriétaires, donc des humains. Donc ça, c'est le premier point. Et ensuite... Je vais mettre l'agent immobilier. Pourquoi ? Parce que, et ça, c'est mon expérience personnelle, on s'oublie trop souvent dans la relation. Tu vois, cette fameuse phrase, le client est roi. Non.
- Speaker #1
Le client est notre patron.
- Speaker #0
Ouais, tu vois. C'est lui qui paye, etc. Oui, OK. C'est lui qui va payer la facture. OK. Mais est-ce que ça veut dire qu'il a tous les droits ? Jusqu'à un certain point, il a des attentes, il a des besoins. à nous d'y répondre. Mais à un moment, je suis aussi capable d'exister en fait dans la relation avec le client. Moi, c'est ça qui m'importe. Et ça, c'est hyper, comment dire, hyper engageant. Et en plus, quand les gens testent, ce qui est vachement bien, c'est les retours, tu vois, en disant je ne pensais pas qu'il allait l'entendre, je ne pensais pas qu'il allait réagir de cette manière-là, etc. Donc, il y a tout un contexte à créer pour que derrière ton client, il ne te voit pas comme un simple outil. Tu vois, j'en ai parlé il n'y a pas longtemps. Le problème, c'est que nos clients, ils nous appellent, ils nous font venir pour une estimation. Ils veulent le prix et puis après, ils nous jettent comme des Kleenex pour certains. Ou ils nous rejettent la faute sur l'agent immobilier quand ça ne se vend pas ou ce genre de choses. Alors, si l'agent immobilier, le professionnel, a fait des fausses promesses, qu'il soit responsable là-dessus, on est bien d'accord que c'est lui qui l'a cherché. Mais si on sait construire la relation, qu'on sait écouter les petites phrases, les petits mots, qu'on sait aussi, nous, donner les bonnes intonations, poser les bonnes questions, voir quel cheminement on va suivre avec le client, pour le responsabiliser aussi et créer une vraie relation, tu vois, un truc. Et je pense que là, on est sur un autre niveau d'accompagnement. Parce que moi, en fait, l'agent immobilier, c'est un accompagnant. Tu vois, c'est quelqu'un qui va être dans un... Dans un rôle, je vais mettre des gros guillemets parce que je ne voudrais pas que ce soit déformé, mais de coach de son client, déjà de coach, mais dans sa prise de décision. Après, bien évidemment qu'un coach ne devrait pas intervenir et faire à la place d'eux. Nous, bien sûr que dans l'immobilier, on va faire des choses à la place de notre client. On va faire les visites, on va faire la publicité, on va faire le suivi. Ça, c'est notre rôle. Mais avant tout, dans la prise de décision, c'est ça, moi, le point de départ. Une fois que le client a pris la décision que pour lui, c'était un vrai projet, qu'il voulait avancer et qu'il va plus loin, qu'il va avancer avec le professionnel qui la fasse à lui, parce que moi, c'est ça mon credo, c'est là où je pense qu'on s'est facilité la vie de la suite de la relation. Parce que si on y a été au forceps, qu'on s'est oublié, qu'on a dit oui à tout, le oui-oui qui revient, tu dis oui à tout, sauf qu'à un moment, comme tu as dit oui à tout, le jour où tu dis non parce que ça va au-delà de tes limites, les gens ne comprennent pas. Et quand tu dis oui à tout, tu t'oublies en route. et tu ressors avec des phrases, des petites frustrations des trucs j'ai trop donné pour que j'en fasse pas profiter aux autres bon,
- Speaker #1
on arrive à la fin ça fait 50 minutes qu'on est en ce moment c'est super vite j'ai juste une dernière question je m'inquiète toujours sur cette question un peu poignée de porte c'est pas une poignée de porte c'est une grosse gaffe non je rigole comment on peut t'aider aujourd'hui dans le cadre du développement de ton activité l'immo entre pro Est-ce qu'il y a des choses qui sont actionnables facilement ?
- Speaker #0
Alors écoutez, si vous avez une mésaventure avec un agent immobilier, parce qu'il ne vous a pas considéré, vous pouvez lui parler de moi, mais si ce n'est pas en lui, non. Plus sérieusement, si vous connaissez des personnes, chez qui, ou même vous, mais si ce discours résonne en vous, de vouloir comprendre mieux votre client, l'accompagner et avoir envie d'aller un peu plus loin, et que vous connaissez peut-être des professionnels immobiliers. là-dessus. Écoutez, une mise en contact, un petit coucou, un petit tag quelque part, moi je prends forcément, c'est quelque chose que j'apprécie et je pense que c'est vertueux. Parce que quand on nous recommande ou les gens qui veulent aller plus loin, moi je sais que maintenant, quand il y a des gens qui me parlent d'immobilier, si je connais un professionnel dans le coin, je vais le recommander, surtout si c'est quelqu'un que je connais bien et je sais quelle valeur il a. c'est quelqu'un que je vais recommander beaucoup plus facilement. La réciprocité décalée dans le temps, pas forcément immédiate, mais elle vient naturellement. Si le discours, si les gens se reconnaissent là-dedans... Oui,
- Speaker #1
complètement. D'ailleurs, je rebondis, ces lives que je fais, c'est vraiment dans l'idée d'apprendre à connaître mes interlocuteurs et de montrer aux gens comment on pose des questions pour les faire parler et comprendre qui ils sont. L'objectif derrière, c'est de pouvoir les recommander le plus facilement possible. Un exemple, moi je suis journaliste, et quand j'explique ça à mes prescripteurs, s'ils rencontrent un journaliste, ils vont dire Ah tiens, je connais un ancien journaliste, parce que j'ai pris le temps de faire une découverte commune, réciproque. C'est ça. Et voilà. Et c'est aussi tout l'intérêt de ces lives. Et si on était dans un vrai entretien de prescripteurs et qu'ils ne se passaient pas en public, eh bien on ferait la deuxième partie du rendez-vous où on parlerait plutôt de moi et de mon parcours. C'est un peu dans cette optique-là que je fais mes lives, mais c'est un peu cérébral.
- Speaker #0
Ouais, mais c'est cool. Mais c'est hyper intéressant parce que c'est là où on s'aperçoit qu'on peut aller sur plein d'angles. Tu vois, tu peux actionner du bouche à oreille, etc. Mais tu peux aussi être plus proactif comme toi, tu le proposes. Je me souviens de notre épisode aussi sur le réseautage. Mais où à un moment, la réciprocité, moi, ça m'a fait réfléchir. Tu vois, tu as la réciprocité naturelle. Les gens vont te recommander naturellement sans que tu pousses. Et après, il y a de la réciprocité demandée. Et ce n'est pas moche non plus. C'est-à-dire qu'on a parlé d'une personne et puis après, moi, je viens exposer qui je suis, comment je le fais. Tu le fais super bien. Donc, longue vie à tes lives.
- Speaker #1
Yes, merci à toi, Cyril. Il y a Teddy Riner, son troisième combat.
- Speaker #0
Ok, ça marche.
- Speaker #1
Allez, Teddy !
- Speaker #0
Bon courage à lui sur le tatami.
- Speaker #1
Merci à toi, Cyril. À bientôt.
- Speaker #0
À bientôt. Salut, Jean-Christophe. C'était Rendez-vous, le podcast qui fabrique et consolide votre réseau d'apporteurs d'affaires.